Viviane et Elsa par Cosi-cosa
J’ai 24 ans, et j’ai eu un rapport particulier avec ma tante Vivianne, oh, pas depuis longtemps deux ou trois ans je ne me rappelle plus bien.
Un jour que je passais chez elle, je ne me souviens plus à quelle occasion, elle m’offre un rafraîchissement, dans la cuisine et s’en va quelques instants à côté.
Mon regard est alors attiré par une petite culotte qui git au sol, en fait elle a dû tomber d’un tas de linge qu’elle rapportait de la panière à linge sale pour le mettre en machine à
laver.
Je ramassai l’objet, et là je ne sais pas ce qui m’a pris, j’étais soudain subjugué, devant : des taches de pisse, derrière quelques traces brunâtres. Je porte la
culotte à mes narines, elle dégage un fumet subtil qui me rend fou, j’approche ma langue des taches jaunes et je lèche, juste un peu, Ma tante n’apparait toujours pas, je respire les taches
brunes et poussé par je ne sais quel démon, j’y porte la langue.
– Dis donc, toi tu crois que je ne t’ai pas vu ?
Je bégaie, je balbutie, je ne sais pas quoi dire !
– Je vais m’en aller ! Finis-je par dire
– Bien sûr que non ! Ce que tu viens de faire, ne fait de mal à personne, d’accord?
– Oui, mais enfin…
– Enfin quoi ! Tu sais ce que tu vas faire, tu vas te branler et t’essuyer avec ma culotte !
– Mais Tata !
– Ben quoi, t’es adulte, moi aussi, on peut s’amuser, non ?
– Je vais m’en aller ! Répétais-je !
– Si tu fais ce que je t’ais dis, je te montre mes gros nichons
L’argument a dû porter, je me suis branlé tandis que tante Viviane me montrait ses lolos et j’ai juté dans sa culotte.
Après je suis parti, je suis resté plusieurs semaines sans venir la voir, mais un jour il a bien fallu que j’y aille, il ne s’est rien passé, aucune allusion rien.
Un coup de folie mutuel ! me disais-je
Et la fois d’après, elle m’a présenté Elsa, une grande brune entre quarante et cinquante ans, lunette à grosse monture, jolis yeux bleus et sourire
carnassier.
Je bois un café et ma tante me dit :
– Elsa est embêtée, il faut qu’elle aille à Angers chercher un truc, et elle n’a pas de voiture
Bref on m’explique que la dame est venue en mobylette et qu’elle ne se voit pas y transporter des tringles de doubles rideau…
– Je vous paiera l’essence ! Me précise-t-elle
C’est ce qu’on dit toujours dans ces cas-là, non ?
Nous voilà en voiture, à côté de moi elle se tripote la cuisse négligemment, elle a des bas auto-fixants, elle me fait bander la salope !
On traverse un petit bois
– Tu peux t’arrêter dans le petit chemin de terre, j’ai envie de pisser.
Je m’engage dans le chemin en question, je stoppe, il n’y a personne.
– Je t’ai vu lorgner sur mes cuisses petit coquin !
– Que voulez-vous, je suis un homme !
– Je te plais un peu ?
Oh, voilà que cette affaire prend un tour particulier
– Vous êtes une belle femme !
– Et toi t’es mignon et je te fais bander !
– Je… balbutiais-je
– Laisse toi faire ! Me dit-elle en me mettant la main sur ma braguette !
– S’il vous plaît ! Protestais-je sans conviction.
– Au fait tu sais qu’une femme ne sait pas garder un secret !
Je ne comprenais pas où elle voulait en venir.
– Ta tante m’a raconté l’histoire de la petite culotte, j’ai trouvé ça amusant, t’es un drôle de petit cochon dis-donc !
Je devais être blanc comme un linge ! Mais je venais de comprendre qu’Elsa avait envie de jouer avec moi , aussi me laissais-je faire.
Elsa alla chercher ma bite dans mon pantalon, la branla quelques instants puis la porta en bouche me prodiguant une courte fellation.
– Tu veux me voir à poil ?
– Ben…
– On va descendre de voiture, à cette heure il n’y a personne dans le bois, plus tard il y a du monde, des voyeurs, des exhib, des travelos, des partouzeurs, des
mecs qui se sucent et qui s’enculent… tu ne savais pas
Ben non je ne savais pas !
Putain, qu’est-ce qu’elle est belle toute nue avec ses gros seins un peu lourds et sa toison pas rasée..
Je me mets à poil à mon tour, elle me pince les bouts de seins j’adore ça, elle me serre les couilles, me doigte le cul, et moi je me laisse faire.
– Eh, ne reste pas comme ça comme un pantin, t’as le droit de me caresser !
Alors je me suis jeté sur ses nichons, avec une telle fougue qu’elle a dû me faire stopper.
– Je vais pisser, regarde bien, après tu me nettoiera la chatte ! D’accord ?
– Oui, oui !
– A moins que tu veuilles que je te pisse directement dans la bouche ?
– Oui, pourquoi pas.
Allez, ce sera une première, je m’allonge dans l’herbe, ça gratouille, on aurait dû prendre une couverture. Je reçois le bon liquide doré, j’en bois un peu, le
reste dégouline à côté, je trouve ça délicieux, je bande comme un malade.
Elle se redresse, puis s’accroupit de nouveau, mais à côté de moi.
– Je vais te gâter, je crois que je vais pouvoir faire la totale ! Dit-elle
Qu’est-ce qu’elle raconte ?
Elle pivote m’offrant la vue de son magnifique fessier, je la voie qui pousse, son anus s’ouvre, un petit étron quémande le passage, il grossit, l’étron devient
boudin, un joli boudin magnifiquement moulé, qui finit par tomber au sol, il est suivi d’un deuxième et d’un troisième plus petit.
– Alors il t’a plu, mon caca ?
– Super !
– Maintenant, nettoie-moi le trou du cul avec ta langue.
Je n’ai même pas hésité, je rencontre un gout un peu acre mais qui n’a rien d’abominable, je viens de franchir un pas, je suis un lèche-cul, ça me fait bander rien
que d’y penser.
Cette salope d’Elsa a ensuite voulu m’embrasser sur la bouche malgré le gout de sa bonne merde qui persistait dans mon palais. Mais bon on ne vit qu’une
fois.
Ensuite Elsa a plongé ses mains dans son caca, elle a un peu sucé ses doigts, puis en a repris et c’est avec les doigts tous merdeux qu’elle s’est mise à me pincer
les seins, me provoquant une érection du tonnere de Dieu..
Puis tout alla très vite, elle m’enroule une capote sortie de je ne sais où sur ma bite et me chevauche allégrement en poussant des cris de furie. On a pris nôtre
pied presque en même temps, elle m’a fait aller chercher une bouteille d’eau dans la voiture, je me suis lavé les tétons et elle les mains.
– On fait quoi, maintenant ? Demandais-je après m’être rhabillé
– Ben on va chercher mes tringles à rideaux, c’est bien ce qui était prévu, non ?
Ah, bon, ce n’était même pas un prétexte !
FIN
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