Eros Cosmos

Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:27

Stoffer 7 – La structure diabolique – 9 – Les espions mystifiés par Nicolas Solovionni
stamp transblack

Et après m’être rhabillé, c’est en consultant mon spacephone je me suis rendu compte que j’étais également destinataire de ce fameux massage.

Bien joué, mais bien joué par qui ?

Mais que s’est-il donc passé ?

Petit retour en arrière (de quelques heures seulement.)

La commandante Annabelle Jiker qui est une femme intelligente, soupçonne fortement son collègue Laskri, d’être un indic de la mafia. Mais elle fait comme on dit « avec » et ne pensait pas que le fait de lui faire débrider les spacephones de Farkan porterait à conséquences.

Ce en quoi, elle se planta en beauté… car Laskri s’empressa de transmettre la photo du monstre de Ramon4 à la Mafia accompagnée de toutes les coordonnées nécessaires…

Et donc Roger Montesinos, bourgmestre de Vargala Station, et parrain de la mafia locale a maintenant sous ses yeux la vidéo prise sur Ramon4 au moment où la structure a écrabouillé le vaisseau du Capitaine Mony.

– C’est quoi ce machin ? Demande son éminence grise, Brent Quinto qui regardait par-dessus l’épaule de son chef !
– Attends, il faut lire le commentaire : « Un dénommé Oufrani, nouvel agent terrien a pour mission de neutraliser par tous les moyens à sa disposition toute personne en possession de cette vidéo ou des coordonnées de cette planète. »
– Va falloir qu’on bloque ce type ! Suggère Quinto. Sinon ça va être un bordel ingérable !
– Et ils en enverront un autre… non on va faire mieux que ça. On va faire une chaîne !
– Une chaîne ?
– Oui ! Transfère le message à tous nos contacts avec instruction de le retransférer à dix personnes de leur choix et ainsi de suite. Ainsi en quelques heures toute la planète ou presque sera destinataire du message ! Il va faire quoi Oufrani ? Il ne va pas tuer tout le monde !

Voilà donc l’explication !

Payoka a un plan qu’il expose secrètement à Oufrani…

– On va attendre que les informations remontent, mais en attendant, puisque ce Capitaine Stoffer s’intéresse aux précurseurs on va lui tendre un piège. J’ai dégotté plein de faux artéfacts, des dessins d’artistes, dans les bases de données du cosmoweb, je vais en choisir un très réaliste et je vais le soumettre au capitaine Stoffer. Ensuite on aura plus qu’à attendre qu’il se prépare à décoller avec sa bande et à ce moment-là on fera sauter le vaisseau !
– Génial !
– Qui s’en charge ?
– Toi ! Moi je reste dans l’ombre.

Et c’est ainsi que je reçois un message d’Oufrani.

« Vends à prix avantageux coordonnées d’un site de précurseurs, ci-joint photo. Si intéressé, rappelez-moi d’urgence ! »

J’ignore comment ce crétin a obtenu mon numéro mais ce n’est pas le plus important.

Il ignore que Jiker m’a fourni son identité et sa photo et expliqué sa mission. Je sais donc parfaitement à qui j’ai affaire.

Je le rappelle, et lui donne rendez-vous dans mon cabaret.

Je me rends donc au « Diable rose » afin de le recevoir, je demande pour cela à Riquita de me réserver un salon particulier.

– C’est un mec dangereux, je veux que tu restes derrière la porte avec un videur !
– Oui patron !

Le type arrive, je n’aime sa gueule ! On le conduit dans le salon que j’ai réservé.

– Bonjour Capitaine ! Félicitations il est très coquet votre cabaret !
– Si vous voulez en profiter, ne vous gênez surtout pas… même si nous ne faisons pas affaire. Alors cette proposition ?
– Eh bien, regardez cette magnifique photo !
– Ah, oui c’est pas mal en effet.

Et c’est vrai que c’est très joli, mais je ne suis pas dupe…

– 100 000 kochnicks ? Me suggère Oufrani
– Le problème c’est qu’en ce moment les photos de sites précurseurs ont tendance à se reproduire comme des petits lapins.
– Pardon ?
– Riquita; viens nous rejoindre une seconde ! Apporte ton spacephone et montre à monsieur ce que tu as reçu hier.

La tête du bonhomme en découvrant la vidéo ! Il ne comprend rien et devient tout pâle !

– La plupart de mes pensionnaires ont reçu le même message ! Ajoutais-je, histoire de le déstabiliser encore davantage.
– Dois-je comprendre que ma proposition ne vous intéresse pas ?
– Bien sûr que non !
– Tant pis !
– Vous ne voulez pas profiter des plaisirs du cabaret ? Je vous offre un salon privé avec qui vous voulez.
– Non, non, merci !

Et en sortant Oufrani contacte discrètement Payoka

– Je ne comprends pas ce qui se passe, la vidéo de Ramon4 semble avoir été diffusée un peu partout…
– C’est aussi ce que j’ai remarqué… Des gens en parlaient dans le bistrot où j’étais tout à l’heure.
– Mais alors, on va faire quoi ?
– Rien ! Que veux-tu qu’on fasse ? Je vais envoyer un message à la Terre et on va se mettre en stand bye. Ces gens-là sont plus forts que nous !

Quand sur Terre, l’amiral Bolessian reçut le message, il failli s’étouffer. Cette situation ajoutée aux déboires des expéditions sur Ramon4 le conduisit un peu plus tard à ordonner de placer Ramon4 sous séquestre après avoir fait bombarder le site.

– Mais Amiral vous avez déjà fait bombarder ce site Et la planète est déjà sous séquestre. Intervint Haïko, sa pulpeuse enseigne.
– Ah ! Ça ne fait rien, deux bombardements valent mieux qu’un !
– Vous avez l’air fatigué, amiral !
– Oui, un peu, je vais me prendre une semaine de vacances, au retour ça ira mieux… Envoyez un message à Payoka et dites-lui de rentrer
– Et Oufrani ?
– Qu’il reste à glander sur Vargala. Mais qu’il ne prenne aucune initiative.

Mais revenons au présent avant de conclure cette étrange histoire.

– Ça va patron ? Demande Riquita.
– Super ! Ce type n’est pas près de revenir m’emmerder.
– Je n’ai pas tout compris, patron.

Alors je lui ai résumé l’affaire en quelques mots et en le regardant m’écouter il m’est venu un étrange désir (pourquoi étrange d’abord ?)

Mais voilà que l’on frappe à la porte

– Entrez !

C’est Sierra une superbe créature qui m’a accompagné dans une de mes aventures rocambolesques (voir Stoffer 5 – Le collier de Marcia)

– Bonjour patron ! On m’a dit que vous étiez là ! Je voulais juste vous saluer ! Un petit bisou ?

Tu parles d’un petit bisou, elle me roule un patin d’enfer, oui !

– Si vous voulez de moi, je suis à votre disposition !
– Tentatrice !
– C’était juste une proposition !
– Alors montre-moi ta bite !
– Je ne bande pas, mais ça va s’arranger !
– J’espère bien !
– Vous voulez que je me retire ? Demande Riquita.
– Bien sûr que non, quand il y en a pour deux, il y en a pour trois.

Et nos deux transsexuelles ont tôt fait de se mettre la bite à l’air

Mais voilà que le spacephone de Riquita se met à sonner.

– Non Josépha, on verra ça tout à l’heure, je suis occupée avec le patron !
– …
– Ah, si tu veux, mais rapidement ! Répond-elle en raccrochant. C’est Josépha, elle veut absolument vous saluer, je n’ai pas osé la contrarier !
– Tu as bien fait !

Josépha arrive et ne peux masquer sa gêne.

– Oh, excusez-moi j’arrive à un mauvais moment, bonjour patron, je ne voulais pas déranger, je me sauve.
– Tu peux rester si tu veux, quand il y en a pour trois, il y en a pour quatre !

Stoffer709Evidemment qu’elle est restée, on s’est tous mis à poil et je me suis retrouvé avec trois bites à sucer alternativement, (quel plaisir que de prendre en bouche les pines des fabuleuses créatures) puis Josépha est passée derrière-moi afin de me préparer l’anus de sa petite langue agile,

Quelques instants plus tard, j’avais sa bite dans mon cul, tandis que Sierra et Riquita se bécotaient comme des cochonnes en nous regardant.

Elle n’est pas belle, la vie ?

Et croyez-vous que l’amiral Bolessian va se débarrasser de sa quête d’informations à propos des précurseurs ? Bien sûr que non, mais cela fera l’objet d’un prochain épisode

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:23

Stoffer 7 – La structure diabolique – 8 – Farkan en galère suivi de trio chez Marcia par Nicolas Solovionni
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L’amiral Lars Bolessian est fort énervé. Non seulement la mission envoyée sur Ramon4 tarde à revenir, mais voilà que Kalder Farkan devient muet.

– C’est peut-être simplement un problème de transmission ?… Non dans le doute il me faut agir…

Et l’amiral de concocter un plan machiavélique.

Cette fois ce n’est pas un espion qui partira sur Vargala, mais deux, le premier se présentera aux autorités locales et se fera repérer volontairement, pendant ce temps-là le second agira dans l’ombre.

Dans la presqu’ile après qu’il se soit libéré de ses liens, Farkan n’a d’autres option que de se diriger vers les lumières du camp des exclus.

Deux cents mètres, mais deux cents mètres dans le noir absolu, Il n’a rien pour s’éclairer et il titube plusieurs fois. De guerre lasse, il s’assoit à même le sol et attend que le jour veuille avoir l’extrême obligeance de se lever, et comme la nuit n’est pas si chaude que ça, il grelotte et se morfond.

Il réussit à s’endormir mais se réveille en sursaut, un gros lézard ayant eu l’idée incongru de venir lui faire câlin.

Il chasse l’animal d’un geste d’humeur, il est fourbu, il a faim, il a soif, il est épuisé, il n’est pas bien.

Et en plus il ne comprend pas.

« Il y avait des lumières hier soir, elles sont passées où ? »

Ben oui, c’est le petit matin, tout le monde roupille.

– Oh ! Oh ! Y a quelqu’un ?

Mais personne ne répond ! Il décide d’attendre et finit par se rendormir.

– Hé ! T’es qui toi ?
– Hein ?
– T’es sourd, je t’ai demandé qui tu étais ?
– Heu, Kalder.
– Moi c’est Mong ! T’es pas passé par le circuit habituel ?

Kalder Farkan est complétement largué. Certes, avant de débarquer sur Vargala il a bénéficié d’un briefing sur les particularités de la planète, mais il n’a pas porté grande attention à l’évocation de la presqu’ile estimant qu’il n’avait pas besoin de s’encombrer le cerveau avec ça !

Quelle erreur !

– J’y connais rien, on m’a largué d’une barge !
– C’est nouveau ça ? Et t’as fait quoi comme connerie ?
– J’ai pas fait de connerie !
– Alors pourquoi t’es là ?
– Mais j’en sais rien.
– Pas clair tout ça ! Viens avec moi, on va te présenter au chef.
– Vous n’avez rien à boire !
– On va t’arranger ça, alors tu viens ?

Les deux hommes arrivent dans le camp, en fait une sorte de petit bidonville constitué principalement de blocs en plastiques cylindriques renversés sur leurs champs, ceux-ci avaient longtemps servi à des transporteurs à véhiculer de la viande congelée; depuis peu ces contenants avaient été abandonnés et remplacés par des matériaux autodégradables. Il y avait aussi quelques cabanes en rondins maladroitement construites, et tout cela puait la vielle crasse.

Ils arrivèrent devant la plus grande des barraques, la porte constituée de branchages entremêlées était fermée.

– Ah, le chef roupille… ah non, on dirait qu’il baise, on va attendre.
– J’ai soif !
– Bouge pas je t’apporte de l’eau.

Une demi-heure après, une créature fort ambiguë et bien débraillée sortait de la cabane. Les deux hommes purent alors rentrer.

– Chef, j’ai trouvé ce type dans les parages…
– O.K. je suis Childéric, le chef de cette communauté, je suis le seul maître ici et j’ai droit de vie ou de mort sur tous ceux qui vivent ici, c’est clair ?

Childéric est une espèce de viking à la chevelure impressionnante. Il est simplement vêtu de ce qui a dû être autrefois un pantalon. Son torse surchargé de tatouages s’orne d’un lourd collier de coquillages.

Farkan se fait alors une réflexion insolite « S’il a des coquillages, cela veut dire que la mer n’est pas si loin ! »

– Je t’ai demandé si c’était clair ?
– Bien sûr, c’est très clair.

Farkan dû répondre aux mêmes questions que celles posées par Mong.

– Tu sais faire quoi ? Demanda Childéric.
– Je comprends pas la question !
– T’es bouché ou quoi ? Tu sais faire quoi de tes mains ? Tu sais bricoler ? Tu sais pêcher, chasser ?
– Je ne suis pas très manuel, mais je me débrouille.
– T’as intérêt à te débrouiller parce qu’ici si tu veux bouffer, il faut le mériter.
– Je ferais de mon mieux !
– On a quelques containers de libre, choisi en un, tu devras faire le ménage, ils sont dégueulasses. .Mong, chaperonne-le et demain tu me le fais bosser…

Farkan dû donc nettoyer le container qu’il avait choisi. Mong ne l’aidait pas mais lui apporta à manger.

– Je ne vais pas m’éterniser ici, on fait comment pour repartir ?
– Repartir, mais t’es un peu con toi !
– Ça ne répond pas à la question.
– Déjà quitter la presqu’ile c’est extrêmement compliqué, mais si tu reviens dans la cité la mafia va t’éliminer.
– Je ne comprends pas !
– Quand t’es exclu, t’es exclu, si tu reviens t’es mort.
– Et qui c’est qui me tuerais ?
– La mafia, ils ont des antennes partout !
– La mafia ?

Farkan se lança alors dans une explication farfelue :

– Je voyageais comme passager et j’ai eu une embrouille avec un gars de l’équipage, ils m’ont obligé à descendre sur Vargala, mais j’ignore tout de ce qui se passe ici.
– Ça me parait pourtant simple, le gars avec qui tu t’es embrouillé s’est arrangé pour prévenir la mafia qui est venu t’abandonner ici.

Farkan allait répondre naïvement que ce n’était pas la mafia qui l’avait transporté ici mais la police; mais il se ravisa :

« La police est peut-être noyautée par la mafia ? »

Il renonça pour le moment à poser des questions se souvenant des préceptes de sa formation « Tout problème possède forcément sa solution » et « Avant d’agir, recueillir le maximum d’informations »

Mais il était conscient que personne ne l’aiderait… à moins de tomber sur l’oiseau rare !

Le lendemain, il fut réveillé de bonne heure par Mong.

– Je t’emmène à la pêche ! On va voir comment tu te débrouilles !

Farkan est incorporé dans un groupe de six hommes dont deux avec un physique peu avenant, mais il y a aussi un jeune homme au physique de pâtre grec. Chacun porte sur son dos une hotte faite de branchages entrecroisés. Après une heure de marche dans la jungle, le groupe atteint le rivage de la mer. Une pirogue rudimentaire y est accostée…

Le travail est simple, il s’agit d’appâter les poissons (qui en fait ne sont pas des poissons mais ils s’en rapprochent) puis de les piéger dans une nasse.

Le groupe est peu bavard et personne n’adresse la parole à Farkan, lequel se dit qu’il serait judicieux d’envisager une échappée par voie maritime. Il ose demander…

– Vargala station, c’est par là ou par-là ? Demande-t-il à celui de la bande qui lui paraît le moins antipathique
– T’es con ou quoi, ici c’est une presqu’ile. Alors Vargala c’est par là, mais c’est aussi par-là !
– Oui mais le plus près ?
– Par-là ! Mais pourquoi cette question ? Tu vas pas me dire que tu veux te barrer par la mer. C’est complétement débile !
– C’est juste de la curiosité.
– Ben fait gaffe, les mecs trop curieux, ici on n’aime pas trop.

Brrr…

La centaine de poissons récoltés est ensuite répartie dans les hottes, on fait une pause, on picole un machin vaguement alcoolisé au gout indéfinissable et on pisse en chœur dans un grand élan de fraternité virile.

Farkan éprouve une réticence à imiter ses compagnons, il a pourtant autant envie de pisser que les autres. Il se fait charrier pour son attitude

Mais si encore, ses compagnons se contentaient de pisser… Mais non, l’un des vieux s’est penché pour sucer la bite d’un plus jeune et Farkan ne peut détacher ses yeux de ce spectacle. Pire il bande comme un sapeur.

Mong s’approche de lui.

– Ça t’excite hein ?
– Non c’est juste de la curiosité.
– Alors pourquoi tu bandes ?
– C’est juste une réaction pavlovienne.
– Tu parles ! Tu ne vas pas rester comme ça, tu n’as même pas pissé !
– Je bloque !
– Alors suce moi, ça te débloquera !

Voilà une proposition complétement inattendue. Certes Farkan se dit hétéro pur et dur mais lui reviennent en mémoire certains écarts au cours de ses soirées étudiantes dans lesquelles cela ne l’avais pas dérangé outre-mesure de sucer quelques bites. On était allé jusqu’à lui proposer plusieurs fois de faire « une bite au cul » bites. Il avait refusé jusqu’à ce qu’une bande de filles complétement allumées le mirent au défi de franchir le pas.

Alors dans un état quasi-second il se pencha pour porter en bouche la bite de son camarade.

Il trouva le gout assez fort (dame, il n’y a pas de douche dans le campement) mais il « fit avec »

Ce qu’il n’avait pas anticipé c’est que deux autres membres de l’équipe viendraient s’approcher, la bite à l’air réclamant à leur tour qu’on les suce.

N’ayant aucun échappatoire à cette situation Farkan s’en accommoda.

Et ce qu’il n’avait pas anticipé non plus c’est que tous ces types souhaitaient l’enculer.

– Mais pourquoi moi ?
– Parce que t’es nouveau et que la nouveauté c’est bien !

Farkan se demande comment s’en sortir ! Il n’est quand même pas question pour lui d’accepter de se faire sodomiser 5 fois !

– Ecoutez, un je veux bien, mais juste un !
– Et comment tu vas le choisir ?
– Tirons à la courte paille.

L’idée est adoptée et c’est un vieux grognon qui tira la plus courte. Farkan n’avait plus qu’à se baisser et à subir !

« Pas désagréable, mais il aurait pu lubrifier avant, ce con ! »

L’affaire ne dura pas très longtemps.

– Bon, je peux peut-être pisser maintenant ?

Et soudain Farkan réalisa ce que risquait d’être la suite quand il serait de retour au campement !

« Il vont tous vouloir me sauter ! Comment je vais gérer ça ? Il faut décidemment que je barre le plus vite possible.

– Il n’y a qu’une seule pirogue ? Demande-t-il à brule pourpoint
– Oui, faudrait qu’on en construise une autre parce que si celle-là nous lâche on va être mal. On a bien un canot, mais il ne sert à rien il est trop petit.
– Un canot ? Je ne l’ai pas vu !
– Il est un peu plus haut… mais dis donc t’es bien curieux toi ?
– Oh, tu sais je demandais ça comme ça !

Puis c’est le retour au camp. Le produit de cette pêche permettra d’assurer la nourriture de la communauté pour au moins deux jours.

Quelques semaines plus tard Farkan disparaissait. On ne le chercha pas ! Un jour on s’aperçut que le canot n’était plus là ! On ne fit pas le rapprochement. Toujours est-il que personne ne sut ce qu’était devenu l’ancien espion terrien. Noyé en essayant de gagner la cité de Vargala par la mer ? Ou rendu en ville et camouflé dans l’anonymat ?

Oufrani et Payoka sont arrivés ensemble sur Vargala à bord d’un vaisseau acceptant les passagers. Suivant le plan défini par l’amiral Bolessian. Ce sera donc Oufrani le visible et Payoka l’invisible.

Ce dernier se dégotte un studio puis se rend dans un premier bistrot où il tapote son spacephone. Aux rares curieux qui tentent de lier conversation il répond qu’il travaille sur une étude sur la sociologie des villes portuaires. De quoi décourager les plus hardis !

Quant à Oufrani, il a pris une option sur une buvette délabrée et s’en est allé faire une visite de courtoisie à Annabelle Jiker !

– Je remplace mes pauvres collègues, voici mon avis d’accréditation.
– Bien ! Et vous cherchez quoi exactement ?
– C’est assez compliqué ! Je vous avouerai que je n’étais pas très chaud pour accepter cette mission, mais disons qu’on m’a un peu forcé la main. En fait j’ignorais que cette planète était si dangereuse !
– Elle ne l’est pas tant que ça ! Il suffit d’en appliquer les règles.
– Mes deux collègues ont disparus, non ?
– Woldum a disparu de la circulation après avoir fait exploser un pauvre type qui avait eu le tort de se confier à lui… Quant à Farkan, vous appendrez sans doute que j’ai été obligée de l’appréhender suite à une tentative de meurtre sur un résident. Je l’ai relâché en douce en pleine nuit et j’ignore où il se planque ! Menti la fliquette.
– Il a cessé d’envoyer des messages à la Terre…
– Je ne vais tout de même pas faire une enquête sur sa disparition. Précisez-moi plutôt quelle est votre mission ici ?
– La découverte du capitaine Fernandez doit être étouffée. J’ai carte blanche pour mener à bien cette opération.
– Et cette carte blanche possède des limites ?
– Aucune !
– Je ne vous apprendrais rien en vous indiquant que le meurtre est de facto interdit sur la planète.
– J’essaierais d’en prendre compte !
– Alors bonne chance dans votre mission ! Je suppose que vous souhaitez que je vous communique les codes pour accéder aux bases de données du cosmoport…
– J’allais vous les demander !

Et une fois sorti, il les transmit à Payoka

Jiker m’a ensuite envoyé la photo de cet Oufrani.

– A priori ce n’est pas le genre à se mouiller de trop, mais attention, il cache peut-être son jeu.

Payoka est un petit malin, après avoir épluchée un paquet de données provenant des fichiers du cosmoport, il parvient à une première conclusion.

– Une équipe d’anciens baroudeurs de l’espace, aujourd’hui financièrement à l’aise sur la planère s’envole pour on ne sait où en embarquant un spécialiste des précurseurs. Y’a du louche là-dessous ! Mais comment procéder ? Je ne peux tout de même pas volatiliser tout un équipage en pleine ville ! En revanche je peux faire sauter leur vaisseau, mais il faudrait qu’ils y soient à l’intérieur ! On va réfléchir un peu, !

Et voilà que je reçois un message de Marcia (voir les épisodes précédents). Elle me demande de la rappeler…

– C’est grave ?
– C’est pas grave, mais c’est bizarre et ça peut t’intéresser ! Tu viens ?

J’y suis donc allé, me disant que de toute façon rencontrer Marcia et sa fille Carrie n’aura rien d’une corvée… bien au contraire !

Je me rends donc au Carrie’s bar… bisous, bisous… Elle a la peau trop douce Mamie Marcia !

– Regarde ce que j’ai reçu sur mon spacephone. Me dit-elle

Et devant mes yeux étonnés, je découvre la vidéo de la structure de Ramon4 en train d’écrabouiller le vaisseau du capitaine Mony ! Mais ce n’est pas tout, un court texte accompagne la scène légendé « Les précurseurs ne sont pas morts »… et c’est suivi des coordonnées spatiales de la planète et des coordonnées latitudinales du site de la découverte.

– Mais qui t’as envoyé ça ?
– Expéditeur inconnu. Je ne pense pas que ça m’était spécialement destinée Carrie a reçu le même message, Candice aussi et un client qui était là tout à l’heures l’a reçu aussi…
– Candice, ta nouvelle recrue ?
– Oui, en ce moment, elle est occupée…
– Ce serait donc une liste de diffusion ?
– Sans doute ! Alors qu’est-ce que tu en penses ?
– Faut que je réfléchisse.

Et sur ces entrefaites, Carrie descend l’escalier précédé de son client. Elle m’embrasse.

– Maman t’a montré ce qu’on reçoit ?
– Oui, on en parlait !
– C’est stressant, non ?
– Un peu, oui !
– Tu veux qu’on te déstresse, Maman et moi ? On va attendre que Candice redescende…

Je ne vais tout de même pas refuser

Candice descend, une jolie fille au sourire coquin avec laquelle j’aurais volontiers partagé quelques doux moments. Mais comme Carrie m’a pour ainsi dire invité, je ne vais pas aller me disperser.

On commence à bien se connaître tous les trois, aussi, une fois en chambre on se déshabille directement.

Les deux femmes s’assoient l’une à côté de l’autre sur le bord du lit en écartant les jambes ! Joli spectacle !

– Vous êtes trop belles, comme ça !
– L’essentiel c’est qu’on te fasse bander ! Répond Carrie ! Alors qu’est-ce qui te ferais plaisir ?
– Câlinez-vous un peut toutes les deux.
– Petits câlins ou gros câlins ?
– Je vous laisse improviser !

Les deux femmes s’enlacent et commencent par s’embrasser goulument sur la bouche avant de se lécher les tétons. Les mains ne restent pas inactives et viennent fouiller dans leurs intimité réciproque.

– Hum, tu as vu comme elle mouille, ma salope de mère ! Me nargue Carrie.

Je sais que c’est du bluff, elle ne mouille pas pendant ses passes, mais je suis bon joueur et ne vais pas la contrarier

– Tu veux nous regarder nous lécher ?
– Oui, oui !

Les deux femmes se mettent en soixante-neuf, la fille en dessous, la mère au-dessus.

Je m’approche pour aller mater le joli cul de Marcia. Je m’enhardi à lui tripoter les globes fessiers que j’écarte afin de pouvoir accéder à son joli petit trou fripé.

Et je ne vais pas me contenir de l’admirer bêtement, non, je le lèche alors que ma bite devient douloureuse à force de bander

Une bite bien raide devant un trou du cul accueillant ! Voici une situation propre à favoriser la sodomie. Je me laisserai volontiers tenter, mais cela aurait sans doute pour conséquence de mettre fin prématurément à cette petite séance.

Aussi m’éloignais-je de quelques pas avant de leur indiquer que moi aussi j’aimerais bien brouter de la chatte.

Stoffer708Du coup les deux femmes reviennent en position assises.

– Tu veux sucer qui ? Me demande Marcia
– L’une après l’autre, mais je vais commencer par toi.

Et cette fois la minouche de Marcia est vraiment mouillée. Par la salive de sa fille ? J’ai comme un doute, cet arrière-gout de miel n’a rien de salivaire. Mais qu’importe après tout puisque je me régale !

Carrie s’est levé, me contourne et m’introduit un doigt humide dans mon trou de balle. J’apprécie beaucoup comme vous pouvez vous en douter !

Du coup j’accélère mes mouvements de langue dans la chatte de Marcia et sollicite son clitoris. Simulera ? Simulera-pas ? Eh bien elle n’a pas simulé, je ne vous dis pas comment cela a flatté mon égo !

On permute ? Propose Marcia à sa fille. Du coup la maman passe derrière moi. Quant à Carrie alors que je pensais qu’elle allait m’offrir son minou, elle me tourne le dos (je devrais dire les fesses)

– Encule-moi !

Eh oui, la partie ne pouvait pas non plus durer éternellement… Je pénétrais donc le troufignon de la belle Carrie, puis tentait de modérer mes mouvements afin de pas décharger trop rapidement. Mais au bout de cinq minutes la montée du plaisir devint incontrôlable et je lâchais tout.

– Ça va ? T’es déstressé maintenant ? Me charrie Carrie.
– Super ! Mais je ne vous ai pas payé…
– Laisse c’est cadeau… à moins que tu insistes pour nous payer !

Quelles coquines !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:21

Stoffer 7 – La structure diabolique – 7 – Ester, reine de la soirée par Nicolas Solovionni
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Vous auriez voulu savoir la suite des investigations de la flotte terrienne autour de Ramon4 ? On sort un peu du récit, mais puisque vous êtes curieux et que c’est demandé gentiment, on va effectuer un léger aparté.

Le premier vaisseau ne revint jamais et faute de possibilité de communication la Terre ignora ce qui se passa. Un second vaisseau n’eut pas davantage de chance.

– On peut donc raisonnablement craindre que nos vaisseaux aient été anéantis par une force hostile ! Se lamenta l’amiral Lars Bolessian ans un grand élan de lucidité intellectuelle, On va donc procéder différemment.

Ordre fut donné à la troisième mission de ne pas se poser sur la planète mais de se satelliser, puis d’envoyer un drone vers la structure.

La mission put alors filmer la structure phagocytant le drone. Un second drone connut le même sort.

Quand la mission revint sur Terre et rapporta ces faits, l’amiral envoya une quatrième mission avec pour objectif de bombarder la structure. La planète fut ensuite placée sous séquestre, autrement dit un satellite robotisé devait détruire purement et simplement tout vaisseau qui s’en approcherait.

– J’espère avoir pris la bonne décision ? Se demanda l’amiral.
– Mais bien sûr, amiral ! lui répondit Haïko.
– Toute une technologie qui nous passe sous le nez !
– Ben oui, ce sont des choses qui arrivent !

Fin de cet aparté.

Le remplaçant de Woldum se nomme Kalder Farkan. Après s’être dégoté un confortable studio meublé, il rend visite à Annabelle Jiker, la cheffe de la police locale.

– J’ai pour mission d’étouffer cette affaire d’artefact de précurseurs…
– Ne vous donnez pas ce mal, ça s’étouffera tout seul.
– Peut-être bien qu’oui, peut-être bien que non… Et vous que savez-vous ?
– Qu’il est très probable que votre prédécesseur ait volontairement massacré un des membres de l’équipage du type qui a découvert l’artéfact.
– Ce type c’est la capitaine Ramon Fernandez, c’est ça ?
– On ne peut rien vous cacher !
– Vous savez où il se trouve ?
– J’ai ouï dire qu’il avait quitté Vargala !
– Ah ? Et on sait où il serait allé ?
– Je vais vous fournir les codes pour accéder au fichier de l’astroport, mais comme les destinations indiquées par les capitaines sont souvent bidons, je vous souhaite bonne chance.
– Sinon savez-vous avec qui ce Fernandez a négocié ?
– Aucune idée ! Mentit Jiker

Kalder Farkan a tout de même la vague impression que la capitaine Jiker ne lui dit pas tout… Revenu dans son studio et muni des codes d’accès aux fichiers de l’astroport, il obtient vite la confirmation du départ de Fernandez qui serait donc allé en direction de la planète Kateylia.

Mais très vite Farkan qui n’est pas complétement idiot se pose la bonne question : « Est-ce que tout le monde à réembarqué ? »

Un rapprochement entre la composition de l’équipage à l’arrivée et celle du départ montre que deux personnes ne sont pas reparties.

Il piste le premier, un dénommé Rigo, Celui-ci s’est fait embaucher sur un cargo de ligne régulière. Vérification faite, le cargo en question livre régulièrement des vins et des alcools sur Vargala. A priori aucun rapport avec les précurseurs, mais il décide néanmoins de l’interroger dès que cela sera possible.

La seconde est une dénommée Jackie Sagna

– Voyons voir… embarqué sur le Rosamonda… c’est quoi ce vaisseau ? Pas de trajectoire régulière ! Un vaisseau corsaire. C’est qui ces mecs ? Ajas Stoffer, propriétaire d’une boite de nuit, Dyane Makaya, propriétaire d’un salon de massage, Nadget M’Golo propriétaire d’un restaurant… Fausto Richardson copropriétaire d’un drugstore. Que du beau monde ! Continuons… Hans Krugger, pâtissier… Pâtissier ? Que vient foutre un pâtissier en compagnie de tous ces rupins ?

Il se rend dans sa boutique où il est accueilli par Ester, l’accorte vendeuse.

– Monsieur Krugger est en voyage ! L’informe celle-ci. Je peux vous renseigner ?
– On s’est connu il y a bien longtemps, je voulais juste lui faire une visite de politesse. Il est en voyage d’affaire ?
– Pas vraiment, il a un hobby, il s’intéresse aux précurseurs, il a même écrit un podcast…
– Bon, je repasserais quand il sera revenu.

Farkan a reconstitué à sa façon le puzzle : Une bande d’amateurs s’est donc mis en tête d’aller observer de près l’artéfact des précurseurs et pour se faire se sont octroyé le concours d’un « spécialiste ».

Il n’a plus qu’à attendre sagement le retour du Rosamonda »

Et en ce qui me concerne…

Revenu sur Vargala, il m’a semblé que ne serait-ce que par correction, je me devais rendre compte au capitaine Fernandez de mes péripéties sur Ramon4.

Le souci c’est que son spacephone ne répond pas ! Je crains le pire, mais Jiker me rassure, il n’y a pas de nouveau cadavre sur la planète. Je me renseigne donc au cosmoport.

– L’albatros du capitaine Fernandez…. Oui il a décollé il y a trois semaines…
– Il a indiqué une destination ?
– Kateylia, mais c’est peut-être bidon.

J’ai compris, ce con va faire le tour des planètes portuaires et revendre plusieurs fois son « tuyau ».

Et les pauvres types qui vont marcher dans la combine vont se retrouver écrabouillés par la superstructure de Ramon4 !

J’en parle à Dyane.

– Malheureusement, je ne vois pas ce qu’on pourrait faire ! En admettant qu’il soit allé sur Kateylia, rien ne dit qu’il y soit encore…

Je dois bien admettre qu’elle a raison.

Et sur ce je reçois un message de la capitaine Jiker qui me demande de passer la voir le plus rapidement possible.

Qu’est ce qui se passe encore ?

Jiker me montre la photo d’un type prise par la caméra de sécurité du poste de police.

– Connais pas !
– Forcément il est arrivé pendant ton absence, il s’appelle Kalder Farkan, il remplace Mat Woldum dont on n’est toujours sans nouvelle…

Je m’abstiens de lui dire qu’elle n’est pas près d’avoir de ces nouvelles, le pauvre ayant été fort probablement écrabouillé par la structure de Ramon4.

– Ce type est une vraie fouine, il est venu me trouver et m’a informé qu’il avait pour mission d’étouffer toutes les rumeurs liées à cet artéfact…
– Etouffer comment ?
– Va savoir ? Mais avec ces mecs il faut s’attendre au pire ! Préviens tous ceux qui sont partis avec toi de rester discrets et ne perd pas de temps. S’il y a du nouveau on se tient au courant respectivement.

Mais Kalder Farkan, prévenu de l’atterrissage du Rosamonda s’est déjà précipité à la pâtisserie de Hans Krugger.

Bonjour monsieur, je suis journaliste indépendant et j’aimerais vous interviewer au sujet de votre étude sur les précurseurs.

Krugger, flatté qu’on vienne s’intéresser à sa modeste personne fait entrer le bonhomme.

Ester est néanmoins intriguée.

– L’autre fois c’était une vieille connaissance, aujourd’hui c’est un journaliste ! Faudrait savoir ?

Elle décide d’être attentive.

Krugger et Farkan s’assoient l’un en face de l’autre dans l’arrière-boutique.

– Première question : Est-ce que depuis la publication de votre étude, vous avez eu connaissance d’éléments nouveaux ?
– Pas vraiment, non ? Mentit Krugger.
– Ah excusez-moi j’ai un appel…

Farkan n’a aucun appel mais prend ce prétexte pour sortir son spacephone et exécuter une manipulation visant à pomper tout le contenu du spacephone de Krugger sur le sien.

– Reprenons ! J’ai entendu des bruits selon lesquels vous auriez embarqué avec le capitaine Stoffer afin de visiter un site non répertorié.

Krugger est un moment déstabilisé et ne sait pas trop quoi répondre sans se trahir.

– C’était un fake ! finit-il par dire.

« Il a mis trop de temps à répondre, il ment ! » Constate Farkan. Ce qu’il ne m’a pas avoué, son spacephone me le dira, en attendant faisons le lanterner ! »

– Un fake ? Vous pourriez préciser ?
– Il y a parfois des éléments naturels qui font penser à des structures intelligentes, mais quand on s’en approche on se rend compte qu’on a été abusé ! En fait ce n’est même pas un fake, c’est une illusion d’optique…
– Je vois, ah, il fait chaud chez vous, si vous pouviez avoir l’obligeance de m’offrir un verre d’eau.

Les règles de la bienséance veulent qu’en pareil cas, on propose à l’hôte quelque chose de moins banal que de la flotte.

– J’ai un excellent watchibole, ça vous dit ?
– Ma foi, pourquoi pas ?

Farkan porte à l’Index de sa main gauche une grosse bague à couvercle qui contient un poison mortel, difficilement décelable à l’autopsie et faisant passer le décès de la victime comme naturel.

Il n’a plus qu’à détourner l’attention de son interlocuteur…

– C’est très joli ce tableau, là…

Krugger se retourne et Farkan n’a plus qu’à verser le poison dans son verre….

Mais Ester était à l’affut planquée derrière la porte entrouverte.

Elle s’empare d’une pelle à four de pâtissier et flanque un grand coup sur le crâne de Farkan qui s’écroule sur le choc.

– Ne bois pas, ça, patron, ce type a versé une saloperie dans ton verre !

On ligote le bonhomme et on appelle la police.

La capitaine Jiker est bien embarrassée par la situation, mais bien obligée de faire avec, elle recueille le témoignage d’Ester, puis fait embarquer le bonhomme qui se retrouve au poste.

– C’est malin ! Vous me mettez dans une situation compliquée.
– Libérez-moi, on dira qu’il s’est agît d’un malentendu ! !
– J’ai peut-être des défauts, mais il me reste un certain sens de la déontologie, je ne vais donc pas remettre en liberté une personne coupable de tentative d’assassinat !
– Je suis un agent plénipotentiaire mandaté par le gouvernement impérial. Vous n’avez aucune autorité sur moi.
– Ça ne vous donne pas tous les droits. Je dois garantir la loi et l’ordre sur cette planète et votre comportement trouble l’ordre public.
– Vous outrepassez vos fonctions !
– Pensez ce que vous voulez ! Je vais faire en sorte de vous coller dans le premier vaisseau qui quittera la planète. Je considère désormais votre présence comme indésirable.
– Et je ne manquerais pas de faire un rapport salé sur votre façon d’agir. Je pense que vous ne tarderez pas à vous retrouver mutée sur une planète visqueuse.
– Vous avez raison, je vais faire autrement. Messieurs foutez-moi ce connard en cellule.

Et voilà que mon spacephone se met à bipper ! C’est Jiker !

– J’ai du nouveau et du lourd, je t’attends dans un quart d’heure.
– Mais qu’est-ce qui se passe ?
– Il se passe des choses que je ne peux pas te dire par spacephone. Radine-toi !

On y va, on y va…

– Bon, je vais faire rapide ! Farkan a tenté d’empoisonner Hans Krugger. Sans l’intervention miraculeuse de sa copine il serait mort ! Je voulais l’expulser de la planète mais après réflexion on va faire mieux que ça. Je vais te prêter une barge et tu vas l’abandonner dans la presqu’ile des exclus.

La presqu’ile des exclus est une zone quasi sauvage dans laquelle vivent tous ceux qui ont eu quelque chose à se reprocher dans la cité de Vargala station. Ils sont là parfois de leur plein gré pour éviter qu’on ne les retrouve, parfois parce que c’est la mafia qui les y a envoyés. Autant dire que ce qui y règne (et c’est le cas de le dire) c’est la loi de la jungle avec un chef autoproclamé et sa garde prétorienne agissant comme un petit dictateur avec tous les abus qui vont avec.

– Mais enfin ! Objectais-je, pourquoi faire appel à mes services, tes adjoints ne peuvent pas se charger de ce boulot ?
– Disons que je préfère que la chose ne s’ébruite pas. Je serais de garde cette nuit, je t’attendrais.

La nuit tombée, nous avons discrètement installé Farkan dans une barge et j’ai pris la direction de la presqu’ile

Jiker a confisqué le spacephone de Farkan, elle le fait débrider par Laskri un collègue spécialisé dans ce genre de manipulation.

– Putain, il a recopié tout le spacephone d’Hans Krugger ! Voyons voir ça de plus près…

Et elle tombe sur la vidéo montrant la structure de Ramon4 jouer les boas constrictors avec un vaisseau non identifié.

– Putain c’est quoi ce truc ? Je comprends que la Terre s’agite… Quoi qu’ils ne soient peut-être pas encore au courant pour cette vidéo….

Evidemment à cette heure rien n’éclaire le lieu. J’ai un peu tourné en rond avant d’apercevoir les lumières du camp des exclus et je l’ai fait descendre de la barge 200 mètres avant, puis je suis retourné au poste de police rendre le véhicule à Jiker.

– Mission accomplie !
– Tu crois qu’il pourra revenir ? Me demande la fliquette.
– Sans barge c’est presque impossible, il n’y a qu’un seul chemin et il ne le connait pas…
– Mais on peut lui expliquer ?
– Sauf que ça nécessite une complicité extérieure ! Où va-t-il la trouver ? De toutes façons ses chances de survie là-bas vont être assez limitées. Comment il va justifier sa présence auprès des autres, il n’a rien à raconter, il va avoir du mal à s’intégrer.
– O.K. Cela dit, on a reculé le problème, on ne l’a pas résolu.
– Pardon ?
– La Terre va nous envoyer un autre sbire ! Affirme Jiker
– Mais comment pourront-ils savoir ?
– Ah, tu ne connais pas leur procédure ! Tous les dix jours l’infiltré envoie un message à la Terre. Si plus de message ils en tirent les conséquences. Donc tu te débrouilles pour briefer ton staff de façon à pouvoir répondre quelque chose de cohérent au nouvel enquêteur. T’as le temps il ne sera là que dans deux ou trois semaines. Mais tu me tiens au courant.

Je suis allé me reposer et le lendemain, j’avais un message de Krugger. Je crains le pire et le rappelle.

– Un problème ?
– Plutôt oui. Un connard a tenté de m’empoisonner, sans Ester je ne serais pas en train de te parler.
– Je suis au courant, Jiker m’a raconté ! Tu n’as plus rien à craindre pour l’instant, j’ai conduit le bonhomme dans la presqu’île, je lui souhaite bien du plaisir.
– O.K. Finalement j’ai eu une chance inouïe ! J’ai envie de fêter ça !
– Mais oui, pourquoi pas ?
– Si on se retrouvait chez moi avec ton staff, disons demain soir.
– C’est pas un peu petit chez toi, venez donc chez moi, je vais organiser ça…
– OK, j’apportais les petits fours
– Et viens donc avec Ester, elle sera la bienvenue.
– C’était dans mes intentions !

Tous ceux qui m’ont accompagné sur Ramon4 sont là, je vais donc faire d’une pierre deux coups.

– L’espion terrien est neutralisé, mais ce n’est qu’un répit, un autre va fatalement se pointer d’ici quelques semaines. La consigne c’est de dire que nous avons eu affaire à une illusion d’optique et point barre. Mais si quelqu’un a une meilleure idée…

Ben non pas de meilleure idée !

Les petits fours sont sur la table autour desquels j’ai pris soin de disposer deux jolis godemichets ainsi qu’un chapelet de boules de Geisha ! Comme ça les intentions sont affichées. Autour de la table sont installés trois petits canapés et des fauteuils afin que l’on soit tous à l’aise, On débouche le champagne et le watchibole…

– Alors remplissons nos verres et trinquons !
– Je voudrais lever mon verre pour Ester qui m’a carrément sauvé ma vie ! Intervient Krugger.

Il en a les larmes aux yeux, Krugger, quant à Ester elle est devenue rouge comme une tomate.

Petit moment de flottement qu’interrompt Jackie en s’adressant à Dyane.

– Je ne vois pas Yoyo, il va bien ?
– Je l’ai laissé à la maison, il ronfle.
– C’est qui Yoyo ? demande Ester.
– Un gros matou !
– Une chatte ?
– Non un mâle, mais pourquoi cette question ? Lui demande Dyane.
– Je ne sais pas, je dois avoir l’esprit mal placé. Mais c’est sans doute parce que nous sommes réunis là et que mon patron m’a raconté les croustilleries auxquelles vous vous êtes livrés sur le vaisseau du capitaine.
– On a juste fait ça à l’aller, au retour on était un peu déboussolé. Mais rien n’empêche de nous rattraper maintenant. T’es partante ?
– Pourquoi pas ?
– Les femmes te branchent ?
– Certaines, oui !
– Moi, par exemple !
– Hi, hi, pourquoi pas ?

Dyane considère cette réponse comme un acquiescement et approche ses lèvres de celles d’Ester. S’en suit un long baiser profond et dégoulinant pendant lequel Dyane plote ostensiblement les seins de sa partenaire par-dessus le vêtement.

– Si on se mettait à l’aise ! Propose Dyane.
– Moi, je veux bien mais faudrait pas qu’on soit les seules !

Du coup Dyane apostrophe la petite assemblée.

– Hé, vous autres, vous foutez quoi ? Vous voulez juste mater ou vous voulez entrer dans la danse ?
– Ce n’est pas incompatible ! Répondis-je.

Et pour faire bonne mesure, je portais ma main sur l’entrejambe de Fausto qui se tenait à me côtés. Ce dernier ravi de l’aubaine s’empressa de baisser pantalon et caleçon. Voilà qui est tout de même plus pratique.

Il bandouille, je le branlotte quelques instants, mais quand je voulu le prendre en bouche, Nadget que je n’avais pas vu arriver, fut plus rapide que moi.

Après tout qu’importe, une pipe peut très bien s’effectuer à deux bouches !

L’orgie prend forme, Dyane et Ester se sont débraillées. Krugger entreprend de caresser les doux bras de Jackie.

– Ça va, j’ai la peau douce ? Le nargue-t-elle.
– Très douce !
– Et ça te fait bander !
– Bien sûr !
– Montre-moi.

Il ne se le fait pas dire deux fois et exhibe son chibre, droit et raide comme un piquet de hutte.

– Ben dis-donc, toi quand tu bandes, tu ne fais pas semblant !
– Hi ! Hi !
– Je vais te dire : cette bite je la verrais volontiers dans mon cul.
– A ta guise !
– Mais je vais la sucer un peu avant !
– Bien sûr, mais si tu me montrais tes nichons ?
– Je ne vais pas te refuser ça

Jackie retire prestement son haut et son soutif faisant baver de concupiscence notre maître pâtissier qui caresse, qui plote et qui finalement suce avec avidité et gourmandise les gros tétons bruns offerts.

– Je mettrais bien ma bite entre tes nichons !
– Mais je vous en prie, cher monsieur ! Si ça vous fait plaisir, ne vous gênez surtout pas !

De mon côté après avoir sucé conjointement avec Nadget la bonne bite de Fausto, le galant homme que je suis (si ! si !) laisse la fille opérer en solo. Et je contourne le bel androgyne pour m’intéresse à ses fesses que j’écarte afin d’avoir un accès son trou de balle que je m’empresse de lécher comme il convient. Il a décidemment bon gout, ce trou du cul !

Dyane a fait se coucher Ester sur l’un des petits canapés et lui broute le gazon ! Dyane a toujours été une grande brouteuse. Et ses coups de langues ne tardent pas à faire réagir la belle rousse qui geint fort peu discrètement avant qu’un coup de boutoir bien placé l’envoie bruyamment au paradis des goudous.

Elles s’embrassent et se caressent tendrement. Qu’est-ce qu’elles sont mignonnes ces deux filoutes !

La logique des choses voudrait maintenant qu’Ester rende à Dyane le plaisir qu’elle lui a procuré. Mais les choses ne se passent jamais comme on croit qu’elles vont se passer. Nadget me laisse seule avec Fausto et s’en va rejoindre les deux filles.

Un trio ! Comment vont-elles s’organiser ? Dyane couchée sur le dos relève ses jambes dévoilant et rendant accessibles ainsi tous ses trésors. Les deux autres se précipitent, langue en avant, la chatte pour Ester, le trou du cul pour Nadget.

Un peu de mal à suivre cet enchevêtrement, cependant on les entend.

Stoffer707
De l’autre côté de la pièce, Krugger encule Jackie à la hussarde.

– Je te fais pareil ? Me propose Fausto.
– Allons-y !

Ce jeune homme à le tact de venir me lubrifier le trou de balle avec sa langue afin de faciliter l’introduction, puis il m’enfonce sa bite d’un grand coup de rein ! C’est bon ! C’est très bon !

Il fait durer le plaisir ! Ce qui me permet de jouir du spectacle de mes invités. Les trois coquines se reposent en s’échangeant de douces caresses, jusqu’à ce que Dyane s’empare des sex-toys disposés sur la table. Un gode pour Nadget, un autre pour Ester, Et tandis que ces demoiselles se les enfoncent dans la chatte, elle garde pour elle le chapelet de boules de Geisha qu’elle s’introduit dans le trou du cul. Je vous dis, elles sont déchaînées.

Quant à Krugger après avoir sodomisé Jackie et éjaculé dans son fondement, le voilà en sueur complétement épuisé et la bite polluée de sperme et d’autre choses moins blanches.

– Tu cherches de quoi t’essuyer la bite, mon biquet, le nargue Jacky.
– Ben oui !
– Ne bouge pas, je vais m’en occuper ! J’adore nettoyer les bites qui sortent de mon cul !

Je sens derrière moi le plaisir monter chez Fausto, du coup il change de rythme et me pilonne comme un piston de locomotive avant de déverser son sperme. Il décule et va s’affaler dans un fauteuil.

J’ai un peu mal au cul, mais je voudrais bien jouir. C’est Jackie qui s’en est chargé en me prodiguant une pipe d’anthologie.

Et voici que se pointe le chien en remuant la queue…

– C’est Papem, le chien du magasin en bas, le type m’a demandé de le garder deux jours… expliquais-je.

Il renifle en secouant la queue, il faut dire que ça sent pas mal le foutre et la mouille dans l’appart.

Nadget l’appelle et le chien, pas contrariant, s’en va direct lui lécher sa chatte dégoulinante.

– Mais t’es une vraie cochonne : Lui dit Ester.
– Ça te choque ?
– Non, ça me trouble !
– Alors ça va, je peux être encore plus cochonne, l’autre fois j’ai sucé la bite d’un chien (voir Stoffer 6 – le collier de Marçia)
– Oh ! Et tu le referais ?
– Sans problème.
– Eh bien qu’est-ce que tu attends ?
– Je n’attends rien, c’est pas parce qu’il y a un chien que je suis obligé de le faire.
– Dommage, ça m’aurait plus de regarder !
– Et si je le fais, tu le feras aussi.

Ester ne répond pas en proie à un trouble indéfinissable.

– Dyane viens m’aider à coucher le chien sur le côté, ce sera plus pratique ! Lui demande Nadget
– Attends ! Moi, je ne fais pas ça !
– On ne te demande pas la lune, juste de coucher le chien…
– Bon, bon…

Nadget saisit la bite du chien et se l’introduit en bouche.

– Hum c’est bon ! Commente-elle entre deux coups de langue.
– Tu m’en laisses un peu ? Intervient Jackie qu’on n’attendait pas vraiment su ce coup-là.

Et les deux coquines se repassent la bite du chien jusqu’à ce que Nadget interpelle Ester.

– A toi, je te laisse la place !
– Je ne sais pas si je vais pouvoir !
– Bon tu arrêtes de faire ta jeune fille, tu fermes les yeux tu fous sa bite dans ta bouche et si tu bloques on n’en fera pas une maladie, mais au moins t’auras essayé.

Ester Inspire un grand coup, ferme les yeux et se retrouve avec la bite de Papem dans la bouche. Elle le suce quelques minutes avant de se relever toute fière de son « exploit ».

Dyane se doute qu’elle va être sollicité à son tour. Elle aurait pu quitter la pièce, aller aux toilettes ou en cuisine. Mais non, elle reste là, tétanisée attendant qu’on l’interpelle. Mais personne ne le fait…

Alors dans un état quasi-second, Dyane se baisse auprès de Jackie et lui réclame sa part de bite.

Quelques mouvements de fellation, elle se relève et reçoit une salve d’applaudissements, elle en est si fière qu’elle se baisse à nouveau pour reprendre cette bite en bouche.

Jackie a à son tour abandonné sa fellation et se positionne en levrette, faisant signe au chien de venir voir ce qui se passe derrière elle.

Le chien finit par comprendre et chevauchant Jackie se met à la pilonner en cadence… Elle interrompt la chose avant que le nœud la bloque et après s’être servie à boire demande à la cantonade :

– Alors, c’est qui la plus salope ?

La question est difficile, et la réponse se perd dans un brouhaha inaudible.

– Maintenant faut que je pisse, qui est volontaire pour me servir d’urinoir ?

Des volontaires, il y en eu trop… Alors Jackie trancha.

– Dans ce cas honneur au capitaine.

C’est gentil il ne fallait pas…

N’empêche que son urine était délicieuse.

– Humm, je ferais bien caca, maintenant…
– Je te laisse !
– Tu ne veux pas regarder ? C’est un cadeau que je te fais, ça ne se fait pas de refuser un cadeau.

Bon, la scato ce n’est pas mon truc, mais ça ne me bloque pas et j’ai déjà eu l’occasion de participer à quelques parties de ce genre (voir Stoffer 3 – La bâtisse rouge)

A califourchon sur les toilettes, le dos tourné, Jacky pond un long boudin qui dégringole dans les toilettes avec un bruit qui fait splash !

– Et maintenant cadeau bonus, tu as le droit de me nettoyer l’anus avec ta langue !

Tu parles d’un cadeau, mais je m’acquittai de cette tâche avec application (et avec un petit plaisir pervers)

Après toutes ces galipettes, on avait tous un petit creux à l’estomac. Nadget a eu la riche idée de nous proposer d’aller gueuletonner dans le restaurant dont elle est propriétaire.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:18

Stoffer 7 – La structure diabolique – 6 – La fin du faucon d’or suivi des privautés de l’amiral par Nicolas Solovionni
asian

En sortant de l’hyperespace nous avons repéré le système de Ramon, nous n’avons eu aucun mal à repérer Ramon4 et sur cette dernière l’emplacement du supposé artéfact.

– La planète existe ! Confirmais-je à Krugger !
– Ça veut dire que le canular est ailleurs !
– C’est là ! Que disent les capteurs ? Demandais-je à mes collaborateurs
– 5 % d’oxygène, pas de radio-activité. Activités biologiques restreintes aux zones forestières et aquatiques…
– Et autour de l’artéfact ?
– Zone désertique, température entre 35° et 5° Celsius. Vent de 50 km/h.
– O.K. on va pouvoir descendre avec un équipement léger.

L’atterrissage se fait de façon semi-automatique. Mais la structure du sol est trompeuse du fait de sa mollesse. Le vaisseau se pose de travers, j’ai un mal fou à le redresser. J’entends un craquement bizarre, puis la voix robotisée de l’ordinateur de bord :

« Avarie mineure au niveau de l’arbre de transmission C28. Nécessite une intervention manuelle obligatoire. »

– Ça veut dire quoi ? Demandais-je à Fausto, mon nouvel ingénieur de bord.
– Ça veut dire qu’il faut que je répare !
– C’est si grave que ça ?
– Oui et non, ça nous empêche pas de décoller mais ça rend les atterrissages dangereux.
– Et il te faut combien de temps pour réparer ?
– Aucune idée, je vais regarder de plus près !

Bon, j’ai confiance, Fausto va nous arranger ça…

– On va sortir effectuer une première reconnaissance ! Qui vient avec moi ? Monsieur Krugger, je suppose… et qui d’autre ?

Dyane s’auto-désigne… On s’équipe de raquettes pour se prévenir de la dangerosité du sol et on y va.

On s’approche du machin. On le touche à la recherche d’une aspérité si légère soit-elle.

Ben, non, rien ! Voilà qui est bizarre !

Krugger donne des coups de poing sur l’objet.

– On dirait que c’est creux !
– Si c’est creux, on va essayer d’ouvrir.

L’idée c’est de creuser un mini trou afin d’y introduire une lampe-serpent.

– C’est peut-être risqué ! Objecte Krugger, il y a peut-être un système anti-intrusion. On devrait faire ça à distance.

Suggestion retenue ! On rentre et on demande à Fausto de nous bricoler quelque chose.

– Je vais monter une perceuse sur un rover, elle sera équipée d’un récepteur téléguidé…
– Super il te faut combien de temps pour bricoler ça ?
– Bof, une heure ou deux !

Il a confectionné ça assez rapidement, et le percement s’est effectué sans difficultés Je suis redescendu toujours avec Dyane et Krugger. Je fais glisser la lampe serpent dans le petit trou…

C’est quoi qu’il y a là-dedans ? Une espèce de matière visqueuse, du gris, du rose, du vert foncé beaucoup de vert foncé. Inutile de dire qu’on n’y comprend rien.

– Un transport de matière organique qui s’est échoué ? Suggère Dyane
– Et qui n’aurait pas pourri depuis des milliers d’années ! Se gausse Krugger.
– Qui sait ? Et puis on ne sait pas de puis combien de temps ce truc est ici !
– On ne voit pas tout ? On essaie d’entrer ?

Ben oui sinon que faire d’autre ?

Fausto a troqué la perceuse pour une scie à laser et une heure plus tard une ouverture de 1,50 m sur 1,20 m nous permettait de pénétrer à l’intérieur de la chose.

On marche sur de la matière molle. Heureusement nos raquettes antidérapantes nous empêchent de glisser.

Et soudain, l’intérieur de ce bazar s’illumine !

Moment d’étonnement et de stupeur ! On se regarde ne sachant trop comment réagir.

Et voilà qu’on entend des paroles incompréhensibles venant d’une masse gélatineuse qui semble se modeler elle-même.

C’en est trop, le salut est dans la fuite, mais nous voici immobilisés et incapables de bouger pieds et mains.

On ne comprend toujours rien à ce raconte ce shamallow géant.

– Mais c’est ta voix que l’on entend ! Remarque Dyane, On est tombé dans un piège !

Pas vraiment rassurante la nana !

Et shamallow qui continue à se transformer, son apparence est presque maintenant celle d’un humain… tandis que derrière lui deux autres ectoplasmes prennent l’apparence de mes compagnons d’infortune…

– Ba beur !

Hein qu’est-ce qu’il raconte ?

Et la transformation continue à évoluer jusqu’à devenir une imitation de moi-même, un moi-même un peu raté mais l’idée est bien là.

– N’ayez pas peur (et cette fois il s’exprime en novlangue sans accent.)

Sauf que la trouille ça ne se commande pas !

– J’ai pris votre apparence afin d’éviter de vous effrayer. Je ne vous demande pas d’explications, je les ai enregistrés. Je viens de copier le contenu des informations de votre cerveau, je connais vos motivations, votre langue et plein d’autres choses encore… Je sais que vous avez des questions. Je n’ai pas l’intention de vous fournir des réponses, sachez simplement que nous n’avons rien à voir avec les précurseurs qui vous intéressent. On va vous laisser repartir, mais nous allons gommer de votre mémoire notre rencontre ainsi que l’image de notre habitacle. Quand on vous demandera ce que vous avez trouvé sur cette planète vous répondrez par la négative.
– Bon, on peut s’en aller alors ?
– Oui, il nous fallait réaliser un contact pacifique avec vous afin que vous puissiez dire autour de vous que vous n’aviez rien trouvé. Si d’autres s’aventurent ici, ils n’auront pas votre chance, nous voulons rester tranquilles. Au fait ce serait fort aimable de réparer le trou que vous avez fait, nous pourrions le faire nous-même mais c’est une question de principe.

On est rentré au bercail dans un drôle d’état.

– Ben qu’est-ce qui vous est arrivé ? Vous en faites une tronche ! Nous demandent Nadget et les autres.
– On est tombé sur des extraterrestres, à moins que ce soient des hologrammes, j’en sais trop rien. On va peut-être se prendre des anxiolytiques
– Quand même, intervient Dyane, il y a un truc qui cloche, ils nous demandent de réparer le trou qu’a creusé Fausto et ils nous racontent qu’ils vont effacer tout ça de notre mémoire !
– C’est chronologique, on répare et on efface… explique Krugger.
– Oui, bon, on va rien réparer du tout, on va se casser d’ici et en vitesse ! Jackie tu peux enclencher le compte à rebours ?
– Oui Capitaine !
– Oh ! Mais arrêtez les conneries ! Proteste Fausto.
– De quoi ? On se calme !
– L’arbre de transmission n’est pas fini de réparer, en fait il est tombé et il a abîmé d’autres éléments.
– Combien de temps pour réparer ?
– Faut bien compter une semaine…

Manquait plus que ça… On n’a pas laissé Fausto galérer seul, on l’a tous aidé dans la mesure de nos moyens, mais ça reste long et fastidieux.

Six jours (en équivalence terrienne) ont passé. La réparation avance mais n’est pas terminée.

Et voilà que la voix robotisée de l’ordinateur de bord se met à chouiner…

C’est quoi encore ?

« Vaisseau en approche, matricule 73d411V ! Souhaitez-vous une prise de contact ? »
– Pas pour l’instant ! répondis-je

J’ai sur mon spacephone la liste de tous les vaisseaux ayant Vargala comme port d’attache. Le matricule renvoie à un vaisseau commandé par le capitaine Mony, « Le Faucon d’or »

– A tous les coups, ce type a négocié avec Woldum… Sauve qui peut, tout le monde évacue le vaisseau, on s’arme et on se planque derrière les dunes…

Le Faucon d’or se pose difficilement, toujours en raison de l’instabilité du sol, mais, mais sans dégâts.

– Voilà, c’est leur vaisseau ! Indique Woldum, il suffit de le faire sauter et le tour est joué…
– C’est dommage, un vaisseau ça coute cher, on peut peut-être faire autrement…
– Et c’est quoi votre idée ?
– Attendez, je réfléchis, on n’est pas à cinq minutes
– Oh, regardez l’écran ! Cette structure géante, c’est grandiose ! S’extasie Woldum.
– On dirait qu’elle bouge, la structure !
– Mais non !
– Mais si !

Et tout d’un coup tel un serpent géant la structure se déploie et vient s’enrouler autour du « faucon d’or. »

– C’est quoi ce bordel ! Aux armes ! Crie le capitaine Mony.

Mais personne ne sait quelle arme utiliser contre ce monstre qui tel un boa constrictor exerce une pression inouïe sur le vaisseau allant jusqu’à éclater sa carlingue. Et la pression continue après l’éclatement provoquant la mort par étouffement de Woldum, de Mony et de tout l’équipage.

La structure relâche son étreinte, le Faucon d’or n’est plus maintenant qu’un amoncellement de ferrailles déchiquetées et de cadavres écrabouillés.

La structure revient placidement à sa place initiale.

Nous avons tout vu, inutile de préciser que ça nous a fait froid dans le dos !

Le lendemain la réparation était terminée et nous avons enfin quitté cette planète.

Nous sommes passés en hyperespace et une fois n’est pas coutume, nous n’avons pas fait la fête (nous la ferons peut-être plus tard), nous avons encore la gueule de bois suite à cette vision effrayante de l’étouffement du vaisseau du capitaine Mony

Et soudain j’ai une idée… Je consulte mon spacephone, Le images de la structure sont bien là, personne ne les a effacés. Et qui plus est, la masse gélatineuse nous avait bien précisé que tout ce que nous avions vu sur Ramon4 serait effacé de notre mémoire cognitive… Ben non rien n’a été effacé.

J’en parle à Dyane

– Ces mecs sont très forts… mais pas tant ça. Le génie absolu, ça n’existe pas !

Si elle le dit …

Rendons-nous à présent sur Terre dans le bureau de l’amiral Lars Bolessian, chargé de superviser toutes les informations concernant les précurseurs.

– Putain c’est quoi ce message ? Si ce n’est pas un fake, ce doit être un moyen de transport, ce serait une première, on n’a jamais répertorié ce genre de chose ! S’exclame-il devant Haïko sa charmante ordonnance.

Haïko est une belle eurasienne aux cheveux de jais.

– Bizarre !
– Nous avons les moyens de savoir si c’est un fake ou non ?
– Bien sûr que nous avons ces moyens !
– Eh bien qu’attendez-vous ? Analysez-moi ce machin !

Et une heure plus tard.

– Ce n’est pas un fake, Amiral !
– O.K. Convoquez l’un des meilleurs pilotes disponibles et envoyez le sur place.
– A vos ordres, amiral !
– Il faut aussi remplacer Woldum ! Trouvez quelqu’un qui fasse l’affaire et envoyez-le sur Vargala avec pour mission prioritaire d’essayer d’en savoir davantage sur cette affaire. Il ne faudrait pas qu’elle s’ébruite de trop. Si certaines personnes sont trop bavardes, il faudra agir en conséquence !
– Pas évident sur Vargala, amiral !
– C’est bien pour cela qu’il faut choisir un agent de premier ordre.
– A vos ordres, amiral !
– Savez-vous Haïko que toute cette histoire m’excite considérablement ?
– Dois-je remédiez à cette situation, amiral ?
– Remédiez, charmante Haïko, remédiez !
– Procédure habituelle, amiral ?
– Positif !

L’amiral est peu amateur de variations, avec lui les choses se passent toujours à peu près de la même façon.

Tout en restant assis, il dégrafe son pantalon qu’il baisse jusqu’aux genoux, Le caleçon suit le même chemin…

– Sous le bureau Haïko ! Viens me sucer comme une pute !
– Je viens, amiral, je suis votre pute dévouée.
– Et une grosse salope !
– Une trainée, une fille à soldats
– Tais-toi et suce !

Elle s’applique, il serait faux de dire qu’elle prend plaisir à prodiguer une fellation à cet amiral qui est tout sauf bel homme, mais elle sait qu’à la clé il la gratifiera d’une petite prime… et les petites primes c’est tellement sympa !

Donc elle pompe, elle pompe, en attendant l’acte suivant.

– Mais que faites-vous sous ce bureau Haïko ?
– Gloups ! Je vous suce, amiral !
– Vous devriez avoir honte ! Sortez de là-dessous.

Haïko connais la suite parce que les scénarios de l’amiral sont souvent les mêmes, mais elle se prête au jeu

– Penche-toi sur le bureau et dégage tes fesses ! Je vais te corriger comme tu le mérites.

La belle ordonnance s’exécute tandis que l’amiral se saisissant d’une longue règle plate, assène un premier coup sur son popotin.

– Tu sais au moins pourquoi je te punis ?
– Oui parce que je ne suis qu’une pute qui suce pour de l’argent !
– Et tu n’as pas honte ?
– Oh ! Si j’ai très honte ! Aïe ! Tapez un peu moins fort s’il vous plait !
– Je tape comme bon me semble !
– Oui, mais je ne vais plus pouvoir m’assoir… Aïe ! Oh là là, ça fait mal !
– Tiens trainée, tiens morue !
– Ouille !

Haïko se laisse fouetter, elle supporte, elle n’est pas prisonnière, s’il arrivait que l’amiral ne se contrôlait plus, elle pourrait toujours quitter son bureau, mais le cas ne s’est jamais produit.

N’empêche que quand l’homme pose sa règle plate, elle ne quitte pas la position car le troisième acte, elle le connait aussi et pousse un soupir de soulagement.

Stoffer706– Tu sais ce qu’on leur fait aux putes vicieuses comme toi ?
– On les encule ? C’est ça ?

La réponse était bonne et l’amiral sodomisa la belle sans ménagement d’un rythme rapide qui le fit jouir en moins de trois minutes chrono.

– Ça va ton cul, je ne t’ai pas trop abîmé ?
– Non, mais pensez à me faire mon petit virement !
– Bien sûr, bien sûr !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 25 octobre 2025 6 25 /10 /Oct /2025 11:16

Stoffer 7 – La structure diabolique – 5 – Sous le regard du chat ! par Nicolas Solovionni
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Le voyage en direction de Ramon4 s’annonçait long, à bord du Rosamonda, (mon vaisseau), mais nous étions content d’entamer ce périple et avions décidé de fêter notre départ comme il se doit dès que nous fûmes passé en hyperespace.

Par politesse, j’ai avisé Krugger et Jackie de cette tradition, en les mettant en garde.

– Il se peut que cela tourne en orgie, dans ce cas vous pourrez regagner votre cabine, personne ne vous en tiendra rigueur.

J’étais certain de la réponse de Krugger qui me confirma que pour lui, il n’y avait aucun problème. En revanche je me demandais comment allait réagir Jackie…

– Je connais cette tradition, ne vous inquiétez pas pour moi, je ne suis pas une oie blanche, je m’adapterais ou j’irais voir ailleurs !

Le mess n’est pas bien grand, on va dire qu’il y a juste la place qu’il faut, une grande table et contre les murs quatre banquettes garnies de coussins.

Il y a du monde dans ce mess, Dyane ma seconde vaisseau, Nadget ma technicienne de bord et moi-même. Ainsi que ceux qui nous ont accompagné pour la première fois, Fausto, Krugger et Jackie. Sans oublier Yoyo, le chat du bord que Dyane qui l’a en garde à tenu à emmener avec nous.

Donc six personnes, si j’ai bien compté ! On débouche les bouteilles, champagne et watchibole. On trinque, on boit… on a disposé sur la table quelques godemichets afin que chacun sache que l’on est pas ici pour enfiler des perles… et comme toujours on attend le petit déclic qui va transformer ce pot de l’amitié en sauterie érotique.

Je pensais que ce déclic viendrait de Dyane, mais en fait c’est Nadget, la jolie blackette qui s’y colla…

– J’ai bien ta peau, elle est plus claire que la mienne ! Fit-elle remarquer à Jackie en lui caressant le bras… et elle est très douce.
– Tu ne serais pas un peu coquine, toi ?
– Si, un peu ! Un peu beaucoup même ! Et toi ?
– Moi, ça dépend des jours, ça dépend des gens…
– Les hommes ? Les femmes ?
– Les deux !

Jackie prend alors conscience que tous les regards sont braqués vers elle.

Alors à ce stade ou bien elle s’éclipse, où alors elle assume… Et comme elle n’est pas indifférente aux charmes de Nadget… et comme être la vedette de la partie n’est pas non plus pour lui déplaire… vous aurez deviné sa décision.

Et afin de lever toute ambiguïté, elle approche son visage de celui de Nadget et lui roule un patin d’anthologie.

Krugger s’est approché de Dyane

– Je vous trouve très belle ! Lui déclare-t-il dans un grand élan d’originalité.

Le moins que l’on puisse dire c’est que Dyane n’est pas du tout attiré par ce bonhomme, mais il est des circonstances où il serait malvenu de faire sa mijaurée.

« Tant qu’il reste correct… » Se dit-elle.

– Je crois lire dans vos pensées !
– Et que lisez-vous ? Répond le bonhomme.
– Vous vous demandez si je suis aussi belle déshabillée qu’habillée !
– Sans doute, mais n’est-ce pas un réflexe naturel ? Oh, mais regarder ces deux coquines, quel charmant spectacle !

Effectivement, Nadget et Jackie se sont débraillées et dépoitraillées et se plotent à qui mieux mieux.

– Ça te fait bander, Krugger ?
– Je ne suis pas de bois !
– Vérifions ! Ose Dyane en portant sa main sur la braguette de l’homme. Hum, je sens quelque chose de dur ! On ne va pas la laisser enfermée, on va lui faire prendre l’air !

Dyane prend en main la bite demi-molle, lui imprime quelques mouvements de masturbation, puis quand la chose est devenue raide, elle se la fourre en bouche.

– Cela m’aurait ravi de voir vos seins ! Implore-t-il.
– Tiens donc ! Mais qu’est-ce qu’ils ont tous à vouloir voir mes seins ?
– C’est l’appel de la nature !
– Dans mon cas ce serait plutôt l’appel de la mature ! Mais bon on va te faire plaisir

Et donc Dyane retire tout son haut…

– Oh que c’est beau ! S’écrie Krugger.
– Je ne me plains pas !
– Je peux toucher ?
– Comme c’est demandé gentiment je ne peux refuser !

Il plote, sans trop de délicatesse, il faut bien l’avouer.

– Lèche moi les bouts, je suis sûre que tu en meurs d’envie !

Il y a des choses qu’il convient de ne pas dire deux fois à un homme, aussi Krugger se précipite vers ces tétons offerts et les fait darder sous sa langue

Moi, pour le moment je mate. Jackie s’est affalée sur une banquette, les cuisses ouvertes laissant Nadget lui brouter la chatte. Charmant spectacle !

A l’autre bout de la pièce, Fausto paraît intéressé par ce que font Dyane et Krugger… En fait il semble bien que c’est Krugger qui l’intéresse mais qu’il ne sait comment s’immiscer dans ce couple de circonstance.

Personne ne s’occupe de moi, ce sont des choses qui arrivent, j’ai quand même sorti ma bite et je la branlotte afin d’être prêt le moment venu. Mais pour l’instant à part me resservir à boire je suis un peu largué.

Je ne suis pas le seul, le chat Yoyo, s’est mis en position assise et n’essaie pas de comprendre ce qui se passe.

Dyane après avoir repris sa fellation sur la bite de Krugger, se déshabille (cette fois complétement), et tend ses fesses à son partenaire. Celui-ci a compris le message et approche son vit du trou du cul de la belle mature.

– Non ! Tu lubrifie un peu avant ! Lui indique-t-elle.

Qu’à cela ne tienne, Krugger pose sa langue sur l’anus étoilé et pratique une feuille de rose bien baveuse… et maintenant il peut y aller et encule vaillamment la jolie blonde.

Elle est comme ça, Dyane elle adore jouir du cul et les assauts de Krugger la font couiner de plaisir.

Stoffer705C’est le moment que Fausto choisit pour tenter sa chance, il s’approche du couple et chuchote à Krugger :

– T’encules les hommes aussi ?
– Je te vois venir, toi !
– Alors d’accord ?

Krugger ne répond pas, il continue à bourrer Dyane jusqu’à ce qu’elle jouisse du cul, puis se retire et interpelle Fausto.

– A ton tour !

Et tandis que Krugger encule Fausto, Dyane quelque peu épuisée vient me faire câlin. J’ai beau la connaitre par cœur, lui peloter ses nénés est pour moi un plaisir toujours vivace. Et puis sa main sur ma bite…

Sur la banquette d’en face, les deux blackettes sont toujours à l’œuvre, Jacquie s’est retournée en levrette laissant Nadget lui enfoncer un gode dans le trou du cul

Elle me plait bien cette Jackie, mais est-ce que j’aurais l’opportunité de la baiser ? Rien ne presse et pour l’instant pas question de déranger ces demoiselles.

Un cri bizarre fait peur au chat qui s’enfuit à toute vitesse. En fait c’est Krugger qui vient de jouir dans le cul de Fausto. Il se retire et s’affale sur une banquette après s’être servi un jus de fruit ! Ben oui, ça donne soif les galipettes !

On continue à regarder les deux blackettes qui se sont fait jouir plusieurs fois de suite et qui maintenant soufflent un peu.

– Tu te la ferais bien, la Jackie ! Me nargue Dyane.
– Ça c’est sûr ! Et toi ?
– Moi aussi, mais comme tu es le capitaine, tu es prioritaire ! Vas-y c’est le moment !

J’y vais !

– Bravo les filles, vous nous avez offert un de ces spectacles !
– C’était spontané, et quand c’est spontané, c’est bien !

En voilà une réplique qui me laisse coi !

Nadget qui a compris mon manège se retire et va s’assoir plus loin, à côté de Krugger, lequel tout content d’avoir de nouveau de la compagnie se met à la caresser mais il reste en panne de bandaison..

– Trêve de formalités, tu as envie de me baiser, mon capitaine, c’est bien ça ?
– Je serais hypocrite en prétendant le contraire.
– Assis-toi à côté de moi et caresse-moi !

Vous pensez bien que je ne vais pas me dégonfler ! Je m’installe à ses côté, je n’ose pas l’embrasser, (quelque part elle doit m’impressionner !) mais je lui plote les seins et m’enhardi à lui sucer ses gros tétons, tandis que ma main rencontre sa chatte mouillée comme une soupe.

– C’est humide ! Lui fis-je bêtement remarquer.
– Je sais, il faut peut-être que je me rende aux toilettes.
– Une grosse envie de pipi ?
– On dirait bien !
– Et si tu faisais ça à la coquine ?
– C’est-à-dire ,
– Tu pisses dans un verre ! Comme ça je pourrais goûter !
– Mais t’es un vrai cochon, mon capitaine !
– C’était juste une idée comme ça !
– Alors passe-moi un verre !

En fait l’envie était si intense qu’il a fallu deux verres. J’en ai bu un peu, c’était délicieux..

– Et comme je n’ai rien pour m’essuyer, je suppose que tu vas te servir de ta langue !

Cette bonne blague ! Bien sûr que je vais lécher tout ça ! Un bon mélange de pisse et de mouille. Je me régale. La Jackie est réceptive et ne tarde pas à haleter sous mes coups de langue. Je continue quelques minutes puis la sentant proche de la jouissance, je vise le clitoris et la fait hurler de plaisir. Du coup Yoyo qui était timidement revenu s’enfuit de nouveau. C’est mignon les chats, mais c’est un peu con !

– Baise-moi, baise-moi ! Me supplie Jackie.

Ce que femme veut… Ma bite la pénètre de suite, je ne me contrôle plus tellement je suis excité… j’espère simplement pouvoir tenir la distance. Et tandis que je la bourre Dyane est venu nous rejoindre et lui tripote les seins (elle n’a décidemment pas pu s’en empêcher !)

On a joui tous les deux, puis je l’ai laissé avec Dyane.

Tout le monde a joui ? Non, peut-être pas Fausto qui se pointe devant moi, la bite en avant ! Monsieur veut sans doute que je le suce ! Alors suçons ! Ça ne me dérange pas, vous vous en doutez bien !

Il m’a juté dans la bouche, ce coquin ! On se ressert à boire, on se rhabille… Yoyo est revenu et a sauté sur les genoux de Jackie afin de se faire caresser. C’était bien, c’était bon !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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