Malicia et Christobal

Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 22:16

L’autobus du sexe ou les délires de la deuxième voiture ou Ligne 69-105 D par Malicia et Christobal

 

bisou1719

 

bus29Comme tous les matins je prends l’autobus pour me rendre au travail. Ce matin l’autobus est en retard, il est du même coup bondé, alors qu’habituellement il n’est plein à moitié. Je monte et dis bonjour à la conductrice qui, visiblement, me reconnaît. Il s’agit d’une très belle femme, une blackette avec un beau visage, des formes intéressantes et des lèvres purpurines. Je n’ai pas le choix et je suis obligé de m’asseoir à côté une autre personne, moi qui, habituellement préfère les banquettes individuelles. Je m’assieds à l’avant près d’une fille d’environ 20 ans, habituée à ce parcours et qui, je l’avais déjà remarqué, semble plutôt attirée par les femmes. Elle est grande et très mince, elle a les cheveux longs et elle est probablement d’origine asiatique. Son allure de garçon manqué dans ces jeans moulants m’excite. Elle ne bouge pas du tout et j’ai peine à m’asseoir confortablement, la nana prenant plus que sa place avec ses jambes écartées et son gros sac de sport.

 

Je m’installe en faisant attention de ne pas la déranger, mais manifestement ma présence à ses côtés à l’air de la contrarier. Discrètement, j’observe entre ses jambes toutes ouvertes vers moi, sa fourche et imagine cette vue si elle était nue… Du coup, une légère érection s’installe. J’observe également son visage sérieux et ses petits seins qui doivent être bien durs sous son tee-shirt moulant. Que j’aimerais la voir baiser avec une autre femme !

 

Arrivé à l’arrêt suivant une femme monte dans l’autobus et reste debout tout près de nous. La fille à mes côtés (on va l’appeler Corinne) regarde avec envie le corps de la femme d’environ 40 ans qui bouge constamment au rythme des secousses de l’autobus. Cette femme est très sexy, le sait et le montre. Elle a une jupe courte qui permet de contempler ses longues jambes et d’énormes seins qui semblent plutôt fermes pour son âge. Elle se penche pour déposer son sac et on voit très bien ses gros nénés dans leur soutien-gorge. À ce moment, Corinne prend son sac par terre, le dépose sur ses genoux et garde une main sur ses cuisses. Je suis trop près pour regarder directement mais je vois sa main frotter sa chatte à travers son jeans. Elle fantasme sûrement sur l’autre femme.

 

L’autobus se vide de plus en plus en se rapprochant du terminus. Je suis extrêmement excité et ma voisine voit très probablement mon érection à travers mon pantalon. Corinne prend alors doucement ma main et l’emmène vers sa fermeture éclair déjà ouverte qui est protégée des regards par son sac et mon blouson. Aussitôt fait, j’insère mon majeur dans sa chatte toute mouillée et entreprends de la masturber. Elle se laisse faire en fermant les yeux et en déposant ses deux mains sur son sac. Son clitoris est gonflé à bloc. La femme devant nous descend à l’avant dernier arrêt mais je continue de donner du plaisir à ma voisine.

 

Tout à coup, l’autobus change de direction. Ma voisine semble surprise également et referme sa fermeture éclair en s’asseyant de façon plus conventionnelle. Je constate que nous ne sommes plus que tous les deux l’autobus ! Je me lève pour demander à la conductrice la raison de ce changement d’itinéraire. Elle me répond d’un ton sec :

 

– Va t’asseoir et continue ce que tu as commencé !

 

Tout étonné, je m’assois sur la première banquette pour constater que j’avais été repéré. Ma voisine semble désespérée et ne dit pas un mot. Elle se tourne vers moi avec un regard apeuré. La conductrice aurait-elle l’intention de nous livrer chez les flics pour outrage aux bonnes mœurs ? L’autobus s’immobilise dans le fond d’un grand parking où il y a déjà plusieurs autobus vides.

 

La conductrice se lève :

 

– Je vous ai dis de continuer, vous n’avez rien à craindre, au fait je m’appelle Pamela

 

Corinne semble terriblement excitée par les ordres de la conductrice et détache son jeans pour l’enlever complètement. Je suis vraiment très surpris et heureux de voir la tournure des événements, je décide donc de passer à l’action. Je m’approche doucement de ma voisine qui vient tout juste d’enlever son slip et lui embrasse lentement les cuisses en me dirigeant vers sa vulve offerte. Je soulève son tee-shirt qui lui descend sur les cuisses pour tâter de ma langue cette merveilleuse petite chatte fraîchement rasée et toute douce. Je lèche avec de plus en plus de vigueur ses lèvres et son clitoris dans le but de l’entendre gémir ou jouir un peu. Je ne semble lui faire que peu d’effet, tout à coup, elle se déhanche un peu et émet un gémissement des plus voluptueux.

 

Je relève ma tête pour constater qu’elle se caresse les seins à travers son petit soutien-gorge et quelle est ma surprise de voir son regard fixé sur la conductrice qui est maintenant complètement nue et qui se masturbe debout près de nous. Ma partenaire est visiblement troublée par le corps de Paméla. Celle-ci a la peau très noire, elle est très peu métissée, ses seins sont très gros avec des mamelons d’un brun très foncé, sa chatte est recouverte d’une épaisse touffe de poils frisottante parfaitement triangulaire. Dans l’ensemble, bien que son corps ait de l’expérience, les petites rondeurs sont très excitantes. Elle est debout, les jambes un peu écartées avec une main dans son sexe qui effectue un va-et-vient très vigoureux, l’autre main se trouve sur sa poitrine et malaxe fermement ses gros seins. De temps à autres elle change de main pour humecter sa poitrine de son jus abondant. De plus, elle commence à gémir très fort et encourage ainsi Corinne à faire de même.

 

Je n’en peux plus, je me lève, baisse mon pantalon et sort ma queue qui ne peut plus attendre pour trouver un refuge. Lorsque Paméla voit mon pénis, elle s’agenouille devant moi et se met à me sucer avec vigueur. Pendant ce temps, Corinne se masturbe très rapidement pour se rendre à l’orgasme. Je ne peux résister à ce spectacle ainsi qu’à la bouche expérimentée de la conductrice, je suis sur le point d’exploser. Paméla me voit venir et dirige, tout en continuant de le masturber, mon pénis vers Corinne. J’éjacule au moment où submergée par le plaisir mon ex-voisine atteint son orgasme en criant d’une façon folle, mon sperme gicle sur son tee-shirt, son visage et ses cheveux.

 

Corinne se lève brusquement et m’éloigne de la conductrice, elle enlève son tee-shirt et son soutien-gorge et me les lance en pleine figure. Elle enlace Paméla et dégringole avec elle sur le sol, la conductrice est sur le dos et Corinne s’assied sur son visage et se penche pour entamer un 69 endiablé. C’était très excitant de voir ces deux corps si différents se joindre et se tortiller de cette façon. Les seins de la conductrice apparaissent de chaque côté du petit corps de Corinne, je m’en approche et embrasse un des seins en me dirigeant vers son visage et en traversant les jambes et le petit cul ouvert de la lesbienne eurasienne…

 

Pendant que la conductrice fait travailler sa langue dans la chatte de Corinne, elle me fait un signe que je comprends rapidement. Je m’accroupis derrière ma voisine et lui enfonce mon pénis bien dur, je me penche sur elle et pince ses petits tétons de mes doigts, ce qui lui arrache de petits cris de jouissance. Paméla a un orgasme incroyable qui la fait hurler de plaisir, je sens à ce moment le vagin de Corinne se resserrer sur mon pénis et son dos se cambrer de jouissance, sans retenu j’augmente le rythme de mes coups de bassin pour la bourrer copieusement et finir en apothéose.

 

J’ai soudain une envie d’uriner qui devient véritablement pressante. Je l’indique à Corinne, qui à ma grande surprise me susurre que je peux me soulager sur elle, car elle est aussi friande de ce genre de choses. Je ne me le fais pas dire deux fois, et tandis que Paméla est allé faire quelque chose sur son tableau de bord. J’asperge copieusement ma partenaire de mon jet doré. Je dirige mon pénis pour l’arroser un peu partout, les cuisses, les seins, le ventre et même le visage parce qu’elle n’hésite pas à se lécher les babines de ce curieux nectar. Elle me fait ensuite part de son désir d’inverser les rôles. Je m’allonge alors dans le couloir du bus déjà passablement mouillé de ma propre urine. Et Corinne se concentre un petit moment avant de lâcher son pipi juste sur mon pénis. Voilà qui est nouveau pour moi et qui me met en érection. Je commence à y prendre un goût certain quand soudain Paméla déboule furieuse !

 

– Mais qu’est ce que vous fabriquez, bandes de porc ! Pisser dans mon bus ! Non mais ça ne va pas la tête ?

 

Elle retourne vers le tableau de bord et sort d’une sorte de soute, une espèce de cravache !

 

– Allez donnez-moi votre cul ! Je vais vous punir pour les saletés que vous avez faites !

 

On implore sa pitié, mais elle ne veut rien savoir, le premier coup tombe sur les fesses de Corinne, cela n’a pas l’air de lui déplaire, d’autres coups tombent, elle a présent les fesses toutes rouges, elle gémit sans que je puisse savoir si c’est de douleur ou de plaisir, les deux peut-être ?.

 

– A toi, maintenant ! Dit Paméla !

 

Je reçois le premier coup sur les fesses !

 

– Aïe !

– Vous vous êtes fait mal ? me demande ma voisine de banquette

– Non ça va ?

 

Une contraction musculaire probablement ! Je me réveille, le bus est plein à craquer, quel étrange rêve ! Mais pourquoi ma braguette est-elle toute humide ?

 

Nous avons reçu ce texte signé par un énigmatique  » 2ème voiture  » ! C’est d’ailleurs la signature avec laquelle une version assez différente a été publiée sur le site de revebebe ! Nous avons de bonnes raisons de penser qu’il s’agit en fait de l’un de ces textes aux variables infinies qui se baladent soit de façon anonyme soit avec des signatures fantaisistes depuis un certain temps. Et si nous le publions, ce n’est certes pas pour ses qualités littéraires, mais parce qu’il nous a amusé ! Cela dit, si le véritable auteur désire se manifester, nous nous ferons un plaisir de faire valoir ses droits !

 

PS : Malicia et Christobal ayant ensuite revendiqué la paternité de ce texte, nous rendons à César…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Malicia et Christobal
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:56

Lynn a la joie par Malicia et Christobal

 

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Je me prénomme Lynn, j’ai 23 ans, je suis eurasienne, étudiante et on me dit jolie brune.

 

Cette soirée d’anniversaire chez Thibault de Charaniac, je n’avais pas spécialement envie d’y aller, mais je me devais d’y être pour des raisons que je ne développerais pas ici : elle s’annonçait chiante, les invités n’étant pas de ceux qui m’intéressaient. Je pensais adopter la méthode assez classique consistant à me montrer à un maximum de gens puis à disparaître discrètement. Les circonstances on fait que je n’ai pas vraiment pu faire ça, alors pour tromper mon ennui, je me suis mise à boire, mais modérément, je sais aussi me contrôler…

 

Ne pouvant partir pour le moment, je me suis amusée à chauffer quelques garçons et j’ai commencé à les aborder les uns après les autres, ce que je ne devais pas faire avec une très grande efficacité ce soir-là, car je n’obtenais pas de réaction particulière. Pire un type plutôt mignon m’envoya carrément dans mes cordes :

 

– Le jour où j’aurais besoin d’une fille comme vous, je vous ferais signe, mais ce soir c’est inutile !

 

Le mufle, le salaud, le sale con ! Résister à l’envie de lui en retourner une, résister à l’envie de foutre le camp, résister à l’envie de chialer de honte, de rage et de dépit…

 

Alors je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis dirigée vers le garçon que je trouvais le plus saoul, ce qui n’était pas peu dire, il était proprement torché, et j’ai commencé à entamer une discussion des plus laborieuses avec ce déchet.

 

Qu’importe, ce qui comptait, c’était d’arriver peut-être à tirer quelque chose d’un peu amusant de cette loque, et dans mon état, je devenais prête à tout pour y arriver.

 

Au bout d’un moment, perdant patience, je me suis levée, et le traînant avec moi, je l’ai emmené dans les toilettes. Là, l’adossant contre un mur, je tentais de lui faire comprendre mes intentions en lui roulant une pelle, mais dans l’état où il se trouvait, je crois qu’il ne comprit pas trop ce qui lui arrivait. Je décidais donc d’en profiter. Pendant qu’il comatait tout seul contre son mur, je me suis baissée, ai fait sauter le bouton de son pantalon, ai extrait son sexe de son caleçon. Là j’ai vérifié l’état de la chose, je n’ai rien contre les bites qui sentent un peu fort, mais il y a des limites quand même. ! Mais ça allait, et ce joli gland violacé me convenait parfaitement, je l’ai donc engouffré dans ma bouche, elle sentait un peu le pipi, juste ce qu’il faut… J’avais besoin d’être excitée, j’avais envie de le sentir éjaculer sur moi. Dans cette attente je relevais mon tee-shirt et fit sortir mes seins des bonnets du soutien-gorge. Je commençais à être très troublée, au fur et à mesure que sa queue se durcissait sur ma langue.

 

C’est alors que la porte s’est ouverte ! Complètement perturbée, sous l’emprise de l’excitation, je n’avais bien évidemment pas pris la précaution de fermer le loquet. Un garçon brun, avec lequel j’avais discuté un peu avant pendant la soirée avant de me rendre compte que c’était un abruti fini, a fait son apparition. Ses yeux se sont agrandis quand il nous a découverts, mais ne se décontenançant pas, il demanda :

 

– Heu, si ça ne vous dérange pas, je voudrais bien faire pipi, je ne peux plus me retenir

 

L’autre loque n’étant plus en état de répondre, je lui fais rapidement oui de la tête, avant de reprendre ma besogne.

 

– Heu, mais vous aller rester là ?

– Tu crois pas que je vais arrêter ce que je fais pour te faire plaisir, pisse, ne fais pas attention à nous !

 

Le mec hésite, incapable de savoir ce qu’il faut qu’il fasse.

 

– Heu, il faudrait peut-être vous pousser un petit peu ! Finit-il par dire

 

Je décidais alors de le provoquer, et abandonnant un instant la bite de mon épave, je me tournais légèrement vers l’importun, en me caressant vicieusement les mains sur ma poitrine.

 

– T’as qu’à me pisser dessus, j’adore ça !

– Mais vous êtes folle ! C’est dégoûtant !

 

La tête qu’il faisait, le mec était en pleine confusion mentale.

 

– Ecoute, si c’est dégoûtant, tu te casses de ces chiottes, tu sors dans la rue et tu t’arranges pour pisser contre un arbre…

– C’est vrai, vous aimez ça ?

– Allez dépêche-toi !

– Mais je vais en mettre partout !

– C’est pas grave, je finis ce que j’ai commencé et après je me sauve d’ici !

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Et puis, c’est parti tout d’un coup, voilà que je reçois son jet tout tiède sur les seins ! Hummm J’adore ça ! Je me les caresse en même temps, je me baisse un peu pour faire profiter mon visage de cette douche dorée, mais le mec ne comprend rien et baisse son jet, je suis donc obligée de lui dire que j’en veux aussi dans la bouche ! Il réalise enfin et j’avale un peu de son urine, je ne vous dis pas comme je suis excitée.

 

– Bon t’as fini ? Tu peux disposer !

 

Mais l’autre bien qu’il ait terminé son pipi ne partait pas, j’avais repris ma pipe mais je sentais ses yeux fixés sur moi, et sans doute sur ma bouche, qui allait et venait toujours sur la queue de ma brave loque. Je lui ai fait comprendre par un signe de la main que ce n’était pas pour lui, et qu’il devait partir maintenant, mais il m’a répondu  » non  » et a continué à regarder, comme çà, et çà l’excitait comme un petit fou, et alors qu’il aurait dû ranger sa pine depuis un moment, voilà qu’il se l’astiquait…. La situation commençait à m’énerver ! J’ai horreur de perdre le contrôle d’une situation. Et puis l’idée me vint comme ça, tout d’un coup :

 

– Bon tu te casses ou tu payes !

– T’es une pute ? lâcha-t-il

– Là, tout de suite, en ce moment, oui ! Alors ou tu payes et tu auras ta part de pipe ou sinon je laisse tout tomber et il n’y aura plus rien à voir !

 

Le mec fouille dans ses poches et sort un billet de 20 roros

 

– C’est tout ? J’en veux deux comme ça !

 

Il m’en file un autre ! Je ne vais quand même pas me gêner avec un mec qui est probablement plein de fric ? Alors je lui ai fait signe de s’approcher, j’ai lâché la verge de l’autre pour mieux pouvoir sortir celle de l’abruti brun. C’était la première fois que je me retrouvais avec deux garçons dans une telle situation, et avec deux queues à ma disposition ! Au départ, j’avoue que je n’ai pas trop su comment m’y prendre, mais bientôt, j’ai trouvé la méthode : je masturbais les deux avec chaque main, et j’allais et venais de l’un à l’autre avec ma bouche, afin de donner aux deux une égale quantité de fellation. Très excitée par cette situation que je vivais pour la première fois, j’ai donné tout ce que je pouvais, je les ai sucés à fond, le plus profondément possible. Ne pouvant vérifier l’effet de ma fellation sur la loque à gauche, j’observais mon abruti brun gémir, les yeux dans le vague.

 

Finissant par s’apercevoir que je le regardais, il s’est enhardi et a voulu reprendre l’initiative : comme il commençait à me malaxer les seins du mieux qu’il pouvait, je l’ai vite interrompu, repoussant sa main et lui faisant comprendre qu’il ne m’intéressait pas.

 

– J’ai payé, non ?

– C’est vrai, mais alors caresse gentiment, c’est des seins, c’est pas de la pâte à modeler…

 

C’est la loque qui a lâché le premier, j’étais en train de sucer l’autre quand j’ai senti l’orgasme arriver dans ma main gauche. Rapidement je me suis mise face à lui, et j’ai reçu quelques giclées de son sperme sur mon visage et sur ma poitrine. Là, il s’est effondré.

 

Je suis revenue sur l’autre, et ai pu me consacrer entièrement à lui faire une fellation du mieux que j’ai pu jusqu’à ce que je sente son orgasme monter. Là, j’ai conservé son sexe dans ma bouche et je me suis contentée de frotter très vite avec ma langue le dos de son gland du côté de son frein. Il a commencé à râler, et j’ai senti son sperme me gicler dans la bouche. Complètement partie, je l’ai avalé, et puis, je trouve que, même si ce n’est pas génial, le sperme n’a pas si mauvais goût que çà, alors j’ai fait l’effort de lui faire ce plaisir. Après s’être rhabillé, le mec m’a sorti :

 

– Si je te donne un peu plus, on pourrait peut-être aller plus loin ? Tu es bonne (çà, ça m’a fait plaisir.) et j’avais bien envie de toi (çà, ça ne m’a rien fait.).

– Oui, ben non ! Maintenant tu me laisses j’ai quelque chose à faire…

 

Il est parti, déçu… Mais tant pis, et puis je lui ai fabriqué un souvenir, ce truc là il s’en rappellera toute sa vie… En fait j’avais deux choses à faire, la première pisser à mon tour. La loque s’était carrément endormie sur le côté de la cuvette. Je lui pissais dessus n’épargnant pas son visage, mais cela ne fit même pas cesser ses ronflements. Je ne m’essuyais pas, puis je m’installais le plus confortablement possible sur la cuvette, les cuisses bien écartées, et commençais à me frotter la chatte avec mes doigts tout humide d’urine, l’autre main tordait fortement mon téton, l’excitation ne tarda pas à monter, ma main se concentra alors sur mon clito bien dur et tout sensible. J’essayais autant que possible d’étouffer le cri de jouissance qui montait dans ma gorge, et failli m’affaler à côté du poivrot. Je pris sur moi pour me lever, je réajustais plus ou moins mes fringues, mais les taches d’urine étaient partout… je sortis, me dirigeais vers l’endroit où j’avais laissé mon manteau et mon sac et disparut dans la froideur de la nuit…

 

Finalement cette soirée m’aura amusé et excitée au-delà de toute espérance ! Je dois être un peu spéciale quand même !

 

Malicia (et Christobal)

 

Une première version est parue en 1999 sous la signature de Lynn et sous le titre « Une soirée… » chez Sophiexxx, une seconde a été publié avec le même titre qu’ici en septembre 2000 sous la signature de Fabienne et jean sur le site de Revebebe puis archivée .C’est donc la version 3 que nous vous présentons ici.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Malicia et Christobal
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Dimanche 1 décembre 2002 7 01 /12 /Déc /2002 11:34

A travers les thuyas ! par Malicia et Christobal

 

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Themes abordés : humour, feuille de rose, lesbos, masturbation, uro, voyeurisme

Ce siècle était le vingt et unième, il avait deux ans. Ce millénaire était le troisième, il avait aussi deux ans

Prenez maintenant la carte du globe terrestre telle qu’elle se présentait à cette époque avant la grande catastrophe écologique !

On distingue deux grands blocs de continents, c’est dans le plus important qu’il faut se situer, dans la région nord, et à l’extrême ouest ! Cette zone administrative s’appelait la France et était divisée en quatre-vingt-quinze départements différents. C’est dans le soixante-dix septièmes de ces départements qu’a été retrouvé ce manuscrit

Nous le livrons aux survivants de l’humanité comme l’un des rares témoignages d’une époque révolue

Brie Conte Robert, le 4 Septembre 2002
Extrait du journal intime de Joséphine Declerc

Décidément j’ai du mal à tenir ce journal à jour, trois jours à rattraper !

Avant hier
– Lundi 2 septembre 2002

Trois événements ont marqué cette journée : Premier événement : J’ai eu 25 ans, mon époux s’est fendu d’un bijou qui a dû lui coûter une fortune, il n’est pas beau son bijou, j’aurais été bien plus contente avec un bouquet de violettes, mais ce con ne m’a jamais offert des fleurs ! Peu importe ! J’ai depuis plusieurs mois la conviction que nous ne vieillirons pas ensemble ! Je le trompe, il me trompe, nous nous trompons ! Tromp ! Tromp ! Tromp ! Cette situation produit sa propre dynamique, le d.i.v.o.r.c.e. !!!

Alors son bijou de chez le bijoutier, je le garde, je le revendrais, ça me fera des sous-sous !!!

Deuxième évènement : La machine à laver recommence à déconner, il faudra que j’appelle le réparateur

Troisième évènement : Il n’y a plus de cornichons dans le placard, faudra que j’en achète demain à Carrefour.

Hier
– Mardi 3 septembre 2002

Mon mari devait rentrer tard, comme assez souvent, ben oui, on ne peut pas tromper sa femme et rentrer à l’heure à la maison ! Il faisait très beau et je me détendais tranquillement au bord de ma piscine. J’étais donc étendue sur une chaise longue, afin de profiter de ce qui restait des rayons du soleil, légèrement vêtue d’un maillot deux pièces rose bonbon, fin prête à évacuer le stress de la journée par une bonne petite sieste. Ça devait bien faire une demi-heure que j’étais là, enfin, je m’étais probablement assoupie… un bruit plutôt familier avait dû me tirer des bras de Morphée. Intriguée par cet étrange râlement, je décidai de me rendre tout près de la haie de thuyas qui entourait notre piscine, afin de voir ce qui se passait de l’autre côté, de comprendre ce qu’était ce bruit…

Eh ben ! Si je m’attendais à ça ! C’était Sophia, la voisine. Une femme assez grande, brune, la peau hâlée, joli visage, un peu forte et ayant dépassé la cinquantaine, le genre vieille salope qui s’entretien

Elle aussi s’était confortablement installée sur une serviette de bain, tout près de son patio et était en train de se masturber avec un doigt. Elle avait vraiment l’air de mouiller la petite cochonne, puisque la culotte de son maillot de bain laissait voir un rond humide en position stratégique.  » Putain ! Comme ça doit être bon!  » Me dis-je alors. Elle n’en était visiblement pas à sa première expérience en plein air. Elle se caressait le clitoris sans relâche, râlait et m’excitait comme c’est pas permis. Elle me faisait craquer. Étant mouillée comme je ne l’avais probablement jamais été auparavant, une petite masturbation s’imposait alors pour moi aussi. Ahhh ! comme j’avais envie de jouir…

Je quittais donc les buissons et plongeais dans la piscine, ayant bien entendu préalablement pris soin d’enlever mon maillot de bain. N’y a-t-il rien de meilleur que de se faire jouir avec le jet du retour d’eau d’une piscine ? C’est long, excitant et les voisins risquaient fort bien de me voir, ou de m’entendre… peut-être eurent-ils eux aussi à se soulager rapidement après pareille scène ?

Le jet venait donc tranquillement sur mes grandes lèvres… je mouillais ! Je décidai de retirer le bas de mon maillot de bain. (J’adore me masturber en dehors de mon lit… c’est une expérience vraiment différente!) Hummm ! C’est si bon de prendre soin de son clitoris lorsqu’il est enflé par l’excitation… Je m’approchai donc encore un peu plus près du jet, je ne pouvais plus attendre : J’avais désespérément envie de jouirrrrrrrrrr ! Ahhh ! Mon dieu… j’ai dû me serrer les dents et les lèvres afin de ne pas crier, tellement l’orgasme que me procura le jet était monstrueux.

Un peu plus tard : Coup de fil de mon mari !  » chérie, je suis embêté, je ne rentrerai pas dîner, on est en train de signer un truc important avec les japonais, ils veulent absolument nous inviter à bouffer, ça me prend la tête, mais je ne peux pas faire autrement, et badidi et badadoigt, la meilleure eau c’est la badoigt…

Tant mieux, je n’aurais pas besoin de me creuser pour préparer la bouffe ! Une tranche de jambon, des tomates, et un yaourt à la banane (pourquoi j’ai écrit « à la banane », moi ?) suffirons à mon bonheur et à ma ligne !

Dans la soirée, je ne pus résister à la tentation de me passer un doigt au moins trois autres fois, tellement l’expérience vécue un peu plus tôt me faisait mouiller ma culotte.

Dans la nuit, je l’ai entendu rentrer, j’ai fait semblant de dormir !

Aujourd’hui
– Mercredi 4 septembre 2002 Ma décision est prise, à présent, je vais me barrer, reste à savoir quand ! Et en attendant j’ai décidé de faire ce dont j’ai envie ! Un petit plan germe dans ma tête, mais je verrai ça cet après-midi, il faut quand même que je fasse le ménage, et il faut aussi que je passe à Carrefour pour les cornichons ! 14 heures : Je prends une douche, je m’habille d’une petite robe noire assez courte et plutôt bien décolletée, et je décide de ne pas mettre de culotte. Je sors de la baraque et je sonne chez Sophia !

– Bonjour, Sophia, vous êtes seule ?
– Oui, pourquoi !
– Vous devriez être plus discrète ! Savez-vous ? Lui dis-je avec un sourire coquin

Sophia rougit, elle ne sait que penser !

– Pardon ! dit-elle
– Je vous ai vu vous amuser toute seule à travers les thuyas…
– Non, mais ! Qu’est-ce que vous me racontez ? Vous n’avez rien d’autre à foutre qu’à jouer les voyeuses !
– Mais ne vous fâchez pas, j’ai trouvé ce spectacle charmant et très excitant !
– Et bien alors de quoi vous plaignez-vous ?
– Je ne me plains pas !
– Alors, il est où le problème ?
– Il n’y a pas de problème, vous vous êtes masturbée, je me suis masturbée, on s’est masturbé, ça aurait été plus marrant de le faire ensemble, non ?
– Mais vous êtes complètement folle, vous me prenez pour qui ?
– Pour une femme qui aime les plaisirs !
– Vous êtes gonflée, vous !
– Je sais !
– Bon ! On va peut-être en rester là ! Reprend Sophia !
– D’accord, si ça vous tente, appelez-moi !
– C’est ça ! Allez salut…
– Oh ! Juste une dernière chose !

Grand soupir de désolation de la voisine !

– Vous le trouvez comment mon petit décolleté, j’ai besoin d’un avis féminin !
– Ecoutez, je n’ai aucune opinion sur votre décolleté !
– C’est trop décolleté ou pas ?
– …
– Bon, je vais vous demander de bien vouloir me laisser tranquille, j’ai du travail !

J’ai dû mal m’y prendre, ça m’apprendra à m’improviser ! Je tente encore une réplique

– Vous devez me prendre pour une folle !
– Je ne suis pas docteur !
– Ah ? Vous faites quoi alors ?
– Rien, j’me branle ! D’ailleurs vous l’avez constaté vous-même !

Elle est excédée !

– Et qu’est-ce que vous le faites bien !
– Bon..
– Ce que j’aurais aimé être encore plus près…
– Vous allez me foutre le camp, oui ou merde ?
– Hummm votre culotte toute mouillée, comme j’aurais aimé la sentir !
– J’ignorais que vous étiez gouine !
– Je ne suis pas gouine, j’aime les belles choses !
– Ecoutez, je ne sais pas ce qui vous arrive, mais vous devez avoir un problème, vous pétez les plombs !
– Si ça se trouve, vous le saviez que j’étais derrière la haie ! Continuais-je sans me démonter.
– Allez vous reposer, Joséphine !
– Mais si je suis dans un drôle d’état c’est de votre faute !
– Si vous vous barrez pas immédiatement, je vous vire par la peau du cul !

Mais qu’elle le fasse, bordel, qu’elle le fasse !

– Même pas cap !

Sophia sort de ses gonds, elle m’agrippe le bras, me fait virevolter, je fais semblant de me laisser faire, puis d’un coup je pile

– Allez ouste !

Elle me tient toujours le bras et me pousse vers la sortie, c’est le moment ! Je me laisse tomber sur les genoux en plein dans le gravier, merde, c’est que ça fait mal pour de vrai, alors je m’écroule par terre et j’exagère ma douleur !

– C’est pas vrai ! Qu’est-ce qui vous arrive encore ?
– Mes genoux !
– Faites voir !

Elle me regarde les genoux !

– Je crois qu’il est cassé ! lui dis-je
– Cassé, c’est juste des égratignures !
– Ça me fait mal !
– Z’étes bien douillette, je trouve !

Je fais le geste de me relever, et je continue ma comédie !

– Aie, aie !
– Bon, vous pouvez marcher ou pas ?
– Ché pas trop !
– Bon appuyez-vous sur moi, je vais vous mettre un truc sur les genoux, mais après je vous vire !
– Pas de problème ! Je suis désolée d’avoir été si collante…

Sophia me conduit jusque dans son salon, me fait asseoir sur le canapé et s’en va fureter dans son armoire à pharmacie. Du coup je m’étends sur le canapé !

– Restez assise, vous serez aussi bien !
– C’est que j’ai la tête qui tourne !
– On ne va quand même pas appeler les pompiers ! Bon je n’ai que du mercurochrome, vous allez avoir les genoux tous rouges ! Je fais quoi, je vous en mets quand même ?
– Ben oui ! Aie, ça pique !
– Comme douillette, vous n’êtes pas mal !
– Sophia, j’ai un gros problème !
– Si vous n’en aviez qu’un…
– Je crois que j’ai une grosse envie. Je ne voudrais pas mouiller votre canapé, si vous pouviez m’accompagner aux toilettes !

Ça passe ou ça casse ! Je suis partie d’un principe simple, une nana qui se masturbe dehors près de son patio, est forcément quelqu’un de libéré. Donc accepter une masturbation l’une à côté de l’autre. Elle n’a même pas besoin d’être mutuelle et ça ne devrait pas lui poser de problème ! Il suffit de trouver le petit truc qui finira par lui faire accepter ! Et là, j’ai été ambiguë exprès, elle se figure que j’ai envie de pipi, une fois dans les lieux, je vais lui dire que c’est une envie de me toucher que j’aie ! Elle ne va quand même pas me foutre à la porte alors qu’elle se figure que je suis blessée ! Ça va tout le monde suit ?

C’est plutôt bon signe, c’est sans rechigner, et même avec un curieux sourire en coin qu’elle m’aide à aller jusqu’aux toilettes ! Je soulève ma jupe ! Je m’assois ! Attention…

– Tu ne mets pas de culotte ? M’apostrophe-t-elle !

Ce n’est pas la réflexion qui me surprend mais le fait qu’elle se mette soudain à me tutoyer ! Quelque chose m’échappe, ou alors la partie serait-elle enfin gagnée !

– Ben, non, je me suis dit que…
– Alors tu pisses ou tu pisse pas ?
– Mais qui t’as parlé

– Tais-toi et pisse !
– Mais !
– Alors, elle est où ta grosse envie ?
– Mais…
Agneta Helle003– Allez pisse, et tu vois, je te regarde, je vais te regarder pisser !

Mon dieu ! Je jouais les folles, mais c’est elle qui est folle ! Voilà qu’elle veut me regarder pisser, à présent ! Mais c’est une vraie cochonne !

– Tu viens de dire que tu veux me regarder pisser ?
– Ben oui, et tu vas pas me dire que ça te gêne après tout ce que tu viens de me dire !
– Ben…
– Ben quoi !
– C’est que je n’ai jamais pissé devant quelqu’un !
– Il y a un début à tout !
– Ecoute… je vais t’expliquer, quand je parlais de grosse envie..
– Arrête de parler et pisse !
– J’ai un blocage !
– Je vais faire deux choses pour te débloquer, d’abord je vais faire couler l’eau du robinet, il paraît que ça aide, et ensuite je vais te dire une chose, si tu pisses devant moi, je vais peut-être accepter de faire ce que tu me proposais !

Oups ! Alors là je suis sur le cul ! Je ferme les yeux, je me concentre, je suis toute seule dans la nature, j’entends les petits oiseaux, je suis toute seule, je suis toute seule, je suis près d’une rivière, j’entends l’eau qui coule, personne ne me regarde, personne. Que c’est beau la nature ! Ça y est je pisse !

– Installe-toi mieux, je n’ai pas l’occasion de regarder ça tous les jours !

Je fais mon maximum, j’éloigne mes jambes, j’écarte ma chatte, je mets mon torse en arrière !

– Qu’est-ce que c’est beau ! Dit-elle

Ouais, chacun son truc ! Elle passe sa main sur son entrejambe ! C’est gagné !

– Détends-toi ! Caresse-toi lui dis-je

Mais apparemment elle n’a pas besoin de mes ordres, elle dégrafe son jean qui tombe sur ses chevilles, bientôt rejoint par la culotte et Sophia se masturbe à présent debout, devant moi !

– Pisse encore !
– J’ai fini !
– Force-toi ! La prochaine fois tu me pisseras dessus !

Elle est folle ! Je vais pour prendre du papier pour m’essuyer la foufoune !

– Ne t’essuie pas !
– Ben si !
– Non, relève-toi ! Ah oui c’est vrai, tu as toujours mal ?
– Non ça a l’air d’aller mieux !
– Bon relève-toi, mais retiens ta robe, ou enlève-la carrément !

Je fais comme elle dit, et la voilà à mes genoux ! Et sans que j’aie eu le temps de dire ouf, elle pose sa bouche sur mon sexe et se met à me le lécher ! Mon sexe non rincé, non séché de mon petit pipi. Tu parles d’une vicieuse ! Mais je n’étais pas venue pour ça, moi, j’étais juste venue pour qu’on se masturbe l’une à côté de l’autre !

Je suis comme dans un rêve, ses mains m’ont agrippé les fesses et les caressent tandis que sa langue agile après s’être abreuvée de mon champagne, a dégotté le petit capuchon de mon clito et le titille frénétiquement. Je commence à avoir la chair de poule ! C’est la première fois qu’une femme me fait un truc pareil ! Je sens le plaisir qui monte, je m’accroche un moment aux murs et puis par je ne sais quel réflexe, me voici entrain de caresser la chevelure de ma voisine, mes cuisses sont toutes poisseuses, de l’urine, de la mouille et la salive de Sophia ! Dans quel état je suis ! La langue frétille de plus en plus, cette fois ça y est ! Je H.U.R.L.E. ! Du coup je me rassois sur le siège des chiottes !

– Oh là là, ben dis donc !

Sophia s’est relevée !

– T’as bien fait de t’asseoir ! A toi de jouer !
– A moi quoi ?
– Lèche-moi !
– Mais attends…
– Mais dis donc ma belle, t’étais venue pour quoi au juste ! Pour un plan sexe, ben t’es en plein dedans alors maintenant tu assumes !

Bon, bon on va assumer ! Je lui ai donc donné du plaisir à mon tour. Elle m’a demandé de lui lécher le trou du cul, je n’aurais jamais cru être capable de faire ça, en plus j’ai bien aimé, il avait comme une odeur de roquefort, j’aime bien le roquefort !

J’ai essayé de répéter sur elle les gestes qu’elle m’avait prodigués et je crois que je ne me suis pas trop mal débrouillée puisque j’ai réussi à la faire jouir. Après nous sommes embrassées, comme deux vieilles complices, puis je suis partie

Je suis soudain moins pressée de quitter la maison

Je n’ai toujours pas acheté les cornichons !

J’espère que mon histoire vous a plu (et peut-être fait mouiller aussi) et si tout comme moi, vous adorez vous masturber plusieurs fois par jour… simplement pour le plaisir de vous voir jouir…

Malicia (et Cristobal)

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Par Malica et Christobal - Publié dans : Malicia et Christobal
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Mardi 3 septembre 2002 2 03 /09 /Sep /2002 11:22

Auto-stop sidéral par Malicia et Christobal

Solo

Thémes abordés : humour, science fiction, spermophilie, uro. 

Toute cette publicité pour ce truc à la con ! Ah ! Bien sûr les effets spéciaux on en a plein la gueule, mais l’histoire est débile, et les acteurs, Anakin est une véritable tête à claques tout droit sorti des montagnes à fric puantes de Bervely Hills. Berck ! Et Padme ! Quelle nunuche, pas possible d’être aussi conne, c’est dommage elle est assez mignonne, mais bon puisqu’elle préfère les bellâtres stupides, je n’ai aucune chance, et de toute façon c’est du cinéma et puis ça commence à m’endormir ce truc ! Je baille, je baille, je ronfle…

Bonjour, je me présente, je me prénomme Anakin et j’habite sur un astéroïde dans une ancienne mine de vassilium assez isolée et je travaille dans une navette spatiale voisine, à environ 300.000 km de chez moi. Ce n’est pas trop loin ! Un soir, en rentrant du travail (dans ma super capsule volante et roulante à injection intergalactique), presque à la sortie de la cosmoville, j’aperçois une auto-stoppeuse sur un micro-astéroïde. D’habitude je ne prends personne en stop, mais l’aspect de la demoiselle, fragile et si seule sur ce patatoïde sordide, m’incite à m’arrêter. Je lui demande où elle va, et comme c’est sur ma route, je l’embarque. Dans la capsule nous échangeons quelques banalités et je suis surpris de sa vivacité d’esprit et d’une certaine maturité. La jeune fille, qui se prénomme Padme doit avoir 18 ans au maximum et je lui fais remarquer les risques qu’elle prend en pratiquant l’auto-stop, comme ça en plein cosmos.

– J’ai l’habitude, me répond-elle . Elle enlève son spatioscaphandre et s’installe. Du coin de l’œil, je la reluque et la trouve bien jolie, bien formée, très femme. En s’asseyant, sa petite jupe est remontée découvrant ses minces cuisses bronzées. Elle est charmante avec sa jeune poitrine qui pointe sous un chemisier blanc et son petit minois rieur. Sortis de la cosmoville, nous avons parcouru environ 3 km lorsque :

– Excusez-moi, pouvez-vous vous arrêter, j’ai un petit besoin, me dit-elle en rigolant. – C’est embêtant, le pissomatic est cassé, il faut que je le répare ! – Vous faites comment-vous ? – Dans une bouteille – Passez-moi la bouteille ! – Elle est pleine, mais bon, on va s’arrêter dès que possible.

Nous sommes déjà en plein vide intersidéral, peu de vaisseaux circulent à cette heure-ci et il est facile de trouver l’endroit propice à ce genre de besoin.

– Ici ! Cet astéroïde semble tranquille, me dit-elle en pointant un caillou spatial en forme de super phallus à couilles.

cosmo peeJe stoppe le véhicule, Padme revêt son casque respiratoire et descend sur le planétoïde puis, se retourne vers moi qui suis resté aux commandes, puis, en souriant se baisse pour faire pipi. Dans un premier mouvement, surpris je tourne la tête mais c’est plus fort que moi, je finis par la regarder faire. Elle a sans aucune pudeur soulevé sa jupe et abaissé sa culotte. Bientôt, devant cette vision une érection incontrôlée fait gonfler mon sexe. Voir cette jeune femme se soulager à quelques mètres à peine de moi est terriblement excitant. Et puis des gouttes de pipi dans un environnement où la gravité est extrêmement faible, c’est fabuleux, ça fait plein de petites bulles, de petites bulles d’or : C’est joli, c’est mignon, c’est trop craquant. D’où je suis, il me semble deviner sa petite fente dans l’ombre entre ses cuisses et un trouble délicieux m’envahit. Elle sourit toujours en me regardant. Une fois terminée, elle rajuste sa culotte puis sa jupe et remonte dans l’engin. Je ne démarre pas tout de suite. Le silence qui suit me semble interminable, puis elle parle.

– Tu n’avais jamais vu une femme faire pipi ainsi ? – Non, pas comme ça, pas avec des bulles et surtout pas de si près, dis-je d’une voix sourde.

Elle a un geste de sa main vers moi et me dit :

– On dirait que ça t’a plu. – Et comment ? – On dirait que ton pantalon est devenu trop étroit pour son contenu, précise-t-elle en pointant son doigt vers ce que j’essaie de cacher depuis un moment.

Je rougis violemment et fais mine de démarrer. Elle s’esclaffe :

– T’affole pas, ça ne me choque pas, bien au contraire, et elle se rapproche de moi.

A cet instant je ne sais plus où j’en suis, j’ai chaud au visage, et soudain, Padme se penche vers moi et pose sa menotte sur ma braguette magnétique.

– Que fais-tu ? Balbutie-je. – T’en fais pas, les vieux cochons ça me connaît, répond-elle, ayant déjà dégrafé quelques magnéto-boutons.

Je voudrais avoir le courage de résister mais son extrême audace qui devrait me retenir est aussi un puissant excitant. Elle dégage ma queue dont le gland gonflé à éclater se tend vers elle. Alors, elle se penche et pose sur lui sa délicieuse petite bouche. Je me suis rejeté en arrière et je savoure la caresse que bientôt la perverse auto-stoppeuse me prodigue. Sa bouche s’est ouverte toute grande pour engloutir ma queue et elle enserre ma tige entre ses lèvres. Je vois sa tête monter et descendre avec un rythme progressif. Je pose ma main dans ses beaux cheveux pour réguler son tempo. Elle me tète longuement avec ardeur et soudain je sens venir ma sève. J’ai un mouvement comme pour l’écarter mais elle s’accroche et avale en totalité les giclées de semence épaisse que je ne peux plus retenir.

Je gémis de bonheur, comblé, ma queue toujours dans sa bouche se rétractant peu à peu. Elle se relève, me sourit et me dit :

– A moi maintenant ! Tu ne vas pas me laisser comme ça, et soulevant ses fesses, elle fait glisser sa petite culotte.

M’attrapant par les cheveux, elle m’attire en riant vers son petit ventre. Sa chatte mignonne, duvetée brille de sa mouille et d’un reste de pipi. Je la prends à pleine bouche et me mets à la brouter. Au bout d’un moment, du bout de ma langue je débusque son petit bouton et je m’y attache, le titillant, le mordillant, le suçotant. Padme s’est renversée sur le siège et entame une mélopée de gémissements et de ronronnements entrecoupés de petits cris qui en disent long sur le plaisir que je lui procure. Enfin, avec un cri plus fort, comme un hululement, elle explose en une série d’orgasmes dont je sens les vagues dans son ventre accompagnés sur ma langue par le miel que sécrète sa chatte.

Tout ceci m’a remis en forme et je bande à nouveau comme un cerf. Je me glisse à genoux entre ses cuisses et je présente mon dard à l’entrée de son petit minou tout humide. Elle me retient une seconde et me souffle :

– Fais attention, mets une capote, avant !

J’en suis estomaqué, bien sûr, où avais-je la tête ? Mais je n’en ai pas ! Mais, elle, elle m’en tend une ! Incroyable ? Je l’enfile, j’ai trop envie maintenant et, poussant ma queue dans sa fente, j’en écarte les lèvres avec le plus de délicatesse que je peux. D’abord facile grâce à sa mouille, la pénétration devient plus ardue, elle est assez étroite, et j’ai peur de lui faire mal. J’observe une pause puis je reprends ma progression écartant peu à peu les chairs tendres et si chaudes. Elle gémit puis a soudain un petit cri lorsque, je suis enfin enfoncé complètement en elle. Elle me sourit avec malice.

– Ça y est vieux cochon, tu l’as eue ta coquine !

Ce langage me rassure et m’excite et je commence à aller et venir dans son ventre qui peu à peu bien que toujours serré s’assouplit et se moule à mon membre. Cette nana est un coup du tonnerre, je suis si bien dans son petit minou si tendre que je ne voudrais plus en sortir et je me retiens, prolongeant l’étreinte imprimant un rythme tour à tour lent et effréné.

Longtemps, je la lime ainsi au point qu’elle a plusieurs orgasmes avant qu’à mon tour, me retirant à temps, j’explose enfin inondant son ventre et ses cuisses d’un sperme épais.

– Eh bien, espèce de salaud, on peut dire que tu m’as fait jouir, me murmure-t-elle à l’oreille après un long moment où nous sommes restés comme sans vie écrasés l’un sur l’autre.

Me soulevant, encore un peu engourdi, je pose mes lèvres sur les siennes et elle répond à mon baiser. Nous restons ainsi enlacés quelques instants puis je me dégage et reprends ma place aux commandes. Nous rajustons nos vêtements et quelques minutes plus tard, je la dépose sur l’astéroïde où elle habite. En me quittant, elle me dit :

– Qu’est-ce que tu fais après dîner ?
– Rien de spécial, pourquoi ?
– Trouve toi ici vers 21 h, nous aurons trois heures devant nous, ce sera suffisant je pense pour reprendre notre conversation de tout à l’heure.

En me disant cela, elle a un air si coquin que ma queue frémit à nouveau dans mon pantalon.

– Cristo ! Non seulement tu roupilles pendant le film, mais en plus tu ronfles et en plus tu bandes, me dit Malicia.
– C’est pas grave, l’important c’est que je t’aime, Padme, lui répondis-je, lui provoquant un mouvement de roulement des yeux qui me fit rire aux éclats.

© 2002 Malicia et Cristobal.

Par Malicia et Christobal - Publié dans : Malicia et Christobal
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