Eros Cosmos

Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:50

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 2 – Dyane et Ruby (et Yoyo aussi) par Nicolas Solovionni
Mat Stamp

Sachant comment fonctionnait le bonhomme, Dyane défit la fermeture éclair de son haut libérant et exhibant sa jolie poitrine.

– Oh, que c’est beau, on ne s’en lasse pas ! S’exclame Rudy.
– Caresse, mais doucement !

« Heureusement que je lui ai dit de faire doucement ! » Se dit Dyane, l’homme ayant tendance à confondre nichon et pâte à modeler.

– Embrasse-les, mais sans t’énerver, ce n’en sera que meilleur.

C’est toujours comme ça avec certains mâles, on leur dit de se calmer, alors ils se calment et cinq minutes plus tard, ils ont oublié de se calmer… Mais n’empêche qu’avec ce traitement les tétons de Dyane deviennent tout durs !

– Je te fais bander, hein mon salaud ?
– C’est toi la salope !
– Ben dit donc !

Les mains de Dyane sont venues trifouiller dans le pantalon de Rudy et en ont extrait une bite dressée comme un mât de cocagne.

– On va sucer un peu tout ça.

Stoffer0402Inutile de demander son avis à l’homme, il est des propositions qu’on ne saurait refuser

Et hop, que je te mette ça dans la bouche et c’est parti pour une série d’allers et retours bien cadencé… Petite diversion pour s’occuper un peu des coucougnettes du monsieur qui sont bien pendantes…et puis un petit peu de bout de langue vibrante sur le bout du gland… ça les rend fous !

– Bon tu voudrais jouir comment ? Lui demande-t-elle.
– Y’a pas le feu !
– C’est pas une réponse.
– Une petite sodo, ce n’est pas trop demandé ?
– Va falloir que je retire mon pantalon, alors ?
– Ben oui ! Répond Rudy qui n’a pas trop le sens de l’humour ?
– Et comme ça tu verras mes fesses !
– Ben oui !

En ce moment Dyane a comme l’impression qu’elle pourrait faire ce qu’elle veut de son partenaire et le manipuler dans tous le sens du terme. Parfois le sexe ça rend dingue !

Elle se redresse, prend bien son temps, fait glisser son pantalon et son slip.

– Caresse mes fesses, caresse mes belles fesses !
– Oh que c’est beau !
– Ça va, je ne me plains pas trop !
– Lèche, lèche -moi le trou du cul !
– Il est propre au moins ?
– Mais dis donc ! Lèche tu verras bien !

Il lèche se ragalant du goût du fion de la jolie blonde, mais bientôt c’est un doigt qui vient fureter dans cet anus bien humecté.

– Mais dis-donc, je ne t’ai pas autorisé à faire ça !
– Euh…
– Tu peux continuer mais à ce moment-là, pas de sodo, c’est l’un ou l’autre !
– Cruelle !
– Parfaitement !
– Bon, je vais t’enculer comme une chienne !
– Mon cul est à vous, monsieur le poète !

Il entre facilement… faut dire que la belle Dyane a une certaine habitude de se faire ramoner par le petit trou… Et c’est parti pour une série de va-et vient ponctuée par des ânonnements compulsifs

Etant positionnée en levrette, Dyane ne peut pas voir le visage convulsé de l’homme qui se sait (déjà) proche de la jouissance.

Mais le voilà qui se retire brusquement…

– Retourne-toi, regarde-moi ! Eructe-t-il.

Juste le temps de le faire et trois ou quatre projections de sperme qui atterrissent sur la poitrine de la belle.

– Cochon !
– Ah, ça fait du bien !
– J’ai encore de la chance, il n’y en pas sur mes fringues…
– C’est la fougue de l’excitation…
– Oui mon biquet, le lavabo c’est toujours à côté ?

Dyane me rapporte ce qu’elle a glané… je me renseigne un peu sur ce Farah day. Je connais de vue son capitaine, un certain Douglas. Son Vaisseau fait une navette permanente entre trois planètes, apportant sur Vargala des produits non disponibles ici, médicaments, pièces détachées diverses et autres bricoles. Vraiment pas le profil d’un trafiquant ni surtout d’un pirate.

– Donc Ravo n’est capitaine de rien du tout, il a donc soit voyagé en tant que passager soit il s’est fait embaucher comme membre d’équipage ce qui pour nous revient au même. On se fout de la planète où il a embarqué, il a dû faire un circuit !
– Tu laisses tomber, alors ?
– Je ne sais pas trop. J’ai consulté le site où ils parlent du piratage du Glory7, le vaisseau qui transportait Edina Von Graz. En fait la moitié des passagers ont été retrouvés.
– Mais pas Edina !
– Non pas elle.
– Tu te rends compte le nombre de personnes que ce genre de flibuste implique ? Déjà il faut une complicité dans le vaisseau, ensuite il faut une équipe pour reprendre le pilotage et l’acheminer on ne sait où. Après il y a le dispatching avec tous les gens intéressés, marchands d’esclaves, proxénètes, ferrailleurs et que sais-je encore, de toute façon des tas de gens différents, sachant que ces types vont aussi traiter avec d’autres, ça nous fait une véritable nébuleuse !
– En effet.
– Donc fatalement parmi tous ces gens-là, il y en a forcément un qui va causer !
– Et alors ? Demande Dyane
– On peut supposer que Ravo est un intervenant de bout de chaîne, pour une raison ou une autre il s’est senti menacé, aux abois et il tente de vendre ce qu’il sait, Il est aussi possible qu’il bluffe soit partiellement soit complètement.
– Et alors ?
– Alors j’hésite, et toi t’en pense quoi ?
– Qu’est-ce qu’on risque, à part se planter ? Conclue-t-elle.

Pour ma part, je n’arrivais pas à me décider, j’ai donc eu l’idée de réunir les cadres de mon équipage afin d’avoir leur avis.

Petites présentations :

Nerren Petrov est mon navigateur, bisexuel et plutôt obsédé, il est plein d’humour et c’est un collaborateur que j’apprécie particulièrement.

Dilos est notre ingénieur de bord, il a été un moment amoureux fou de Dyane, mais leur idylle a pris fin sans qu’ils ne soient fâchés pour autant.

Nadget et une jolie blackette exerçant les fonctions de technicienne de bord.

Tous ces braves gens sont désormais installés chichement sur la planète suite au pactole que nous avons récolté sur Orza (voir cet épisode), mais ils sont un peu comme moi, l’espace leur manque.

– Mais le gars t’a précisé qu’il nous faudrait une équipe de mercenaires…
– Pas question que j’embarque des mercenaires, c’est trop dangereux et ç’est une source de complications. Si on fait le coup, ce sera en douceur, et si c’est pas possible de cette façon on laissera tomber en refilant le tuyau à la police galactique.

Après une discussion que j’aurais pensé plus longue, un consensus se dégage reprenant la formule de Dyane : « qu’est-ce qu’on risque sinon de se planter ! »

J’ai revu Ravo, lui ai précisé que j’acceptais sa proposition.

– Vous avez des précisions sur la façon dont elle est gardée, s’il y a beaucoup d’hommes armés… tout ça
– Bien sûr qu’il y a des hommes armés
– Et comment êtes-vous au courant ?
– Ça ne vous regarde pas.
– Si vous m’avez refilé un tuyau percé, il y aura des conséquences…
– Je n’ai pas l’habitude de me faire menacer ! Me répondit-il de toute sa hauteur. Vous acceptez ou vous dégagez de ma vue.

J’ai été à deux doigts de l’envoyer promener, mais finalement j’ai accepté… Et il m’a communiqué les coordonnées de la planète en question.

Donc on y va, le temps de se préparer, d’assurer nos intérims et de réunir un équipage de base et c’est parti !

Auparavant nous avons rempli la cale de pinards et alcools de luxe, confiserie fine… Il y a toujours des amateurs pour ce genre d’échanges.

– Attention ! Indique Dyane dans le micro, passage en hyperespace dans 20 secondes.

C’est une formalité, parfois c’est un peu brusque, il faut juste se cramponner un peu.

– Echec du passage en hyperespace ! Signale la voix suave et robotisée de l’ordinateur de bord.
– Motif de l’échec ?
– Présence imprévue à proximité du moteur numéro 2.

C’est quoi ce cirque ?

– Je vais voir ! Se propose Dilos

Il se dirige vers la salle des machines, ouvre la porte avec son sas et là…

– Les mains en l’air cher monsieur, soyez rassuré nous ne vous voulons aucun mal, nous souhaitons simplement prendre le contrôle de ce vaisseau. Lui lance Vitali avec un sourire sadique.
– Mais vous êtes qui ? Comment avez-vous fait pour entrer là-dedans ?
– Peu importe, conduisez-moi vers votre poste de commandement.
– Et sinon ?
– Sinon, je vous endors et nous irons tout seuls.

Dilos n’a pas trop le choix, il jauge ses adversaires, Vitali est un grand maigrichon, par contre Maderna est taillé comme un joueur de rugby. Ils sont armés tous les deux, il n’a aucune chance.

Spectacle surréaliste, alors que je suis là dans le poste de pilotage avec mon staff au complet, je vois pénétrer Dilos, les mains en l’air suivi de deux abrutis à la mine patibulaire arborant des armes de poing.

– Plus un geste nous prenons le contrôle de ce vaisseau.

J’avoue ne savoir que faire et nous nous regardons tous, surpris et choqués.

– Mais qui êtes-vous ?

Maderna n’a pas le temps de répondre… car voici que Yoyo, le chat du bord, qui était perché je ne sais où, bondit et atterrit sur la tête du bonhomme qui crie de douleur et de stupeur et lâche son arme qui tombe aux pieds de Nadget. Celle-ci la ramasse et en menace Vitali complétement désorienté qui lâche son arme à son tour.

Voilà un renversement de situation inattendu, merci le matou !

– Bon, maintenant vous allez nous raconter qui vous êtes et comment vous avez fait pour vous introduire dans notre vaisseau.

Flashback

Vitali et Maderna sont deux détectives privés de l’agence Cosmico-Mystery. Ils sont chargés officiellement par la famille d’Edina Von Graz de tenter de retrouver la trace de l’actrice. Recoupant des tas d’informations ils sont tombés sur Ravo, alias Herman Schumacher et sont persuadés que le bonhomme a joué un rôle déterminant dans cette affaire.

Ils ont suivi sa trace jusqu’à Vargala-Station, puis profitant d’une légère bousculade dans l’ascenseur de l’hôtel, ils lui ont injecté dans la nuque un microémetteur. Ravo n’a ressenti qu’une petite piqure sans suite, mais désormais toutes ses paroles seront enregistrées.

Alors bien sûr, ces deux crétins furent fatalement au courant de l’accord que j’avais passé avec Ravo.

Fin du flashback.

– Et vous êtes entrés comment ?
– Nous avons des passes universels.
– Je considère que vous venez de commettre un acte de piraterie. Je suis donc habilité à vous éjecter dans l’espace.
– Pitié, monsieur on ne fait que notre métier ! Bredouille Vitali.
– Pauvre mec ! Et elle est où l’alternative, vous enfermer pendant tous le voyage avec tous les risques que ça comporte, vous nourrir gratuitement ?
– Nous avons de l’argent !
– Rien à foutre. On va réfléchir à ce qu’on va faire de vous, Dilos et Nerren, foutez-moi ses abrutis à fond de cale, ligotés bien comme il faut.

Yoyo vient se frotter contre mes jambes, brave bête, il aura droit à une double ration de pâté !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:48

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 1 – Le mystérieux capitaine Ravo par Nicolas Solovionni
stamp transblack

Bonjour, c’est moi le capitaine Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau, vaisseau spatial, dois-je préciser car l’action se passe dans le futur en l’an peut-importe lequel.

J’ai fait fortune après une mission rocambolesque (voir Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza) ce qui m’a permis d’acheter un cabaret sur Vargala-station, une cité portuaire fréquentée par de nombreux baroudeurs de l’espace mais aussi par des gens peu recommandables.

Le cabaret en question, c’est le « Diable Rose » essentiellement animé par des transsexuelles (ben quoi ?)

Je m’en occupe assez peu, laissant la gérance aux bons soins de la belle Riquita qui nous fait ça très bien, mais parfois il faut bien que j’y aille afin de montrer que le boss est toujours présent et de vérifier si tout se passe bien.

– Alors patron, on vient s’encanailler ? M’accueille-t-elle.
– Juste une petite visite de routine ! Je peux voir la cave ?

On descend tous les deux. Je regarde très vite si tout est correct, il faut bien que je justifie ma visite, puis on remonte.

– Je te mets à une table ? me propose Riquita.
– Non je ne vais pas m’attarder.
– Tu ne veux pas me sucer ?
– Pas à chaque fois, quand même !
– Fais toi plaisir, je suis en forme !

Et sans attendre Riquita baisse son fuseau bleu pour m’exhiber une magnifique bite chocolatée presque raide.

Que voulez-vous ? Sucer des bites est l’un de mes péchés mignons. J’aime autant les bites que les femmes, alors évidemment avec les trans j’ai les deux.

Et me voilà en train de lui prodiguer une fellation savante usant de mes lèvres et de ma bouche comme un artiste peintre ferait de ses pinceaux devant une toile qu’il rendrait sublime…

Simultanément je lui caresse les cuisses et les fesses, me régalant de la douceur de sa peau.

– Déshabille-toi, tu seras plus à l’aise ! Me conseille cette diablesse.

Je le fais et pour ce faire je suis bien obligé d’interrompre ma pipe. Me voilà nu et comme vous l’imaginez je bande comme un cerf en rut.

– A mon tour de sucer ! S’exclame Riquita qui sans recueillir mon accord se précipite sur ma biroute pour l’engloutir goulument.

C’est qu’elle suce divinement bien, la filoute, elle a une véritable langue électrique, elle va partout et très vite, léchage intempestif sur le bout du gland, léchage de la verge façon eskimo, gobage des couilles, allers et retours diabolique, fausse gorge profonde (fausse parce que c’est au fond de mes joues qu’elle engloutit mon pénis et non pas dans sa gorge, astuce connue)

Si elle continue à cette cadence je risque de jouir prématurément.

Je l’en avise et elle le comprend aisément, elle se redresse donc et en profite pour m’exhiber ses seins de rêves, ça tombe bien, j’allais justement lui demander de le faire.

Et vous pensez bien que devant des seins pareils, je ne peux rester figé, je caresse, je plote, mes lèvres s’approchent et font frémir ses tétons. Quel régal !

Les mains de ma partenaire ne restent pas inactives, elles viennent tâter la chair de mes fesses et s’approchent stratégiquement du mon intimité postérieure.

– Oh ! J’ai peut-être une surprise pour toi ! Me dit-elle soudain.
– Et on peut savoir ?
– J’ai une nouvelle trans…
– Encore, mais elles ont la bougeotte…
– Beaucoup n’aiment pas se fixer, mais pour la clientèle c’est bien, ça fait de la nouveauté. Je vais l’appeler tu vas voir elle est géniale.

La nouvelle s’amène quelques minutes plus tard, elle s’appelle Shalimar, fausse blonde à la peau mate, très jolie. Elle est vêtue d’une petite robe blanche chiné de gris, très décolletée et descendant au « au ras de la bite »

– Bonjour patron, me dit-elle.
– Montre-lui ta bite ! Lui demande Riquita.

La trans s’exécute exhibant un sexe prometteur mais flasque. Je m’en empare et esquisse quelques mouvements de masturbation qui ont tôt fait de faire raidir convenablement la chose.

Son pénis est à présent décalotté et le gland apparaît dans toute sa beauté.

Attiré par ce sexe comme par un aimant, je me baisse et l’embouche. Je suce avec frénésie tandis que mes mains caressent ses grosses couilles pendantes.

Je fais une petite pause, sa bite ainsi imprégnée de ma salive n’en est que plus belle.

Je me retrouve je ne sais comment avec une bite dans chaque main, celle de Riquita à droite, celle de Shalimar à gauche, je les branlotte un peu. Je réalise alors (mais où avais-je la tête ?) qu’il est complétement incongru que je reste habillé en de telles circonstances.

Me voilà donc nu, je me penche pour m’occuper de nouveau de la pine de Shalimar, mais voilà que Riquita me pelote les fesses de façon intempestive.

Je me laisse faire car la suite n’est pas bien difficile à deviner et j’ai envie de cette suite.

C’est une suite en trois mouvements. Premier mouvement, Riquita me lèche le fion de sa langue diabolique à ce point que j’ai du mal à me concentrer sur ma pipe… mais c’est si bon…

Second mouvement, c’est un doigt qui s’introduit dans mon trou intime, qui va, qui vient, qui fait ressort comme un asticot qui fait du sport. C’est bien mignon tout ça, mais après ces petits préliminaires, j’aimerais bien que l’on entre dans le vif du sujet si toutefois vous me permettez cette expression…

Et après m’avoir fait lanterner plusieurs minutes, Riquita retire son doigt, prélude au troisième mouvement, je sens son gland quémander l’ouverture, ça passe de suite, ça y est, il m’encule !

Stoffer0401

Me voilà avec une bite dans la bouche, une autre dans le cul ! Elle n’est pas belle la vie ! Quand je pense que je venais simplement vérifier le stock de pinard !

Riquita s’agite de plus en plus derrière moi, tandis que Shalimar pousse des petits jappements de plaisir… Et par une simultanéité involontaire, mes deux partenaires jouissent de conserve. J’ai tout le foutre de Shalimar dans ma bouche tandis que Riquita m’a inondé l’anus.

Fin de partie ? Pas vraiment parce que je n’ai pas joui ! Riquita m’offre sa bite sortant de mon cul à nettoyer, tandis que Shalimar se jetant sur ma pine me fait cracher ma jouissance en quelques minutes.

Merci les filles, c’était bien…

– Sinon rien à signaler ! Demandais-je à Riquita près m’être rhabillé.
– Non ! Ah si, j’ai un message ?
– Ben tu me le fais suivre comme d’habitude.
– C’est un gars qui ne veut pas laisser de traces j’ai noté ses coordonnées, Ravo, à l’hôtel des Elfes.
– S’il fallait que je donne suite à tous les messages que je reçois, je ne ferais que ça.
– Il m’a dit que ce qu’il avait à te proposer pourrait t’intéresser.
– Ils disent tous la même chose.
– Ecoute, je suis embêté, il m’a graissé la patte pour que j’essaie de te convaincre de le rencontrer.
– Fallait pas accepter !
– Je sais, je sais.
– Et si je donne pas suite, qu’est-ce qui se passe ?
– Il risque de mal le prendre.
– Tu m’emmerdes, Riquita, c’est bien parce que je t’aime bien, je vais aller voir ce mec ! Mais par pitié, ne recommence plus ce genre de connerie.
– Promis, patron.

Je me rends à l’hôtel en question et demande à rencontrer ce Ravo, il a un œil en moins caché par une plaque métallique, je me demande bien pourquoi il ne fait pas greffer un œil tout neuf, mais ce ne sont pas mes oignons.

Après une présentation minimaliste, le type me sort de sa poche un spacephone, cherche une photo et me la met sous le nez.

– Ça vous parle ?
– Euh oui, on dirait Edina Von Graz.
– Z’êtes au courant…
– Au courant de quoi ? Elle a disparu dans un croiseur de luxe, si j’ai bonne mémoire.
– Elle n’a pas disparu, elle a été enlevée.
– Vous en savez des choses…
– Le coup est classique, c’est un peu plus difficile maintenant avec les nouvelles normes de sécurité, mais avant il suffisait de quelques complicités internes. On s’arrangeait pour faire atterrir le vaisseau dans un coin paumé, ensuite c’était le partage et la vente, On récupérait les bijoux, quant aux passagers on faisait le tri, les belles filles et quelques jeunes hommes pour les harems et les réseaux de prostitution, les costauds pour servir d’esclaves dans des mines, des champs, tout ce que vous voulez…
– Et les autres…
– Les autres je ne sais pas. Toujours est-il que j’ai localisé Edina Von Graz.
– Et…
– Je peux vous fournir les coordonnées de la planète où elle se trouve…
– Vous voulez que j’aille la récupérer ?
– Ce n’est qu’une suggestion. Il y a une belle prime à toucher.
– Et pourquoi ne pas l’avoir récupéré vous-même ?
– Je ne suis pas obligé de vous répondre, mais disons que d’une part je n’étais pas équipé pour le faire, et puis si je la récupère, je serais interrogé par la police galactique qui voudra savoir ce que je fabriquais dans le coin… Ça vous suffit comme explication ?

Fallait voir la suffisance avec laquelle il m’avait sorti son baratin.

– Quand vous dites que vous n’étiez pas équipé pour le faire vous-même, vous entendez quoi par-là ?
– Il m’aurait fallu une petite équipe de mercenaires.
– Vous ne pouvez pas m’en dire plus ?
– Je vous en dirais plus, quand j’aurais votre accord !
– Et pourquoi m’avoir choisi ?
– En débarquant ici j’ai demandé s’il y avait des capitaines qui accepteraient une mission un peu délicate et particulière, j’ai obtenu trois noms, vous étiez le premier de la liste, c’est tout simple.
– Bon si j’accepte, c’est quoi les conditions ?
– 10 000 kochniks pour le renseignement et la moitié de la prime.
– Ça demande réflexion…
– C’est de l’argent facile, il suffit de préparer une opération de commando avec quelques costauds bien entraînés, je pense qu’on peut en trouver à la pelle sur cette planète…
– Pas si sûr ! Mais pour votre gouverne, je n’ai pas besoin d’argent, j’en ai à ne plus savoir en faire, si j’accepte ce sera pour faire une bonne action… et puis j’aime bien Edina Von Graz.
– Vous me donnerez une réponse quand ?
– Après demain !

En fait j’étais déjà partant, mais je n’avais pas envie de lui dire.

L’espace et l’aventure me manquaient, j’en avais marre de glander sur Vargala.

Je contactais Dyane Makaya, ma seconde de vaisseau, une belle MILF blonde aux formes voluptueuses, elle avait investi dans un institut de massage érotique que je n’avais pas encore eu l’occasion de tester malgré ses sollicitations pressantes et répétées.

– Salut ma biche, ça te dirait de retourner dans l’espace ?
– Pour y faire quoi ?

Je lui expliquai…

– Curieux que ce mec n’ait pas fait le boulot lui-même, c’est qui ?
– Il s’appelle Ravo, je l’avais jamais vu,
– Tu veux que j’essaie de me renseigner sur ce mec ?
– Pourquoi pas ? Il est à l’hôtel des Elfes, j’ai pas de photo mais je vais te le décrire. Tu le reconnaîtras facilement, il a une plaque de métal à la place de l’œil gauche.

Vêtue d’un pantalon bien moulant et d’un haut très décolleté, Dyane pénétra dans le hall de l’hôtel des Elfes, un établissement moyen, dirons-nous, ni trop luxueux, ni trop pourri.

Elle s’assit derrière une table, commanda une limonade et précisa au préposé « qu’elle attendait quelqu’un. »

Elle avait une petite idée sur la façon d’aborder ce Ravo, jouer la confusion en se faisant passer pour une vieille connaissance, et comme souvent elle était persuadée que son charme l’aiderait.

Une heure plus tard Ravo n’était toujours pas descendu.

« J’espère qu’il n’est pas sorti ? »

Dyane attendit encore une bonne demi-heure, au terme de laquelle Ravo sortit de l’ascenseur précédée d’une fort jolie personne.

« Merde, ils sont ensemble, mon plan va foirer… comment faire maintenant ? »

Le couple se dirige vers le bar et commande une conso.

Dyane remarque un type assis pas trop loin d’elle et qui la regarde avec insistance, on pourrait même dire avec concupiscence.

« Ça ne coûte rien d’essayer ! »

Elle lui fait un sourire d’invite très explicite. Le bonhomme accourt.

– Vous cherchez de la compagnie ? Demande-t-il bêtement en guise d’introduction super originale.
– Peut-être, peut-être… mais il y a quelque chose qui me chiffonne.
– Ah oui ?
– Le mec au comptoir, je suis persuadée de l’avoir rencontré mais c’était y a longtemps et c’était pas ici…
– Ravo ?
– Je ne sais pas si c’est ce nom-là. Bluffa Dyane. Vous le connaissez ?
– C’est un ours, il évite les conversations, Vargala n’est pas son port d’attache, j’ai cru comprendre qu’il avait eu une embrouille là où il avait ses habitudes,
– Il est là depuis quand. ?
– Une dizaine de jours.

Peu de renseignements, mais elle avait obtenu l’essentiel.

– On monte dans ma chambre ? Proposa le type plein d’espoir.
– Cela aurait été avec plaisir mais il faut que j’y aille. Je suis la patronne des « doigts d’or » un institut de massages, vous connaissez ?
– Non.
– Comme vous êtes sympa, je vais vous faire un petit mot, vous le présenterez à la caisse, on vous fera 50%.

En tant que capitaine, j’ai accès à certaines données du cosmoport et notamment aux mouvements des vaisseaux (atterrissages et décollages). J’obtiens donc la liste de tous les vaisseaux qui se sont posés dans les quinze derniers jours. Je les connais tous de mémoire sauf deux, mais aucun de ces deux-là n’étaient commandés par des gens ressemblant de près ou de loin à un capitaine Ravo.

Il est arrivé comment sur la planète, ce mec ?

– Y’a un truc ! S’il n’est pas arrivé comme capitaine ou comme membre d’état-major, c’est qu’il est arrivé soit comme simple membre d’équipage soit comme passager, j’aimerai bien éclaircir ce point ! Expliquais-je à Dyane
– Toi, je te vois venir, tu vas encore me demander de turlutter Rudy (Rudy est l’un des responsables du trafic de l’astroport de Vargala station)
– Je ne te demande rien, mais si tu le faisais, ça m’arrangerait.
– T’es gonflé quand même.
– J’en suis conscient, mais je suis sûr que quelque part ça t’amuse !
– Ben voyons… je me renseigne pour savoir si Rudy est de service en ce moment.

Il y était

– Tiens te revoilà, toi ! Lui dit Rudy en écarquillant les yeux.
– Pas content de me voir ?
– Si, si mais je sens que tu vas encore me demander des trucs impossibles.
– Rien n’est impossible, il suffit de s’entendre
– Alors tu veux quoi ?
– Que tu me fasses défiler les trombines de tous les gens qui sont descendus ici depuis quinze jours.
– Facile ! Et la contrepartie ?
– Comme d’hab ! Minauda Dyane

Les visages défilent sur l’écran de Rudy mais aucune trace de Ravo,

Deux mots d’explications : à leur arrivé, les personnes qui débarquent doivent entre autres formalités franchir un portillon où elles sont prises en photos 3D tandis que leurs empreintes digitales et rétiniennes sont enregistrées.

– C’est impossible, un mec est apparu sur la planète il y a une dizaine de jours et je ne le vois nulle part sur tes trombines.
– Ça peut arriver !
– Comment ça ?
– Le machin peut tomber en panne…
– Il y a un back up, non ?
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses ! Quelques fois quelques kochniks ça aide à mettre le machin en panne.
– Mais quel intérêt ?
– Tout le monde est tracé ici, tout le monde à plus ou moins quelque chose à se reprocher, mais tout le monde s’en fout, on ne va mettre tout le monde en prison. Sauf qu’il y a des mecs qui on fait des gros coups, ceux-là ils ont intérêt à effacer leurs traces.
– Bon alors là je vais être directe : Est-ce que dernièrement on t’a graissé la patte pour faire ça ?
– Tu crois vraiment que je vais te répondre ?
– Humm… évidemment, mais tu peux peut-être me dire quel équipage a débarqué alors que le machin était en panne.
– Oui, ça c’est possible !

C’était d’autant plus possible que j’aurais pu le faire moi-même, il me suffisait de croiser la liste des atterrissages avec le trombinoscope de leurs occupants, ce qui aurait permis de découvrir qu’un vaisseau s’était posé sans laisser aucune trace de son équipage et de ses éventuels passagers. Cela ne coûtait donc rien à Rudy de fournir le renseignement.

– Le Farah day ! Annonça -t-il. Tout content de lui.
– C’est quoi ce vaisseau ?
– Du Transport régulier, c’est un cargo ravitailleur.
– Mais explique-moi, dans un cas comme celui-ci, comment le mec fait pour vous prévenir de mettre le sas de contrôle en panne, il ne va tout de même pas prendre le risque d’utiliser la radio ?
– Ben non, ça laisserait des traces.
– Alors ?
– C’est tout simple, en principe on n’effectue aucun contrôle de bord sur les vaisseaux réguliers, mais ils peuvent néanmoins le demander sous un prétexte fallacieux, une personne présumée malade par exemple, donc en gros, un message manuscrit va être donné au personnel sanitaire qui le refilera à la capitainerie. Autre question ?
– Non.
– On peut passer à ma petite récompense alors ?
– Bien sûr, bien sûr, et qu’est ce qui te ferais plaisir ?
– Comme d’hab non ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:36

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 18 – Partouzes sur la terre ferme par Nicolas Solovionni

stamp transblack

 

Hofjom est venu me trouver en m’indiquant qu’un type qui possédait une petite boite de pièces détachées souhaitait la vendre, et que la chose l’intéressait. Je lui ai donc prêté quelques sous afin qu’il puisse reprendre l’affaire.

Gundula s’est installée chez moi, pour quelques temps, notre liaison durera ce qu’elle doit durer, nous en sommes bien conscients tous les deux, c’est pour cela qu’elle a voulu conserver son travail à la clinique, elle ne souhaite pas être à mes crochets, elle a bien raison.

Ce soir elle était invitée à une soirée entre filles organisé dans l’appartement de Dyane. Il y aurait aussi Nadget, Elvira, Valencia, Tallulah et quelques autres.

– Tu me raconteras ! Lui demandais-je.
– Ça dépend, toi tu vas faire quoi ?
– Ça fait un bout de temps que je n’ai pas été profiter de mon cabaret… J’avais pas trop envie ces dernier temps. Là ça me titille de nouveau.
– Cochon !
– Oui, mais j’assume !
– Tu me raconteras aussi ?
– Bien sûr !

Et le lendemain, nous nous sommes raconté nos frasques respectives.

Le récit de Gundula

On a pas mal bu, pas mal déconné, puis des couples et de petits groupes se sont formés. L’ambiance est devenue de plus en plus chaude et débraillée.

Je me suis retrouvée, je ne sais trop comment, avec Elvira et Dyane dans sa chambre.

On s’est amusé à se peloter les seins, et à se faire de petits bisous, Elvira jouant les divas, mais ça lui va si bien, elle est tellement belle !. On s’est vite retrouvé à moitié à poil, Dyane a donné ses jolis seins à téter à Elvira, et cette dernière ne voulant pas faire de jalouse s’est emparée des miens. Putain sa langue sur mes tétons, qu’est-ce que c’était bon ! D’autant qu’en même temps Dyane en profitait pour me rouler une gamelle

Ça été la fête à nos nichons pendant un long moment, chacune suçait, chacune était sucée. Un moment j’avais la langue d’Elvira sur un téton, et celle de Dyane sur l’autre. Une sensation inouïe !

On a fait une petite pause, Dyane a quitté un moment la chambre puis est revenue avec une bombe de crème Chantilly. Elle m’en a aspergé les seins, et les deux autres se sont amusées à déguster tout cela !

Nous sommes ensuite passées à des choses plus hards, on a fini de se déshabiller, Elvira s’est couchée sur le dos, je me suis accroupie au-dessus de son visage afin qu’elle puisse me lécher la chatte, tandis que Dyane lui écartait les cuisses pour lui butiner le minou.

Un moment Dyane a changé de position, elle s’est débrouillée pour que sa chatte soit en contact avec celle d’Elvira, et elles se sont mises à se faire du frotti-frotta. La position de Dyane lui permettait d’avoir accès à mes nichons, apparemment elle ne s’en lassait pas .

Un moment je me retournais afin que Dyane puisse profiter de mon gros cul. Mais cette salope au lieu de me le caresser, se mit à me donner des fessées. J’avoue que ce n’était pas désagréable. Puis elle m’a écarté mes fesses et ma léché le trou du cul comme elle sait si bien le faire. Elvira s’est mise à côté de moi réclamant elle aussi qu’on lui lèche l’anus. Dyane nous a alors doigté simultanément, Quand elle a ressorti ses doigts imprégnés du jus de nos culs, elle les a léchés avec gourmandise.

Dyane a ensuite sorti un gode de sa cachette, tout le monde le voulait dans son cul, on a tiré au sort. J’ai gagné et elle m’ont fait aller et venir la bite artificielle à un rythme infernal, je jouissais comme une folle et quand le gode est ressorti pollué de matière on s’est précipité dessus pour le nettoyer, moi la première.

Dyane et Elvira se sont fait jouir presque simultanément, moi pas encore, alors on a changé nos positions. A mon tour d’être sur le dos; Elvira venant entre mes cuisses.

Dyane s’est amusé à m’attacher les poignets, je l’ai laissé faire, puis tandis que la langue d’Elvira s’agitait de plus en plus, Dyane m’a redonné ses tâtons à téter avant d’attaquer les miens qu’elle mordillait légèrement.

J’ai enfin joui, j’étais bien, Dyane m’a détaché et embrassé, puis Elvira m’a pissé dans la bouche. Une bonne soirée, quoi !

Fin du récit de Gundula

Et maintenant à toi !Stoffer0318

Pas mal de monde au Diable rose, ce soir, et la musique est assourdissante, quelques-unes des pensionnaires de l’établissement me saluent et je me dirige non pas vers mon bureau, n’ayant rien de particulier à y faire mais vers celui de Riquita, ma régisseuse transsexuelle.

– Oh ! Bonjour patron ! Me dit-elle avec un sourire désarmant.

Elle est là sur son canapé, en culote et soutien-gorge blanc sous un chemisier déboutonné de la même couleur.

– Tu m’as l’air débordé à ce que je vois ! Lui fais-je remarquer.
– J’ai bien le droit de souffler un peu, non ? Il y a eu une bagarre hier soir, un cinglé qu’on a été obligé de sortir, mais il a cassé du matériel, il faut qu’on remplace tout ça, qu’on voit avec l’assurance, tout ça.
– Vous ne vous êtes pas débrouillées pour faire payer le mec ?
– Bien sûr que si, mais l’assurance n’est pas obligée de la savoir.

Elle se lève, s’avance vers moi, se fait chatte, caresse mon torse à travers mon tee-shirt.

– J’ai un peu squatté ton bureau, j’ai auditionné une nouvelle, elle devrait te plaire…
– Une trans ?
– Oui, une belle blonde ! Elle attend dans ton bureau. Elle s’appelle Mimi.
– Quelle originalité ! Et qu’est-ce qu’elle fout dans mon bureau ?
– J’attendais Joanna pour la tester, mais elle n’a pas l’air pressée de venir. Viens je vais te la présenter.

On change de pièce, effectivement mon canapé personnel est occupé par une magnifique créature en sous-vêtements noir et rose.

– Je te présente le patron ! Lui dit Riquita.
– Bonjour Patron !

Riquita, collée dernière moi me masse la braguette et quand elle sent la chose convenablement bandée la fait sortir de sa cachette.

Je me branlotte un peu pour en affiner la rigidité. Je m’approche du canapé, Mimi est maintenant très proche de moi, elle ouvre une large bouche et me gobe ma queue avec gourmandise, tandis que Riquita me pelote les fesses

Je décide d’opter pour une position plus confortable et rapidement nous nous retrouvons couchés tous les trois, et tandis que Mimi continue de me sucer la bite, j’ai dégagé la magnifique queue noire de Riquita afin de m’en régaler comme il se doit de ma bouche gourmande..

Je prends mes aises et m’allonge de tout mon long, résolu à me laisser faire par ces deux magnifiques créatures. Riquita vient alors me sucer la bite tandis que Mimi m’embrasse à pleine bouche de sa langue diabolique

Mimi veut ensuite gouter à la queue de Riquita Je passe derrière elle, lui écarte ses jolies fesses, approche ma langue de son petit trou du cul et me met à le lui lécher avec gourmandise L’endroit devient vite bien lubrifié et d’un seul coup de rein je l’encule.

Riquita se dégage de la bouche de sa collègue et vient derrière moi, je sais ce qu’elle va faire et accueille volontiers sa bonne bite dans mon cul, Nous voilà trous les trois en train de faire le petit train, je suis à la meilleure place, j’encule et me fait enculer !

On finit par se désemboiter et je reprends ma position passive, couché peinard sur le dos Mais voici Mimi décidemment insatiable qui ne trouve rien de mieux à faire que de venir s’empaler sur ma bite. Riquita qui ne veut pas être en reste m’encule de nouveau. A ce rythme-là, mon cœur ne va jamais tenir !

Allez, j’ai envie de jouir, j’encule Riquita pendant qu’elle suce Mimi

Je souffle un peu, nous nous embrassons tous les trois dans un grand moment de tendresse, puis je prends la bite de Mimi dans ma bouche Je n’y avais pas encore gouté !

– T’aime ça, sucer des bites ! Me lance Riquita qui connait évidement la réponse

– Humm, elle est trop bonne sa bite !
– Régale toi, pendant ce temps-là, je vais t’enculer !

Encore ! C’est décidemment la fête à mon cul ! Mais je ne vais pas m’en plaindre ! Riquita ne se contrôle plus et me pilonne à un rythme infernal me provoquant des frissons de plaisir inimaginables

Elle jouit et décule m’offrant sa bite pleine de sperme à nettoyer, tandis que Mimi finit de me pomper jusqu’à ce qu’à mon tour je libère mon foutre dans un râle

Et tandis que je reprends mes esprits, Mimi se branle comme une malade m’envoyant toute sa purée sur le ventre

– Faut que je pisse ! Dit-elle

Riquita a alors suggéré à sa collègue de m’asperger de son urine. Quoi de mieux pour terminer ce moment de folie que se désaltérer de cette délicieuse pluie dorée !

Ces piquants récits nous ont bien émoustillés, Gundula et moi. Nous avons fait l’amour comme des sauvages puis nous nous sommes endormis blottis l’un contre l’autre en se remémorant nos galipettes et en rêvant à de nouvelles aventures.

Je l’aime bien Gundula, mais l’image de Mamie Marcia me hante ! Un jour les femmes me perdront !

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:34

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 17 – Mission spéciale pour Gundula par Nicolas Solovionni
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Laburo descendit d’un vaisseau une semaine plus tard. Il est immédiatement repéré par Dilos qui le suit, il m’en informe et prévient Gundula de se tenir prête.

L’homme tente de contacter le docteur Levkovich et devant le manque de réaction du spacephone, il lui envoie un message sibyllin.

Il patiente une bonne heure dans un bistrot en piaffant d’impatience.

« Je fais quoi ? Il lui serait arrivé quelque chose ? Je vais essayer de savoir si le vaisseau qui l’a transporté est rentré. »

Il quitte le rade et va pour retourner au cosmodrome. L’éventualité de cette situation ayant été prévue, Dilos rattrape le bonhomme.

– Monsieur Laburo ?
– Mais comment…
– Le docteur Levkovich est souffrant, il a eu votre message, il vous attend dans sa clinique, soyez prudent.
– Mais…
– Soyez très prudent ! Répète Dilos avant de s’éloigner et de se cacher, prêt à reprendre la filature.

Laburo est dubitatif.

« Un piège ? Mais je ne vois pas comment ? A priori, personne ne connait mes liens avec Levkovich. Il a dû se passer quelque chose, prudence, prudence… »

Alors, il y va. Son désintégrateur à portée de main.

– Allo Gundula, il sera là dans cinq minutes, tiens-toi prête.

Gundula qui s’était rendue introuvable pour ne pas risquer d’être dérangée se tient maintenant près de la porte d’entrée de la clinique.

– On nous envoie un type malade, probablement empoisonné, je vais immédiatement le prendre en charge ! Explique-t-elle à sa collègue de l’accueil.
– Je ne suis pas au courant…
– Ben maintenant tu l’es !

Et voici Laburo…

– Euh, bonjour…
– Je suis au courant venez avec moi ! Lui dit Gundula.

Au détour du couloir, Gundula le pique avec une seringue de propofol pour l’envoyer dans les vapes, une seconde injection lui envoie de l’acetylamino-testiculophosphate, un poison lent qui nécessite un antidote si on ne veut pas que sujet clapote.

– Quelqu’un pourrait venir m’aider ? Crie-t-elle après lui avoir subtilisé les papiers de l’homme et les remplacer par une fausse carte au nom de Lexro.
– Qu’est ce qui se passe ?
– J’en sais rien, il est entré et il s’est écroulé.
– On va le mettre au lit ! Ensuite on lui fera passer un scanner et on fera des analyses…

On diagnostiqua évidement un empoisonnement, le traitement durerait plusieurs jours, et Gundula se débrouilla pour que ce soit elle qui s’en occupe.

Le soir toute la petite bande se réunissait chez moi. Gundula toute fière, nous raconta tout ça :

– Bravo ! T’as été formidable ! La complimentais-je
– J’espère que ça ne va pas me retomber sur le dos !
– Non, il reste juste une chose à faire, demain je passerais à la clinique.

J’ai demandé à voir Monsieur Lexro, on m’a répondu que ce patient paraissait très abattu et qu’il ne fallait pas que je reste longtemps. Une fois dans sa chambre, et après avoir pris soin de refermer la porte, Gundula l’a hypnotisé en ma présence.

– C’est quoi ton rôle dans l’organisation des amis des précurseurs.
– On dit « Les témoins des précurseurs »
– C’est ce que je voulais dire.
– Je suis un initié de classe B et je supervise les informations provenant de la zone V5A.

La zone en question est un petit secteur du bras galactique exploré par les terriens, il comprend Vargala et quelques autres planètes gravitant autour d’étoiles plus ou moins chaudes.

– Et tu supervises de quelle façon ?
– Je m’assure que chaque planète possède un superviseur de classe C et j’ai la charge de m’informer de leurs investigations.
– Que contenait le message que vous a envoyé Levkovich ?
– Les coordonnées de la planète où il désirait se rendre suite à une présomption de vestiges précurseurs et les conditions de la découverte de ces vestiges.
– C’est tout ?
– Le matricule du vaisseau de transport, la date du départ.
– Vos supérieurs ont-ils été informés de tout ça ?
– Non !
– Et pourquoi ?
– On ne dérange pas les initiées de la classe A avec des rumeurs, on attend d’avoir une vue complète des choses pour leur transmettre des informations.
– Levkovich a-t-il informé d’autres personnes de ses intentions ?
– Il n’en avait pas le droit.
– Que comptez-vous faire à présent ?
– Retrouver Levkovich.
– Et si vous ne retrouvez pas ?
– Je me rendrais sur la planète dont il faisait état.
– O.K., maintenant faites un gros dodo, vous ne m’avez jamais rencontré, bien évidemment…

En sortant de sa chambre, nous sommes tombés sur le Docteur Zolier.

– Il va mieux ? Demande-t-il
– Il ne va pas pire ! Répond Gundula.
– Vous le connaissez ce type ? Me demande le toubib. Impossible de lui remplir sa fiche, sa carte est fausse et il reste muet comme une carpe.
– Oui bien sûr je vais vous donner tous les renseignements nécessaires. Dis-je en donnant un coup de coude à Gundula.
– Venez dans mon bureau, non pas vous Gundula, je vous laisse à votre travail.
– Oh, mais ce n’est pas possible j’ai encore une poussière dans l’œil.
– Vous le faites exprès, vous, faites voir.

Quelques instants plus tard le docteur Zolier remplissait une fiche d’admission en bonne et due forme au nom de Théophraste Lexro, artiste peintre.

Le soir Gundula me retrouvait.

– On fait quoi maintenant ? Me demande-t-elle.
– Si on le lâche dans la nature et s’il n’est pas trop con, il va se rendre compte que mon vaisseau a atterri, donc il va chercher à me rencontrer.
– Et alors ?
– Et alors : j’aimerais mieux pas…
– Il le fera peut-être pas ? Il peut très bien chercher un vaisseau pour se faire prendre comme passager.
– Et comme il y a toutes les chances que personne ne réponde à son appel d’offre, il va aller démarcher tous les capitaines en stand-by… et tomber sur notre vaisseau.
– Aïe !
– Comme tu dis.
– Il reste quoi comme solution ?
– Si tu diminues de moitié la dose de l’antidote, il en a pour combien de temps ?
– T’es pas en train de me proposer de le tuer, j’espère ? S’inquiète Gundula
– Pas le tuer ! Juste le laisser mourir.
– Ça revient au même ! Je ne peux pas faire ça ?
– Ecoute-moi, si ce mec sort de la clinique, il va nous rechercher, il nous extorquera les renseignements qu’il cherche par n’importe quel moyens : du fric, des tortures, du chantage… et une fois qu’il sera renseigné, il ne nous laissera pas en vie.
– Tu sais te défendre, non ?
– Moi, oui, mais toi peut-être pas, ni les filles qu’on a embarquées… Et puis admettons que je le tue, la mafia ici ne tolère que les crimes qu’elle commandite, les gens coupables de meurtre sont éliminés à leur tour.
– Tu me fais froid dans le dos !
– Tu veux que je te réchauffe ?
– Andouille !
– Alors d’accord ?
– Puisqu’on ne peut pas faire autrement ! Mais je ne vais pas en dormir de la nuit.
– Je sais ! Parfois on fait des choses qui ne sont pas toujours très jolies, j’ai bien laissé Kinsky se faire assassiner.
– Oui, bon, j’ai dit que j’étais d’accord… S’énerve-t-elle.
– Et donc combien de temps ?
– Il va durer deux jours, peut-être moins.

Laburo est mort au bout de deux jours, il avait la peau dure; j’ai pris en charge le corps et l’ai fait incinérer.

Gundula a mal vécu cet épisode, elle m’a fait la tronche et s’est éloignée de moi. J’ai demandé des nouvelles, elle m’a répondu assez sèchement qu’elle s’amuse très bien avec Tallulah. Tant mieux pour elles.

Je me sens un peu dans le mou. J’ai proposé à Nerren de passer à la maison, afin de boire un coup… et plus si les circonstances s’y prêtent…

Une heure avant qu’il arrive, je reçois un message de Gundula, qui me demande si elle peut passer en compagnie de Tallulah. Voilà qui contrarie mes plans, mais je n’ai pas envie de me défiler, cela ne simplifierait pas nos rapports.

Je crois comprendre le but de sa visite, il me parait évident qu’elle souhaite se rabibocher. Quant à Tallulah elle est là pour faire tampon et éviter que l’on s’engueule. Classique !

Alors est-ce que je vais dire à Nerren de reporter. Non !

Les deux filles arrivent. Bisous, bisous.

– J’ai été un peu vache avec toi ! Commence Gundula.
– Je ne t’ai pas demandé une chose facile !
– Je t’en ai voulu de m’avoir fait faire ça, mais maintenant avec un peu de recul, je me dis que je ne peux pas te donner tort !
– Alors tout va bien ! Bisous ?

C’est ce qui s’appelle un désamorçage de crise express !

Gundula me fait un bisou qui se transforme vite en patin et en profite pour me toucher la braguette. Ah, bon ? Ça devait faire partie du plan de réconciliation !

– Vous n’êtes plus fâchés, alors ? Demande Tallulah en me tripotant les tétons à travers ma chemise.

Bon comment vais-je pouvoir résister à ces deux nymphomanes ? D’ailleurs ais-je vraiment envie de résister ? Sauf qu’il y a un élément qu’elles ignorent…

– Euh, les filles, vous faites ce que vous voulez, mais je dois quand même vous prévenir que Nerren devrait arriver d’un moment à l’autre.
– Ah ? Vous vouliez faire des choses entre garçons ? Demande Gundula.
– Je lui ai dit de passer pour boire un coup…
– On dit ça, on dit ça… On ne peut pas rester alors ?
– Mais bien sûr que si !
– Si vous vous faites des trucs, on pourra regarder ? Reprend Gundula.

La conversation n’est pas trop facile, ces deux coquines s’évertuant à mettre leur petites mains partout !

– Bon les filles, on va peut-être l’attendre, on fera des bêtises après !
– On ne fait pas des bêtises, on fait des caresses.

On sonne ! Je vérifie dans le vidéophone la tronche du visiteur, n’ayant pas envie d’ouvrir au grand méchant loup ! Mais c’est évidemment Nerren.

– Bonjour tout le monde !

Bisous, bisous une fois de plus, il est un peu surpris de voir les filles, mais que voudriez-vous qu’il fasse, il ne va quand même pas se sauver en courant.

Je sers à boire. Watchibole pour tout le monde ! On trinque, on boit.

– Ma copine aimerait bien vous voir faire du sexe tous les deux ! Déclare Gundula sans autre préambule.

Décidemment elle devient de plus en plus délurée la petite infirmière !

– Qu’est-ce que tu en penses, Ajas ? Me demande Nerren.
– Ben…
– On ne peut pas refuser une telle chose à une si belle femme ! Ajoute-il.

S’il s’y met aussi, je n’ai plus qu’à m’incliner (au sens figuré, du moins pour l’instant)

– Alors dégage-moi ta bite que je te la suce ! Répondis-je.

Il le fait et sort de sa braguette une bite demi-molle que je m’apprête déjà à mettre en bouche.

– Pas comme ça les garçons, pas comme ça ! Intervient Tallulah.
– Ben quoi ?
– Vous croyez que c’est esthétique ? Mettez-vous plutôt à poil ce sera plus sympa.

« Ce que femme veut ne saurait nuire à la queue ! » disait Confuquisus

On se dessape donc. Mais j’interpelle les filles !

– Dites donc vous pourriez vous déshabillez aussi, ça aussi ce sera sympa.
– On ne va pas tarder à le faire ! Répond Gundula. N’est-ce pas Tallulah ?
– Mais bien sûr ma chérie.

On peut donc passer aux travaux pratiques. La bite de Nerren, je la connais par cœur, mais c’est un plaisir toujours renouvelé de sucer cette bonne bite. Ce gros coquin, a pris la précaution de ne pas prendre de douche avant de venir, j’ai horreur des bites qui sentent la savonnette. Là elle a un petit goût musquée, juste ce qu’il faut !

– T’aimes ça la bite, hein gros cochon ! M’apostrophe Tallulah.

Ben oui, j’aime ça, mais je ne vais pas répondre, j’ai la bouche pleine. Et pour l’instant je me régale, je lèche, je pourlèche, je suce. Ma langue voltige et se faufile partout, le gland, la hampe et les bourses.

Stoffer317– Tu suces trop bien ! Me complimente Nerren.
– Humpf, humpf !

Ben oui, en principe ce qu’on aime faire, on le fait bien !

– Il va t’enculer, maintenant ? Demande Tallulah.
– Bonne idée ! Répondis-je sans ambages

Je me mets en position, Nerren vient me lécher la rondelle, il adore ça et moi aussi. Puis au bout de quelques instants je sens son gland quémander l’entrée de mon trou intime, Une petite poussée et ça entre. Il n’a plus qu’à faire pistonner son chibre tandis que je me pâme déjà de plaisir.

Les deux coquines se déshabillent comme des sauvages en profitant du spectacle… et ça se pelote, ça se caresse, ça se bécote. De vraie furies.

Au bout d’environ dix minutes, je dis environ parce qu’il est toujours difficile d’évaluer le temps en de telles circonstances, Nerren prend son pied et jute son foutre dans mon conduit anal. Il se retire, et la folie sexuelle atteint alors son paroxysme, Gundula vient lui nettoyer la bite, tandis que Tallulah vient lécher le sperme qui s’évacue de mon anus.

Puis les deux femmes s’embrassent comme des goulues en se tripotant partout et finissent par atterrir ensemble sur le canapé où elles entament un soixante-neuf frénétique.

Et moi ? Je n’ai pas joui. Nerren me propose sa main gentiment, mais j’ai préféré temporiser.

Quand les deux femmes eurent terminées leur petites affaires, j’ai fait un petit signe à Gundula, qui comprit le message et c’est dans sa bouche que j’ai libéré ma jouissance.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:32

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 16 – Retour au Carrie’s bar par Nicolas Solovionni
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Le voyage spatial s’est poursuivi sans incident notable. Avant l’atterrissage, j’ai expliqué aux filles que je possédais un cabaret mais que je ne pouvais pas y embaucher onze filles, j’en ai embauché trois, dont Valencia, j’en ai recommandé quatre autres auprès des gérantes de la Maison Parme et du Vagin d’Or; des bordels réputés pour leur bonne tenue, les autres se sont dispersées à droite et à gauche dans des établissements que je leur ai recommandés où elles pourraient exercer soit comme simples serveuses, soit comme entraineuses. Quant à Hofjom, il n’a aucun point de chute, je lui ai conseillé d’essayer de se trouver une activité et lui ai promis de l’aider s’il le fallait.

J’ai donc pas mal de choses à faire, j’accompagne les trois nanas que j’ai embauché à ma boite « le Diable rose » et les présente à Riquita, la belle transsexuelle, maintenant régisseuse des lieux.

– Bonjours Mesdames, bienvenue parmi nous !
– Bon, les filles, comme je vous l’ai dit, les clients ici viennent surtout pour chercher des contacts avec les transsexuelles, donc ne vous attendez pas à gagner le gros lot, mais je pense que vous arriverez à faire votre trou. Sinon en mon absence des choses particulières, Riquita ?
– Non ça roule plutôt bien ! Quelques bricoles mais rien d’important…
– O.K. Là j’ai un truc à faire, je reviendrais plus tard, je te laisse avec ces dames, je compte sur toi pour qu’elles soient bien intégrées à l’équipe.
– Et quand tu reviendras on pourra faire un petit extra.
– T’es une cochonne Riquita !

Et maintenant direction le Carrie’s bar. Petite anxiété, on ne sait jamais ce qui peut arriver pendant une longue absence.

Pas grand monde, un type est attablé et semble attendre quelqu’un. Marcia est derrière son bar.

– Quelle surprise, je vous croyais disparu ! M’apostrophe-t-elle.
– Eh non ! Carrie n’est pas là ?
– Elle est occupée !
– J’ai retrouvé l’assassin de Dernoul, son corps flotte maintenant dans l’espace et il n’est pas près de s’arrêter d’y flotter.
– Ouf ! Voilà qui m’enlève un poids. Je devrais sauter de joie, mais même pas, c’est ma fille qui va être contente, elle avait toujours une petite appréhension …
– Votre fille ?
– Oui, Carrie, c’est ma fille !
– Je l’ignorais…
– Eh bien désormais vous le saurez. En tous cas, je tiens à vous remercier, je suppose que ça n’a pas été facile ?
– Pourquoi dites-vous ça ?
– Tout ce temps.
– C’est une longue histoire.
– Je n’en doute pas.
– Je vais vous montrer le petit film que j’ai fait qui montre l’éjection de l’assassin dans l’espace.
– Laissez-ça capitaine, je vous fait entièrement confiance, je voudrais vous dire… Non laissez tomber, je dois être folle, on va attendre Carrie.
– Je ne pense pas que vous soyez folle, vous m’avez demandé un service, j’ai accepté de vous le rendre, alors soyez gentille, ne me cachez rien.
– Vous referiez l’amour avec moi ?
– Sans hésiter !
– Maintenant ?
– Si vous voulez !
– On attend que Carrie descende et on y va.

Des pas dans l’escalier… C’est Carrie qui descend précédée de son client. Ils se font un bisou d’aurevoir avant que la belle rousse s’aperçoive de ma présence.

– Tiens donc ! Vous ici ! Vue la mine réjouie que nous fait Mamie, je suppose que les nouvelles sont bonnes ?
– Oui…

Je répète un peu ce que j’ai déjà dit à Marcia.

– Et ce gars-là, il était seul, il n’avait pas de complice ?
– Je ne crois pas il aurait eu des complices, les choses ne se seraient pas passées comme ça. Là, il a fait tout le boulot lui-même : envoyer un innocent au casse-pipe pour savoir d’où venait l’appel au restaurant, assassiner Dernoul en faisant croire à un crime rituel, venir cambrioler ici, puis se faire embarquer sur mon vaisseau…
– O.K.
– Je vais monter avec lui, ça me fera du bien ! J’ai envie de me détendre ! Lui indique Marcia.
– Moi aussi je me détendrais bien, après ces bonne nouvelles ! Intervient Carrie.
– Eh bien, viens avec nous quelques minutes ! Lui suggère sa mère.

Aucune objection

Voilà un trio qui s’annonce insolite. La fille et la mère ensemble ! Qui a entraîné l’autre dans l’exercice du plus vieux métier du monde ? Je ne l’ai jamais su et me suis bien gardé de poser la question, ce sont des choses qui ne me regarde pas… même si j’aurais bien voulu savoir.

Nous voilà en chambre, ces dames se déshabillent sans cérémonie, j’en fais donc de même, j’ignore si la séance est gratuite. Je sors ma carte de paiement.

Non, non, c’est la maison qui régale ! Me dit Marcia. Et ce n’est pas une passe, c’est une détente récréative !

J’aime bien le mot.

Marcia se pointe devant moi et m’attrape mes tétons pour ensuite me les tortiller et me les pincer. C’est qu’elle a de la mémoire la mamie ! Mais moi j’en ai aussi et c’est à mon tour de faire souffrir ses bouts de seins. Nos visages finissent par se rapprocher, on se roule un patin ! Elle est délicieuse la Mamie.

– Quand vous aurez fini de batifoler tous les deux, vous viendrez me rejoindre ! Nous dit Carrie en se couchant de tout son long sur le lit, les cuisses écartées.

Un peu compliquée cette situation, car je me demande qui est vraiment maître du jeu. Vous me direz qu’il n’est pas nécessaire qu’il y en ait un, mais parfois ça permet de savoir où l’on va !

– C’est mon copain, j’ai bien le droit de flirter un peu avec lui ! Répond Marcia.

Carrie ne répond pas, nous on se pelote quelques minutes, puis Marcia m’entraine vers le lit.

– T’a envie de te faire caresser ? Demande Marcia à sa fille.
– Ben oui, c’est bien pour ça que je suis montée, occupez-vous un peu de moi et après je vous laisserai tous les deux..
– Occupe-toi de ses seins, me dit Marcia, on va la faire monter au plafond.

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C’est qui « on » ? Et je réalise en voyant la langue de Marcia commencer à butiner la chatte de Carrie. Sur le coup ça fait drôle ! L’inceste reste encore un tabou tenace… Mais je m’en voudrais d’être bornée, la bonne question étant de se demander si en faisant cela Marcia et Carrie font du tort à quelqu’un. La réponse est tout de suite trouvée. Alors je laisse Marcia lécher sa fille et viens m’amuser des jolis tétons bruns de la belle Carrie.

Cette derrière ne reste pas inactive et sa main m’a attrapé la bite qu’elle branle avec une belle vigueur.

– On change ! Me dit Marcia au bout de quelques minutes.

Pourquoi pas ?

C’est donc mon tour de venir laper la chatte de la jolie rousse, je pensais que Marcia allait reprendre le travail sur ses seins, Mais non, celle-ci la chevauche au niveau du visage et lui donne son anus à lécher. Fantastique, ce n’est pas tous les jours que l’on voit une fille lécher le cul de sa mère. Ça fout vraiment la trique de voir ça !

– J’adore lécher le trou du cul de ma mère ! Commente sa fille.

J’avais compris ! Toujours est-il que la belle Carrie geint de plus en plus, et de plus en plus fort, ma langue s’enroule autour de son gros clitoris, le balaie, mes lèvres l’aspirent, et la voilà qui hurle comme une damnée. Elle jouit, je suis assez fière de moi.

– C’était bien, je vous laisse en amoureux ! Dit-elle en se relevant et en se rhabillant prestement.

Amoureux ? Faut peut-être pas exagérer, non plus ! Mais c’est vrai que j’ai énormément d’affection pour cette Mamie pute !

– Quelque chose t’as choqué ? Me demande Marcia, mais elle connait déjà ma réponse !
– Mais non, c’était très décontracté, très naturel, et puis très excitant aussi.
– Ça ne m’étonne pas, il suffit de voir ta bite ! Mets-toi donc en levrette, je vais te faire un petit truc qui va te plaire !

Je m’exécute de bonne grâce et tends mon cul à ses privautés.

C’est d’abord sa langue qui vient me chatouiller le petit trou. Elle fait preuve dans cet exercice d’une agilité phénoménale à ce point que je frétille d’aise. Le doigt, je devrais dire deux doigts, viennent ensuite faire quelques allers et retours bien appréciable. Puis comme je pressentais, la voici qui m’introduit un gode ! Elle ne me l’a pas préalablement montré, je ne sais donc ni comment il est, ni quelle est sa taille, mais ça me fait un bien fou.

Ça va, ça vient, je suis aux anges. J’aime tellement que l’on s’occupe du mon cul ! Elle retire le gode d’un coup sec me provoquant un spasme de plaisir, mais c’est pour le remettre aussitôt.et me le laisser,

– Maintenant retourne-toi, je veux que tu me baises.

La dernière fois je l’avais sodomisé. Aurais-je encore cette fois-ci droit à cette fantaisie que j’aime tant ? Peut-être pas, elle s’est allongée sur le dos. Je la pénètre d’abord doucement avant de m’agiter frénétiquement, n’en pouvant plus de toute cette excitation contenue.

– Dans mon cul ! Finit dans mon cul !

Je me retire tandis que Marcia lance ses jambes au ciel dégageant son anus, son charmant petit anus que sa fille à léché tout à l’heure devant mes yeux ébahis.

Le souvenir de cette scène ne contribue pas à me faire débander, vous vous en doutez bien, et c’est donc un membre tout raide qui vient l’enculer.

J’ai du mal à retarder mon plaisir, en fait j’attends que le sien monte. Et quand je la sens prête à partir je me lâche.

– Donne moi ton sperme ! Arrose-moi m’implore-t-elle

Nous avons joui pratiquement ensemble, mon foutre à giclé sur son visage et sur ses seins et nous nous sommes enlacés comme deux vieux amants.

Je ressors épuisé de cette petite séance, bien sûr toutes deux sont des professionnelles aguerries, mais avec Mamie Marcia, j’ai l’impression qu’il se passe quelque chose… Elle a une de ces façons de me regarder. Il ne faudrait pas qu’elle devienne amoureuse non plus.

La question de Carrie sur d’éventuels complices de Levkovich m’a interpelé. Je reste persuadé qu’il n’en avait pas. Mais le type faisait partie néanmoins d’une organisation, il avait donc un contact, quelqu’un à qui rendre des comptes.

Et ce quelqu’un j’en connais le nom, il se nomme Laburo. Alors essayons de voir comment ça a pu se passer.

Question préalable, Laburo était-il sur Vargala lorsque Levkovich a décidé de partir dans l’espace ? Facile à vérifier, en tant que capitaine j’ai accès à pas mal d’informations sur le trafic de l’astroport, mais je n’ai pas accès à celles ayant trait au trafic passagers. Qu’importe, je demande à Dyane d’aller chercher le renseignement auprès de la capitainerie. Ce ne sera pas gratuit, mais le gars de permanence lui donne tous les renseignements voulu contre une bonne pipe… même si parfois il en demande un peu plus.

Ce genre de chose amuse Dyane, ça ne l’excite pas, non ça l’amuse.

– C’est le mec des alcools, il vient tous les six mois, il est sympa, il m’apporte toujours une super bouteille. Précise, Rudy, le gars de la capitainerie en se reculottant.
– Les livraisons d’alcools ne se font que tous les six mois ?
– Non bien sûr, mais Monsieur Laburo se déplace personnellement tous les six mois environ.
– Mais, là, il est reparti…
– Oui !
– Ça vous ennuierait de me prévenir quand il va revenir ?
– Je ne peux pas vous promettre, je peux oublier et puis je ne suis pas toujours là, d’ailleurs faut que je prenne quelques vacances…

Bon je suppose donc que Levkovich a envoyé un message à ce Laburo pour le prévenir de son embarquement. Il n’y avait rien sur le spacephone qu’il a emporté sur le vaisseau, ce qui ne veut rien dire, un message ça s’efface… ou alors, il a fait ça sur un autre appareil qu’il a sans doute fait disparaître. Peu importe. en toute logique, Laburo après avoir reçu le message devrait rappliquer afin de de prendre connaissance du résultat de la mission du toubib.

Bon voyons, Laburo étant probablement toujours en vadrouille, le message a dû être envoyé à sa société qui ensuite lui a retransmis, donc six semaines environ pour recevoir le message, ensuite il faut qu’il se prépare et qu’il rapplique, on peut donc ajouter quatre autres semaines. Donc il ne devrait pas tarder, et on ne sera pas forcément prévenu.

Une fois qu’il aura atterri, il va tenter de joindre Levkovich, qui évidement ne lui répondra jamais plus. Il va donc enquêter. Or le toubib lui a probablement donné le nom de mon vaisseau. Il va donc soudoyer l’officier de permanence qui lui dira qu’on est revenu, et le type va essayer de me contacter.

Voilà une perspective qui me fait froid dans le dos. Il faut absolument que je trouve le moyen de prendre ce type de vitesse.

Que faire ? Je peux toujours envoyer mes collègues au cosmodrome guetter l’arrivée d’un éventuel cargo rempli de caisses d’alcool, mais ça ne me dit pas ce que je ferais après. Et puis rien ne dit qu’il viendra forcément en cargo.

Je réfléchis, j’ai une amorce de plan, je renvoie en urgence Dyane sucer la queue du gars de la capitainerie, il s’agit cette fois de récupérer la photo holographique de Laburo.

– Ça sent le louche ! Objecte Rudy.
– C’est possible, mais personne n’en saura rien. Lui répond ma charmante seconde de vaisseau
– Et si je dis non ?
– Pourquoi dire non quand on peut dire oui.
– Alors je veux du fric en plus !
– Pas question, ça laisse des traces, mais une entrée gratuite dans un cabaret très chaud pendant un mois.
– C’est quoi ce cabaret ?
– Le Diable Rose
– C’est pas un truc de travelos ?
– Il y a des femmes aussi, et des canons…
– Alors deux entrées et une pipe.

Bref on a eu la photo. Nerren, Dilos et Nadget ont été d’accord pour se relayer au cosmodrome et surveiller toutes les débarquement de passagers. Tâche on ne peut plus ingrate, puisque le trafic ici est loin d’être intense.

J’ai confié une tout autre tâche à Gundula bien plus retorse.

– Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
– Oui, parce que c’est dans tes cordes, que je n’ai pas d’autres idées, et que si ça ne marche pas, on va tous y passer, et pas forcément en douceur.
– Bon, bon…

Le remplaçant de Levkovich dans sa clinique s’appelle Zolier. Gundula après s’être habillée bien sexy demande à le voir.

– Gundula Miller, je viens me faire réembaucher comme convenu avec le docteur Levkovich.
– Pardon ? Mon confrère ne m’a laissé aucune instruction en ce sens.
– Il aura oublié, il a toujours été distrait, mais j’avais pris quelques semaines sabbatiques et…
– Ne bougez pas, je regarde…
– Aïe, oh la la !
– Qu’est-ce qu’il vous arrive ?
– Un machin dans l’œil.
– Faites voir !

Les deux paires d’yeux se croisent.

– Je ne vois rien !
– Regardez mieux, je sens bien que j’ai quelque chose. Vous allez vous endormir, monsieur Zolier, regagnez votre fauteuil. Voilà, vous allez sur ma fiche dans l’ordinateur et vous remplacerez le mot démission par « congé sabbatique ». Allez-y ! Ça y est c’est fait ? Ce n’est pas tout, quand je claquerais des doigts comme ça, vous me devrez obéissance. Maintenant, réveillez-vous.
– Oh, j’ai eu comme un moment d’absence, ce doit être la fatigue, on n’en était où ?
– Vous vouliez contrôler ma fiche !
– Ah, oui ! Donc… Ah, voilà ! Donc vous étiez en congé sabbatique, vous voulez reprendre le travail quand ?
– De suite !
– Attendez demain…
– Non j’ai besoin de travailler..
– On va être en sureffectif…
– Ce n’est pas mon problème cher monsieur, puis-je avoir une blouse et un vestiaire…

Bref le loup ou plutôt la louve était dans la bergerie, il suffisait maintenant d’attendre le mouton.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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