Pr Martinov

Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:55

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 11- Madame la baronne reçoit
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– Bon les enfants, ce fut une excellente soirée et vous avez le droit de féliciter notre soumise de la semaine. Proclame la Baronne
– Clap, clap, clap
– Je vous souhaite une bonne fin de nuit, je vais rester un moment avec Sara et Erika. Soyez discret en sortant.

Tout le monde se congratule. La baronne referme la porte après le départ de tout ce petit monde.

– Alors ma salope, ça t’a plus !
– C’était une expérience, j’avais quelques fantasmes comme ça, mais je ne pensais pas les concrétiser ce soir ! Répond Erika
– Très bien ! Et maintenant on va jouer cartes sur table. Je ne sais pas comment tu t’appelles pour de vrai mais ce n’est surement pas Erika ! Erika n’existe pas ! En fait tu es une copine de cette Jodie Machin-truc qui vient de Paris pour nous emmerder. J’ai bon ?
– Ben…
– Ben quoi ?
– Ben oui !
– Et tu cherches quoi ?
– En fait je suis historienne, j’aime bien faire des reportages sur les petits mystères autour des monuments historiques, des églises…
– Mais encore ?
– Je me suis laisser dire qu’il y aurait une pièce secrète entre ce local et le sous-sol de l’église…
– Encore cette fable ! Ecoute ma grande, j’en ai marre qu’on vienne fouiner dans mes affaires, alors on va faire simple. Tu vas aller faire dodo, demain je te veux ici avec la mère Jodie à 15 heures. Apporte des outils, je veux que vous repartiez avec un résultat.

Samedi 26 avril

Valentine (alias Erika) a très mal dormi, revivant en boucle les évènements de la nuit. Mais elle a mis le réveil de son téléphone à sonner à 8 heures ne voulant pour rien au monde rater l’occasion d’annoncer ce retournement de situation à Jodie et à Béatrice

– Ben dis-donc, poches sous les yeux, yeux cernés… tu as eu une nuit agitée ? Se gausse Jodie.
– Si vous saviez ?
– C’est racontable ?
– J’en sais trop rien, mais attendez-vous à un choc, j’ai négocié hier soir avec cette baronne que je ne connaissais pas…
– Hein ?
– Et même qu’on a rendez-vous à 15 heures devant sa porte blindée, elle m’a dit qu’on pouvait apporter des outils pour vérifier s’il y a une pièce secrète.
– C’est vrai, ça, tu ne nous mènes pas en bateau ?
– T’as qu’à pas me croire !
– Mais comment tu as fait ?
– Un concours de circonstances, je suis sortie acheter des clopes et il avait du monde devant la porte blindée. Je me suis pointée comme une fleur et ils m’ont pris pour une autre. (enfin c’est ce que j’ai cru)
– Et alors ?
– Alors je suis rentrée dans ce local, en fait c’est un local pour sado-maso, ils appellent ça un donjon.
– Et t’as fait quoi, tu t’es rincé l’œil ?
– Je préfère ne pas rentrer dans les détails.
– Cachotière !
– Bon écoutez les filles, c’est inespéré, puisqu’on peut apporter des outils, je vais faire un saut à Dijon acheter une caméra serpent, une perceuse et de l’enduit…

15 heures

La baronne est à l’heure.

– Bonjour ! Ah, je ne connais pas mademoiselle…
– Béatrice Clerc-Fontaine, chercheuse indépendance, Madame Keller m’a sollicité au cas où un passage secret serait inséré dans votre cloison mitoyenne.
– Enchantée, vous êtes charmante. Je vais ouvrir, je suppose qu’Erika vous a informé de ce que vous allez découvrir ?
– Erika ?
– Ah, c’est vrai je ne connais pas ton vrai prénom
– Valentine ! Oui, il sont au courant.

C’est peu dire que Jodie est subjuguée par le lieu, Pas Béatrice qui a eu déjà l’occasion de visiter quelques donjons privés…

– Je vous laisse opérer ! leur dit la baronne

Béatrice commence à tripoter le mur avec les mains sans rien déceler. Elle le passe ensuite au détecteur… qui ne détecte rien.

– Alors là, ça devient bizarre ! Je peux faire un trou, un tout petit trou, je reboucherai après, j’ai apporté du silicone.
– Trouez, ma chère, trouez.

Un petit coup de perceuse. Béatrice n’est pas trop bricoleuse mais parvient à faire un joli petit trou. Il n’y a plus qu’à y introduire la caméra serpent.

Moment de suspense !

Puis moment de déception, la caméra renvoie l’image du sous-sol de l’église. Les deux locaux sont donc directement mitoyens sans local intermédiaire, et par conséquent il n’y a pas de passage secret et pas de trésor non plus.

– Eh bien voilà, c’est fini ! Je rebouche et on vous laisse !
– On va s’en aller, merci de nous avoir permis d’entrer ici.
– Que voulez-vous, ça commençait à m’énerver, il fallait percer l’abcès… Je suppose que vous allez écrire un rapport, évidemment je vous demande d’être discrète, il vous suffira de dire que Madame la Baronne vous a autorisé à faire des vérifications et sans rentrer dans les détails.
– Cela va de soi.

On se quitte, mais au dernier moment…

– Béatrice ! Je peux vous appeler Béatrice.
– Comme vous voulez !
– Si vous pouviez rester cinq minutes, puisque vous êtes chercheuse indépendante, j’ai un petit truc à vous demander.
– O.K, les filles, vous m’attendez qu’on se dise aurevoir.
– On va se dire aurevoir ici, j’ai vraiment hâte de rentrer.
– Alors, salut les filles. Jodie je t’enverrais la facture, ravie de vous avoir rencontrées toutes les deux.

Bisous, bisous.

– T’as une façon de me regarder ! Lui dit la Baronne après le départ des deux autres femmes. Oh pardon, je vous ai tutoyé.
– Pas grave !
– Ça ne répond pas à la question.
– Ah ? Parce que c’était une question ?
– Oui !
– Eh bien, je trouve que vous avez un visage intéressant.
– Et éventuellement ce visage intéressant, tu aimerais l’embrasser ?
– Pourquoi pas ? Ce serait avec grand plaisir !
– T’as le temps de venir chez moi ?
– Tentatrice !
– Alors on y va !

Sur place la baronne invite Béatrice à s’assoir au salon, celle-ci ne comprend pas trop ce contretemps persuadée qu’elle était que son hôtesse allait lui sauter dessus.

– Un thé peut-être ?
– Oui à moins que tu ais du café.
– Ça marche ! Sara viens nous voir !

Elle arrive…

– Un thé au jasmin pour moi et un café pour cette charmante personne.! Qu’en penses-tu Béatrice de ma soubrette, elle est mignonne, non ?
– Très mignonne !
– Elle est très coquine, elle suce des bites, des chattes, des trous du cul… une vrai putain, n’est-ce pas Sara.
– Bien sûr madame !
– Sara, montre ton cul a notre invitée.
– Avec plaisir, madame ! Répond l’intéressée en dévoilant son joli joufflu qu’aucune culotte ne cache et que Béa est invité à caresser.

Sara part en cuisine, et la baronne ne fait toujours aucun geste d’approche en direction de Béatrice, non elle parle de ses ancêtres avec forces anecdotes. Notre belle chimiste fait semblant de s’intéresser à tout ça mais finit par se demander ce qu’elle fabrique ici.

Maintenant les tasses sont vides.

– Je croyais que tu voulais m’embrasser ? Minaude la baronne.

Enfin !

Béatrice ne répond pas, mais se lève, les visages se rapprochent, les bouches se collent, le baiser est profond, passionné… et baveux.

– Hum tu embrasses trop bien ! Et si nous nous mettions à l’aise ? Suggère la baronne.
– Bien sûr !
– Viens me défaire mon chemisier !

Vous pensez bien que Béatrice ne va pas bouder une telle proposition, elle déboutonne le vêtement, laissant apparaître un joli soutien-gorge en dentelle violette. Alors elle plote.

– Dégrafe-le !
– J’allais le faire… Quelle belle poitrine !

Béa a maintenant accès au gros tétons de la baronne, elle les titille un peu de ses doigts avant de les prendre en bouche et de le sucer avec gourmandise.

– C’est bon, hein ?
– J’adore !
– Enlève-moi le bas, je vais t’offrir ma chatte. Mais avant je veux te voir nue.

Pas de problèmes, les deux coquines se retrouvent à poil et se caressent en tous sens.

Beatrice se baisse afin d’avoir accès au sexe de sa partenaire, mais celle-ci, facétieuse se retourne.

– Et si tu goûtais à mon cul ?

Pas de problème pour Béatrice qui aime prédiquer cette caresse intime. Ses mains écartent les globes et sa langue s’en va fureter sur l’anus brun de la baronne…

– Hum ! Quel goût exquis !
– Ça ne sent pas un peu fort ?
– Ça ne me dérange pas !
– Coquine ! Tu n’aurais pas des tendances un peu scato ?

La question est gênante et Béatrice ne répond pas.

– Tu peux me répondre, je n’ai pas de tabous ! Insiste la baronne.
– Disons que ça m’est arrivée d’en faire dans des moments de grande excitation.
– Et là, maintenant tu es très excitée ?
– Oui !
– Mets moi un doigt dans le cul et remue le bien.

Béatrice mouille son index et l’introduit dans le trou du cul la baronne.

– Tu sens quelque chose ? demande cette dernière.
– Euh, oui !
– Alors ressors ton doigt et montre-le-moi… Hum on dirait qu’il n’est pas sorti bien propre.
– Hi, hi !
– Suce ton doigt, je t’offre ma merde, c’est un beau cadeau, non ?

Dans un état second quasi extatique, Béatrice lèche son doigt.

– Alors elle est bonne ma merde ?
– Délicieuse !
– Tu voudrais qu’on aille plus loin ?
– Pas trop loin quand même…
– Ne bouges pas, je reviens vite.

La baronne revient avec un joli gode très réaliste qu’elle recouvre d’un préservatif.

– Tiens, fous-le-moi dans le cul et fais-le bouger !

Béatrice pilonne ainsi la baronne pendant quelques minutes faisant miauler de plaisir cette dernière.

– Qu’est-ce que c’est bon de se faire enculer ! Tu aimes ça aussi, toi ?
– Oui, quand c’est bien fait !
– On fait une belle paire de salopes toutes les deux ! Allez retire-le.

Béatrice retire le gode légèrement pollué par cette introduction, et ne sait pas trop quoi en faire.

– Lèche-le, régale-toi !

Et encore une fois Béatrice s’acquitte de cette tâche en un prenant un plaisir trouble.

– On dirait que ça te fait mouiller de faire ça ! Remarque la baronne.
– Des fois faut pas chercher à comprendre.
– T’as raison, je vais m’allonger sur le canapé, tu vas venir me bouffer l’abricot…. Ah ce n’est pas très hygiénique après ce que tu viens de faire, il faudrait se rincer la bouche…
– J’y vais c’est où, ta salle de bain ?
– Ne bouge pas, j’ai une idée ! Sara ! Ramène ton cul !
– Madame m’a appelé ! Demande cette dernière.
– Oui tu vas pisser dans la tasse de mon invitée.
– Bien sûr, madame la baronne..

Sara soulève sa jupette sous laquelle elle n’a pas mis de culotte, rapproche la tasse de sa chatte et pisse dedans.

– Je vais goûter d’abord ! Décide la baronne. Humm c’est exquis !
– Je suis content que ma pisse plaise à madame.

La baronne tend la tasse à Béatrice qui en avale le contenu.

– Hum ! Délicieux !
– Si madame en veut encore, c’est possible ! Suggère la soubrette.
– Ma foi, pourquoi pas ! Répond Béa.
– Madame est gourmande mais je vais la satisfaire. Approchez donc votre bouche de ma petite chatte, on va faire ça en direct.

Sara s’approche de façon à mettre en contact son sexe avec la bouche de Béa, puis elle se lâche.

Du coup voici une bouche parfaitement rincée. Et cette fois la baronne s’affale pour de bon sur le canapé en écartant les cuisses. Béatrice n’a plus qu’à venir butiner cette chatte offerte et gluante de mouille, tandis que ses doigts viennent titiller ses gros tétons.

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A ce régime, la baronne ne résiste pas longtemps et se met à haleter. Béatrice enroule le clitoris de sa langue lui donnant le coup de grâce.

– Eh bé ! Tu es une super bouffeuse de chatte, toi !
– On fait ce qu’on peut ! Tu t’occupes un peu de moi, maintenant ?
– C’est la moindre des choses.

On permute les positions, c’est maintenant la baronne qui lèche mais avec un petit plus, Ce petit plus c’est son doigt qui s’est faufilé dans l’anus et qui n’en finit pas de bouger.

Cinq minutes plus tard, Béatrice éclatait son plaisir dans un geyser de mouille.

Moment calme, tendres bisous, cigarette puis vient cette demande insolite de la part de la baronne :

– J’aimerais que tu me fasses cadeau de ta petite culotte, ça me fera un souvenir.
– Si tu veux, je peux même te la dédicacer !

Un peu plus tôt…

Le hasard faisant parfois de curieuses choses, Antonio et Mattéo ont à leur grande surprise vu Jodie et Valentine sortir du local blindé.

– Merde, ça veut dire qu’ils ont trouvé le trésor ! Rouspète Mattéo
– Mais il est où, elles n’ont rien dans les mains !
– On n’a plus rien à perdre, on va leur demander.

Il s’approche, provoquant l’ire de Jodie.

– Vous êtes encore là vous deux, vous n’avez rien d’autre à foutre ?*
– Alors vous l’avez trouvé ce trésor ?
– Bien sûr des lingots d’or en pagaille, on a demandé à une camionnette de venir les prendre en charge.
– Ah ? Ah bon !

Ils s’éloignent de quelques pas et Mattéo chuchote à l’oreille de Mattéo.

On va attendre la camionnette, peut-être qu’on pourra subtiliser quelque chose pendant qu’ils la chargeront…

Et l’histoire ne dit pas combien de temps ils ont attendus…

Fin

Post-Scriptum. Ah, j’en vois certains qui protestent du fait que le professeur Martinov ne participe que de très loin à cet épisode. Rassurez-vous dans le prochain récit il sera là et bien là !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:50

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 10 – Le donjon de la baronne
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Vendredi 25 avril.

– Non, non ! Explique le maire ! L’autrefois je vous ai accordé l’autorisation parce qu’il s’agissait d’une porte blindée qui ne faisait pas vraiment partie de l’église, mais là si on vous voit avec un serrurier tripoter l’entrée principale, je vais me faire allumer par l’opposition municipale. Et ce n’est pas la peine de me montrer vos nichons, sur ce coup je serais inflexible.

Dépitée, Jodie téléphone à la préfecture, après avoir raconté son histoire à quatre interlocuteurs différents et avoir supporté un temps d’attente interminable, un peigne cul lui répond.

– Monsieur le préfet ne peut accéder à votre demande, il est néanmoins disposé à motiver son refus auprès de votre ministère.
– Et là tout de suite, vous ne pouvez pas motiver ?
– Non, Madame, aurevoir, Madame !

« Bon c’est foutu, je n’en mourrais pas, sauf que s’il y vraiment un trésor, il va me passer sous le nez ! »

– On considère que ma mission est terminée, alors ? Demande Béatrice.
– On laisse passer la journée, on ne sait jamais, l’esprit d’escalier fera peut-être changer le maire d’avis… Et toi, Valentine ?
– Je vais faire comme vous, je partirais demain matin

Matteo et Augusto en ont marre. Il se sont pointés devant l’église fermée et tente d’obtenir des renseignements auprès de quelques paroissiennes qui tentent en vain d’y rentrer… Mais personne ne semble savoir ce qui se passe.

– On ne peut pas entrer dans l’église ! On ne peut pas passer par derrière ! On fait quoi ? On se barre ? Se désole Augusto.
– Et cet Igor qui devait nous rappeler, il a mon numéro, mais je n’ai pas le sien…
– On n’est plus un jour près, mais j’y crois plus trop à cette affaire.

Les trois femmes dinent ensemble. L’ambiance n’est pas vraiment à la fête, ce n’est pas toujours facile de digérer un échec, cela vaut surtout pour Jodie et Valentine. Béatrice pour sa part s’en fout un peu, elle n’a aucun intérêt personnel dans cette affaire et n’est là que pour remplir son contrat.

Chacune monte ensuite dans sa chambre…

Vers 22 heures, Valentine se rend compte qu’elle n’a plus de cigarettes. Elle descend donc et profite de la fraicheur de cette belle nuit…

Pour se rendre au café-tabac il faut passer derrière l’église. Et là elle aperçoit devant la porte blindée un petit groupe de sept ou huit personnes plutôt bien habillées… Et dans ce groupe, elle reconnait Igor.

« Mais qu’est-ce qu’ils foutent ? Ah on dirait qu’ils attendent quelqu’un pour rentrer ! Mais ils vont faire quoi là-dedans ? C’est peut-être une secte ou un groupuscule de je sais pas quoi ? Il y a même un chien… Je fais quoi, je préviens les collègues ? »

Elle n’arrive pas à se décider, et décide de jouer aux connes. Elle s’approche du groupe et gratifie les gens d’un grand bonjour…

Igor qui est aux côtés de la baronne lui souffle à l’oreille.

– C’est une copine de l’emmerdeuse de Paris, faites gaffe !
– O.K, on va bien s’amuser.

La baronne s’approche de Valentine :

– Ah ! Vous êtes Erika, je suppose ?

« Elle me prend pour une autre, jouons le jeu… »

– Eh oui !
– Je me demandais si vous alliez venir, je n’ai pas reçu de réponse à mon message.
– Ah ? je ne l’ai pas reçu.
– Pas grave ! On attend Gaby et on rentre… Ah la voici.

Et Valentine se retrouve à l’intérieur d’un petit donjon ! Avec tout ce qu’il faut, deux croix de St André, des chaines, et des étagères remplies d’une petite collection d’objets utilisés dans les séances sado-maso.

Les participants ne perdent pas de temps, certains se changent, allons-y pour le cuir et le latex… certains s’assoient sur des sièges réservés aux spectateurs. Igor se revêt d’un masque noir d’un ridicule achevé et la baronne un moment nue se revêt d’une guêpière laissant les seins et la chatte découverts…

Valentine se demande quoi faire, s’échapper, mais la porte blindée a été refermée de l’intérieur… Prétexter un malaise…

– Tu ne vas pas rester habillée ! Lui dit la baronne.
– C’est que je n’ai rien apporté…
– Apporté quoi ? Tu n’as besoin de rien, mets-toi à poil et reste comme ça, on va bien s’occuper de toi !

La baronne pensait alors que cette fouineuse paniquerait devant l’ambiance de la salle et réclamerait de pouvoir sortir. Ce qui lui serait refusé dans un premier temps, une situation propre à amuser la petite assemblée. Ensuite viendrait le temps des explications… Puis on la virerait… Une petite diversion amusante avant que la véritable soirée commence.

Sauf que la baronne ne s’attendait vraiment pas à ce que cette importune accepte sans sourciller de se mettre nue devant l’assistance. Son regard d’incompréhension croise celui d’Igor.

– Il nous ont envoyé une soumise pour nous espionner ? Lui chuchote Igor.
– Mais ça ne tient pas debout, voyons, comment aurait-elles su ? On va bien voir comment elle va réagir… Vous deux, passez-lui un collier de chien autour du cou et attachez-moi cette pute sur la croix…

Valentine se laisse attacher docilement.

« Puisque ça ressemble à un club sadomaso, je vais jouer la soumise de service, ça ne pouvait pas mieux tomber… » se dit-elle. Espérons simplement que ce ne soit pas des sauvages !

Martinov3010De sa position elle peut visualiser l’assistance, deux hommes et une femme blonde sont agenouillés, nus et collier de chien autour du cou.
– C’est qui cette nana ? Demande Gisèle, une grande perche brune au visage recouvert d’un loup et dont le seul vêtement est un bustier noir en vinyle qui laisse tout voir.
– Ben c’est Erika ! Répond la baronne
– Oui, mais tu l’as trouvé où ?
– Sur Internet, j’ai trouvé son profil intéressant… elle m’a dit qu’elle aimait bien les petites misères et les humiliations, n’est-ce pas Erika ?
– Oui madame !
– On dit « oui maîtresse », conasse !
– Alors… oui maîtresse.
– Allez on commence ! Regarde ses jolies pinces, je suis sûre qu’elles seront du plus bel effet accrochés à tes tétons de pute.

La baronne accroche les pinces faisant geindre la soumise, mais elle geint encore bien davantage quand une autre paire de pinces vint meurtrir ses grandes lèvres.

– Toi, viens la fouetter ! Dit-elle en s’adressant à Emile, un grand moustachu en caleçon à fleurs.

Emile s’avance et va pour se saisir de la cravache que lui tend la baronne.

– Tu ne vas pas la fouetter en caleçon quand même… tu as la trouille de montrer ta bite ou quoi ?

Vexé, Emile retire son caleçon, puis cravache en main, s’avance vers Valentine qui retient son souffle. Certes elle est maso, mais ça n’empêche pas l’appréhension. Après tout personne ne sait qu’elle est ici et on ne sait jamais ce qui peut arriver.

– Il y a un mot de sécurité, c’est Cactus qu’il faudra répéter deux fois, mais on serait tous très contrariés si tu l’utilisais pour un oui ou pour un non. Lui précise la baronne. Bon alors toi tu la fouettes ou tu attends le jour du débarquement ?

– On aurait peut-être dû la retourner ? Suggère le type.
– Bon tu commences à m’énerver, mets-toi à genoux ! Cédric va te remplacer !

Celui-ci est complétement nu et comme il a un peu joué avec sa bite, il bande comme un mulet de compétition !

Il arme la cravache et vise les cuisses de Valentine qui se contente de grimacer vilainement. Plusieurs coups suivent toujours au même endroit avant qu’il choisisse de viser le ventre.

Valentine supporte toujours, se contentant de pousser de petits cris de douleur… Mais voilà que l’homme lui vise les seins. Ça fait très mal, des larmes se mettent à couler sur le visage de la soumise emportant le rimmel dans la foulée.

Elle serre des dents se demandant si elle doit invoquer le mot de sécurité… La baronne en fine psychologue s’aperçoit de la situation et d’un geste indique au bourreau de lui fouetter le pubis. Il le fait, puis toujours sur l’ordre de la maîtresse de cérémonie range la cravache.

– Faut pas pleurer comme ça, ma bibiche, il t’a fait bobo à ta chachatte, le vilain monsieur. Un peu de salive de chien devrait arranger ça. Vient Moebius, viens lécher la dame !

Le gros labrador beige s’avance en remuant de la queue et se faufile entre les cuisses de Valentine, complétement tétanisée mais acceptant l’acte. On lui a déjà fait subir ce genre de choses dans un club parisien, mais elle a cependant une petite appréhension (ben oui, encore !). On ne sait jamais comment un chien peut réagir même si dans le cas présent il s’agit d’un labrador, une race peu agressive.

Le chien lèche lui procurant une sensation de bien être complétement insoupçonnée.

– Et maintenant c’est toi qui va lécher le chien ! Igor, détache-moi cette morue ! Gisèle (Gisèle est la grande perche brune) et Sara préparez le chien.

Les deux femmes couchent le chien sur le flan et sortent sa bite du fourreau qu’elle lèchent ensuite de conserve.

– Allez suce !

Ce n’est pas un problème pour Valentine qui vient lécher la bite rougeâtre et visqueuse du quadrupède. Elle se demande si on va lui demander de se faire couvrir par le chien. Mais non !

Eh, oui, il ne faut pas rêver, Valentine ne va pas être la seule esclave de la soirée, d’autant qu’on ne l’attendait vraiment pas. Elle est priée de se mettre en position d’attente, agenouillée.

– Emile, debout !

L’esclave se relève de sa position et se présente devant la baronne qui l’accueille d’une bonne paire de gifles.

– Ouvre la bouche, connard ! Lui ordonne-t-elle avant de lui cracher dans la bouche.
– Merci Maîtresse ! balbutie-t-il encore sonné par les gifles.
– Et maintenant tu vas me lécher le cul ! Tu sais que je ne m’essuie jamais avant de venir ici… Alors je veux que tu me fasses un cul tout propre. Allez lèche moi mon cul plein de merde !

Cela ne doit pas être une corvée pour cet esclave qui manifestement prend grand plaisir à lui taquiner le troufignon avec sa langue.

– Votre cul est délicieux, maîtresse.
– Bien sûr qu’il est délicieux. Et maintenant tu vas sucer la bonne bite de Cédric. Regarde comme elle bande bien.
– Oui maîtresse.
– Parce que tu n’es qu’un suceur de bites, c’est bien ça ?
– Oui maîtresse ! J’adore ça !

Cet acte n’a rien d’un corvée pour Emile qui se régale de cette fellation mais qui se demande quelle turpitude est en train de préparer la baronne.

La turpitude est arrivée derrière Emile. Sur un geste de la baronne, Igor s’est approché, bite en avant et après avoir écarté les globes fessiers d’Emile l’encule sans rémission.

– ,Aïe !
– Ta gueule ! Lui répond la baronne, quand on aime les bites on les aime partout. Allez Igor défonce lui le cul !

Emile est aux anges, il souffre de cette sodomie non préparée, mais n’est-il pas là pour souffrir ? Et puis cette bite qu’il a en bouche n’est-elle pas une jolie consolation ?

Cette bite est d’ailleurs si bien sucée qu’elle n’en peut plus et bientôt la bouche d’Emile se remplit du sperme pâteux de Cédric.

– Avale tout ! Connard !
– Glups !

Et pendant ce temps-là, Sara se défoule sur le cul de Gisèle en la gratifiant de violents coups de ceinturon.

– Il suffit, toutes les deux, il faut que je jouisse ! Venez vous occuper de moi ! Leur ordonne la baronne.

Gisele se jette sur les tétons érigés de la maîtresse des lieux, le suçant comme les plus subtiles des friandises; tandis que Sara fait jouer ses doigts, l’un dans le cul, un autre dans la chatte.

– Mieux que ça ton doigt… prend un gode, encule-moi avec.

Sollicité de la sorte, la baronne commence à gémir, son corps se tétanise, elle hurle sa jouissance et enlace Gisèle en lui roulant un patin bien baveux.

– C’est si bon de se sentir salope ! N’est-ce pas les filles ?
– C’est bien vrai, ça ! Approuve Gisèle

Le temps passe vite quand on se livre à ce genre de choses, la séance fut intense. On détache Erika mais en lui intimant l’ordre de s’agenouiller bouche ouverte. Vous aurez bien sûr deviné que la baronne qui n’en pouvait plus de se retenir lâcha son urine dans le gosier d’Erika qui savoura comme il se doit ce précieux breuvage.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:48

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 9 – Il était trois coquines
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Igor aurait préféré se rendre seul au local blindé. Si vraiment il y a un trésor de caché il n’a aucune envie de le partager, ni avec Sara, ni avec personne d’autre ni encore moins avec ce Mattéo.

Sur place, il inspecte la cloison qui a été blanchie à la chaux, il la tripote dans tous les sens. En vain ! Il cogne sur le mur ! En vain ! Il donne même de grands coups d’épaule pour en éprouver la solidité, et ne réussit qu’à se faire mal !

– Arrête tes conneries ! Lui dit Sara, c’est juste une cloison.
– Y’a peut-être un passage secret !
– Et si c’est ça, tu crois vraiment que tu vas le trouver ?

« Passage secret mon cul, oui ! S’il y en a un je fais comment pour le trouver ? Faut que demande conseil à ce Mattéo… Et sinon il faudra casser, mais comment faire avaler ça à la baronne ? Il me faut du temps, j’aurais été seul, je me serais fait faire un double de la clé, mais avec cette Sara, impossible, elle est dévouée à sa patronne comme un caniche avec sa maîtresse. »

Ils quittent le local, Sara rentre chez la baronne avec la clé, tandis qu’Igor téléphone à Mattéo.

– Tu t’y connais en passages secrets ?
– Pourquoi cette question ?
– Je suis allé voir de l’autre côté, j’ai rien vu de particulier mais s’il y a un passage secret je ne sais pas comment le découvrir.
– Je n’y connais rien, mais il y une bonne femme sur le coup…
– Ah ? Et tu peux me la présenter !
– Ben non, on s’est engueulé, en fait on ne devrait pas être là…
– Tu peux me la montrer au moins ?
– Elle s’appelle Jodie Keller et elle est descendue à l’hôtel du cerf !
– Tu peux m’en dire un peu plus…

Il raconte ce qu’il sait (mais pas tout)

Mercredi 23 avril

Béatrice, Valentine et Jodie papotent dans la chambre de cette dernière en attendant l’heure de descendre dans la salle de restaurant.

– Allo, Madame Keller, c’est la réception, il y a là un monsieur Igor qui souhaite vous rencontrer, puis-je l’autorise à monter ?
– Certainement pas, je ne connais pas ce monsieur. Qu’est-ce qu’il me veut ?
– Euh attendez… Il me dit qu’il veut vous rencontrer pour vous parler de choses importantes.
– Quelles choses importantes ?
– Ben, je ne sais pas…
– Bizarre ça, je vais descendre.

Jodie demande à Béa et à Valentine de l’accompagner mais à distance.

Poignées de mains protocolaires.

– On peut s’assoir là-bas ! Propose Igor.
– Je vous écoute !
– J’ai appris incidemment que vous vous intéressez au sous-sol de l’église.
– Les nouvelles vont vite…
– Je suppose que vous savez que ces sous-sol sont mitoyens avec une partie privative appartenant à la baronne de Montalenvers.
– Vous en savez des choses…
– Et je me suis laisser dire qu’en fait, les deux locaux ne sont pas directement mitoyens, mais qu’il y aurait entre les deux une petite pièce secrète.

Igor attend une réaction de la part de son interlocutrice, mais ça ne le fait pas.

– Je suis amené, continue-t-il à rendre quelques menus services à madame la baronne et il m’est donc arrivé de devoir me rendre dans ce local.

Et tout d’un coup Jodie qui jusque-là se demandait comment couper court à cette conversation, est soudain intéressée, très intéressée même.

– Et vous en possédez la clé ?
– Non, elle reste en possession de Madame la Baronne.
– Mais vous pourriez l’emprunter ?
– J’ignore où elle la garde !
– Ben vous pourriez lui demandez !
– Elle ne me la confiera pas sans raison.
– J’ai du mal à vous suivre ! Qu’attendez-vous de moi au juste ? S’impatiente Jodie.
– Que vous me donniez des conseils au sujet des passages secrets.
– Mais vous rêvez mon vieux ! Les choses ne se passent pas comme ça ! Je vais vous posez une question simple : avez-vous la possibilité de me faire entrer dans cette pièce ?
– Je vais essayer.
– Ç’est ça essayez et quand vous serez prêts prévenez-moi, je vais vous donner mon numéro, et si vous n’avez rien à ajouter on va en rester là pour ce soir ! Bonsoir monsieur !

Et Igor ne sachant plus ni dire ni faire, s’apprête à quitter les lieux, dubitatif. Et en se retournant il aperçoit Jodie discuter avec deux autres femmes.

– Qui c’est celles-là ?

Jodie rend compte à Béatrice et à Valentine de son entretien.

– Mais qui lui a raconté tout ça ? Demande Béatrice.
– Si je lui avait demandé il ne m’aurait sans doute pas répondu mais il y a fort à parier qu’il s’agit des deux crétins…
– Les deux crétins ?
– Ben oui ! (elle explique) On se boit un petit digestif dans ma chambre ? propose Jodie

En chambre elle commandent trois marcassins (une spécialité locale en fait un cocktail à base de crème de cassis et de marc de bourgogne)

– J’ai lu quelque part que tu avais… on peut se tutoyer ? Demande Valentine à Béatrice
– Pas de souci.
– Donc qu’avec ton patron, vous avez inventé un élixir d’amour…
– Oui, ça été une découverte rocambolesque ! Au départ c’était pour les lapins et on s’est dit avec Martinov qu’on pourrait l’expérimenter sur l’homme, mais on ne voulait pas prendre de risque avec des cobayes, effets secondaires et tout ça… alors on l’a expérimenté sur nous-même, je vous dis pas dans quel état on était, on s’est bien marré !
– Tu m’as l’air plutôt délurée ! Reprend Valentine.
– Je ne suis pas délurée, je suis nature !
– Non mais je veux dire, tu aimes le sexe ?
– Ben dis donc, t’es bien indiscrète, toi !
– Excuse-moi !
– Pas de souci, : Moi aussi j’aime le sexe, mais on peut changer de conversation…
– Oui, parce que sinon dans trois minutes, tu vas me dire que t’es attirée par les femmes.
– Comment tu peux dire ça ?
– A ta façon de me regarder !
– Oh, ben ça alors !
– Et toi Jodie, t’en penses quoi ? Lui lance Béatrice.
– Je ne voudrais choquer personne…
– Je ne me choque pas comme ça !
– Alors on peut lui dire ?
– Oui !
– Alors disons, reprend Jodie, que Valentine et moi, on s’est un peu amusées entre filles.
– Je vois, et là vous auriez aimé faire un trio, J’ai bon ?
– Oh ! Fait semblant de se choquer Jodie
– En fait je ne suis pas contre ! Répond malicieusement Beatrice
– Ben voilà
– On fait comment ? Demande naïvement Valentine.
– On improvise, lui répond Jodie, mais on va se mettre à poil on sera mieux.

Tout le monde se déshabille dans la plus totale décontraction…

Un trio c’est toujours un peu bancal, en fait Jodie et Valentine ont envie de se taper Béatrice, quand a cette dernière elle est davantage attiré par Jodie que par l’historienne. Alors ça va se passer comment ?

Tout le monde commence à s’enlacer en position debout un peu comme dans la sculpture d’Antonio Canova. (Les Trois Grâces)

Béatrice est au centre, chacune des autres femmes lui caressant les nichons, mais elle ne reste pas inactive, ses mains descendant jusqu’aux sexes humides de ses deux partenaires.

Mais un trio qu’il soit lesbien ou non, ne saurait rester debout et ces dames se retrouvent quasi spontanément sur le doux plumard de la chambre d’hôtel de Jodie Keller.

Béatrice est allongée sur le dos, les cuisses légèrement écartées. Elle décide de rester passive, du moins pour le moment, et c’est à qui lui plotera et lui léchera les seins. C’est à qui viendra fureter du côté de sa chatte déjà humide sous l’effet de toutes ces tendres et sensuelles caresses.

Mais voilà que de façon tout à fait incongrue, Valentine se met à frétiller du cul. Une sorte d’appel animal en quelque sorte !

Jodie répond à cet appel en lui flattant le derrière, et puisque tout d’un coup on se s’occupe pus de Béatrice, celle-ci rejoint la fonctionnaire dans son pelotage de fesses et son léchage d’anus.

On finit par s’enlacer, s’embrasser (ben oui ce n’était pas encore fait). Qui a dit qu’il fallait être plus que trois pour faire une mêlée ? Encore un qui n’y connaissait rien.

Toujours est-il que Béatrice se retrouve avec la langue de Valentine sur sa chatte et le sexe de Jodie au-dessus de sa bouche.

Martinov3009
Et c’est qu’elle suce fort bien la Valentine emportant Béatrice dans la jouissance, et l’obligeant à lâcher son action sur Jodie. Mais cet abandon n’est que temporaire, vous pensez bien que Jodie ne souhaite pas lâcher l’affaire et rapidement Béa reprend son travail et envoie la fonctionnaire au ciel.

– Ben, et moi ? Proteste Valentine
– On arrive !

La bouche de Béa sur ses tétons…

– Plus fort sur mes tétons !

La langue de Jodie sur sa chatte, son doigt dans le trou du cul… Valentine ne tarde pas à miauler son plaisir à son tour

Non ce n’est pas terminé, ce petit trio a duré plus d’une heure mais évitons d’être répétitif dans nos descriptions…
,
– Allez, bonne nuit les filles, on réfléchit chacune de notre côté si on peut résoudre le mystère de cette cloison. Leur dit Béatrice en rejoignant sa propre chambre.

Jeudi 24 avril

Le lendemain matin les trois femmes prennent ensemble leur petit déjeuner dans la salle de restaurant de l’hôtel.

– J’ai peut-être une idée, commence Béatrice, il va falloir faire un petit trou dans la cloison, un tout petit trou de la taille d’une pièce de dix centimes d’euros….
– Non, proteste Jodie, on ne peut pas prendre le risque de détériorer ce qu’il peut y avoir derrière. Et puis d’abord on ne verra pas grand-chose…
– Si parce qu’on va acheter une caméra serpent, l’introduire dans le trou…
– Non ! C’est un véto ! Je ne prends pas ce risque-là ! Réitère fermement Jodie.
– On va creuser le plus haut possible, ils n’ont quand même pas planqué une œuvre d’art jusqu’au plafond.
– Pourquoi pas ? Une tapisserie ça peut s’accrocher jusqu’au plafond.
– Un petit trou dans une tapisserie, ça se répare !
– Ça ne va pas, non ?
– Alors tant pis, si vous ne voulez pas de mon idée, je me demande en quoi je peux continuer à vous aider ?
– Est-ce qu’on est vraiment sûre qu’il n’y a pas de passage secret ?
– Non, on peut rien affirmer…
– Alors il faut être sûre. On y retourne !

Et une demi-heure plus tard, Béatrice et Jodie étaient de nouveau devant la cloison. Valentine, elle, s’en était allé dans la sacristie dans l’espoir de trouver « quelque chose »

Béatrice se mit à toucher la cloison en tous sens, persuadée qu’elle ne trouverait rien, mais il lui fallait bien honorer son contrat !

Et soudain, une voix…

– Oh, Eh, il y a quelqu’un là-dedans ?
– Oui y’a nous ! Répond Jodie.
– Et vous faites quoi ?
– Si on vous demande…
– Je suis l’abbé Chamel, je vais remplacer le curé Bombillac pendant sa convalescence..

– Manquait plus que ça ! Soupire Jodie, on va monter le voir…

L’abbé Chamel est un jeune homme récemment sorti du séminaire et ordonné, cheveux courts, lunettes de myope, visage disgracieux.

Jodie ne le laisse pas parler.

– Quelques temps après son affectation, le curé Bombillac a constaté une anomalie à propos d’une dalle qui en fait dissimulait une entrée vers une pièce en sous-sol… je passe les détails mais il a adressé un mémoire à je ne sais plus qui, qui a fini par atterrir dans les bureaux de la préservation du patrimoine au ministère de la culture. Je suis donc là à ce titre.
– Je ne comprends pas…
– Ce n’est pas grave, ce que nous vous demandons, c’est de nous laisser faire notre travail.
– Mais il y a quoi en bas ?
– Rien.
– Mais s’il n’y a rien vous faites quoi ?
– Bon, écoutez on ne vous doit aucune explication.

Puis Jodie se tourne discrètement vers Béatrice et lui chuchote :

– File à la sacristie et dit à Valentine d’en sortir…
– Mais c’est où ?
– A droite au fond.

Béatrice continua son manège. Pas facile de faire semblant de chercher ! Alors pour donner le change elle expliqua à Jodie qu’elle avait senti comme une espèce de vibration, ce qui pouvait être la manifestation d’un système secret refusant de s’enclencher.

– Il me faudrait un stéthoscope, on peut trouver ça ici ?
– Je crains qu’il faille aller à Dijon !
– Et bien, allons à Dijon !

En revenant avec leur achat, Béatrice proposa de reprendre les investigations après une pause déjeuner.

– Excuse-moi, mais comme on est peut-être proche du but, je préférais qu’on déjeune après.

Et en arrivant devant la porte de l’église, il la trouvèrent verrouillée.

– Bizarre ! S’exclama Jodie en recherchant le double de la clé dans son sac à main.

Mais la clé ne rentre même pas dans la serrure !

– Ce con d’abbé a fait changer la serrure ! On fait quoi maintenant ? S’agace Jodie.
– Oh regarde… des bouts de scotch… il y avait un papier d’accroché, il a été arraché !

Les deux femmes regardent si ce papier arraché ne trainerait pas au sol, mais ne distinguent rien.

– Qui a pu enlever ce papelard ? S’interroge Jodie
– Des gamins, je suppose…
– Il ne doit pas être bien loin, ce curé !
– Oui mais ça veut dire où ?
– Il va finir par revenir, il a dû aller bouffer !
– On fait quoi ?
– On va déjeuner, on reviendra après.
– Et Valentine, elle est où ?
– Je l’appelle !

En fait Valentine s’était fait virer de l’église par l’abbé Chanel et se trouvait pour le moment à la bibliothèque municipale où elle désespérait de trouver quelque chose d’intéressant.

– On va bouffer « Aux deux hirondelles »; tu nous rejoins ?

Béatrice et Jodie l’informent du changement de la serrure de l’église.

– On est donc coincées ?
– Pas forcément, ce type outrepasse ses droits, je peux demander le concours du maire ou de la préfecture pour faire intervenait un serrurier… mais quelle perte de temps ! Explique Jodie.
– On peut faire autrement, il a un supérieur hiérarchique, cet abbé, non ? Intervient Valentine.
– Un évêque, je suppose ?
– C’est ça, un évêque…

Et la voilà qui cherche sur son portable le numéro de l’évêché de Dijon.

– O.K, vous me laissez faire, les filles ?

Elles le laissent faire.

– Allo répond une voix féminie nasillarde
– Allo, je voudrais parler à Monsieur l’évêque
– Vous voulez dire Monseigneur l’évêque ?
– Oui, bien sûr.
– Je peux vous demander à quel sujet ?
– Je suis paroissienne de l’église de Sainte Pétassouille et alors que je souhaitais aller m’y recueillir, j’ai trouvé porte close et…
– Je vous passe Monseigneur l’évêque

Elle lui répète tout ça…

– Voyons… vous savez je suppose, que le père Bombillac a été accidenté…
– Oui.
– Vous n’ignorez pas que nous manquons cruellement de prêtres. Il nous fallait parer au plus pressé en sachant qu’on ne peut pas tout faire. Nous avons donc demandé à l’abbé Chamel d’assurer une messe non pas ce dimanche mais le suivant, quant aux confessions elles auront lieu le vendredi… le vendredi 2 mai à moins bien sûr que le père Bombillac soit rétabli d’ici là.
– Mais pourquoi avoir fermé l’église ?
– On allait pas la laisser ouverte !
– On peut le joindre comment, l’abbé Chamel.
– Il serait pour le moins cavalier de vous fournir son numéro de portable, rendez-vous compte, si tout le monde faisait ça…

Valentine est un moment désarçonnée avant de trouver la parade.

– Je vais vous passez une personne qui doit absolument pénétrer dans l’église pour des motifs professionnel.
– Mais…
– Allo, je suis Jodie Keller, je travaille au ministère de la culture dans le département de la protection du patrimoine, et j’ai été missionnée pour étudier cette église…

Un silence, l’évêque semble réfléchir.

– Eh bien vous expliquerez à votre hiérarchie que des évènements inattendus vous ont empêché de mener à bien votre mission.
– Ecoutez…
– Mettons fin à cette conversation, s’il vous plait !

Et il raccroche !

– Merde, merde et mille fois merde. On fait quoi maintenant !
– J’en ai ma claque ! Y’a une piscine dans le coin ?
– Oui, j’ai vu un panneau près de l’école !
– Alors cette après-midi, je barbotte, demain je tenterai le coup auprès du maire et du préfet et si ça ne marche pas, je rentre au bercail ! Répond Jodie

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:40

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 7 – Le curé en crise suivi de la soumission d’Igor
Domina

Valentine Ponchielli a pas mal cogité, l’histoire que lui a raconté Jodie Keller l’a intrigué bien davantage que ce qu’elle aurait imaginé.

« Je peux peut-être dénicher des choses intéressantes, et comme je n’ai rien de mieux à faire en ce moment, je vais y aller y faire un tour. Ça me fournira peut-être un sujet pour un prochain bouquin. »

Sur place, après avoir constaté que l’église était temporairement fermée, elle prend une chambre à l’hôtel du Cerf, le seul hôtel de la ville un peu potable.

Mardi 22 avril

Béatrice et Jodie s’étaient donné rendez-vous devant l’église. Cette dernière ouvre la porte et enlève le panneau préfectoral.

Les deux femmes s’embrassent chastement puis Béa va récupérer le détecteur de métaux et les casques à lampes qu’elle a emporté dans sa voiture..

Elles pénètrent dans l’église et se dirigent vers la fameuse trappe qu’elles ouvrent, puis elles descendent.

– Voilà, c’est cette cloison !

Béatrice tripote le mur à la recherche d’un indice, d’une rainure, d’une structure insolite, mais elle ne détecte rien.

– Les mécanismes cachés des passages secrets sont souvent en métal. Mon détecteur va nous le dire. Si le mécanisme est en bois nous le sauront aussi.

Mais le détecteur reste silencieux.

– Donc deux hypothèses : La première c’est un mécanisme sans métal ni bois, je n’y crois pas trop, à moins que le mécanisme soit au-delà des 12 centimètres, c’est la limite de mon appareil.
– Il existe des appareils plus puissants ?
– Oui, j’ai vu sur internet un appareil qui détecte jusqu’à 10 mètres, le problème c’est que ça coute 800 balles. Si votre contrôleur de gestion est d’accord pour réaliser cette dépense, je file à Dijon vous acheter ça.
– Pourquoi pas ? Et la seconde hypothèse ?
– La seconde hypothèse, c’est qu’il n’y a pas de passage secret.
– Bon on file à Dijon acheter votre truc !

Et en remontant ils tombent sur le curé.

– Je dois vous dire que mes paroissiens sont furieux, le maire a refusé de nous prêter la salle des fêtes pour la messe dominicale…
– Oui, bon, il a des morts, des blessés ? Se gausse Jodie.
– Bien sûr que non mais…
– Donc tout va bien. On va faire une petite course et on revient… Ah, je dois vous avertir que les deux individus qui se sont prétendus être mes collaborateurs sont en fait des petits délinquants avec des casiers judiciaires à rallonge. Je compte sur vous pour les virer s’ils s’avisaient de revenir fouiner dans l’église.

Quand Valentine Ponchielli repassa devant l’église, elle constata que le panneau de fermeture provisoire n’y était plus, et y entra avant de cheminer à la recherche du fameux vitrail.

– Vous cherchez quelque chose, ma fille, vint lui demander le curé Bombillac.
– Je ne suis pas votre fille ! Répondit Valentine avec agacement.
– C’est simplement un usage, mais comme je suppose que vous n’êtes pas croyante…
– Et alors ?
– Ici, c’est la maison de Dieu, ce n’est pas un lieu touristique !
– Et donc…
– Je vais vous prier de bien vouloir sortir.
– Et de quel droit ? Cet église ne vous appartient pas, elle appartient à la commune et vous n’avez aucun droit de m’en chasser !
– Créature du diable !
– Bon c’est un peu fini, oui ? Je vous propose de cesser les hostilités. Je ne suis pas là par hasard, je m’appelle Valentine Ponchielli et je suis professeur d’histoire à l’université. Je suis également historienne et auteur de plusieurs ouvrages.
– Et vous cherchez quoi ?
– Deux bruits me sont parvenus concernant cette église, d’abord la présence d’un local en sous-sol accessible par une trappe…
– J’avais pourtant préconisé une certaine discrétion.
– La discrétion est une valeur qui se perd, l’autre bruit c’est ce vitrail avec une inscription en latin…
– Je ne lis pas le latin… Mais qui vous a fourni ce renseignement ?
– Peu importe. Mais ces deux choses sont peut-être liées et comme je vous l’ai dit, je suis historienne et ce genre de mystère me passionne…
– Oui, bon ! Vous attendez quelque chose de particulier de ma part ?
– J’aimerais avoir accès aux archives de l’église…
– Mais pourquoi faire, le registre des mariages et des obsèques ça, vous intéresse vraiment ?
– Tout dépend de leur ancienneté.

Le curé est excédé par le toupet de cette femme qu’il commence à détester.

– Vous ne croyez pas que je vais déballez tout ça rien que pour vous faire plaisir.
– Je vous aiderai… et puis j’aimerais voir cette trappe !
– C’est tout oui ?

Le curé est au bord de la crise de nerf, son visage est congestionné, il est sur le point de péter un câble.

Il ouvre la trappe,

– Il n’y a pas de lumière ? Demande Valentine.
– Descendez, faites attention où vous posez vos pieds, je vous rejoins avec une lampe de poche.

Et saisi d’un accès subit de déraison, le curé remonte l’échelle et remet la trappe en place.

– Hé, oh ? Vous faites quoi ? Hurle Valentine qui se retrouve donc prisonnière dans cette pièce sans lumière.

Elle appelle plusieurs fois le curé, en vain…

Le curé est sortie de l’église et décide d’aller faire une virée en voiture jusqu’à Dijon où il connait une douce personne très ambigüe qui fera ce qu’elle peut pour le calmer.

« Je libèrerai cette emmerdeuse en revenant. Quelques heures dans le noir, ça va lui faire du bien ! »

Sur la route, un motard veut le doubler, le curé se déporte sur la droite un peu trop brusquement et se paie un platane.

Voiture foutue, curé à l’hôpital !

Les heures passent, Valentine appelle au secours, mais personne ne l’entend. Elle essaie de passer le temps en éclairant les cloisons à l’aide de son téléphone portable.

« Cette cloison n’est pas d’origine, elle est de construction récente, c’est sans doute là qu’il y un passage secret ! »

– Au secours, il y a quelqu’un ?

Vous allez me dire, les gens qui entrent dans l’église auraient dû entendre ses appels au secours. Parce que même si elle n’est pas conséquente la fréquentation existe. Il y a toujours quelques dévotes qui viennent prier le seigneur ou bruler un cierge à l’attention de leur saint préféré… Oui mais pendant que Valentine appelait au secours, elles n’étaient pas là… et quand elles étaient là Valentine n’appelait pas au secours.

Alors Valentine se demande quand on l’entendra, parce que, que faire d’autre ? Bouger la trappe est impossible, la pièce mesurant 2,50 m de haut ! et il n’y a rien pour grimper.

Et puis, détail trivial, c’est toujours dans ce genre de circonstances que nait une irrépressible envie de pisser. Elle commet l’erreur d’essayer de se retenir. Mais un quart d’heure plus tard l’envie devint trop forte et alors qu’elle commençait à baisser son pantalon elle le mouilla fort et bien, le reste alla constituer une insolite petite flaque.

Le heures ont passé, elle finit par s’endormir à même le sol.

Béatrice et Jodie ont eu du mal à trouver le modèle de détecteur qu’elle cherchaient. Et ce n’est à 19 heures qu’elles regagnent la bonne ville de. Grimpeau-Ridot

– On attend demain ou on y va maintenant ? Demande Béa.
– Allons-y de suite, j’ai hâte de voir le résultat.
– En espérant que le curé n’ait pas fermé l’église.
– Ne vous inquiétez pas, je me suis fait faire une copie !

De toute façon, le curé n’avait pas fermé…

– Bizarre, l’échelle est remonté ! Constate Jodie.

Les bruits du déplacement de la trappe réveille Valentine de sa torpeur

– Au secours, il y a quelqu’un ?

Inutile de vous décrire la stupéfaction des deux femmes. Stupéfaction encore accentuée chez Jodie quand elle reconnait Valentine.

– Vous ! Mais que faires vous ici ? Et qui a remonté l’échelle ?
– J’ai soif, j’ai horriblement soif !
– Mais vous êtes là-dedans depuis combien de temps ?
– Depuis ce matin ! Euh on peut sortir j’ai vraiment besoin d’un verre d’eau et en plus je me suis pissé dessus.
– Bon ok, on remonte, mais qui vous a enfermé ?
– Le curé ! Cet abruti de curé.

Les trois femmes cheminent jusqu’au bistrot du coin et s’installe en terrasse.

Valentine est à demi-choquée par son enfermement.

– Vous être sûre que c’est le curé de l’église qui vous a enfermé ?.
– Je ne sais pas si c’est le curé de l’église mais c’est un curé !
– Mais pourquoi ?
– C’est un fou ! On ne peut pas expliquer les gestes d’un fou !

Le garçon de café vient s’enquérir des commandes de ses dames :

– Un grand verre d’eau gazeuse et un Johny Walker… dans un autre verre bien sûr.

Un silence s’installe, Valentine semble partie ailleurs…

– Mais sinon, je ne m’attendais pas à vous voir dans ce patelin ! Reprend Jodie.
– Ben vous savez, je suis historienne, alors je suis toujours à l’affut d’anecdotes surprenantes… et comme vous aviez éveillé ma curiosité…

Le garçon apporte les commandes, c’est un rapide…

– Et vous espériez trouver quoi ?
– Attendez !

Elle engloutit coup sur coup son grand verre d’eau pétillante, puis la moitié de son verre de whisky.

– Je suis Béatrice Clerc-Fontaine, chercheuse indépendante, intervient cette dernière, je n’ai pas l’honneur de vous connaitre…
– Mais si souvenez-vous, vous m’aviez réparé l’an dernier un automate du 18ème siècle…
– Ah ! Je vous prie de bien vouloir m’excuser mais je ne peux pas me souvenir de tout le monde.
– Pas de souci, je suis Valentine Ponchielli, ancienne professeur d’histoire à la Sorbonne. J’ai rencontré par hasard Madame Keller, nous avons sympathisé et c’est moi qui lui ai fourni vos coordonnées.
– D’accord mais vous espériez trouver quoi en venant ici ? Reformule Béatrice.
– On ne sait jamais ce qu’on va trouver ! C’est un des charmes de la recherche historique, on démarre avec des indices, là j’en avais deux, le vitrail et la pièce du sous-sol. Quand je pense que l’autre enfoiré m’a enfermé là-dedans, si je lui remets la main dessus, je le massacre ! Je lui arrache les couilles.
– On se calme !
– Vous croyez que c’est facile, vous ?
– On va retourner à l’église, on a acheté un détecteur qui va nous dire ce qu’il y a derrière la cloison… Vous venez avec nous ?
– Ben oui, si je reste seule, je vais baliser !

Dans la nef, elles sont abordées par une dame patronnesse.

– Ah ! Bonjour mesdames, je cherche après monsieur le curé, il est nulle part, vous ne savez pas où il pourrait se trouver ?
– Ah, non !
– Je vous dit, il est devenu fou ! Commente Valentine après que la dame se soit éloignée.

Revenues dans la pièce sous la trappe, Béatrice brancha son détecteur. La réponse ne se fit pas attendre, il y avait du bois et de l’acier, mais non pas dans la cloison mais au-delà.

– Il ne semble pas y avoir de mécanisme secret, mais maintenant on est sûr que de l’autre côté, ce n’est pas vide !

Valentine examine l’état de la cloison.

– Ce ne sont pas des matériaux très anciens, je dirais que ça a été construit il y a environ 200 ans.
– C’est ce qui me semble aussi ! Approuve Jodie.

Celle-ci explique alors que si l’accès est impossible de ce côté…

– Il doit l’être de l’autre côté, sauf que cet autre côté ne fait pas partie l’église mais d’un local privatif…
– On devrait pouvoir pourrait s’arranger avec le propriétaire ? Suggère Valentine.
– J’ai essayé, ça été un refus catégorique.
– Bof, on peut toujours soudoyer les gens…
– J’ai essayé ! Répond Jodie.
– Vous lui avez proposé combien ?
– Peu importe, cette personne est intraitable !
– Alors il faut percer !
– En prenant le risque qu’un retable du 14ème siècle ou une tapisserie soit apposé sur la paroi ?
– Oui, évidemment. Donc on laisse tomber ?
– Non on laisse pas tomber, on réfléchit !

Et les trois femmes remontèrent.

– Je voudrais examiner tous les vitraux, on ne sait jamais… vous restez avec moi ?

Sara et Igor ont sillonné plusieurs fois le centre-ville sans trouver trace de Mattéo…

– Il est peut-être parti ? Suggère Sara.
– Oui peut-être ! On va aller regarder les bagnoles, on ne sait jamais.

Et quelques instants plus tard….

– Tiens une bagnole immatriculée « Ille de France » !

Ils s’approchent, regardent par la vitre, découvre un sac marqué « Galeries Lafayette » posé sur la place passagers.

– C’est forcément lui ! Conclue Igor.

Igor possède la technique pour ouvrir les portières de voiture. Il regarde négligemment le contenu du paquet des « Galeries Lafayette ».

– Bof, un gilet !

Dans la boite à gants, il trouve un bloc note, il en arrache une page vierge et griffonne un mot.

« On ne veut plus voir ta sale gueule ici ! Si tu ne fous pas le camp, on crame ta bagnole. »

Et il envoie un message à la baronne.

« Mission accomplie ! »

Et celle-ci répond !

« Bravo, tu peux venir chercher ta récompense ! »:

La baronne a envie de s’amuser mais ne souhaite pas se fatiguer à endosser sa tenue de dominatrice. Non elle est en jeans et pull-over et restera ainsi.

Elle conduit Igor dans une petite pièce dédiée à ses petits plaisirs particuliers, un mini donjon en quelque sorte, avec sa croix de Saint-André, son chevalet, ses chaines et toute la quincaillerie qui va avec.

– Alors, tu vas être mon petit esclave ? Le toise-t-elle.
– Oui, maitresse !
– Alors, à poil et à genoux.

Une entrée en matière toute simple mais qui a le pouvoir de faire bander Igor.

– Hum ! Monsieur est en forme on dirait ! Commente La baronne.
– Forcément ! Vous êtes si belle !
– Je ne te le fais pas dire !

Elle se retourne et se débarrasse de son pantalon.

– Lèche-moi les pieds !
– Oui, maîtresse.
– Mieux que ça, suce le gros orteils comme si c’était une petite bite

Les pieds de la baronne sentent un peu la sueur, mais Igor en a cure, que ne ferait-il pas pour adorer sa maîtresse ?

Martinov3007– Maintenant, tu vas baisser ma culotte et me lécher le trou du cul
– Oui maîtresse.
– Mieux que ça, connard ! Fais bien pénétrer ta langue. Voilà comme ça… Tu vois quand tu veux, bon arrête maintenant. Tu l’as trouvé comment aujourd’hui mon trou de balle ?
– Délicieux, maîtresse.
– Il avait quel goût ?
– Un petit goût indéfinissable, maîtresse.
– Je t’en foutrais des indéfinissables, allez debout.

Et elle lui accroche une pince sur chaque téton. L’homme grimace mais supporte. La baronne ne s’arrête pas en si bon chemin, deux autres pinces viennent lui mordre les couilles.

Igor grimace de plus en plus ! Eh oui, mettez-vous à sa place ! Mais ce n’est pas terminé, la baronne ajoute des poids à chaque pinces, puis lui ligature les testicules.

– C’est trop, maîtresse !
– De quoi ? Si tu veux que j’arrête il faut me dire le mot de sécurité, autrement je continue.

Il ne dit plus rien, il attend la suite.

– Bien, je suis un peu fatiguée, je vais un peu faire la spectatrice… reste comme ça je reviens tout de suite.

La baronne revient avec Sara.

– Voilà tu vas l’attacher à la croix et tu vas lui donner trente coups de cravache.

Sarah sait être aussi sadique que sa maîtresse et se met à taper copieusement le joufflu du « pauvre » Igor qui devient vite rouge comme une tomate.

La baronne affalée dans un fauteuil profite du spectacle en se tripotant la minette.

– Ok, c’est bon détache-le retire lui ses pinces et s’il a soif pisse lui dans la gueule.

Savez-vous que le retrait des pinces est autrement plus douloureux que la pose, d’autant que Sara opère sans aucun ménagement. Et cette fois Igor crie.

La soubrette demande ensuite au soumis de se coucher sur la dos, à même le sol, bouche ouverte. Mais l’urine qui lui tombe dans la bouche n’est pas pour une épreuve, ce serait davantage une récompense.

– C’est fini, tu peux aller te rhabiller…quand à toi Sara vient donc me lécher l’abricot !
– Avec grand plaisir, Madame !

Et Sara en soubrette dévouée vint lécher la chatte dégoulinante de sa patronne tout en lui doigtant le trou du cul d’un index énergique.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Mercredi 23 juillet 2025 3 23 /07 /Juil /2025 17:37

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 6 -Le faux jardinier
Stamp Mature Sodo

Quand Matéo revient, il est de nouveau accueilli par Sara.

– Madame la baronne souhaite que vous fassiez une demi-heure de tondeuse, ensuite je vous conduirais vers elle. Pour la tondeuse, elle est électrique, la batterie est chargée.

Mattéo trouve qu’il ne se débrouille pas si mal que ça, et va jusqu’à passer la tondeuse en sifflotant comme un pinson.

Au bout d’une demi-heure Sara le fait s’arrêter et le conduit auprès de la baronne.

– Bien, voyons voir ! On voit bien que vous n’êtes pas un pro…
– Je ne suis pas habitué à ce genre de tondeuse.
– Arrêtez, une tondeuse c’est une tondeuse, je ne sais pas si je vais vous garder. C’est dommage parce que vous êtes un joli garçon ! J’adore les jolis garçons ! Et vous, comment me trouvez-vous ?
– Vous êtes une belle femme !

L’art de ne pas se mouiller !

Martinov3006– Ne me faites pas une réponse diplomatique, j’ai horreur de ça.
– Non, non, je suis sincère !
– Donc je suis une belle femme, mais est-ce que je suis une femme désirable ?
– Assurément !
– Tu baiserais avec moi ?
– Vous m’embarrassez.
– Bon on ne va pas jouer au chat et à la souris ! J’ai envie que tu me baises ! On le fait ?

Mattéo se demande si la proposition est sérieuse ou s’il s’agit d’une sorte de piège.

– Je suis à votre disposition ! Répond-il après quelques instants de silence.
– Alors mettez-vous à poil, jeune homme !
– Oui… bien sûr !

La baronne le regarde se déshabiller sans rien faire.

– Vous avec une belle gueule, mais on ne peut pas dire que vous êtres très athlétique.
– Je suis désolé…
– Et le caleçon, vous allez le retirer ou pas ?
– Oui… bien sûr !
– Ouais, on ne peut pas dire que vous avez une bite de compétition. Vous croyez que vous allez pouvoir me satisfaire avec votre nouille. D’ailleurs vous ne bandez même pas !

Mattéo est profondément humilié. En d’autres circonstances il aurait sans doute giflé cette bonne femme avant de prendre ses cliques et ses claques, mais là il ne peut pas, il est en « mission » avec la possibilité d’un trésor à la clé. Il ravale donc sa honte.

– Tournez-vous que je vois comment vous êtes fait derrière ? Ah, c’est mieux, les fesses sont belles ! Vous ne seriez pas un peu pédé ?
– Je suis légèrement bisexuel, madame !
– Ah, c’est une nouvelle catégorie, ça, les bisexuels légers ? Qu’importe après tout… Je suppose que si je me mets à poil cela va booster vos dispositions ?

La baronne retire son pantalon de flanelle et son haut et la voici en soutif et petite culotte vert amande. Puis elle libère ses seins

– T’as le droit de te branler en me regardant .

Matéo se sent un peu mieux depuis que la baronne s’est déshabillée, après tout elle aurait pu le jeter et elle ne l’a pas fait ! Alors il se branle…

– Ah, je préfère la voir comme ça, cette bite, approche-toi que je te suce.

El la baronne prend le sexe du jeune homme en bouche tandis que sa main gauche s’aventure sur son fessier, index en avant, index qui ne tarde pas à lui pénétrer l’anus.

– Si tu es à moitié pédé, tu dois aimer ça, un doigt dans le cul ?
– Oui… bien sûr !
– On dit : « Oui madame la baronne »
– Oui madame la baronne.
– Allez viens dans ma chambre, on sera plus à l’aise pour baiser
– C’est que je n’ai pas de capotes…
– Mais moi j’en ai, je suis une femme moderne, moi !

La baronne s’affale sur le lit. Mattéo ne sait pas trop quoi faire.

– Ben, t’attends quoi, viens me caresser, après on passera aux choses sérieuses.

Alors Mattéo fait comme tout le monde (enfin presque tout le monde) il commence par caresser les seins, s’enhardit à les embrasser et en tiller les bouts.

Puis il descend jusqu’à la chatte dont il écarte les lèvres, il a du mal à s’y retrouver devant ce fouillis. C’est que ses expériences féminines se comptent sur les doigts d’une seule main et qu’il n’y a pas eu de cuni à chaque fois.

En fait il s’y prend comme un pied.

– Plus haut, ta langue ! Crétin !

Il fait ce qu’il peut, Mattéo, mais rien n’y fait il n’arrive pas à faire jouir la baronne

– Bon laisse tomber, tu vas m’enculer ! Il y a des capotes dans le tiroir à côté. Lui dit-elle en se mettant en position, croupion relevé et cuisses écartées.

Un position obscène qui excite Mattéo.

– Tu sais poser la capote où il faut que je t’assiste ?
– Non, ça va !

Il est étonné que ça rentre si facilement et pistonne la belle mature à un bon rythme.

Contre toute attente la sodo se déroule correctement et la baronne commence à miauler de plaisir. Miaulement qui se transforme vite en grognement de plaisir. L’égo de Mattéo s’en trouve flatté ! Rendez-vous compte, il a fait jouir la baronne… et il jouit dans la foulée.

– Oh ! tu m’as bien enculé, c’était trop bon ! J’adore me faire prendre par le cul ! Je suis une enculée et fière de l’être ! Dis-le-moi que je suis une enculée !
– Vous êtes une enculée, madame la baronne !

Les agents secrets et autres espions en tout genre savent que la période qui suit les débats amoureux est souvent propice aux confidences (les fameuses confidences sur l’oreiller)

Alors Mattéo après avoir demandé l’autorisation de griller une cigarette se lance.

– Je voudrais vous parler d’un sujet en rapport avec l’église de Sainte Pétassouille.
– Eh bien nous en reparlerons une autre fois, là maintenant je n’ai pas le temps, j’ai un coup de fil urgent à passer.

Mais que se passe-t-il donc ?

Pendant l’acte, la baronne s’était dit qu’elle avait déjà vu le visage de ce beau jeune homme quelque part. Mais où ? Et l’allusion qu’il vient de faire à l’église de Sainte Pétassouille vient de lui fournir la réponse.

« Tout s’explique, ce con qui ne sait même pas se servir correctement d’une tondeuse, en a après ma porte blindée derrière l’église. Il croit pouvoir me manipuler, mais c’est moi qui vais le manipuler ! On va rigoler !  »

La baronne laissa passer une heure avant de convoquer de nouveau Matteo.

– Laissez tomber le gazon pour le moment, vous allez vous occuper des rosiers, vous enlevez ce qui est fané, vous aérez un peu tout ça et vous nettoyez toutes les saloperies.
– Bien madame !
– Allez, au boulot mon vieux.
– Euh, si vous avez cinq minutes…
– Quoi ?
– Vous allez me trouver curieux mais…
– Mais quoi ? Arrêtez de tourner autour du pot !
– J’aime bien les vieilles pierres, aussi j’ai voulu visiter l’église mais elle est fermée…
– Comment ça, elle est fermée ?
– Ben oui, il y a un panneau sur la porte.
– Première nouvelle ! Et alors ?
– Ben alors j’ai fait le tour, et là je suis tombé sur une porte blindée. Une porte blindée dans une église, je ne comprenais pas. Une passante s’est rendu compte de mon embarras et m’a indiqué qu’il s’agissait d’une dépendance « géré par la baronne ». Je me demandais si cette baronne, c’était vous ?
– Et qu’est-ce que ça peut bien vous faire ?
– Simple curiosité.
– Y’a une éternité que je n’ai pas foutu les pieds dans ce machin, c’était l’arsenal de mon grand-père.
– Ah ?
– Mon grand-père faisait de la résistance, il était chef de réseau. A la libération il a refusé de rendre les armes et il les a planqué là-dedans, et il y en a un paquet, des fusils mitrailleuses, des grenades, des mines, des bombes, des caisses de munitions…
– Ah ! Ça m’aurait intéressé de voir ça.
– N’y pensez même pas ! Et d’ailleurs je ne sais même plus où j’ai foutu la clé. Bon maintenant que votre curiosité est satisfaite, il serait peut-être temps de vous occuper de mes rosiers. Allez, au boulot jeune homme !

Matteo est dépité, il se demande si sa présence ici peut lui apprendre encore quelque chose.

La baronne briefe rapidement Sara et l’envoie auprès de Matteo au prétexte de vérifier si les rosiers sont en bonne main.

Matteo voit Sara s’approcher, il prend ça pour une aubaine, car pour lui, c’est bien connu, les domestiques, ça cause !

– Ça va ? c’est pas trop dur ?
– Ça va mais je suis en train de me niquer les mains.
– Si vous enfiliez des gants, ce serait mieux, non ?
– Bien sûr, je n’y avais pas pensé.
– C’est la patronne qui vous fait perdre la tête ?
– Ça doit être ça, oui ! Au fait vous êtes au courant pour ce local derrière l’église ?
– Au courant de quoi ?
– De ce qu’il y a dedans !
– Bien sûr, Madame Agathe ne me cache rien !
– Et il y a quoi ?
– Ah ! Ça, j’ai promis de ne pas le dire !
– C’est si secret que ça ?
– N’insistez pas !
– Même contre un petit billet ?
– Contre un petit billet, je peux vous faire une bonne pipe, mais pour le reste je suis une vraie tombe.
– Vous y allez souvent ?
– Vous devenez lourd, monsieur Mattéo ! Occupez-vous donc des rosiers… et mettez des gants !

Et Sara repartit en gigotant du popotin.

Mattéo se dit alors qu’il n’apprendrait rien de plus en restant ici, il abandonne les rosiers, s’en va vers la cabane de jardin récupérer son sac à dos, puis quitte les lieux et se dirige vers le centre-ville.

Ce n’est qu’une demi-heure plus tard que Sara se rend compte de la disparition de ce curieux jardinier. Elle en informe sa patronne.

– Merde ! Je le pensais plus pugnace ! Ce type a besoin d’une leçon, j’ai horreur des fouineurs. Je vais demander à Igor de s’en occuper.

Igor est comme on dit « agent de sécurité »; il travaille par intermittence dans les deux supermarchés des localités avoisinantes et il est en relation avec la baronne pour des raisons que nous découvrirons plus tard. C’est un costaud, assez bel homme pour qui aime le genre.

– Igor ! Il y a un abruti qui mène une enquête sur notre local derrière l’église…
– Et alors, on n’y fait rien de mal ?
– Je sais bien mais ce qui est discret doit rester discret, je n’ai pas envie qu’il aille raconter ça à tout le monde s’il découvre ce que c’est.
– Et vous voudriez que je fasse quoi ?
– Lui foutre la trouille de façon à ce qu’il dégage de la ville. Attention juste de la trouille, pas de violence physique, Il ne faudrait pas qu’il porte plainte non plus !
– Et je le reconnais comment ?
– Tu vas sillonner le centre-ville, Sara va t’accompagner.

Mattéo a rejoint Augusto.

– J’ai fait choux blanc. Pas moyen de tirer quoique ce soit de cette salope de baronne de mes couilles. Et sa boniche est aussi conne qu’elle.
– On se calme !
– Non, je suis trop véner !
– On fait quoi, on laisse tomber ? Demande Augusto. On s’est mis en arrêt maladie pour des prunes !
– On peut rester deux trois jours, quand l’église va rouvrir on verra si on peut faire quelque chose !
– Et en attendant ?
– En attendant, on va glander, il y un billard au bistrot, on y va ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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