Themes abordés : domination soft, famille, spermophilie, uro
« Chère maître,
Je vous écris pour vous signifier mon intention de demander le divorce, je
compte sur votre compétence pour me conseiller la meilleure procédure, la
plus rapide, la moins onéreuse et la moins traumatisante pour ma future
ex-épouse !
Je n’ai rien à reprocher à ma femme, sauf que… j’en ai trouvé une autre,
une autre que j’aime davantage, et il se trouve que cette autre là est la
propre tante de mon épouse ! C’est la vie !
Permettez-moi de vous narrer, en m’excusant à l’avance pour les mots crus,
quelles ont été les circonstances de ma rencontre avec Julie D…
circonstances qui ont à jamais changé ma vie. »
Ma rencontre avec Julie !
Je me serais bien passé du mariage, mais Christelle, ma future épouse y
tenait, et sa famille également. Il a donc fallu se farcir la cérémonie, la
robe blanche, la préparation au mariage avec débats obligatoires avec
quelques futurs couples simplets et un curé coupé des réalités de ce bas
monde, le riz que l’on gâche en le jetant sur la chaussé, le vin d’honneur,
le banquet, les photos dans le parc, la pièce montée, et j’en passe. Bien
sûr on me présenta un tas de gens, des oncles, des tantes et cousins, des
marraines et de parrains, des amis, des collègues et des voisins. Je n’avais
qu’une hâte, que tout cela finisse. J’en avais la nausée de tous ces mecs
habillés en semi-pingouins, de ces bagnoles lavées et empapillotées pour
l’occase, de ces bonnes femmes aux toilettes ridicules aux chapeaux absurdes
et aux sacs à main minuscules, de ces sales gosses gesticulant dans tous les
sens…
Et puis on me présenta. Robert et Julie !
- Enchanté !
Tilt ! J’ai fais tilt ! Il y a des femmes comme ça, le seul fait de les
regarder et c’est un avis de tempête qui se prépare au niveau des roupettes
!
Un joli visage, bien lisse, une belle peau, des yeux gris clair, une
bouche… mon dieu sa bouche ! Grande brune, joliment coiffée, assez forte
mais sans exagération, Elle était vêtue d’une robe décolletée dans lequel
mes yeux avaient du mal à ne pas se perdre ! Du E ? Du F ? Je ne sais si
elle s’aperçut des errements de mon regard, mais son sourire, cet immense
sourire ne la quitta point ! J’avais rencontré une déesse le jour de mon
mariage et ce n’était pas ma femme !
C’est deux heures après que Julie m’aborda de nouveau, seule cette fois !
- Alors comme ça je viens d’apprendre que vous travaillez Boulevard Voltaire
? Me dit-elle.
Voilà qui ne la regardait pas, mais elle aurait pu aussi bien me parler de
crochet ou de passementerie que je l’aurais écouté bouche bée !
- Oui, je travaille chez X… dans l’informatique !
- Et vous vous y rendez comment ?
- Transport en commun !
- Vous descendez donc au métro Voltaire ?
- Oui.
- Le jour ou vous serez en avance, faite une station de plus, j’habite près
du métro Charonne, je me ferais un plaisir de vous offrir le petit
déjeuner…
- Volontiers…
J’attendais qu’elle me communique l’adresse, mais elle ne me la donnait pas,
mon regard louchait de nouveau vers ce décolleté décidemment trop provocant.
Sans cesser de sourire, elle eut alors ce geste de se caresser le haut du
sein avec l’index, juste l’espace de quelques instants. Je bandais !
- Je peux avoir l’adresse ? Balbutiais-je !
Je compris alors qu’elle attendait que je lui demande ! Elle me la
griffonna, et tandis que je la rangeais avec précaution, elle me précisa :
- Ne viens pas avant 8 heures, mon mari n’aime pas trop recevoir du monde !
Il s’écoula plusieurs mois, après ce mariage sans que trouve l’occasion
d’honorer cette invitation, inconsciemment je redoutais de me laisser
entraîner dans des aventures incontrôlables. Je n’en avais pas parlé à
Christelle, qui de toute façon ne fréquentai pratiquement pas la tante en
question.
Et puis ce jour là, c’était un mardi, j’avais prévu de passer la journée
chez un client qui avait de gros problèmes. C’était le bordel dans les
transports en communs et je n’avais même pas eu le temps de prendre mon
petit déjeuner. Je téléphone pour confirmer le rendez-vous.
- Ah ! Ben non, en fait, on n’a plus de problème ! Un des nos techniciens
nous a remis tout cela d’aplomb.
Ma hiérarchie n’avait pas besoin de le savoir, et je précisais au client que
je passerais juste une demi-heure, prétextant que cette démarche serait
imposée par le contrat de maintenance… en fait, il me faudrait simplement
faire signer une feuille d’intervention, mais sinon ma journée devenait
libre.
Je sors, me dirige vers le métro mais me souviens que ce n’est peut-être pas
le jour, et changeant de plan, je vais à la recherche d’un bistrot pour
enfin prendre mon petit déjeuner. C’est alors que l’image de la tante Julie
m’est revenue ! Une image irrésistible, je n’avais pas de numéro de
téléphone, je décidais d’y aller…
- Dring ! Dring !
- Qui c’est ?
- C’est Alexis !
- Alexis ?
Déception, elle ne me remet donc pas !
- Alexis, le mari de Christelle, votre nièce !
- Un petit moment, je vous ouvre !
Ouf !
Elle m’ouvre, elle est en robe de chambre, elle l’a revêtue de façon à ce
que la naissance des seins soit visible, je suis persuadé qu’elle l’a fait
exprès. J’ai conscience de m’embarquer dans un joli traquenard ! On
s’embrase bisous-bisous sur les deux joues, j’aime sa peau, elle est douce,
lisse, tendre, sensuelle…
- J’avais perdu espoir de te revoir ! Me dit-elle, m’accueillant avec le
plus gracieux des sourires.
- C’est que le matin, je n’ai pas beaucoup de temps !
- Et aujourd’hui ?
Je lui expliquais !
- Super ! Viens dans la cuisine, je vais te faire chauffer un petit truc !
Elle me prépare un chocolat, on parle un peu de tout et de rien, puis elle
me verse mon petit déjeuner dans un bol, et s’assied en face de moi, à ce
moment là, sa robe de chambre se mit à blouser et en fait, j’avais la
conviction qu’en bougeant un peu je pourrais percevoir davantage de ses
seins.
- Tu regarde quoi donc, Alexis ?
Je deviens rouge comme une écrevisse. Et là, que faire ? Jouer l’hypocrisie,
ou entrer dans son jeu. J’opte pour la deuxième solution !
- Je regardais votre décolleté, mais je suis confus, veuillez me pardonner !
- Tu peux me tutoyer, mais tu es pardonné, les hommes sont tous les mêmes,
il y a toujours un petit cochon qui sommeille !
- Je suis désolé ! Répétais-je
- Souhaite-tu que je cache mieux tout cela !
- Je crois que ce serait plus sage !
Je m’en voulu d’avoir sorti cette connerie ! Elle ne rectifie rien du tout
de sa tenue mais change complètement de conversation !
- Ça se passe bien avec Christelle ?
- Ça va !
- L’essentiel c’est que vous soyez heureux, la vie est souvent bizarre, les
hommes se marient que très rarement avec leur genre de femmes ?
- Qu’est ce qui vous fait dire ça ? (j’avais décidemment du mal à la
tutoyer)
- Parce que Christelle n’est pas ton genre de femme, cela ne l’empêche pas
d’être charmante, d’ailleurs, mais bon…
Le pire c’est qu’elle n’avait pas tort, mais comment faisait cette sorcière
pour percer ainsi ma personnalité ?
- Il y a la vie de tous les jours, et il y a les fantasmes ! Répliquais-je
histoire de dire quelque chose.
- Tu veux que je te dise ce qu’est ton genre de femmes ?
- Dites-voir ?
- Grande, un peu forte, de la poitrine et même un peu autoritaire, dominante
du moins.
- Oui c’est un peu ça !
- Un peu comme moi, alors ! M’asséna t-elle ne me regardant dans les yeux !
La panique ! Elle a réussi à redresser la situation à son profit !
- Oui, j’avoue !
- Alors laisse-toi faire !
- Je ne sais pas, vous êtes très directe, vous !
- Je vais t’aider !
Elle prit alors sa cuillère à café et la jeta volontairement par terre, puis
d’une voix ingénue me dit alors :
- Oh, ça alors, j’ai fais tomber ma petite cuillère, veux-tu me la ramasser,
Alexis ?
- Est-ce un jeu, ma tante ?
- Ecoute Alexis, un : je ne suis pas ta tante, et deux : je t’ordonne de me
tutoyer, sinon je vais être obligé de te punir comme un enfant désobéissant
!
Le jeu commençait à m’amuser et je me baissais pour ramasser la cuillère, au
moment ou j’allais m’en emparer, elle posa son pied nu dessus m’empêchant
d’agir !
- Ben alors… Comment tu va faire ?
- Je pourrais l’enlever en force, mais je ne crois pas que ce soit la bonne
solution !
- Tu as raison, comment pourrait-on résoudre ce problème, peut-être en me
caressant le pied…
Je n’ai jamais été fétichiste du pied, mais la vue d’un joli peton sait
malgré tout me ravir et celui-ci était fort aimable, je le caressais avec un
plaisir non dissimulé, constatant avec surprise que la peau y était douce et
veloutée. Puis, très doucement elle relâcha la pression de son pied, me
laissant l’accès à la cuillère, elle se baissa alors afin de s’en emparer
tout en restant assise, l’échancrure de sa robe de chambre s’ouvrit alors me
faisant découvrir la presque intégralité de son imposante et belle poitrine.
- Quelle belle poitrine !
- Bof, elle est trop grosse !
Ce disant, elle se réajuste, ne me laissant plus rien voir !
- Laissez-moi la regarder à nouveau, juste une fois, et après je crois que
je m’en irais, sinon je risque de faire des bêtises !
- Je t’avais dis que je te punirais si tu me vouvoyais encore !
- Excuse-moi, j’ai du mal !
- C’est très bien de s’excuser, mais ça n’enlève pas la punition !
Punition, tu parles, si elle me propose de me mettre sur ces genoux et de me
flanquer une fessée, ce sera tout sauf une punition, en espérant toutefois
qu’elle ne soit pas trop brutale… J’attendais avec impatience.
- La punition, c’est qu’on arrête tout : Annonça-t-elle.
Non ! Pas ça ! Mais que dire ? Cette pétasse n’est qu’une allumeuse, j’ai
assez perdu mon temps ici.
- Bon je vous laisse !
- Tu ne finis pas ton chocolat !
- Non, finalement je n’ai pas très faim.
- Alors viens me faire un bisou et file !
Je m’approche, le bisou est chaste, je me dégage, elle ouvre
alors son peignoir !
- Regarde bien, c’est pour te donner envie de revenir !
J’en reçois effectivement plein la vue ! Mais à quoi joue-t-elle ? Non, je
ne reviendrais pas ! Mais cette image va me hanter mes nuits et mes jours,
je récupère ma sacoche et me dirige vers l’entrée.
- Alexis !
- Oui ma tante !
Elle est à présent complètement nue ! Je vais devenir fou, il faut que je
m’échappe.
- Juste un mot, avant que tu partes, un seul mot !
Je reviens vers elle, tremblant !
- Tu me crois donc si méchante que ça !
- Je ne comprends pas !
- Tu as cru que j’allais vraiment te laisser partir comme ça ?
- Je ne sais pas !
- Cornichon !
On s’est retrouvé dans les bras l’un de l’autre, je n’en pouvais plus de lui
caresser le dos, les fesses, je n’attendais qu’une chose c’est qu’elle se
dégage un peu afin que je puisse lui peloter les seins. Mais ça n’en prenait
pas le chemin, par contre nos visages si prés l’un de l’autre s’invitèrent
au baiser, il fut profond, baveux, généreux, fougueux, irrésistible et
bandulatoire. Enfin elle s’écarte, me fout carrément la main à la braguette,
constate la rigidité ambiante et me dézipe la fermeture-éclair, elle
farfouille ensuite, me caresse mon sexe rigide à travers mon caleçon mais a
du mal à l’extirper. Je lui propose de l’aider et je dégrafe la ceinture du
pantalon. Je tente d’approcher mes mains de ses seins, mais voilà qu’elle
s’accroupit et me gobe le sexe, elle me le suce avec une frénésie qui fait
plaisir à voir !
- Hum, j’aime ça sucer des bites, je suis une grosse cochonne, une grosse
pute ! Je suis ta salope…
Et j’en passe, je savais que certaines femmes aimaient les mots cochons
pendant l’amour, mais elle, elle en abusait, après tout pourquoi pas, cela
avait l’air de l’exciter, et ça ne fait de mal à personne si cela n’est pas
dit dans l’intention de dégrader !
- Pas trop vite, ma tante, je vais jouir !
- Mais putain, je ne suis pas ta tante, bordel de merde !
- N’empêche que je vais jouir !
Elle me fait un signe avec la main, renonçant à parler la bouche pleine, ce
geste doit signifier que si je jouis, et bien cela ne la dérange pas ! Et
justement c’est ce qui se passe, je pars à grosses giclées et Julie avale
tout !
- Hum c’est gentil de m’avoir apporté mon petit déjeuner, mais maintenant je
suis excitée comme une puce ! Viens dans la chambre et fous toi à poil.
Je me suis retrouvé quelques instants plus tard entre ses cuisses, elle
avait pris sa douche mais les sucs de l’excitation la parfumaient d’une
odeur enivrante, je léchais à qui mieux-mieux sa chatte humide, tandis
qu’elle se tortillait les bouts de seins avec une violence incroyable,
j’aventurais mes doigts dans le vagin en position de crochet, provoquant
d’assez insolites floc-floc, puis me concentrais sur son clitounet érigé
d’excitation. Sa respiration devenait haletante, et elle répétait en
suffoquant des « Vas-y ! Vas-y !» ou des « C’est bon !, C’est bon !». Elle
parvint à me dire dans un souffle !
- Quand je vais jouir tu me lâche le clito, mais tu continue à me lécher la
chatte, ok !
- Ouimpffff ! Répondis-je.
Les draps qui se tirent, le corps qui se tend, un cri, un cri fulgurant,
sans ses instructions je me serais précipité sur elle pour l’embrasser avec
tendresse, mais elle voulait que je reste dans ses cuisses, loin de moi
l’idée de vouloir contrarier ses habitudes, je léchais donc sa chatte avec
gourmandise, quand il me sembla que l’humidité du lieu s’aggravait
bougrement !
- Lape-moi ! Bois-moi !
Je n’ai pas osé lui demander si elle urinait de plaisir où s’il s’agissait
de cette fameuse éjaculation féminine provoquée par l’excitation du point G
! Mais cela était délicieusement pervers.
On s’est ensuite endormi, dans les bras l’un de l’autre. Je pouvais enfin
lui peloter les seins à loisirs et je ne m’en rassasiais pas…. Et je n’en
suis toujours pas rassasié !
parti, il ne reste plus que moi dans cette salle d’attente. Je ne sais même
pas à quoi ressemble cet avocat, choisi au hasard des pages professionnelles
de l’annuaire.
- Monsieur Defond-Morsignol !
- Rossignol !
L’avocat est une avocate, je la suis, elle s’installe derrière son bureau,
me fait un sourire, je lui tends ma lettre et le texte annexe : Je l’observe
tandis qu’elle lit ma prose ! C’est une grande femme, une blonde à lunette,
coiffé en chignon, elle est habillée d’un tailleur dont elle enlève la
veste, son chemisier est boutonné chastement, mais je devine qu’en dessous
des formes généreuses s’y profilent. Au fur et à mesure de la lecture, son
visage se rosit, elle me jette des petits coups d’oeils furtifs l’air de
penser « c’est bien lui qui a écrit ça ? » . Enfin, elle pose le dossier et
avec une lenteur toute calculée, détache deux boutons de son chemisier,
j’aperçois à présent la naissance de seins… et elle continue… je crois
un moment qu’elle va retirer son soutien, non, elle le laisse ouvert, la
tenue dégage un érotisme torride, ce soutien gorge bleue en fine dentelle
renfermant ces trésors ! As-t-elle conscience des risques qu’elle prend, je
n’ai rien d’un violeur mais elle ne me connais pas, bah ! Il doit y avoir
des alarmes ou un chien ou … mais la voilà qui se lève ! Je bande, où
est-ce que je m’embarque à nouveau ?
- Monsieur Gaudriole !
- Rossignol !
- Vous n’allez tout de même pas entamer une procédure de divorce à chaque
fois que vous allez rencontrer une grande femme avec une grosse poitrine !
M’invectiva-t-elle.
- Mais je….
- Je quoi ? Ce n’est pas un avocat qu’il vous faut, c’est un sexologue ! Je
vous donnerais une adresse tout à l’heure, mais laisser moi vous dire,
Monsieur Roubignole…
- Rossignol !
- Que vous êtes un salopard !
- Ecoutez…
- Oui, un salopard, parce que vous m’avez excité avec vos conneries, et que
maintenant vous allez être obligé d’assumer… Me dit-elle en retirant alors
son soutien-gorge et en me fourrant ses gros seins sous mon nez !
non, et elle ne dit pas non plus si le sexologue conseillé par l’avocat
était, elle aussi une grande femme à forte poitrine. Un récit n’est jamais
exhaustif.
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