Eros Cosmos

Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:05

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 12 – Magouilles sur Vargala par Nicolas Solovionni
Trio2

Après s’être rhabillés, Vitali et Dyane descendirent à la buvette où suivant les instructions de cette dernière Maderna les attendaient déjà.

– Buvons le verre de l’amitié, ce serait indiscret de vous demander quelles sont vos intentions ?
– Je ne crois pas à la version soi-disant diffusée par Edina Von Graz, pour moi l’affaire n’est pas close…
– Et vous comptez faire quoi ?
– J’en sais rien, l’idéal serait de retourner là-bas, mais ça risque d’être compliqué…
– Compliqué mais pas infaisable ! Croit devoir ajouter Maderna
– Faisable comment ?
– On trouvera bien, on trouve toujours, c’est notre métier !
– Et si on collaborait ? Propose alors Dyane.
– De quelle façon ?
– Ah, ça j’en sais rien, mais je vais y réfléchir, en unissant nos forces et nos capacités on arrivera peut-être à quelque chose, ça s’appelle de la synergie !
– On pourrait se revoir pour en parler? Demande Vitali.
– J’allais justement vous le proposer.

Je me devais de faire un petit saut au Carrie’s bar. Coup de bol, Carrie et Marcia, sa mère sont dans la salle. Bisous, bisous, on est super content de se revoir, on boit un coup, on rigole et fatalement elles me demandent si un petit câlin me conviendrait.

Bien sûr que ça me convient et je dois dire que j’ai autant envie de l’une que de l’autre, même si mon attirance pour Marcia ne se limite pas à son agréable physique.

En chambre les deux femmes se déshabillent sans un mot et je fais de même.

Les voilà qui s’approchent de moi. Je me sens tout con, mes yeux zigzaguant de l’une à l’autre, je devrais dire pour être honnête d’une poitrine à l’autre !

Stoffer412Ça y est, elles posent leurs mains sur moi, celles de Marcia sur mes fesses, celles de Carrie sur mes tétons qu’elle serre fortement. Le résultat est radical, je bande comme un collégien.

Mes propres mains ne peuvent rester inactives, je pelote, les cuisses, les bras, les fesses, les seins… surtout les seins.

Ceux de Marcia sont à portée de ma bouche, mes lèvres s’emparent de ses gros tétons turgescents et je me régale, tandis que Carrie m’a choppé la bite et la masturbe avec beaucoup de savoir-faire.

Evidemment, la suite était inéluctable, Carrie se baisse et fourre tout ça dans sa bouche. Putain qu’elle suce bien, quelle langue diabolique !

Marcia s’est dégagée de mon étreinte, et passée derrière moi entreprend de me travailler le troufignon, d’abord de la langue, puis du doigt qu’elle enfonce hardiment avant de le faire bouger comme il se doit.

A ce régime je crains de jouir prématurément, mais je ne crains rien, je suis entre les mains de deux bonnes professionnelles, complices dans le plaisir ce qui ne gâche rien bien au contraire.

Je ne sais comment je me suis retrouvé sur le plumard, Carrie s’est quasiment assise sur mon visage offrant ses intimités à ma concupiscence.

Sa chatte a un goût de miel, son cul sentirait plutôt l’andouillette. Qu’importe ou plutôt tant mieux, j’ai toujours été amateur du sucré-salé !

Marcia laisse pour le moment ma bite tranquille et me masse de l’extrémité de ses doigts, en ne négligeant pas mes tétons qu’elle tortille comme une furie. J’adore !

Carrie se dégage, elle chuchote je ne sais quoi à sa maman, elles rigolent, puis s’embrassent sur la bouche. Quel spectacle de voir ainsi la mère et la fille se rouler une galoche, mais je sais pour les avoir déjà vu à l’œuvre qu’elles peuvent aller encore plus loi (voir Stoffer 3 – la bâtisse rouge)

Alors effectivement, ça dégénère, pour mon plus grand plaisir, la main de Carrie se pose sur la chatte de sa mère, laquelle, vous vous en doutez-bien lui rend la politesse.

Elles ne vont pas rester comme ça ?

Non, elles roulent à côté de moi, m’obligeant à me pousser, Marcia est sur le dos, sa fille lui grimpe dessus tête bêche, les voici donc en soixante-neuf.

Et moi dans tout ça ? M’auraient-elles oublié ? Bien sûr que non, elles m’offrent un spectacle et ce spectacle est bon puisque je bande ! Oh, que je bande !

Evidemment la position qu’elles ont prise ne me permet pas de tout voir, n’empêche qu’assister au ballet de la langue de Maria léchant la chatte de sa propre fille à quelque chose d’infiniment excitant et troublant.

Et puis ce qui devait arriver arriva (et très vite), Marcia est agitée de soubresauts, le sang lui monte au visage, elle crie, elle hurle, elle gueule. Elle souffle quelques instants puis reprend ses léchouilles visant cette fois le clito de sa fille afin qu’elle puisse la rejoindre dans l’extase.

– On est coquine, hein ? Commente simplement Marcia
– De belles coquines !
– Tu veux enculer ma mère ? Me propose Carrie.

Dame, je ne vais dire non !

D’ailleurs Marcia n’a pas attendu mon accord pour se positionner en levrette, croupion relevé, jambes écartées, trou offert.

Ce spectacle est trop beau, j’écarte un peu plus ses globes fessiers, j’y mets la langue, j’adore sucer un bon trou du cul… Puis j’enfonce ma bite, ça rentre comme un couteau dans une motte de beurre. Et je m’agite comme un beau diable pendant que Carrie passée derrière moi me pince mes tétons.

Je ne suis pas « bite d’acier » et je sais que je ne vais pas tenir très longtemps, trop excité que je suis. Je tente néanmoins de me maîtriser mais quand on ne peut pas, on ne peut pas… Le désir m’emporte, je décharge dans le fondement de Mamie Marcia, je décule. Elle n’a pas joui, mais elle l’avait fait avant et puis cette sodomie c’était pour me faire plaisir : Elle est trop gentille !

– On te laisse te rhabiller, on redescend, me dit Carrie.

Je me fais une petite toilette intime avant de me rhabiller, puis je sors de la chambre. A ce moment-là la porte de la chambre contiguë s’ouvre et je vois qui apparaître ? Je vous le donne en mille ? Topar !

– Topar ! Mais qu’est-ce que vous foutez là ?
– J’ai reconnu votre voix.
– OK mais ça. ne répond pas à la question.
– Je suis en danger de mort, soyez sympa, prêtez-moi une arme.
– De quoi ? Attendez une minute, je reviens.

Je rejoins les filles, leur explique que j’ai rencontré une vieille connaissance sur le palier de l’étage… qu’il ne faut pas qu’elles s’inquiètent… et remonte voir l’individu.

– Bon alors qu’est-ce qui se passe ? Vous n’avez pas pu rejoindre la presqu’île ?
– Si, mais on m’a exfiltré.
– C’est quoi cette histoire ?

Alors il m’a raconté. Je comprends donc que son tueur mafieux, flairant le gros coup, cherche à faire cavalier seul.

– Je me fais aucune illusion, quand le type n’aura plus besoin de moi, il m’éliminera. Donc si je veux éviter ça, il faut que ce soit moi qui le tue.
– Ben voyons ! Mais tu n’as pas besoin d’armes, costaud comme tu es, je t’ai bien vu faire sur le tarmac.
– Je veux mettre toutes les chances de mon côté… Il ne va pas m’attaquer de face, c’est un sournois.
– Je n’ai pas d’armes sur moi et même si j’en avais une, je ne vous la prêterais pas.
– Vous me conseillez quoi, alors ?

Il m’emmerde ce mec. Il est réellement paniqué. J’ai peur qu’il fasse une connerie et que Carrie ait des ennuis.

– Faites ça dehors !
– Comment ça dehors ?
– Débrouillez-vous, je ne suis pas votre chaperon. Et puis ne me dites pas que vous n’avez pas d’idée, vous étiez dans la police, non ?
– Et après je vais où ?
– Vous trouverez bien.

Kloben après maintes réflexions se dit qu’avant de prendre une décision définitive il serait opportun de prendre avis auprès d’une personne susceptible de s’impliquer dans cette affaire.

Le choix est rapide, beaucoup de capitaines sont en mission, il pense alors à El Menhir.

El Menhir est un vieux baroudeur, en retraite il gère un restaurant aux prix prohibitifs mais fréquenté par quelques voyous huppés et autres parvenus locaux. Grand ami d’un cadre de la mafia locale, il lui est arrivé de rendre service à celle-ci qui en échange ne s’est jamais trouvé très regardante sur ses activités. Pas vraiment mafieux mais très proche de ces derniers et se considérant comme membre de la « famille ».

« Il est en retraite mais c’est bien connu, tous les gens en retraite reprennent parfois du service quand il y a un gros poisson au bout de la ligne. »

El Menhir a déjà vu ce client attablé devant une salade et qui demande à lui parler. Il ne saurait dire où, mais c’est vrai que sur Vargala-station, tout le monde se connait de vue.

– Bonjour, je suis El Menhir, je vous écoute.
– J’ai un gros tuyau, un très gros tuyau, je ne sais pas quoi en faire, alors je le vends
– C’est quoi le tuyau ?
– Je sais où se trouve Edina Von Graz.

El Menhir parvint à dissimuler sa surprise. Cela faisait la troisième fois en quelques jours qu’on lui parlait de ça.

– Hum, le souci, c’est qu’elle n’est plus retenue en otage. Elle a publié un communiqué, vous n’êtes pas au courant ?
– Si, mais c’est une manœuvre de diversion.
– En indiquant sa position ! Ça ne tient pas debout.
– Je suis bien informé, croyez-moi !
– Et votre source…
– Je ne la divulgue pas.
– Alors aurevoir monsieur, je vous laisse terminer votre salade !.

N’empêche que El Menhir aurait bien voulu savoir. Il prit son temps pour se lever de son siège.

« Il va me le dire, je le sens ! » Se dit Kloben

– Si je vous indique ma source, je prends un très gros risque.
– C’est vous qui voyez.
– J’ai rencontré un type dans un rade, il était bourré et il m’a fait des confidences.
– Tss tss. C’est ça votre version à risques ? Racontez-moi autre chose ou je laisse tomber.
– Bon, je travaille un petit peu pour la mafia…

Tilt.

Évidemment Kloben ignore à qui il a réellement affaire et raconte l’histoire avec insouciance. Grave erreur, les gens de la Mafia détestent que l’un des leurs profite de la situation pour faire cavalier seul.

Et toujours est-il que El Menhir engendra le maximum d’informations et qu’ensuite plus personne n’entendit plus parler de Kloben. (étonnant, non ?)

Dyane est venue me trouver plusieurs fois pour me faire part de son inquiétude à propos des deux détectives.

– Ils sont pugnaces et plus intelligents qu’on pourrait le penser, ils vont tenter quelque chose, je le sens.
– Et s’ils ont un plan, tu penses qu’ils vont te faire des confidences ?
– Je n’en suis pas là, mais je crois que je peux gagner leur confiance.
– Ben alors continue.
– Je peux emprunter ton vaisseau ?
– Hein, quoi ? Et pour aller où ?
– Nulle part, je vais leur faire visiter et leur faire croire que je peux en assurer le commandement.
– Et ensuite ?
– Ensuite j’improviserai, tout dépendra de ce qui leur passera par la tête ?
– Ils vont te demander de les conduire dans le système de V6783
– Oui mais là je peux les faire lanterner, leur dire qu’il faut que je constitue un équipage, que j’ai besoin de tes codes de commandements, tout ça…
– Et ensuite ?
– Ensuite, je ferais confiance à mon sens de l’improvisation !

Topar ne comprend pas, il a élaboré dans sa tête toute une série de scénarios propre à éliminer définitivement Kloben. Oui mais voilà, cela fait trois jours que ce dernier n’a pas donné de nouvelles.

– Est-ce que vous pouvez joindre le capitaine Stoffer et lui demander de passer me voir ? Demande-t-il à Carrie.
– Vous n’avez pas de spacephone ?
– Je n’ai plus rien !
– Mon pauvre Monsieur ! se gausse-t-elle. Bon, je le préviens.

Je suis donc passé. Que peut bien encore me vouloir cet emmerdeur ?

Il m’explique.

– Il a dû se passer quelque chose, mais ne comptez pas pour moi pour faire une enquête. Lui signifiais-je.
– Vous n’êtes pas sympa.
– Pourquoi ? Je vous dois quelque chose ?
– Non, mais un conseil ça ne coûte pas cher.
– Restez au chaud ici et prévenez votre hiérarchie de venir vous chercher.
– Oui, bien sûr. Mais je n’ai plus de spacephone. Vous me prêtez le vôtre ?
– Certainement pas, mais je peux vous en dégottez un.

El Menhir a beaucoup réfléchi. Ses trois sources se recoupent parfaitement. Il convoque Indira.

– Le sas, c’est la seule entrée ?
– Pour un humain oui, mais les poissons en ont une autre.
– Pardon ?
– La base est construite sur l’extrémité d’une île. L’arrière donne sur l’océan, c’est ici que l’on recueille nos poissons, un simple coup de filet automatisé et hop, ils vont directo à la congélation.
– Et un homme peut emprunter cette voie ?
– Euh, je sais pas trop, peut-être qu’en faisant un trou dans la glace…
– T’as une idée de l’épaisseur ?
– Non.
– On saura faire, tu peux nous faire un petit plan, comment à partir de la nasse aux poissons, rejoindre les parties habitables…
– Oui, je peux faire ça.
– Tu le fais maintenant ?

Indira dessina un petit croquis que l’homme examina.

– Bon je vois à peu près le topo. On passe en force, quatre hommes devraient suffire, on fait un massacre et on embarque la mère Von Graz morte ou vive. Le temps de constituer une petite équipe et c’est bon pour moi.
– Mais pourquoi faire un massacre ?
– Parce que c’est comme ça qu’on gagne les batailles, dixit Napoléon Bonaparte.
– On ne peut vraiment pas faire autrement ?
– C’est fini tes scrupules de vierge effarouchée ? De quoi tu te plains ? T’auras ta part de prime comme convenu.

Indira ne répond pas, épouvantée par les propos de l’homme…

– Le temps de trouver un capitaine, quelques gros bras et j’y vais, inutile de trainer. On aura peut-être besoin de toi, je te préviendrai

Je pensais l’affaire terminée, j’étais tranquillou, seul chez moi quand mon interphone se manifesta en me dévoilant le visage d’Indira.

Qu’est-ce qu’elle me veut celle filoute ?

Je la fais monter. Elle arbore une mine affreuse.

– Je viens de faire une connerie, une très grosse connerie, il n’y a que toi qui puisses arranger les choses.
– Allons bon !
– Je pensais me faire un peu d’argent facile et c’est en train de tourner en cauchemar…
– Si tu me racontais…

Alors elle m’a raconté…

– Mais t’es vraiment la reine de connes.
– Je sais. Me dit-elle avant de fondre en larmes.
– Bon on se calme.

Je laisse passer l’orage et je réfléchis. La solution serait de me trouver au dôme avant l’arrivée de cet El Menhir qui me paraît effectivement être un type bien douteux.

– Bouge pas, je vais voir si je peux faire quelque chose.

Je téléphone aux membres de mon staff. Pour diverses raisons, ni Nerren, ni Dilos, ni Nadget ne peuvent se libérer rapidement. Dyane peut mais il y a un imprévu et de taille…

Alors juste un petit flash-back

Dyane a donné rendez-vous aux deux détectives.

– Je peux vous assurer le transport jusqu’au système de V6783, là où se trouve Edina Von Graz, et gratuitement encore, vous me dédommagerez après. Annonce-t-elle fièrement.
– Et par quel prodige ?
– Stoffer me prête son vaisseau.
– Oh, mais c’est très bien, ça ! Et on pourrait partir quand ?
– Très bientôt, il faut que je constitue un équipage, peut-être engager quelques mercenaires pas trop idiots et puis j’ai des codes à récupérer tout cela va prendre je ne sais pas… mais ça ne devrait pas excéder trois jours.
– Mais c’est super, ça ?
– Résiliez votre location d’hôtel, on se retrouve à l’astroport, je vous monterai vos cabines .
– Déjà ?
– Ben oui.

C’était donc cela le « petit imprévu » (fin du flashback)

– Tu me les vires ! Dis-je à Dyane.
– Mais non ! C’est une aubaine, ils vont pouvoir rencontrer Edina et ils vont se retrouver le bec dans l’eau.
– Bon admettons…

Je contacte l’astroport et visualise les demandes d’emploi, j’engage un navigateur, un ingénieur de bord et deux agents de sécurité. Je fixe le départ au lendemain et peux reprendre mon dialogue avec Indira.

– Ok, je t’emmène. Lui dis-je
– C’est que El Menhir veut que je l’accompagne.
– Pour mieux te mettre hors circuit, laisse-le poireauter.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:05

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 11 – Les errances de Topar et les fantaisies de Vitali par Nicolas Solovionni
Chanette

Kloben ne comprend pas que Topar ait pu lui échapper et surtout de cette façon.

– Il est où maintenant ce con ? Il n’a pas pu s’envoler !

Il contacte son chef de réseau et lui demande d’accéder à au spacephone du fuyard.

– Pas moyen, soit il l’a détruit soit il possède un modèle ultra sécurisé…
– OK, donc soit il se planque chez l’habitant, soit il est passé dans la presqu’île. Je peux avoir le code pour me renseigner ?
– Je m’en occupe, je te rappelle mais sois patient… le temps qu’il arrive à destination.

La mafia locale est une force de l’ombre, elle s’est attribué deux missions, la première est comme le font toutes les mafias prélever auprès des commerçants, artisans, restaurateurs, bistrots et bordels ce qui est appelé pudiquement « la contribution à la cause » mais qui n’est ni plus ni moins que du racket bien classique. La seconde mission c’est d’appliquer « la loi de Vargala » c’est-à-dire traquer et éliminer les assassins (voir plus avant).

L’organisation est sophistiquée, outre les collecteurs personne n’en connait les membres, chaque membre a une couverture « normale », ne connait que son chef de réseau et éventuellement un comparse quand les choses deviennent compliquées.

Deux jours plus tard, le chef de réseau rappelait Kloben.

– Je n’arrive pas à joindre Childéric, (le chef des exclus) ça me prend la tête, je te file le code…

Et c’est ainsi que Kloben parvint à contacter Childéric

– Allô, « code mascarpone », on peut parler ?
– Euh ? Oui, je suis seul !
– Vous avez accueilli un nouveau récemment ?
– Oui, il est sous notre protection… jusqu’à nouvel ordre…
– C’est Topar ?
– M’a pas dit son nom et j’lui ai pas demandé.

Kloben se livre à une description sommaire de Topar…

– Ça lui ressemble.
– Ce mec en a trucidé un autre, il a embarqué sur un vaisseau et il est revenu. J’aimerais savoir ce qu’il a été fabriqué ?
– C’est pas trop l’usage ! Proteste Childéric.
– Oui, mais la situation est exceptionnelle !
– Comment ça ?
– Ce mec est super entraîné, c’est un tueur, tu n’aimerais pas qu’il te remplace ?
– Ne t’inquiètes pas pour moi !
– Ok réfléchis-y, je te rappelle demain.

S’il n’est pas dans les usages de la presqu’île d’aller fouiner dans le passé de ses résidents, Kloben a néanmoins réussi à semer le trouble dans l’esprit de Childéric, aussi celui-ci convoque-t-il Topar sous un prétexte futile.

– J’ai besoin de distraction, tu n’as pas une belle histoire à le raconter ?
– Une histoire ? Quelle histoire ?
– Je ne sais pas, la tienne ?
– Tu risques d’être déçu. J’ai failli être le héros d’une belle histoire mais ça a foiré.
– Raconte quand même.

Et sans y trouver malice, Topar raconta sa quête pour retrouver Edina Von Graz… et son échec

– Autrement dit tu es passé à côté de 200 000 kochnicks.
– Ben oui, on ne peut pas gagner à tous les coups.
– Mais tu as fait comment pour échapper à la mafia ?
– Ils étaient deux mais n’avaient aucune notion des sports de combats, je les ai foutus K O.
– Ben dit donc, t’es un vrai champion, toi !
– Ben oui, qu’est-ce tu crois ?

Une réflexion idiote à la « m’as-tu vu » qui eut le don d’exaspérer Childéric.

– Mais pourquoi tu es revenu sur Vargala.
– Le capitaine du vaisseau a refusé de faire un crochet et m’a enfermé dans ma cabine, mais il n’a pas été trop vache, c’est lui qui m’a expliqué pour la presqu’ile.

Quand il fut de nouveau seul, Childéric s’empressa de rapporter cette conversation auprès de Kloben.

– O.k. merci. Faites attention à vous, ce mec est super dangereux.

Kloben est dubitatif, ce que lui a confié le chef des exclus est intéressant mais insuffisant. Ce qu’il a retenu c’est qu’il y a une super prime au bout de l’aventure…

« Il faudrait que j’aie un entretien entre quatre yeux avec ce Topar, mais comment faire ? »

Il a beau tourner et retourner le problème en tous sens, organiser cette rencontre est effroyablement risqué quelle que soit la procédure envisagée.

Alors il choisit de prendre le risque, en sachant bien que si la mafia apprend ce qu’il fabrique, sa peau ne vaudra plus cher. De plus les exécutions pour ce genre de trahison ne sont pas réputées pour leur délicatesse

Alors Kloben passe à l’action. Il commence par se rendre au Carrie’s bar (voir l’épisode précédent)

Il connaît le lieu puisqu’il en est le collecteur

– Il y a un mec qui va se pointer dans ton boui-boui tout à l’heure, il se présentera comme « Finger », tu l’hébergeras incognito quelques jours. C’est moi qui paie sa note, je vais te faire une avance. Si on t’interroge il n’existe pas. Moi seul pourrait le rencontrer avec le même code.

Il attend que la marée soit basse puis commence par demander au Bar des adieux de laisser la porte de communication ouverte, ensuite il prévient Childéric :

– J’arrive dans une demi-heure avec une mini-barge. Je veux que vous me livriez Topar, mains et pieds attachés.
– C’est contraire à tous les usages…
– A situation exceptionnelle, procédure exceptionnelle, ce type est une bombe à retardement, encore une fois, tu ne voudrais pas qu’il prenne ta place…
– Je disais ça comme ça…
– Faites lui un brin de toilette si nécessaire.

La garde prétorienne de Childéric maîtrise Topar et le ficelle. Kloben arrive avec sa barge volante et embarque l’homme.

– Vous faites quoi ? demande Topar vraiment peu rassuré.
– On t’exfiltre.
– Pour me tuer ?
– Tu verras bien !

La barge se pose devant la porte arrière du bar des adieux.

– Tu descends là… Tu pousses la porte c’est ouvert, tu fais comme si tu revenais des toilettes, puis tu te diriges vers le Carrie’s bar, tu te présenteras comme étant « Finger ». Allez, file, je viendrais te voir tout à l’heure.
– J’aimerais comprendre…
– Bon, si on avait voulu te tuer, ce serait déjà fait, alors tu fermes ta gueule.

Topar fit alors comme on lui avait dit, pouvait-il faire autrement ?

N’empêche qu’il se posait mille questions, en poste depuis pas mal de temps, il savait parfaitement comment fonctionnait la ville portuaire. Or ce qui se passait en ce moment ne correspondait à rien de connu. Il fallait une personne de très haute influence pour le faire sortir de la presqu’île, mais alors pourquoi aller se cacher dans un boui-boui ?

Ne trouvant pas de réponses à ses interrogations, il traça la route jusqu’au Carrie’s bar.

– Je suis Finger…
– Suivez-moi votre chambre est prête.

Carrie conduisit son hôte jusque dans une de ses chambres.

– Si vous avez besoin de quoi que ce soit vous sonnez…
– J’aimerais bien manger un bout.
– Pas de problème, des genkulus, ça vous tente ?
– Super.
– Avec le vin de la maison ?
– Allons-y.
– Si vous voulez un câlin, je suis à votre disposition.
– Pas maintenant.
– Si vous préférez une femme plus mûre, ma maman est aussi une bonne pute.
– Pas maintenant.

Kloben avait pris des risques mais n’était pas assez fou pour qu’on le voit se poser en ville avec un passager recherché. D’où ce stratagème faisant repasser Topar par le bar du destin.

Il rejoint assez vite à son tour le Carrie’s bar, se fait reconnaître, monte dans la chambre du fugitif

– Maintenant faut qu’on cause.
– Qu’on cause de quoi ?
– Pourquoi ton plan de récupération de Edina Von Graz a foiré ?
– Un concours de circonstances, j’ignorais la configuration du lieu et donc le fait qu’il y avait un sas sécurisé. Je pensais compter sur l’équipage de Trujillo, mais ça n’a pas été possible. Et puis sur place Stoffer m’avait précédé…
– Le sas, c’est vraiment insurmontable ?
– Non, on peut le forcer soit avec l’aide d’un ingénieur en électronique, soit en le bousillant au laser, mais les occupants ne vont pas rester les bras croisés, ils vont nous attendre à la sortie intérieure du sas et ça va être un massacre.
– Et donc…
– Donc faut un commando de mercenaires en sachant qu’il y aura des pertes.
– On s’en fout des pertes, je vais réfléchir, reste au chaud, je vais repasser te voir

Ce bref échange a laissé les deux interlocuteurs dubitatifs.

Kloben ne pensait pas que l’affaire fut si compliquée. Dans son esprit, ce n’était qu’une opération éclair ne nécessitant que deux complices. Il se serait fait fort ensuite de démontrer qu’Edina était toujours en otage et que ses dénégations participaient du syndrome de Stockholm. Alors que là il fallait réunir toute une équipe, gérer la casse, gérer le partage de la prime, en sachant que plus nombreux seront les intervenants, plus les risques se multiplieront. Alors que faire ? Laisser tomber ou tâter le terrain auprès d’un baroudeur présent sur la planète ? Quant à Topar il lui faudra l’éliminer, ainsi sa mission sera accomplie.

Topar n’est pas complétement idiot. Il se sait en danger, et il n’a pas trente-six solutions, retourner à la presqu’île lui semble une folie, il lui faudra donc se débarrasser de Kloben. Et ensuite ? Ben ensuite, il ne sait pas du tout.

Vitali et Maderna.

Après toutes ces semaines d’isolement les deux détectives se sont rattrapées en festoyant comme des cochons et en profitant des charmes tarifés des prostituées locales.

Alors évidemment le lendemain, ils ont la gueule de bois.

– On tait quoi ? demande Maderna.
– On va rentrer !
– Sur un échec ?
– Ce sont des choses qui arrivent. Répond Vitali en sortant son spacephone afin de se connecter à l’astroport.

Il rouspète constatant qu’il n’y a y aucun départ de prévu à court terme, pour Terra Nova, leur destination d’attache.

– Soit on attend un vol direct, soit on se tape une correspondance…
– On est pas si pressé, attendons un vol direct.
– Tu crois qu’on pourrait essayer de tenter quelque chose ?
– Tenter quoi, on ne sait même pas ce qui s’est passé, la logique aurait voulu que Stoffer revienne avec Edina…
– Il a dû la libérer de ses geôliers et charger une autre équipe de venir la récupérer.
– Ouais, peut-être, je vais regarder les news, voir si on en parle…
– Attends, c’est trop tôt…

Mais Vitali actionne son appareil et tombe sur le communiqué d’Edina par lequel elle signale n’être l’otage de personne et précise sa position.

– Ah ben ça alors ! Regarde !
– C’est du bluff !
– Bien sûr que c’est du bluff. Il faut qu’on retourne là-bas.
– Et on fait comment ?
– Faut qu’on trouve un capitaine qui nous prenne comme passagers…
– Et ensuite ?
– Ben on l’enlève et on la ramène…
– Sur un vaisseau dont on aura pas la maitrise ? C’est n’importe quoi !

Le soir Dyane est passée me voir en coup de vent

– J’ai aperçu les deux détectives à la terrasse du « Crabe vert », ils n’avaient pas l’air bien frais…
– Ils ne devraient pas tarder à foutre le camp.
– Pas si sûr, ces gens sont pugnaces.
– Que veut-tu qu’ils fassent ?
– Aucune idée mais s’ils mijotent quelque chose autant qu’on soit avertis
– Et t’as une idée pour savoir ?
– Peut-être, peut-être.
– Je te fais confiance.

Et le lendemain, Dyane s’installait à la terrasse du Crabe vert, illuminé par les rayons du soleil local.

Au bout d’une heure Vitali et Maderna s’installèrent à quelques tables de distance. Dyane laissa passer quelques minutes avant de venir les aborder

– Bonjour messieurs, je suppose que vous me reconnaissez ?
– Hélas ! Répondit Maderna.
– Pourquoi hélas ? Vous nous devez la vie, le code galactique nous autorisait à vous balancer dans l’espace pour piraterie caractérisée.
– Je suppose que vous aviez une bonne raison de ne pas le faire ?
– Disons que de notre côté nous n’avons pas toujours été clean avec les lois, alors des actes idiots on peut parfois les comprendre.
– Et là, présentement, vous voulez quelque chose ?
– Simplement vous dire que nous ne sommes pas ennemis, entre voyous on peut se comprendre… et même s’entendre.
– Nous ne sommes pas des voyous. Rétorqua Vitali
– Un peu quand même.
– Juste un peu alors ?
– Tenez, pour conclure nos différents, je vous propose une chose. Je suis propriétaire d’un institut de massage haut de gamme. Un massage à l’œil, ça vous dirait ?
– Et il est où est le piège ?
– Il n’y en a pas, simplement je préfère ne plus vous avoir comme ennemis.

Le lendemain Maderna et Vitali étaient attendus à l’accueil des « doigts d’or » le salon de massage tenu par Dyane.

Cette dernière descend, elle demande à une fille d’accompagner Maderna au premier.

– Il est en bonnes mains… et en ce qui vous concerne, c’est moi qui vais m’occuper de vous ! Cela vous convient-il.
– Mais bien sûr ! Répond Vitali
– Nous avons plein de formules, voulez-vous lire l’écran ou préférez-vous que je vous commente tout ça ?
– Euh, je vois « salon anglais »…
– Ça vous tente ?
– C’est quoi exactement ?
– Des petites misères.
– J’essaierais bien !
– Alors allons-y, vous ne serez pas déçu !

Le salon anglais est en fait une sorte de mini donjon, la table de massage est remplacée par une sorte de cheval d’arçon, une croix de St André logée contre le mur, prête à l’emploi, des chaines descendent du plafond, et les étagères sont encombrées d’instruments de douce torture, cravache, pinces, godes et tout le fourbi…

– T’aimes quoi, des petites misères physiques, c’est ça !
– Oui mais pas trop fort, quand même…
– Les insultes, les humiliations, ça te branche aussi ?
– Comme si j’étais une esclave qu’on punit ?
– Par exemple !
– Alors je veux bien !
– Alors on commence de suite ! A poil, salope !

Vitali en lève tout à l’exception de ses chaussettes.

– Je suis sûre que tu aimerais me voir à poil ! Le nargue Dyane.
– Oui, bien sûr.
– Ce sera ta récompense en fin de partie, mais pour cela il faut être un bon esclave ! Bon voyons ces tétons, t’aimes ça qu’on te les pinces. Hein lopette ?
– Oui ! Aïe !
– Qu’est-ce qu’il y a ? Je fais trop fort ?
– Non c’est bon !
– Alors, souffre en silence, conard !

Dyane joue cinq minutes avec les tétons de Vitali qui bande maintenant comme un cochon puis change de cible et se met à lui malaxer les couilles en les faisant rouler entre ses doigts. Le « pauvre » Vitali gémit mais ne proteste pas.

– Maintenant allonge-toi là-dessus ! Lui dit-elle en désignant le chevalet.

Le dispositif est assez court ce qui fait que Vitali une fois allongé dessus a les jambes et les bras qui pendouillent.

Dyane se saisit d’une cravache et lui assène à la volée plusieurs coups sur ses fesses qui ne tardent pas à devenir cramoisies. Puis elle s’empare de l’un des godes posés sur l’étagère.

– Tu sais ce que c’est, ça ?
– Ben oui, c’est un gode .
– Et tu sais ce que je vais faire avec ?
– Me le mettre dans le cul, je suppose ?
– Tu supposes très bien, mais avant ?
– Euh ?
– Ben quoi, c’est si difficile à deviner ?
– Euh…
– Regarde le bien ce gode, il est beau n’est-ce pas ?
– Oui !
– Tu vas aimer l’avoir dans le cul ?
– Oui !
– Mais avant tu vas le sucer ?
– C’est humiliant ! Bredouille Vitali.
– Justement ! Et c’est pour ça que je veux que tu le suces. T’es qu’une lopette et les lopettes ça suce des bites

Stoffer411Vitali ne discute pas davantage et ouvre une large bouche.

– Allez suce, suce comme si c’était une vraie bite.
– Foufouffff !
– Faut pas parler la bouche pleine, on ne comprend rien. Ben dis donc tu le suces vachement bien ce gode, allez ça suffit maintenant… Mais dis-moi tu as déjà sucé une vraie bite ?
– Je ne sais pas !
– Dis donc pédale, tu te fous de ma gueule, en principe quand on a sucé une bite on s’en souvient, alors je veux une autre réponse !
– Je devais être bourré !
– Ben voyons, ils répondent tous la même chose ! En fait tu as honte, c’est ça ?
– Je ne sais pas…
– On peut faire un truc si tu veux, il y a toujours ici des mecs qui ne demandent pas mieux que de se faire sucer, tu veux que j’en appelle un ?
– Non, peut-être pas ?
– Sauf que ce n’est pas toi qui commandes, tu avais envie d’être humilié alors tu vas sucer une bonne bite devant moi et fermer ta gueule. Quelque chose à aouter ?
– Non !
– Alors je veux t’entendre dire « J’ai envie du sucer une bonne bite ! »
– J’ai envie de sucer une bonne bite !
– Tu vois, quand tu veux !

Dyane actionne l’interphone et demande après Cheng-Li, l’un des agents de sécurité.

L’homme arrive et retire pantalon et caleçon.

– Il bande mou, ce con, ça ne va pas du tout… Je vais arrange ça.

Dyane le branlotte quelques instants afin de bien raidir sa virilité.

– Allez vas-y.

Vitali embouche la bite du nouveau venu avec une insouciance déconcertante. En fait d’humiliation il a plutôt l’air de se régaler.

« Aucune importance » se dit Dyane, « l’essentiel c’est qu’il ressorte satisfait de la séance »

Elle passe dernière lui et tandis qu’il continue à sucer, elle lui écarte les fesses et lui introduit le gode dans le cul avant de le faire aller et venir. Il est aux anges, Vitali.

Et quand Cheng-Li retirant sa bite de la bouche du soumis le contourne pour s’en aller l’enculer, Vitali ne bronche pas.

« Heureusement que Maderna ne me voit pas ! se dit Vitali.

Justement qu’en est-il de Maderna ? Se demandera le lecteur (cochon de lecteur) Eh bien nous nous éterniserons pas sur sa séance en cabine de massage, il a choisi du classique on lui fait du classique c’est-à-dire du massage un peu partout avant qu’une main vienne lui empoigner la bite… et on connait la suite.

Revenons donc dans la chambre anglaise. Cheng-Li a fini par jouir dans le fondement de Vitali… Alors fin de séance et fin de l’humiliation consentie ? Non, pas tout à fait…

– Garde la bouche ouverte ! Lui dit Dyane.

Et Cheng-Li vient lui pisser dans la bouche !

– Avale, lopette !

Il le fait, il ne sait plus très bien où il en est, il a les yeux vitreux, mais ne regrette en rien cette séance. Dyane le libère.

– C’est fini, ça t’a plu ?
– Oui, mais je n’ai pas joui.
– Je sais, ce n’était pas dans le programme.
– Ah bon ?
– Parce que tu voudrais jouir, maintenant ?
– Oui…
– Alors tu vas au coin là vas et tu te branles
– Oh, c’est humiliant !
– Ben oui !

Vitali se dirige vers le coin et commence à s’astiquer le poireau. Dyane fait signe à Cheng-Li de s’approcher de lui. Ce dernier sait ce qu’il doit faire ou plutôt ce qu’il doit dire.

– T’aimes ça te branler, hein pédale ?

Vitali ne comprend pas sa présence et ne répond pas .

– T’es prié d’être poli avec à Cheng-Li quand il te cause.
– Ah ? Ben oui j’aime bien me branler .
– T’es qu’un suceur de bites !
– Ouin oui,
– Et un enculé !
– Ben oui ! Ahhh, ça vient..

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:03

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 10 – Au camp des exclus par Nicolas Solovionni

Gaystamp

Angie

L’homme, un dénommé El Menhir s’assit devant Angie.

– Bonjour, j’ai accepté ce rendez-vous par politesse, mais je ne vois pas bien où vous voulez en venir ?
– C’est très simple je possède les coordonnées de la planète où est détenue Edina Von Graz.
– Oui j’avais bien compris, mais j’ai l’impression que vous n’êtes pas au courant des dernières nouvelles.
– Quelles dernières nouvelles ?

L’homme lui tendit son spacephone ouvert à la bonne page. Angie lut, livide.

– La salope ! La salope !
– Donc nous pouvons mettre un terme à cet entretien.
– Ben oui. Murmura-t-elle, dépitée.
– Cela dit, vous êtes charmante, accepteriez-vous de dîner à avec moi ?
– Vous-voulez me draguez ?
– Pourquoi pas ? Mais on peut faire un peu connaissance avant !
– Vous espérez quoi ? Minauda Angie.
– Quand un plan tombe à l’eau, on peut toujours trouver un plan B.
– Je n’en ai pas.
– Rien ne nous empêche d’y réfléchir, retrouvons-nous ici dans deux heures.

Topar

Topar ne sait pas trop où se diriger. Vers la presqu’île, certes mais comment ?

Le bord de plage devient rapidement impraticable, il est donc obligé de s’enfoncer dans la végétation luxuriante. Et là, ça devient vite compliqué, il n’y a aucun chemin de tracé, ça monte et ça descend, il n’y a rien pour permettre de s’orienter.

La lassitude le gagne, il s’assoit sur un rocher et tente de réfléchir.

C’est alors qu’un gros lézard, une bestiole de 60 centimètres s’approcha de lui. Trois autres le suivent deux mètres derrière.

Dans un geste insensé l’homme se saisit du lézard par la queue et l’envoya bouler dans les fourrés.

– Fous le camp, sale bête !

Ses congénères apeurés rebroussèrent chemin sans demander leur reste.

« Ouf ! M’ont pas l’air trop dangereux. »

Il reprit son chemin, cette victoire futile lui ayant curieusement redonné du tonus.

Ça continuait à monter et à descendre…

« Je me demande si je ne suis pas en train de tourner en rond ? »

L’une des pentes lui sembla plus longue à gravir que les précédentes, la végétation se clairsemait au fur et à mesure de la pénible montée.

Le sommet offrait une vue légèrement dégagée, il respira un grand coup l’air vivifiant de l’endroit et scruta le panorama offert…

– De la fumée ! Ça n’a pas l’air tout près, mais c’est là que doivent camper les exclus. En route !

Il fallait donc redescendre la colline et ne pas se tromper de direction.

C’est deux heures plus tard qu’une voix surgit de nulle part le surpris :

– Vous entrez en zone interdite. Si vous n’êtes pas là par hasard, refranchissez la ligne, et on viendra vous chercher, sinon merci de déguerpir, l’endroit peut s’avérer dangereux.

– La ligne ? Quelle ligne ? Je ne vois pas de ligne.

Il recula de quelques mètres avant d’avancer de nouveau. Du coup le micro se redéclancha.

– Ne bougez plus. On va venir vous récupérer, comptez environ deux heures d’attente.

Effectivement deux heures plus tard un gros lard ne respirant pas vraiment l’intelligence vint à sa rencontre.

– Je vous ai apporté de l’eau, vous devez avoir soif.
– C’est pas de refus, vous n’avez rien à grignoter ?
– Si, si j’ai un peu de poulet froid et des biscuits.

Eh oui, toutes les planètes colonisées ont importé des volailles, c’est facile à élever et ça pond des œufs (si, si !). Dans certains coins, elles ont muté, pas bien grave.

Deux nouvelles heures à cheminer en compagnie d’un type qui n’en bronche pas une…

Indira

En sortant de l’astroport Indira se rendit chez Alternor, une vieille connaissance.

– Indira, quelle surprise, il y a une éternité…
– Bof, trois années terrestres…
– T’étais où ?
– Je me suis retrouvée dans un bordel sur Garonda, et là on m’a proposé… tu ne devineras jamais…
– Ben non …
– Un poste de demoiselle de compagnie auprès de… devine qui ?
– Dis-moi !
– Edina Von Graz.
– Non ?
– Si ! Donc je suis bien placée pour savoir où elle est, et comme il y a une belle prime à l’appui… donc je vends le tuyau.
– Mais tu n’es pas au courant ?
– Au courant de quoi ?
– Elle a publié un communiqué précisant qu’elle n’était plus otage…
– Je sais bien qu’elle n’est plus otage, mais j’ai sa localisation.
– Ça aussi c’est précisé dans son message.
– Alors tant pis pour moi.
– Eventuellement je peux te présenter à un type qui te dira si on peut faire quelque chose.
– Je n’y crois pas trop mais pourquoi pas ? Ça ne coûte rien d’essayer

Topar et son guide parviennent enfin au camp des exclus. L’endroit a tout d’un bidonville, des abris façonnés avec des assemblages de tôles ou de toiles imperméables, il y a un tas de saloperies empilées n’importe comment. L’odeur est infecte mais ne semble pas incommoder les poules qui se baladent en caquetant.

Une masure faite de rondins et de torchis jure avec la misère ambiante.

– C’est le château du chef, précise l’accompagnateur sans rire. Attends-moi là, je vais t’annoncer.

Topar pensait qu’on allait le faire entrer. Ben non, une espèce de viking hirsute et puant de crasse sort de la baraque avec une souche en guise de tabouret sur lequel il pose son gros cul.

– Je suis Childéric, c’est moi le chef et toi t’es qui ?
– Topar, j’ai fait une connerie…
– Tous ceux qui sont là ont fait des conneries. Et on ne veut pas le savoir. Qu’est-ce que tu sais faire ?
– Ce que je sais faire ?
– Ben oui, tu ne vas pas me dire que tu ne sais rien faire ?
– Je sais pas, j’ai eu une formation militaire…
– Tu sais te battre alors ?
– Oui.
– On va voir ça.

Le chef appelle un gros costaud qui bullait devant son tas de ferrailles.

– Viens-là toi, vous allez vous battre tous les deux, attention ne vous démolissez pas non plus.

L’individu s’amène avec nonchalance, jaugeant Topar, il se dit qu’il ne va en faire qu’une bouchée.

Les deux hommes se mettent en garde et soudain le costaud attaque en fonçant, Topar esquive, se retourne et lui envoie un coup de savate. L’homme dégringole en hurlant de douleur. Durée du combat : une minute !

– Eh bien, t’es pas cul de jatte, toi, je te prends dans ma garde personnelle, viens à l’intérieur on va boire un coup.

L’intérieur de la masure est assez spartiate, une table bricolée avec des souches et un bout de tôle, et deux autres souches en guise de sièges.

Childéric lui verse une mixture dans une bolée en terre cuite, du n’importe quoi fermenté n’importe comment. Topar prend énormément sur lui pour faire semblant d’apprécier.

– Je parie que tu te demandes où sont les femmes ?
– Ben oui, répondit Topar, qui ne s’était pourtant pas posé la question.
– La plupart sont prises, quelque unes sont maquées et d’autres campent entre-elles à l’extérieur du camp, un peu plus loin. T’aimerais que je t’en appelle une, ça te décontracterait.
– Pas maintenant …
– Si tu préfères les mecs, c’est possible aussi, j’ai les idées larges.
– Euh !
– Oh j’ai vu ton œil qui devient lubrique ! C’est ça, tu préfères les mecs. T’as raison, ça change, moi de temps en temps j’aime bien enculer un joli cul.
– Ah ?
– Tu me le fais voir ?
-Tu veux voir quoi ?
– Ben ton cul, pardi !
– Maintenant ?
– Ben oui, pas dans trois semaines ! Faut profiter des occasions quand elles sont là.

« Bon autant me mettre bien avec ce type, d’autant que ça ne me coûte pas grand-chose ! »

– Whah, quel cul ! Ecarte bien les fesses que je vois ton trou !
– Comme ça ?
– Super !
– Dis donc t’a dû en prendre des kilomètres de bites dans ton cul ?
– Ben, oui j’aime ça !
– Laisse écarté que je te lèche un peu le troufignard !
– Ouiii, c’est bon !
– Tu sais ce qu’on va faire, on va se mettre à poil ! Oh j’ai une idée on va se faire un trip à trois… Attends-moi !

Childéric sort de sa masure.

– Eh toi, tu sais où est Arsène ?
– Il bricole dans sa baraque.
– Tu lui dis venir me voir, illico !

Arsène se pointe rapidement, pas encore la trentaine, visage efféminé, torse, bras et jambes épilés. Très ambiguë, le jeune homme.

– Voilà, je te présente Arsène, une sacrée tantouse, on va se faire un petit trio, tu n’as rien contre.
– Non, chef ! Ce sera avec plaisir.
– Alors, tout le monde à poil.

Stoffer410
Topar n’a d’yeux que pour la grosse bite de Childéric. Il avance sa main vers elle sans rencontrer d’objections.

– Elle te plait, hein ?
– Elle est belle !
– Suce ! Salope !

Topar ne se le fait pas dire deux fois et engloutit le membre de Childéric dans sa bouche. Sa pine sent la vielle pisse mais il en a cure.

– Suce un peu celle d’Arsène pour changer.

Ben oui pourquoi pas ? Abondance de bites ne saurait nuire !

Et c’est parti pour l’alternance, un peu celle de Childéric, un peu celle d’Arsène et on recommence…

Une situation qui ne perdure pas puisque Childéric, très directif, prend la parole.

– Et maintenant je t’encule, mets-toi en position et pendant ce temps tu pourras continuer à sucer Arsène.

Childéric n’est pas spécialement quelqu’un de délicat et ses coups de bite dans le cul de Topar sont plutôt énergiques. A ce point que sucer en même temps devient compliqué.

Un grognement porcin… Childéric jouit dans le derrière de Topar et décule en manifestant son contentement.

– Ah, ça fait du bien , mais maintenant j’ai la bite toute poisseuse, nettoie-moi ça, tu vas te régaler.
– C’est que…
– C’est que quoi, fait pas ta jeune fille, et nettoie moi la queue.

Topar se force un peu mais procède au nettoyage demandé.

– C’est bon hein ! C’est pas n’importe quoi, c’est du foutre de chef , maintenant ouvre bien la bouche, j’ai comme une envie de pisser.

Topar ne broncha pas et avale plusieurs rasades du champagne doré du caïd local.

– Maintenant je vais vous regarder baiser, allez un peu de nerf

Du coup Topar et Arsène se mettent en soixante-neuf afin de se faire jouir l’un l’autre.

– Maintenant va te reposer, on va t’indiquer un abri de libre, tu auras un peu de ménage à faire

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:01

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 9 – Topar et la masseuse par Nicolas Solovionni
Massage3

Après un voyage sans grand encombre nous arrivâmes dans le système de Vargala après être sortis de l’hyperespace.

J’en profitais pour envoyer sur les réseaux locaux la déclaration d’Edina par laquelle elle affirmait ne plus être otage, qu’elle acceptait de recevoir un journaliste ou un enquêteur (mais un seul) pour confirmer ses dires etc… etc…

Petite digression technique pour comprendre comment sont véhiculés les messages en ces temps futurs. Les messages interstellaires sont acheminés automatiquement sur les vaisseaux en partance. Lorsque le vaisseau atteint son système de destination, le message rejoint la planète à la vitesse de la lumière. C’est tout simple, non ?

Donc quand je débarquerai, d’ici deux heures environ, le message aura déjà bien circulé et sans doute d’aucuns l’auront réacheminé vers d’autres planètes.

On s’est posé gentiment et c’est à ce moment-là que la tour de contrôle se met à causer.

– Attention, attention, nous sommes en procédure d’urgence, tous les occupants de votre vaisseau doivent en descendre, le temps que nous appliquons le protocole sanitaire.

Qu’est-ce qui leur prend ?

– Nous vous rappelons que la procédure comporte l’envoi d’un gaz létal à l’intérieur du vaisseau. Pensez à vos animaux domestiques.

Le matou du bord, Dyane va s’en occuper, mais il y a les deux détectives….

– On va avoir droit à un petit contrôle ! Les avisais-je. Après vous serez libre d’aller au diable, j’espère bien ne plus jamais vous croiser !

Mais le vrai souci si toutefois c’est véritablement un souci, c’est Topar. Je ne pouvais pas prévoir ce qui risque de se passer. Le type est bon pour une exécution en règle, et pas forcément en douceur. Tant pis pour lui !

Je le mets au courant, il reste impassible. L’approche de la mort provoque parfois des réactions insoupçonnables. Il descend du vaisseau avec tout le monde, tandis que haut-parleur de la tour intervient de nouveau

– Le gaz sera dissipé dans dix minutes, vous pourrez alors regagnez le vaisseau si vous le souhaitez. Monsieur Topar, faites trois pas en avant en éloignant vos bras du corps, nous vous invitons à suivre pacifiquement les agents qui viennent à votre rencontre, faute de quoi nous serions obligés d’utiliser la force.

Ça se complique ! Topar m’interroge du regard.

– Allez-y mon vieux, il n’y a pas d’autres issues, soyez courageux.

Topar se laisse d’abord emmener placidement par deux bonhommes… et soudain… tout alla très vite.

La mafia locale a à sa disposition des tueurs sans scrupules, artistes du poignard et du fil d’étranglement mais peu aguerris aux techniques de combat à mains nues. Topar, lui a reçu une formation paramilitaire pointue. Avant que les deux mafieux aient le temps de réaliser quoi que ce soit ils sont estourbis par Topar à grand coups de poings et de savates. Il fonce droit devant lui, cavale comme un cheval fou et sort du tarmac par l’arrière. Trop puissant le mec !

Topar a gagné la ville, il a une adresse de repli.

– J’ai quelques problèmes, héberge-moi jusqu’à demain matin…
– Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
– Une grosse opération en cours, je t’expliquerai, mais là faut absolument que je dorme, je ne tiens plus debout…

En fait, Topar n’avait pas sommeil mais n’avait nulle envie de taper la conversation avec son hôte.

Il attendit sagement sur la couchette qu’on lui avait prêté, jusqu’au lendemain midi puis après une douche rapide il se fit préciser le chemin pour se rendre au Pied de Gazelle. Endroit où il n’avait évidemment aucune intention de s’y rendre, mais parfois lancer des fausses pistes a du bon.

– Qu’est-ce que tu vas foutre là-bas ?
– Je te dis, un coup fumant, je reviens ce soir, je te raconterai tout.
– Ok je te préparerai une bonne bouffe, tu veux que je fasse venir des filles ?
– Oui, génial !

« Et comme ça si on retrouve ma piste, ils ne vont pas la retrouver longtemps. »

Et c’est au Bar du Destin que Topar se rendit.

Rien ne distinguait ce bar des autres établissements de ce genre sur la planète. Eclairage approximatif, clientèle d’habitués et d’équipages en bordée, soiffards vaseux, alcools frelatés, serveuses accortes et montantes…

– Je voudrais voir le patron.
– C’est moi !
– C’est pour passer de l’autre côté.
– De l’autre côté de quoi ?

Topar fut un moment désarçonné mais se reprit.

– On m’a donné un code …
– Et c’est quoi ce code ?
– Crocodile …
– Ok, mais c’est pas gratuit.

Normalement le code aurait suffi, mais le patron n’a aucun scrupule, s’il peut plumer le gogo, pourquoi ne pas le faire ?

– Ce n’est pas un problème. Répond Topar
– Bon alors je t’explique, tu vas t’asseoir dans un coin, tu ne parles à personne, dans deux heures une fille viendra te draguer, tu montes avec, tu la payes et tu me payes, et elle va t’expliquer comment ça se passe …
– Pourquoi attendre deux heures ?
– Parce qu’avant c’est pas possible.

Topar s’en alla ronger son frein devant une mousse bas de gamme.

Deux heures plus tard une belle rousse vint le calculer.

– Bonjour je suis Laticia. Je t’emmène au paradis, mon biquet.

Sans trop comprendre il la suivit jusqu’à une minuscule chambrette.

– Déshabille-toi mon grand, je vais bien m’occuper de toi, et comme ça tu partiras avec un bon souvenir.
– T’es gentille, mais vois-tu, je n’ai pas vraiment le cœur à baiser.
– Mais si, mais si… et puis entre nous, le patron est un peu énervé en ce moment, si je lui dis que tu n’as pas été gentil avec moi, il est capable de ne pas te montrer la petite porte magique.
– Dans ce cas , je vais te payer, mais on ne fera rien et je voudrais partir de suite.
– OK, transmets-moi les sous, mais pour ce qui est de partir maintenant, c’est impossible, il faut attendre que la marée soit basse, dans une demi-heure ce sera bon !
– Ah, bon ?
– Tu m’as l’air un peu noué, je vais te faire un petit massage, ça va te faire du bien.
– Je ne sais pas.
– Moi, je sais, allez on se déshabille et on s’allonge sur la couchette.
– Je ne suis pas sûr…
– C’est quoi le problème, tu n’aimes pas les femmes ?
– Si, si… Mais pourquoi tu insistes tant ?
– Parce qu’il faut bien que je gagne ma vie.
– Mais puisque je t’ai dit que je te paierais même si on ne fait rien.
– Ça choque ma conscience professionnelle !

Mais qu’est-ce qu’il nous fait, Topar ? Se demandera le lecteur.

Il est sans doute temps d’évoquer la sexualité du bonhomme, en fait il est gay, gay à 90 % aime-t-il nuancer auprès des rares amis dans la confidence. Gay et exclusivement passif, ce qu’il aime par-dessus tout c’est sucer de bonnes bites bien raides avant de les accueillir dans son cul.

Alors les 10 % restants qu’en est-il ? Eh bien il apprécie parfois des femmes au look de garçonnes, poitrines d’anges (parce qu’on ne dit pas poitrines plates)

Or Laticia n’entrait pas vraiment dans cette catégorie non c’était plutôt le genre grosses loches en folie.

Mais craignant que les choses se compliquent s’il continuait à faire la mauvaise tête, il se résigna. Il quitta en conséquence tous ses vêtements et s’allongea sur la couchette.

– Ben voilà ! Oh le joli cul ! C’est rare un aussi joli cul chez un homme !

« Tu parles, elle doit dire la même chose à tout le monde ! » Se dit-il.

– Bon on y va ! Je suppose que tu voudrais voir mes seins ?
– Non, non, t’es pas obligée…
– Non, mais dis-donc, tu ne vas pas me vexer, tout de même ?
– Euh… Vas-y montre-moi ! Reprit-il, confus.

Et Laticia se dépoitrailla libérant deux magnifiques globes laiteux terminés par deux impertinents tétons arrogants.

– T’as le droit de toucher, c’est mon jour de bonté.

Topar caressa donc les mamelles de la jolie pute s’efforçant tant bien que mal de dissimuler son manque d’enthousiasme.

– Hum, tu caresses bien ! Lui dit la fille qui n’en pensais pas une miette, embrasse-les si tu veux, je ne le propose pas à tout le monde mais comme toi tu as l’air sympas…

« Manquait plus que ça, en plus elle continue à me sortir le baratin qu’elle doit débiter à tout le monde… »

Il le fit quand même, les yeux fermés appelant ses fantasmes les plus secrets à la rescousse.

– Ah, voyons voir comme ça se passe là-dessous…

Laticia fit écarter les jambes de l’homme, sa main passa sous le scrotum, puis atteignit la verge pas vraiment bandée.

Stoffer09– Ben alors mon grand, on est en panne ?
– Ben oui, ça arrive, ce doit être le stress, la fatigue…
– Ferme les yeux, je vais te faire le coup de la baguette magique !
– C’est quoi, ça ?
– Tu verras bien… en fait non tu ne verras rien, tu n’as pas les yeux dans le dos, mais n’empêche que c’est magique.

Laticia humecta l’index de sa main droite et d’un seul coup d’un seul le lui introduisit dans l’anus.

– AArfff !
– C’est bon, hein ?
– AArfff !
– Je continue ?
– Oui !
– Retourne toi et lève les jambes, que je puisse m’occuper de ta bite en même temps. !

Et tout en continuant à lui doigter le trou du cul, Laticia se mit à branloter la queue de Topar qui cette fois daignait montrer enfin sa rigidité.

Elle prit ensuite le membre en bouche, faisant virevolter sa langue en un ballet satanique. Nous l’avons dit Topar est un passif, il préfère sucer que l’inverse, n’empêche qu’il est bien obligé d’admette que Laticia est une sacrée professionnelle.

Et contre toute attente, Topar sentit son plaisir monter.

– Je, je …

Laticia lui fit signe de la main qu’elle avait compris et continua sa fellation. Topar jouit alors dans un spasme. La fille se releva et alla se rincer la bouche.

– Alors, content, mon gros lapin ?
– C’était bien !
– Je t’explique la suite, il va être l’heure. Tu descends aux toilettes, il y a un porte mitoyenne indiqué « réserve », je l’ai débloqué tout à l’heure. Tu la pousses et tu te retrouves dans un petit couloir, tu pousses la porte du fond et tu seras dehors, ce sera définitif, dans l’autre sens la procédure est différente.

Topar suivit scrupuleusement ces instructions et se retrouva dehors sur un étroite bande de terre encore humide des eaux de l’océan qui venaient de se retirer.

La presqu’île était devant lui, il s’y dirigea comptant sur son sens de l’improvisation pour la suite.

A suivre

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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 13:00

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 8 – Partouze cosmique avec Indira par Nicolas Solovionni
Solo

Après une petite douche réparatrice, je m’en allais voir Edina…

– Je voudrais te demander une faveur.
– Tout ce que tu veux mon petit chou. Me répond la maîtresse des lieux, d’humeur joyeuse.
– Il s’agit d’Indira …
– Mais encore ?
– Elle voudrait venir avec moi…
– Sûrement pas. Pas elle, choisis-en une autre si tu veux.

J’avoue ne pas comprendre ! Mais devant mon air décontenancé, elle daigne m’expliquer :

– C’est la seule fille à savoir qui je suis réellement, je ne peux pas prendre le risque de l’envoyer dans la nature.
– Mais quelle importance maintenant ?
– Ah oui, c’est vrai ! Alors d’accord embarque-la.

Il fut donc convenu que je décolérai le lendemain. Auparavant je contactais le capitaine Trujillo :

– Tu vas pouvoir repartir, le poulet je m’en charge !
– OK. Mais ce n’est pas possible de faire un peu de commerce, ici ?
– Je vais voir si je peux t’arranger ça !

Edina me souffle qu’elle a des glochtons surgelés en rabe.

– Ce sont des espèces de poisson, c’est délicieux, si tu veux je te donne l’adresse d’un restau sur Vargala, tu viendras de ma part. Précisais-je à l’attention de Trujillo.

Baboukar s’est occupé des détails de la transaction et après que Trujillo ait rempli ses calles, il redécolla en direction de Vargala, son port d’attache.

Trois semaines plus tard sur Vargala

– Le Dolphin du capitaine Trujillo est à l’approche, je vous préviens comme convenu. Indiqua Rudy, le contrôleur de l’astroport dans son spacephone.

Dix minutes plus tard Kloben était sur les lieux.

– Attention, attention, contrôle bactériologique, veuillez tous sortir du vaisseau et rester sur le tarmac en attendant que l’équipe sanitaire fasse son travail. Un gaz mortel sera utilisé pour l’opération, ne laissez aucun être vivant à l’intérieur y compris les chats et les oiseaux.

Et tandis qu’une équipe gaze l’intérieur du vaisseau un logiciel de reconnaissance faciale scanne l’ensemble des personnes présentes sur le tarmac.

– Merde il n’est pas avec eux ! Rouspète Kloben, le mafieux

Il reprend le micro.

– On va rouvrir votre sas. Attendez dix minutes avant de réintégrer le vaisseau si vous avez des choses à y faire. Capitaine Trujillo, merci de vous présenter à la capitainerie du port pour quelques courtes formalités ?

Trujillo a déjà vu cet homme, mais ignore ce qu’il est.

– Bonjour capitaine, z’avez fait bon voyage ?
– Très bien, mais vous êtes qui ?
– J’y viens, vous connaissez la loi de Vargala ?
– Evidemment ! Mais quel rapport avec moi ?
– Le rapport c’est que vous avez embarqué comme passager un criminel… nous attendions son retour, mais il n’est pas là
– C’est de Topar que vous parlez ?
– Oui c’est l’un de ses pseudos…
– Quand il m’a proposé de le prendre comme passager, vous vous doutez bien qu’il n’est pas venu se vanter de ses activités criminelles. Alors vous me reprochez quoi ?
– Rien du tout, j’aimerais juste savoir ce qu’il est devenu ?
– Il ne m’a jamais donné l’impression d’être un homme en fuite, il m’a précisé sa destination et m’a payé. On a appris ensuite qu’il était flic et qu’il voulait exfiltrer un otage…
– Et…
– Après je ne sais pas, soit il lui est arrivé quelque chose soit-il simplement resté sur place.
– Donc vous ne l’avez pas attendu, mais qui vous a donné instruction de repartir sans lui ?
– Je suis capitaine et seul maître à bord, et je n’ai pas d’instructions à recevoir pour prendre mes décisions, je fais encore ce que je veux ! S’énerve Trujillo.
– Je ne voulais pas vous froisser, mais c’est Topar qui vous a dit de repartir sans lui ?
– Le dôme m’a prévenu que Topar ne repartirait pas avec moi..
– Le dôme ?
– Ben, oui le dôme ! répliqua Trujillo.

Son interlocuteur ne comprenant rien, le capitaine se lança dans des explications complémentaires.

– Vous savez précisément quelle est la personne qui vous a indiqué que vous pouviez repartir sans votre passager ?
– Oui.
– Et donc ?
– Ce n’est pas un peu fini cet interrogatoire ?
– Ce n’en est pas un, c’est une discussion amicale.
– Tu parles !
– Répondez-moi et nous en aurons terminé.
– Je suis obligé ?
– Non mais ça nous fera gagner du temps, sinon on finira par trouver.
– C’est le capitaine Stoffer.
– Stoffer, mais qu’est-ce qu’il est allé foutre là-bas ?
– Vous lui demanderez, maintenant si vous me permettez, j’ai du poisson à décharger.
– Du poisson ?
– Oui vous savez, ces machins qui vivent dans l’eau avec des arrêtes.

Kloben donna ensuite instruction à Rudy de le prévenir dès que je reviendrais.

– Même procédure qu’avec Trujillo !
– Bien chef !
– Et on ne se moque pas.
– Bien chef !

Trujillo, fort énervé rejoignit son staff.

– C’était quoi ? Demande Angie, sa technicienne de bord.
– La mafia ! Ils en ont après Topar, d’après ce que j’ai compris, il aurait tué un mec.
– Et qu’est-ce qu’on à voir là-dedans ?
– Rien, mais ça m’a pris la tête, on va faire entreposer le poisson dans les docs, tu peux t’occuper de voir avec le restau que nous a indiqué Stoffer ?

Angie sauta sur l’occasion, préleva une grosse tranche de poisson, se dirigea vers le « Fumet des étoiles » et demanda à voir le chef.

– Je viens de la part du capitaine Stoffer, on a un stock de poisson à écouler, il parait qu’il est génial…
– Faudrait vraiment qu’il soit génial, parce que du bon poisson, on a ce qu’il faut, mais si c’est Stoffer qui t’envoie je veux bien faire un petit test.

Et le chef s’empara du filet de poisson, le décongela puis le poila de façon toute simple.

– Putain, c’est délicieux ce truc, ça sort d’où ?
– Je vous dirais, j’en ai un bon lot en dock, vous êtes preneur ?
– Oui, mais une fois que le stock sera épuisé…
– J’ai les coordonnées de la planète d’origine, on y est allé un peu par hasard… le poisson ils en ont à foison, mais il n’y a pas que du poisson…
– Quoi d’autre ?
– C’est là que serait détenue Edina Von Graz.
– Non ?
– Si !
– Y’a une prime pour sa récupération, je crois.
– Oui, une bonne prime !
– Et votre capitaine, ça ne l’intéresse pas ?
– Laissez-moi mes petits secrets, mais si vous connaissez quelqu’un que ça intéresse, je me contenterai du tiers de la prime. Répondit Angie.
– Laissez-moi vos coordonnées, je vais examiner le problème.

Je pris congé d’Edina le lendemain matin.

Vous allez donc penser que je vais arriver sur Vargala 24 heures après Trujillo, ben non, ça ne se passe pas comme ça, les étoiles ne sont pas fixes et gravitent autour du centre galactique à la vitesse de 250 km/seconde. Donc tout cela est variable. Je peux très bien arriver avant lui ou le suivre d’une semaine.

On a donc embarqué Topar, qui tire une tronche pas possible, ce qui peut se comprendre aisément. Et on l’a enfermé dans une cabine.

Ce type pose problème, je suis persuadé qu’il ne renoncera pas à sa prime et qu’il va trouver le moyen d’essayer de pourrir la vie d’Edina. Mais bon, ce ne sont plus mes oignons. Edina est bien consciente de la situation et aurait aimé que je le fasse disparaître… désolé, je n’ai pas l’âme d’un assassin

La cabine de Topar est munie d’un interphone, il me fait donc savoir qu’il aimerait bien me causer.

Qu’est-ce que cet abruti peut avoir à me dire ? Je le fais poireauter, je ne suis pas à sa disposition.

J’ai attendu qu’on soit passé dans l’hyperespace, ce qui fait que je me suis pointé dans sa cabine une bonne heure après son appel.

– Je vous écoute.
– On va où ?
– Demandé de cette façon, je ne risque pas de vous répondre.

La tronche qu’il me tire, s’il pouvait me bouffer, je suis sûr qu’il le ferait.

– J’aimerai savoir où nous allons, capitaine ?
– Je rentre sur Vargala.
– Ça ne m’arrange pas …
– Eh bien tant pis pour vous !
– Je vais vous faire une proposition, débarquez-moi sur Derell, je vous paierai largement.
– Non.
– Vous seriez gagnant …
– J’ai dit non et ce n’est pas négociable. C’est tout , Je peux m’en aller ?
– Si je débarque sur Vargala, je suis en danger de mort.

En me disant ça le mec est devenu blanc comme un ours polaire.

– Ce n’est pas mon problème !

N’empêche que m’a curiosité naturelle fait que j’aimerais bien savoir pourquoi il me sort ça.

– Et pourquoi seriez-vous en danger de mort ?
– J’ai tué un mec. !
– C’est très vilain, ça. Me gaussais-je.
– C’est ça. Foutez-vous de ma gueule !
– Et vous aviez une bonne raison de commettre un crime ?
– Bof.
– J’ai peut-être une solution pour vous éviter de vous faire trucider mais ce n’est pas gratuit.
– J’ai de l’argent.
– Je m’en fous de l’argent, ce qui m’intéresse c’est de comprendre vos motivations.
– Mes motivations ?
– C’était quoi ton plan, à l’origine ?
– Récupérer Edina, ensuite sur Vargala je demandais l’aide et la protection de la police locale.
– Et t’empochais la prime ?
– Oui.
– Donc t’es un chasseur de primes.
– Non, mais c’est l’occasion qui fait le larron.
– Drôle de larron ! Et si tu as l’occasion de récupérer la prime, je suppose que tu n’hésiterais pas ?
– Je ne vois pas comment ?
– Ne me prends pas pour un con, je vois d’avance comment tu pourrais te débrouiller.
– Ben non, j’ai joué une carte, j’ai perdu, il me faut tourner la page.

Ce mec me paraît aussi sincère qu’un candidat aux élections. Mais j’ai tendance à lui accorder le bénéfice du doute. J’ai bien le droit d’avoir mes faiblesses.

– Une fois qu’on sera posé, tu fileras au Bar du Destin, ils possèdent un passage vers la presqu’île des exclus, là-bas on te foutra la paix, c’est pas le paradis, c’est plein de voyous mais c’est mieux que de se faire égorger. Il est possible qu’on te demande un code, ce sera « crocodile »…
– Merci m’sieur.
– On dit « merci capitaine ».
– Merci capitaine.
– De rien, salut.

Et je m’en allais rejoindre ma petite compagnie.

Parce que j’aime bien respecter certaines traditions, et notamment celle qui consiste pour le staff à boire un coup après être passé dans l’hyperespace.

J’ai invité Indira à partager ce pot de l’amitié en la mettant toutefois en garde.

– Ce genre de chose a tendance à finir de façon très débraillée, si tu vois ce que je veux dire…
– Humm.
– Si la situation devient gênante, tu pourras toujours t’éclipser discrètement, personne ne t’en tiendra rigueur.

Elle n’eut pour seule réponse qu’un petit sourire énigmatique.

On se sert à boire, on trinque, l’ambiance est bon enfant. Nadget est complétement déconnante.et au bout de quelques minutes seulement elle provoque Indira.

– Tu me plais bien, toi ! J’aimerais bien te caresser.
– Me caresser comment ?
– Gentiment !
– Oui mais me caresser quoi ? Les joues, les avant-bras, le bout du nez.
– Un peu partout !
– Même dans les endroits cachés ?
– J’aimerais bien, oui !
– Tout à l’heure peut-être ! Indique Indira.

Du coup Nadget est un peu refroidie. Dyane se rapproche à son tour.

– Et toi tu aimes caresser les femmes ?
– Ça m’arrive !

Et sans plus de discours, Dyane se dépoitraille.

– Ils te plaisent ?
– C’est une jolie poitrine !
– Tu veux caresser ?
– Avec plaisir.

Et sans hésiter davantage, les mains d’Indira se posent sur les seins de Dyane et se livrent à de sensuelles caresses.

En même temps, Nadget qui a de la suite dans les idées passe derrière Indira et entreprend de la déshabiller en douceur. Cette dernière se laisse faire…

Et les garçons, pendant ce temps ? Me direz-vous.

Il existe une règle implicite (mais pas toujours respectée) voulant que lorsque des femmes se caressent ensemble pendant une partouze, la venue d’un mâle est toujours contreproductive.

Alors on reste en place, la main sur la braguette, mais comme Nerren est proche de moi, sa main s’égare là où devrait être la mienne.

Je me laisse faire, j’adore qu’on me tripote la bite et afin de lui en faciliter l’accès, je vais même jusqu’à baisser mon pantalon.

Ce gros coquin s’empare de mon sexe et le branle jusqu’à ce qu’il bande correctement, puis il se baisse et met tout dans sa bouche.

C’est qu’il suce bien l’animal, mais j’aimerais bien sucer aussi, je le lui fais comprendre… Pas de problème, on se déshabille tous les deux. Et c’est donc mon tour d’emboucher cette jolie bite dont je ne saurais me lasser.

Dilos est peu intéressé par la bisexualité masculine, il préfère regarder les filles, mais pour ne pas avoir l’air idiot il s’est néanmoins débarrassé de ses vêtements et se branle mollement.

Les filles parlons-en un peu, en ce moment ça se passe sur la couchette où Dyane est entre les cuisses d’Indira et lui lèche la chatte, tandis que cette dernière gougnotte celle de Nadget.

Un joli trio qui s’agite frénétiquement, ponctuant ses débats de râles de plus en plus expressifs. Et bientôt ce sont des cris de jouissances dont j’ignore de qui ils proviennent. Je peux pas tout voir, c’est que j’ai une bite dans la bouche, moi !

Ces femmes se sont un peu calmées et s’échangent de tendres câlins. Du coup Dilos va tenter sa chance.

– Alors les filles, on s’est éclaté !
– Ben oui, je te vois venir, toi ! Lui répond Dyane.
– Comment ça ?
– Tu aimerais bien une petite sucette ?
– Ce sont des choses qui ne se refusent pas !
– Bon on va pas être vache, on ne va pas te laisser faire banquette ! Reprend Dyane en lui saisissant la bite et en l’embouchant tout de go.

C’est qu’elle la connait par cœur, Dyane la pine de Dilos, ces deux-là ont longtemps été très proches, ils le sont moins maintenant, mais ne sont pas fâchés.

– Les filles si vous voulez sucer, c’est délicieux et c’est tout raide, mais moi je fatigue un peu de la bouche.

Nadget et Indira répondent à l’appel avec une telle célérité qu’elles s’en cognent la tête. Petit moment de rigolade puis les deux filoutes entament une fellation à deux bouches.

Stoffer08Quelle partouze mes amis ! Quelle partouze ! Et ce n’est pas terminé. Nerren est maintenant derrière moi à me flatter les fesses, enfin quand je dis les fesses, il faudrait plutôt dire le trou du cul. Et vas-y que je te lèche et vas-y que je te fous un doigt agitateur !

Et après la langue et le doigt… Devinez quoi qu’y a ? Ben oui, il m’encule, le gaillard et il le fait très bien, j’adore ça et je n’ai même pas honte !

Et tandis que Nerren s’agite comme un forcené dans mon intimité, Dilos, ce petit cochon a trouvé le moyen de prendre Indira en levrette. Dans quel trou ? Ah, je ne vois pas bien mais je crois bien qu’il la sodomise !

La partouze bat son plein, je me fais enculer, Indira aussi tandis que Dyane et Nadget se gamahuchent à qui mieux mieux.

Qu’est-ce qu’il m’encule bien, le Nerren, tous ces coups de pistons dans mon cul me procurent des frissons de plaisir intenses. Et puis tout d’un coup un cri se jouissance, non ce n’est pas Nerren, c’est Dilos… qui du coup sort du cul d’Indira exhibant une bite visqueuse de sperme et de merde. Indira complétement barré se précipite sur l’organe et lui nettoie tout ça de sa petite bouche vicieuse.

Et c’est au tour de Nerren de jouir et de déculer, il s’essuie le zigouigoui et part s’assoir, épuisé, il manque d’exercice ce garçon.

– J’ai envie de pipi ? Ça intéresse quelqu’un ? demande Indira à la cantonade.
– Moi, moi, moi ! Répond Dyane.
– Faites pas ça ici ! Indiquais-je
– On épongera ! Me répond ma seconde de vaisseau

J’ai donc pu assister une nouvelle fois au charmant pipi d’Indira… juste assister pour cette fois, on ne peut pas tout avoir ! Dommage… mais voici Nerren qui s’est relevé.

– Si tu veux du pipi, je peux t’offrir le mien !
– Vas-y mon grand pisse-moi dans la bouche

Et pendant que j’avalais son champagne maison, une main m’attrapa la bite et la branla jusqu’au bout, c’était la main de Nadget…. Je l’adore cette fille… En fait j’adore beaucoup de monde, j’ai un cœur d’artichaut.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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