Samedi 11 mai 2024 6 11 /05 /Mai /2024 09:53

Noémie dans l’auto par Belle-Cour
StampBea

J’étais venu chercher Noémie chez elle. Nous avions prévu de passer l’après-midi ensemble. On avait essayé de définir une destination possible, mais après tergiversations, nous avions convenu de nous laisser aller selon notre humeur et nos désirs. Arrivé devant chez elle, je klaxonnai deux fois et mis en marche la radio, avertit d’un pressentiments comme quoi j’allais attendre un moment avant de la voir sortir de chez elle. Comme pour me donner raison, je la vois débouler de chez elle en me faisant de grands signes et me criant qu’elle serai prête dans deux minutes.

Noémie est une belle fausse blonde au visage coquin , elle est bien bustée et attire le regard des hommes. (et même celui de certaines femmes)

Avec flegme, je m’installai confortablement dans mon siège en écoutant la musique. J’avais emprunté la voiture d’un ami de mon père. Assez exubérant, cette ami avait logé cette magnifique BMW M3 Cabriolet dans un garage clandestin. Le résultat était tout bonnement magnifique, mais pas très légal. Le bas de caisse de la voiture était à moins de 4 cm du sol. Mais c’était un petit bijoux que j’avais du spécialement négocier pour l’occasion en échange d’un simonisage gratuit et intensif. Ce qui me fait penser que je lui dois toujours ce simonissage. Mais je crois qu’il s’en fout un peu pour le moment parce qu’il vient de la ‘replier’ méchamment sur l’aile droite. Quand Noémie se décide enfin à sortir, ses premières paroles ont été :

– Va remettre immédiatement cette voiture où tu l’as volé ! (sur le ton de l’humour bien entendu. )

Mais elle me posa quand même des questions sur sa provenance. Une fois cela expliqué, je lui ouvre la porte et elle s’installe avec un grand sourire. Elle portait un cache cœur serré et une jupe portefeuille fendue sur le côté . Moi, j’étais habillé tout en blanc . Jean blanc, T-shirt blanc et chemise blanche avec le col ouvert. Il ne me manquait plus que les lunettes noires et le ‘Parrain’ m’aurait bien vite engagé dans des affaires douteuses. Et nous voilà partit. Je m’engage sur la route…

C’est dimanche est les voies sont bien dégagées. Je roule à bonne allure. Le soleil caressait nos visages et le vent les fouettait. je ne vis pas tout de suite que ce même vent faisait volé la jupe fendue de mon amie, dévoilant bien clairement sa cuisse. Elle avait une peau délicatement bronzé, n’ayant rien à envier à certaines femmes abonnées aux salons de bronzage. non, elle c’était du vrai. Elle aime se prélasser sous le soleil, que ce soit chez elle ou à la plage. quand elle vit que je perdais mon attention à la route et qu’elle comprit ma préoccupation, elle m’adressa un sourire des plus malicieux. sourire que je lui rendis en détachant une main du volant et la mettant sur cette cuisse si agréable au regard. Mes intentions étaient des plus futiles et je ne m’attendais à rien de sa part. On est de très bon amis, de longue date, mais quand je vis que pour toute réaction, elle retenait spécialement sa jupe bien relevée, je compris de suite ces intentions à elle. Ma main était chaude et moite. Je caressait sa cuisse avec des mouvements de plus en plus amples remontant de plus en plus. Soudain, je rougit fortement en constatant qu’elle n’avait pas de culotte et que mes doigts effleuraient déjà sa toison. Quand elle compris la raison de ma gêne, elle décroisa les jambes, m’invitant à des caresses plus intimes. A son tour, elle commença à me caresser la jambe, se glissant vers le haut de celle-ci petit à petit. Elle approche sa main de ma fermeture éclair et sent déjà qu’il n’y a plus beaucoup de place dans mon jeans en me demandant si je n’étais pas trop à l’étroit dedans. Elle défait mon bouton et descend ma fermeture éclair.

L’excitation me gagne peu à peu. Ma main est toujours en train de lui caresser le pubis. De façon de plus en plus intime. Je sens son clitoris se gonfler sur mes caresses. Elle ferme les yeux en se mordant les lèvres de plaisir. Elle, de sa main, libère mon sexe déjà bien dur et commence à me branler doucement. Elle poussa un cri lorsque mes doigts l’ont exploré profondément, faisant un mouvement de va-et-vient. Etant donnée la position dans laquelle je me trouvais j’essayai tant bien que mal de garder une certaine concentration sur la route, heureusement assez déserte. Je ralentis fortement la vitesse néanmoins. On n’est jamais à l’abri de spasmes dans ces moments-là. Je la sentis prendre mon pénis fortement dans sa main quand je me mis à caresser ses petites lèvres et à faire des mouvements circulaires sur son clitoris. Par sécurité, on décide de quitter la route et de se ranger sur le bas-côté. Je remonte la capote du toit pour plus d’intimité. Elle se penche sur moi et m’embrasse langoureusement. Nos langues se mêlent. Je sens sa fouge et son désir brulant dans ce baiser. Je crois qu’elle le sentit aussi à la raideur de mon sexe. J’étais bandé comme jamais. Quand elle se pencha dessus, je poussa un gémissement avant même qu’elle ne le touche de ses lèvres. Elle se redressa, surprise, en me demandant si je n’allais pas déjà venir sur son visage. Je la rassurai et elle se remit au travail. Elle avala ma queue en un coup, l’enfonçant bien profondément dans sa gorge, et en remontant en serrant un peu les dents. son va-et-vient intensif me fit gémir pour de bon. De mon côté, j’entrepris de lui retirer entièrement sa jupe. Une fois cela fait, je commençai à peloter sa poitrine à travers son cache cœur. Je sentis ses tétons jaillir de ce dernier, formant sur celui-ci un joli relief que je devinai de mes doigts.

Son cache cœur et son soutien-gorge n’eurent pas à attendre longtemps avant de se retrouver sur la banquette arrière. Quand elle décida m’avoir assez excité pour le moment avec sa bouche, elle me proposa d’aller nous installer sur la banquette arrière. un peu plus confortable pour ce genre de petit jeu. Je la devançai et m’assis. Et vint me rejoindre en s’asseyant sur moi. Je lui mordillai le bout de ses seins. Elle me prit la tête entre ses bras, et la serra contre sa poitrine. J’enfournais ses bouts de sein dans ma bouche. Elle sentait mon sexe faire pression sur sa croupe quand elle me confia son envie de la sentir en elle. Je la basculai sur le siège, dévoilant par la même occasion son entre jambes tout trempé. Je lui pris ses tétons entre mon pouce et mon index et les fit rouler. elle gémissait d’aise. Je plongeai mon visage entre ses jambes, en léchant d’abord le haut de ses cuisses, tournant autour de son sexe et enfin embrassai son sexe avant de laisser passer ma langue. elle me saisit la tête, m’obligeant à rester dans cette position, que je n’espérais pas quitter de sitôt. Mes doigts lui excitaient le clitoris au maximum, je le pinçais, lui donnait des coups de langue. Elle se trémoussais de plaisir. Je pris ses petites lèvres entre les miennes, la léchant profondément. Mes doigts jouaient déjà en elle. Elle ramena ses cuisses sur sa poitrine, me dévoilant sa croupe. Du bout de ma langue, je lui explorai le sillon de ses fesses. Ma langue s’attarda sur son anus brun. Elle me supplia de lui rentrer dedans. Je commençais donc à l’humecter comme il faut avec ma langue, puis le caressai avec un doigt. doucement, j’enfonçai ce dernier en elle pour dilater le muscle.

Noemie
Elle mouillait de plus en plus. Je voyais son sexe coulait, je la léchai de plus belle. Je me redressai, elle me prit mon sexe et se le caressa sur son petit trou. Je m’enfonce alors délicatement en elle mais constate qu’il n’est pas encore assez dilaté. J’enlève mon sexe d’elle et reprend de plus belle mes massages intérieurs à l’aide de mes doigts. Le second essai est le bon. Le passage est serré et étroit, mais je réussis à m’introduire assez profondément pour commencer mes mouvement de va-et-vient en elle. Mais mains sont sur sa poitrine. elles la massent fermement. Je me retire d’entre ses fesses et m’assois sur son ventre, je place ma queue pleine de merde entre ses seins. Elle commence alors un délicieux mouvement de sa poitrine avec mon sexe coincé entre. Du bout de sa langue, elle me lèche mon gland gonflé et pollué. Je me dégage de son emprise et lui met ma queue dans la bouche. Elle l’accepte avec joie, pas gênée du tout par la merde qui la recouvre, recommençant une fois encore son mouvement de va-et-vient. Je sens mon sexe cogner dans sa gorge. Elle me fixe dans les yeux tout en me caressant les testicules. Après quelques minutes de ce traitement, je reviens entre ses jambes, caresse mon sexe contre le sien et l’enfonce d’un trait. Un va-et-vient infernal s’ensuit durant un moment. ensuite, je me retire et l’aide à se mettre à quatre pattes (pas faciles dans un cabriolet). Je la prends par derrière et me fais aller en elle doucement, puis plus rapidement, en prenant dans chaque main, chacun de ses seins.

Me sentant venir, et ne voulant pas encore venir tout de suite, je me retire une nouvelle fois, et lui lèche à nouveau la croupe. Mes doigts batifolent dans son vagin pendant que ma langue essaye de se faire un passage dans son anus. Mon autre main lui excite le clitos quand une de ses mains à elle vient rejoindre la mienne. Elle hurle de plaisir, son entre jambes est comblé au possible. Moi, je suis dans un état second. Submergé par l’excitation. Elle a le sexe en feu. Je me redresse et frotte mon sexe contre son anus avant de la pénétrer. Je passe un bras autour de la taille, et entreprends de la masturber en même temps. Nos corps sont trempés de sueur. Mes coups de reins en elle se font de plus en plus violents. Je me rassois dans le siège. Elle se retourne et m’embrasse, me lèche partout. Son excitation se ferait ressentir dans un rayon de 20 kilomètres. Elle reprend mon sexe dans sa bouche, sauvagement, elle me fait un va-et-vient. Je ne peux m’empêcher de hurler. Elle me masse énergiquement les testicules. Je ne compris pas tout de suite où elle voulait en venir lorsqu’elle commença à m’écarter les cuisses. L’excitation et la fièvre du désir m’empêchait tout raisonnement. Je le compris avec grand plaisir quand elle commença à m’enfoncer un doigt dans l’anus. Elle était déchainée, et m’en enfonça un deuxième. Je tendis un bras et lui fit subir le même traitement. Elle se redressa, avec toujours mes doigts dans son cul et vint s’assoir sur mon sexe au garde à vous comme jamais. elle s’assit face à moi, de sorte qu’elle put se déhancher tout en se faisait pénétrer l’anus par mes doigts.

Elle se pencha légèrement et de ses doigts tenta de nouveau de m’exciter l’anus. Chose qu’elle parvint à faire sans problème. Elle savait que je me retenais de tout lui balancer et me fit comprendre qu’elle était prête maintenant. En quelques coups de reins dans le bas du ventre, je vins en elle. Se déhanchant toujours fortement sur moi, mon sexe sortit de sa grotte d’amour et elle se prit la dernière giclée dans son dos. Ivres de fatigue et de plaisir, on se coucha sur la banquette arrière, l’un dans les bras de l’autres. Ensuite, la première chose dont je me souviens, c’est le coup de klaxon d’un tracteur qui nous réveilla sans ménagement. Je me rhabillais en quatrième vitesse et sortit de l’auto pendant que ma compagne se rhabillait, je constatai que je m’était garé sur la voix d’accès de l’agriculteur menant je ne sais où. Lorsque ce dernier me vit, un tantinet mal habillé et surpris une autre personnes dans la voiture, il m’adressa un sourire complice et me demanda avec le plus grand calme de bien vouloir dégager le passage. Le soleil se couchait déjà à l’horizon lorsque nous arrivâmes chez elle… avec un sourire qui n’avait pas quitté nos lèvres…

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 19:11

Martinov 27 – La possession de Pétula – 12 – Partouze chez les Forville par Maud-Anne Amaro
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Et c’est ainsi que dès la semaine suivante, le professeur Martinov, Béatrice, Gérard Petit-Couture, Florentine et Brigitte se retrouvèrent chez Hubert et Sylviane Forville (et leur fille).

Dorothée la petite bonne peu farouche remplit les coupes. On trinque au Champagne (on est en pleine région)

Florentine s’est placé à côté de Sylviane, les deux femmes ont déjà eu l’occasion de s’apprécier y compris charnellement (voir plus avant) et s’échangent quelques innocentes caresses sur les bras. Très vite la tension monte, et les deux femmes s’embrassent goulument comme des belles coquines.

– Non mais regardez-moi ces cochonnes ! Fait semblant de se choquer Hubert Forville en se tripotant la braguette.
– Ça vous fait bander, monsieur ? Intervint Dorothée
– Non mais dites-donc Dodo, vous n’allez pas vous y mettre aussi ! Je devrais vous flanquer la fessée pour votre impertinence !
– Si monsieur a envie de me donner la fessée, c’est que je l’ai probablement mérité, mais vous allez me faire ça devant tous vos invités ?
– Non mais, écoutez-là, c’est de la provocation ! Quelqu’un voit-il un inconvénient à ce que je la corrige sur le champ.

Vous pensez bien que parmi cette assemblée de joyeux pervers, personne n’émet d’objection.

Dorothée dégage ses fesses et vient se coucher sur les genoux d’Hubert qui lui claque le joufflu avec conviction.

Les convives n’ont désormais plus aucune raison de se gêner, Florentine et Sylvianne sont maintenant complétement débraillées, les nichons à l’air. Ça se carres, ça se pelote, ça se titille les bouts.

Dorothée quitte un moment la salle, mais c’est pour réapparaitre avec une coupelle remplie de préservatifs et d’étuis de gel intime… Monsieur et madame Forville sont des gens prévenants

Pétula se pointe crânement devant Béatrice.

– Toi, ma grande, j’ai trop envie de te voir à poil !
– Coquine !
– Tu ne veux pas ?
– Mais si, bien sûr !

Les deux femmes se déshabillent et vont gagner le canapé juste derrière, où elles s’échangent les caresses les plus folles.

Brigitte pour l’instant sollicitée par personne fait signe à Gérard et à Martinov de venir la rejoindre.

Et bientôt tout le monde est à poil dans la pièce (ça fait quand même neuf personnes !) Ça se mélange, ça se caresse, ça se tripote, ça va de partenaire en partenaire. L’orgie, quoi !

Sylviane Forville après avoir joui sous les coups de langue diabolique de Brigitte s’en va voir comment se comporte sa fille.

Celle-ci se pâme en se triturant les tétons, tandis de Béatrice lui lape son abricot dégoulinant de désir.

Sylviane s’approche…

– Laisse tes bouts de seins, maman va s’en occuper !
– Oh, oui vas-y, Maman ! Pince les bien, fais-moi mal !

Martinov s’est couché à même le sol, Brigitte s’est empalée sur sa bite et offre son anus aux assauts de Gérard. Une belle double pénétration ! Après une série de mouvements frénétiques notre vert professeur se surprend à jouir, Brigitte le suit quelques secondes plus tard. Gérard lui décule sans jouir.Martinov2712

Ce dernier ne sait où aller donner sa queue, tout le monde hormis Hubert Forville semblant occupé.

Martinov se dévoue alors et prend en bouche le joli membre de Gérard sous les yeux incrédules du maître de maison.

Ce dernier s’approche.

– Hum vous avez l’air de vous régaler, je peux essayer !

Et c’est ainsi qu’Hubert se met à sucer la bite de Gérard avec délectation.

Hubert voudrait nous faire croire que c’est la première fois qu’il fait ça ! Quel menteur !

– Alors, vieux pédé, on suce des bites ! Se gausse son épouse !
– Ta gueule, vieille pute, tu n’as pas honte de gouiner ta fille ? Lui répond-il du tac au tac.
– Ah, non ! Pourquoi ?

Gérard a joui dans la bouche d’Hubert lequel voudrait bien prendre son pied lui aussi..

Petit tour d’horizon pour choisir sa cible… il s’approche de Béatrice.

– Mademoiselle, permettrez que je vous baise ?
– Mais faites donc, cher monsieur ! Une petite pipe avant ?
– Volontiers.

Béatrice le suce avec application, puis se retourne, lui présentant son joli postérieur.

– Si vous désirez m’enculer, ne vous gênez surtout pas, j’adore ça quand c’est bien fait !
– Ne le prenez pas mal, mais entre-nous, seriez-vous un peu salope ?
– Très salope, monsieur ! :

Florentine s’approche de Pétula et commence à la peloter.

– Attends, faut que je fasse pipi ! Objecte cette dernière.
– Moi aussi, on y va ensemble ?

Vous pensez bien que ces deux coquines ne vont pas pisser dans la cuvette. Flo demande d’abord à la jeune fille de lui arroser la bouche.

– Il a quel goût ton pipi ? demande-t-elle
– Un goût particulier, tu n’en a jamais goûté ?
– Si mais pas de cette façon.
– Explique moi
– J’ai regardé plusieurs fois ma mère pisser, ça m’a excité et parfois elle me demandait de lui nettoyer la chatte avec ma langue, mais c’est tout. Mais vas-y pisse moi dessus que je me rende compte ! Propose-t-elle en ouvrant une large bouche

Florentine ouvre les vannes et envoie un joli filet doré dans la bouche de Pétula.

– C’est pas mauvais, c’est un peu bizarre ! Déclare la jeune fille avant d’offrir ses lèvres à Pétula.

Quand elles retournent dans la salle, tout le monde est un peu épuisé par tant de gesticulations érotiques.

Hubert n’a pas joui dans le fondement de Béatrice, il s’est retiré avant et lui a déchargé son sperme sur le visage.

– C’est malin, avec quoi je m’essuie, maintenant ?
– Laisse, je vais te lécher ! Propose alors Pétula qui joignant le geste à la parole entreprend de lécher le sperme de son paternel maculant le visage de Béatrice.

Et bien sûr à la fin de cette fantaisie, les deux femmes se roulèrent un mémorable patin.

Martinov est moitié endormi, Gérard est coincé entre Brigitte et Sylvianne, ils s’échangent de douces caresses. Les fins de partouzes sont toujours un peu somnolentes.

Et voilà que Dorothée se pointe (où était-elle passée celle-ci ?)

– Madame est servie ! Annonce-t-elle.

Que se passe-t-il ? Elle n’aurait pas parlé assez fort, toujours est-il que personne ne réagit. Du coup elle se reprend et parle plus fort.

– Je disais que « Madame est servie », autrement dit si vous ne voulez pas que le gigot soit trop cuit, il faudrait passer à table, il n’y a pas que le cul dans la vie.
– D’accord on y va, mais vous ferez le service à poil, Dorothée.
– Monsieur est un cochon, mais d’accord.

Béatrice vient secouer Martinov afin de faire sortir de ta torpeur.

– Hein, quoi ?
– Ben on passe à table !
– Mais je suis tout nu
– Moi aussi !
– C’est un repas naturiste, alors ?
– On va dire ça comme ça.
– Quand même quelle aventure !
– Nous en aurons d’autres, mon petit professeur !

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 19:08

Martinov 27 – La possession de Pétula – 11 – Brigitte et le journaliste par Maud-Anne Amaro
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Brigitte se débrouilla pour rencontrer Georges Laplace, un journaliste du journal « l’Union » (la presse régionale locale) au cours d’un diner au restaurant. Elle lui raconta l’histoire.

– Voici quelques adresses, si vous souhaitez vérifier mes dires, celles qui sont soulignées sont celles où vous recevrez en principe un bon accueil, et je vous laisse aussi cette analyse surréaliste du laboratoire…

Laplace ne pouvait s’empêcher de lorgner dans le décolleté de Brigitte avec des yeux concupiscent.

– Ce n’est ni le lieu, ni le moment mais en d’autres circonstances, je vous aurais sans doute dragué. Finit-il par bafouiller. Mais je ne le ferais pas, avec les mentalités actuelles, la drague devient un sport dangereux.

Brigitte éclata de rire :

– Autrement dit vous êtes en train de me draguer sans oser le dire !
– Non, non…
– Arrêtez, vous en mourre d’envie ! Confidence pour confidence, je n’ai rien contre un moment de détente avec un homme qui m’inspire la sympathie.
– A moins c’est clair.
– Je n’habite pas la région, je suis à l’hôtel, mais un bon hôtel et la chambre est confortable.

Sur place les deux amants occasionnels se déshabillèrent sans cérémonie.

– Oh, votre poitrine est fabuleuse !
– Elle est à vous, allez-y.

Et l’homme vint les tripoter, les caresser et en lécher les bouts, tout cela avec la bite en étendard.

– Oh, la belle bite ! Je crois bien que je vais la sucer.
– Sucez, ma chère, sucez, je suis persuadé que vous êtes la reine de la pipe !

Brigitte s’est agenouillée devant le journaliste qui lui s’est assis sur le bord du lit et elle lui embouche la biroute.

Brigitte espérait plus ou moins le faire jouir de cette façon, n’étant pas trop motivée ce soir pour baiser.

– Lève-toi ! lui dit-elle soudain.
– Pourquoi donc ?
– Tu verras bien !

En fait Brigitte voulait tout en continuant à le sucer avoir accès à ses fesses ce qui n’était pas possible en position assise

Martinov2711Elle lui écarte les globes, son doigt viens masser la rosette, l’homme ne proteste pas. Elle interrompt quelques instants sa fellation afin de se mouiller le doigt, puis le doigt revient derrière et lui pénétré l’anus.

– Ah !

Mais ce cri n’a rien d’une protestation. Le doigt s’agite, la bite soubresaute dans la bouche de Brigitte. L’homme jouit, Brigitte recrache le sperme discrètement.

– Quelle pipe !
– T’as vu, hein !

« Encore un bisexuel qui s’ignore ! »

Quelques jours plus tard, l’Union titrait. « Faux curé et véritable escroquerie » aucun nom n’était cité, mais le mode opératoire était scrupuleusement décrit, le papier était illustré de l’analyse du laboratoire qui donna son accord pour publication. L’article se terminait par ses mots « La révélation de cette escroquerie très bien préparée n’aurait été possible sans la pugnacité d’un cabinet de détective privée… »

Brigitte avait donc fini son travail, la nouvelle succursale locale de son cabinet de détective privé marchait bien. Un joli coup !

Le pot aux roses ayant été découvert, l’abbé Michel chercha comment contrattaquer, mais ne trouvant rien, il préféra disparaitre de la circulation.

La plainte fut déposée conjointement par les familles des victimes comme cela avait été prévu. La gendarmerie se rendit au domicile de l’abbé Michel mais ne purent que constater sa disparition.

Il eut cependant l’imprudence de conserver son téléphone, il fut très vite géolocalisé à Chalons en Champagne dans un hôtel. Quand les gendarmes frappèrent à la porte de sa chambre, il ouvrit la fenêtre et sauta mortellement du 3ème étage.

Le journaliste de « L’Union » l’apprit, auprès de la gendarmerie. Il s’empressa de reporter la nouvelle au téléphone à Brigitte qui mit au courant les familles ayant portées plainte.

– Nous ne serons donc jamais remboursé ! Se désole Sylviane Forville.
– Ça risque en effet d’être assez compliqué!
– Peu importe après tout, l’essentiel est que cette affaire se soit terminée et je ne saurais trop vous remercier…
– Je vous en prie, je n’ai fait que mon métier.
– Merci quand même, du fond du cœur.

Sylviane raccrocha mais rappela dix minutes plus tard.

– Je viens de discuter avec mon époux, que diriez-vous de nous retrouver, je veux dire tous ceux qui ont contribué à résoudre cette affaire, chez nous autour du verre de l’amitié.
– Mais ce serait avec grand plaisir, proposez-nous une date…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 19:00

Martinov 27 – La possession de Pétula – 10 – Brigitte et Fernande par Maud-Anne Amaro
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Le récit de Fernande Larue.

Le lendemain matin Zoé nous a indiqué qu’elle souhaitait garder la chambre, elle se sentait fatiguée. Et lorsque nous sommes allés la voir pour s’assurer que tout allait bien, elle a recommencé… propos incompréhensibles et rejets dégueulasses par la bouche.

Nous nous apprêtions à la conduire à l’hôpital pour ces fameux examens complémentaires quand un curé en soutane sonna à la porte.

C’est mon amie Gisèle qui est allé ouvrir

– On vous remercie mais on a besoin de rien.
– Votre fille est en danger…
– Qu’est-ce vous racontez ?
– Laissez-moi vous expliquer mais je ne peux pas faire ça sur le pas de la porte

Nous avons eu la faiblesse de le faire entrer

– J’étais en même temps que vous dans la salle d’attente des urgences, j’accompagnais un ami, le cas votre fille est connu, il y en a eu plusieurs autres dans la ville… commence le curé.
– Ah ?
– Oui votre fille est envoutée.
– Pardon ?
– Elle est si vous préférez, possédée par le diable.
– Oui, bon, je ne crois ni en Dieu, ni au diable et je vais vous prier de bien vouloir sortir.
– Le problème c’est que votre fille y croit !
– Ça m’étonnerait.
– Je vais vous faire un aveu, je ne crois pas non plus au diable, mais la croyance au démon peut provoquer des réactions psychosomatiques.
– Et alors ?
– Alors, il faut combattre le mal par le mal par exemple en simulant des séances d’exorcisme.
– N’importe quoi !
– Ça ne vous coûte rien d’essayer.
– Et je suppose que c’est vous qui vous chargerez des séances ?
– Oui.
– Et vous gagnez quoi dans tout ça ?
– La première séance est gratuite mais il en faudra probablement plusieurs.

Je me suis concerté avec mon amie et nous avons accepté de tenter l’expérience.

L’abbé Michel parce que c’est bien de lui qu’il s’agit s’est enfermée avec Zoé pendant une demi-heure, par curiosité nous avons écouté à travers la porte, mais ce n’était que vociférations de la part de Zoé et charabia en latin de la part de l’abbé.

En revenant, celui-ci abordait un sourire confiant.

– Nous sommes sur la bonne voie, j’ai réussi à dialoguer avec le démon qui est en elle…
– Vous nous disiez ne pas croire au démon !
– Mais il s’agit d’un démon imaginaire, on est en pleine schizophrénie, voyez-vous, Je pense malheureusement qu’il faudra une vingtaine de séances.
– Si c’est de la schizophrénie, peut être qu’un psy…
– Certes mais dans ces cas-là la collaboration du patient est requise, moi je n’ai pas besoin de cette collaboration.
– Hummm
– Je vais vous faire un devis, vous me paierez à la fin de chaque séance mais je m’engage à vous rembourser en cas d’échec.

Et nous avons accepté…

Fin du récit de Fernande

– Et jamais vous n’avez soupçonné la supercherie ? Demande Brigitte
– Non.
– Et votre mari non plus ?
– Je n’ai pas de mari.
– Oh pardon, je voulais dire votre amie.
– Gisèle n’a rien soupçonné non plus, pourtant c’est une femme intelligente, rationaliste et les pieds bien sur terre. Elle aime Zoé comme sa propre fille alors que c’est moi la mère biologique

Je compris alors que Fernande vivait en couple avec cette Gisèle… Mais au cas où je n’aurais pas compris Fernande en ajouta une couche :

– Et oui, Zoé a deux mamans. Il est possible que cela vous choque mais c’est comme ça !
– Ça ne me choque pas du tout…
– On dit ça, on dit ça… vous savez j’ai l’habitude, les gens se disent ouverts, sans préjugés et tout ça, mais pour la plupart on reste des gouines avec tout le sens péjoratif qui va avec.
– Vous ne me croyez donc pas quand je vous dis que ça ne me choque pas ?.

Elle fait comme si elle ne m’avait pas entendu et continue son discours.

– Zoé s’est fait harceler au lycée, « fille de gouines, fille de gouines » ça n’arrêtait pas. Je suis allé au lycée et j’ai foutu une tarte à la pétasse qui trouvait très amusant de faire ça. Ses parents ont porté plainte. C’est moi qui avais tort, j’ai été convoqué à la gendarmerie avec rappel à la loi.
– Et si je vous disais que j’ai eu plusieurs aventures féminines ?
– Ah oui ? Et dans quelles circonstances.
– Dans des circonstances diverses, j’ai fait ça en toute connaissance de cause et j’y ai pris du plaisir.
– Et… ne vous méprenez pas ce n’est qu’une question, vous feriez l’amour avec moi ?
– Je n’aurais pas à me forcer beaucoup…
– Si je vous prenais au mot vous seriez bien embarrassée.
– Vous jouer avec le feu, là !

Les deux femmes se regardent autrement. Fernande a conscience d’être allée trop loin.

– Oublions cette conversation. Finit-elle par dire.

Brigitte s’approche de Zoé et lui caresse ses bras nus.

– D’accord, oublions, mais on peut éventuellement se faire un bisou.

Fernande accueille cette suggestion en sachant très bien ce qui risque de se passer. Mais qu’importe, ce ne sera pas elle qui aura fait le premier pas.

Alors effectivement les deux femmes s’enlacent et quand les mains de Brigitte deviennent baladeuses, loin de s’en offusquer Fernande lui rend la pareille.

Instant de folie au terme desquels les deux femmes se reculent légèrement.

– On ne reste là ou on va plus loin ? demande Brigitte.
– C’est comme tu veux… Mais profites-en, pour l’instant je suis excitée, ça ne va peut-être pas durer…
– On se déshabille ?
– Attends ! Si tu veux on va faire comme ça, retire mes vêtements, et ensuite c’est toi qui vas me déshabiller.

Brigitte n’a rien contre cette petite mise en scène (on s’en serait douté) et retire tous ses vêtements sous l’œil admiratif de Fernande…

– T’es vachement bien gaulée !
– Je ne me plains pas !
– Je peux toucher ?
– Bien sûr mais tu voulais que je te déshabille…
– Je touche un peu, puis tu me déshabilles…

Elle ne touche pas, elle malaxe, elle triture… ses réserves d’il y a quelques instants ne sont plus que de lointains souvenirs.

Fernande se laisse ensuite déshabiliter, la chose est pratique celle-ci ne portant qu’une petite robe noire qu’il suffit d’ouvrir par le dos.

La voici en soutif et culotte (pas terrible la culotte)

Brigitte fait sortir les seins des bonnets du soutif avant de le dégrafer, puis (juste retour des choses) à les embrasser sauvagement.

Fernande indique par geste que le canapé sera très bien pour la suite.

– Ta copine est jalouse ?
– Gisèle ? Elle serait mal placée, elle bouffe toutes les chattes qu’elle peut. Faut dire qu’elle est bien plus belle que moi, elle attire les meufs, mais moi je m’en fous, elle m’aime et je sais que c’est sincère.
– Mais toi tu ne lui es pas fidèle non plus ?
– A vrai dire j’ai peu d’occasion et je ne cherche pas non plus ! Qu’est-ce que tu vas me faire ?
– Que des bonnes choses.
– Oui mais quoi ?
– Je vais te lécher l’abricot.
– J’aime bien les petites misères aussi..
– Ah oui ? Une petite fessée par exemple ?
– Oui, j’aime bien !
– Alors donne-moi ton cul !

Fernande s’installe en levrette, en cambrant bien ses fesses.

– En voilà un joli petit cul !
– Tu parles, je n’ai rien d’un top-modèle.
– T’as pas un peu fini de te dévaloriser, ça mérite bien une fessée ! Tiens !
– Un peu plus fort !
– Ça risque de laisser des traces !
– Pas grave !

Ainsi encouragée, Brigitte lui distribue des claques sur les fesses jusqu’en avoir mal aux mains. Le cul de Fernande devient rouge.

Petite pause

– Elle te fait ça aussi ta Gisèle.
– Oh, oui, et même pire !
– Quand ça la prend, elle me fouette avec une cravache, elle m’enfonce des godes, elle me pose de pinces, elle me gifle, elle m’humilie, moi j’adore ça, mais elle me fait ça de moins en moins souvent.
– Elle t’humilie de quelle façon ?
– Oh, ce n’est jamais vraiment pareil, elle a beaucoup d’imagination, elle me crache dessus, me pisse dessus, me fait mettre au coin, elle me traite de tous les noms. Le pire qu’elle m’a fait, c’est quand elle a ramené une pétasse à la maison, elle m’a attaché toute nue sur une chaise et pendant ce temps-là elle s’envoyait la pétasse. Et tu me croiras si tu veux, ça m’a fait mouiller.
Martinov2710– Hum, ça me donne des idées, j’ai justement une petite envie de pipi.
– Pisse moi dans la bouche ! On va faire ça dans la salle de bain.

Sur place Fernande s’assoit sur le bord de la baignoire bouche bien ouverte. Brigitte se concentre quelque secondes avant de pisser dru.

– Oh, que c’est bon, je suis une salope d’amer ça ! Dis-moi que je suis une salope, insulte-moi.
– T’es qu’une morue dévergondée, une gouinasse, une poufiasse de bistrot… Mais tu vois je n’ai rien pour m’essuyer la foufoune, alors tu vas me servir de papier à cul. Je veux que tu me lèches et que tu me fasses jouir.

Fernande n’hésite pas une seconde, et vient laper la chatte humide de la détective privée, tandis que son doigt s’enfonce dans l’anus

– J’adore doigter les trous du cul ! commente-elle entre deux lapées
– Et tu lèche ton doigt après ?
– Bien sûr, c’est trop bon !

On voit bien que la Fernande a l’habitude de ce genre de chose, on pourrait même dire qu’elle est experte puisqu’elle parvient à faire jouir sa partenaire en un temps record.

– Eh ben dis donc toi ! Quelle langue diabolique !
– Je ne pensais pas que tu partirais aussi vite. Je suis tout excitée, toute mouillée…
– O.K. on invertis les rôles, mets-toi devant moi.

Ce fut alors au tour de Fernande de jouir intensément. Les deux femmes s’étreignirent avec passion.

Puis il fallut bien se rhabiller.

– Il faut maintenant parler boulot, je vais te faire signer un contrat type par lequel tu me demandes d’enquêter sur les agissements de l’abbé Michel. C’est purement formel puisque l’enquête est déjà faite… Je vais te demander un petit forfait, faut bien que je gagne ma vie. La prochaine étape ce sera ta participation à un dépôt de plainte collectif.
– Et pour ma fille.
– Je vais te laisser une photocopie des résultats du labo, je pense que quand tu vas lui monter elle sera bien embarrassée.

Bien sûr, cela ne se passa pas de la même façon chez tous les parents des filles envoutés, dans certains endroits elle se fit mettre à la porte sans ambages, mais Brigitte put néanmoins faire signer sept contrats accompagnés d’une promesse de dépôt de plainte contre l’abbé Michel.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Dimanche 28 avril 2024 7 28 /04 /Avr /2024 18:57

Martinov 27 – La possession de Pétula – 9 – Candice s’échappe et Brigitte enquête par Maud-Anne Amaro
Anna

Petit flash-back

Candice ne sait trop où aller, elle consulte la liste de ses contacts et décide que ses amies habitent décidément trop près… Dans la liste il y a Damien !

Ah, Damien ! Un amour de vacances, beau comme un pâtre grec .Il lui avait dit qu’ils pourraient se revoir… et tout ça… il lui avait communiqué son numéro de portable et son adresse parisienne. Et puis on sait ce que sont les amours de vacances, loin des yeux loin du cœur, ils ne n’étaient jamais rappelés.

Alors elle l’appela, une fois, deux fois, trois fois…

« Il ne répond jamais ce con ! Il a peut-être changé de numéro, je vais me pointer à Paris; on verra bien . »

A Paris, Damien lui ouvrit la porte en faisant une gueule longue de six pieds.

– Ah ! Candice, quelle surprise… tu passais par-là ?
– En fait je suis en galère, je me suis sauvé de chez mes parents et je ne sais pas où aller.
– Ah ben c’est que je ne peux pas t’héberger, je vis avec une copine…
– J’ai compris, salut !
– Attends, attends… j’ai peut-être une idée… entre une seconde et assis-toi.

Le Damien prend son téléphone, s’isole dans son coin cuisine puis revient

– Voilà, j’ai un copain qui peut t’héberger, je ne pense pas que ce soit ton genre, il n’est pas trop gâté par la nature, mais il est gentil et intelligent.
– Il y aura une contrepartie ?
– Ça, tu verras avec lui !

Effectivement Thibault n’a rien d’un play-boy, boutonneux et binoclard… tout à fait le profil du pauvre gars qui se fait sans cesse harceler pour les lâches des cours de récréation.

« Bizarre que Damien m’ait envoyé chez ce gars-là, ça cache peut-être quelque chose ! »

– Vous pourriez m’héberger disons pendant un mois, le temps de me retourner.
– Oui c’est possible.
– Je vous paierais un loyer, j’ai quelques économies sur mon compte…
– Non, non ce n’est pas la peine !
– Tu ne vas pas m’héberger gratuitement !?
– Ben si !
– C’est un bon copain à toi, Damien ?
– Pas vraiment non !
– Ah, bon et pourquoi il m’a envoyé chez toi ?
– Tu ne devines pas ?
– Ben non ?
– On en reparlera quand on se connaître un peu mieux.
– Ah bon ! Y’a pas de piège au moins ?
– Si, mais le piège c’est pour moi, pas pour toi.
– Ecoute mon grand, faut que tu m’expliques mieux, parce que les affaires louche, j’ai eu ma dose, alors soit tu m’expliques soit je me casse ailleurs.
– Il y a des choses qui sont difficiles à dire.
– T’as peur de quoi ?
– Bon, je me lance. Toi t’es une belle fille, moi je suis moche et puceau. Cet enfoiré de Damien t’a envoyé ici pour se moquer de moi, il veut savoir comment je vais me débrouiller avec un canon à la maison. Voilà !

Je ne le savais pas si con, le Damien… c’est vrai que pendant les flirts de vacances on a tendance à se montrer sous son meilleur jour. Le pire ne vient qu’après.

– Peut-être que si tu ne restais pas ça serait mieux pour moi ?
– Et si on le piégeait le Damien ?
– Comment ça ?
– J’ai un petit tatouage dans un endroit très intime, Damien est au courant bien sûr, mais si tu le prenais en photo tu pourrais raconter qu’on a couché ensemble.
– C’est peut-être une idée, t’es sympas toi ! Mais si on fait ça tu vas passer pour une salope !
– Alors ça c’est le cadet de mes soucis. Alors on fait comme ça ?
– Oui !

Candice jaugea l’homme, de faible constitution, il ne semblait présenter aucun danger potentiel, Elle savait néanmoins que ce genre de personne pouvait avoir des réactions imprévisibles, elle jeta un regard circulaire dans la pièce et repéra une petite sculpture en bronze d’une laideur absolue représentant un chien couché, cela ferait l’affaire, le cas échéant.

– On va faire ça tout de suite. Proposa-t-elle.
– Tout de suite ? S’étonne Thibault.
– Ce sera fait. Prends ton téléphone pour la photo.

Et devant les yeux subjugués du jeune homme, Candice baisse son pantalon puis son string laissant apparaitre un joli papillon juste au-dessus de l’anus.

– Oh là là ! c’est vraiment très beau !
– N’est-ce pas ?
– Je suis troublé, comprend-le
– C’est normal, prends la photo.

Il le fait mais ne peut dissimuler l’érection qui déforme son pantalon, et il rougit comme un coquelicot.

– Ne soit pas gêné, c’est normal que tu sois excité.
– T’es trop gentille.
– T’en sais rien, tu ne me connais pas.
– Je suis dans un drôle d’état maintenant, remonte ton pantalon s’il te plaît.

Candice éprouva comme une sorte de pitié pour ce type.

– Si tu ressens le besoin de te masturber, ne te gêne pas pour moi.
– Hein ?
– Ne fais pas ton timide, tu as parfaitement compris.
– Non, non…
– Tu en meurs d’envie, si tu veux j’enlève le haut, j’ai des beaux nénés, tu sais ?
– Tu vas me les montrer ?
– Ben oui, puisque je te le propose !
– Alors d’accord

Candice enleva son petit haut puis son soutien-gorge, sans faire durer la chose, on n’est pas au strip-tease !

Thibault, le visage congestionné a sorti sa bite et commence à se palucher.

– Je ne peux pas toucher. Juste un peu ? Si tu refuses je ne t’en voudrais pas.
– Tu deviens gourmand !
– N’en parlons plus.
– Allez juste un peu…
– Oh, merci !
– Juste un peu, hein, sois raisonnable.

Alors Thibault fait ce que font tous les bonhommes en pareilles circonstances, ses mains se posent directement sur les seins et les malaxe, les yeux hagards. Puis estimant qu’il a un peu dépassé le « juste un peu », il se recule.

Candice a ressenti un plaisir trouble et indéfinissable sous les caresses du jeune homme.

« C’est sans doute la première fois que mec caresse les seins d’une fille. Je lui ai offert un souvenir, il s’en souviendra toute sa vie »

– Non, continue, j’aime trop les caresses.

Il n’en revient pas, Thibault, mais il ne se dérobe pas, il caresse, il pelote…

– Je peux les embrasser ?
– Vas-y, mais doucement.

Le contact de la langue de Thibaut sur les jolis tétons de Candice la met en émoi, contre toute attente, elle mouille comme un sous-marin qui fuit.

– Tu veux me baiser ?
– Hein ?
– Profite en, c’est mon jour de bonté
– C’est que…
– C’est que quoi ? Ah oui, t’as pas de capotes ?
– Ben non,
– T’as eu des relations dernièrement ?
– Non, je suis puceau.
– Et les putes, ça ne t’a jamais branché ?
– J’ose pas, peur qu’elles se foutent de moi.
– Elles ne sont pas là pour se foutent de leurs clients, beaucoup sont très gentilles.
– Qu’est-ce que tu en sais ?
– J’ai une copine qui fait ce job, ou plutôt la sœur d’une copine, c’est intéressant de l’écouter parler. Donc pas de capotes, et comme je n’ai pas envie que tu me fasses un bébé, il reste la voie de derrière.
– La voie de derrière ? Reprend Thibault, incrédule.
– Ben quoi ? Tu ne veux pas m’enculer ?
– Je rêve !
– Mais non, tu ne rêves pas ! T’as de l’huile d’olives, on va lubrifier un peu ?
– J’ai de l’huile d’arachides.
– Ça fera l’affaire, va chercher !

Candice se lubrifia elle-même le trou du cul puis invita le jeune homme à la sodomiser.Martinov2709

Raide comme un bout de bois, il la pénétra d’un seul coup d’un seul, et commença à s’agiter comme un beau diable faisant miauler Candice de plaisir

L’affaire ne dura pas bien longtemps, trop d’excitation retenue fit que Thibault éjacula (trop) rapidement dans les entrailles de la fille

Il ressortit une bite gluante de sperme et de matière fécale que Candice pris un plaisir pervers à bien nettoyer de sa petite bouche gourmande.

– Oh, tu es une drôle de fille !
– J’espère que tu as apprécié.
– Bien sûr mais je peux te demander pourquoi tu as fait ça, je ne suis qu’un laideron.
– N’exagérons rien, je vais être très franche, tu n’as rien d’un playboy, mais avec un petit relookage, tu serais déjà mieux, déjà il faudrait changer de lunettes et de coiffure…
– Bof. Mais ça ne répond pas à la question.

En fait Candice ne le savait pas trop, un enchainement de circonstances où se sont mêlés comme une sorte de pitié et une certaine perversion. Bien sûr, il n’était pas question de lui dire ça, elle lui fit alors une réponse très terre à terre.

– Disons que c’est ma façon à moi de payer mon hébergement.
– Je ne t’aurais rien demandé.
– Je sais mais je n’aime pas être redevable. Cela dit, il faut que les choses soient claires, on recommencera peut-être, mais ce sera toujours à mon initiative, uniquement à mon initiative, d’accord.
– Oui, Candice !

Brigitte téléphone à l’un de ses enquêteurs parisiens.

– Butman, tu notes, j’ai un téléphone d’une fille, elle s’appelle Candice Brougnard, je la géolocalise rue Saint-Martin, il faut que tu me la trouves, quand ce sera fait, tu te débrouilles pour me la passer au téléphone. Je te résume l’affaire en deux mots.

Les choses se précipitent… un enquêteur a suivi l’abbé Michel toute une journée afin de récupérer les adresses de ses « patientes »

Brigitte téléphone à la mère Brougnard.

– Votre fille va bien je l’ai eu au téléphone, elle est à Paris mais elle ne souhaite pas vous parler.
– Et comment je peux savoir si vous dites vrai ?
– Les détectives privés ne mentent pas, nous avons un code de déontologie.
– Je vous paierai le solde de ce que je vous dois si vous m’apportez une preuve concrète.
– Bien, madame !

« J’aurais dû attendre avant de téléphoner à cette cinglée »

Car en réalité, elle n’avait toujours pas contacté Candice,

L’enquêteur lui eut tôt fait de la repérer et sonna chez Thibault.

– Alfred Butman détective privé, je désirerais m’entretenir avec mademoiselle Brougnard

Thibault hésite sur la conduite à tenir, mais Candice qui a entendu se pointe.

– C’est moi ! C’est quoi le problème ?
– Rassurez-vous, on ne vous veut aucun mal, ce serait plutôt le contraire…
– C’est cela vous allez me raconter que vous êtes un ange gardien, et d’abord comment m’avez-vous localisé ?
– Nous sommes très fort. En fait nous menons une enquête à charge contre un escroc qui se fait appeler l’abbé Michel.
– Et c’est qui votre client ?
– Un collectif de victimes. Nous souhaitons l’élargir et étayer le dossier.
– Vous voulez que je vous parle de l’abbé Michel ?
– C’est le but de ma visite, mais comme je connais pas le dossier à fond, je vais téléphoner à ma responsale et vous la passer.

– Bonjour Candice, je m’appelle Brigitte et nous enquêtons sur les agissements de l’abbé Michel. Donc si vous pouviez m’en parler.
– Il a essayé de me violer, c’était d’après lui un exorcisme de haut niveau.
– Et qu’elle a été votre réaction.
– Je l’ai planté avec une lampe de chevet…

Bref, elle raconte toute l’histoire ?

– O.K. j’ai enregistré tout ça, c’est du lourd et je vous en remercie. Autre chose, j’ai votre mère comme cliente, évidemment je n’ai pas à lui dire où vous êtes, vous êtes majeure et libre d’aller et venir ou bon vous semble.
– Encore heureux !
– Le souci c’est que quand je lui explique que vous êtes en bonne santé, elle me demande une preuve.
– Qu’elle aille se faire sauter !
– Je pense que vous allez vous en foutre, mais si je ne lui apporte pas cette preuve, je ne serais pas payée.
– Ce sont les risques du métier !
– Je pensais à un simple selfie avec votre téléphone affichant la date du jour..
– Bon, c’est bien parce que c’est vous !

La mère Brougnard fut bien obligée d’accepter (de mauvaise grâce) la preuve que lui apportait Brigitte, et de la payer en conséquence.

– Je suppose qu’aucun détective privé ne m’indiquera où elle se trouve ?
– Aucun de ceux qui font honnêtement leur métier, mais sinon, il y a toujours des brebis galeuses… mais ils sont très chers.
– Je suis désespérée.
– Faut pas ! Imaginez que vous ayez l’adresse, vous allez faire quoi ? Y aller ? Et qu’est-ce qui va se passer ? Votre fille va vous jeter et vous serez encore plus malheureuse qu’avant.
– Snif, sniff
– Vous voulez un kleenex ?

Cette affaire étant réglée, Brigitte Silverberg put passer à la suite de son plan.

Munie des adresses où se rendait l’abbé Michel, elle commença sa tournée.

Ce jour-là l’abbé débuta ses visites chez une certaine Zoé Larue.

Brigitte qui le suivait depuis qu’il avait quitté son domicile attendit qu’il en terminé avec sa patiente puis sonna à la porte d’entrée

– Brigitte Silverberg, détective privée ! S’annonça-t-elle en exhibant sa carte professionnelle.
– Et c’est à quel sujet ? Lui répond la mère Larue
– Mon cabinet est mandaté par un collectif de familles pour enquêter au sujet de l’abbé Michel…
– L’abbé Michel ? Mais il est très bien cet homme-là, qu’est-ce qu’on lui reproche ?
– En deux mots, il organise une espèce de challenge où il demande à des jeunes filles de simuler un envoûtement, puis il se propose sous une autre identité de les exorciser moyennant finances évidemment…
– Je n’en crois pas un mot.
– Même si je vous apporte des preuves.
– Pfff
– Je peux entrer pour vous les montrer, ça ne durera que cinq minutes.
– Des minutes de coiffeurs ? Restons-en là !
– Alors d’accord je vais vous laisser mais lisez au moins ça :

Brigitte lui tend alors la photocopie de l’analyse du laboratoire effectué sur les rejets buccaux de Pétula.

– C’est quoi ?
– Ben lisez !
– Ben oui je sais lire mais je ne comprends pas…
– C’est ce que recrache votre fille quand elle simule ses crises, si vous ne me croyez pas, je vous suggère de faire faire vous-même une analyse.

Du coup madame Larue devient dubitative.

– Zoé simulerait alors ? Mais dans quel but ?
– Oui, madame ! Elle simule et tout ça pour gagner un challenge débile !
– La petite salope… et donc l’abbé Michel ?
– Il fait son cinéma et il empoche les sous… il n’est pas donné, n’est-ce pas ?
– Pas trop non ! Mais entrez j’ai envie d’en savoir davantage. Je vous sers un café ou autre chose ?
– Je veux bien un café.

Quand Madame Larue revient avec le café fumant, Brigitte raconte de nouveau ce qu’elle sait et cette fois son interlocutrice est attentive.

– Je ne cesse pas de m’étonner qu’aucun parent ne se soit aperçu de la supercherie, comment cela s’est-il passé chez vous ?
– Un jour, nous étions à table et Zoé mise à cracher des saloperies et à proférer des trucs incompréhensibles. On a pensé à une crise de paludisme ou quelque chose dans le genre mais elle n’avait pas de fièvre. Avec mon amie, on l’a emmené aux urgences. Quatre heures on a attendu, vous vous rendez compte : quatre heures ! Ils l’ont examiné sans rien trouver. Ils lui ont fait une prise de sang, on a attendu les résultats, elle n’y avait rien. Ils ont conclu à une crise passagère et nous ont prescrit des examens complémentaires. On ne les a pas fait…

– Parce que ?

Parce que laissons parler Fernande Larue….

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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