Alexis

Samedi 16 novembre 2024 6 16 /11 /Nov /2024 08:16

Les libertins de la fin de l’été par Alexis Defond-Rossignol
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Encore un barbecue coquin ! S’écriront les grincheux ! Et alors si ça m’a amusé d’en écrire un, j’en ai bien le droit, non ?

Bonjour, je suis Alexis, 37 ans. Ma femme Vera est une petite brune frisée avec des seins comme des obus. Nous sommes très portés sur le sexe et sommes tous deux légèrement bisexuels.

Nous étions invités en cette belle journée de fin d’été à un barbecue chez Yannick et Felicia, des amis libertins, les parents de Yannick que nous ne connaissions pas étaient là également..

Le dessert étant consommé, Yannick pris la parole :

– On ne va pas rester habillé d’un temps pareil, ce serait faire insulte au soleil. Mettons-nous tous à poil.

Personne ne fit d’objection et bientôt nous nous retrouvions tous les six dans le plus simple appareil. Je pu ainsi admirer les jolis seins d’Edwige, la mère de Yannick et la jolie bite de Lucien, le père de Yannick, lequel se rendit compte de mon intérêt pour cette partie de mon anatomie.

– On dirait qu’elle te plait bien, ma bite !
– Elle est belle !
– Tu me la sucerais ?
– Bien volontiers.

Et l’instant d’après j’avais sa bonne bite dans ma bouche et mes mouvements de langue la firent rapidement devenir bien raide. Et pendant que je me régalais, Edwige, la mère de Yannick passa derrière moi et m’introduit un doigt vicelard dans mon petit trou du cul. J’aime beaucoup !

De l’autre côté de la table ma Vera suçait la bite de Yannick tandis que Félicia lui léchait le trou du cul.

Un moment Lucien me demanda s’il pouvait m’enculer.

– Mais avec plaisir.

Un petit voyeur qui serait passé par là, aurait pu voir ce spectacle insolite, où Lucien n’enculait, tandis que Yannick sodomisait ma tendre et chère Vera. Quand à Félicia elle avait initié une partie de broute minou en soixante neuf avec Edwige (tout le monde suite, ça va ?)

Ces petits emboitements durèrent bien une dizaine de minutes aux termes desquelles Edwige annonça à la cantonade qu’elle avait une grosse envie de pisser et que si ça intéressait quelqu’un elle se ferait un plaisir de lui pisser dessus.

Je me suis porté volontaire et j’ai reçu en bouche la bonne pisse de cette jolie mémé..

– On se repose un peu, puis après on ira à rivière ! Propose Yannick

Allongé sur une couverture à côté de ma femme, j’ai commencé à la caresser. Bientôt excités, nous nous sommes enlacées pour faire l’amour entre époux. Ma femme était très excitée, et je me souviens de la forte odeur sexuelle qui émanait d’elle.

Comme je l’avais longtemps caressée, j’ai éjaculé presque tout de suite. Très excitée, encore, elle a continué à se donner du plaisir en se masturbant. Assis à côté d’elle, je la regardais en attendant le retour d’une érection. A ce moment, le chien de nos amis, qui était resté couché dans un coin du jardin, s’est levé et est venu vers ma femme. Machinalement, celle-ci a tendu la main vers lui. Il lui a flairé les doigts, avec lesquels elle s’était masturbée, et s’est mis à les lécher avidement. Puis en quête de la source de cette odeur, il a glissé sa grosse tête entre les cuisses de ma femme qui l’a repoussé machinalement.

Mais la scène m’avait vivement troublé, et j’ai décidé de pousser la chose plus loin. J’ai dit à ma femme que ce pauvre toutou avait bien le droit de lécher une jolie chatte, et qu’il n’y avait pas là de quoi fouetter un chat. En outre, ajoutai-je, ce serait peut-être très agréable. Et, passant mon bras autour de ses épaules, j’ai recommencé à l’embrasser et à lui caresser les seins.Vera

Le chien est revenu flairer entre les belles cuisses ouvertes de ma femme, puis s’est mis à lécher. Appréhensive au début, ma femme s’est progressivement laissé aller et à commencé à réagir.

Fasciné, je me suis levé pour mieux jouir du spectacle. Ma femme de son côté, a redressé la tête pour pouvoir regarder. Le chien la léchait à grands coups de langue. Ma femme s’est mise à gémir. Le chien s’est alors avancé, a posé ses pattes de devant sur les seins de ma femme et a commencé à pousser de l’arrière-train, exactement comme un homme, en cherchant l’entrée. La scène paraissait totalement irréelle.

J’ai vu le pénis écarlate de la bête, qui sortait, congestionné, de son fourreau, et butait aveuglément sur le pubis de ma femme. Sans hésiter, je l’ai pris en main pour le guider dans le vagin tandis que ma femme avançait son bassin. Une fois en place, le chien s’est mis à assurer un va-et-vient énergique. Bientôt, déchaînée, ma femme s’est accrochée à l’animal, en écrasant la tête de celui-ci contre ses seins et en le suppliant de continuer. Elle était trempée de sueur. Plusieurs orgasmes se sont succédé, dans un concert où les halètements canins répondaient aux gémissements féminins. Enfin, le chien, ayant éjaculé, se remit à quatre pattes et se dirigea vers la cuisine boire tout le contenu de son écuelle d’eau.

Ma femme est restée longtemps immobile sur sa couverture. Elle avait une expression étrange. Elle m’a regardé, timidement, avec un sourire de petite fille qui a fait une grosse bêtise. Je l’ai rassurée d’un sourire et d’une petite tape sur la tête. Elle m’a alors expliqué comment le pénis du chien lui avait donné des sensations absolument différentes de celles d’un homme : plus visqueux, plus pointu, plus long aussi, elle le sentait très profondément. Et le rythme aussi était différent, plus rapide. Et la sensation de cette fourrure contre elle. Tandis qu’elle me donnait ces détails, je voyais dans ses yeux un nuage rêveur que perçait toutefois une lueur malicieuse. Elle semblait penser : « C’est incroyable ! Je me suis fait prendre par un chien ! »

Et Voici Félicia qui s’approche de nous.

– C’était bien avec le chien ?
– En fait j’ai bien aimé.
– Mais tu ne lui a pas sucé la bite ?
– Ah, non !
– Ça te dirait d’essayer ?

Ma femme n’a pas hésité un instant, elles ont rappelé le chien qui est revenu en gambadant et en frétillant de la queue. La mère de Yannick les a aidé à trouver la bonne position.

Ça fait une drôle d’impression de voir sa femme avec la pine d’un chien dans la bouche…. Je bande !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Mercredi 8 septembre 2021 3 08 /09 /Sep /2021 15:27

La maman d'Angélique par Alexis Defond-Rossignol
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L'été 1992, sur une plage du Midi, j'ai vingt-trois ans. Que voulez-vous que l'on fasse, à cet âge, en cet endroit et en cette saison ? En ce qui me concerne, je suis doublement occupé. Angélique et moi nous connaissons depuis deux ans, et nous nous considérons comme fiancés même si, séparés par plusieurs centaines de kilomètres en raison de nos études, nous ne nous voyons guère qu'aux vacances. Cet été, elle est accompagnée de sa mère qui a loué une maison pas loin de chez moi. C'est une petite blonde pulpeuse (Angélique, pas sa mère) avec des seins auxquels on pourrait accrocher sa veste et un de ces culs qui me font dire "plus il y en a, mieux c'est". Elle est d'un tempérament plutôt réservé, sauf au lit où elle est toujours en quête d'expériences nouvelles. Je ne m'attendais tout de même pas à la surprendre, il y a quelques jours, enlacée avec Béatrice, ni à ce que les deux filles se montrent d'humeur partageuse. Toujours est-il que depuis, j'ai fort à faire pour leur tenir compagnie à toutes les deux. Elles se complètent admirablement : Béatrice est aussi brune qu'Angélique est blonde, plutôt filiforme avec des seins fuselés et presque pas de hanches, légèrement plus âgée (elle a 25 ans, Angélique 22) et plus riche d'une expérience qu'elle est toujours prête à partager. Vous trouverez peut-être que je glisse un peu rapidement (si j'ose dire) sur Angélique et Béatrice, mais en fait ce n'est pas d'elles que je voulais vous parler.

 

L'histoire commence un jour où les deux filles et moi sommes attablés devant un verre à discuter (oui, j'apprécie AUSSI leur conversation) et où Angélique nous confie ses inquiétudes quant à sa famille. Ses parents ont divorcé voici quelques mois, et sa mère, Marie-Cécile, s'en remet très mal. Je m'en serais douté, à voir la tête qu'elle faisait les quelques fois où je l'ai vue depuis le début des vacances. C'est une femme d'une quarantaine d'années, aux cheveux auburn, au teint plus mat que celui de sa fille, qui serait plutôt belle sans son air d'accusé venant de s'entendre condamner à perpétuité.

 

-"Elle est en pleine dépression, dit Angélique. Elle n'a que 42 ans, et elle a l'impression que sa vie est finie. J'ai peur qu'elle ne finisse par se flinguer !

- En fait, dit Béatrice, elle a besoin d'un homme."

 

Ni elles ni moi n'en reparlerons. Il n'empêche que le lendemain soir, nous sommes tous trois de sortie et parvenons à traîner Marie-Cécile avec nous. Au bout de deux heures, Angélique vient néanmoins me dire que sa mère se sent fatiguée. Nous décidons que je laisserai là les deux filles le temps de la ramener en voiture. Le long du chemin, Marie-Cécile et moi parlons quelque peu de nos familles respectives. De son côté, c'est aussi classique que pas brillant : trompée pendant des années sans le savoir, puis en le sachant, et finalement plantée là pour une plus jeune... Nous venons d'arriver devant chez elle quand elle finit par éclater en sanglots. Après avoir arrêté le moteur, je la prends par les épaules pour la réconforter. Elle pleure un peu contre moi, ce qui me laisse le temps de me rendre compte que la peau de son épaule est aussi douce que celle de sa fille, et que sous sa robe d'été, elle a le corps aussi bien dessiné que celui d'Angélique... Ces réflexions me mettent dans un état dont je crève de peur qu'elle s'aperçoive, dans la posture où nous sommes. J'ai moins peur à mesure que ses sanglots s'apaisent, sans qu'elle songe à se dégager de mon bras. Je l'embrasse sur la joue, puis sèche ce qu'il lui reste de larmes avec mes lèvres, puis trouve sa bouche. Elle se laisse faire, et cette fois notre posture ne lui permet plus d'ignorer mon état. Ceci m'encourage à faire glisser ma main le long de son bras, vers son sein. Sa robe est boutonnée sur le devant ; j'en défais le haut, remonte le soutien-gorge, dénude des seins lourds mais encore fermes, plus ronds que ceux d'Angélique, aux pointes couleur de caramel. Je les caresse tout en lui embrassant et en lui mordillant le cou, puis me penche sur eux, arrondis ma bouche autour d'un mamelon, le tète longuement avant de passer à l'autre. Si Angélique a été nourrie à de telles sources, pas étonnant qu'elle soit si belle aujourd'hui ! En même temps, ma main redevenue libre retrousse le bas de sa robe, glisse sur sa cuisse. Marie-Cécile a les deux mains crispées dans mes cheveux, ses gémissements m'encouragent, puis elle parvient à articuler :

 

- Pas ici, pensez aux voisins !

 

Nous sortons de la voiture après qu'elle ait reboutonné sa robe, et ne faisons qu'un saut jusqu'à la maison. Marie-Cécile ne prend pas le temps d'aller jusqu'à la chambre : à peine entrée, elle tombe avec moi sur le premier tapis venu. Je déboutonne complètement sa robe. Dessous, elle n'a pas rajusté son soutien-gorge. Mes lèvres, mes dents, ma langue s'activent sur ses tétons, puis ma bouche descend. Le ventre qui a porté Angélique mérite tous mes respects : je l'embrasse et le lèche longuement, puis descends encore plus bas, fais glisser le slip. Elle a une touffe bouclée, de la couleur de ses cheveux, des hanches généreuses mais dépourvues de graisse, des cuisses parfaites à mon goût. Et je les goûte longuement, avant d'embrasser l'endroit d'où Angélique est sortie. Marie-Cécile a dû sacrément souffrir ce jour-là, pour donner une fiancée à un bébé (moi) qui ne s'en souciait guère à l'époque, et elle mérite bien que je la récompense. Ma langue s'active, tandis que je prends en mains des fesses dignes de celles d'Angélique. Les gémissements de Marie-Cécile augmentent en vitesse et en intensité, ses mains m'arrachent presque les cheveux. Elle a un gémissement de protestation lorsque je me redresse, mais je me déshabille aussitôt, ne lui laissant aucun doute sur mes nouvelles intentions. Je sors un préservatif de mon blouson : j'en ai toujours sur moi, pour Angélique ou Béatrice. J'ai peur que Marie-Cécile ne soit choquée de me voir le mettre (après tout, elle est d'une autre génération), mais son absence de réaction me fait penser que pour elle aussi, la capote est entrée dans les mœurs.

 

Et j'entre doucement dans ses mœurs, couché sur elle. Au bout de quelques mouvements, elle a une réflexion plutôt tardive :

 

- Vous êtes le fiancé de ma fille !

 

Je réponds en comparant sa beauté et celle d'Angélique, d'une façon qui n'est vexante pour aucune des deux. Elle se tait puis, quelques instants après, semble être frappée par la découverte d'une vérité :

 

- Elle sait ce que nous faisons, n'est-ce pas ?

 

Je marmonne un "oui", et après tout je commence moi aussi à penser qu'effectivement, Angélique devait avoir quelque chose derrière la tête en me demandant de raccompagner sa mère. Puis Marie-Cécile n'ouvre plus la bouche que pour m'implorer de continuer plus loin, plus profond, et m'approuver de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à hurler tandis que nous jouissons dans les bras l'un de l'autre.

 

Alors que nous restons étendus, enlacés, sur le tapis, elle m'avoue :

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- C'est la première fois qu'un homme me fait ça.

- Quoi ?

- Ce que vous m'avez fait entre les jambes, avec la langue.!

 

Nous refaisons deux fois l'amour (pas plus : non qu'elle ne me donne pas envie de continuer, mais j'ai laissé Angélique et Béatrice à la boîte et elles doivent commencer à s'impatienter) : elle ne prend guère d'initiatives, me laissant jouer avec son corps, et, entre deux, me fait quelques confidences à demi-mot sur son passé. Je crois comprendre que son mari était du genre à, une fois tous les quinze jours, la faire mettre sur le dos et se coucher à plat ventre sur elle pendant environ quarante-cinq secondes. Je me dis qu'il aurait dû en faire un peu plus avec sa femme au lieu d'aller chercher des satisfactions ailleurs, mais j'aurais tort de le blâmer : après tout, le divorce de Marie-Cécile est tout bénéfice pour moi. C'est la situation la plus délicieusement tordue que j'aie jamais rencontrée : Avoir (car nous nous sommes bien promis de recommencer) une femme de 19 ans plus âgée que moi à laquelle il faut tout apprendre, tout en continuant à coucher avec sa fille qui est bien plus délurée qu'elle !

 

La pensée d'Angélique me cause d'ailleurs quelque inquiétude : nous nous sommes promis de toujours nous raconter nos aventures l'un sans l'autre, et une promesse est une promesse. Je vais devoir lui dire, pour Marie-Cécile et moi. Je crois de plus en plus qu'en laissant sa mère seule avec un chaud lapin comme son fiancé, elle savait ce qu'elle faisait. Mais je me demande quand même comment elle va prendre la chose. Eh bien, sa réaction m'a mis sur le cul…

 

- Elle est douce la chatte de ma mère n'est-ce pas ?

- Pourquoi, tu y as goûté ? Répondis-je sur le ton de la plaisanterie.

- Eh, oui et je n'ai même pas honte !

- Tu nr me l'avais jamais dit..

- Ce ne sont pas de choses faciles à dire. Après son divorce elle avait besoin de consolation, alors on s'est retrouvée couchées l'une contre l'autre, au début ce n'était que de tendres câlins, puis la situation nous a excité, Je l'ai léché, elle 'a léché, J'ai beaucoup aimé coucher avec ma mère. On a recommencé plusieurs fois, mais j'ai compris qu'en fait elle avait surtout besoin d'un homme.

- Eh bien, qu'est ce j'entends !

- Il est où le problème, tu ne va pas me faire la morale, tout de même !

- Non, mais n'empêche que tu es une belle salope

- Tu sais ce qu'on pourrait faire demain ou après-demain ? Devine ?

- Non, dis !

- Un petit trio avec ma mère et toi.

 

Et à cette évocation je me mis à bander fort…mais fort ! Non vous ne pouvez pas imaginez…

Le lendemain, Béatrice et moi venons manger chez ma future belle-mère. à mon arrivée, j’ai la surprise de la trouver dans une robe d’été très décolletée, sous laquelle il est évident qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Marie-Cécile part à la cuisine pour préparer la salade, et je la suis, sous prétexte de l’aider. En fait, à peine est-elle occupée à secouer sa salade dans l’évier que je la saisis par derrière et remonte sa jupe sur ses cuisses. Je m’en doutais un peu en la voyant marcher : elle ne porte pas de culotte non plus. Et je commence, tout en l’embrassant dans le cou, à lui caresser les fesses, les hanches, à écraser ma braguette – bien tendue, comme vous l’imaginez – contre sa raie, à passer ma main droite par-devant et à introduire mon index dans sa chatte déjà trempée… Vous trouvez peut-être cette conduite abominablement phallocrate, envers une femme qui est face à un évier, avec les mains embarrassées d’un panier à salade ?

– Arrête, petit cochon, les filles pourraient nous voir.

Si elle savait que je suis là avec leur bénédiction, et qu’elles doivent être en train de chercher à imaginer ce que nous faisons dans la cuisine ! Et comme mon index s’agite de plus en plus autour de son petit bouton, elle ne dit plus rien et commence à gémir doucement. Ses tétons doivent être durs à lui faire mal, car elle se glisse une main dans le décolleté et commence à les malaxer. Je l’y aide activement de ma main restée libre, et bientôt elle doit se fourrer un torchon entre les dents pour s’empêcher de crier.

Une fois retrouvés ses esprits, elle se retourne vers moi, semble se rendre compte que je n’ai pas eu les mêmes satisfactions qu’elle, et soudain, sans que je ne lui demande rien, me débraguette, sort ma bite et la branle jusqu’à ce que je gicle sur le parquet – ce qui, dans l’état où je suis, ne prend que quelques secondes.

Pendant que je nettoie le sol, Marie-Cécile essuie ses cuisses trempées de mouille. Elle remet de l’ordre dans sa tenue, essaie de la défroisser avant que nous ne rejoignions les filles. Lorsque j’arrive à table, Angélique m’attrape la main droite et dépose un baiser sur mon index. Ce serait un geste banal entre amoureux dans toute autre circonstance, mais là, Béatrice est prise d’un fou rire qu’elle étouffe dans sa serviette. Visiblement, les filles ne se sont pas contentées d’imaginer ce que nous faisions ! Heureusement que Marie-Cécile ne s’est aperçue de rien.

Après le repas, les filles vont dans la chambre d’Angélique en annonçant qu’elles vont faire la sieste. Je l’ai assez faite avec elle pour savoir ce que cela veut dire, et de mon côté j’accompagne Marie-Cécile jusqu’à son lit. Elle accepte puis provoque des caresses nouvelles, me les rend… Après plusieurs orgasmes successifs nous sommes tous les deux étendus dans le lit, elle sur le dos, les yeux clos, à moitié endormis, moi lui caressant le ventre et la chatte, lui préparant un nouveau départ au septième ciel.

Et voilà que sa fille Angélique ouvre silencieusement la porte. Entièrement nue, elle me fait signe de me taire et se glisse au pied du lit sans que Marie-Cécile ne s’en aperçoive. Je lui laisse l’endroit que j’étais en train de caresser, portant ma main un peu plus haut. Dans son demi-sommeil, ma future belle-mère met un moment à comprendre que la langue qui lui enflamme le clito ne doit pas être la mienne. Elle a un sursaut, mais Angélique se couche déjà sur elle, l’embrasse, presse ses seins, son ventre, son bouton contre les siens. De mon côté je redouble mes caresses, et il ne faut qu’un instant à Marie-Cécile pour jouir de nouveau.

C’est au tour de Béatrice d’entrer dans la chambre. Elle se penche sur ma bite, la prend dans sa bouche, ondule timidement de la langue et des lèvres, puis se fait de moins en moins timide… son doigt venant me titiller le trou cul. J’ai joui en déchargeant de longues giclées qui ont atterrit sur la poitrine de Marie-Cécile qui a éclaté de rire, tandis qu’Angélique et Béatrice virent nettoyer tout cela de leurs petites langues vicieuses.

 

PS : Ce texte sans mention d’auteur trainait sur mon disque dur depuis 2003. Je l’ai un peu arrangé à la sauce Vassilia. Une première version existe sur le site de Revebebe (signé Gérard) reprise sur Xstory (signé Hanjin) Dans ces deux cas le vol d’histoire est manifeste. (il suffit de comparer avec les autres récits de ces auteurs, les différences de style sont flagrantes). Il est bien évident que si le l’auteur de l’histoire originale désire se manifester et faire valoir ses droits, je ferais ce qu’il convient de faire en pareil cas.

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 07:04

Orgie de bureau par Alexis Defond-Rossignol

 

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Voici l'histoire d'une partie à trois qui s'est déroulée sur mon lieu de travail, un week-end. Je devais finir un travail au bureau et j'annonçai à mes deux collègues, un homme et une femme, que j'allais venir bosser le samedi matin. Carole, ma collègue féminine, jolie blonde d'environ 1 m 65, corps menu, annonça à son tour qu'elle risquait de venir aussi. Petits regards complices, ce qui m'enchanta plutôt, car je la trouve bien mignonne. Notre autre collègue, Boris, grande bringue très macho, y va d'une réflexion graveleuse pour la forme.

 

En venant le samedi matin, je pensais à Carole et à son sourire mais je n'espérais rien, croyant plutôt à un petit jeu de séduction platonique. J'étais sur mon ordi depuis un quart d'heure quand la belle fit son apparition, toute guillerette. Elle portait une jupe noire très courte et un chemisier de couleur sombre assez décolleté. Appétissante !

 

- Salut, déjà là ? Tu es plus matinal que moi !

 

Et elle vint me taper la bise alors que d'habitude nous nous disions juste bonjour comme ça, pour garder une bonne ambiance de travail. Elle en profita pour poser une de ses mains sur ma poitrine et l'autre se balada gentiment vers mon entrejambe. Ses intentions étaient claires.

 

- Tu es venue travailler ou me déconcentrer, Carole ?

- Ben voilà ! J'ai justement plus grand chose à faire.

 

Elle s'éloigna et fit le tour de son bureau.

 

- En fait j'aime bien venir ici quand il n'y a personne car c'est très calme pour mon activité préférée.

 

Et voilà qu'elle sort un gode de son sac à main. Ma tête a dû en dire long sur mon étonnement, car Carole se mit à rire tout en faisant de la place sur son bureau, juste face de moi. Et elle continua sans broncher sa petite explication :

 

- Il y a trop de bruit chez moi, des gamins au-dessus et des gamins dessous qui font le boxon... Pas génial pour penser à des choses cochonnes. Elle s'installa sur le devant du bureau, bien face à moi, écarta les jambes et découvrit sa chatte bien épilée, elle ne portait pas de culotte, bien sûr.

 

- Ne te gêne pas pour moi ! Lui dis-je, j'ai plein de choses à faire moi aussi.

 

Je reculai mon siège à roulettes et me mis en position plus décontractée, pas collé à mon bureau, les jambes écartées. Une érection certaine commença à comprimer mon pénis dans mon pantalon.

 

- Oui, mets-toi à l'aise, mon chéri, et admire le spectacle.

 

Elle enfourna sans plus de préambule son godemiché dans son sexe. Il n'était pas très gros, assez épais mais pas très long (moins de 15 cm). Elle s'imprimait un va-et-vient énergique, sa tête renversée, les yeux mi-clos, plus qu'impudique. Je remarquai alors que ses petits seins étaient libres sous son chemisier, je pouvais les voir ballotter alors qu'elle balançait quelque peu son corps. Devant ce spectacle enchanteur, je sortis ma bite de mon pantalon et commençai à me branler.

 

- On va pas rester là à se mater, chère collègue, je suis sûr que nous avons mieux à faire.

 

Elle releva la tête, fixa mon pénis en érection dans ma main et retira son gode.

 

- Bien sûr que je vais m'occuper de toi, mon chéri.

 

Elle fit le tour de mon bureau et, après un baiser profond, se mit à genoux et goba mon sexe. Malgré une bouche qui ne m'avait jamais paru très grande, elle n'eut aucun mal à avaler tout mon sexe, bien plus long que son gode préféré et un peu plus large aussi. Elle suçait lentement, enfonçant bien mon membre jusqu'au fond à chaque fois. Son autre main était en train de frotter son clitoris avec frénésie. Elle gémissait à chaque fois que ma bite laissait la place aux sons, pour qu'ils puissent sortir de sa bouche.

 

- Tu suces bien, je connaissais beaucoup de tes compétences, mais pas celle-ci.

 

Elle était très habile, je grossissais dans sa bouche qui semblait se dilater comme un vagin. Je stoppai son va-et-vient, me retirai de sa bouche et me levai. Je l'aidai à se relever elle aussi et la plaçai contre le bureau. J'ouvris son chemisier, déboutonnai les premiers boutons. Tout en fourrant mes doigts dans sa chatte, je lui léchai ses délicieux petits seins bien fermes.

 

- Oui, prends-moi mon chéri, ta bite va faire merveille.

 

Je ne me fis pas prier. Je me relevai et présentai ma verge bien droite devant le vagin de la belle. Elle le prit de ses deux mains et la guida en elle. Je pris tout mon temps, ressortant plusieurs fois, ses mains m'y remettant aussitôt.

 

- Viens, me dit-elle.

 

Je poussai très fort d'un coup, elle lâcha un cri de surprise, j'étais bien au fond d'elle ! Je commençai à la limer bien profond et pas trop vite. Elle couinait à chaque fois que je touchais le fond et m'encouragea à continuer dans le même souffle.

 

Alors que tout allait pour le mieux, elle m'arrêta d'un seul coup.

 

- Attends mon chéri, j'aimerais bien avoir mes deux trous pleins en même temps.

 

Elle me fit me retirer, alla chercher son gode sur son bureau et revint se mettre très vite près de moi. Elle posa le gode sur le bureau qui tenait bien droit. Elle me demanda de l'aider à monter sur le bureau et je la tins alors qu'elle s'enfilait le gode dans le vagin pour bien le lubrifier. Puis elle se l'enfila lentement dans le cul, je la retins pour ne pas que ce soit trop rapide. Elle s'assit finalement littéralement sur le bureau, le godemiché avalé par le cul.

 

- Ça va être très très bon mon chéri ! Lâcha-t-elle.

 

Je pris ses jambes bien écartées sur mes bras, la tenant par les hanches. Je réintroduis ma bite dans son sexe comme dans du beurre et recommençai à la pilonner avec délice. Ses gémissements reprirent, plus langoureux.

 

- Deux bites, c'est vraiment le pied, mon chéri.

 

J'étais amusé qu'elle m'appelle mon chéri, et surtout très excité par son regard dans le mien, par cette double pénétration, par nous deux aussi. Je l'embrassai à pleine bouche. C'est à cet instant que la porte s'ouvrit en grand : le troisième occupant du bureau, Boris, débarqua, le sourire aux lèvres.

 

- J'en étais sûr, mes cochons, ça baise derrière mon dos !

 

Un peu incrédules d'abord, Carole et moi rîmes de bon cœur avec lui. Au bout de quelques secondes de silence, nous nous regardâmes l'un après l'autre, moi toujours planté dans Carole, elle toujours sur son gode. Puis elle annonça :

 

- On va pas arrêter là mon chéri, je suis super excitée !

 

L'ordre était trop tentant, donc je me remis à limer. Sans se sentir exclu, Boris se débarrassa de ses vêtements du haut (blouson et chemise) et déboutonna son pantalon pour sortir un pénis épais et pas trop long (comme le gode) qui fut rapidement en érection. Il se masturbait debout et se rapprocha de nous. Carole le prit dans la main et le branla alors qu'elle avait toujours un gode dans le cul et subissait mes coups de boutoir. Nous commençâmes tous à gémir en cadence. Boris titillait du bout le clito de Carole, introduisant parfois un doigt dans son vagin, accompagnant ma queue. Lorsqu'il voulut mettre un doigt dans son cul, il se rendit compte qu'elle avait déjà le gode.

 

- Eh mais carrément, vous y allez fort. T'es une vraie vicieuse ma petite !

- Et j'adore ça petit malin ! Ça te dirait d'y mettre ta bite ?

- À ton avis, coquine ?

 

Carole ne supportait pas trop les sarcasmes macho de Boris au bureau mais semblait apprécier ce langage crû dans cette situation. Carole se mit à genoux pour sucer la queue de Boris, le gode toujours dans le cul, pour qu'elle atteigne sa grosseur optimale. Moi je suis resté contre le bureau à les regarder, à quelques centimètres d'eux. Je ne me branlais pas, ma bite était suffisamment dardée. Je retirai mon polo et je me retrouvai avec la main de Boris autour de la bite.

 

- Et, je suis pas pédé, hein ! Me dit Boris le macho. Mais t'as une belle grosse queue. Tu dois aimer ça, toi, ma petite garce ?

 

Carole se foutait pas mal de ce que disait Boris et ne se formalisait pas que sa bite soit moins longue que la mienne. Elle devait avoir bon goût car Carole était goulue. Boris continua à me branler.

 

- Tu sais Boris, lui dis-je, je ne suis pas à proprement parler un pédé, mais j'ai déjà fait des trucs avec des mecs. Tu serais surpris du plaisir que tu aurais.

 

Carole se releva, visiblement étonné de ma déclaration. Elle sembla médusée de voir que Boris me branlait.

 

- Tu vas remonter dans mon estime Boris si tu continues comme ça.

 

Carole se remit à sa place sur le bureau, le gode toujours bien enfoncé, les jambes écartées.

 

- Boris, c'est ici que ça se passe mon petit.

 

Boris ne se fit pas prier et s'approcha pour s'empaler jusqu'à la garde dans le vagin de cette sacrée petite cochonne. Alors que les va-et-vient étaient rapides, je restai tout près d'eux, me laissant branler par Carole et Boris en même temps et léchant les seins de la belle. À un moment, je me mis derrière Boris, descendant son pantalon puis son caleçon et lui caressai l'anus. Il ne dit rien, Carole me sourit. Elle m'attrapa une main et lécha tous les doigts :

 

- Mets lui donc ça dans le cul !

- Euh là je ne suis pas sûr de...

 

J'avais déjà introduit un doigt dans le cul de Boris qui voulut se débattre. Je le poussai en avant, il pilonna un peu plus profondément Carole et accepta finalement plusieurs de mes doigts.

 

- Il va falloir dilater tout ça, dis-je, si tu veux accepter autre chose.

 

C'est le moment où Carole décida de se faire prendre par deux queues à la fois. Boris s'installa assis contre le bureau, la verge en avant. Carole retira le gode et je l'aidai à s'empaler par le cul sur la bite offerte, sans aucun mal. Boris tenait Carole par les bras tandis que je m'introduis dans son con tout mouillé. Nous nous mîmes à bouger ensemble, les bites butant l'une contre l'autre, Carole gémissant à chaque mouvement. Boris aussi semblait bien plus excité dans ce trou plus étroit. Il ne mit pas trop longtemps à venir alors que Carole en était déjà à deux ou trois orgasmes. Moi, je me retenais tant bien que mal. Boris jouit assez bruyamment, le corps de Carole fut parcouru de spasmes. Je continuai à limer alors que Boris et Carole ne bougeaient plus.

 

- Ok les gars, c'était vraiment parfait. Laissez- moi me reposer un instant, annonça la belle qui avait bien payée de sa personne.

 

Je me retirai. Carole se libéra de Boris et s'agenouilla devant moi, voulant que je jouisse sur elle. Elle m'astiqua sévère et mon sperme gicla sur sa bouche, ses cheveux, ses seins et son chemisier. Elle me nettoya bien la bite. Boris était resté comme il était, les bras en arrière en soutien, la bite en avant, souillée des secrétions de Carole et de son sperme. Je me mis alors à genoux et pris la bite de mon collègue de bureau dans ma bouche. Il fut surpris, mais me laissa faire. Je lui nettoyai la queue tout en le pompant pour lui rendre sa virilité maximale.

 

bureaubi

- Oh génial, s'écria Carole, mon chéri tu es un génie, tu sais tout faire.

 

Elle s'allongea par terre derrière moi, passa sa tête entre mes jambes et se mit à sucer ma queue qui avait dégonflé (j'aime bien sucer un mec pour l'incongruité de la chose, et le goût, mais ça m'excite peu). La bite de Boris était très bonne, le foutre de la belle et son sperme se mélangeaient à merveille. Les deux pénis reprirent ensemble de la vigueur. Carole ne cessait de faire des "hum" en me suçant. Je cessai ma séance homo et annonçai la couleur :

 

- Boris, tu as bien enculé Carole, je viens de te sucer, pour parfaire ta culture je te propose de te faire enculer à ton tour.

 

À ces mots, Carole se releva et dit qu'elle était d'accord, qu'elle allait lui foutre son gode dans le cul bien profond. Boris, finalement, ne se fit pas trop prier, excité qu'il était, et il se retrouva à moitié allongé sur le bureau, pointant ses fesses vers Carole. Elle lubrifia de nouveau le gode dans son vagin tout en titillant l'anus de Boris avec ses doigts et avec sa langue. Puis elle commença à enfoncer le godemiché assez lentement et sans grande difficulté. Boris dandina du cul pour l'aider. Carole, agenouillée derrière le cul de Boris, était en train de l'enculer avec son gode. Du délire ! Elle me fit signe de lui apporter son sac. Elle en sortit un préservatif et du lubrifiant. Avec quelques signes, elle me dit qu'elle voulait que j'encule Boris. Je compris vite l'intérêt de la capote, finalement plus facile à lubrifier, car mon calibre était imposant pour un cul novice. J'enfilai le préservatif large size et m'apprêtai à me mettre du lubrifiant.

 

- Non, prends-moi en levrette ! Annonça Carole.

 

Ce que je fis pendant quelques instants, avant que Carole ne dise à un Boris amorphe, soumis, que le gode n'était pas assez gros et qu'il lui fallait du sérieux. Il tourna la tête et me vit approcher la bite en main. Il manifesta un peu, mais Carole se mit sur le bureau, lui présentant sa chatte épilée sous le nez.

 

- Ça va aller, bouffe-moi en même temps et tu vas adorer !

 

Je mis ma queue à l'orée de l'anus masculin et commençai à pousser lentement. Ma bite était bien lubrifiée et le cul de Boris plutôt souple. Je ne mis pas très longtemps, petit coup par petit coup, à entrer en entier. Puis je me mis à limer et là Boris se mit à gémir grave. Il ne pouvait plus se concentrer pour lécher Carole. Elle reprit son gode et se le mit énergiquement dans le vagin. Ce trou étroit me comprimait la bite qui ne cessait de vouloir grossir. Les gémissements de Boris devenaient de plus en plus plaintifs. Je ne savais si je devais continuer car je ne me sentais pas venir alors que je grossissais toujours. C'est à ce moment que notre maîtresse de cérémonie décida d'en finir avec elle et moi. Elle sauta à terre, se mit à quatre pattes sur la moquette et m'invita dans son cul, ouvrant son anus à deux mains. Je me retirai sans prévenir de Boris, le macho enculé, et je me plaçai derrière elle. Je m'enfonçai avec difficulté, son cul devant être habitué à son petit gode, son anus étant finalement moins dilaté que celui de Boris. Mais j'y allai sans ménagement, bien décidé à lui mettre le paquet. À ce régime de va-et-vient profonds, pendant plusieurs minutes, le cul de Carole se dilata bien et elle se mit à gémir de plaisir. Elle eut plusieurs orgasmes. Moi j'étais long à venir car j'avais déjà juté peu avant. Boris s'assis devant elle pour se faire sucer. Au moment où je lâchai mon sperme dans ses entrailles, elle gueula littéralement. Mes longs jets la remplirent et son corps se raidit. Boris se termina à la main, il jouit une nouvelle fois lui aussi.

 

Cette petite séance terminée, nous fûmes heureux. Chacun se rhabilla (nous ne nous étions pas trop déshabillés de toute façon) et sans trop de mots prononcés, Boris et Carole partirent le sourire aux lèvres en disant à lundi ! Je restai, espérant travailler enfin, mais au bout d'une demi-heure, comme j'avais toujours la main sur la bite, je décidai de rentrer.

 

Fin

 

Ce texte a été publié sur le site de Story X en 2010

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Mardi 27 juillet 2021 2 27 /07 /Juil /2021 08:47

Les pérégrinations érotiques d‘un buveur de bière

Par Alexis Defond-Rossignol

Gs2

 

Prologue

 

– Garçon tu nous remets ça ! La même chose !

 

Le garçon de café au teint blanchâtre nous resservit pour la troisième fois nos demis débordant d’une mousse qu’il rasa de sa spatule d’un geste très professionnel.

 

– Tu m’as dit l’autre fois que tu ne croyais pas aux horoscopes ! Qu’il me dit Marcel !

– Ce n’est pas de l’horoscope ! C’est l’influence de la Lune, ça n’a rien à voir !

– Elle fait quoi la Lune ?

– Ben, elle fait les marées, c’est déjà pas mal !

– Si ça se trouve ce n’est même pas vrai !

– Mais si c’est vrai, c’est scientifique !

– Pfeu ! Les scientifiques, alors pourquoi la Méditerranée elle n’a pas de marée ?

– On s’en fout, Marcel, ce n’est pas le sujet !

– C’est quoi déjà le sujet ?

– Le sujet c’est que quand c’est la pleine lune, je suis en rut… je bande encore plus que d’habitude !

– Ça me fait penser aux films avec les loups-garous !

– Tu dis ça en rigolant mais c’est le même phénomène !

– Qu’est-ce qu’il y a à la télé ce soir ?

– Alors elle ne t’intéresse pas mon histoire ?

– Quelle histoire ?

– Mon histoire de cul !

– Si ! Si !

– Je te la raconte ou pas ?

– Raconte ! Raconte !

– Allez viens t’asseoir !

– Ok c’est ma tournée !

– Dis Marcel, comment je suis ?

– Hein ? Normal, pourquoi ?

– Non, décris-moi !

– Te décrire ? T’as oublié comment tu étais ?

– Mais non, con ! C’est pour les lecteurs !

– Ah, bon ! Alors sachez, amis lecteurs, qu’Alexis, mon copain est grand, brun, qu’il a d’épais sourcils, des lèvres charnues, de beaux yeux sombres et la peau mate, le type comment dire…

– Espagnol ?

– C’est ça, espagnol !

– Olé ! C’est tout ?

– Non, il est coiffé à la Clark Gable, toujours très élégant, la quarantaine, sportif, et un joyeux compagnon de table…

– Et puis…

– Et puis il adore les femmes !

– Olé ! Et maintenant écoute bien, Marcel, ouvre bien grande tes portugaises et vous amis lecteurs faites-moi le plaisir de vous laisser narrer ces anecdotes tirées de mes pérégrinations nocturnes (et diurnes également)

 

1 – Le récit d’Alexis

 

C’était une nuit de pleine lune, et en rentrant à la maison, j’avais une grosse envie de sexe. D’habitude quand ça m’arrive j’attrape un bouquin de cul qui traîne sous la table de nuit de ma femme pour me branler. Mais là, j’ai eu envie de cul pervers et sans limites… Alors quand elle est rentrée, je lui ai dit de s’habiller sexy, que j’allais l’emmener à Paris au restaurant. Je l’ai même surveillée tandis qu’elle s’habillait, dirigeant ses choix vers des bas noirs, une longue jupe et un chemisier… lorsqu’elle a attrapé une jolie culotte dans son armoire, je lui ai dit que ça elle n’en aurait sûrement pas besoin. Ignorant ses questions, je l’ai enlacée pour le plaisir de la caresser sans culotte, passant mes doigts dans sa raie : génial !

 

– Elle est comment ta femme ?

– Comment ça comment ?

– Blonde, brune, rousse ?

– Mais je te l’ai déjà dit !

– Mais les lecteurs, Alexis, les lecteurs !

– Monique est blonde (fausse), bientôt la quarantaine, taille moyenne, un visage d’ange, de beaux yeux bleus, une belle et forte poitrine, et la voix pleine de miel !

 

Nous sommes donc partis en voiture, je n’ai pas pu m’empêcher de lui caresser les cuisses et la chatte pendant le voyage. Puis nous sommes arrivés pas trop loin de la rue St Denis…

 

2 – Cinoche

 

Je l’ai emmenée au restaurant japonais, on a bien mangé, on a parlé de tout et de rien, puis à la fin du repas, je lui ai proposé un ciné… Elle aime bien le cinéma ma femme… Alors je l’ai emmenée dans l’une des dernières salles qui passe encore des films cochons en boucle. Nous nous sommes assis au fond de la salle, deux pervers se trituraient mutuellement le manche. Mon cœur qui ne s’attendait pas vraiment à ça avait l’air plutôt surprise et assez contente. Elle a posé la main sur ma braguette et m’a caressé la queue. J’ai placé ma main sur ses cuisses qu’elle a écartées en grand, puis j’ai remonté sa jupe. Ne pas avoir de culotte à dépasser, c’est vraiment un plaisir, elle ne quittait pas l’écran des yeux, mais je voyais bien qu’elle appréciait d’avoir ma main sur la motte et un doigt dans la chatte. Quand elle a voulu sortir mon sexe de mon pantalon, j’ai refusé. D’après mon plan, ça n’était pas la dernière étape de la soirée, j’allais attendre un peu pour en profiter pleinement. Pour ne pas céder à la tentation, je suis passé entre ses jambes et j’ai collé ma bouche à sa chatte. Le goût de son excitation était meilleur que d’habitude, elle regardait le film, les mains dans mes cheveux, et souriait. Sur l’écran, une jolie blonde un peu rondelette se faisait prendre par le cul et suçait un black avec un braquemart géant. J’entendais les soupirs de ma femme se mêler aux cris étouffés de cette salope américaine, c’était très excitant… Ma langue a accéléré sur son clito, ses hanches se sont mises à onduler au rythme de la musique, de plus en plus vite, et Monique a fini par jouir en gémissant très fort. J’ai reçu un flot de mouille dans la bouche que je me suis empressé de savourer. Le black a éjaculé dans la bouche de la fille, les gémissements de tout ce monde m’ont donné une autre idée…

 

Nous nous sommes levés, de la mouille coulait le long des jambes de ma femme, j’ai passé mes doigts pour ne rien perdre, je lui en ai même fait goûter un, elle l’a léché en me regardant d’un air pervers, je me suis dit que ce serait le moment ou jamais d’exécuter cette fameuse idée. Mais voilà que ma tendre me dit avoir une forte envie de pisser. Elle m’a demandé de l’accompagner aux toilettes du ciné car elle n’avait pas trop confiance. On est entré, ça ne sentait pas très bon et un mec était en train d’en sucer un autre, tandis que trois autres types les regardaient en se masturbant. Deux d’entre eux se sont alors avancés vers Monique. Elle a pris peur et nous nous sommes enfuis.

 

– Ce n’est pas très sentimental, ton truc ! Qu’il me fait observer le Marcel

– Je sais, mais mes sentiments, je n’en fais pas profiter tout le monde, par contre mes excitations je peux les faire partager !

– C’est de la porno pure, alors ?

– Oui, mais je le revendique ! J’ai lu une critique sur un site Internet qui disait que les ébats sexuels étaient plus difficiles à écrire que ce qu’il y a autour !

– Autour il y a des poils !

– Qu’est-ce que tu es con, dès fois !

– Faut bien rire !

– Tout doit pouvoir exister, le porno en tant que partie chaude d’un récit quelconque, mais aussi le porno pur, du moment que ce n’est ni crade ni dégradant…

– Continue, Alexis !

– La règle c’est « pas de ghetto ! »

– Continue, Alexis, j’ai compris.

 

3 – La boite

 

Le cœur un peu accéléré, nous sommes sortis du ciné, et ne pouvant contenir son envie de pisser, elle s’est accroupie entre deux voitures en stationnement. Deux types s’arrêtèrent pour la mater.

 

– Et alors ! Dit-elle en les interpellant. Vous n’avez jamais vu une femme en train de pisser ?

 

Les deux hurluberlus un peu vexés s’en allèrent sans insister, je restais donc le seul mateur ! Voici un privilège intéressant ! Elle n’avait rien pour s’essuyer, pas grave ! Je l’ai emmenée ensuite dans une rue un peu plus loin (où j’étais déjà allé avant de la rencontrer). Un vieux rideau de velours rouge cachait l’entrée, je l’ai écarté et j’ai fait entrer ma femme. Elle a marqué un temps d’arrêt devant ce qu’elle découvrait, un escalier d’où venait de la musique, gardé par deux baraqués en costumes. Ils lui ont souris et m’ont fait un signe de tête et nous sommes descendus.

 

En bas, en plus de la musique, nous entendions des cris de plaisir et de jouissance. Une belle asiatique nue s’est approchée de ma femme, un téléphone portable à la main et lui a expliqué que le prix d’entrée était une photo de sa chatte. A mon grand étonnement, ma femme ne s’est pas démontée, elle s’est retournée, s’est penchée bien en avant, les jambes écartées et a remonté sa jupe pour que la belle hôtesse puisse voir à la fois son cul et sa moule. L’asiatique a fait sa photo, l’a immédiatement envoyé sur une imprimante et l’a épinglée au mur près de centaines d’autres… La pièce suivante était très sombre, un bar occupait la partie gauche et le reste était meublé de divans rouge sombre sur lesquels des clients, nus ou habillés (ou un peu les deux), buvaient, parlaient ou baisaient… Ma femme s’est retournée vers moi, ses yeux pétillaient, sa langue est passée sur ses lèvres et elle m’a embrassé à pleine bouche comme jamais elle ne l’avait fait.

 

– J’ai besoin d’un alcool fort ! Me dit-elle.

 

Nous avons alors pris un verre au bar avant d’aller s’asseoir sur un divan libre au fond de la pièce. Sur le divan le plus proche de nous, une jeune femme à quatre pattes se faisait prendre par derrière et elle semblait aimer ça, une jolie femme, probablement antillaise avec un visage très doux, des petites lunettes et des cheveux bouclés. Le visage figé d’étonnement, ma femme s’est mise à la fixer. J’allais lui faire une réflexion lorsque la jeune femme l’a vu et a pris le même regard éberlué. Elle s’est retournée vers le mec lui disant d’aller se finir avec quelqu’un d’autre et elle est venue s’asseoir près de Monique qui n’avait toujours pas bougé. Et là, elles se sont mises à parler en même temps. J’ai cru comprendre que c’était une amie d’enfance de ma femme. Dès fois le monde est petit ! Eh bien, elle pourrait m’en ramener tous les jours des amies de ce genre là…

 

Je les ai laissées à leurs souvenirs pour aller faire le tour de la boite. J’ai ainsi découvert qu’il y avait plusieurs pièces dans lesquelles l’activité principale était la même : le CUL ! J’ai même été entrepris par une femme assez mûre qui a sorti ma queue et s’est mise à la sucer. Je l’ai laissée faire un peu, puis je suis parti, elle s’est retournée vers un autre et a recommencé à sucer… j’ai été faire un tour aux toilettes, j’avais envie de pisser. Surprise, une belle femme complètement nue et aux formes sculpturales se faisait pisser dessus par deux mecs. Ça avait l’air de lui plaire, et comme je m’approchais de l’urinoir, elle m’a fait signe que je pouvais aussi l’asperger. La chose n’était pas très facile parce que j’étais assez excité par la chose, et que pisser en bandant ce n’est vraiment pas évident, mais je fini par y arriver. L’un des deux hommes lorgnait à fond sur ma bite, et à un moment sa main s’approchait impunément de mon organe. J’hésitais un peu sur la conduite à tenir, mais finalement je le laissais faire, il me branla quelques instants, mais je lui fis signe que je ne tenais pas à jouir si vite, ni dans de telles conditions

 

– Je te la suce un peu alors ? Juste un peu !

– Juste un peu d’accord !

 

Me voici en train de me faire tailler une pipe par un mec, on aura tout vu ! Et non seulement je n’ai pas honte, mais ça aurait plutôt tendance à m’exciter. Il va falloir que je consulte mon sexologue ! Ou plutôt non, je ne consulterais personne, je fais ce que je veux de mon corps, du moment que je n’emmerde pas le monde, et que l’on ne m’emmerde pas.

 

Lorsque je suis revenu dans la pièce centrale, je suis allé chercher un autre verre, Monique et sa copine étaient toujours en train de parler. Je suis retourné près d’elles, j’ai roulé une pelle à Marie-Laurence, cette jolie blackette, histoire de lui dire bonjour et je me suis installé derrière Monique. Elles étaient en train de se raconter ce qu’elles faisaient là. Marie-Laurence expliquait :

 

– Je viens presque une fois par mois, avec mon mec du moment. Je prends mon pied et j’aime vraiment ça !

 

Pendant qu’elles parlaient, j’ai passé mes mains sur les seins de Monique qui m’a laissé faire, alors je lui ai enlevé son chemisier, son soutien-gorge et sa jupe. Elle s’est retrouvée en bas et escarpins. Elle racontait à son amie la séance de cinéma que nous venions de vivre. Je me suis levé et je me suis mis devant elles en disant que je m’ennuyais. Elles se sont regardées et excusées auprès de moi, puis, avec un sourire coquin se sont occupées de me déshabiller. J’ai eu vite fait moi aussi de me retrouver à poil. Monique tenait ma bite dans sa main et a attrapé le cou de Marie-Laurence et l’a poussée vers moi, j’ai senti sa bouche glisser sur ma queue, sa langue sur mon gland et je regardais ma femme, qui d’un air vraiment vicieux me faisait sucer la bite par une amie d’enfance… Là-dessus, un mec est arrivé en souriant, Marie-Laurence a arrêté de me sucer pour nous présenter :

 

– Voici Corentin, c’est le mari d’une de mes amies, Florence, qui doit être un peu plus loin.

 

Corentin est un petit moustachu très dégarni et au visage très jovial. Marie-Laurence lui a demandé d’aller chercher sa femme pour nous présenter. Elle s’est remise au travail avec l’aide de Monique jusqu’à ce qu’ils reviennent.

 

Florence était très bien faite aussi, une grande fille à la peau un peu pâle, les cheveux assez courts décolorés auburn. Nous nous sommes embrassés (finalement, je crois que se faire une pelle pour se dire bonjour est une bonne idée), puis elle s’est assise à côté des deux autres pour les aider à me bouffer la queue. Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé de se faire sucer par trois jolies filles, mais c’est une expérience à tenter et à retenter… Corentin les a fait mettre à genoux sur le divan toutes les trois et pendant qu’elles essayaient d’emboucher ma bite, il s’amusait à rentrer dans l’une d’elles puis ressortait, puis passait à l’autre et ainsi de suite. Ce jeu-là nous amusait tous les cinq. Marie-Laurence s’est levée, puis avec un air coquin a installé la bite de Corentin dans la chatte de ma femme et la mienne dans celle de Florence. A genoux, l’une dans le sens contraire de l’autre, elles regardaient avec des yeux vagues leur mari baiser l’autre. Monique regardait à tour de rôle ma bite entrer entre les jambes de Florence et mon visage (je devais avoir l’air d’un gamin devant un tas de cadeaux à Noël). Marie-Laurence passait de l’une à l’autre, leur caressant les fesses, les seins ou les embrassant à pleine bouche. Monique n’a pas tardé à jouir, bientôt suivie de Florence. J’ai alors attrapé Marie-Laurence qui me plaisait bien et je l’ai allongée sur un divan à côté, puis je me suis allongé dessus et je l’ai pénétré. Sa moule était accueillante et j’aimais bien le contraste entre l’intérieur de sa chatte rose et très mouillée et sa belle peau noire couleur de chocolat à croquer. A un moment de nos ébats, la bite de Corentin est passée près de mon visage, me provoquant un trouble bizarre. Je pensais qu’il s’agissait d’un hasard, mais sa bite restait là à quelques centimètres de ma bouche.

 

– Suce-le ! Me dit Florence, il adore aussi se faire sucer par un homme.

 

Je me mis à le sucer un petit peu, puis Florence et Monique prirent le relais et sucèrent Corentin jusqu’à ce qu’il leur jouisse sur le visage, puis elles ont chacune léché les restes de foutre sur le visage de l’autre… Je n’aurai jamais imaginé ma femme capable de ça, de sucer un mec devant moi, d’avaler son sperme, de se faire baiser parmi tant de gens et de trouver ça bien. Et encore moins d’embrasser une autre femme, de lui caresser les seins ou de lécher son visage à la recherche d’une dernière goutte de foutre. Elle s’est ensuite installée à califourchon sur le visage de Marie-Laurence pour se faire faire un nettoyage en règle. Corentin et Florence l’ont suivi et l’ont embrassée et caressée pendant ce temps. J’ai joui très vite sur le ventre de Marie-Laurence qui criait son plaisir, et les deux autres sont allées chercher mon foutre dans ses poils avant de le partager avec elle.

 

Devant ce tableau, Corentin eu vite fait de retrouver une forme correcte et moi aussi. Nous nous sommes jetés sur les femmes et avons chacun pris la femme de l’autre. Cette fois ci, Florence s’est mise au-dessus de moi, s’empalant sur ma queue. C’était un vrai plaisir de la voir vraiment, de lui embrasser les seins et le cou pendant qu’elle bougeait de plus en plus frénétiquement sur mon sexe. Corentin avait repris ma femme en levrette et je devinais à son visage qu’il y trouvait son compte, elle aussi d’ailleurs. Marie-Laurence profita de ma position pour venir s’asseoir sur moi. J’écartais d’un doigt ses lèvres pour poser ma langue sur son clito. Les deux filles se sont mises à aller et venir de plus en plus vite, haletant de plus en plus fort et nous avons joui tous les trois en même temps, je sentais de la mouille de femme me couler en même temps sur le menton et sur les couilles.

 

Ensuite elles ont échangé, Florence est venue m’embrasser et récupérer ce qu’elle pouvait de la mouille de Marie-Laurence et celle-ci est partie nettoyer ma queue de mon sperme et de la mouille de Florence. Je vis alors le visage de Monique curieusement déformé, Corentin la pilonnait toujours par derrière et je devinais que cette fois-ci, il assaillait son petit trou. Curieusement, ça ne m’embêta pas qu’elle se fasse enculer pour la première fois par un autre, mais à partir de maintenant, elle ne pourrait plus me le refuser. Avec Florence et Marie-Laurence, nous nous sommes approchés d’eux. Monique, dans un souffle, me dit qu’elle n’imaginait pas ça si bien. Je lui ai demandé de s’expliquer pour le plaisir de lui faire dire des mots cochons. Elle me dit qu’elle aimait se faire enculer et baiser par tous les trous. Je lui répondis que j’étais content que ça lui plaise, puis, encore pour le plaisir de faire un truc pervers, j’ai léché la pointe des seins de Florence en la regardant dans les yeux. Monique avait l’air de prendre du plaisir à me voir faire ça, j’étais content.

 

Lorsque Corentin a joui dans son cul, Monique a poussé un énorme cri de jouissance et s’est affalée sur le divan. Nous sommes restés là, tous les cinq, pendant quelques minutes, les uns sur les autres avant d’avoir la force de bouger, comme si le cri de Monique nous avait tous vidés de notre énergie. Marie-Laurence n’avait même pas la force de se lever pour pisser et se pissait allégrement dessus. Du coup Corentin sorti de sa torpeur et entrepris de lui lécher son ventre et ses cuisses trempées d’urine ! Quel cochon, ce Corentin. Puis nous nous sommes rhabillés et nous sommes partis. Dehors devant la boite, nous avons échangé numéros de téléphone et adresse. J’ai embrassé Florence et Marie-Laurence pendant que Corentin prenait Monique dans ses bras. Sur le chemin du retour, nous n’avons pas dit grand-chose, mais nous savions tous les deux le plaisir qu’avait pris l’autre, du plaisir pour le plaisir.

 

4 – Chez Marie-Laurence

 

Le mercredi suivant, Marie-Laurence vint manger à la maison, nous avons passé une bonne et chaude soirée et elle nous a invités chez elle pour son anniversaire le samedi suivant. Elle précisa, le sourire aux lèvres, que Florence et Corentin seraient là…

 

Le samedi, avant d’aller chez Marie-Laurence, nous sommes repassés rue Saint-Denis, effectivement, Monique avait une bonne idée de cadeau à acheter à son ami d’enfance, un double gode ceinture c’est à dire que de part et d’autre de la ceinture il y avait deux godes dont l’un pour pénétrer dans la chatte de la fille qui mettrait la ceinture. Lorsque nous sommes arrivés chez Marie-Laurence, Florence et Corentin étaient déjà là. Les filles avaient fait des efforts pour être sexy sans être vulgaires et étaient vraiment très belles. J’espérais que la soirée serait aussi sympa que la précédente. Nous avons pris l’apéro en discutant comme on le fait toujours dans ce genre de repas, rien ne laissait suggérer dans nos paroles ou dans nos gestes la séance de samedi dernier ou la partouze qui, je l’espérais, allait clôturer cette soirée-là.

 

Ce n’est qu’au dessert, après avoir bien bu, que les allusions salaces et les promesses lubriques sont apparues. Nous sommes passés au salon et Marie-Laurence a déballé ses cadeaux, la ceinture gode lui a manifestement fait plaisir, ainsi qu’à Florence qui voyait tout l’intérêt d’un ustensile de ce genre. Corentin et sa femme avaient jeté leur dévolu sur une série de sous-vêtements très excitants. Une guêpière blanche tout en dentelle, un soutien-gorge tout petit et un slip encore plus minuscule et enfin un body noir en dentelle, fendu entre les jambes et ouvert au niveau des seins de manière à ce qu’on puisse les atteindre sans être gêné. Corentin eut alors une idée lumineuse, il me regardait et dit :

 

– Viens, nous allons la préparer pour nos femmes…

 

Marie-Laurence nous a suivis jusque dans sa chambre. Nous l’avons déshabillée et caressée partout. Une fois nue, nous l’avons allongée sur le lit et pendant que je lui pétrissais et embrassais les seins, Corentin lui léchait la chatte, Marie-Laurence haletait, ondulant des hanches sous les coups de langue. Lorsqu’il s’arrêta, elle en voulait encore, mais la suite serait beaucoup plus… « orgasmique ». Nous lui avons passé le body, puis posé la ceinture, faisant bien attention que le petit bout lui entre bien au fond du minou.

 

Elle était magnifique, perchée sur des hauts talons, les seins sortant de la dentelle et une queue bien tendue entre les jambes. Nous sommes retournés au salon, Florence et Monique attendaient sagement notre retour en discutant. Elles se sont tues et Marie-Laurence a pris le commandement des opérations. Elle a ordonné à nos épouses de nous mettre à poil lentement. Ce qui fut fait de manière très sensuelle, j’ai pu remarquer que nous étions tous les deux très excités. Ensuite, sur ordre de Marie-Laurence, elles nous ont sucées. Puis nous avons dû les déshabiller et les lécher.

 

Marie-Laurence a ensuite voulu que les filles se mettent à quatre pattes sur le canapé et que nous les prenions lentement dans la chatte. J’ai enfilé ma queue dans le sexe de ma femme déjà tout chaud en regardant Florence sourire en sentant celle de son mari entrer en elle. Lentement, en suivant le même rythme, nous avons limé nos femmes, puis Marie-Laurence nous a ordonnés de nous asseoir, elle s’est mise derrière Florence et a rentré son sexe en elle. Florence grimaçait en sentant passer ce membre en plastique plus large et plus long qu’une queue humaine. Puis Marie-Laurence, en faisant une remarque sur l’utilité du gode lui rentrant dans la chatte pendant qu’elle baisait, a accéléré. Elle s’acharnait sur Florence de plus en plus vite en caressant le cul de ma femme. Elles gémissaient de plus en plus fort, Marie-Laurence enfourna un doigt dans la moule trempée de Monique qui semblait désirer aussi le gode. Un orgasme puissant arracha Florence à la queue de Marie-Laurence qui vint la planter dans Monique. Elles jouirent en même temps, s’affalant sur le canapé. Florence a enlevé la ceinture de Marie-Laurence et je l’ai aidée à se l’installer.

 

Puis elle s’est assise sur le canapé et a demandé à Marie-Laurence de venir s’installer dessus. Elle ne s’est pas fait prier, bien que ses mouvements soient lents et lourds après son orgasme. Elle s’est empalée dessus, Florence lui léchait les seins. Monique s’est emparée de ma queue et m’a conduit vers le cul de Marie-Laurence, puis plaçant mon gland sur son trou du cul serré m’a ordonné de l’enculer. Son trou était étroit, mais en y allant doucement, j’ai réussi à tout lui entrer. Marie-Laurence, la tête dans le cou de Florence étouffait des gémissements. Je sentais le gode dans sa chatte, à travers la fine paroi. Monique a ensuite attrapé Corentin et l’a conduit de l’autre côté du canapé, puis a demandé à Marie-Laurence d’emboucher sa queue bien tendue.

 

Une bite dans chaque trou, cette dernière a commencé à s’agiter, elle gémissait de plus en plus fort. Soudain, tout son corps s’est tendu, elle s’est cabrée dans un cri et est retombée sur Florence sans pouvoir bouger. Je n’avais jamais vu quelqu’un perdre connaissance d’avoir trop joui. Je l’ai portée sur un fauteuil à côté et j’ai fait signe à ma femme de s’installer. Elle ne s’est pas fait prier, mais j’ai eu du mal à lui entrer ma queue dans le cul tellement elle s’agitait sur le gode. Florence a posé ses mains sur ses fesses et les a écartées pour m’aider. Ma bite est entrée toute seule, d’un coup, Monique ne bougeait plus, elle semblait profiter de la situation. La bite de Corentin dans la bouche, la mienne dans le cul et un gode dans la chatte, elle gémissait et criait.

 

Corentin a joui le premier, déversant tout son foutre dans la bouche de ma femme qui embrassa ensuite Florence pour partager avec elle la semence de son mari. J’ai ensuite inondé les intestins de ma femme avec mon sperme et les deux filles ont joui quelques instants plus tard. Nous sommes restés longtemps sans bouger, puis Marie-Laurence s’est réveillée. Les filles l’ont emmenée dans la salle de bain. Corentin et moi nous nous doutions qu’elles allaient y faire des bêtises, Marie-Laurence pénétra la première dans la baignoire et resta debout, mais demanda aux deux autres filles de s’asseoir de part et d’autre d’elles. Puis elle se mit à pisser, aspergeant Monique et Florence d’une abondante douche dorée. Monique avait l’air très surprise, mais Florence en redemandait, recueillant même l’urine dans le creux de sa main pour la laper. Puis Marie-Laurence et Florence intervertirent leur position.

 

Corentin et moi bandions comme des cerfs, et je pensais à me jeter dans cette mêlée humide quand je sentis la main de Corentin se placer sur mon sexe chaud. Il m’invita à faire de même avec sa propre queue. Nous voici donc en train de nous branler mutuellement, moi qui traitais de pervers les deux mecs du cinéma qui faisait pareil l’autre jour ! Comme quoi il ne faut jamais dire fontaine ! Corentin se mit ensuite à genoux devant moi et se mit à me sucer, je me laissais faire, mais je n’étais pas au bout de mes surprises :

 

– Je veux que tu m’encules ! Me dit-il soudain !

 

Et sans attendre de réponse, il partit chercher un préservatif qu’il m’installa sur ma queue, il se pencha ensuite en avant et écarta ses fesses. Sans trop essayer de comprendre dans quoi je m’embarquais, je pénétrais assez facilement dans ce cul masculin que je labourais consciencieusement. C’est à ce moment-là que nos trois grâces (ou nos trois garces) sortirent de la douche et nous surprirent ! Monique faisait une drôle de bobine mais Florence prenait cela du bon côté !

 

– Regardez comme ils sont mignons !

 

Quand même, Monique n’arrivait pas encore à s’y faire !

 

– Faudra m’expliquer ! Tu as trois femmes à ta disposition, je ne suis pas jalouse, et il faut que tu aille enculer un mec ! Tu es devenu pédé ou quoi ?

– On fait bien des trucs entre nous, intervint Marie-Laurence, alors pourquoi, eux ils n’auraient pas le droit ?

– Ben oui, elle a raison, reprit Florence, regarde mon Corentin comme il apprécie, d’ailleurs je ne vois pas pourquoi le plaisir anal serait réservé aux femmes !

– Bon, bon ! Admit Monique !

 

Excité par l’étrangeté de la scène et par les encouragements des filles, je me mis à décharger dans le cul de Corentin qui ânonnait de plaisir. C’est alors que je vis Marie-Laurence s’harnacher à nouveau avec son gode ceinture et s’approcher subrepticement de moi !

 

– Hé ! Qu’est-ce que tu fabriques ? Lui demandais-je

– Je ne fabrique rien, je vais t’enculer !

– Alors, là certainement pas ! Protestais-je

– Allez les filles on l’attrape !

 

Je vis débouler alors Florence ce qui n’était pas une surprise mais aussi ma femme, ce qui en était une, aidées par Corentin ils m’immobilisèrent. Je ne luttais plus, puisqu’elles voulaient que je passe à la casserole, je me laissais faire et sentit bientôt le bout de caoutchouc du gode forcer mon petit trou, y pénétrer, et me limer !

 

Après un petit moment où je n’avais qu’une envie, c’est que ça finisse, je me mis à apprécier ce qu’elle me faisait et mon corps s’envahit de délicieuse vibrations

 

– Alors qu’est-ce que ça te fait ? Demanda Monique devenue curieuse.

– Ce n’est pas désagréable !

– Je continue ? Demanda l’antillaise

– Oui !

– Tu vois, tu es un enculé !

– Si tu veux !

Après cinq bonnes minutes de ce traitement, Marie-Laurence me retira le gode et se mit devant mes yeux ébahis à le lécher avec gourmandise.

 

– Ben quoi, il y a juste un peu de merde ! Ce n’est pas mauvais.

– Tu me fais goûter ? Demanda Florence.

 

Alors là, je sais que l’excitation aide parfois à briser les tabous, mais je ne pensais pas que ces deux belles gouines iraient jusque-là.

 

– Hum c’est bon ! Dommage il n’y avait pas grand-chose. Commente Marie-Laurence

– Attend ! Répond Florence en mouillant son doigt et en me l’introduisant dans le cul.

 

En le ressortant, elle le donne à sucer à l’antillaise qui s’en délecte comme s’il s’agissait d’un esquimau au chocolat.

 

– Tu en veux un peu ? Demande-t-elle à Monique.

– Non, non ce n’est pas mon trip.

– Embrasse-moi alors !

– Après ce que tu viens de faire ? Non, je ne suis pas prête pour ce genre de truc, un jour peut-être.

 

Elles eurent l’intelligence de ne pas insister.

 

– Vous faites ça souvent ? Demanda-t-elle néanmoins

– Souvent, non, mais ça nous est arrivé ! Répond Florence ! L’autre fois Marie-Laurence à chié devant nous, un bel étron, vraiment bien moulé, très joli, et je lui ai nettoyé le cul avec ma langue ! C’était génial !

 

Pourquoi est-ce que je bande en écoutant ces conneries, moi ?

 

Après tout cela on a tous pris une douche (une vraie) et on s’est rhabillés. Nous sommes partis après avoir invité nos joyeux complices le mois suivant à la maison.

 

5 – Poses photos

 

Après ce jour-là, nos ébats ont été grandement stimulés, nous parlions beaucoup pendant l’amour, et nous étions plus pervers et plus directs. Mais ce qui m’a vraiment étonné, c’est quand, deux semaines après, Monique est rentrée un soir et m’a montré une annonce. Un photographe cherchait des modèles pour faire des photos pornos rémunérées. Un Euro la photo, ce n’est pas beaucoup, mais les séances peuvent être amusantes. Monique, les yeux pleins d’envie demanda à ce que l’on réponde à cette annonce.

 

– Encore une séance de cul amusante, pensais-je,

 

Alors j’ai accepté à condition qu’elle s’occupe de tout. Elle s’est effectivement occupée de tout et le photographe vint trois jours plus tard. Vers 20 heures, j’allais ouvrir après son coup de sonnette et je découvrais une assez jeune femme, dans les 20 ans, brune typée et assez jolie avec un corps que je devinais parfait sous sa longue robe. Elle portait deux gros sacs de reporter et une valise en métal brillant.

 

– Bonjour, dit-elle, je m’appelle Rachida.

 

Je la détaillais un peu plus précisément.

 

– Bonjour, vous êtes le photographe ?

– Oui, pourquoi, je n’en ai pas l’air ? Répondit-elle en souriant.

 

Je la fis entrer d’un geste.

 

– Et bien… Disons que je m’attendais plus à voir apparaître un vieil homme à l’air vicieux et pas une jolie femme…

 

Elle rit et posa son matériel dans le salon, découvrant la pièce d’un regard intéressé. Monique arriva, aussi étonnée que moi de découvrir le sexe du photographe. Rachida nous expliqua qu’elle prenait beaucoup de plaisir à faire des photos d’ébats amoureux et qu’elle se servait de son métier pour vivre ses fantasmes. Elle nous inspecta brièvement, puis nous trouvant manifestement à son goût, elle déballa son matériel. Cela fait, elle accepta un café que Monique venait de préparer et nous expliqua notre rôle. Je devais tout d’abord aller mettre un pantalon en toile, une chemise et une veste. Monique devait s’habiller sexy avec une longue jupe, un chemisier et des escarpins, et porter en dessous des sous-vêtements blancs ou bleu bien affriolants. Le temps que nous allions nous changer, elle avait transformé le salon en studio.

 

Elle expliqua ensuite le scénario, je devais jouer un représentant en sous-vêtements, arriver à la maison avec une valise dans laquelle j’aurais mis des sous-vêtements. J’allais les faire essayer à Monique, ma cliente, puis lorsqu’elle verrait mon excitation, elle devrait la soulager… Nous fîmes une photo de moi à l’entrée de la maison, ma valise à la main. Puis une autre ou je déballais des culottes et des soutien-gorge à Monique, qui devait rougir en les voyant. Après cinq ou six photos d’approche, elle me fit signe de venir près d’elle. Tout en expliquant la prochaine photo, elle descendit ma braguette et sortit ma queue. Je voyais sa main caresser mon sexe et il ne mit pas beaucoup de temps à prendre une épaisseur très correcte. Elle le rangea dans mon pantalon avec un sourire et me dit de m’asseoir, les jambes un peu écartées de manière à ce que l’on voie ma bite sous le tissu fin du pantalon.

 

Monique dut ensuite poser sa main sur la bosse de mon pantalon. Clic.

 

Puis sortir ma bite par la braguette. Clic.

 

Puis la prendre dans sa bouche. Clic.

 

Passer sa langue sur la longueur. Clic. Clic.

 

Et ensuite enlever ma ceinture et baisser mon pantalon. Clic.

 

La pipe dura un bon moment le temps que Rachida trouve à chaque fois une bonne position pour prendre la photo. Pendant qu’elle se déplaçait, je la voyais souvent passer sa main sur son entrejambe. Lorsque je fus nu, elle nous fit prendre une pose, enlacés, Monique contre la table en chêne de la salle à manger. Puis allongée, la jupe relevée jusqu’à la taille. Clic

 

Ma bouche sur le tissu blanc de son string. Clic

 

Le string enlevé dans la même position. Clic

 

Ma langue sur sa chatte. Clic.

 

Monique était très excitée. Je lui entrais un doigt tout en goûtant son clitoris. Clic. Clic.

 

Je la léchais avec le plat de la langue. Clic.

 

J’entrais le bout de ma langue dans sa chatte et commençait à espérer de pouvoir la baiser. Elle nous fit arrêter, Monique devait me pousser vers le canapé et se déshabiller complètement puis venir se fourrer ma queue dans la chatte. Clic. Clic. Clic.

 

Elle était accroupie sur ma queue, bougeant le cul pour bien se la mettre au fond. Clic. Clic.

 

Rachida était le plus près possible du cul de ma femme, je sentais sa présence entre mes jambes. Clic

 

J’ai pris les fesses de Monique et les ai écartées pour ne rien cacher à l’appareil. Clic

 

Elle m’a dit de lécher les seins de ma femme. Clic.

 

Puis elle a demandé à ma femme de se retourner. Clic.

 

Monique, empalée sur ma bite me tournait le dos. Clic.

 

Gémissant, elle allait de plus en plus fort. Clic.

 

Rachida lui a demandé de se toucher la chatte pendant que ma queue la fouillait. Clic. Clic.

 

Puis elle a demandé à ma femme si elle voulait bien se faire enculer, cette dernière ne s’est pas fait prier. Elle s’est levée puis rassise lentement, je tenais ma queue pour qu’elle lui entre dans le cul. Clic

 

Les jambes bien relevées pour tout montrer à l’appareil, Monique était assise sur moi, ma bite au plus profond dans son petit trou. Clic. Clic. Clic.

 

Voyant que je n’y tenais plus, Rachida m’a demandé d’éjaculer sur les seins de ma femme. Clic

 

Nous nous sommes mis en position. Clic

 

– J’adore voir du sperme sur les seins a-t-elle dit. Clic

 

J’ai éjaculé. Clic.

 

Lui inondant la gorge. Clic.

 

La vallée entre ses mamelons tout durs. Clic.

 

Le bout des seins. Clic.

 

Rachida était maintenant tout près de nous, après un dernier clic, elle a étalé mon foutre sur la poitrine de ma femme, la caressant avec le sperme. Puis se levant et nous tournant le dos, je vis qu’elle léchait sa main comme une gourmande qui s’est mise du chocolat plein les doigts. Nous nous sommes rhabillés, elle semblait contente de la séance. Elle nous a remercié chaleureusement, puis est partie en nous promettant de revenir la semaine suivante nous montrer les photos et nous payer.

 

6 – Séance de projection

 

Pour la séance de projection, nous avions invités Corentin, Florence et Marie-Laurence. Lorsque Rachida est arrivée, elle a eu l’air surpris de voir tant de monde et n’a pas osé nous parler des photos. Monique l’a emmenée à l’écart et lui a expliqué que nous n’avions plus rien à cacher à nos trois amis. Rachida a allumé son ordinateur portable et a commencé à faire défiler les photos en diaporama. A la photo où Monique me caresse la queue, je me suis penché vers Rachida et je lui ai susurré à l’oreille :

 

– Ça recommence… Tu peux peut-être faire quelque chose pour moi ?

 

J’ai attrapé sa main et je l’ai glissé vers ma braguette qu’elle a ouverte. Tout en passant les photos, elle m’a branlé la queue. Vers la fin de la séance, j’allais bientôt jouir, elle s’est baissée et a reçu mon foutre dans la bouche… Ensuite, nous avons rallumé la lumière, Rachida arborait un grand sourire, et les autres filles qui n’avaient pas manqué notre manège avaient l’air contentes aussi. Elles se sont mises à questionner Rachida sur ses habitudes sexuelles. Les questions étaient si crues qu’elle rougissait, mais elle a tout de même répondu. Elle nous a ainsi avoué qu’elle aimait parfois être dominée. Vers onze heures, Marie-Laurence lui a ordonné d’un ton très dur :

 

– Met toi à poil, on va voir comment tu es faite et si une nouvelle comme toi supporte des trucs de grande…

 

Rachida s’est exécutée. Les trois filles se sont prises au jeu.

 

– Mais c’est qu’elle est pas mal foutue finalement !

 

Elles l’ont examiné comme du bétail.

 

– Pas très poilue… Tu t’épile ?… Réponds quand on te parle !

– Oui…

 

Même Monique arrivait à garder son calme et à avoir l’air méchant. Corentin et moi nous sommes servis un verre et avons regardé le spectacle. Rachida, nue, devant trois femmes plus âgées de dix ou quinze ans avait vraiment l’air d’une très jeune fille. Le visage rouge mais les seins durcis, elle devait être excitée aussi. Elles recommencèrent les questions :

 

– T’aime sucer des bites ? Te branler ? Avaler le sperme ? Te faire baiser ? T’as déjà léché une chatte ?

 

Rachida regardait ses pieds et répondait à l’affirmative.

 

– T’es une jeune salope ?

– Oui !

– Tu fais ça pour le plaisir ou pour l’argent ?

– Pour le plaisir, amis si on me donne de l’argent je ne le refuse pas..

– T’as déjà baisé avec plusieurs personnes ?

– Oui !

– Et tu voudrais le refaire ?

– Oui !

 

Les filles étaient déchaînées, les questions fusaient, Rachida rougissait encore.

 

– On t’a déjà attachée ?

– Non ! Et je ne veux pas qu’on me le fasse.

– On t’a déjà pissé dessus ?

– Ben oui !

– Et caca ?

– Oui, une fois !

– Tu t’es déjà fait enculer ?

– Bien sûr !.

– Tu voudrais, maintenant ?

– Oui.

– Va voir les mecs et supplie-les de t’enculer !

 

Elle s’est approchée de nous et nous a timidement demandé de l’enculer. Nous nous sommes regardés.

 

– Pas ce soir, a répondu Corentin.

– Je vous en prie, je voudrais me faire enculer, j’en ai envie…

 

Rachida s’est mise à genoux.

 

– Si t’es gentille ce soir, on t’enculera la prochaine fois…

 

Finalement ce jeu m’amusait aussi…

 

– Je veux bien être gentille…

 

Elle se prenait aussi au jeu. Les filles sont venues la relever. Puis se sont déshabillées, Marie-Laurence a fait signe à Florence et Monique de s’asseoir près de nous et s’est elle-même assise sur le fauteuil en face du canapé. Elle a écarté les jambes et a tendu la main vers Rachida qui s’est approchée et s’est agenouillée entre ses jambes. Puis elle a penché la tête vers la chatte offerte. De l’endroit où j’étais assis, je voyais la tête de Rachida bouger entre les jambes de Marie-Laurence et son cul bien fait. Marie-Laurence a été longue à jouir, mais la jeune femme ne s’est pas plainte, elle a léché jusqu’à ce que Marie-Laurence explose sur sa langue. Puis Marie-Laurence s’est levée et Florence l’a remplacée. Rachida a continué à lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour, et enfin, Monique est allée s’asseoir sur le fauteuil. Et Rachida l’a amenée à la jouissance avec sa langue et ses doigts.

 

Elle a dû lécher sans s’arrêter pendant plus d’une heure ! Corentin l’a fait asseoir sur le fauteuil et l’a léché à son tour jusqu’à ce qu’elle jouisse, mais ça n’a pas été trop long. Ensuite les filles l’ont emmenée prendre une douche, et comme la dernière fois Corentin et moi nous avons maté, nous régalant, la bite tendue, de la douche dorée que les trois filles infligèrent à la mignonne petite beurette. Cette fois ci c’est moi qui pris l’initiative de branler la belle queue de Corentin et de la prendre dans la bouche. J’aurais bien voulu qu’il m’encule, cette expérience me manquait, mais je suis timide je n’ai pas osé lui demander.

 

7 – Week-end en bord de la mer

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Après cette soirée, nous n’avons pas revu nos amis pendant deux mois. Les impératifs de chacun nous ont empêchés de nous réunir. Mais nous nous appelions régulièrement et nous avons fini par combiner un week-end dans une maison au bord de la mer. Nous devions nous rejoindre là-bas le vendredi soir. Marie-Laurence qui s’était occupée de tout avait même réussi à joindre Rachida. C’était une belle maison des Côtes d’Armor en Bretagne. Nous sommes arrivés juste après Marie-Laurence. Florence. Rachida et Corentin arriveraient un peu plus tard. Le temps n’était pas beau et la mer déchaînée, nous avons fait un feu dans la cheminée et préparé à manger.

 

Lorsque les trois derniers sont arrivés, Rachida avait l’air plus sûre d’elle, un peu comme si elle était maintenant intégrée dans le groupe. Il faut dire qu’après de coup de la dernière fois, il ne pouvait plus lui arriver grand-chose. Après le repas, Corentin et moi avons fait la vaisselle. Les filles avaient exigé que nous la fassions déguisés en femmes. Elles nous ont alors maquillés le visage, rouge à lèvres et fard à paupières compris, puis elles nous ont fait mettre à poil et habillé d’un simple tablier. Cela les a distraits quelques minutes, puis elles nous laissèrent. On s’est alors amusé en se passant les plats à se frôler bite contre fesses et nous n’avons pas tardé à bander sérieusement. C’est Corentin qui craqua le premier, et jetant le tablier me tendit sa bite en me demandant de la sucer. Je pris son beau sexe dans ma bouche et lui suçais tout, le gland, les couilles, la verge, en me régalant de cette texture si douce. Comme il voulait me sucer aussi, on s’est étalé sur le carrelage un peu froid de la cuisine et nous avons fait un soixante-neuf. Je m’apprêtais à demander à Corentin de m’enculer mais nous avons été interrompus par l’arrivé des femmes :

 

– Encore s’écria Marie-Laurence ! Tout à l’heure vous nous ferez un petit spectacle mais en attendant il y a du boulot.

 

Les quatre femmes avaient décidé que nous dormirions tous dans le salon. Nous avons donc descendu tous les matelas de la maison après nous être assurés que nous serions récompensés de nos efforts. Puis Rachida a sorti deux grosses valises desquelles elle a sorti quatre caméras. Je crois qu’elle était de mèche avec Marie-Laurence pour préparer ce coup-là. Elle a embauché Corentin pour les installer, chacune dans un coin de la pièce et nous a expliquée qu’elle ferait un montage des meilleurs moments de ce séjour.

 

Lorsqu’ils eurent fini, elle sortit encore une surprise de sa valise : ses meilleures photos sur son ordi… Nous nous sommes installés confortablement, mais pendant le diaporama, personne n’a osé prendre l’initiative. Certaines de ses photos étaient très réussies. Toutes montraient un couple faisant l’amour, dans toutes les positions, sous toutes les coutures. A un Euro la photo, il y en avait pour une petite fortune…

 

Après ce hors d’œuvre, ma foi très appétissant, Corentin et moi avons proposé aux filles de faire un concours de strip-tease où nous ferions office de jury. Ces effeuillages nous ont tous excités et après que la dernière soit passée, elles se sont toutes jetées sur nous. Florence et Rachida se sont précipitées sur moi, laissant Corentin à Marie-Laurence et Monique. Elles m’ont allongé et Rachida s’est assise sur mon visage et avant que j’aie pu commencer quoique ce soit, elle s’est mise à me pisser abondamment dessus. Je fus d’abord surpris puis me laissais prendre au jeu en avalant de larges goulées de ce bien curieux breuvage.

 

– C’est Florence qui m’a demandé de te pisser dessus, elle est tellement gentille que je n’ai pas osé refuser !

 

Une fois son pipi terminé, j’ai commencé à donner des coups de langues à sa chatte qu’elle tenait ouverte avec une main, et j’ai senti Florence enfourner ma queue. Rachida s’est penchée pour la rejoindre et elles se sont partagé mon bâton. Le jus de Rachida me coulait dans la bouche, je caressais ses fesses dures et douces.

 

A côté de moi, Marie-Laurence et Corentin se partageaient la moule de ma femme, donnant chacun son tour un coup de langue sur son petit bouton. Puis ils ont échangé, je regardais ma femme lécher une autre femme et j’ai failli avoir un orgasme juste en pensant à ce concept. Florence et Rachida avaient délaissé ma queue pour se fourrer la langue dans la bouche, je me suis dégagé et j’ai forcé Rachida à s’allonger. Puis, mettant un doigt dans son trou humide, j’ai fait signe à Florence de goûter ce nectar. Des halètements commençaient à se faire entendre. Du jus de femme me coulait sur la main, j’ai fait coulisser mon doigt dans son minou, puis je l’ai présenté devant les lèvres de Florence qui l’a enfourné en soupirant de plaisir. Rachida a attiré mon attention et m’a dit qu’elle voulait sentir ma bite. Je me suis installé entre ses jambes, Florence a attrapé mon sexe tendu et l’a posé à l’entrée de la chatte de Rachida, puis elle a imprimé un mouvement lent et ample à mes reins. Ma queue est entrée lentement et facilement dans ses chairs.

 

A côté, il se passait quelque chose de bizarre, Monique avait passé le gode-ceinture et baisait Marie-Laurence par-dessous pendant que Corentin lui bouffait le petit trou à grands coups de langue. J’ai eu envie d’enculer cette petite salope de Rachida, je me suis retiré d’elle et je lui ai dit de se retourner. Elle l’a fait, mais ses yeux montraient bien qu’elle n’était pas rassurée. Florence s’est allongée sous elle et s’est mise à lui parler pour la rassurer, puis elle a écarté ses fesses avec ses mains. Plongeant une dernière fois ma queue dans sa moule pour bien la lubrifier, j’ai posé mon gland sur la rosace de son petit trou.

 

Lentement, très lentement, je l’ai pénétrée. Son trou du cul m’opposait une certaine résistance, mais je savais que j’y arriverais. Deux ou trois fois, Rachida s’est raidie, mais j’ai continué, et lorsque tout mon sexe fut entré dans son rectum elle poussa un soupir de soulagement. Les autres s’étaient arrêtés pour assister au spectacle. Les trois filles murmuraient des encouragements à Rachida. Je suis ressorti pour y retourner tout aussi lentement. C’est une baiseuse née, son cul s’est tout de suite habitué à ma queue et j’ai pu accélérer. Elle raidissait les cuisses pour que je puisse entrer le plus profond possible. Du coin de l’œil, j’ai vu ma femme la regarder avec envie. Marie-Laurence s’est mise à sucer Corentin qui l’a repoussée pour proposer sa bite à Rachida. Il se faisait sucer par Rachida, les yeux fermés et Florence lui léchait les couilles. Monique s’est occupée de Marie-Laurence.

 

J’ai continué à défoncer le cul de ma petite salope. Elle haletait, étouffée par le mandrin de Corentin, mais elle avait l’air d’aimer ça. J’ai encore accéléré, elle répondait maintenant à mes coups de boutoir en lançant son cul vers moi, en rythme. J’ai vu Corentin jouir, sûrement dans sa bouche, et elle a joui à son tour, poussant de grands cris. Je sentais son anus me serrer de plus en plus fort. J’ai joui aussi, je lui ai inondé l’intestin. Après moi, Marie-Laurence est arrivée aussi à l’orgasme sous la langue de ma femme. Je me suis allongé sur Rachida, la queue toujours à l’intérieur et je me suis endormi. Lorsque je me suis réveillé, j’étais toujours sur Rachida qui dormait, Marie-Laurence dormait dans les bras de Corentin, mais Monique et Florence n’étaient plus là. J’ai embrassé Rachida qui s’est réveillée. Elle s’est levée pour prendre une douche et je l’ai accompagnée.

 

Le lendemain matin, les quatre filles se faisaient bronzer à poil dans des chaises longues

 

Joli spectacle que ces quatre belles femmes les jambes écartées, la chatte à l’air, toutes différentes, Rachida la beurette, Florence la blondinette… Marie Laurence sans se préoccuper des autres commençait à se frotter la chatte de sa main droite tandis que sa main gauche pinçait son gros téton.

 

Et voilà que le labrador du voisin, probablement passé par un trou du grillage se radine et se pavane devant ses dames en agitant sa queue.

 

Il s’approche de Marie Laurence qui tend la main pour l’éloigner. Mais le chien ne comprend pas le geste, prend ça pour une invite et lèche la main de la grande brune qui se laisse faire. Faut dire que sa main était pleine de mouille. Sauf qu’au bout d’un moment il n’y a plus rien à lécher, le chien se déplace alors légèrement et approche sa truffe de la chatte la femme !

 

– Mais qu’est-ce que tu nous fais ! Sale bête !

– Laisse le il ne va pas te manger ! intervient Marie-Laurence !

– Mais il veut me lécher la chatte !

– Et ben laisse toi faire tu n’en mourras pas !

– Quelle langue il a ! Je me fais lécher par un chien, je suis vraiment une salope !

 

Florence se pâme de plaisir sous la langue du chien, Marie Laurence veut essayer à son tour et s’approche du chien, mais ma femme lui brille la politesse et offre sa chatte à lécher au toutou..

 

– Vous avez-vu comme il bande ! S’exclame Marie Laurence

– Et alors ? Répond Florence, tu ne vas tout de même pas le sucer ?

– Si, j’essaierais bien.

 

Le chien s’est retrouvé sur le côté, Marie-Laurence reprend son souffle et commence à sucer la bite du chien. Elles sont trois autour de la bête, Rachida ne voulant pas se sentir larguée arrive à son tour et participe à l’orgie.

 

Le chien finit par éjaculer, puis s’en va peinard regagner son territoire.

 

– Dommage ! Dit Florence, je me serais bien fait sauter !

– Par le chien !

– Ben oui ! En attendant je vais faire caca, tu viens ?

– T’as besoin de moi ?

– Oui, il y a longtemps que tu ne m’as pas nettoyé le cul après mon caca.

– Alors j’arrive !

 

Florence s'est éloigné d'une dizaine de mètres et s'est accroupie, chiant un joli colombin sur la pelouse.


- Alors ? demande-t-elle.

- C'est un joli boudin !


Complètement excitée, Marie-Laurence le ramasse, l'approche de sa bouche et d'un air de défi lui donne un rapide coup de langue.


- T'es vraiment une salope !

- A ton tour de lécher.

 

- Si tu crois que je vais me dégonfler ! Répondit Florence en imitant le geste de sa copine.

 

Nous avons passé tout le week-end à baiser comme des fous. Les quatre salopes en demandaient toujours plus. Rachida a pris beaucoup de photos. Je suis rentré très fatigué…

 

8 – Activités professionnelles

 

– J’aime bien ton histoire, qu’il me dit le Marcel

– Ça t’excite ? Hein ! Obsédé !

– Non, ce n’est pas ça ! Mais ce que tu racontes c’est sain, je veux dire tout le monde est d’accord, ce que je n’aime pas c’est les histoires où il y a de la contrainte, mais toi c’est pas ton genre !

– Tu sais, je ne suis pas un saint !

– Il n’y a pas de saint, mais pourquoi tu dis ça ?

– Parce que justement une fois, et c’est un peu la suite de cette histoire, j’ai baisé une femme par la contrainte, je n’en suis pas fier du tout, mais bon je me suis rattrapé après, enfin c’est ce que je me dis pour me donner bonne conscience !

– Raconte !

– Je t’ai dit que j’en étais pas fier !

– Faute avouée est à demi pardonné, et j’ai l’impression que tu n’es pas si méchant que ça !

 

Ça s’est passé la semaine suivante, au boulot. Le Directeur n’étant pas là, je le remplaçais pour un entretien d’embauche avec un informaticien, je ne savais pas qu’il aurait de si jolies jambes cet informaticien… Cette très jolie jeune femme se prénommait Li-Anne. Elle était métissée asiatique avec les yeux en amande et un corps élancé. Elle portait un tailleur clair, un chemisier et des petites chaussures à talons. Elle était vraiment très bien faite et je dois dire que ses grands cheveux raides et ses lunettes m’attiraient encore plus. Nous avons discuté du poste et de son CV, mais au bout d’un moment, je me suis lancé :

 

– Vous savez que vous n’êtes pas la seule personne que je vais rencontrer cette semaine pour ce poste ?

– Oui, j’imagine qu’il est très demandé…

 

Elle me regardait un peu étonnée

 

– Et pourtant, vous me plaisez, vous êtes jolie !

 

Elle rougit, j’enfonçais le clou :

 

– Et vous avez l’air de savoir ce que vous valez…

 

Je laissais ma phrase se terminer en la fixant. Elle prit l’air de quelqu’un qui vient de faire un choix crucial et me répondit :

 

– Je suis prête à tout pour ce poste, j’en ai besoin !

– Vraiment tout ?… Vous êtes mariée ?

 

Ce que je fis me déplus, j’abusais de ma position et ma question l’assomma, elle venait de vraiment réaliser où je voulais en venir. Je faillis revenir en arrière, mais je ne fis pas et elle me balbutia un « oui » peu convaincu. Je ne pus m’empêcher de relancer :

 

– Vous ne portez pas d’alliance pourtant…

 

Elle ne savait plus quoi répondre, et comme un salaud je profitais de la faiblesse de ma proie :

 

– Mais si vous promettez d’être gentille, je crois que je pourrais vous avoir ce poste.

– C’est dégueulasse ce que vous faites !

 

Elle pleurait presque.

 

– Je ne vous force pas ! Vous êtes libre ! Vous n’êtes pas obligée ! Et si vous ne faites rien vous aurez peut-être ce poste quand même, mais disons que vous aurez plus de chances si vous êtes coopérative…

 

Elle ne répondait pas, j’ai fait le tour du bureau et je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés.

 

– Vous aimez bien ça, non ?

 

Elle ne répondit toujours pas, mais elle me fit un sourire que je pris pour un encouragement, et alors que je ne m’y attendais absolument pas, je reçus une superbe baffe en pleine poire. Et avant que j’ai pu réagir j’en reçu une deuxième. Alors elle se leva, et se dirigea vers la sortie !

 

– Revenez, vous avez le poste ! Lui criais-je

 

Elle stoppa sa course :

 

– Non ? Vous plaisantez !

– Pas du tout, je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris, je crois que je ferais n’importe quoi pour me faire pardonner !

– Bon, alors d’accord, je suis d’accord pour oublier cet épisode.

– D’accord !

– Remarquez, j’ai failli me laisser faire !

– N’en parlons plus !

– On en parlera plus, mais pour l’instant j’ai envie de parler… Je voulais ce boulot à tout prix, même à celui-là, et puis j’ai réalisé que si je disais « oui » une fois, ça n’arrêterait plus !

– Je ne peux même pas vous dire que vous avez tort… parfois on ne sait pas comment on réagit !

– Ne culpabilisez pas, je suis aussi salope que vous, puisque j’ai envisagé de céder !

– Et maintenant que vous êtes embauché, que nous savons que nous pouvons être abjects tous les deux, puisque nous avons su nous arrêter à temps, si nous faisions l’amour comme ça, pour rien, juste pour le plaisir ?

– Vous êtes complètement fou !

– Je sais, laissez tomber !

– Non, revenez près de moi !

 

De nouveau, je me suis accroupi devant elle. Elle m’a regardé. J’ai posé mes mains sur ses genoux, que j’ai un peu écartés. Et d’elle-même, elle les écarta un peu plus.

 

– Ça se voit que tu aimes ça !

 

Nous nous sommes embrassés, mes mains sont passées dans la veste de son tailleur et je le lui ai enlevé. Elle s’est levée pour se coller contre moi. J’ai enlevé aussi sa jupe et son chemisier, il ne lui restait plus qu’un tout petit slip qui lui entrait dans la raie des fesses et un soutien-gorge qui maintenait ses petits seins en poire. Je l’ai écartée et j’ai ouvert mon pantalon, sortant ma queue. Puis, la tenant par les épaules, je l’ai forcée à plier les genoux

 

– Je suis sûr que tu aimes ça aussi, avoir une bite dans la bouche !

 

Pour seule réponse, elle a englouti mon sexe, serrant bien ses lèvres sur le manche. Elle le prenait bien au fond, jusqu’à sa gorge et, ses mains libres, enleva mon pantalon et mon caleçon. Elle me pompait le dard d’une manière très franche, caressant mes couilles d’une main et sa chatte de l’autre. Sa langue passait dessus, dessous, sur tout le long. Lorsque j’en ai eu assez, je l’ai relevée et elle s’est penchée sur mon bureau.

 

– Mets la moi bien au fond…

– Depuis que j’ai rencontré ma première bite, j’ai toujours aimé ça

 

Je lui enfournai ma bite dans sa moule bien lubrifiée. Son minou était serré, mais habitué à se faire pilonner. Je l’ai attrapé par les hanches et j’ai accéléré. Ses halètements se mêlaient aux bruits de succion de sa chatte. Elle m’encourageait, me disait que ma bite lui faisait du bien et que finalement je ne devais pas être si méchant que ça, qu’elle était contente de son choix. De mes mains, j’ai écarté ses fesses et j’ai caressé son anus d’un doigt. Elle répondait maintenant par des coups de reins, engloutissant ma queue le plus possible. Je sentais qu’elle allait venir, son vagin se resserrait par à-coups sur ma bite. J’ai accéléré encore et, au moment de sa jouissance, j’ai enfoncé le majeur sans ménagement dans son cul, elle a crié encore plus fort. J’ai tout de suite giclé au fond de sa chatte, crispé contre le bureau. Nous avons repris notre souffle et nous sommes rhabillés, puis nous avons rempli les formulaires d’embauche. Au moment de la raccompagner, nous nous sommes embrassés et je lui ai donné ma carte de visite. Elle m’a alors confirmé qu’elle était célibataire, expliqué qu’elle était dans un hôtel (elle vient de province) et je lui ai proposé de l’héberger jusqu’à ce qu’elle trouve un appartement.

 

9 – Hébergement

 

Li-Anne a accepté ma proposition et nous sommes partis tous les deux dans ma voiture vers son hôtel où nous avons refait l’amour, puis à la maison. En chemin, je lui dis que j’étais marié, elle m’a regardé comme si j’étais un mutant et j’ai fini par lui dire qu’elle serait bien à la maison. Arrivés là-bas, Monique nous a ouvert avec un grand sourire.

 

– Bonjour ma chérie, je te présente Li-Anne, qui est nouvelle au boulot et à qui j’ai proposé d’habiter un peu à la maison.

 

Monique a continué à sourire, a salué Li-Anne mais n’a rien répondu. Une fois installés au salon, je leur ai servi un verre. Puis après un petit moment de silence, Monique a regardé Li-Anne dans les yeux et m’a demandé à brûle pourpoint :

 

– Elle suce bien ?

 

Li-Anne a rougit fortement, baissant les yeux. Voyant la lueur amusée dans les yeux de ma femme, j’ai répondu :

 

– Divinement… Li-Anne ma chère, veux-tu lui montrer ta technique ?

 

Elle m’a regardé encore plus étonnée. Monique s’est levée et est venue me déboutonner le pantalon. Puis, une fois ma bite sortie, elle a regardé Li-Anne qui ne savait vraiment plus à quel saint se vouer. Finalement, elle s’est penchée vers ma queue et, sous le regard inquisiteur de ma femme, elle a embouché ma bite encore molle et l’a amenée à une fermeté plus convenable. Monique lui souriait et s’est mise à lui caresser les cheveux.

 

– Ne t’inquiète pas ma belle, si tu es ici c’est que tu aimes ça, mais nous n’abusons pas… Nous partageons les plaisirs du corps avec ceux qui aiment.

 

Li-Anne a relevé la tête, lui a souri et s’est remise à son noble ouvrage : me tailler une pipe. C’est alors que le téléphone s’est mis à sonner. J’ai répondu. Lorsque j’ai eu raccroché, j’ai expliqué à Monique :

 

– C’est Rachida, son frère est tombé sur le film du week-end en Bretagne et l’a mise dehors dans une fureur noire, je vais la chercher… Li-Anne, tu vas avoir une copine de chambre.

 

Je me suis levé sans la laisser finir. J’ai vu dans les yeux de ma femme qu’elle prendrait bien ma place, mais je ne suis pas resté pour vérifier, j’ai sauté dans la voiture pour aller chercher Rachida. Celle-ci était en pleurs en bas de son immeuble, toutes ses affaires à côté d’elle. J’ai tout mis dans le coffre et je l’ai ramenée à la maison. Elle pleurait :

 

– Il a regardé la vidéo de Bretagne… Il est tombé juste au moment où vous m’avez prise tous les deux, toi et Corentin… Ça l’a mis dans une fureur dingue, il m’a crié qu’il n’y aurait pas de pute sous son toit et m’a dit de partir. Alors il est allé dans ma chambre et a jeté mes affaires dans le couloir. Juste mes vêtements, il a gardé mon ordi…

 

– Encore un hypocrite, ce mec ! On va t’accueillir à la maison tant que tu en auras besoin, ne t’inquiète pas.

 

J’ai fait ce que j’ai pu pour la consoler. Lorsque nous sommes arrivés, elle était calmée et il faisait nuit. Li-Anne et Monique étaient devant la télé, pleurant comme des bêtasses devant un film triste… Je leur ai laissé Rachida et j’ai débarqué ses affaires directement dans la chambre qu’elle allait partager avec Li-Anne. Quand j’ai eu fini, ça allait mieux, Li-Anne et Rachida avaient fait connaissance. Monique était en train de leur raconter le jour où elle s’était fait virer de chez elle et où je l’avais recueillie.

 

Le lendemain, je travaillais et je ne les ai revues toutes les trois que dans la soirée. Elles avaient l’air de bien s’entendre et de s’amuser. Je les ai emmenées au cinéma et au restaurant. Arrivés à la maison, nous avons pris un thé et Li-Anne (qui n’avait peut-être pas encore tout compris) a demandé ce qu’il avait de spécial ce week-end en Bretagne. Rachida a éclaté de rire lui a montré la copie du film sur son téléphone. Nous nous sommes installés devant la télé. Le début de la vidéo ressemblait à n’importe quel film souvenir, mais lorsque l’image est passée sur tout le monde en train de baiser, j’ai vu Li-Anne rougir. Mais lorsqu’elle a vu à l’image Rachida brouter la chatte de Florence, j’ai cru qu’elle allait partir en courant. Les filles l’avaient vu aussi, Monique s’est levée et est venue derrière elle pour lui masser les épaules, Rachida qui était assise à côté d’elle a posé la main sur sa cuisse.

 

Li-Anne avait l’air ne pas arriver à détacher son regard de la télé où l’on voyait maintenant Monique sucer Corentin. J’ai accéléré la bande jusqu’à ce que la caméra revienne sur Rachida qui, cette fois, léchait Marie-Laurence en mettant un doigt dans sa chatte. La main de Rachida pelotait maintenant les seins de Li-Anne, se faufilant sous son Tee-shirt. Monique lui caressait les épaules et le cou. Ses mains sont venues remplacer celles de Rachida qui sont descendues vers les cuisses de Li-Anne. Elles l’ont déshabillé et se sont déshabillées. Li-Anne ne réagissait pas, elle regardait le film que je veillais à laisser sur des scènes de sexe. Monique m’a demandé d’éteindre la télé et elles ont fait allonger Li-Anne. Puis elles se sont penchées toutes les deux sur elle, dévorant son corps avec la langue.

 

Je me suis mis nu aussi et j’ai commencé à me branler devant ce spectacle. Rachida est passée entre ses jambes et s’est penchée vers son sexe à peine velu. Lorsqu’elle a posé sa bouche dessus, Li-Anne a repris vie, lui a attrapé les cheveux et a essayé de l’en empêcher. Je me suis levé et j’ai pris ses mains dans les miennes. Rachida a repris son avance vers l’entrejambe de Li-Anne qui me souriait. Monique léchait ses seins, promenant ses mains sur tout son corps. Lorsque Rachida a posé le bout de sa langue sur le clitoris de Li-Anne, elle a cessé de se débattre et s’est mise à en demander plus. Elle voulait que Rachida la baise avec sa langue, que Monique lui titille encore le bout des seins et elle voulait ma queue. Je la lui ai présentée près de ses lèvres et elle l’a engloutie. Monique et Rachida ont continué un peu, puis Rachida s’est allongée à côté et Monique a pris le bras de Li-Anne pour l’installer entre ses jambes. Elle s’est penchée vers le petit minou bien épilé de la beurette et regardait d’un air très intéressé les chairs roses et le trou béant et mouillé. Elle a posé un doigt et l’a fait entrer, Monique s’est installée à côté et a approché son visage du sien. Li-Anne n’osait plus bouger, Monique a passé sa langue sur ses lèvres qui se sont ouvertes et leurs langues se sont mélangées.

 

Enfin, Li-Anne a posé timidement le bout de sa langue sur la chatte de Rachida, Monique la caressait. Moi, voir cette jeune femme à genoux en train d’en lécher une autre, ça m’a donné une idée perverse. Je me suis installé derrière elle. Je lui ai écarté les fesses et j’ai posé ma langue sur son petit trou bien fermé. Monique est allée s’asseoir sur la bouche de Rachida que Li-Anne léchait avec entrain. Maintenant, les trois filles gémissaient, je me suis relevé et j’ai posé ma queue contre le trou de Li-Anne. Comme je l’avais fait pour Rachida quelques semaines avant, je l’ai enculée, doucement, lentement. Elle a été prise de panique, mais Rachida l’a tenue par les cheveux pour qu’elle continue à la lécher. Je n’ai pas mis longtemps à tout lui rentrer, elle avait l’air d’apprécier. J’ai commencé à lui ramoner le cul de plus en plus vite et j’ai joui assez rapidement. Li-Anne a eu juste après moi un orgasme ravageur, puis Rachida s’est mise à crier et enfin Monique, sous la langue maintenant experte de la petite beurette.

 

Ce soir-là, nous nous sommes tous retrouvés dans le même lit et je me doutais que Li-Anne et Rachida allaient devenir un couple à part entière dans nos ébats en groupe.

 

10 – La Maman de Florence

 

Corentin m’avait demandé de lui rapporter sa ponceuse, j’avais complètement oublié, il m’envoie un SMS en me précisant que ça urge, j’essaie de le joindre, lui ou Florence, mais leurs portables sont tout le temps occupés. Quels bavards ! Tant pis je me pointe !

 

Florence et Corentin m’accueillent avec le sourire et ils me présentent une jolie femme, très classe, très bourgeoise, dans les cinquante ans.

 

– Voici Micheline, ma maman, me précise ! Florence.

 

Je tends la main, mais la nana veut absolument me faire la bise. Pas de soucis, le bisou est chaste, mais la peau est douce.

 

– Je vais vous laisser ! Déclarais-je diplomatiquement.

– Prenez un verre avec nous ! Répond la maman

 

Allons-y pour le verre

 

– C’est donc vous, Alexis, ma fille m’a parlé de vous, il parait que vous êtes un petit cochon !

– Cochon, moi, je suis un homme, c’est tout !

– Tu peux lui toucher la braguette, Maman, il ne dira rien !

 

Et c’est exactement ce qui se passe, la Micheline me tripote la braguette et ma bite se met à bander quasi instantanément.

 

– Vous êtes très réactif !

– Mettez-vous à ma place.

– Pas facile.

 

Et la voilà qui me dézippe ma braguette, qui farfouille dedans et qui me sort ma bite, qui la branlotte et qui se baisse pour me la sucer.

 

Je me laisse faire et soudain j’ai envie de prendre un peu d’initiative.

 

– C’est gentil ce que vous me faite, mais j’aimerais bien vous voir toute nue. Lui dis-je.

– Vous risquez d’être déçu, je ne suis plus de la première jeunesse.

– Vous ne voulez pas ?

– A vos risque et périls, alors.

 

La mature se déshabille, je ne sais pas de quoi elle se plaint elle pourrait en remontrer à pas mal de jeunettes. Les seins sont magnifiques, et je les embrasse.

 

– Allez-y caressez-moi ! J’adore qu’on me caresse et qu’on m’embrasse, venez les enfants,

 

Sans qu’on ne leur demande Corentin et Florence se sont déshabillés, je crois donc devoir en faire autant.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises, alors que j’achevais d’ôter mon pantalon, Florence s’est approché de sa mère et est venue lui lécher les tétons, tandis que Corentin pelote le cul de sa belle-mère ! Quelle famille.

 

On s’est retrouvé je ne sais comment sur le canapé, Micheline suce alternativement ma bite et celle de Corentin et repasse de temps en temps nos bites à sa fille.

 

Micheline me demande de l’enculer, pas de problème ! Distribution de capotes, puis, elle fait coucher Corentin sur le dos, vient s’empaler sur sa queue, puis s’écarte les fesses, m’invitant à la pénétrer analement. Je rentre là-dedans comme dans du beurre et je la pilonne en cadence. Florence s’approche sa chatte du visage de sa mère et lui donne sa chatte à lécher.

 

Moment de folie, tout le monde se déchaîne, je n’ai pu m’empêcher de jouir, Corentin m’a suivi quelques secondes après tandis que Micheline gueulait comme une truie.

 

On s’est dégagé, les deux femmes se sont alors mises en soixante-neuf, la mère et la fille se léchant mutuellement leur chatte dégoulinante de mouille, joli spectacle.

 

Quand je pense que j’étais juste passé pour leur rendre la ponceuse, j

 

11 – Une dernière pour la route

 

Deux semaines plus tard, nous avons présenté Li-Anne à Marie-Laurence, Florence et Corentin. Elle a découvert ce soir-là d’autres plaisirs qu’elle ne connaissait pas, deux queues en même temps dans différents trous. Corentin et moi nous sommes amusés à n’oublier aucune configuration possible. Mais aussi une langue de femme sur chaque trou et les seins. Elle a également goûté le sperme pour la première fois et a apprécié. Le dernier arrivant du groupe ainsi constitué a été David, Marie-Laurence l’a rencontré à son boulot. Sa première soirée a dû être mémorable, Marie-Laurence avait demandé à Li-Anne, Rachida, Florence et Monique de venir lui faire une petite fête. Marie-Laurence lui avait bandé les yeux, puis s’était déshabillée et lui avait demandé de la caresser. Puis elle est sortie de la pièce et l’une des filles est arrivée pour prendre sa place. Il s’est aperçu à la troisième que ce n’était pas Marie-Laurence et a enlevé son bandeau. Les filles rigolent encore de la tête qu’il a faite lorsqu’il s’est rendu compte qu’il tenait Rachida dans ses bras et que trois autres femmes qu’il ne connaissait pas gouinaient sa copine… Mais il a été très content de la surprise et en a bien profité.

 

Un peu plus tard, Corentin a tenu à informer David qu’il se livrait parfois à quelques fantaisies un peu gays. Il nous a répondu qu’il n’avait rien contre mais qu’il était pas pratiquant mais qu’il aimerait bien regarder.

 

J’ai sauté sur l’occasion et demandé à Corentin de m’enculer, depuis le temps que l’idée me trottait dans la tête. On s’est mis à poil, je me suis mis en levrette et mon ami m’a pénétré, j’ai adoré cette sensation. Devant moi, David très excité a sorti sa bite et à commencer à se branler. J’ai approché ma bouche, il n’a rien dit quand j’ai commencé à le sucer et m’a lâché tout son sperme dans le gosier.

 

La soirée d’après, nous étions là Corentin et moi, et nous nous sommes bien amusés. Trois hommes et cinq femmes, ça permet certaines combinaisons inédites… Les vacances suivantes, nous sommes tous partis dans la maison de campagne de David. Nous avons passé les deux semaines presque tout le temps nu. C’est à la fin de ces vacances que Li-Anne et Rachida nous ont demandées de les accompagner en Hollande pour se marier. Ce que nous avons fait avec plaisir, puis elles ont proposé à ceux qui voulaient d’acheter une maison et d’y habiter tous… Avec Monique nous ne nous sommes pas joints à cette expérience… pas encore ! Un jour peut-être…

 

Nos amis vivent tous les six dans une belle maison de banlieue depuis maintenant trois ans. Le sexe fait partie de leur vie, chacun fait ce qu’il veut avec les autres, mais ils ont été obligés de limiter les pièces aux quatre chambres et au salon télé. Pour arrondir les fins de mois, ils ont créé un site Internet payant où ils fournissent photos et films de leurs ébats, et par lequel les filles se proposent comme modèle pour des séances photo porno (activité qui marche de plus en plus) et vendent leurs culottes propres ou portées, sèches ou mouillés (ça aussi ça marche bien !). Parfois des clients demandent aux filles d’aller plus loin et propose de l’argent contre du sexe, elles ont refusé au début, puis se sont dit qu’il n’y avait aucun mal à faire la pute si personne ne les forçait à le faire et si la prestation se passait dans le respect mutuel.

 

Epilogue

 

– Alors Marcel ?

– C’est malin, avec tes histoires, j’ai la queue toute raide maintenant !

– Ah, oui ! Fait voir !

– Comment ça fait voir ? Tu ne vas pas me dire que ça t’intéresse aussi ?

– Je m’intéresse à tout !

– Autrement dit, tu me demandes cela dans un but culturel ?

– Oui !

– Ben tu te cultiveras une autre fois. Mais n’empêche, j’aime bien tes histoires, on sent que c’est vrai !

– Pas de bol, Marcel, c’est de la pure invention, j’ai bien une femme, mais ma vie sexuelle est un désert permanent, je n’ai pas de maîtresse, et je n’ose pas aller voir les putes.

– Non ?

– Si ! C’est pour cela qu’exiger qu’une histoire soit véridique est débile ! Je n’ai rien, je ne suis rien, alors qu’on me foute la paix et qu’on me laisse le droit de délirer PUISQUE C’EST LA SEULE CHOSE QUI ME RESTE !

 

FIN

 

(c) Alexis Defond-Rossignol 2001

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 15:37

Harcèlement sous contrôle par Alexis Defond-Rossignol

 

stamp roussecoc

Mélanie était une très jolie jeune femme de 29 ans qui travaillait depuis trois semaines en tant que secrétaire pour Maitre Latrick, associé d’un important cabinet d’avocats. Elle partageait son bureau avec une autre secrétaire, Gina, une petite blonde mamelue. Le cabinet était surchargé de travail et les effectifs étant insuffisants, les heures supplémentaires s’enfilaient comme des perles. Néanmoins, elle se plaisait bien dans ses nouvelles fonctions et espérait qu’on la garderait longtemps

 

Beaucoup d’avocats l’avaient remarqué, une belle rousse portant lunettes, aux jambes interminables, avec de beaux yeux verts de chat qui ornaient un joli visage au teint d’ivoire, ses formes voluptueuses ne laissaient personne indifférents. Elle s’habillait très classique, mais on pouvait supposer aisément ce qui se cachait en dessous.

 

Maître Latrick, homme d’une quarantaine d’années, qui savait se montrer charmant, conscient de la beauté de sa nouvelle secrétaire et amateur de sexe, s’était promis que bientôt il la mettrait dans son lit… Il ne faisait que penser à elle, et il bandait. Marié à une femme pas très chaude au lit, ce soir il avait vraiment envie de se faire sa voluptueuse secrétaire.

 

– Mélanie, (en pesant sur l’interphone) venez dans mon bureau !

– Oui monsieur j’arrive

– Mélanie, j’ai besoin de vous ce soir, le dossier Bandapène n’est pas terminé et il faut que je le finalise ce soir, j’espère que vous êtes libre ?

– Oui, monsieur pas de problème.

– Si ça s’éternise nous nous ferons livrer quelque chose à manger et après on finira le boulot !

– C’est très bien.

 

Sans l’avouer Mélanie avait depuis trois semaines développé une certaine attirance pour Maître Latrick et était secrètement contente de rester avec lui ce soir.

 

A 17 heures, elle rassembla une partie de ses affaires et se dirigea vers le bureau de l’avocat.

 

– A demain ! Dit-elle à Gina !

– Je vais rester encore un peu, je suis débordée. Répondit cette dernière

– Moi, je vais chez Latrick, il a besoin de moi !

– Fais gaffe à ta culotte !

– Pardon ?

– Non, rien !

– Je sais me défendre, tu sais ?

– Mais je n’en doute pas !

 

Et donc pendant deux heures, ils travaillèrent d’arrache-pied, et terminèrent plus tôt que prévu.

 

– Nous avons très bien travaillé ! Dit Maître Latrick en se levant et s’installant dans le fauteuil de cuir. Venez donc vous assoir ici !

 

Mélanie pris place, un peu timidement et Maître Latrick commença à lui poser plein de question indiscrètes :

 

– Vous êtes seule dans la vie, Mélanie ?

– Non, je vis avec un copain, Monsieur !

– Vous pouvez laisser tomber le « monsieur » Répondit-il en lui frôlant sa cuisse contre la sienne. Parce que j’ai d’autres projets très intéressants pour vous !

– Ah ?

– Tu aimes travailler ici ?

– Je ne me plains pas !

– Tu veux garder ton travail ?

– Bien sûr !

– Alors il faut être très très obéissante, les secrétaires ici doivent obéir aux doigts et a l’œil.

 

Ce discours rendit légèrement mal à l’aise Mélanie qui tortillait dans le fauteuil

 

– Mais je suis sûr que tu vas aimer ! Précisa-t-il en lui caressant les cheveux. Si tu es gentille, je vais l’être beaucoup avec toi, genre augmentation de salaire et avantage plus que substantiels ! Tu me suis ?

– Hum, pas vraiment monsieur.

 

Alors l’avocat changea de ton :

 

– Alors je vais être plus clair, cela fait trop de semaines que je vois tes gros nichons se promener sous mes yeux, et je bande comme un taureau à chaque fois, je vais bien te baiser et après je pourrais me concentrer sur mon travail !

 

Mélanie devint blanche comme un craie mais parvint à articuler :

 

– Vous allez trop loin, Monsieur !

– Que voulez-vous dire par là, Mélanie ?

– Que ça ressemble à du harcèlement sexuel !

– Mais, non ! Je ne vous veux aucun mal !

– Quand même, il y a des lois…

– Certes, mais ne mélangeons pas tout ! Je vais vous rassurez ! Gina, venez un instant ! Dit-il en activant son interphone.

 

Gina fut là rapidement

 

– Gina dite-moi devant Mélanie ! Ais-je déjà harcelé quelqu’un ici ?

– Pas à ma connaissance, en tout cas !

– D’ailleurs, est-ce mon genre ?

– Je ne pense pas !

– Et puis je suis doux comme un agneau, n’est-ce pas Gina ?

– Vous n’êtes pas méchant, juste un peu macho peut-être !

– Bon, merci, vous pouvez retourner travailler.

– Si vous avez envie que je vous suce la bite, je suis encore là pendant une heure.

 

Mélanie comprit qu’en cas de complications, toute plainte serait vaine, faute de témoins même indirects. Alors que faire ? En sachant qu’une posture de résistance serait de nature à lui coûter sa place.

 

– Embrasse-moi Mélanie !

– Euh…

– Rien ne t’y oblige !

– Mais vous ne me garderez pas ?

– Ouvre la bouche ma belle, donne-moi ta langue, au lieu de dire des bêtises, un petit bisou ça n’engage à rien.

 

L’homme approcha ses lèvres, Tremblante Mélanie accepta ce baiser tandis qu’il lui pétrissant ses gros seins par-dessus son chemisier, sa main trouva les boutons qu’il arracha presque et sa main toucha à son soutien-gorge de dentelle.

 

– Mais que vois-je ? Un soutien-gorge de pute ! Hum tu caches bien ton jeu ! S’écria-t-il en le lui massant à pleines mains.

 

Il détacha le tout, se saisit des jolis globes et les soupesa.

 

– Hum…il sont beaux avec tes gros bouts prêts à se faire téter, hein ? Dit-il en lui pinçant les mamelons.

 

Mélanie soupira et contre toute attente se sentit envahi d’un certain trouble.

 

– Tu aimes que je te les maltraite hein ? Petite cochonne ! Ajouta-t-il en les lui prenant encore plus serré dans les mains, il massa, pressa, titilla ses bouts ressortis par l’excitation, la bouche pleine, il laissa vagabonder sa main sous sa jupe

 

– Hum c’est chaud par-là !

 

Il pressa à pleine paume sur son pubis et entra sa main dans la culotte de sa secrétaire.

 

– Oh…mais tu es toute mouillée ma cochonne, si tu voulais te faire tripoter avant fallait le dire, j’adore les petites vicieuses dans ton genre !

 

Mélanie la tête renversée haletait, il la caressait avec délice, et les mots vulgaires que lui disait l’avocat l’excitait à sa grande honte. Il remonta sa jupe de manière qu’elle se retrouva roulée à la taille, il descendit sa culotte et son collant, il se leva s’agenouilla en face d’elle assise sur le canapé et commença à fouiller de sa langue sa chatte trempée, il retira sa langue pour lui enfoncer son index énergiquement dans le vagin

 

– Tu aimes, hein ? Je vais bien te la lécher ta grosse chatte toute juteuse ! Dit-il en faisant glisser son index et deux autres doigts, elle haletait.

 

Trois doigts dans sa chatte, une bouche qui se promenait de son mamelon à son clitoris. Alors tout d’un coup, elle inonda les doigts de son patron et gémit très fort.

 

– Mais tu jouis, petite salope ! Maintenant que tu as bien joui, tu vas me faire voir ce que tu peux faire avec ta jolie bouche, viens me sucer :

 

Il se mit debout, défit son pantalon, sortit une jolie queue, pas très longue mais bien veinée, posa sa main sur sa bite et décalotta le gland violacé. Il dégagea également deux grosses couilles velues

 

Melanie2

– Elle te plait ma grosse queue ? J’en suis sûr, les petites cochonnes dans ton genre aiment bien les grosses queues toutes dures, mets-toi à genoux et suce ma belle bite.

 

Mélanie se mit à genoux, quasiment dans un état second, mais prête à l’action. La bonne pine de son patron lui emplit la bouche, à chaque coup de rein de celui-ci, son gros gland allait jusque dans sa gorge, son patron la baisait dans la bouche, et gémissait comme un fou.

 

– C’est ça, suce, suce bien, caresse-moi les couilles en même temps, hum c’est bon, tu fais ça trop bien ! Ton copain, il a une aussi grosse queue ?

– Himmpf humpf

– Hein ?

– Ça ne vous regarde pas, cher monsieur !

– Bon, ça va ! Et d’abord on ne parle pas la bouche pleine ! Répondit-il, en donnant de plus grands coups dans sa bouche chaude.

 

Mélanie continua.

 

– Encore ! Je trouve que tu es très douée, plus douée que Jessica, et Katy (les deux autres secrétaires), Gina, elle a davantage d’expérience mais en ce qui te concerne, ça viendra j’en suis sûr. Continue, ne t’arrête pas, c’est bon !

 

Puis après quelques courtes minutes :

 

– Arrête, sinon je vais tout lâcher, couche-toi sur le bureau !

– Quand même, monsieur !

– Au point où t’en es…

– Certes !

 

Elle, jupe retroussée à la taille, chemisier entrouvert se couchant sur le bureau, lui restant habillé avec seulement sa grosse queue dressée dépassant de son pantalon ils formaient un tableau des plus excitant.

 

Il lui écarta les jambes, sa mouille dégoulinant sur ses cuisses, il promena son gland sur son clitoris et ses lèvres.

 

– Tu la veux hein ? Tu veux te faire mettre, petite cochonne ! Tiens prend bien ma pine !

 

Dans un mouvement de hanche rageur s’enfonçant dans sa moiteur, il s’arrêta rendu au fond et savoura la sensation, puis repris son mouvement

 

– Oh, oui salope, tu aimes ! Dis-le !

– Oh oui c’est bon ! Je suis une salope, une pute, une morue, tout ce que vous voulez !

 

Il remonta ses jambes verticalement, et la baisa furieusement, grognant il la limait en lui pétrissant ses gros seins, et elle approchait doucement de l’orgasme, il stoppa, et lui dit :

 

– Retourne toi, appuie-toi sur le bureau et ouvre bien les fesses !

– Non pas ça !

– Arrête de faire ta jeune fille, pour l’instant je t’ai donné du plaisir, alors on va continuer ! Faut avoir confiance ! Je vais te faire jouir comme jamais !

 

Il lui lécha l’anus, et Mélanie y prit plaisir

 

– Humm, le goût de ton cul est divin, ça me rend fou !

 

Il lui introduisit un doigt dans l’anus et le fit aller et venir, ce qui fit frissonner la belle Mélanie, il se le lécha ensuite avec un ravissement visible.

 

Il prit de la mouille de ses cuisses pour enduire son petit trou, et promena une dernière fois son gland sur sa chatte pour bien le lubrifier, appuya son gland sur l’anus et commença à pousser

 

– Ouvre-toi, oh oui, hum tu es très étroite, j’adore, ton copain ne t’encule pas ?

– Ça ne vous regarde pas ! Répondit Mélanie qui avait de la suite dans les idées.

– Impertinente avec ça ! Tu vas voir, tu vas adorer !

– Ne me faites pas mal !

– Mais non !

 

Le gland entré il poussa davantage sa queue, petit à petit il fut rendu au trois quarts et commença des petits va-et-vient en râlant et poussa pour entrer complètement puis procéda par des poussées plus énergiques, Mélanie commença à apprécier

 

– Tu aimes hein, petite vicieuse, je le savais, ton petit trou serré a l’air d’adorer ma grosse queue, ohhhh oui c’est bonnnnn !

 

Agrippé à ses gros seins et lui pinçant les bouts, il lui martelait le cul très énergiquement en l’insultant

 

– Toutes les mêmes, on leur touche un sein, et hop elles ouvrent leur cul à la première bite venue pour se faire défoncer, elles adorent, gggrrr, oh… ouiiiiiiii… je vais venir…

 

Brusquement il la fit se relever et s’agenouiller sur le tapis et entra sa queue dans sa bouche, et vida ses couilles à moitié dans sa bouche et sur son visage…

 

– Tiens avale, tu me vides salope, prends tout…ohhhh ouiiii…. éructa-t-il en éjaculant une quantité phénoménale de sperme et gémissant jusqu’à alerter l’immeuble entier.

– Je peux avoir un kleenex, s’il vous plait !

– Tu n’avales pas ?

– Jamais la première fois !

 

Il lui tendis un mouchoir en papier, puis lui tendis une enveloppe.

 

– Voilà, puisque toute peine mérite salaire !

 

Elle chercha une réplique assassine mais n’en trouva pas et accepta l’enveloppe sans en examiner le contenu.

 

– Maintenant si tu veux te venger, j’ai ceci !

 

Et il sortit d’un tiroir un martinet et un gros godemiché.

 

– Vas-y je me laisse faire, fais-moi tout ce que tu veux !

 

Mélanie fut surprise de cette proposition et n’était à priori pas chaude pour cette prolongation de séance d’autant qu’elle n’était guère familière des pratiques de domination.

 

– Non, on en reste là, je fatigue un peu là ! Et puis il aurait fallu une autre enveloppe ! Ajouta-t-elle en se disant que l’argument serait de nature à décourager l’homme.

– Mais c’est prévu ! Répondit-il

 

Au pied du mur, Mélanie se dit alors « pourquoi ne pas essayer ? »

 

– Alors d’accord ! Mais avant faut que j’aille faire pipi !

– Pisse-moi dessus !

– Ah ! Oui ! Mais ce sera dans la bouche, mon salaud !

– Pas de problème, j’adore boire.

 

Les deux « amants » se déshabillèrent complétement.

 

– Euh on met quelque chose par terre ? Demanda Mélanie.

– Je n’ai pas l’article, mais on va faire ça aux toilettes. Allons-y !

– Comme ça ? A poil ?

– Mais oui, tout le monde est parti !

 

Ils sortirent dans le couloir et c’est à ce moment-là que Gina sortit des toilettes.

 

– Ho ! S’écria Mélanie essayant tant bien que mal de dissimuler sa nudité de ses mains.

– Bonsoir les nudistes ! Lança Gina d’un air rigolard. Bonne fin de soirée, moi je ne vais pas tarder de rentrer à la maison.

– Bonsoir Gina ! Répondit simplement Maître Latrick.

 

Mélanie attendit que sa collègue ait disparu pour réagir.

 

– Bon, on va peut-être arrêter tout ça ! Je suis morte de honte !

– A cause de Gina ! Elle en a vue d’autres et c’est une brave fille, ne t’inquiète donc pas.

– Vous êtes sûr ?

– Mais oui !

 

Ils entrèrent dans la petite cabine, et sous les conseils de l’avocat, Mélanie s’assit sur l’avant cuvette.

 

– Vas-y pisse moi dans la gueule et n’ai pas peur de m’insulter, ça me fait bander.

– Je bloque !

– Tire la chasse d’eau, ça va t’aider !

– Ça y est, tiens, bois toute ma pisse, espèce de sale pervers.

 

Maître Latrick ouvrit une large bouche et avala plusieurs rasades de la bonne urine de la secrétaire. Il en bu tellement qu’il finit par avaler de travers et de mit à toussoter.

 

– Ce n’est rien, ça pas passer.

– On en a mis plein par terre !

– Bof, la femme de ménage s’en occupera demain matin.

– T’es gonflé quand même, c’est pas ta bonne !

– Chacun son boulot, tiens ça me fait penser qu’il y a longtemps que je ne l’ai pas tringlé celle-ci !

– Tu tringles tout le monde, toi ?

– Non quand même pas tout le monde !

– Et si je te faisais nettoyer ?

– Je suis à tes ordres !

– Alors nettoie !

 

Maître Latrick se baissa après s’être emparé de plusieurs feuilles de papier toilettes et se mit à éponger la flaque d’urine. Ce faisant il offrait à Mélanie une jolie vue de son fessier. Subitement elle eut envie de gifler ce cul qui la provoquait.

 

– Allez nettoie mieux que ça ! Vieux vicieux libidineux. Tu t’es régalé avec ma pisse, la prochaine fois je te chierai dessus.

– Oh, oui ! Quand tu veux !

– Dégoutant personnage ! Tiens, ça t’apprendra ! Ajouta-t-elle en lui claquant les fesses.

– Oh vas-y bat moi ! J’ai été très vilain !

 

Encouragée elle continua sa fessée, jusqu’à s’en faire mal aux mains.

 

– Ça y est ? T’as tout nettoyé ! On va retourner à ton bureau, je vais essayer ton martinet.

– 50 coups, et pas trop fort, sinon je vais avoir du mal à m’assoir ! Précisa-t-il une fois revenu dans les lieux.

– Ah ! Je vois, Monsieur est douillet !

– Non, mais faut que ça reste un jeu !

– Admettons ! Consentit Mélanie qui maîtrisa sa frappe mais s’excitait considérablement en rougissant plus que de raison les fesses de l’homme de loi.

– Et maintenant encule-moi avec le gode !

– Je vais me gêner, tiens !

– Il faut mettre une capote et puis un peu de gel aussi !

 

Elle fit comme il lui disait, puis introduit l’objet dans le rectum de l’avocat après avoir activé le petit vibrateur intégré. Puis elle fit aller et venir l’objet pendant que l’homme se pâmait.

 

– Tiens ! T’aime ça te faire enculer, hein ma salope ?

– Oui, je suis un enculé, un suceur de bites, un buveur de pisse…

– Rien que ça ?

– C’est déjà pas mal !

– Tu l’as déjà fait pour de vrai ?

– Ben oui, faut pas mourir idiot !

– Et tu bandes comme un salaud ! Tu crois que tu vas me baiser une nouvelle fois ? Mais tu rêves mon connard !

– C’est si doux de rêver parfois !

– Poète en plus ?

– Oui, je suis multifonction !

– N’importe quoi !

– Je vais te dire un truc, avec les conneries que tu me fais faire, je mouille comme une fontaine. J’aimerais bien que tu t’occupes de moi, ça m’éviterais de me palucher toute seule.

– Je croyais que tu ne voulais plus baiser ?

– Qui t’as parler de me baiser, par contre tu peux me lécher.

– Stop ! Dit alors Maître Latrick.

 

Mélanie ne comprend pas

 

– Tu n’as pas tout compris, tu croyais sans doute que tout ce que tu m’as fait subir allait reste impuni ?

– Mais, c’est vous qui m’avez demandé…

– Bien sûr mais ce n’est pas une raison.

– Bon, on va peut-être arrêter tout ce cirque…

– Ce serait dommage, excitée comme tu es, tu ne vas pas rester comme ça ! Dis-moi tu ne t’es jamais fait lécher la chatte par une femme ?

– Certainement pas, je ne suis pas gouine !

– Ce n’est pas la bonne réponse !

– Qu’attendiez-vous comme réponse ?

– Que tu me dises simplement que si tu ne l’a jamais fait c’est parce que tu n’en a jamais eu l’occasion !

– Mais enfin, je n’ai pas envie…

– Je ne te prends pas en traitre, je voulais te montrer comment ça se passe ici, je te réappelle que les avantages sont substantiels, je ne suis pas avare d’enveloppes.

– Autrement dit, si je refuse d’aller plus loin, vous ne me garderez pas !

– Et je le regretterai ! Et arrête de faire ton cinéma, Gina va juste de lécher, tu n’en mourras pas.

– Et après faudra que la lèche aussi ?

– Pas forcement aujourd’hui, mais ça me semble aller de soi.

 

Et maître Latrick appela Gina.

 

– Avant de partir, tu vas lécher Mélanie.

– Avec plaisir ! Faut-il que je me déshabille ?

– Ben oui, pour le fun.

 

Mélanie, résignée, s’affala dans le fauteuil visiteur, écarta les jambes, ferma les yeux et attendit que Gina vienne lui butiner la chatte.

 

Elle fut agréablement surprise de la façon dont pratiquait la petite blonde, elle fut très vite envahie de frissons, elle se mit à gémir de plus en plus fort et quand Gina attaque son clito, elle gueula comme un putois.

 

Gina lui offrit ses lèvres, elle ne les refusa pas.

 

Après avoir joui, elle resta quelques instants dans un état second, en sueur, les cuisses trempées. Maître Latrick était allé se poser dans un coin et finissait de se masturber frénétiquement.

 

– Je te paie le restau ! Lui proposa-t-il.

– Attends, je ne suis pas présentable, il me faudrait prendre une douche et mon maquillage est tout destroy.

– Et bien remaquille-toi, je ne suis pas pressé ! Par contre ici il n’y pas de douche… Mais, toi ton copain va t’attendre.

– Je t’ai déjà dit que ce genre de choses ne te regardaient pas !

– Bon, bon ! On fait comme ça alors ?

– Mais bien sûr !

– Dis-moi ! Vendredi on fait une petite boum avec quelques collègues, il y a aura Gina et d’autres… On t’invite ?

– Il y aura une enveloppe ?

– L’argent, l’argent ! Tu ne serais un peu vénale, toi ?

– Un peu vénale ? Même un peu pute, n’ayons pas peur des mots ! Disons que c’est nouveau pour moi, mais après tout pourquoi pas ?

– Je crois qu’on va bien s’entendre ! Je te ferais sucer la bite de tous mes clients.

– Je vais m’acheter une grosse tirelire, alors !

 

Adaptation d’une nouvelle paru en 2000 sur le site de Sophiexxx, sous le titre « Apprentie secrétaire » et signée Volupty. elle a été pour la présente édition corrigée, débarrassée de ses incohérences et complétée.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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