Eros Cosmos

Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:51

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 3 -Partouze cosmique par Nicolas Solovionni
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Nous avons pu après ces péripéties, sauter dans l’hyperespace et bien évidemment sacrifier aux traditions. Mais certaines traditions n’ont rien d’une corvée, bien au contraire.

On remplit les verres (parce que c’est toujours comme ça que ça commence !) Puis on attend un prétexte pour faire des choses plus osées. Vous allez me dire pourquoi, un prétexte ? Pour rien ! Simplement ça fait partie du « jeu ».

Et c’est Nadget qui donne le signal. (pour ce genre de choses, elle n’est jamais la dernière…)

– L’apéro c’est sympa, mais sucer de la bite ce n’est pas mal non plus ! Déclare-t-elle d’un ton doctoral
– T’as pas honte ? Lui lance Nerren en rigolant.
– Non, non !
– Tu ne veux pas que je te suce ?
– Mais si, mais si !
– Alors baisse ton froc.

Nerren s’exécute et se fait provocateur en tortillant du croupion.

– Regardez-moi ça ! S’exclame Dilos, il a vraiment un cul de pédé !
– Et alors, ça te gêne ! L’apostrophe Dyane
– Non, non, je disais ça comme ça !
– Oui mais tu l’as dit d’un ton péjoratif ce n’est pas gentil.
– Mai non , mais non !
– Tu n’as plus qu’une chose à faire pour te faire pardonner, c’est de lui embrasser le cul.
– Ah, mais vous m’énervez.

Et Dilos sentant que s’il ne prend pas lui-même d’initiative, la situation risque de lui échapper, il se baisse pour embrasser les jolies fesses de son collègue, puis il se relève et s’en va se servir à boire.

Nadget s’est emparé de la bite de Nerren et la fait coulisser entre ses doigts de fée afin de la doter d’une belle rigidité.

Superbe bite, une jolie hampe parcourue d’une petite veine bleue, un gland rougeâtre et luisant, un vrai petit bijou… et même que j’en ai l’eau à la bouche.

Nadget approche sa langue, titille le gland ce qui fait vibrer l’homme de plaisir puis sans crier gare prend tout en bouche en commençant une série d’allers et retours bien baveux.

Je sais que dans quelques minutes cette belle bite sera pour moi, mais pour l’instant je m’en voudrais de déranger la jolie blackette dans son trip, aussi je passe derrière Nerren…

C’est vrai que ses fesses sont splendides et pourrait rendre jalouses pas mal de nanas.

Je caresse, j’embrasse, j’écarte et ma langue s’en va fureter du côté de son petit anus brun et fripé au petit gout d’andouillette terrienne à l’ancienne. Quel régal! Et je lèche tant et si bien que cette délicieuse et coquine rondelle ne tarde pas s’entrouvrir me permettant d’y pénétrer ma langue un peu plus avant.

Laquelle langue commence à fatiguer quelque peu (je voudrais vous y voir, vous !) C’est donc maintenant mon doigt qui entre dans ce mignon trou du cul accueillant, et vas-y que je bouge et que je te fais frétiller tout ça. Il en a de la chance Nerren, sucé par devant par une superbe nana et doigté par derrière par son capitaine lubrique !

Je contourne le bonhomme et fais signe à la blackette que je voudrais bien à mon tour ma part de quéquette..

Pas compliquée la fille, on permute la voilà derrière, me voilà devant.

Pas de préliminaires, directo dans la bouche !

– T’aime ça, sucer des bites, hein ? Vient me narguer Dyane qui ne s’est pas encore mise à l’aise.
– Han han ! (je n’aime pas parler la bouche pleine !)

Stoffer0403Je me régale, j’adore ça, et je m’en fous de passer aux yeux de certains pour un pervers, j’adore sucer des bites, j’adore les conserver longtemps dans ma bouche, les imprégner de ma salive, les caresser de ma langue… Mais si ma bouche aime les bites, mon cul n’est pas en reste, et je sais que tout à l’heure je me ferais sodomiser.

Mais pour l’instant je dois faire attention si je veux que le délire continue, il ne faudrait pas que mon partenaire jouisse prématurément.

On fait donc une petite pause, pas bien longtemps, car Nadget excitée comme une puce vient maintenant solliciter Dilos qui ne refuse pas ses avances. Et les voilà à poil en train de se caresser et de s’embrasser à pleine bouche.

Et tandis que Nerren est allé se désaltérer, Dyane vient me mettre ses gros nénés sous le nez. Ce doit être un réflexe chez moi, quand j’ai des beaux nichons devant moi, il faut que j’en lèche les tétons. En fait j’aime beaucoup de choses ! Je suis un pervers polymorphe comme dirait le docteur Freud.

– Ben alors, ducon, tu ne tiens pas la distance ?

Un cri du cœur de Nadget qui reproche à Dilos d’avoir joui prématurément.

– Oh, ma cocotte, Dilos n’a pas été gentil avec toi, viens voir Tata Dyane, elle va bien te lécher ton abricot.

Et voilà nos deux goudous en soixante-neuf en train de se gamahucher la figue réciproquement. C’est si beau de voir deux femmes s’aimer.

Nerren revient vers moi, il a un peu débandé. Qu’à cela ne tienne, une petite branlette pour remettre son bigoudi en forme, une petite sucette parce que je ne peux pas m’en empêcher et je me positionne en levrette. Nerren m’écarte les globes fessiers et vient me lécher le trou de balle ! Oh ! Quelle langue, mes amis ! Et voici qu’il me fout un doigt ! Quelle idée, je n’en veux pas de son doigt, c’est sa bite que je veux ! Mais justement la voici qui s’approche, puis qui pénètre son gland avant de s’enfoncer tout entière dans mon cul. Quelle sensation ! Et c’est parti pour une série de va-et-vient qui me font vibrer. Quel plaisir de se faire enculer !

Dans le coin à gauche, on entend un cri de jouissance, c’est Dyane qui s’est fait envoyer au ciel par la langue diabolique de la petite blackette, laquelle n’attendit pas cinq minutes pour venir le rejoindre dans l’extase.

Et un troisième cri… mais ça n’a rien à voir c’est le chat du bord qui passant par-là se mit à miauler. Je parie que Nadget a encore oublié de lui donner à boire. Pauvre bestiole !

Nadget s’approche de moi pendant que Nerren continue à me besogner par derrière. Je me doute de ce qu’elle vient chercher, la coquine !

Ça ne loupe pas, Nerren jouit brusquement (et bruyamment), il dégage sa bite de mon cul, Nadget la happe au passage et en nettoie le sperme… et le reste…. Quand je vous disais que c’était une grosse coquine.

Cette petite sodo était fort agréable mais n’empêche que je n’ai pas joui…

– Oh, le pauvre lapin ! se moque Dyane qui m’attrape la queue d’une main énergique et se met à me la branler en cadence.

Dyane est une bonne branleuse, en trois minutes je giclais mon sperme sur ses gros lolos. Et devinez quoi ? ce sperme Nadget vint alors le lécher, elle est insatiable aujourd’hui, celle-ci !

Nous avons enfermé les deux détectives dans deux cabines libres munies d’un système de fermeture ultra sécurisé bricolé de main de maître par l’ami Dilos.

Trois semaines plus tard nous sortions de l’hyperespace et nous retrouvions dans le système de V6783 dans lequel gravitait la planète supposée abriter Edina Von Graz…

– Planète repérée, on y sera dans douze heures ! Annonce Nerren.

Effectivement la planète apparaît sur les écrans de contrôle.

– C’est quoi ce délire ? S’exclame Dyane, c’est une planète de glace, c’est bien celle-ci au moins ?

Je vérifie, elle correspond bien aux coordonnées que m’a communiquée Ravo.

– On va s’approcher, on verra bien.

J’ai de plus en plus l’impression que nous nous sommes fait avoir.

– Activité biologique détectée ! Annonce Dilos.
– Ce doit être des poissons rouges ! Répondis-je, sceptique.
– Non, là il y a une activité électrique !
– Ben oui, il y a des poissons électriques.
– Arrête tes vannes, c’est de la grosse électricité.
– Bon, on s’approche et on essaie un contact.

De près la planète n’avait rien d’avenante, de la glace, de la neige et encore de la glace.

– Moins 40 ° ! Annonce Dilos, on va sortir les pull-overs !
– Allô, allô, ici cargo Rosa Munda, petits problèmes à bord, demandons autorisation d’atterrir.
– Patientez cinq minutes. Nous répond une voix pète-sec.

Patientez pour quoi faire ?

– Rosa Munda, autorisation acceptée, nous vous balisons le terrain d’atterrissage, faites attention ça glisse et c’est un peu exigu. Attendez nos instructions pour la suite et ne sortez pas de votre vaisseau.
– Ok.

Ces salopards nous font atterrir sur une vraie patinoire.

Ça tangue là-dedans de façon dangereuse, j’ai beau avoir mon paquet d’heures de vol, je n’ai jamais fait ce genre d’atterrissage sur banquise, les freins répondent mal, je dépasse le bout de la piste, mais ce n’est pas plus mal, le terrain légèrement accidenté ralentit le vaisseau, je parviens à le redresser et repart dans l’autre sens en vitesse minimale.

Ouf !

Mes collègues m’applaudissent, c’est gentil, il ne fallait pas !

Un coup d’œil aux environs, un grand dôme d’une cinquantaine de mètres de diamètre abrite la base locale, à tous les coups une ancienne installation scientifique abandonnée pour des raisons budgétaires… comme tant d’autres …

– Allo ! Jolie votre sortie de piste !

Il se fout de ma gueule, ce con !

– Allô, c’est quoi vos problèmes ?
– Le logiciel de navigation qui déconne.
– Vous n’avez pas de back-up ?
– Si mais ça ne marche pas.
– Bizarre votre truc, ne bougez pas je vais vous envoyer un technicien, patientez un petit peu.

Merde et crotte de saurien ! Voilà une situation complètement imprévue !

– Je peux boguer les programmes, nous dit Dilos, ça nous ferait gagner du temps, mais un technicien pourra débuguer en cinq minutes, on aura plus aucune raison de rester.
– Vas-y bogue, pour le reste je gère.

Du moins je vais essayer de gérer.

Un mec en tenue spatiale demande à entrer, il se met à l’aise dans le sas et apparaît, une vraie caricature de geek de cinoche, visage acnéique, lunettes comme on n’en fait plus et surpoids conséquent.

– Bonjour, m’sieu-dames. Moi c’est Arkon. Je vais regarder ce qui se passe, j’ai apporté un simulateur, renseignez vos codes s’il vous plaît

Le gars fait quelques manips

– C’est quoi ce bordel ? Rien ne répond, faite voir le backup ?

Manifestement le gars ne capte rien, à moins qu’il ait compris et qu’il refuse de le montrer.

– Bon je renonce à comprendre, on va faire simple, je vais me faire envoyer un logiciel propre, qui soit compatible avec votre vaisseau, je vous l’installe, je crée des backups et l’incident sera terminé. Ça va prendre une heure environ.
– Est-ce que pendant ce temps-là je peux m’entretenir avec vos responsables ?
– Par radio ?
– Si on ne peut pas faire autrement…
– Je vous mets en contact.

Je tombais sur une bonne femme à la voix rocailleuse à qui j’expliquais que nous avions raté notre livraison chez une planète cliente en raison de nos problèmes de logiciel, et que nous avions en cale plein de bonnes choses…

– Vins fins, alcools, épicerie et confiseries de luxe, cigares haut de gamme, sex-toys.
– On vous rappelle !

Une heure plus tard Arkon nous signala qu’il avait terminé l’installation mais que le logiciel installé n’était pas entièrement compatible avec notre vaisseau et qu’il faudrait qu’il le bricole…

– Ça va être un peu long, mais je sais faire. J’en aurais pour trois jours, mais ce ne sera pas gratuit, après vous allez pouvoir repartir.
– Euh, on m’avait dit qu’on me rappellerait.
– Ils vont le faire, soyez patient…

De toute façon Arkon semblait avoir deviné que nous n’avions aucune intention de partir si vite.

Rentré dans sa base Arkon s’entretien avec Eugenia, la maîtresse des lieux :

– Alors ?
– Ces gars-là sont des imposteurs, leur logiciel n’avait rien du tout, ils ont dû le trafiquer au dernier moment pour donner le change. Je les ai bluffé.
– Tu crois qu’ils sont dangereux ?
– Va savoir ? J’aurais pu leur dire de partir de suite, mais je me suis dit que dans ce cas ils risqueraient de revenir avec des plans plus radicaux… Donc autant en apprendre le maximum avant de les virer…
– Tu as bien fait, et tu préconises quoi ?
– Il y a plein de solutions, en commençant par la plus définitive : l’élimination.
– Et s’ils ont laissé leurs coordonnées quelque part, on se farcira une commission d’enquête, t’es pas un peu malade, non ?
– Pardon maitresse.
– Y’a pas de quoi ! Non ces gars-là cherchent quelque chose et il n’est pas bien difficile de deviner quoi, on va donc les bluffer, leur jouer la comédie.
– Et concrètement ?
– On va accepter leur fond de cale, c’est toujours bon à prendre, on va les recevoir dignement, puis on improvisera.

Eugenia appela ensuite Baboukar, un impressionnant colosse noir

– Voilà ce que tu vas faire… et surtout pas d’impair, il y va de notre sécurité à tous, ce cirque ne devrait pas excéder trois jours, après on les vire. Bien sûr tu me rendras compte régulièrement et discrètement.

La base après nous avoir fait poireauter un bon bout de temps a fini par nous répondre. Ils sont a priori intéressés et nous envoie un type pour estimer la marchandise.

Ce fut rapide, Baboukar était comme un gosse dans un magasin de jouets, là au milieu de nos Pinard et autres victuailles (sans parles des godes…)

– Ça nous intéresse, vous en voulez combien ?

Je lui indique, il ne marchande même pas

– Le seul problème c’est le paiement, on n’a pas de compte, mais on peut vous payer en bijoux.
– Pas de soucis !
– Je vous propose de fêter notre accord, je suis le chef de cette petite communauté, je vous invite vous et votre état-major à partager un petit repas convivial…

Super, nous allons donc pouvoir entrer dans la place, ensuite il est bien connu qu’un bon repas, surtout s’il est bien arrosé est propre à délier les langues les plus rétives.

– Qu’est-ce qu’on fait des deux détectives si on s’absente plusieurs jours ? Demande Nerren.
– L’équipage peut s’en occuper, non ?
– Ça me paraît un peu risqué… Ces mecs-là sont des manipulateurs….
– T’as raison, on va laisser l’équipage en dehors de ça. On va leur laisser des barres vitaminées, ils ne mourront pas de faim ! Sinon ils ont de l’eau…

Un camion équipé est venu prendre possession de notre boustifaille, puis revêtus de nos combinaisons spatiales, je me suis dirigé vers le sas du dôme accompagné de Dyane, de Nerren et de Dilos.

J’avertis préalablement mes compagnons :

– Attention, buvez modérément, il n’est pas impossible qu’ils veuillent nous faire parler… Et évidemment interdiction d’évoquer notre vraie mission, même si nous sommes entre nous, on ne sait jamais, il peut y avoir des micros.
– Tu ne serais pas un peu parano ? Se moque Dyane
– Je ne suis pas parano, je suis méfiant.

Dans le sas une voix au micro nous informe.

« Nous avons mis à votre disposition des tenues provisoires, merci de vous déshabiller entièrement, nous disons bien entièrement, et de les passer, vous récupérez vos effets personnels quand vous nous quitterez, vous sortirez du sas un par un et nous contrôlerons que vous ne faites pas entrer d’armes ou autres objets dangereux. Nous nous excusons de cette formalité qui peut vous paraître humiliante, mais il y va de notre sécurité. Ensuite si tout s’est bien passé nous vous recevrons avec courtoisie. »

Nous avons donc revêtu des combinaisons grisâtres d’une laideur absolue. Mais qu’importe, nous ne sommes pas venus ici pour faire un défilé de mode !

A la sortie du sas : un couloir, une porte et nous voici directement dans une salle à manger.

Baboukar nous accueille il nous fait les présentations. il y a deux autres types et aussi Arkon que nous connaissions déjà… Mais personne qui ressemble de près ou de loin à Edina Von Graz.

On boit l’apéro, Baboukar est en face de moi.

– Nous sommes, nous dit-il une petite communauté qui fuyons la civilisation, on a trouvé ce dôme par hasard et nous l’avons acheté sur nos fonds propres… pour trois fois rien.
– Je vois, et vous n’avez pas de problèmes d’approvisionnement ? Demandais-je.
– Non, nous sommes en contrat avec un vaisseau ravitailleur, de toute façon nous n’avons pas beaucoup de besoins, en échange on leur refile nos poissons locaux, les glochtons, ce ne sont pas vraiment des poissons mais c’est délicieux, d’ailleurs vous allez pouvoir y goûter.

Bref, je n’apprends pas grand-chose, on passe à table, effectivement ces glochtons sont délicieux, le pinard est moyen mais buvable, quant aux serveuses ce n’est rien de dire qu’elles sont accortes, tenue de soubrettes d’opérettes avec jupette au ras de la moule et décolleté plongeant. Oh là là !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:50

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 2 – Dyane et Ruby (et Yoyo aussi) par Nicolas Solovionni
Mat Stamp

Sachant comment fonctionnait le bonhomme, Dyane défit la fermeture éclair de son haut libérant et exhibant sa jolie poitrine.

– Oh, que c’est beau, on ne s’en lasse pas ! S’exclame Rudy.
– Caresse, mais doucement !

« Heureusement que je lui ai dit de faire doucement ! » Se dit Dyane, l’homme ayant tendance à confondre nichon et pâte à modeler.

– Embrasse-les, mais sans t’énerver, ce n’en sera que meilleur.

C’est toujours comme ça avec certains mâles, on leur dit de se calmer, alors ils se calment et cinq minutes plus tard, ils ont oublié de se calmer… Mais n’empêche qu’avec ce traitement les tétons de Dyane deviennent tout durs !

– Je te fais bander, hein mon salaud ?
– C’est toi la salope !
– Ben dit donc !

Les mains de Dyane sont venues trifouiller dans le pantalon de Rudy et en ont extrait une bite dressée comme un mât de cocagne.

– On va sucer un peu tout ça.

Stoffer0402Inutile de demander son avis à l’homme, il est des propositions qu’on ne saurait refuser

Et hop, que je te mette ça dans la bouche et c’est parti pour une série d’allers et retours bien cadencé… Petite diversion pour s’occuper un peu des coucougnettes du monsieur qui sont bien pendantes…et puis un petit peu de bout de langue vibrante sur le bout du gland… ça les rend fous !

– Bon tu voudrais jouir comment ? Lui demande-t-elle.
– Y’a pas le feu !
– C’est pas une réponse.
– Une petite sodo, ce n’est pas trop demandé ?
– Va falloir que je retire mon pantalon, alors ?
– Ben oui ! Répond Rudy qui n’a pas trop le sens de l’humour ?
– Et comme ça tu verras mes fesses !
– Ben oui !

En ce moment Dyane a comme l’impression qu’elle pourrait faire ce qu’elle veut de son partenaire et le manipuler dans tous le sens du terme. Parfois le sexe ça rend dingue !

Elle se redresse, prend bien son temps, fait glisser son pantalon et son slip.

– Caresse mes fesses, caresse mes belles fesses !
– Oh que c’est beau !
– Ça va, je ne me plains pas trop !
– Lèche, lèche -moi le trou du cul !
– Il est propre au moins ?
– Mais dis donc ! Lèche tu verras bien !

Il lèche se ragalant du goût du fion de la jolie blonde, mais bientôt c’est un doigt qui vient fureter dans cet anus bien humecté.

– Mais dis-donc, je ne t’ai pas autorisé à faire ça !
– Euh…
– Tu peux continuer mais à ce moment-là, pas de sodo, c’est l’un ou l’autre !
– Cruelle !
– Parfaitement !
– Bon, je vais t’enculer comme une chienne !
– Mon cul est à vous, monsieur le poète !

Il entre facilement… faut dire que la belle Dyane a une certaine habitude de se faire ramoner par le petit trou… Et c’est parti pour une série de va-et vient ponctuée par des ânonnements compulsifs

Etant positionnée en levrette, Dyane ne peut pas voir le visage convulsé de l’homme qui se sait (déjà) proche de la jouissance.

Mais le voilà qui se retire brusquement…

– Retourne-toi, regarde-moi ! Eructe-t-il.

Juste le temps de le faire et trois ou quatre projections de sperme qui atterrissent sur la poitrine de la belle.

– Cochon !
– Ah, ça fait du bien !
– J’ai encore de la chance, il n’y en pas sur mes fringues…
– C’est la fougue de l’excitation…
– Oui mon biquet, le lavabo c’est toujours à côté ?

Dyane me rapporte ce qu’elle a glané… je me renseigne un peu sur ce Farah day. Je connais de vue son capitaine, un certain Douglas. Son Vaisseau fait une navette permanente entre trois planètes, apportant sur Vargala des produits non disponibles ici, médicaments, pièces détachées diverses et autres bricoles. Vraiment pas le profil d’un trafiquant ni surtout d’un pirate.

– Donc Ravo n’est capitaine de rien du tout, il a donc soit voyagé en tant que passager soit il s’est fait embaucher comme membre d’équipage ce qui pour nous revient au même. On se fout de la planète où il a embarqué, il a dû faire un circuit !
– Tu laisses tomber, alors ?
– Je ne sais pas trop. J’ai consulté le site où ils parlent du piratage du Glory7, le vaisseau qui transportait Edina Von Graz. En fait la moitié des passagers ont été retrouvés.
– Mais pas Edina !
– Non pas elle.
– Tu te rends compte le nombre de personnes que ce genre de flibuste implique ? Déjà il faut une complicité dans le vaisseau, ensuite il faut une équipe pour reprendre le pilotage et l’acheminer on ne sait où. Après il y a le dispatching avec tous les gens intéressés, marchands d’esclaves, proxénètes, ferrailleurs et que sais-je encore, de toute façon des tas de gens différents, sachant que ces types vont aussi traiter avec d’autres, ça nous fait une véritable nébuleuse !
– En effet.
– Donc fatalement parmi tous ces gens-là, il y en a forcément un qui va causer !
– Et alors ? Demande Dyane
– On peut supposer que Ravo est un intervenant de bout de chaîne, pour une raison ou une autre il s’est senti menacé, aux abois et il tente de vendre ce qu’il sait, Il est aussi possible qu’il bluffe soit partiellement soit complètement.
– Et alors ?
– Alors j’hésite, et toi t’en pense quoi ?
– Qu’est-ce qu’on risque, à part se planter ? Conclue-t-elle.

Pour ma part, je n’arrivais pas à me décider, j’ai donc eu l’idée de réunir les cadres de mon équipage afin d’avoir leur avis.

Petites présentations :

Nerren Petrov est mon navigateur, bisexuel et plutôt obsédé, il est plein d’humour et c’est un collaborateur que j’apprécie particulièrement.

Dilos est notre ingénieur de bord, il a été un moment amoureux fou de Dyane, mais leur idylle a pris fin sans qu’ils ne soient fâchés pour autant.

Nadget et une jolie blackette exerçant les fonctions de technicienne de bord.

Tous ces braves gens sont désormais installés chichement sur la planète suite au pactole que nous avons récolté sur Orza (voir cet épisode), mais ils sont un peu comme moi, l’espace leur manque.

– Mais le gars t’a précisé qu’il nous faudrait une équipe de mercenaires…
– Pas question que j’embarque des mercenaires, c’est trop dangereux et ç’est une source de complications. Si on fait le coup, ce sera en douceur, et si c’est pas possible de cette façon on laissera tomber en refilant le tuyau à la police galactique.

Après une discussion que j’aurais pensé plus longue, un consensus se dégage reprenant la formule de Dyane : « qu’est-ce qu’on risque sinon de se planter ! »

J’ai revu Ravo, lui ai précisé que j’acceptais sa proposition.

– Vous avez des précisions sur la façon dont elle est gardée, s’il y a beaucoup d’hommes armés… tout ça
– Bien sûr qu’il y a des hommes armés
– Et comment êtes-vous au courant ?
– Ça ne vous regarde pas.
– Si vous m’avez refilé un tuyau percé, il y aura des conséquences…
– Je n’ai pas l’habitude de me faire menacer ! Me répondit-il de toute sa hauteur. Vous acceptez ou vous dégagez de ma vue.

J’ai été à deux doigts de l’envoyer promener, mais finalement j’ai accepté… Et il m’a communiqué les coordonnées de la planète en question.

Donc on y va, le temps de se préparer, d’assurer nos intérims et de réunir un équipage de base et c’est parti !

Auparavant nous avons rempli la cale de pinards et alcools de luxe, confiserie fine… Il y a toujours des amateurs pour ce genre d’échanges.

– Attention ! Indique Dyane dans le micro, passage en hyperespace dans 20 secondes.

C’est une formalité, parfois c’est un peu brusque, il faut juste se cramponner un peu.

– Echec du passage en hyperespace ! Signale la voix suave et robotisée de l’ordinateur de bord.
– Motif de l’échec ?
– Présence imprévue à proximité du moteur numéro 2.

C’est quoi ce cirque ?

– Je vais voir ! Se propose Dilos

Il se dirige vers la salle des machines, ouvre la porte avec son sas et là…

– Les mains en l’air cher monsieur, soyez rassuré nous ne vous voulons aucun mal, nous souhaitons simplement prendre le contrôle de ce vaisseau. Lui lance Vitali avec un sourire sadique.
– Mais vous êtes qui ? Comment avez-vous fait pour entrer là-dedans ?
– Peu importe, conduisez-moi vers votre poste de commandement.
– Et sinon ?
– Sinon, je vous endors et nous irons tout seuls.

Dilos n’a pas trop le choix, il jauge ses adversaires, Vitali est un grand maigrichon, par contre Maderna est taillé comme un joueur de rugby. Ils sont armés tous les deux, il n’a aucune chance.

Spectacle surréaliste, alors que je suis là dans le poste de pilotage avec mon staff au complet, je vois pénétrer Dilos, les mains en l’air suivi de deux abrutis à la mine patibulaire arborant des armes de poing.

– Plus un geste nous prenons le contrôle de ce vaisseau.

J’avoue ne savoir que faire et nous nous regardons tous, surpris et choqués.

– Mais qui êtes-vous ?

Maderna n’a pas le temps de répondre… car voici que Yoyo, le chat du bord, qui était perché je ne sais où, bondit et atterrit sur la tête du bonhomme qui crie de douleur et de stupeur et lâche son arme qui tombe aux pieds de Nadget. Celle-ci la ramasse et en menace Vitali complétement désorienté qui lâche son arme à son tour.

Voilà un renversement de situation inattendu, merci le matou !

– Bon, maintenant vous allez nous raconter qui vous êtes et comment vous avez fait pour vous introduire dans notre vaisseau.

Flashback

Vitali et Maderna sont deux détectives privés de l’agence Cosmico-Mystery. Ils sont chargés officiellement par la famille d’Edina Von Graz de tenter de retrouver la trace de l’actrice. Recoupant des tas d’informations ils sont tombés sur Ravo, alias Herman Schumacher et sont persuadés que le bonhomme a joué un rôle déterminant dans cette affaire.

Ils ont suivi sa trace jusqu’à Vargala-Station, puis profitant d’une légère bousculade dans l’ascenseur de l’hôtel, ils lui ont injecté dans la nuque un microémetteur. Ravo n’a ressenti qu’une petite piqure sans suite, mais désormais toutes ses paroles seront enregistrées.

Alors bien sûr, ces deux crétins furent fatalement au courant de l’accord que j’avais passé avec Ravo.

Fin du flashback.

– Et vous êtes entrés comment ?
– Nous avons des passes universels.
– Je considère que vous venez de commettre un acte de piraterie. Je suis donc habilité à vous éjecter dans l’espace.
– Pitié, monsieur on ne fait que notre métier ! Bredouille Vitali.
– Pauvre mec ! Et elle est où l’alternative, vous enfermer pendant tous le voyage avec tous les risques que ça comporte, vous nourrir gratuitement ?
– Nous avons de l’argent !
– Rien à foutre. On va réfléchir à ce qu’on va faire de vous, Dilos et Nerren, foutez-moi ses abrutis à fond de cale, ligotés bien comme il faut.

Yoyo vient se frotter contre mes jambes, brave bête, il aura droit à une double ration de pâté !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 13 octobre 2023 5 13 /10 /Oct /2023 12:48

Stoffer 4 – A la recherche d’Edina Von Graz – 1 – Le mystérieux capitaine Ravo par Nicolas Solovionni
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Bonjour, c’est moi le capitaine Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau, vaisseau spatial, dois-je préciser car l’action se passe dans le futur en l’an peut-importe lequel.

J’ai fait fortune après une mission rocambolesque (voir Stoffer 2 – Les labyrinthes d’Orza) ce qui m’a permis d’acheter un cabaret sur Vargala-station, une cité portuaire fréquentée par de nombreux baroudeurs de l’espace mais aussi par des gens peu recommandables.

Le cabaret en question, c’est le « Diable Rose » essentiellement animé par des transsexuelles (ben quoi ?)

Je m’en occupe assez peu, laissant la gérance aux bons soins de la belle Riquita qui nous fait ça très bien, mais parfois il faut bien que j’y aille afin de montrer que le boss est toujours présent et de vérifier si tout se passe bien.

– Alors patron, on vient s’encanailler ? M’accueille-t-elle.
– Juste une petite visite de routine ! Je peux voir la cave ?

On descend tous les deux. Je regarde très vite si tout est correct, il faut bien que je justifie ma visite, puis on remonte.

– Je te mets à une table ? me propose Riquita.
– Non je ne vais pas m’attarder.
– Tu ne veux pas me sucer ?
– Pas à chaque fois, quand même !
– Fais toi plaisir, je suis en forme !

Et sans attendre Riquita baisse son fuseau bleu pour m’exhiber une magnifique bite chocolatée presque raide.

Que voulez-vous ? Sucer des bites est l’un de mes péchés mignons. J’aime autant les bites que les femmes, alors évidemment avec les trans j’ai les deux.

Et me voilà en train de lui prodiguer une fellation savante usant de mes lèvres et de ma bouche comme un artiste peintre ferait de ses pinceaux devant une toile qu’il rendrait sublime…

Simultanément je lui caresse les cuisses et les fesses, me régalant de la douceur de sa peau.

– Déshabille-toi, tu seras plus à l’aise ! Me conseille cette diablesse.

Je le fais et pour ce faire je suis bien obligé d’interrompre ma pipe. Me voilà nu et comme vous l’imaginez je bande comme un cerf en rut.

– A mon tour de sucer ! S’exclame Riquita qui sans recueillir mon accord se précipite sur ma biroute pour l’engloutir goulument.

C’est qu’elle suce divinement bien, la filoute, elle a une véritable langue électrique, elle va partout et très vite, léchage intempestif sur le bout du gland, léchage de la verge façon eskimo, gobage des couilles, allers et retours diabolique, fausse gorge profonde (fausse parce que c’est au fond de mes joues qu’elle engloutit mon pénis et non pas dans sa gorge, astuce connue)

Si elle continue à cette cadence je risque de jouir prématurément.

Je l’en avise et elle le comprend aisément, elle se redresse donc et en profite pour m’exhiber ses seins de rêves, ça tombe bien, j’allais justement lui demander de le faire.

Et vous pensez bien que devant des seins pareils, je ne peux rester figé, je caresse, je plote, mes lèvres s’approchent et font frémir ses tétons. Quel régal !

Les mains de ma partenaire ne restent pas inactives, elles viennent tâter la chair de mes fesses et s’approchent stratégiquement du mon intimité postérieure.

– Oh ! J’ai peut-être une surprise pour toi ! Me dit-elle soudain.
– Et on peut savoir ?
– J’ai une nouvelle trans…
– Encore, mais elles ont la bougeotte…
– Beaucoup n’aiment pas se fixer, mais pour la clientèle c’est bien, ça fait de la nouveauté. Je vais l’appeler tu vas voir elle est géniale.

La nouvelle s’amène quelques minutes plus tard, elle s’appelle Shalimar, fausse blonde à la peau mate, très jolie. Elle est vêtue d’une petite robe blanche chiné de gris, très décolletée et descendant au « au ras de la bite »

– Bonjour patron, me dit-elle.
– Montre-lui ta bite ! Lui demande Riquita.

La trans s’exécute exhibant un sexe prometteur mais flasque. Je m’en empare et esquisse quelques mouvements de masturbation qui ont tôt fait de faire raidir convenablement la chose.

Son pénis est à présent décalotté et le gland apparaît dans toute sa beauté.

Attiré par ce sexe comme par un aimant, je me baisse et l’embouche. Je suce avec frénésie tandis que mes mains caressent ses grosses couilles pendantes.

Je fais une petite pause, sa bite ainsi imprégnée de ma salive n’en est que plus belle.

Je me retrouve je ne sais comment avec une bite dans chaque main, celle de Riquita à droite, celle de Shalimar à gauche, je les branlotte un peu. Je réalise alors (mais où avais-je la tête ?) qu’il est complétement incongru que je reste habillé en de telles circonstances.

Me voilà donc nu, je me penche pour m’occuper de nouveau de la pine de Shalimar, mais voilà que Riquita me pelote les fesses de façon intempestive.

Je me laisse faire car la suite n’est pas bien difficile à deviner et j’ai envie de cette suite.

C’est une suite en trois mouvements. Premier mouvement, Riquita me lèche le fion de sa langue diabolique à ce point que j’ai du mal à me concentrer sur ma pipe… mais c’est si bon…

Second mouvement, c’est un doigt qui s’introduit dans mon trou intime, qui va, qui vient, qui fait ressort comme un asticot qui fait du sport. C’est bien mignon tout ça, mais après ces petits préliminaires, j’aimerais bien que l’on entre dans le vif du sujet si toutefois vous me permettez cette expression…

Et après m’avoir fait lanterner plusieurs minutes, Riquita retire son doigt, prélude au troisième mouvement, je sens son gland quémander l’ouverture, ça passe de suite, ça y est, il m’encule !

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Me voilà avec une bite dans la bouche, une autre dans le cul ! Elle n’est pas belle la vie ! Quand je pense que je venais simplement vérifier le stock de pinard !

Riquita s’agite de plus en plus derrière moi, tandis que Shalimar pousse des petits jappements de plaisir… Et par une simultanéité involontaire, mes deux partenaires jouissent de conserve. J’ai tout le foutre de Shalimar dans ma bouche tandis que Riquita m’a inondé l’anus.

Fin de partie ? Pas vraiment parce que je n’ai pas joui ! Riquita m’offre sa bite sortant de mon cul à nettoyer, tandis que Shalimar se jetant sur ma pine me fait cracher ma jouissance en quelques minutes.

Merci les filles, c’était bien…

– Sinon rien à signaler ! Demandais-je à Riquita près m’être rhabillé.
– Non ! Ah si, j’ai un message ?
– Ben tu me le fais suivre comme d’habitude.
– C’est un gars qui ne veut pas laisser de traces j’ai noté ses coordonnées, Ravo, à l’hôtel des Elfes.
– S’il fallait que je donne suite à tous les messages que je reçois, je ne ferais que ça.
– Il m’a dit que ce qu’il avait à te proposer pourrait t’intéresser.
– Ils disent tous la même chose.
– Ecoute, je suis embêté, il m’a graissé la patte pour que j’essaie de te convaincre de le rencontrer.
– Fallait pas accepter !
– Je sais, je sais.
– Et si je donne pas suite, qu’est-ce qui se passe ?
– Il risque de mal le prendre.
– Tu m’emmerdes, Riquita, c’est bien parce que je t’aime bien, je vais aller voir ce mec ! Mais par pitié, ne recommence plus ce genre de connerie.
– Promis, patron.

Je me rends à l’hôtel en question et demande à rencontrer ce Ravo, il a un œil en moins caché par une plaque métallique, je me demande bien pourquoi il ne fait pas greffer un œil tout neuf, mais ce ne sont pas mes oignons.

Après une présentation minimaliste, le type me sort de sa poche un spacephone, cherche une photo et me la met sous le nez.

– Ça vous parle ?
– Euh oui, on dirait Edina Von Graz.
– Z’êtes au courant…
– Au courant de quoi ? Elle a disparu dans un croiseur de luxe, si j’ai bonne mémoire.
– Elle n’a pas disparu, elle a été enlevée.
– Vous en savez des choses…
– Le coup est classique, c’est un peu plus difficile maintenant avec les nouvelles normes de sécurité, mais avant il suffisait de quelques complicités internes. On s’arrangeait pour faire atterrir le vaisseau dans un coin paumé, ensuite c’était le partage et la vente, On récupérait les bijoux, quant aux passagers on faisait le tri, les belles filles et quelques jeunes hommes pour les harems et les réseaux de prostitution, les costauds pour servir d’esclaves dans des mines, des champs, tout ce que vous voulez…
– Et les autres…
– Les autres je ne sais pas. Toujours est-il que j’ai localisé Edina Von Graz.
– Et…
– Je peux vous fournir les coordonnées de la planète où elle se trouve…
– Vous voulez que j’aille la récupérer ?
– Ce n’est qu’une suggestion. Il y a une belle prime à toucher.
– Et pourquoi ne pas l’avoir récupéré vous-même ?
– Je ne suis pas obligé de vous répondre, mais disons que d’une part je n’étais pas équipé pour le faire, et puis si je la récupère, je serais interrogé par la police galactique qui voudra savoir ce que je fabriquais dans le coin… Ça vous suffit comme explication ?

Fallait voir la suffisance avec laquelle il m’avait sorti son baratin.

– Quand vous dites que vous n’étiez pas équipé pour le faire vous-même, vous entendez quoi par-là ?
– Il m’aurait fallu une petite équipe de mercenaires.
– Vous ne pouvez pas m’en dire plus ?
– Je vous en dirais plus, quand j’aurais votre accord !
– Et pourquoi m’avoir choisi ?
– En débarquant ici j’ai demandé s’il y avait des capitaines qui accepteraient une mission un peu délicate et particulière, j’ai obtenu trois noms, vous étiez le premier de la liste, c’est tout simple.
– Bon si j’accepte, c’est quoi les conditions ?
– 10 000 kochniks pour le renseignement et la moitié de la prime.
– Ça demande réflexion…
– C’est de l’argent facile, il suffit de préparer une opération de commando avec quelques costauds bien entraînés, je pense qu’on peut en trouver à la pelle sur cette planète…
– Pas si sûr ! Mais pour votre gouverne, je n’ai pas besoin d’argent, j’en ai à ne plus savoir en faire, si j’accepte ce sera pour faire une bonne action… et puis j’aime bien Edina Von Graz.
– Vous me donnerez une réponse quand ?
– Après demain !

En fait j’étais déjà partant, mais je n’avais pas envie de lui dire.

L’espace et l’aventure me manquaient, j’en avais marre de glander sur Vargala.

Je contactais Dyane Makaya, ma seconde de vaisseau, une belle MILF blonde aux formes voluptueuses, elle avait investi dans un institut de massage érotique que je n’avais pas encore eu l’occasion de tester malgré ses sollicitations pressantes et répétées.

– Salut ma biche, ça te dirait de retourner dans l’espace ?
– Pour y faire quoi ?

Je lui expliquai…

– Curieux que ce mec n’ait pas fait le boulot lui-même, c’est qui ?
– Il s’appelle Ravo, je l’avais jamais vu,
– Tu veux que j’essaie de me renseigner sur ce mec ?
– Pourquoi pas ? Il est à l’hôtel des Elfes, j’ai pas de photo mais je vais te le décrire. Tu le reconnaîtras facilement, il a une plaque de métal à la place de l’œil gauche.

Vêtue d’un pantalon bien moulant et d’un haut très décolleté, Dyane pénétra dans le hall de l’hôtel des Elfes, un établissement moyen, dirons-nous, ni trop luxueux, ni trop pourri.

Elle s’assit derrière une table, commanda une limonade et précisa au préposé « qu’elle attendait quelqu’un. »

Elle avait une petite idée sur la façon d’aborder ce Ravo, jouer la confusion en se faisant passer pour une vieille connaissance, et comme souvent elle était persuadée que son charme l’aiderait.

Une heure plus tard Ravo n’était toujours pas descendu.

« J’espère qu’il n’est pas sorti ? »

Dyane attendit encore une bonne demi-heure, au terme de laquelle Ravo sortit de l’ascenseur précédée d’une fort jolie personne.

« Merde, ils sont ensemble, mon plan va foirer… comment faire maintenant ? »

Le couple se dirige vers le bar et commande une conso.

Dyane remarque un type assis pas trop loin d’elle et qui la regarde avec insistance, on pourrait même dire avec concupiscence.

« Ça ne coûte rien d’essayer ! »

Elle lui fait un sourire d’invite très explicite. Le bonhomme accourt.

– Vous cherchez de la compagnie ? Demande-t-il bêtement en guise d’introduction super originale.
– Peut-être, peut-être… mais il y a quelque chose qui me chiffonne.
– Ah oui ?
– Le mec au comptoir, je suis persuadée de l’avoir rencontré mais c’était y a longtemps et c’était pas ici…
– Ravo ?
– Je ne sais pas si c’est ce nom-là. Bluffa Dyane. Vous le connaissez ?
– C’est un ours, il évite les conversations, Vargala n’est pas son port d’attache, j’ai cru comprendre qu’il avait eu une embrouille là où il avait ses habitudes,
– Il est là depuis quand. ?
– Une dizaine de jours.

Peu de renseignements, mais elle avait obtenu l’essentiel.

– On monte dans ma chambre ? Proposa le type plein d’espoir.
– Cela aurait été avec plaisir mais il faut que j’y aille. Je suis la patronne des « doigts d’or » un institut de massages, vous connaissez ?
– Non.
– Comme vous êtes sympa, je vais vous faire un petit mot, vous le présenterez à la caisse, on vous fera 50%.

En tant que capitaine, j’ai accès à certaines données du cosmoport et notamment aux mouvements des vaisseaux (atterrissages et décollages). J’obtiens donc la liste de tous les vaisseaux qui se sont posés dans les quinze derniers jours. Je les connais tous de mémoire sauf deux, mais aucun de ces deux-là n’étaient commandés par des gens ressemblant de près ou de loin à un capitaine Ravo.

Il est arrivé comment sur la planète, ce mec ?

– Y’a un truc ! S’il n’est pas arrivé comme capitaine ou comme membre d’état-major, c’est qu’il est arrivé soit comme simple membre d’équipage soit comme passager, j’aimerai bien éclaircir ce point ! Expliquais-je à Dyane
– Toi, je te vois venir, tu vas encore me demander de turlutter Rudy (Rudy est l’un des responsables du trafic de l’astroport de Vargala station)
– Je ne te demande rien, mais si tu le faisais, ça m’arrangerait.
– T’es gonflé quand même.
– J’en suis conscient, mais je suis sûr que quelque part ça t’amuse !
– Ben voyons… je me renseigne pour savoir si Rudy est de service en ce moment.

Il y était

– Tiens te revoilà, toi ! Lui dit Rudy en écarquillant les yeux.
– Pas content de me voir ?
– Si, si mais je sens que tu vas encore me demander des trucs impossibles.
– Rien n’est impossible, il suffit de s’entendre
– Alors tu veux quoi ?
– Que tu me fasses défiler les trombines de tous les gens qui sont descendus ici depuis quinze jours.
– Facile ! Et la contrepartie ?
– Comme d’hab ! Minauda Dyane

Les visages défilent sur l’écran de Rudy mais aucune trace de Ravo,

Deux mots d’explications : à leur arrivé, les personnes qui débarquent doivent entre autres formalités franchir un portillon où elles sont prises en photos 3D tandis que leurs empreintes digitales et rétiniennes sont enregistrées.

– C’est impossible, un mec est apparu sur la planète il y a une dizaine de jours et je ne le vois nulle part sur tes trombines.
– Ça peut arriver !
– Comment ça ?
– Le machin peut tomber en panne…
– Il y a un back up, non ?
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses ! Quelques fois quelques kochniks ça aide à mettre le machin en panne.
– Mais quel intérêt ?
– Tout le monde est tracé ici, tout le monde à plus ou moins quelque chose à se reprocher, mais tout le monde s’en fout, on ne va mettre tout le monde en prison. Sauf qu’il y a des mecs qui on fait des gros coups, ceux-là ils ont intérêt à effacer leurs traces.
– Bon alors là je vais être directe : Est-ce que dernièrement on t’a graissé la patte pour faire ça ?
– Tu crois vraiment que je vais te répondre ?
– Humm… évidemment, mais tu peux peut-être me dire quel équipage a débarqué alors que le machin était en panne.
– Oui, ça c’est possible !

C’était d’autant plus possible que j’aurais pu le faire moi-même, il me suffisait de croiser la liste des atterrissages avec le trombinoscope de leurs occupants, ce qui aurait permis de découvrir qu’un vaisseau s’était posé sans laisser aucune trace de son équipage et de ses éventuels passagers. Cela ne coûtait donc rien à Rudy de fournir le renseignement.

– Le Farah day ! Annonça -t-il. Tout content de lui.
– C’est quoi ce vaisseau ?
– Du Transport régulier, c’est un cargo ravitailleur.
– Mais explique-moi, dans un cas comme celui-ci, comment le mec fait pour vous prévenir de mettre le sas de contrôle en panne, il ne va tout de même pas prendre le risque d’utiliser la radio ?
– Ben non, ça laisserait des traces.
– Alors ?
– C’est tout simple, en principe on n’effectue aucun contrôle de bord sur les vaisseaux réguliers, mais ils peuvent néanmoins le demander sous un prétexte fallacieux, une personne présumée malade par exemple, donc en gros, un message manuscrit va être donné au personnel sanitaire qui le refilera à la capitainerie. Autre question ?
– Non.
– On peut passer à ma petite récompense alors ?
– Bien sûr, bien sûr, et qu’est ce qui te ferais plaisir ?
– Comme d’hab non ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:36

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 18 – Partouzes sur la terre ferme par Nicolas Solovionni

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Hofjom est venu me trouver en m’indiquant qu’un type qui possédait une petite boite de pièces détachées souhaitait la vendre, et que la chose l’intéressait. Je lui ai donc prêté quelques sous afin qu’il puisse reprendre l’affaire.

Gundula s’est installée chez moi, pour quelques temps, notre liaison durera ce qu’elle doit durer, nous en sommes bien conscients tous les deux, c’est pour cela qu’elle a voulu conserver son travail à la clinique, elle ne souhaite pas être à mes crochets, elle a bien raison.

Ce soir elle était invitée à une soirée entre filles organisé dans l’appartement de Dyane. Il y aurait aussi Nadget, Elvira, Valencia, Tallulah et quelques autres.

– Tu me raconteras ! Lui demandais-je.
– Ça dépend, toi tu vas faire quoi ?
– Ça fait un bout de temps que je n’ai pas été profiter de mon cabaret… J’avais pas trop envie ces dernier temps. Là ça me titille de nouveau.
– Cochon !
– Oui, mais j’assume !
– Tu me raconteras aussi ?
– Bien sûr !

Et le lendemain, nous nous sommes raconté nos frasques respectives.

Le récit de Gundula

On a pas mal bu, pas mal déconné, puis des couples et de petits groupes se sont formés. L’ambiance est devenue de plus en plus chaude et débraillée.

Je me suis retrouvée, je ne sais trop comment, avec Elvira et Dyane dans sa chambre.

On s’est amusé à se peloter les seins, et à se faire de petits bisous, Elvira jouant les divas, mais ça lui va si bien, elle est tellement belle !. On s’est vite retrouvé à moitié à poil, Dyane a donné ses jolis seins à téter à Elvira, et cette dernière ne voulant pas faire de jalouse s’est emparée des miens. Putain sa langue sur mes tétons, qu’est-ce que c’était bon ! D’autant qu’en même temps Dyane en profitait pour me rouler une gamelle

Ça été la fête à nos nichons pendant un long moment, chacune suçait, chacune était sucée. Un moment j’avais la langue d’Elvira sur un téton, et celle de Dyane sur l’autre. Une sensation inouïe !

On a fait une petite pause, Dyane a quitté un moment la chambre puis est revenue avec une bombe de crème Chantilly. Elle m’en a aspergé les seins, et les deux autres se sont amusées à déguster tout cela !

Nous sommes ensuite passées à des choses plus hards, on a fini de se déshabiller, Elvira s’est couchée sur le dos, je me suis accroupie au-dessus de son visage afin qu’elle puisse me lécher la chatte, tandis que Dyane lui écartait les cuisses pour lui butiner le minou.

Un moment Dyane a changé de position, elle s’est débrouillée pour que sa chatte soit en contact avec celle d’Elvira, et elles se sont mises à se faire du frotti-frotta. La position de Dyane lui permettait d’avoir accès à mes nichons, apparemment elle ne s’en lassait pas .

Un moment je me retournais afin que Dyane puisse profiter de mon gros cul. Mais cette salope au lieu de me le caresser, se mit à me donner des fessées. J’avoue que ce n’était pas désagréable. Puis elle m’a écarté mes fesses et ma léché le trou du cul comme elle sait si bien le faire. Elvira s’est mise à côté de moi réclamant elle aussi qu’on lui lèche l’anus. Dyane nous a alors doigté simultanément, Quand elle a ressorti ses doigts imprégnés du jus de nos culs, elle les a léchés avec gourmandise.

Dyane a ensuite sorti un gode de sa cachette, tout le monde le voulait dans son cul, on a tiré au sort. J’ai gagné et elle m’ont fait aller et venir la bite artificielle à un rythme infernal, je jouissais comme une folle et quand le gode est ressorti pollué de matière on s’est précipité dessus pour le nettoyer, moi la première.

Dyane et Elvira se sont fait jouir presque simultanément, moi pas encore, alors on a changé nos positions. A mon tour d’être sur le dos; Elvira venant entre mes cuisses.

Dyane s’est amusé à m’attacher les poignets, je l’ai laissé faire, puis tandis que la langue d’Elvira s’agitait de plus en plus, Dyane m’a redonné ses tâtons à téter avant d’attaquer les miens qu’elle mordillait légèrement.

J’ai enfin joui, j’étais bien, Dyane m’a détaché et embrassé, puis Elvira m’a pissé dans la bouche. Une bonne soirée, quoi !

Fin du récit de Gundula

Et maintenant à toi !Stoffer0318

Pas mal de monde au Diable rose, ce soir, et la musique est assourdissante, quelques-unes des pensionnaires de l’établissement me saluent et je me dirige non pas vers mon bureau, n’ayant rien de particulier à y faire mais vers celui de Riquita, ma régisseuse transsexuelle.

– Oh ! Bonjour patron ! Me dit-elle avec un sourire désarmant.

Elle est là sur son canapé, en culote et soutien-gorge blanc sous un chemisier déboutonné de la même couleur.

– Tu m’as l’air débordé à ce que je vois ! Lui fais-je remarquer.
– J’ai bien le droit de souffler un peu, non ? Il y a eu une bagarre hier soir, un cinglé qu’on a été obligé de sortir, mais il a cassé du matériel, il faut qu’on remplace tout ça, qu’on voit avec l’assurance, tout ça.
– Vous ne vous êtes pas débrouillées pour faire payer le mec ?
– Bien sûr que si, mais l’assurance n’est pas obligée de la savoir.

Elle se lève, s’avance vers moi, se fait chatte, caresse mon torse à travers mon tee-shirt.

– J’ai un peu squatté ton bureau, j’ai auditionné une nouvelle, elle devrait te plaire…
– Une trans ?
– Oui, une belle blonde ! Elle attend dans ton bureau. Elle s’appelle Mimi.
– Quelle originalité ! Et qu’est-ce qu’elle fout dans mon bureau ?
– J’attendais Joanna pour la tester, mais elle n’a pas l’air pressée de venir. Viens je vais te la présenter.

On change de pièce, effectivement mon canapé personnel est occupé par une magnifique créature en sous-vêtements noir et rose.

– Je te présente le patron ! Lui dit Riquita.
– Bonjour Patron !

Riquita, collée dernière moi me masse la braguette et quand elle sent la chose convenablement bandée la fait sortir de sa cachette.

Je me branlotte un peu pour en affiner la rigidité. Je m’approche du canapé, Mimi est maintenant très proche de moi, elle ouvre une large bouche et me gobe ma queue avec gourmandise, tandis que Riquita me pelote les fesses

Je décide d’opter pour une position plus confortable et rapidement nous nous retrouvons couchés tous les trois, et tandis que Mimi continue de me sucer la bite, j’ai dégagé la magnifique queue noire de Riquita afin de m’en régaler comme il se doit de ma bouche gourmande..

Je prends mes aises et m’allonge de tout mon long, résolu à me laisser faire par ces deux magnifiques créatures. Riquita vient alors me sucer la bite tandis que Mimi m’embrasse à pleine bouche de sa langue diabolique

Mimi veut ensuite gouter à la queue de Riquita Je passe derrière elle, lui écarte ses jolies fesses, approche ma langue de son petit trou du cul et me met à le lui lécher avec gourmandise L’endroit devient vite bien lubrifié et d’un seul coup de rein je l’encule.

Riquita se dégage de la bouche de sa collègue et vient derrière moi, je sais ce qu’elle va faire et accueille volontiers sa bonne bite dans mon cul, Nous voilà trous les trois en train de faire le petit train, je suis à la meilleure place, j’encule et me fait enculer !

On finit par se désemboiter et je reprends ma position passive, couché peinard sur le dos Mais voici Mimi décidemment insatiable qui ne trouve rien de mieux à faire que de venir s’empaler sur ma bite. Riquita qui ne veut pas être en reste m’encule de nouveau. A ce rythme-là, mon cœur ne va jamais tenir !

Allez, j’ai envie de jouir, j’encule Riquita pendant qu’elle suce Mimi

Je souffle un peu, nous nous embrassons tous les trois dans un grand moment de tendresse, puis je prends la bite de Mimi dans ma bouche Je n’y avais pas encore gouté !

– T’aime ça, sucer des bites ! Me lance Riquita qui connait évidement la réponse

– Humm, elle est trop bonne sa bite !
– Régale toi, pendant ce temps-là, je vais t’enculer !

Encore ! C’est décidemment la fête à mon cul ! Mais je ne vais pas m’en plaindre ! Riquita ne se contrôle plus et me pilonne à un rythme infernal me provoquant des frissons de plaisir inimaginables

Elle jouit et décule m’offrant sa bite pleine de sperme à nettoyer, tandis que Mimi finit de me pomper jusqu’à ce qu’à mon tour je libère mon foutre dans un râle

Et tandis que je reprends mes esprits, Mimi se branle comme une malade m’envoyant toute sa purée sur le ventre

– Faut que je pisse ! Dit-elle

Riquita a alors suggéré à sa collègue de m’asperger de son urine. Quoi de mieux pour terminer ce moment de folie que se désaltérer de cette délicieuse pluie dorée !

Ces piquants récits nous ont bien émoustillés, Gundula et moi. Nous avons fait l’amour comme des sauvages puis nous nous sommes endormis blottis l’un contre l’autre en se remémorant nos galipettes et en rêvant à de nouvelles aventures.

Je l’aime bien Gundula, mais l’image de Mamie Marcia me hante ! Un jour les femmes me perdront !

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:34

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 17 – Mission spéciale pour Gundula par Nicolas Solovionni
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Laburo descendit d’un vaisseau une semaine plus tard. Il est immédiatement repéré par Dilos qui le suit, il m’en informe et prévient Gundula de se tenir prête.

L’homme tente de contacter le docteur Levkovich et devant le manque de réaction du spacephone, il lui envoie un message sibyllin.

Il patiente une bonne heure dans un bistrot en piaffant d’impatience.

« Je fais quoi ? Il lui serait arrivé quelque chose ? Je vais essayer de savoir si le vaisseau qui l’a transporté est rentré. »

Il quitte le rade et va pour retourner au cosmodrome. L’éventualité de cette situation ayant été prévue, Dilos rattrape le bonhomme.

– Monsieur Laburo ?
– Mais comment…
– Le docteur Levkovich est souffrant, il a eu votre message, il vous attend dans sa clinique, soyez prudent.
– Mais…
– Soyez très prudent ! Répète Dilos avant de s’éloigner et de se cacher, prêt à reprendre la filature.

Laburo est dubitatif.

« Un piège ? Mais je ne vois pas comment ? A priori, personne ne connait mes liens avec Levkovich. Il a dû se passer quelque chose, prudence, prudence… »

Alors, il y va. Son désintégrateur à portée de main.

– Allo Gundula, il sera là dans cinq minutes, tiens-toi prête.

Gundula qui s’était rendue introuvable pour ne pas risquer d’être dérangée se tient maintenant près de la porte d’entrée de la clinique.

– On nous envoie un type malade, probablement empoisonné, je vais immédiatement le prendre en charge ! Explique-t-elle à sa collègue de l’accueil.
– Je ne suis pas au courant…
– Ben maintenant tu l’es !

Et voici Laburo…

– Euh, bonjour…
– Je suis au courant venez avec moi ! Lui dit Gundula.

Au détour du couloir, Gundula le pique avec une seringue de propofol pour l’envoyer dans les vapes, une seconde injection lui envoie de l’acetylamino-testiculophosphate, un poison lent qui nécessite un antidote si on ne veut pas que sujet clapote.

– Quelqu’un pourrait venir m’aider ? Crie-t-elle après lui avoir subtilisé les papiers de l’homme et les remplacer par une fausse carte au nom de Lexro.
– Qu’est ce qui se passe ?
– J’en sais rien, il est entré et il s’est écroulé.
– On va le mettre au lit ! Ensuite on lui fera passer un scanner et on fera des analyses…

On diagnostiqua évidement un empoisonnement, le traitement durerait plusieurs jours, et Gundula se débrouilla pour que ce soit elle qui s’en occupe.

Le soir toute la petite bande se réunissait chez moi. Gundula toute fière, nous raconta tout ça :

– Bravo ! T’as été formidable ! La complimentais-je
– J’espère que ça ne va pas me retomber sur le dos !
– Non, il reste juste une chose à faire, demain je passerais à la clinique.

J’ai demandé à voir Monsieur Lexro, on m’a répondu que ce patient paraissait très abattu et qu’il ne fallait pas que je reste longtemps. Une fois dans sa chambre, et après avoir pris soin de refermer la porte, Gundula l’a hypnotisé en ma présence.

– C’est quoi ton rôle dans l’organisation des amis des précurseurs.
– On dit « Les témoins des précurseurs »
– C’est ce que je voulais dire.
– Je suis un initié de classe B et je supervise les informations provenant de la zone V5A.

La zone en question est un petit secteur du bras galactique exploré par les terriens, il comprend Vargala et quelques autres planètes gravitant autour d’étoiles plus ou moins chaudes.

– Et tu supervises de quelle façon ?
– Je m’assure que chaque planète possède un superviseur de classe C et j’ai la charge de m’informer de leurs investigations.
– Que contenait le message que vous a envoyé Levkovich ?
– Les coordonnées de la planète où il désirait se rendre suite à une présomption de vestiges précurseurs et les conditions de la découverte de ces vestiges.
– C’est tout ?
– Le matricule du vaisseau de transport, la date du départ.
– Vos supérieurs ont-ils été informés de tout ça ?
– Non !
– Et pourquoi ?
– On ne dérange pas les initiées de la classe A avec des rumeurs, on attend d’avoir une vue complète des choses pour leur transmettre des informations.
– Levkovich a-t-il informé d’autres personnes de ses intentions ?
– Il n’en avait pas le droit.
– Que comptez-vous faire à présent ?
– Retrouver Levkovich.
– Et si vous ne retrouvez pas ?
– Je me rendrais sur la planète dont il faisait état.
– O.K., maintenant faites un gros dodo, vous ne m’avez jamais rencontré, bien évidemment…

En sortant de sa chambre, nous sommes tombés sur le Docteur Zolier.

– Il va mieux ? Demande-t-il
– Il ne va pas pire ! Répond Gundula.
– Vous le connaissez ce type ? Me demande le toubib. Impossible de lui remplir sa fiche, sa carte est fausse et il reste muet comme une carpe.
– Oui bien sûr je vais vous donner tous les renseignements nécessaires. Dis-je en donnant un coup de coude à Gundula.
– Venez dans mon bureau, non pas vous Gundula, je vous laisse à votre travail.
– Oh, mais ce n’est pas possible j’ai encore une poussière dans l’œil.
– Vous le faites exprès, vous, faites voir.

Quelques instants plus tard le docteur Zolier remplissait une fiche d’admission en bonne et due forme au nom de Théophraste Lexro, artiste peintre.

Le soir Gundula me retrouvait.

– On fait quoi maintenant ? Me demande-t-elle.
– Si on le lâche dans la nature et s’il n’est pas trop con, il va se rendre compte que mon vaisseau a atterri, donc il va chercher à me rencontrer.
– Et alors ?
– Et alors : j’aimerais mieux pas…
– Il le fera peut-être pas ? Il peut très bien chercher un vaisseau pour se faire prendre comme passager.
– Et comme il y a toutes les chances que personne ne réponde à son appel d’offre, il va aller démarcher tous les capitaines en stand-by… et tomber sur notre vaisseau.
– Aïe !
– Comme tu dis.
– Il reste quoi comme solution ?
– Si tu diminues de moitié la dose de l’antidote, il en a pour combien de temps ?
– T’es pas en train de me proposer de le tuer, j’espère ? S’inquiète Gundula
– Pas le tuer ! Juste le laisser mourir.
– Ça revient au même ! Je ne peux pas faire ça ?
– Ecoute-moi, si ce mec sort de la clinique, il va nous rechercher, il nous extorquera les renseignements qu’il cherche par n’importe quel moyens : du fric, des tortures, du chantage… et une fois qu’il sera renseigné, il ne nous laissera pas en vie.
– Tu sais te défendre, non ?
– Moi, oui, mais toi peut-être pas, ni les filles qu’on a embarquées… Et puis admettons que je le tue, la mafia ici ne tolère que les crimes qu’elle commandite, les gens coupables de meurtre sont éliminés à leur tour.
– Tu me fais froid dans le dos !
– Tu veux que je te réchauffe ?
– Andouille !
– Alors d’accord ?
– Puisqu’on ne peut pas faire autrement ! Mais je ne vais pas en dormir de la nuit.
– Je sais ! Parfois on fait des choses qui ne sont pas toujours très jolies, j’ai bien laissé Kinsky se faire assassiner.
– Oui, bon, j’ai dit que j’étais d’accord… S’énerve-t-elle.
– Et donc combien de temps ?
– Il va durer deux jours, peut-être moins.

Laburo est mort au bout de deux jours, il avait la peau dure; j’ai pris en charge le corps et l’ai fait incinérer.

Gundula a mal vécu cet épisode, elle m’a fait la tronche et s’est éloignée de moi. J’ai demandé des nouvelles, elle m’a répondu assez sèchement qu’elle s’amuse très bien avec Tallulah. Tant mieux pour elles.

Je me sens un peu dans le mou. J’ai proposé à Nerren de passer à la maison, afin de boire un coup… et plus si les circonstances s’y prêtent…

Une heure avant qu’il arrive, je reçois un message de Gundula, qui me demande si elle peut passer en compagnie de Tallulah. Voilà qui contrarie mes plans, mais je n’ai pas envie de me défiler, cela ne simplifierait pas nos rapports.

Je crois comprendre le but de sa visite, il me parait évident qu’elle souhaite se rabibocher. Quant à Tallulah elle est là pour faire tampon et éviter que l’on s’engueule. Classique !

Alors est-ce que je vais dire à Nerren de reporter. Non !

Les deux filles arrivent. Bisous, bisous.

– J’ai été un peu vache avec toi ! Commence Gundula.
– Je ne t’ai pas demandé une chose facile !
– Je t’en ai voulu de m’avoir fait faire ça, mais maintenant avec un peu de recul, je me dis que je ne peux pas te donner tort !
– Alors tout va bien ! Bisous ?

C’est ce qui s’appelle un désamorçage de crise express !

Gundula me fait un bisou qui se transforme vite en patin et en profite pour me toucher la braguette. Ah, bon ? Ça devait faire partie du plan de réconciliation !

– Vous n’êtes plus fâchés, alors ? Demande Tallulah en me tripotant les tétons à travers ma chemise.

Bon comment vais-je pouvoir résister à ces deux nymphomanes ? D’ailleurs ais-je vraiment envie de résister ? Sauf qu’il y a un élément qu’elles ignorent…

– Euh, les filles, vous faites ce que vous voulez, mais je dois quand même vous prévenir que Nerren devrait arriver d’un moment à l’autre.
– Ah ? Vous vouliez faire des choses entre garçons ? Demande Gundula.
– Je lui ai dit de passer pour boire un coup…
– On dit ça, on dit ça… On ne peut pas rester alors ?
– Mais bien sûr que si !
– Si vous vous faites des trucs, on pourra regarder ? Reprend Gundula.

La conversation n’est pas trop facile, ces deux coquines s’évertuant à mettre leur petites mains partout !

– Bon les filles, on va peut-être l’attendre, on fera des bêtises après !
– On ne fait pas des bêtises, on fait des caresses.

On sonne ! Je vérifie dans le vidéophone la tronche du visiteur, n’ayant pas envie d’ouvrir au grand méchant loup ! Mais c’est évidemment Nerren.

– Bonjour tout le monde !

Bisous, bisous une fois de plus, il est un peu surpris de voir les filles, mais que voudriez-vous qu’il fasse, il ne va quand même pas se sauver en courant.

Je sers à boire. Watchibole pour tout le monde ! On trinque, on boit.

– Ma copine aimerait bien vous voir faire du sexe tous les deux ! Déclare Gundula sans autre préambule.

Décidemment elle devient de plus en plus délurée la petite infirmière !

– Qu’est-ce que tu en penses, Ajas ? Me demande Nerren.
– Ben…
– On ne peut pas refuser une telle chose à une si belle femme ! Ajoute-il.

S’il s’y met aussi, je n’ai plus qu’à m’incliner (au sens figuré, du moins pour l’instant)

– Alors dégage-moi ta bite que je te la suce ! Répondis-je.

Il le fait et sort de sa braguette une bite demi-molle que je m’apprête déjà à mettre en bouche.

– Pas comme ça les garçons, pas comme ça ! Intervient Tallulah.
– Ben quoi ?
– Vous croyez que c’est esthétique ? Mettez-vous plutôt à poil ce sera plus sympa.

« Ce que femme veut ne saurait nuire à la queue ! » disait Confuquisus

On se dessape donc. Mais j’interpelle les filles !

– Dites donc vous pourriez vous déshabillez aussi, ça aussi ce sera sympa.
– On ne va pas tarder à le faire ! Répond Gundula. N’est-ce pas Tallulah ?
– Mais bien sûr ma chérie.

On peut donc passer aux travaux pratiques. La bite de Nerren, je la connais par cœur, mais c’est un plaisir toujours renouvelé de sucer cette bonne bite. Ce gros coquin, a pris la précaution de ne pas prendre de douche avant de venir, j’ai horreur des bites qui sentent la savonnette. Là elle a un petit goût musquée, juste ce qu’il faut !

– T’aimes ça la bite, hein gros cochon ! M’apostrophe Tallulah.

Ben oui, j’aime ça, mais je ne vais pas répondre, j’ai la bouche pleine. Et pour l’instant je me régale, je lèche, je pourlèche, je suce. Ma langue voltige et se faufile partout, le gland, la hampe et les bourses.

Stoffer317– Tu suces trop bien ! Me complimente Nerren.
– Humpf, humpf !

Ben oui, en principe ce qu’on aime faire, on le fait bien !

– Il va t’enculer, maintenant ? Demande Tallulah.
– Bonne idée ! Répondis-je sans ambages

Je me mets en position, Nerren vient me lécher la rondelle, il adore ça et moi aussi. Puis au bout de quelques instants je sens son gland quémander l’entrée de mon trou intime, Une petite poussée et ça entre. Il n’a plus qu’à faire pistonner son chibre tandis que je me pâme déjà de plaisir.

Les deux coquines se déshabillent comme des sauvages en profitant du spectacle… et ça se pelote, ça se caresse, ça se bécote. De vraie furies.

Au bout d’environ dix minutes, je dis environ parce qu’il est toujours difficile d’évaluer le temps en de telles circonstances, Nerren prend son pied et jute son foutre dans mon conduit anal. Il se retire, et la folie sexuelle atteint alors son paroxysme, Gundula vient lui nettoyer la bite, tandis que Tallulah vient lécher le sperme qui s’évacue de mon anus.

Puis les deux femmes s’embrassent comme des goulues en se tripotant partout et finissent par atterrir ensemble sur le canapé où elles entament un soixante-neuf frénétique.

Et moi ? Je n’ai pas joui. Nerren me propose sa main gentiment, mais j’ai préféré temporiser.

Quand les deux femmes eurent terminées leur petites affaires, j’ai fait un petit signe à Gundula, qui comprit le message et c’est dans sa bouche que j’ai libéré ma jouissance.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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