Belle-Cour

Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 10:54

Les stylistes en folies

StampFFH

Whaah, la réflexion qui tue !

 

"Sucer les garçons et dessiner des petites culottes."

 

C'était la réponse de Malvina

 

Bien fait pour moi. On me les avait présentées ce matin et j'avais retrouvé Annabelle et Malvina, les deux apprenties stylistes, à la machine à café et je les avais charriées à propos de leurs tenues à la pointe de la mode et... passablement légères, voire provocantes. Chacune une vingtaine d'années et un corps de rêve joliment mis en valeur dans un collant et un body noir moulant... Malvina est une brune au visage un peu typée avec des yeux de braise, une bouche gourmande et une peau de miel. Annabelle est une vraie blonde à la peau très pâle. La conversation avait pris un tour mi-anodin mi-coquin, et lorsque je leur avais demandé quels étaient leur job, Annabelle avait répondu que sa spécialité était de dessiner des chemisiers. 

 

- Et toi Malvina ? 

 

C'est là qu'elle me répond : 

 

- Sucer les garçons et dessiner des petites culottes.

 

Il ne faut pas me tendre des perches pareilles : 

 

- Ah ça, je veux bien voir un échantillon, alors ! Mais, heu... pas des dessins, hein ?

- Tout de suite ! Me répond Malvina sans une hésitation, suis-nous dans la salle d'échantillons !

 

Je suis les deux jeunes filles dans un véritable labyrinthe de couloirs et d'escaliers et nous parvenons dans une grande salle sous les toits, inondée de soleil. La pièce est encombrée de ce qui me semble un invraisemblable capharnaüm : mannequins plantés sur leurs socles, milliers d'articles dans un désordre indescriptible...

 

- Voici notre antre, me déclare Malvina, mais attends, on va te montrer ce que c'est que des modèles vraiment légers et provocants !

 

Malvina et Annabelle piochent ici et là un certain nombre de fringues et disparaissent à l'abri d'un grand paravent. Derrière, ça glousse, ça s'active, et rapidement les vêtements qu'elles portaient se retrouvent accrochés en haut du paravent.

 

La situation est complètement irréelle : me voilà dans une pièce isolée de tout et au décor incongru, et les deux collègues avec qui je discutais tranquillement il y a à peine cinq minutes sont maintenant surexcitées et nues à deux pas de moi (dont l'une se vante d'être une spécialiste de la fellation). Mon sexe commence à gonfler sérieusement dans mon jean.

 

Malvina et Annabelle sortent en même temps de leur abri, en terminant de s'ajuster : le spectacle est saisissant et une vague de chaleur me remonte jusqu'au visage. 

 

Malvina porte le même genre de collant et de body, mais pratiquement totalement transparent ! On voit complètement ses seins, moulés par le tissu et merveilleusement exposés. Même ses tétons qui pointent sont moulés par le tissu. Oh, que j'ai du mal à me retenir d'y porter tout de suite la main ! 

 

- Pas mal, hein ? me dit Malvina, le problème, c'est que le tissu est si fin qu'on ne peut pas mettre de slip ni même de string, ça fait des marques affreuses. Et c'est tellement transparent que j'ai été obligée de m'épiler complètement parce qu'autrement on ne voyait que ma chatte ! 

 

Irrésistiblement mon regard descend sous le niveau de sa taille et ce que je vois n'est pas fait pour me calmer : le tissu du body par-dessus celui du collant ne suffit pas à cacher le ventre épilé et les contours de son mont de vénus. Est-ce mon imagination ? J'ai même l'impression qu'on distingue le début de sa fente. L'envers vaut l'endroit, deux petites fesses rondes et fermes, séparées par le tissu qui rentre entre les deux globes de chair. Elle est mille fois plus provocante que si elle était nue.

 

Annabelle arbore une tenue moins transparente mais qui paraît faite de lambeaux plus ou moins libres. En fait, de grandes fentes verticales, aussi bien le long de la tunique que le long du pantalon, laissent voir son corps au gré de ses mouvements. J'aperçois son ventre, ses jolis seins arrogants, ses longues jambes et un joli string bleu, juste une bande verticale de 5 ou 6 centimètres sur son petit ventre. J'ai du mal à avaler ma salive, et plus encore à cacher une érection d'autant que les deux filles ne cherchent pas du tout à me dissimuler leur anatomie, bien au contraire !

 

Mutine, Malvina se colle contre moi pour me montrer une poignée de croquis de petites culottes qu'elle a réalisé. Comme par hasard (ben voyons) sa poitrine s'appuie contre mon bras nu et les deux pointes érigées caressent ma peau ! Annabelle s'appuie contre moi de l'autre côté, une main sur mon épaule, et comme par hasard encore, les fentes de ses vêtements s'entrouvrent et sa peau nue se colle contre mon autre bras. Et dire qu'elles sont en train de me montrer des dessins de petites culottes...

 

Heureusement, les croquis me permettent une transition facile : 

 

 - Mais ce n'est pas du tout ces échantillons-là pour lesquels je suis venu, je vous rappelle !

- Ahhhh ouiiii ! répond Malvina en se débarrassant des dessins, c'est mon autre spécialité qui t'intéresse ? Demande-t-elle avec un air faussement innocent et en portant la main sur la bosse bien développée de mon pantalon. Ohhh, mais on dirait que tu nous apprécies déjà bien, toi ! Dit-elle en découvrant la taille de mon érection. Wouaaa ! Annabelle, il bande vachement !

 

Annabelle, plus réservée, ne va pas vérifier et se contente de se presser un peu plus contre moi. Malvina reprend alors l'initiative : 

 

- Ah ça, tu vas avoir droit à un échantillon gratuit de ma spécialité, toi ! 

 

Avec un air gourmand et décidé, elle se tourne face à moi, déboutonne mon jean et commence à le descendre sur mes hanches en même temps que mon caleçon. Pour faciliter le passage malaisé de mon sexe érigé elle s'agenouille devant moi et s'aide des deux mains. Elle rit lorsque ma verge enfin libérée de son carcan semble lui sauter au visage et l'admire de tous côtés avec un air satisfait. Des yeux, elle jauge déjà l'engin qu'elle va bientôt manipuler.

 

D'un geste décidé, elle continue de descendre mes vêtements jusqu'à mes chevilles et me fait lever les pieds pour m'en débarrasser. Mes chaussures, chaussettes, jean et caleçon voltigent. Dans son mouvement pour relever la tête, mon sexe caresse ses cheveux et tout le côté de son visage. Une onde de plaisir me parcourt tout le corps et ma bite se raidit davantage, appuyant contre sa joue douce et tiède. Sans perdre le contact, elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire complice, puis sa main vient prendre mon sexe, le caresse deux ou trois fois, l'étreint doucement, puis elle tourne lentement la tête jusqu'à ce que ses lèvres en touche la racine. Contre moi, Annabelle retient son souffle, la main crispée sur mon épaule et le regard rivé sur mon sexe et la bouche de Malvina qui le frôle.

 

Lentement, les lèvres de Malvina suivent toute la longueur de ma verge, résistant aux soubresauts incontrôlables provoqués par cette interminable caresse. Parvenue au bout, elle entrouvre légèrement les lèvres, laissant juste pénétrer la pointe de mon gland et je sens son souffle chaud me caresser. Je réfrène difficilement un gémissement. Du bout de la langue, Malvina agace la pointe de mon sexe qui se gonfle encore et tressaute sous les ondes de plaisir. Progressivement, elle ouvre un peu plus les lèvres et mon sexe pénètre peu à peu dans sa bouche. Je retiens les mouvements convulsifs de mon ventre autant que je peux et mon gland parvient jusqu'au fond. Malvina, appliquée et sensible à mon plaisir, reste un instant immobile, me laissant profiter des sensations merveilleuses qui m'envahissent. Reprenant mon souffle, j'enlace Annabelle par la taille et lui glisse à l'oreille 

 

- Hummm, c'est terriblement bon ce qu'elle me fait, tu sais ! 

 

Dans le même instant, je passe ma main dans une fente de sa tunique et elle passe la sienne sous mon tee-shirt. Mes doigts effleurent ses seins dont les bouts pointent et durcissent immédiatement sous mes caresses. Sa main parcourt ma poitrine et mon ventre avec une incroyable douceur.

 

Malvina se rappelle à moi en serrant les lèvres autour de mon sexe et je me cambre, cherchant à pénétrer sa bouche plus encore. Avec une lenteur insupportable, elle entame un mouvement de va-et-vient le long de ma verge raidie, m'arrachant des frissons d'impatience. Je me venge bassement en pinçant doucement les tétons d'Annabelle qui se contracte avec de petits gémissements, son ventre chaud et palpitant venant se coller contre ma hanche. Malvina pose une main sur mes fesses pour contrôler mes mouvements, et de l'autre vient caresser doucement mes couilles en feu. Un doigt mouillé s'approche de mon anus, et me frôle l'anus, semble hésiter, puis devant mon absence de protestation s'hasarde à y pénétrer. J'avoue en trouver la sensation agréable. Ma respiration enfle et s'accélère. Le spectacle de mon sexe entrant et sortant de cette bouche si douce m'hypnotise.

 

A son tour, Annabelle que j'ai un peu délaissée se rappelle à moi en griffant doucement mon ventre. Abandonnant les fentes de sa tunique, je passe ma main dans une de celles de son léger pantalon, caresse une hanche, l'aine, le ventre chaud et musclé qui se contracte sous mes doigts. J'atteins l'étroite bande de tissu de son string sous laquelle ma main s'insinue, découvrant une mini-toison courte et soyeuse. D'un mouvement du bassin, Annabelle pousse son ventre à la rencontre de ma caresse. Mes doigts glissent jusqu'au bas de sa toison, puis rencontrent un petit anneau traversant sa peau juste au début de sa fente. Surpris, je marque un temps d'arrêt, mais d'une pression du bassin, Annabelle m'invite silencieusement à continuer mon exploration. 

 

Sa respiration est devenue aussi saccadée que la mienne, un peu rauque, et ses yeux sont rivés sur mon sexe qui va et vient entre les lèvres de son amie. Le bout de mes doigts atteint sa fente palpitante et brûlante, l'ouvre doucement et descend le long de sa vallée inondée. J'explore sans ménagement les replis de son sexe, encouragé par les pressions de son ventre qui suivent mes mouvements. La pointe de mon majeur parvient jusqu'entre ses jambes et remonte, écarte ses petites lèvres et force délicatement l'entrée de son sexe. Annabelle gémit et écarte un peu les jambes pour que mon doigt la pénètre plus facilement. Abondamment lubrifié, il entre en elle sans difficulté. Annabelle gémit à nouveau, se cambre, pousse son ventre en avant. Mon doigt va et vient en elle, la masturbe sans retenue, ses gémissements et les contractions de son sexe accompagnant le rythme de mon intrusion.

 

Malvina continue à pomper mon sexe et alterne des sucions lentes et rapides, des caresses avec sa langue qui s'enroule autour de mon épieu, agace le bout de mon gland, aspire les gouttes de liquide qui s'en échappent. Mon ventre va à la rencontre de ses lèvres sans que je puisse le maîtriser. Un vertige m'envahit, ma bite pénètre une bouche, mon doigt un vagin, mes mouvements se désordonnent. Je sens ma verge se contracter, le sperme monter le long de ma hampe, et j'éjacule violemment dans la bouche de Malvina. De longs jets de semence puissants et répétés giclent sur sa langue, ses joues, son palais et sa gorge, qu'elle s'efforce d'avaler au fur et à mesure. Pendant que je me vide dans sa bouche, mon doigt se contracte dans le sexe d'Annabelle et saisie d'un spasme brutal, elle jouit aussi et mêle ses râles aux miens. La houle de nos ventres se calme et nos corps satisfaits se détendent, nous nous sourions mutuellement.

 

Ma main libère le sexe d'Annabelle et je relève Malvina Quelques gouttes de sperme ont débordé de sa bouche et glissé sur son menton et jusque dans son cou. Elle affiche un sourire épanoui, très fière de sa prestation, et m'embrasse affectueusement, sa langue portant encore le goût de mon propre sperme. Heureuse de l'effet qu'elle a produit sur moi, elle se plaque contre mon ventre, sans même prendre garde à mon sexe encore dressé et humide qui se presse sur son ventre chaud et doit laisser une jolie trace sur son body...

 

Etre nu (ou presque, je n'ai plus que mon t-shirt, avec la main d'Annabelle en dessous) avec une fille habillée dans les bras m'a toujours excité (l'inverse aussi d'ailleurs) : le corps nerveux et brûlant de Malvina qui se frotte contre le mien éveille très vite en moi de nouveaux appétits.

 

A mon tour, je m'agenouille devant elle, je dénoue le foulard qui lui sert de ceinture, et je baisse son fin collant noir jusqu'à ses chevilles. Son entrejambe n'est plus couvert que par le mince tissu du body à travers lequel je distingue le bout de son clitoris érigé qui pointe de sa fente gonflée d'impatience et d'excitation. Un pied, l'autre pied, le collant s'envole pendant que d'une main experte elle défait les boutons pressions qui maintenaient le body entre ses jambes ; impatiente, elle en relève les pans vers le haut, m'offrant un spectacle... bandant.

 

Son petit ventre est ferme et frémissant. Le pubis parfaitement épilé dévoile sa peau lisse et soyeuse. Des lèvres gonflées et entrouvertes de sa chatte, dépasse, terriblement impudique, son clito incroyablement érigé, luisant d'humidité. Cet appendice d'un bon centimètre, saillant de ses lèvres lisses, est incroyablement provocant. Irrésistiblement attirée, ma main remonte entre ses cuisses qu'elle écarte largement. Je glisse un doigt d'arrière en avant le long de sa fente détrempée jusqu'à la racine de son clitoris : il est superbement gonflé et érigé, et mes doigts mouillés le caressent et le masturbent comme un petit pénis. Le corps de Malvina vibre sous mes attouchements, son clito se tend vers moi en une invite à laquelle je ne résiste pas. Mes lèvres s'approchent de son ventre, frôlent son pubis lisse et happent son bourgeon. Malvina ne peut réprimer un feulement d'excitation et presse son ventre contre mon visage. Je tète ce petit bout de chair palpitant et elle se contracte contre moi. Je la sens venir si vite que je délaisse un moment son clito, et ma langue part explorer sa fente entrouverte.

stylistes

Annabelle se décide à participer elle aussi, elle s'accroupit à côté de moi, sa main s'empare de mon sexe et le caresse doucement. J'écarte largement les jambes pour la laisser faire : très vite elle me remet en forme et elle me masturbe alors franchement, ses longs doigts agiles parcourant toute la longueur de mon épieu. Sur ma langue, la liqueur de Malvina a un goût de miel, et je la fouille du plus loin que je peux. A nouveau, je viens téter son clitoris et je sens ses cuisses vibrer de chaque côté de mon visage, et en même temps je parcours toute la longueur de sa fente avec un de mes pouces trempés de sa liqueur abondante. Mon doigt continu son chemin, parvient à son anus, pousse doucement ; les muscles se relâchent et mon pouce bien lubrifié la pénètre profondément et sans difficulté. Malvina se contracte tout entière et jouit sans retenue, de toutes ses fibres, avec un interminable gémissement de plaisir, puis tombe à genoux devant moi, le souffle court.

 

- J'adore qu'on me doigte par derrière ! dit-elle simplement en reprenant peu à peu une respiration normale. 

 

Je dois avouer que moi aussi j'ai bien aimé sa chatte, une vraie fontaine au goût de miel, ferme, chaude et lisse. Avec Annabelle qui continuait à me masturber consciencieusement, j'ai retrouvé une érection puissante et une furieuse envie de me servir de ma verge tendue et palpitante d'impatience.

 

Délaissant Malvina rassasiée, je me tourne vers Annabelle et la déshabille entièrement, sans aucune résistance de sa part. Nue, elle nous laisse admirer son corps de déesse aux seins provoquants, au ventre légèrement bombé à peine ombré d'une toison blonde, courte et clairsemée. Le contraste avec l'anneau brillant qui orne son sexe n'en est que plus provocant.

 

Annabelle se laisse faire pendant que je la couche par terre, que je lui écarte largement les jambes, exposant sa fente béante et luisante d'excitation. Son clitoris rose traverse l'anneau d'or : on ne voit que ça au milieu de son corps. Elle plaque ses mains contre mes flancs lorsque je m'étends sur elle, déjà prête à me guider, à rythmer mes mouvements. Mon sexe appuie contre sa vulve, le gland frotte contre l'anneau et c'est terriblement excitant. La pointe de mon sexe trouve l'entrée inondée du sien et commence à écarter les lèvres gonflées et juteuses de sa vulve. Les mains d'Annabelle pressent mes hanches et m'incitent à la pénétrer.

 

Son sexe, bien que parfaitement lubrifié, est très étroit, et je le sens s'ouvrir peu à peu au fur et à mesure que je la force. Annabelle se cambre, la tête rejetée en arrière, halète et gémit sans se retenir. Elle se sent petit à petit possédée, comme moi-même je sens son vagin céder le passage à mon sexe qui l'envahit. Son corps ondule et se tord, elle geint tout au long de mon intrusion qui me semble durer une éternité. Mon sexe reçoit des sensations d'une intensité incroyable.

 

Enfin, je parviens au fond de son ventre, et je reste un instant au bord de l'orgasme, ma verge serrée dans l'étau brûlant et soyeux de son vagin étroit. Annabelle entrouvre les yeux, mais son regard est ailleurs, elle ne me voit pas.

 

Lentement, je commence à aller et venir en elle, coulissant dans son fourreau qui m'enserre comme une main chaude et humide. A nouveau, Annabelle se cambre, se tord et gémit sans retenue, sans aucune pudeur. Elle profite de tout son plaisir, de toutes les sensations qui l'assaillent et la submergent. Discrète, silencieuse et réservée avant que je la pénètre, elle s'extériorise maintenant de tout son corps. Ses mains me pressent à la pénétrer plus fort, plus loin, plus vite.

 

Mon sexe coulisse dans son ventre de toute sa longueur et je me retiens difficilement de jouir tellement c'est fort. Puis, avec un cri presque désespéré, elle jouit longuement, tous les muscles comme tétanisés, et s'effondre comme un pantin désarticulé. Je cesse pratiquement mes va-et-vient pendant qu'elle reprend ses esprits. Ses grands yeux verts et un immense sourire sont remplis de bonheur et de tendresse. Je reprends mes mouvements, impatient de jouir en elle, et elle continue à me fixer avec douceur. Rapidement, je fonds, je craque. Ses mains attirent mon visage vers le sien et elle m'embrasse avec passion lorsque je me vide puissamment au fond de son sexe. Son vagin resserré étreint ma verge et reçoit mes giclées de sperme au plus profond, pendant que sa langue fouille ma bouche. Lorsque qu'enfin j'ai fini d'éjaculer, elle me garde entre ses bras serrés, comme si d'avoir inondée son ventre de ma semence l'avait comblée. Malvina semble aussi... "émue" que nous et me caresse doucement le dos et les reins pendant que redescendons peu à peu sur terre. 

 

- Qu'est-ce que c'était bon ! commente simplement Annabelle.

- Hummm, oui, ça en avait l'air ! Moi aussi j'aimerais bien, mais attends, on ne t'a pas présenté Gilbert ? Me dit Malvina

 

Qui peut bien être ce Gilbert ? Un voyeur sans doute ?

 

Malvina a sorti de je ne sais où, un joli gode tout rose, qu'elle est en train de lubrifier avec une noisette de gel intime.

 

- Voilà, c'est Gilbert !

 

Je me dis que décidément cette fille est insatiable et qu'elle va maintenant remettre le couvert avec "Gilbert".

 

Elle me demande si ça me tente, je ne veux pas la vexer et au point où j'en suis, prendre deux trois minutes de plus pour la regarder s'exciter reste parfaitement possible.

 

- Alors tourne toi et penche-toi, tu vas voir comme c'est bon !

 

Je crains de ne pas comprendre. Elle me fait marcher, c'est sûr, d'ailleurs son ton enjoué est bien celui de la plaisanterie. Aussi ne m'inquiétais-je pas outre mesure quand l'objet se mit à vibrer à l'entrée de mon anus. Je continuais à me dire que tout cela n'était qu'un jeu quand le vibro força mon anus de quelques millimètres.

 

Et puis, il fallut bien que je me rende à l'évidence, l'engin me pénétrait maintenant de quelques centimètres.

 

Je m'apprêtais à élever une protestation à la hauteur de l'humiliation qu'on me faisait subir, mais d'une part la présence de Malvina devant moi me caressant tendrement la visage avec le plus beau des sourires, et surtout le fait que, contre toutes attentes, l'engin me procurait un plaisir trouble, me décidèrent à ranger au placard ma fierté masculine. Et quand d'une voix mutine, Malvina me demanda si "c'était bon", je me surpris à répondre :

 

- Ohhh, oui, c'est bon continue.

 

Les va-et-vient de l'objet habilement guidé de la main officieuse de Malvina s'accélérèrent et intensifièrent mon plaisir. J'étais excité, mais mon érection restait moyenne, et c'est dans cet état que très curieusement mon pénis se mit à éjaculer de façon continue pendant quelques secondes un foutre très clair.

 

- Bravo ! Applaudirent les deux filles tandis que Malvina me retirait avec précaution cet étrange objet de plaisir.

 

Maintenant que c'était fini, j'étais dans un drôle d'état d'esprit, un peu gêné, ne sachant plus quoi dire.

 

- C'est aussi une de mes spécialités, ça, de dépuceler les mecs, mais avoue que si je t'avais dit ça à la machine à café, tu ne nous aurais jamais suivi.

- C'est vrai !

- Mais tu n'es pas le premier à qui on fait ça, parfois ça marche, parfois ça ne marche pas, tu le referas.

- A l'occasion, pourquoi pas ?

- Si tu veux demain, on te présentera Jean-Luc, ce sera encore mieux qu'avec Gilbert.

- Ah, bon et qu'est-ce qu'il a de mieux ce gode.

- Ce n'est pas un gode, c'est un styliste, il est mignon comme tout.

 

J'allais protester, j'ai préféré ne pas répondre. Je me suis rhabillé, m'étonnant dans un premier temps de ne pas voir les filles remettre leurs propres vêtements. Puis je compris, comme si je n'existais plus Annabelle lapait avec gourmandise le téton érigé de Malvina qui se pâmait sous la caresse. Je me donne un bref coup de peigne, me retourne pour avoir les deux filles s'échanger un broute-minou humide en position de soixante-neuf… Il est plus que temps pour moi de regagner mon bureau.

 

Le soir je me suis acheté un vibro dans une sex-shop, un joli vibro beige à vitesse variable, j'ai joué avec en me couchant m'imaginant que je faisais l'amour avec Malvina pendant que l'énigmatique Jean-Luc me prenant par derrière.

 

Belle-cour

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 10:22

Amélia se déchaine par Belle-cour

Stamp secretaire

Je me nomme Jules et je suis étudiant en lettres. J'ai 24 ans, ma petite amie Amélia est une jeune femme assez réservée, une excellente amante et poète à ses heures.

 

L'autre fois, en regardant mes couilles, elle m'a dit "les courbes de tes testicules me fascinent autant que le spectacle enivrant d'un tableau de Sonia Delaunay". Une réflexion qui m'a chavirée !

 

Il est temps maintenant de vous narrer mon histoire qui vous le verrez est fort spéciale, mais n'anticipons pas

 

C'était un vendredi soir les parents d'Amélia étaient partis diner en ville, m'avait-elle dit :

 

- Allo ! Jules ! Ça te dirait de passer à la maison, mon petit chéri ?

- Bien sûr, quand ça ?

- Mais tout de suite mon petit chéri ! J'ai trop envie de toi !

- Ah bon !

- Humm, si tu savais, j'ai envie de prendre ta bite toute entière dans ma bouche de pute !

 

Qu'est-ce qui lui arrive ? Elle a pété les plombs ou quoi ?

 

Je sonne, la voix d'Amélie me crie que c'est ouvert ! C'est un peu comme dans les films américains ici, infoutus de fermer une porte !

 

Je suis éberlué parce que je vois ! Ma copine est là, en dessous très sexy noir en dentelle dont un soutien-gorge contenant très bien sa grosse et jolie poitrine 

 

Elle est excitée comme pas deux et commence immédiatement à m'enlever mon pantalon et à me tailler une pipe. C'est alors que je la soulève et la retourne pour pouvoir moi aussi humer l'adorable parfum de sa voluptueuse chatte. Elle est déchainée elle me suce à m'en faire exploser les couilles mais moi aussi je m'acharne sur sa chatte qui est trempée par l'excitation. Je mets sa chatte dans ma bouche et je commence à lui lécher le clitoris et quasiment immédiatement elle commence à se tortiller de plaisir. Elle est en train d'avoir son premier orgasme de la soirée. 

 

On souffle un peu et elle se met en levrette m'invitant à la pénétrer. Et au moment où j'allais le faire, ses parents sont apparus dans l'encoignure de la porte.

 

Dans ces moment-là parfois on pense et on fait n'importe quoi. La première pensée qui m'est venu à l'esprit a été de me dire que leur bouffe au restaurant n'avait pas duré bien longtemps, ensuite je me suis caché derrière le côté du canapé.

 

- Mais ne vous gênez pas pour nous. Nous aussi on a été jeune, continuez, mais continuez, ça vous ne dérange pas qu'on se rince l'œil ?

- Mais non papa ! Répond Amélia.

 

Qu'est-ce que voulez que j'ajoute ,

 

Moment d'hésitation, Amélia me masturbe et me flatte les couilles. La mère d'Amélia pose sa main sur la braguette du père, puis lui sort la bite et commence à la branler

 

- Prends-moi ! Me supplie Amélia, ne t'occupe pas d'eux, tant mieux si on les excite !

 

Sortant de l'ombre j'entreprends ma pénétration dans la chatte d'Amelia qui était toute chaude de voir ses parents s'exciter devant elle d'autant que maintenant sa mère avait la bite du père en pleine bouche

 

Amélia était plongée dans une sorte de plaisir interminable et puis comble de tout, je mis ma semence partout sur elle c'est à ce moment qu'elle poussa un cri du tonnerre tout en tombant dans mes bras.

 

J'étais épuise et c'est là que la mère d'Amelia qui après s'être débarrassée de ses fringues à la vitesse grand V vient pour me sucer et je n'en revenais tout simplement pas. Une vraie furie, elle me gobait les couilles, l'enfonçait un doigt dans ma anus. Fou d'excitation, je la retournai et commençai à l'enculer frénétiquement jusqu'à ce qu'elle me supplie d'accélère, ce que je fis volontiers. Juste au moment où elle allait avoir un autre orgasme je sortis mon membre maculé de merde et lui demandais de se coucher sur le dos elle me fit une cravate de notaire du tonnerre de dieu avec ses grosses mamelles blanchâtres. et je lui éjaculai dessus elle criait à rendre son mari jaloux.

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Au même moment Amélia et son père nous regardaient en se masturbant mutuellement. Amelia avec sa main branlait la bite de son père tandis qu'il lui introduisait ses doigts dans la chatte mouillée. Puis elle s'accroupit, pris la bite du paternel dans la bouche et ne la lâcha que quand celle-ci juta son sperme.

 

- A toi, maintenant ! me dit ma copine.

- A moi de faire quoi ?

- Ben de sucer la bite de mon père !

 

J'aurais pu refuser, je n'avais jamais fait ce genre de choses, mais je n'étais pas contre et même que dans mes fantasmes secrets… Mais là j'étais pris au dépourvu. Cela dit je n'envisageais pas de me dégonfler devant ma copine.

 

Je pris donc cette bite encore gluante de sperme dans ma bouche et elle ne tarda pas à rependre une bonne vigueur. Je m'étonnais de la douceur de la chose, tentait de m'appliquer mais le papa se rendit bien compte que j'étais loin d'être une expert en la matière.

 

- Tu veux que je t'encule.

- Pas aujourd'hui une autre fois peut-être.

- T'as tort ! Me dit Amélia, il encule très bien, moi j'aime bien !

- Oui mais toi tu es une femme !

- Justement je ne vois pourquoi le plaisir anal serait réservé aux femmes, allez amène ton cul ! Me dit-elle d'un ton péremptoire

 

Il est parfois des arguments imparables.

 

Une minutes parés j'avais la bite du papa dans mon trou du cul, l'introduction n'a pas été évidente, ce mec n'a rien d'un sauvage, mais une bite c'est plus gros qu'un doigt !

 

- Arrêtez, arrâtez, j'ai mal !

- Ça va passer, on essaie encore une minute.

- Non, non !

 

Il a continué, et curieusement la douleur a fait place à des ondes de plaisir qui secouèrent tout mon être. Je n'en revenais pas que ce soit si bon de se faire sodomiser. 

 

Pendant ce temps, Amélia était venu faire un câlin à sa mère, lui nettoyant de sa langue le sperme et les traces de merde qui étaient restés sur sa belle poitrine.

 

Elle me regarda ensuite avec un air vicieux :

 

- L'inceste est très pervers, mais ça me fait tellement mouiller, hummm.

 

Parfois on ne sait que dire ! Donc je ne dis rien. Tout le monde se rhabille.

 

- Je vais vous laisser… Balbutiais-je

- Pas avant d'avoir trinqué, cette petite sauterie improvisée était géniale, venez, nous allons boire un verre.

 

Le paternel a débouché une bouteille de Bourgogne. Ma foi c'était du bon pinard.

 

- Pas mal, n'est-ce pas ? Du Gevrey Chambertin, j'en ai fait rentrer trois caisses… Mais je vous en prie, emportez-en une bouteille chez vous, c'est cadeau.

- Ah, ben merci, au revoir toute le monde.

 

J'ai embrassé Amélia, et je suis rentré me coucher, trop crevé.

 

Le radio-réveil me réveille, je sais c'est fait pour ça, mais aujourd'hui c'est samedi. J'ai fait un de ces rêves, ma petite Amélia qui était déchaînée à tel point qu'elle a même sucé la bite de son père ! C'est idiot les rêves, on est-ce qu'on va chercher des bêtises pareilles ? Enfin ce n'est qu'un rêve !

 

Mais que fait cette bouteille de Bourgogne sur mon guéridon ?

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 08:05

Table réservée par Belle-cour

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J’ai mes habitudes et n’aime pas trop y déroger, spécialement lorsque je me rends dans ma discothèque préférée.

 

C’est un endroit sympathique, fréquenté par des habitués et où le patron, Gérard, fait régner une ambiance calme et détendue

 

En tant que « membre fondateur », je bénéficie il est vrai d’un traitement de faveur puisque j’ai ma table réservée à l’année.

 

Table est un peu réducteur. Il s’agit en fait d’une sorte d’alcôve intime équipée de confortables banquettes et où je peux recevoir dans la plus parfaite intimité mes hôtes de passage pour y traiter dans un cadre agréable mes affaires. Si j’ai besoin de quelques filles faciles pour faciliter les choses, Gérard me les fournit.

 

Depuis cette alcôve, je ne peux être vu mais peux voir la piste de danse au travers d’une glace sans tain.

 

Ce soir-là quelle ne fut pas ma surprise de voir mon espace occupé par une femme blonde d’environ trente ans et que je n’avais jamais vue auparavant.

 

Surpris et je l’avoue un rien mécontent, je vais retrouver Gérard auquel je fais part de mes sentiments. D’un geste il tente de m’apaiser et me montrant la salle me fait comprendre que seule « ma » table était libre.

 

– Et puis, me dit-il, vu l’heure, je ne pensais plus que tu viendrais ! Mais puisque tu es là, je vais la virer gentiment.

– Attend, c’est qui ? Tu la connais ?

– Non, c’est la première fois que je la vois.

– Laisse-là, elle est plutôt mignonne, et comme je n’attends personne, ça me fera de la compagnie

 

– Bonjour ! Cette table m’est réservée en permanence, mais je n’ai pas l’intention de vous chasser. Par contre vous allez devoir supporter ma présence.

– Je m’appelle Isabelle, me dit-elle, et je suis désolée de vous importuner.

 

C’est vrai qu’elle était belle.

 

Sa peau bronzée n’était couverte que d’un chemisier blanc qui cachait des formes voluptueuses et d’une minijupe qui avait peine à cacher de longues cuisses fuselées. Elle avait le bon goût de ne pas porter de collants, ce qui à mes yeux était un avantage car cela faisait ressortir l’aspect satiné de sa peau.

 

Je pris donc place et lui demandait si elle souhaitait boire quelque chose.

 

Elle commanda un jus de fruit accompagné, allez savoir pourquoi d’un banana split « avec beaucoup de chantilly » ajouta-t-elle.

 

Pour ma part je commandais ma boisson habituelle.

 

Nous étions assis l’un en face l’autre et je ne savais comment aborder la conversation. Ce fut elle qui commença et m’expliqua que son mari étant parti en voyage à l’autre bout de la terre, qu’elle sentait un peu seule dans son appartement et avait décidé de venir écouter de la musique. Je me sentis un très vif besoin de la distraire et l’invitai donc à rejoindre les danseurs sur la piste.

 

La musique était douce, Nous dansions serrés l’un contre l’autre et je sentais sa cuisse entre mes jambes. Elle ne fut pas longue à deviner que je n’étais pas indifférent à sa pression.

 

La musique cessa et nous décidâmes de rejoindre ma place où durant notre absence, le serveur avait déposé notre commande. Elle vint s’asseoir auprès de moi et tout en dégustant la banane commandée, elle posa sa main sur ma cuisse et commença à me masser doucement.

 

Inutile de vous dire que je ne songeai pas à boire et que ma queue avait toutes les peines du monde à rester dans mon slip.

 

Elle finit de manger sa banane tout en prenant soin de laisser la chantilly.

 

– Vous n’aimez pas la crème ? Lui demandai-je.

– Si, si mais je la dégusterai plus tard, me répondit elle.

 

Sa main était toujours sur ma cuisse et remontait doucement vers ma ceinture qu’elle défit d’une main experte. Dans la même seconde mon pantalon fût ouvert et sa main entreprit de sortir mon engin gonflé de désir.

 

Vous pensez bien que je ne restai pas inactif de mon côté et qu’en peu de temps je défis les boutons de son corsage, qui me révéla un soutien-gorge rempli de deux superbes mamelles.

 

Je fis sauter l’agrafe qui se trouvait au-devant et commençai à lui masser les seins. Je ne pensai pas que des seins aussi gros puissent être aussi fermes. Ses aréoles brunes étaient surmontées de deux tétons durs et fièrement dressés.

 

Pendant ce temps elle continua à me masser la bite d’un mouvement doux.

 

Je me penchai sur elle et commençai à lui sucer les tétons, son corps se redressa en une offrande. Je passai ma langue alternativement sur l’un et sur l’autre pendant que ma main descendit sous sa jupe.

 

Qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’elle ne portait pas de culotte et qu’elle était entièrement rasée. Son mont de Vénus était bien rond et doux sous la paume de ma main.

 

Je le caressai doucement avant de glisser mon doigt entre ses lèvres. Elle était déjà très mouillée et je sentis son liquide se répandre sur ses cuisses. J’introduisis un doigt dans son minou et commençai avec le pouce un doux mouvement sur son clitoris que je sentis grossir sous son capuchon.

 

D’un mouvement elle fit glisser sa jupe sur le sol et se mit à genou en face de moi. Elle entrouvrit ses lèvres et commença une fellation comme personne auparavant ne m’en avait gratifié. Sa langue s’attarda sur mon gland dont elle fit le tour en s’arrêtant sur le frein. Puis petit à petit elle fit rentrer mon membre dans sa bouche et bientôt ses lèvres furent en contact avec mon pubis.

 

Je dois reconnaître qu’elle avait une gorge très profonde et très accueillante.

 

J’étais sur le point de lui lâcher mon sperme dans la gorge lorsqu’elle s’arrêta. Je fus un peu dépité sur l’instant, mais la voyant prendre l’assiette où restait la chantilly et l’approcher de mon sexe je devins intrigué.

 

Elle passa l’assiette sous mes testicules, qu’elle posa délicatement sur la chantilly. La glace et la banane était remplacées par un morceau de choix. Je vis passer un éclair de gourmandise dans ses yeux…

 

Elle entreprit alors de me lécher les couilles et la queue en même temps qu’elle lapait la crème. Elle prit même le soin de couvrir mon gland de cette précieuse mousse et recommença à me sucer. N’y tenant plus, je fermai les yeux et lui déchargeai de grosses giclées de mon liquide bien chaud dans la bouche.

 

Elle prit soin de me nettoyer le gland avec sa langue et se redressant, vint poser ses lèvres sur ma bouche. Nous nous embrassâmes goulûment. Le goût de mon sperme mélangé à la chantilly ne fut pas pour me déplaire.

 

Telle une chatte elle s’allongea sur la banquette et, me prenant la tête dans ses mains elle approcha mon visage de sa chatte

 

Elle n’était plus mouillée, c’était une fontaine qui coulait entre ses lèvres. Je décidai donc de me désaltérer et introduisis ma langue dans l’orifice de sa chatte. Elle bougea son bassin de façon spasmodique.

 

Mon pouce massa son clitoris alors que mon autre main s’aventura sous ses fesses rondes et fermes. Son jus s’étant répandu, il ne me fut pas difficile de lubrifier mon doigt et petit à petit de le rapprocher de son petit trou que je devinai vierge.

 

A mon grand étonnement, et alors que je m’attendai à la voir protester, elle poussa au contraire sa rondelle au-devant de mon doigt, de façon à ce que puisse la pénétrer tout en murmurant :

 

– Je te réserve mon cul pour la fin.

 

Mon sexe un instant flasque avait repris de la vigueur. Je me plaçai face à elle. Elle plaça ses jambes sur mes épaules et agrippant mes fesses, elle me tira en avant dans son sexe que je n’eus aucun mal à pénétrer.

 

Je commençai à la limer doucement puis de plus en plus vite, son bassin bougeant au rythme de mes allées et venues. Tout à coup, son corps se raidit et elle partit dans un gémissement profond, qui en dit long sur sa jouissance.

 

Elle retira mon sexe et m’intima l’ordre de m’asseoir sur la banquette, ce pour quoi je ne me fis pas prier, puis me tournant le dos, elle s’assit sur mon sexe et commença des mouvements de bas en haut au rythme de la musique qui nous parvenait assourdie.

 

Mon gland frappa le fond de son vagin et ses fesses s’écrasèrent sur mes couilles. De temps à autre elle ralentissait la cadence de façon à prolonger le plaisir le plus longtemps possible. N’y tenant plus je me crispai à ses hanches et lui déchargeai une seconde fois ma semence à l’intérieur du vagin.

 

Epuisé par ces deux éjaculations puissantes, je pensai notre séance terminée et son désir assouvi. Il n’en fut rien.

 

Elle m’allongea sur la banquette et entrepris de me nettoyer la queue, ne voulant rien perdre de ce que je lui donnai si généreusement. Le mouvement de ses lèvres sur mon gland, associé à celui de son index qui forçait l’entrée de mon anus, me redonna la pleine possession de mes moyens. Ce fut son tour de s’allonger et me tenant littéralement par la queue, elle approcha mon sexe de ses seins. Elle voulut me gratifier d’une branlette espagnole ce que je ne refusai pas. Ceux qui n’ont jamais essayé cet exercice n’ont pas connu le bonheur et je pensai bien réserver à son beau visage le reste de ma lotion.

 

Elle en avait décidé autrement et alors que j’allai décharger, elle se redressa, manquant de me faire tomber et prit la position de la levrette.

 

Je me mis donc derrière elle, sur le point de lui pénétrer le vagin lorsqu’elle se retourna et me dit qu’elle avait déjà assez de liqueur à cet endroit et qu’elle souhaitait expérimenter quelque chose de nouveau.

 

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Je compris vite. Prenant avec mes doigts le liquide qui sortait de sa chatte, mélange de sperme et de cyprine, j’entrepris de lui lubrifier son petit trou avant d’y engager mon gland tout doucement. Je le vis disparaître dans son anus et décidai de pousser plus avant mon avantage.

 

Bientôt tout mon sexe fut en elle. Elle gémit de plaisir, me disant que c’était bon. Ses fesses commencèrent à bouger d’avant en arrière le long de ma queue. Je décidai de la laisser faire et lui écartant bien les fesses, contemplai mon sexe écartant son anus.

 

De sa main, elle se caressa le clitoris et bientôt son corps fut pris de soubresauts. Elle atteignit un nouvel orgasme dont je ne sus s’il était dû à ses propres caresses ou à ma queue en elle. De mon côté je sentis le plaisir monter dans mes couilles et ma verge et ne tardai pas à lui décharger le reste de mon foutre dans l’anus. Sentant le chaud liquide se répandre en elle, elle contracta sa petite rondelle, me retenant prisonnier. Elle s’écroula sur la banquette et je ne pus que suivre le mouvement. Nous nous sommes retrouvés l’un sur l’autre durant de longues minutes, à savourer l’instant présent.

 

Mon sexe étant redevenu flasque, je pus enfin me retirer d’elle. N’attendant probablement que cela, elle se redressa et décida de procéder elle-même à ma toilette avec sa langue.

 

Nous nous sommes rhabillés. Je voulus que nous échangions nos coordonnées, mais elle refusa en me disant simplement

 

– Si nous devons nous revoir nous nous reverrons.

 

Et elle disparut de l’alcôve.

 

Alors que je me dirigeai vers les toilettes, je croisai Gérard qui m’emboita le pas. Il choisit l’urinoir jouxtant le mien et nous sortîmes nos queues de concert afin de nous soulager. Quand j’eus pratiquement terminé, sa main s’égara sur ma queue. Cela le prenait de temps en temps et je me laissais faire volontiers, d’autant qu’il branlait et qu’il suçait fort correctement. Mais cette fois je protestai :

 

– Non, là je ne peux plus ! Je suis vidé.

– Elle baise comment, Isabelle ?

– Comment tu peux savoir…

– Avant que tu n’arrives, un videur l’a surprise en train de demander de l’argent à un client. On me l’a amenée dans mon bureau, elle était au bord des larmes. Je lui ai expliqué la politique de l’établissement : si une fille veut travailler ici, elle ne le fait qu’avec mon assentiment, en me versant une commission et en utilisant les codes de la maison. Je lui ai donc proposé de travailler pour moi, à condition de faire un essai concluant avec un client.

– Ça alors ! M’exclamai-je en mettant à mon tour ma main sur sa bite et en commençant à la branler

– Tu ne m’as pas répondu, c’était comment ?

– Divin !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 19:04

 La rencontre du quartier (Ma voisine) par Belle-Cour

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Cette histoire s'est déroulée l'été passé. Nouveau dans cette ville où j'ai été muté en janvier, je fus informé que fin juin, avait traditionnellement lieu une fête avec tous les voisins, intitulée tout simplement " La rencontre du quartier ". Je trouve cela complètement artificiel, mais ne voulant pas passer pour un ours mal léché, j'acceptai (à reculons) d'y participer. Chacun devait apporter quelque chose, j'ai donc fait preuve d'une originalité inouïe en apportant des chips et des trucs à grignoter avec l'apéritif.

 

Me voici assis devant Sylvie, au moins la quarantaine, mais beaucoup de classe. Elle avait su malgré son âge garder tout ce qu'un homme peut attendre d'une femme. Brune à la peau mate, elle portait un pantalon noir serré qui faisait bien ressortir ses deux superbes fesses et un haut au décolleté généreux qui laissait apparaître deux gros seins. Durant le dîner, on a parlé de tout et de rien et elle me faisait plein de petits sourires. Il me semblait qu'elle cherchait à me draguer. Son mari ne s'occupait pas de son manège et était parti dans une grande discussion avec un autre homme sur la technique de la pêche à la mouche…

 

Arrivée au café, elle se fit plus causante, me demanda mes goûts, si j'aimais m'amuser, si je faisais du sport, si j'avais l'esprit ouvert… et j'en passe. Mes réponses semblaient lui convenir et elle en profita pour me faire une petite caresse sous la table avec son pied. Non, je ne rêvais pas, elle me draguait réellement !!!

 

Enfin arriva le moment des slows. Et tandis que le mari de ma superbe voisine dansait avec une petite blonde à lunettes, Sylvie m'invita à danser avec elle. Elle s'agrippa à moi comme une folle. Je bandais comme un fou ! Je crois bien qu'elle sentait que je bandais car elle se trémoussait de tous les côtés en se frottant à mon sexe ! Je lui ai demandé d'arrêter tout ça car j'avais l'impression que tout le monde nous regardait mais elle ne voulait rien savoir. Elle a continué à me draguer jusqu'à la fin de la fête.

 

Une fois la fête terminée, elle me demanda de l'aider à rapporter ses affaires chez elle, ce que j'acceptai sans me faire prier… J'ignorais où se trouvait son mari. Arrivés dans sa cuisine, elle posa ses affaires, se tourna vers moi et m'embrassa sur la bouche. Je répondis à son baiser passionné. Nos deux langues se lièrent. Je n'en revenais pas de ce qui m'arrivait ! Elle était totalement excitée. Elle me déshabillait comme une folle et moi j'arrachais presque tous ses vêtements. On s'est vite retrouvés totalement nus ! Mes mains se baladaient sur son corps. Je me suis longuement attardé sur ses fesses et son petit trou. Elle semblait aimer alors je me suis accroupi et je lui ai léché consciencieusement l'anus. J'ai fait ça durant cinq bonnes minutes. Elle ne savait plus comment se tenir tellement elle aimait.

 

Je me suis ensuite aventuré sur sa chatte. Elle mouillait comme une fontaine. Je la buvais comme si j'étais assoiffé. Elle poussait des petits cris et des petits " Encore " toujours plus forts. Elle commençait vraiment à ne plus se maîtriser. Elle se tourna dos à moi en se penchant sur la table de la cuisine et en me tendant une capote. J'ai compris qu'elle voulait que je la sodomise. Ce que j'ai fait. Elle m'aida en écartant ses fesses avec son pouce et son index. Je fis pénétrer ma bite bandée comme jamais. Je faisais des va-et-vient toujours plus rapides. Elle criait de bonheur. Le rythme était devenu très rapide. Je lui caressais la chatte et les seins en même temps. Elle hurlait.

 

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Un bruit de porte. Le mari qui arrive. Panique. Je débande aussi vite que j'ai bandé tout à l'heure, tente de cacher ma nudité avec un torchon de cuisine. Je remarque que Sylvie n'a pas l'air paniqué du tout.

 

- Mais continuez donc, mon jeune ami, je suis un mari très compréhensif, n'est ce pas Sylvie ?

- Tout à fait mon chéri !

- Et je vais même vous faire un aveu, voir ma femme se faire sauter me fait magnifiquement bander. Vous voulez constater ?

 

Et sans attendre ma réponse, il sort de sa braguette un chibre impressionnant et tout raide. Je le regarde, très troublé. Il nous invite à reprendre ce que nous faisions. Sylvie se baisse alors pour mettre mon sexe dans sa bouche et le faire durcir de nouveau. Sa langue agile et ses douces lèvres eurent tôt fait de me remettre en état de marche.

 

Sylvie me présenta de nouveau ses fesses. Inconsciemment je lorgnai sur le sexe magnifique du mari. Il s'en aperçut et me demanda si je serais partant pour le sucer.

 

C'est comme ça que pour la première fois de ma vie, je me retrouvais avec une queue d'homme dans ma bouche, et je puis vous assurer que ce ne fut que la première d'une longue série (mais ceci est une autre histoire).

 

J'ai ensuite sodomisé Sylvie, on a trinqué tous les trois avec un bon chardonnay ce qui, ajouté à ce que nous avions déjà ingurgité, nous fit aller assez vite au lit. Nous avons partagé leur lit tous les trois.

 

J'ai continué à fréquenter charnellement Sylvie et son mari jusqu'en novembre, date à laquelle je fis l'objet d'une nouvelle mutation.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Belle-Cour
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Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 18:57

Le sac à main de Megan par Belle-cour

 

Gode stamp

Attention : Texte contenant des passages scato explicites

 

J’étais content ce soir-là, j’avais emballé Megan. Nous étions allés au restaurant. Un petit restaurant de quartier parce que je n’ai pas de grands moyens.

 

– Que prendrez-vous comme dessert ? Salade de fruits ou amandine ? Nous demande la serveuse avec un sourire de circonstance

– Non rien ! Répondis-je.

 

Je lui proposais alors de prendre le dessert à la maison, voilà qui change du traditionnel dernier verre.

 

Chez moi, nous nous sommes dirigés vers ma chambre pour y déposer nos manteaux, et c’est là que tout commença.

 

– Tu te laisses faire ? T’as confiance ? Dis-je.

– Non !

– Pourquoi non ?

– Parce que non !

– Je voulais t’attacher !

– Pas question, mais tu peux faire semblant !

– D’accord !

 

O.K. je pousse Megan sur mon lit. Toute déboussolée, elle se demandait ce qui se passait. Habituellement j’ai un caractère quand même doux et non-violent, mais ce soir-là, j’avais une envie folle de la faire jouir. Ça faisait une semaine que je n’avais déchargé mon poireau, et j’étais vraiment en manque du côté sexuel. C’est alors que je l’attache à plat ventre à l’aide d’une corde déjà préparée à la tête de mon lit. (En fait je l’attache de façon non serrée de sorte qu’elle puisse se libérer si le cœur lui en dit). Les points d’interrogation lui sortaient de la tête. C’est alors qu’elle me demanda :

 

– Alex, qu’est-ce que tu fais au juste ?

– Je prends mon dessert, lui répondis-je, et je te donne le tien en même temps.

– Alex, arrête, je n’aime pas te voir comme ça, t’es pas le Alex que j’connais.

 

Effectivement, je n’étais pas moi-même, je m’étais transformé en bête sauvage. Et je lui ai répondu :

 

– Laisse-moi faire, tu vas voir !

 

Après avoir retiré mes fringues, j’ai commencé à la déshabiller à son tour ! Je ne réfléchis pas toujours à ce que je fais, j’aurais dû la déshabiller d’abord et l’attacher après. Enfin, ce n’est pas grave, le résultat donnait une image de grand débraillement qui n’était pas désagréable. Je lui fis monter son derrière pour pouvoir me glisser entre ses jambes. Sa chatte dégoulinait de jus d’une saveur exquise.

 

– Humm… ça c’est un bon dessert.

 

Je lui léchais toute la chatte, mais sans toucher au clitoris pour la faire languir un peu. Tout en y parcourant le minou de ma langue, mes mains se baladaient sur son joli petit cul et atteignirent son trou. Son trou de cul était lui aussi lubrifié, faut dire qu’elle était vraiment excitée. Elle me suppliait de lui lécher son clitoris, mais je la faisais languir encore. D’une main, j’enfonçai mon index à l’intérieur de sa chatte et de l’autre, je lui enfonçai mon index dans le cul. Quand je l’ai ressorti, il était un peu merdeux. Qu’à cela ne tienne, je l’ai sucé un peu et l’ai replanté aussi sec. Je me suis dis alors que si son cul polluait mon doigt, qu’est-ce que ce sera quand je l’enculerai !

 

En même temps, j’atteignis son clitoris avec ma langue, et je le mordillais. J’ai eu droit à une symphonie de cris de jouissance. C’était tellement excitant de l’entendre gémir de la sorte que ma queue était dure comme du roc, et était grosse comme je ne l’avais jamais vue. Après avoir fait une série de va-et-vient à l’intérieur de son intimité, je me suis mis à genoux en arrière pour pénétrer son cul avec ma queue. Wha…c’était tellement lubrifié, je n’ai pas eu de difficulté à l’enfoncer. C’était tellement jouissif… là aussi j’ai eu droit à une symphonie, mais en duo cette fois-ci !

 

Après quelques efforts de ma part, je sentis qu’elle était épuisée, ses jambes s’étaient dépliées et elle était à nouveau couchée. J’ai sorti ma queue, maculée de matière, et j’ai retournée Megan afin de lui mettre ma queue entre ses gros nichons. Ses gros seins avec les tétines bien hautes que je poussais de chaque côté de ma queue. Evidement sa poitrine n’a pas tardé à s’orner de trainée marrons. Toujours dans la position du notaire en cravate, je me sentis venir, c’est alors que je me suis approché de sa bouche pour lui donner son dessert.

 

– Sperme et merde ! J’espère que tu apprécie ?

– Un peu salé pour un dessert, mais ça va !

 

Tranquillement, je la détachai, et je m’excusai d’avoir été un peu brusque !

 

– Non, non ça va… Mais t’es un sacré cochon, toi !

– Si, je suis un peu confus ! Si je pouvais faire quelque chose pour me faire pardonner !

– Alors dans ce cas à ton tour de te laisser faire !

– OK, mais on se boit une mousse d’abord !

– Un coca pour moi ! Et laisse ta mousse je vais te donner ma bière.

– Pardon !

– Mais il ne comprend rien celui-là ! Mets-toi à genoux et ouvre ta bouche de porc que je te pisse dedans.

 

– Mais…

– Tu étais d’accord pour te laisser faire, alors maintenant à genoux et discute pas. Et la bouche bien ouverte.

 

Elle m’a d’abord craché dans la bouche avant de m’y envoyer sa bonne pisse. Je me suis régalé, elle est vraiment très bonne.

 

On a en a mis un peu partout, on a attrapé le fou rire et on a épongé. Après, on a un peu trainé, j’ai branché la télé, on a regardé des conneries, on s’est resservi à boire, bref, une heure a passé. Je pensai qu’il ne se passerait plus rien tout juste peut-être un dodo ensemble dans mon lit…

 

– On retourne dans la chambre ! Propose-t-elle.

– Pour dormir ?

– Pas vraiment ! Allonge-toi sur le dos, je vais te faire une surprise

 

Elle prend ma queue dans ses mains et me masturbe, mais elle le faisait avec une intensité que je n’avais jamais connue. Elle était sur un rush d’adrénaline, et elle s’en donnait à cœur joie. Elle plaça des oreillers sous mon cul pour le soulever et se mit le cul devant mon visage, nous étions en 69 :

 

– Mange-moi le cul !

– Oui, oui !!

– Et tu ne fais pas semblant, tu y vas carrément, je veux sentir ta langue dans mon trou du cul !

 

Je m’empressai de lui manger le cul. Elle ne l’était pas essuyé le derrière après ma sodomie sauvage de tout à l’heure. Je compris qu’elle l’avait fait exprès.

 

– Mieux que ça ta langue, nettoie toute la merde.

 

Je m’acquittais de cette tâche avec application, les délires scatos ne m’ayant jamais bloqué. De plus sa merde avait un bon petit gout.

 

Ensuite Megan se mis à me sucer et encore là, avec une intensité incroyable, je pensais qu’elle allait me l’arracher. Elle aspirait ma peau comme un petit veau assoiffé. Elle arrêta tout d’un coup, se leva et alla chercher quelque chose dans son sac. Je ne pouvais rien voir de tout ça, la seule chose que je voyais c’était ma queue qui ne demandait qu’à en avoir plus.

 

Elle défait la ceinture de mon pantalon qui gisait sur le dossier d’une chaise et m’en donne des coups : sur les cuisses, sur mes fesses… Je me tortille, j’en reçois sur le ventre, sur torse…

 

– T’aime ça te faire maltraiter ? Me lança-t-elle. T’en veux plus ?

 

Elle s’assoit de nouveau sur mon visage, mais cette fois-ci, en me présentant sa chatte, encore une fois, très mouillée. Elle me dit, d’un ton autoritaire :

 

– Allez ! Mange-moi ça, et fais-moi jouir !

 

Je m’exécutai sans dire un mot. Elle gémissait des petits sons, elle aimait ça… C’est à ce moment qu’elle se pencha pour me sucer à nouveau. Cette fois-ci, avec moins d’ardeur, mais elle me préparait autre chose. Elle flattait mon trou de cul qui se trouvait lui aussi être bien humide. Elle planta son index dans mon cul et fit des va-et-vient… de plus en plus rapidement. Oooh… C’était une sensation que je n’avais jamais vécue. Encore autoritairement, elle dit :

 

– Bon on passe aux choses sérieuses !

 

913BellecourJe me demandais bien ce que cela voulait dire. Elle prit alors son godemichet… C’était donc ça qu’elle était allée chercher dans son sac ! Il y a des filles qui se baladent avec des godes dans leur sac à main ! On en apprend tous les jours ! Et elle me l’enfonça au plus profond de moi. Whaaaa… Inutile de vous dire que j’ai crié un bon coup, pas seulement de douleur, mais aussi de surprise. Mais c’était quand même bon…

 

Quand elle ressorti l’engin, elle me le fit sucer ! Je m’y attendais !

 

Pour terminer, elle s’agenouilla en face de moi. Toujours en me suçant la queue et en me masturbant, elle me regardait jouir jusqu’à ce que je vienne encore une fois, dans sa bouche. Et tout ça finit par un baiser dégoulinant de ma semence. C’était la première fois que j’ai eu autant d’orgasmes dans une même soirée…

 

– C’était bon le gode dans ton cul ?

– Oui, j’avoue !

– Il faudra que tu essaies une vraie bite, c’est encore meilleur !

– Ça va pas, non ?

– On pourrait faire un de ces jours une petite partie avec Ludo, tu connais Ludo ?

– Le gars des pizzas ?

– Oui, il a une très belle bite et il aime bien enculer des mecs…

– Ecoute, Megan, arrête, il n’en est pas question.

– T’es vraiment spécial, toi tu fais des trucs scatos et quand je te proposes de te faire mettre par une vraie queue, tu fais ta jeune fille.

– Bon, on va au lit ?

 

On a dormi ensemble, au petit matin, je bandais, et quand Megan s’est réveillée, je lui ai demandé :

 

– Pour la petite partie avec Ludo on pourra faire ça quand ?

 

Belle-cour

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