Surprise-partouse 9 – Katia ou le plaisir dans l’humiliation par Enzo_Cagliari
Au chapitre 1 : en sortant d’une fête, Angéla, Carole et Thibault m’emmènent chez ce
dernier, la partie à quatre me fera sucer ma première bite et subir ma première sodo
Au chapitre 2 : Thibault me fait faire la connaissance d’un couple d’Antillais, Gwladys et
Simon. Partouze à quatre puis à cinq avec Carole
Au chapitre 3 : On prend les mêmes et on recommence mais on va plus loin, c’est un tout
petit peu scato et voici Alain et Katia, un couple mature, qui s’en mêle
Au chapitre 4 : Une partouze est organisée chez Alain et Katia qui reçoivent Monique et
Philippe, mais aussi Thibault, Carole et moi-même.
Au chapitre 5 Monique nous raconte sa rencontre avec un autre couple
Au chapitre 6 Alain nous narre un épisode un peu gay. A la fin Katia branche Monique sir la
zoophilie, celle-ci répond qu’elle a expérimenté la chose…
Au chapitre 7, Monique nous a raconté sa soirée à Luxembourg où il fut question de
toutous.
Au chapitre 8, Thibault évoque ses années chez les scouts
C’est au tour de Katia d’être interpellée.
– Alors Katia tu n’as pas un truc bien bandant à nous raconter.
– Si bien sûr, mais c’est pas facile Thibault n’arrête pas de me peloter les seins.
– Bon, bon, j’arrête ! Répond à regret ce dernier.
– Non, n’arrête pas mais fais ça plus doucement !
Le récit de Katia.
J’étais en séminaire professionnel à Barcelone, j’avais sympathisé avec Enrique, un beau mec, Passant le soir sur les Ramblas, nous longions un des nombreux cafés libertins.
– Tu sais ce qui se passe là-dedans ? Me demande-t-il.
– Ben non, comment pourrais-je savoir ?
On s’est posé en terrasse, il m’a sorti son téléphone et m’a dévoilé une série de photos. Et là j’ai été subjugué par ce que je voyais. Des nanas apparemment consentantes et complétement nues se faisait bousculer sexuellement par un groupe d’hommes et de femmes.
Et quand je dis bousculée, c’est un euphémisme, en fait les filles étaient bondagées, fouettées, godées, sodomisées. On y voyait des pinces, des doubles pénétrations, des rapports entre femmes, du sperme, de la pisse.
La vue de ces photos m’avait profondément excitée.
– C’est malin, maintenant je mouille !
– Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ?
– Oui, tu vas m’enculer ! On va dans mon hôtel…
Il y a des choses qu’il n’est jamais nécessaire de dire deux fois à un homme et une fois dans la chambre je lui dis tout de go :
– Je voudrais que tu m’encules comme un sauvage !
– Je ne suis pas un sauvage !
– Je sais bien mais je veux que tu me prennes sans douceur et en m’insultant.
– Mais enfin Katia !
– Quoi ? C’est mon fantasme du moment, et d’abord c’est de ta faute tu n’avais qu’à pas me montrer ces putains de photos…
– Mais…
– Bon tu te décides, sinon tu me laisses et je fais venir un escort boy !
Enrique a fini pas accepter, on se déshabille en silence, chacun dans notre coin. Il bande mou, mais je vais arranger ça…
Je m’empare de sa bite, la branle légèrement, la suce un peu, et quand j’estime qu’elle a atteint sa raideur optimum, je saute sur le plumard et me positionne en levrette en attendant l’assaut.
– N’oublie pas le préservatif ! Lui dis-je
– Mais je n’en ai pas !
– Ben moi non plus. ! Téléphone au service d’étage…
J’ai conservé la position et trois minutes plus tard la soubrette sonnait à la porte de la chambrette.
– Voilà, je vous en ai apporté trois ! Dit-elle avec un large sourire.
– Super, merci !
– Je vois que Monsieur bande bien, si vous souhaitez un petit trio, c’est dans mes possibilités.
– Non merci, c’est gentil. Répond Enrique
– C’est dommage j’ai des beaux nénés, vous savez.
– Non merci…
Mais j’interviens.
– Moi je suis d’accord, je vais lui lécher la chatte pendant que tu m’enculeras.
– C’est 100 euros ! Prévient la soubrette.
– Ah, vous vous faites payer ?
– Faut bien que j’arrondisse mes fins de moi, j’ai un enfant à charge…
– OK, Enrique, prend 100 balles dans mon portefeuille et paie moi cette coquine !
– Non, c’est moi qui vais payer ! Répond Enrique dans un grand élan de générosité.
La fille se déshabille, elle est jeune et jolie et possede effectivement une poitrine de rêve.
– Viens là que je te la lèche ! lui demandais-je.
Je lui agace un peu les tétons avec ma langue, elle aime ça, moi aussi.
– T’es aussi salope que moi, à ce que je voie ! Lui dis-je
– On me demande parfois de faire la pute, ça ne me dérange pas et j’y trouve mon compte.
– Bon toi Enrique, qu’est-ce que t’attends ? Mon cul brule d’impatience. Et rappelle-toi de ce que je t’ai dit, tu me fais ça à la macho sans oublier les gros mots !
– Je vais lubrifier quand même !
– Sers-toi de ma mouille, ça devrait le faire !
Il est entré d’une seule poussée et a commencé à coulisser tandis que je me régalais de la chatte de la soubrette.
– J’entends rien ! Protestais-je !
– Tiens, morue, tiens, poufiasse, t’es bonne qu’à te faire enculer par tout le monde.
– Oui, continue !
– Et en plus tu te payes des putes d’hôtel, gouinasse !
– Encore !
– Demain je vais faire venir des amis, ils vont tous te défoncer ton cul de putain dévergondée.
– Chic alors
Et de façon plutôt inattendue et prématurée, Enrique s’est mis à jouir.
– Je suis désolé, je n’ai pas tenu la distance, je vais te laisser, on se voit demain…
– Non reste cinq minutes, il faudra que je te demande quelque chose…
Mais chaque chose en son temps, pour le moment je me suis allongée sur le lit, jambes écartés et j’ai demandé à la soubrette de me brouter le gazon, et excitée comme j’étais, ce ne fut point long.
J’ai roulé un patin à cette gentille soubrette avant qu’elle ne nous laisse, puis j’ai demandé à Enrique :
– Tu connais le patron de la boite où t’as pris les photos ?
– Je le connais comme ça…
– T’as son numéro ?
– Euh, oui j’ai une carte, elle ne me sert à rien, je vais te la donner… Mais pourquoi ? Tu veux voir ça de près ?
– Non je veux me faire dominer !
– T’es sûre que ça va !
– Ça va même super bien !
– Je te paie le restau ?
– Non, j’ai pas trop faim, on se voit demain, c’est la dernière journée du séminaire.
Dès qu’il fut parti, je sautais sur mon téléphone et appelait cette curieuse boite dont Enrique m’avait fourni les coordonnées.
– Oui, bonjour Monsieur, j’aimerais participer à l’une de vos soirées spéciales…
– Comme spectatrice ?
– Non, comme soumise.
– On est complet cette semaine et la suivante aussi… si vous êtes encore à Barcelone dans 15 jours…
– Ben non ! Tant pis…
– Vous êtes française n’est-ce pas ?
– Oui !
– De quelle région ?
– Paris !
– J’ai un ami qui fait ça à Paris dans un bistrot qu’il privatise, voulez-vous ses coordonnées.
– Avec plaisir !
– Notez, vous pourrez dire que vous venez de ma part , je suis Julio.
Contrariée par ce contretemps ! Mais pas si pas grave, je voulais terminer en beauté mon séjour catalan je n’en mourrais pas.
A Paris la vie a repris, et non, je ne me suis pas pressée pour téléphoner au numéro que m’avais indiqué Julio. Le fantasme s’était un peu éloigné.
Et puis peut-être quinze jours après, ça m’a repris et rien que de penser aux photos je me suis excitée toute seule, alors je me suis lancé. en téléphonant à cet inconnu.
– Je vous donne mon mail, envoyez-moi une photo de vous à poil ou en maillot de bain et je vous répond par retour de courrier.
Je n’ai pas de photos de moi à poil mais j’ai quelques photos de plage, je lui en envoie une. Il me répond que je suis charmante (je le sais bien que je suis charmante… et modeste) et qu’il souhaite une rencontre préalable.
– Prenez 100 balles avec vous !
– Ah c’est payant ?
– Pas du tout, c’est une caution, on vous la rendra.
40 ans bel homme.
– Pour le physique ça va ! Vous savez dans quoi vous vous embarquez au moins ?
– C’est mon fantasme !
– J’entends bien, mais quelles sont vos limites.
– Je n’ai pas de limites, c’est une expérience que je veux vivre, c’est tout. Je souhaite simplement que toutes les pénétrations soient protégées et je ne veux pas qu’on me fasse des choses
irréversibles ?
– C’est quoi des choses irréversibles ?
– Des tatouages, des cicatrices…
– Soyez rassurée de ce côté-là… Il y a des pratiques qui vous rebutent ?
– Non!
– Même la scato ou la zoo.
Temps d’arrêt, je n’avais pas pensé à ça, mais je me dis que d’une part s’il y a scato, ça ne peut pas aller bien loin et que ça ne me bloque pas, quand à la zoo, si on veut me faire lécher la chatte par un clébard, après tout pourquoi pas ?
– Je prends le risque ! Répondis-je
– OK je dois vous prévenir qu’il n’y a pas de mot de sécurité, quand la séance est commencé, on va jusqu’au bout…
– Même si ça devient insupportable !
– Je serais toujours non loin de vous, il y a parfois des types qui ne se sentent plus et qui font n’importe quoi, ceux-là on les vire, je sais très bien faire, ça fait presque trois ans qu’on
fait ce genre de truc, pendant cette période nous n’avons jamais eu d’accident sérieux, juste quelques bricoles mais on a su gérer.
– OK on ferait ça quand ?
– Vendredi si vous voulez, c’est au 14 rue des Hirondelles vous rentrez par la cour, vous frappez à la porte verte marquée « service ». Vous avez apporté l’argent ?
Je lui tends deux billets de 50. Il les coupe en deux et me rend la partie gauche.
– Voilà, on vous rendra l’autre moitié vendredi.
Ça me rappelle une technique de gangsters que j’ai dû voir dans un film…
Dans le vif du sujet.
Une bonne femme pas toute jeune mais plutôt bien conservée me fait entrer dans une sorte de vestiaire encombré d’un tas d’objets hétéroclites
– Déshabillez-vous entièrement et patientez quelques minutes ! Me dit-elle. Je m’appelle Greta.
Je me fous donc à poil et faute d’avoir mieux à faire, pose mon cul sur un tabouret en bois qui avait eu la bonne idée de se trouver là.
Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte, ça devait s’entendre de loin parce que Greta la bonne femme de tout à l’heure vint ouvrir.
– Tu te grouilles, on commence dans cinq minutes ! Lui dit-elle.
La nouvelle venue est une petite brune un peu potelée visage intéressant, joli petit nez retroussé, cheveux bruns en chignon… et fines lunettes
– Bérénice salut ! Me dit-elle en me tendant la main !
– Katia !
– Je ne t’ai jamais vu, c’est la première fois ?
– Oui ! Et toi tu fais ça souvent ?
– Deux trois fois par mois j’adore !
Je suis saisi d’un sentiment bizarre, je pensais être la seule soumise de la soirée, la vedette en quelque sorte, il me faudra donc partager… et puis arriverais-je à me comporter aussi bien qu’elle ?
J’ai compris bien plus tard pourquoi le spectacle se déroulait avec deux ou trois soumises et non pas une seule. Imaginez qu’il n’y ait qu’une seule soumise et que celle-ci ne fasse pas l’affaire… Les spectateurs ont payé leur présence assez cher et la direction se trouvera obligée de les rembourser. Tout cela n’est donc qu’une affaire de gros sois… Ainsi va le monde !
Bérénice se déshabille. Pas mal, jolie poitrine !
– Comment tu me trouves ?
– Très jolie !
– T’es un peu gouine ?
– Ça m’arrive !
– Moi j’aime bien lécher une bonne chatte.
– Coquine
– Je peux te lécher, là tout de suite, juste un peu ?
– Vas-y !
Mais cette intéressante discussion fut interrompue par le retour de Greta tenant un tube de rouge à lèvres dans la main, elle s’en sert pour écrire sur le front de Bérénice « Bérénice grosse pute gratuite ». Ensuite c’est mon tour, je ne vois pas ce qu’elle m’écrit, mais peu importe. Elle nous bondage les seins, nous place un collier de chien muni d’une laisse, puis nous attache les mains dans le dos.
– Maintenant en scène !
On y va, il y a une bonne trentaine de personnes attablées dans la salle, des hommes seuls et des couples, pour l’instant ils sont à peu près sages. Je dis bien à peu près, parce qu’il y en un qui à la bite de sortie et qui se fait tripoter par son voisin… ça promet !
On est reçus par des cris et des applaudissements…
Greta nous demande de rester debout au milieu de la scène et vient nous pincer les tétons avec fermeté avant de nous accrocher des pinces munies de poids.
Elle s’approche de moi, enlève tout son haut dévoilant une jolie poitrine puis elle soulève ses bras découvrant des aisselles poilues.
– Chacune une aisselle, léchez-moi ça !
Jamais je n’aurais imaginé ce genre du truc, on ne peut pas penser à tout, je lèche donc l’aisselle de madame qui sent la transpiration mais je fais avec.
– C’est bien ! Vous êtes de bonnes putes ? Vous aimez lécher ?
– Oui, oui ! Répond Bérénice.
Et je reçois une gifle.
– Dis donc toi la morue, ça te ferais mal à la chatte de répondre quand je te pose une question ?
– Oui, oui, j’aime bien lécher.
– Ça tombe bien, tu vas me lécher le cul, le jour des shows, je ne m’essuie pas après mes besoins et je reste avec le cul plein de merde. Alors dis-moi que tu vas le faire. Je ne demande pas à
Bérénice, je sais qu’elle adore ça…
Je ne pensais pas qu’on ferait ce genre de chose à ce moment-là, je me sens coincée mais d’un autre côté je suis venue pour être humiliée, alors autant jouer le jeu. J’espère simplement que je ne vais pas gerber !
– Oui je vais le faire !
Elle retire sa jupe en vinyle sous laquelle il n’y avait rien, puis se cambre en écartant les cuisses.
J’hésite quand même devant ce cul merdeux mais voilà qu’une fausse blonde entièrement nue plutôt dodue vient derrière nous avec une badine et nous cingle les fesses sans ménagement.
– C’est des coups de badines qu’il vous faut pour vous faire obéir ?
– J’allais y aller ! Se défend Bérénice
Et effectivement elle y va et commence à lécher. Je respire un grand coup et m’approche à mon tour.
C’est que ça ne sent pas la lavande. Je laisse le côté droit à Bérénice et avance ma langue à gauche en fermant les yeux. Ça y est ma langue est en contact avec la merde. En fait je connais ce goût…
Réminiscence.
J’étais jeune et déjà plutôt délurée, ma copine Rachel m’avait initié aux amours saphiques, elle était d’une imagination débordante, on jouait avec des godes, on se pissait dessus, on se donnait des fessées… et un jour où on ne s’était pas encore rhabillées après avoir fait quelques galipettes…
– J’ai envie de chier, tu viens !
– Non je t’attend !
– Mais moi j’ai envie que tu me regarde chier, ça va m’exciter.
– T’es un peu timbrée.
– Y’en a qui paierait cher pour voir ça !
– Passe une annonce !
– J’y penserais, allez viens fais moi plaisir !
Alors je l’ai suivi, elle s’est mise à califourchon et de dos sur la cuvette, elle a poussé et j’ai pu voir un long boudin sortir de son cul. J’aurais pu être dégoutée, j’aurais pu être indifférente, non j’étais fascinée et excitée de façon incompréhensible.
– Tu veux m’essuyer.
– Euh, oui ! Répondis-je en déroulant quelques feuille de papier toilettes.
– Non, avec ta langue, conasse !
– Pourquoi tu me traites de conasse ?
– Parce que on est en plein jeu de rôle. Allez essaies, tu ne le regretteras pas.
– Mais enfin Rachel !
– Tu sais comment on appelle la merde dans les milieux branchés ? On appelle ça le caviar ! C’est qu’il doit y avoir une bonne raison. Non ?
– Bon, on fera ça un autre jour !
– C’est-à-dire jamais, ne bouge pas, on va faire un truc.
Rachel se fout alors un doigt dans le cul qui ressort légèrement pollué, elle le porte à sa bouche et le nettoie.
– Hum ! Un régal !
– Je n’en doute pas un seul instant !
– Si je le fais, je ne vois pas pourquoi tu ne le ferais pas ? Dit-elle en se remettant le doigt dans son cul
Elle me le tend…
– Suce, conasse !
Je me suis lancée, je n’ai pas trouvé ça mauvais.
– Ben voilà ! Maintenant nettoie moi le cul, grosse pute !
Le fait qu’elle me traitait de tous les noms d’oiseaux renforçait mon excitation, Et je me surpris à lécher son cul merdeux sans aucun problème..
– Alors, comment tu la trouve ma merde ?
– Délicieuse ! Me surpris-je à répondre.
– Ah bon ? Fais-moi voir !
Je ne comprenais pas.
– Roule moi un patin, conasse !
– Mais j’ai la bouche pleine de…
– Ben justement.
Alors on se l’est roulé ce patin et je mouillais comme un fontaine.
– Puisque tu as été une bonne fille, je vais t’offrir un cadeau.
Rachel plonge sa main dans la cuvette, récupère un partie de l’étron et me nargue.
– Regarde comme c’est beau !
Elle le porte à sa bouche, le lèche à grands coups de langue.
– Hum délicieux, à toi de jouer !
– Ça va trop loin, Rachel !
Elle devient provocante, faisant aller et venir l’étron entre ses lèvres comme si elle lui pratiquait une fellation.
– Bon donne, je vais essayer !
J’ai récupéré le colombin dans mes mains et je l’ai approché de ma bouche, j’ai sorti ma langue et e l’ai léché. Juste quelques instants.
Il s’est passé ensuite quelque chose de bizarre, comme si je culpabilisais d’avoir accompli pareille chose. J’évitais Rachel plusieurs fois de suite avec des prétextes à la noix. Rachel n’était pas du genre à m’attendre, elle s’est dégoté une autre copine dont elle s’est emmouraché, et je l’ai pour ainsi dire perdue de vue.
J’ai refoulé cette expérience pendant longtemps puis ça a refait surface. Alors quelque fois dans des périodes de très grande excitation je me foutais un doigts dans le cul et je léchait me remémorant cet épisode de mes aventures sexuelles avec Rachel..
Et on revient au présent !
J’ai donc de conserve avec Bérénice léché le dargeot de Greta.
Celle-ci nous ensuite demandé de nous rouler une pelle. Pas de problème.
– Ouvrez la bouche, maintenant ! Bien ouvert, mieux que ça !
Et cette salope nous crache en plaine bouche. Moi qui voulait être humiliée, je suis servie d’autant qu’elle a recommencé plusieurs fois.
– Je vais vous fouetter les fesses, je veux que vous restiez à vous embrasser pendant que je vous rougirais le cul.
Ça cingle fort, j’ai du mal à retenir mes cris, pas facile de rouler une pelle dans ces conditions, en fait on fait presque semblant en s’embrassant du bout des lèvres. Je me demande quand elle va s’arrêter je dois avoir les fesses dans un drôle d’état.
Enfin elle stoppe, mais nous n’étions pas au bout de nos douleurs… elle nous fait mettre dos contre dos en solidarisant nos liens. Elle enlève nos pinces (ça fait mal quand on les enlève) et se met à nous fouetter devant… et partout, les cuisses, le ventre, mais aussi les seins et le sexe Je supporte mais ne peux retenir mes larmes, je ne vous dis pas l’état du Rimmel !
Il fallait bien que ça se termine, et Greta ne trouve rien de mieux à faire que nous raccrocher les pinces (avec les poids, bien évidemment)
– Tout à l’heure on vous chiera dessus, il y aura bien quelqu’un qui aura envie. Dites-moi que vous avez envie de ça !
– Oui Greta, je veux qu’on me chie dessus ! Répond Bérénice.
– Dans la bouche ?
– Oui, dans la bouche !
– Et toi la morue ?
– Oui, moi aussi !
– Bon on passe à autre chose, à genoux les pétasses !
Greta désigne dans l’assistance quatre mecs, l’un se dégonfle, qu’à cela ne tienne il est vite remplacé.
Nous voilà avec quatre bonhommes autour de nous. Pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre ce qui va se passer. Ces messieurs sortent leur engin de leurs braguettes, se branlotent un petit peu pour donner davantage de rigueur à leur zizi…
Et c’est partie pour une séance de turlutte. On se met, Bérénice et moi à sucer ces bonnes queues… Ça ne me dérange pas j’adore sucer des bonnes bites. Et nous passons de l’une à l’autre… et de l’autre à l’une…
– Non mais regardez moi cette morue, t’es vraiment une vraie pute ! Me dit Gloria. Dis-le que tu es une vrai pute !
– Je suis une vraie pute !
– Et ça te plait ?
– Beaucoup !
– Suce derrière maintenant !
J’aime pas trop, préférant pratiquer cette fantaisie avec les femmes plutôt qu’avec les hommes, mais je suis bien là pour me faire humilier, non ? Alors allons-y ! Je ne suis plus qu’une lèche-cul fourrant ma langue dans des anus de mâles en rut. Et ça me plaît !
Tout en besognant le cul d’un mec, je jette un coup d’œil à ma collègue qui manifestement se régale ! Elle est encore plus salope que moi, c’est pas juste !
Mon partenaire se retourne et me fait signe de revenir sur sa bite ! Pas de problème, je suce comme une sangsue tandis que ma main droite s’égare sur la queue d’un autre. Au bout de quelques courtes minutes il se dégage, se recule un peu.
– Ne bouges pas, je vais te balancer ma purée !
Il se branle frénétiquement…
– Ouvre la bouche, salope !
Son sperme m’atterrit un peu dans la bouche, pas mal sur le visage.
– Bouge pas, j’ai pas fini !
En fait si, il avait fini mais maintenant il me pissait dessus.
– Garde la bouche ouverte, trainée !
J’en ai avalé une bonne rasade, le reste me dégouline un peu partout, C’est moi Katia la souillon !
Le type regagne sa place, Gloria fait entrer dans le cercle une dame mature, très mature même mais fort bien conservée. Elle attend que j’en ai terminée avec mon second partenaire.
Bérénice pour sa part est venu à bout de ses deux mâles, elle est barbouillée de sperme et de pisse et je vois qu’on l’emmène un peu plus loin et qu’on l’attache sur une espèce de planche inclinée.
Sonia (la mature) interpelle le gars que je turlutte.
– Alors, elle suce bien, cette pute ?
– Oui, Maman, mais pas aussi bien que toi !
A parce que… mais sans doute faut-il ne s’étonner de rien dans ce genre de soirée !
J’ignore ce qui se passe, mais malgré toute ma bonne volonté, (et mon savoir-faire) le mec débande.
– Je vais t’aider ! me dit Sonia.
Elle arrive à côté de moi se baisse et c’est parti pour une pipe à deux bouches La bite du fiston reprend un peu de volume, mais ce n’est que provisoire.
– Bon, c’est un cas désespéré, on arrête ! Va te faire enculer !
– Oui maman !
– Un volontaire pour enculer mon fils ! Demande-t-elle à la cantonade.
Il y en a plusieurs ! Mais c’est la foire aux pervers, ici ? Sonia désigne l’un d’entre eux.
Le fiston est déjà en position. L’enculeur dégage sa bite. Elle est demi-molle pour l’instant mais Sonia m’invite à là sucer avec elle afin de lui donner une rigidité convenable.
Un petite capote et l’homme encule le fiston sous les applaudissements de l’assistance qui n’a maintenant d’yeux que pour eux. Du coup je ne suis plus la vedette de la soirée j’attends que ça se passe, et Bérénice attachée sur sa planche en fait autant.
La petite séance d’enculade a bien duré dix minutes aux termes desquelles, l’enculeur est ressorti du trou du cul du fiston, puis se débarrassant de la capote, il m’intime l’ordre de lui nettoyer sa bite de son sperme. Ce que je fis consciencieusement puisque je suis là pour ça !
– Si je comprend bien, tu n’as pas été capable de faire jouir mon fils ! Non seulement tu es une trainée, mais tu ne sais même pas faire ton boulot…
Et elle me balance deux gifles, elle me fait mal cette conne.
Elle me fait ensuite mettre à quatre pattes et me fait me balader de long en large. Le problème c’est que mes poids attachés aux tétons se brinquebalent et qu’à ça devient douloureux.
Je ne dois pas avancer asse vite, on me fout des coups de badines.
A coté de la planchette où est immobilisée Bérénice, il y en a une autre. Elle m’était donc réservée, on m’attache là-dessus, après m’avoir retiré mes pinces (ça fait mal quand on les enlève, je confirme). et voici la petite blonde de tout à l’heure qui s’amène avec deux grosses bougies rouges allumées.
La cire de bougie ne tarde pas à me dégringoler sur mon corps, j’en reçois un peu partout y compris sur la chatte et sur les tétons.
On nous détache les chevilles mais c’est pour mieux nous faire lever les jambes à l’aide d’une corde reliée à une poulie.
C’est quoi ce cirque ?
Un type se pointe, la bite encapotée, j’ai compris, pas de lubrifiant, pas de vaseline, il entre dans mon trou de balle comme dans un fast-food. Je n’ai rien contre le fait de me faire enculer mais j’aime bien qu’on y mette la manière. Mais après tout puisque je voulais qu’on m’humilie je n’ai qu’à fermer ma gueule. Et tandis qu’on me sodomise, la blonde me branche un vibreur électrique sur la chatte. Alors là, trop c’est trop, entre les vibrations devant et l’enculade derrière, me voilà en train de mouiller comme une éponge. Je hurle, je reçois des baffes, je hurle encore, on me crache dessus, je ne sais plus où je suis… Ouf c’est fini !
A coté de moi Bérénice subit le même sort de la part de Greta.
La blonde et Greta nous quittent un instant et reviennent très vite chacune tenant un gros labrador en laisse.
Je n’ai pas peur, c’est un fantasme que je voulais réaliser depuis bien longtemps. Et je me laisse lécher la chatte sans protester, je commence même à ressentir un plaisir trouble au contact de cette large langue qui n’en finit pas de me confondre avec un bol de lait !
On nous détache, la blonde s’est saisi de la bite du chien et la fait ressortir par l’arrière entre ses pattes.
– Viens sucer ! M’ordonne-telle
Du fantasmé à la réalité, il y a quoi ? Il n’y aura qu’un soupir, je me lance en embouchant ce membre rougeâtre au gout particulier.
– Vous êtes vraiment des sales putes ! Sucer un chien, il faut vraiment être perverse ! Me balance la blonde, qui joue très mal la comédie.
– Bon assez sucé, intervient Greta, embrassez-vous toutes les deux.
On le fait, on se caresse un peu…
– Je ne vous ai pas demandé de vous peloter sales gouines ! Vous n’avez pas honte de vous embrasser après avoir sucé des chiens et sans vous rincer la bouche ? En levrette maintenant, toutes les deux.
Et quelques secondes plus tard les chiens nous couvraient s’activant en cadence dans nos petites chattes…
Dans nos petites chates ais-je dis… sauf que nos tortionnaires vinrent rectifier le tir afin que la suite se passe dans nos trous du cul..
Le mémère surveillait la chose, voulant éviter que nous restions coincées (parfois ça arrive)
C’est fini, on évacue les toutous. Je me demande ce qui peut encore m’arriver.
Greta nous demande de nous coucher par terre puis demande à l’assistance :
– Si des personnes ont envie de caca, c’est le moment de vous manifester, ces putes vous attendent.
Ce sont deux femmes qui se présentent l’une est une grosse rousse au visage agréable, elle s’approche de moi.
– Mets-toi à poil ma grande, se sera plus fun. Lui demande Greta
– Le bas !
– Non tout !
– Je me place comment ?
– Au-dessus de son visage. Tu ne l’as jamais fait ?
– Y’a si longtemps …
Je ferme les yeux et j’ouvre la bouche (pas trop grande, pas envie de m’étouffer)
– Garde les yeux ouvert, conasse ! Me dit Greta
Elle m’énerve, elle m’énerve, mais puisqu’il me faut vivre mon humiliation jusqu’à plus soif …
Putain, qu’il est beau son étron à la dame ! J’avais un peu peur d’une bouillie infecte, non là c’est du bien moulé, j’ouvre mieux la bouche… et paf… le machin tombe, par un réflexe inconscient je pivote un peu la tête et referme la bouche mais le caca me dégringole à cheval sur la joue et les lèvres. Je m’en débarrasse, l’approche de mes lèvres, je lèche un peu ayant l’impression de me balader dans un monde parallèle.
On me demande à présent de nettoyer le cul de la dame, ce que je fais avec empressement.
Bon, c’est fini ?
Non, Greta me promène en laisse jusqu’à une chaise que je n’avais pas remarqué. Mais cette chaise est particulière. Au lieu et place d’un petit coussin pour se reposer le joufflu, il y a un lit d’orties fraiches.
– Non ! Protestais-je malgré moi
– Si ! Me répond Greta.
– Ah bon ?
Et je me suis assise, c’est fou, ça pique, ça démange, ça donne envie de se gratter. J’essaie de sublimer la douleur, pas facile, je voudrais bien vous y voir, vous !
Qui va siffler la fin de la partie ? Peut-être ce grand dadais qui s’approche de moi, bite en dehors de la braguette… Non il ne siffle rien du tout, il voulait me pisser dessus. Me voilà convertie en urinoir à présent, tu parles d’une promotion sociale, mais j’accepte l’offrande en ouvrant une large bouche ! Il n’y en a pas d’autres ? Non.
On nous détache.
Chez les spectateurs c’est le grand défoulement, ça se lèche, ça se suce, ça baise, ça s’encule.
– Si vous voulez rester, c’est possible, sinon je vous raccompagne aux vestiaires ! Me dit Greta.
– Non, je vais rentrer me reposer…
– OK, surtout ne te grattes pas, les démangeaisons vont partir toutes seules…
Bérénice a choisi de rester, grand bien lui fasse
!
Greta me tend une carte.
– C’est quoi ?
– Le téléphone de Sonia, elle m’a demandé de te le donner, tu en fais ce que tu veux !
J’ai attendu une semaine avant de téléphoner à cette Sonia, elle souhaitait une rencontre coquine à deux j’ai accepté, c’était sympa mais on n’a pas renouvelé.
Fin du récit de Katia
– Et tu n’a jamais recommencé ! lui demande
Monique.
Elle esquisse un énigmatique petit sourire.
– Laisse moi donc mes petits secrets, je vous en ai raconté pas mal ce soir, non ?
– Au fait il y avait quoi d’écrit sur ton front ?
– Je ne l’ai jamais su et quand j’ai voulu me regarder dans une glace avant de repartir, la pisse avait tout effacé !
Fin de l’épisode.
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