Pr Martinov

Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 10:24

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 11 – La morale n’est pas sauve par Maud-Anne Amaro
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Une semaine plus tard, Baudoin Bayeul n’avait aucunes nouvelles de Garance dont le téléphone sonnait dans le vide. Inquiet Baudoin se rendit à son appartement.

– Garance Nouret ? L’informa un voisin. Je crois bien qu’elle a déménagé, elle a emporté tout son bazar dans un camion…
– Ah ! Et elle a laissé sa nouvelle adresse ?
– Pas à moi en tout cas !
– Et l’entreprise de déménagement vous vous souvenez ?
– Je ne crois pas que c’en étati soit une, c’était un simple camion…

Baudoin tombe de haut.

– La salope, elle m’a fait marron !

Il attend encore huit jours se disant que les choses ne sont peut-être pas celles qu’il craint, puis se résout à appeler Brigitte Silverberg.

Celle-ci se rend sur place, constate qu’il y a une caméra de surveillance juste en face de l’ancien appartement de Garance, elle se débrouille pour se la faire visionner, repère le camion et note le numéro minéralogique…

Quelques coups de fil bien ciblés et elle obtient l’identité et l’adresse du propriétaire du camion. C’est un dénommé Kevin Boulard à Angers, elle y va…

– Bonjour monsieur Boulard, je suis Brigitte Silverberg, détective privé, mais rassurez-vous, vous n’avez rien à craindre, je suis juste venue recueillir votre témoignage.
– Le témoignage de quoi ?
– Connaissez-vous Garance Nouret ?
– Il lui est arrivé quelque chose ?
– Rien du tout ! Un membre de sa famille s’inquiète de son silence. Je n’ai pas pour mission de remettre en contact des gens qui s’évitent. Je veux pouvoir simplement dire à ma cliente que Mlle Mouret se porte bien !
– Donc vous voulez savoir si elle va bien, c’est ça ?
– Oui juste ça !
– Alors je vous rassure, elle va très bien !
– Vous la voyez régulièrement ?
– Pourquoi, c’est interdit ? Répond l’homme avec une certaine agressivité.
– Mais non ! Je vous remercie, je vais pouvoir rassurez ma cliente, aurevoir monsieur…

Elle aurait pu lui demander l’adresse, il l’aurait sans doute donné, déstabilisé comme il était, le risque était qu’il la prévienne. Alors elle fit ça à l’ancienne, elle sollicita contre rétribution le concours d’une officine locale d’enquêteurs qui commença par sécher, l’individu ne se rendait pas régulièrement chez Garance… Mais les détectives privés usent parfois d’autre moyens pour trouver des renseignements…. L’adresse fut donc trouvée

Et subséquemment, Brigitte s’y rendit.

La tête de Garance quand elle découvre Brigitte sur le pas de la porte !

– Toi !
– Ben oui, moi ! Je peux entrer une seconde ?

Brigitte entre et s’assoit sans qu’on ne l’ai convié à le faire.

– Tu m’expliques ? Demande Garance.
– C’est très simple, je suis sur une nouvelle enquête, et figure-toi que mon client c’est le fils Bayeul…
– Bon j’ai compris, je ne pensais pas qu’on me retrouverait si facilement, je vais être obligée de lui rendre l’argent de ses bondieuseries.
– Mais attends ! On peut voir les choses autrement. T’en as tiré combien de la vente des trucs ?
– Une blinde !
– Alors donne m’en 10 % et je classe l’affaire.
– Comment ça ?
– Tu vas voir ! Dit-elle en sortant son téléphone. Allo Monsieur Bayeul, ce ne sont pas des bonnes nouvelles. J’ai réussi à me faire communiquer les images de la vidéo surveillance et on voit bien le camion de déménagement. Malheureusement la plaque est fausse, alors j’ai fait mon boulot de détective, j’ai fait le tour des garagistes du coin ça n’a rien donné, j’ai contacté la famille, elle est fâchée avec un peu tout le monde mais sa sœur a cru comprendre qu’elle était partie dans le sud, sans autres précisions.
– Vous ne me facturez pas alors ?
– Non puisque ma prestation était assortie à une obligation de résultat.
– D’accord, mais je vais vous confier quelque chose, je ne crois pas que c’était le vrai trésor ! Le vrai trésor je vais le trouver, je vais passer toute la propriété au peigne fin !
– Alors je vous souhaite bon courage, Monsieur Bayeul.

Garance n’en revient pas

– Mais pourquoi tu fais ça ?
– Ben pour les 10 %. Mais fait attention à toi, ils n’appelleront pas la police, Bayeul n’est pas propriétaire du coffret, donc il ne peut pas déclarer de vol ! En revanche s’il devait y avoir un autre enquêteur sur l’affaire, ça pourrait devenir compliqué.
– Tu sais, je ne suis pas quelqu’un de malhonnête. On dit que c’est l’occasion qui fait le larron et là j’avais une occasion comme je n’en aurais jamais plus dans ma vie.
– Ben oui, on est pas des saintes et succomber à la tentation est parfois si facile. Mais il y a aussi une autre raison à mon attitude.
– Ah oui ?
– Je n’allais tout de même pas pénaliser une fille qui m’a donné tant de plaisir au lit ! Reprend Brigitte.
– Voilà qui me flatte ! Et tu aimerais qu’on recommence ?
– Oh oui !
– Comme l’autre fois ? Je serais ta petite esclave ?
– On va faire comme ça ! Fous-toi à poil et attends-moi dans tes chiottes, je viens te rejoindre.

Brigitte se déshabille de son côté et c’est complétement nue, les seins magnifiquement dressés qu’elle rejoint la petite brunette qui l’attendait patiemment assise sur la cuvette des toilettes.

– Coucou, me voilà, j’ai pas été trop longue, j’espère ?
– Non, non !
– Qu’est-ce que tu as à me regarder les nichons ! Ils te font envie, c’est ça ?
– Ils sont beaux !
– Tu pourras en profiter tout à l’heure, mais maintenant tu vas faire comme chez le dentiste.
– Pardon ?
– Ben oui, tu vas ouvrir la bouche !
– Tu vas me pisser dessus ?
– On ne peut rien te cacher !
– T’en connais beaucoup des dentistes qui pissent sur leur patient ?
– En cherchant bien ça doit se trouver !
– Attention c’est parti !

Un premier jet arrive dans la bouche de Garance qui après une petite grimace avale sans rechigner.

– Alors on s’habitue ?
– Ce n’est pas désagréable…
– Tu verras, tu vas finir par adorer ça ! On va passer à côté pour que je te fasse quelques petites misères. Attends-moi sur le canapé, je vais voir ce qu’il y a d’intéressant dans ta salle de bain.

Elle cherchait des pinces à linge, mais elle ne découvre que des pinces à cheveux, pourquoi pas, ça change ! Elle en profite pour embarquer une jolie brosse à cheveux rose pâle.

– Ah ! Ah ! Regarde ce que j’ai trouvé…
– Tu crois que…
– On se calme ! Tu as commis une faute en doublant ce grand benêt de Baudoin Bayeul. Et quand on fait une faute, il faut expier.
– Tu crois sans doute que tu es bien placée pour me faire la morale ?
– Je ne te fais pas la morale, approche-toi donc que je te pince les tétés.
– Si ça me fait mal, tu me les retires, hein ?
– Mais tu vas te taire ! Insupportable commère !

Brigitte accroche la première pince sur le téton gauche de Garance qui grimace vilainement mais ne proteste pas. La seconde pince suivit et cette fois une larme vint perler au coin des jolis yeux de la brunette.

– Ça va ?

Garance se contente d’hocher la tête en signe d’assentiment.

– Alors maintenant tu te tournes, je vais t’arranger le popotin.

C’est donc le moment d’utiliser le dos de la brosse qui fait une drôle de bruit en claquant sur les fesses de sa victime.

– J’arrêterai quand tu auras le cul tout rouge !
– Méchante ! Se gausse Garance.
– Ta gueule !

Brigitte finit par stopper sa punition non pas parce que le cul était devenu rouge mais plus prosaïquement parce qu’elle avait une envie impérieuse de passer à des choses moins sadomaso…

Prestement elle lui retire ses pinces, un retrait douloureux qui encore une fois fait jaillir quelques larmes dans les yeux de Garance.

– Tu voulais mes seins, vas-y lèche les moi, je te les offre.

Folle de désir Garance se jette sur ces fabuleux tétons offerts à sa concupiscence, elle lèche, elle suce, elle aspire… elle se régale…

– Maintenant lèche moi la moule.

Martinov3111Garance commence à descendre mais Brigitte l’interrompt.

– On va faire ça en 69 !

Et voici nos deux coquines tête bèche en train de se lécher l’abricot avec frénésie. Chacune appréciant le gout de miel de sa partenaire.

Ça gigotte, ça gémit, ça respire bizarrement, le plaisir s’approche, La langue de Brigitte s’est emparée du clitoris de Garance qui lui rend la pareille, et c’est avec une quasi-simultanéité que nos deux goudous prennent un pied d’enfer.

On s’embrasse, on se fume une clope, on se caresse, on s’embrasse encore.

– Donc si je comprends bien tu m’as fait expier ce que j’ai fait au fils Bayeul ? Intervient Garance avec malice.
– On va dire ça comme ça !
– Et toi tu n’expies rien du tout !
– Oh, moi, ce n’est pas la peine, je n’ai que 10 %, d’ailleurs j’aurais dû t’en demander plus, mais je suis une femme de parole, je ne reviens pas sur nos accords.

Moralité : aucune

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 10:20

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 10 – Martinov s’excite et Baudoin farfouille
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Baudoin attendit une semaine pendant laquelle ni Lopez ni sa copine ne tentèrent quoi que ce soit et se décida à téléphoner au professeur Martinov.

– Bonjour professeur, je ne vous dérange pas ?
– Non, non ! Mentit Martinov occupé à caresser les douces cuisses de Béatrice.
– C’est juste pour un conseil… Je me disais que s’il y avait un trésor dans le domaine, ce devrait faire longtemps qu’il a disparu… mais on ne sait jamais, comment je pourrais vérifier ?
– Achetez-vous un détecteur de métaux. Le problème c’est qu’avec un appareil bas de gamme il va vous détecter de la ferraille, des vieilles casseroles, des outils cassés. Vous avez maintenant sur le marché des détecteurs qui sont spécialisés dans les métaux précieux. C’est pas donné, mais à vous de savoir ce que vous voulez.
– Merci professeur ! Vous embrasserez Mademoiselle Béatrice pour moi !
– Je n’y manquerais pas.

Et ce fut d’ailleurs la première chose qu’effectua notre coquin de Martinov en raccrochant.

– C’était le fils Bayeul, il croit qu’il y a toujours un trésor quelque part.
– C’est toujours difficile de se débarrasser de ses illusions.
– Ben oui, c’est la nature humaine ! Tiens, moi aussi je vais aller à la chasse au trésor

Et tout en parlant, le professeur a glissé sa main dans le pantalon de Béatrice et lui tripote la chatte.

– Tu vois j’ai trouvé un trésor !
– C’est pas un trésor c’est une foufoune !
– Ah bon ? Alors si c’est une foufoune, je la lécherais bien.
– Ça peut se faire ! On monte là-haut ?
– Ben oui parce que monter en bas, on ne sait pas faire !

Parvenue dans la chambre du professeur, Béatrice se déshabille et s’affale sur lit en écartant les cuisses.

– Allez, mon petit professeur, viens me brouter la figue !
– Attends !
– Mais tu fais quoi ?
– J’ai perdu une chaussette !
– On s’en fout, tu la chercheras après !
– Ça m’embête quand même !
– Bon, tu te pointes, ou je redescends !

Martinov se décide à venir gouter les lèvres gonflées de désir de sa collaboratrice.

– Hum, c’est si bon, je ne m’en lasserais jamais.
– Encore, encore ! Oui comme ça !

Béatrice est atteinte de spasme, sa respiration se saccade. Martinov comprend ce qui lui reste à faire et entoure le clitoris de sa langue. La jouissance de Béatrice devient fulgurante.

– Eh ben dis donc !
– Ben oui !
– T’avais les yeux fermés, tu pensais à qui ?
– Et qu’est-ce que ça peut te foutre, mon petit professeur ? Passe-moi donc une clope que je fasse une petite pause.
– Elles sont restées en bas tes clopes !
– Alors à défaut de clopes, on va faire dans la pipe !

Martinov3110Voilà une suggestion qui ravit notre vert professeur, mais au lieu d’offrir sa bite aux lèvres gourmandes de sa collaboratrice, il la coince entre ses nibards et s’agite comme un garnement.

– Gros coquin !
– Hi Hi !
– Allez, laisse mes nénés tranquilles, je vais de sucer

Le professeur approche sa bite de la bouche de sa chimiste préférée. Laquelle lui joue une turlutte de compétition avant de déclarer

– Après la pipe, la bite au cul !

Et elle relève ses cuisses afin de lui laisser l’accès.

– Tu ne préfères pas te mettre en levrette ?
– Non, j’ai mal aux genoux.

Qu’à cela ne tienne, le professeur sodomisa Béatrice dans cette position avant de finir complétement extenué.

– Reste un peu, juste un peu ! Implore-t-elle

Martinov prend sur lui d’effectuer quelques coups de piston juste ce qu’il fallait pour permettre à Béatrice de jouir à son tour.

Martinov se débarrasse de la capote et propose sa bite maculée de sperme aux bons soins de langue de sa collaboratrice.

Baudoin consulta les prix des détecteurs sur Internet ! Il failli s’étouffer en constatant qu’il fallait débourser 8 000 euros pour un détecteur d’or. Il failli laisser tomber mais après réflexion commanda un modèle moins cher mais moins performant (250 euros tout de même).

Et quelques jours plus tard en entrant déjeuner sa mère l’avertit que le livreur avait déposé un paquet. Fébrile il le déballe…

– C’est quoi ce truc ?
– Un détecteur de métaux !
– Et tu vas faire quoi avec ?
– On ne sait jamais, si l’histoire du trésor était vraie…
– Au lieu de rêver tu ferais mieux de chercher du travail.
– Ce n’est pas incompatible.
– Ben vouons… Puisque tu le dis !

Comme un gamin avec un nouveau jouet, Baudoin voulu l’essayer de suite. Il voulut donc sauter le déjeuner mais sa mère protesta du fait qu’elle n’avait pas cuisiné pour des prunes…

Il mangea donc le plus vite possible…

Dehors il pleuvait des cordes. Mais qu’importe, puisqu’il lui faudrait passer l’intégralité du domaine au détecteur y compris la construction, c’est par les caves qu’il entreprit de commencer la détection.

L’une des caves était occupée par une quantité incroyable de casiers à bouteilles contenant des crus millésimés. Une autre s’avérait être un véritable capharnaüm d’objets abandonnés, fauteuils cassés, caisses de bouquins, piles de journaux moisis, vieux rideaux… Un troisième avait été un dépôt à charbon, des boulets s’y entassaient devenus inutiles depuis que la mère André avait opté pour le chauffage au fioul. Et justement la quatrième cave était occupée par la chaudière.

– Par où commencer ? S’il y a un truc là-dessous comment je vais faire, je vais tout même pas déplacer la chaudière ou le pinard surtout pour trouver de la ferraille.

De dépit il ne fit pas fonctionner son joujou et se mit à réfléchir. Autant dire qu’il ne tenait pas en place…

Vingt minutes plus tard il retournait aux caves…

– Je ne vois pas pourquoi je m’énerve, si ça se trouve il n’y a rien par-là !

Dans les caves il fait fonctionner le détecteur dans les endroits où le sol est directement accessible, mais il ne se passe rien.

– Il faudrait que je déblaye, mais c’est pratiquement « mission impossible »… A moins que la cave à charbon…

Effectivement, c’est faisable, il se saisit d’une pelle et entreprit de déplacer les boulets de charbon créant par la même un nuage de poussière noire qui le fit bientôt ressembler à un ramoneur.

Peu habitués aux efforts physiques, plus le temps avançait, plus il se fatiguait et la cadence ralentissait considérablement.

Et puis alors qu’il suait à grosses gouttes, sa pelle rencontre quelque chose qui n’est pas du charbon… Intrigué il déblaye autour. Apparait alors une sorte de coffret en bois de la taille d’une valise, cerclé de métal et recouvert de suie.

– Putain, c’est quoi ?

Evidemment, la chose est fermée à clé. Qu’à cela ne tienne, il trouve dans la cave mitoyenne un grand ciseau à bois qui de suite à raison de l’ouverture.

Et devant ses yeux ébahis il découvre le contenu du coffret : un crucifix d’une cinquantaine de centimètres serti de brillants, deux objets qu’il n’identifie pas (en fait un calice et un ciboire) quatre boitiers vides, quatre chandeliers … Et tout cela brille.

Baudoin se pose mille questions.

– Est-ce que c’est de l’or ?
– Est-ce que c’est le trésor ?
– Et quand je pense que j’ai acheté un putain de détecteur pour rien…

Il remonte, croise sa mère.

– Mais qu’est-ce que t’as foutu ?
– J’ai peut-être trouvé le trésor, mais là je vais prendre une douche. Si tu veux regarder, c’est dans un coffret, je l’ai laissé à l’entrée de la cave à charbon.

Vous pensez bien que la Henriette en découvrant tout cela n’en peut plus…

– Reste à savoir si c’est ce n’est pas du toc ! Qui pourrait bien nous renseigner ?

Ils font alors appel à Garance.

– Ces objets devaient appartenir aux bonnes-sœurs du couvent des Founettes. Elles ont dû le planquer quelque part au moment de la Révolution. Puis quelqu’un est tombé dessus et l’a enfoui sous le charbon, on ne saura jamais les détails mais la mère André n’était pas au courant, elle n’aurait pas laissé ça ici.
– C’est ça le trésor de Templiers ?
– Je ne crois pas non, Si vous voulez je vais faire estimer ça à Paris…

Et deux jours plus tard.

– Allo, Baudoin, ça y est j’ai fait estimer ça, ce n’est pas du toc, au poids il y en a pour 50 000 euros, mais comme ce sont des objets d’art, en fait ça vaut bien plus. Est-ce que tu veux que je les vende pour ton compte ?
– Fais pour le mieux, ma biche !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 10:17

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 9 – Le décolleté d’Yvette par Maud-Anne Amaro
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Du côté de Diego c’est donc un véritable fiasco ! Et il revient à la maison en faire part à sa conjointe.

– T’as mal préparé ton coup et maintenant ce n’est plus rattrapable. Il nous faut un autre intermédiaire.
– Tu penses à qui ? Parce que moi j’ai une idée !
– Dis-moi !
– Sa mère, je vais lui apporter de fleurs, jouer au pauvre mec repenti et lui proposer de reprendre le boulot de jardinier sans faire de conneries…
– Mais t’es vraiment malade. Elle sait ce que tu as fait fumer à son fils et tu crois qu’elle va t’accueillir avec le sourire ?
– Oui évidemment, t’as pas tort !
– Alors l’intermédiaire ça va être moi ! Déclare Yvette.
– Mais comment tu vas faire ?
– Je vais user de mes charmes !
– Tu ne vas pas faire ça ?
– On le veut ce putain de trésor ou pas ?
– Oui bien sûr !
– Alors tu me laisses faire !

Baudoin retourne les après-midis au Bistrot des chasseurs. Lelong n’y venant plus, il s’est trouvé un autre partenaire aux échecs, un gros beauf mutique qui n’ouvre la bouche que pour protester du fait que Baudoin jouerait trop lentement.

Le premier jour Yvette, bien pomponnée et chemisier bien décolleté, s’est attablée dans un coin attendant le moment propice pour aborder Baudoin. Mais après deux heures d’attente elle perdit patience et décida de revenir le lendemain en changeant de stratégie.

Elle se pointe à 13 heures, Baudoin n’est pas arrivé elle l’attend et quand il arrive elle aborde.

– Cher monsieur, permettez-moi de vous donner un conseil amical, cessez de jouer avec votre partenaire, c’est un faiseur d’histoires, pour ne pas dire un fouteur de merde, j’ai eu une grosse embrouille avec lui. Je vous dis ça mais je ne vous ais rien dit.
– Attendez, quelle embrouille ?
– C’est très personnel mais croyez-moi sur parole.

Mais l’air de rien, Baudoin est attiré par la jolie frimousse et le regard mutin de cette inconnue qu’il a néanmoins déjà vu quelque part sans pouvoir dire où.

– Asseyez-vous, je vous offre un verre ? Lui propose-t-il
– Avec grand plaisir !

Il commande, un ange passe puis Yvette attaque.

– Vous êtes le fils de la régisseuse de madame André ? Je ne me trompe pas !?
– Non, c’est bien ça !
– Pas facile à entretenir tout ça, c’est grand !
– Oui, ma mère avait embauché un prétendu jardinier, mais il ne faisait que des conneries.
– Vous saviez qu’avant il y avait un couvent à l’endroit de ce domaine ! Le couvent des Founettes.
– Ah ! Non !

Et par politesse, Baudoin n’osa pas lui rétorquer qu’il s’en foutait complétement.

– Oui il a été détruit au moment de la Révolution, on a reconstruit par-dessus.
– Ah bon ?
– Et vous ne savez pas la meilleure ? Il paraîtrait qu’il aurait un trésor d’enterré quelque part !

Yvette attend un signe, une réaction, quelque chose mais Baudoin reste aussi indiffèrent qu’une statue, non ce qu’il l’intéresse en ce moment ce n’est pas l’histoire du domaine et son éventuel trésor caché, c’est le décolleté de la dame.

Et bien évidemment Yvette s’en aperçoit.

« S’il faut jouer cette carte-là, on va la jouer, ça ne devrait pas être une corvée, il est plutôt beau garçon…. Et puis ça me changera les idées. »

– Je vais être très franche ! Reprend-elle, je sors d’une liaison qui devenait toxique et je crois m’en être bien sortie. Maintenant j’ai besoin de changer d’air et de m’amuser un peu.

Voilà qui ressemble fortement à une proposition et Baudoin se demande comment l’accepter sans passer pour un rustre. Il ne répond pas, se contentant d’arborer un sourire un peu niais.

– Mais je vous prends au dépourvu ! Ne m’en voulez pas ! Vous avez peut-être une petite amie ?
– Plus ou moins !
– En voilà un concept…
– Disons que j’ai une bonne copine, on s’entend bien, mais ce n’est pas le genre à s’engager.
– Je vois… Je vous trouve très séduisant. Non, non, ne cherchez pas le piège il n’y en a pas. Si vous voulez passez un moment d’intimité avec moi, on se fera plaisir mutuellement sans arrière-pensées.
– Vous êtes directe…
– Oui parfois ! on y va ?

Ils cheminent 500 mètres, font un arrêt dans une pharmacie afin d’acheter des préservatifs, puis se retrouvent dans un petit hôtel très bas de gamme

– Bon, on se met à poil ? Propose Yvette.
– Allons-y.

Ils se déshabillent se découvrent. Baudoin est légèrement déçu par la poitrine d’Yvette, qu’il aurait aimé plus développée. En revanche cette dernière fait son cinéma à la vue de la bite de l’homme.

– Ben dis-donc, ça c’est de la bite.
– Et de la bonne ! Se croit-il obligé d’ajouter.
– Tu veux me lécher un peu ou tu préfères que je te suce la bite d’abord ?
– C’est pas incompatible tout ça, on n’a qu’à se mettre en soixante-neuf !
– Oh ! T’es un coquin, toi !
– Attends-moi juste une petite seconde, faut que je fasse un petit pipi.

L’envie d’Yvette n’avait absolument rien de pressante, elle craignait simplement que l’homme s’étonne de trouver son vagin sec. Aussi pissa-t-elle quelques gouttes et omis de d’essuyer.

– Alors allons-y pour le soixante-neuf.

Le subterfuge a parfaitement fonctionné et Baudoin est enchanté ravi de lécher cette moule au gout particulier.

De son côté, Yvette suce comme elle peut le gros mandrin de l’homme mais elle s’est mal positionnée et attrape des douleurs dans les vertèbres (ben oui ça arrive !) Elle réussit témoins à se lécher un doigt avant de l’introduire dans l’anus de l’homme.

– Quand je pense que Diego n’aime pas ça ! Marmonne-t-elle in petto.

Le soixante-neuf n’est jamais éternel et après il faut bien passer à autre chose…

– Tu peux me baiser par devant ou par derrière, moi j’aime bien les deux …
– Ah ben si j’ai le choix… on va peut-être faire ça par derrière.
– OK mais tu lubrifies bien, tu l’as un peu grosse.

Martinov3109Alors Baudoin se mit à lécher l’anus d’Yvette et quand il estima que l’endroit était suffisamment humecté il fit une première tentative ! Loupé ! On recommence ! Encore loupé ! Encore une fois ! Ça passe ! Y’a plus qu’à pistonner et Baudoin excité comme un pou pris son pied en moins de dix minutes. Quant à Yvette, elle simula. C’était d’ailleurs la première fois qu’elle simulait, il y a toujours une première fois !

– Hum, c’était super, vous êtes un vrai trésor !
– N’exagérons rien ! Répond Baudoin
– En parlant de trésor, cette histoire me turlupine.
– Quelle histoire ? Demande le fils Bayeul qui a déjà oublié les propos d’Yvette sur le sujet.
– Ben le trésor qui serait caché dans le domaine…
– Ah oui, le trésor ! Et elle vient d’où cette rumeur ? Je n’en ai jamais entendu parler.

Voilà une réaction qui contrarie Yvette.

– D’un bouquin… Répond-elle
– Le bouquin d’un charlatan sans doute ?
– Non j’ai lu ça sur un vieil opuscule, il n’y a pas de date mais ça fait référence à Charles X, donc ça date de 200 ans. Le trésor, il daterait de bien avant, du temps du règne de Philippe le Bel…
– Et c’était quand, ça ?
– Au début des années 1300…
– Donc ça ferait 700 ans… Et en admettant qu’il y ait eu un trésor, personne ne l’aurait retrouvé depuis 700 ans ?

Une répartie qui fait l’effet d’un choc sur Yvette. Evidemment qu’il a raison. Depuis 700 ans il y a toutes les chances que quelqu’un soit déjà passé dénicher ce fameux trésor et le fait que Bayeul ne réagisse pas quand on l’évoque renforce cette hypothèse.

– Madame, vous n’êtes pas bien ?
– Ça va aller… je veux bien un gant avec de l’eau froide.

Puis Yvette se rhabilla en silence.

– Je vous laisse, on ne se reverra pas, c’était juste une tocade… Dit-elle simplement en quittant la chambre.

« 2 000 euros de perdu plus les faux frais ! On n’en mourra pas… »

Quand elle revint auprès de Diégo, elle lui annonça d’une voix ferme.

– Quand j’ai évoqué la possibilité d’un trésor avec le fils Bayeul, il n’a pas réagi d’un poil et puis il m’a dit que si ce trésor a été planqué il y 700 ans, il ne nous a pas attendu pour être déterré, on a vraiment été con de ne pas y avoir pensé…
– Alors ?
– Laisse-moi donc finir, j’en ai marre de cette histoire, on a failli avoir de gros ennuis, alors je ne veux plus en entendre parler. On tourne la page et basta !
– Comme tu veux, ma chérie !

Un peu contrarié quand même le Diégo !

En sortant du troquet le fils Bayeul affiche un visage circonspect. Il est persuadé que cette rencontre n’a rien de fortuite…

Aussi le lendemain il retourne au café des Chasseurs. Gwladys lui sert d’office sa bière.

– La bonne femme qui était à ma table, hier, tu sais qui c’est ? Lui demande-t-il
– Ce doit être la première fois qu’elle se pointe ici ! Pourquoi tu demandes ça ?
– J’ai oublié de lui dire quelque chose… improvise Baudoin.
– Ben c’est la voyante !
– La voyante ?
– Oui, la nana qui tient la bonneterie, rue des Chaumes. Elle ne te l’a pas dit ?
– Non !
– Elle est peut-être un peu dérangée.?
– Oui, peut-être.

Et ce n’est qu’en rentrant à la maison qu’il narra cette étrange rencontre à sa mère (mais sans aborder ce qu’ils avaient fait à l’hôtel)

– Une voyante ! Mais mon pauvre garçon, tu sais qui c’est la voyante ?
– Ben non ?
– C’est la copine de Diego Lopez !
– De quoi ? Oh ! La salope !
– On se calme !
– Elle voulait me soutirer des renseignements toujours sur ce fameux trésor, mais comme je n’avais rien à lui raconter, elle a fini par me lâcher la grappe ! J’ai envie d’en parler à Monsieur Martinov.
– Attendons de voir s’il va se passer autre chose, son intervention nous a couté assez cher.

Baudoin est maintenant débarrassé de ses hallucinations, mais cela ne l’empêche pas de gamberger. D’abord parce qu’il subodore que Diego Lopez va trouver un moyen pour continuer à l’emmerder, mais aussi (et ça c’est tout nouveau) parce qu’il se dit « Et s’il y avait vraiment un trésor de caché dans le domaine ? »

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 10:15

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 8 – Garance et Baudoin par Maud-Anne Amaro
Rosemonde

Baudoin regrettait que Garance n’ait pas été présente, se demandant si elle aurait participé à cette orgie aussi spontanée que débridée. Mais il lui téléphona dès le lendemain matin afin de lui narrer la conclusion de l’affaire.

– Et voilà c’est fini, je n’aurais plus d’hallucinations !
– Super, je passe chez toi tout à l’heure pour te faire un bisou !

C’est fini alors ? Se dira le lecteur !

Ben non, ce n’est pas fini…. Et revenons chez Diego Lopez.

– Fais pas la gueule ! Lui dit Yvette. On a encore de la ressource.
– Ah oui ? Quelles ressources ?
– Tu ne peux pas approcher le fils Bayeul. D’accord ?
– Ben justement, c’est bien ça le problème.
– Et qu’est-ce qu’on fait quand on ne peut pas approcher quelqu’un mais qu’on veut tout de même s’en servir ?
– T’as pas bientôt fini de jouer aux devinettes ?
– Tu ne sais pas répondre ?
– Trop fatigué pour réfléchir !
– Ben la réponse, c’est qu’il nous faut un intermédiaire.
– Ah ?
– Quelqu’un qui puisse établir des relations de confiance avec lui et à qui il pourra confier où est le trésor. Précisa Yvette.
– Tu crois qu’on l’a rendu suffisamment fou ?
– Avec tout ce qu’il a fumé, ça devrait le faire.
– Alors tu penses à qui pour faire l’intermédiaire ?
– Pourquoi pas Garance Nouret ? il paraît que c’est sa fiancée.
– Tu parles d’une fiancée, il n’y a que le train qui n’est pas passé dessus.
– Ben dit donc, t’es bien renseigné !
– Tu sais entre mecs, on se dit parfois des choses…
– Ben voyons ! Tu pourrais essayer de la baratiner
– Baratiner comment ?
– On va y réfléchir, il n’y a pas le feu ! Allez, on va finir de manger !
– J’ai pu faim !
– Grognon !

La nuit porte conseil et considérant qu’il faut battre le fer quand il est chaud, Diego se pointa à proximité de l’immeuble où habitait Garance.

Au bout d’une heure, celle-ci consentait à sortir de chez elle et il l’aborda carrément.

– Excusez-moi mademoiselle, je crois qu’on se connait de vue…
– Oui mais…
– Rassurez-vous, je ne désire pas vous importuner, mais voilà : je voyais souvent Baudoin Bayeul au café des Oiseaux le matin et je ne le vois plus…
– Et ça vous étonne ?
– Disons que ça m’inquiète !
– Vous ne lui auriez pas fait fumer des merdes, cela vous aurait éviter de poser des questions idiotes. Maintenant lâchez moi la grappe, j’ai des courses à faire.
– On ne peut pas discuter ?
– Non !

Evidemment en rendant visite à Baudoin, Garance ne manqua pas de lui rapporter cette rencontre incongrue.

– On n’en sera jamais débarrassé ! Se lamente Le fils Bayeul. Tu crois qu’il faut que j’en parle à Martinov ?
– Attendons, y’a pas le feu ! On le fait ce câlin ? Ah ! Madame Henriette je ne vous avez pas vu ! Alors vous avez bien fait la fête l’autre soir ?
– Oui c’était assez festif ! Répondit-elle d’un drôle d’air avant de laisser les deux tourtereaux monter à l’étage.

– Qu’est-ce qu’elle a ta mère ? Quand j’ai évoqué la fête de l’autre soir elle avait l’air gênée…
– Toujours pareil, elle se dit libéré, mais parfois elle culpabilise.
– Elle te tripote toujours ?
– Oui, mais ça ne me dérange pas plus que ça ! Tu le sais bien, on en a déjà parlé !
– Et pourquoi elle raconte à tout le monde qu’on serait fiancé ?
– Parce qu’elle voudrait bien que ça soit vrai !

Garance ne répond pas et se déshabille méthodiquement.

– Oh, ces seins !
– Sont beaux, hein ?
– On n’en mangerait !
– Ne te gênes surtout pas !

Faut pas lui dire ça, au fils Bayel qui se précipite sur les ces jolis tétons offerts, qu’il suce, qu’il tète, qu’il aspire !

– Doucement, doucement…
– Ils me rendent fous !
– Je vois bien, mais si tu te déshabillais, ce serait plus pratique pour la suite, non ?

Baudoin obtempère présentant une bite au garde-à-vous !

– Waouh ! C’est moi qui te mets dans cet état-là ?
– Ben oui !

Garance s’assoie sur le bord du lit et invite son partenaire à venir devant elle. Elle a ainsi sa bite au plus près de sa bouche

Et c’est parti pour une fellation savante. Garance adore sucer des bites surtout quand elles sont bien raides et présentement elle est servie.

Des va-et-vins intempestifs, des petits coups de langues sur le gland, des gobages de couilles et même en prime un doigt inquisiteur dans le trou du cul.

– Ça va, je t’ai bien sucé ?
– Génial !
– Ça te plairait de coincer ta bite entre mes nichons ?
– Oh ! Oui !

On ne sait pas trop pourquoi cette pratique se nomme la cravate de notaire (ou la branlette espagnole), mais qu’importe le vocabulaire puisque cette fantaisie ravit BeaudoinMartinov3108

– T’as des capotes.
– Capotes, gel, tout ce qu’il faut dans le tiroir.
– Alors on y va !

Et Garance s’arcboute sur lit attendant l’assaut.

– Quel beau cul ! ne peut d’empêcher de s’enthousiasmer Baudoin.
– Encule-moi, mon grand ! Encule-moi bien !

Baudoin prend soin d’écarter les globes et de lécher ce petit trou si accueillant

Puis s’étant recouvert de la petite protection nécessaire il quémande l’entrée du bout de son gland.

Ça entre tout seul et du premier coup. Et c’est parti pour un pitonnage en règle qui fait transpirer l’homme et gémir la femme.

Après cinq minutes de déchainement charnel ils s’écroulent l’un sur l’autre, Baudoin retire sa capote découvrant sa bite visqueuse de sperme. Garance en grosse gourmande lui prodigue un petit nettoyage.

– Hum, c’est bon tout ça !

Ils soufflent un peu, se fument une clope et se rhabillent paresseusement.

Ben oui cela aurait pu être plus romantique, mais ils ont bien joui, l’un et l’autre. N’est-ce point l’essentiel !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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Samedi 15 novembre 2025 6 15 /11 /Nov /2025 10:11

Martinov 31 – Les visions mystérieuses – 7 – Partouze chez Henriette par Maud-Anne Amaro
StampCravate

Revenons au cœur du récit de Diégo.

Celui-ci se demande comment agir et n’ose pas le faire au Café des Oiseaux où il est trop connu, par crainte de se faire repérer. Sachant que Baudoin se rend l’après-midi au Bistrot des Chasseurs, c’est le matin qu’il y effectue une petite visite.

Et c’est là qu’il aperçoit Bruno Lelong attablé devant un échiquier et absorbé par la position de ses pièces…

Les deux hommes ne se fréquentent pas, ils ont fréquenté le lycée dans la même classe mais ne jouaient pas dans les mêmes bandes. Si Diego faisait partie des caïds de cours de récréation, trouvant fort malin d’harceler les plus faibles, Lelong, lui en raison de son aspect chétif se faisait constamment chahuter et humilier. Donc aujourd’hui non seulement ils ne se fréquentent pas mais ils s’ignorent superbement.

Et pourtant aujourd’hui Diego s’approche de lui.

– Alors on ne salue pas les vieux potes ?
– Fous moi le camp ! Je te connais pas ! Répond Lelong.
– Je voulais juste te proposer une affaire…
– Ben ça tombe mal, je n’aime pas les affaires louches.
– Je te files 300 balles pour un truc qui va durer un mois, ce sera peut-être renouvelable.
– Fous-moi le camp !
– Tu connais le fils Bayeul ?
– De vue ! J’ai joué aux échecs une fois avec lui, mais c’est tout.
– Il est fort aux échecs ?
– Pas trop, non !
– Tu vas t’arranger pour jouer tous les jours avec lui et tu le laisseras gagner on va dire quatre fois sur cinq.
– C’est tout ?
– Ben oui tu vois, c’est pas terrible !
– Et l’intérêt ?
– On va dire que ça ne te regarde pas. Ah, il y a un petit truc en plus, une fois la partie terminée, tu l’accompagneras à la sortie et tu lui offriras une cigarette…
– Je ne fume pas…
– T’as raison, c’est pas bon pour la santé, donc je te file trois paquets de Marlboro, à la sortie tu lui en offre une, la tienne tu fais semblant de l’allumer et tu la jettes sans qu’il ne le voie. (ou tu l’as remet dans le paquet)
– Attends, ça devient louche, là !
– Y’a rien de louche, mais je ne peux pas t’en dire plus.
– Si tu ne me dis pas ce qu’il y a dans les cigarettes, je laisse tomber !
– Tu fais chier ! C’est juste un philtre d’amour !
– Hein ?
– Tu connais Garance Nouret ?
– Non !
– C’est un canon, avec des formes, je ne t’en parle même pas… Je suis amoureux d’elle, seulement le fils Bayeul lui tourne autour et ça à l’air de marcher. Alors mon plan c’est de rendre Bayeul amoureux d’une autre et comme ça la voie sera dégagée pour moi.

Il est tout fier de son improvisation, Diego !

– Mais concrètement tu vas faire comment ? Demande Lelong.
– Bon t’en sais déjà assez, je ne vais pas te raconter ma vie. Alors tu marches ou pas ?
– Tu ne peux pas augmenter la prime… un tout petit peu ?
– On passe à 400, mais je n’irais pas plus haut !

La procédure était lancée, mais Diego se demandait comment vérifier que le produit agissait correctement.

Ce n’est qu’une dizaine de jours plus tard qu’eut lieu cette scène au Café des Oiseaux.

– Ben dit donc, Baudoin, t’en fais une tronche, t’as des ennuis ? Lui demande Pédro, un petit moustachu tout en nerfs.
– Des ennuis, non mais je dors mal !
– Et t’as cherché à savoir pourquoi ?
– En fait j’ai comme des hallucinations, des visions même !
– Et c’est quoi tes visions ?
– La Vierge Marie !
– V’la autre chose ! Et elle te parle ?
– Non, elle suce des bites !
– T’as pas honte de dire des choses pareilles ?
– Non puisque c’est la vérité !
– T’es en train d’insulter la religion là ! S’énerve Pedro en attrapant Baudoin par le colbac.
– Mais pas du tout, calme-toi !
– Barre-toi d’ici, si tu veux déconner avec la religion, tu vas avoir affaire à moi, il y a des choses que je n’admets pas ! La religion c’est sacrée !

Et Pedro continue à le secouer, Baudoin le pousse violemment pour se dégager. Mal lui en a pris, l’autre se jette sur lui et le tabasse à ce point qu’on est obligé de les séparer.

Le nez et les lèvres en sang, Baudoin quitte l’établissement.

Diégo qui était tout près pendant la bagarre boit du petit lait ! Le plan cigarettes fonctionne à merveille !

Et c’est quelques jours plus tard, toujours au Café des Oiseaux qu’un autre des piliers de bar fit savoir à Diego que Baudoin avait sollicité le concours d’un exorciste pour le libérer de ces visions.

– Mais ça ne va pas du tout, ça !

Sans plan précis Diego fit le pied de grue devant la résidence des Bayeul et quand Béatrice en sorti, il voulut l’intimider, ce qui faillit marcher, mais faillit seulement.

Et après ce long et nécessaire flash-back on peut revenir au présent.

– Vous vous intéressez à l’occultisme ? Demande Diego.
– Qu’est-ce que ça vient foutre là-dedans ? Répond Gérard qui ne comprend pas cette digression.
– J’ai droit au silence, non ? Rétorque Diégo retrouvant une partie de sa superbe.
– Non ! Pour l’instant tu n’es pas en garde à vue. Tu n’es qu’un minuscule maillon dans une affaire dont tu ne peux même pas imaginer l’importance.

Gérard a toujours eu le don de raconter n’importe quoi pour déstabiliser ses interlocuteurs.

– Alors reprend-il, je te propose un deal, tu m’expliques pourquoi tu voulais rendre dingue Baudoin Bayeul, et on te foutra la paix.
– Je peux me consulter avec mon épouse ?
– Certainement pas !

Diego souffle un grand coup et se lance.

– Je vous ai parlé d’occultisme, on est tombé sur un vieil opuscule pas très clair mais qui raconte que quelque chose d’important est caché dans le domaine de Madame André. Seulement ça peut être n’importe où, autant chercher une aiguille dans une botte de foin.
– N’importe quoi…
– Non, non ce n’est pas n’importe quoi, on a relu le texte et on a traduit les passages en latin. Et l’un de ces passages précise que si on veut trouver ce qu’on cherche il faut se faire aider par un fou
– J’ai bien l’impression que le fou dans cette affaire c’est toi. Alors dernière chance tu me racontes quelque chose qui tienne debout, sinon on t’embarque.
– Mais je vous dis la vérité ! Yvette montre le bouquin au monsieur.

Yvette sort d’un tiroir l’opuscule et l’ouvre à la bonne page.

– Voilà, c’est là ! Vous lisez le latin ?
– J’ai des vagues souvenirs… Intervient Brigitte Silverberg qui lit difficilement le passage
– Alors ? S’impatiente Gérard.
– La fin peut se traduire par « un fou pourra t’aider »… non c’est « seul un fou pourra t’aider. »

Du coup Gérard est sur le cul ! Jamais quelqu’un n’aurait pu inventer ou préparer un alibi pareil. Il est persuadé que Diégo ne ment pas et que l’individu est réellement un fada d’occultisme.

– Bon ! Je vais tenir parole et on va te foutre la paix, j’y mets cependant deux conditions. La première c’est ta promesse de laisser le fils Bayeul tranquille…
– Pas de soucis…
– La seconde c’est d’éviter tout acte malveillant envers qui que ce soit.
– Comment ça ?
– Je suis assez clair, non ? Pour ma part je vais faire un rapport que je garde pour moi pour l’instant. Au moindre écart, je sors le rapport et tu tombes pour trafic de drogue. Maintenant on va vous laisser. Ah, évidemment j’embarque les paquets de cigarettes.

En descendant Gérard et Brigitte rejoignent Florentine et Lelong dans la voiture

– Bon, toi, en principe tu n’as rien à craindre, j’ai foutu une trouille bleue à ce Diego Lopez. Si toutefois il tentait quelque chose, tu iras déposer une main courante à la gendarmerie et surtout tu m’appelles, voici mon numéro. Allez, on te raccompagne chez toi, on n’est pas si vache.

Gérard téléphona ensuite à Martinov.

– Ça y est, c’est réglé, on rentre à l’hôtel et on pourrait faire le point chez Bayeul demain matin disons à 10 heures.

Mais le professeur rappelait quelques minutes plus tard.

– Bayeul et sa mère sont impatients de savoir comment ça s’est passé. Ils vous proposent de passer ce soir…
– On n’a pas bouffé…
– Eux non plus, ils mangent tard, ils m’ont dit qu’ils pourraient gérer.

Après avoir recueilli l’avis favorable de Florentine et de Brigitte, Gérard accepta donc cette invitation.

– On va faire ça à la bonne franquette, patates au four, charcuterie et fromages, ça vous va ?
– Mais avant on va sabler le champagne…
– On en a à la cave… et du bon !

Et c’est dans une joyeuse ambiance que Gérard décrivit sa virée chez Diego Lopez.

– Me rendre fou ! Mais c’est lui qui est dingue ! Mais l’essentiel c’est que vous avez fait du bon boulot ! S’écria Baudoin en levant son verre.
– Pour nous l’affaire est terminée, mais bien sûr si ce Diego retentait quoi que ce soit, il faudra me prévenir d’urgence ! A la vôtre !

Il faut attendre un peu afin que les patates soient prêtes. Le professeur est assis à côté d’Henriette mais reste sage, présence du fiston oblige.

Henriette n’a pas ses scrupules et lui prend la main et la caresse. Elle devient chaude l’Henriette.

Alors récapitulons, nous avons autour de la table, d’un côté, Henriette entourée de son fils et du professeur Martinov. De l’autre côté, Gérard entouré de Brigitte et de Florentine. Quant à Béatrice, elle est en bout de table.

Baudoin se lève pour servir le champagne, on boit, on trinque, Gérard raconte ses exploits du jour avec force détails captivant l’assistance.

– C’est magique le champagne, ça a tendance à me rendre amoureuse ! Reprend Henriette en saisissant de nouveau la main du professeur qui ne la refuse pas…

Ses yeux parlent pour elle, manifestement, elle a envie de se taper le professeur, ne pouvant pour le moment rien faire de plus elle se contente de lui susurrer à l’oreille :

– Tout à l’heure dans ma chambre ?
– Avec plaisir !

Gérard qui a perçu leur manège tente un « coup de poker »

– Seriez-vous libertine, Madame Henriette ?
– Pourquoi cette question ? Disons que j’aime bien les bonnes choses de la vie.
– Mon épouse et moi sommes assez libertins, nous fréquentons le Cap d’Agde et parfois ce n’est pas triste.

Gérard attend donc une éventuelle relance et ça ne loupe pas…

– Pas triste ? Vous n’en dites as assez !
– Disons que les occasions de partouzer sont fréquentes, alors on ne se prive pas.
– Et en dehors du Cap d’Agde ?
– Quand on est libertins, on l’est partout ! Ce n’est qu’une question de circonstances.
– Je vois, je vois ! Et vous, Mademoiselle Béatrice.
– Moi ? Je suis assez libérée en fait.
– Arrêtons cette conversation, ça devient chaud, nous allons finir par choquer Madame la détective.
– Mais je ne suis pas du tout choquée, je trouve cette conversation très intéressante, ne vous gênez pas pour moi. Répond cette dernière.
– Donc personne né sera gênée si j’embrasse ce cher professeur, là, tout de suite.

Et comme personne n’objecte, Henriette roule une pelle à Martinov devant tout le monde.

Ce dernier se doutant que les barrières sont prêtes à tomber en profite pour lui peloter les seins d’abord à travers son vêtement, puis en la dépoitraillant carrément.

Gérard se dit alors qu’il peut lui aussi donner un coup de pouce afin de faire démarrer cette partouze. Il attire donc Brigitte qui est à ses côtés, l’enlace, l’embrasse goulument et lui glisse sa main dans le soutien-gorge.

Voyant cela, Henriette n’a plus aucun scrupule et remisant ses hésitations au placard, vient tripoter la braguette du professeur, la dézippe et en en extrait un pénis quasi-raide

Nous avons donc à ce moment deux couples en action d’autant que Brigitte se retrouve complétement dépoitraillée sous les mains audacieuses de Gérard Petit-Couture

Florentine se lève et s’en va offrir ses lèvres à Béatrice qui ne saurait les refuser.

Seul Baudoin semble faire banquette ! Serait-il timide à ce point ? Mais pas du tout ! Regardez mieux où sont ses mains à ce petit cochon !

Elles sont sur les cuisses de Maman Henriette, d’ailleurs on devrait dire entre ses cuisses, laquelle ne s’offusque pas le moins du monde de ce geste incestueux.

La porte de communication qui était juste poussée grince. Et si elle grince ce n’est certes pas parce qu’elle est outrée par cette orgie naissante, mais parce que le chien de la maison à l’odeur alléchée vient voir ce qui se passe en ce lieu !

Brigitte le voit arriver et se dit « Tiens ! »

– Oh le gentil toutou ! Viens voir Tata Brigitte.

Le chien ne connait pas cette personne, mais devine qu’elle n’a pas de mauvaises intentions, il se dirige donc vers elle dans l’intention de faire ami-ami.

Il pose ses pattes avant sur les cuisses de Brigitte en frétillant de la queue.

– Mais oui , t’es un beau chien…
– Méfiez-vous Intervint Henriette, il est gentil mais parfois il est un peu trop affectueux.
– Ça ne me dérange pas !
– C’est comme vous voulez, mais je vous aurais prévenu !
– Il est si coquin que ça ?
– Il n’est pas coquin, il est vicieux, mais c’est un bon chien. Je vous dis, si vous n’avez pas peur qu’il vous mette sa langue partout…
– Parce qu’avec vous il met sa langue partout ?
– Hi ! Hi !

Ce qui ne constitue pas une réponse mais un peu quand même !

– Alors d’accord je vais me laisser faire ! Répond Brigitte par défi.

Cachée partiellement par la table, Henriette entame une double branlette, Martinov d’un côté, son fils Baudoin de l’autre… On ne la voit pas mais elle ne peut dissimuler ses mouvements de de bras.

« La province profonde, terre de tous les vices cachés et de toutes les hypocrisies… » Disait le curé local qui pourtant ne donnait pas l’exemple.

On rigole, on picole, on ne s’enivre pas, il faut bien rester conscient dans ces moments-là, n’empêche que l’alcool est un excellent désinhibiteur. A ce point que la Henriette complétement barrée, finit par s’écrier :

– Lâchez-vous tous, ce soir tout est permis ! C’est la fête !

Et le voilà qui disparaît du champ de vision de ceux qui sont en face d’elles (a-t-on idée aussi de partouzer autour d’une table ?) Alors on ne voit rien mais on devine qu’elle est en train de sucer la bite de Martinov.

Brigitte et Béatrice s’en foutent, elles jouent avec le chien… un drôle de jeu, puisqu’elles ont chacune baissé pantalon et culotte pour laisser libre accès à la langue du chien.

– C’est bon la chatte, hein mon toutou, c’est meilleur que le Fido !

Il ne répond pas (c’eut été surprenant) mais la façon dont il agite la queue tel un métronome montre qu’il apprécie la situation.

Seuls Gérard et son épouse Florentine ne sont pas entrés dans la danse. Les règles non écrites d’une partouze veulent que lorsqu’un couple participe, chacun se débrouille de son côté.

Aussi Gérard se lève-t-il pour aller voir de l’autre côté de la table ce qui s’y passe d’autant qu’il n’est guère indifférent aux charmes matures de la belle Henriette.

Il pensait trouver Henriette en train de turluter le professeur Martinov. Mais ce n’est pas à lui que la mature prodigue une gâterie, mais à son propre fils. Tandis que sa main branle énergiquement la bite du professeur.

– J’espère que je ne vous choque pas ! Dit simplement Henriette en remarquant son arrivée.
– Oh ! Vous savez, j’en ai vu d’autres.
– J’admire votre ouverture d’esprit ! Je ne sais pas si c’est normal ou pas mais je m’en fous, je ne fais de mal à personne. Que voulez-vous, il a des choses que je ne peux m’empêcher de faire. Je ne vois pas pourquoi je me priverais d’une si belle bite !
– C’est vrai qu’elle a l’air appétissante !
– Ah ? Parce que vous aussi ?
– Comment ça moi aussi ?
– Vous ne seriez pas un peu à poil et à plume ?
– Je ne la connaissais pas celle-ci, mais c’est un peu ça, oui !
– Alors, allons-y, Baudoin je crois que le monsieur aimerait te sucer un petit peu…
– Puisque c’est la fête !

Et c’est ainsi que Gérard se retrouva avec la bite du fils Bayeul dans la bouche.

Déplaçons-nous d’un quart de table pour retrouver Béatrice et Brigitte désormais affalées sur le tapis et tripotant le chien couché à l’envers. La détective privée a tôt fait de sortir la bite du chien de son fourreau et de la branloter avant la prendre en bouche et de la partager avec Béatrice.

Quelle orgie, mes mais ! Mais quelle orgie !

Et Florentine ?

Elle fait banquette.

« Personne ne s’intéresse à moi, je suis peut-être devenue moche ! »

Florentine moche ! Allons donc ! Ce n’est plus vraiment une jeune fille, mais dans la catégorie MILF elle ne rencontre aucune difficulté à jouer les canons !

Martinov excité comme un pou complimente Henriette :

– Madame Henriette, votre poitrine est magnifique !
– Hi ! Hi !
– Si j’osais je coincerais volontiers ma bite entre vos nichons !
– Mais faites donc, gros coquin.!

Martinov3107
Et voilà donc Henriette et Martinov en pleine cravate de notaire.

– Hum, cette jolie bite je la verrais bien dans mon cul !
– Ce sera avec plaisir !
– Mais léchez moi le fion d’abord, ça entrera mieux

Pas contrariant, le professeur fit donc feuille de rose à la belle mature.

– Le goût de mon cul vous plait-il ?
– Ma foi il sent un peu l’andouillette, mais ce n’est pas pour me déplaire.

Et sur ces entrefaites le professeur après s’être encapoté se mit à enculer la belle Henriette en cadence, la faisant miauler de plaisir jusqu’à ce qu’il prenne à son tour son pied en gueulant comme un putois

Florentine aperçoit Martinov qui se redresse ! Il est fâché ? Non pas du tout, il s’en va pisser… Voilà donc une place qui se libère… et hop la voilà qui se dirige de l’autre côté de la table.

– Oh les petits cochons ! S’exclame-t-elle quand elle découvre Gérard en levrette à même le sol se faire sodomiser par le fils Bayeul en plein forme.
– M’en parlez pas ! Se gausse Henriette.
– Vous avez une bien jolie poitrine Madame Henriette.
– Je ne me plains pas ! Mais je suis certaine que la vôtre est encore plus belle.
– Vous voulez donc la voir ?
– Ben oui !

Florentine retire son chemisier puis son soutien-gorge. Les deux femmes se font face à face, seins contre seins, mais aussi bouche contre bouche. Le baiser est fougueux et après quelques pelotages bien partagés, les deux femmes roulent dessous la table pour entamer un soixante-neuf torride.

Et quand le professeur Martinov revient des toilettes, il ne peut que constater que tout le monde est au sol Brigitte et Béa avec le chien, Henriette et Florentine qui se gouinent et Gérard et le fils Bayeul qui joue à la bête à deux dos.

Ces deux-là ont quasiment terminé, Baudoin crie sa jouissance avec un cri de loup garou. Gérard qui se masturbait en même temps a le trou du cul en choux-fleurs mais se termine manuellement.

Et quasiment en même temps nos deux gouines matures s’envoient au ciel et se relèvent à moitié groggys.

– On sont les toilettes demande Gérard.
– Coquin comme vous êtes, je me demande si cela ne vous amuserait pas de me pisser dessus..
– Mais vous êtes vraiment une coquine !
– Une gosse coquine !
– Alors ouvrez la bouche !

Inutile de préciser que la belle Henriette apprécia ce divin breuvage.

Tout le monde est debout à présent… mais il manque Béatrice et Brigitte, elles ne sont pas sous la table, ni dans la salle bain ni aux toilettes. Quel est donc ce mystère ?

En fait elles avaient emmené le chien à l’extérieur afin qu’il fasse son petit pipi ! Donc point de mystère

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Pr Martinov
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