Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 10:52

Martinov 26 – Les sculptures incas – 1 – La visite de la sorcière par Maud-Anne Amaro
Martinov

Arsène Chamoulet, sous-chef de service au Crédit du Sud est enfin à la retraite, il va réaliser le rêve de sa vie en se rendant dans une agence immobilière, accompagné de son épouse, Hélène. Il y explique ce qu’il recherche :

– Oui, nous avons quelques corps de ferme qui devraient correspondre à vos attentes, celui-ci dans la Nièvre…Leur répond l’agent immobilier en leur présentant une mosaïque de photos.
– Non, il ne me plait pas.
– Celui-ci dans la Sarthe…
– Vous appelez ça un corps de ferme, vous ?
– Disons que ça s’y assimile… sinon j’ai encore celui-ci dans l’Orne, mais il est un peu plus cher.
– Ah, ça n’a pas l’air mal !
– Je vous montre une jeu de photos complet ?
– Bien sûr.

Le diaporama défile sous les yeux du couple, l’intérieur, la courette, le petit jardin, le terrain.

– On peut visiter ?
– Bien sûr, fixons une date et mon collègue d’Alençon vous accompagnera.

Rendez-vous est pris par téléphone et deux jours plus tard Monsieur et Madame Chamoulet étaient dans les locaux de l’agence d’Alençon.

– Ah, le Clos de Merisiers ! Leur dit le type de l’agence, vous n’êtes pas tous seuls sur les rangs.
– Mais qu’est-ce que ça signifie ? A quoi bon visiter si quelqu’un a déjà pris une option ? S’offusque Chamoulet.
– Ne nous emballons pas, vous venez visiter, alors on va visiter, ensuite on discutera. La devise de l’agence c’est « Il n’y a jamais de problème, il n’y a que des solutions ! »

Ils se rendirent à Vertgland à quelques dizaines de kilomètres d’Alençon. On fit donc la visite. Monsieur et Madame Chamoulet furent emballés, c’était exactement ce qu’ils cherchaient, enfin surtout Monsieur parce que Madame, elle s’en foutait un peu…

– Il reste deux ou trois meubles, l’ancien propriétaire les fera enlever. Bon je vois que ça vous intéresse, on retourne à l’agence pour les papiers ou vous souhaitez réfléchir ?
– Non, non, ça nous intéresse ! répondit Chamoulet.

Une fois revenu à l’agence, le type prit un air contrit.

– Le soucis, c’est que j’ai un client qui a pris une option dessus, il est en attente de l’obtention d’un prêt, mais son dossier est bon, il va l’avoir son prêt.
– Non, mais j’aimerais comprendre, vous nous aviez dit qu’on revenait ici pour signer des papiers…
– Je peux éventuellement m’arranger pour vous accorder la priorité.
– Vous voulez quoi ? Un dessous de table, C’est ça ?
– On pourrait faire comme ça, oui !
– Vous êtes gonflé quand même !
– Le monde des affaires est cruel, et ce n’est pas moi qui vais le changer.
– Bon, arrêtez de tourner autour du pot ! Vous voudriez combien ?
– 50 000 euros
– Vous plaisantez ?
– Non ! Mais ce que je sais c’est que vous allez avoir du mal à trouver l’équivalent à un prix aussi avantageux, alors si vous voulez ce corps de ferme, vous me faites un petit chèque, sinon je ne vous retiens pas.
– 10 000, je ne peux pas plus !
– Au revoir messieurs dames !
– Pfff ! Quelle mentalité!

Les époux Chamoulet quittent l’agence, ils ont à peine franchi dix mètres qu’une discussion s’engage. Et les voilà qui reviennent.

– On vous propose 25 000…
– Vous ne pouvez pas aller jusqu’à 30 ?
– Non !
– Asseyez-vous on va s’occuper des formalités et convenir d’un rendez-vous chez le notaire.

Et quinze jours plus tard Monsieur et Madame Chamoulet étaient devenus propriétaires du Clos de Merisiers.

Louveciennes jeudi 24 février

Eh oui, nous revoilà dans l’antre du professeur Martinov, sexagénaire et inventeur génial, associé à Béatrice Clerc-Fontaine, chimiste diplômée, dans la trentaine, blonde, pulpeuse et peu farouche.

– Alors qu’est-ce qui vous amène Monsieur Chardonnay ?
– Chamoulet !
– Pardon !

Ah, nous n’avons pas décrit Arsène Chamoulet, pas grand-chose d’original, dégarni, un peu d’embonpoint, visage ovale en œuf de Pâques, nez trop petit, lèvres trop fines, cheveux rares, pantalon gris en flanelle, veste blazer marine, chemise blanche. Un vrai playboy, quoi !

– Vous n’avez pas pris connaissance de mon dossier ? Demande ce dernier.
– Si, j’y ai jeté un coup d’œil, (le menteur) mais rien ne vaut l’échange physique. Répond le professeur Martinov.
– Vous avez lu ce que j’ai trouvé sur le carnet ?
– Oui, mais je ne peux pas me souvenir de tout. Rafraichissez-moi la mémoire.
– C’est très simple. L’ancien propriétaire devait finir de vider les lieux, il ne l’a pas fait, ce que je me suis empressé de faire remarquer à l’agence. Ils n’ont rien voulu savoir, ces gens-là sont des voyous, J’ai pensé prendre un avocat mais finalement je ne l’ai pas fait, je ne vais pas entamer une procédure pour une commode, une armoire et deux ou trois chaises…
– Oui…
– Sans compter toutes les saloperies…
– Venons-en au fait, Monsieur Chardonnay, je vous en prie.
– Chamoulet si vous permettez.
– Désolé !
– L’un des tiroirs de la commode n’avait pas été vidé, il y avait des vieux journaux et puis ce fameux petit carnet.
– Et il dit quoi ce carnet ?
– Vous ne l’avez donc pas lu la photocopie ?
– Je lis tellement de choses…
– Je vous ai apporté l’original, beaucoup de pages ont été arrachées mais ce qui nous intéresse est là.

Le carnet est ancien, broché comme on n’en fait plus, l’écriture est appliquée à l’encre violette.

Martinov lit :

« Je suis retourné dans le puit, je me suis équipé pour éviter les bestioles, les bas-reliefs m’ont parlé à travers mon esprit, je n’ai pas tout compris, ils semblent avoir perdu quelque chose qu’ils veulent récupérer. Je n’y retournerais pas, j’ai eu trop peur »… puis sur la feuille suivante : « je n’arrive pas à bien les dessiner mais on voit bien qu’ils ont un casque leur entourant le visage »

– Humm ! (Ça c’est le professeur Martinov qui se racle la gorge) T’en penses quoi, Béatrice ?
– Pas grand-chose.
– Ben moi non plus, vous attendez quoi de nous Monsieur… Monsieur…
– Chamoulet !
– C’est ça, Chamoulet !
– D’éclaircir cette affaire ! En vous rendant sur place…Tous frais payés bien entendu !
– Vous avez essayé de descendre au fond de ce puit ?
– A mon âge ? Vous plaisantez !
– Ce n’est pas moi qui vais le faire non plus ! Rétorque Martinov.
– S’il faut embaucher quelqu’un pour descendre, ça m’embête un peu… je ne voudrais pas que cette affaire s’ébruite. Il doit y avoir d’autres moyens, je ne sais pas, des caméras…
– On réfléchit et on vous rappelle demain.

Le professeur Martinov poussa un long soupir.

– C’est dingue le nombre de tarés qui viennent nous voir !
– N’exagère pas, il n’y en pas tant que ça ! Répond Béatrice.
– Oui mais ils sont pénibles !
– On fait quoi, on va voir ?
– On peut toujours y aller.
– Comment veut-tu qu’on démêle une histoire pareille ?
– On verra bien, des bas-reliefs au fond d’un puit, ça peut être intéressant ! Conclue Martinov
– Et ton bas-relief à toi, il est intéressant en ce moment ? Demande Béatrice avec un air canaille.
– Hein ? Quel bas-relief ?
– Celui-là ! Répond Béa en portant la main sur la braguette du professeur.
– Mais enfin ?
– Enfin quoi ? Elle ne t’excite plus ta petite Béatrice ?
– Mais si, mais si, mais il y a un temps pour chaque chose.
– Le temps que l’on consacre au sexe n’est jamais du temps de gâché, a dit Saint Trazibule.
– Que c’est celui-ci ?
– Un copain… mais qu’est-ce qu’elle a cette braguette.

Et Béatrice s’acharna si violemment sur la fermeture éclair professorale que celle-ci se cassa bel et bien.

– C’est malin !
– Ce sont des choses qui arrive, je l’apporterai à la retoucherie tout à l’heure, enlève-le.

Ce qu’il fut bien obligé de faire… Du coup Béatrice se fit un plaisir de dégager la pine du professeur de son slip démodé et de lui administrer quelques branles afin qu’il bandât convenablement.

– Ben voilà une bite comme je les aime ! Dit Béatrice satisfaite du résultat.

Et la voilà qui par une flexion du corps se retrouve pine contre bouche. Et dans ce genre de situation que fait-on ? On ouvre la bouche et on vient gober la chose.

– Humm qu’est-ce qu’elle est bonne ta bite !
– Je ne sais pas ce que tu peux y trouver, c’est une bite de vieux.
– Te poses pas de questions existentielles j’aime bien ta bite et point barre. Fin de l’interruption.

Et Béatrice reprit sa fellation. Depuis le temps qu’elle suçait Martinov, elle savait ce qu’il aimait et savait comment il fonctionnait. Elle procédait par de longs va-et-vient en bouche avant de lécher la hampe en de savants balayages, sans oublier de titiller le gland ce qui provoquait des décharges quasi-électrique chez notre vert professeur.

Quand elle sentit une goutte de pré-jouissance perler au niveau du méat, elle lâcha sa proie, son intention n’étant pas de faire jouir son partenaire prématurément.

– Tourne-toi je vais m’occuper un peu de ton cul.
– Euh, on serait peut-être mieux là-haut ! Suggéra le professeur.
– Mais bien sûr mon petit cochon !

Là-haut, c’est tout simplement la chambre du professeur Martinov, doté d’un joli lit à deux places malgré le fait qu’il soit toujours resté célibataire.

Ils y grimpent, finissent de se déshabiller et se jettent sur le plumard. Qui va sauter sur l’autre ?

Martinov2601
D’ordinaire c’est Béatrice qui dirige les opérations, Martinov se laissant faire par sa partenaire, mais aujourd’hui par pure taquinerie, elle s’est couchée sur le dos, les jambes écartées et attend.

Mais cela ne déstabilise aucunement notre vert professeur qui s’en va lécher les superbes seins offerts de la jolie chimiste.

– Tu les aimes, mes nichons, hein mon salaud !
– Non, je les adore !
– Continue, continue… non, lèche-moi la chatte maintenant.
– Déjà ?
– Je veux jouir, lèche-moi, donne-moi ta langue.

Il est ainsi des propositions qu’on ne saurait refuser (comme dirait Marlon Brando dans le Parain) et Martinov se met à laper la cramouille de sa collaboratrice avec gourmandise. C’est tout mouillé et il adore ça.

Sans doute pour lui rendre l’accès plus facile, Béatrice lève les jambes au ciel. Interprétant de travers ce geste, et l’anus de sa complice de jeu étant à sa portée, le professeur, il se met à la suçailler.

Il adore ce petit endroit plissé où le goût est parfois âcre mais néanmoins subtil.

– Hum, quel trou du cul délicieux !
– Petit cochon !
– Ben oui !
– Ce n’est pas ça que je t’ai demandé de faire !
– Tu ne vas pas me dire que ça ne te plait pas !
– Enfonce-y un doigt !
– Tu ne préfères pas ma bite ?
– Tout à l’heure la bite ! Pour le moment, je veux le doigt.

Pas de problème, Martinov s’humecte le majeur… et hop le doigt dans le trou du cul ! Et c’est parti pour une série d’allers et retours…

On peut raconter ce qu’on veut mais le doigtage est un exercice qui à la longue fatigue les mimines, aussi le professeur finit par retirer son doigt. Il en constate l’état. Oh, certes il n’y a rien de catastrophique, mais n’empêche qu’il pourrait être plus net.

– Lèche-le ! Lui dit Béa !
– Quel intérêt ?
– L’intérêt, c’est que j’aime bien quand tu lèches le doigt qui sort de mon cul !

C’est un argument comme un autre mais il est suffisant pour que le professeur obtempère. Puis dans la foulée il reprend son léchage de chatte. L’endroit est de plus en plus humide, la mouille dégouline sur ses cuisses.

Après quelques mouvements gourmands, Béa sentant le désir monter se met à haleter, Martinov cible son clito et y enroule sa langue.

Et soudain, c’est la tempête, Béatrice hurle son plaisir, en éjectant un geyser de mouille.

– Tu m’as bien fait jouir, mon petit professeur, allonge-toi je vais bien ‘occuper de toi.

Elle sait que dans le tiroir du chevet se loge un joli godemichet très réaliste, elle s’en empare.

– Qui sait qui va sucer la jolie bibite ! Se moque-t-elle.
– Ben c’est moi !

Elle tend le joujou au professeur qui se met à lui faire une fellation.

– Y’a longtemps que tu n’as pas sucé une vraie bite ? Lui demande Béatrice.
– Quelques mois ! Quand j’ai l’occasion j’aime bien, mais je ne cherche pas.
– Allez suce encore le machin pendant ce temps-là je vais te pincer tes petits bouts de seins, t’aimes ça hein mon cochon !
– Oh, oui !

Il aimant d’autant ça que la pratique le faisait bander de bien belle façon.

– La belle bite que tu te payes !
– Suce là !
– Faisons les choses dans l’ordre, tourne-toi que je t’encule avec le gode !

Et Béatrice fit donc aller et venir le gode dans le trou du cul de Martinov qui poussait des jappements de plaisir.

– T’aimes ça te faire enculer, hein mon cochon ?
– Oui, oui !

Au bout de quelques minutes (pas facile de calculer le temps en de telles circonstances) elle retira le gode laissant le cul du professeur béant mais ravi !

– Ah, tu débandes un peu, je vais t’arranger ça, couche-toi sur le dos !
– Tu vas faire quoi ?
– On ne pose pas de question.

Béa reprit en bouche la bite de son partenaire tandis que mains projetées en avant lui pinçait les tétons.

Lorsque la bite eut retrouvé sa rigidité, la jolie chimiste se mit en levrette afin que Martinov puisse l’enculer. Celui-ci à la vue de ce cul splendide s’encapota à grande vitesse avant de la pénétrer comme il se doit.

Excitée comme une puce, Béatrice ne tarda pas à jouir de nouveau, le professeur fut un peu plus long à venir mais se tapa une jouissance du tonnerre !

Epuisée Martinov s’allonge sur le dos, Béatrice lui retire sa capote et de sa petite langue coquine lui nettoie tout le sperme gluant qui s’y était accumulé.

Moment calme, avant de rejoindre de conserve la salle de bain pour une petite toilette et afin de perpétuer les traditions, Béatrice ne manqua pas de s’amuser à pisser dru sur la bite de son complice de jeu. Il finit d’ailleurs par se baisser afin de pouvoir en avaler quelques gouttes.

Lundi 1er mars

La Peugeot 108 de Béatrice klaxonne à l’entrée du clos des Merisiers. Ils sont accueillis par Arsène Chamoulet

– Bienvenue chez nous, venez je vais vous présenter ma petite famille.

Ils entrent de plain-pied dans une grande pièce transformée en salon-salle à manger.

– Voici donc Hélène ma femme, mon fils Gino et sa copine Fanny. Ah nous avons un chien, mais soyez tranquille, il n’est pas méchant.

Nous allons un peu décrire ces gens-là puisqu’ils auront leur importance dans l’histoire,

Hélène est une femme qu’on devine discrète et réservée, (à moins qu’elle ne cache bien son jeu, mais n’anticipons pas) son visage est lisse et calme, de beaux yeux bleus, très brune.

Fanny est une petite brunette au regard pétillant de malice, elle est aujourd’hui habillée d’un jean et d’une chemise à carreau qui lui donne un air un peu western. Et puis je vais vous dire aussi, petits cochons que vous êtes, que la chemise est bien remplie !

Gino est un grand blondinet habillé n’importe comment, pantalon blanc et chemise jaune.

– Gino est artiste peintre ! Précise Chamoulet comme ici nous avons de la place je lui ai proposé de déménager son atelier ici et d’habiter avec nous.

Martinov et Béatrice s’échangent un regard, ils ont eu la même pensée « Pourquoi ce n’est pas ce mec qui descendrait au fond du puit ? »

– Ah, il faut que vous mette au courant, il y a un élément nouveau ! Nous annonce Chamoulet.
– Ah ?
– Oui, nous avons eu la visite d’une voyante, ou d’une sorcière, je ne sais pas trop comment l’appeler…

Flashback : la sorcière.

On sonne à la grille d’entrée, C’est Hélène qui se déplace pour aller voir.

– Bonjour, je suis Miranda, je voudrais voir monsieur Chamoulet, ça ne prendra que cinq minutes.

Hélène dévisage l’inconnue, c’est une assez belle femme brune dans les quarante ans, attifée d’une jupe violette qui lui descend jusqu’aux chevilles et d’un corsage beige assez décolleté. Elle a sur la tête une coiffe en tissu ornée de médailles pendantes et qui laisse échapper quelques mèches de cheveux. Une gitane de carnaval !

– Vous voulez le voir pourquoi ?
– Pour lui dire des choses importantes, mais vous pourrez écouter.
– Si c’est pour nous demander de l’argent, ce n’est pas la peine…
– Je ne demande rien, je suis là pour informer, c’est tout.
– Si vous faites partie d’une secte, ce n’est même pas la peine de continuer
– Je ne fais partie de rien du tout, je sui là à titre individuel.
– Bon venez, je vais appeler mon mari. J’espère que vous n’allez pas nous faire perdre notre temps.

Hélène la fait entrer dans le salon et appelle Arsène.

– Je serais brève ! Commence Miranda. Je suis une sorte de médium et je communique avec des êtres venus d’ailleurs…
– Ecoutez, la coupe Chamoulet, si c’est pour nous sortir des trucs de charlatans, on va s’arrêter là, la sortie, c’est juste derrière vous !
– Et les sculptures au fond du puit, c’est des charlataneries ?
– Parce que vous êtes au courant ?
– Ben d’après vous, ça sert à quoi les mediums ? Cet endroit abrite une base de communication avec les Nosrog. Donc vous ne devez pas rester là. L’ancien propriétaire était leur servant, quand il a quitté les lieux un autre servant devait prendre la place, mais quelque chose n’a pas fonctionné. Donc partez avant qu’il ne vous arrive malheur, et surtout, surtout, ne cherchez pas à déplacer les sculptures ! Voilà c’est tout ce j’avais à vous dire, aurevoir messieurs dames.
– Mais…
– Peut-être allez-vous penser que je ne suis pas vraiment médium, alors je vais vous faire une révélation : aujourd’hui, le slip de Monsieur est couleur bleu ciel. Allez, je me sauve !

Et elle a disparue.

– Ton slip, il est vraiment bleu ciel ? Me demande Hélène
– Ben oui ! Elle me fout la trouille cette bonne femme.

Fin du flashback

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 27 janvier 2024 6 27 /01 /Jan /2024 10:40

Mireille, le livreur, la copine et le chien par Ursulin Neveway
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Mireille à la soixantaine. Combien exactement ? Peu importe à cet âge on ne le dit point. Elle est bien conservée, possède de jolies formes et son visage est restée agréable et souriant.

Elle attend Fabienne une jolie brunette de 30 ans sa cadette, elles se sont connues il y a deux ans à Saint Malo dans un institut de thalassothérapie et sont devenues amantes. Fabienne habite Bordeaux mais monte parfois à Paris pour affaires et justement aujourd’hui Mireille l’attend, simplement vêtue d’une nuisette rose quasi transparente à ce point que l’on voit les tétons érigés frôler sous le tissus. Elle a commandé quelques gâteaux dans une pâtisserie de luxe…

Et justement voilà que le livreur arrive.

Mireille ouvre…

Mais c’est qu’il beau ce livreur ! Mais on ne peut courir deux lièvres à la fois… quoi que…

Ce dernier n’en perd pas un miette, il a sa boite à gâteaux dans une main, son terminal dans l’autre et reste bouche bée.

– Eh bien jeune homme, ne soyez pas timide.
– Ça fait 310 euros… balbutie-t-il
– Non je sais bien que tout augmente, mais ce n’est surement pas ce prix-là.
– Je voulais dire 31 euros !
– Je préfère, c’est moi qui vous trouble à ce point ?.
– Je… je…
– Voyons ce n’est pas raisonnable, je pourrais être votre grand-mère !
– Vous êtes très belle.
– Merci, un compliment, ça fait toujours plaisir ! Dites-moi vous êtes pressé ? Lui demande Mireille en lui portant sa main sur la braguette
– Je peux m’arranger ! Répond le livreur, plein d’espoir.
– Je vais te dire une chose, à mon âge je suis blasée des amours classiques, alors je fais un peu dans la fantaisie, je suis un peu dominatrice, j’aime avoir les hommes à mes pieds.
– Je veux bien être à vos pieds !
– Alors d’accord on va jouer ! Déshabille-toi esclave !

Le livreur complétement parti dans un autre monde se déshabille sans sourciller offrant à la vue de Mireille une jolie bite magnifiquement bandée.

– Hum, pas mal du tout ça ! Tourne-toi que je vois ton cul. Hum, un vrai cul de pédé… tu t’es déjà fait enculer ?
– Voyons madame…
– Ce n’est pas une réponse, reste comme ça je vais chercher ma cravache.

Mireille revient et assène dix coups de cravache sur le postérieur du livreur qui encaisse en gémissant.

– Et maintenant tu me réponds correctement, Je t’ai posé une question !
– Oui ça m’est arrivé !
– Et t’as aimé ?
– Ce n’est pas désagréable.
– T’as sucé des bites aussi.
– Vous m’embarrassez…

Mireille le fait se relever et lui pince fortement les tétons

– C’est bon ça ?
– Oui maîtresse !
– Ah c’est gentil de m’appeler maitresse. Alors tu en as a sucé combien de bites ?
– Plusieurs !
– Et ça t’a plu !
– Ce n’est pas désagréable.

Mireille sort un joli gode réaliste de son fouillis et le met sous le nez du livreur.

– Voilà montre-moi comment tu suces.
– Non !
– Alors rhabille-toi et fous le camp. Dommage t’es en train de rater une super séance…
– Pardon je ne sais plus ce que je fais. Retendez-moi ce gode je vais le sucer.
– Non c’est trop tard.

Il est dépité et se dirige vers la chaise où il a laissé ses affaires. Cela amuse Mireille. (un peu sadique la Mireille)

– Allez je te laisse une chance…

Et cette fois il s’applique faisant une véritable démonstration de fellation à ce pauvre gode qui n’avait rien demandé.

– Et maintenant tourne toi je vais te l’enfoncer dans le cul.

Mais voilà que l’on sonne..

– Ne bouge pas c’est ma copine !

Effectivement c’est Fabienne tenant en laisse un labrador beige. Fabienne est une jolie blondinette au visage mutin et aux formes épanouies

Les deux femmes s’embrassent… on devrait dire : se roulent un patin.

– Oh mais tu n’es pas toute seule !
– C’est un petit esclave j’étais en train de l’enculer, je vais un peu continuer et ensuite on s’occupera de nous.

Mireille fait aller et venir le gode plusieurs fois de suite dans le fondement du livreur qui se pâme d’aise. En même temps elle lui serre fortement les couilles de sa main.

– Je le fais pas jouir, on en aura peut-être besoin tout à l’heure ! Commente-elle
– Je vais faire pipi, je reviens indique Fabienne.
– Pisse donc sur l’esclave, les esclaves ça aime la pisse !
– Non proteste ce dernier.
– Dis donc malpoli tu sais que c’est très impoli de refuser un cadeau ! Lui dit Fabienne, allez à genoux esclave et bouche ouverte !

Il se met en position tandis que Fabienne dégage le bas. Le jet lui atterrit dans le gosier il avale ce qu’il peut…

– Tu l’avais déjà fait
– Peut-être !
– Ce n’est pas une réponse. Dis-nous que tu es un suceur de bites et un enculé et tu auras une récompense.
– Je suis un suceur de bite et un enculé.

Les deux femmes l’attachent alors sur une chaise puis après s’être mises complétement nues s’assoient côte à côté sur le canapé et s’adonnent à quelques caresses manuelles.

Mireille24– Viens Moustache viens ! Demande Fabienne au chien qui accourt et commence à lui lécher la chatte. Oh quelle langue ! Mais garde-en pour ma copine !

Elle se dégage et fait en sorte que le chien change de cible.

Cette opération de lèche minou dure quelques minutes avant que les deux femmes fassent coucher le chien sur le côté, elles ont ainsi accès à sa bite qu’elles sucent à tour de rôle.

Le livreur n’en croit pas ses yeux.

– Tu veux qu’il te prennes ? Demande Fabienne
– Bien sûr ! Répond Mireille qui déjà se positionne en levrette offrant la vue de son joli cul et de tous ce qui va avec.

Fabienne aide le chien à pénétrer son amie et c’est parti pour une série de va-et-vient infernale au terme de laquelle le chien satisfait se cherche un coin pour se vautrer tranquillou.

Les deux femmes s’enlacent et se pelotent, Fabienne n’hésitant pas à lécher la chatte de son amie, gluante du sperme du chien.

– Il t’as fait jouir, hein ma salope !
– Pas qu’un peu ! Et toi tu aimerais quoi ?
– Tu crois que l’autre là-bas il va pouvoir m’enculer ! Demande Fabienne
– De la façon dont il bande ça devrait le faire.

Le livreur libéré de ses liens et excité comme un malade se délivra de son excitation en sodomisant à la hussarde la belle Fabienne qui cria sa jouissance comme une damnée.

Il reparti après en oubliant de réclamer ses 31 euros.

Fin du délire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Ursulin
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 15:04

Chanette 30 – La disparition de Carole – 12 – Contrôle judicaire par Chanette

stamp partouz

Bruneteau souffle un bon coup et tape du poing sur la table .

– Maintenant il y en a marre, je veux que cette affaire soit bouclée aujourd’hui. Lisieux, on va te parler de la vidéo surveillance à moins que tu te décides à passer aux aveux
– J’ai rien à dire.
– Ben moi si ! A 14 h 37 la vidéo est coupée probablement avec un chiffon ou quelque chose du genre. Il est clair qu’il ne s’agit pas d’une panne fortuite mais d’un camouflage volontaire. Donc question : Pourquoi ce camouflage ?
– Je n’ai rien camouflé du tout ! Qu’est-ce que vous allez chercher ?
– Je ne sais pas moi, mais si tu as descendu le corps de Sauvignon dans le parking, on peut légitimement supposer que tu ne voulais pas laisser de traces.

Lisieux ne répond pas mais commence à baliser sérieusement et ça transparaît sur son visage.

– Bizarrement après que le camouflage ait été retiré il ne se passe rien. Son auteur est donc parti ailleurs. Quoi faire, on ne sait pas ?
– Vous voyez bien que tout ça ne tient pas debout ! répond Lisieux qui reprend légèrement espoir.
– Dans le parking nous avons identifié le véhicule de Bertrand Sauvignon. A 15 h 14, voilà qu’on te retrouve au parking te dirigeant vers la bagnole de Sauvignon.
– Mais pas du tout, je suis parti à pied …
– Ta gueule, tu t’es débrouillé pour que la caméra ne filme pas ta face de rat, mais il se trouve que l’individu en question a la même taille que toi, et la même démarche.
– Comment ça, la démarche ?
– Ben oui, on a analysé ta démarche quand on t’a filé, on a comparé, et voilà, les démarches c’est comme les bites, chacun a la sienne.. Donc tu t’es barré avec la bagnole de Sauvignon et tu t’es arrangé pour ne pas qu’on te piste longtemps avec les caméras. Forcément quand on a pas la conscience tranquille…

Mais cet échange de bonnes paroles fut interrompu par l’arrivée des avocats, maître Doubise (voir Chanette 28 – Magazines littéraires) pour Carole et un baveux commis d’office pour Musaraigne.

L’entretien avec Carole fut bref.

– Ça me paraît simple, ce sera coups et blessures ayant entrainés la mort sans intention de la donner, tout cela en état de légitime défense.
– Et pour la boîte à bijoux ?
– On s’arrangera pour présenter ça comme la saisie d’une preuve à charge pour Sauvignon et Lisieux. Donc devant le juge d’instruction je demanderais qu’il ne soit pas procédé à une détention provisoire.

Du côté de Lisieux, c’est plus compliqué.

– Si vous ne me dites pas tout, je vais avoir du mal à vous défendre.
– Qu’est-ce que vous voulez que je vous raconte ?
– Est-ce que vous êtes prêt à reconnaître l’enlèvement du cadavre ?
– Ça aiderait ?
– Il me semble, oui. Sur ce point précis vous êtes coincé.
– Bon d’accord.
– Seulement, ils vont vous demander pourquoi ?
– On va dire que je ne voulais pas d’ennuis.
– Ça me semble un peu court, c’est quoi ces ennuis ?
– Je ne peux pas leur dire.
– Mais à moi vous pouvez le dire et on verra comment tourner ça.
– Disons que mon patron m’a obligé à assister à des choses assez moches.
– Soyez plus précis, je vous en prie sinon on ne va jamais y arriver.
– Je ne peux pas…
– Ben, ça ne va pas être de la tarte.

Le temps passe vite et les entretiens privés avec les avocats arrivent à leurs termes, mais ces derniers peuvent assister à la suite des interrogatoires.

– Alors Lisieux, tu te mets à table, je n’ai pas que ça à foutre.
– OK j’ai évacué le cadavre de monsieur Sauvignon.
– Il est où le corps ?
– Dans un chantier abandonné boulevard Macdonald.
– Et le motif de l’évacuation ?
– Je ne voulais pas d’ennuis.
– Quels ennuis ?
– Je ne souhaite pas en parler.
– Dommage parce que tu vas nous expliquer ce que foutes tes empreintes sur les bijoux retrouvés dans une jolie boîte chez Sauvignon et que Mademoiselle Esteban nous a gentiment apporté.
– On jouait avec monsieur Sauvignon a des petits jeux de domination, alors forcément j’ai sans doute un peu tripoté…
– Y compris à l’intérieur des bagues ?

Désarçonné, Musaraigne se tourne vers son avocat qui répond par un geste d’impuissance.

– Alors ? S’énerve Bruneteau.
– Je ne sais plus.
– Où est passée Malika Fuentes ?
– Je ne suis pas responsable des actes de Sauvignon, il m’a obligé à assister à ses conneries et à faire le sale boulot.
– Quelles conneries ? Quel sale boulot ?
– Je ne veux pas en parler .
– Libre à toi, mais tu es en train d’aggraver ton cas, on va donc t’inculper pour le meurtre de Malika Fuentes…
– Il n’y a pas eu de meurtre, c’était un accident.
– Eh bien raconte nous.
– Mademoiselle Fuentes était d’accord pour participer à un jeu sadomaso. Sauvignon souhaitait la garder une semaine mais les séances sont devenues de plus en plus violentes, la fille a utilisé le mot de sécurité, mais Sauvignon n’en a pas tenu compte…
– C’est quoi ce truc ?
– Quel truc ?
– Le mot de sécurité ?
– C’est un mot, un code que le soumis prononce pour faire cesser la séance si ça devient trop dur.
– On en apprend tous les jours… et ensuite ?
– Ben le cœur de la dame a lâché.
– Et ensuite ?
– Sauvignon m’a demandé de faire disparaitre le corps.
– Et tu te souviens de ce que tu en as fait ?
– Ben oui.
– Le souci, c’est qu’il n’y a personne pour confirmer ta version.
– Je ne suis pas un menteur.
– C’est ce que disait Pinocchio. Et les autres victimes ?
– Quelles autres victimes ?
– Les bijoux n’appartenaient pas qu’à une seule personne… Donc au point où tu en es tu ferais mieux de vider ton sac

Musaraigne se tourne vers son avocat qui semble approuver le policier.

– Ben ouais, il y a eu une autre.
– Tu connais son identité
– Non, une Anglaise…
– Même pas un prénom ?
– Euh, Kelly je crois…
– Verdier, regarde dans le fichier des personnes disparues… Et elle est décédé en quelles circonstances ?
– Même scénario.
– Le cœur qui lâche ?
– Un truc dans le genre.
– Et pour la disparition du corps ?
– Pareil, même chose.
– Bon tu nous accompagnes…

Bref on retrouva les cadavres de Bertrand Sauvignon, de Malika Fuentes et de de Kelly Carpenter…

– Sa version est fantaisiste, commenta Bruneteau. Il minimise son rôle, mais comment le coincer ?

C’est le lendemain que les prévenus furent présentés devant le juge d’instruction. Le juge est une femme, cheveux courts, lunettes impossibles, aucun maquillage, mine renfrognée.

– Votre profession, mademoiselle ?
– Voyante ? Répond Carole.
– Vous n’avez pas le look.
– Vous m’en voyez désolée.
– Vous avez un réel don de voyance ?
– Pas du tout.
– Donc vous escroquez vos clientes !
– Je n’escroque personne, je raconte à mes clientes ce qu’elles désirent entendre.
– Ben voyons ! Et la personne qui vous hébergeait est aussi voyante. Il y a un essaim dans le coin ou quoi ?

Carole ne répond pas, se contentant de soupirer d’exaspération.

– Vous savez je ne suis pas dupe, vous êtes autant voyante que moi funambule. Nous nous sommes renseignés sur vos activités, cela dit nous ne sommes pas là pour ça, mais si vous commencez à mentir votre affaire va mal s’engager.

Carole s’apprête à sortir une vacherie, mais Maître Doubise l’en dissuade d’un discret coup de coude.

– Donc mademoiselle Esteban, vous prétendez avoir agi en état de légitime défense, vous estimiez donc votre vie en danger ?
– Il voulait me tatouer contre mon gré.
– A ce que je sache le tatouage n’est pas une atteinte à la vie.
– Je n’ai jamais dit le contraire.
– Donc je ne peux pas retenir la notion de légitime défense. Le dossier mentionne que vous vous livriez à des rapports de type sadomasochistes avec monsieur Sauvignon, vous confirmez ?
– Oui.
– Et vous vous étonnez que ça dérape ?
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut raisonner…
– Je vous en prie, vous n’allez pas me faire toute une théorie sur vos turpitudes.
– Madame la procureure avec tout le respect que je vous dois, il s’agit de rapports entre adultes consentants, intervient maître Doubise.
– Il faut croire que non puisque d’après mademoiselle le tatouage n’était pas consenti ! Dans quelles circonstances avez-vous frappé mortellement monsieur Sauvignon ?
– J’étais attachée, il m’a fait part de son intention de me tatouer. J’ai refusé mais il est devenu insistant, j’ai prétexté une envie pressante pour sortir de la pièce et j’ai trouvé un marteau.
– Et vous l’avez frappé ! Ce n’était pas plus simple de partir sans le tuer ?
– Ce n’est pas si simple, déjà il fallait que je récupère mes affaires, et ensuite je souhaitais aller jusqu’au bout de cette expérience…
– Mais sans le tatouage ?
– Sans le tatouage
– Vous êtes compliquée vous, à mon avis vous devriez consulter.
– Je suis très bien dans la peau, merci.
– C’est ce que disent tous les malades du cerveau. Mais bon pourquoi avoir pris ce marteau ?
– Un réflexe ! A moins que ce soit mon subconscient qui me guidait.
– De la psychanalyse, maintenant ! Racontez-nous donc la suite
– Quand je suis revenue, il m’a fait part de son intention de m’attacher de nouveau, je me suis débattue, et boum.
– Boum ?
– Ben oui, boum.
– Et là vous vous êtes rendu compte que vous l’aviez tué.
– Ça fait drôle, vous savez !
– Il y a effectivement de quoi mourir de rire. Bon, vous êtes donc inculpée de coups et blessures ayant entraînés la mort sans intention de la donner.
– Je pense qu’il n’est pas nécessaire de procéder à une détention provisoire. Intervient l’avocat.
– Pas d’antécédents donc liberté conditionnelle avec contrôle judiciaire et obligation de soins psychiatriques.
– Mais je ne suis pas malade…
– Taisez-vous mademoiselle ! Faites entrer Monsieur Lisieux, non, non, vous restez là, puisque les deux affaires sont liées.

Musaraigne ne respire pas la grande forme.

– Donc Monsieur Lisieux vous êtes maître d’hôtel au service de feu monsieur Sauvignon, c’est bien ça ?
– Oui
– Vous avez donc reconnu avoir dissimulé les cadavres de Sauvignon, et des demoiselles Carpenter et Fuentes.
– Oui
– Reste à connaître votre implication dans les meurtres de ces jeunes femmes…
– J’ai déjà dit que je n’y étais pour rien, j’ai juste planqué les corps.
– Mademoiselle Esteban, monsieur Lisieux était-il présent lors de vos turpitudes ?
– Quelles turpitudes ?
– Répondez s’il vous plaît.
– Je ne comprends pas la question.
– Est-ce qu’il faut que je vous fasse un dessin ? Je reformule : monsieur Lisieux était-il présent lorsque vous vous livriez à des activités dégradantes.
– Comment ça « dégradantes » ?

Maître Soubise fait signe à Carole de calmer le jeu.

– Juste une fois.
– Et il faisait quoi ?
– Sauvignon m’a ordonné de lui pratiquer une fellation et ensuite il m’a sodomisé.
– Et vous vous êtes laissé faire ?
– Bien sûr puisque ça faisait partie du jeu.
– Drôle de jeu, je vous plains, franchement.
– Ne vous donnez pas cette peine.
– Ce fut la seule fois ?
– Oui
– Et quel était son comportement ?
– Normal.
– Agressif ?
– Non .
– Donc on pourrait penser que Monsieur Lisieux ne participait pas activement à ces séances de débauches, se contentant d’assurer le service après-vente, si je peux me permettre ce terme.

Son avocat opine du chef sans grande conviction.

– Et pourquoi avoir déplacé le cadavre.
– Je ne voulais pas être accusé de complicité, à cause des bijoux.
– Bon, recel de cadavres, complicité de meurtre…
– Mon client n’est pas complice… Commence son avocat.
– Ah, oui, et pourquoi n’a-t-il pas dénoncé son patron comme tout citoyen honnête devrait le faire ?
– Il craignait simplement de perdre son emploi…
– Bon, c’est fini, je signe un mandat de dépôt concernant ce monsieur, quant à vous Mademoiselle vous êtes libre, mais n’omettez surtout pas de vous soumettre aux obligations qui vont vous être notifiées

Carole est donc rentrée chez elle, le soir nous nous sommes tous retrouvés, avec Valentin et Max. Anna est venu aussi, mais pas seule.

– Voilà, je vous présente Fabienne, mais elle n’est pas une inconnue pour tout le monde.
– Bonjour messieurs dames ! J’espère que je ne dérange pas !
– Mais non, je suppose qu’Anna vous a expliqué où vous mettez les pieds ?
– Pas de souci !

Carole raconte son audition devant la juge d’instruction…

– Une furie mal baisée qui ne comprend rien à rien. Elle m’a prise pour une folle. Tu te rends compte que je dois pointer au commissariat toutes les semaines…
– Attends quelques semaines et on demandera à Soubise de faire une démarche pour alléger ton contrôle judiciaire…
– Mais il n’y a pas que ça, je vais être obligée de consulter un psy !
– Ne t’inquiètes pas, j’ai un psy dans mes relations, on lui demandera de te faire un certificat, et l’affaire sera réglée. En attendant on va trinquer à ta libération.

On verse le champagne, on le boit. Tout le monde se regarde un peu bizarrement. Est-ce que cette petite réunion va tourner à l’orgie ? Il y a de grandes chances, amis lecteurs ! Alors pourquoi attendre ?

Je me fais provocatrice et interpelle Anna.

– Vous avez fait quoi toutes les deux en me quittant ?
– On s’est envoyé en l’air ? Pourquoi cette question ? Répond Anna. T’es jalouse ?
– Moi, jalouse ? Ce serait nouveau.
– Personne n’est jaloux ici, n’est-ce pas Carole ? Intervient Max en posant sa main sur le sein de cette dernière.
– Mais dis donc, grand coquin !
– Mais qu’est-ce que je fais de mal ? Ah, je vois je te pelote un sein et pas l’autre, ben voilà il fallait le dire.
– Non mais, t’as qu’à me violer si tu veux ?
– C’est vrai je peux ?
– Me violer surement pas, mais me baiser devant tout le monde, ça t’exciterait, hein ?
– Certes !
– Je parie que rien que l’idée te fait bander !

Et Carole porte sa main sur la braguette de Max le dur… effectivement c’est tout dur là-dedans.

– Lève-toi, que tout le monde puisse en profiter.

Max obtempère, Carole ouvre la braguette et en extrait une bite joliment bandée.

– Et voilà le travail ! S’exclame-t-elle en se baissant bouche ouverte afin de gober cette jolie chose.
– T’es allé trop vite ! Se désole Valentin. Tout le monde n’a pas pu voir.

Du coup Carole cesse sa fellation et branlotte la bite devant tout le monde.

– Hum, elle est vraiment jolie ! Insiste Valentin.
– Vous aimez les bites si je comprends bien ? Lui demande Fabienne.
– Bien sûr, j’adore les sucer !
– Gay ?
– Non, j’aime les femmes, j’aime les bites, les croissants chauds et la mousse au chocolat.
– Vous sucez ou vous faites autre chose aussi ? Reprend Fabienne.
– Ben dit donc, t’es bien curieuse, toi ?
– Je demandais ça comme ça !

La situation semble exciter cette petite Fabienne, j’ai bien envie de me la brancher avant que quelqu’un d’autre lui saute dessus.

– Elle t’excite, la bite de Valentin ? Lui demandais-je.
– C’est surtout ce qu’il raconte qui m’excite !
– Tiens regarde, tu me diras si ça te plait.

Je retire mon tee-shirt, exhibant un joli soutif en dentelle bleu marine.

– Ça te plait ?
– Joli !
– Je le retire ?
– Oui, je veux bien !
– Mais après tu te mettras à l’aise à ton tour ?
– Ça ne me dérange pas.

Alors je lui exhibe mes lolos, attirée comme par un aimant, elle se jette dessus et me les tète avec gourmandise de sa petite langue agile..

Autour de nous, ça chauffe, Carole et Valentin suce de conserve la bite de Max, tandis qu’Anna qui a dû aller fouiller dans mes tiroirs, se pilonne la minette avec mon gode personnel. Elle a raison, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir…

Fabienne s’est déshabillée, je la trouve mignonne et c’est à mon tour de lui bouffer les nichons, manifestement elle apprécie, mais soudain la voici surprise.

– Oh, regarde ce qu’ils font ces deux cochons ?
– Ben quoi, ils s’enculent !
– Oh, les cochons !

Effectivement Max est maintenant en train de pédiquer énergiquement l’ami Valentin qui en glousse de plaisir.

– C’est la première fois que je vois ça ! Me confie-t-elle.

Chanette3212J’ignore si elle dit vrai et je m’en fous un peu, mais ce qui est sûr c’est que la mademoiselle est maintenant mouillée comme une soupe… Et une chatte mouillée, moi je ne peux pas résister, alors la laissant assise, je lui ai écarté ses douces cuisses et j’ai plongé ma langue dans ce fouillis humide tandis que mon index trouvait le chemin de son petit trou… Sa jouissance n’a pas été discrète.

Carole a rejoint Anna et les deux femmes se sont enlacées jusqu’au plaisir. Valentin s’est masturbé pendant qu’il se faisait sodomiser. Du coup Max est ressorti de son cul.

Je lui fais un petit signe, il a compris, il change de capote, je me positionne en levrette et je me fais enculer devant tous mes amis.

Elle n’est pas belle la vie ?

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 15:01

Chanette 30 – La disparition de Carole – 11 – Le sous-sol de la galerie d’art par Chanette
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Le lendemain, Musaraigne reprit le train en direction Angers et après avoir pris son petit déjeuner dans un bistrot s’en alla jouer les touristes en allant visite le château du Roi René.

– C’est pas que ça me passionne, mais faut bien passer le temps !

A 13 heures, Bruneteau perd patience.

– Apparemment Lisieux ne sait plus comment chercher la nana, on ne va pas attendre cent sept ans. On va aller le cueillir une nouvelle fois mais en attendant on va cuisiner la fille de la galerie. J’ai demandé au juge d’instruction l’autorisation de consulter sa fadette.

Karadec et Fulci pénètre dans la galerie « La feuille à l’envers » à 14 heures.

– Police, on veut juste vous poser deux ou trois questions.
– Posez, posez…
– Il cherchait quoi votre agresseur ?
– Je l’ai déjà dit, une bonne femme que je n’ai pas l’honneur de connaître, il s’est trompé d’adresse.
– Et le prénom de cette femme qu’il cherchait ?
– Caroline ou Carole, je ne sais plus trop.
– Et vous ne connaissez pas de Carole ?
– Ben non !
– Vous mentez !
– Non mais dites-donc…
– Nous avons épluché votre fadette…
– C’est quoi ça ?
– La facture détaillée de votre téléphone, nous avons identifié les numéros et avons pu constater que vous avez appelé plusieurs fois une dénommée Carole Esteban.

Du coup Anna devient tout pâle.

– Si vous savez tout, pourquoi vous me demander ?
– Non on ne sait pas tout, on la cherche et tu vas nous dire où elle se planque.
– Je ne vous ai pas autorisé à me tutoyer.
– Tu réponds, pétasse !
– D’abord vous n’êtes pas obligé de ‘insulter et ensuite je n’en sais rien .
– Tu ne veux pas répondre ?
– Je ne peux pas répondre à une question que je ne connais pas la réponse
– Très bien, mademoiselle Esteban est soupçonnée de meurtre sur la personne de Monsieur Bertrand Sauvignon.
– Oh la vilaine ! Se gausse Anna.
– Tu la protèges, ça s’appelle du recel de malfaiteurs et c’est puni de trois ans de prison. On te donne une dernière chance te t’exprimer.
– Mais puisque je vous répète que j’en sais rien !
– OK, vous êtes en garde à vue à partir de cet instant, vous avez le droit de garder le silence et blablabla.

Et notre sympathique Anna-Gaëlle, après avoir été priée de fermer boutique est menottée et conduite dans les locaux de la police judiciaire.

Sur place elle a droit à un coup de fil (un seul)

Pas beaucoup de temps pour trouver une solution.

– Balance-la, de toute façon elle était d’accord pour se rendre ! Lui dis-je
– Je ne suis pas une balance.
– C’est pas comme ça qu’il faut voir les choses, on a une gros problème sur le dos avec Carole, on va l’aider à s’en sortir, inutile d’en ajouter une deuxième. Attends une demi-heure avant de leur dire, je ne voudrais pas qu’elle soit seule quand ils vont venir la ramasser
– Bon c’est fini le téléphone ? Hurle un poulet, c’est pas Radio-parlote-Inter ici .

Anna raccroche en soupirant de hargne .

– Bon je vais vous dire où est Carole, mais pas tout de suite on va attendre une demi-heure. Elle se rendra sans résistance, inutile d’emporter vos mitraillettes ‘
– Et pourquoi attendre une demi-heure ?
– J’ai droit au silence, non ?
– Conasse.

Et trente minutes plus tard, elle balançait mon adresse.

– Bon, je suis toujours en garde à vue ?
– Oui, et on va te foutre en cellule, ça t’apprendra à nous avoir énervé.

Les flics sont arrivés chez moi avec une discrétion éléphantesque.

– On ne bouge plus, on lève les mains en l’air. Vous êtes combien là-dedans ?
– Deux
– Vous êtes en garde à vue toutes les deux, vous avez le droit de garder le silence et blablabla….
– Eh, j’ai rien fait, moi !
– Ta gueule. Tu abrites une criminelle.
– Mais pas du tout…

J’ai beau vociférer, on nous embarque.

– J’ai une pièce à conviction, il faut que je la prenne. Tente d’expliquer Carole
– Chaque chose en son temps, allez on s’active

Une fois au poste, on se contente de contrôler nos identités avant de nous loger en cellule.

En fait, ils attendaient Lisieux cueilli à Angers…

Mais là, il y a eu comme un problème.

A trois heures du matin, Musaraigne sort de son hôtel comme s’il avait besoin de prendre le frais. Il se dirige vers la gare, puis monte dans un taxi.

– Devant le château, s’il vous plaît.

Le gendarme local opérant la filature nocturne, n’est pas assez rapide et perd sa cible.

Arrivé au château, Musaraigne fait celui qui a changé d’avis, retourne à la gare et prend un billet pour Paris. Le premier train est à 6 heures 30, il attend.

Le gendarme ne parvient à pas à joindre son collègue parisien avant 7 heures. Celui-ci envoie un message à Bruneteau qui vient juste de se lever.

On localise Musaraigne à l’aide de son téléphone portable.

– Il est dans le train pour Paris…

La police demande à la SNCF de ne pas procéder à l’ouverture automatique des portes en gare de Paris Montparnasse.

– Et s’il descend avant ?
– Il y a beaucoup d’arrêts ?
– Il va encore s’arrêter à Versailles et après c’est Paris .

Musaraigne est fébrile, son téléphone est éteint et la géolocalisation désactivée.

– Mais on ne sait jamais avec les flics…

A l’arrêt de Versailles-Chantiers il descend du train, sans être inquiété

Il ne connait pas la ville et demande comment gagner la capitale .

– Ben prenez le train…
– Y’a que le train ?
– Non, il y a un bus aussi qui va jusqu’au Pont de Sèvres, mais faut pas être pressé…

Très pratique le bus, on peut descendre n’importe quand et n’importe où !

– Chef, il est descendu à Versailles.
– Merde. Et il est où.
– Il chemine.
– Envoie son signalement aux collègues de Versailles, on verra bien ce que ça donne.

Et quelques minutes plus tard…

– Individu repéré, il attend le bus avenue de Paris.
– Ok, appréhendez-le, on viendra le chercher

Avec tout ça on a toutes les trois passées la nuit en cellule

Le lendemain matin, on est pas fraiches, mauvaise nuit dans des conditions d’hygiène dégueulasses. On nous porte un café à peine buvable. A 9 heures 15, les interrogatoires peuvent commencer.

Et c’est d’abord Carole qui s’y colle.

– Reconnaissez-vous avoir assassiné monsieur Bertrand Sauvignon .
– Je lui ai foutu un coup de marteau sur le crâne, je voulais l’assommer, pas le tuer.
– Et pourquoi ?
– Il voulait me tatouer, j’ai pas voulu, il devenait menaçant, j’ai pris un marteau et boum.
– Je ne comprends pas bien.
– Alors j’explique mieux, je suis tombée amoureuse de ce type, un coup de foudre, quoi ! Il m’a proposé un protocole sadomaso, j’ai accepté, ça devait durer une semaine. Je n’avais rien contre. Puis au fil des jours il est devenu de plus en plus bizarre, ce n’était plus vraiment du SM, mais je me suis laissé faire, sauf que sa proposition de tatouage ,ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase…
– Vous vous sentiez en danger ?
– Absolument.
– Et qu’est-ce qui vous a fait penser que vous étiez en danger ?
– Ces choses-là ça se sent, et j’avais raison, j’ai trouvé des drôles de choses dans ses placards, je voulais vous les apporter mais vos collègues m’ont empêché de les prendre.
– C’est quoi ces choses ?
– Des bijoux féminins qui apparemment appartenaient à deux femmes différentes
– Et vous les avez embarqués ?
– Vous savez, je venais de trucider un mec, dans ces moments-là on ne fait pas toujours des choses logiques.
– Et c’est où tout ça ?
– Chez Chanette.
– C’est qui Chanette ?
– Madame d’Esde.
– Qu’on la fasse venir.

Ça y est c’est mon tour, le poulet demande si je suis au courant de ce que raconte Carole.

– C’est dans une boîte, elle est chez moi.

Deux fonctionnaires m’accompagnent à mon domicile.

– Elle est où la boîte ?
– Je vais aller la chercher
– Non tu bouges pas, dis-nous où c’est .

La confiance règne !

On revient, Bruneteau ouvre la boîte ,

– C’est quoi cette carte d’identité ? Demande-t-il.
– C’était dans le sac à main avec les fringues ..
– Et pourquoi t’as pris ça ?
– J’ai pensé que si j’étais arrêtée ça pourrait vous intéresser.
– Bon, Verdier, tu épluches tous les fichiers et tu recherches si tu trouves cette Fabienne Rich quelque part. Marcoule, tu me fais des relevés d’empreintes sur les bijoux. On va faire une pause-café, qu’on reconduise ces putes en cellule.

Bon, ça va durer longtemps ce cirque ? Une garde à vue c’est 24 heures, j’espère qu’ils ne vont pas la prolonger.

– Chef, on a trouvé une plainte pour vol déposée à Roissy… rien dans les personnes disparues.
– Bizarre. On va envoyer quelqu’un à l’adresse…
– J’ai fait une requête auprès de opérateurs téléphoniques, j’attends

Entre temps Marcoule revient du labo.

– Les empreintes, c’est un tas de monde, mais il y a celles de Sauvignon et surtout celles de Lisieux.
– Le contraire aurait été étonnant, c’est tout ?
– Non, à l’intérieur d’une bague il y un prénom de gravé, Malika.
– T’as consulté les fichiers ?
– Je suis en train.

Quelques minutes plus tard la police obtenait le numéro de téléphone de Fabienne Rich

– Elle est sur répondeur.
– On peut localiser l’appareil
– Oui, il est à la Défense dans le centre commercial.
– Bon on attend. Et toi pour cette Malika ?
– Pas évident, j’ai cinq signalements rien que pour la région parisienne.
– Bon on va creuser tout ça mais maintenant on va s’occuper de Lisieux. Euh débrouille toi pour envoyer la photo de cette bague aux familles, on ne sait jamais.
– Oui chef.

On se retrouve toutes les trois dans une grande salle, un siège est vide, bientôt occupé par Lisieux alias Musaraigne qui n’en mène pas large.

– Bon les pouffes, on va essayer de clôturer cette affaire, je vais poser quelques questions à ce monsieur, je vais vous demander expressément de fermer vos gueules et de n’intervenir que lorsque je vous y autoriserai. Est-ce que c’est bien compris ?

On opine du chef.

– Lisieux, mademoiselle Esteban a avoué le meurtre de Sauvignon. Ce qu’on veut savoir, c’est où est le corps ?
– J’en sais rien.
– Est-ce qu’on va être obligé de te foutre trois baffes ?
– Je ne parlerais qu’en présence d’un avocat.
– C’est ton droit, mais à mon avis t’es mal barré. Qui avait intérêt à planquer le cadavre ?
– Le pape !
– Shlack

Cette fois ci Musaraigne se reçoit une gifle magistrale.

– Vous n’avez pas le droit !
– Je sais. Alors je vais t’expliquer, tu ne voulais pas qu’on trouve le corps dans la garçonnière de Sauvignon, et pourquoi ? Parce qu’une perquisition aurait fait découvrir des choses pas terribles, j’ai bon ?

Musaraigne ne répond pas

– Il nous intéresserait de savoir ce que sont devenues Fabienne Rich et Malika

Et bizarrement l’homme devient bavard.

– Malika je ne connais pas, mais Fabienne Rich je peux vous expliquer
– Eh bien vas-y.
– J’étais à Roissy, et je vois un bagage abandonné, alors je l’ai pris, il y avait une carte d’identité avec une adresse. J’y suis allé pour lui rendre ses affaires mais elle avait déménagé sans laisser de traces, alors j’ai entreposé tout ça chez Sauvignon.
– Et tu ne pouvais pas laisser tout ça dans la valise ?
– Non, ça aurait tout froissé.
– Tu te fous pas un peu de notre gueule ?

Et là, coup de théâtre !

– Chef, j’ai réussi à joindre Fabienne Rich, elle arrive pour faire une déposition.

Oups !

On s’échange toutes un regard, le même regard désespéré, l’hypothèse de Carole d’être tombée sur deux serials-killers est en train de s’effondrer !

Bizarrement Musaraigne paraît soudain gêné, pourquoi donc puisque ce coup de théâtre devrait être de nature à le rassurer.

Temps calme. Les flics ne nous interrogent plus pour le moment.

Fabienne Rich arrive. Une jolie femme très glamour et tout étonnée de se retrouver devant tant de monde.

De façon stupide Musaraigne tente de dissimuler son visage.

– Eh Lisieux, tu fais quoi ? L’interpelle Bruneteau
– Vous avez enfin retrouvé ce connard ! Indique Fabienne en le montrant du doigt.

Je n’y comprends plus rien.

Bruneteau lui montre la photo de ses affaires rangées dans la garçonnière de Sauvignon.

– Reconnaissez-vous tout ça ?
– Evidemment, c’était dans ma valise.
– Expliquez- nous ce qui s’est passé.
– J’attendais sur un banc que l’embarquement pour Rome soit ouvert, ce monsieur était assis à côté de moi et nous avons échangé quelques banalités, un moment je lui ai dit que je devais aller aux toilettes et lui ai demandé de garder ma valise, et comme j’étais toute confiante je lui ai même laissé mon sac. Quand je suis revenue, ce salopard avait disparu avec toutes mes affaires. Et ensuite j’ai déposé plainte.
– C’est n’importe quoi ? S’écrie Musaraigne.
– Toi ta gueule ! Ce monsieur Lisieux nous a raconté une tout autre version. Nous allons la réécouter .

Musaraigne répète donc son petit baratin avec une conviction en berne

– Et pourquoi ne pas avoir été porté tout ça au poste de police de l’aéroport ?
– On ne réfléchit pas toujours à tout.
– C’est bizarre quand même, on a deux versions, donc au moins l’une est fausse. A ton avis on a tendance à croire laquelle ?
– Bon, je vais vous dire la vérité.
– Enfin !
– J’espérais que la dame m’offrirait une belle récompense.
– D’accord, j’ai sous les yeux la copie du dépôt de plainte de Madame Rich. C’est curieux parce que la description du voleur ressemble fichtrement à la tienne.
– Y’a des gens qui se ressemblent.
– Bon au point où t’en est autant nous dire la vérité, son bagage tu l’as trouvé où tu l’as volé.
– Je ne suis pas un voleur
– Bien sûr, mais parfois c’est l’occasion qui fait le larron
– Bon j’ai fait une connerie, j’avoue
– Et au fait tu faisais quoi à Roissy ?
– Vous m’embêtez, j’ai avoué le vol, maintenant foutez-moi la paix.

Et voilà que Karadec entre en trombe dans la pièce.

Nouveau coup de théâtre !

– La bague appartient à Malika Fuentes, disparue le 21 juillet pendant son jogging dans le bois de Vincennes, jamais retrouvée.
– Alors Lisieux ? Explications
– Ce sont les affaires de Monsieur Sauvignon, pas les miennes
– Et tes empreintes dessus, elles sont arrivées comment ?
– Qu’est-ce que j’en sais, moi ?

Bruneteau est sur le point de péter un câble.

– Bon on va faire simple, madame d’Esde et mademoiselle de la Souderie (Anna), foutez-moi le camp, il est possible que le juge d’instruction vous implique pour recel de malfaiteurs, mais ce n’est plus ma priorité.

On s’en va, dommage j’aurais bien aimé connaître la suite. Mais on me l’a raconté plus tard alors (un tout petit peu de patience) :

La première chose que nous avons faites avec Anna c’est de nous précipiter dans le bistrot le plus proche afin d’y consommer un petit déjeuner digne de ce nom.

– Je peux vous importuner cinq minutes ?

On lève nos nez, c’est Fabienne Rich. Qu’est-ce qu’elle fout là ? Envie de prendre un café tout comme nous, c’est tout simple.

– Drôle d’affaire ! Commence-t-elle.

Bon la dame a envie de causer et je n’ai pas l’impolitesse de l’envoyer promener, mais il ne faudrait pas que ça me prenne la tête non plus.

– Voyez-vous, je suis romancière…
– Professionnelle ? La coupe Anna toujours aussi curieuse.
– Ah, non je voudrais bien, j’ai juste publié un seul bouquin un polar, je trouvais ça pas mal mais ça n’a pas eu un grand succès. En fait je cherche des idées pour un deuxième bouquin et ce que j’ai entendu chez les flics… enfin je me disais… mais pour cela il faudrait que je connaisse toute l’histoire…
– Pour l’instant on ne sait pas tout ! Croit devoir préciser Anna.
– Oui mais vous finirez par savoir ?
– Si Lisieux se met à table
– Certes ! Vous pourriez m’aider ?
– Pourquoi pas ? Répond Anna.

Mais elle est givrée, elle aurait pu me demander mon avis et puis faudrait peut-être demander à Carole ce qu’elle en pense, c’est quand même la principale concernée, non ?

– Bien sûr les noms des protagonistes et des lieux seront transposés. Ajoute Fabienne.

Encore heureux !

Elle lit dans mes pensées ou quoi cette pétasse.

– Je ne me suis pas présentée, ajoute Anna qui nous fait ça à l’américaine. Anna-Gaëlle de la Souderie, galeriste.
– Oh, vous gérer une galerie !
– J’en suis propriétaire, rue de Seine.
– Et vous exposez quel genre de choses ?
– Des choses un peu coquines.
– Ah, ah, vous êtes coquine, alors ?
– On le dit, on le dit.
– Donc moi, mais vous le savez déjà, je suis Fabienne Rich.
– Oui, donc romancière…

Anna avec ses gros sabots essaie de faire dire à Fabienne quel est son métier, mais celle-se contente de sourire énigmatiquement.

Bizarre ! Aurait-elle une activité « inavouable » ?

– Vous faites quoi aujourd’hui ? Lui demande Anna.
– Je n’ai rien de prévu avant 18 heures

Mais qu’est-ce qu’elle est en train de nous faire ?

– Ça vous intéresserait de visiter ma galerie ?
– Avec grand plaisir.

Que je suis conne, je n’avais rien compris, les deux nanas ont un ticket réciproque. Décidément il y a de plus en plus de gouines en liberté, cela dit je serais mal placée pour critiquer étant moi-même assez portée sur la gent féminine.

Mais en fait je suis presque jalouse, qu’est-ce qu’elle a de mieux que moi, Anna ?

– On te laisse Chanette, j’emmène Fabienne à la galerie.

Elle ne me propose pas de les accompagner, ça tombe bien je n’avais pas envie d’un plan à trois.

Anna et Fabienne prennent le métro bondé, chose qui ne facilite pas vraiment les échanges. Arrivées à l’Odéon, elles cheminent jusqu’à la galerie « la feuille à l’envers »

– Quel joli nom ! C’est intentionnel, je suppose ?
– Tout à fait.

Fabienne s’amuse à la vue des œuvres exposées mais ne s’y attarde pas.

– C’est en effet assez coquin, dit-elle, mais bon nous savons toutes les deux pourquoi nous sommes ici , sauf que le lieu n’est peut-être pas propice.
– Détrompez-vous, il y a un sous-sol avec quelques banquettes assez confortables.

Elles descendirent.

– C’est mignon ici !
– Mignon et intime. On va peut-être arrêter de se vouvoyer, non ?
– Cela va de soi ! Répondit Fabienne. Bisous ?

Les lèvres des deux femmes se rapprochent, elles s’embrassent à pleines bouches jusqu’à en baver. En même temps les mains ne restent pas inactives. Elles caressent, elles débraillent.

Anna a tôt fait de libérer les seins de Fabienne, de taille modeste mais terminés par de gros tétons sombres aux larges aréoles. Elle se penche et entreprend de les sucer.

– Oh, la la qu’est-ce que tu me fais ! C’est trop bon !

Rapidement les deux femmes se sont retrouvées presque complétement nues. Elles se pelotent, se caressent, s’embrassent, se lèchent.

Un moment le doigt d’Anna s’égare dans le trou du cul de sa partenaire.

– Tu aimes ?
– J’adore !
– Tu aimerais un petit gode ?
– Oui bien sûr… Mais tu as ça ici ?
– J’ai des tas de trucs, des godes, des boules de geisha, de machins pour les masos… Répond Anna en ouvrant en petit placard mural.
– Je suis peut-être indiscrète, mais qu’est-ce que ça fait dans le sous-sol d’une galerie d’art ?
– Oh la curieuse ! Mais c’est très simple, j’organise régulièrement des vernissages et parfois ça se termine en partouze, alors ces braves gens sont ravis de trouver quelques accessoires fournis gracieusement par la maison !
– Ça doit valoir le coup d’assister à ça !
– Tu sais, ce n’est jamais pareil il y a parfois des gros lourds, mais il y a eu des fois où ça a été génial.
– Tu me racontes ?

Le récit d’Anna.

C’était le vernissage d’Orlanda, une artiste transsexuelle complétement extravertie. C’est une grande brune métissée au visage d’ange. Il y avait deux autres trans, mais aussi deux travestis, en tout nous étions une vingtaine.

Un moment Orlanda s’approche d’un type (on va l’appeler Pierre) en train de flasher sur une de ses peintures.

– Alors mon grand , il te plait mon tableau ?
– Il est joli.
– Achète-le.
– Pas évident d’accrocher chez soi !
– Parce qu’il y a une bite ?
– Ben oui !
– Quand c’est Michel-Ange qui dessine des bites on ne lui dit rien… mais bon je ne suis pas Michel-Ange, mais je m’en fous, j’aime bien les bites et toi ?
– Moi, ben… bredouille le type.
– Oh ! le gros timide qui ne veux pas avouer qu’il aime les bites !
– Vous exagérez quand même !

J’ai suivi la conversation, ça m’amuse, le champagne aidant un peu, j’ai envie de faire un peu de provocation.

– Descendez donc au sous-sol, vous pourrez discuter de façon plus intime !
– Bonne idée ! Répond Orlanda. Tu viens mon chou !
– Euh !
– Allez, ne fais pas ta jeune fille, personne ne va te manger.

Ils descendent, je les suis nochalement².

Il y a déjà du monde en bas, si dans un coin la première scène est classique avec une dame entre deux âges se faisant peloter par un jeune, ce qui se passe un peu plus loin est plus original puisqu’un gigantesque travesti la bite à l’air est en train de sucer un vénérable barbu sous l’œil égrillard d’une belle bourgeoise.

Me voyant arrivée, la bourgeoise me fait un clin d’œil explicite, je ne saurais refuser une telle invitation et vais de ce pas à sa rencontre et sans autres formes de procès nous nous roulons une gamelle d’enfer ! J’adore les vieilles bourgeoises salopes.

– Bon alors maintenant qu’on est là, se pose une question fondamentale. Lequel va sucer l’autre ? Demande Orlanda à Pierre.
– C’est-à-dire…
– Bon, tu veux que je prenne l’initiative, c’est pas un problème !

Et Orlanda lui dégrafe la ceinture de son pantalon, Pierre se laisse faire, tétanisé.

– Quand homme excité, retirer pantalon, sinon avoir l’air d’un con ! Disait Lao-Tseu.

Pierre n’est pas sensible à cet humour particulier, mais se retrouve néanmoins avec le pantalon sur les chevilles, le caleçon à fleurs suit le même chemin.

Orlando s’est saisi de la bite de Pierre,

– Beau morceau qu’est-ce que t’en penses, Anna ? S’exclame la transsexuelle.
– En effet, mais je suis occupée, régale-toi, ma grande !

Ben oui la vieille bourgeoise est en train de me lécher mes bouts de seins et ça me fait un bien fou.

La bite de Pierre est maintenant dans la bouche d’Orlanda qui se livre à un pompage en règle. L’homme se pâme de plaisir.

– Hum ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ta bite ! Tu veux m’enculer ?
– Oui, oui !

Chanette3011Comme quoi il n’y a rien de tel qu’une bonne pipe pour envoyer sa timidité au vestiaire.

Le sous-sol s’est rempli, et il commence à y avoir beaucoup trop de monde là-dedans. Et il fait très chaud.

Orlanda s’est mise à l’aise dévoilant son corps de déesse à la peau satinée.

– Alors ma poule, je te plais comme ça ?
– Tu me fais bander !
– J’espère bien ! Et ma bite, tu aimes ma bite ?
– Elle est belle !
– Alors suce-là !
– Je n’ai jamais fait ça !
– Suce, je te dis !
– Peut-être pas aujourd’hui.
– Quand alors ? Il ne faut jamais remettre à demain une bite que l’on peut sucer aujourd’hui.

Pierre hésite encore un peu.

– Si tu ne me suces pas, tu ne m’encules pas !

L’argument a porté, Pierre ferme les yeux et embouche la bite d’Orlanda, il est comme dans un rêve, il se rend compte qu’il aime ça, il suce un peu n’importe comment mais il est heureux de le faire.

Il est néanmoins fort surpris quand il se rend compte qu’une seconde bite a pris place non loin de son visage, il lève le nez et ne reconnait pas cet homme en veston cravate.

– Ben qu’est-ce que tu attends, suce-le ! Lui dit Orlanda.
– Mais… c’est… c’est un homme…
– Oui et alors ? Quand on suce des bites, on suce des bites ! Allez vas-y tu vas te régaler, c’est tellement bon de sucer des bites, moi j’en sucerais bien toute la journée !

Alors Pierre, comme dans un rêve suce cette nouvelle bite et la trouve fort agréable.

– Ben Pierre, tu fais quoi là ?

Reconnaissant la voix de Delphine, son épouse, il stoppe sa fellation.

– Ben, tu vois je m’amuse un peu, j’ai dû boire un coup de trop !
– Cochon, salaud, pédé !
– Mais enfin Fifine…
– Morue, gros dégueulasse, pervers !
– Mais laisse-le tranquille il a bien le droit de sucer des bites ! Intervient une autre voix féminine.
– Bien sûr qu’il a le droit, mais il aurait pu me demander la permission ?
– Bon ça y est, je peux continuer ? Demande Pierre agacé par ce contretemps.
– Oui continue à sucer ce monsieur, moi je vais m’occuper de la bite d’Orlando, je n’ai jamais eu la chance de sucer une bite de trans.

Spectacle étonnant, non ? Que de voir Monsieur et Madame sucer chacun une bite.

– Madame vous me sucez divinement, mais j’ai promis à votre époux qu’il pourrait me prendre le cul…
– Je comprends, je comprends, quand nous serons rentrés à la maison je vais devoir le punir pour toutes ces turpitudes.
– Hum, vous vous livrez à des petits jeux sadomasos ?
– J’adore !
– Vous faites quoi ? fessées, humiliation, pipi…
– Tout ça !
– Hum, ça ne me déplairait pas d’être votre esclave pendant une heure.
– Ça peut se faire ! Lui répond Delphine.
– Je peux prendre vos coordonnées…
– Mais avec grand plaisir !

Après cet échange d’amabilités, Orlanda s’installa en levrette, prête à recevoir en son cul les assauts virils de Pierre.

Moi pendant ce temps-là, je léchais à qui mieux mieux la chatounette de ma belle bourgeoise qui se pâmait d’aise. Elle mouillait comme une fontaine, mais je perçu un moment la présence d’un petit goût différent.

– Il faut que je pisse, excuse-moi… me dit la dame.
– Vas-y pisse, je vais te boire !
– C’est vrai ?
– Puisque je te le dis !

Je me suis régalé, sa pisse était délicieuse.

Fin du récit d’Anna.

Le récit prit fin, non pas parce qu’Anna avait fini de raconter, elle aurait pu encore en rajouter pendant des heures… mais parce que ce dernier passage intrigua Fabienne qui du coup l’interrompit.

– Oh, tu as bu sa pisse ! S’exclame Fabienne
– Excuse-moi, je ne voulais pas te choquer.
– Mais je ne suis pas choquée, on pourrait faire des choses comme ça, toutes les deux ?
– Avec plaisir ! Tu veux commencer, j’ai peut-être une petite envie.
– Oh, oui ! oh oui !
– O.K. Mets-toi bien entre mes douces cuisses.

Anna se concentre quelques instants puis laisse couler son jet. Fabienne avale et se régale.

– Hum ! Génial, je n’ai pas eu si souvent l’occasion de faire ça
– Tu fantasmais là-dessus ?
– Oui, parfois quand je fais pipi, je m’en mets sur le doigt et je lèche, je suis cochonne, hein ?
– T’es pas cochonne, t’es coquine !
– Je suis une cochonne coquine !
– C’est ça !
– T’es lesbienne ou bi ?
– Tu sais les étiquettes… Mon activité de romancière, c’est mon jardin secret, sinon, je suis agent commercial, je me déplace beaucoup, ça facilite les « coups d’un soir ». Avec les mecs c’est pas toujours évident, soit tu passes pour une salope, mais je m’en fous, soit le mec il croit que c’est arrivé et il te colle aux fesses, c’est pénible. Mais sinon, sucer une bonne bite, j’aime bien, une bonne chatte aussi…

Et passant directement de la théorie à la pratique, Fabienne se précipite sur le sexe d’Anna et le balaie de sa langue, léchant au passage les sucs abondants, tandis qu’un doigt impertinent vient lui visiter le trou du cul. Anna se pâme, sentant déjà son plaisir proche, sa respiration s’accélère, elle jouit comme une folle.

Fabienne change de position, écarte ses cuisses exhibant sa chatte dégoulinante de mouille..

– Allez, ma grande, à ton tour de me brouter…
– Je sens que je vais me régaler.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:57

Chanette 30 – La disparition de Carole – 10 – Anna Gaëlle fait banquette par Chanette
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Anna-Gaëlle ayant obtenu ce qu’elle était venue chercher, à savoir un bon petit trip sexuel, les choses auraient pu en rester là, mais il faut croire que Jackie voulait prolonger ce contact et insista afin que sa partenaire puisse admirer comme il se doit sa collection de peintures sur soie.

– Oh, mais c’est très joli tout ça ! Commenta Anna fort hypocritement.
– Je vais faire un vernissage le 25, je vais te donner un carton d’invitation.
– Avec plaisir !

« Quelles horreurs ! »

Anna se garda bien de lui indiquer qu’elle était elle-même galeriste…

« Manquerait plus qu’elle me demande d’exposer ses merdes dans ma galerie ! »

De son côté, Musaraigne a semé facilement son flic.

« Pas très doué, le mec ! »

Il cherche qui pourrait le renseigner sur cette introuvable Carole.

« Pourquoi pas cette Jackie qui semblait en excellents termes avec Sauvignon et qui l’avait aidé à organiser la petite sauterie à Lacanau ? »

Il possède l’adresse et s’y rend en métro…

Jackie n’en peut plus de montrer à Anna des trucs et des machins accompagnés de commentaires dithyrambiques …

Et voilà que l’on sonne à l’entrée. Jackie s’en va ouvrir.

– Monsieur Lisieux ! Vous ici !
– J’ai une terrible nouvelle à vous annoncer, mais je préfèrerais que nous soyons en tête à tête.
– J’allais vous laisser… Commence Anna.
– Euh, vous allez en avoir pour longtemps ? Demande Jackie.
– 10 minutes. Précise Musaraigne.
– Anna, sois gentille attends-moi dans la cuisine, j’ai encore un truc à te faire voir.

Anna s’y enferme donc et constate que l’on entend tout ce qui se passe à côté.

– Monsieur Sauvignon a été assassiné. Déclare alors Musaraigne
– Quoi ? Le pauvre homme, lui qui était si gentil. Vous avez des détails ?
– On connaît l’assassin, c’est une fille…
– Mais pourquoi…
– On l’ignore, la police la recherche.
– Eh bien, merci de m’avoir prévenue, si vous apprenez d’autres choses soyez gentil de me contacter, je vais vous donner mon numéro.
– En fait j’aimerais vous demander un service.
– Dites !
– J’aimerais retrouver cette bonne femme avant la police.
– Ah ? Et pourquoi donc ?
– Disons que j’aimerais aider la police.

Jackie ne comprend plus très bien.

– Ils vont la retrouver, ils savent faire. Laissez-les travailler.
– C’est qu’elle m’a piqué des objets personnels, des trucs de valeur, j’aimerai bien les récupérer, si elle est arrêtée ça va être la galère.
– Mais en quelles circonstances elle vous aurait dérobé ces objets ?

C’est que c’est une insatiable curieuse, cette Jackie !

– Vous savez quand on se livre à certaines petites fantaisies, on se met à l’aise… Improvise Musaraigne.
– Je vois, mais vous m’aviez parlé d’un service…
– Je voulais savoir si vous pouviez m’aider à retrouver cette fille.
– Mais comment voulez-vous que je fasse ? Elle est comment, d’abord ?
– Elle s’appelle Carole, très jolie, fausse blonde, bien roulée. Elle était à la boum de Lacanau
– Avec ça, je ne vais pouvoir vous aider beaucoup, des belles filles il y en avait pas mal et j’ai rapidement trouvé mon compte.
– Mais vous l’avez vu ?
– Sans doute, mais ensuite ? S’impatiente Jackie.
– Je ne sais pas !
– Elle était peut-être avec quelqu’un ? Ce que je cherche c’est une piste.
– Ben non, je peux pas vous aider
– Tant pis, si quelque chose vous revient auriez-vous l’obligeance de m’en avertir.
– Bien sûr mais ne vous faites pas trop d’illusions.

Et sur ces bonnes paroles, Musaraigne quitta les lieux.

– Anna tu peux sortir, l’emmerdeur est parti.
– Je vais y aller.
– Je te montre juste une toile qu’un type m’a commandé et je te libère. Tu as entendu la conversation ?
– J’ai pas fait trop attention, mentit Anna, mais j’ai cru comprendre que quelqu’un était mort.
– Oui c’est Sauvignon.
– C’est qui ?
– Le mec qui a fait le speech à Lacanau.
– Ah oui !

Musaraigne redescend, désespéré.

« Je n’ai plus de piste, il ne me reste qu’à prendre le maquis, mais même ça, est-ce que je vais savoir-faire ? »

Tilt

Mais tout d’un coup, il a une révélation :

« Putain la fille que j’ai aperçu chez la mère Jackie, elle accompagnait Carole à Lacanau, elle est là ma piste ! Trop la chance ! »

Il revient sur ses pas, attend patiemment qu’Anna sorte de l’immeuble et la filoche dans la rue.

Elle ne va pas bien loin, s’arrête à la terrasse d’un café et téléphone à tout le monde,

J’étais occupée quand elle a essayé de me joindre et je n’ai pris connaissance de son message qu’après le départ de mon client.

Je la rappelle, elle me rapporte la conversation qu’elle a surpris entre Musaraigne et Jackie.

– J’ignore si je peux avoir confiance en cette bonne femme, elle paraissait assez proche de Sauvignon. Elle savait que je pouvais entendre la conversation, donc elle n’a rien dit au mec, mais à la limite, elle peut le rappeler…
– Je vois.
– Donc conclusion, Carole est vraiment en danger…
– OK, on se retrouve tous chez moi à 19 heures, Max m’a prévenu de son arrivé, il aura surement une solution…

Anna rejoint sa galerie dont elle est propriétaire rue de Seine.

– T’en es où ? demande Bruneteau à son agent filateur.
– Il a rendu visite à quelqu’un mais j’ai pas pu savoir qui…
– Ben alors !
– Ça arrive…
– Et maintenant ?
– Il a suivi une femme jusqu’à une galerie d’art rue de Seine, il fait les cent pas devant, je ne sais pas trop ce qu’il fabrique…

Effectivement Musaraigne ne sait trop comment agir, il sait que cette galeriste le conduira jusqu’à Carole, mais la chose n’est pas si simple. Entrer et lui extorquer l’adresse de sa copine sous la menace ? Facile mais ensuite elle donnera l’alerte, ce sera donc une course de vitesse avec la police ! Combien de chances de réussir ? 50 % ?

Il hésite, il hésite puis repassant devant la galerie maintenant vide de tout visiteur il se décide…

– Quand faut y aller, faut y aller !

Il rentre tandis que le policier se poste sur le trottoir d’en face.

– Bonjour, vous êtes une amie de Carole si je ne m’abuse ?
– Je ne connais pas de Carole, vous vous trompez d’adresse. Répond crânement Anna.
– Alors j’ai un revolver dans ma poche, si tu ne me donnes pas son adresse, je te tire dans les jambes.
– Vous allez me foutre le camp, pauvre connard ! Hurle Anna tout en déclenchant une discrète alarme police avec son pied.

Alerté par les éclats de voix le policier accourt à toute vitesse.

– On ne bouge plus, les mains en l’air, vous êtes en état d’arrestation.

Ce n’est rien de dire que Musaraigne ne s’attendait pas à ce retournement de situation

Le flic le menotte en attendant l’arrivée du panier à salade, puis il se retrouve devant Bruneteau.

– On ne peut pas te laisser dans la nature sans que tu fasses des conneries. Bon on va t’enfermer un petit peu, on a pas que toi comme client.

Il se tourne alors vers son subalterne.

– La victime, elle a dit quoi ?
– Lisieux lui a demandé sous la menace les coordonnées d’une certaine Carole, elle lui a répondu qu’elle ne connaissait pas de Carole…
– Mais en vérité ?
– Elle m’a confirmé qu’elle ne connaissait pas de Carole, mais bon elle raconte ce qu’elle veut.
– C’est bien ce qu’il me semble aussi, Lisieux n’était pas là-bas par hasard. Je veux qu’on suive cette nana, je sens qu’on tient le bon bout.
– Et Lisieux on en fait quoi ?
– C’est dommage qu’on ne puisse plus le suivre, cela aurait doublé nos chances ?
– Chef, je ne lui ai pas signifié ses droits.
– Super, on va donc lui raconter qu’il y a vice de forme et le relâcher.
– Il va se douter de quelque chose.
– On saura gérer.

Devant Lisieux, Bruneteau mime une grosse colère.

– Les lois françaises sont les plus stupides du monde, à cause d’un défaut de procédure on est obligé de libérer des ordures comme toi.

Musaraigne n’est pas complétement idiot et devine aisément qu’il y a un piège là-dessous, mais se sent assez malin pour le déjouer

Première chose, semer son poursuivant et sans reproduire l’erreur de la première fois.

Il repère rapidement son suiveur, ne fait rien pour le semer et chemine jusqu’à St Germain des Prés, puis pénètre dans l’église dans laquelle seules quelques rares bigotes sont occupées à solliciter le Seigneur. Il s’assoit dans les derniers rangs près de l’allée centrale et attend.

Karadec le laisse entrer et attend qu’il ressorte. Mais 30 minutes plus tard, il n’était pas revenu.

« Il connait peut-être une autre sortie, la sacristie sans doute ? »

Alors il va voir, le trouve au dernier rang.

« Qu’est-ce qu’il fout ? Il attend quelqu’un ? »

Il va s’assoir à son tour et se place quatre rangs devant Musaraigne.

Ce dernier attend, observant la technique du poulet qui se sert de son téléphone portable à la façon d’un rétroviseur

Dix minutes plus tard, deux dames âgées pénètrent dans la nef. L’une d’elle est fort bruyante, ce qui, vous en conviendrez ne sied guère à la solennité des lieux.

Mais cela provoque un moment de distraction y compris chez le flic, du moins c’est ce qu’espère Lisieux qui s’élance vers la sortie et se carapate dans les rues avoisinantes.

Il attend quelques minutes avant de se retourner, il n’est sûr de rien.

Alors il prend la rue de Rennes jusqu’à la gare Montparnasse, prend un billet pour Le Mans et monte dans le train…

– Allô chef. Il a pris le train…
– Il nous fait lanterner. Qu’est-ce qu’il va foutre au Mans ?
– Je ne sais pas, peut-être acheter des rillettes.
– Tu le suis toujours ?
– Oui.
– OK, on attend demain, s’il n’y a rien de nouveau on ira cuisiner la fille de la galerie.

Max est arrivé chez moi, Carole et Valentin également, on n’attend plus qu’Anna qui commence à se faire désirer. Mais c’est vrai qu’elle a toujours été fâchée avec la ponctualité.

Max à qui j’ai eu le temps d’exposer l’affaire nous propose plusieurs plans. Certains sont assez expéditifs, il me fait peur, parfois !

Et voici qu’Anna se pointe, elle n’a jamais qu’une demi-heure de retard.

– Désolée, mais il y a du nouveau. Lisieux est venu m’agresser à la galerie, les flics sont arrivés tout de suite, je ne sais pas comment ils ont fait mais ils l’ont embarqué.
– Quoi, mais ça change tout !. M’écriais-je
– Ça fout tous nos plans en l’air, les flics vont rapidement comprendre que ce n’est pas lui qui a trucidé Sauvignon. Il faut donc mettre au point un scénario qui ressemble à quelque chose, intervient Max.

On cherche, on cherche et on ne trouve pas grand-chose.

– Planque-toi, Carole, prends une chambre d’hôtel, propose Anna.
– Je ne vais pas me planquer toute ma vie.
– Alors tu te rends, tu plaides coupable et tu invoques la légitime défense
– C’est d’un gai !
– Comment faire autrement ?
– Ben je ne sais pas, j’ai besoin d’un peu de recul. Et si on trouvait un truc pour impliquer Lisieux à ma place ? Suggère-t-elle
– Ils vont passer toute sa garçonnière au peigne fin, l’arme du crime sera identifiée et sur l’arme du crime il y a tes empreintes.
– Je connais quelques bons avocats… Ajoutais-je afin de tenter de la réconforter.
– Oui bon et concrètement je fais quoi ? Je me constitue prisonnière ?
– On n’est pas à quelques heures prés. Il faut d’abord que l’on voit avec un avocat. Ne rentre pas chez toi ce soir, Chanette, tu peux l’héberger ?
– Bien sûr !

On a commandé des pizzas qu’on s’efforce de manger dans la bonne humeur, Max assis à côté de Valentin ne cesse pas de lui envoyer des vannes sexuelles très explicites.

Il est en rut ou quoi ?

– T’as envie de me sauter ou tu le fais exprès ? lui demande Valentin..
– Je te sauterais bien, mais je sais me tenir !
– Si vous voulez vous faire des trucs, ne vous gênez surtout pas ! Intervins-je.
– C’est vrai on peut ? Demande Max, hilare.

Anna et Carole n’ont pas la grande forme mais font savoir que cela ne les dérange pas.

Max se lève et enlève carrément son pantalon et son slip, exhibant une bite demi-molle.

– Allez Valentin, fais-moi bander tout ça !

Valentin n’hésite pas un instant, il prend la bite dans la main et la branlotte quelques instants afin de lui donner meilleure forme, puis la prend dans sa bouche en la suçant comme il se doit.

– Hum, c’est qu’elle me suce toujours aussi bien cette petite pédale ! Commente Max dans un grand élan poétique.

Ça commence à m’exciter de voir ça, pourtant des mecs qui sucent des bites, je vois ça toutes les semaines dans mon donjon, mais là le contexte est différent, Valentin et Max sont des amis… Et de façon instinctive je commence à me trifouiller l’entrejambe.

– Ben Chanette tu t’égares ! Me vanne Carole.
– Je ne m’égare pas, je me tripote !
– Tu veux un coup de main ?
– C’est pas de refus !

Du coup, je baisse pantalon et petite culotte, lui laissant l’accès libre et elle se met à me doigter. Au bout de quelques instants elle s’arrête pour enlever le bas à son tour.

– Comme ça tu peux aussi t’occuper de moi !

J’avais compris. Je lui fous les doigts dans la chatte, c’est tout mouillé là-dedans, ça fait floc-floc.

L’ambiance devient très chaude, seule Anna reste sage, mais il faut la comprendre, elle est encore sous le choc de son agression.

Je me suis rapprochée de Carole et lui roule un patin en cherchant ses seins que je parviens à dégager de son haut. Je les connais bien ses nichons mais je ne m’en lasse pas et je les tète avec gourmandise avant de lui offrir les miens.

De l’autre côté, Valentin a cessé sa fellation et s’est arcbouté contre la table, offrant son cul.

– Oh quel beau cul ! Je ne m’en lasserais jamais ! Commente Max en ponctuant ses paroles d’une bonne claque sur la fesse gauche.

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Il ne l’encule pas tout de suite, non il prend son temps, il musarde, jouant de sa langue sur le bord de l’anus, faisant pénétrer un doigt inquisiteur, puis un second.

Puis finalement il donne l’assaut.

Oh , que c’est bon ! Oh, que c’est bon de se faire enculer ! Psalmodie Valentin.

Je sens mon désir monter sous les doigts de fée de Carole, j’éclate en m’aspergeant les cuisses de ma mouille, J’accélère ensuite ma pression sur la minette de ma complice qui ne tarde pas à me suivre dans l’orgasme.

Et pendant temps-là Max éclate son plaisir dans les entrailles de Valentin, il se retire avec un air béat.

– Quelqu’un s’occupe de moi ? demande alors Valentin.
– Patiente un quart d’heure, tout viendra à temps, lui répond Max en retirant sa capote, dévoilant sa bite gluante de sperme. Tu veux nettoyer ?

Valentin, excité comme une puce s’acquitta fort bien de cette tâche.

On a donc terminé nos pizzas, un peu refroidies, en discutant de choses et d’autres, Anna avait l’air de plus en plus absente, je suis allé voir dans mon armoire à pharmacie mais n’ai rien trouvé, alors je lui ai fait une tisane.

En revenant lui porter, je pu constater que Max s’amusait à caresser la bite de Valentin. Quel cochon celui-là !

Valentin se pâme de plaisir, Max n’en peut plus et plonge sa bouche vers la bite tendue, il se régale

– Maintenant c’est toi qui vas m’enculer ! Dit-il à son partenaire..
– C’est nouveau ? M’étonnais-je.
– Non c’est une évolution logique, je me sens de plus en plus pédé et d’ailleurs c’est de ta faute !
– Comment ça, c’est de ma faute !
– C’est bien toi qui as été me foutre un gode dans le cul…
– Mais c’est toi qui me l’avais demandé ! (voir Chanette 26 – les manuscrits de Sacha).
– C’était juste pour essayer, maintenant j’y ai pris goût. Bon Valentin tu m’encules ou tu attends la révolution prolétarienne ?

Valentin, bandé comme un âne, s’encapote et sans autres préliminaires pénètre le fion de Max le dur.

Ce spectacle m’excite terriblement. En fait j’ai envie que Max m’encule, c’est l’un des rares bonhommes à qui j’accorde cette privauté.

– Quand tu auras terminé tu pourras peut-être t’occuper un peu de moi ! Lui lançais-je.
– Attend, on va faire une figure de style ! Me répond-il.

Une figure de style ? En théorie ce qu’il propose est simple, Max demande à Valentin de sortir de son cul, puis de s’assoir, Max vient alors s’empaler sur sa bite.

– Tu ne bouges pas, c’est moi qui bouge…

Et moi dans tout ça ? Eh bien je n’ai plus qu’à m’empaler à mon tour sur la bite de Max. Et comme je vous le dis en théorie c’est génial, en pratique, il faut synchroniser… de plus le pauvre Valentin est obligé de supporter le poids de deux personnes dont un balèze. Autant dire que ce petit train vertical ne tient pas longtemps la distance.

– Vous êtes vraiment nuls tous les trois ! Se gausse Carole, le petit train, faut le faire en position couchée.

Ben oui évidemment, du coup on descend sur le tapis et on se positionne en cuillères, Valentin encule Max qui m’encule ! Et Youppie !

Max m’a fait jouir avec sa bonne bite dans mon cul, Quelques instants plus tard Valentin déchargeait à son tour.

Je vais pisser ! Nous informe Max, ça intéresse quelqu’un ?

Ça ne m’intéresse que moyennement, mais ayant moi aussi une petite envie, je le suis dans la salle de bain, Carole nous rejoint.

– Allez les poulettes, ouvrez bien vos petites bouches, je vais vous donner à boire.

On s’est agenouillé avec Carole et avons reçu son jet doré, il avait une grosse envie et de l’urine nous a dégouliné partout sur le corps.

– Allonge-toi par terre, Max ça va être notre tour de t’arroser !
– Mais c’est plein de pisse, par terre ! Proteste-t-il.
– On s’en fout, on se douchera après…

Quand on est revenu dans mon salon, Anna finissait de boire sa tisane, le regard lointain.

– A vous voilà, vous pouvez décidemment pas vous empêcher de faire de cochonneries.

Anna qui joue les effarouchées, on aura tout vu !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Chanette
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