Sylvain Zerberg

Samedi 19 mars 2022 6 19 /03 /Mars /2022 14:37

Felicity et Bérangère par Sylvain Zerberg – 2 – Perversions décomplexées

 stamp rousse

J’en étais là de mes réflexions quand Felicity, la clope au bec s’approche de moi avec un sourire craquant.

– Toi, tu es un petit cochon, tu m’as enculé deux fois, c’était très bon !
– Pour moi aussi c’était bon ! Répondis-je en lorgnant sur ses beaux nichons, il y a des choses dont on ne se lasse jamais.
– Je peux te demander une petite fantaisie qui me ferait plaisir ?

Je m’attends au pire !

– Dis-moi !
– Je voudrais que tu me pisses dessus !

C’est pas vrai que ça recommence ! Et au lieu de faire une réponse intelligente, je réponds n’importe quoi :

– Et j’ai quoi en échange ?
– Ce que tu veux ! Je t’offre mon corps, je n’ai aucun tabou !

Je suis comme un con, je ne sais plus quoi lui répondre.

– T’as le droit de réfléchir, rien ne presse ! Alors tu viens me le donner ce pipi ! Insiste-t-elle en me prenant la main et me tirant vers la salle de bain.

– Mais j’ai pas envie !
– Tu peux toujours essayer.

Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Alors que ce matin je me révoltais, là je me laisse trainer comme un toutou. Felicity s’est accroupie dans le carré à douche après avoir laissé couler l’eau du lavabo, il parait que ça aide. Je ferme les yeux, j’attends que ça vienne, ça finit par venir, le jet part, l’anglaise s’arrange pour qu’il atterrisse dans sa bouche. Je me demande quel gout ça peut avoi ?

Une fois l’affaire terminée, je quitte la salle de bain sans un mot et je me rhabille. Les filles ont fait la même chose, on a joué aux cartes en buvant des bières et on est allé se coucher.

J’ai mal dormi, et le matin j’avais pris une résolution qui n’avait plus rien à voir avec celle de la veille. Si vraiment ma sœur veut que je la baise, et bien je vais la baiser, ça sera fait et on n’en parlera plus !

Je me suis levé, douché rapidement, habillé tandis que les deux donzelles roupillaient encore comme des bienheureuses, puis je suis descendu chercher des croissants, J’adore les croissants bien chauds !

– Ben Monsieur Sylvain, vous m’avez l’air fatigué ! Me dit ma jolie boulangère.
– J’ai mal dormi.

J’aurais bien continué la conversation, mais il y avait du monde derrière moi, le monde est mal fait.

Quand je suis rentré, les filles avaient quitté le lit et occupait la salle de bain. Je fis donc « partir » le café.

Et voilà qu’elles sortent, Bérangère dans mon peignoir, Felicity emmitouflée dans une grande serviette de bain. Ces demoiselles sont pudiques, ce matin ! Mais à mon avis elles ne vont pas le rester longtemps.

Felicity réclame de la confiture ! J’avais oublié que les Anglais ne petit-déjeunent pas de la même façon que nous. Alors allons-y pour la confiture, je suis sûr qu’après elle va me demander de lui faire cuire un œuf !

L’anglaise laisse tomber sa serviette de bain ! Qu’est-ce que je disais ? Elle commence par enduire des bouts de croissant avec la confiture avant de les déguster… Puis sans crier gare, la voici qui avec sa cuillère remplie de confiture s’en badigeonne le téton.

– Un peu de confiture, Sylvain ? Me propose-t-elle en m’exhibant son sein au cas où je n’aurais pas compris.

Donc, ça y est, c’est parti, je lèche le néné de l’anglaise et je commence à bander !

– A moi de jouer ! Intervient Bérangère, qui se barbouille la chatte de confiture.

Je n’ai même pas hésité et commence à lécher tout ça, mais elle interrompt le jeu assez rapidement.

– Tss, tss c’est à toi de jouer maintenant !
– Comment ça ?
– Ben je ne sais pas, moi, mets-toi de la confiture sur la bite !

Sont complètement barges !

– Allez quoi ? Me presse l’anglaise !

Je n’ai pas non plus envie de tacher mes fringues, je me déshabille prestement et enduit ma bite de confiture.

Felicity approche sa bouche et commence à faire le ménage.

– Il y a en a de trop, viens m’aider Bébé !

Bébé c’est donc le nouveau diminutif de Bérangère, c’est idiot, non ?

Mais là n’est pas le plus important, parce qu’en ce moment je suis en train me faire sucer la bite par ma sœur, et je me laisse faire.

Quand la confiture fut absorbée, les deux filles abandonnèrent leur fellation dégustatrice en rigolant comme des bossues.

On fait quoi maintenant ? Je bande comme un cerf et j’ai devant moi deux gazelles qui ne demandent qu’à s’envoyer en l’air.

– Je crois que Bébé aimerait beaucoup que tu l’encules ! M’informa Felicity
– Oh, oui s’il te plait ! Confirma cette dernière.

J’hésitais un peu ! Ma sœur se mit alors en levrette, le cul cambré, exhibant tous ses trésors en écartant ses fesses de ses mains.

– Allez viens ! La sodomie ce n’est pas de l’inceste !
– Hein ?
– Tu réfléchiras à ça si tu n’arrives pas à dormir ce soir, c’est un bon sujet de philo, en attendant viens m’enculer !

Toutes mes inhibitions avaient maintenant disparues. J’entrais facilement dans son conduit anal. Ma frangine avait dû se faire ramoner un certain nombre de fois pour avoir le passage si facile.

Alors je pilonne, je pilonne…

– T’aimes ça te faire enculer par ton frère, Hein salope !
– Continue, va bien au fond, ah, aaaaah ! Bourre-moi bien.

Je sens que l’affaire ne va pas durer longtemps, d’une part la sœurette est en train de râler comme une possédée et moi je sens que je ne suis pas loin du plaisir.

Quand Bérangère laissa libre champ à sa jouissance, j’accélérai afin de jouir à mon tour. Une fois la chose faite, je me retirais, la bite gluante de sperme et tachée de traces de merde. Sans trop réfléchir, je déposais un peu de ces pollutions sur la rosette de ma sœur puis me reculait. Felicity se précipita alors pour lécher tout cela avec gourmandise. Elle procéda ensuite avec une gloutonnerie non feinte, au nettoyage buccal de ma bite, son état ne la dérangeant pas le moins du monde.

Je me fis alors la réflexion que l’on s’approchait l’air de rien de la scato, d’autant que l’anglaise avait l’air de s’y complaire.. Bizarrement cela ne me choqua pas plus que ça.

Felicity sollicita ensuite Bérangère afin qu’elle la fasse jouir à son tour. Elles ne s’arrêteront donc jamais !

Et sur ces entrefaites, les deux donzelles s’habillèrent et partirent faire les touristes, au programme, Tour Eiffel, le Louvre et je ne sais plus quoi.

Me voilà tranquille jusqu’au soir. Elles m’ont téléphoné qu’elles dineraient au restaurant, j’ai donc cassé la croute tout seul et j’ai fini la soirée en pyjama en écoutant de la musique tout en lisant un bon polar.

Et les voilà qui rentrent, me disent qu’elles sont crevées, qu’elles vont se coucher et m’invitent à mettre un casque pour écouter ma musique.

Dix minutes après j’entendais d’étranges gémissements. Je retirais mon casque et pointait un regard interrogateur en direction des deux copines qui étaient pas du tout en position de s’endormir.

– Ne t’inquiète pas, c’est seulement ta salope de sœur qui vient de m’enfiler son petit godemichet dans le cul, et cela me fait beaucoup de bien ! Tu devrais essayer, c’est bon !
– Essayer quoi ? Demandais-je faisant semblant de ne pas comprendre.
– Oh ! Oui ! Oh oui ! On va lui mettre dans le cul ! S’exclame Bérangère.
– Certainement pas !
– Mais si faut tout essayer ! Tu n’as pas confiance en nous !

Je me demande quoi dire et quoi faire mais déjà ma sœur s’est levée, m’a descendu mon pantalon de pyjama et m’a écarté les fesses, Felicity approche le godemichet de mon anus après l’avoir recouvert d’un préservatif.

Je les laisse faire en me disant que ça ne va jamais entrer, mais ça entre ! Me voilà rouge de confusion d’autant que Felicity l’enfonce maintenant aux trois quarts de sa longueur.

– Retirez moi ça, ce n’est pas drôle !
– Mais si ! Répond Felicity

Et elle fait bouger l’objet dans ma cavité rectale, et là il se passe quelque chose, le sentiment de gêne et de rejet s’éloigne pour faire face à une sensation qui finit par ne plus être désagréable du tout.

FelicityJe crois que je viens de découvrir quelque chose. Du coup je m’excite et commence à me branler toujours avec le machin dans le trou du cul. J’éjacule prématurément, le sperme gicle sur les seins de Felicity que Bérangère vient lécher avec gourmandise.

– C’est malin, proteste cette dernière, tu aurais pu te réserver pour nous !
– On ne fait pas toujours ce qu’on veut !

Ces deux sacrées femelles avaient-elles donc décidé de me rendre dingue ? Mais je n’étais pas encore au bout de mes surprises.

Le lendemain les filles qui se levèrent fort tard, avaient prévu une nouvelle journée de tourisme.

Felicity était dans la salle de bain et je ne sais quel démon m’y fit entrer à mon tour.

– Tu viens me voir ? Demanda-t-elle
– Je cherche mon briquet ! Improvisais-je
– Je vais pisser, tu veux regarder ?

Mes inhibitions en la matière ne devaient pas être bien fortes, puisqu’elles avaient disparues.

L’anglaise s’installa, pieds sur la cuvette afin que je puisse bien voir et m’offrit le spectacle charmant de son petit pipi s’échappant de sa jolie chatte rose.

– Hum, je crois que je vais faire caca ! Annonça-t-elle avec un naturel désarmant.
– O.K. je te laisse.
– Mais non regarde !
– Non, non !
– Tu n’as jamais regarder une fille en train de chier ?
– Ma foi non ?
– C’est très joli, moi j’aime bien quand Bérangère chie devant moi ! Ce matin elle a fait un très joli boudin.

C’est bien ce que je pensais, ces deux nanas sont complètement givrées. Mais pourquoi est-ce que je bande comme un taureau ? Je me dis alors que je peux toujours commencer à regarder et que si le spectacle me répugne, je la laisserai terminer

– O.K. j’essaie de regarder, mais ne m’en veut pas si je me sauve.

Felicity change de position, toujours les pieds sur la cuvette, mais tournée vers le mur, ses belles fesses devant mes yeux. Son anus s’ouvre, quelque chose de marron demande à sortir. Je suis dans un état second, comme pétrifié, l’étron sort, compact et brun puis chute dans l’eau de la cuvette.

J’ai donc « survécu » à cette épreuve que je me suis plus ou moins infligé. Je n’en suis pas devenu scatophile pour autant. Contrairement à Felicity parce que le spectacle n’était pas tout à fait terminé.

La coquine au lieu de prendre du papier pour s’essuyer, porte ses doigts à son cul, puis se les lèche avec un air vicieux.

– Tu veux m’embrasser ?

Je me sauve, mais j’entends encore son rire ! Quelle belle salope !

Elles avaient laissé le godemichet sur le bord du canapé, je ne résistais pas à la tentation de me faire du bien en me l’introduisant dans le cul, tout en me faisant une bonne branlette. Il me vint alors une pensée que je chassais très vite avant qu’elle ne revienne m’obséder : Si une bite en plastique peut donner du plaisir, qu’en est-il d’une bite de chair bien vivante ?

Je me couchais avant que les filles ne soient rentrées, elles m’avaient prévenu qu’elles souhaitaient terminer la journée en boite ! Grand bien leur fasse !

Le matin, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que le lit était occupé par trois personnes. Un mec, d’une quarantaine d’année sans doute, était couché entre les deux nanas. Gonflées quand même d’amener quelqu’un chez moi sans me prévenir. Peut-être me dis-je ont-elles l’intention de faire une partie carrée ? Cela doit faire un drôle d’effet que de voir sa propre sœur se faire sauter par un mec !

J’attends que ce petit monde se réveille et bon prince, lorsque je descends à la boulangerie je prends un croissant supplémentaire.

Sur le chemin, je reçois un coup de fil de mon associé, rien de grave, mais un truc assez compliqué ce qui fait que la communication dure assez longtemps.

Quand je rentre, Felicity et l’inconnu sont debout, je suppose que Bérangère est dans la salle de bain.

– Je te présente Henri.

Je lui tends la main, mais le mec m’embrasse sur la joue, c’est quoi ces familiarités ? Et voilà que la serviette qui lui ceint les reins dégringole, dévoilant une bite de bonne taille, mais au repos.

Voyant cela, l’anglaise la prend dans ses mains et la masturbe ! Faut surtout pas se gêner, ça devient un vrai bordel ici !

– Tu trouves qu’elle est belle ? Me demande la rousse.
– Une bite, c’est une bite !
– Oui mais il y en a qui sont plus belles que d’autres !

En vérité je n’arrivais pas à dissimuler mon trouble et je cherchais une réponse pour me tirer de cette situation gênante quand Bérangère qui était dans l’embrasure de la porte la salle de bain en ajouta une couche.

– Suce-le ! Dit-elle. Tu n’en mourras pas
– Non, ce n’est pas mon truc !
– Tu n’en sais rien, tu n’as jamais essayé.
– Peut-être un jour, mais pas aujourd’hui !
– Ça m’aurait fait plaisir de voir ça !
– Non !
– Juste un peu !

Un regard sur ce bel organe, magnifiquement bandé, la peau diaphane parcourue d’une jolie veine bleutée, le gland luisant… Dans un état second je me retrouvais avec cette merveille dans ma bouche et en testait le goût. C’était doux, musqué, envoutant. Je me surpris à m’appliquer à cette première fellation, puis d’un coup je me relevais, me demandant ce que j’étais en train de faire.

Felicity me félicita ce qui d’une part m’empêcha de culpabiliser mais aussi de réfléchir.

– Si on le suçait à deux ? Me propose-t-elle.

Je ne pouvais décemment refuser d’autant que cette proposition avait le mérité de gommer quelque peu le côté gay de la chose.

Felicity et moi nous nous refilions la bite d’Henri chacun à notre tour. J’étais comme dans un rêve, mais n’était pas au bout de mes surprises.

– Les garçons ! Si vous faisiez une bite au cul ?
– Ça te dirait ? Me demande le zigoto.
– Bien, sûr que ça lui dit ! Il s’est déjà pris des godes…

C’est sans trop réfléchir que je me mis alors en levrette, et acceptait de recevoir dans mon intimité cette bite qui allait me sodomiser.

Le gars était doux et intentionné, il m’encula comme un dieu, je n’eus comme exigence que de lui demander de se revêtir d’une capote.

Quand il eut joui, il décula me laissant mon cul béant, mais content. Je venais de me faire enculer et n’en éprouvait ni honte ni remord, j’étais même assez fier d’avoir transgressé un tabou ! Bérangère était allongée sur le canapé et se masturbait.

– Maintenant si tu veux me baiser, je suis prête ! Me dit-elle.
– J’arrive, petite sœur !

Et là il se passa quelque chose que je n’ai pas bien compris… Certes l’invitation de ma sœur à la baiser était excitante en soi. Sa pose était obscène, ses seins étaient magnifiques, son regard était vicieux, Et ne parlons pas de sa bouche experte qui s’empara de ma bite afin de la sucer comme il se doit.

Mais pendant sa fellation, mon esprit était ailleurs ! L’image de la magnifique bite de Monsieur Henri revenait en boucle dans ma tête sans que j’arrive à m’en détourner.

Quand Bérangère relâcha son étreinte buccale, je la pénétrais sans passer par la case « préliminaires ». Et je m’agitais tant et si bien que j’éjaculais après moins d’une dizaine de va-et-vient.

– Ben, qu’est-ce qu’il t’arrive, c’est l’émotion ?
– Ce doit être ça ! Balbutiais-je.

N’empêche que j’avais été infoutu de faire jouir ma sœur, alors dans un grand élan de tendresse, j’ai pointé ma langue sur son intimité et après avoir léché ses sucs, je titillais son clitoris. Elle fut un petit peu longue à venir, mais elle vint.

Ayant joui, ma libido était redescendue à la cave. L’image de la bite de Monsieur Henri était partie de mon esprit. D’ailleurs où était-il passé celui-là ?

– Il a été appelé au téléphone, il a dû partir précipitamment. Pourquoi ? Tu voulais le revoir ? Me demande Felicity avec un œil coquin
– Non je demandais ça comme ça, il aurait pu dire au revoir !
– Il n’a pas voulu vous déranger.
– Vous allez le revoir ?
– Ce n’est pas prévu, c’est juste un coup de rencontre. Pourquoi tu demandes ça ?
– J’en sais rien, faut que je réfléchisse.

Avec tout ça, on n’a pas bouffé les croissants, je fais réchauffer du café. Felicity s’assoit devant moi, Bérangère nous rejoint un peu vaseuse.

– On dirait que Sylvain à de la peine qu’Henri soit parti ! Lui dit Felicity.
– C’est vrai, ça ? Me demande ma sœurette
– N’importe quoi !
– Non ce n’est pas n’importe quoi, reprend l’anglaise, tu as aimé lui sucer la bite et la prendre dans le cul. Le souci c’est que tu ne veux pas te l’avouer !

Elle m’énerve, elle m’énerve !

– Et alors ! C’était un coup de folie ! Les coups de folies ça arrive ! C’est pas pour ça que je suis devenue pédé, d’ailleurs j’ai baisé ma frangine.
– Hi ! Hi ! se marre cette dernière.

Et voilà les deux donzelles qui se mettent à échanger en anglais, c’est très pointu et je n’y comprend pas grand-chose sauf qu’il est question de sexe.

– Le sexe doit être une fête ! Reprend Felicity, cette fois en français, il y a des gens qui passent leur temps à expliquer aux autres que s’ils sont comme ci comme ça, c’est parce que dans leur enfance blablabla… Y’en a marre à la fin ! Si t’es pédé faut expliquer, si t’es bisex faut expliquer, si tu aimes le pipi-caca faut expliquer. Mais merde à la fin. Par contre hurler comme un dingue dans un stade de foot, pas besoin d’expliquer, ce doit être naturel. Le sexe doit rester simple, s’il y a un truc qui te plait et si tu n’as fait de mal à personne, tu n’as besoin d’aucune justification. T’as aimé sucer la bite d’Henri, alors si tu veux un conseil, un seul ce sera celui-ci : Si ça t’a plu, recommence !.

Ouais, j’avoue que ce n’est pas complètement idiot ce qu’elle raconte.

– Et comment veux-tu que j’assume ce genre de chose ?
– Ça mon vieux tu te débrouilles, mais dis-toi bien une chose, c’est souvent l’occasion qui fait le larron. Et puis je vais te dire un truc, des hommes bisexuels en puissance, il y en a plein, mais ceux qui l’avouent sont rares. Mais quand tu enfonces le doigt dans le cul d’un mec et que ça lui plait, ça veut souvent dire que dans ses fantasmes secrets, c’est autre chose qu’un doigt…

Un peu facile, je trouve, mais ça fait réfléchir.

– Dis voir, tu n’aurais pas un martinet ou une cravache ? Me demande-t-elle à brule pourpoint

L’art de changer de conversation.

– Non, j’ai pas ça, pourquoi ?
– J’ai promis une fessée à Bérangère, et j’aime pas faire ça à mains nues. Une grande cuillère en bois peut-être ?

Ma sœur, à poil, s’est arcboutée devant l’évier, l’anglaise lui tape sur les fesses en cadence en ponctuant sa flagellation de gentillesse en anglais :

– Slut, whore, bitch !

– Bientôt le postérieur de Bérangère devient rouge comme une pivoine. Elle couine, elle trépigne, elle gémit, mais elle reste en place alors qu’elle pourrait se dégager.

Felicity finit par poser la cuillère, Bérangère se retourne, les deux femmes se roulent un patin d’enfer.

Quelques jours plus tard, Felicity me fit cette étrange proposition.

– J’ai parlé de toi à mes parents, je leur ai dit que tu étais super sympa, tout ça. Du coup ils aimerait bien te voir. Mon frère aussi d’ailleurs.
– Pourquoi pas, on en reparlera ! Répondis-je peu emballé !
– Pourquoi attendre, nous on va rentrer en Angleterre, tu n’as qu’à nous accompagner, ça ne fait jamais que trois heures de train !
– Je ne sais pas…
– Tu sais, mon frère il a une très joli bite et il aime se faire sucer !

Qu’entends-je ?

J’ai failli être choqué avant de réaliser qu’en matière d’inceste, je suis assez mal placé pour faire des reproches.

– Parce que… avec ton frère…
– Ben oui, avec mon frère !
– Bon O.K., je viens avec vous.

A la gare de Saint-Pancras une voiture nous attendait et nous conduisit chez les parents de Felicity.

Ceux-ci nous attendent en rang d’oignons dans un grand salon. On fait les présentations

– Ma mère Maggy, mon père William et mon frère David.

Tous ces gens-là baragouinent un peu en français. La conversation commence de façon convenue « Vous avez fait bon voyage, vous voulez boire quelque chose, quel temps fait-il à Paris… » Et puis les choses sont vite devenues plus crues.

– Felicity nous a dit que vous étiez un petit cochon ! Me sort le père William.
– Cochon, je ne sais pas, un peu coquin je préfère.
– Nous aussi nous sommes un peu coquins. Me répond-il
– Y’a pas de mal à se faire du bien ! Rétorquais-je dans un grand élan philosophique.
– Tu le trouves comment mon frère ? Intervient Felicity.

Je me sens un peu mal à l’aise…

– Charmant, bien sûr !
– Et encore tu n’as pas vu sa bite !

Oh ! là !

– David, montre ta bite à Sylvain ! Lui demande sa mère.

Je rêve ou quoi ? Toujours est-il que le frangin baisse pantalon et caleçon et m’exhibe devant mes yeux incrédules un jolie bite demi-molle.

– On va la faire bander un peu ! Dit sa mère tout en joignant le geste à la parole.

Le mec parait tout content de se faire palucher par sa maman et me lance des œillades lubriques.

– La voilà en forme, si vous voulez sucer ?
– Là maintenant ?

Je me demandais comment me sortir de cette situation insensée quand j’entends un type rentrer dans la pièce. Il n’est vêtu que d’un ridicule caleçon à pois.

– Ah ! Me dit William, je vous présente Lord Harrigton, un ami de la famille que nous avons hébergé quelques jours, mais vous pouvez l’appelez Arthur.

Le type ne semble pas du tout surpris de voir David la bite à l’air. Il doit s’en passer des belles dans cette maison. Il me serre la main.

– Enchanté, je suis un peu, comment on dit en français ? Pédale ?
– C’est assez péjoratif…
– Pas grave ! Mais j’ai l’impression que j’ai interrompu quelque chose.
– Sylvain s’apprêtait à sucer David ! Lui explique William.
– Eh bien, ne vous gênez pas pour moi, sucez, vous ne serez pas déçu.

Comment temporiser ?

– Ce serait plus cool si les garçons se déshabillaient ! Suggère Felicity.
– Oui, à poil ! Renchérit Lord Machintruc.

Ce qui signifie que si j’accepte, c’est le point de non-retour, jusqu’à présent je pouvais m’enfuir de chez ces cinglés. A poil c’est plus compliqué ! Alors je fais quoi ?

David lui se désape, il est complètement imberbe avec des gros tétons marrons. Je vais craquer. Je craque et me déshabille à mon tour.

Je suis dans un autre monde, je m’accroupis devant David, je tends ma main vers sa bite, la caresse et la branle un peu avant de le la mettre en bouche. Inutile de vous dire que je bande comme un cerf. Quelle sensation c’est encore mieux qu’avec Monsieur Henri. C’est doux, c’est chaud, c’est vivant, c’est pervers, c’est un tas de choses. Ma langue lèche, mes lèvres sucent.

Mais au bout d’un moment j’ai besoin de faire une toute petite pause, je me recule de quelques centimètres et qu’est-ce que j’aperçois ? William et Arthur la bite à l’air.

– Suce, suces les toutes ! Me dit ma sœur qui était restée fort discrète jusqu’à maintenant.

Alors allons-y, pervers pour pervers, j’embouche la bite de William, puis je passe à celle d’Arthur, avant de revenir vers celle de David, c’est quand même ma préférée.

Et puis complètement dans mon trip j’ai fini par lui demander.

– Tu aimerais me prendre !
– Oh Yes !

Un préservatif lui arrive dans la main… comme quoi tout cela était prémédité si j’en doutais encore. Je me retourne, offre mes fesses. David viens m’embrasser le trou du cul et le lèche avec sa langue, ça me fait un bien fou. Puis le doigt remplace la langue. Faut voir comment il l’agite dans mon cul, je me pâme, je suis bien je suis aux anges.

Une mini pause. Le gland quémande l’entrée, ça ne rentre pas du premier coup, mais au second c’est bon. Et voilà, pour la deuxième fois de ma vie je me fais enculer. Arthur vient devant moi et me propose de nouveau sa bite à sucer. Une bite dans la bouche, une bite dans le cul. Je deviens une vraie salope !

Ma bite est raide comme un bout de bois, mais pour l’instant c’est du cul que je vais jouir, David accélère ses va-et-vient.

– I’m going !

Il jouit en poussant un hurlement de bête fauve, et se retire me laissant le cul béant.

Je m’attends à ce que l’un des deux seniors prenne le relais. Mais non. Je fais signe à Arthur que je dois me reposer cinq minutes. Le type pas compliqué est allé se finir tout seul.

Je me reposerais plus tard car Maggy s’est avancée vers moi et m’a gobé la bite. Pendant ce temps-là Felicity suçait celle de son père, tandis que Bérangère passée derrière lui prodiguait une jolie feuille de rose.

On s’est calmé et on est passé à table, la conversation a du mal à sortir du champ des banalités. Mais voilà que Lord Arthur Harrigton, entreprend Bérangère.

– J’aurais peut-être une mission comme la fois précédente ! Lui dit-il, ça vous intéresse, my dear ?
– Il est comment ?
– Banal, la cinquantaine, rien de repoussant.
– Même tarif ?
– Yes.
– OK, vous me direz la date et l’heure !

Mais de quoi parlent-ils ?

– Je peux savoir ? demandais-je à Bérangère.
– Je vais aider Arthur à signer un contrat.
– Comment ça ? Tu ne couches pas avec le mec, quand même ?
– Ben si ! Tout le monde s’y retrouve, je suis moins chère qu’une escort de luxe et je me débrouille aussi bien.
– Autrement dit, tu fais la pute !
– On peut appeler ça comme ça, oui !

Quelle famille !

fin

Ce texte est plus ou moins inspiré de « Alison et Caroline, un hiver au paradis » par A. Huri, publié en 1998. J’en ai plus ou moins conservé la trame et vassilialisé les situations.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Samedi 19 mars 2022 6 19 /03 /Mars /2022 14:35

Felicity et Bérangère par Sylvain Zerberg – 1 – Une Anglaise très coquine
stamp rousse

 

Bonjour, je m’appelle Sylvain et j’aimerais vous raconter comment à 24 ans, ma sœur cadette avec la complicité de son amie anglaise m’ont entrainé dans une avalanche de perversions.

Mais rassurez-vous, je ne vais pas pleurer, je ne regrette rien et je me sens très bien dans ma peau.

Ma sœur qui se prénomme Bérangère est une fausse blonde de 22 ans, pas très grande mais dotée de jolies formes, Voulant perfectionner son anglais, elle est partie un an à Londres et a fait connaissance d’une dénommée Felicity. Elles sont devenues copines. J’ignorais bien évidemment jusqu’où allait leur degré de copinage.

Moi j’habite un grand studio à Paris du côté de la Place des Fêtes. Au mois de novembre, Bérangère disposant de quelques jours de vacances, me demanda si je pouvais l’héberger, elle et sa copine pendant une petite semaine.

Je possède un canapé à deux places pour coucher ces demoiselles, quant à moi je pourrais dormir dans le fauteuil ou par terre. Ça m’embête un petit peu mais je ne me vois pas leur refuser ce service.

Je gère une petite agence de publicité avec un associé, je peux donc me libérer facilement.

J’allais chercher les deux donzelles à la Gare du Nord en début d’après-midi et faisait connaissance avec Felicity, une grande bringue rousse un peu potelée, au visage malicieux constellé de raches de rousseurs, qui m’embrassa comme si on se connaissait depuis l’enfance. Une belle fille avec ce qu’il faut là où il le faut .

Une fois à la maison et après avoir bu un petit rafraichissement, les deux filles, manifestèrent le désir de prendre une douche.

– Allez-y, c’est juste là…

Et voilà que devant mes yeux écarquillés, les deux copines se déshabillent intégralement comme si je n’étais pas là.

Il y avait un bout de temps que je n’avais pas vu ma sœur à poil, et là elle me semblait plus belle que jamais avec ses jolis seins laiteux. Quant à Felicity… Quel joli brin de femme, de belles et interminables cuisses dorées, un postérieur à damner un saint et des nichons parfaits. Alors évidemment je bandais comme un cochon sous ma braguette.

J’espérais rencontrer un regard complice des nanas, mais non, je vous dis, je n’existais pas, j’étais devenu complètement transparent…

Les deux amies pénétrèrent dans la salle de bains, poussant la porte derrière elles mais sans la refermer complètement.

La salle de bain n’est pas insonorisée, pourquoi le serait-elle ? Ce qui fait qu’on peut y entendre ce qui se passe. J’entendis d’abord le bruit de l’eau, puis plus rien, l’eau à nouveau, des rires continus et puis après un quasi-silence des gémissements incongrues.

Je compris alors que ma sœur s’était convertie à l’amour goudou et que les deux donzelles étaient en train de se donner du plaisir. Imaginez l’état de ma bite ! Je me faisais déjà un mini plan : « Quand elles seront ressorties c’est moi qui irais dans la salle de bain et je me ferais une bonne branlette ! »

Bérangère ressortit la première, le corps enveloppé d’une large serviette.

– Alors grand frère, tu t’es bien rincé l’œil ?
– Fallait pas vous déshabiller devant moi !
– Parce que t’as pas remarqué que ma copine te provoquait ?
– Pas du tout !
– Elle m’a dit qu’elle te trouvait mignon ! Si tu veux la sauter, elle en sera ravie !
– Ben vl’a autre chose !
– Profites-en, elle est très gentille, très douce…
– Avec les hommes et avec les femmes ? C’est ça ?
– Très perspicace ! Se gaussa-t-elle.
– Bon, on va voir comment ça va se passer, mais c’est un peu exigu ici… Fis-je remarquer.
– Où est le problème ? Reprit ma sœurette, si vous avez envie de vous envoyer en l’air, je peux aller faire un tour ou aller bouquiner dans la salle de bain. D’ailleurs faut que j’y retourne, j’ai un ongle qui accroche.

Et quelques secondes plus tard Felicity faisait son apparition, revêtue de mon propre peignoir… mais non refermé.

– Si je te plais, on peut s’amuser un peu, toi tu me plais ! Me confie-t-elle avec son accent impossible.

Je ne pensais pas que les choses arriveraient si vite, mais quand l’anglaise me mit la main à la braguette, j’aurais été le roi des couillons de l’envoyer promener. Je lui fis donc un sourire de connivence, ce qui l’incita à me dézipper ma fermeture-éclair, puis à sortir ma bite sa cachette.

– Oh ! Joli ! Ça bande beaucoup !

Je pensais qu’elle allait me sucer direct, non mademoiselle prenait son temps et me branlait délicatement.

– Je vais tout mettre dans ma bouche ! Me prévient-elle.

Elle ne tarda pas à le faire. Le problème c’est que j’étais tellement excité que je risquais de jouir prématurément.

– Doucement, doucement ! La prévins-je

Elle me fit un coup d’œil complice, mais ne put s’empêcher de donner un petit coup de langue sur mon gland. Puis subrepticement, elle se tourna afin de m’exhiber ses jolies fesses.

– Tu veux me lécher le trou du cul ?

Une proposition pareille ne se refuse pas, j’approchais ma langue de sa rosette brune. Evidemment comme mademoiselle sortait de la bouche, au lieu de rencontrer le petit goût suave que le fait bien, je tombais sur une senteur de gel douche parfumée.

– Je peux entrer un doigt ? Demandais-je.
– Tu peux entrer plein de doigts !

J’en ai entré qu’un seul, et j’ai commencé à l’agiter frénétiquement dans son petit trou du cul. Elle a démarré au quart de tour en gémissant comme une chatte en chaleur et a réclamé un deuxième doigt. Qu’à cela ne tienne, je fais comme elle veut. Mais la voilà qui braille de plus en plus fort. Quel tempérament ! Elle piaille comme une malade. Ce n’est pas vrai que je vais la faire jouir par le cul, et si vite ? Ben si ! Elle éclate, je retire mes doigts, Elle est en sueur, les yeux dans le vague.

Elle reste quelques instants comme ça, pas trop longtemps, moins d’une minute. Et sans crier gare, se jette comme une furie dans mes bras, cherche ma bouche.

Comment, elle m’embrasse ! Une vraie sangsue mais je ne vais pas m’en plaindre !

– Tu m’a bien enculé avec tes doigts, tout à l’heure tu m’enculeras avec ta bite !
– Ce n’est pas un problème !
– Je suis une salope, une enculée et ça me plait…
– On se calme, on se calme !
– Tu veux gouter à ma chatte ?
– Oui bien sûr !

Mais elle n’a pas attendu ma réponse, elle s’affale sur le canapé, les cuisses ouvertes et m’attend.

Alors, O.K. je vais m’occuper de son minou, mais auparavant je ne peux faire autrement que de m’occuper de ses beaux nichions, que je caresse, que je lèche, me régalant de ses jolie pointes durcies par l’excitation.

– Oh, mais qu’est-ce qu’il me fait, ce petit cochon ?
– Des bonnes choses, j’espère !

Et je descends vers sa petite chatte. C’est tout trempé là-dedans, une véritable éponge. Je plonge un doigt que j’agite frénétiquement.

– Non, ta langue, je préfère !

Ah bon ! Ce n’est pas un problème, je lèche tout ça, mélange de cyprine et de sueur, gout suave légèrement salé, odeur de rousse, un régal de fin gourmet..

Felicity s’agite, halète… je passe ma langue sur son clitoris érigé, elle s’arcboute, gémit, puis crie, inondant de nouveau son entre jambe.

– Et maintenant, encule-moi !

Pas de soucis, sauf que je me demande si je vais tenir la distance, vu mon état d’excitation. Je vais pour me lever afin d’aller chercher un préservatif dans l’armoire à pharmacie de la salle de bain, mais voici qu’une mignonne petite main m’en tend un, sachet déjà ouvert.

Eh oui, Bérangère n’était pas restée longtemps dans sa cachette et nous regardait avec une main très active sur son petit minou !

J’enfilais la capote sous les yeux de ma sœur et pénétrait la belle anglaise en levrette Je m’enfonçais dans son étroit conduit avec une facilité étonnante et commençait à la pilonner.

– Ne vas pas trop vite !

Je fais ce que je peux ! Mais voilà que contre toute attente, Bérangère vient offrir son petit minou à sa camarade.

Felicity01

Imaginez mon excitation ! Difficile de me retenir en de telles circonstances. Alors je bouge doucement, tout doucement… tandis que Felicity fait minette à ma sœurette avec délectation.

– Oh ! T’es en panne ! Finit par protester l’anglaise.
– Je vais venir, je suis trop excité !
– Eh bien, viens, mais essaie de continuer après l

Elle en a de bonnes, elle ! Mais bon, je fais comme elle a dit, je reprends mon rythme initial et ne tarde pas à décharger dans la capote quelques courtes minutes après.

Reste le plus difficile, j’attends quelques secondes, puis me remet à remuer afin d’éviter de débander. Miracle, ça fonctionne, même si ma bite devient un peu douloureuse.

De l’autre côté de Felicity, Bérangère est en train de crier sa jouissance, c’est la première fois que je vois ma sœur en train de jouir, ça fait drôle tout de même !

Felicity commence à pousser des gémissements significatifs, voilà qui m’encourage et me motive, j’accélère comme je peux, je sens l’anglaise prête à partir. Ça y est, elle jouit, je me retire fourbu, tandis que les deux coquines se roulent une galoche tellement baveuse qu’elles en ont le menton inondé.

Si j’ai bien compté, la Felicity a joui trois fois ! Quelle santé !

Je me sers un verre d’eau fraiche et allume une cigarette. Les deux filles se chuchotent je ne sais quoi en rigolant comme des bossues, puis se dirigent vers la salle de bain.

– On va pisser ! Me dit Felicity, tu viens ?
– Non, je n’ai pas envie !
– Tu ne veux pas nous regarder ?

N’importe quoi !

– Vous regarder ?
– Ben, oui, allez viens, et puis je suis sûre que tu as une petite envie !
– Non, je vais fumer ma clope !
– Bon tu viens, oui ? On ne refuse pas une invitation ! Intervient ma frangine.

Alors, sans trop chercher à comprendre je les suis, ma salle de bain est assez exigüe, il y a juste un carré à douche, un lavabo et une cuvette de chiotte

Sur place, Felicity entre dans le carré à douche et s’y accroupit, Bérangère entre à son tour, reste debout, écarte les jambes, puis les lèvres de sa chatte. Ma sœur a les yeux rivés sur elle…

Non mais c’est pas vrai qu’elles vont se pisser dessus !:

Ben, si c’est vrai, un jet dru ne tarde pas à jaillir de la chatte de ma petite sœur chérie et à arroser la belle anglaise.

Bérangère ouvre sa bouche. Elle ne va tout de même pas… Mais si ! Devant mes yeux incrédules, la voilà qui boit l’urine de sa copine et qui manifestement s’en régale !

Je ne sais plus où j’en suis, je suis à la fois fasciné par cette scène insolite et scandalisé par la conduite de ma sœur.

Et pour l’instant c’est le deuxième sentiment qui domine, sans pouvoir me contrôler, je hurle.

– Mais ce n’est pas possible, Bérangère ! T’es devenue une vraie pute ! Et c’est l’autre salope qui t’a perverti !

Evidemment ça jette un froid.

– Quand t’as enculé ma copine tu faisais moins de chichi ! Me rétorque la frangine.
– C’est pas parce que j’ai eu un moment de faiblesse que… Et puis je ne vous dois aucune explication. Rhabillez-vous, foutez-moi le camp et allez faire les putes ailleurs !

Et je quitte la salle de bain, fier comme un petit banc (je sais) vais me rhabiller et fais semblant de m’intéresser à « l’Affaire Tournesol » qui trainait sur une étagère.

Ces demoiselles qui se sont évidemment concertées en chuchotant, puisque je n’ai rien entendu, sortent à leur tour à poil et comme si j’étais de nouveau transparent se rhabillent en silence, puis elles s’emparent de leurs valises et disparaissent de mon studio.

Et voici donc le temps de la réflexion. Je me dis que j’y suis allé un peu fort de les mettre à la porte, mais bon, on est impulsif ou on ne l’est pas. Il n’est pourtant pas dans mes intentions de me fâcher avec ma sœur. Alors je fais quoi ? Attendre quelques jours et lui téléphoner ? Que faire d’autre ? Et en attendant je me sers un whisky bien tassé.

Et voilà qu’on sonne !

J’ouvre ! C’est Bérangère !

– Je ne fais que passer, j’ai oublié mon sèche-cheveux !

Elle part dans la salle de bain, revient avec un sac en plastique, il ne me semble pas qu’il contienne l’objet en question, ce retour était donc une feinte !

– Ce n’était pas la peine de te mettre dans un état pareil ! Je suis très déçue ! Me déclare-t-elle.

J’ai donc le choix entre m’enfermer dans mon mutisme ou répondre, ce qui ouvrira une discussion à l’issue incertaine.

– C’est moi qui suis déçu ! J’ignorais que ma sœur était devenue une salope !
– Primo la salope elle t’emmerde ! Secundo, monsieur est tout content de baiser ma copine, et en ma présence en plus, mais il est dégoûté parce qu’on s’amuse à des jeux de pipi ! Y’aurait pas quelque chose d’illogique quelque part ?
– Mais…
– J’ai pas fini… Et tertio, ce qu’on fait avec Felicity, ça ne fait de mal à personne. Dans mes souvenirs tu n’étais pas homophobe à ce que je sache ?.
– La question n’est pas là ! Fallait pas m’obliger à regarder !
– Pourquoi, c’est sale, le pipi ?

Et toc ! Je ne sais pas quoi répondre. Ou bien je m’incline ou alors je joue la mauvaise foi, ce qui à terme est toujours contre-productif. Donc je biaise.

– Mets-toi à ma place, ça fait drôle quand même !
– Donc la question maintenant, c’est : est-ce que tu vas t’en remettre ?
– Je crois que je devrais m’en remettre.
– Felicity m’attend en bas, je lui dis de remonter ou pas ?
– Oui, viens me faire un bisou !
– D’accord mais je lui téléphone d’abord !
– J’aimerais peut-être parler avec toi un petit peu.

Elle téléphona donc à sa copine :

– Ça s’arrange, je te dirais quand tu pourras remonter, bisous !

Un ange passe, Bérangère retire son manteau, je fais du café et lui en propose un.

– C’est ta copine anglaise qui t’as transformé comme ça ?
– Mais pas du tout, il y a longtemps que j’avais mon petit jardin secret mais je ne voyais pas trop comment t’en parler. L’amour entre filles ça date du lycée, les jeux de pipi aussi, d’autres trucs aussi, les godes, les petits jeux de domination… Ça va, j’ai répondu ?
– On en apprend tous les jours !
– N’est-ce pas ? Dis-moi, une question : si je n’étais pas ta sœur, tu me baiserais ?
– Possible, oui !
– Et ça change quoi, que je sois ta sœur ?
– C’est de l’inceste !
– Ce n’est pas une réponse, ça, tu me réponds par un mot, je m’en fous des mots. Si on baisait ensemble où serait le mal ?
– Bon, c’est quoi cette discussion ? Je n’ai pas envie de baiser avec toi, si c’est ça que tu veux savoir !
– Tu te contredirais pas un peu, là ?
– Bon on arrête ?
– O.K.. j’arrête, je te propose un truc ! Quand je ferais l’amour avec Felicity tu n’auras qu’à regarder, et si tu veux nous rejoindre, on te laissera une petite place. Mais tu ne seras pas obligé de me toucher ! Ça te convient ?
– Ouais, c’est ça, on verra…

Je ne suis pas complètement idiot, je me doute bien qu’en me faisant cette proposition lubrique, Bérangère se dit que complètement excité à la vue de ce spectacle annoncée, je ne pourrais m’empêcher de m’approcher et qu’immanquablement l’engrenage effectuera son travail.

Sur quoi, elle se fout le doigt dans l’œil. Il me suffira de trouver un prétexte pour décliner l’invitation à regarder et l’engrenage ne pourra pas fonctionner.

Felicity est donc revenue comme s’il ne s’était rien passé et s’est mise à baragouiner en English avec ma sœur, comme je ne maîtrise pas bien la langue je n’ai pas suivi. J’ai essayé de lire mais n’ai pu me concentrer, je suis donc allé faire un tour en indiquant à ces demoiselles que j’en profiterais pour ramener de quoi diner pour le soir.

– Des sushis, ce serait sympa ! A proposé Bérangère.

Le soir après avoir trainé à table, Felicity et ma sœur ont commencé à se faire de petits câlins innocents, puis à s’embrasser sur la bouche. Quand elles ont entrepris de se peloter de façon plus poussée, j’ai compris comment cela allait se terminer, j’ai donc débarrassé la table et lavé la vaisselle.

Entre temps, les deux coquines avaient gagné le canapé et commençaient à se débrailler sévère. Fidèle à mes résolutions, j’enfilais un blouson et m’apprêtais à me chausser pour aller faire un tour dans le quartier, quand Felicity m’interpella :

– Tu t’en vas ?
– Je vais faire un tour, je reviens dans une petite heure.
– Tu n’as pas envie de nous regarder, alors ?
– Non !
– Pourquoi, on est moches ?
– La question n’est pas là, je vous laisse entre femmes.
– Reste, ça nous fait plaisir ! Tu n’as pas envie de nous faire plaisir ?
– Bon, à tout à l’heure !
– Tu sais que Felicity est ceinture noire de judo ? Intervint Bérangère, restée silencieuse jusqu’alors.

J’avoue ne pas comprendre cet aparté, mais ma sœur tint à préciser :

– Si tu t’en vas, on t’attrape et on te ligote sur une chaise !
– Tu veux vraiment que nos rapports se détériorent ?
– Je plaisantais, voyons, assis-toi sur une chaise, regarde-nous et quand tu en auras marre et bien tu iras faire un tour.

Et tout en disant cela Bérangère caressait le gentil téton de Felicity.

Bon, ma résolution est déjà ébranlée, rester cinq minutes, c’est rester tout le temps avec les conséquences que j’imagine. Et voilà que ma bite commence à bander.

Putain, je ne suis quand même pas pris dans un piège, il me suffit de me diriger « courageusement » vers la porte d’entrée…

– Ils sont beaux les nénés de ma copine ! Minaude Bérangère avant de le lui sucer le téton.

Bon, allez, on ne vit qu’une fois, je m’assois et trouve tout de suite un plan B. Je vais me branler en les regardant et je vais m’arranger pour jouir avec ma main afin d’éviter de les rejoindre. Donc, je sors ma queue et commence à me caresser.

Changement de tableau chez les deux nanas, Bérangère est descendue s’engouffrer entre les jolies cuisses de l’anglaise et lui broute le minou. Le souci c’est que je ne vois rien du tout. Après tout, tant mieux, moins j’en verrais, moins je serais excité.

Je ne vois rien mais j’entends et je dois dire que les miaulements de jouissance de l’anglaise ne me laissent pas de marbre. Et la voilà qui hurle, Bérangère se recule puis vient rouler une pelle à sa partenaire. Puis après quelques secondes de répit, Felicity entraine ma sœur sur le tapis.

J’allais protester me disant qu’elles allaient le saligoter si elles se mettent à mouiller comme des soupes, mais je me dis que de toute façon il faudra que je le fasse shampouiner

Bérangère se tourna me montrant son cul tandis que l’anglaise le prit en main ! Cette fois-ci je ne ratais rien, la vue imprenable sur la chatte ouverte de ma sœur se faisant doigter copieusement par sa camarade. Puis quand les doigts furent bien lubrifiés, ils pénètrent son délicieux petit anus marron, puis ressortirent après une bonne minute de va-et-vient. Sans se soucier le moins du monde de l’état où ils étaient, la belle british les suça avec une gourmandise évidente ! Quelle cochonne !

Et c’est maintenant la langue qui entrait en action, Bérangère trouvant la position peu pratique et souhaitant une réciprocité dans ce genre de choses, les deux coquines se mirent spontanément en soixante-neuf, et cela jusqu’à ce qu’elles jouissent, bien bruyamment et en mouillant mon tapis.

Quant à moi, j’avais toujours ma bite dans la main, pour l’instant on ne m’avait fait aucune sollicitation, mais ça pouvait encore venir, aussi accélérais-je les mouvements de ma main.

Messe basse entre les deux filles… Elles complotent quelque chose, j’ai intérêt à jouir avant la catastrophe prévisible.

Mais je suis rassurée quand je constate que c’est Felicity qui vient vers moi !

– Enlève tes mains, je vais m’occuper de ta bite…

A quatre pattes, elle rampa jusqu’à moi et emboucha ma queue. Bérangère arriva derrière elle, sans que je puisse voir ce qu’elle y faisait, mais les commentaires de l’anglaise me l’apprirent.

– Hum, sucer une bonne bite en se faisant lécher le trou du cul ! C’est si bon !
– Je sens que ça vient ! Prévins-je.
– Alors on fait une petite pause !

Felicity se leva et alla chercher son paquet de cigarettes. Je ne bougeais pas de mon siège et les deux filles tout en clopant se caressaient les seins. Un spectacle qui ne me fit pas débander, vous vous en doutez bien.

L’anglaise me demanda de me mettre à poil et de me coucher sur la moquette.

– Parce que ?
– C’est une surprise, laisse-moi faire ! Répondit la jolie rousse,

J’obtempérais, ne conservant que mes chaussettes, je réalisais après coup que si Bérangère avait prévu un traquenard, ma position rendrait ma fuite plus difficile, plus difficile, mais pas impossible, je pourrais toujours me réfugier dans la salle de bains…

Felicity commença par me caresser le torse et sans que j’y prenne gare me pinça les tétons, une caresse que j’apprécie, non seulement je me laissais faire mais lui demandais de le faire plus fort.

Puis elle s’empala l’anus sur ma bite et commença à monter et à descendre en de lents mouvements ! Quelle sensation !

Quant à Bérangère, elle regardait le spectacle et sans doute inconsciemment le fait d’être observé par ma sœur accroissait mon excitation.

Et soudain, et de façon complètement inentendue, la main de ma sœur vint caresser mes couilles.

Contre toute attente, ce geste me fit venir au bord de la jouissance, ma partenaire n’ayant pas changé de rythme, c’est moi qui en pratiquant des mouvements de bassin tentait d’en finir.

– On se calme ! Me dit l’anglaise qui tout en restant empalée cessa tout mouvement.

Et voilà que ma sœur, complètement déchaînée se mit à califourchon sur mon visage !

– Non ! Protestais-je.
– Juste un peu !

Imaginez, j’avais sa jolie chatte pleine de mouille parfumée, à moins d’un demi-centimètre de mes lèvres C’est pratiquement par reflexe que j’ouvrais la bouche et que ma langue se mit à lécher tout ça.

– Vas-y, grand frère, bouffe-moi la moule !

Je ne sais plus où j’en suis, il n’y plus de plan A, il n’y a plus de plan B, je lèche ma sœur, mais ça s’arrêtera là et nous aurons une bonne explication après, non mais dès fois !

– Mets-lui un doigt dans le cul. Elle adore ça cette salope ! Me suggéra l’anglaise.

Bon, je peux faire ça aussi, son petit cul est tellement bandant. Le doigt entra comme dans une motte de beurre.

– C’est trop bon, continue, encule-moi avec tes doigts ! Me dit-elle

Et pendant que je doigtais l’anus de ma sœur, Felicity reprit ses mouvements de va-et-vient, elle ne tarda pas à haleter, alors ne me retenant plus je me laissais aller et inondait son conduit réalisant alors que j’avais complètement oublié le préservatif.

Je déculais, sortait ma bite polluée de sperme et d’un peu de merde, l’anglaise s’empressa de me nettoyer tout cela de sa petite langue agile sous les yeux concupiscents de Bérangère. Je vous dis, elles sont frappées !

Je quittais ces deux furies et m’en allait boire un grand verre d’eau. J’étais assez dubitatif, d’un côté je n’avais pas été capable de tenir mes engagements et m’était laissé entrainer dans une spirale de stupre. Mais d’un autre côté, je n’avais pas été jusqu’un bout, c’est vrai qu’on ne m’avait pas sollicité en ce sens, je m’étais contenté, si l’on peut dire, de lécher et de doigter ma sœur.

Alors ? Y aura-t-il une suite ? Il me parait évident que les deux nanas vont essayer de m’entrainer plus loin, ce sera à moi de stopper net.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:28

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 3 – Le dernier tabou

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J’avais beau me dire que la séance prévue avec ma mère ne serait pas une corvée, j’angoissais néanmoins.

 

Un tabou aussi fort que celui de l’inceste ne peut disparaître aussi facilement qu’une envolée de moineau..

 

Bien sûr, dans l’absolu, rien ne m’obligeait, je pouvais tout simplement me déclarer « non prêt » et remettre cette folie à plus tard, je pouvais aussi me défiler en invoquant une migraine toute diplomatique… Bref les scénarios de fuite ne manquaient pas.

 

Malgré moi, des images se formaient dans mon esprit. Cécile avait été on ne peut plus explicite en me disant :

 

– Je veux que tu l’encules devant moi !

 

Comme acte déviant, ça se pose là, non ?

 

Mais mon cerveau visualisait l’acte. Ma bite bandée entrant dans l’anus forcément accueillant de ma mère… Et cette évocation me faisait bander.

 

Et puis le reste, Cécile avait évoqué devant moi jusqu’où allait le dévergondage de ma mère… Jusqu’à faire des choses scato ou sucer le sexe d’un chien. La salope !

 

Au fait ma mère, parlons-en un peu, elle vient d’avoir 50 ans, très brune, bien conservée, de belles formes. A la maison, la nudité n’était pas taboue, et il n’était pas rare que je croise ma mère ou mon père à poil, Mais n’allez pas croire qu’ils étaient exhibitionnistes, non, ils ne se cachaient pas, c’est tout.

 

N’empêche que quand j’ai vu mon père avec la bite bandée comme un arc, je fus saisi d’un trouble étrange. Et quand ma mère se rendait aux toilettes sans en fermer la porte, me faisant entendre le bruit de son pipi tombant dans l’eau dormante… Oh là là ! Quel émoi !

 

Alors oui j’ai un peu fantasmé sur ma mère, mais cela n’a jamais constitué une obsession, des fantasmes, j’en avais d’autres et puis il avait la barrière du tabou…

 

Ma mère est cadre supérieure dans une société agro-alimentaire, inutile de vous dire qu’elle gagne bien sa vie. Mon père lui gère un magasin de chaussures c’est donc ma mère qui comme on le dit « fait bouillir la marmite »

 

Apparemment mes parents s’entendaient bien, Nous étions trois enfants, deux garçons et une fille, j’étais la cadet et les autres maintenant sont « casés ».

 

Il y avait peu de conflits à la maison, juste quelques rares prises de gueule. Mes parents faisaient, chambres à part. Depuis quand ? Je n’en savais rien, En fait j’avais plutôt l’impression qu’ils se contentaient de coexister, ils ne prenaient même plus leurs vacances ensemble.

 

Je supposais que ma mère devait avoir un amant, et mon père une maîtresse. Grand bien leur fasse, ça ne me regarde pas !

 

Mais revenons au présent.

 

– La séance c’est à 10 h 30, m’informe Cécile. Mais j’ai demandé à ta mère de venir une demi-heure avant, comme ça vous pourrez discuter un peu.

– Ah ?

– Ben oui, ce sera mieux comme ça, non ?

– Sans doute ! Répondis-je sans grande conviction.

 

En fait je trouvais que l’idée n’était pas si judicieuse que ça. Il y avait un pas à franchir, et pour moi le meilleur moyen de le franchir était ne pas perdre de temps genre « Je me lance et si je bloque, je laisse tomber l’affaire ». Mais bon je suppose que Cécile savait ce qu’elle faisait.

 

A 10 heures ma mère arriva, tailleur strict et tout sourire. Lucie, la petite bonne nous installe dans le salon et apporte un thé pour ma mère et un café pour moi.

 

– Madame Cécile me fait dire qu’elle vous attend tous les deux à 10 h 30 dans le donjon. Vous devrez descendre complétement nus et vous agenouiller à votre arrivée.

– Comme d’hab, quoi ! Répondit ma mère.

– Oui et voici vos colliers de chien.. .

 

Elle attendit que la soubrette ait quitté les lieux avant d’entamer la conversation.

 

– Nous voici réunis dans des circonstances un peu particulières.

– Oui, c’est vrai ! Approuvais-je bêtement.

– Mais retiens bien l’essentiel :Personne ne nous oblige ! On fait ce qu’on veut, nous sommes des adultes responsables.

– Oui bien sûr !

– Tu n’es guère bavard !

– Je t’écoute !

– En fait, nous n’en parlions pas à la maison, mais j’ai toujours aimé le sexe.

– Normal, non ?

– D’après toi comment ais-je fais pour devenir cadre de direction ?

– Tes compétences, je suppose ? Répondis-je alors que je me doutais bien de la réponse qu’elle allait me faire.

 

Elle se mit à rire ! J’aime quand ma mère rit, son beau visage s’éclaire !

 

– Des compétences, je crois en avoir, oui ! Mais ça ne suffit pas toujours, alors disons que j’ai sucé quelques bites, le chef de service, quelques fondés de pouvoir, quelques mecs influents. Ça n’a pas vraiment été une corvée, j’adore sucer de bonnes bites

 

Entendre ma mère employer des mots vulgaires, ce quelle ne faisait pratiquement jamais à la maison me provoqua un début d’excitation, elle s’en rendit compte et enfonça le clou.

 

– Surtout Perronet ! J’adorais le sucer, il avait une très belle bite, je le suçais souvent à fond et j’avalais son foutre, c’était délicieux !

 

Elle me raconte ça avec une décontraction étonnante, de la même façon qu’elle me dévoilerait une recette de cuisine.

 

– Parfois il m’enculait sur le bureau, quand il ressortait sa bite, il me la faisait nettoyer, ça ne me dérangeait pas.

– Eh bin !

– Je te choque ?

– Non, choqué n’est pas le mot !

– C’est quoi le mot, alors ?

– C’est un peu bizarre, en fait ça m’excite, ce que tu me racontes.

– C’est vrai, ça, laisse-moi vérifier.

 

Et voilà que ma mère porte sa main sur ma braguette, du coup je bande complétement en un temps record. J’aurais aimé qu’elle aille plus loin, mais elle retire sa main. En ce moment j’ai vraiment envie de la baiser.

 

– Avec ton père il y a longtemps qu’on ne fait plus rien ensemble, alors j’ai été voir ailleurs. Reprend-elle. J’ai toujours eu des tendances un peu maso. Pas si facile que ça de trouver quelqu’un avec qui concrétiser d’autant que je me méfie des mecs dominateurs, j’en ai croisé quelques-uns, ça ne m’a pas branché plis que ça. Et puis j’ai rencontré Cécile sur Internet. Et oui Cécile n’est pas une amie d’enfance, c’est une prof qui arrondit ses fins de mois en organisant des parties fines très spéciales et ça me convient parfaitement.

– C’est la journée des grandes révélations !

– Comme tu dis ! Et en ce qui me concerne il y a longtemps que je fantasme sur toi, en fait depuis le jour où je t’ai surpris en train de te branler dans la salle de bain, tu ne m’as pas vu, mais moi je me suis caressé la moule en te regardant !

 

Comment elle parle !

 

– Et toi tu as fantasmé sur moi ? Me demande-t-elle.

– Oui !

– Raconte !

– Ben on était tout nu, tous les deux, tu me suçais le sexe et après je te sodomisais.

– Emploie des mots crus, mon chéri, c’est tellement plus excitant !

– Alors tu me suçais la bite et après je t’enculais comme une chienne !

– C’est mieux ! Donc pas d’ambiguïté à 10 h 30 on descend ?

– Ça marche !

– On est un peu en avance, on peut déjà se déshabiller, comme ça tu pourra me caresser un peu, d’accord ?

 

Bien sûr que je suis d’accord.

 

On se déshabille de conserve, je bande comme un fou, excité de voir ma mère tout près de moi complétement nue. Je pose ma main sur son bras, elle a la peau d’une douceur incroyable, Ma main bifurque vers sa poitrine….

 

– Je peux te caresser les seins ?

– Juste un peu ! Il faut se réserver pour en bas !

– Alors je te fais juste un bisou !

 

Ma langue s’approche du téton !

 

– Garnement ! Lécher les seins de sa mère ! Plaisante-elle. Tu n’as pas honte ?

– Ben non !

 

Sa main vient se poser sur ma bite, elle effectue quelques mouvements de branle, mais n’insiste pas. Son visage s’approche du mien, on se roule une pelle. Non je ne rêve pas, je viens de rouler une pelle à ma mère !

 

C’est l’heure !

 

On s’attache nos colliers de chien autour du cou, on descend.et on s’agenouille.

 

Oh là là ! On n’est pas tout seuls. Je ne saurais les noms de ces messieurs dames que plus tard, mais pour la bonne compréhension du récit, présentons-les dès maintenant :

 

Henri et Baptiste sont deux grands blacks, montés comme des mulets, Odile est une superbe femme, grande perche brune très souriante avec une magnifique paire de seins dont les tétons sont ornés d’énormes piercings noirs, elle tient à la main un gros labrador beige qui a l’air de se demander ce qu’il fait là. Cécile toute vêtue de vinyle noir et Lucie en tenue de soubrette d’opérette complètent le tableau de cette bande de dépravés… dont je vais faire partie !

 

– Odile ! Fais-toi lécher le cul par cette pute ! Ordonne Cécile.

– Avec plaisir !

– Il est comment ton cul ?

– Je ne me le suis pas lavé…

 

Ma mère lèche le trou du cul de la géante avec une gourmandise non feinte, tandis que Baptiste s’approche de moi la bite en avant.

 

– Suce ! M’ordonne Cécile

 

Le contraire m’eut étonné. Moi je veux bien, ma réticence à sucer de la bite n’existe plus depuis cette fameuse partouze (voir le chapitre précèdent). Le problème c’est que je n’ai pas une si grande bouche que ça, et qu’il m’est impossible d’y mettre tout ce paquet ! Alors je triche, je lèche la hampe, je suçote le gland, c’est doux, velouté, pas mal du tout et quand ce connard voulant me forcer me l’enfonce dans la bouche, je fais en sorte de l’envoyer à l’intérieur des joues avant que Cécile le prie de calmer ses ardeurs.

 

Puis les deux blacks m’attachent sur une chaise. Cécile vient me voir et m’indique que si je veux me retirer, il me suffira de prononcer le mot de sécurité qui ce soir sera « Phacochère ».

 

– Alors il était comment le cul merdeux de ma copine ? Dis-le-moi, sale gouine !

– Il était délicieux, maîtresse.

 

Cécile la gifle avant d’ordonner :

 

– Ouvre la bouche, poufiasse.

 

Cécile lui crache dans la bouche, Odile lui fait la même chose et Lucie est invitée à en faire de même..

 

– Tu te rends compte ! Quelle déchéance ! Accepter de se faire cracher dessus par une boniche ! Pas de quoi faire la fière ! Morue !

 

Ma maman, est attachée, la poitrine contre une croix de Saint André. Cécile et Odile s’emparent chacune d’une cravache et se mettent à lui fouetter le cul et le dos lesquels s’ornent vite de belle zébrures écarlates.

 

Puis on la fait se retourner, mais avant de faire jouer de la cravache les deux dominas, lui accrochent des pinces sur les tétons, puis sur les lèvres vaginales, et pour faire bonne mesure elles ajoutent des poids. Et c’est ainsi suppliciée, que les cravaches viennent cingler son ventre ses cuisses et ses seins.

 

Ma mère pleure, mais en même temps son visage exprime une sorte d’extase.

 

On la détache.

 

– En levrette, grosse pute !

 

Pas compliqué de deviner ce qu’il va se passer. Baptiste est devant et lui donne sa bite à sucer. J’espère pour ma mère qu’il sera moins brutal qu’avec moi. Henri est derrière ma mère, la bite magnifiquement bandée et après lui avoir lubrifié l’anus il la pénètre sauvagement.

 

Quel spectacle de voir ainsi ma mère faire la chienne, une bite dans la bouche, une autre dans le derrière, et je bande, et je bande, ça en devient douloureux d’autant que je n’ai pas la possibilité de me toucher.

 

Henri jouit assez vite, les deux hommes permutent leur position, ma mère lui nettoie la queue après qu’il ai retiré sa capote. Il se retire de sa bouche et lui éjacule encore quelques gouttes sur son visage. Elle ne s’essuie pas. Baptiste n’a pas joui dans son cul, mais sentant son plaisir proche, il se précipite et viens gratifier ma mère de longues et épaisses giclés de sperme.

 

Elle se relève, pantelante, Odile la rejoint et les deux femmes s’embrassent goulument, Odile n’hésitant pas à lécher le sperme qui macule son visage.

 

– T’aimes ça les bites, hein ! Quand il n’y en a plus, tu en veux encore !

– Oui !

– Dis-le mieux que ça !

– J’aimes les bites, je suis une salope !

– Accroupis-toi devant ma chatte, je vais te pisser dans la bouche.

 

C’est qu’elle avait une grosse envie, Odile.

 

– Je ferais bien caca, mais je me réserve pour tout à l’heure…

– Chic alors ! Répond ma mère d’un air de défi !

– T’es vraiment une grosse salope !

– C’est bien vrai ça !

 

On nage en plein romantisme !

 

Odile réveille le chien qui roupillait comme un bienheureux, le caresse un peu et le fait s’allonger sur le flan.

 

– Viens ma salope, viens sucer la bite du chien !

– Non ! Intervient Cécile !

 

Ah ? Que se passe-t-il donc ? Veut-elle m’épargner ce spectacle que je ne suis pas certain d’apprécier ?

 

– Non rapprochez-vous un peu d’Olivier, je veux qui voit bien sa mère sucer le chien.

 

Je me disais aussi …

 

Odile a commencé à lécher la bite du labrador, puis laisse sa place à ma mère qui engouffre l’organe avec gourmandise.

 

C’est vraiment une salope !

 

– Dis donc toi la boniche ! Pourquoi tu fais la gueule ? Dit Cécile en apostrophant Lucie.

– Je ne fais pas la gueule madame.

– Si ! Ça ne plait pas de voir cette salope sucer la bite d’un chien.

– Oh, Si Madame !

– Alors qu’est- ce que tu attends pour la rejoindre, conasse !

 

La femme de ménage vient alors aider ma mère à lécher le chien. Mais cinq minutes après Cécile interrompait la scène.

 

– En levrette la pute, et cul bien relevé, le chien va te prendre.

 

C’est pas vrai qu’elle va accepter de faire ça !

 

Cecile02

 

Odile humecte le cul de ma mère avec sa propre mouille et guide le chien qui finit par comprendre, et qui se met à la baiser avec frénésie ! Quel spectacle, c’est vraiment la totale. D’autant que ma mère ne tarde pas à glousser de plaisir sous le coups de butoir du quadrupède.

 

Au bout d’un moment, Lucia remplace ma mère dans le rôle de la chienne. Elle aussi à l’air d’apprécier.

 

Je sais que maintenant le moment fatidique approche, on me détache. Je ne sais trop quoi faire, mais ma mère, elle le sait, et sans autre forme de procès vient me sucer la bite tandis que ses mains délicates viennent me tortiller me tétons.

 

Putain qu’est-ce qu’elle suce bien, d’autant que pour mettre un peu de piment dans cette fellation incestueuse, elle m’introduit un doigt dans le trou du cul et le fait aller et venir.

 

– Attention, je vais jouir !

 

Ma mère stoppe sa fellation, me laissant récupérer, je la caresse et cette fois je m’octroie la permission d’embrasser ses jolis seins.

 

Elle se laisse faire, me pince encore un peu mes petits bouts de seins, m’embrasse fiévreusement, puis vient se mettre en levrette.

 

– Viens, mon fils, viens enculer ta mère !

 

Alors je l’ai fait, toute honte bue, l’affaire a été rapide mais je me suis fait un point d’honneur à la faire jouir.

 

Pendant ce temps Cécile se faisait faire minette par Odile et quand ce fut terminé, la grande brune fit coucher Lucia à même le sol et lui chia un énorme boudin sur le visage.

 

– J’espère que tout le monde est content, ceux qui veulent pendre une douche, c’est là-haut, on se retrouve tous à midi pour la bouffe….

 

Le coq au vin mitonné par Lucia fut délicieux, nous étions six à table, l’ambiance était bon enfant et nous n’avons pas parlé de sexe… car comme disait ma grand-mère, le sexe c’est formidable, mais il n’y a pas que ça dans la vie.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:24

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 2 – La partouze

 

Chanette2

Cécile me demanda de rester à poil. Ça ne me dérangeait pas… Et sur ces entrefaites, la femme de ménage arriva.

 

Elle se prénomme Lucie, c’est une jolie petite femme brune et mûre, un peu boulotte et dotée d’une forte poitrine.

 

Elle n’est pas sitôt entrée que Cécile la gifle. Et lui crache au visage.

 

– Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise ?

– Je ne sais pas Madame, des bêtises, j’en fais souvent !

– A poil, chienne !

– Bien sûr, Madame !

– Qu’est-ce que tu regardes ? La bite d’Olivier, c’est le fils d’Elsa, la salope que tu as léché l’autre fois. Lui c’est un petit soumis que je dresse, pour l’instant ça se passe bien. Ce matin il m’a nettoyé mon cul plein de merde et ensuite je l’ai enculé avec un gode-ceinture.

 

Que l’on parle de moi ainsi me fit rougir de honte.

 

La soubrette se déshabilla, puis nous sommes descendus tous les trois à la cave où Cécile attacha Lucie de dos sur une croix de St André.

 

Ma maîtresse lui cingla fortement le dos et les fesses laissant de larges trainées rougeâtres à l’aide d’une cravache. La soubrette encaissait sans protester. Elle gémissait, criait, pleurait mais semblait se complaire de cette sévère fouettée.

 

Quand son verso fut assez cinglé, Cécile l’attacha de face et cette fois ce sont ses seins et son ventre qui furent martyrisé.

 

Cécile finit par lâcher sa cravache et vint rouler une pelle magistrale à sa soubrette.

 

– Tu as bien supporté, ça m’a terriblement excité, tu as droit à une récompense.

 

Apparemment, la soubrette savait ce qu’allait être cette récompense, aussi se coucha-t-elle su le dos, la bouche ouverte. Cécile s’accroupit à quelques centimètres de son visage.

 

– Regarde Olivier, le spectacle devrait te plaire.

 

Pour l’instant ce qui était fascinant, c’était l’attitude de Lucie, bouche ouverte dans une position quasi extatique attendant le cadeau de sa maîtresse.

 

C’était la première fois que j’allais voir une femme chier. J’ignorais si j’en supporterais la vue, mais je pourrais toujours fermer les yeux !

 

L’anus s’ouvre, un petit étron se fraye un chemin, il grossit, l’étron devient boudin et je garde les yeux ouverts, la fascination l’emportant sur la répulsion.

 

La merde tombe dans la bouche ouverte de Lucie, elle la dégage mais non sans en avoir léché un peu. Les deux femmes se relèvent se roulent de nouveau un patin ! Quelles salopes !

 

Je n’étais pas esclave à plein temps, cela aurait été lassant aussi bien pour moi que pour elle, elle me laissa donc le champ libre en me demandant de lui apporter le lendemain matin son petit déjeuner au lit comme la veille.

 

Je redoutais l’épreuve du caca, tout en étant quelque part fasciné. Je me demandais ce qu’elle allait encore aller inventer.

 

Quand elle eut finit de pisser et que je me fus régalé de son urine que j’apprécias de plus en plus, Cécile se mit à pousser sans que je voie quoi que ce soit mais en glissant sa main sous son anus afin de recueillir l’étron qu’elle chiait.

 

Ensuite, elle me le présenta avec un étrange sourire, le tenant dans ses mains tel un trophée sans dire un mot.

 

Je suis troublé, ce qu’elle tient dans sa main ne me dégoute pas mais ce n’est pas non plus une œuvre d’art et en plus l’odeur est loin d’être neutre.

 

– C’est beau, hein ? finit-elle par dire.

– Euh, oui ! Balbutias-je

– Quelle conviction ! Regarde ce qu’elle fait ta cochonne de maîtresse.

 

Elle approche l’étron de sa bouche, sort sa langue et le lèche en me narguant. Je sais quelle va me demander de l’imiter. Je suis tétanisé.

 

Sans un mot elle approche l’étron de ma bouche. Je ne bouge pas.

 

– Tu attends peut-être un ordre ?

– Oui maîtresse !

– Parce que tu n’es pas capable de prendre une initiative ? T’es vraiment nul comme esclave.

 

De sa main gauche, elle me gifle et me crache au visage.

 

– Et maintenant fait ton boulot d’esclave.

 

Alors j’ai léché la merde de ma maitresse, m’étonnant que l’épreuve soit bien moins difficile que je ne l’imaginais. Après tout j’avais bien léché son cul hier, pourquoi voudriez-vous que le gout soit différent aujourd’hui ?

 

– Votre merde est délicieuse, maîtresse !

– Je sais, ta mère l’apprécie beaucoup.

 

J’imagine le tableau, ma mère en train de lécher la merde de Cécile… et ça me fait bander.

 

Elle se retourna et me demanda de lui nettoyer le cul, je m’acquittais de cette tâche avec dévotion.

 

Et maintenant je vais te transformer en soubrette !

 

Une perruque blonde, un collier et des bracelets de cuirs pourvus d’un anneau, des bas résilles noir, un porte jarretelle de dentelle noire, des escarpins à talons aiguilles rouge et un petit tablier blanc de soubrette. Il me fallut plusieurs jours pour marcher ainsi accoutré sans me tordre les chevilles.

 

Un soir, je reçu l’ordre de mettre le couvert pour quatre, sans oublier deux autres au pied de leur table. En préparant, j’étais terrifié à l’idée que d’autres personnes soient témoins de nos petits jeux. Quand elle revint, sans même me laisser l’honorer de la langue, elle me fit descendre dans la cave pour me préparer. Elle me fit revêtir ma tenue de service, en remplaçant le porte jarretelle par une guêpière de cuir noir, qui laissait nues mes fesses et mes testicules. A peine eut elle finit de m’apprêter qu’on sonna à la porte.

 

– Va ouvrir, et fait les patienter pendant que je me prépare. Tous leurs désirs seront des ordres, tu as bien compris, esclave de merde ?

 

Les joues en feu et le sexe tendu qui faisait une bosse sur le devant de mon tablier, je fis entrer un couple d’une cinquantaine d’année, qui se présentèrent comme Odile et Robert. Une très belle femme cette Odile, belle brune à lunettes bien conservée ! Tandis qu’ils me suivaient au salon, Robert demanda à sa compagne :

 

– Il te plaît, ma chérie? Il a un beau cul, non?

– Oui. Et j’ai hâte de voir sa pine. Elle a l’air grosse.

 

Quand je leur eu servi un apéritif, Robert me fit mettre debout devant eux, et souleva mon tablier, et me soupesa les bourses de la main.

 

– Il a une belle queue, ma chérie, et un vrai fion de gonzesse…

 

Il fut interrompu par la sonnette, et j’allais ouvrir à un autre couple; une jeune femme blonde et souriante qui se prénommait Jessica, tenant en laisse un black, David, lui aussi travesti en femme avec escarpin, porte jarretelle, et un sexe énorme et dressé à l’horizontale, qui rejoignirent les autres au salon.

 

Odile et Jessica lancèrent l’idée d’un petit concours. Elles écartèrent les cuisses en retroussant leur jupe. Cécile fit agenouiller David devant Odile, et moi devant Jessica.

 

– Vous allez lécher ! Le premier qui fera jouir sa partenaire aura gagné. Quant au perdant, il sera puni sévèrement.

 

Je fis de mon mieux pour satisfaire la jeune femme, qui rapidement se mis à haleter, et jouit avec un cri, tandis qu’il fallut encore plusieurs minutes à David pour faire jouir Odile. Furieuse d’avoir perdu, elle insulta l’esclave, le gifla, lui cracha dessus.

 

Cécile intervint :

 

– Tu es nul. Puisque tu ne sais pas sucer, tu vas te faire enculer par ton vainqueur. Lopette. Olivier, défonce-lui le cul, à cet incapable.

 

Je n’avais encore jamais eu de rapport avec un homme, et j’hésitais à lui obéir. David s’était mis à quatre pattes sans un mot, et écartait ses fesses à deux mains.

 

– Ben alors qu’est-ce tu attends ! M’invectiva Cécile.

– Euh…

– Tu préfères peut-être qu’on inverse les rôles, tapette ? Ne t’inquiète pas ton tour viendra..

 

Je me mis à genoux derrière David, en enfonçant mon sexe entre ses fesses et commençais à aller et venir dans son cul en douceur. Mais quelque chose ne fonctionnait pas, je bandais mou et avait beau évoquer mes fantasmes les plus secrets, ma bite ne voulait plus rien savoir.

 

– Je t’ai dit de le défoncer. Si tu en es incapable, tu prends sa place ! Cria Jessica.

 

C’est Odile qui me sauva la mise, se plaquant tout contre moi par derrière de façon à ce que sente les pointes de ses seins dans mon dos, elle s’empara de mes propres tétons et les tortilla avec vigueur. Miracle, cela me fit rebander !

 

Cécile, Jessica et Robert s’étaient installés dans le canapé et nous regardaient baiser. David gémissait de plaisir sous mes coups de reins. Emoustillé par le spectacle, Robert se leva, sorti son sexe, et debout devant David se fit sucer. Il ne tarda pas à jouir dans sa bouche, tandis que je continuais à le pistonner, cela, jusqu’à ce qu’il s’effondre sous moi en éjaculant sur la moquette.

 

Cécile demanda à David de me nettoyer la bite, je n’avais pas joui mais elle était imprégnée du jus de son cul ! Il s’acquitta fort bien de cette tâche, il devait avoir l’habitude.

 

Ensuite ces braves gens passèrent à table, David et loi mangions par terre dans des écuelles à chien entre deux services.

 

Les conversations allaient bon train, et les voilà qui parlaient de cinéma, de voyages et d’autres choses encore. Comme dirait ma grand-mère, il n’y a pas que le sexe dans la vie.

 

Pendant le repas, Odile fut saisie d’une envie pressante de faire pipi, alors qu’elle se levait pour se diriger vers les toilettes, Cécile lui proposa de se soulager sur ma personne. J’ouvris la bouche pour accueillir ce curieux breuvage. Sa pisse était délicieuse.

 

Ils décidèrent de faire une pause avant le dessert, pour prendre un peu de bon temps. Cécile alla s’empaler l’anus sur la grosse queue de David, tandis que Jessica me fit allonger sur le dos sur la table du séjour, pour me chevaucher à son aise. Comme ma tête tombait en arrière sur le bord de la table, Odile s’approcha et me présenta sa chatte trempée dans laquelle j’enfonçais ma langue, tandis que son mari la sodomisait sans ménagement. Le séjour était rempli de gémissements lascifs et de halètements, jusqu’à ce que David ait le malheur de jouir dans ma maîtresse. Elle se releva, furieuse.

 

– Mais c’est quoi cet esclave de merde incapable de tenir la distance ?

– Pardon maîtresse !

– Il n’y a pas de pardon qui tienne, tu vas voir ce qu’il va t’arriver !

 

Quand Jessica eut joui, elles descendirent à la cave avec lui pour le punir, tandis qu’Odile prenait la place de Jessica sur mon sexe et me chevauchait en me griffant la poitrine et en me traitant de tous les noms orduriers de son répertoire. Elle était très endurante, et elle s’activa encore longtemps après que les autres soit remontés de la cave, où elles avaient laissé David écartelé sur une croix, un godemichet vibrant allumé entre les fesses, un autre maintenu par un bâillon dans la bouche. Je leur servi le dessert.

 

Odile se leva et la bouche encore remplie de sa crème caramel vint rouler un patin à Jessica. Les deux femmes se caressèrent et se plotèrent à qui mieux mieux et finirent par rouler sur la moquette où elle se retrouvèrent en position de soixante-neuf. Cécile s’empressa d’aller quérir deux godemichet qu’elle enfonça dans le trou du cul des deux femelles déchainées.

 

Nous redescendîmes à la cave. Cécile avec l’aide de Jessica m’attacha à une table basse, sur le ventre, par les chevilles et les poignées. Puis elles entreprirent de me fouetter chacune leur tour, le dos, les fesses, et le sexe qui était toujours dressé, au bord de la table. Robert s’approcha et voulu enfoncer son dard dans ma bouche. Comme je gardais les lèvres serrées, Cécile m’ordonna de le sucer.

 

– Je vous en supplie, maîtresse. Faites de moi ce que vous voudrez. Je suis votre esclave, mais pas un pédé.

– Tu es un esclave ! Un esclave c’est fait pour obéir, et si je t’ordonne de sucer une bite, tu vas le faire sans rouspéter.

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Je la vis avec appréhension libérer David. D’un rapide va-et-vient de la main, elle lui rendit sa vigueur, et lui ordonna de me prendre par-derrière. Je la suppliais en vain

– Tu vas fermer ta gueule, on n’entend que toi ! Tu veux peut-être que je te vire ?

– Pardon, maîtresse, je dirais plus rien, je vais me faire enculer pour vous puisque vous me le demandez !

– D’ailleurs, ne me dit pas que ça ne te plaît pas, tu bandes comme un cheval.

 

On m’enduisit le trou du cul de gel, puis d’une seule poussée, David me pénétra, m’arrachant un cri, j’avais réellement mal, et m’apprêtais à demander à ce que l’on stoppe cette pratique, quand je senti que la douleur s’estompait et laissait progressivement place à un plaisir trouble. Qui l’aurait cru, je me faisais enculer et me mettais à aimer ça !

 

Robert s’approche, Cécile me demanda de l’accueillir dans ma bouche ce que je fis. Je fus alors surpris de la texture agréable de cette bite.

 

Les deux hommes, encouragés par leur compagne, prirent le rythme en cadence. Le premier, Robert explosa, m’inondant de sperme que j’avalais à moitié tandis que David continuait de me pistonner vigoureusement, ce qui, à ma grande surprise, continua à me faire gémir de bonheur. Cécile lui ordonna de s’arrêter un instant.

 

– Alors, tu n’es pas un pédé? Donc si David arrête, tu seras content, n’est-ce pas ? Répond, esclave. Dis-nous que tu es un pédé et que tu veux qu’il continue !

– Je suis un pédé. Maîtresse. Je veux qu’il continue à m’enculer.

 

Quand David jouit avec grand bruit, il se retira et me donna sa bite à nettoyer, tâche dont je m’acquittais comme un bon esclave que je suis.

 

– C’est bon la bite ? Hein esclave ? Me nargua Cécile.

– Délicieux, maîtresse !

 

Cécile consulta son agenda devant moi

 

– Demain tu as quartier libre, je serais occupé à l’extérieur, mais après-demain, j’ai rendez-vous avec ta mère. Je veux que tu l’encules devant moi !

 

Bof, ce ne sera pas une corvée, j’étais vraiment devenu l’esclave de Cécile et j’aimais ça !

 

Fin (à moins que j’écrive la suite que vous devinez…)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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Dimanche 26 septembre 2021 7 26 /09 /Sep /2021 09:20

Maîtresse Cécile par Sylvain Zerberg – 1 – Esclave débutant

Domina

Je me prénomme Olivier. Durant mes études supérieures, j’habitais une chambre que je louais chez Cécile, qui était une amie de mes parents et professeur de math. Cela m’évitait d’avoir à parcourir tous les jours les 50 kilomètres séparant le domicile de mes parents de l’université.

 

Cécile avait 42 ans, 23 de plus que moi, était une grande rousse au physique passe-partout, qui s’habillait de façon très classique.

 

Un jour où elle n’était pas à la maison, je ne trouvais plus mon peignoir qu’elle avait dû mettre au lavage, j’ouvris son dressing dans laquelle un tiroir était mal refermé. Une culotte en fine dentelle en dépassait. Poussé par la curiosité, je regardais et découvrais plusieurs pièces de lingerie assez osées. Du coup je me lançais dans une exploration systématique et fus très surpris de trouver dans son placard de nombreuses paires de chaussures à talon aiguille, des perruques blondes et brunes, toute une collection d’accessoires en cuir, sous-vêtement, combinaison, cravache, fouet, godemichés ainsi qu’une pile de DVD uniquement marqués d’un numéro. Curieux, j’en glissais un dans le lecteur, pour découvrir une suite de scène où on la voyait en guêpière noire, sodomisant à l’aide d’un gode ceinture un homme attaché sur son lit et cagoulé. Sur une autre elle en fouettait sévèrement un autre attaché sur une croix.

 

Sans même m’en rendre compte, j’avais sorti mon sexe et je m’étais masturbé dans sa chambre. Tous les jours, quand Cécile était absente, je visionnais un nouveau DVD en me caressant.

 

Tout allait bien, mais un soir alors que je regardais la télé sans trop m’y intéresser, Cécile m’apostropha.

 

– C’est trop nul ce que tu regardes, j’ai quelques DVD qui devraient t’intéresser !

– Pourquoi pas ?

 

Mais quand je la vis revenir avec l’un de ses DVD numérotés, je fus pétrifié de honte.

 

– Pourquoi tu rougis ? J’ai bien vu que tu avais fouillé dans mes affaires, et hier tu avais oublié un DVD dans le lecteur.

– Je, je… bredouillais-je

– Je me demande ce que tes parents penseront de ton comportement ! Déclara-t-elle d’un air mauvais.

– Je vous en prie, ne faites pas cela. Je vais chercher une autre chambre, et vous n’entendrez plus parler de moi, mais n’en parlez pas à mes parents.

– Je plaisantais, voyons, je n’ai rien d’une maitre chanteuse, après tout c’est de ton âge…

– Je vais quand même partir…

– Ça ne plairait pas d’essayer d’être mon petit esclave ? Comme dans mes vidéos ?

– Je ne sais pas !

– Mais si tu le sais et tu en meurs d’envie, sinon tu ne te branlerais pas devant mes films ! Parce que tu t’es branlé, n’est-ce -pas ?

– Euh…

– Commence donc par te mettre à poil, on va voir ce qu’on peut faire ensemble.

 

Je devais être dans un état second pour lui obéir, comme ça sans rechigner.

 

Lorsque je fus nu, debout devant elle, elle fit une moue déçu en regardant mon sexe mou

 

– Ben alors on ne bande pas devant sa maîtresse ? Agenouille-toi devant moi !

 

Lorsque j’eus obéi, elle posa le pied sur mon bas ventre et s’amusa avec mon sexe, ce qui ne tarda pas à le faire durcir.

 

– Voilà qui est mieux. Chaque fois que je voudrais me servir de toi et que tu ne banderas pas, chaque fois que tu désobéiras ou que tu discuteras mes ordres, tu seras puni. Lève-toi, suis-moi,

 

Elle me guida jusqu’à la cave, où je découvris la pièce que j’avais déjà vue sur les vidéos, ou elle s’amusait avec ses soumis. Je fus rapidement suspendu par les chevilles et les poignets, écartelé sur une croix de métal froid.

 

– Ta bite n’a rien d’extraordinaire, mais elle est quand même jolie, je l’aime bien ! Je la sucerais bien, mais je n’ai pas envie que tu jouisses de suite !

 

Elle se laissa tomber sur un fauteuil, retroussa sa jupe en me révélant son porte-jarretelle rouge, ses bas noirs et sa toison rousse. Ma queue était douloureuse à force de désir, quand elle m’ordonna :

 

– Viens lécher ta maîtresse, esclave.

 

Je tombais à genoux entre ses cuisses et enfoui ma tête sous sa jupe. Sa fente était trempée de désir lorsque ma langue s’y enfonça, et je fis de mon mieux pour titiller son bouton gonflé, alternant les caresses avec de profondes pénétrations de ma langue dans son vagin. Elle avait empoigné mes cheveux et guidait mes mouvements, jusqu’au moment où elle cria en me repoussant violemment du pied.

 

– Quelle surprise ! Tu suces divinement, esclave. Tu as des dispositions, pour un puceau, car tu es encore puceau, non ?

– Oui, maîtresse ! Répondit je, très excité par les événements.

 

C’était faux, mais puisque tout cela était un jeu…

 

Du bout du pied, elle me poussa sur le dos, enleva sa jupe et son chemisier et vint s’accroupir au-dessus de moi.

 

– L’avantage de l’esclave sur le godemiché, c’est qu’il te caresse les seins en même temps qu’il te baise, vois-tu ?

.

Et elle s’empala sur ma bite avec un grand cri. Elle me chevaucha ainsi pendant une éternité, tandis que mes mains fébriles exploraient son corps, faisant durcir les pointes de ses seins, courant le long de son dos, caressant ses cuisses, ses hanches et ses fesses. Un moment elle se retira, je compris alors qu’elle désirait changer d’orifice et c’est maintenant par l’anus qu’elle s’empalait. Elle finit par jouir en gigotant et en criant comme une damnée de l’enfer. Encouragée par ses cris j’augmentais la cadence et jouissais à mon tour.

 

Cécile s’empara de ma bite gluante de sperme et me la nettoya de ma bouche.

 

– Hum, j’adore ! Tu gagnes à être connu, gamin. C’était très bon. A présent, il faut que je fasse pipi, tu vas me servir de chiotte.

– Euh, peut-être pas…

 

Je n’avais rien contre l’uro qui était une pratique sur laquelle je fantasmais sans concrétiser, mais je craignais néanmoins qu’elle ne m’entraîne trop loin.

 

Je ne vis pas arriver la gifle.

 

– Ouvre la bouche !

 

J’eu juste le temps d’éviter que le crachat atterrisse dans ma bouche.

 

– Qu’est-ce qui se passe ? On arrête tout, c’est ça que tu veux ? Me demande-t-elle.

– Il y a des choses que je ne veux pas faire.

– Alors va te faire enculer ailleurs, connard !

 

Complètement dépité, je cherchais mes vêtements et les enfilais.

 

– Tu passeras le bonjour à ta mère, elle aussi c’est une bonne pute, la dernière fois je lui ai fait sucer un black avec une queue énorme pendant qu’un autre lui fouettait le cul avec une branche de céleri.

– Quoi ?

– Ben oui ! Si tu savais le nombre de gens qui ont une vie cachée… Bon nous n’allons pas nous quitter fâchés, viens boire une bière dans la cuisine.

– Ma mère vient se faire fouetter et tout ça ! Je n’y crois pas ?

 

En fait j’étais davantage troublé que choqué, allez donc savoir pourquoi ?

 

– Dommage je n’ai pas de vidéo, elle n’était pas d’accord pour ça, sinon je te l’aurais montré. Une fois il y a une copine qui est venue avec son chien, j’ai demandé à ta mère de sucer le chien, elle a eu l’air d’apprécier.

– Les bras m’en tombent !

– Ramasse-les, ça peut servir.

 

J’avais quelque mal à assimiler les propos de Cécile sur ma mère… Mais elle en ajouta une couche.

 

– Tu as déjà fantasmé sur ta mère ?

– Non, enfin si, un petit peu… bredouillais-je, mais enfin c’est ma mère…

– Parce que, elle, elle fantasme sur toi, mais elle n’ose pas te demander…

– Je rêve !

– Si ça t’intéresse, je peux organiser une petite rencontre…

– Non, non…

– Réfléchis-y quand même, allez suis-moi !

 

Comme un zombi, je suivais Cécile dans la cuisine. Je regrettais déjà mon mouvement de révolte, mais que faire, je ne souhaitais pas me laisser entrainer dans des voies qui ne me disaient rien. Mais aussi pourquoi était-elle adepte du « tout ou rien » ?

 

– Il y a une chose qu’il te faut savoir, avant de partir, la domination est un jeu. L’esclave est libre de s’en retirer quand bon lui simple, mais ce n’est pas lui qui mène la barque, ce serait trop facile. Si je propose une pratique à un esclave et que ça ne lui dit trop rien, il y a une attitude que je ne supporte pas, c’est le refus. On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer la situation. C’est moi qui gère, pas lui !

 

Elle était en train de me tendre une perche et j’en étais heureux.

 

Maintenant, tu as le choix, soit tu t’en vas et nous ne reparlerons plus jamais de ces petites fantaisies, soit tu retournes à la cave, tu te déshabilles et on reprend là où nous en étions restés !

 

– Je retourne à la cave ! Lui indiquais-je et cette fois sans hésitation..

 

Elle me fit attendre dix minutes, jouant ainsi avec mes nerfs.

 

Quand elle revint, elle me toisa et empoigna mes tétons qu’elle tordit fortement. Cette action eut pour résultat immédiat de me faire bander très fort.

 

– Ouvre ta bouche, chien !

 

J’ai faillir dire non, mais me rappelait ses propos et reçu son jet de salive en pleine bouche.

 

– Très bien et maintenant, la douche….

 

Elle me fit coucher sur la partie carrelée de son donjon, s’accroupit légèrement et se mit à pisser d’abondance.

 

– Ouvre la bouche, esclave, goute à ma bonne pisse.

 

J’essayais, découvrant un goût assez bizarre, pas trop génial mais pas désagréable non plus. Voulant montrer à ma maîtresse que j’étais un bon esclave et que j’avais compris sa façon de fonctionner, j’en avalais une bonne rasade.

 

– Ben voilà quand tu veux ! Dommage que je n’aie pas envie de chier, on verra ça demain matin.

 

Oh, non ! me dis-je, mais je me rassurais aussitôt : »quand elle verra que ça ne me plait pas, elle n’insistera pas  »

 

– Tu me réveilleras demain à 8 heures précises, tu m’apporteras mon petit déjeuner au lit, complétement à poil, je veux du café, du jus d’orange et des tartines grillées avec de la confiture. Maintenant tu as quartier libre, si tu veux aller faire un tour dehors, ne t’en prive pas.

 

Le lendemain je la réveillai comme prévu. Elle s’assit dans le lit et je pu ainsi contempler de nouveau sa belle et opulente poitrine. Du coup je mis à bander.

 

– Hier j’ai oublié de mettre ma petite culotte au sale, elle est là-bas sur la chaise, prend-là !

 

Je le fis, elle me demanda de la sentir, puis de la lécher, je me surpris à bander en le faisant

 

– Ah, j’ai oublié de te dire, à 9 heures la femme de ménage va arriver, je vais la punir, tu assistera à la punition.

– La punir pourquoi ? Demandais-je

– Est-ce que je t’en pose des questions, je n’ai pas besoin de motif pour punir qui je veux ! Reste là et mets-toi à genoux pendant que je déjeune.

 

Quand elle eut fini son petit déjeuner, elle se leva, je la voyais donc pour la première fois complètement nue.

 

On se dirigea vers les toilettes, elle s’assit sur la cuvette et se mit à uriner, elle s’amusa à se pisser sur les mains et à me les faire lécher. Je commençais à bien apprécier ce gout particulier.

 

– Et maintenant caca ! Dit-elle.

 

Moment fatidique, comprendra-t-elle que la chose ne me plaira pas ?

 

Elle pousse, j’entends la merde tomber dans l’eau dormante avec un grand floc.

 

– Je n’ai pas chié à fond, je me réserve pour la femme de ménage. Mais ne t’inquiète pas, on va faire ça progressivement ! Dit-elle en se relevant, essuie-moi le cul.

– Avec le papier ?

– Non, avec ta langue.

 

Si je refuse, me dis-je, elle va me jeter, il me faut donc procéder autrement. »

 

Il faut tout simplement qu’elle constate que la pratique ne me plait pas. Et là se pose un problème idiot : Comment pourra-t-elle juger de ma réaction puisqu’elle me tourne le dos ?

 

Ne sachant comment gérer la situation, je me dit qu’il me fallait faire confiance à mes qualités d’improvisation.

 

Cécile écarte ses globes fessiers afin que ma langue puisse accéder facilement à son trou du cul. J’approche mon visage, ça sent la merde, mais ça n’a rien de pestilentiel. Il n’y a pas grand-chose à essuyer, juste quelques taches marrons et ça me rassure.

 

Je respire un bon coup et j’approche le bout de ma langue de la première tache en fermant les yeux. Je lèche et surprise, là où je pensais trouver de l’abominable, je ne trouve qu’une saveur assez âcre mais qui n’a rien de repoussante, du coup je lèche mieux et je réouvre les yeux.

 

J’ai tout nettoyé, Cécile a maintenant le cul propre comme un sou neuf… et même que je suis fier de moi !

 

– Ça t’as plu, esclave de lécher la merde de ta maîtresse ?

– C’était délicieux ! Répondis-je.

 

J’en rajoutais, délicieux n’était sans doute pas le mot approprié mais j’étais tellement content de m’être acquitté de cette épreuve que je redoutais.

 

– Demain nous essaierons d’aller plus loin !

 

J’ignorais ce qu’elle entendait précisément par-là et n’était pas vraiment certain de pouvoir la suivre.

 

Cecile (1)– Viens, tu as droit à une petite récompense.

 

Elle se leva, fouillant un long moment dans un placard, dans mon dos. Quand elle se retourna, je l’aperçu dans la glace, nue, la taille ceinte d’un gros godemiché noir, une cravache à la main.

 

– Tends-moi ton cul, morue ! Ordonna-elle en me cinglant de sa cravache.

 

Elle me cravacha les fesses plusieurs fois me laissant échapper des cris de douleur puis elle me fit me mettre à quatre pattes. Elle s’agenouilla derrière moi, posa les mains sur mes fesses, et je sentis son doigt me pénétrer l’anus et s’y agiter frénétiquement. Mon dieu que c’était bon, mais ce n’était rien à côté de qui suivit : le doigt fut remplacé par le gland de plastique du gode qui força doucement mon petit cul. Elle enfonça par petits coups, et je criais de douleur et de surprise. Lorsque le gode fut complètement entré dans mon cul, elle resta un moment sans bouger, et commença à donner de petits coups de reins. Je constatai avec surprise que la douleur avais disparu rapidement pour faire place à un plaisir trouble. Après quelques minutes de ce traitement, je me mis à haleter, puis à gémir, de plus en plus fort à mesure qu’elle accélérait son mouvement. Et sans me toucher, je sentis mon sexe exploser et je m’effondrais en répandant mon sperme sur la moquette.

 

– Cochon, nettoie tout ça avec ta langue !

 

Je m’exécutais tant bien que mal.

 

– Dis-moi, ça t’as plus, mon gode dans ton cul de pédé ?.

– Oh oui, maîtresse ! Vous pourrez me le refaire quand vous voudrez.

– Tu es un enculé maintenant !

 

A quoi joue-t-elle ?

 

– Je n’ai pas entendu ta réponse !

– Oui, maîtresse

– Quoi « oui, maîtresse », je veux t’entendre dire que tu es un enculé.

 

Si ça lui fait plaisir…

 

– Je suis un enculé, maîtresse.

– Et encore, ce n’était qu’un gode, imagine, quand je te ferais prendre par une vraie bite, une bonne bite que tu aurais bien sucée avant. Dis-moi que ça te plairait ?

 

Horrifié par cette perspective, je me souvenais néanmoins de sa façon de procéder « On ne refuse jamais sans avoir essayé. Ensuite c’est à moi, suivant les réactions de l’esclave de gérer sas réactions. »

 

– Je ne sais pas, mais je suis prêt à essayer !

– Tu ne sais pas ce qu’on va faire, je vais te prendre en photo avec une bonne bite dans la bouche, et je la montrerais à ta mère. Ça va bien l’exciter et ensuite tu pourras la baiser.

 

Elle est folle !

 

– Penses-y en t’endormant mais si tu te branles évite de tacher les draps !

 

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Sylvain Zerberg
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