Eros Cosmos

Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:51

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 10 – Sierra introuvable par Nicolas Solovionni
stamp transblack

Inutile d’aller à ce bordel en délégation, je propose à mon staff de réintégrer le vaisseau et me rends à l’Aquarium accompagné uniquement de Dilos.

Nous sommes accueillis par une mémère qui ne doit plus compter ses heures de vol.

– Bonjour mes beaux inconnus, je vais faire descendre ces dames !

Trois nanas assez affriolantes et peu vêtues déboulent en rivalisant de sourires aguicheurs. Le souci c’est que je ne vois pas Sierra.

– Il y aussi Vidia, mais elle est occupée.
– C’est une trans ?
– Non, vous auriez voulu une trans ?
– Oui.
– Pour un plan à trois ?
– Vous avez tout compris !
– Vous tombez mal, on n’en a pas en ce moment.
– L’un de mes amis m’avait pourtant vanté les mérites d’une jolie trans brune à la peau mate
– Ornella ?
– Je ne connais pas son prénom, mais j’ai une photo

Et je lui présente une belle image d’elle, stockée sur mon spacephone.

– C’est bien cette salope, vous ne risquez pas de la trouver…
– Il lui est arrivée quelque chose ?
– Je l’ai acheté une blinde, je croyais faire une affaire, pensez donc, toujours à rechigner et à bâcler le travail. Votre ami qui vous l’a recommandé s’est bien foutu de vous !
– Et elle est où ?
– Laissez tomber, alors laquelle de ces filles vous branche ?
– Si vous me dites où est passée Sierra, nous allons monter avec cette charmante blonde
– Sierra ?
– Ornella si vous préférez
– Elle est dans la nature.
– Pardon ?
– Ben oui, elle s’est évadée.

Oups !

Je me suis donc senti obligé de monter avec cette blondinette mature prénommée Helga, laissant Dilos réintégrer le vaisseau.

– Alors mon chéri, tu veux du classique ou des petites spécialités ?
– Les spécialités, j’aime bien.
– Oh ! Tu es un petit cochon toi ! Les petites misères tu aimes ?
– Oui !
– Je vais te gâter alors. Fout toi à poil.

Je me déshabille. Helga me demande si je veux voir ses seins. Bien sûr que je veux voir ses seins ! Quelle question idiote !

Ils sont très beaux ses nénés, bien ronds avec de larges aréoles.

– Reste debout face à moi, petit vicieux.

Et la voilà qui m’accroche des pinces sur les tétons. Ça fait mal mais ça fait du bien ! Elle s’apprête à m’en fixer sur les couilles, je proteste.

– Laisse-moi faire, je suis une pro ! Rétorque-t-elle.

Si elle le dit… n’empêche que ça fait mal… mais je supporte.

– Et maintenant on va fouetter le cul de ce vilain garçon ! Tourne toi esclave.

Mais c’est qu’elle tape un peu fort la madame, j’aime bien mais je voudrais bien que ça s’arrête (comment ça je suis compliqué ?)

Je dois avoir le cul rouge comme un kilo de cerises.

– Et maintenant tu vas boire ma pisse, allonge-toi par terre !

On y va, on y va !

– J’en ai pas beaucoup. Me dit-elle je viens de pisser sur un client, je lui ai même chier dessus, mais il n’a pas voulu me nettoyer le cul. Tu auras donc cet honneur.

Tu parles d’un honneur !

J’ouvre la bouche, effectivement il n’y avait pas grand-chose, mais à la limite c’est aussi bien comme ça, quand il y en a trop, c’est pas évident à gérer. Elle m’a ensuite présenté son cul, certes il n’est pas essuyé mais ça n’a rien de catastrophique non plus. Je lèche tout ça, l’excitation ça fait faire de ces choses parfois !

– Et maintenant en levrette que je te défonce le cul.

Helga s’harnache d’un gode ceinture et me défonce la rondelle avec énergie.

– T’aimes te faire enculer, hein mon salaud !
– J’avoue !
– La prochaine fois, prends rendez-vous on se fera un truc à trois. Branle-toi maintenant.

C’est ce que j’ai fait, et en me rhabillant je l’ai questionné sur Sierra

Elle est gentille, Helga, mais ne m’a pas appris grand-chose.

– Pas très causante, pas mal tête de lard. Elle a disparue du jour au lendemain, la patronne était furieuse.

Me voilà bien avancé. Sierra peut être maintenant n’importe où. Cachée quelque part sur la planète ou partie en tant que passagère sur n’importe quel vaisseau. Je ne peux même pas vérifier cette dernière hypothèse, les accès des personnes au cosmodrome local n’étant pas enregistrés.

Alors, je fais quoi ?

On se concerte et on décide d’attendre quelques jours. En fait on espère, si toutefois elle est encore là, qu’elle découvrira que nous sommes à sa recherche. L’espoir fait vivre, non ?

On s’est dispersé, photo de Sierra en main et on a interrogé un tas de monde .. pour des prunes ..

Sierra (flashback)

Depuis qu’elle est dans ce bordel miteux, Sierra n’a qu’une idée en tête, s’évader. Elle se confie à Helga.

– Et tu irais où ?
– J’en sais rien
– Alors laisse tomber et prends ton mal en patience, on n’est pas si mal ici !

Et puis un jour…

– On va avoir la visite du capitaine Sanderson, c’est une personnalité. Indique la maquerelle. Il aime bien les trans, alors tu as intérêt à assumer sinon c’est la grosse punition !

Alors Sierra accepta de jouer le jeu, uniquement pour échapper à cette punition

– Alors beau capitaine, on aime bien les femmes à bites ?
– J’adore !
– Alors j’espère que tu vas m’adorer ! Répond la jolie trans en découvrant ses seins. Ils te plaisent. ?
– Beaucoup, mais montre-moi ce que tu as entre les jambes.
– C’est prévu ! Hop ! Elle te plaît ?
– J’en ai l’eau à la bouche !

Et Sanderson s’empare de l’organe ainsi exposé afin de le caresser, puis il se baisse afin de le prendre en bouche.

– Hum, c’est une bonne bite, ça !
– Hé !
– Tu veux me baiser ?
– Bien sûr.

Sierra se retourne offrant des jolies fesses au membre du capitaine.

– Non pas encore, suce-moi un peu avant !
– Avec plaisir. Oh la jolie bite !

Sierra mis alors en œuvre tout son savoir en matière de fellation afin de contenter pleinement son client..

stoffer510– Hum, tu suce trop bien toi !
– Qu’est-ce que tu crois, je suis une spécialiste.
– Allez, maintenant je t’encule !
– Avec grand plaisir, cher monsieur.

L’affaire fut rapidement conclue. Le capitaine était du genre gentleman, doux et prévenant. La prestation terminée, au lieu de courir se rhabiller, il se mit à caresser Sierra avec douceur et décontraction.

– T’es super toi !
– Merci, si tu veux profiter de moi davantage, emmène-moi sur ton vaisseau.
– Hein ? Tu n’es pas bien ici ?
– Je n’aime pas qu’on me force, je veux bien faire la pute, mais librement.
– C’est tentant mais je ne veux pas me fâcher avec Madame
– Elle n’en saura rien
– Admettons que je t’emmène, je te dépose où ?
– Tu vas où ?
– Sur Vargala !
– Eh bien tu me déposeras sur Vargala ! Ça marche ?

Sanderson se mit à réfléchir, à peser le pour et le contre avant de rendre sa décision.

– Retrouve moi à minuit, heure locale dans le vieux hall du cosmodrome.

Fin du flash-back

Alors évidemment dans ces conditions, comment voudriez-vous que je la retrouve ?

Nous avons galéré une dizaine de jours… en vain

Dyane eut alors l’idée de se rendre à la tour de contrôle, les décollages de vaisseaux y étant théoriquement enregistrés de façon automatique.

Le préposé accepta de montrer les enregistrements contre un peu de monnaie.

– Sept vaisseaux en quinze jours, ce n’est pas beaucoup mais c’est encore de trop, ça devient une mission impossible. Admit Dyane
– On laisse tomber, on a fait ce qu’on a pu.
– Tu les connais ces vaisseaux ?

Je regarde la base de données sur mon spacephone afin de trouver les noms des capitaines.

– Je ne les connais pas tous. Valliez, Sanderson… ça me dit quelque chose mais ça ne nous avance pas plus. Pister sept vaisseaux alors qu’on ne connaît pas leur destinations et alors qu’il n’est même pas sûr qu’elle ait embarqué…
– Espérons qu’elle s’en sera sortie ! On fait quoi, on rentre au bercail ? Demanda Dyane.
– Je retournerais bien juste un peu sur Idoxa afin de raconter tout ça à la Duchesse, ne serait-ce que par politesse.
– Par politesse ! Dis*moi plutôt qu’elle t’excite, hein ?
– Un peu, j’avoue !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:49

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 9 – En route pour Mabilla par Nicolas Solovionni
Solo

Une nouvelle fois la duchesse me convoque et cette fois me laissa entendre que Dyane serait également la bienvenue.

Elle est magnifique, nous recevant simplement vêtue d’un bustier noir laissant dégarnie ses interminables jambes.

– Je me suis bien amusée, Fitoussi a été victime d’un fâcheux incident qui lui a coûté la vie, c’est Grunberg qui le remplace, il ne va pas durer longtemps, pas assez de couilles. Et je peux le neutraliser quand je veux

J’ai un peu de mal à suivre mais je n’en dis mot.

– Autrement dit, tu peux maintenant faire ton boulot tranquille, personne ne viendra t’emmerder .
– Je dois te remercier…
– Mais non, ça m’a distrait. Vous n’avez plus qu’à attendre le retour de leur vaisseau pourri. A ce moment-là, je ferais ce qu’il faut pour qu’on ne vous réponde pas n’importe quoi.
– Je vous en remercie.
– En attendant il faudra passer le temps, venez donc près de moi tous les deux, j’ai besoin d’un moment de tendresse.

Elle s’assoit dans un grand fauteuil et tend ses longues jambes.

– J’ai envie qu’on me lèche les pieds, vous n’avez rien contre ?

Ben non, je n’ai rien contre même si ce n’est pas vraiment ma tasse de thé, mais d’une part il faut bien admettre que ses pieds sont fort jolis, et d’autre par ce petit jeu me semble un prélude comme un autre à des choses plus torrides. Donc on s’apprête à le faire mais la duchesse nous stoppe.

Mais non mes chéris, vous allez vous déshabiller d’abord ce sera plus cool.

Stoffer509Alors d’accord, on se met à poil et on commence à lécher les jolis pieds de la madame.

Mais voilà que je reçois un coup de martinet sur les fesses. Qu’est-ce que c’est ? C’est Swan que je n’avais pas vu arriver, il est là, la bite à l’air et nous cravache au martinet (modérément) sans doute pour nous stimuler.

Je commence à prendre gout à ce léchage de pied suçant le gros orteil comme s’il s’agissait une bite trapue.

Derrière moi, Swan a stoppé ses coups de martinet et se met à me tripoter mon trou de balle un peu la langue, un peu les doigts. Qu’il continue, j’adore ça ! Et puis tout d’un coup, je sens quelque chose de plus consistant qui veut entrer. Il m’encule ou quoi ? Un coup d’œil sur ma gauche Dyane est en train de subir le même sort que moi, Swan avait un gode dans chaque main et maintenant nous avons tous les deux un gode dans le cul, il les fait aller et venir après avoir actionné le vibrateur intégré, ça me fait un bien fou évidemment. Pareil pour Dyane qui commence à pousser des petits cris de plaisir.

– T’aimes ça, hein ? Me nargue la Duchesse.
– Ouiiiii !
– Mais je suis sûre que tu préférerais une vrai bite ?
– Tant qu’à faire !
– Vas-y Swan, baise-le, puisqu’il aime tellement ça ! Et moi j’adore regarder deux hommes qui s’enculent, ça m’excite tellement ! Dyane tu vas venir me brouter la chatte pendant que je les regarde.

Swan me donne d’abord sa belle bite à sucer. C’est pour moi toujours un plaisir que d’avoir un beau membre bien raide dans ma bouche gourmande (mais de ça, les lecteurs le savent déjà !)

Je lèche consciencieusement agissant de la langue et des lèvres et je bande comme un cochon.

– Tu l’as assez sucé, donne-lui ton cul maintenant !

Je le fais, j’écarte les fesses et le laisse faire. Sa bite me pénètre tout entière puis entame une série de va et vient, je suis aux anges

Quant à la duchesse, elle est aux prises avec la langue experte de Dyane et jappe comme une minette en chaleur en se titillant ses jolis tétons.

Swan s’excite derrière moi me pilonnant mon trou du cul de plus en plus vite. Je présume qu’il est près de jouir.

Et ça y est, le pâtre grec décharge en rugissant, un peu rapide le mec ! Il décule et le donne sa bite visqueuse à nettoyer. Monsieur est trop bon !

Pendant ce temps-là Duchesse nous fait des orgasmes à répétition…

Je ne sais pas quoi faire de ma queue. Alors je me branle en regardant les deux nanas.

– Jute moi dessus ! Me demande la Duchesse

Voilà qui n’est pas un problème, je m’avance et me termine, notre hôtesse en reçoit partout, sur les seins et sur le visage. Dyane est invitée à nettoyer tout ça, tâche dont elle s’acquitte avec plaisir.

La duchesse a demandé à la capitainerie de la prévenir dès que le Kertgulm reviendrait..

Et c’est donc ce qui se passa quelques semaines plus tard.

La duchesse entre alors en contact avec le capitaine Bhaduri commandant du Kertgulm.

– Bonjour Capitaine, je tenais à vous informer qu’il y a eu quelques changements ici. Benito Fitoussi a succombé à une mauvaise fièvre et j’ai récupéré une partie de ses activités.
– Ah ? Vous savez les affaires internes de la planète…
– Vous vous en fichez ?
– Un peu, oui, je ne suis qu’un transporteur, et un transporteur ça transporte, alors que ce soit Fitoussi ou un autre.
– Eh bien, passez donc me voir avec votre subrécargue dès votre arrivée, nous ferons mieux connaissance.

La duchesse m’avait également convoqué, j’allais donc enfin savoir où était passée Sierra.

Les deux cosmonautes sont invités à s’assoir, on leur sert un café.

– Je n’irais pas par quatre chemin, commence la duchesse, vous avez embarqué contre son gré une personne transsexuelle, qu’en avait vous fait ?
– On nous a dit qu’elle était légèrement souffrante et qu’elle était sous la protection de monsieur Grunberg. Répond le subrécargue.
– Vous ne répondez pas à la question !
– Monsieur Fitoussi nous avait demandé de la présenter à un monsieur Guillodon sur Mabilla.
– Et ensuite?
– Ben on a fait la transaction, c’est tout .
– Il en a fait quoi ce Guillodon ?
– Mais je n’en sais rien.
– Je suppose qu’il y a un bordel sur Mabilla ?
– Oui.
– Et ce Guillodon en est le propriétaire ?
– Non, pas du tout, la proprio, je la connais
– Mais il travaille pour elle ?
– Disons qu’ils se connaissent.
– Donc Sierra pourrait avoir atterri dans ce bordel.
– Ça paraît possible !
– Bon, capitaine vous avez d’autres questions ?

J’ai simplement demandé aux deux types quelques précisions sur cette planète Mabilla que je ne connaissais pas…

La duchesse me passe un petit papier.

« Tu vas aller là-bas, je suppose ? »

J’opine du chef.

– Bien, messieurs, reprit la comtesse, nous avons appris ce que nous voulions savoir. Il vous est interdit de reprendre l’espace avant 15 jours. Rompez !
– Mais !
– Taisez-vous, vous vous en tirez très bien, le trafic d’êtres humains constitue un délit plutôt sévèrement puni, savez-vous?

Pourquoi ces 15 jours de quarantaine ? C’est tout simple, ils ne faudrait pas que Bhaduri atterrisse avant moi sur Mabilla et fasse en sorte de faire dissimuler Sierra !

Nous avons débarqué Romani qui ne nous sert plus à rien et nous revoilà partis, direction Mabilla donc, heureusement que j’ai du fric parce que ça commence à couter cher en carburant toutes ces petites balades !

L’arrivé sur Mabilla après 15 jours de navigation est plutôt cool, un robot (je suppose) nous indique une aire d’atterrissage. On descend. Pas de formalités, pas de contrôle, il y a bien un hall de sortie mais il pue la crasse, c’est donc « entrée libre » sur cette planète ! Je l’ignorais !

La configuration du lieu est un peu la même que dans beaucoup de ces petites colonies, quelques bâtiments à la sortie du cosmodrome (en fait je ne vois qu’un hôtel), la ville étant un kilomètre plus loin.

On entre dans cet hôtel afin d’y boire un coup, une accorte soubrette au décolleté de compétition nous fait le service en nous gratifiant d’un sourire format commercial. J’y vais au culot,

– On cherche à s’amuser un peu, il y a quoi dans le coin ?
– Pas grand-chose, une salle de jeu, un salon de massage .
– Un bordel ?
– Oui, L’aquarium, il est surtout fréquenté par les pêcheurs de perles…
– Les pêcheurs de perles ?
– Ben oui, les Sphères de Mabilla ! Vous n’allez pas le dire que vous ne connaissez pas ?
– Si, si bien sûr.

Il s’agit de grosses perles nacrées très dangereuses à pêcher et qui se monnayent à prix d’or (voir l’Odyssée de Zarouny du même auteur) mais nous ne sommes pas venues pour ça.

– Ici ce n’est pas un bordel, mais si je vous plais je peux toujours faire un extra !
– Pas aujourd’hui mais c’est promis je repasserais vous faire un bisou
– Vous ne je regretterez pas !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:46

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 8 – Intrigues sur Idoxa par Nicolas Solovionni
Solo

Où peut donc être passée Sierra ? Le cosmodrome d’Idoxa constitue éventuellement une autre piste, j’envoie Dyane en mission à la capitainerie, elle sait très bien faire.

Elle s’y rend en arborant un décolleté de compétition.

– On a raté un rendez-vous avec un vaisseau… on était très en retard…
– C’est gentil de me raconter votre vie, mais vous voulez quoi ? Demande le capitaine Roller.
– La liste des vaisseaux qui viennent de partir
– Je ne suis pas autorisé à vous fournir ce genre de renseignements.
– On ne peut vraiment pas s’arranger ?
– Je suis incorruptible. Répond-il avec morgue.
– Je ne pensais pas à de l’argent.
– A quoi alors ?
– Je vois que vous reluquez mon décolleté.
– Evidemment, on ne voit que ça. C’est indécent !
– Vous pourriez le voir mieux… ça ne vous tente pas ?
– Vous êtes gonflée, vous !
– Moi, je ne trouve pas. Alors ?
– Ben alors je ne suis pas de bois…
– Je me disais aussi…
– Alors d’accord, montrez-moi vos nichons !

Dyane se dépoitraille devant les yeux concupiscant du fonctionnaire local. Elle suce ensuite son doigt et vient humecter ses tétons.

– Vous n’avez pas froid aux yeux, vous !
– Aux seins non plus !
– Je peux toucher ? Demande-t-il plein d’espoir
– Mais bien sûr mon cher !

Il ne s’en prive pas il caresse, il malaxe il n’en peut plus.

– Les embrasser ? Je peux ?
– Bien sûr, mais soyez doux !

L’homme s’enhardit et après quelques bisous sur l’arrondi du sein il pose sa langue sur les tétons et tète comme un bébé glouton.

– Maintenant, racontez-moi
– Vous savez, il n’y a pas beaucoup de trafic ici, le Kertgulm a décollé hier.
– Pour où ?
– Ne soyez pas naïve, on leur demande de nous indiquer leur destination, mais ils peuvent répondre m’importe quoi ! Qui ira vérifier ?
– Et ils ont indiqué quoi ?
– Attendez, je regarde… Mabilla
– C’est pas très loin…
– Non, c’est leur destination habituelle.
– O.K. je suppose que vous relevez les identités des gens qui embarquent.
– Ben oui, c’est la procédure, c’est automatique ils passent dans le sas d’embarquement et leur identité est scannée.
– Et vous conservez l’image ?
– Ben oui, c’est la procédure… comme un peu partout.
– Je pourrais voir l’image de l’embarquement de ce vaisseau ?
– Non, là, je ne peux pas, vous en demandez trop !
– Ce n’est pourtant pas grand-chose.
– J’ai dit non.
– Et pour que vous disiez oui, vous aimeriez quoi ?
– Je n’ose même pas vous le dire ! Soupire-t-il

A ce stade de la conversation, le fonctionnaire aurait du mettre fin à l’entretien, mais il ne le fait pas. Dyane devine son manège.

– Cochon !
– Je n’ai rien dit ..Se défend le type
– Mais je lis dans vos pensées.
– Ce ne doit pas être joli.
– Mais si. Précisez-moi ce qui vous ferait plaisir.
– Vous êtes diabolique, vous me faire bander…
– Et vous aimeriez que je m’occupe un peu de vote bite ?
– Ce ne serait pas de refus.
– Sortez-moi tout ça je vais vous faire une bonne branlette.
– Une pipe, ce n’est pas possible ?
– Vous êtes gourmand, vous !
– Vous me demandez beaucoup, et moi je ne vous demande pas grand-chose.
– C’est une façon de voir les choses. Bon mais c’est d’accord je vous branle et je vous finirais à la bouche.

Stoffer508L’homme sort son attirail, une jolie bite que Dyane a la faiblesse de trouver appétissante (Comment ça c’est une salope ? Non c’est une belle coquine qui aime le sexe… et elle a bien raison !)

Et cette jolie bite, elle la branle de la main droite du bout des doigts en cadence tandis que de la main gauche elle se caresse le sein.

– Ça vient, ça vient… Suce maintenant !

Elle porte alors le sexe à la bouche.

– Pas trop vite ! Supplie l’homme.
– Liasse-moi faire mon biquet ! Lui répond-elle.

Et tandis qu’elle opère une fellation savante, son doigt passe en dessous des testicules, vient titiller l’anus et s’y enfonce allègrement Et le type jouit dans un râle inondant la bouche de Dyane qui avale tout.

– Hum, c’est pas mauvais tout ça !
– T’est vraiment une pro toi !
– N’est-ce pas !

Dyane put donc visionner la courte bande vidéo annotée des identités des embarqués.

Sierra ne s’est évidemment jamais appelé Sierra, mais la bande la montre sans équivoque sous son capuchon, elle semble groggy et est soutenue par un gros bras.

– Ce vaisseau, il reste longtemps absent ?
– Non, c’est une navette. Et les navettes, c’est comme les bites, ça va ça vient !

Dyane fait semblant de trouver sa sortie très drôle et rigole avec lui avant de le quitter et de venir me rendre compte de sa mission

– T’as réussi ?
– Complétement mais il a fallu que je suce le mec !
– C’était une corvée ?
– Non, il avait une jolie bite, elle t’aurait plu !
– Alors raconte !
– Sierra a embarqué, le souci c’est qu’on est absolument pas sûr de sa destination…
– On va jamais s’en sortir…
– Attends, le vaisseau est une navette, il suffit d’attendre qu’il revienne et d’interroger l’équipage !
– Hum, et on fait quoi en attendant ?
– On cherche le collier
– Tu parles, on n’a plus de piste !
– Pas grave, on jouera aux cartes

Roller qui n’est pas avare de scrupules téléphone à Fitoussi.

– J’ai eu la visite d’une nana qui est la seconde de Stoffer, le capitaine du Rosamonda, elle voulait des renseignements sur le Kertgulm, je ne lui ai rien dit évidemment…
– Stoffer ? Il est décidemment trop curieux ce mec, on va s’occuper de lui.

Et sans attendre, Grunberg se rend au « Bar des nuages » dans lequel quelques-uns de ses acolytes y sont attablés

– Bon c’est très simple, si Stoffer ou l’un de ses copains se pointent ici, vous lui faites sa fête, mais sans le tuer, vous le descendez à la cave, ensuite vous m’appelez et je lui viendrais lui expliquer ma façon de penser.

Klovkiski qui tapait le carton dans son coin a tout entendu et s’empresse de rapporter ces faits à la duchesse.

Du coup, elle me convoque. J’y vais seul.

– Voilà, Klovkiski va vous répéter ce qu’il a entendu…

J’écoute et c’est édifiant, ça veut dire que le mec de la capitainerie a bavé. Dyane va être furieuse !

– Vous m’expliquez un peu ? Demande la Duchesse.
– Ils ont enlevé Sierra
– Oh, la pauvre, une si délicate personne !
– Je ne vous le fais pas dire.
– Je peux régler ça, depuis le temps que j’attendais une occasion, laissez-moi faire, je vous tiendrais au courant, mais en attendant restez consigné dans votre vaisseau en prenant des tours de garde ! Ça risque d’être chaud !

C’est d’un gai !

Le duchesse téléphone à Fitoussi.

– Faudrait qu’on se voie !
– Je n’en vois pas la nécessité..
– Moi je la vois. Si tu veux qu’on rallume la guerre des gangs, libre à toi, mais on peut sans doute éviter ça et pour l’éviter, ben faut qu’on cause.
– Bon, j’arrive dans vingt minutes..

Benito Fitoussi est dans ses petits souliers, il sait l’influence de la duchesse dans la ville, mais peut-être se dit-il « est-ce là l’occasion de renégocier les pouvoirs de chacun. »

– Bien, on ne va pas tourner autour du pot, on a défini il y a quelques temps nos limites respectives. Commence la Duchesse..
– Oui, et alors ?
– Alors cet accord ne vous autorisait pas à procéder à un enlèvement…
– On n’a enlevé personne.
– Bon, ça va, jouons cartes sur table, sinon on ne va jamais y arriver.
– S’il y a eu un enlèvement ce n’est pas de notre fait.
– Et c’est le fait de qui ?
– Faut que je me renseigne.
– Bon puisque vous faites la tête de lard on va faire autrement, je vous donne 24 heures pour me dire comment vous pouvez annuler cet enlèvement…
– C’est un ultimatum ?
– Absolument.
– Et sinon ?
– Sinon, je fais sonner la cavalerie. A demain monsieur, la sortie, c’est juste derrière vous !

Fitoussi n’en mène pas large. En fait il n’a que deux solutions, la première serait de mettre sa fierté au vestiaire et de faire libérer Sierra, l’inconvénient c’est qu’il risque de passer pour un dégonflé vis-à-vis de ses hommes. Le seconde est de faire front et d’accepter la bagarre. Or dans ce genre de confrontation, l’attaquant bénéficie toujours d’un avantage théorique… encore faut-il être prêt, ce qui n’est pas vraiment le cas.

Il cherche après Grunberg son fidèle lieutenant afin qu’ils examinent ensemble la situation. Son spacephone ne répond pas, il va donc voir chez lui, tambourine à la porte comme un beau diable sans obtenir de réponse.

Une jolie dame aux seins généreux, occupant la chambre voisine, alertée par le bruit sort sur le palier.

– C’est pas un peu fini, ce raffut… Oh pardon patron, je ne vous avais pas reconnu, vous cherchez monsieur Grunberg ?
– Très perspicace ! Il lui est arrivé quelque chose ?
– Non, il est simplement bourré comme une barrique

« Quand ça va mal, ça va mal ! »

Et cette nuit-là, Benito Fitoussi dormit très mal !

Au petit matin il s’en alla réveiller Grunberg qui consentit à se lever, la gueule enfarinée.

Fitoussi lui résuma la situation…

– On ne va pas tout de même pas s’abaisser à annuler la vente du travelo ?. S’indigne Grunberg
– Et pourquoi donc ?
– C’est une question d’honneur et de principe !
– N’importe quoi.

En fait c’était surtout une question d’argent, Mais Grunberg n’allait pas raconter à son chef qu’il avait touché un substantiel dessous de table pour cette transaction.

– Tu sais, reprit Fitoussi, j’ai bien envie de me passer de ton avis !
– Tu vas perdre ton autorité, les gars vont prendre ça pour une reculade, et d’ailleurs ils n’auront pas tort, c’est une reculade.
– Et tu proposes quoi, gros malin ?
– Tu fais semblant d’accepter, tu lui expliques qu’il faut faire avec le délai de retour et tout ça… Et pendant ce temps-là on prépare une opération pour neutraliser cette Duchesse de mes deux !

La situation sembla convenir à Fitoussi qui téléphona à La duchesse.

– Bon, c’est effectivement l’un de mes hommes qui a pris cette initiative malheureuse, on va faire rapatrier la personne mais ça ne va pas être simple, il fait attendre le retour de la navette, puis lui donner les instructions pour la récupération, puis revenir. Ça va prendre du temps.

« Il me prend pour une conne ! Se dit la Duchesse il cherche à gagner du temps… mais il ne sait pas à qui il a affaire. »

– C’est qui ce type qui aurait pris cette initiative malheureuse ?
– L’un de mes hommes, mais on lavera notre linge sale en famille.
– Et de quelle façon ?
– Je n’y a pas réfléchi.
– Alors livre le moi !
– Mais voyons, Duchesse !
– Ce n’est pas négociable, si tu veux que j’accepte ton plan tu dois me livrer ce type.
– Et sinon ?
– Sinon, c’est la guerre !
– Salope ! S’écria Fitoussi en raccrochant brutalement.

N’empêche que l’esprit d’escalier fit rapidement son travail. Et même que Fitoussi se dit que l’idée d’éliminer Grunberg, surtout dans ce contexte n’avait pas que des inconvénients. Déjà il se débarrassait d’un rival potentiel de plus en plus arrogant, ensuite cela contribuerait à cimenter sa bande qui projetterait toute sa haine contre la duchesse.

– Grunberg, la duchesse souhaite que je m’engage par écrit. Ça ne mange pas de pain et un bout de papier ce n’est qu’un bout de papier. Tu vas donc aller lui porter…
– Et Oh ! On n’est plus au moyen âge ! Pourquoi ne pas faire ça avec le spacephone ?
– Cherche pas à comprendre, c’est une de ses lubies…
– Et pourquoi moi ?
– Tu es mon homme de confiance ou pas ? Et puis tu ne vas pas me dire qu’elle te fait peur ?
– Bon, bon.

Dans la foulée Fitoussi contacta de nouveau la Duchesse.

– Je vous dois des excuses, je me suis emporté tout à l’heure…
– Ça arrive à tout le monde. Et vous me rappelez pour quoi ?
– Je suis prêt à vous livrer Grunberg, c’est lui le responsable de l’enlèvement,
– Je m’en doutais un peu… et concrètement ?
– Il est en route pour chez vous avec un prétexte bidon. Eliminez-le rapidement, vous avez mon feu vert, il peut être dangereux.
– OK, on le descendra dès son arrivée.
– Euh, le cadavre ?
– On sait faire.

L’air de rien, Fitoussi glissa à l’oreille de quelques-uns de ses comparses que Grunberg était allé chez la Duchesse. Ainsi lorsque celui-ci aura disparu tout le monde saurait le nom de la responsable !

Et voilà donc Grunberg qui se présente chez la Duchesse.

– Voilà, monsieur Fitoussi m’a chargé de vous remettre ce message manuscrit.
– Entrez, je vais regarder ça.
– Non, non, je ne suis qu’un porteur.
– Vous n’êtes pas à cinq minutes, ce message demande peut-être une réponse. Entrez, je ne vais pas vous manger.

Il entre et est invité à s’asseoir .

– On dirait que l’ambiance est à la révolution de palais chez Fitoussi ! Attaque la Duchesse, c’est quoi ces histoires ?
– Pardon ?
– Je vais vous faire écouter un enregistrement, c’est assez court mais très édifiant.

Grunberg prend ainsi connaissance de la conversation entre Fitoussi et la Duchesse. Il devient livide et se lève de son siège.

– Le salaud ! Me faire ça à moi !
– Restez tranquille, je ne vous veux aucun mal…
– C’était donc un piège ?
– En quelque sorte. Mon intention était de redéfinir les règles de bonne conduite entre Fitoussi et moi. Vous comprendrez aisément que je n’ai aucune intention de traiter avec un individu qui a de tels comportements.
– Mais qu’allez-vous faire ?
– On va gommer Fitoussi du paysage et c’est toi qui vas t’en charger.
– Mais c’est impossible !
– Si c’est possible, voici une bague creuse avec un joli poison, tu lui verseras ça dans sa boisson…
– Mais il ne va rien comprendre quand il va me voir revenir…
– Mais si ! Voilà ce que tu devras dire. ..

Grunberg a conscience que cette mission est terriblement risquée mais il sait aussi qu’il vient miraculeusement d’échapper au pire… Et puis s’il réussit quelle promotion !.

Il se présente devant Fitoussi qui a un mal de chien à cacher sa stupéfaction.

– Tu n’es pas allé chez la duchesse ?
– Attends, elle est givrée cette bonne femme, j’étais à peine entré qu’un type me vise à bout portant, et là j’ai eu un bol incroyable, son arme s’est enrayée, je lui ai foutu un pain et j’ai détalé à toute vitesse..

Et tandis que Fitoussi se demande comment il va pouvoir rattraper le coup, Grunberg se saisit machinalement de deux verres qu’il remplit d’un alcool de fruit local (le Potenza) non sans avoir déversé le contenu de sa bague dans celui destiné à son chef .

– A notre santé !
– Comme tu dis !

Fitoussi bois et rapidement fait une vilaine grimace

– Qu’est ce qui m’arrive ?

Et il s’écroule raide mort.

Grunberg ameute le voisinage.

– Le boss nous a fait une attaque.

Quelques curieux viennent s’assurer que le mort est bien mort.

– Le pauvre, lui qui était si gentil…

Une réunion improvisée est organisée autour de Grunberg.

– Si personne n’a d’objections, c’est moi qui vais prendre la succession de Fitoussi, ça me semble tout naturel.

Il n’y eut aucune objection.

« Que faire maintenant se demanda-il. Prévenir La duchesse ? Pourquoi faire ? Je n’ai aucune confiance en elle et elle finira bien par apprendre que Fitoussi est mort (suivant ses instructions). Il faudra pourtant qu’on négocie .. mais sur quelle base ? D’autant que récupérer cette Sierra s’avère illusoire alors « wait ans see »… »

J’avoue pour ma part rencontrer quelques difficultés à m’y retrouver dans ce monde où les clans s’affrontent pour un lui ou pour un non.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:43

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 7 – Sierra envolée ! par Nicolas Solovionni

stamp transblack

Plus tard

De l’eau qui lui dégringole sur le visage, Sierra, la jolie transsexuelle, reste dans son rêve.

– J’aurais dû prendre un parapluie…
– Bon, tu ne vas pas roupiller toute la journée ! Lui gueule un bonhomme.

Sierra écarquille les yeux et reconnaît le type qui s’était assis devant elle au bistrot.

– Je suis où ?
– T’inquiètes pas ma poule, tu seras bien traitée !
– Mais je suis où, bordel ?
– Ben dans un bordel, justement.
– C’est très drôle, bon je me casse.

Sierra se précipite vers la porte qui refuse de s’ouvrir.

– Ben oui, faut un code !
– Et c’est quoi le code ?
– Tu ne crois tout de même pas que je vais te le donner ? Reviens ici, et calme-toi, on va discuter.

Par réflexe, Sierra cherche son sac à main, l’ouvre et constate que son Spacephone n’y est plus.

– Il est où mon Spacephone ?
– Quel spacephone ?
– Je voudrais comprendre ce qui se passe ?
– Il se passe que maintenant tu vas travailler pour nous, et ne te plains pas, tu seras nourrie, blanchie, logée, tout ce qu’on te demande en contrepartie c’est de faire plaisir à nos clients.
– Et vous ne me demandez pas mon avis ?
– Non !
– Libérez-moi où je fais un scandale
– Vas-y, fait un scandale, on va rigoler. On va te laisser te reposer un heure ou deux et ensuite on te fera faire un test.
– Un test de quoi ?
– Fais pas semblant de ne pas comprendre.

Le type quitte la salle laissant Sierra seule et désemparée. Par réflexe elle se précipite vers la porte, ça ne sert à rien, elle l’a déjà fait tout à l’heure mais un réflexe, c’est un réflexe !

Bien sûr elle ne voit pas bien comment se sortir de ce guêpier, il lui faut donc prendre son mal en patience et attendre une opportunité.

Une heure plus tard le type revenait accompagné d’un gros moustachu.

– Maintenant tu vas nous montrer ce que tu sais faire. T’as déjà fait la pute ?
– Non ! Mentit-elle.
– Je ne te crois pas.

Sierra comprend ce qu’on attend d’elle. Elle a le choix, saboter la prestation est une option qui risque de lui coûter un sale quart d’heure, en revanche coopérer peut éventuellement amener ses geôliers dans de bonnes dispositions, c’est donc ce qu’elle choisit de faire.

Grunberg, l’auteur de l’enlèvement, sort sa bite de sa braguette, le moustachu en fait autant.

– Avant toute chose, je veux te voir à poil !
– Vous n’allez pas être déçus ! Répond-elle en se débarrassant de ses vêtement.
– Hum, jolis nichons… tourne-toi que je vois ton cul… Oui pas mal ! Juge Grunberg.
– Et cette bite ! Ça c’est de la bite ! Ajoute le moustachu.
– Hi, hi, Petit cochon, tu aimerais bien la sucer, hein ?
– Branle-toi un peu qu’on voit comment elle quand elle bande.
– Si c’est toi qui me branle, ça ira plus vite ! Répond Sierra.

Le moustachu s’empare du membre et l’agite dans sa main jusqu’à ce qu’il soit en érection.

– Hum, j’ai envie de la sucer !
– Retiens-toi, on va faire le test numéro 1 Toi la fausse nana, tu vas nous montrer comment tu suces et ne t’avise pas de nous mordre, ça te couterait trop cher
– Mais oui mes chéris, je vais bien vous sucer, mais arrêtez donc d’être grognon comme ça avec moi, ça va me contrarier.

Grunberg ne répond pas mais avance sa grosse queue vers la bouche de Sierra qui gobe l’engin avant de s’appliquer à. faire une fellation en règle. Elle en profite pour lui masser les couilles

L’homme se retire un instant et s’adresse au moustachu.

Elle suce bien cette salope ! Allez, à ton tour et tu me diras ce que t’en penses !

Sierra suce donc cette seconde bite mais il faut croire que ce moustachu était un éjaculateur précoce puisqu’il lâcha sa purée trois minutes après. Elle se demande si elle doit avaler ou cracher.

– Avale, salope !

Alors elle avale.

– Je veux bien qu’on me traite de salope mais quand c’est dit avec tendresse. Je suis un être humain et pas votre serpillère.
– Ta gueule ! Tourne-toi je vais t’enculer ! Répond Grunberg
– Décidemment, vous être charmant ! Répond-elle avec agacement en se tournant néanmoins afin d’offrir son cul au bandit.
– Eh bien dis donc le passage est bien ouvert ! Tu as du t’en enfiler des kilomètres de bites.
– Et alors ?
– Alors ça veut dire que t’es une sacrée salope !
– Malpoli !

Grunberg ne répond pas et sodomise sans ménagement la belle Sierra qui attend que ça se passe sans broncher.

– Bon on va dire que le test est réussi, reste à effectuer la livraison ! Conclut Grunberg en s’essuyant la bite d’un geste machinal.
– Je peux lui sucer la bite, maintenant ! Intervient le moustachu !
– Bien sûr !

Stoffer507Je n’arrive pas à comprendre ce qui a pu se passer. Bien sûr Sierra a pu avoir envie d’aller voir ailleurs, mais dans ce cas elle n’aurait pas laissé son paquetage dans le vaisseau. Il s’agit donc d’autre chose.

Je me rends au poste de police local

– Elle est adulte, non ? Elle fait ce qu’elle veut !
– En laissant son paquetage, en ne répondant pas au téléphone ?
– Attendez une journée et si vous n’avez pas de nouvelles, revenez nous voir, on verra ce qu’on peut faire…

Autrement dit, ils s’en foutent !

De son côté, Grunberg, le type qui a enlevé Sierra jubile :

– On va en tirer un bon prix ! Confie-t-il à son comparse.

Quelques temps plus tard on demanda à Sierra de se revêtir d’un espèce de grand manteau dotée d’une large capuche. Elle fut ensuite emmené jusqu’au cosmodrome et poussée de force dans une cabine d’un vaisseau piteux.

– Vous m’emmenez où ?
– Faire un tour. Bois ça, c’est des vitamines, ça va te déstresser.
– Non merci.

Qu’à cela ne tienne on la fit boire de force. Et une heure plus tard Sierra à demi groggy, quittait la planète.

N’ayant pas grande confiance envers la police locale, je décide de mener mon enquête tout seul comme un grand.

Je me rends au « Bar de Nuages » puisque c’est le rade local le plus proche du cosmodrome et montre la photo de Sierra à un serveur.

– Jamais vu ! Répond ce dernier d’un air embarrassé.

Les autres serveurs n’ont rien vu non plus. Je ne sais trop où me renseigner quand un grand escogriffe me rejoint à l’extérieur

– Je peux vous donner un tuyau, mais c’est 100 balles.
– Tu sais qui je cherche au moins ?
– J’ai une bonne vue, j’ai vu la photo sur votre spacephone
– Bon alors accouche.
– 100 balles !
– J’espère que tu ne vas pas me la faire à l’envers
– Ce n’est pas mon genre, mais on va s’éloigner un peu, pas envie qu’on me voit.

On s’éloigne donc, on se met dans un petit coin, je reste sur mes gardes, on ne sait jamais à qui on a affaire.

– La fille voulait partir sans payer, il y a eu une bousculade et Grunberg l’a embarqué…
– Grunberg ?
– L’homme de main de Fitoussi
– Fitoussi ?
– Le gérant du bordel des roses.
– Hum, c’est tout ce que tu sais ?
– C’est déjà pas mal !
– Et à ton avis, elle est prisonnière là-bas ?
– Y’a des chances, mais ces mecs ne sont pas fous, ils ne vont pas la garder longtemps, ils vont la vendre, il y a des acheteurs pour ce genre de nanas.
– Des acheteurs où ça ?
– Y’a plein de demandes, y’a plein de planètes…

Manquait plus que ça ! Je fais comment maintenant ?

Je commence par aller faire un tour à ce fameux bordel. Décor kitch pour cet établissement modeste dans lequel je dénombre six filles faisant banquette.

– Alors mon prince, on vient faire des petites folies ?
– En fait j’aimerais bien une trans.
– Y’a Mimi mais elle est occupée.
– Je vais attendre.

Ils auraient donc affublé Sierra d’un nom de guerre. C’est dans la logique des choses après tout,

Je prends mon mal en patience dans un fauteuil qui aurait besoin d’une bonne restauration

Vingt minutes plus tard, un gigantesque travelo se pointe devant moi

– Alors mon chéri, tu m’attends ?
– T’es mignonne mais ce n’est pas toi que j’attends .
– Tu attends qui alors, le Père Noël ? A moins que ce soit la mère Noël, hi, hi, hi !
– Non, je m’étais laisser dire qu’il y avait une nouvelle.
– Les gens disent n’importe quoi, il n’y a pas de nouvelles.
– On m’a dit que Grunberg en avait amené une.
– Bon tu fais quoi ? Tu montes avec moi ou pas ?
– Je monte avec toi si tu as des choses à me raconter… et je paye bien.
– Laisse tomber !

Elle se lève et voici que Fitoussi s’approche de moi. Et il ne paraît pas aimable.

– Toi, tu poses trop de questions, alors tu dégages !
– Connard !
– Pardon !
– J’ai rien dit
– J’aurais cru…

Et me voilà dehors. Ça devient compliqué, soit Sierra a été victime d’une embrouille soit on l’a embarqué pour je ne sais où.

Je retourne chez les flics, je veux juste qu’ils me confirment qu’ils n’ont pas trouvé un cadavre, fraîchement assassiné. Non pas de cadavres, mais ça ne prouve rien, un cadavre ça peut se cacher et certains savent parfaitement le faire.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 16:40

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 6 – Retour chez la Duchesse par Nicolas Solovionni
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Une fois sortie, Marisa Tongo s’empressa de téléphoner au dénommé Kederest.

– Il y a un couple qui va venir dans ton fourbi acheter le collier que je t’ai laissé en dépôt vente. Tu vas leur répondre que tu viens juste de le vendre. Ils vont te demander les coordonnées de l’acheteur, évidemment tu refuseras même si on te propose du fric. Mais tu ne seras pas perdant, on s’arrangera. Quand ils seront partis, fais-moi porter le collier chez moi dans un paquet discret, chez moi, pas au bureau.
– Oui ma biche !

Alors évidemment quand nous nous sommes pointés au Drugstore, le Kederest en question y est allé de son bagou.

– Ah ! C’est dingue, je n’arrivais pas à le vendre, et là, un mec est passé l’acheter il y a dix minutes.

Vraiment pas de bol, Dyane n’aurait pas fait des galipettes avec la grande blackette nous serions arrivé les premiers. Maudits soit les commissaires-priseurs libidineux et les amateurs de colliers tarabiscotés !

– Eventuellement pourriez-vous me fournir les coordonnées de l’acheteur, on aimerait discuter avec lui ?
– Non, c’est contraire à tous les usages.
– Allez soyez sympa, les usages ça peut se monnayer…
– Je ne mange pas de ce pain-là, et je vais vous demander de sortir de mon établissement, immédiatement !

Et c’est qu’il est en colère le bonhomme !

– Calmez-vous on ne vous demande pas la lune.
– Sortez ! Hurle-t-il.

Nous voilà bien ! Et si près du but ..

Je réunis mon staff.

– Qu’est-ce qu’on peut faire d’intelligent ? Demandais-je à la cantonade.
– On ne va tout de même pas faire une opération de commando pour récupérer une adresse, on aurait toute la police locale au cul. Nous dit Dyane.
– Alors on laisse tomber ?
– Non ! Reprend-elle, on connaît deux personnes qui semblent avoir beaucoup d’influence ici, la duchesse et Maître Tongo, on peut voir si elles peuvent nous aider…

Proposition adoptée, je vais solliciter la duchesse et Dyane s’occupera de Marisa Tongo.

Marisa Tongo, parlons-en justement ! La revoilà en possession du collier de Marcia. Elle se dit que si des gens viennent d’aussi loin pour le récupérer, c’est que ce bijou doit cacher quelque chose de singulier. Aussi s’empresse-t-elle de le faire analyser.

Le résultait est décevant : un peu d’or, du nacre, du verre, aucun alliage insolite, aucun isotope exotique… la fabrication semble relativement récente ce qui exclut l’hypothèse d’un artefact archéologique. L’examen des clouds informatiques montre qu’il n’a pas non plus été porté par une personnalité connue…

– Mais pourquoi s’acharnent-il sur ce machin qui n’a aucune valeur ? Parfois, il ne faut pas trop chercher à comprendre ! Inutile de continuer à me prendre la tête avec ça, je vais le remettre en dépôt chez Kederest, il ne va rien comprendre mais je m’en fiche !

Je suis donc retourné chez la duchesse.

– C’est quoi ce cirque ? Kederest est un voyou, ce n’est pas spécialement mon copain mais je peux toujours essayer

Elle l’appelle, met l’ampli, la conversation tourne court, Kederest invoquant les grands principes, la déontologie et tutti quanti. La duchesse use de diplomatie mais rien n’y fait et le bonhomme finit par raccrocher.

– Je suis désolée, j’ai fait ce que j’ai pu mais ce mec est décidément trop con
– Tant pis et merci quand même, Dyane est allé voir Tongo, elle aura peut-être plus de chance que moi.
– Je vous le souhaite, un petit café ?
– Volontiers !

Vu la façon dont elle me regarde, j’ai comme l’impression que la Duchesse ne va pas tarder à me sauter dessus. Pourquoi pas, ça me détendra ?

Mon spacephone sonne, c’est Dyane

– Ça a marché ? demande-t-elle.
– Non et toi ?
– Elle a téléphoné devant moi sans mettre l’ampli, et j’ai comme un horrible doute.
– Pardon ?
– Je me fais peut-être des idées mais j’ai comme l’impression qu’elle téléphonait dans le vide, elle faisait semblant avec personne au bout.
– Mais dans quel but ?
– Va savoir ?

J’interroge la duchesse.

– Vous la croyez capable de duplicité ?
– Elle peut, oui !
– Ça devient compliquée cette affaire !
– Bof, Tout problème à sa solution, et si je peux vous aider… je ne vois pas trop comment mais on peut y réfléchir… On se détend cinq minutes, c’est bon pour les neurones. Mais avant nous allons trinquer ! Swan fait le service s’il te plaît !

Quels instants plus tard Swan venait nous servir du Potenza avec des glaçons.

Stoffer506– Swan, tu manques à tous tes devoirs, ouvre ta braguette, sors ta queue et propose-la au capitaine !.

Swan est un valet obéissant il fait ce que sa patronne lui demande et s’avance vers moi, la bite sortie.

Moi, quand je vois une belle bite, je ne résiste pas. Alors je la prend en bouche et me régale en la suçant. J’aime son odeur, j’aime sa texture et ça me fait terriblement bander.

– Tu aimes ça : sucer des bites, n’est-ce pas Capitaine ?
– J’avoue !
– Tu aimeras qu’il t’encule
– Pourquoi pas ?
– Tu aimes ça ?
– Quand c’est bien fait, oui !
– Swan le fait très bien ! Déshabille-toi, on va te préparer.

Vous allez penser que toutes ces turpitudes sexuelles vont commencer à me lasser ! Eh bien pas du tout, je suis obsédé, j’en ai aucune honte, j’assume complétement et j’emmerde les empêcheurs de baiser en rond !.

On me fait me mettre en levrette sur un grand fauteuil.

– C’est un fauteuil style Louis XVI ! M’indique la duchesse
– Ah
– Louis XVI était un roi de France à qui on a coupé la tête, il est passé à la postérité grâce à ses fauteuils et comme Louis XVI avait un gros cul ses fauteuils ont beaucoup de place.

Comme quoi on peut parfois s’instruire en se faisant enculer !

Une fois installé, la Duchesse vient me lécher la rondelle. Oh, quelle langue! Je bande et je frétille du cul à ce point que mon anus s’entrouvre. Un doigt inquisiteur ne tarde pas à remplacer la langue. Elle va me tuer, la duchesse !

Elle retire son doigt, je sens maintenant le gland de Swan quémander l’entrée de mon cul. La Duchesse m’écarte bien les fesses afin de faciliter l’introduction… Et hop, ça passe !

Oh ! Que c’est bon !

Et pendant que Swan me fait subir les derniers outrages (quelle expression débile, j’espère bien que ce ne sera pas mon denier outrage, j’en veux plein d’autres), la Duchesse maintenant complétement à poil se régale du spectacle en se paluchant le berlingot !

La notion du temps devient incertaine quand on baise, mais Swan a bien dû me limer un bon quart d’heure avant de sortir sa bite de mon cul gluante de sperme et d’autres pollutions plus sombres.

J’ai le cul béant mais ça m’a fait du bien.

La duchesse après avoir nettoyer la bite de son valet de bouche gourmande me vire du fauteuil, prend ma place dans la même position et me demande de l’enculer à son tour. Vous pensez bien que je n’allais pas refuser.

– Alors, je vous aide comment ? Me demande la Duchesse après avoir retrouvé ses esprits.
– Je ne vois pas trop… une équipe de gros bras chez Kederest peut être ?
– Allons, Allons, capitaine ! Déjà c’est une source de complications et puis si vraiment la mère Tongo est derrière ça, on ne trouvera rien chez Kederest !
– Je vais laisser tomber alors ?
– On va quand même faire une petite vérif !

Elle téléphone à un dénommé Dario et lui explique ce qu’elle attend de lui…

Ça l’amuse Dario de faire ce genre de choses…

Il tente de se connecter à l’ordinateur de Kederest. La sécurité y est minimaliste, il n’a plus qu’à rechercher le journal comptable et à en envoyer une copie chez la Duchesse.

L’opération n’aura duré que 30 minutes.

– Aucune trace de la vente de ton truc, ça confirme ce que je pensais ! Mais pourquoi Tongo l’aurait-elle repris ? Ça n’a aucun sens !
– Et elle le garderait où ?
– Dans son coffre, pardi !
– Et ton hacker, il ne pourrait pas…
– N’y pense même pas, il est inviolable son truc.
– Que faire alors ?
– Je ne vois vraiment pas, tu peux toujours y aller au flan et lui réclamer, mais elle te dira qu’elle ne l’a pas.
– Alors je laisse tomber, je vais rentrer sur Vargala
– Attends deux ou trois jours avant de repartir, on ne sait jamais, si j’avais une idée géniale…

J’ai donc réintégré le vaisseau, le cœur lourd, j’ai horreur de l’échec.

– Elle est où Sierra ? Demandais-je
– Partie faire un tour… bizarre elle devrait être revenue…

Mais le lendemain, la belle transsexuelle n’était toujours pas rentrée, je tente de la joindre sur son spacephone, ça ne répond pas. Il ne manquait plus que ça, je commence à m’inquiéter

Sierra

Sierra déambule dans le quartier jouxtant le cosmodrome, elle aperçoit un bistrot, « le bar des nuages », elle y entre et s’assoit. Une entrée qui ne passe pas inaperçue, pensez donc !

Les quolibets vont bon train, mais elle s’en fiche, elle a l’habitude et en est vaccinée.

Un type vient s’assoir à sa table sans en demander la permission.

– Euh, je peux consommer tranquille ?
– Ne soyez pas agressive ?
– Je tiens à ma tranquillité, monsieur.
– Professionnelle ?
– Mais vous allez me foutre la paix ?
– Je peux vous proposer une opportunité qui vous ferait gagner beaucoup d’argent

Excédée, Sierra appelle un serveur

– Vous pourriez dire à ce monsieur de quitter ma table..

Le loufiat n’en fait rien, Sierra se lève et va pour sortir de l’établissement, un gorille la stoppe dans son élan.

– Vous n’avez pas payé.
– Attendez, c’est quoi ce rade où on laisse des abrutis emmerder les honnêtes gens ?
– Parce que c’est honnête de partir sans payer ?

Ils sont maintenant trois autour d’elle et ils ne rigolent pas. Sierra est maîtrisée et entraînée vers le sous-sol, on lui fait une piqûre, elle perd connaissance.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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