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Un paquet de gaufrettes
Un texte de Cana corrigé par Hélèna Sevigsky
Avant de partir en vacances en Italie, je décidai de passer quelques jours chez la meilleure amie de ma mère. Elle habite sur les hauteurs de Nice, dans une belle maison avec piscine. Je la connais depuis que je suis toute petite, elle fait partie de la famille, et elle et son mari me considèrent un peu comme leur fille.
J’arrive donc comme prévu chez eux, il fait très beau sur la côte, et pour commencer les vacances, quelques jours dans cet endroit, ce sera vraiment parfait. L’accueil comme d’habitude est très chaleureux, et après avoir pris possession de ma chambre à l’étage, je descends tout de suite les rejoindre à la piscine. Il fait très chaud en ce début d’été, et nous passons toute la soirée à discuter de la famille, du boulot, au bord de la piscine, tout en grignotant un petit peu.
Le week-end se passe ainsi, entre siestes, baignades et discussions. Eux par contre ne sont pas encore en vacances, et dès le lundi ils me laisseront seule à la maison, ils me donnent alors quelques instructions, me montrent ce qu’il y a dans le frigo pour que je ne meure pas de faim, et me disent ce qu’il faut faire pour leur chien qu’ils ont appelé Mirza, comme la chanson. C’est un superbe bâtard croisé avec du labrador certainement.
Lundi matin. Je les entends se préparer, ils essayent de ne pas faire de bruit, les portes claquent et les voitures démarrent. Me voilà seule dans leur maison, je me rendors…
Le soleil est maintenant très haut, il est temps de me lever. Un bref passage dans la salle de bains, puis vite à la piscine. Comme personne n’est là, je me baigne toute nue. C’est génial.
Je retourne dans la maison pour me faire mon café, et je vois un petit mot qu’ils m’ont laissé. Ils ne rentreront que très tard. Il faudra que je me débrouille seule, pas de problème.
La journée passe vite, farniente au programme de cette première journée.
Mirza, qui n’aime pas être seul, vient vers moi ; il ne demande qu’à s’amuser, il adore plonger dans la piscine.
À l’heure du repas, il s’allonge devant moi avec un tel regard que je ne peux pas résister à lui donner des petits morceaux de mon repas.
L’après-midi, il vient aussi près de moi, se met à mes pieds, et parfois commence à me lécher les doigts de pieds. Je n’y porte pas vraiment attention, mais cela me procure une sensation étrange et très agréable.
Puis la soirée arrive, la nuit tombe petit à petit, même si je n’ai rien fait aujourd’hui, j’ai envie d’aller me coucher tôt surtout que mes hôtes ne sont pas là.
Je prends un bouquin, et un paquet de gaufrettes, c’est mon péché mignon. Mirza me suit. Je sais que l’étage est interdit pour lui, mais je le laisse me suivre jusque dans ma chambre. Il me tiendra compagnie.
Après une dernière douche, je m’allonge toute nue sur mon lit. La fenêtre grande ouverte. Quelque temps après, les voitures arrivent. Il fait nuit maintenant. Je les entends discuter certainement de leur soirée. Ils viennent au bord de la piscine.
Plus de bruit, et puis un plongeon, puis deux. Ils essayent de ne pas trop faire de bruit. J’essaye de deviner ce qu’ils font.
Trop curieuse, je me lève et je vais à la fenêtre. Ils sont dans l’eau et ils s’embrassent. Je vois les mains de l’homme lui caresser le dos puis les fesses sous l’eau.
Elle s’agrippe à lui et entoure son corps de ses jambes, et il la porte comme cela jusqu’au bord de la piscine, il monte les marches une à une et vient délicatement la poser sur le rebord.
Puis lui redescend dans l’eau, il s’allonge et vient mettre sa tête entre les jambes écartées de sa femme. Il commence alors à l’embrasser. Elle rejette sa tête en arrière.
La piscine est éclairée à l’intérieur, je vois leurs corps en contrejour, ombre et lumière, et c’est terriblement excitant.
Il continue avec sa bouche sur sa chatte, elle s’allonge complètement sur le dos en relevant ses jambes largement ouvertes.
Ma main se pose sur mon sexe, je suis trempée.
Je la vois se cambrer, elle vient de jouir sous les coups de langue de son mec. Il sort de l’eau, je vois son sexe tendu à contre-jour. Il reste debout devant elle, elle se met à genoux et vient engloutir ce mat tendu. Il lui prend la tête pour diriger la manœuvre, elle est complètement abandonnée à ses désirs. Ses mouvements se font de plus en plus rapides. Je crois qu’il va jouir dans sa bouche mais il ressort son sexe qui a encore pris du volume. Il la retourne et vient la prendre par derrière.
Mes doigts s’affolent sur mon clitoris, je les regarde baiser devant moi en silence, le bout de mes seins est très dur, et ma chatte brûlante.
Il la prend sauvagement en lui claquant les fesses, elle se cambre, lui aussi, il jouit en elle. Mais tout ça en silence comme pour ne pas me déranger.
Ils restent comme cela un petit moment, puis décident de rentrer.
Moi, je m’éloigne vite de la fenêtre pour qu’ils ne me voient pas. Mais je reste frustrée. Ils m’ont excitée, j’ai envie de jouir, d’avoir une queue en moi.
Une fois sur le lit, j’essaye de me calmer en reprenant mon bouquin et surtout mes gaufrettes.
Mirza est toujours là au pied du lit.
Je prends une gaufrette et la lui donne, il vient tout de suite la prendre, il aime ça, il me lèche la main pour prendre jusqu’à la dernière miette.
Je continue à lire sans intérêt, et toujours avec le paquet de gaufrette qui va certainement y passer.
En cassant une gaufrette, des morceaux tombent sur mon ventre. Mirza qui ne loupe rien vient mettre ses pattes sur le lit et vient les récupérer sur mon nombril.
J’essaye de le faire redescendre mais il s’applique à récupérer encore les petites miettes de gaufrettes sucrées.
Sa langue sur mon ventre me procure une sensation étrange.
Je casse à nouveau une gaufrette, les miettes se répandent sur ma poitrine. Lui Mirza remonte sa tête et vient à nouveau lécher avec application.
J’étais toujours frustrée par le spectacle que le couple m’avait offert. Et les coups de langue de Mirza commençaient à me faire un effet vraiment bizarre. Le bout de mes seins durcissait sous ses léchages.
Il s’appliquait, il léchait doucement en recherchant ses miettes, sa langue était douce.
Je continuais alors à répandre des miettes pour le récompenser et l’inciter à continuer.
Puis je changeai de position. Je me mis au bord du lit, les jambes écartées. Mon excitation augmentait encore. Je pris des miettes de gaufrettes et les dispersai en haut de mes cuisses et sur ma chatte humide. Cette fois-ci, j’en mis bien plus qu’avant sur mon ventre et mes seins, et lorsque je sentais qu’il n’y en avait plus j’en rajoutais encore.
La langue du chien s’appliquait à lécher chaque endroit de ma peau, puis il goûta aux miettes qui étaient tombé sur ma chatte. Le goût sucré des gaufrettes et celui de ma cyprine le firent s’attarder sur mon minou. J’écartais les jambes pour qu’il vienne bien me lécher, sa langue forte et douce pressait sur mon sexe. Il arrivait à l’enfoncer un peu à l’intérieur. Je relevais les jambes pour qu’il vienne aussi lécher mon petit trou.
Sa langue ne s’arrêtait plus, j’arrivais à le diriger en relevant mes jambes ou en les abaissant, puis je sentis la chaleur m’envahir, je pressais ma vulve sur sa langue, on aurait dit qu’il sentait que j’allais jouir, il continuait à lécher cette chatte en chaleur avec application, et je me suis laissé aller sous sa langue, j’ai longuement joui, plusieurs fois, il ne s’arrêtait plus, le goût de mon jus devait lui plaire plus que celui des gaufrettes.
Puis je me suis redressée sur le lit. Je réalisais maintenant que je venais de jouir avec un chien. J’étais encore dans un état second, le plaisir procuré était si fort que je n’avais aucun remord.
Je suis allée me doucher, puis avant de me recoucher je lui ai ouvert la porte en lui disant :
– À demain mon toutou !
Dans le texte original, publié sur Revebebe en 2006 sous le titre « le meilleur ami de la femme » et signé Cana, l’auteur commet une erreur grossière : on ne donne pas de chocolat à un chien, cet aliment constituant pour lui un poison, j’ai donc remplacé le chocolat par des gaufrettes !
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