Pr Martinov

Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:32

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –14 – Agathe de Millevois par Maud-Anne Amaro

Goldevaine2

Après avoir bu un jus de fruit bien mérité, le professeur et Béatrice retournèrent à leur labeur. Le pli étant pris ils allèrent plus rapidement en besogne.

Ils découvrirent dans la deuxième petite pièce, deux squelettes, probablement un homme et une femme. Dans la troisième pièce, il n’y avait aucun cadavre, juste un petit coffre en bois cerclé, relativement bien conservé.

On l’ouvrit d’autant plus facilement que le mécanisme était rongé par la rouille. A l’intérieur point de trésor, mais quelques objets intimes, un miroir, un étui de poignard et un manuscrit en mauvais état.

– Bien professeur, je vous félicite, votre mission est terminée, je vais vous régler vos émoluments, j’aimerais toutefois vous confier une tâche supplémentaire, seriez-vous en mesure de restaurer ce manuscrit ?
– Oui, ça se fait !
– Eh bien, je vous propose de trinquer au verre de l’amitié et qui sait ce manuscrit nous dira peut-être si un trésor est planqué quelque part. Sait-on jamais ?
– Il faudrait donner une sépulture décente à ses pauvres gens. Intervient Camilla.
– Camilla, on ne vous a rien demandé ! Rétorque Grégoire.
– Je vous conseille de n’en rien faire ! Indique Martinov, j’ignore si une procédure est prévue en pareil cas mais ça risque d’être lourd, le ministère de la culture, le département des monuments historiques… il vont vous prendre la tête…
– Mais je ne peux pas conserver ces squelettes dans mon château !
– Je vous propose d’attendre qu’on ait déchiffré le manuscrit, ensuite on avisera…, souhaitez-vous que je vous masque les trous avec du contreplaqué ?
– Je saurais faire, il m’arrive d’avoir la main bricoleuse ! Ne rigolez pas Camilla !

Grégoire Lamboley a désormais une idée fixe, il reste persuadé qu’il y a un trésor de planqué quelque part dans ce château, c’est donc avec une grande impatience qu’il attend les résultats du professeur Martinov. Mais en attendant il se livre à sa propre enquête…

Il se rend donc chez le libraire du coin et se présente…

– Il n’existe pas un ouvrage consacré au château de Grandpré ?
– Il n’y a pas grand-chose, mais il y a deux ou trois ans un étudiant en histoire a fait publier à compte d’auteur un mémoire sur l’histoire du château, ça n’a pas intéressé grand monde, il doit m’en rester quelques exemplaires à la cave, vous en voulez un ?
– Et cet étudiant vous avez ses coordonnées ?
– Non, et il n’était pas de la région…
– Bon tant pis… Je veux bien un exemplaire de son travail.

L’ouvrage relate plusieurs siècles de la vie du château depuis le 9ème siècle jusqu’à la Révolution, période au cours de laquelle le châtelain régnant et une partie de sa famille furent guillotinés après un simulacre de procès tandis que le château fut au trois quarts détruit par les flammes…

Grégoire Lamboley lit tout cela un peu dans le désordre rageant de ne rien trouver qui l’intéresse puis il tombe sur ce chapitre :

« Enguebert, le baron sanguinaire

Enguebert fut sans doute le baron le plus sanguinaire des châtelains, une sorte de Barbe bleu… En autres exactions, les chroniques de l’époque rapportent qu’il aurait fait décapiter sa première femme coupable de « trahison », il fit pendre sa deuxième épouse et l’amant supposé de cette dernière, pour fait d’adultère.

Après un troisième mariage avec Agathe de Millevois, il partit pour la troisième croisade en l’an 1190 et ne revint jamais. »

Donc tout s’explique ! Se dit Grégoire, le premier squelette est celui de sa première femme, les deux autres ce sont sa seconde épouse et son amant, tout cela date du 12eme siècle, mais pour ce qui est du trésor, je ne suis pas plus avancé !

Sauf que les déductions de Grégoire étaient fausses…

Béatrice a réussi à rendre visible l’encre avec laquelle a été rédigé le manuscrit, mais le résultat est à peine compréhensible, mélange de vieux français et de patois local.

– On ne peut pas rendre le truc comme ça à Lamboley, ça ne lui servira à rien, on va chercher sur Internet un linguiste spécialisé dans le vieux français

Alexandre Bonner est une sorte d’excentrique, binoclard et volubile, sa veste démodée est envahie de pellicules au niveau du col. Il rendit son travail sous quarante-huit heures.

– C’est une belle histoire, je vous l’ai restitué sous trois formes, une traduction littérale qui offre pas mal de points obscurs, une traduction adaptée épurée de tous ce qui peut paraître obscur, et une troisième où je me suis permis de romancer tout ça dans une courte nouvelle.

C’est cette dernière que lurent le professeur et Béatrice et que nous allons lire nous aussi :

La confession d’Agathe

Je m’appelle Agathe de Millevois, veuve du vicomte de Millevois mort accidentellement lors d’un tournois, ma famille m’a fait remarier au baron Enguebert de Comondec.

Je suis coupable de plusieurs crimes pour lesquels les flammes de l’enfer me sont promises.

J’ai péché en tuant trois personnes de sang-froid, j’ai péché en me complaisant dans un double adultère et dans la sodomie.

Alors à quoi bon me confesser devant un prêtre ? Je consigne néanmoins ces événements espérant sans trop y croire que Dieu dans sa grande clémence saura me pardonner, sachant que je souhaitais protéger ma propre vie.

Le mariage fut célébré en grandes pompes mais très vite de baron s’est révélé sous un jour brutal, autoritaire et sadique, il prenait plaisir à torturer ses domestiques sous des prétextes futiles avec la complicité de son écuyer et il était en cela encouragé par sa mère, Blanche de Comondec qui le dominait totalement, je n’échappais pas à ses instincts et fut flagellée plusieurs fois en présence de la mère.

Enguebert consignait ses faits et méfaits dans un journal intime que je découvris par le plus grand des hasards.

Il expliquait avoir fait décapiter sa première épouse pour un acte de trahison dont je n’ai pas saisi le sens, il poursuivait en écrivant que sa mère avait surpris sa deuxième femme en situation compromettante avec le capitaine de la garde, il avait fait pendre les deux amants adultérins et fait jeter leur dépouille aux chiens.

Parallèlement je développais un amour platonique avec Raoul le chef cuisinier du château. De platonique cet amour devint rapidement charnel et il me fit connaître des voluptés insoupçonnées mais interdites.

Raoul, étant donné son grade bénéficiait d’une chambre individuelle, quand il me proposa de m’y emmener afin qu’il puisse me baiser, je ne sus refuser.

L’homme était doux et me couvrait de caresses, je n’avais touché que la bite de mon époux Raoul me demanda de toucher la sienne, j’en éprouvait la douceur, mais quand il me demanda de la prendre en bouche, j’hésitais.

– Donne-moi du plaisir et je te le rendrai au centuple. Fais-moi confiance.

Ces paroles me plurent et me retrouvais en train de sucer cette organe avec l’étrange sensation de pécher gravement.

Il faut croire que je m’y prenais mal car Raoul fut obliger de me conseiller afin que j’accomplisse cette tâche impie de meilleure façon.

– J’aime qu’on me suce, mais maintenant c’est moi qui vais te lécher le con.

J’ai trouvé l’idée farfelue mais me suis laissé faire, quand on a un expert de la chose en face de soi, il convient de le laisser opérer sans le contrarier.

Très vite, j’ai ressenti des frissons insolites, des frissons de plaisir, c’était bon et je me suis abandonné à sa douce langue.

Ce plaisir est devenu de plus en plus fort, de plus ne plus incontrôlable et soudain n’en pouvant plus, j’ai criéMartinov2814

– Mais que m’as-tu fait ?
– Je t’ai donné du plaisir, tout simplement ! Maintenant je vais te baiser.
– N’est-ce point dangereux ? As-tu réfléchi ? Que se passerait-il si tu m’engrossais ?
– Mais ma douce, ce n’est point par le con que je vais te baiser, mais par le cul !
– N’est-ce point pécher que de faire pareille chose ?
– Au point où nous en sommes !
– Tu ne croirais donc pas au Dieu du ciel ?
– Bien sûr que j’y crois, la création ne s’est pas faite toute seule ! Mais c’est aux paroles des curés que je ne crois plus. Si Dieu est si bon pourquoi aurait-il créé les moustiques et champignons vénéneux ? Pourquoi aurait-il proscrit le plaisir charnel ?
– Ces propos me troublent…
– Alors passons à autre chose, me feras-tu don de ton cul ? Si tu refuses, je ne serais pas fâché, j’attendrais que tu sois décidée.

Alors je lui ai offert mon cul, j’ai ressenti un très grand plaisir, moins intense que celui que m’avait procuré sa langue, mais quand même !

Nous nous sommes ainsi rencontrés plusieurs fois de suite toujours avec le même plaisir, et un jour il me dit une étrange suggestion.

– J’ai appris à lire et un jour je suis tombé sur un manuscrit reprenant des récits des Grecs anciens dans lequel il est question de l’art de l’amour. J’y ai appris beaucoup de choses… mais sais-tu que pour eux l’amour le plus fort, celui qui multiplie les sensations et les plaisirs c’est l’amour de groupe.

Je me demandais où il voulait en venir…

– Sais-tu que Quentin, l’un de mes cuisiniers, rêve en secret de faire l’amour avec toi ?
– Non bien sûr ! Mais pourquoi me parler de ce garçon ?
– Si nous l’invitions à nos jeux amoureux ?
– Mais je ne l’aime point !
– Qui te parles d’amour ? Ce sera juste pour le plaisir !

Curieusement je ne refusais pas mais me demandais à moi-même comment pourrais-je avoir le courage d’annoncer à mon confesseur toutes ces turpitudes ?

Le lendemain, nous étions trois dans la chambre, je découvrais le vit de Quentin, plus épais que celui de Raoul, et le suçais avec conviction pendant que Raoul me prenait le cul.

Après un moment mes deux amants permutèrent, l’introduction dans mon intimité arrière du vit de Quentin me fit d’abord un peu mal mais la douleur s’estompa faisant place au plaisir.

Quentin après avoir pris son plaisir eu la délicatesse de nous laisser Raoul et moi, afin que notre rencontre se termine par de douces caresses.

Malgré tous ces instants de plaisir et de bonheur, je me sentais en danger. Avec raison ou non, je soupçonnais Blanche de nous avoir observé.

Si je voulais éviter un destin funeste, il me fallait prendre l’initiative.

Parallèlement Enguebert se préparait à rejoindre le duc d’Anjou afin de participer à la troisième croisade, je devais saisir cette opportunité.

Assistée d’une servante dont je tairais le nom, mais bien contente de se venger des sévices qu’on lui avait fait subir, j’empoisonnais Enguebert qui partit se coucher avec d’atroces douleurs avant de passer de vie à trépas, je dissimulais sa mort à son entourage et restais à veiller sa dépouille.

Quand sa mère, inquiète, pénétra dans la chambre, je la poignardais la tuant sur le coup, puis je fis appeler le chef de la garde et le reçu sur le pas de la porte

– Le seigneur Enguebert a eu un malaise passager, il est maintenant rétabli, il partira cette nuit rejoindre de Duc d’Anjou avec son fidèle écuyer, qu’on le fasse venir d’urgence.

Je congédiais le chef de la garde et quand l’écuyer pénétra à son tour dans la chambre, il goûta de mon poignard et succomba sur le champ

Il existait dans nos appartements privés trois petits renfoncements sans utilité. Au milieu de la nuit avec l’aide de Raoul et de Quentin, j’emmurais le corps de Blanche dans un de ces petits réduits, ceux d’Enguebert et de son écuyer dans un autre. L’opération fut facile puisqu’un amas de pierres se trouvait sur le chemin de ronde, prête à être utilisées en cas d’attaque du château. Et Raoul m’avait procuré du mortier.

Avant que le jours se lève, Raoul se revêtit de l’armure et du heaume d’Enguebert, tandis que Quentin prenait la place de l’écuyer. Ils quémandèrent l’ouverture du pont-levis et chevauchèrent dans la direction d’Angers.

Sans doute certains soupçonnaient-ils quelque chose mais ils ne le firent point savoir, la version officielle étant que le baron était parti rejoindre en pleine nuit les troupes du duc d’Anjou.

Le plan prévoyait que Raoul et Quentin reviennent le lendemain, débarrassés de leurs déguisements. J’ignorais totalement quelle serait à présent ma nouvelle vie, mais Raoul m’avait assuré que je pouvais compter sur lui et qu’il avait quelques idées…

Je n’ai jamais revu ni Raoul, ni Quentin, sans doute par crainte que leur complicité dans mes crimes soit découverte, sont-ils aller se faire pendre ailleurs me laissant seule et désespérée avec mes illusions perdues et ma honte.

Je vais dès demain cheminer vers le couvent de Lubrant, j’y prendrais le voile et resterais cloitrée en m’efforçant d’expier mes péchés.

Il me reste maintenant à emmurer cette confession après l’avoir déposée dans un coffre avec mon miroir qui savait refléter ma beauté qui désormais ne me servira plus, ainsi que la trousse dans laquelle je cachais le poignard avec lequel j’avais assassiné Blanche et l’écuyer..

Que Dieu puisse me pardonner !

Fin du récit d’Agathe.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:29

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –13 – Le réconfort de Béatrice par Maud-Anne Amaro
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Le lendemain

Les outils se trouvaient dans une cabane de jardinier, Et Martinov put avec d’infimes précautions déceler la première pierre, cela prit un certain temps ? Ensuite ce fut plus facile.

Le trou laissait passer une odeur nauséabonde de pourriture, Martinov activa sa lampe torche.

– Pouah, c’est quoi ce bordel ? S’il y a un trésor là-dedans, il pue la charogne.

Et puis…

Grégoire Lamboley est confortablement affalé dans un fauteuil moelleux du salon, Camilla est entre ses jambes prête à lui prodiguer une ces turluttes dont elle a le secret…

Le professeur entre en trombe dans le salon…

– Hé, vous ! On ne vous jamais appris à frapper avant d’entrer ?
– Monsieur Lamboley, on a trouvé quelque chose derrière le mur…
– Un trésor ?
– Non, un squelette !
– Quoi ? un squelette récent ?
– Non, il n’a pas l’air vraiment récent, c’est un squelette de femme, je présume.
– Vous savez reconnaitre un squelette de femme, vous ?
– Oui l’os du bassin est plus large chez les femmes.
– On en apprend tous les jours, je vais aller voir ça, Camilla nous reprendrons nos fantaisies un peu plus tard.
– Je peux voir le squelette, moi aussi ? Demanda-t-elle.
– Mais bien sûr !

Ils se dirigèrent tous trois vers le mur à moitié dégagé.

– Pouah, quelle odeur ! J’ignore comment nous allons gérer cette découverte, si vous avez une idée je suis preneur.
– Il faudra donner une sépulture décente à cette malheureuse ! Suggéra Camilla.
– Sans doute, sans doute…. Monsieur Martinov je vous suggère avant toute chose de vous occuper des autres petites pièces…
– C’était prévu, monsieur Lamboley.
– Mais je ne vois pas Béatrice.
– Disons que cette découverte l’a un peu remué, elle est partie en cuisine s’hydrater un peu.
– Oh ! Camilla allez rejoindre cette pauvre enfant et réconfortez-là.
– Avec grand plaisir, monsieur !

Camilla se rend donc dans la cuisine, elle y trouve Béatrice assise sur une chaise et pâle comme un linceul!

– Besoin d’aide, Mademoiselle Béatrice ?.
– Non, ça va aller, je ne sais pas ce qui m’a pris, c’est ce squelette qui m’a perturbé, c’est complétement irrationnel.
– Je peux faire quelque chose ?
– Non, je vais retourner là-bas, mais t’as le droit de me faire un bisou.

Mais quand on est coquine et qu’on se fait un bisou, il devient forcément profond et baveux. De plus Camilla en profite pour peloter les seins de la chimiste. (Quelle coquine celle-ci !)

– Attends, on ne va pas se gouiner dans la cuisine ! Proteste Béa assez mollement.
– Moi j’aime bien baiser dans des endroits insolites. Assis-toi sur le plan de travail, j’ai envie de te faire une léchouille.
– Tu exagères ! Répondit la blonde tout en adoptant la position suggérée.

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Béatrice baissa son pantalon, mais conserva son string, se contentant de l’écarter afin de laisser le passage à la langue de la blackette, laquelle se mit lécher cette chatte accueillante avec gourmandise..

– Relève un peu tes fesses, j’ai envie de te lécher le petit trou !
– Cochonne !
– Bien sûr que je suis cochonne ! Hum il est délicieux ton troufignon ! Commente-t-elle avant de tenter d’y introduire le bout de sa langue.

– Camilla ne revient pas, il se passe quelque chose… s’inquiéta le professeur Martinov.
– Allons voir ! Proposa Grégoire Lamboley.

Les deux hommes s’attendaient à une scène dramatique, à la place ils ont droit à une scène érotique.

– Ouf, tout va bien… mais c’est très excitant ce qu’elles font là ! Annonce Grégoire.
– On pourrait avoir un peu d’intimité, messieurs ? Déclare Béatrice (sans trop de conviction d’ailleurs)
– Faites comme si nous n’étions pas là, nous on regarde.
– C’est cela mettez-vous en plein la vue, vieux cochons. !
– Mais quelle impertinence ! J’ai bien envie de me branler en les regardant, ça ne vous choque pas, Monsieur Martinov ?
– Faites comme chez vous !

Et voilà donc Grégoire Lamboley qui sort de sa braguette une bite déjà bien bandée.

– Vous avez une bien jolie bite ! Ne peut s’empêcher de constater le professeur.
– Si elle vous intéresse, ne vous gênez surtout pas.

Ben justement puisqu’il en a la permission, il ne va pas se gêner, il prend en main cet intéressant membre de chair, le caresse un peu puis… hop dans la bouche.

– Monsieur Martinov vous êtres un cochon !

Le professeur ne répond pas (on ne parle pas la bouche pleine) mais pompe allégrement jusqu’à s’en décrocher la mâchoire.

– Aimeriez-vous que je vous encule ? Lui suggère Grégoire.
– Puisque vous me le proposez gentiment, je ne saurais refuser.

Et pendant qu’il se débarrasse de son pantalon, la cuisine se remplit d’un son qu’on entend d’ordinaire en chambre, celui de la jouissance de Béatrice.

Celle-ci, qui va donc beaucoup mieux, invite Camilla à inverser les rôles, ce que cette dernière s’empresse d’accepter.

Martinov c’est placé en levrette sur le carrelage de la cuisine et attend que Grégoire vienne lui défoncer le fion.

– Merde… les capotes ! Se rend compte Lamboley. Camilla allez donc me chercher un préservatif.
– Mais Monsieur voit bien que je suis occupée !
– Camilla, il est meilleur plaisir qu’un plaisir retardé !
– J’y vais, j’y vais.

Moment calme en attendant le retour de Camilla, personne ne sait quoi dire…

Et puis ça repart, Camilla reprend sa place, Grégoire s’encapote et sodomise le professeur avec vigueur, tandis que la langue de Béatrice envoie sa partenaire au ciel.

– Oh, qu’est-ce que c’est bon une bonne bite dans le cul ! S’exclame Martinov

Grégoire après s’être agité comme un beau diable, jouit et décule. Le professeur se relève et fait comprendre à l’assistance qu’il aurait aimé jouir lui aussi.

Qu’à cela ne tienne, Camilla et Béatrice se précipitent et lui prodiguent une turlutte à deux bouches au terme de laquelle son sperme gicle sur les gros nichons de la blackette qui s’amuse à se l’étaler comme s’il s’agissait d’une crème de beauté…

Bien sûr, Béa ne peut la laisser ainsi et vient lécher ce délicieux foutre.

– Faut que je pisse ! Déclare Martinov en reprenant ses esprits.
– Offrez-moi donc votre pipi ! Répond Camilla
– Moi je veux bien mais on va en mettre partout…
– On s’en fout, je passerais la serpillère…
– Dans ce cas… Répond le professeur en ouvrant les vannes.

Son urine atterrit dans le gosier de la petite blackette. Evidemment Béatrice ne peut rester insensible à ce spectacle et vient quémander sa part… Le contraire eut été étonnant.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:26

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –12 – Les cousins par Maud-Anne Amaro
Gaystamp

Jean-Yves Lamboley arrivé à Bourg-la-Nonne repère de suite le château, il l’a déjà vu en photo sur le courrier du notaire, mais là il est devant lui

– C’est loin d’être le plus beau château de France mais il a de la gueule malgré son côté rafistolage, et bientôt ce sera peut-être MON Château !

Il se présente à l’entrée, Camilla lui ouvre et l’introduit auprès de Grégoire Lamboley.

– Bonjour, je suis Jean-Yves Lamboley, nous sommes cousins m’a-t-on dit ?
– Enchanté.
– Je me devais de faire cette visite de politesse.
– Asseyez-vous, puis-je vous offrir un vieil armagnac, il provient de la cave de notre grand oncle
– Volontiers.
– Si j’ai bien compris, nous sommes les deux héritiers, quoi qu’il y a ma mère également…
– C’est en effet ce que m’a indiqué le notaire.
– Sans doute devrions nous en discuter ?
– Très certainement, mais comment trouvez-vous cet Armagnac ?
– Il déchire. Mais pourquoi cette digression ?
– J’ai envie de vous dire quelque chose.
– Je vous en prie.
– Je vous trouve très beau, vraiment très beau !

Jean-Yves s’attendait à tout sauf à ça.

– Seriez-vous attiré par les hommes ? Répondit-il par reflexe
– Cela m’arrive, cela m’arrive …
– Confidences pour confidences, je suis gay
– Eh bien au moins les choses sont claires, en d’autres circonstances je vous aurais dragué.

Un ange passe, les deux cousins paraissent aussi embarrassés l’un que l’autre. Mais c’est Jean-Yves qui relance au culot :

– Remarquez, nous pourrions oublier les circonstances, je vous plais et vous ne m’êtes pas indifférent non plus. On ne vit qu’une fois sacrebleu !
– Eventuellement seriez-vous contre un petit trip sexuel, cela nous détendrait et permettrait de briser la glace ? relance Grégoire Lamboley.
– Mais ce serait avec grand plaisir mon cher cousin !
– Je peux me permettre de vous toucher la braguette ?
– Je vous en prie, faites comme chez vous !
– Hum, je sens quelque chose de dur !
– Comme c’est étrange ! Fouillez à l’intérieur vous avez ma permission.

Grégoire Lamboley plane complétement, il est fasciné par la beauté trouble de son cousin, il lui dégrafe sa ceinture, fait tomber le pantalon, le caleçon à fleurs suit, la bite se dresse fièrement.

– Bel organe !
– Nous pourrions peut-être nous déshabiller tous les deux, se serait cool.
– Alors soyons cools.

Les deux cousins se déshabillent donc et se font face, bites bandées et ne peuvent s’empêcher de se rouler une gamelle bien baveuse.

– Vous me faites un de ces effets ! Murmure Grégoire.
– Au point on nous en sommes nous pourrions sans doute nous tutoyer.
– Cela va de soi, mon prénom c’est Grégoire, juste Grégoire, j’ai horreur qu’on m’appelle Greg. j’aime bien tes tétons, tu aimes qu’on te les pinces.
– Oui pince-les fort ! Et toi tu aimes aussi ?
– J’adore !
– Nous sommes décidemment fait pour nous entendre.

Et nos deux joyeux gays s’amusent à se tortiller les bouts de seins, fantaisie propre à saisir leur bite comme des bouts de bois.

Et à ce stade, qui va le premier sucer la bite de l’autre ?

Eh bien c’est Grégoire qui d’une simple flexion se retrouve bouche contre pine.

Elle est trop belle cette queue, bien droite, la peau diaphane laissant apparaître une impertinente veine bleue, le gland brillant et violacé… un véritable bijou d’amour !

Grégoire pompe cette bite avec une frénésie incontrôlable tandis que sa main passé derrière Jean-Yves, lui flatte les fesses et s’approche stratégiquement du trou de balle.

– Tu suces bien…Mais j’aimerais bien profiter aussi de ta queue…

Martinov2812Grégoire lui fait signe qu’il a compris mais qu’il souhaite encore profiter de sa fellation quelques instants.

Il lèche la hampe, titille le gland, flatte les couilles… toute la gamme du bon suceur de bites…

Puis les deux hommes échangent leurs rôles, Jean-Yves suçait divinement et faisait se pâmer d’aise son cousin, mais Grégoire voulait jouir d’une autre façon…

– Tu aimerais que je te baise ?
– Volontiers.

Il se dirige vers le buffet, cherche des préservatifs, ne les trouve pas et sonne l’interphone.

– Camilla, je ne trouve plus les capotes…
– Ah ? Dans votre chambre, sans doute !
– Bien sûr, suis-je bête !
– Vous pouvez me les apporter ?
– Bien sûr, monsieur !

Et quelques minutes après, elle apparaissait avec les préservatifs dans sa main, pas plus étonnée que ça de découvrir son patron et son visiteur nus et en pleine forme.

– Merci Camilla, c’est pour sodomiser mon cousin !
– J’avais compris, amusez-vous bien !
– Elle est marrante ta soubrette ! Indiqua Jean-Yves, une fois qu’elle fut sortie.
– Elle est adorable.

Jean-Yves s’est retourné, il est arcbouté contre un fauteuil, cul tendu. Grégoire vient lui lécher la rondelle à grands coups de langue, puis après s’être encapoté le zigouigoui, il encule son cousin .

– Ou, vas-y met la moi bien profond !

Justement c’est ce qu’il fait ! La bite fait de longues allées et venues dans le conduit rectal, Jean-Yves pousse des gémissements de plaisir tout en se branlant., Grégoire s’agite de plus en plus vite, son sang lui monte à la figure, il sent sa jouissance proche, il tente de ralentir mais s’en avère incapable, alors il se laisse aller et prend son pied avec un grognement de satisfaction.

– Eh bien, ça m’a donné chaud, je n’étais pas vraiment venu pour ça. Déclare Jean-Yves en se rhabillant.
– Les choses ne se passent jamais comme on croit qu’elles vont se passer. Répond doctement Grégoire.
– Oui mais à ce point… Il nous faut malheureusement revenir sur terre, et parler du château…
– Le château ? Et si nous l’achetions à deux ?
– Voilà une proposition inattendue, mais elle ne me déplaît pas.
– Topons là, mon cher cousin !

Mais voici que le professeur Martinov se pointe comme une fleur.

– Euh, je suis désolé, j’aurais dû frapper, je ne pouvais pas savoir…
– Allons, allons, Monsieur Martinov, ne jouez pas les jeunes filles, nous sommes entre adultes, que diable ! Ah, je vous présente Jean-Yves, mon petit cousin. Il a un jolie bite, n’est-il pas ?
– Enchanté ! Monsieur Lamboley, nous avons fait des sondages à l’aide d’instrument pointus…
– Oui, le coupe Grégoire, ce château est plein de mystères, des passages secrets, des chambres secrètes j’ai même cru un moment qu’il était hanté, heureusement que vous êtes là, mon cher professeur Martinov pour m’aider à y voir clair.
– Donc, put reprendre le professeur, je pense que ces pièces sont murées, on ne va pas donner des coups de pioches, je vous suggère que nous descellions les pierres avec précaution.
– Faites, mon vieux, faites, souhaitez-vous vous faire assister par un maçon ?
– Non mais il va falloir me dire où sont les outils, sinon je peux toujours aller en acheter.
– Voyez avec Camilla, elle va vous indiquera où se trouve tout ça ! Je vais l’appeler…

– Monsieur me demande ?
– Camilla, le professeur Martinov va avoir besoin de vous, vous verrez avec lui…
– Bien Monsieur
– Ce n’est pas tout, ce soir prévoyez un diner pour quatre personnes,
– Faut que je fasse des courses, alors ,
– Mais faites, mon petit, faites ! Et dernière chose vous préparerez une de nos chambre d’amis pour mon cousin Jean-Yves.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:23

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –11 – Massages au château par Maud-Anne Amaro
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Et le surlendemain, nos deux joyeux drilles étaient sur les lieux avec le matériel adéquat. Ils pensaient boucler l’affaire rapidement, mais durent déchanter.

– Quelque chose m’échappe, je me demande si ces pièces ne sont pas carrément murées ? Fait remarque le professeur Martinov à Lamboley
– Dans ce cas il faudra ouvrir à la pioche, mais ça m’embête un peu, je ne voudrais pas que l’on casse quelque chose !
– Nous allons continuer à chercher ! Le rassure Béatrice.

– Camilla, venez donc me voir. Ordonne Lamboley dans l’interphone.

La jolie soubrette à la peau d’ébène accourt.

– A votre service, monsieur !
– Figurez-vous, Camilla que je suis tombé sur le journal intime de mon grand-oncle. Il raconte de ses choses… si je comprends bien, vous êtes une sacrée coquine !
– Oh, ne me jugez pas mal, monsieur, j’apportais juste un peu de réconfort à monsieur Albert, il était si gentil !
– Mais je vous juge pas, Camilla, je n’ai rien contre les coquineries, mais que diriez-vous si je faisais appel à vos disponibilités ?
– Monsieur désire-t-il une petite turlutte ? Monsieur Albert me disait toujours que je suçais comme une déesse !
– Je n’en doute pas un instant mais ce n’est pas pour moi…
– Je crains de ne pas comprendre, monsieur.?
– Ce monsieur Martinov qui est dans nos murs cherche comment entrer dans ces pièces secrètes que j’ai découvert sur plan. Je ne voudrais pas qu’il se décourage. Alors autant qu’il se sente bien ici et qu’il ait envie de rester, c’est là que j’aimerais que vous interveniez.
– Ah oui, mais il y a une dame avec lui…
– Improvisez, faites pour le mieux.
– Je me permets de dire à monsieur que Monsieur Albert me gratifiait d’un petit billet pour ce genre de choses et…
– Cela va sans dire et rassurez-vous ce ne sera pas un petit billet mais un gros billet !

Alors elle y va…

– Oh, monsieur Martinov, toutes ces manipulations ! Ce doit être pénible à votre âge !
– J’ai encore la forme, voyez-vous !.
– Je suis pourtant persuadée qu’un petit massage relaxant vous ferait le plus grand bien. Reprit Camilla avec un œil égrillard.
– C’est gentil, mais on a du travail. Répond le professeur sans trop de conviction.
– Laisse-toi faire, ça te fera du bien ! Intervient Béatrice.
– Bon alors je vais me laisser tenter.
– Suivez-moi cher monsieur, vous ne le regretterez pas vous m’avez déjà vu à l’œuvre, non ?
– Dites-moi, Camilla, vous ne me massez que les hommes ? Demande Béa.
– Pourquoi ? Vous seriez intéressée ?
– Eventuellement
– Alors je m’occupe de monsieur et ensuite je reviens vous chercher !

Martinov suit la blackette dans les couloirs du château.

– On va où ?
– Dans une petite pièce, elle ne servait à rien, c’est Monsieur Albert qui y avait fait installer une table de massage.

La pièce n’est pas bien grande, mais propre, sur une étagère s’amoncelle divers bibelots remisés là, sans doute parce qu’ils ne plaisait pas à Lamboley… Mais en y regardant de plus près l’on peut apercevoir ente boule à neige et statuette d’hippopotame d’Egypte, quelques insolite godemichet ainsi qu’un coupelle remplie de préservatifs et de gel intime.

Sur place, Camilla proposa au professeur de se déshabiller.

– On va jouer cartes sur table, j’adore masser, mais je ne vais pas faire semblant de vous faire un massage traditionnel, je ne suis pas kiné, ce que je vous propose c’est un massage un peu coquin, je pense que vous l’aviez compris.
– Et je suppose que la prestation est payante.
– Non, c’est gratuit, mais j’accepte les pourboires ! Répond-elle en rigolant.
– Les gros pourboires, je suppose ?
– Tant qu’à faire ! Mais vous n’êtes pas obligée.
– Vous êtes fort sympathique, mais j’avoue ne pas bien comprendre votre motivation.
– Vous ne devinez pas ?
– Pas trop, non !
– Monsieur Lamboley a cru discerner des signes de découragement dans vos recherches, il m’a alors dit « Camilla débrouille-toi pour qu’ils aient envies de rester ! » et il m’a rétribué pour ça ! Alors jouons le jeu !
– OK, je me met sur le dos ou de l’autre côté ?
– Un peu sur le ventre, il faut respecter la tradition et ça me permet de m’occuper de vos fesses.

Et effectivement, pas de simili-massage des épaules ou du dos, non Camilla attaque directement le cul qu’elle malaxe comme une pâte sablée pendant plusieurs minutes avant d’introduire un doigt humide dans le rectum.

– Ben faut pas vous gêner !
– La où il y a de la gêne… Souhaitez-vous que je le retire ?
– Non, j’aime bien.
– Je peux remplacer mon doigt par un gode si vous voulez !
– Tant qu’on y est !
– Un gros ? Un petit ? Un moyen ?
– Disons un moyen.

Camilla se servit sur l’étagère, enduisit l’objet d’un peu de gel et l’enfonça dans le troufignard du professeur.

– C’est bon ! Commenta-celui-ci.
– C’est bon et sa marche à piles.
– Dites-moi Camilla, je peux vous demander quelque chose ?
– Demandez toujours !
– J’aimerais bien voir vos seins !
– Ah ! Mais je suis une méchante fille, c’est moi qui aurais dû vous le proposer !

Et la soubrette d’enlever tout son haut.

– Les voilà !
– Jolis !
– Vous pouvez toucher, caresser, embrasser. Ils sont en libre-service. ! Ajouta-t-elle en se positionnant de façon à ce que le professeur puisse accéder. Maintenez le gode dans votre cul, je ne voudrais pas qu’il s’échappe. Ces gadgets sont parfois imprévisibles.

– Hum, ils sont doux, vos seins !.

Mais Camilla revient à sa place initiale, sa main passe sous les fesses et atteint les testicules qu’elle malaxe quelques instants avant de prendre en main la bite déjà bien bandée.

– On dirait que vous êtes en forme, tournez-vous maintenant… Hum, vous avez les tétons bien développés, je parie que vous adorez qu’on vous les tripote !
– Bien vu !

Alors Camilla les prend entre ses doigts et les serre fortement

– Oh, oui, c’est bon !
– C’est qu’il aime ça, ce petit cochon !
– Encore !

Elle tire, elle tortille… il n’en peut plus ce bon Martinov.

– Tu veux me baiser maintenant ?
– Euh…
– Ne bouges pas, je m’occupe de tout.

Retour à l’étagère, pour cette fois prendre un préservatif et reprendre du gel.

Pourquoi du gel ?

Parce que c’est dans le cul que Camilla va s’empaler sur la bite du professeur.

Le spectacle offert à Martinov est d’un érotisme torride, voir cette belle blackette à la peau luisante monter et descendre sur sa bite à la manière des chevaux de bois à quelque chose de magique, à ce pont que l’homme ne peut retenir sa jouissance.

– Alors c’était bien !
– Très bien !
– Est-ce que ça mérite un pourboire ?
– T’auras un pourboire si tu me fais un bisou !
– Smack !

Pendant ce temps Béatrice n’ayant pas trop envie de travailler seule jouait avec son téléphone portable…

– Ah, te revoilà mon petit professeur, elle t’a fait des bonnes choses, la soubrette ?.
– Oui, mais en fait, elle est était en service commandé (il lui explique)

Mais voilà que Camilla revient.

– Mademoiselle Béatrice je vous avais promis de revenir vous chercher, je suis à votre disposition.
– Le professeur n’a pas eu le temps de me raconter ce que vous lui avait fait…
– Ce n’est pas racontable ! Il a l’air ravi, c’est le principal, venez donc.

Et les voilà donc dans la petite pièce.

– Monsieur Martinov ne vous a rien dit du tout ?
– Il m’a juste dit que vous étiez en service commandé.
– Comme ça au moins les choses sont claires, on va dire que je suis la pute de Monsieur Lamboley.
– J’ai l’impression que vous prenez ça avec beaucoup de décontraction.
– C’est parce que vous êtes sympas, je n’aurais pas accepté de le faire avec n’importe qui. Je vous suggère de vous mettre à l’aise, c’est plus pratique pour masser.
– Tutoyons-nous, tu te déshabilles aussi ?
– Bien sûr ma chérie.

C’est Camilla qui est nue la première.

– Dis donc t’es drôlement bien foutue ! Lui dit Béatrice admirative.
– T’aimes les femmes ?
– Je suis un peu bi, pas mal même !
– Ça tombe bien, moi aussi. Répond Camilla allonge-toi sur le truc je vais m’occuper de toi.
– On est vraiment obligé de passer par la case « massage »
– En fait non !
– Parce que tu vois, en ce moment j’ai davantage envie de te caresser que de me faire masser.
– OK caresse-moi.

Béa se colle carrément contre Camilla en lui mettant la main sur les seins.
.
– Hum, tu sens bon, c’est quoi ?
– La petite Robe noire de chez Guerlain

(publicité gratuite mais si Monsieur Guerlain veut me rétribuer, je n’ai rien contre)

– Tu peux me bouffer les bouts si tu veux lui ! Précise la blackette.

Béatrice ne s’en prive pas et se complait à lécher ses gros tétons bruns, tandis que sa main s’en va plus bas découvrant l’humidité de sa grotte.

– Ben dit donc, c’est moi qui te fais mouiller comme ça ?
– On dirait bien ! Viens dans ma chambre ce sera plus confortable pour s’envoyer en l’air… n’oublie pas tes fringues.

En chambre, Camilla proposa :

– Les godes tu aimes ?
– J’aime beaucoup de choses, mais les godes pourquoi pas ?

Camilla en prend deux dans un tiroir, (elle n’en a pas quarante non plus !)

– Tu me le mets dans le cul, et toi ?
– Dans le cul aussi !

Chacune se met à goder l’autre avec un bel enthousiasme… et même que Béatrice parvint à jouir de la sorte.

Martinov2811
Au bout d’un moment, les deux coquines abandonnèrent les godes et c’est en soixante-neuf, langue sur le clito qu’elle terminent cette petite séance saphique.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 7 décembre 2024 6 07 /12 /Déc /2024 11:16

Martinov 28 – Meurtre à Bourg-la-Nonne –10 – Magouilles notariales par Maud-Anne Amaro
Stamp secretaire

Amaury Rivoire est dégoûté d’apprendre que les femmes qui ont assassiné son frère se sont réfugiées en Colombie.

Sa première réaction est d’envisager de se rendre sur place avant de se rendre à l’évidence.

« La Colombie c’est un pays deux fois plus grand que la France, elles peuvent être n’importe où. Mener une enquête ? Mais avec quoi comme piste ? C’est vraiment l’aiguille dans la botte de foin, en plus ce pays est super dangereux… alors soyons raisonnable. »

« Que faire alors ? Martinov et son copain semblent naviguer dans des eaux troubles… le châtelain ? Il aurait dû se charger lui-même de remettre ces bonnes femmes aux autorités, il ne l’a pas fait par pure lâcheté, et cette lâcheté j’ai bien envie de la lui faire payer. »

Charles Rivoire est donc le notaire local. 50 ans, coureur de jupon et doté d’un certain charme, il vit séparé de son épouse depuis des années, elle est partie en Australie avec un marchand de pianos et ne s’est plus jamais occupé des gosses

Ces derniers n’ont jamais manqué de rien sauf de l’affection du papa qui ne possédait pas vraiment de fibre paternelle. Aussi accueillit-il la mort de son fils Régis avec une certaine indifférence, et presque avec soulagement.

Ce jour-là, Charles Rivoire eut envie de faire un petit break. En fait ça le prenait régulièrement.

– Estelle, venez donc me voir, s’il vous plaît.

Estelle, première clerc de notaire, est une grande bringue brune à lunettes avec des cheveux partout .

– Fermez la porte Estelle et montrez-moi vos gros nichons !
– Ah ? Oui bien sûr. Vous ne vous en lassez pas alors ?
– On ne se lasse jamais des belles choses.
– Oh, voilà qui me fait plaisir, répondit-elle en exhibant deux magnifiques mamelles aux tétons érigés.

Maître Rivoire ne peut d’empêcher peloter. (Ben oui, vous feriez quoi à sa place ?)

– Passez sous le bureau, Estelle.
– Mais bien sûr, cher Maître, je vais prendre votre bite entière dans la bouche.
– Ne vous décrochez pas la mâchoire quand même.
– Non je vais faire attention, elle est où, cette bonne bite ?
– Elle arrive, elle arrive, oh zut et flûte j’ai coincé ma braguette.
– Je vous la décoincerais tout à l’heure, descendez votre pantalon.

Et Estelle put donc accéder au sexe de son patron, pour elle cette petite fantaisie n’avait rien d’une corvée, elle adorait sucer des bites et puis il y avait toujours un petit billet à la clé.

Martinov2810
– C’est bon, sortez de votre cachette et montez sur le bureau, je vais vous enculer, Estelle.
– Mais bien sûr mon cher Maître, je grimpe, je retire ma culotte et je suis à vous.
– Vous avez un cul de compétition, Estelle.
– Hi, hi !
– Il est au courant votre mari, de ce que nous faisons tous les deux ?
– Bien sûr que non ! Mais peut-être qu’il s’en doute… Mais comme il me fait cocu de son côté je ne vais pas avoir de scrupules

Et maître Rivoire après avoir lubrifié l’endroit de sa salive, lui força le trou du cul…

Mais voilà que l’on frappe à la porte du bureau.

– Occupé !
– C’est Rita.
– Entre.
– Oh !

Pourquoi ce « Oh » ? Parce que Rivoire pas gêné pour un rond continue d’enculer allégrement Estelle. Il n’a aucune raison de se gêner devant Rita qu’il tringle aussi de façon régulière.

– Ben quoi, tu veux te joindre à nous ?
– Ce ne serait pas de refus, mais votre fils demande à vous voir.
– Eh bien fais le patienter, on a une salle d’attente, c’est fait pour ça, non ?
– C’est qu’il a l’air énervé…
– Bon, je le reçois dans cinq minutes. Pour l’instant j’encule Estelle !
– Je le vois bien !
– Ça t’excite le spectacle ?
– Ma foi…
– Ah ! Je viens !

Le notaire décule est sort sa bite et se débarrasse de la capote.

– Nettoyez moi la bite, elle est pleine de sperme, comme ça vous ne serez pas venues pour rien Rita !
– Avec plaisir, Maître !

Le notaire n’aime pas qu’on vienne le bousculer, les cinq minutes prévues durèrent un quart d’heure au terme duquel il reçut le fiston.

– Faut que je te raconte un truc…
– Un truc de quoi ?
– J’ai enquêté sur les circonstances de la mort de Régis…
– Tu te prends pour Sherlock Holmes maintenant ?
– Je t’en prie écoute moi, je ne serais pas trop long.
– Soit !

Et Amaury déballa toute l’histoire.

– Et tu attends quoi de moi ? Demanda le notaire.
– Si tu pouvais pourrir la vie de cet abruti de Lamboley…
– Allons donc ?
– Pourquoi occupe-t-il le château ? La succession n’est pas finalisée à ce que je sache ?
– Lamboley m’a remis une lettre par laquelle il est désigné pour s’occuper des obsèques
– Un testament ?
– Non pas du tout il n’y a pas de testament mais il se croit être le seul héritier, donc il a pris ses aises
– Mais il y a peut-être d’autres héritiers ?
– Va savoir ? On n’a pas commencé à bosser sur le dossier…
– On ne peut pas accélérer les choses, l’opération peut être juteuse, avec un château comme ça, je ne te dis pas les frais de notaire…
– Évidemment vu comme ça…

Le notaire demanda donc que l’on traite ce dossier de succession en priorité.

Et quelques jours plus tard Estelle pu annoncer fièrement :

– Le baron Albert avait un autre frère aujourd’hui décédé, il reste sa fille qui n’est pas toute jeune et le petit fils Jean-Yves Lamboley
– Vous avez les adresses.
– C’est en cours.
– Dès que vous les aurez, envoyez les courriers d’usage.

Il nous faut donc parler un peu de ce Jean-Yves Lamboley.

35 ans, beau garçon célibataire et homosexuel, il dirige à Blois une petite boîte de prêt à porter.

Ses parents ne lui ont jamais parlé ni du baron Albert, ni de Lamboley, sauf peut-être quelques allusions sans importance.

Aussi lorsqu’il reçoit la lettre du notaire, il croit rêver.

« Un château, j’hallucine, mais comment payer les frais de succession ? »

Il téléphone au notaire, tombe sur Estelle qui lui fournit des précisions.

Il ne sait que faire mais sait qu’on n’est jamais obligé d’accepter un héritage.

Amaury satisfait de la tournure des évènements et muni du renseignement s’empresse de prendre la route jusqu’à Blois afin de rencontrer ce fameux Jean-Yves.

– Je suis Amaury Rivoire, le fils du notaire chargé de la succession du baron Albert.
– Ah ! Vous tombez bien parce que je suis un peu dans l’expectative…
– Il vous faut savoir qu’actuellement le château est occupé par un usurpateur.
– Les usurpateurs, ça se dégage, mais ce n’est pas trop mon souci, je ne crois pas être en mesure d’honorer les droits de succession.
– On peut vous proposer un prêt notarial à des conditions très avantageuses, je vous ai apporté une petite simulation.

Jean-Yves regarde le papier que lui tend son interlocuteur…

– Évidemment c’est tentant. Mais pourquoi tant de bienveillance ?
– Ce n’est pas vraiment de la bienveillance, je vais être très franc avec vous, nous ne souhaitons pas que ce monsieur Lamboley, un cousin éloigné je crois…
– Je ne l’ai jamais vu ni de loin ni de loin.
– Donc pour des raisons que je ne tiens pas à préciser, nous ne souhaitons pas que ce monsieur prenne demeure au château.
– OK. Admettons que j’accepte, il va se passer quoi ?
– La succession va prendre environ un an. A ce terme il faudra prendre une décision pour le château, soit on le vend, soit l’un des héritiers rachète la part de l’autre. Si Lamboley est toujours dans la place, ça va être compliqué pour le déloger, constat d’huissier et tout le bazar, ça dure des mois et des mois ces affaires-là.
– Et moi, je fais quoi en attendant ?
– L’idéal serait que vous vous impliquiez afin d’accélérer les choses…
– M’impliquer ? Mais comment ça ?
– Allez le voir, tentez de négocier, l’Idéal serait que vous lui flanquiez la trouille…
– Vous croyez que j’ai le physique pour faire peur aux gens ?
– Essayez, il n’a rien de redoutable et puis il sera déjà sur la défensive, l’étude de mon père lui a d’ores et déjà adressé un courrier lui expliquant qu’il n’est pas l’unique héritier.
– Bon, je vais voir.
– Notez mes coordonnées au cas où.

Grégoire Lamboley a reçu la lettre du notaire avec philosophie :

« S’ils se figurent qu’ils vont me déloger facilement, ils se foutent le doigt dans l’œil, ils ne me connaissent pas, j’ai de la ressource et je sais m’en servir ! »

Il jeta la lettre au panier et reprit son activité…

Quelle activité ?

Eh bien depuis la veille Lamboley étudie méticuleusement le plan du château partant du principe un peu fou que s’il y a une chambre secrète, il y peut y en avoir d’autres et qui sait, celles-ci renferment peut-être un trésor.

Et il en trouve trois !

Trois petites pièces aveugles mesurant entre 4 et 6 m².

Évidemment il tenta d’y pénétrer mimant la procédure utilisée pour la pièce où s’étaient cachées les filles.

En vain, ça ne fonctionnait pas. Alors que faire ?

– Allô, professeur Martinov, vous allez bien ?
– Ça peut aller, sauf que le fils du notaire est venu nous emmerder mais je crois qu’on s’en est tiré.
– Il faudra me raconter ça, mais figurez-vous que j’ai découvert trois autres petites pièces secrètes. Évidemment pas moyen d’y entrer. Ça vous dirait de venir y jeter un coup d’œil ?
– Pourquoi pas ? J’en parle à Béatrice et je vous rappelle.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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