Orlandho

Samedi 31 juillet 2021 6 31 /07 /Juil /2021 12:32

Un ange pleure par Orlandho

cupidon

 

UN ANGE PLEURE

 

Hier tu n’étais pas là

Je ne te connaissais pas

Tu suivais un lointain chemin

Et moi je suivais le mien

Aujourd’hui nos deux chemins

Se sont rencontrés

Au coin de ce joli près

 

J’ai rêvé te prendre dans mes bras

Espéré te mettre un doigt

Imaginé nos baisers mouillés

Fantasmé sur nos bites bandées

Déliré sur nos tétons pincés

Et nos trous du cul plissés

 

Et puis j’ai pleuré de désespoir

Parce que je suis un ange du soir

Et que tu ne peux pas me voir.

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Orlandho
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Dimanche 20 janvier 2019 7 20 /01 /Jan /2019 11:10

Sous le pont
par Orlandho

Fetish

 

Thémes abordées :  


Une envie comme ça ! Envie de m’amuser, envie de sexe. Je me remaquille, me fais les ongles, me coiffe mes longs cheveux blonds. La vielle armoire à glace me renvoie mon reflet, je suis nue mais avec mes chaussures. Je n’ai pas encore trente ans, des petits seins, de jolies fesses, un visage d’ange, et une bite en pleine forme que je masturbe un peu. Je me gaine mes très belles jambes de bas auto-fixant. Je choisis un petit ensemble culotte et soutien-gorge dans les gris clair ainsi qu’une robe bleue assez simple qui laissera mes épaules dénudées et qui s’arrête à mi-cuisse.

 

Je prends ma voiture et j’ai l’idée de revenir dans ce bar que je fréquentais il y a quelques mois. Mon entrée suscite quelques réflexions, j’ai l’habitude, je salue quelques collègues, l’une d’entre-elles me roule un patin puis me félicite pour ma tenue. Je m’assois seule, et commande un Dirty-Martini.

Ah, vous ne connaissez pas, faisons donc une parenthèse : (Le Dirty Martini : (très apprécié de James Bond, de F.D.Roosevelt, et d’Ernest Hemingway est aujourd’hui très tendance) : 4 cl de vodka, 1 cl de vermouth dry (Martini, Noilly prat), 2 cl de jus d’olives (saumure). Fin de la parenthèse)

Il y avait l’un de mes anciens amants. Il me dévorait des yeux et cherchait sans arrêt à attirer mon attention. Ce petit jeu me plaisait bien. J’ignorais pourquoi il ne se décidait pas à m’aborder. Plutôt que de le faire moi-même, je choisis alors de me rendre aux toilettes en tortillant de l’arrière train. Je pénétrais dans une cabine et laissait la porte ouverte. Je me mis à pisser, il m’observait, fasciné par le jet d’or qui jaillissait de ma bite. Je me tournais pour qu’il me voie mieux, puis finis par sortir. Sans violence, il m’agrippa par la taille pour m’attirer contre son corps. Je le laissais faire. Ses lèvres caressaient mon cou et je sentais son sexe se durcir contre mon corps. Sans parler, nous nous dirigeâmes vers la sortie. Nous étions dans un petit couloir pour se rendre à ma voiture. Il arrêta un instant et me plaqua contre le mur. Il leva ma robe et me caressa les seins, il glissa sa main dans ma petite culotte et caressa ma bite pour ensuite la masturber de ses grands doigts. Après quelques instants il retira ma culotte afin de recommencer cette mécanique en voiture lorsque nous roulions vers un petit parc.

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Une fois rendu à l’endroit choisi, il vient me prendre dans ses bras et me conduisit sous le pont, entre quelques arbres. Il me coucha doucement par terre et il me déshabilla pour me couvrir de baisers. Il commença par mes jambes, mes cuisses et il les écarta pour explorer mon intimité. Il laissa glisser sa langue sur mes testicules pour ensuite chatouiller mon gland. J’étais en extase et je frémissais sous l’effet de ses caresses. Sa langue prit d’assaut mon orifice anal, il me pénétrait oralement dans un mouvement de va-et-vient incessant ! Je me tortillais de plaisir et mes mains agrippaient sauvagement le sol. Il continua alors à me couvrir de sa bouche. Il parcourait mon ventre et s’arrêta longuement sur mes seins qu’il tétait et mordillait à pleine bouche. Il continua d’avancer sur moi jusqu’à ce que son pénis soit à la hauteur de ma bouche. Je le pris alors de mes deux mains et lui fit une fellation du tonnerre ! J’enroulais ma langue autour de son sexe, je le suçais de toutes mes forces et il poussait des cris traduisant son plaisir et sa satisfaction. J’entrepris la mécanique du va-et-vient et son pénis se durcissait dans ma bouche et je le sentais se contracter pour laisser couler le fruit de son plaisir et de sa jouissance. Il se retira et me tourna face contre terre pour me redresser sur quatre pattes. Il me pénétra sauvagement m’agrippant par les seins et ses testicules se frappaient contre mes fesses et me procurait un effet très plaisant. Ensuite, je le couchai par terre et le chevauchai dans un mouvement langoureux et allant de plus en plus rapidement. Nous sommes alors venus ensemble et nous avons vécu une nuit endiablée sous le pont…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Orlandho
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Dimanche 20 janvier 2019 7 20 /01 /Jan /2019 10:52

Peut-être un ange ? par Orlandho

Fetish

Thémes abordés : 

J'ai été pendant un an, garçon de restaurant, durant mes études. Un restaurant, à la cuisine traditionnelle, avec le patron en cuisine. La clientèle est surtout composée d'habitués. Je me souviens tout particulièrement d'un soir où j'ai vu arriver deux belles et grandes femmes. L'une d'elles, une blonde aux cheveux courts ne m'était pas inconnue. Elle venait souvent, mais rarement avec les mêmes personnes. Elle était difficile à oublier car elle est toujours vêtue d'une longue jupe ample et d'un chemisier largement ouvert sur une splendide poitrine. L'autre, une brune aux grands yeux foncés m'était tout à fait inconnue. Comme à chaque fois, je propose de les débarrasser de leurs manteaux. De fait, ma cliente blonde était vêtue d'une jupe couleur blanc cassé fermée par des boutons, et un chemisier à fleurs. L'autre était vêtue d'une jupe portefeuille foncée et d'un pull.

La soirée était déjà avancée, et je pris directement la commande. Comme à chaque fois, qu'elle était là, je ne pouvais m'empêcher de plonger mes yeux dans son décolleté. C'est toujours à ce moment-là qu'elle croisait mon regard et surpris, je me sentais devenir pivoine. Elles semblaient avoir bien le temps. En leur servant le café, je vis que l'un des pans de la jupe avait glissé et laissait apercevoir une jambe galbée gainé d'un bas résille.

Comme elles étaient ma dernière table et que la soirée touchait à sa fin, elles m'ont proposé de prendre un verre, je me suis donc assis à leur table, la blonde se prénommait Sylvie et l'autre Anne mais ça je ne l'appris que plus tard dans la soirée. On s'est mis à discuter de tous et de rien. Comme elles n'avaient pas l'air pressées et que mon patron en cuisine voulait fermer, je leur proposais d'aller prendre un dernier verre ailleurs. Elles acceptèrent.

- Et ce dernier verre, si on le prenait chez moi ? Me proposa Sylvie.

Je n'allais pas refuser. Curieusement elle me fit monter à l'avant de sa voiture.

Avant de mettre le contact, elle eut le geste de dévoiler complètement sa jambe droite.

- Ça te plait ? Me demanda-t-elle d'une voix suave.

Elle me jetait des regards malicieux.

- Tu peux me la caresser !

Alors, j'ai posé discrètement ma main sur son genou. Elle s'est laissé faire. J'ai donc remonté le long de sa cuisse. Elle desserra un peu les jambes. Je suis arrivé sans difficulté juste au-dessus du bas. Je sentis sa chair quand Anne dit derrière nous :

- Tiens notre petit serveur a les mains baladeuses.

Surpris, je voulus retirer ma main, mais Sylvie plus rapide plaqua la sienne sur la mienne en disant :

- Arrête, idiot, tu n'es pas bien là ?.

Ma main remontait vers l'intérieur de la cuisse jusqu'à sa culotte… et…

- Oh !

Je retirai prestement ma main, je venais de tâter un pénis de bonne taille. Sylvie était donc une transsexuelle.

Elle se mit à rire aux éclats, c'est communicatif parce que Anne rigola aussi, pas moi ! Elle met le contact, et va pour démarrer, et moi je ne sais pas comment me sortir de ce guêpier.

- Mon invitation tient toujours ! Me dit Sylvie avec un merveilleux sourire.

Un sourire si merveilleux que ma résolution de les quitter au prochain arrêt, s'émoussa considérablement, quelque part j'avais envie de cette expérience.

La voiture stoppa au feu rouge. Sylvie m'enlaça et me roula un patin. Je bandais. C'était cette fois décidé, j'irais jusqu'au bout.

Arrivé à l'immeuble où habitait Sylvie, nous sommes sortis de la voiture. Elle logeait dans un appartement au 4° étage et nous nous sommes engouffrés en riant dans le minuscule ascenseur. Nous étions coincés les uns contre les autres. J'en profitais pour me serrer contre Sylvie. Elle cambra les fesses et ne put ignorer l'état dans lequel j'étais. La soirée s'annonçait du plus belle augure. Elle nous fit entrer et nous installa dans un salon agréable, mit un disque d'ambiance pendant qu'Anne s'éclipsa. J'étais assis dans un profond fauteuil et pour arriver au bar Sylvie devait passer devant moi. Je la pris par les hanches et le renversa doucement sur mes jambes. Elle riait en faisant semblant de se débattre et je décidai de l'embrasser. Sa bouche était de la lave en fusion. Elle m'aspira. J'en profitais pour partir à la découverte de ses seins. Je défis les boutons de son chemisier et me mit à les caresser. Ces seins que j'avais tant lorgnés. Ils étaient pareils à deux pommes bien fermes avec deux minuscules tétons que je sentais s'hérisser sous mes doigts.

Ptrans1312 - Alors vous deux, on s'amuse bien !

C'est Anne qui nous regardait en souriant. Elle en avait profité pour se changer. Elle avait passé une longue chemise qui lui descendait à mi-cuisse et dont les premiers boutons étaient ouverts. Je pouvais voir la naissance de deux petits seins bien fermes.

- Je peux jouer avec vous ? Demanda-t-elle avec de grands yeux coquins.

Je les regardais tour à tour, interloqué. Elles se mirent à rire. Anne s'est mise à mes genoux et a enlevé mes chaussures avant de s'attaquer à mon pantalon. Pendant ce temps, Sylvie après avoir enlevé son haut et son soutien-gorge me fit cadeau de ses seins. Mes mains essayaient d'être partout à la fois. Je sentis la bouche d'Anne autour de ma queue. Elle l'engloutit avidement. Quelle suceuse !

Moi, j'avais glissé deux doigts dans la culotte de Sylvie qui gémissait à côté de moi. J'en extirpais sa verge tendue que je voulais regarder de plus près !

- Alors, ça te plait ?

Je ne savais pas si ça me plaisait, mais ça me fascinait.

- Tu peux caresser !

Je ne voulais pas la décevoir alors comme dans un rêve, je caressais ce membre viril, ce membre masculin d'une créature féminine. De façon quasi automatique j'imprimais à ce bel organe quelques mouvements de masturbation

- Mais c'est qu'il me branle bien, notre petit serveur ! Dit-elle.
- Humm, je crois qu'il a envie de te la sucer, mais il est un peu timide, il n'ose pas demander. Reprit Anne

Oh, le piège, pas envie de faire ça ! Comment le dire ?

- Je vais vous faire un aveu, c'est la première fois avec une transsexuelle, alors c'est un peu nouveau, je suis un peu perdu…
- Mais ce n'est pas grave, on va t'aider ! Me répond Sylvie.

Je ne m'en sortirais pas !

- Donne juste un petit coup de langue, tu vas voir comme c'est doux ! Me suggère Anne

Elles savent y faire, ce doit être l'un de leur trip d'embarquer des non-initiés.

- Allez, tu ne le regretteras pas ! Renchérit Sylvie.

Alors j'approche ma langue de la bite de la grande blonde, je donne le petit coup de langue demandé, m'étonne d'avoir fait une chose pareille, et quand elle me dit de continuer, je continue, j'ai maintenant sa bite dans la bouche. La sensation est surprenante et je dois dire bien agréable, je suce, je me régale. Je sais aussi, que ce que je suis en train de faire va me marquer à vie, moi l'hétéro pur et dur, je suis en train de lécher une bite… mais comme elle me l'expliquera plus tard, ce n'est ni un homme, ni une femme que je suce, c'est autre chose, un troisième sexe, peut-être un ange !

Je suçais et j'étais sucé, mais la position devint assez vite inconfortable ! Qu'importe, elles se levèrent et m'entraînèrent dans la chambre. Un grand lit bas devant lequel Anne releva sa chemise, se mit à genou, la croupe dressée au-dessus de son pénis, ainsi elle aussi était transsexuelle, je n'aurais pas cru. Sylvie me prit la queue et la plaça contre l'anus de sa copine. Le temps de prendre une capote et je n'avais plus qu'à me laisser glisser en elle. Sylvie se colla derrière moi pendant que je baisai Anne et m'introduit délicatement un doigt dans le cul.

Je savais donc comment se conclurait cette folle partie de jambes en l'air. Je ne sortirais qu'ici que dépucelé du cul ! J'étais prêt !

 

La nuit allait être longue et délicieuse.

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Orlandho
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Dimanche 20 janvier 2019 7 20 /01 /Jan /2019 08:38

Il faut goûter à tout par Orlandho

scat
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI - TEXTE CONTENANT UN PASSAGE SCATO EXPLICITE.
Thémes abordés : bisex masculinedoigtage masculinexhibitionfeuille de rosescatotriotriolismeurovoyeurisme

C'est mon prof de philo, un épicurien fier de l'être qui nous disait souvent qu'il fallait goûter à tout…. " Ne pas le faire c'est prendre le risque de passer à côté de choses que vous allez apprécier… "

Ma femme et moi travaillons tous les deux à plein temps, et comme nous avons bénéficié des " avantages " de la flexibilité, notre temps de transport est devenu interminable. Le soir on mange de la cuisine vite faite et la plupart du temps on s'endort devant la télé ! Elle est pas belle la vie ? Il y a bien le week-end ! Mais justement il faut aussi assurer les travaux ménagers ! Nous avons quand même réussi à nous débarrasser de la corvée de repassage et nous avons trouvé par petite annonce une jeune femme habitant pas très loin de chez nous et chez qui je porte le linge une fois par semaine..

La première fois que j'ai été lui porté du linge, elle m'a ouvert la porte en chemise de nuit. Assez longue pour cacher un endroit indécent mais assez courte pour laisser deviner ses longues jambes. Brune, 1,70 m, fin de vingtaine, les yeux brun foncé, quelques taches de rousseur sur le visage et les bras, un cambrure parfaite, un petit cul semblant merveilleusement ferme, j'ai dû tirer une drôle de tête en la voyant la première fois sur le pas de sa porte !

Bref, j'y suis retourné plusieurs fois et j'ai remarqué que sa tenue du premier jour n'était sans doute pas due au hasard mais que cette fille aimait se vêtir de façon à dévoiler ce que la nature lui avait généreusement accordé. Mes visites chez elle, toujours très courte, se résumait à déposer ou à reprendre le linge et à la payer, bonjour, au revoir sans plus.

Un soir d'été, particulièrement lourd, ma femme me demande d'aller rechercher le linge, je pars en grognant quelque peu, dans cette moiteur sentant l'orage proche. Arrivé chez elle (elle s'appelle Chloé), je sonne et elle vient m'ouvrir. Je m'attendais à la trouver dans une tenue légère mais pas à ce point ! Un petit soutien-gorge en dentelle grenat lui cachait la poitrine et une petite culotte assortie couvrait le bas, ses longues jambes nues, interminables me troublèrent autant que ses seins que l'on devinait largement sous cette mince protection.

Je la saluais et elle me montra le linge, prêt à être emporté. Un coup de vent referma la porte derrière moi et elle sursauta, perdis l'équilibre et atterri dans mes bras. Geste prémédité ? Je pense bien que oui. Nos visages si proches, le temps lourd, son parfum, nous nous sommes embrassés goulûment. Elle était fraîche et docile, sa langue dansant son ballet autour de la mienne. Mes mains glissèrent vers sa poitrine, dans mon short, mon sexe s'était immédiatement dressé, elle y posa une main douce et entreprit un massage régulier. Nous sommes restés comme cela quelques instants puis nous avons roulé à terre, je me retrouvais sur le dos, elle se mit à genoux à côté de moi et entrepris de baisser mon short, rapidement ma bitte dressée apparu et elle commença à me caresser plus sérieusement.

Je la regardais, superbe, un sein ayant glissé du soutif, ses yeux posés sur mon sexe, sa main droite montant et descendant lentement, caressent de son pouce mon gland déjà humide. J'écartais les jambes et elle commença à me malaxer les couilles de sa main gauche. Elle laissa couler un filet de salive sur le bout de mon gland et continua, ainsi lubrifiée, sa main semblait encore plus douce, comme si un vagin serré me chevauchait.

Elle me branla quelques minutes puis commença à se déshabiller. Une fois nue, elle se coucha à côté de moi, nous étions au milieu de son hall d'entrée, sur le tapis, à quelques pas de la porte. Elle me dit, tout en continuant à me caresser le sexe,

- Mon copain revient vers 20 heures, il nous faut nous dépêcher car il est toujours précis.
- Ok, il est quelle heure-là ?
- 19 h 40… A moins que ça t'intéresse de l'attendre, si tu es un peu bi, il devrait te plaire, il a une très belle bite !

Je lui répondais que je n'étais pas bi, mais cette étrange proposition m'avait quelque part un peu troublé. Chloé glissa le long de mon torse et se plaça entre mes jambes, elle commença à me lécher les couilles doucement, les prenant dans sa bouche, les agaçant avec sa langue, tout en me branlant puis, en me regardant dans les yeux elle enfourna ma bite dans sa bouche, elle commença un rapide va-et-vient, sa langue jouant avec mon gland, elle m'avalait si profondément que son nez touchait mon ventre. Elle me mit un doigt dans mon anus et commença à me caresser. J'adore cette caresse, j'étais au paradis.

- Dommage qu'on a pas le temps, je t'aurais mis un petit gode ! Tu aimes ?
- Si c'est aussi bon que ton doigt, je devrais aimer !
- On fera ça la prochaine fois, tu verras, je t'enculerais bien comme il faut !

Elle releva la tête un court instant, laissant un filet de salive relié sa bouche à mon gland, puis remonta ce fils dans un bruit de sucions incroyablement excitant. Elle pris mon gland entre son pouce et son index puis lentement me caressa de haut en bas, léchant parfois avec gourmandise le trou de mon cul d'un rapide coup de langue

19 h 50, l'orage éclata subitement, le tonnerre grondait et l'électricité se coupa, nos peaux semblaient électrisées, le frottement de sa main contre ma colonne s'arrêta. Elle vient se placer sur moi, accroupie au-dessus de mon sexe posé contre mon ventre, elle le pris dans la main droite et l'enfonça au fond dans son vagin plein de miel en un seul mouvement, elle commença à gémir et s'agita frénétiquement sur mon gros membre près à exploser. Elle commençait à jouir, je décidais alors de prendre les choses en main, je la retournais et commençais à la bourrer avec violence, mes couilles cognaient contre son cul merveilleux, elle jouit rapidement, s'agrippant à mon dos, me griffant, me mordant la lèvre. Elle se détendit en soupirant. Je me sentais prêt à jouir à mon tout quand un bruit me fit sursauter. La porte s'ouvrait… la lumière revint…

Je me relevais paniqué ! Face à moi le copain de Chloé, trempée comme une soupe, le regard plus surpris que choqué allant de moi à sa copine !

- C'est le monsieur qui nous donne le linge à repasser ! Précise cette dernière ! Il ne m'a rien fait de mal, disons que c'est l'orage qui nous a rapproché !
- Vous avez de la chance que je ne sois pas jaloux ! Me précise-t-il. Avec quelqu'un d'autre vous auriez déjà passé un sale quart d'heure. Mais moi, je ne suis pas comme tout le monde ! Ça a toujours été un de mes fantasmes de retrouver ma femme en train de baiser… mais là je suis arrivé un peu trop tard ! Vous aviez fini ?
- Non, non ! s'empresse de répondre Chloé

Bon, j'ai de la chance de tomber sur un couple très libéral, mais mon envie est retombée, il faut maintenant que je parte… Je vais pour rassembler mes affaires.

- Ne vous rhabillez pas, allez au salon boire un verre, je me déshabille, je me sèche un peu et je vous rejoins…
- Je vais peut-être vous laisser… tentais-je
- Vous n'allez pas partir maintenant, vous avez vu ce qui tombe !

Me voilà à poil dans un fauteuil du minuscule salon devant un verre de bière.

- Ben, alors on ne bande plus ? Se moqua Chloé
- Ça va revenir !
- Je vais faire un petit pipi, vous voulez regarder ?
- Volontiers !
- Mais je voudrais vous demander quelque chose en échange !

Voilà qui est intriguant ! Quelque chose en échange ? De l'argent ?

- Si c'est dans mes possibilités…
- Bien sûr que c'est dans tes possibilités, tu vas sucer mon mari !
- Peut-être pas, non !
- Mais si !
- Je t'aiderais à franchir le pas ! Je l'ai déjà fait… Allez viens !

Je n'ai pas dit oui mais me voici entraîné vers les toilettes. Chloé s'accroupit au-dessus de la cuvette sans s'asseoir. Elle se concentre quelques instants, ferme les yeux. Avant de lâcher un petit jet doré qui ne tarde pas à devenir une vraie douche ! Quelle vision, me voici en train de rebander. Greg, son copain, m'a rejoint dans l'ouverture de la porte, je louche vers son sexe, un bel engin il faut bien le reconnaître.

- Elle te plait ? Me demande-t-il !
- Oui, votre femme est très belle !
- Ça, je sais, mais je parlais de ma queue
- Euh, oui, faut bien avouer…
- Et bien touche là !

Je fais un signe de dénégation de la tête, mais je ne bronche pas quand il me met sa main sur ma propre bite, une légère caresse, puis il me masturbe, je me laisse faire. Chloé a fini de pisser, mais elle maintient la position.

- Je vais me tourner, vous verrez mieux ! Précise-t-elle !

prelude


Elle ne va tout de même pas… Et si ! L'anus s'ouvre… Un étron apparaît, grossit, se tortille, dégringole dans la cuvette, un second arrive à son tour, un troisième plus petit. Je suis paralysé, mélange de fascination et de répulsion. Je bande comme un cerf…
- Tu veux m'essuyer ?

 

Je cherche le papier !

- Non, avec ta bouche !
- Euh…
- Tout à l'heure j'ai goûté à ton cul, tu peux bien goûter au mien.

Qui aurait pu croire qu'un jour je fasse une chose pareille, ma langue furète autour de son anus. Ce n'est même pas dégoûtant, peut-être un peu particulier, mais c'est tout ! Ma bite n'a jamais été aussi raide, et Greg a dû s'en apercevoir abandonnant ma verge pour s'intéresser à mes testicules.

- Mets-toi à genoux !

Elle me donne des ordres à présent, mais j'obéis comme dans un rêve

- Puisque tu m'as bien léché le cul, tu vas avoir ta récompense ! Allez suce la bonne queue de mon copain.

Je lui touche le sexe, ma bouche s'approche, je dépose un baiser sur son gland, le contact ne me déplait pas, j'avance la langue, lèche le gland, puis me met à sucer comme si j'avais fait ça toute ma vie !

- Tu suces bien, petite tapette ! Je crois que je vais t'enculer !

Je fais comme si je n'avais rien entendu et continue à sucer, mais le bougre se dégage, se relève, me pelote les fesses !

- On t'as déjà dit que tu avais un joli petit cul ? Me demande-t-il
- Il doit aimer ça, je lui ai mis un doigt tout à l'heure, et il m'a dit qu'il aimerait bien un gode ! précise Chloé.
- Je vais chercher des capotes et du gel… indique Greg

Mon portable sonne ! Je vais le chercher dans ma poche. C'est mon épouse. Elle s'inquiète. Je la rassure lui dit que je me suis abrité chez Chloé

- Qui c'est Chloé ?
- C'est la repasseuse !
- D'accord à tout à l'heure ! J'espère que tu n'es pas en train d'en profiter pour la draguer.

Je raccroche ! Qu'est-ce que je fais ici ? Ah, oui, l'autre qui veut m'enculer ! Il n'est pas bien celui-là ! Chloé et Greg me rejoignent, me demande de les suivre dans la chambre.

Une minute après, j'avais le cul tendu tandis qu'on me l'enduisait de gel. Chloé se positionne de façon à ce que je puisse la lécher et la caresser. Je sens quelque chose qui veut me pénétrer, j'ouvre mon anus, pas assez… seconde tentative, second échec, troisième tentative, ça passe… et voilà, je me suis en train de me faire enculer tandis que je lèche les tétons de ma repasseuse par un soir d'orage en été… Et je suis bien…

 

Mon prof de philo avait décidément raison, il faut goûter à tout…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Orlandho
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