Belle-Cour

Samedi 20 avril 2024 6 20 /04 /Avr /2024 08:33

Le chien du vacher par Belle-cour

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Nous finissions nos premières vacances avec une Myriam, une jolie brunette très délurée et fort bien roulée que je connaissais depuis quelques mois et qui depuis est devenue ma femme.

Nous avions fait un petit périple en Espagne où cela avait été bien chaud, et nous remontions vers Paris en faisant une escale dans un gite rural isolé en pleine montagne dans le sud de la France.

Nous étions seuls, la première maison habitée devait être à environ un kilomètre, et comme il faisait très chaud j’étais juste en short. Ma femme, elle se promenait quasiment à poil avec juste un string qui lui mettait son beau cul rebondi bien en valeur.

De la voir se promener, comme ça sans pudeur, le cul à l’air me donnais constamment envie de la sauter où que l’on soit. J’avais, dans mon short, la queue comprimée tellement elle était raide, ce qui obligeait régulièrement Myriam à me soulager en la déballant et en se la fourrant goulûment dans la bouche.

Elle adorait ça, au détour d’un chemin, n’importe où..

Une fois, dans un ruisseau elle me suçait la pine sous l’eau et son cul flottait a la surface, moi je n’en pouvais plus et je lui lâchais toute ma purée dans la bouche.

Elle me provoquait en pissant devant moi avant de me donner ses doigts à lécher

Un jour alors où je l’avais bien tripoter elle était à point, chaude comme une salope prête à tout, sa chatte dégoulinait tellement elle était excitée. J’étais assis, complètement à poil dans une chaise longue devant la maison, ma bite gonflée se dressait, elle, me tournant le dos est venue s’empaler le cul à califourchon dessus.

Elle allait de plus en plus vite, pendant que je lui poignais le cul et lui massais les seins, quand soudain on entendit des bruits de cloches qui venaient dans le chemin.

Ma femme paniquée me poussa, quitta la position et s’étala sur le ventre à même la pelouse, dissimulant ainsi ses seins . C’est alors que le chien gardien du troupeau, un golden, s’approcha d’elle.

– Veux-tu te barrer, sale bestiole !
– N’ayez pas peur, il n’est pas méchant, il est même très affectueux, il veut juste vous dire bonjour ! Intervint le vacher
– Ah, bon ? Bonjour le chien, t’est un beau toutou, maintenant fous moi la paix !

Le chien, loin de partir, se mit alors à lécher les fesses de Myriam.

– Mais t’es un gros vicieux, le chien !
– Il est content, vous le rendez heureux !
– Vous croyez ?
– Je pense qu’il aimerait bien vous lécher devant !
– Non mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ?
– Ben quoi, c’est la nature, c’est la campagne !
– Tu parles !
– Laisse-toi faire ! Intervins-je. Tu l’as déjà fais !
– Je l’ai fais une fois et je connaissais le chien !
– Ben justement ça te permettra de faire connaissance.
– Bon, bon !

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Et là je vois Myriam qui se retourne et qui écarte son string permettant au chien de venir lui faire léchouille à grands coups de langues dans la chatte.

– Elle est belle votre copine quand elle se fait lécher ! Commente le vacher. Ça ne vous dérange pas si je me branle en regardant !
– Faites comme chez vous, mon vieux !

Le gars sort alors une bite bien bandée et commence à se l’astiquer frénétiquement.

– Vous avez une bien belle bite ! Le complimentais-je.
– Si vous voulez me la toucher, ou même me la sucer, ce ne sera pas de refus.

Je n’aurais pas fait, j’aurais regretté de ne pas l’avoir fait, alors j’ai sucé la queue du vacher, et m’en régalait et pendant que j’opérais, j’eu la surprise de voir ma femme faire de même avec la bite du chien.

Je fis jouir le bonhomme.. Et apparemment le chien s’était bien défoulé. Mais moi, alors ?

– Mets-toi en levrette, que je t’encule, ! Dis-je à Myriam..

– Je vous laisse, il faut que j’y aille ! nous précisa le vacher !
– Ça vous dirais de venir chez nous boire un coup en fin d’après-midi, on pourrait faire une petite partie. Lui proposais-je
– C’est pas de refus, je viendrais avec le chien ?
– Bien sûr !

Le vacher parti, ma femme me demanda :

– Tu n’as pas l’intention de me faire enculer par ce type ?
– On verra bien comment ça se passe ! On improvisera.
– Je me méfie de tes improvisations !
– Mais tu les adores !
– Bien sûr mon chéri ! Me répondit-elle en écartant bien ses fesses afin que je l’encule bien comme il faut.

Fin du délire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 23 mars 2024 6 23 /03 /Mars /2024 08:04

Les chaleurs de Jodelle par Belle-cour

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Je dois tout d’abord nous présenter : moi Antonin jeune informaticien 30 ans et vivant en province, et aimant le sexe. Jodelle ma femme (même si pour le moment ne sommes pas marié) est brune cheveux presque au carré, les yeux bleus, 1m 70; une belle fille, 90B et un bon cul. Elle est prof d’histoire dans un lycée, ce n’est pas une sportive mais une véritable intello à lunettes.

Je vais donc vous narrer une anecdote un peu coquine… non… très coquine !

Ce jour-là en quittant le boulot, je fus invité à faire une belotte avec mes collègues: Jocelyn, Mathieu et René. Les deux premiers ont comme moi presque 30 ans et René lui est plus vieux, 45 ans je crois.

Tout en jouant, comme d’habitude on parle de cul, comme quand plusieurs males sont ensembles. Et que je fantasme sur celle-ci et sur celle-là… toutes les nanas du boulot en prennent pour leur grade, ou plutôt leur cul.

René pour pimenter la partie propose de jouer avec du fric, moi bon joueur je ne doute de rien et c’est partie pour 5 euros le point. Faite le calcul, ça grimpe vite

Mathieu et moi avons perdu pas mal de fric et ce dernier m’en veut d’avoir accepté :

– Tu es un vrai con, voilà; on a perdu…
– Ne t’inquiète pas…

Je propose alors à mes collègues de venir diner chez moi, afin que le repas solde le compte… ils acceptent

8 heures, on arrive chez moi, Jodelle n’est pas au courant que je débarque avec mes potes ! Je ne vous dis pas la tête qu’elle a fait en nous voyant:

– Mais que ce passe-t-il ?
– Ecoute ma chérie, j’ai perdu à la belotte alors j’ai invité mes potes chez nous à diner; c’est comme un gage.
– Ah, mais tu sais il n’y a pas grand-chose au frigo, on peut commander des pizzas ça vous va les gars ?

Ça leur va ! On passe la commande par téléphone… Mais ça ne les empêchent pas de déshabiller Jodelle du regard.

Elle est très belle ce soir avec sa petite robe noire à bretelles, bien décolletée et sans soutif.

Jodelle nous prépare l’apéro, et quand elle se penche, elle laisse entrevoir ses petits tétons brun doré. Je vois mes potes qui se rincent l’œil mais que faire ? Je me dirige avec elle dans la cuisine pour lui dire de faire attention, car elle a en face d’elle trois obsédés qui sont en fait de véritables baiseurs fous. Mais elle ne tient pas compte de ma remarque et retourne au salon dans la même tenue.

C’est à ce moment que René commence les « hostilités »:

– Jodelle, je peux te tutoyer ?
– C’est déjà fait… mais tu peux continuer !
– Tu sais Jodelle, Antonin il a perdu et il nous a promis un gage…
– Oui le repas… il me l’a dit…
– C’est-à-dire… on pensait à autre chose…
– Quoi donc ?
– Hi, hi, tu ne devines pas ?

Je suis alors intervenu voyant que mon collègue était insistant et par crainte que cela dégénère. Mais Jodelle me coupe :

– Laisse René parler ! Précise ta pensée, René ?
– Non rien
– Si, dis-moi !
– Laisse tomber !
– Tu pensais à des choses sexuelles peut-être ?

Une réflexion qui jeta un froid ! Mais René ne désarme pas

– Tu serais contre ?
– M’enfin !
– Je suis pourtant presque sûr que tu en mouilles d’envie.

Elle rougit et vient vers moi. Excité comme un fou je lui dis

– Laisse toi aller, si tu veux ma chérie. Moi, ça ne me gêne pas !
– O.K., mais ne viens pas te plaindre après…
– Mais non !

Elle revient vers René, le toise d’un air provocateur !

– Tu voulais du sexe, alors déshabille-moi !

René, d’un mouvement brusque lui fit descendre la robe, ma femme se retrouva devant nous les seins à l’air et en string. Elle se laissa faire. René lui pris un sein en bouche pendant que je lui caressais le cul. Jocelyn et Mathieu s’approchaient d’elle :

– Ouah qu’elle est bonne !
– Je suis sûr qu’elle suce comme une reine !
.
Ils enlevèrent leur pantalon et pendant que Jodelle se faisait sucer les tétons par René, et moi je lui caressait la chatte à travers son string. Elle commença à; gémir. Mathieu et Jocelyn sortirent leur membre et s’approchaient de Jodelle. Elle prit une queue dans chaque main et commença à les masturber comme jamais. Ma femme était en ce moment une vraie chienne en chaleur. Je lui enlevai son string pour bien la doigter. C’était tout trempé. René qui s’improvisait leader de la petite bande dit :

– Petite pute mets-toi à quatre pattes et tu vas t’ouvrir.
– Oui, oui, traite-moi encore de pute !

Jodelle exécuta son ordre, il se plaça devant elle et lui offrit sa bite à sucer. Un membre d’une bonne taille par rapport au mien (très large). Jodelle le pris en bouche avec un peu de mal. Pendant ce temps les deux autres admirent la chatte apparente de Jodelle car elle est rasée et ne cache plus rien. Mathieu commence à la lécher et Jocelyn et moi lui caressons les tétons tendus de plaisir. J’entendis soudain qu’elle lâchait un petit cri, car Mathieu lui avait fourré sa queue sans la prévenir elle fut surprise, et pendant ce temps René continuait à se faire sucer. Il lui dit :

– Je vais t’arroser la bouche, je n’en peux plus ! Tiens prend ça, chienne…AHHH !

René lui tient la tête afin qu’elle puisse garder sa queue en bouche.

– Avale ! Morue !
– J’avale si je veux ! Se rebelle-t-elle en crachant le sperme ! Je suis chez moi et ce n’est pas toi qui va me donner des ordres.
– Je suis désolé ! Répond René qui ne s’attendait pas à cette réaction.
– Eh bien si tu es désolé, tant mieux !

Pendant que Mathieu la lime toujours en levrette, Jocelyn lui ouvre le petit trou avec son index. Elle se laisse faire et quand ce dernier présente sa bite devant son trou dilaté, elle s’écrie !

– Oh, oui, encule-moi bien !

Jodelle CopieEt il vient lui fourrer sa tige dans le cul. Ils la prenaient en double les salauds, mais cela ne dura pas, ils ont joui ensemble dans les deux trous de Jodelle. Quelle chienne ma femme ! Pour ma part après ma longue branlette je viens me placer derrière et je l’ai enculé à; mon tour, elle est si pleine de mouille et de sperme que mes va-et-vient glissèrent à merveille. Je sorti ma queue et me plaça face à Jodelle et lui dit :

– Prend moi en bouche ma chérie, et avale !

Je lui lâchai ma sauce dans la bouche et sur les lèvres, au grand dam de René qui n’avait pas eu droit à cette faveur et elle me nettoya ma queue polluée de sperme et d’un peu de merde avec gourmandise.

Le livreur de pizza sonne, Jodelle se revêt d’une robe de chambre, va ouvrir. Tout le monde ensuite se rhabille et on prépare la table.

– Eh, les mecs, vous n’oubliez rien ? Lance Jodelle à mes collègues.

Ils se regardent tous les trois sans comprendre, moi non plus je ne comprends pas bien

– Vous m’avez considéré comme une pute on est bien d’accord ? Annonce Jodelle
– C’est par jeu… bredouille Mathieu.
– Ça ne me gêne pas de faire la pute, seulement il y a un détail que vous avez oublié. Reprend ma femme.

Encore une fois personne ne comprend….

– Ben les putes, ça se paye, alors aboulez la monnaie.

René a été le premier à sortir un billet de son portefeuille, les autres ont suivi…

– Merci les gars, maintenant on peut trinquer !

Fin

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Samedi 10 février 2024 6 10 /02 /Fév /2024 07:59

La représentante en lingerie par Belle-Cour
Stamp secretaire

Bonjour je suis André j’ai 40 ans et aujourd’hui j’ai un jour de repos

9 heures !

Je me suis couché tard hier soir et il était encore trop tôt pour me lever, je décidai donc de me rendormir un peu. A peine le sommeil me revint que le timbre de la porte d’entrée retentit. Surpris, je me décidai quand même à me lever, et j’ouvris… en tenue du matin, c’est-à-dire robe de chambre et un bas de pyjama laissant deviner mon érection matinale..

– Bonjour Monsieur, je suis représentante en lingerie féminine, votre femme est-elle là?’
– Non, lui répondis-je, elle est en déplacement
– D’accord, mais mes produits pourraient vous intéresser… pour lui offrir un petit cadeau…
– Bon alors entrez cinq minutes !

Faut dire que la dame avait des arguments, dans les 35 ans, joli minois de brune à lunettes avec un sourire ravageur, joli décolleté, minijupe…

– Je n’ai pas pris mon café j’allais m’en faire, vous en voulez un ?.
– Volontiers !

Elle s’assit dans le fauteuil, et j’allais m’habiller.

Puis du coup, des souvenirs du jour précédent me revinrent et je me mis à craindre le pire tout en étant excité…

Ma femme étant en déplacement, je m’étais soulagé devant une vidéo porno sur Internet, une vidéo gay dans laquelle on voyait deux mecs matures se sucer la bite et s’enculer.. Je ne suis pas gay, mais j’ai quelques tendances bisexuelles et j’adore ce genre de film !

Le souci c’est que je n’avais pas éteint l’ordinateur en me couchant et le site internet non plus. Pas grave me direz-vous, sauf que la fonction veille déconne et un simple frémissement de ma souris suffit pour tout rallumer !

Je terminai donc de m’habiller, lorsque j’entendis un gémissement féminin provenant de la pièce où j’avais laissé la dame. Je vis alors la représentante, les mamelons à moitié à l’air, en train de s’enfoncer dans la chatte la souris de l’ordinateur, tout en matant le film oublié la veille qui tournait en boucle !

Merde! Qu’est-ce que je fais ?.’

Lingerie24Elle me vit la mater et continua son exhibition.

– Oh, excusez mon comportement, mais vous regardez de ces choses !
– Oh, je suis tombé dessus par hasard ! mentis-je
– On dit ça, on dit ça ! En tous les cas moi ça m’excite grave !
– Je vois ça !

Je suis tombé sur un nympho ou quoi ? Mais après tout pourquoi pas ?

Apparemment ça lui plaisait que je la mate, et loin de s’arrêter elle eut soudain envie de s’occuper de son fion, chose qu’elle fit, immédiatement en y insérant deux doigts illico. La souris toujours fichée dans son vagin, les doigts trifouillant son cul, elle pelota aussi ses seins lourds en se pinçant vigoureusement les bouts. Son regard vers moi me fit chavirer. C’était trop tard, je fondais dans son désir. Une femme qui ne devrait être là que pour vendre de la lingerie et voilà qu’elle allait m’offrir son corps et son cul à la place de dessous féminins !

– Vous voyez je n’ai pas de culotte ! Ça me permet d’être plus vite excitée, je peux sentir mon odeur même après avoir pissé, mais aussi me doigter l’importe quand, quand j’en ai envie.
On peut dire qu’elle aimait les détails ! De sa franchise à ma queue dans sa bouche, il ne fallut que quelques secondes. Je lui empalai la bouche, clouant ma queue au fond de sa gorge, n’hésitant même pas à insérer des doigts en plus pour qu’elle me les lèche ensuite. Entreprenante, elle décida de m’enlever mon caleçon et commença à me peloter les fesses avec énergie.

– C’est là que tu veux en venir ou quoi ? Pourquoi tu insistes comme ça, coquine ?
– Laisse-moi faire, je vais te faire quelque chose de succulent, mon cochon !

J’ai plutôt été brusqué. Elle retira ma bite de sa bouche pleine de la mouille qu’elle avait lapé de ma queue et plongea sa langue dans ma bouche, tout en commençant à entrer ses doigts dans mon cul… Je ne me fis pas prier et fit de même avec le sien, jouant à l’occasion avec son clito et sa fente. Le problème était que son cul n’était très propre mais je ne pus lui en faire part. Elle me dominait complètement, sa langue parcourait l’intérieur de ma bouche, passant sur mes oreilles, revenant à mes lèvres, pendant que mon cul commençait à s’ouvrir à ses doigts. Putain! J’avais jamais ressenti un tel plaisir !

Tout à coup, elle me fit mettre sur le canapé à quatre pattes, je pris un peu peur. Mais merde à la fin ! C’était moi le mec ! Mais je me laissais faire. Pendant que ses doigts fouillaient mon fion, elle branlait ma bite de l’autre main. Ainsi à quatre pattes, ma représentante se mit à me lécher le trou cette fois… Décidément elle avait l’air de n’en vouloir qu’à mon cul ! Et comment savait-elle que j’aimais ça d’ailleurs? Car en fait, je suis un véritable amateur de sexe anal, d’homme à femme et inversement !

Elle lapait donc le pourtour de mon fion, entrait, sortait, puis tout à coup, elle me dit

– Je vais te fister le cul, mon salaud, ça te tente hein ?
– Euh, je, en fait… je ne sais pas si…

Je n’ai jamais pu terminer ma phrase, j’ai dû enfouir ma tête dans un coussin et le mordre quand j’ai réalisé qu’elle entrait de plus en plus de doigts dans mon cul ! Il faut avouer que c’était infiniment le pied, car se sentir ouvert par une femme c’est une sensation unique. Elle me labourait donc le trou avec sa main, elle eut même le culot de tourner sa main plusieurs fois, alors que mon cul n’avait jamais servi qu’à des caresses beaucoup plus douces ! A un moment, elle sortit sa main merdeuse et se mit à la lécher. J’ai été un peu décontenancé sur le coup mais quand elle commença à se caresser tout le corps avec la jouissance anale qui était sur sa main, j’ai recommencé à bander comme lorsqu’elle m’avait sucé.

Elle se retourna, à quatre pattes à son tour, et tira sur ses fesses, je fus stupéfait: elle s’était personnellement fisté le cul à elle pendant qu’elle élargissait le mien ! Décidément ! Maintenant, je pouvais enfin un peu m’occuper d’elle. Je pris son clito entre mes dents et le suçotait en le faisant rouler entre mes lèvres, mes mains s’occupant de sa poitrine qui était restée libre pendant tout ce temps. Elle aimait que je lui triture ses bouts, que je les tire très forts, que je les pince et que les étire. Après les dilatations qu’elle s’était fait subir, ma queue s’enfonça très facilement d’un orifice à l’autre, alternant les plaisirs, mélangeant les jus et les sécrétions. Son trou du cul restait ouvert à chaque fois que je faisais sortir mon sexe en dehors, ma bite ressortait merdeuse, je l’essuyait sommairement contre ses jolies fesses. j’eus même l’audace de lécher un peu, par curiosité et de trouver ça bon. L’excitation nous fait faire de ces choses parfois ! J’enfilai ensuite sa chatte puis de nouveau son tunnel sombre. L’apothéose à tout cela finit par arriver, elle se dégagea de ma bite qui ramonait sa chatte toute trempée par tant de plaisirs, et me fit une étrange suggestion

– Tu vas me montrer comment un salaud de baiseur pisse dans le cul de sa chienne !
– Mais, tu n’es pas une chienne, tu…
– Fais-le, je te dis !

Disons-le clairement: pisser c’était pas trop mon truc, mais comme au moment où; elle lécha sa main tachée de la merde de mon cul, j’en fus inexplicablement excité. C’était bel et bien une femme qui me proposait de faire quelque chose de totalement nouveau pour moi et sur le champ ! Je n’allais pas m’arrêter en si bon chemin, j’enfonçai donc ma queue dans son cul pour l’élargir un peu et elle me dit ensuite des mots dont je ne peux plus me souvenir, pris dans un tourbillon malsain sur le moment mais ce qu’elle me dit finit par me faire pisser à l’intérieur de son cul !

Quel pied ce fut ! Evidemment, physiquement, elle profitait plus que moi, d’ailleurs elle me proposa de passer la paume de ma main sur ses fesses, pour absorber l’urine qui y dégoulinait et lui donner à boire car elle m’appris qu’elle goûtait souvent sa pisse…

Cette baise sans tabou n’aurait pas pu prendre fin sans que, à mon tour, je décharge tout le sperme que j’avais emmagasiné durant ces exaltations. La jouissance fut classique mais intensément profonde. Elle fit regonfler ma bite en l’absorbant bien à fond et en jouant avec sa langue sur les bords de mon gland. Ses lèvres n’étaient pas pulpeuses comme dans nos rêves de mâles mais fines et sa bouche n’avait que peu de place pour contenir un sexe qui allait bientôt envoyer toute sa crème. Mes boules étaient malaxées, elles aussi, j’eus même droit à son index entier dans mon anus pour me rappeler comment elle m’avait enculé environ une heure plus tôt. Et là, accompagné de ses mots cochons, étant investi physiquement et mentalement, ma queue bougea un peu dans sa bouche pour jouir dans la seconde et tout mon foutre se déversa en elle, tellement puissant que même avec sa bouche fermée, du sperme coula vers le bas de son menton. Elle m’embrassa encore, me faisant goûter à mon propre sperme.

– Ta femme reviens quand ?
– Elle est au Danemark avec son chef elle rentre lundi.
– Ça t’intéresserait que je revienne avec mon directeur des ventes
– Pourquoi aire ?
– Parce qu’il est sympa, il a une belle bite et il pourra t’enculer !
– Alors d’accord !

9 h 30

Je me réveille… encore dans mon rêve ! Mais quel rêve ! Et voilà que l’on sonne ! Mon rêve va-t-il se réaliser ?

J’ouvre et découvre un couple de témoins de Jéhovah ! Le rêve s’est transformé en cauchemar !

– Vous venez pour la partouze ? Vous êtes en avance c’est à 22 heures ? leur dis-je

Ils sont partis sans demander leur reste. Et moi je suis allé me branler dans la salle de bain.

Au revoir !

 

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Jeudi 2 décembre 2021 4 02 /12 /Déc /2021 16:31

La vieille, le livreur, la copine et le chien par Belle-Cour
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Mireille à la soixantaine. Combien exactement ? Peu importe à cet âge on ne le dit point. Elle est bien conservée, possède de jolies formes et son visage est restée agréable et souriant.

Elle attend Fabienne une jolie brunette de 30 ans sa cadette, elles se sont connues il y a deux ans à Saint Malo dans un institut de thalassothérapie et sont devenues amantes. Fabienne habite Bordeaux mais monte parfois à Paris pour affaires et justement aujourd’hui Mireille l’attend. Elle s’est simplement vêtue d’une nuisette rose quasi transparente à ce point que l’on voit les tétons érigés frôler sous le tissus. Elle a commandé quelques gâteaux dans une pâtisserie de luxe…

Et justement voilà que le livreur arrive.

Mireille ouvre… Mais c’est qu’il beau ce livreur ! Mais on ne peut courir deux lièvres à la fois… quoi que…

Ce dernier n’en perd pas un miette, il a sa boite à gâteaux dans une main, son terminal dans l’autre et reste bouche bée.

– Eh bien jeune homme, ne soyez pas timide.
– Ça fait 310 euros… balbutie-t-il
– Non je sais bien que tout augmente, mais ce n’est surement pas ce prix-là.
– Je voulais dire 31 euros !
– Je préfère, c’est moi qui vous trouble à ce point ?.
– Je… je…
– Voyons ce n’est pas responsable, je pourrais être votre grand-mère !
– Vous êtes très belle.
– Merci, un compliment, ça fait toujours plaisir ! Dites-moi vous êtes pressé ? Lui demande Mireille en lui portant sa main sur la braguette
– Je peux m’arranger ! Répond le livreur, plein d’espoir.
– Je vais te dire une chose, à mon âge je suis blasée des amours classiques, alors je fais un peu dans la fantaisie, je suis un peu dominatrice, j’aime avoir les hommes à mes pieds.
– Je veux bien être à vos pieds !
– Alors d’accord on va jouer ! Déshabille-toi esclave !

Le livreur complétement parti dans un autre monde se déshabille sans sourciller offrant à la vue de Mireille une jolie bite magnifiquement bandée.

– Hum, pas mal du tout ça ! Tourne-toi que je vois ton cul. Hum, un vrai cul de pédé… tu t’es déjà fait enculer ?
– Voyons madame…
– Ce n’est pas une réponse, reste comme ça je vais chercher ma cravache.

Mireille revient et assène dix coups de cravache sur le postérieur du livreur qui encaisse en gémissant.

– Et maintenant tu me réponds correctement, Je t’ai posé une question !
– Oui ça m’est arrivé !
– Et t’as aimé ?
– Ce n’est pas désagréable.
– T’as sucé des bites aussi.
– Vous m’embarrassez…

Mireille le fait se relever et lui pince fortement les tétons

– C’est bon ça
– Oui maîtresse !
– Ah c’est gentil de m’appeler maitresse. Alors tu en as a sucé combien de bites ?
– Plusieurs !
– Et ça t’a plu !
– Ce n’est pas désagréable.

Mireille sort un joli gode réaliste de son fouillis et le met sous le nez du livreur.

– Voilà montre-moi comment tu suces.
– Non !
– Alors rhabille-toi et fous le camp. Dommage t’es en train de rater une super séance…
– Pardon je ne sais plus ce que je fais retendez-moi ce gode je vais le sucer.
– Non c’est trop tard.

Il est dépité et se dirige vers la chaise où il a laissé ses affaires. Cela amuse Mireille. (un peu sadique la Mireille)

– Allez je te laisse une chance…

Et cette fois il s’applique faisant une véritable démonstration de fellation à ce pauvre gode qui n’avait rien demandé.

– Et maintenant tourne toi je vais te l’enfoncer dans le cul.

Mais voilà que l’on sonne..

– Ne bouge pas c’est ma copine !

Effectivement c’est Fabienne tenant en laisse un labrador beige

Les deux femmes s’embrassent…on devrait dire se roulent un patin.

– Oh mais tu n’es pas toute seule !
– C’est un petit esclave j’étais en train de l’enculer je vais un peu continuer et ensuite on s’occupera de nous.

Mireille fait aller et venir le gode plusieurs fois de suite dans le fondement du livreur qui se pâme d’aise. En même temps elle lui serre fortement les couilles de sa main.

– Je le fais pas jouir, on en aura peut-être besoin tout à l’heure ! Commente-elle
– Je vais faire pipi, je reviens indique Fabienne.
– Pisse donc sur l’esclave les esclaves ça aime la pisse !
– Non proteste ce dernier.
– Dis donc malpoli tu sais que c’est très impoli de refuser un cadeau ! Lui dit Fabienne, allez à genoux esclave et bouche ouverte !

Il se met en position tandis que Fabienne dégage le bas. Le jet lui atterrit dans le gosier il avale ce qu’il peut…

– Tu l’avais déjà fait
– Peut-être !
– Ce n’est pas une réponse. Dis-nous que tu es un suceur de bites et un enculé et tu auras une récompense.
– Je suis un suceur de bite et un enculé

Les deux femmes l’attachent alors sur une chaise puis après s’être mises complétement nues s’assoient côte à côté sur le canapé.

– Viens Moustache viens ! Demande Fabienne au chien qui accourt et commence à lui lécher la chatte. Oh quelle langue mais garde-en pour ma copine !

Elle se dégage et fait en sorte que le chien change de cible.

Cette opération de lèche minou dure quelques minutes avant que les deux femmes fassent coucher le chien sur le côté, elles ont ainsi accès à sa bite qu’elles sucent à tour de rôle.

Le livreur n’en croit pas ses yeux.

– Tu veux qu’il te prennes ? Demande Fabienne
– Bien sûr ! Répond Mireille qui déjà se positionne en levrette offrant la vue de son joli cul et de tous ses trésors

dogsexFabienne aide le chien à pénétrer son amie et c’est parti pour une série de va-et-vient infernale au terme de laquelle le chien satisfait s’en va se vautrer dans un coin.

Les deux femmes s’enlacent et se pelotent, Fabienne n’hésitant pas à lécher la chatte de son amie gluante du sperme du chien.

– Il t’as fait jouir hein ma salope !
– Pas qu’un peu ! Et toi tu aimerais quoi ?
– Tu crois que l’autre là-bas il va pouvoir m’enculer !
– De la façon dont il bande ça devrait le faire.

Le livreur libéré de ses liens et excité comme un malade se libéra de son excitation en sodomisant à la hussarde la belle Fabienne qui criait sa jouissance comme une damnée.

Il reparti après en oubliant de réclamer ses 31 euros.

Fin du délire

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Lundi 1 novembre 2021 1 01 /11 /Nov /2021 18:01

En revenant de Paris par Belle-Cour

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Je revenais de Paris après un week-end plutôt ennuyeux chez ma tante dont je venais de faire connaissance après 19 ans de vie.

 

Je montais dans le TGV et m'apprêtais un voyage plutôt ennuyeux à écouter ma musique et à faire des mots fléchés quand une belle blonde mature pris place juste devant moi.

 

Le train démarra et discrètement je commençais à loucher sur ma voisine. Elle avait les cheveux longs (fausse blonde), des yeux verts magnifiques, portait un tailleur vert amande et un décolleté à faire bander un monastère. Elle devait avoir une quarantaine d'années peut-être plus et était fort bien conservée. Rien qu'à la regarder mon sexe commença à grossir et à former une bosse sur mon pantalon. 

 

Elle avait sorti la plaquette et avait commencé à travailler sur son pc portable lorsqu'elle fit tomber un tas de feuille devant elle. Elle se pencha sur moi et essaya de les attraper mais n'y arrivait pas. Quelle vue, elle ne portait pas de soutif et j'eus tout le loisir d'admirer sa poitrine très ferme et d'une rondeur exceptionnelle. Je me suis pressé de lui ramasser les feuilles juste devant moi en admirant ces jambes et en lui redonnant. Pendant ce temps j'aperçus des notes juste au bas de ces pieds et m'excusai pour aller les ramassés. (il est bien évident que j'espérais pouvoir entre apercevoir sa petite culotte) mais qu'elle ne fut pas ma surprise de voir qu'au lieu de serrer ces jambes afin de ne me rien laisser entrevoir, elle écarta les jambes afin de me laisser voir sa chatte épilée. 

 

Je n'en revenais pas, mon sexe dans mon jean me faisait mal tellement je bandais fort. Quand je me rassis, elle me remercia et passa sa langue sur ces lèvres. Je devenais franc fou. Ensuite je vis que son regard se dirigeait sur ma bosse et elle avait vraiment l'air de vouloir voir ce qu'il se cachait là-dessous. Elle commença à caresser mon sexe avec douceur tout en se penchant vers moi pour me laisser voir sa poitrine. J'essayai de passer ma main sous sa jupe, mais celle-ci les referma en me disant que pour le moment je ne devais pas toucher et me contenter de savourer ses caresses.

 

Ensuite au bout de dix minutes de ces savoureuses caresses, elle me fit signe du doigt de la suivre et nous dirigeâmes vers les toilettes. A peine j'eus fini de fermer la porte qu'elle me plaqua contre la porte, défit ma ceinture et délivra mon sexe de mon jeans. Elle commença par le lécher délicatement tout en massant mes boules de l'autre main. Puis elle le happa d'un coup et l'entra entièrement dans sa bouche et on aurait dit qu'elle le tétait. C'était divinement bon. Puis au bout de dix minutes de ce traitement je luis fis signe que j'allais exploser, alors elle intensifia son va-et-vient avec sa bouche et avala toute ma liqueur de plaisir, laissant juste quelques gouttes déborder sur son menton qu'elle balaya de sa langue d'un geste infiniment troublant.

 

Ensuite elle me branla un petit moment juste histoire que je reprenne vigueur et enleva sa mini et monta sur la cuvette des WC, se mit dos à moi et en retournant sa tête, elle mit un doigt dans sa bouche puis se le mit dans son cul en me disant :

 

- C''est par là que j'ai envie que tu me prennes !

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J'étais éberlué, et je me mis à lui lécher son petit trou tout en lui titillant son clitoris. Quand elle fut prête, je mis mon sexe en face de son anus et je commençai à rentrer tout doucement centimètres après centimètres. Je voyais bien qu'elle aurait voulu que j'aille plus vite mais il n'en était pas question. Elle prenait son pied. Une fois parvenu bien au fond je commençais à faire du va-et-vient toujours aussi doucement et toujours en jouant avec son clitoris. Elle eut un premier orgasme et à ce moment j'ai commencé à la pilonner très fort et très vite et à chaque fois que je sentais qu'elle allait venir je ralentissais au point de presque m'arrêter. Après une petite demi-heure de ce traitement je lui rentrais dedans avec force et nous partîmes tous les deux dans un plaisir immense. Après avoir repris nos esprits, elle retira ma capote et pour me remercier me refit une pipe dont je n'ai pu trouver de comparaison jusqu'à aujourd'hui.

 

Elle s'assit ensuite sur la cuvette, pour soulager sa vessie ! Je cru un moment qu'elle me proposerai de l'essuyer avec ma langue, mais non ! Il ne faut pas être trop gourmand non plus et je garderais ce dernier acte pour mes fantasmes nocturnes.

 

Je conserve un souvenir immense de cette belle mature dont je ne connais point le nom et depuis ce jour j'adore les femmes plus âgées que moi.

Rewriting d'un teste paru sur le site de Sophiexxx en 200 intitulé Retour de Paris et signé David

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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