Alexis

Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 15:33

Une bonne bière pour finir

par Alexis Defond-Rossignol

 

stamp transblack

 

C’était un soir où ma femme était en déplacement, une envie de sexe me démangeait, je fouillais dans mon carnet d’adresse et retrouvais les coordonnées d’une vieille connaissance, une plantureuse transsexuelle brésilienne black qui se faisait appeler Greta. Une très jolie créature avec un visage de rêve, de jolis seins, un cul d’enfer et une bite à tomber. Je l’avais rencontré trois fois, des rencontres vénales mais respectueuses et correctes. Elle est un peu dominatrice, juste un peu.

Je l’appelle, elle a l’air ravi de m’avoir au bout du fil et me dit qu’elle est avec une copine, mais que ça ne fait rien, elle m’accueillera volontiers…

 

Une douche vite fait, je prends le métro et me voilà chez elle. Elle se présente devant moi toujours aussi excitante habillée d’une petite nuisette bleu semi transparente.. Elle m’offre à boire et me présente sa copine, Sarah une jolie trans elle aussi, visage très ovale et peau couleur de café au lait habillée d’un joli kimono à fleurs.

 

– Je t’aurais bien proposé un truc à trois, mais Sarah attend un client…

 

Greta me met la main sur la braguette et m’invite d’un geste provocateur à passer à côté.

 

On se dénude tous les deux, on s’embrasse tantôt goulument tantôt amoureusement et avec délectation. A un moment pendant que j’étais occupé à lui lécher ses tétons elle posa sa main sur ma nuque comme pour diriger mon visage vers son sexe… Ahhhh ! Son beau sexe couleur d’ébène assez long et très épais. J’ouvre délicatement mes lèvres et passe un premier léger coup de langue, puis d’autres et je commence à dévorer sa queue sous toutes les coutures, du gland aux boules en passant par la hampe je lèche tout comme un affamé je m’en délecte et n’en perds pas une miette. Elle me propose maintenant de me sucer à son tour et elle le fait divinement bien, avec ses jolies lèvres douces dont elle sait parfaitement faire usage.

 

Mais voilà qu’on toque à la porte !

 

– Entre ma biche ! Dit Greta

– Mon client est arrivé et demande si le tien serait d’accord pour un truc à quatre ? Explique Sarah, pas gênée du tout, sa belle bite à l’air.

 

Regard interrogateur des deux trans vers moi qui hésite un peu !

 

– Allez quoi ! Il est très gentil et il a une belle bite ! Insiste Sarah.

– Je n’ai pas pris assez de sous ! Répondis-je pensant avoir trouvé un bon argument !

– Pour toi, il n’y a pas de supplément, c’est mon client qui a proposé, c’est lui qui paye.

– Euh…

– Allez viens, fait pas ton timide.

 

Et me voilà entrainé dans une partouze insolite en n’ayant aucune idée de la façon dont ça va se passer.

 

On me présente Philippe qui est en train de finir de se déshabiller, le genre voyageur de commerce en déplacement, bien propre sur lui. Sarah prend immédiatement sa bite en main et la fait grossir… Pendant ce temps-là Greta égare ses doigts vers mon trou du cul. J’adore qu’on me le doigte.

 

– Comment tu la trouves, la bite de Philippe ?

– Elle est très belle ! Répondis-je (imprudemment ?)

– Ben alors qu’est-ce que t’attend pour la sucer ?

– Mais…

 

Je suis tétanisé, je n’avais pas du tout prévu ça !

 

Greta se saisit d’un martinet et m’en flanque un coup sur les fesses ! Elle sait que j’aime bien jouer un peu les soumis.

 

– Je t’ai demandé d’aller sucer cette bonne bite ! T’attends quoi ? Le dégel ?

 

Ben non ce n’est pas ça, je n’avais pas trop envie, mais puisque Greta me le demande à coups de martinet j’accepte le jeu. L’embarras de la situation, c’est que toutes les bites que j’ai sucé jusqu’à présent sont des bites de trans, je n’ai jamais sucé de mecs et d’ailleurs je ne suis pas du tout attiré par les hommes… Mais, car il y a toujours un mai, sa bite est fort belle, il faut bien le reconnaitre.

 

Alors je me lance , il suffit d’ouvrir la bouche et pendant que je me laisse prendre au jeu, Greta toujours derrière moi me tortille mes tétons, j’adore cette caresse qui me fait bander instantanément.

 

– Alors, elle est bonne sa bite ? Me demande Sarah !

– Oui, oui !

– Dis-le mieux !

– C’est vraiment une bonne bite !

 

Et c’est vrai que je me régale ! Bite de trans ou bite de mec ? Quelle différence, la texture est douce, le goût subtil.

 

– Arrête de le sucer, maintenant, il va t’enculer ! M’indique Sarah.

– Non, surement pas !

– Mais dis donc, esclave, tu vas faire ce que ma copine te demande gentiment.

– Ça ne me dis rien !

– Dis donc, quand c’est moi qui t’encule, tu aimes bien, ! Intervient Greta

– C’est pas pareil !

– Si c’est pareil, donne lui vingt coups de martinet, Sarah !

 

Je me prête au jeu, et présente mes fesses aux coups de la jolie trans. Elle me fait un peu mal, mais j’aime bien. Au vingtième coup, elle me demande :

 

– Je fais quoi ? Je continue à te fouetter ou tu vas faire ce qu’on t’a demandé ?

 

Que faire ? Evidemment je ne suis pas prisonnier, je pourrais m’en aller, mais ce serait frustrant, j’ai payé quand même ! Et puis je l’aime bien Greta, je ne veux pas me fâcher avec elle ! Je me dis donc que je n’en mourrais pas.

 

– Bon, c’est d’accord, je me mets comment ?

– En levrette, pédale !

 

L’autre arrive derrière moi, mais pour l’instant il se contente de me sucer le fion, ce n’est ma foi pas désagréable. Et, ne voulant pas être en reste Greta me donne le sien à lécher.

 

Voilà qui n’est pas une corvée, j’adore lécher le trou du cul des trans, et celui de Greta est délicieux..

 

Derrière moi la langue de Philippe a cessé de me butiner et je sens maintenant sa bite tenter d’entrer dans mon anus, il s’y reprend à deux fois, ensuite ça passe, il s’enfonce davantage, j’adore cette sensation de « rempli » dans mon cul. Puis il commence ses va-et-vient et bientôt des frissons de plaisir m’envahissent. C’est trop bon de se faire enculer ! Quand je pense que j’ai failli refuser !

 

– Regarde-moi ces deux pédales ! Se moque Greta.

 

Philippe m’a limé pendant plusieurs minutes avant de me laisser le cul béant. Il change de capote et fait signe à Sarah qu’il souhaite la prendre. Elle se met en position montrant ainsi son cul magnifique. J’ai une envie irrésistible de le lui lécher, mais je me retiens, en ce moment il n’est pas pour moi car Philippe s’approche et l’encule.

 

Greta me donne une tape sur les fesses en m’intimant l’ordre de me placer moi aussi en levrette.

 

Chic alors !

 

Biere

 

Etonnant spectacle qui ferait les délices d’un voyeur, Greta m’encule pendant que Philippe encule Sarah. Quelle vision excitante de voir sa belle bite entrer et sortir de ce cul sublime !

 

Philippe ne tarde pas à jouir en poussant un cri bizarre. Il décule, puis s’en va dans la salle de bain. Et tandis que Greta continue à me sodomiser en cadence, Sarah me donne sa jolie queue à sucer. Pensez comme je me régale d’être au milieu de ces créatures sublimes.

 

Philippe se rhabille tout seul dans son coin, il marmonne un vague aurevoir à la cantonade et disparaît. Pas très sociable ce citoyen, mais sa bite était belle !.

 

Les meilleures choses ont une fin, Greta sort de mon cul et me demande comment je veux jouir ?

 

– On le suce à deux ? Propose Sarah

 

J’aurais préféré jouir dans le cul d’une de ces deux trans, mais ne soyons pas trop gourmand, ce qu’elles me proposent n’est pas n’importe quoi ! Deux langues qui me sucent la bite ! Rendez-vous compte ! Des langues qui vont partout, le gland, le méat, la hampe, les boules… Je n’ai pas tenu longtemps, quand elle a senti que j’allais venir, Greta a sorti mon chibre de sa bouche et a reçu mon foutre sur ses seins. Elle s’est amusée ensuite à les enduire en me regardant d’un air vicieux.

 

– Tu as soif ? Me demande Sarah en dirigeant sa bite vers moi !

– Oui, je veux bien un peu d’eau !

– Tu ne préfères pas ma bière ?

 

J’avoue ne pas avoir compris de suite ses intentions.

 

– Ouvre bien la bouche !

 

Je l’ai fait comme dans un rêve, et j’ai avalé ce que j’ai pu de la bonne pisse de Sarah !

 

Quelle séance !

 

Mais voilà que mon portable sonne ! Je vais voir, cela peut être urgent. C’est mon épouse.

 

– Allo chéri, juste un petit coup de fil pour savoir si tout va bien ?

– Pas de souci ma chérie, il fait un peu chaud, je viens de boire une bonne bière !

 

Sarah et Greta ont failli éclater de rire mais se sont retenues, elles ont du savoir-vivre.

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Alexis
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 15:30

Break à l’auberge par Alexis Defond-Rossignol

 

zoo

Parfois faut faire un break.

 

C’est pour cela que nous avions décidé de passer un petit week-end dans une petite auberge au centre de la France

 

La chambre était magnifique, elle comprenait un lit immense, avec une salle de bain très équipée, et surtout une grande baie vitrée, donnant sur un parc immense, entouré d’une pelouse parfaitement taillée.

 

Lors du voyage nous n’avions pas eu l’occasion de nous restaurer j’ai donc proposé à mon épouse de descendre à la salle de restaurant afin d’y prendre un repas, mais elle voulut préalablement se changer et prendre une douche, elle se mit complètement nue pour le faire: elle était magnifique avec ses seins énormes, ses superbes fesses bien rebondies et son petit minou bien taillé.

 

Une fois sa toilette terminée, elle sortit, recouverte d’une serviette autour de ce corps sublime, et me mit à contribution sur la tenue qu’elle devait porter. Je lui dis que même nue elle ferait de l’effet, elle se mit à rire; puis je lui ai suggéré de mettre une petite culotte noire complètement transparente avec le soutien-gorge et le porte-jarretelles assorti, et des bas couleur chair, puis par-dessus sa petite robe noire laissant les épaules dénudées, elle était sublime.

 

Nous descendîmes donc au restaurant: la patronne nous plaça devant la fenêtre qui donnait sur le parc, face à nous il y avait un homme mûr de belle prestance accompagné d’un superbe labrador, l’homme ne cessait de regarder en direction de mon épouse, celle-ci me le fit remarquer discrètement, je lui répondis que c’est parce qu’il la trouvait surement très jolie, elle rougit. Après le repas nous avons décidé de faire une petite balade dans le parc en amoureux : arrivés dans le bois je ne pus n’empêcher d’embrasser mon épouse qui se colla fortement à moi, je fus pris d’une érection terrible, cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps, ceci surement dû au parfum sublime de mon épouse et aussi au contact de ses formes bien rebondies.

 

Furtivement je lui caressais les seins par-dessus le corsage, puis lentement, je fis glisser ma main sous sa jupe afin de lui caresser le sexe à travers la petite culotte, celle-ci était toute trempée. Enfin laissant mon épouse sur sa faim, nous sommes rentrés à l’hôtel.

 

L’homme au chien était accoudé au bar et buvait une coupe de champagne: il sourit à notre entrée, je demandais à mon épouse si elle désirait prendre une coupe avec moi au bar, elle accepta volontiers.

 

– Pourquoi tu ne m’as pas fait l’amour dans le parc me demanda-t-elle, j’en avait une folle envie.

 

Je lui ai répondu que justement c’était pour accroître encore plus son désir. Elle me regarda d’un air très étonné, puis me sourit et m’embrassa. L’homme au bar s’est approché de nous et nous a proposé de prendre un verre en sa compagnie, nous avons accepté, puis la conversation s’engagea, il se présenta :

 

– Je m’appelle René je suis marié mais souvent en déplacement, c’est pour cela que j’emmène mon chien, ça me fait une compagnie.

– Moi c’est Patrick et mon épouse s’appelle Laura nous sommes en week-end afin de nous ressourcer.

 

Il nous dit qu’il trouvait Laura très jolie et qu’il n’avait que rarement vue une femme de son style et de sa classe… bref du baratin de dragueur mais qui fit néanmoins rougir Laura.

 

Dans quelle chambre êtes-vous ?

– La 119 face au parc

– Ah c’est une très jolie chambre, si vous voulez je pourrais venir finir la conversation tout à l’heure avec une bouteille de champagne, car pour l’instant j’ai du travail à finir en urgence et je vais devoir vous laissez. A tout à l’heure !

 

Gonflé le mec ! Mais je donne mon accord et Laura ne proteste pas.

 

Gonflé ou alors fin psychologue ? Laura avec son attitude provocante avait pu lui faire penser que nous étions un couple ouvert. Si c’était cela le type était très fort, Nous avons déjà pratiqué le triolisme et l’échangisme; donc si les grands esprits se rencontrent…

 

Laura me dit

 

– Tu crois qu’il veut me baiser ?

– Si on lui en donne l’occasion !

– Moi, je ne suis pas contre, mais c’est son chien qui m’intéresse !

– Alors là c’est une autre paire de manche, rencontrer des mecs chauds de la bite, c’est courant mais des mecs qui acceptent des trucs arec les chiens, ça ne court pas les rues.

 

Puis nous sommes remontés dans notre chambre, car il était déjà tard. Laura alla dans la salle de bain et j’entendis le bain couler: elle entra dans la baignoire, J’entrais à mon tour dans la salle de bain, et je me mis nu, afin de la rejoindre, mais auparavant je lui pissais dessus car elle adore ça, ça la fait rire et elle en boit quelques lampées. Nous nous sommes lavés mutuellement, je lui massais ses gros seins avec du savon ainsi que son sexe, elle fit de même avec ma verge et me masturba avec frénésie : puis elle voulut que je la pénètre mais je refusais, elle était toute excitée et je suis persuadé que la pénétration aurait été très facile, mais en fait je voulais me réserver si parfois le joyeux inconnu avait réellement des intentions libidineuses.

 

Elle avait emporté une mini nuisette rouge toute transparente bordée de magnifique petites dentelles noir qu’elle passa sous le peignoir blanc de l’hôtel.

 

– Qu’est-ce qu’ils attendent pour passer, le René et son chien ?

– Il s’est peut-être dégonflé ! On va attendre un peu !

– En faisant quoi ?

– Il y a un lecteur de DVD, on va pouvoir regarder les deux DVD que m’a prêté Jean-Pierre.

– C’est encore du porno, je parie ?

– Il y en a un avec de l’uro et un autre avec du bisex, tu veux voir lequel ?

– Je te laisse choisir.

 

J’optais pour le bisex. J’adore voir deux mecs se sucer la bite et s’enculer en présence d’une jolie femme qui participe à leurs ébats

 

Elle vint me rejoindre sur le lit et me dit:

 

– Mais tu n’as pas tiré les rideaux ?

– Pourquoi faire, nous n’allons pas gâcher la vue sur le parc, même s’il fait nuit, allez viens. Tu es vraiment bandante sous ta petite nuisette

 

Nous regardions le film, tout en nous caressant, quand soudain, quelqu’un frappe à la porte.

 

– C’est moi, c’est René, j’amène du champagne cela vous dit ?

– Oui j’ouvre, un instant !

 

Laura enfila vite fait son peignoir pendant que j’ouvris la porte en caleçon.

 

– Ha ! vous étiez déjà au lit ,

– Oui mais on ne dormait pas.

– Que faisiez-vous, petits coquins ? Nous dit-il en souriant.

– Nous regardions un film.

– Ha ! quel genre de film ?

– Un film porno ! Lui dit je carrément afin de lever toute ambiguïté pour la suite

– Y’a pas de mal à se faire du bien! Répondit-il bêtement. Alors ce Champagne toujours d’accord, j’ai apporté des verres

 

Laura sortit du lit couverte de son peignoir. René nous dit qu’il avait dû amener son chien car il avait peur qu’il fasse du bruit et gêne les autres clients de l’hôtel, nous lui répondîmes qu’il n’y avait aucun problème pour nous.

 

Tu parles ! Je suppose que s’il ne l’avait pas amené, Laura aurait trouvé le moyen de lui dire de le faire…

 

Après une première coupe, Laura retira son peignoir provoquant chez Monsieur René une expression des yeux ressemblant à celle du loup de Tex Avery.

 

– Chère madame, vous êtes superbe !

– Vous aimeriez en voir davantage, n’est-ce pas ?

– Je suis un gentleman

– Alors peut-être tout à l’heure ! Mon mari n’est pas jaloux. A la vôtre !

 

C’est alors que je remarquais le jeu auquel se livrait ma perverse de femme, portant discrètement sa main à sa chatte et en prélevant un peu de mouille, elle la tendit au chien qui vint s’en régaler.

 

– Il est très affectueux, commenta René qui n’avait pas tout compris.

 

Laura recommença mais cette fois avec la main plus près du corps, elle la rapprocha pendant que le labrador léchait et ce qui devait arriver arriva le mufle de la bête se retrouva entre ses cuisses.

 

– Oh làlà, qu’est-ce qu’il me fait le vilain toutou ! Fit-elle mine de s’offusquer !

– Chouby ! Au pied ! réagit René !

 

Le chien cesse ce qu’il était en train de faire visiblement contrarié !

 

– Mais non, laissez-le faire, c’était très agréable !

– Mais rendez-vous compte, c’est de la zoophilie !

– Et alors ? Elle est où la maltraitance ? Maintenant si ça vous choque, on ne vous retiendra pas !

– Avouez que c’est particulier !

– Je l’avoue bien volontiers ! Allez toutou reviens lécher mémère !

 

Cette fois René ne dit rien et moi j’avais une érection fantastique.

 

– Cela te fait bander mon chéri ! Me dit-elle avec malice.

 

Je m’approchais d’elle et doucement lui dégageais un sein, René bavait d’envie de la toucher et de la caresser.

 

Elle vient se poster devant lui avec un sourire enjôleur

 

– Vas-y caresse moi !

 

Celui-ci n’hésita pas une seconde, il empoigna les nichons de mon épouse à pleines mains et les suça, puis il la dirigea vers le lit après avoir retiré la nuisette, il commença à lui caresser la vulve en lui chatouillant fortement son clitoris: mon épouse était toute mouillée et me regardait avec amour, je lui pris la main pour l’encourager, pendant ce temps René lui léchait la chatte à grands coups de langue, ma femme se tordait dans tous les sens dans l’espoir de sentir mieux cette langue qui la fouillait, René lui demanda s’il pouvait la baiser

 

– Vous pouvez mais avec capote et c’est mon époux qui la fait entrer dans ma chatte !

– Pour la capote, j’en ai dans la poche de mon pantalon ! Et pour le reste, eh bien vos désirs sont des ordres.

 

Je pris donc la bite de René entre mes doigts en regardant ma femme bien dans les yeux et en lui souriant :

 

– T’as les mains douces, me dit René ! Ça te dirait de me la sucer un peu avant !

– Ah, bon, t’es un peu bi, toi aussi !

– Bi, peut-être pas, mais disons que je suis ouvert à la discussion

 

Devant les yeux subjugués de mon épouse j’embouchais donc la belle bite de René et lui prodiguais quelques mouvements de fellation, puis je frottais ce joli gland sur le clito et les lèvres vaginales de mon épouse, et l’enfonçais d’un coup sec dans la gaine humide de la chatte de ma femme, qui hurla de plaisir à la pénétration. Au bout de quelques va-et-vient dans l’orifice de ma Laura, René se raidit et envoyât toute sa semence dans les entrailles gluantes de ma chérie. Il se tourna ensuite vers moi d’un air satisfait :

 

– Si cela vous amuserait de me sodomiser devant madame, j’en serais fort aise.

 

Il est marrant ce bonhomme il ne sait plus s’il doit me tutoyer ou me vouvoyer !

 

Toujours est-il, que n’ayant aucune raison de refuser cette proposition, j’encapuchonnais ma bite et enculais vaillamment le René qui manifestement apprécia.

 

– Vous êtes bien des enculés ! S’amusa Laure.

– Si vous le dites !

– Vous savez ce que j’aimerais, c’est de sucer le chien !

– Ciel vous faites-ça ?

– Ma foi, quand on est coquine… Mais il va falloir m’aider.

 

Comme si le chien avait entendu que l’on parlait de lui, il sauta sur le lit et vint de nouveau se placer entre les cuisses de ma belle, lapant sa chatte de sa large langue et lui provoquant des tressautements de plaisir.

 

On fit ensuite coucher le chien sur le côté, je lui maintiens sa bite à la base des couilles de façon à ce que Laura puisse le sucer plus facilement, c’était spectaculaire, la pine du chien lançait des geysers de sperme sous les yeux effarés de son propriétaire.

 

– Je me ferais bien prendre, mais il va me griffer ! Se désola mon épouse.

– On va lui mettre des chaussettes ! Proposais-je.

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C’est donc ce que nous avons fait. Ma salope de femme se mit en levrette, j’ai un peu guidé le chien, et hop le voilà qui la bourre. Laura commença à onduler les hanches à chaque coup de boutoir du toutou, elle jouissait comme une vraie chienne, et pendant ce temps, René et moi, nous nous masturbions avec frénésie devant cette scène incroyable. Soudain Chouby se raidit et gicla tout son sperme dans la chatte de mon épouse qui cria de plaisir et s’affala complètement épuisée.

 

– Je vous laisse un petit instant! Dit René. Il faut que je fasse pipi, je peux utiliser vos toilettes ?

– Tu n’utilises rien du tout ! Pisse-moi dessus, arrose-moi comme une chienne !

– M’enfin !

– Faites-lui plaisir, elle adore ça !

– Mais la literie…

– Vous avez raison, allons dans la salle de bain.

 

Nous y sommes rentrés à trois et Laura fut copieusement arrosée par nos bites et trouva l’urine de René délicieuse.

 

René s’est rhabillé, pas nous, le chien roupillait comme un bienheureux, on a fini le champagne. Et nous avons dit aurevoir à ce gentil monsieur.

 

– Quelle soirée ! C’était fabuleux, non ? Commenta Laura

– Ça tu peux le dire !

– Tu sais, j’ai envie de faire l’amour avec une femme.

– Oui, ben on verra ça demain !

 

FIN

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Lundi 2 mai 2005 1 02 /05 /Mai /2005 17:02

Sauna des ombres et des miroirs par Alexis Defond Rossignol

 

  zyzybande


Thémes abordés : bisex masculine, domination soft, exhibition, gay, party, pluralité masculine, sauna, uro

Chapitre 1 – Eric
Un an, cela fait un an aujourd’hui que Julie est partie ! C’était bien la peine d’avoir acheté ce pavillon qu’il va falloir revendre, c’était bien la peine d’avoir fait un mariage de « première classe », avec robe hors de prix, location de limousine, traiteur très cher, et photos obligées !

 

…Et surtout c’était bien la peine que je sois resté fidèle pendant 24 ans.

Comment, vous ne me croyez pas ? Pourtant c’est vrai ! Je croyais ma femme fidèle, alors pourquoi ne l’aurais-je pas été ? Il faut dire aussi que je n’ai jamais eu d’occasions. Nous n’avons pratiquement pas de famille, peu d’amis et ne fréquentons pas le voisinage, je me rends en voiture à mon travail et j’ai fais toute ma carrière dans les bureaux d’une maison d’édition catholique ! Oh, n’allez pas croire que ce sont des saints, il y a même beaucoup d’hypocrisie dans ce milieu, n’empêche que comme lieu de drague…

Et puis surtout, j’ai toujours été très timide, pourtant on m’a souvent dit que j’étais plutôt bel homme sauf que j’ai une jambe un tout petit peu plus courte que l’autre… Et au temps des premiers amours, ben les filles, elles préfèrent les mecs avec les deux jambes pareilles.

Jeune, j’allais d’échec en échec, et puis un jour de kermesse je me suis mis à discuter avec Julie. Mignonne, un peu forte, les yeux bleus et le nez retroussé, je l’ai fais rire, ma compagnie lui a plu, je l’ai invité au restau le lendemain et miracle elle a accepté, en sortant on s’est embrassé, puis tout s’est enchaîné jusqu’au mariage.

On a eu une vie tranquille, on a élevé un gosse, maintenant casé. Julie travaillait dans une pharmacie, nos finances ne nageaient pas dans pas l’abondance, mais on était loin d’être malheureux. En amour elle savait être coquine, mais après avoir traversée une période plutôt délurée à nos débuts, il ne fallait plus compter sur elle ni pour la fantaisie ni pour l’improvisation, sinon elle n’était pas farouche, quand je voulais, elle voulait bien, elle avait rarement « mal à la tête » elle le faisait au début avec plaisir, puis après… puis après… je ne me suis rendu compte que bien plus tard qu’elle simulait souvent…

Et moi pendant ce temps là, j’accumulais les fantasmes dans ma tête, une vraie collection, des pratiques, des situations, des mises en scènes, mais ça restait mon jardin secret, je n’en parlais jamais à Julie… alors quand l’occasion se présentait je me masturbais, je ne trouvais pas ça très « normal » au début et puis j’ai su dépasser le stade de la culpabilité. Je me branle, j’aime me branler et voilà !

Le premier choc, ça a été quand j’ai reçue ce mail, un(e) inconnu(e) sur une messagerie anonyme.

« Je suis désolée de vous envoyer ça, mais vous êtes aveugle et ça ne m’arrange pas » pas de signature, je craignais une plaisanterie douteuse, j’ouvris la première des trois images attachées : Julie sur un banc dans un jardin public en train de se faire peloter par un mec ! Et pas le petit pelotage, une main du type dans le chemisier, l’autre dans la culotte… J’ai gueulé « la salope ! » avant de m’écrouler en larmes… Les deux autres photos, c’était pire… Et puis j’ai essayé de me raisonner me disant que dans une vie de couple ça pouvait arriver, et qu’il suffisait qu’on en parle ensemble… Tu parles, on n’a jamais parlé beaucoup tous les deux, alors parler de ça ? J’ai imprimé les photos et je les ai laissé sur la table de la cuisine dans une enveloppe.

Julie rentre un peu après moi, je ne savais comment elle allait prendre ça ?

- Il y a du courrier ?
- Sur la table de la cuisine !

Elle ne revient pas, je vais voir, elle chiale comme une madeleine.

- Je voulais t’en parler, mais je vois qu’il y a des gens qui feraient mieux de s’occuper de leurs oignons !
- Si c’est juste un truc sans lendemain, on peut faire comme si ça n’avait jamais existé ! Proposais-je, bon prince.
- Ce n’est pas un truc sans lendemain ! Répondit-elle, cinglante.

Et toc ! Ce fut le deuxième choc !

Le troisième ce fut quand elle fit sa valise…. Et le quatrième fut quand je compris qu’elle ne m’avait pas trompé au bout de 24 ans, mais qu’elle me trompait depuis 24 ans, ce qui n’est pas la même chose…

J’ai eu du mal à m’en remettre ! Quand je pense que… non on va pas recommencer au début…

« Alors puisque c’est comme ça… » Me suis-je dis au bout de quelques semaines, « je vais rattraper le temps perdu ! »

Tu parles ! Est-ce à cause de mon manque d’expérience ou de ma patte plus courte que l’autre, mes tentatives allaient droit dans les murailles de l’échec et de la déconvenue.

Alors j’ai fais autrement, je suis allé voir des prostituées, la première fois carrément deux d’un coup, l’un de mes fantasmes, l’une des deux était super gentille, l’autre n’en avait rien à cirer…

Puis je me suis tourné vers les clubs de rencontres, les bistrots pour célibataires, les saunas.

C’est dans ces derniers que je me trouve le mieux, il y a parfois des femmes, mais jamais je n’ai eu de contacts avec, d’autres ont eu plus de chances. Il y en a qui viennent simplement pour s’exhiber, d’autres qui viennent en couple avec un autre couple d’amis, ils font de l’échangisme mais entre eux.

Par contre je ne m’imaginais pas que mes fesses et mon sexe auraient autant de succès dans ces endroits. La première fois qu’une main est arrivée sur ma bite, je me suis reculé, et j’ai failli quitter l’établissement, pourtant dans mes fantasmes… mais bon, les fantasmes ce sont les fantasmes… Je me suis raisonné et la deuxième fois je me suis laissé faire ! J’aime maintenant cette sensation d’une main sur mon sexe, certains masturbent très bien, et ceux qui le font mal je les envoie promener… J’ai fini par faire pareil, et j’ai appris le plaisir à branler une belle queue. Je n’aime pas trop qu’on me suce. Pour moi la fellation c’est la rencontre d’un beau visage féminin avec une belle queue. Donc me faire sucer par un mec, je laisse parfois faire mais sans plus. Par contre le contraire me plaît bien, j’adore sucer un beau membre. Mais enfin ça ne vaut pas les femmes tout ça…

Un an jour pour jour qu’elle a fait ses valises ! C’est samedi, j’ai acheté de quoi me faire un bon petit gueuleton ce soir, j’ai tout acheté en double, dés fois que je ramène quelqu’un à la maison… On peut toujours rêver ! Et en attendant, direction le sauna :

Un attroupement, c’est bon signe, cela signifie qu’il y a une femme, le temps de m’approcher, un cri d’orgasme crève le silence feutré du lieu, le groupe se disloque, je continue à avancer afin de me rendre compte de ce que j’ai manqué : il y a là deux femmes, l’une est un véritable canon, brune aux cheveux frisés, le corps intégralement bronzé, élancée, cambrée, des seins magnifiques, la trentaine, l’autre est plus mûre, plus massive, mais non dénuée de charmes.

Au moins l’une des deux va rester, me dis-je ! Ben non, elles quittent toutes deux l’endroit accompagnées de leurs mecs ! Frustration !

Il n’y a plus que des mâles à présent. Un premier mec me croise, approche sa main de mon entrejambes, je le regarde, il ne m’inspire pas, je fais une dénégation de la tête, il n’insiste pas, en principe ici les gens sont bien élevés. Mais c’est qu’en voilà un second, des cheveux blonds jusqu’aux épaules et des moustaches, en voilà un look ? Il passe à côté de moi, la pine tendue comme un piquet. Joli bite en vérité, un peu sombre, assez longue et pas trop épaisse, le gland brillant. Un petit sourire, je lui rends. Ma main a du s’avancer vers son sexe en même temps que la sienne faisait la même chose, c’est beau la simultanéité improvisée !

Je branlote quelques instants cet attendrissant cylindre de chair soyeuse, j’espère qu’il va accepter que je le suce !

- Je m’appelle Bertrand !

Surpris ! Non pas qu’il s’appelle Bertrand, mais qu’il se présente. J’ai en effet appris avec quelque tristesse que dans ce lieu les rapports étaient silencieux, on se touche, on se suce, on s’encule, tout cela parfois s’en échanger un seul mot. Dans le meilleur des cas on a droit à un sourire, à un merci, à un « ça va ? », mais c’est tout. Je lui réponds en inventant un prénom au hasard.

- Tu viens souvent ? Demande-t-il
- Non, il n’y a pas longtemps que j’ai découvert ce truc, et toi ?
- Je suis de province, j’y viens quand je monte à Paris, une fois par an…. Tu la trouves comment ma bite ?
- Elle est superbe !
- En principe elle plait bien, mais la tienne n’est pas mal non plus… Tu as envie de me sucer ?

Oh oui, oh oui…. Je lui dis, bien sûr, lui demande si je peux y aller, me baisse, et glop ! Me voici en train d’embrasser la hampe, c’est doux, c’est frais, c’est excitant… Ma langue entre ensuite en action mais sans changer de place, je remonte ensuite vers le gland, il a une légère odeur, peut-être vient-il de pisser mais ça ne me dérange pas, je fais des petits mouvements linguaux sur la couronne, ça a l’air de lui plaire au viking, puis embouche carrément l’extrémité de cette trop jolie quéquette. Et je pompe et je pompe, l’autre est aux anges. Ayant l’intention de faire durer le plaisir, je m’interromps de temps à autre pour aller gober ses testicules, je ne suis pas trop friand de la chose mais je sais que les mecs aiment bien ça !

- Tu me suces un peu derrière ?

Aïe ! Je craignais cette demande, mais allez savoir pourquoi, j’ai envie de lui faire plaisir au moustachu, je vais derrière, il écarte ses fesses, et j’avance ma langue dans son troufignon, ça va, monsieur est bien propre sur lui, il ne l’aurait pas été, j’aurais sans doute abrégé la chose (quoique, allez donc savoir… avec l’excitation) mais là, c’est rassuré que je lui fais un furetage anal en règle…. A tel point que j’attrape des crampes à la mâchoire… Il est temps de revenir devant ! Ça bande toujours autant ! Cette fois j’essaie d’en pénétrer le maximum dans la bouche, pas si évident, puis je coulisse en de larges mouvements badigeonnant son sexe de ma salive. Et pendant ce temps là ma propre bite est devenue raide comme la justice.

- Ne me fais pas jouir ! Dit-il

Pourquoi ?

- Tu veux que j’arrête ?
- Tu suces super bien ! T’aimerais que je t’encule ?
- Je ne suis pas contre, mais il est un peu tôt… tout à l’heure peut-être…
- Tout à l’heure il sera peut-être trop tard….

Je ne sais pas ce que j’allais répondre, mais notre tête à tête (si je puis dire) est alors interrompu par le bruit d’une arrivée….

Et quelle arrivée, des types se retournent. Et on aperçoit alors ce spectacle complètement dingue d’un mec qui débarque en tenant une femme en laisse, laquelle est accrochée à un collier de chien qu’elle a autour de son cou. La soumise a les yeux bandés d’une bande de tissu noir. Le maître l’aide à s’asseoir sur un rebord, puis prend place à ses côtés. Je rage d’avoir laissé mes lunettes au vestiaire, déjà la dernière fois j’avais commis cette erreur.

- S’il y en a qui veulent se faire sucer, elle peut vous le faire, mais attention, comme elle a les yeux bandés, c’est moi qui choisit à sa place et c’est moi qui surveille !

Oups ! Depuis le temps que j’attends une occasion comme celle-ci ! Mais toujours ma timidité, je n’ose pas y aller en premier. Et là, même si j’avais voulu, j’aurais été battu sur le poteau par un grand chauve qui s’approche la bite en avant.

Le maître lui fait signe qu’il peut y aller.

Je vois mal ce qui se passe, le mauvais éclairage de ce coin, mes problèmes de vue, et puis ses cheveux qui lui dégringolent sur le côté et qu’elle ne pense pas toujours à dégager. De plus, pratiquement tout le sauna s’est pointé, et évidemment je ne suis pas au premier rang,

L’homme lui a placé son membre contre la joue, la femme s’en empare de ses mains, le caresse quelques instants avant d’embrasser la hampe, puis le gland, elle fait durer ce manège quelques minutes avant de sortir sa langue pour la faire virevolter, léchant de sa pointe le méat et la couronne de cette virilité offerte à sa gourmandise. Puis soudain elle engouffre tout ça, elle agrippe l’homme par l’arrière de ses cuisses en s’efforçant d’effectuer des mouvements longs.

- Ne jouis pas dans sa bouche ! Prévient le maître.

Le mec se dégage, va pour partir mais le maître lui prend sa queue en main et la dirige vers celle de la femme afin qu’elle le masturbe à l’aveuglette. Quelques instants plus tard, un jet de sperme lui atterrit sur le ventre. La femme rit !

- Un autre volontaire !

Le problème, c’est qu’ils sont tous volontaires. Le maître en refuse un premier pour des raisons qui m’échappent, puis un second, il y a un mouvement de foule, je me retrouve au premier rang. Oserais-je ? Non je n’ose pas, le maître choisit deux mecs, s’arrange pour placer leur queues l’une à côté de l’autre, puis guide le visage de la femme ! 

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Je vois mieux à présent ! Quel choc ! Je voulais une fête, je suis comblé par ce spectacle, même si je n’y participe pas directement je me sens comblé et heureux. On est bizarre parfois !

 

Cette fois ça dure plus longtemps, elle passe d’une pine à l’autre et pompe avec un plaisir non dissimulé ! Ce doit être communicatif, je plane devant cette scène surréaliste, je suis au ciel et ma bite en montre la direction !

L’un des types finira par envoyer une décharge peu abondante sur le ventre de la soumise, l’autre suivra cinq bonnes minutes plus tard, en expédiant de larges giclés.

Je crois alors que son maître va demander un ou deux autres volontaires, je commence à m’approcher, fébrile… mais pas du tout

- Allez, je veux que tout le monde la pelote, mais attention, pas de brutalité, vous avez deux minutes pas une de plus, après à mon signal, vous la laisserez, d’accord. ?

On entend un vague murmure d’approbation !

- Allez !

Il y a combien de mains sur elle ? Certains sont un peu empruntés à cause de la présence du sperme sur le ventre, mais sinon chacun veut son bout de peau, les seins ont été choisi par les plus rapides, les pieds ont leurs amateurs, je me contente de l’avant bras que je caresse comme je le ferais d’un petit animal domestique ! Drôle de sensation….

- C’est fini !

Déjà ?

Tout ce petit monde recule, il y en a deux qui essaie de tricher !

- C’est fini, j’ai dis ! Répète sèchement le « maître »

Je crois alors la séance terminée, mais non, le maître de cérémonie improvisé reprend la parole !

- Il y a des volontaires pour la sucer ?

Je n’ai pas ouvert la bouche ! J’ai simplement fait ce geste antique consistant à pointer mon doigt plusieurs fois sur mon torse, mais sans y croire…

- Viens !

Non, ce n’est pas possible, il va m’arriver ça ! Ce soir ! Je m’avance, la queue frétillante ! Pourvu qu’elle n’enlève pas son bandeau, je n’ai pas envie qu’elle me voit.

Me voici entre ses cuisses, ses effluves intimes me montent aux narines et me rendent fou, mélange de sueur, d’urine et de mouille. Sa chatte est humide, ses grosses lèvres gonflées, son clitoris érigé. Je sors ma langue au maximum et je lape, une fois, deux fois, plein de fois. Madame se met à gémir ! C’est moi qui la fais gémir comme ça, je n’en reviens pas ! J’écarte très largement ses chairs pour m’enfouir dans son intimité, mon excitation est au maximum, je ne sais pas comment je vais pouvoir tenir comme ça !

Quelqu’un est en train de me tripoter les fesses ! Il ne peut pas me laisser tranquille celui-ci, obligé de me tourner pour protester, mais me rendant compte qu’il s’agit de Bertrand, je le laisse faire.

Je reprends, je vais partout, au fond, sur les côtés, je joue avec les lèvres !

- Fais moi jouir ! Dit-elle.

Sa voix ! C’est la première fois que je l’entends depuis qu’elle a pris possession du lieu, j’en suis tout chaviré. OK ! Direction le clitoris, il est dur, décapuchonné, en attente. Je donne de brefs coups de langue comme pour le cogner, puis je fais de mes lèvres un mouvement de succion, j’alterne les deux méthodes, pas longtemps… je sens la femme se raidir, échapper à mon étreinte de quelques millimètres avant de crier sa jouissance avec un cri à ameuter tout le quartier

C’est fini !

C’est fini ! Je vois le maître qui tirant la laisse dirige mon ex femme vers la sortie !

Pour son maître ce sauna n’était donc qu’un préliminaire… N’empêche que désormais je me compte dans le nombre des ex amants de ma femme ! Drôle de situation, l’émotion du moment me fait venir une petite larme que je n’ai pas demandée et que je m’empresse d’essuyer…

Je me dirige vers Bertrand !

- Ça te dirait si je t’invitais chez moi pour finir la soirée ?

Il me sourit… je vous dis, aujourd’hui c’est la fête !

 

Chapitre 2 – Julie
J’ai toujours eu la mémoire des dates, cela fait un an que j’ai fait mes valises et que j’ai quitté comme une voleuse le domicile conjugal…

 

Ça me fout le vague à l’âme, pas tant d’être partie, car après tout ce départ m’a apporté plus d’avantages que d’inconvénients… mais j’ai une pensée pour Eric, quelque part, je l’aimais bien…

J’en parle à Max, mon compagnon, j’ai peur qu’il se foute de moi !

- Non, je te comprends ! Tu veux que je te sorte ?
- Oui, sors moi !
- Ok, on fait les courses en vitesse, et je t’emmène au restau.
- Non pas ce midi, je n’aurais pas faim.
- Alors on sortira cet après midi… Tu veux aller où ? Au ciné ?
- Improvise, j’ai pas envie de chercher, décide pour nous deux…
- Tu voudrais être soumise cet après midi !
- Pourquoi pas ?
- Je crois que j’ai une petite idée ! Dépêche toi de finir de t’habiller, il va y avoir la queue au super marché !

Il a une petite idée, il est comme ça, Max, des idées il en a plein, il en a mille, qui s’entassent et qui s’empilent, on ne s’ennuie jamais avec un mec comme ça !

Quand même, que doit faire Eric en ce moment ? Est-ce qu’il y pense lui, à cette date…

Il était (presque) le type de l’homme que je recherchais dans mes années de jeunesse… Oh, il y en avait de plus beau, de plus séduisant, de plus craquants mais ceux là se réservaient les canons qui mimaient les starlettes de l’époque…. Moi, je ne venais qu’en seconde catégorie, tout cela parce que j’étais un peu forte, cela me mettait d’emblée hors compétition… j’en ai été malheureuse, puis je me suis dis que cela était peut-être un avantage, tous ces bellâtres courant après des imitations de mannequins n’avait aucune imagination, aucune culture, et pas beaucoup de conversation… Au plumard peut-être étaient-ils bons, mais ça m’arrangeait de penser qu’ils ne l’étaient pas….

Je me suis longtemps réfugié dans la masturbation, m’inventant des scénarios dans un monde personnel d’une absolue complication, à tel point que j’en notais les noms des personnages et ce qu’ils faisaient sur un petit carnet afin de ne pas trop m’y perdre…

J’avais eu l’occasion d’entendre Eric discuter à l’occasion d’un pot dans un bistrot, je l’avais trouvé intelligent et plein d’humour… A la première occasion, je l’ai dragué. Ça a marché tout de suite…

Adieu les branlettes solitaires, adieu mes personnages de carnets, et vive la vraie vie, me disais-je, sauf que les premiers ont fini par me rattraper.

Au lit, Eric acceptait pas mal de choses, mais cela restait tout de même très classique. Et lui si loquace sur tous les sujets n’aimait pas qu’on parle sexe… un jour je me suis acheté un string et je me suis baladé devant lui. Je croyais l’allumer, il m’a simplement dit qu’on n’était pas au carnaval… De rage j’ai jeté le string… Une autre fois je lui ai demandé s’il voulait me regarder pisser, il m’a répondu que « j’avais du trop boire de bière »… J’ai fait la grève de l’amour 10 jours, au-delà je ne peux plus…

Je me suis dit qu’à la première occasion j’irais voir ailleurs… mais les choses ne se passent jamais comme prévues. Les occasions, je les ai eus, mais je suis restée avec Eric… Après tout, mis à part son manque de fantaisie sexuelle, il ne manquait pas de qualités…

Et puis un jour, plus de 20 ans plus tard, j’ai découvert en rentrant du travail les photos où on me voyait dans les allées du parc avec Max ! Quel connard avait donc pris ces clichés ? Gérard, bien sûr, il avait été mon amant trois ans et avait fini par me demander de rompre avec mon mari ! J’ai refusé ! Il l’a mal pris, on s’est engueulé et on a rompu, il m’avait alors menacé de faire éclater notre couple ! Il l’a donc fait ! Quel salopard !

Je crois qu’Eric aurait pu me pardonner ! Mais moi par pur masochisme ou voulant expier ce que je ressentais comme une faute, j’ai aggravé mon cas et je suis partie…

- Bon alors tu t’amènes !
- Voilà, voilà.

Vers le milieu de l’après-midi, Max m’a demandé de me chausser et de mettre un manteau.

- On va où ?
- Au sauna !
- Bonne idée ! J’espère que ça va bien m’exciter.
- Mais tu vas être mon esclave, je vais te faire faire des pipes et te faire peloter par tous ceux qui voudront…
- Et après ?
- Après, on rentre et je te baise ! Et après, on ira au restau en amoureux.
- Pas chiche !
- Tu vas voir si je suis pas chiche !

On arrive, on se déshabille. Devant les vestiaires, Max me fixe un collier de chien auquel est attaché une laisse ! Bizarre son idée, mais ce n’est pas bien grave, c’est surtout la suite qui m’intéresse !

- On mate un peu avant, ou on y va direct ? Demandais-je.
- On va se planquer cinq minutes !

On se place derrière une glace sans tain ! Cela a toujours été l’un de mes fantasmes de voir des mecs faire des trucs ensembles. Comme Max est assez libéré de ce point de vu là, cela ne pose pas de problèmes entre nous. Ce soir, il n’y a pas grand chose à voir, les hommes ne sont pas terribles à l’exception d’un grand blond à moustaches et aux cheveux longs. Il croise un autre mec, marrant celui-ci, il ressemble a mon ex, c’est à s’y méprendre ! Mais… Mais… C’EST mon ex ! Mais qu’est ce qu’il fout là ! C’est à peine croyable. Je le dis à Max.

- Tu veux qu’on s’en aille ?
- Je ne sais pas, attends…

Je vois Eric qui maintenant se branle mutuellement avec le blondinet. Ainsi c’était donc ça, mon ex devait être un homosexuel qui refoulait ses pulsions, le fait de nous être séparés l’a donc sans doute libéré. Voilà qui explique rétrospectivement bien des choses… Je me demande jusqu’où il va aller, et c’est à ce moment là que je le vois se pencher pour sucer la bite de son partenaire ! Eric en train de sucer une bite ! Dingue ! J’ai soudain une idée, je la chuchote à Max, puis regagne mon vestiaire ou je récupère l’un de mes bas noirs !

- Voilà tu me le mets sur les yeux !
- Tu arrives à voir au travers ?
- Pas beaucoup, mais ce sera suffisant… Ce qui compte c’est que mon ex croit que je ne vois rien… On y va, je vais jouer à l’esclave. Tu fais ce que tu veux de moi mais j’aimerais bien que tu te débrouilles pour me le garder pour la fin… si toutefois, ça l’intéresse !
- Tu espères quoi ?
- Je n’en sais rien à vrai dire.

On a fait notre entrée, Max devant, moi derrière tirée en laisse comme une chienne ! Dingue, les voilà tous autour de nous comme une nuée de sauterelles. Ça fait plaisir d’être encore maté comme ça à quarante ans bien passés, ma stature, inconvénient de ma jeunesse est devenue un avantage à ma maturité. Max demande un premier volontaire, il y en a trop de volontaires, et dans les volontaires il y a Eric ! Vous pouvez pas savoir ce que ça me fait, il n’est donc pas homo, mais bi, mais bon dieu pourquoi n’en n’avons-nous jamais parlé… Max choisit l’heureux élu. Joli choix, le mec à une jolie bite, du moins pour ce que je peux en voir à travers le brouillard de mon voile. Je le branle un peu ! J’adore branler des bites, mais j’aime encore mieux sucer ! J’ai envie d’en avoir plein dans ma bouche ce soir. Celle-ci, je la gâte, la couvrant de baisers, la taquinant de ma langue avant de l’engloutir. J’ai peur que le mec parte trop vite, Max doit aussi s’apercevoir de quelque chose et lui interdit de jouir dans ma bouche ! Pourquoi ? Le mec va pour s’en aller mais finalement décharge sur mon ventre ! Max me demande de ne pas m’essuyer et réclame deux autres volontaires…

Ça m‘amuse parce que Eric est dépité de ne pas être choisi ! M’a-t-il à ce stade reconnu ! Pas sûr, j’ai changé de look, il n’a pas ses lunettes et le coin est obscur. Tant mieux, tout à l’heure la surprise n’en sera que plus grande ! J’espère simplement que je ne joue pas à un jeu trop dangereux et que tout cela ne va pas virer au drame ! Mais non, j’ai confiance… Pour l’instant je m’occupe de ces deux queues, pas évident de se coordonner, mais ces messieurs ont l’air satisfaits de mes traitements, tout va bien, l’un des deux se lâche, le second est un peu plus lent à la détente, mais ça ne me dérange pas, j’aime bien faire durer le plaisir… Me voici avec trois spermes différents sur le ventre… J’ignore ce que va inventer Max à présent, deux autres bites, trois ? Non ce n’est pas ça, il demande à tous les présents de me peloter : N’importe quoi ? Me voilà avec dix, vingt, trente, (je ne compte plus) paluches sur l’ensemble du corps ! Ils évitent le ventre tout « spermeux », par contre les seins ça y va, les cuisses aussi, d’autres s’occupent de mes pieds, il y en a un qui me chatouille, il est fou celui-là ! Je cherche Eric. Il est là il et me pelote l’avant bras, il est si près de moi qu’il n’a sans doute pas pu faire autrement que de me reconnaître… Il me faut aller jusqu’au bout de mon défi, je fais un petit signe à Max qui demande à la petite assemblée se s’écarter de ma personne.

- Avant de partir, je voudrais que quelqu’un la lèche ! demande Max

Va-t-il oser maintenant qu’il m’a reconnu ? Oui il est volontaire. Max le choisit ! Tout va bien !

Eric est entre mes cuisses, je mouille comme une fontaine à l’idée de ce qu’il va se passer : Il croit que je ne le vois pas, aura-t-il l’intelligence de conserver l’anonymat ? La situation me ferait presque oublier l’action, du moins dans un premier temps, car bientôt sa langue révélait son efficacité. Eric a rapidement su et aimé pratiquer le broute minou… Il me faisait toujours monter au ciel à nos débuts, et puis la pratique est devenu monotone, j’avais parfois l’impression qu’il s’ennuyait à me lécher, ça ne venait pas, je faisait parfois semblant, la monotonie et l’habitude sont sans doute les pires ennemies de l’amour, mais recommence t-on si souvent les mêmes conquêtes ? Par contre aujourd’hui, il est en pleine forme le salopard, sa langue va partout. Je frissonne de tous les endroits et des ondes de plaisirs me traversent les pores.

- Fais moi jouir ! Demandais-je

Aïe, j’ai parlé ! Pourvu qu’il n’en profite pas pour me répondre, pour se dévoiler… non….il attaque le clitoris. Je sens que ça ne va pas être long. La nébuleuse est proche de l’éclatement, ma respiration se saccade, mon corps se tétanise. Je jouis en braillant comme une dingue, puis me recroqueville sur mon siège, pantelante.

Je ne peux pas le laisser partir comme ça ! Il ne sait pas évidemment que je l’ai reconnu ! Mais je ne sais ni quoi dire, ni quoi faire, le voilà qui discute avec son blondinet… Drôle de penser qu’on a vécu pendant 24 ans avec quelqu’un sans le connaître… mais lui peut aussi en dire autant….

Cette expérience m’a troublé, mélange de soulagement car je suis consciente d’avoir pris un risque, d’interrogations en tous sens et d’excitation, car je ne suis pas rassasiée.

Max me tire vers les vestiaires !

- Allez, après tout ces préliminaires, on va passer aux choses sérieuses. Direction la maison ! Toujours d’accord, ma chérie !
- Bien sûr

Une idée folle me traversa la tête alors que Max m’enlevait mon collier de chien : « et si je prenais comme amant mon ancien mari ? »

Fin

Alexis Defond-Rossignol
(mai 2005)

ce récit a été écrit pour le concours organisé en mai 2005 par notre confrère « revebebe », ils souhaitaient un récit sans pénétration, avec uniquement des préliminaires. Bien que très bien classé tant par le public que par la critique (16//20) il n’a pas gagné, sans doute trop éloigné de la ligne actuelle de ce site ? Nous on adore !

Cette nouvelle a obtenu le 3ème Prix de la meilleure nouvelle pour l’année 2005 sur le site de Vassilia

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Jeudi 2 décembre 2004 4 02 /12 /Déc /2004 16:29

La braguette du serveur du restaurant antillais
par Alexis Defond-Rossignol

 

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Thémes abordés : bisex féminine, bisex masculine, exhibition, party, pluralité masculine, soubrette, uro. 

Isabelle et Alexis, la trentaine, Isabelle est blonde décolorée, les yeux bleus, de taille moyenne, les cheveux courts, des lunettes, des formes là où il faut, sans exagération….

Ce soir là nous avions, ma femme et moi envie d’aller au restaurant, une accumulation d’événements (des amis qui s’éternisent au téléphone alors qu’on allait partir, des travaux sur la route nous faisant avancer à pas de tortue) fait que nous nous y sommes rendus vraiment très tard, et l’établissement où nous avions nos habitudes était complet. Il a donc fallu en chercher un autre et ça n’allait jamais, trop cher, trop de bruit, trop de gosses, trop commun, trop ceci, trop cela… bref ça n’allait jamais….

- On va finir par rentrer s’ouvrir une boite de choucroute ! Proposais-je !
- Ok on fait comme ça !

Mais miracle sur la route du retour, on passe devant un petit truc, un restaurant antillais qui à l’air pas mal du tout ! On y va ! On a pas regretté, mais n’anticipons pas et disons simplement que le… le repas était très bien.

Le serveur s’approche, un grand noir, très jovial et très sympathique !

- Des cafés, ces messieurs dames ?

On refuse, j’ai peur que ça nous empêche de dormir et on commande l’addition. C’est alors que je remarquais mon épouse qui regardait avec une attention toute particulière la braguette du serveur. Effectivement ce qu’il y avait à l’intérieur paraissait de bonne taille.

Une fois, à l’extérieur, je dis à Isabelle sur le ton de la plaisanterie :

- Alors on se rince l’œil ?

Elle rougit d’abord puis se défend :

- Dis donc tu regardes bien les nanas, je peux bien regarder les mecs, non ?

Argument choc ! Que voulez vous répondre à ça ? Et puis je me suis dis que j’avais peut-être là l’occasion de réaliser un fantasme qui me trottait souvent dans la tête :

- Ça te dirait de te taper une grosse queue comme ça ?
- Mais non, tu sais bien que je t’aimes, allez on rentre, je fatigue un peu !
- Tu sais, insistais-je, si c’est juste physique, sans conséquence, ça ne me dérange pas, je crois même qu’au lieu de me déranger ça m’exciterait de te voir sucer une grosse queue !
- Ben v’la autre chose !
- Ça te dit ?
- N’insiste pas tu vas me faire faire des bêtises !
- Allez, on ne vit qu’une fois, on va essayer un truc, si ça marche pas on n’insistera pas !

On retourne au restaurant, où il n’y pratiquement plus personne, les derniers clients sont en train de payer. Le serveur est surpris !

- Vous avez oublié quelque chose ?
- On a changé d’avis, ça vous embête de nous faire un café !
- Non, non pas du tout !
- Des décas !
- D’accord des décas !
- Je me demande bien comment tu vas faire ? Me demande Isabelle !
- Quand il va revenir mate lui carrément la braguette, on improvisera !
- Tu es fou, on va passer pour des obsédés !
- C’est pas grave, on est loin de chez nous….

Le serveur revient avec les cafés. Isabelle fait comme on a dit et regarde ostensiblement l’entre jambe du serveur. Du coup il se demande se qui se passe, regarde si parfois sa braguette ne serait pas ouverte ou tachée !

- Isabelle, arrête de regarder la braguette du monsieur ! Dis-je alors !

Ça passe ou ça casse ! On va le savoir dans un instant ! Le garçon prend ça à la rigolade !

- Pourquoi ? J’ai une tache ?
- Plutôt une bosse ! répond Isabelle du tac au tac !
- Hi ! Hi Hi ! répond l’autre manquant totalement de répartie !
- J’y toucherais bien, il parait que ça porte bonheur ! Reprend Isabelle !
- Voyons, madame ! Que va dire votre mari ?
- Oh, vous savez moi je suis un mari très compréhensif ! Expliquais-je.
- Alors je peux ?
- Ben puisque tout le monde est d’accord !

Incroyable ! Isabelle caresse ostensiblement la braguette du serveur qui évidement est aux anges et se laisse faire. La bosse a changé d’aspect et laisse maintenant deviner un joli cylindre. Ma femme dézipe carrément la braguette du mec et s’en va fouiner dans son caleçon. La situation commence à m’exciter et comme il n’y a apparemment que nous trois, je m’occupe avec une main de mon propre sexe tandis que l’autre va fouiller dans les dessous de mon épouse.

Et tout d’un coup ma femme extrait la quéquette du serveur qui sort de son pantalon ! Superbe objet, un belle verge très noire et terminée par un joli gland long, bien brillant ! J’aurais presque envie de m’en mêler mais je n’ai jamais confié à mon épouse mes fantasmes bisexuels, et puis il faudrait qu’il soit d’accord ce qui n’a rien d’évident, restons sage. Ce qui se passe est déjà inespéré, ne demandons pas la lune !

Isabelle commence à masturber l’engin du serveur avec beaucoup de conviction, puis son visage se rapproche. Elle ose un baiser assez timide sur le flanc de la verge, puis un deuxième, avant de donner un petit coup de langue. Elle se recule de quelques centimètres, caresse le gland entre le pouce et l’index, rapproche de nouveau son visage, met en contact ses lèvres avec l’extrémité de son pénis, se contente de l’embrasser, puis la bouche s’ouvre, se referme ! Ça y est, elle a un bout de la bite du serveur dans la bouche ! Et elle se met à le sucer, vu la taille de la chose il n’est pas question qu’elle essaie de tout avaler, aussi se concentre-t-elle sur ce joli gland. Le type ne reste pas passif et sa main est venue se coller d’abord sur le tee-shirt de ma compagne. Voulant l’encourager je lui soulève le vêtement pour lui faciliter le passage et fait sauter les bonnets du soutien gorge par-dessus les seins. Du coup notre serveur titille maintenant la poitrine d’Isabelle. Elle adore ça qu’on lui tripote les seins. Quant à moi, mon excitation ne retombe pas ! Isabelle1204

- Vous avez peut-être un collègue qui pourrait nous rejoindre ? Vous savez, deux bites ça ne lui fait pas peur !
- Il y a bien Gauthier, le plongeur, mais il n’est pas aussi monté que moi, et puis il est un peu bizarre, mais enfin c’est comme vous voulez, il ne dira pas non !
- Qu’est ce qu’il a de bizarre ? M’informais-je.
- Ben, disons qu’il est un peu à voile et à vapeur !
- Mais ce n’est pas un problème, ça, faites donc venir Gauthier… plus on est de fous plus on rigole !

Le serveur appelle donc Gauthier ! Mais l’autre n’a pas l’air de répondre, il appelle de nouveau…. et surprise ce n’est pas Gauthier qui déboule mais une petite antillaise toute frisée !

- Il est au téléphone, Gauthier…. mais qu’est ce que vous fabriquez ?
- Elle peut venir avec nous ? propose le serveur !
- Bien sûr ! répondis-je
- Allez Mylène, viens te détendre ! Lui lance son collègue.
- Et, ben ! Vous ne vous emmerdez pas ! Ça va ? Elle est bonne la bite à Antoine ?

Chic on sait maintenant comment s’appelle le serveur, ça m’aurait embêté de ne pas le savoir !

- Humm… un régal ! Répond Isabelle, abandonnant sa fellation quelques instants.
- Et donc Monsieur est avec Madame, si j’ai bien compris !
- Ben oui c’est tout à fait ça !
- D’accord, et ça vous excite de voir votre femme sucer une grosse bite !
- Oh, oui, alors, ça m’excite !
- Voyons voir, dit elle en me plaçant alors sa main sur ma braguette.

Comme vous le devinez bien, ce qu’elle touchait était tout dur.

- Alors petit cochon, comme ça on offre une grosse bite à sa petite femme ! c’est pour un anniversaire.
- Non, non, on avait rien prévu, c’est un concours de circonstances…
- Vous avez de la chance, ça m’excite, moi ce genre de situation…. Je vous plait j’espère !
- Vous êtes ravissante !
- Bon, je me débrouille toute seule pour vous sortir ça du pantalon ou vous baissez tout ça vous-même, ce serait quand même plus pratique.

D’accord faisons pratique, je me lève et fais glisser pantalon et caleçon sur mes chevilles.

- C’est jolie aussi une petite bite blanche ! Humm elle est toute raide…

Petite, petite, elle n’est pas si petite que ça… mais c’est vrai qu’en comparaison avec le mandrin d’Antoine, je ne joue pas dans la même division…

- Allez assis-toi petit cochon, tu vas voir comme elles savent bien sucer les antillaises.

Je n’en doute pas un instant, et déjà elle a ma bite dans sa bouche qu’elle fait aller et venir tout en distribuant de savants coups de langues sur les endroits les plus sensibles. Je jette un coup d’œil à côté, Isabelle s’est carrément mis à genoux entre les jambes du grand black et lui fait maintenant une fellation très soutenue, tandis que ses mains lui malaxent les couilles ! Mon dieu que c’est beau…. Dommage qu’il ait vraiment un engin démesuré sinon j’aurais bien proposé à ma femme qu’elle le prenne dans le cul ! Ça m’aurait vraiment bien plu de voir ça, mais ne rêvons pas, quand c’est trop gros, c’est trop gros.

- Je m’appelle Mylène ! Me dis l’antillaise interrompant un moment sa fellation !

Elle n’est pas folle, elle a compris que j’allais tout lâcher d’un moment à l’autre et préfère faire une petite pause. Et puis je trouve ça sympa qu’elle se présente, je n’aime pas trop les rapports anonymes….

- Moi c’est Alexis !
- Vous êtes russe ?
- Non et vous ?

Elle rigole !

- Vous voulez voir mes nénés !
- Bien sur que j’aimerais voir vos nénés !

Pas compliquée, la fille ! Elle enlève son tee-shirt, elle a un joli soutif en voile rouge qu’elle dégrafe dans la foulée. Jolie poitrine ! Attiré comme un aimant j’entreprends de lui lécher les tétons, elle se laisse faire sans problème, ça à l’air de lui plaire…

Un gémissement étouffé, à côté. Je comprends qu’Antoine vient de jouir ! Ce cochon lui a tout lâché dans la bouche. Je croise le regard d’isabelle, elle est radieuse ! En plus d’être excité je suis super content que l’affaire ce soit bien passé, on recommencera !

- Alors elle était bonne la bite à Antoine ? lui demande Mylène.
- Super ! Répond mon épouse en réajustant sa tenue
- Vous savez, on adore les couples coquins, parfois il y en a qui viennent ici, mais c’est quand même assez rare…

En disant cela la petite antillaise lui a mis la main sur l’épaule par dessus le tissu du tee-shirt et la caresse négligemment. Comme Isabelle ne dit rien, ses mouvements de main deviennent plus larges et s’approchent de son sein droit. J’ai compris le manège. Ce que j’ignore c’est comment va réagir mon épouse quand l’autre va lui mettre carrément la main sur le nichon ? Si elle pouvait accepter la caresse, ce serait fabuleux, mais ne soyons pas trop gourmant, je voudrais aussi qu’elle termine sa fellation, mais en a-t-elle l’intention ?

Ça y est, la main de Mylène est sur le sein d’Isabelle qui répond par un sourire complice ! Du coup l’autre met les deux mains, Isabelle lui rend la politesse, leurs visages se rapprochent et « vlatipa » qu’elles se roulent une pelle. Quant à Antoine, il a l’air aussi passionné que moi par ce spectacle

- Tu m’a appelé ! dit alors quelqu’un !

D’où sort-il celui là ? Je comprends qu’il s‘agit de Gauthier le plongeur. Il regarde la scène avec des yeux tous ronds : Les deux femmes en plein élan de tendresse, Antoine debout la bite à l’air, moi aussi d’ailleurs sauf que je suis assis ! Voilà un spectacle que l’on ne voit pas au restaurant tous les samedis soirs !

- Madame avait une grosse envie de bite ! Mais toi tu n’as rien compris, tu passes des heures au téléphone ! lui répond Antoine.

Du coup Isabelle regarde le nouveau venu, ce n’est pas un antillais, ce doit être un réunionnais ou un mauricien métissé avec beaucoup de sang indien. Il est assez mignon.

- Mais vous êtes le bienvenu ! Lui dit Isabelle, plus on est de fou, plus on rigole !
- C’est vrai, vous voulez voir ma bite, mais vous allez être déçu, je n’ai pas le calibre d’Antoine !
- On s’en fout j’ai envie de sucer, répond Isabelle décidément déchaînée !
- OK, je vais me mettre à poil !

Gauthier, ne doit pas aimer l’amour débraillé, il recule d’un mètre ou deux, et se déshabille complètement, plaçant ses affaires méticuleusement sur le dossier d’une chaise. Vraiment troublant le type, imberbe, une belle peau mate, un corps sans musculature exagérée, la verge est plus sombre que le reste, un peu comme chez les asiatiques. Une fois nu, il s’avance vers mon épouse, qui sans aucun préambule se met sa queue dans sa bouche ! Je vous dis, elle est déchaînée !

- J’ai prévenu ces messieurs dames que tu étais un peu bi, ils m’ont dit que ça ne les dérangeait pas !
- Tu parles toujours de trop, Antoine… mais c’est vrai j’aime aussi bien les femmes que les hommes….

Je fais quoi ? Comment va réagir Isabelle si je franchis le pas devant elle ! Et puis que peut-elle me reprocher ? Ne vient-elle pas de rouler un patin à la petite Mylène ! Oui, mais rouler un patin ou faire un pipe ce n’est quand même pas la même chose…. D’un autre côté, des occasions comme celle-ci je ne vais pas en rencontrer tous les jours !

- Je me suis toujours demandé ce que ça faisait de sucer une bite ! Je peux essayer juste un petit peu ? Lançais-je !

La tête d’Isabelle ! Elle n’est pas choquée, mais elle se demande ce qui m’arrive ! J’ai peut-être été trop loin ?

- Ça ne te choque pas ? Isabelle ?
- Choquée, non ! Pourquoi voudrais tu que je sois choquée, mais surprise oui, ça alors, tu peux le dire ! Allez vas-y prend ma place suce lui sa queue à ce charmant jeune homme tu va voir comme c’est bon !

En fait ce n’est pas ma première, mais il y a des années que je n’ai pas fait ce truc là… Me voilà donc avec une verge dans la bouche….

- Reste là, on peut partager ! Dis-je à Isabelle

Je suce de mon mieux, me régale de cette texture soyeuse et de son petit goût un peu âcre…

- Tu y prend goût on dirait, je croyais que tu voulais juste essayer !
- C’est que ça me plait bien, c’est pour ça !
- Bon ben rends la moi !

Presque à regret je me dégage et passe le relais à Isabelle. Comme cette bite est de taille standard, elle peut la mettre presque en entier dans sa bouche. Manifestement elle se régale. Elle a adopté la même position que tout à l’heure, à genoux entre ses jambes. Mylène s’est immiscée entre eux deux et est venue lui sucer le bout des seins, puis entreprend de lui défaire son pantalon. Isabelle comprend ce qu’elle veut faire, continue quelques mouvements de fellation puis se disant qu’il est peut-être aventureux de faire deux choses à la fois, se dégage et retire elle même tout le bas avec une décontraction et un naturel qui font plaisir à voir. Du coup je reprends ma propre fellation.

Un coup d’œil à côté, Isabelle s’est couchée sur la banquette, et Mylène est entre ses jambes en, train de lui sucer le minou pendant que ses mains lui agacent les tétons ! Je continue de sucer, je suis tout raide ! Je repense à mon fantasme de tout à l’heure ! J’en parle à Gauthier

- Ça te dirait d’enculer ma femme ?
- Si elle est d’accord je veux bien, je peux t’enculer aussi si tu veux…
- Euh… je ne suis pas contre, mais pas tout le même jour !
- OK, suce moi encore un peu, on va les laisser un peu tranquilles toutes les deux….

Bonne mentalité ce mec ! J’apprécie, et je continue à sucer pendant cinq bonnes minutes. Derrière nous le spectacle est devenue incroyable, les deux femmes sont à présent quasi nues et se broutent le minou en position de soixante neuf, elle halètent toutes les deux de plus en plus bruyamment. Du coup on s’arrête pour regarder ça, y compris Antoine qui se masturbe faisant rebander son immense engin. Mylène part la première en poussant un petit cri perçant, j’ai un peu peur de la réaction d’Isabelle qui a l’habitude de jouir en « ameutant le quartier ». Mais ça va, elle sait se tenir mais nous fait malgré tout un boucan impressionnant. Les deux femmes quittent leur position et se jettent dans les bras l’une de l’autre se roulant une incroyable pelle.

Puis elle me fait face, me regarde, regarde Gauthier !

- Ben alors vous deux, vous n’avez pas joui !
- On regardait, c’était beau !
- Tu sais ce qui me plairait…. commençais-je…. c’est que tu…
- Chut…, tu joueras les organisateurs un autre jour, tu ne te rends pas compte de ce que tu as déclanché, on va finir comme j’ai envie, d’accord !
- D’accord ! Répondis-je un peu déçu !

Alors Isabelle se coucha sur le sol !

- Allez, tous les trois masturbez-vous et arrosez-moi je veux plein de sperme sur mon corps !!

Ben v’la autre chose ! Mais après tout pourquoi pas ? On se branle tous les trois tandis qu’elle se tripote le minou. Je part le premier lui balançant mon sperme sur les seins, Antoine me suit giclant une quantité incroyable sur son ventre. Elle se badigeonne avec sur tout le corps tandis que Gauthier vient rajouter sa propre semence…

- C’est bon d’être mouillée comme ça, vous êtes sûrs que vous ne pouvez pas m’en faire encore quelques gouttes les mecs ?

Elle exagère !

- On peut te faire pipi si tu veux ! Propose alors Gauthier !

Un vrai vicelard, celui-ci !

- Oui, pissez moi dessus !

L’uro n’était pas pour notre couple une nouveauté, nous nous étions essayé à ces jeux que nous pratiquions quand l’envie nous prenait !

C’est Gauthier qui commença les hostilités faisant balader son jet sur tout le corps de mon épouse, y compris sur son visage, mais elle garda la bouche délibérément fermée. Je me concentrais pour participer à la fête, mais ce n’est parfois pas trop évident de pisser sur commande. Antoine l’aspergea à son tour. Elle était trempée de la tête au pied !

- Viens aussi toi ! dit alors Isabelle à Mylène !
- Tu veux que moi aussi je te pisse dessus !
- Bien sûr, et pour toi je vais garder la bouche ouverte !
- T’es vraiment une belle cochonne….
- Oui, c’est vrai, mais c’est de la faute de mon mari !

On s’est calmée ensuite, puis Mylène a emmené Isabelle se rincer et s’essuyer le corps. On a bu un grand verre d’eau gazeuse, et on s’est dit au revoir…

- Revenez un jour vers la même heure… si ça vous dit il n’y a pas de problème, vous pouvez même nous téléphoner avant… Nous précise Mylène !

On a roulé un peu ! Isabelle ne cause pas, elle à l’air crevée, mais elle est tout sourire.

- Tu as bien fait de me proposer de revenir pour le café, mon chéri, je voulais te dire merci ! Dit elle enfin
- Ça me fait plaisir ! C’est vrai qu’on s’est bien amusé !
- On recommencera, dis ?

Moralité : il ne faut jamais réveiller la petite cochonne qui sommeille en votre femme ! Non pardon, c’est le contraire : Faites en sorte de réveiller la petite cochonne qui sommeille en votre femme, cela ne pourra que vous rendre heureux tous les deux !

© 12/2004 Alexis Defond Rossignol

Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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Lundi 2 décembre 2002 1 02 /12 /Déc /2002 14:24

Les gros seins de Tante Julie par Alexis Defond Rossignol

 

BigsTits

Themes abordés : domination soft, famille, spermophilie, uro

« Chère maître,

Je vous écris pour vous signifier mon intention de demander le divorce, je
compte sur votre compétence pour me conseiller la meilleure procédure, la
plus rapide, la moins onéreuse et la moins traumatisante pour ma future
ex-épouse !

Je n’ai rien à reprocher à ma femme, sauf que… j’en ai trouvé une autre,
une autre que j’aime davantage, et il se trouve que cette autre là est la
propre tante de mon épouse ! C’est la vie !

Permettez-moi de vous narrer, en m’excusant à l’avance pour les mots crus,
quelles ont été les circonstances de ma rencontre avec Julie D…
circonstances qui ont à jamais changé ma vie. »

 

°°°°°°°°°
Annexe :

 

Ma rencontre avec Julie !

Je me serais bien passé du mariage, mais Christelle, ma future épouse y
tenait, et sa famille également. Il a donc fallu se farcir la cérémonie, la
robe blanche, la préparation au mariage avec débats obligatoires avec
quelques futurs couples simplets et un curé coupé des réalités de ce bas
monde, le riz que l’on gâche en le jetant sur la chaussé, le vin d’honneur,
le banquet, les photos dans le parc, la pièce montée, et j’en passe. Bien
sûr on me présenta un tas de gens, des oncles, des tantes et cousins, des
marraines et de parrains, des amis, des collègues et des voisins. Je n’avais
qu’une hâte, que tout cela finisse. J’en avais la nausée de tous ces mecs
habillés en semi-pingouins, de ces bagnoles lavées et empapillotées pour
l’occase, de ces bonnes femmes aux toilettes ridicules aux chapeaux absurdes
et aux sacs à main minuscules, de ces sales gosses gesticulant dans tous les
sens…

Et puis on me présenta. Robert et Julie !

- Enchanté !

Tilt ! J’ai fais tilt ! Il y a des femmes comme ça, le seul fait de les
regarder et c’est un avis de tempête qui se prépare au niveau des roupettes
!

Un joli visage, bien lisse, une belle peau, des yeux gris clair, une
bouche… mon dieu sa bouche ! Grande brune, joliment coiffée, assez forte
mais sans exagération, Elle était vêtue d’une robe décolletée dans lequel
mes yeux avaient du mal à ne pas se perdre ! Du E ? Du F ? Je ne sais si
elle s’aperçut des errements de mon regard, mais son sourire, cet immense
sourire ne la quitta point ! J’avais rencontré une déesse le jour de mon
mariage et ce n’était pas ma femme !

C’est deux heures après que Julie m’aborda de nouveau, seule cette fois !

- Alors comme ça je viens d’apprendre que vous travaillez Boulevard Voltaire
? Me dit-elle.

Voilà qui ne la regardait pas, mais elle aurait pu aussi bien me parler de
crochet ou de passementerie que je l’aurais écouté bouche bée !

- Oui, je travaille chez X… dans l’informatique !
- Et vous vous y rendez comment ?
- Transport en commun !
- Vous descendez donc au métro Voltaire ?
- Oui.
- Le jour ou vous serez en avance, faite une station de plus, j’habite près
du métro Charonne, je me ferais un plaisir de vous offrir le petit
déjeuner…
- Volontiers…

J’attendais qu’elle me communique l’adresse, mais elle ne me la donnait pas,
mon regard louchait de nouveau vers ce décolleté décidemment trop provocant.
Sans cesser de sourire, elle eut alors ce geste de se caresser le haut du
sein avec l’index, juste l’espace de quelques instants. Je bandais !

- Je peux avoir l’adresse ? Balbutiais-je !

Je compris alors qu’elle attendait que je lui demande ! Elle me la
griffonna, et tandis que je la rangeais avec précaution, elle me précisa :

- Ne viens pas avant 8 heures, mon mari n’aime pas trop recevoir du monde !

Il s’écoula plusieurs mois, après ce mariage sans que trouve l’occasion
d’honorer cette invitation, inconsciemment je redoutais de me laisser
entraîner dans des aventures incontrôlables. Je n’en avais pas parlé à
Christelle, qui de toute façon ne fréquentai pratiquement pas la tante en
question.

Et puis ce jour là, c’était un mardi, j’avais prévu de passer la journée
chez un client qui avait de gros problèmes. C’était le bordel dans les
transports en communs et je n’avais même pas eu le temps de prendre mon
petit déjeuner. Je téléphone pour confirmer le rendez-vous.

- Ah ! Ben non, en fait, on n’a plus de problème ! Un des nos techniciens
nous a remis tout cela d’aplomb.

Ma hiérarchie n’avait pas besoin de le savoir, et je précisais au client que
je passerais juste une demi-heure, prétextant que cette démarche serait
imposée par le contrat de maintenance… en fait, il me faudrait simplement
faire signer une feuille d’intervention, mais sinon ma journée devenait
libre.

Je sors, me dirige vers le métro mais me souviens que ce n’est peut-être pas
le jour, et changeant de plan, je vais à la recherche d’un bistrot pour
enfin prendre mon petit déjeuner. C’est alors que l’image de la tante Julie
m’est revenue ! Une image irrésistible, je n’avais pas de numéro de
téléphone, je décidais d’y aller…

- Dring ! Dring !
- Qui c’est ?
- C’est Alexis !
- Alexis ?

Déception, elle ne me remet donc pas !

- Alexis, le mari de Christelle, votre nièce !
- Un petit moment, je vous ouvre !

Ouf !

Elle m’ouvre, elle est en robe de chambre, elle l’a revêtue de façon à ce
que la naissance des seins soit visible, je suis persuadé qu’elle l’a fait
exprès. J’ai conscience de m’embarquer dans un joli traquenard ! On
s’embrase bisous-bisous sur les deux joues, j’aime sa peau, elle est douce,
lisse, tendre, sensuelle…

- J’avais perdu espoir de te revoir ! Me dit-elle, m’accueillant avec le
plus gracieux des sourires.
- C’est que le matin, je n’ai pas beaucoup de temps !
- Et aujourd’hui ?

Je lui expliquais !

- Super ! Viens dans la cuisine, je vais te faire chauffer un petit truc !

Elle me prépare un chocolat, on parle un peu de tout et de rien, puis elle
me verse mon petit déjeuner dans un bol, et s’assied en face de moi, à ce
moment là, sa robe de chambre se mit à blouser et en fait, j’avais la
conviction qu’en bougeant un peu je pourrais percevoir davantage de ses
seins.

- Tu regarde quoi donc, Alexis ?

Je deviens rouge comme une écrevisse. Et là, que faire ? Jouer l’hypocrisie,
ou entrer dans son jeu. J’opte pour la deuxième solution !

- Je regardais votre décolleté, mais je suis confus, veuillez me pardonner !
- Tu peux me tutoyer, mais tu es pardonné, les hommes sont tous les mêmes,
il y a toujours un petit cochon qui sommeille !
- Je suis désolé ! Répétais-je
- Souhaite-tu que je cache mieux tout cela !
- Je crois que ce serait plus sage !

Je m’en voulu d’avoir sorti cette connerie ! Elle ne rectifie rien du tout
de sa tenue mais change complètement de conversation !

- Ça se passe bien avec Christelle ?
- Ça va !
- L’essentiel c’est que vous soyez heureux, la vie est souvent bizarre, les
hommes se marient que très rarement avec leur genre de femmes ?
- Qu’est ce qui vous fait dire ça ? (j’avais décidemment du mal à la
tutoyer)
- Parce que Christelle n’est pas ton genre de femme, cela ne l’empêche pas
d’être charmante, d’ailleurs, mais bon…

Le pire c’est qu’elle n’avait pas tort, mais comment faisait cette sorcière
pour percer ainsi ma personnalité ?

- Il y a la vie de tous les jours, et il y a les fantasmes ! Répliquais-je
histoire de dire quelque chose.
- Tu veux que je te dise ce qu’est ton genre de femmes ?
- Dites-voir ?
- Grande, un peu forte, de la poitrine et même un peu autoritaire, dominante
du moins.
- Oui c’est un peu ça !
- Un peu comme moi, alors ! M’asséna t-elle ne me regardant dans les yeux !

La panique ! Elle a réussi à redresser la situation à son profit !

- Oui, j’avoue !
- Alors laisse-toi faire !
- Je ne sais pas, vous êtes très directe, vous !
- Je vais t’aider !

Elle prit alors sa cuillère à café et la jeta volontairement par terre, puis
d’une voix ingénue me dit alors :

- Oh, ça alors, j’ai fais tomber ma petite cuillère, veux-tu me la ramasser,
Alexis ?
- Est-ce un jeu, ma tante ?
- Ecoute Alexis, un : je ne suis pas ta tante, et deux : je t’ordonne de me
tutoyer, sinon je vais être obligé de te punir comme un enfant désobéissant
!

Le jeu commençait à m’amuser et je me baissais pour ramasser la cuillère, au
moment ou j’allais m’en emparer, elle posa son pied nu dessus m’empêchant
d’agir !

- Ben alors… Comment tu va faire ?
- Je pourrais l’enlever en force, mais je ne crois pas que ce soit la bonne
solution !
- Tu as raison, comment pourrait-on résoudre ce problème, peut-être en me
caressant le pied…

Je n’ai jamais été fétichiste du pied, mais la vue d’un joli peton sait
malgré tout me ravir et celui-ci était fort aimable, je le caressais avec un
plaisir non dissimulé, constatant avec surprise que la peau y était douce et
veloutée. Puis, très doucement elle relâcha la pression de son pied, me
laissant l’accès à la cuillère, elle se baissa alors afin de s’en emparer
tout en restant assise, l’échancrure de sa robe de chambre s’ouvrit alors me
faisant découvrir la presque intégralité de son imposante et belle poitrine.

- Quelle belle poitrine !
- Bof, elle est trop grosse !

Ce disant, elle se réajuste, ne me laissant plus rien voir !

- Laissez-moi la regarder à nouveau, juste une fois, et après je crois que
je m’en irais, sinon je risque de faire des bêtises !
- Je t’avais dis que je te punirais si tu me vouvoyais encore !
- Excuse-moi, j’ai du mal !
- C’est très bien de s’excuser, mais ça n’enlève pas la punition !

Punition, tu parles, si elle me propose de me mettre sur ces genoux et de me
flanquer une fessée, ce sera tout sauf une punition, en espérant toutefois
qu’elle ne soit pas trop brutale… J’attendais avec impatience.

- La punition, c’est qu’on arrête tout : Annonça-t-elle.

Non ! Pas ça ! Mais que dire ? Cette pétasse n’est qu’une allumeuse, j’ai
assez perdu mon temps ici.

- Bon je vous laisse !
- Tu ne finis pas ton chocolat !
- Non, finalement je n’ai pas très faim.
- Alors viens me faire un bisou et file !

Audra03 Je m’approche, le bisou est chaste, je me dégage, elle ouvre
alors son peignoir !

- Regarde bien, c’est pour te donner envie de revenir !

J’en reçois effectivement plein la vue ! Mais à quoi joue-t-elle ? Non, je
ne reviendrais pas ! Mais cette image va me hanter mes nuits et mes jours,
je récupère ma sacoche et me dirige vers l’entrée.

- Alexis !
- Oui ma tante !

Elle est à présent complètement nue ! Je vais devenir fou, il faut que je
m’échappe.

- Juste un mot, avant que tu partes, un seul mot !

Je reviens vers elle, tremblant !

- Tu me crois donc si méchante que ça !
- Je ne comprends pas !
- Tu as cru que j’allais vraiment te laisser partir comme ça ?
- Je ne sais pas !
- Cornichon !

On s’est retrouvé dans les bras l’un de l’autre, je n’en pouvais plus de lui
caresser le dos, les fesses, je n’attendais qu’une chose c’est qu’elle se
dégage un peu afin que je puisse lui peloter les seins. Mais ça n’en prenait
pas le chemin, par contre nos visages si prés l’un de l’autre s’invitèrent
au baiser, il fut profond, baveux, généreux, fougueux, irrésistible et
bandulatoire. Enfin elle s’écarte, me fout carrément la main à la braguette,
constate la rigidité ambiante et me dézipe la fermeture-éclair, elle
farfouille ensuite, me caresse mon sexe rigide à travers mon caleçon mais a
du mal à l’extirper. Je lui propose de l’aider et je dégrafe la ceinture du
pantalon. Je tente d’approcher mes mains de ses seins, mais voilà qu’elle
s’accroupit et me gobe le sexe, elle me le suce avec une frénésie qui fait
plaisir à voir !

- Hum, j’aime ça sucer des bites, je suis une grosse cochonne, une grosse
pute ! Je suis ta salope…

Et j’en passe, je savais que certaines femmes aimaient les mots cochons
pendant l’amour, mais elle, elle en abusait, après tout pourquoi pas, cela
avait l’air de l’exciter, et ça ne fait de mal à personne si cela n’est pas
dit dans l’intention de dégrader !

- Pas trop vite, ma tante, je vais jouir !
- Mais putain, je ne suis pas ta tante, bordel de merde !
- N’empêche que je vais jouir !

Elle me fait un signe avec la main, renonçant à parler la bouche pleine, ce
geste doit signifier que si je jouis, et bien cela ne la dérange pas ! Et
justement c’est ce qui se passe, je pars à grosses giclées et Julie avale
tout !

- Hum c’est gentil de m’avoir apporté mon petit déjeuner, mais maintenant je
suis excitée comme une puce ! Viens dans la chambre et fous toi à poil.

Je me suis retrouvé quelques instants plus tard entre ses cuisses, elle
avait pris sa douche mais les sucs de l’excitation la parfumaient d’une
odeur enivrante, je léchais à qui mieux-mieux sa chatte humide, tandis
qu’elle se tortillait les bouts de seins avec une violence incroyable,
j’aventurais mes doigts dans le vagin en position de crochet, provoquant
d’assez insolites floc-floc, puis me concentrais sur son clitounet érigé
d’excitation. Sa respiration devenait haletante, et elle répétait en
suffoquant des « Vas-y ! Vas-y !» ou des « C’est bon !, C’est bon !». Elle
parvint à me dire dans un souffle !

- Quand je vais jouir tu me lâche le clito, mais tu continue à me lécher la
chatte, ok !
- Ouimpffff ! Répondis-je.

Les draps qui se tirent, le corps qui se tend, un cri, un cri fulgurant,
sans ses instructions je me serais précipité sur elle pour l’embrasser avec
tendresse, mais elle voulait que je reste dans ses cuisses, loin de moi
l’idée de vouloir contrarier ses habitudes, je léchais donc sa chatte avec
gourmandise, quand il me sembla que l’humidité du lieu s’aggravait
bougrement !

- Lape-moi ! Bois-moi !

Je n’ai pas osé lui demander si elle urinait de plaisir où s’il s’agissait
de cette fameuse éjaculation féminine provoquée par l’excitation du point G
! Mais cela était délicieusement pervers.

On s’est ensuite endormi, dans les bras l’un de l’autre. Je pouvais enfin
lui peloter les seins à loisirs et je ne m’en rassasiais pas…. Et je n’en
suis toujours pas rassasié !

 

°°°°°°°°°
Voilà j’ai relu tout cela, au moins c’est argumenté ! Le client d’avant est
parti, il ne reste plus que moi dans cette salle d’attente. Je ne sais même
pas à quoi ressemble cet avocat, choisi au hasard des pages professionnelles
de l’annuaire.

 

- Monsieur Defond-Morsignol !
- Rossignol !

L’avocat est une avocate, je la suis, elle s’installe derrière son bureau,
me fait un sourire, je lui tends ma lettre et le texte annexe : Je l’observe
tandis qu’elle lit ma prose ! C’est une grande femme, une blonde à lunette,
coiffé en chignon, elle est habillée d’un tailleur dont elle enlève la
veste, son chemisier est boutonné chastement, mais je devine qu’en dessous
des formes généreuses s’y profilent. Au fur et à mesure de la lecture, son
visage se rosit, elle me jette des petits coups d’oeils furtifs l’air de
penser « c’est bien lui qui a écrit ça ? » . Enfin, elle pose le dossier et
avec une lenteur toute calculée, détache deux boutons de son chemisier,
j’aperçois à présent la naissance de seins… et elle continue… je crois
un moment qu’elle va retirer son soutien, non, elle le laisse ouvert, la
tenue dégage un érotisme torride, ce soutien gorge bleue en fine dentelle
renfermant ces trésors ! As-t-elle conscience des risques qu’elle prend, je
n’ai rien d’un violeur mais elle ne me connais pas, bah ! Il doit y avoir
des alarmes ou un chien ou … mais la voilà qui se lève ! Je bande, où
est-ce que je m’embarque à nouveau ?

- Monsieur Gaudriole !
- Rossignol !
- Vous n’allez tout de même pas entamer une procédure de divorce à chaque
fois que vous allez rencontrer une grande femme avec une grosse poitrine !
M’invectiva-t-elle.
- Mais je….
- Je quoi ? Ce n’est pas un avocat qu’il vous faut, c’est un sexologue ! Je
vous donnerais une adresse tout à l’heure, mais laisser moi vous dire,
Monsieur Roubignole…
- Rossignol !
- Que vous êtes un salopard !
- Ecoutez…
- Oui, un salopard, parce que vous m’avez excité avec vos conneries, et que
maintenant vous allez être obligé d’assumer… Me dit-elle en retirant alors
son soutien-gorge et en me fourrant ses gros seins sous mon nez !

 

°°°°°°°°°
L’histoire n’a point de morale, elle ne dit pas si le narrateur a divorcé ou
non, et elle ne dit pas non plus si le sexologue conseillé par l’avocat
était, elle aussi une grande femme à forte poitrine. Un récit n’est jamais
exhaustif.

 

 

°°°°°°°°°
Alexis Defond-Rossignol (12/2002)

 

 
Par Alexis Defond-Rossignol - Publié dans : Alexis
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