Helena Sevigsky

Samedi 7 mai 2022 6 07 /05 /Mai /2022 07:16

Souvenirs d’une pisseuse par Héléna Sevigsky
Stamp uro

 

Souvent , je tapinais aux terrasses des cafés, croisant les jambes de façon provocante, et lançant des sourires enjôleurs aux messieurs seuls.

Un jour, un vieux monsieur m’a demandé si je voulais bien faire pipi sur lui. Je n’avais jamais fait ça auparavant.

C’était en plein été. Un monsieur bien sur lui, poli et cultivé. Il m’avait offert un verre en terrasse. Ensuite, nous étions allés chez lui, car il voulait me montrer sa collection d’objet érotiques insolites. Je n’avais pas d’attirance particulière pour les vieux messieurs, à cette époque, mais je l’avais trouvé aimable et attachant. Je devais avoir 21 ans.

Je l’ai laissé m’embrasser dans son canapé, puis me toucher, et nous avons eu une relation sexuelle dans son lit. Quand je lui ai demandé à quel endroit il voulait que je fasse pipi, il m’a répondu :

– Viens t’asseoir sur mon visage !

Il m’a payé généreusement, mais je ne l’ai jamais revu.

J’ai rencontré plusieurs autres vieux messieurs par la suite. Et des moins vieux aussi. Certains m’ont abordée sur d’autres terrasses de cafés, ou dans des parcs publics. Mais le plus souvent sur Internet, via des sites spécialisés

Aujourd’hui, j’ai presque 40 ans. Je n’ai pas fait le compte des hommes qui m’ont demandé de leur faire pipi dessus. Je n’ai pas compté non plus ceux qui m’ont rendu le change. Je n’ai pas fait de moyenne d’âge, mais je serais tentée de dire, à vue d’œil, que plus on avance dans le temps, plus on est tenté par les jeux d’urine.

Je me souviens d’un homme d’une quarantaine d’années, que j’ai revu de nombreuses fois et avec qui j’allais me promener dans des lieux publics assez variés : parcs, sentiers pédestres, rues piétonnes, mais aussi rayons de grandes surfaces. A chaque fois, je portais une jupe ou une robe, sans rien dessous. Tout en marchant et en croisant des dizaines et des dizaines de personnes sur notre passage, je pissais. L’urine coulait le long de mes cuisses et de mes jambes, jusqu’à mes pieds, puis elle se répandait derrière moi. Mon partenaire aimait que je le prévienne alors. Que je lui dise :

– Je pisse !

Et alors il me répondait :

– Salope. Tu n’imagines pas comment tu me fais bander !

Généralement, pour finir, nous nous trouvions un endroit pour baiser. Il pouvait s’agir d’un coin de forêt, de bosquets dans un parc, mais aussi de WC publics où il me baisait systématiquement debout.

Je me suis plusieurs fois faite surprendre en train de pisser. Adolescente, dans un sous-bois situé au bord d’une aire d’autoroute, je me souviens d’un homme qui avait au moins l’âge de mon père, qui est tombé sur moi tandis que j’avais ma robe relevée et ma culotte baissée au milieu d’un petit chemin. Il est resté là, immobile, les yeux grands ouverts à regarder ma chatte et le généreux filet de pisse qui coulait sur la terre.

Je me souviens aussi d’un mec de ma promo, à la fac, qui a ouvert d’un seul coup la porte des toilettes qui ne fermaient pas à clé. C’était dans un appartement où se déroulait une soirée étudiante. J’étais en train de pisser et lui aussi est resté figé en découvrant le spectacle : ma chatte, ma pisse. Après plusieurs secondes, je lui ai dit :

– Tu veux bien refermer la porte, s’il te plait ?

Il a tardé à réagir.
Il a tardé à décrocher son regard de ma chatte.
Il a tardé à venir me voir, plus tard dans la soirée, pour s’excuser, mais aussi pour me dire qu’il avait beaucoup aimé ça. Cette même nuit, dans cette maison, nous sommes revenus dans ces toilettes ensemble pour baiser.

La première fois que j’ai goûté de la pisse, j’ai songé à un thé très amer. Tout comme il m’est arrivé de trouver un goût de café au lait sans sucre à des anus que j’ai pu lécher.
Un homme, un jour, m’a parlé de jus d’huître sans citron.
Un autre encore m’a parlé d’alcool fort d’origine inconnue.
Une affaire de goûts…

Toujours est-il que le premier jet de pisse que j’ai pris dans la bouche avait un goût de thé. C’était la pisse d’une fille de mon âge, de la même fac, mais pas de la même promo. Au retour d’une soirée étudiante, bien arrosée, nous avons pris une douche ensemble, chez moi. Nous étions un peu éméchées et nous nous sommes embrassées, tripotées et masturbées mutuellement. Nous ne nous sommes pas concertées, c’est elle qui m’a pissé dessus en premier. Sur les seins, pour commencer, tandis que j’étais agenouillée devant elle. Puis on a inversé les rôles, aussitôt après. Je me souviens être parvenue à lécher son cul pendant que son flot brûlant se déversait sur mes yeux. J’en ai avalé un peu, j’en ai recraché beaucoup.

Je l’ai aussi souvent fait toute seule, sous la douche. Je n’ai jamais trouvé ça répugnant. Comme beaucoup de personnes, je me suis très souvent branlée sous la douche, avec mes doigts, mais aussi avec des objets que j’avais sous la main. Je continue de le faire à l’heure actuelle, et je ne connais pas de femmes de mon âge qui ne le font jamais.

Seulement, pour moi, la pisse a toujours fait partie du jeu et du plaisir. Se lâcher comme ça, c’est divin. Se faire dessus, c’est exquis. Répandre la pisse sur son pubis et sur son ventre quand on se douche, c’est l’extase. En boire un peu est un régal.

Il n’y a pas très longtemps, je l’ai fait avec une collègue de boulot. Elle était en instance de divorce et nous nous étions accordé une soirée entre femmes. Au fil des heures, je ne sais plus comment, nous en sommes venues à parler d’urine. Il se trouvait qu’elle avait déjà partagé ce genre de jeu avec des hommes par le passé, à deux reprises. Mais aussi avec une fille, quand elle était au lycée.

Nous avons beaucoup bu ce soir-là. Nous n’avions pas envie de nous quitter, alors nous sommes allées chez moi. Elle avait un gros cul, mais il était ferme. Nous nous sommes mises en 69 sur mon lit, pour commencer. Je lui ai bouffé le cul et la chatte. Je me suis régalée. Ensuite, nous sommes allées sous la douche pour se pisser dessus. J’ai été stupéfaite, car cette femme fait partie des rares qui avalent beaucoup et qui recrachent peu. Elle a aimé boire ma pisse et j’ai aimé lécher de nouveau son anus sous cette douche.

Je me souviens d’un autre vieux monsieur qui m’a demandé de faire pipi sur sa bite, sur le sol de sa cuisine. Il était tout nu et il n’était pas parvenu à bander suffisamment pour me pénétrer. Après lui avoir fait dessus, sa bite était raide et je me suis empalée dessus.

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Je me souviens d’un homme marié, il y a de ça quinze ans. Cadre supérieur, marié, trois enfants (du moins c’est ce qu’il m’avais dit) , il m’avait contactée sur Internet. Son trip à lui consistait à se faire pisser dessus sans se déshabiller, sachant qu’un cadre supérieur porte généralement des costards coûteux et des cravates. Vous n’imaginez pas le plaisir que j’ai eu à arroser sa tenue.

Etudiante, j’ai très souvent posé toute nue pour des photographes, et il m’est arrivé de pisser pour certains. C’était quelque temps après mon premier vieux monsieur. J’avais la chatte poilue, à l’époque. J’ai conservé quelques clichés. Quand je les regarde, je me trouve vraiment un air de garce sur ces photos. Il m’arrive de me masturber en les regardant, y compris sur celles où je ne suis pas en train de me faire tripoter par le photographe en question, ou de lui sucer la bite.

Je me souviens avoir pissé sur le siège passager d’une voiture, devant un homme qui m’avait prise en stop.

Je me souviens avoir fait en sorte que le père d’une copine de lycée me voit en train de pisser, au fond de son jardin. Juste mon cul et le jet de pisse qui coulait entre mes fesses.

Je me souviens avoir reçu en plein visage la pisse d’un homme, un jour, dans une chambre, suite à de longs échanges sur Internet. Sa femme était assise à proximité, dans un fauteuil, à poil, à nous regarder en se branlant.

Je me souviens être parvenue à pisser tandis que la queue d’un inconnu était en train de me pénétrer, en pleine nature. Il a fallu que je me concentre un long moment, car il n’est pas évident de pisser quand une grosse queue vous bourre la chatte.

Je me souviens m’être mise à poil chez moi, un soir, en observant un couple qui baisait dans une voiture, dans ma rue. Ils étaient deux étages plus bas et je me suis pissée dessus en me branlant.

Je me souviens avoir fait en sorte qu’un amant de ma mère me surprenne dans les toilettes, un soir. J’avais envie qu’il voie ma chatte, après l’avoir vu à plusieurs reprises bourrer celle de ma mère.

Je me souviens d’avoir léché la chatte de ma mère après l’avoir regardé pisser.

Je me souviens de tellement de choses.
Vous n’imaginez pas.
Tous ces goûts de thés amers.

Fin

Ce texte est un rewriting d’un très vieux texte érotique anonyme que j’ai trouvé intéressant

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Dimanche 8 août 2021 7 08 /08 /Août /2021 10:09

Sept de pique par Hélèna Sevigsky

Domina

Mais comment elle a fait ?

 

J’avais pourtant bien truqué le paquet de cartes !

 

– Si c’est pique ou trèfle, c’est toi qui commande et j’ai un gage, si c’est cœur ou carreau, c’est le contraire !

– O.K. !

– Tire une carte !

 

Elle le fait et tire un sept de pique.! Voilà une situation que je n’avais pas prévue. Que faire maintenant ? Je me dois d’être bon joueur à défaut d’être un mauvais tricheur.

 

– Bon, prends une douche, je donne un coup de fil et on y va. Me dit-elle.

– On va où ?

– Tu le verras bien.

 

Rapide description de Margot, ma compagne, fausse blonde, lunettes, quelques rondeurs, trente ans, joli minois, faut pas que je me plaigne. Elle travaille tout comme moi dans les assurances, mais pas au même endroit. Une belle coquine !

 

Je la laisse téléphoner, je n’essaie pas d’écouter.

 

Et à 15 heures, nous sommes descendus, on a pris un taxi, Margot a indiqué une adresse qui ne me parlait pas.

 

Arrivés sur place, on entre dans un immeuble, un peu d’hésitation, manifestement ma femme n’est jamais venue à cet endroit.

 

– C’est Margot et Gilles ! Annonce-t-elle dans l’interphone.

 

Mais chez qui m’emmène-t-elle, bon sang ?

 

Ascenseur, une porte sans indication avec juste un numéro, c’est entrouvert. Un chien aboie, une voix féminine autoritaire le fait taire.

 

Une femme nous fait entrer, une belle brune à la peau mate, entre quarante et cinquante ans, elle est revêtue d’une robe de chambre blanche. Depuis quand reçoit-on les gens en robe de chambre en plein après-midi ?

 

Nous voilà dans une petite salle où il n’y a pas grand-chose. Elle nous toise.

 

– Je suis maîtresse Florida. Toi l’esclave, tu te mets à poil et à genoux et tu nous attends. Toi Margot tu viens avec moi qu’on règle deux ou trois détails pratiques.

 

Mais où suis-je bordel ? C’est qui cette nana dont je n’ai jamais entendu parler. Bref comme je l’ai déjà dit je suis là pour jouer le jeu, je me fous donc à poil et attend le retour de ces dames.

 

Et les voilà qui reviennent, Florida enlève sa robe de chambre. Elle est superbe avec son bustier en vinyle noir.

 

– Toi tu ne bouges pas ! Me dit-elle. Et toi la morue, tu te fous à poil et plus vite que ça, espèce de chiennasse.

 

Quel langage !

 

Margot s’exécute, mais j’avoue ne pas comprendre. Ayant perdu au tirage de carte, cet après-midi, le soumis c’est moi, pas elle, c’est quoi ce délire ?

 

– Viens devant moi, grosse merde ! Lui dit-elle.

 

On est en pleine poésie !

 

Les deux femmes sont face à face, Florida dégage son bustier dévoilant une paire de seins de toute beauté, du coup, je bande comme un âne, mais les deux nanas m’ignorent complètement.

 

Florida se crache alors sur ses nichons, plusieurs fois de suite, jusqu’à ce qu’ils deviennent visqueux.

 

– Nettoie maintenant à grands coups de langues. Allez dépêche-toi, on n’a pas toute la journée !

 

Je sens Margot hésiter, puis elle y va, sa langue balaie les seins de la belle brune en insistant sur ses gros tétons durcis.

 

– Tu lèches bien, tu as une vraie langue de pute, Elle est bonne ma salive ? Elle te plait ?

– Oui !

– Oui qui ? Conasse !

– Oui, maitresse.

– Si tu as aimé ma salive, je vais t’en donner encore un peu, ouvre ta bouche de trainée !

 

Elle lui crache plusieurs fois dans la bouche, puis la gifle. Margot complètement passive ne bronche pas.

7pique

– Maintenant tourne toi que je vois ton gros cul… Oh, c’est pas mal du tout ça, t’as vraiment un cul à te faire de l’or.

– Hi ! Hi !

– Ecarte-moi tout ça que je goutte à ta rondelle… mais t’as fait quoi ? T’as pris une douche avant de venir ?

– Oui !

– Ben fallait pas, espèce de conne ! J’ai horreur des trous du cul qui sentent la savonnette.

 

Puis sans crier gare Florida lui introduit un, puis deux doigts dans le cul, et les fait bouger à fond les manettes. Elle les ressort et lui met sous le nez.

 

– Tu m’as sali les doigts, grosse truie dégueulasse, lèche-moi ça !

 

Je n’ai pas pu d’où j’étais me rendre compte de l’état exact de ses doigts, mais mon épouse s’est acquittée de cette tâche sans problème. Faut dire qu’on avait déjà joué à ce genre de petit jeu à la maison.

 

– Je reviens ! Nous dit Florida.

 

Je peux enfin parler à ma femme :

 

– C’est quoi ce délire ?

-Tais-toi, pédale, ne cherche pas à comprendre.

 

Florida revient avec un bonhomme cagoulé qu’elle tient en laisse… Le mec est gros et pas tout jeune.

 

– Tiens, je t’ai trouvé un client. Ça tombe bien, il aime changer de pute de temps en temps. Tu la trouves comment cette pute, Robert ?

– Elle me plait bien !

– Bon, toi la pute, je te pose les sous du client sur la cheminée ! Précise Florida, Comme ça se passe chez moi, tu n’as droit qu’à la moitié du prix de la passe. Allez, commence par lui sucer la bite et que ce soit bien fait !

 

Le mec a une jolie bite, Margot l’embouche. Ce n’est pas la première fois que je vois ma femme sucer une autre bite que la mienne, on a fait un peu d’échangisme, mais dans ce cas, on pouvait choisir. Là elle est en train de sucer un gros porc adipeux. Et c’est qu’elle s’applique, suçant le gland, léchant la hampe et gobant les couilles, procédant par de vifs allers et retours dans sa mignonne petite bouche.

 

– Alors gros cocu ! Me dit Florida qui m’adresse enfin la parole, ça te fait quel effet de voir ta femme faire la pute ?

 

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Et d’ailleurs elle n’attend pas de réponse.

 

– Alors elle est comment cette bite ? Demande Florida à ma femme.

– Délicieuse !

– Ça te plaît de faire la pute ?

– Oui, maîtresse.

– Ça te plait comment ?

– Ça me plait beaucoup, maîtresse !

– Tant mieux, lèche-lui le trou du cul, maintenant !

 

Le type se retourne, écarte ses fesses et offre son trou à ma femme qui y pointe sa petite langue vicieuse ! Elle a l’air ravie ! Quel spectacle !

 

– Il est comment son cul ?

– Délicieux !

– J’espère qu’il sent un peu la merde !

– Oui, un petit peu !

– Bon, change de position, il va t’enculer maintenant, non pas comme ça, mets-toi ici que ton cocu de mari puisse bien te voir.

 

Le gros patapouf se revêt d’une capote (encore heureux !) tandis que Florida tartine le troufignon de ma femme avec du gel. Et c’est parti, le gros pépère est vaillant et ne néglige pas sa peine, la pilonnant comme un piston de locomotive.

 

Margot commence à pousser des petits cris, elle va jouir la salope, elle va jouir sous les coups de boutoir d’un gros dégueulasse qui l’encule !

 

Effectivement elle jouit, Florida fait signe au bonhomme de se retirer, ce qu’il fait et il sort de la pièce. Ma femme est toute mouillée en bas, c’en est spectaculaire.

 

– Viens ici ma petite pute ! Tu m’as trop excitée.

 

Les deux femmes se rapprochent et se roulent un patin, mais pas n’importe quel patin, j’ai déjà vu des femmes s’embraser avec fougue, mais là c’est incroyable, ça bave, ça dégouline, elles sont déchaînées.

 

Florida se cale dans un fauteuil en relevant les jambes

 

– Viens me faire jouir ! Viens me foutre ta langue de pute dans ma moule de vieille salope !

 

Quel romantisme !

 

– Et toi tu te tournes, t’as pas besoin de voir ça !

 

Je ne vois rien mais j’entends, la Florida a joui avec une rapidité fulgurante.

 

Elle se relève, prend une cigarette, en offre une ma femme, moi je n’y a pas droit !

 

– J’ai envie de pisser ! Lui dit Florida, assis-toi par terre et ouvre ta bouche.

 

On a déjà, Margot et moi, joué à des jeux uro et même très légèrement scatos, mais je ne crois pas qu’elle ait déjà fait ce genre de choses avec une femme… mais bon comme c’est le jour des grandes découvertes…

 

L’air de rien, je me retourne, Margot à l’air toute contente de boire de la pisse, elle avale ce qu’elle peut, recrache le trop plein qui lui coule sur les seins qu’elle badigeonne.

 

– Ça t’a plu ?

– Délicieux !

– C’est bien, tout à l’heure je te chierais dessus.

 

La gueule que fait Margot, mais elle ne proteste pas.

 

– On dit, « oui maîtresse « !

– Oui maitresse ! Chuchote-t-elle.

– Ben dis donc ce n’est pas le grand enthousiasme, allez mets-toi en levrette, je vais te faire gouter ma badine ça va te motiver.

 

Et Florida se met à taper le joli cul de mon épouse.

 

– Je n’arrêterais que quand tu auras le cul tout rouge, tu as compris, grosse pouffe !

– Oui, tapez-moi, je le mérite !

– Absolument, ton pédé de mari ne va pas pouvoir te toucher les fesses pendant une semaine.

– Aie !

– Ça fait mal ?

– Oui, mais vous pouvez continuer.

– Relève-toi, et face à moi, je n’ai pas fini de te torturer.

 

Florida attrape les tétons de Margot, elle les tord, les tire, les pince..

 

– Regarde-moi ta pute, je la maltraite et elle mouille comme une éponge !

 

Florida reprend sa badine et lui tape sur les seins. Ça fait mal et ça fait des marques. Margot crie et des larmes coulent de ses yeux. Mais bon sang, pourquoi n’arrête-t-elle pas ce cirque ?

 

La dominatrice repose sa badine, balance une paire de gifles à mon épouse puis lui fait ouvrir la bouche pour lui cracher dans le gosier.

 

Et puis soudain les deux femmes s’embrassent goulument, tellement goulument qu’elles en bavent de nouveau.

 

– Sanka viens ici ! Ordonne Florida.

 

Sanka c’est le chien qui quitte son panier et viens rejoindre sa maîtresse en agitant la queue.

 

Florida demande à ma femme de caresser le chien. Je sens que l’affaire risque de virer zoophilie. Margot m’a confié un jour qu’elle essaierai bien avec un chien… Mais elle n’a jamais eu l’occasion de concrétiser ce fantasme.

 

– Maintenant caresse-le sous le ventre.

 

Ravi le chien se me met sur le dos, les pattes en l’air.

 

– Touche lui la bite !

 

Elle le fait et au bout de quelques instant la bite sort de son fourreau, rouge, raide, un peu visqueuse.

 

– Et maintenant tu lèches !

– Que je lui lèche la bite ?

– Je veux bien, mais je n’ai jamais fait ça.

– Il y a un début à tout, je vais te montrer.

 

Florida se penche vers la bite du chien et conne des petits coups de langue sur la verge, puis embouche carrément tout ça.

 

– Allez à toi de jouer !

 

Margot refait les même gestes que Florida. C’est dingue, ça de voir sa compagne sucer la bite d’un chien.

 

Au bout d’u moment, Florida fait stopper la fellation, puis enfile des grosses moufles sur la pattes de devant du quadrupède.

 

– En levrette, Margot, le chien va te couvrir !

– Je suis obligée ?

– Ce n’est pas comme cela qu’il faut raisonner ! T’es une grosse salope, n’est-ce pas ?

– Oui, je crois bien !

– Eh bien les grosses salopes, elles n’ont pas peur de se faire sauter par les chiens, au contraire, elles en redemandent. Alors maintenant assez de discussion, et en levrette !

 

Ma femme opte pour la position demandée, Florida en traine le chien qui ne tarde pas à comprendre que les trésors de ma femme sont à sa disposition, il se rue littéralement sur elle (je comprends alors le pourquoi des moufles) et il se met à la pilonner à une cadence infernale.

 

L’affaire a duré plusieurs minutes, jusqu’à ce que le chien regagne son panier après s’être vidé de son sperme.

 

– Et maintenant on va s’occuper de ce connard ! Dit Florida.

 

Je suppose que le conard, c’est moi ?

 

Elle me passe un collier de chien auquel est attaché une laisse et me fait avancer à quatre pattes jusqu’à la pièce d’à côté.

 

Me voilà dans un espèce de donjon, les murs sont peints en rouge et il a ici tout un tas de trucs pour immobiliser les esclaves qui s’aventurent dans ce lieu de débauche : une croix de Saint-André, des chaines, un chevalet, une chaise en fer dont le siège est percé…

 

Mais la vrai surprise c’est la présence de trois bonhommes nus et masqués à genoux, le cul relevé, l’un d’eux étant le grassouillet qui a enculé ma femme tout à l’heure. Quel salaud, celui-ci !

 

Sur un geste de Florida les trois pervers se relèvent et se positionnent en rang d’oignon face à nous. Elle me tire vers le premier à gauche.

 

Pas difficile de deviner ce qu’elle va me demander de faire. J’ai déjà en de rares occasions et sous l’effet d’excitations particulières sucé quelques bites. Mais bon, ce n’est quand même pas trop mon truc et là il en a trois.

 

– Tu vas leur lécher la bite ! Allez, grouille, je n’ai pas que ça à foutre, pédale !

 

Je cherche à croiser le regard de ma femme, elle est là, toujours à poil, avec ses marques de coups bien apparentes et son rimmel qui a dégouliné de ses yeux, je l’ai connu plus sexy.

 

– Fais ce qu’on te dit ! Enculé !

 

Je suis piégé, elle ne viendra pas à mon secours. Bien sûr dans l’absolu, personne ne me retient prisonnier, je pourrais prendre mes cliques et mes claques et quitter ce rassemblement de dépravés. Mais j’ai comme l’impression que Margot le prendrait très mal, et puis après tout je n’ai qu’a m’en prendre à moi-même, ça m’apprendra à tricher de travers.

 

J’ai la première bite devant moi, elle ne bande pas du tout. Pas bien grave, mes lèvres et ma langue devraient résoudre le problème. Finalement comme la bisexualité n’est pas vraiment taboue chez moi, je prends un certain plaisir coupable à faire grossir le machin dans ma bouche, je me recule légèrement pour voir le résultat, le type bande bien désormais, je suis un bon suceur de bite. Non mais dès fois !

 

On passe au deuxième, je commence à y prendre goût, puis me voilà devant le troisième, à ce régime-là, je vais devenir un vrai spécialiste.

 

Il se trouve que le troisième en question est l’infâme salopard qui a enculé ma femme. Et moi je suis là en train de lui faire une pipe. C’est quand même très humiliant comme situation !

 

Florida demande ensuite à ses trois esclaves de se retourner, de se pencher légèrement et d’écarter les fesses.

 

J’ai compris, mais je ne veux pas faire ça !

 

– Lèche, pédale, lèche-leur le trou du cul !

 

Ce n’est pas Florida qui me donne cet ordre, c’est Margot ! La salope ! L’immonde salope ! Elle exagère !

 

Et la voilà derrière-moi qui me frappe avec la badine de Florida.

 

– On t’as dit de lécher les culs, alors tu lèches ! Quand tu lèches le mien tu ne fais pas ta jeune fille, alors tu fais ce qu’on t’as dit, un cul de mec ou un cul de femme, ça a le même gout !

 

Oui mais la différence, elle est psychologique comme dirait le docteur Freud.

 

Je me demande un moment si Margot ne cherche pas la crise ? Non c’est idiot, si elle voulait me quitter, il y avait tellement plus simple. Alors je me lance… en fermant les yeux.

 

Je lèche le pourtour de l’anus sans enfoncer la langue.

 

– Mieux que ça ! Me crie Margot en y allant de sa badine.

 

J’essaie de m’appliquer mais j’ai hâte que ça finisse.

 

Ça y est j’ai léché mes trois trous du cul, je me sens salope, mais salope…

 

Nouveau coup de badine !

 

– En levrette, pédale !

 

Cette fois, c’est la phase sodo, je me marre parce que seul l’un des trois gus bande correctement, les autres vont être incapables de me pénétrer. Sinon ben, curieusement j’appréhende moins la chose que ce que je viens de faire avant. Ma chère et tendre épouse m’a plusieurs fois enfoncé des godes dans le cul et j’ai eu la faiblesse d’adorer ça, alors une vraie bite ce sera une première mais je suis prêt à assumer, d’autant que c’est un de mes fantasmes.

 

Sur les conseils de Florida, Margot vient branler celui qui a des meilleures dispositions. Elle le suce même un peu, je vous dis c’est une vraie poufiasse.

 

Le mec passe derrière moi, je sens qu’on me tartine mon cul de gel, je suppose qu’il s’encapote (je supposais bien). Et vas-y Léon, le voilà qui m’encule. Ça rentre bien, ça rentre même profond, et ça lime. Putain, c’est bon ce qu’il me fait cet enculé, non pardon l’enculé c’est moi !

 

L’esclave numéro deux vient devant moi, j’ai compris, il faut que je le refasse bander de ma bouche afin qu’il m’encule à son tour. Il y est arrivé, mais juste un peu, j’ai presque trouvé ça dommage. Par contre le troisième a été incapable de maintenir son érection. On n’a pas insisté.

 

Bon c’est fini ce cirque ?

 

Ben non, il a fallu que les deux pétasses avec un plaisir évident m’attachent sur chevalet et me rougisse le dos et le cul à coups de badine et de martinet après m’avoir torturé les tétons avec des pinces de sex-shop.

 

On me détache, Florida nous raccompagne dans la petite pièce, il y a un petit frigo que je n’avais pas remarqué, elle en sort une dizaine de saucisses de Strasbourg, puis prend deux verres à pied dans un petit placard. Elle pisse dans les verres.et nous invite à boire. Jusque-là ça va, mais que va-t-elle faire des saucisses ? Suspense !

 

Elle en prend une, se l’introduit dans le trou du cul puis l’expulse. Elle n’est pas ressortie très nette la saucisse, elle la donne à Margot, ma femme m’a déjà sucé la bite après une sodo un peu sale, donc ça ne la dérange pas trop, mais moi je n’ai jamais fait ça. La deuxième saucisse sort de son trou du cul, elle est pour moi.

 

Alors je ferme les yeux et je croque, je mâche et j’avale, en fait je n’ai rien senti de particulier.

 

Florida demande à mon épouse de se coucher sur le sol. Elle la chevauche.

 

– Tu sais ce que je vais faire ? demande-t-elle à Margot.

– Oui, maîtresse, vous allez me chier dessus.

– Tu te rends compte de l’honneur que je te fais ?

– J’y suis sensible !

 

Je rêve !

 

Un long boudin sort de l’anus de Florida et vient choir sur la poitrine de mon épouse. C’est fou de voir ça !

 

La domina détache un bout de l’étron, le lèche avec un regard vicieux avant de demander à Margot d’en faire autant.

 

Elle ne va quand même pas faire ça ? Si, elle le fait ! Et le pire c’est que ça me fait bander à ce point que ma bite en est douloureuse.

 

Elle me regarde, avec sa bouche entrouverte remplie de merde, elle me nargue.

 

– Je peux vous lécher le cul ! Demande Margot à Florida.

 

C’est pas vrai qu’elle en redemande ! Mais quelle salope ! Elle lui lèche le cul avec gourmandise. Elle me tire la langue, elle est dégueulasse.

 

– Alors elle t’a plus, ma merde ? Lui demande Florida.

– C’était un régal.

 

Florida s’amuse de voir ma bite bandée.

 

– Tu ne vas pas partir comme ça ! Robert, reviens par ici, l’esclave va t’enculer.

– Euh…

– C’est moi qui commande, encule-le et ne discute pas.

 

Ma bite est entrée comme dans du beurre dans le trou du cul de cet enfant de salaud.et excité comme un poux j’ai joui en moins de cinq minutes.

 

– Tu m’as bien enculé ! Me remercie le type.

– Je vous en prie, c’était un plaisir !

 

Faut toujours rester poli.

 

– Allez rhabillez-vous, la séance est terminée.

 

C’est ce qu’on fait, Florida a donné à ma femme des lingettes démaquillantes pour qu’elle s’arrange le visage.

 

Les deux femmes se roulent un nouveau patin avant que l’on prenne congé, moi j’ai juste droit à une poigné de main.

 

– C’est fini où il y a une suite ? Demandais-je à ma moitié .

– Non c’est fini, tu veux qu’on aille au restau parce que juste une saucisse ça fait peut-être un peu juste ?

– O.K. pour le restau, mais en fait je n’ai rien compris, pourquoi tu t’es fait dominer comme ça ? Tu la connaissais, la nana ?

– Oh, que de questions ! Tiens une brasserie alsacienne on y va, et je vais te raconter.

 

Dans la brasserie, Margot a demandé au maître d’hôtel un coin discret.

 

Flashback

 

Le récit de Margot.

 

Ça fait trois fois qu’on joue à son jeu idiot, les premières fois c’était drôle mais je crois qu’on a fait le tour de la question, il m’a exhibé dans des sous-sol de sex-shop, fait sucer des bites à la chaine, des doubles pénétrations, du pipi à gogo et des attachements pénibles. Alors je veux bien jouer une dernière fois, mais cette fois c’est moi qui vais gagner.

 

J’ai pensé l’accompagner chez une domina, mais je voulais un gros truc, qu’on l’oblige à sucer des bites et des culs, qu’il se fasse enculer, fouetter et toutes ces sortes de choses.

 

Je dégote quelques coordonnées de ces dames sur le net, et après quelques essais infructueux, je suis tombée sur cette Florida.

 

– Oui, on peut faire ça, mais ça va vous couter bombons ! me dit-elle au téléphone

– C’est combien « bombons » ?

 

Elle me l’annonce ! Je n’ai pas ce budget.

 

– Bon tant pis, c’était juste une idée comme ça, je vais essayer de trouver autre chose

– Attendez on peut peut-être s’arranger, vous avez quel âge ?

– 30 !

– Vous êtes quel genre ?

– Moi ? Fausse blonde, lunettes, normale quoi ? pourquoi vous me demandez ça ?

– Vous plaisez aux hommes ?

– Ben oui, je ne suis pas si mal…

– Et aux femmes !

– Non mais, c’est quoi ces questions ?

– Je vais vous proposer de passer me voir, juste pour voir comment vous êtes, si je vous me convenez je vous proposerais un arrangement.

– Quel arrangement ? Même à 50 % ce serait trop cher pour ma bourse.

– Non, je peux faire mieux que ça, mais répondez à deux questions. Avez-vous quelque chose contre le fait de faire l’amour avec une femme ?

– Non !

– Aimez-vous être dominée ?

– Si c’est un jeu et si on respecte mes limites…

– Oui, je connais le refrain, je vous donne mon adresse, vous pouvez passer quand ? J’habite dans le Marais.

– Tout à l’heure en sortant du boulot….

 

Elle m’a donné l’adresse d’un bistrot, le contact a été bon. Elle m’a demandé de la suivre aux toilettes, Nous sommes entrées toutes les deux dans une cabine et elle m’a demandé de me déshabiller, mais j’ai gardé mes sous-vêtements.

 

– Voilà ce qu’on va faire, vous venez avec votre mari, je commence par vous dominer devant lui, et après on exécutera votre programme. Vous ne me devrez rien, le prix ce sera votre domination, ça vous va ?

– Ça me convient très bien !

 

Fin du flash-back

 

– Mais pour les cartes ?

– J’ai acheté un bouquin sur les tours de cartes, j’ai compris comment tu faisais pour gagner, il suffisait que je fasse pareil…

 

J’en reviens pas, le serveur arrive.

 

– Ces messieurs dames ?

– La choucroute palette, il y a des saucisses ? Demande Margot.

– Non si vous voulez des saucisses, il faut prendre la choucroute saucisse ou la choucroute royale.

– Alors ce sera deux choucroutes saucisses, nous adorons les saucisses voyez-vous !

– Bien sûr, vous verrez elles sont excellentes.

– Dis donc tu aurais pu me laisser choisir ! Protestais-je.

– Tu sais bien qu’aujourd’hui c’est moi la chef !

– Je croyais que le jeu était terminé.

– Ah oui, c’est vrai ! Tu veux qu’on change ta commande ?

– Mais non !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:36

Ce n’est qu’un rêve ! par Hélèna Sévigsky

Anna

Ce n’est qu’un rêve !

 

J’ai surpris mon fils dans le canapé,

Lisant les pages d’une revue osée

En se branlant fermement la quéquette.

Moi j’étais en petite nuisette,

Je lui ai laissé voir mes beaux nichons,

Ma main s’est avancée vers ses roustons,

J’ai ôté sa main de sa jolie bite,

Cela pour que ce soit moi qui l’agite.

Il n’ose rien dire, je le tétanise,

Je le rassure et lui fais une bise.

Voilà qu’il éjacule son foutre blanc.

Merci d’arroser les seins de maman !

Ce soir ce sera dans mon beau derrière

Et nous le ferons devant ton père !

 

Blanlibranlette

 

(c) Hélèna Sévigsky 2017

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:30

Un paquet de gaufrettes

Un texte de Cana corrigé par Hélèna Sevigsky

 

zoo

Avant de partir en vacances en Italie, je décidai de passer quelques jours chez la meilleure amie de ma mère. Elle habite sur les hauteurs de Nice, dans une belle maison avec piscine. Je la connais depuis que je suis toute petite, elle fait partie de la famille, et elle et son mari me considèrent un peu comme leur fille.

 

J’arrive donc comme prévu chez eux, il fait très beau sur la côte, et pour commencer les vacances, quelques jours dans cet endroit, ce sera vraiment parfait. L’accueil comme d’habitude est très chaleureux, et après avoir pris possession de ma chambre à l’étage, je descends tout de suite les rejoindre à la piscine. Il fait très chaud en ce début d’été, et nous passons toute la soirée à discuter de la famille, du boulot, au bord de la piscine, tout en grignotant un petit peu.

 

Le week-end se passe ainsi, entre siestes, baignades et discussions. Eux par contre ne sont pas encore en vacances, et dès le lundi ils me laisseront seule à la maison, ils me donnent alors quelques instructions, me montrent ce qu’il y a dans le frigo pour que je ne meure pas de faim, et me disent ce qu’il faut faire pour leur chien qu’ils ont appelé Mirza, comme la chanson. C’est un superbe bâtard croisé avec du labrador certainement.

 

Lundi matin. Je les entends se préparer, ils essayent de ne pas faire de bruit, les portes claquent et les voitures démarrent. Me voilà seule dans leur maison, je me rendors…

 

Le soleil est maintenant très haut, il est temps de me lever. Un bref passage dans la salle de bains, puis vite à la piscine. Comme personne n’est là, je me baigne toute nue. C’est génial.

 

Je retourne dans la maison pour me faire mon café, et je vois un petit mot qu’ils m’ont laissé. Ils ne rentreront que très tard. Il faudra que je me débrouille seule, pas de problème.

 

La journée passe vite, farniente au programme de cette première journée.

 

Mirza, qui n’aime pas être seul, vient vers moi ; il ne demande qu’à s’amuser, il adore plonger dans la piscine.

 

À l’heure du repas, il s’allonge devant moi avec un tel regard que je ne peux pas résister à lui donner des petits morceaux de mon repas.

 

L’après-midi, il vient aussi près de moi, se met à mes pieds, et parfois commence à me lécher les doigts de pieds. Je n’y porte pas vraiment attention, mais cela me procure une sensation étrange et très agréable.

 

Puis la soirée arrive, la nuit tombe petit à petit, même si je n’ai rien fait aujourd’hui, j’ai envie d’aller me coucher tôt surtout que mes hôtes ne sont pas là.

 

Je prends un bouquin, et un paquet de gaufrettes, c’est mon péché mignon. Mirza me suit. Je sais que l’étage est interdit pour lui, mais je le laisse me suivre jusque dans ma chambre. Il me tiendra compagnie.

 

Après une dernière douche, je m’allonge toute nue sur mon lit. La fenêtre grande ouverte. Quelque temps après, les voitures arrivent. Il fait nuit maintenant. Je les entends discuter certainement de leur soirée. Ils viennent au bord de la piscine.

 

Plus de bruit, et puis un plongeon, puis deux. Ils essayent de ne pas trop faire de bruit. J’essaye de deviner ce qu’ils font.

 

Trop curieuse, je me lève et je vais à la fenêtre. Ils sont dans l’eau et ils s’embrassent. Je vois les mains de l’homme lui caresser le dos puis les fesses sous l’eau.

 

Elle s’agrippe à lui et entoure son corps de ses jambes, et il la porte comme cela jusqu’au bord de la piscine, il monte les marches une à une et vient délicatement la poser sur le rebord.

 

Puis lui redescend dans l’eau, il s’allonge et vient mettre sa tête entre les jambes écartées de sa femme. Il commence alors à l’embrasser. Elle rejette sa tête en arrière.

 

La piscine est éclairée à l’intérieur, je vois leurs corps en contrejour, ombre et lumière, et c’est terriblement excitant.

 

Il continue avec sa bouche sur sa chatte, elle s’allonge complètement sur le dos en relevant ses jambes largement ouvertes.

 

Ma main se pose sur mon sexe, je suis trempée.

 

Je la vois se cambrer, elle vient de jouir sous les coups de langue de son mec. Il sort de l’eau, je vois son sexe tendu à contre-jour. Il reste debout devant elle, elle se met à genoux et vient engloutir ce mat tendu. Il lui prend la tête pour diriger la manœuvre, elle est complètement abandonnée à ses désirs. Ses mouvements se font de plus en plus rapides. Je crois qu’il va jouir dans sa bouche mais il ressort son sexe qui a encore pris du volume. Il la retourne et vient la prendre par derrière.

 

Mes doigts s’affolent sur mon clitoris, je les regarde baiser devant moi en silence, le bout de mes seins est très dur, et ma chatte brûlante.

 

Il la prend sauvagement en lui claquant les fesses, elle se cambre, lui aussi, il jouit en elle. Mais tout ça en silence comme pour ne pas me déranger.

 

Ils restent comme cela un petit moment, puis décident de rentrer.

 

Moi, je m’éloigne vite de la fenêtre pour qu’ils ne me voient pas. Mais je reste frustrée. Ils m’ont excitée, j’ai envie de jouir, d’avoir une queue en moi.

 

Une fois sur le lit, j’essaye de me calmer en reprenant mon bouquin et surtout mes gaufrettes.

 

Mirza est toujours là au pied du lit.

 

Je prends une gaufrette et la lui donne, il vient tout de suite la prendre, il aime ça, il me lèche la main pour prendre jusqu’à la dernière miette.

 

Je continue à lire sans intérêt, et toujours avec le paquet de gaufrette qui va certainement y passer.

 

En cassant une gaufrette, des morceaux tombent sur mon ventre. Mirza qui ne loupe rien vient mettre ses pattes sur le lit et vient les récupérer sur mon nombril.

 

J’essaye de le faire redescendre mais il s’applique à récupérer encore les petites miettes de gaufrettes sucrées.

 

Sa langue sur mon ventre me procure une sensation étrange.

 

Je casse à nouveau une gaufrette, les miettes se répandent sur ma poitrine. Lui Mirza remonte sa tête et vient à nouveau lécher avec application.

9Helena

J’étais toujours frustrée par le spectacle que le couple m’avait offert. Et les coups de langue de Mirza commençaient à me faire un effet vraiment bizarre. Le bout de mes seins durcissait sous ses léchages.

 

Il s’appliquait, il léchait doucement en recherchant ses miettes, sa langue était douce.

 

Je continuais alors à répandre des miettes pour le récompenser et l’inciter à continuer.

 

Puis je changeai de position. Je me mis au bord du lit, les jambes écartées. Mon excitation augmentait encore. Je pris des miettes de gaufrettes et les dispersai en haut de mes cuisses et sur ma chatte humide. Cette fois-ci, j’en mis bien plus qu’avant sur mon ventre et mes seins, et lorsque je sentais qu’il n’y en avait plus j’en rajoutais encore.

 

La langue du chien s’appliquait à lécher chaque endroit de ma peau, puis il goûta aux miettes qui étaient tombé sur ma chatte. Le goût sucré des gaufrettes et celui de ma cyprine le firent s’attarder sur mon minou. J’écartais les jambes pour qu’il vienne bien me lécher, sa langue forte et douce pressait sur mon sexe. Il arrivait à l’enfoncer un peu à l’intérieur. Je relevais les jambes pour qu’il vienne aussi lécher mon petit trou.

 

Sa langue ne s’arrêtait plus, j’arrivais à le diriger en relevant mes jambes ou en les abaissant, puis je sentis la chaleur m’envahir, je pressais ma vulve sur sa langue, on aurait dit qu’il sentait que j’allais jouir, il continuait à lécher cette chatte en chaleur avec application, et je me suis laissé aller sous sa langue, j’ai longuement joui, plusieurs fois, il ne s’arrêtait plus, le goût de mon jus devait lui plaire plus que celui des gaufrettes.

 

Puis je me suis redressée sur le lit. Je réalisais maintenant que je venais de jouir avec un chien. J’étais encore dans un état second, le plaisir procuré était si fort que je n’avais aucun remord.

 

Je suis allée me doucher, puis avant de me recoucher je lui ai ouvert la porte en lui disant :

 

– À demain mon toutou !

 

Dans le texte original, publié sur Revebebe en 2006 sous le titre « le meilleur ami de la femme » et signé Cana, l’auteur commet une erreur grossière : on ne donne pas de chocolat à un chien, cet aliment constituant pour lui un poison, j’ai donc remplacé le chocolat par des gaufrettes !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:27

Olivia et sa mère – 2 – par Hélèna Sevigsky

Stamp MD

 

 

Chapitre 2

 

Chantal était couchée sur son lit, avec son index imbibé de l’odeur du trou du cul de sa fille sous son nez et l’autre dans sa petite culotte pour une folle masturbation. Elle ne tarda pas à jouir en se remémorant la scène qui venait de se jouer dans la chambre d’à-côté.

 

Après avoir atteint l’orgasme, elle n’était pas encore rassasiée, elle avait encore le feu au corps.

 

En toute confiance, vu le peu de résistance qu’Olivia lui avait montrée pendant ces premières caresses, Chantal décida de retourner dans la chambre de sa fille.

 

Olivia s’était endormie après le traitement que sa maman lui a fait subir, elle dormait du sommeil du juste.

 

Elle était telle que sa maman l’avait quittée quelques instants plus tôt. Couchée sur le côté, en cuillère, dos face à la porte et toujours vêtue de son soutien-gorge et sa petite culotte.

 

Chantal vint se coucher à ses côtés sans que sa fille ne se réveille. De sa main droite, elle lui caressa son bras droit qui était le long de son corps.

 

Chantal se recula légèrement et prit l’initiative de lui dégrafer son soutien-gorge, le lui passa au-dessus de son bras accessible, puis, la tournant doucement pour la placer couchée sur son dos, le lui retira complètement et le déposa à côté du lit. Olivia dormait toujours en respirant profondément, montrant ainsi son état léthargique.

 

La maman s’enhardit, sa fille couchée sur le dos et elle à ses côtés, couchée sur sa gauche, avec sa main qui tenait sa tête, elle contemplait le corps parfait de sa fille.

 

Avec son pouce et son index, elle faisait rouler les tétons l’un après l’autre, puis descendit doucement vers le bas-ventre d’Olivia.

 

Elle passa sa main sous l’élastique de sa petite culotte et atteignit la fente encore toute poisseuse de sa jouissance précédente.

 

Chantal lui planta un doigt dans ce vagin collant de mouille et sentit de nouvelles sécrétions venir se mélanger aux anciennes.

 

Olivia ouvrit doucement les yeux et voulut dire quelque chose, mais sa maman, attentive à tous ses gestes, sortit son doigt collant de sa chatte et vint le lui coller sur sa bouche en lui disant :

 

– Chuuuuuuut, ma chérie, laisse-toi aller !

 

Olivia referma les yeux et entrouvrit sa jolie bouche. Chantal lui badigeonna le nez et ses lèvres de sa propre mouille. L’odeur était très forte car la cyprine était dans son vagin depuis un moment.

 

Chantal, comme une anguille, se faufila vers le pied du lit et se planta entre les jambes d’Olivia.

 

Elle lui mit ses chevilles sur ses épaules et lui retira son dernier rempart. Elle garda les jambes de la jeune femme relevées avec sa seule main gauche. Elle approcha son visage devant cette petite fente fort odorante. Dans cette position, les grandes lèvres de sa petite chatte étaient gonflées, car enserrées entre ses cuisses.

 

Chantal passa sa langue sur cette jolie fente rosée de mouille, ce qui faisait couiner Olivia. Elle lapait carrément tout le jus poisseux de la chatte de sa fille.

 

En faisant pression de sa main gauche, la maman ramenait pratiquement les jambes de sa petite chérie sur ses seins. Dans cette position, elle se retrouvait à cinq centimètres de la petite rondelle brune qu’elle venait de triturer quelques minutes plus tôt.

Olivia2

Son petit cul sentait fort aussi, mais quelle vision fantastique de voir ce petit œillet de si près ! Il était tout serré et brun.

 

De la pointe de sa langue, la maman vint titiller ce trou plissé.

 

Olivia eut un sursaut, ne s’attendant pas à ce que sa maman mette sa langue à cet endroit.

 

Chantal continuait ainsi son traitement avec sa langue humide et en forme de petit foret, elle pénétrait de quelques millimètres cette petite barrière très serrée.

 

La mouille d’Olivia coulait de sa chatte à son cul, la maman n’en perdait pas une miette. La jeune femme gémissait et enchaînait les orgasmes.

 

Chantal ne se retenait plus et, de sa bouche entière, passait de la chatte au cul d’Olivia. Elle avait le contour de sa bouche et son nez barbouillés de mouille. Elle remontait d’une traite le lit et venait embrasser sa fille qui ne refusait pas le baiser. De cette façon, Chantal transmettait tous les parfums corporels à sa fille. Celle-ci suçait carrément le contour de la bouche de sa mère.

 

Elle fit descendre Olivia de quelques centimètres, puis lui enjamba le visage. Elle était à califourchon au-dessus de la bouche de sa progéniture. De son index et majeur, elle écarta les lèvres de sa chatte et s’abaissa pour que ses lèvres rentrent en contact avec la bouche d’Olivia. Sans jamais l’avoir fait, et qui plus est, à sa maman, Olivia lapait cette chatte également dégoulinante. Chantal donnait des coups de bassin, ce qui écrasait un peu Olivia et lui maculait également le visage de mouille.

 

Avec la langue d’Olivia et ses frottements sur son visage, Chantal jouit bruyamment et s’écroula à côté de sa fille.

 

Les deux femelles s’endormirent dans cette petite chambre où planait une forte odeur de chattes en chaleur…

 

Fin

 

Hélène Sevigsky – 2015 (c)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Helena Sevigsky
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