Mardi 20 août 2024 2 20 /08 /Août /2024 22:27


Les Chiens des Brooks par le_marquis_de_Chair 

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Les Chiens des Brooks

Jennifer et Stan Brooks, couple d’anglais Aristocrates de belle lignée avait acheté un Manoir en France où ils recevaient bon nombre de leurs Amis de qualité auxquels nous avions l’honneur d’appartenir.

La Comtesse et le Comte adoraient les chiens et possédaient huit magnifiques Labradors, quatre noirs aux poils luisants et quatre « yellow », des animaux puissants, affectueux, aimant à être câlinés et caressés et, ma foi, si bien montés, qu’ils savaient faire office d’Amants de qualité auprès de quelques Dames venant là visiter nos deux Châtelains et sachant là trouver apaisement à leurs désirs les plus inavouables. C’est que ces chiens n’avaient jamais couverts de chiennes, ignorant la chair animale et ne connaissaient donc que les intimes chairs des femmes qu’ils semblaient apprécier tout particulièrement et c’était là des joutes sans fin laissant apaisées, mais épuisées les belle visiteuses de ce Manoir particulier. Ces bien secrètes pratiques et ces rendez-vous – qui avaient lieu une fois par mois – proposaient des accouplements qu’on eût dit « hors nature » mais qui n’en étaient pas moins appréciés dans leurs révélations charnelles par ces quelques belles Oiselles à la recherche de nouvelles sensations ! Toilettés, entretenus, bien nourris, nos huit beaux « monteurs » ô combien puissants et affectueux, contentaient donc ces Dames qui se faisaient allègrement chevaucher et prendre sans pudeur en un feutré salon par ces endurants et ardents canidés.

Dès l’arrivée des invitées, les chiens leur faisaient fête, ce n’était que léchées, aboiements de bonheur, les chiens sentant bien là de bonnes chairs féminines aux muscs et parfums qui les excitaient au plus haut point. Ainsi, un chien choisissait-il sa « cavalière » et ne la quittait plus, battant de la queue, geignant de plaisir, implorant ou insistant, une patte posée sur quelque genou, affectueux à l’excès, griffant un bas, bandant déjà de belle manière, prêt à tous les ébats. Ces Dames, toutes troublées, les joues roses de plaisir caressaient alors la tête de l’animal, flattaient ses flancs, se laissaient embrasser sur la bouche, dans une ronde d’amour et de séduction des plus révélatrice des envies de chacune… Une main fine et longue pouvait aussi se risquer à quelque caresse appuyée vers le sexe, le saisissant entre les doigts, le pinçant joliment, allant même jusqu’à le décalotter finement, épousant de la paume les belles couilles rondes, chaudes et battantes, une sorte d’appréciation de la virilité… L’on allait même souvent jusqu’à feller avidement quelque sexe rose et long, bien tendu, appréciant ainsi avant les ébats celui qui serait un parfait chevaucheur. Le chien alors commençait à haleter, se faisant plus pressant et c’est alors que l’on passait au Salon pour des choses plus sérieuses que je me propose de vous conter ici…

Les Châtelains eux-mêmes appréciaient et partageaient ces réunions, très actifs dans le déroulement des opérations. Chacune des visiteuses se mettait en place, ne conservant que bas et porte-jarretelles ou encore jarretières, excitantes à souhait, féminines, délicatement parfumées, bref excitantes ; les chiens alors devenaient comme fous et allaient de l’une à l’autre, choisissant celles qu’ils voudraient monter… Car ils avaient leurs habitudes et leurs choix, bien que variés, revenaient souvent à quelque habituée, plus vicieuse qu’une autre, offrant des postures, douée d’initiative perverse dans la recherche du plaisir avec l’animal, se prostituant à lui, tout en ne délaissant point le sexe de quelque bel homme bien fait qui, entre deux saillies des canidés venait prendre à son tour son plaisir… Cela agrémentait de belle manière les échanges et l’on pouvait ainsi rester quelques deux ou trois heures en un salon clos à multiplier les accouplements. A l’issue de ces longs égarements charnels, une belle table était servie et les convives pouvaient se restaurer et reprendre des forces après de telles prolongées joutées.

L’on pouvait retrouver en ce salon, de belles adeptes de ces pratiques : la belle et brune, autant que piquante Nicole d’Engerrey, Chantal de Cyrignac, une Servante même, la « Lieutenante », la Châtelaine elle-même, fervente zoophile, faisant preuve de belles initiatives en de telles occasions, vicieuse, perverse, recherchant le plaisir sous toutes ses formes. Une belle femme un peu sèche, mince, petite poitrine, jolies fesses fermes et nerveuses, mollets aguichants, taille de mannequin en dépit de ses cinquante ans passés… Toujours bien coiffée, la classe et la distinction émanaient d’elle, une vraie noble. Elle portait souvent de hauts bas noirs ceints de jarretières rouges finement brodées. Ses joues creusées, les rides harmonieuses de son visage, ses longs doigts caressants, contribuaient à lui donner l’aspect d’une sorte de « Prêtresse » fiévreuse appréciant autant la femme que l’homme auxquels elle prodiguait les mêmes caresses fébriles avec à la fois un calme ordonné qui en imposait à ses… « Sujets ». Car chacune et chacun de ses adeptes était « son » Sujet… Une Passionnée ! Mince, élancée, « Prêtresse » absolue ». Nue. Femme. Caresseuse. Masculin-féminin unis au vice.

Le Marquis, Stan, son époux, était de bonne lignée, avait une belle prestance, perruque blanche, finement poudrée, habits finement brodés, dentelles, jabot, grande tenue et maintien, cape. De conversation recherchée, il souriait, séduisait…

Son épouse et lui-même parlaient très bien le français, mais avec une petite pointe d’accent qui ne leur donnait que plus de charme et d’allure.

Cet après-midi-là, nous étions arrivés, la Marquise et moi-même, très impatients de goûter à de tels plaisirs que nous avions déjà découverts en compagnie de nos bons Amis, Nicole et Albin d’Engerrey, chez eux dans leur propriété en bord de Loire. Vous souvenez-vous de mon récit «Le Grand Boudoir aux lévriers » et de leur chien « Uranus » ? Il ne manquait là que la belle Valérie de Versanges, zoophile confirmée et d’une grande beauté, hautaine, distinguée, très sensuelle, toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et expériences sensuelles autant que sexuelles…Nous avons d’ailleurs plus tard porté un toast à cette belle Amie et déploré son absence lors de telles agapes et folies partagées. Je dois avouer que j’étais attiré par cette femme (Françoise, ma Mie le savait et aimait à me voir prendre du plaisir à l’aimer et à l’honorer au cours de nos soirées particulières), mais les autres de nos Dames présentes ne manquaient point de charme, ni de talents cachés toujours susceptibles de nous séduire.

Jennifer Brooks nous fit servir des rafraîchissements et en fort gente compagnie, nous gagnâmes le salon. Etaient présents Albin , époux de Nicole, Chantal et Marcus de Cyrignac, Jennifer et Stan et l’une de leurs domestiques mince, discrète, attentive, brûlante, aux sens aiguisés et qui, paraît-il, se révélait être très experte dans les relations femme-chiens… moi-même et bien sûr, nos quatre premiers Labradors intervenants qui montraient déjà de l’impatience… Il y avait donc quatre femmes, quatre hommes et quatre merveilleux « étalons » canins pour la première partie de ces ébats… Nous prîmes place.

Comme ces femmes étaient belles, dans l’attente de plaisirs inavoués ! Je voyais leur image se refléter en des psychés où tremblaient des chandelles disposées de manière à ce qu’elles éclairassent les participants dans la demi-obscurité, les ouvertures étant déjà bien calfeutrées en cette fin d’après-midi. Jennifer, grande prêtresse de ces réunions secrètes, était assistée de sa « lieutenante » Ninon, la servante, toute dévouée à cette belle femme aux mœurs très coquines et dont elle était la complice en des jeux de Sappho auxquels nous savions qu’elles s’adonnaient toutes deux…

Il faut dire que la Servante était magnifique, des plus désirables, possédant même un port de tête digne de quelque Aristocrate qui aurait « fauté » avec quelque Marquise ! Jennifer et Ninon distribuèrent les « rôles » : Nicole et Françoise se gouineraient, excitant les chiens par leurs poses alanguies, tandis que Chantal se ferait ensuite monter par le premier des canidés, Jennifer et Ninon s’adonnant à leurs vices préférés en vue d’exciter les coquins que nous étions…

Nicole et ma femme, tendrement engouinées, se caressaient fiévreusement et à chaque fois je ne pouvais résister au plaisir de les contempler, cela m’excitait et je commençais à bander ; mais je bandai encore plus, quand j’aperçus Chantal, cuisses ouvertes qui offrait son beau sexe bien fourni à la langue du premier Labrador qui ne se gênait point pour la lutiner d’une langue longue, divinement rosée qui humectait les poils bruns et frisés de sa chatte… Albin et Marcus se branlaient en cadence ne quittant pas des yeux Jennifer et sa belle gouine de servante qui l’enchâssait… Stan se joignit à eux, partageraient-ils à trois les deux femmes ? Chantal caressait le chien qui léchait toujours son sexe, enfouinant sa belle langue au plus profond de la fendine que notre divine pécheresse s’employait à écarter généreusement ; le chien bandait de plus belle et devint exigeant, voulant à présent la monter sans tarder… Chantal ouvrit bien les jambes et là, magnifiquement écartelée, dirigea le long sexe vers le centre de son plaisir, ce corail rose magnifique : le chien la pénétra rageusement, elle poussa un petit cri et fut envitée au plus profond… Le trot se fit, ses hanches s’agitaient, le chien la dominait, museau tendu dans son cou, langue tirée, il pénétrait cette belle femme avec l’ardeur d’un humain, quel Amant ! Chantal se mit à geindre, écartant plus encore les cuisses, jambes en l’air, offerte, impudique, splendide vicieuse ne cachant pas ses penchants… Elle maintenait à bras le corps l’animal contre elle, se tendait, s’offrait, remuait des reins, baisée en bouche par l’animal qui allait jouir, cela se lisait sur son faciès, les babines se dilatant, crocs apparents ; les halètements se faisant plus pressés…IL JOUIT !!

Je me dis que je voudrais prendre Chantal aussitôt après, être dans le bon foutre chaud de l’animal, aller et venir en ce joli con qu’elle avait si bellement abandonné à son canin d’Amant… Le chien dégonfla, les flancs haletants, sa belle bite sortit de sa cache, mouilla un peu plus les poils et retomba, pendante, mais encore raide, laissant couler un trop-plein de foutre sur le parquet…

Je m’approchai de Chantal encore essoufflée, pâle, mais comblée dans son vice ; elle me sourit et me tendit les bras… Je m’agenouillai, pointai mon vitin vers ce sexe baillant, foutré de blanc, excitant, désirable et je pris la place du chien… Je m’enfouinai prestement et glissai délicieusement dans les humeurs canines, pour gagner le fond du con, à la mottine si généreusement tendue… Chantal m’attira étroitement contre elle et murmura : « Baisez-moi à votre tour, mon bon Armand, ce chien m’a épuisée, mais j’en veux encore, ne savez-vous point que je suis gourmande ?! ». Je la besognai sans compter, elle cria, croisa ses jambes sur mes reins, j’étais à fond en elle, ses bas blancs bellement jarretés, crissaient au plus fort en va et vient répétés, je défoutai, quelle belle débauchée j’avais là enfilée !

Une Amante de qualité, très vicieuse et cochonne à souhait…

Nicole était fermement montée par un des Labradors, ne lui laissant aucun répit, il jouit par deux fois en elle et puis, ce fut le tour de Françoise, ma Belle qui fut mise pareillement, mais qui ayant tendu son cul, fut ainsi prise analement aussitôt après et de belle façon par le chien sodomite, se comportant bien en cette position et sachant se montrer vraiment très endurant et persuasif à la façon qu’il avait de maintenir fermement ses hanches entre ses pattes! Jennifer était enculée par Albin, tandis que Marcus étendu sous la Servante la prenait à coups répétés, Stan prenant la « Lieutenante » en cul en même temps… Trois corps au paroxysme de l’excitation… Jennifer, sodomisée, geignait ; l’un des Labradors venait lécher le gros sexe et les couilles d’Albin qui besognait le petit anus dilaté de la « Maîtresse de Cérémonie » au comble de la jouissance…

Stan ayant déculé de la Servante, je pris sa place, l’on me reçut et le cul à nouveau s’agita au long de cette nouvelle pine qui venait le fouiller… Quelle ivresse ! Au-dessous, Marcus reprenait de l’élan et sans doute stimulé par le nouveau baiseur de sa partenaire, donnait de superbes coups de boutoir à son con qui allait et venait sur sa pine gonflée, tandis que je m’enfouignais toujours dans ce cul avec délice… Je ne pus m’empêcher de griffer les bas et jarretelles de cette « gueuse » que je maintenais fermement par les hanches, leur imprimant le trot de mon vit qui s’accordait parfaitement avec celui de Marcus en dessous.

Nicole et Françoise se laissaient encore monter par les chiens, folles de plaisir ; l’un des Labrador poursuivait son office dans le petit cul de ma femme qui geignait comme une folle, maintenant les pattes avant de son monteur pour le bien sentir en elle et qu’il ne s’écartât point… De fait, le chien l’enculait-il bel et bien, comme un humain l’aurait fait ! Je jouis dans le cul de la Servante qui me gratifia d’un immense et ultime coup de séant, ses rondes fesses atteignant mes couilles ; Marcus jouit à son tour… Nous restâmes ainsi tous les trois agglutinés, haletants, comblés…

Après une toilette en bonne et due forme, Jennifer nous convia à prendre une coupe de champagne en un petit salon attenant. Les mines étaient épanouies, bien que présentant des cernes révélateurs et les joues pâles de nos jouteurs attestaient de l’intensité et de la fréquence de leurs jouissances. Ces Dames, en bas et porte-jarretelles, les petits seins conquérants, les croupes rebondies, l’œil brillant (le champagne ?) attendant sans doute encore d’autres plaisirs, riant, s’enlaçant, se donnant de petits baisers prometteurs… Les chiens, vedettes tout de même de la soirée, arpentaient le salon, allant des unes aux autres, la queue battante, la langue lécheuse sur un mollet ou une cuisse à leur portée…

Jennifer annonça une nouvelle « figure » dans nos ébats et nous la décrivit…

« Chères Dames, mes Amours, cette scène nous allons la jouer toutes ensemble, vous mes bons Seigneurs serez spectateurs, mais après, je vous le promets, vous saurez être récompensés… ». Sur une couche large et confortable, confectionnée par deux Servantes (non participantes) et disposée au centre du grand salon où nous avions déjà exercé nos talents, ces Dames allaient nous offrir leurs jeux les plus osés, uniquement entre elles et avec les chiens, seul Eros, Sappho et la gent canine en seraient les exécutants…

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Disposées en étoile, jambes écartées, superbement nues et abandonnées, tête contre tête, nos compagnes s’offraient à nos yeux ; leurs superbes ventres offerts à nos regards, nantis de leurs jolis petits touffins bruns, blonds fournis ou moins fournis, leurs fines cuisses gainées de bas noirs, rouges, blancs ou gris-bleus, jarretelles ou jarretières très coquines, les seins hauts dressés, aréoles dilatées par le proximité du plaisir et l’attente des ébats… Comme elles étaient belles nos compagnes, ainsi livrées, sens et chairs aux aguets, l’émoi jusqu’au bout de leurs tétons, le souffle court, aux abois, telles des biches qui attendaient…

C’est à cet instant que deux servantes entrèrent, tenant en laisse quatre autres magnifiques canidés, Labradors également de couleur « yellow », à l’échine nerveuse, bien pourvus, de beaux mâles canins certainement très performants ! Nous applaudîmes à l’entrée de ces merveilleux spécimens. De nouveaux officiants qui allaient prendre la relève des précédents, car il fallait bien que les bêtes prissent un peu de repos après tant d’ardeurs et de performances !

Ces nouveaux arrivants ayant pleines forces, furent donc introduits, jappant, queue battante, prêts à se produire en…l’Arène du Sexe ! Ces quatre nouveaux compagnons quadrupèdes haletaient, langues tirées, impatients, sentant bien ce qu’on attendait d’eux et flairant les belles chairs nues de ces Dames… L’ambiance était excitante et nous, les époux, étions très attentifs à ce qui allait se dérouler, là, sous nos yeux, nous les libertins-Maistres-queues qui voulions toujours jouir ! Les chiens s’approchèrent, firent connaissance avec les officiantes, les flairèrent, leurs halètements s’accélèrent, leurs flancs battirent un peu plus vite et leurs sexes semblaient traduire déjà leurs envies de beaux mâles, se dressant doucement, balançant, roses ou rouges, tantôt violacés, congestionnés par le désir, respirant les muscs intimes de ces femmes ainsi offertes… Nos épouses caressaient à présent ces quatre frémissants Amants, flattant leurs flancs, enserrant leur col, tendant même leurs bouches à ces langues tirées, leur parlant voluptueusement pour leur donner toute confiance et que les saillies à venir se passent de la meilleure façon pour elles et leurs partenaires-chiens… Elles les caressaient plus intimement, comme elles l’avaient fait envers les précédents jouteurs, afin de les mieux mettre en condition – si tant est qu’ils en eussent besoin, certains montrant déjà toutes leurs…possibilités ! Une caresse de la paume sur un gland dressé, une main caresseuse sur les parties rondes et généreuses, un baiser sur le membre tendu, une petite fellation à peine esquissée…les chiens geignaient, léchaient, se tortillaient, impatients…

Impatients, nous l’étions aussi ! Nous connaissions certes les talents amoureux de nos Chères Epouses et leurs ardeurs à satisfaire leurs vices tout autant que les nôtres, mais de telles Amours canines n’étaient pas chose courante et l’humeur autant que le bon contact et la bonne approche avec l’animal n’étaient pas à dédaigner.

Les chiens à présent s’employaient à licher profondément les belles touffines, écartant, lissant, humectant les soies brunes ou blondes offertes à leurs convoitises… Françoise se livrait à une savante masturbation de l’animal, tandis qu’il la léchait au plus profond de son sexe. Elle était belle ainsi, recalottant, décalottant le sexe dur du chien dressé au-dessus d’elle ; Nicole, enfouinée par une langue fureteuse geignait doucement en se pinçant les seins ; Chantal de Cyrignac, se livrait elle à une magnifique fellation du membre de son cavalier canin qui, pattes arrières écartées, se laissait sucer jusqu’aux bourses, la Belle engoulant le vit canin jusqu’au fond de sa gorge. Jennifer prenait des poses fort suggestives, ainsi le chien la léchait-il abondamment, tour à tour en chatte, en cul, sur les seins, la bouche, la belle zoophile murmurant des mots osés à cet ardent canidé, l’encourageant à la bien fouiner de partout… Françoise maintenant, étendue sur Nicole, ondulait lentement sur son ventre, vulve à vulve, unissant sans doute leurs clitoris en une étreinte des plus excitantes ; un chien vint se placer sur les belles fesses de ma femme et commença à les chevaucher, le vit bien dardé cherchant le sillon fessier… Mon épouse passa ses mains sous le chien, saisit son long sexe et, s’étant écarté les fesses, le guida vers l’anneau convoité par l’animal ; celui-ci hésita, poussa et enfigna le derrière qu’il besogna d’une belle ardeur… Je voyais l’animal la couvrir, pattes arrières écartées, couilles dansantes sur le sillon, tenant sa taille entre ses pattes avant, exigeant, possessif, le museau entre ses omoplates, bavant déjà de plaisir… Les deux femmes jouissaient, Nicole de sentir la chatte de mon épouse frétiller contre son petit con et Françoise goûtant là une double jouissance, celle de son Amie sous elle et la chaleur du chien sur elle qui possédait son petit cul à longs et répétés coups de bite… Un autre chien montait ardemment Chantal de Cyrignac qui, cuisses ouvertes, tendue vers l’animal, se donnait entièrement à lui dans un abandon lascif, terriblement sensuel, la truffe entre ses seins, buvant littéralement les halètements de l’animal en train de la posséder profondément ; cris, plaintes, râles montaient de cette couche comme vouée à Satan, des femmes décoiffées, livides, jurantes, aux voix mourantes de jouisseuses qui n’en finissaient plus de se laisser monter, la semence coulant en hiéroglyphes sulfureux et blanchâtres sur les draps blancs, froissés et refroissés par les croupes dansantes et les pattes des animaux au paroxysme de l’excitation… Jennifer et sa Lieutenante partageaient le même chien qui les montait l’une après l’autre, insatiable, le sexe toujours bandé, la bête réclamant sans cesse un peu plus d’amour féminin et de chairs humides qu’il léchait avidement après chaque saillie…

Deux Servantes qui n’officiaient pas habituellement aux dires de Jennifer avaient été cependant désignées pour assouvir nos désirs à nous les maris, contemplatifs, assistant aux accouplements successifs de leurs épouses avec ces beaux « monteurs » canins… Tour à tour, ces deux jeunes femmes, belles, soumises, expertes, filles de la campagne, rudes, mais caressantes au demeurant, s’employèrent à nous bien feller, s’enivrant de nos foutres qu’elles faisaient jaillir sur leurs lèvres licheuses et leurs langues dansantes…

A l’issue de chacune des fellations, elles recueillirent en une coupe, nos foutres qu’elles mêlèrent ensuite à ce beau champagne blond pétillant qu’elles y versèrent ; puis, elles en intervertirent l’ordre et les tendirent à chacune de nos épouses : aucune d’entre elles ne sut à qui appartenait le foutre absorbé…d’où un grand mystère aphrodisiaque… Et ayant ainsi satisfait pleinement nos sens à tous les quatre, essoufflées, elles nettoyèrent nos sexes, nos bourses, léchant nos poils poisseux et nos fossés anaux, véritables fouilleuses ne nous laissant aucun répit… Un peu plus tard, l’une d’entre elles fut prise en même temps par Albin et moi-même, tandis que Stan et Marcus se partageaient aussi les faveurs de l’autre, de devant comme de derrière en alternance… De beaux trots qui arrachaient des plaintes lancinantes qui montaient au milieu de notre aéropage, nos ombres s’agitant, démentes, sur les épaisses tentures qui étouffaient les cris de ces filles en rut.

L’orgie ne prit fin que vers les deux heures du matin. Jennifer et Stan donnèrent des ordres, afin que des bains nous soient accordés en deux grandes salles de bains dignes d’un Versailles, nous y purifiâmes nos chairs dans une apaisante atmosphère parfumée, douce et paisible, puis nous nous vêtîmes et, ayant retrouvé une tenue plus aristocratique, nous rejoignîmes le grand salon où champagne et souper nous furent convivialement offerts. Nos épouses, bien que lasses, étaient si belles, le champagne illuminant leurs yeux cernés où se lisait une plénitude entière après autant d’excès, chacune d’entre elles serrant sur son sein une rose rouge comme un cœur refermé sur la nuit : une attention de notre Hôtesse envers nos épouses…

Les beaux étalons canins rejoignirent leurs quartiers après avoir goûté à une pitance du meilleur choix. Caresses, flatteries et baisers pour honorer leurs exploits.

Nous prîmes congé de nos Hôtes, de nos Chers Amis et complices et partîmes en carrosse juste après le souper. Françoise posa sa tête sur mon épaule, me sourit et soupira : « Comme c’était bon, mon Cher et tendre Ami, c’était si bon…pour vous aussi, n’est-ce pas, à ce que j’ai pu voir… » et elle s’endormit jusqu’à notre arrivée au domaine…

Je la portai jusqu’à notre chambre et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre… Que de rêves, quelle plénitude !

Chères Lectrices et Amis libertins, je vous souhaite la bonne nuit.

Le Marquis de Chair.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 22 juillet 2024 1 22 /07 /Juil /2024 12:46

Très brèves - sado-maso

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Filochard :

 

J’avais mes habitudes chez une maitresse et le scénario était toujours à peu près le même, pinces, martinet, gode, humiliation, pipi… un jour elle m’a demandé si cela m’intéresserait de tenir le rôle d’esclave dans une séance collective. J’ai accepté malgré le prix (on ne vit qu’une foi). Ça se passait chez une collègue à elle. Nous étions trois soumis, il y avait deux maitresses et quatre spectateurs (deux couples). Tout n’était pas intéressant (léchage des pieds) sinon c’était assez classique les deux spectateurs males avaient sorti leur bite. Un moment l’une des maitresses m’emmena à quatre pattes entres les jambes d’un des spectateurs et m’a demandé de le sucer. Je l’ai fait ! Et en même temps elle me fouettait mon cul de lopette..

 

Odilon :

 

Je me rends une fois pas moi chez Maitresse Zelda, A mon arrivé, elle me gifle et me crache dans la bouche, me mets en cagoule sur le visage, .me fixe des pinces sur mes tétons, puis je reçois 20 coups de cravache sur les fesses. Je dois ensuite lécher son cul merdeux. Ensuite vient le moment le plus attendu, un autre soumis est là, belle bite bien bandé, je le suce avec gourmandise, puis maîtresse m’ordonne de lui présenter mes fesses afin qu’il me sodomise. Je dois ensuite m’allonger par terre et me branler pendant que Maitresse me pisse dans la bouche. Vous ne pouvez pas savoir comme ça me déstresse.

 

Maitresse Gilda :

 

Esclave, tu me lécheras les pieds, je m’assoirais sur ta gueule de pédé, tu ne me toucheras pas à ma chatte ni à mes seins, mais tu me léchera mon cul plein de merde, tu seras fouetté, tes tétons et tes couilles seront pincés, tu seras fouetté à la main, à la cravache, tu prendras un bon gode dans le cul. tu me serviras de cendrier et de toilettes, etc… Et ton putain de cul et ta bouche devront obéir ! J’appellerais mes copines pour qu’elles se moquent de toi… et si j’ai un autre soumis tu devras lui sucer la bite et te faire enculer. (J’espère n’avoir rien oublié !)
Ça te plait comme programme ?

 Elza

Larcher :

 

Mon truc chez ma maitresse c’est de me faire traiter de pédé pendant qu’elle me fouette. J’aime bien quand il y a du monde, une autre maîtresse et ou un(e) invité, mais le top c’est quand il y a un autre soumis que je prends plaisir à sucer. Avec le temps les relations avec ma maîtresse se sont transformés, et on est désormais dans une situation de grande complicité

 

Chapu :

 

Une fois je suis allé voir une domina, après m’avoir fait plein de misères, elle m'a proposé de me mettre en cage pendant qu’elle s’en allait déjeuner, je lui ai dit d’accord mais j’ai une réunion à 14 heures…. Cette imbécile s’est attardée j’ai dû inventer un prétexte farfelu pour justifier mon absence.

 

Dreux :

 

Moi, j’ai pas aimé quand la domina, elle m'a écraser mes couilles 🙁

 

Lecharmant :

 

Faisez gaffe, certaine dominas sont cinglées, Il y en une qui m’a donné 50 coups de cravaches, comme j’étais bâillonné je n’ai pas plus employer de mot de sécurité (d’ailleurs il y en avait pas) ou lui dire d’arrêter. J’ai eu mal au cul pendant une semaine

 

Vidal :

 

Il m’est arrivé un truc comme dans la seconde histoire, la domina me demande de sucer un esclave, ça ne me dérange pas car j’ai déjà sucé pas mal de bite dans des sex shop ou dans des cinéma porno. Elle a ensuite essayé de me faire enculer, mais le mec avait du mal à maintenir son érection, pas grave j’y suis retourné le mois suivant et là ça a marché.

 

Basile :

 

Lundi je suis allé voir Maitresse J, que je ne connaissais pas. Il y avait un autre soumis dans son donjon, elle m’a d’abord cravaché le dos et les fesses après m’avoir accroché des pinces aux tétons. Elle m’a ensuite obligé à sucer l’autre soumis, ça n’a pas été une corvée, on m’a déjà fait sucer des bites et j’aime qu’on me le fasse faire. Ensuite il s’est produit ce que je ne pensais pas possible de supporter. Maitresse a chié un gros boudin dans une écuelle à chien et nous a obligé l’autre soumis et moi à nous prosterner devant. L’autre soumis n’a pas hésité une seconde et à même léché la merde, moi j’ai hésité, j’ai reçu des coups de cravache, j’aurais pu stopper là mais je me suis fait violence et j’ai léché. Cette humiliation suprême m’a fait bander terriblement

 

Caprice :

 

Je suis une fana de l’humiliation verbale et des insultes, cela me met parfois dans un état second, en particulier quand c’est fait en public et qu’on me fouette en même temps. En voici un florilège : traînée, chienne, salope, pétasse, vide couille, pute, putain, cochonne, truie, connasse, poufiasse, garage à bites, morue, radasse, trou à bites, sous-merde…

 


 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Très brèves
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Dimanche 21 juillet 2024 7 21 /07 /Juil /2024 18:06

Très brèves - bisex et bitophiles

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Flétan :

 

Hier matin mon voisin est venu m’emprunter ma scie sauteuse. Ma femme, en nuisette lui propose un café, on va le boire dans la cuisine. Je suis torse nu et me demande si le voisin va avoir des intentions salaces. Ça ne rate pas il s’amuse à me pincer les tétons, je me laisse faire j’adore ça ! Il me demande si je veux lui sucer la bite. Bien sûr que je veux bien, J’adore sa bite elle est très belle. Ma femme nous regarde, elle s’est débraillée et se caresse les seins et la minouche. Ce cochon avait apporté des capotes, il s’en enfile une et il m’encule ! Qu’est-ce que c’est bon de se faire enculer devant sa femme ! Le voisin s’est retiré sans jouir, il a changé de capote et sodomisé Madame. Voilà une journée qui commençait sous les meilleurs pénis !

 

Vesoul :

 

Salut tout le monde ! J’ai 20 ans je suis un mec bi… En fait aujourd’hui je suis allé au centre commercial et j’ai eu une envie pressante… Je suis donc allé aux toilettes et je suis allé pisser aux urinoirs… Sauf que le mec à côté de moi était en train de se branler ! Il avait la cinquantaine… Quand j’essayais de pisser, il regardait ma bite et donc j’ai pas fait trop attention mais quand il insistait un peu, j’ai aussi regarder la sienne et c’est là que j’ai vu qu’il bandait et qu’il se branlait ! Il avait vraiment une très belle bite et ça m’a troublé sévère… Il a approché sa main de ma bite et je l’ai laissé faire, il m’a un peu branlé et je l’ai branlé aussi. il me dit « allez je te le suce dans les toilettes… » J’ai dit d’accord. Dans la cabine il m’a sucé en me pinçant mes tétons, j’adore ça ! Puis on a inversé les rôles, c’est moi qui le suçait et je me régalais. Je lui ai demandé s’il était d’accord pour m’enculer (avec capote) Il a dit oui ! Qu’est-ce que c’était bon une bite qui va et qui vient dans mon petit cul !

 

Curioso :

 

1ere pipe a 26/27ans
et le processus (suce) était enclenché ! au debout que des tétés à tétés, je te suce tu me suces
après on accepte un mateur puis 2 etc… et on se retrouve à pomper tous ceux qui veulent.
je suce à fond depuis peu 2 ou 3 ans ! je voulais savoir ce que ressentaient les nanas qui me suçaient à fond ! mmmh je comprends mieux l’excitation que certaines avaient. je reçois en bouche mais n’avale pas ! ca fait plus « salope »
j’ai eu la chance d’avoir une copine de baise addict au cul ! je lui ai révélé ce petit secret ! Ça l’a électrisé à mort ! elle n’avait plus qu’une idée me voir pomper !
on s’est fait des plans à 3 et avec d’autres couples !
l’entendre me parler avec des mots crus augmentait mon excitation
« suce le petite salope, mieux que ça ! bouche a bite ! t’aime ça ! t’es aussi pute que moi !!! vas-y bien au fond !! » et elle appuyait sur ma tête pour mieux me l’enfoncer.
quand les mecs jouissaient elle voulait que je laisse couler le foutre de ma bouche jusqu’à que la bite devienne molle…
le plus de bites sucée lors d’un plan suce 5 ! et je les ai toutes fait cracher le lâchera prise complet…
bref j’aime les femmes et j’aime sucer ! c’est pas incompatible

 

Sombrun :

 

La première fois c’était ma copine qui m’a emmené dans une partouze organisée par une copine à elle que je ne connaissais pas. Il y avait quatre nanas et trois hommes en nous comptant, l’un des hommes devait avoir 40 ans l’autre dans les 60… après quelques caresses alors que nous étions à poil, les deux mecs se sont sucés. « ça ne tente pas de sucer une belle bite comme ça ? » me lance la plus vielle des nanas. « C’est pas mon truc ! » « Tu ne vas pas te dégonfler ! » me dit ma copine, « essaie ça ne te tuera pas ». Je l’ai fait, j’ai bien aimé et ce fut le début d’une longue série et maintenant je me fais même enculer (j’adore)

 

Bibi :

 

C’était en été, une grande clairière aménagée dans les pentes pyrénéennes. Il avait quelques tables avec des bancs en bois. Personne hormis un type la soixantaine, je le croise, il me dit bonjour et je m’aperçois qu’il est entièrement à poil. Il me demande du feu (en fait un prétexte pour faire démarrer la conversation.)
– La nudité ne vous gêne pas, j’espère ?
– Non pas du tout !
– Moi j’aime bien et puis ça permet de créer des contacts !
– Ah ?
– Oui, je suis comme on dit, à voile et à vapeur.
Et moi je ne pouvais m’empêcher de regarder sa bite… il s’en aperçut bien sûr.
– Elle te plait ma bite ?
– Elle est jolie, mais je vais vous laisser…
– Touche-la un peu, je vois bien que tu en as envie.
Alors j’ai touché et quand il m’a proposé de sucer, je l’ai fait. Quel bonheur d’avoir une bonne bite dans la bouche !

 

Danino :

 

Je ne connaissais pas ce sauna parisien dont on m’avait conseillé l’adresse, il est immense, je visite un peu les lieux et me retrouve dans la salle de cinéma, ce qu’il y a l’écran n’a aucune importance, le spectacle est dans la salle ! Mon dieu toutes ces bites, ça se branle, ça se suce, je bande. Je m’assois sur les gradins tout en bas et pose ma serviette sur ‘épaule, un mec arrive à ma hauteur, bite bandée, il me demande si je suce !. Je ne vais pas faire le difficile, je suis venu pour ça, des années que je n’avais pas sucé une bite ! Que c’est bon, je me régale. Le type m’a ensuite demandé si je voulais me faire baiser. Je lui dis d’accord mais on fait ça où ? Il m’a répondu qu’il aimait bien faire ça devant tout le monde. Alors d’accord, je lui ai tendu mon cul et il m’a enculé. Qu’est-ce que c’était bon. Quand il est ressorti de mon cul sans jouir, un autre a pris sa place, je me suis laissé faire tandis qu’un vieux cochon me donnait sa bite à sucer.. J’ai encore sucé quatre bites avant de partir et là j’étais trop excité, je me suis fait sucer… et j’ai joui come un malade. J’y retournerais

 

Dominguez :

 

J’ignorais que ce bois était un lieu de rencontre, Dans une clairière il y avait un jeune mec tout nu allongé dans l’herbe, un vieux habillé lui suçait la bite. Je regardais fasciné et bandé. Le vieux s’est aperçu de ma présence et m’a proposé de m’approcher. Et là il m’a carrément fait l’article genre « T’as vu cette bite comme elle est belle, ce serait dommage de ne pas la sucer… » Alors j’ai sucé le jeune, et pendant ce temps-là le vieux à baissé mon pantalon et me doigtait le trou du cul. Le jeune m’a ensuite proposé de m’enculer, j’ai accepté et le gars m’a sodomiser pendant que le vieux suçait la bite d’un nouvel arrivant.. Je n’avais pas sucé une bite depuis le lycée et je ne m’étais jamais fait enculer. Il y a un début à tout !

 

TonyMarouzet :

 

Je me souviens de la belle bite de Sylvain, nous nous étions donné rendez-vous dans un petit débarras où il ne venait personne, il a baissé son pantalon et son slip, il n’a pas voulu que j’y touche avant qu’elle ne bande, il s’est masturbé. Une merveille, la peau légèrement halée, une insolente petite veine parcourant le cylindre de la verge, le gland braillant, je l’avais déjà touché furtivement et en connaissait la douceur, mais cette fois, nous avions le temps, je l’ai mis dans ma bouche. Quel régal ! Comment peut-on ne pas aimer ça ? je l’ais sucé à fond et j’ai avalé son foutre, il ne m’a pas sucé , me laissant se branler. Nous n’avons pas recommencé, il devait culpabiliser. Pas moi !J’ai attendu plus de 20 ans, j’étais marié, mais le fantasme persistait, c’est un peu par hasard que je me suis retrouvé dans un sex-shop qui avait une salle de projection, nous étions une dizaine là-dedans, mon voisin avait sorti sa bite et se l’astiquait, un peu plus loin près de l’écran, un type en enculait un autre. Imaginez mon état. Tout s’est précipité, la bite de mon voisin fut bientôt dans ma bouche vicieuse, et quand il m’a proposé de me prendre le cul, j’ai dit oui sans hésiter.

 

Marcadet :

 

Ce soir on réveillonne avec un couple d’amis très coquins, ces dames vont se gouiner et moi je sucerais la bonne bite de l’invité avant de me faire sodomiser devant ces dames, elles adorent regarder ça et moi ça me fait un bien fou ! Ensuite ce sera huitres et rôti de biche. Quant au Champagne, nous le boirons à la source

 

Serge_sodo :

 

Pour avoir pas mal trainé ma bosse (j’ai maintenant dépassé la 50aine) je me suis rendu compte que le fantasme de beaucoup de femmes était de voir deux mecs se faire des trucs. Avec ma compagne actuelle nous sonne très complices, nous recevons beaucoup pour de motifs professionnels. Parfois l’invité nous branche, ma compagne chauffe ‘invité et quand la soirée devient chaude, elle parles de son fantasme. Ça passe ou ça casse. Ella est assez fine psychologue pour ne pas se lancer dans des râteaux et « ça passe assez souvent. Elle m’en a fait sucer des bites !

 

Emile :

 

J’ai 50 ans divorcé et je vis seul, mon voisin du même âge est veuf et vit seul également. On ne se fréquentais pas trop mais un jour je lui ai demandé un coup de main pour réparer une truc que je n’arrivais pas à faire seul, Il fait le boulot, je lui paye un coup et on papote, on en vient à parler d’internet et donc des sites de cul. Il me dit qu’il aime des tas de trucs, les gros seins, les femmes matures mais aussi les gays.
– Ah oui ?
– Oui les belles bites ça m’excite.
– Et dans la vraie vie, t’as déjà pratiqué ?
– Rarement mais ça m’est arrivé
Je ne sais plus trop comment on a continué mais toujours est-il qu’on s’est retrouvé tous les deux la bite à l’air, on s’est un peu branlé et ensuite on s’est sucé. Il m’a demandé si j’aimerais être enculé, j’ai accepté, c’était bien. On s’est revu régulièrement et un jour il m’a présenté son neveu, on s’est bien amusé tous les trois. Aujourd’hui il a déménagé dans le sud.

 

Soudeur :

 

J’étais jeune et déjà porté sur le sexe, au cours d’une party où je faisais banquette, un type s’est approché de moi et m’a demandé s’il pouvait me toucher la bite. J’ai dit oui et du coup j’ai touché la sienne, je ne sais plus comment je me suis retrouvé avec sa bite dans ma bouche mais quel souvenir inoubliable, que plaisir de sucer, de sentir cet organe de chair dans ma bouche. Il m’a ensuite proposé de me prendre par le cul et nos nous sommes dirigés vers une chambre, Ce fut mon dépucelage anal et c’était bon

 

Lemercier :

 

C’était dans le sous-sol d’une sex-shop où il passait des films, le mec assis à côté de moi se branlait comme un malade, il a commencé par me caresser la cuisse, j’ai changé de place, je suis resté debout, dans un coin un mec se faisait sucer la bite, il y avait une autre petite pièce à côté avec un urinoir, j’y suis allé et là un mec se faisait carrément enculer. J’étais scotché par le spectacle. L’enculeur m’a proposé de m’approcher, je me suis enfui, mais j’ai repensé à tout ça toute la nuit et quelques jours plus tard je suis revenu, je me suis assis à côté d’un mec qui se branlait, j’ai sorti ma bite et j’ai attendu, il m’a branlé, je l’ai branlé et sucé. J’étais lancé, j’ai sucé plusieurs bites, le quatrième m’a proposé de m’enculer, j’ai eu un peu peur qu’il me fasse mal, il a eu du mal à enter, j’étais vierge du cul, mais ensuite qu’est-ce que c’était bon !!!

 

Arsène :

 

Il y avait longtemps que je voulais franchir le pas. Au cours d’un soirée à laquelle j’étais invité avec ma copine mais où je ne connaissais que note hôte, celui-ci connaissant mes fantasmes, m’a indiqué discrètement « Essaie avec Jack, ça devrait marcher ! » J’ai attendu quelques instants et j’ai posé ma main sur la braguette de Jack qui m’a répondu en me mettant un pain dans la gueule ! ça a jeté un froid, le type en question s’est fait virer de la soirée et on m’a soigné. En fait Jack ce n’était pas lui et j’ai pu ensuite sucer la bite du vrai Jack devant tout le monde, y compris ma copine, Une soirée qui avait très mal commencé mais qui s’est bien terminée!

 

Bitos2 :

 

Ma première fois ce fut lors d’une soirée à gage, je n’ai pas osé me dégonflé et j’ai sucé la bite du mec, j’avoue avoir kiffé ! Le souvenir de cet acte m’a hanté plusieurs mois avant que l’envie de recommencer me tenaille, je me suis rendu dans un sauna gay, j’ai failli m’enfuir l’ambiance en me plaisait pas, mais j’ai trouvé un type la quarantaine, un monsieur tout le monde, je l’ai sucé c’était bon!

 

Kraven :

 

Moi c’était dans un ciné porno, après pas mal d’hésitations j’ai osé branle la bite du mec qui était à mon côté. Il m’a ensuite fait comprendre qu’il voulait que je le suce ! je me suis lancé, ça été le début d’une longue série.

 

Cornuto :

 

Je suis devenu bitophile par hasard, tellement fasciné par le spectacle de deux mecs qui se branlaient dans les urinoirs de la gare que j’ai voulu quelques jours après franchir le pas


Belly :

 

C’est sur une aire de repos dans un coin un peu isolé que j’ai vu deux mecs en train de s’enculer. Il s’est rapidement formé un petit attroupement autour d’eux, les mecs de masturbaient. Je me suis approché aussi et j’ai fait comme tout le monde. Un mec m’a chopé la bite, je l’ai laissé faire, c’était très agréable, et comme je suis quelqu’un de gentil je lui ai rendu la pareille, il m’a demandé si je suçais. Alors je l’ai sucé en me branlant.


 Evenou


Avec un couple d’amis nous avions loué une petite maison au Cap d’Agde. Je pensais être hétéro exclusif mais je ne cessais de lorgner sur la belle bite de notre ami, il s’en est rendu compte et m’a sorti un truc du genre "si ça t’intéresse, ça peut se faire !" Un jour, alors que je cherchais le sommeil, j'étais à fond dans mes fantasmes et j'avais irrésistiblement envie de me faire enculer. Ça ne m'étais jamais arrivé auparavant, et j'étais dans la confusion la plus totale. Surtout que j'étais en couple avec une meuf que j'aimais réellement. Malgré tout, mon anus me démangeait et le lendemain je me résignai alors à aller voir notre ami. Il me proposa alors que l'on fasse ça devant les filles "Ça va les exciter" qu'il m'a dit !" Donc j'ai pris son chibre en bouche afin de bien le raidir, lui m'a lubrifié le trou du cul avec sa salive. Et il m'a enculé devant les filles à poil qui se gouinait. Le lendemain m'a copine m'a félicité pour mon ouverture d'esprit et moi j'étais content de m'être fait enculer. 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Très brèves
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Dimanche 21 juillet 2024 7 21 /07 /Juil /2024 17:12

Très brèves - inceste

Incest

 

vickyor18 :

 

Au Cap j’ai vu une femme hollandaise encourager son fils à se faire sodomiser. Elle s’est paluchée pendant l’acte et ensuite elle a demandé à son fils de lui lécher la chatte

 

Peggy :

 

Je ne me souviens plus pourquoi ce jour-là ma mère et moi avions pris notre douche ensemble. Nous étions toutes deux d’humeur rigolarde, et nous nous sommes savonné mutuellement, puis de façon presque imperceptible nos mains se sont aventurées en des terrains plus osées. Un petit curieux qui serait passé là aurait pu nous voir nous embrasser, les doigts dans la chatte de l’autre. Après rinçage et séchage c’est spontanément que nous sommes rendu dans sa chambre pour continuer nos ébats

 

Maya :

 

J’ai sucé la bite de mon père ! Plusieurs fois ! On n’a jamais baisé ! Ce n’est pas lui qui était demandeur ! C’était moi, quand je l’ai vu un jour avec la bite bandée, j’ai eu une pulsion irrésistible. Je lui ai demandé si je pouvais le faire. Il a été surpris et m’a envoyé promener. Je suis revenue à la charge quelques jours plus tard et là il a accepté ! Quelle était bonne sa bite.
Maya, (majeure au moment des faits)

 

Lavenu :

 

J’étais dans la salle de bain après ma douche, le peignoir ouvert, Ma mère est rentrée je ne sais plus pourquoi.
– Tu en as des gros tétons Me dit-elle.
– C’est à force de me les faire pincer ! Répondis-je
– Cochon, et si moi je te les pinçais ?
Elle n’a pas entendu de réponse mais ses doigts sont venus me les tortiller. Résultat érection immédiate. (la grosse érection !)
– Arrête, Maman, ça me fait bander !
– Ou, on dirait bien !
Et là l’impensable s’est produit, elle s’est penchée et m’a gobé la bite, Sa pipe était fabuleuse, je me suis laisse faire, après elle s’est tournée, m’a présenté ses jolies fesses et ma demandé de l’enculer

 

Gardel :

 

J’étais à poil dans la salle de bain et je me branlait la bite, peinard. Ma mère arrive subrepticement et me voit faire. On est d’abord gênés tous les deux et elle me dit « Ben dis donc tu m’as l’ai en forme, quelle belle bite ! ». Et moi de répondre sur le ton de la plaisanterie : « Elle t’intéresse ? » « Et si je te disais oui, tu serais bien embêté ? » Me répond-elle. Je ne dis rien mais par pure provoc je reprends ma branlette. Alors ma mère m’a saisi la bite et m’a branlé avant de se baisser pour la prendre en bouche. On est devenu tous les deux fous de désir, on est allé dans ma chambre, elle s’est déshabillée, m’exhibant ses beaux nichons et je l’ai baisé. Ne me censurez pas, j’étais majeur au moment des faits 😉

 

Fleur02 :

 

Aujourd’hui je n’ai pas cours, Il est 10 heures c’est l’heure du facteur. Ma mère lui ouvre, et après m’avoir adressé un coup d’œil complice, elle l’emmène dans la chambre. Ils vont donc baiser, ce n’est pas la première fois.. Je cherche mon portable avant de me souvenir l’avoir laissé dans la chambre de ma mère. Je décide d’aller le récupérer en me faisant la plus discrète possible. Et là je vois ma mère à poil lécher les couilles du facteur. Spectacle fascinant. Ma mère me dit « Si tu veux regarder, ne te gêne pas ! », j’ai regardé et quand ma mère m’a proposé de le sucer avec elle je ne me suis pas dégonflée. Le facteur a juté assez vite, foutant plein de sperme sur les lunettes de ma mère. Le facteur est parti en laissant un petit billet. Ma mère me voyant tout excitée m’a proposé de me lécher la figue. Qu’est-ce que c’était bon !

 

AndyVidia :

 

Pourquoi dit-on que l’inceste est toujours mal vécu ?
J’ai eu des rapports incestueux avec mon père chéri quand j’avais 18 ans ça ne m’a jamais posé de problème.
On n’a jamais baisé mais j’ai aimé lui sucer la bite et j’ai aimé quand il m’a léché la chatte
Vous allez me lyncher mais l’inceste pour moi fut une histoire d’amour, certes passagère, mais heureuse et sans conséquence dramatique.
Pourquoi ne parle-t-on que des drames ?
Suis une exception ou d’autres ont aussi vécu un inceste heureux ?

 

Jimmy :

 

C’était au cap d’Agde, j’étais en vacances avec mon père et ma mère, nous étions dans le coin coquin et tous les trois assez excités par la vision de tous ces gens qui se donnaient du plaisir. Ma mère fut attirée par un beau monsieur avec une belle bite bien bandée et lui a fait signe de s’approcher, le type s’est fait sucer devant mon père et moi. Je n’en pouvais plus tellement que je bandais. Une fois le mec parti m’a mère s’est tournée vers moi « T’es jaloux, t’aurais voulu être à sa place ? » « Peut-être » « Alors allons-y » Et l’instant d’après j’avais ma bite dans la bouche de ma mère, je l’ai ensuite sodomisé à sa demande et pendant que je le faisais, mon père me pelotais le cul, il m’a demandé si ça me générait qu’il m’encule. Au point où j’en étais… Je me suis posé la question ensuite de savoir si cette situation n’avait pas été plus ou moins « arrangée »

 

Temis :

 

Il est agaçant que le terme d’inceste soit systématiquement collé à celui de victime ! Il y a victime si la relation est subie et uniquement dans ce cas-là. Si la relation est consentie il ne peut y avoir de victime. Et pour avoir vécu ce genre de situation, je peux vous assurer que je n’ai rien d’une « victime qui s’ignore »

 

Honorine :

 

Il m’arrive (de plus en plus souvent d’ailleurs) de prendre ma douche avec ma mère, alors évidemment on se caresse mutuellement et parfois ça dérape, les lèvres sur les seins, les doigts dans la chatte… et toujours dans la bonne humeur

 

Marylu :

 

Un jour nous étions ma mère et moi dans le même lit… Ça a commencé par des caresses innocentes (les bras, les épaules les mollets… et puis c’est venu comme ça, on s’est mutuellement tripoté les seins. Ma mère m’a dit qu’elle était excitée et de façon presque inconsciente je me suis retrouvée entre ses cuisses en train de lui lécher la chatte. Qu’elle était bonne la chatte de Maman !

 

Guenièvre :

 

Un jour ma mère m’a saccagé un petit haut que j’aimais bien en le lavant à la machine. « Ça mérite une fessée, lui-dis- je ! » « Et bien vas-y donne-moi une fessée si ça peut de faire plaisir ! », me répondit-elle, elle m’a présenté ses fesses nues et j’ai tapé, ça nous a excité toutes les deux comme des folles, j’ai arrêté de fesser et je lui ai embrassé les fesses. « oh les lèvres de ma fille sur mes fesses ! S’est-elle exclamée ! J’ai continué, et c’est tout naturellement qu’on s’est retrouvé sur le plumard, elle avait la chatte toute dégoulinante, je me suis régalée et elle aussi !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Très brèves
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Dimanche 21 juillet 2024 7 21 /07 /Juil /2024 16:52

Très brèves - zoo

zoo


 

Zatopek :

 

J’étais chez une meuf, on va dans sa chambre, je m’allonge sur le lit et elle commence à me sucer et à un moment donné son chat me saute sur mon ventre. Je l’ai viré, pas content le chat, mais il revient et se couche un peu plus loin sur le lit. La meuf me finit à la main (madame n’avale pas) du coup j’ai plein de sperme sur le bidon, le chat revient et lèche tout ça ! Dingue !

 

Solveig :

 

L’ors d’une soirée dans un club SM privé, j’ai vu un mec venir au centre de la salle avec une fille à quatre pattes tenue en laisse, un comparse est arrivé avec un chien. Le premier type a ordonné à la soumise de sucer le chien, elle a refusé (ou plutôt elle a fait semblant de refuser puisqu’elle n’a pas employé le mot se sécurité). Elle a donc reçu 30 coups de cravaches sur son joli cul pour lui apprendre à obéir. Ensuite elle à sucé le chien de façon très gloutonne. Le maitre de cérémonie a ensuite demandé aux dames de l’assistance s’il y avait des volontaires pour faire la même chose. A mon grand étonnement quatre femmes se sont portées volontaires. Le maître a alors précisé qu’il allait en tirer une au sort mais que l’action ne se limiterait pas au suçage de bite, il y aurait aussi une pénétration. Une s’est dégonflée, on a tiré au sort et on a pu voir le chien couvrir cette jolie dame. J’ai reproché à ma compagne de ne pas s’être portée volontaire, elle m’a alors promis que la prochaine fois, elle franchirais ce pas.

 

Viviane :

 

Une fois je me suis versé du fromage blanc sur la minette et Minet est venu lécher avec sa petite langue râpeuse ! Hi ! Hi !

 

Denise_Forge :

 

Denise 34 ans, célibataire L’expérience d’être prise par un chien me semblait intéressante suivant ce que m’avait expliqué une dame avec qui j’ai correspondu un temps. Elle m’a proposé de passer chez elle pour concrétiser le fantasme. J’ai longtemps hésité et un jour j’y suis allé, elle m’a présenté son chien , un gros labrador noir et là je me suis dégonflée. Elle m’a alors dit qu’il ne fallait pas que je refoule mon fantasme et qu’il fallait que je me force un peu. Je n’arrivais toujours pas à me décider, alors elle m’a proposé de que je sois son esclave pendant une heure, elle m’a bien précisé qu’il s’agissait d’un jeu, que je pourrais l’abandonner mais que la meilleure chose à faire ce serait de jouer le jeu. Alors elle m’a demandé de me foutre à poil, et elle m’a fouetté avec un martinet, en me traitant de pute, de trainée, de morue, puis elle m'a foutu un gode dans le cul qui est ressorti maculé de merde, j'étais tellement excité que je l'ai nettoyé de ma langue,  elle m’a ensuite donné à boire avec sa pisse, puis elle m’a attaché sur une chaise, les jambes écartées et là le chien est venu me lécher la chatte, puis elle m’a fait sucer la bite du chien, j’étais dans un état d’excitation pas possible, j’ai accepté, et à la fin le chien m’a sauté. La dame a ensuite mis fin à la domination et c’est spontanément que nous nous sommes fait jouir réciproquement. Nous avons ensuite été au restaurant. Je ne l’ai jamais revue, je n’ai plus correspondu avec elle,  mais j’ai eu d’autres expériences zoophiles dans d’autres circonstances

 

Laure :

 

Je suis laure , 46 ans , nous avons un dogue de Bordeaux et je me fais monter par notre chien régulièrement. Je ne l’ai jamais sucé, ça ne m’attire pas . Pour les saillies, ce n’est pas sexy mais je mets un poncho un peu épais pour éviter les blessures. Je me fais toujours prendre en levrette et mon mari surveille et guide le chien pour éviter la sodomie car son énorme sexe ferait des dégâts . J’adore avoir la chatte remplie par notre chien qui en plus éjacule une énorme quantité de jus .

 

Isa78 :

 

Bonjour, c’est Isabelle. Je suis passée chez Maud, j’avais très envie de sa jolie petite chatte. On s’est installé sur le canapé et on a bu un coup. Ensuite on s’est déshabillé et on a commencé à se caresser, un peu partout, les seins, la chatte, le cul…. Le chien rodait autour de nous et comme j’avais les cuisses écartées il est venu me lécher la foufoune à grands coup de langue… Oh que c’était bon ! Maud m’a demandé si je saisirais lui sucer sa bite ! Excitée comme j’étais je n’ai pas refusé et on s’est mise à sucer à deux la bite du chien… Après je me suis mis en levrette et je me suis fait sauter… comme une chienne.

 

Phil :

 

Un jour je faisais du carrelage à genoux sur le sol et le chien du voisin qui rentrait parfois sur mon terrain a commencé à vouloir me grimper, on est montés dans la chambre, il a joué avec moi un moment, puis brusquement il a sauté sur mon dos et il m’a pénétré, pas à fond, mais c’était quand même bien excitant.

Berenice 

Beatrice :

 

J’ai fait une expérience intéressante il y a quelques semaines d’ici. Faut dire que j’étais particulièrement en chaleur et que j’étais habillée si l’on peut dire, uniquement d’un tablier! C’est le chien de ma voisine qui passe régulièrement la clôture mais bon, pas de soucis nous nous entendons bien. Ce jour-là j’avais particulièrement envie et me suis donc laissée allée à me faire lécher les fesses, le sexe… j’ai accepté de jouer avec lui , son poil est si doux et puis j’ai senti son sexe se présenter à l’entrée de mon vagin. J’étais déjà très mouillée. je l’ai encouragé à s’enfoncer plus loin … et l'accouplement s’est réalisé. quel bonheur, même son nœud est entré et à grossi tout comme sa tige … il s’est immobilisé et j’ai senti des jets envahir mon vagin ….J’ai joui comme jamais et moi qui aime des éjaculation très abondantes, j’ai été servie . Le plus difficile et douloureux fut le retrait de son nœud après quelques minutes. Mais quel plaisir ensuite de sentir dégouliner tout son sperme le long de mes cuisses et le sentir lécher pour me laver l’entre jambe.

 

jacky reynaud :

 

j'ai eu l'occasion de me faire prendre par mon chien allonger sur une caisse il est venu sur moi j'ai dirigé sa queue a l entré de mon cul et il a poussé un peu plus, son nœud est rentré en moi je me suis retrouver piéger pendant une dizaine de minutes ce qui m'a provoqué une érection et j'ai éjaculé un peu de sperme j'ai adoré mais je n'ai jamais eu l'occasion de recommencer
pour l'instant j'ai une chienne qui me fait des pipes magistrales elle me lèche le cul les boules et la queue elle me donne énormément de plaisir
c'est elle qui est en demande elle est toujours la lorsque je me déshabille dans l'attente de me donner du plaisir
j'aimerais participer ou assister à la pénétration d’une femme par son chien

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Très brèves
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