Felicity et Bérangère par Sylvain Zerberg – 2 – Perversions décomplexées
J’en étais là de mes réflexions quand Felicity, la clope au bec s’approche de moi avec un sourire craquant.
– Toi, tu es un petit cochon, tu m’as enculé deux fois, c’était très bon !
– Pour moi aussi c’était bon ! Répondis-je en lorgnant sur ses beaux nichons, il y a des choses dont on ne se lasse jamais.
– Je peux te demander une petite fantaisie qui me ferait plaisir ?
Je m’attends au pire !
– Dis-moi !
– Je voudrais que tu me pisses dessus !
C’est pas vrai que ça recommence ! Et au lieu de faire une réponse intelligente, je réponds n’importe quoi :
– Et j’ai quoi en échange ?
– Ce que tu veux ! Je t’offre mon corps, je n’ai aucun tabou !
Je suis comme un con, je ne sais plus quoi lui répondre.
– T’as le droit de réfléchir, rien ne presse ! Alors tu viens me le donner ce pipi ! Insiste-t-elle en me prenant la main et me tirant vers la salle de bain.
– Mais j’ai pas envie !
– Tu peux toujours essayer.
Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Alors que ce matin je me révoltais, là je me laisse trainer comme un toutou. Felicity s’est accroupie dans le carré à douche après avoir laissé couler l’eau du lavabo, il parait que ça aide. Je ferme les yeux, j’attends que ça vienne, ça finit par venir, le jet part, l’anglaise s’arrange pour qu’il atterrisse dans sa bouche. Je me demande quel gout ça peut avoi ?
Une fois l’affaire terminée, je quitte la salle de bain sans un mot et je me rhabille. Les filles ont fait la même chose, on a joué aux cartes en buvant des bières et on est allé se coucher.
J’ai mal dormi, et le matin j’avais pris une résolution qui n’avait plus rien à voir avec celle de la veille. Si vraiment ma sœur veut que je la baise, et bien je vais la baiser, ça sera fait et on n’en parlera plus !
Je me suis levé, douché rapidement, habillé tandis que les deux donzelles roupillaient encore comme des bienheureuses, puis je suis descendu chercher des croissants, J’adore les croissants bien chauds !
– Ben Monsieur Sylvain, vous m’avez l’air fatigué ! Me dit ma jolie boulangère.
– J’ai mal dormi.
J’aurais bien continué la conversation, mais il y avait du monde derrière moi, le monde est mal fait.
Quand je suis rentré, les filles avaient quitté le lit et occupait la salle de bain. Je fis donc « partir » le café.
Et voilà qu’elles sortent, Bérangère dans mon peignoir, Felicity emmitouflée dans une grande serviette de bain. Ces demoiselles sont pudiques, ce matin ! Mais à mon avis elles ne vont pas le rester longtemps.
Felicity réclame de la confiture ! J’avais oublié que les Anglais ne petit-déjeunent pas de la même façon que nous. Alors allons-y pour la confiture, je suis sûr qu’après elle va me demander de lui faire cuire un œuf !
L’anglaise laisse tomber sa serviette de bain ! Qu’est-ce que je disais ? Elle commence par enduire des bouts de croissant avec la confiture avant de les déguster… Puis sans crier gare, la voici qui avec sa cuillère remplie de confiture s’en badigeonne le téton.
– Un peu de confiture, Sylvain ? Me propose-t-elle en m’exhibant son sein au cas où je n’aurais pas compris.
Donc, ça y est, c’est parti, je lèche le néné de l’anglaise et je commence à bander !
– A moi de jouer ! Intervient Bérangère, qui se barbouille la chatte de confiture.
Je n’ai même pas hésité et commence à lécher tout ça, mais elle interrompt le jeu assez rapidement.
– Tss, tss c’est à toi de jouer maintenant !
– Comment ça ?
– Ben je ne sais pas, moi, mets-toi de la confiture sur la bite !
Sont complètement barges !
– Allez quoi ? Me presse l’anglaise !
Je n’ai pas non plus envie de tacher mes fringues, je me déshabille prestement et enduit ma bite de confiture.
Felicity approche sa bouche et commence à faire le ménage.
– Il y a en a de trop, viens m’aider Bébé !
Bébé c’est donc le nouveau diminutif de Bérangère, c’est idiot, non ?
Mais là n’est pas le plus important, parce qu’en ce moment je suis en train me faire sucer la bite par ma sœur, et je me laisse faire.
Quand la confiture fut absorbée, les deux filles abandonnèrent leur fellation dégustatrice en rigolant comme des bossues.
On fait quoi maintenant ? Je bande comme un cerf et j’ai devant moi deux gazelles qui ne demandent qu’à s’envoyer en l’air.
– Je crois que Bébé aimerait beaucoup que tu l’encules ! M’informa Felicity
– Oh, oui s’il te plait ! Confirma cette dernière.
J’hésitais un peu ! Ma sœur se mit alors en levrette, le cul cambré, exhibant tous ses trésors en écartant ses fesses de ses mains.
– Allez viens ! La sodomie ce n’est pas de l’inceste !
– Hein ?
– Tu réfléchiras à ça si tu n’arrives pas à dormir ce soir, c’est un bon sujet de philo, en attendant viens m’enculer !
Toutes mes inhibitions avaient maintenant disparues. J’entrais facilement dans son conduit anal. Ma frangine avait dû se faire ramoner un certain nombre de fois pour avoir le passage si facile.
Alors je pilonne, je pilonne…
– T’aimes ça te faire enculer par ton frère, Hein salope !
– Continue, va bien au fond, ah, aaaaah ! Bourre-moi bien.
Je sens que l’affaire ne va pas durer longtemps, d’une part la sœurette est en train de râler comme une possédée et moi je sens que je ne suis pas loin du plaisir.
Quand Bérangère laissa libre champ à sa jouissance, j’accélérai afin de jouir à mon tour. Une fois la chose faite, je me retirais, la bite gluante de sperme et tachée de traces de merde. Sans trop réfléchir, je déposais un peu de ces pollutions sur la rosette de ma sœur puis me reculait. Felicity se précipita alors pour lécher tout cela avec gourmandise. Elle procéda ensuite avec une gloutonnerie non feinte, au nettoyage buccal de ma bite, son état ne la dérangeant pas le moins du monde.
Je me fis alors la réflexion que l’on s’approchait l’air de rien de la scato, d’autant que l’anglaise avait l’air de s’y complaire.. Bizarrement cela ne me choqua pas plus que ça.
Felicity sollicita ensuite Bérangère afin qu’elle la fasse jouir à son tour. Elles ne s’arrêteront donc jamais !
Et sur ces entrefaites, les deux donzelles s’habillèrent et partirent faire les touristes, au programme, Tour Eiffel, le Louvre et je ne sais plus quoi.
Me voilà tranquille jusqu’au soir. Elles m’ont téléphoné qu’elles dineraient au restaurant, j’ai donc cassé la croute tout seul et j’ai fini la soirée en pyjama en écoutant de la musique tout en lisant un bon polar.
Et les voilà qui rentrent, me disent qu’elles sont crevées, qu’elles vont se coucher et m’invitent à mettre un casque pour écouter ma musique.
Dix minutes après j’entendais d’étranges gémissements. Je retirais mon casque et pointait un regard interrogateur en direction des deux copines qui étaient pas du tout en position de s’endormir.
– Ne t’inquiète pas, c’est seulement ta salope de sœur qui vient de m’enfiler son petit godemichet dans le cul, et cela me fait beaucoup de bien ! Tu devrais essayer, c’est bon !
– Essayer quoi ? Demandais-je faisant semblant de ne pas comprendre.
– Oh ! Oui ! Oh oui ! On va lui mettre dans le cul ! S’exclame Bérangère.
– Certainement pas !
– Mais si faut tout essayer ! Tu n’as pas confiance en nous !
Je me demande quoi dire et quoi faire mais déjà ma sœur s’est levée, m’a descendu mon pantalon de pyjama et m’a écarté les fesses, Felicity approche le godemichet de mon anus après l’avoir recouvert d’un préservatif.
Je les laisse faire en me disant que ça ne va jamais entrer, mais ça entre ! Me voilà rouge de confusion d’autant que Felicity l’enfonce maintenant aux trois quarts de sa longueur.
– Retirez moi ça, ce n’est pas drôle !
– Mais si ! Répond Felicity
Et elle fait bouger l’objet dans ma cavité rectale, et là il se passe quelque chose, le sentiment de gêne et de rejet s’éloigne pour faire face à une sensation qui finit par ne plus être désagréable du tout.
Je crois que je viens de découvrir quelque chose. Du coup je m’excite et commence à me branler toujours avec le machin dans le trou du cul. J’éjacule prématurément, le sperme gicle sur les seins de Felicity que Bérangère vient lécher avec gourmandise.
– C’est malin, proteste cette dernière, tu aurais pu te réserver pour nous !
– On ne fait pas toujours ce qu’on veut !
Ces deux sacrées femelles avaient-elles donc décidé de me rendre dingue ? Mais je n’étais pas encore au bout de mes surprises.
Le lendemain les filles qui se levèrent fort tard, avaient prévu une nouvelle journée de tourisme.
Felicity était dans la salle de bain et je ne sais quel démon m’y fit entrer à mon tour.
– Tu viens me voir ? Demanda-t-elle
– Je cherche mon briquet ! Improvisais-je
– Je vais pisser, tu veux regarder ?
Mes inhibitions en la matière ne devaient pas être bien fortes, puisqu’elles avaient disparues.
L’anglaise s’installa, pieds sur la cuvette afin que je puisse bien voir et m’offrit le spectacle charmant de son petit pipi s’échappant de sa jolie chatte rose.
– Hum, je crois que je vais faire caca ! Annonça-t-elle avec un naturel désarmant.
– O.K. je te laisse.
– Mais non regarde !
– Non, non !
– Tu n’as jamais regarder une fille en train de chier ?
– Ma foi non ?
– C’est très joli, moi j’aime bien quand Bérangère chie devant moi ! Ce matin elle a fait un très joli boudin.
C’est bien ce que je pensais, ces deux nanas sont complètement givrées. Mais pourquoi est-ce que je bande comme un taureau ? Je me dis alors que je peux toujours commencer à regarder et que si le spectacle me répugne, je la laisserai terminer
– O.K. j’essaie de regarder, mais ne m’en veut pas si je me sauve.
Felicity change de position, toujours les pieds sur la cuvette, mais tournée vers le mur, ses belles fesses devant mes yeux. Son anus s’ouvre, quelque chose de marron demande à sortir. Je suis dans un état second, comme pétrifié, l’étron sort, compact et brun puis chute dans l’eau de la cuvette.
J’ai donc « survécu » à cette épreuve que je me suis plus ou moins infligé. Je n’en suis pas devenu scatophile pour autant. Contrairement à Felicity parce que le spectacle n’était pas tout à fait terminé.
La coquine au lieu de prendre du papier pour s’essuyer, porte ses doigts à son cul, puis se les lèche avec un air vicieux.
– Tu veux m’embrasser ?
Je me sauve, mais j’entends encore son rire ! Quelle belle salope !
Elles avaient laissé le godemichet sur le bord du canapé, je ne résistais pas à la tentation de me faire du bien en me l’introduisant dans le cul, tout en me faisant une bonne branlette. Il me vint alors une pensée que je chassais très vite avant qu’elle ne revienne m’obséder : Si une bite en plastique peut donner du plaisir, qu’en est-il d’une bite de chair bien vivante ?
Je me couchais avant que les filles ne soient rentrées, elles m’avaient prévenu qu’elles souhaitaient terminer la journée en boite ! Grand bien leur fasse !
Le matin, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que le lit était occupé par trois personnes. Un mec, d’une quarantaine d’année sans doute, était couché entre les deux nanas. Gonflées quand même d’amener quelqu’un chez moi sans me prévenir. Peut-être me dis-je ont-elles l’intention de faire une partie carrée ? Cela doit faire un drôle d’effet que de voir sa propre sœur se faire sauter par un mec !
J’attends que ce petit monde se réveille et bon prince, lorsque je descends à la boulangerie je prends un croissant supplémentaire.
Sur le chemin, je reçois un coup de fil de mon associé, rien de grave, mais un truc assez compliqué ce qui fait que la communication dure assez longtemps.
Quand je rentre, Felicity et l’inconnu sont debout, je suppose que Bérangère est dans la salle de bain.
– Je te présente Henri.
Je lui tends la main, mais le mec m’embrasse sur la joue, c’est quoi ces familiarités ? Et voilà que la serviette qui lui ceint les reins dégringole, dévoilant une bite de bonne taille, mais au repos.
Voyant cela, l’anglaise la prend dans ses mains et la masturbe ! Faut surtout pas se gêner, ça devient un vrai bordel ici !
– Tu trouves qu’elle est belle ? Me demande la rousse.
– Une bite, c’est une bite !
– Oui mais il y en a qui sont plus belles que d’autres !
En vérité je n’arrivais pas à dissimuler mon trouble et je cherchais une réponse pour me tirer de cette situation gênante quand Bérangère qui était dans l’embrasure de la porte la salle de bain en ajouta une couche.
– Suce-le ! Dit-elle. Tu n’en mourras pas
– Non, ce n’est pas mon truc !
– Tu n’en sais rien, tu n’as jamais essayé.
– Peut-être un jour, mais pas aujourd’hui !
– Ça m’aurait fait plaisir de voir ça !
– Non !
– Juste un peu !
Un regard sur ce bel organe, magnifiquement bandé, la peau diaphane parcourue d’une jolie veine bleutée, le gland luisant… Dans un état second je me retrouvais avec cette merveille dans ma bouche et en testait le goût. C’était doux, musqué, envoutant. Je me surpris à m’appliquer à cette première fellation, puis d’un coup je me relevais, me demandant ce que j’étais en train de faire.
Felicity me félicita ce qui d’une part m’empêcha de culpabiliser mais aussi de réfléchir.
– Si on le suçait à deux ? Me propose-t-elle.
Je ne pouvais décemment refuser d’autant que cette proposition avait le mérité de gommer quelque peu le côté gay de la chose.
Felicity et moi nous nous refilions la bite d’Henri chacun à notre tour. J’étais comme dans un rêve, mais n’était pas au bout de mes surprises.
– Les garçons ! Si vous faisiez une bite au cul ?
– Ça te dirait ? Me demande le zigoto.
– Bien, sûr que ça lui dit ! Il s’est déjà pris des godes…
C’est sans trop réfléchir que je me mis alors en levrette, et acceptait de recevoir dans mon intimité cette bite qui allait me sodomiser.
Le gars était doux et intentionné, il m’encula comme un dieu, je n’eus comme exigence que de lui demander de se revêtir d’une capote.
Quand il eut joui, il décula me laissant mon cul béant, mais content. Je venais de me faire enculer et n’en éprouvait ni honte ni remord, j’étais même assez fier d’avoir transgressé un tabou ! Bérangère était allongée sur le canapé et se masturbait.
– Maintenant si tu veux me baiser, je suis prête ! Me dit-elle.
– J’arrive, petite sœur !
Et là il se passa quelque chose que je n’ai pas bien compris… Certes l’invitation de ma sœur à la baiser était excitante en soi. Sa pose était obscène, ses seins étaient magnifiques, son regard était vicieux, Et ne parlons pas de sa bouche experte qui s’empara de ma bite afin de la sucer comme il se doit.
Mais pendant sa fellation, mon esprit était ailleurs ! L’image de la magnifique bite de Monsieur Henri revenait en boucle dans ma tête sans que j’arrive à m’en détourner.
Quand Bérangère relâcha son étreinte buccale, je la pénétrais sans passer par la case « préliminaires ». Et je m’agitais tant et si bien que j’éjaculais après moins d’une dizaine de va-et-vient.
– Ben, qu’est-ce qu’il t’arrive, c’est l’émotion ?
– Ce doit être ça ! Balbutiais-je.
N’empêche que j’avais été infoutu de faire jouir ma sœur, alors dans un grand élan de tendresse, j’ai pointé ma langue sur son intimité et après avoir léché ses sucs, je titillais son clitoris. Elle fut un petit peu longue à venir, mais elle vint.
Ayant joui, ma libido était redescendue à la cave. L’image de la bite de Monsieur Henri était partie de mon esprit. D’ailleurs où était-il passé celui-là ?
– Il a été appelé au téléphone, il a dû partir précipitamment. Pourquoi ? Tu voulais le revoir ? Me demande Felicity avec un œil coquin
– Non je demandais ça comme ça, il aurait pu dire au revoir !
– Il n’a pas voulu vous déranger.
– Vous allez le revoir ?
– Ce n’est pas prévu, c’est juste un coup de rencontre. Pourquoi tu demandes ça ?
– J’en sais rien, faut que je réfléchisse.
Avec tout ça, on n’a pas bouffé les croissants, je fais réchauffer du café. Felicity s’assoit devant moi, Bérangère nous rejoint un peu vaseuse.
– On dirait que Sylvain à de la peine qu’Henri soit parti ! Lui dit Felicity.
– C’est vrai, ça ? Me demande ma sœurette
– N’importe quoi !
– Non ce n’est pas n’importe quoi, reprend l’anglaise, tu as aimé lui sucer la bite et la prendre dans le cul. Le souci c’est que tu ne veux pas te l’avouer !
Elle m’énerve, elle m’énerve !
– Et alors ! C’était un coup de folie ! Les coups de folies ça arrive ! C’est pas pour ça que je suis devenue pédé, d’ailleurs j’ai baisé ma frangine.
– Hi ! Hi ! se marre cette dernière.
Et voilà les deux donzelles qui se mettent à échanger en anglais, c’est très pointu et je n’y comprend pas grand-chose sauf qu’il est question de sexe.
– Le sexe doit être une fête ! Reprend Felicity, cette fois en français, il y a des gens qui passent leur temps à expliquer aux autres que s’ils sont comme ci comme ça, c’est parce que dans leur enfance blablabla… Y’en a marre à la fin ! Si t’es pédé faut expliquer, si t’es bisex faut expliquer, si tu aimes le pipi-caca faut expliquer. Mais merde à la fin. Par contre hurler comme un dingue dans un stade de foot, pas besoin d’expliquer, ce doit être naturel. Le sexe doit rester simple, s’il y a un truc qui te plait et si tu n’as fait de mal à personne, tu n’as besoin d’aucune justification. T’as aimé sucer la bite d’Henri, alors si tu veux un conseil, un seul ce sera celui-ci : Si ça t’a plu, recommence !.
Ouais, j’avoue que ce n’est pas complètement idiot ce qu’elle raconte.
– Et comment veux-tu que j’assume ce genre de chose ?
– Ça mon vieux tu te débrouilles, mais dis-toi bien une chose, c’est souvent l’occasion qui fait le larron. Et puis je vais te dire un truc, des hommes bisexuels en puissance, il y en a plein,
mais ceux qui l’avouent sont rares. Mais quand tu enfonces le doigt dans le cul d’un mec et que ça lui plait, ça veut souvent dire que dans ses fantasmes secrets, c’est autre chose qu’un doigt…
Un peu facile, je trouve, mais ça fait réfléchir.
– Dis voir, tu n’aurais pas un martinet ou une cravache ? Me demande-t-elle à brule pourpoint
L’art de changer de conversation.
– Non, j’ai pas ça, pourquoi ?
– J’ai promis une fessée à Bérangère, et j’aime pas faire ça à mains nues. Une grande cuillère en bois peut-être ?
Ma sœur, à poil, s’est arcboutée devant l’évier, l’anglaise lui tape sur les fesses en cadence en ponctuant sa flagellation de gentillesse en anglais :
– Slut, whore, bitch !
– Bientôt le postérieur de Bérangère devient rouge comme une pivoine. Elle couine, elle trépigne, elle gémit, mais elle reste en place alors qu’elle pourrait se dégager.
Felicity finit par poser la cuillère, Bérangère se retourne, les deux femmes se roulent un patin d’enfer.
Quelques jours plus tard, Felicity me fit cette étrange proposition.
– J’ai parlé de toi à mes parents, je leur ai dit que tu étais super sympa, tout ça. Du coup ils aimerait bien te voir. Mon frère aussi d’ailleurs.
– Pourquoi pas, on en reparlera ! Répondis-je peu emballé !
– Pourquoi attendre, nous on va rentrer en Angleterre, tu n’as qu’à nous accompagner, ça ne fait jamais que trois heures de train !
– Je ne sais pas…
– Tu sais, mon frère il a une très joli bite et il aime se faire sucer !
Qu’entends-je ?
J’ai failli être choqué avant de réaliser qu’en matière d’inceste, je suis assez mal placé pour faire des reproches.
– Parce que… avec ton frère…
– Ben oui, avec mon frère !
– Bon O.K., je viens avec vous.
A la gare de Saint-Pancras une voiture nous attendait et nous conduisit chez les parents de Felicity.
Ceux-ci nous attendent en rang d’oignons dans un grand salon. On fait les présentations
– Ma mère Maggy, mon père William et mon frère David.
Tous ces gens-là baragouinent un peu en français. La conversation commence de façon convenue « Vous avez fait bon voyage, vous voulez boire quelque chose, quel temps fait-il à Paris… » Et puis les choses sont vite devenues plus crues.
– Felicity nous a dit que vous étiez un petit cochon ! Me sort le père William.
– Cochon, je ne sais pas, un peu coquin je préfère.
– Nous aussi nous sommes un peu coquins. Me répond-il
– Y’a pas de mal à se faire du bien ! Rétorquais-je dans un grand élan philosophique.
– Tu le trouves comment mon frère ? Intervient Felicity.
Je me sens un peu mal à l’aise…
– Charmant, bien sûr !
– Et encore tu n’as pas vu sa bite !
Oh ! là !
– David, montre ta bite à Sylvain ! Lui demande sa mère.
Je rêve ou quoi ? Toujours est-il que le frangin baisse pantalon et caleçon et m’exhibe devant mes yeux incrédules un jolie bite demi-molle.
– On va la faire bander un peu ! Dit sa mère tout en joignant le geste à la parole.
Le mec parait tout content de se faire palucher par sa maman et me lance des œillades lubriques.
– La voilà en forme, si vous voulez sucer ?
– Là maintenant ?
Je me demandais comment me sortir de cette situation insensée quand j’entends un type rentrer dans la pièce. Il n’est vêtu que d’un ridicule caleçon à pois.
– Ah ! Me dit William, je vous présente Lord Harrigton, un ami de la famille que nous avons hébergé quelques jours, mais vous pouvez l’appelez Arthur.
Le type ne semble pas du tout surpris de voir David la bite à l’air. Il doit s’en passer des belles dans cette maison. Il me serre la main.
– Enchanté, je suis un peu, comment on dit en français ? Pédale ?
– C’est assez péjoratif…
– Pas grave ! Mais j’ai l’impression que j’ai interrompu quelque chose.
– Sylvain s’apprêtait à sucer David ! Lui explique William.
– Eh bien, ne vous gênez pas pour moi, sucez, vous ne serez pas déçu.
Comment temporiser ?
– Ce serait plus cool si les garçons se déshabillaient ! Suggère Felicity.
– Oui, à poil ! Renchérit Lord Machintruc.
Ce qui signifie que si j’accepte, c’est le point de non-retour, jusqu’à présent je pouvais m’enfuir de chez ces cinglés. A poil c’est plus compliqué ! Alors je fais quoi ?
David lui se désape, il est complètement imberbe avec des gros tétons marrons. Je vais craquer. Je craque et me déshabille à mon tour.
Je suis dans un autre monde, je m’accroupis devant David, je tends ma main vers sa bite, la caresse et la branle un peu avant de le la mettre en bouche. Inutile de vous dire que je bande comme un cerf. Quelle sensation c’est encore mieux qu’avec Monsieur Henri. C’est doux, c’est chaud, c’est vivant, c’est pervers, c’est un tas de choses. Ma langue lèche, mes lèvres sucent.
Mais au bout d’un moment j’ai besoin de faire une toute petite pause, je me recule de quelques centimètres et qu’est-ce que j’aperçois ? William et Arthur la bite à l’air.
– Suce, suces les toutes ! Me dit ma sœur qui était restée fort discrète jusqu’à maintenant.
Alors allons-y, pervers pour pervers, j’embouche la bite de William, puis je passe à celle d’Arthur, avant de revenir vers celle de David, c’est quand même ma préférée.
Et puis complètement dans mon trip j’ai fini par lui demander.
– Tu aimerais me prendre !
– Oh Yes !
Un préservatif lui arrive dans la main… comme quoi tout cela était prémédité si j’en doutais encore. Je me retourne, offre mes fesses. David viens m’embrasser le trou du cul et le lèche avec sa langue, ça me fait un bien fou. Puis le doigt remplace la langue. Faut voir comment il l’agite dans mon cul, je me pâme, je suis bien je suis aux anges.
Une mini pause. Le gland quémande l’entrée, ça ne rentre pas du premier coup, mais au second c’est bon. Et voilà, pour la deuxième fois de ma vie je me fais enculer. Arthur vient devant moi et me propose de nouveau sa bite à sucer. Une bite dans la bouche, une bite dans le cul. Je deviens une vraie salope !
Ma bite est raide comme un bout de bois, mais pour l’instant c’est du cul que je vais jouir, David accélère ses va-et-vient.
– I’m going !
Il jouit en poussant un hurlement de bête fauve, et se retire me laissant le cul béant.
Je m’attends à ce que l’un des deux seniors prenne le relais. Mais non. Je fais signe à Arthur que je dois me reposer cinq minutes. Le type pas compliqué est allé se finir tout seul.
Je me reposerais plus tard car Maggy s’est avancée vers moi et m’a gobé la bite. Pendant ce temps-là Felicity suçait celle de son père, tandis que Bérangère passée derrière lui prodiguait une jolie feuille de rose.
On s’est calmé et on est passé à table, la conversation a du mal à sortir du champ des banalités. Mais voilà que Lord Arthur Harrigton, entreprend Bérangère.
– J’aurais peut-être une mission comme la fois précédente ! Lui dit-il, ça vous intéresse, my dear ?
– Il est comment ?
– Banal, la cinquantaine, rien de repoussant.
– Même tarif ?
– Yes.
– OK, vous me direz la date et l’heure !
Mais de quoi parlent-ils ?
– Je peux savoir ? demandais-je à Bérangère.
– Je vais aider Arthur à signer un contrat.
– Comment ça ? Tu ne couches pas avec le mec, quand même ?
– Ben si ! Tout le monde s’y retrouve, je suis moins chère qu’une escort de luxe et je me débrouille aussi bien.
– Autrement dit, tu fais la pute !
– On peut appeler ça comme ça, oui !
Quelle famille !
fin
Ce texte est plus ou moins inspiré de « Alison et Caroline, un hiver au paradis » par A. Huri, publié en 1998. J’en ai plus ou moins conservé la trame et vassilialisé les situations.
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