Eros Cosmos

Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:15

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 4 – Sheila suivi de l’enquête de la Mafia par Nicolas Solovionni
Blak white3

C’est le moment des adieux, Zorah, sa fille, et Antinéa me roulent une pelle, les bisous des autres restant plus chastes (enfin tout est relatif…).

Sheila m’aide à sortir de ce merdier végétal et nous prenons place dans la barge.

Pas très causante la fifille, elle me regarde avec un sourire béat, moi je regarde sa poitrine… que voulez-vous, on ne se refait pas…

Je restitue la barge au garage et prête mon blouson à Sheila…Elle ne va tout même pas se balader dans les rues de Vargala avec les nichons à l’air ! (ça se fait, mais bonjour la discrétion…)

– On va où ?

Ah, ça y est, elle cause !

Bonne question à laquelle je n’ai pas trop réfléchi, on va donc parer au plus pressé.

– On va chez moi !
– T’as des bonnes choses à bouffer ?
– Oui, ne t’inquiètes pas !
– Du chocolat ?
– Ça peut se trouver !
– Et des cocktails ? moi j’aime bien le Bloody Mary.
– Non, mais j’ai plein d’autres trucs.

Je me dis qu’elle est chiante, mais faut la comprendre aussi, après une année à bouffer du lézard, elle doit avoir envie de plein d’autres choses.

A la maison, elle a pris une douche, puis m’a demandé si j’avais des trucs de maquillage ! Ben non je n’ai pas ça chez moi !

– On peut descendre en acheter… Et il me faudrait des fringues aussi.

C’est tout ? Oui ?

Nadget est sortie. Je lui téléphone.

– Allo ma bibiche, t’es où ?
– A la piscine !
– Figure-toi que j’ai recueilli une nana qui n’a rien à se mettre…
– Hein ?

Bref je lui raconte, et elle me dit qu’elle arrive.

Présentations, bisous, bisous.

– Voilà je t’ai apporté des fringues, ça risque d’être un peu grand, mais le temps d’en acheter d’autres ça devrait le faire… Dis donc, t’es drôlement bien gaulée, toi !
– On fait ce qu’on peut…
– Je peux te caresser les seins ?
– T’es lesbienne ?
– Bi, plutôt, et toi ?
– Moi, je suis hétéro, mais je ne suis pas contre quelques écarts goudou.
– Alors je peux te caresser ?
– Vas-y

Nadget ne se contente pas de caresser, ses doigts viennent frôler les tétons de Sheila. Elle fait ça d’abord doucement puis devant l’absence de protestation de sa partenaire devient plus hardie et serre plus fort.

– C’est bon… lèche les !

Ce sont des choses qu’il est inutile de répéter deux fois à Nadget qui se met à téter les bouts de seins de sa vis-à-vis avec gourmandise.

– Eh ! Dis donc t’es pas trop gênée de rester habillée pendant que tu me fais ça !
– T’as raison, je vais me foutre à poil.

Et ensuite par un juste retour des choses, c’est Sheila qui se mit à téter les jolis seins chocolatés de la belle blackette.

Vous vous imaginez bien qu’elles ne vont pas rester debout infiniment. Le canapé est à côté, elles s’y précipitent…

Et vas-y que je te caresse, que je te lèche, que je t’embrasse… Les doigts vont partout, dans la chatte, dans le trou de balle… Les langues aussi et Nadget se régale du goût du trou du cul de Sheila.

– Hum, ce cul ! Il est divin !
– Régale-toi, ma cocotte !

Et moi dans tout ça ? Me demanderez-vous.

Eh bien moi je regarde, Mon expérience de libertin m’a appris que lorsque deux femmes se donnaient du plaisir, il ne fallait surtout pas intervenir au risque de casser leur trip. Alors je reste assis dans mon fauteuil et je me branle nonchalamment en les regardant faire. Avec un peu de chance, peut-être m’inviteront-elles à les rejoindre. Qui sait ?

Stofer604Et les voilà en soixante-neuf… et ça se lèche et ça se tortille. Quel beau spectacle elles me font ! Les premiers miaulements de plaisir se sont entendre avant de monter crescendo. Nadget jouit la première en beuglant, rejointe une minute plus tard par Sheila.

Les filles s’embrassent à pleine bouche, elles sont en nage. Je suppose qu’elles vont se diriger vers la douche. Non, elles se chuchotent quelque chose en rigolant puis s’avance vers moi.

…et quelques secondes plus tard, deux gentilles petites langues s’occupaient de ma bite !

Après les courses, (et il y en avait, les fringues, les chaussures, le nécessaire de toilette et de maquillage et un spacephone tout neuf…) Nadget nous a invité dans son restaurant. Fallait voir ce qu’elle s’est empiffré, la Sheila, une vraie goinfre !

– Maintenant, Sheila, il faut qu’on s’organise, je veux bien de te faire un double de mon badge d’entrée pour que tu puisses coucher à la maison, mais je ne peux pas non plus t’héberger en permanence, j’ai une vie privée…
– Et alors je vais faire quoi de mes journées ?
– Ben, bosser !
– Et qui c’est qui va m’embaucher ? Et pour quel boulot ?
– J’ai une copine qui est la patronne d’un salon de massage… Tu sais masser je suppose ?
– Bien sûr, qu’est-ce que tu crois ?

Et le lendemain je présentais Sheila à Dyane… Ouf elle ne sera plus dans mes pattes, maintenant pour sortir ses six copines de la jungle, je n’ai pas trop d’idées pour le moment… mais chaque chose en son temps.

Je peux donc reprendre mon enquête sur les trois morts mystérieuses. Pourquoi je m’occupe de ça ? Demanderez-vous. Ben justement parce que ça m’occupe !

Le navigateur du « Tamanoir » a fini assassiné. Mais le capitaine et son second ont forcément es réponses que j’attends. Déjà la planète de destination, et le reste aussi…

Mais où sont-ils ? Je me renseigne à la capitainerie, leur vaisseau est toujours sur le tarmac..

Je retourne voir la capitaine de police Annabelle Jiker. Elle a tôt fait de localiser Béchima le commandant du vaisseau et Schmidt son second qui sont tous les deux descendus à l’hôtel d’Orion.

– Fais attention à toi ! Me dit la fliquette.

Elle est rigolote, elle me chouchoute.

Je me rends ensuite à la clinique locale dans laquelle travaille toujours la jolie Gundula Miller (voir Stoffer 3 La bâtisse rouge)

– Tu n’aurais pas dans tes fioles un produit qui pourrait mettre une personne en état d’hypnose.
– Oh, toi, je sens que tu vas encore faire des bêtises ?
– J’en suis bien conscient.
– Et tu ne peux pas l’hypnotiser de façon classique ton bonhomme, entre quatre yeux !
– Ben, non, d’une part je ne sais pas faire et ensuite je ne vois pas bien comment me retrouver en tête à tête avec lui et l’obliger à me fixer
– Je vois, je peux te proposer du Loubliom, c’est un anxiolytique qui transforme le cerveau du patient en légume pendant plusieurs heures, voire plusieurs jours, ça dépend de la dose……
– Et l’effet est immédiat ?
– Oui. Ça va très vite, moins d’une minute !
– C’est des cachets, des gélules ?
– Non, c’est en flacon, et ça se dose avec un compte-goutte. Trois gouttes devraient suffire.
– C’est d’un pratique !
– Ah ! Mon pauvre chéri, la vie n’est pas facile tous les jours !
– C’est ça fous-toi de moi !

Je téléphone à la mère Jiker et lui fait part de mes intentions, elle me dit qu’elle sera présente le lendemain matin à l’hôtel d’Orion. En ce moment elle m’a à la bonne, et ne peut rien me refuser, je vous dis, elle doit avoir envie que je la saute. Il faudra que je me dévoue, je lui dois bien ça.

Et le soir je branchais Sheila.

– Ça a été ta petite journée ?
– J’ai pas fait grand-chose, mais les clients étaient satisfaits et ta copine était contente de moi.
– Super, demain j’ai besoin de toi pour autre chose.
– Je ne retourne pas au salon, alors ?
– Si, mais après… Je suppose que tu sais séduire un homme
– Ben j’ai des arguments non ?
– Alors voilà, je te montre les photos, celui-ci s’appelle Schmidt et il est descendu à l’hôtel d’Orion.
– Il a une gueule de pédé, si c’est ça je ne pourrai pas le séduire.

Je n’y avais pas pensé à celle-là !

– Tu essaies, on verra bien. Et celui-ci c’est Béchima le capitaine.
– Pas l’air aimable !
– Tu devras brancher le premier qui descendra… (et je lui explique le plan)

La lendemain matin d’assez bonne heure, on se pointe à l’hôtel d’Orion, on s’installe à deux tables différentes mais pas trop éloignées l’une de l’autre.

La capitaine Jiker est là, en uniforme afin d’éviter toute intervention de la sécurité de l’hôtel au cas où l’affaire se gâterait.

Au bout d’un heure Schmidt descend… seul, une bonne chose, il aurait été accompagné, cela aurait été plus compliqué. Je fais signe à Sheila d’y aller ! Il commande son petit déj et pose une sacoche noire sur la table, il l’ouvre, manifestement il cherche quelque chose… peu importe.

Sheila prélève trois unités de Loubliom dans le compte-goutte, qu’elle coince dans son bracelet, elle attend que l’homme soit servi et fonce :

– Bonjour beau brun, tu me paies mon café ! Lui demande-il.
– Tu sors d’où, toi ? Tu fais la pute dès le matin ?
– Je cherchais juste un peu de compagnie…
– Fous le camp, je n’aime pas les putes.
– T’es pas gentil… Oh pardon…

Shella vient volontairement de faire dégringoler la sacoche de l’homme, dont le contenu s’éparpille au sol. Et pendant qu’il ramasse en maugréant, la fille injecte le médicament dans son café, puis disparaît de l’établissement.

Je crains les complications, aussi je me lève !

– Je vais vous aider ! Proposais-je en aidant Schmidt à ramasser son fouillis.

Il se relève, les yeux dans le vague.

– On est où, là ? Demande-t-il.
– A l’hôtel !
– Ah, je me sens tout mou, j’ai comme un trou de mémoire, l’atterrissage s’est bien passé, alors ?
– Nickel ! Et là-bas vous avez livré quoi ?
– Je ne sais plus ! Tout ce dont ils avaient besoin, alcool, tabac, médocs, fringues, faut bien qu’on les nourrisse, sinon ils deviennent paresseux et les gardiens se relâchent. Quand ils nous ont vu débarquer, les gardiens ont eu du mal à tenir les esclaves, on a été obligé de tirer… Du coup on en a pris un au hasard et on l’a fouetté devant tout le monde ! Qu’est-ce qu’on a rigolé !

Il n’arrête pas de parler, un vrai moulin à paroles.

– Et c’était où tout ça ? Sur quelle planète ?
– Kirka. Bien sûr !

Je vérifie sur mon spacephone, mais ne trouve aucune référence de cette planète.

– Ça n’existe pas ! Lui objectais-je.
– C’est nous qui l’appelons comme ça, sinon, ça n’a pas de nom officiel, c’est une planète à numéro…
– Et on peut le trouver où ce numéro ?
– Alors là ? Faut demander au capitaine…

Je me rends compte que j’ai fait une connerie, c’est le capitaine qu’on aurait dû brancher et lui seul !

– Vous n’êtes pas bien, je vais vous conduire à la clinique… soufflais-je à Schmidt.
– Vous croyez ?
– Mais oui, mais oui…
– Je ne suis pas malade…
– Ils vont juste vous donner un petit remontant…

Je demandais à Gundula Miller de trouver un prétexte pour garder Schmidt « sous le coude » quelque temps…

– Et tu l’empêches de communiquer avec l’extérieur. Je vais lui confisquer son spacephone.

Et c’est en sortant de la clinique, que j’entendis une énorme explosion…

Les gens s’affolent tandis qu’une épaisse fumée noire s’échappe de la ville.

– Qu’est ce qui se passe ? Demande un quidam.
– Ça vient du cosmodrome ! Répond un autre.

Dans ces situations on a parfois des réactions et des pensées incongrues, et je me demandais si ce n’était pas mon vaisseau qui venait d’exploser. Je n’ai pas vraiment d’ennemis, mais mes investigations, qui se sont pourtant efforcées d’être discrètes, ont pu en énerver certains…

Et tandis que tout le monde courre dans tous les sens, je me dirige vers le cosmoport.

J’entre dans le hall, mais la sortie vers le tarmac est condamnée par des rubans de police.

– Qu’est-ce qui se passe ? Demandais-je à un poulet.
– Dégagez, il n’y a rien à voir.
– Je suis un ami de la capitaine Jiker
– Oui, ben c’est pas le moment…
– Ecoutez, je suis le Capitaine du Rosamunda, j’aimerais quand même savoir si c’est mon vaisseau qui a explosé…
– Je ne peux pas vous renseigner. Laissez la police accomplir son travail. Dès que nous aurons des informations, elles vous seront communiquées.
– Communiqués comment ?
– Mais j’en sais rien moi !

Je n’avais donc d’autres options que d’aller poser mon cul sur une banquette en attendant les nouvelles.

Une heure que j’attends comme un con. Je ne devrais pas m’angoisser, si mon vaisseau a pété, les assurances me rembourseront (en principe) et j’ai assez de tunes pour m’en acheter un autre… quoique les occasions de prendre l’espace deviennent rares en ce qui me concerne. Non ce qui me turlupine c’est de savoir que des individus me prennent pour cible. Bien sûr que je ne vais pas me laisser faire mais bon…

Et voilà que j’aperçois la mère Jiker qui revient du tarmac en franchissant le ruban de sécurité .
Elle m’aperçoit…

– Ben alors, Stoffer, on fait banquette ?
– On n’a pas voulu me laisser passer… C’est mon vaisseau qui a pété ?
– Ton vaisseau ? Non ce n’est pas ton vaisseau, c’est le Tamanoir !

Ouf !

Mais ça pose d’autres questions. Qui a bien pu faire exploser un vaisseau de ravitaillement, alors que les crimes sont de facto interdit sur Vargala ?

– Il y a beaucoup de victimes ?
– Non le vaisseau était vide. C’est du travail de pro, ils ont placé une charge suffisante pour provoquer l’explosion mais sans provoquer de dégâts collatéraux.
– T’as de soupçons ?
– Si j’ai des soupçons, je ne vais pas te les dire, mais pose-toi les bonnes questions, tu vas trouver tout seul !

Elle est marrante, elle !

Flash-back

Roger Montesinos est depuis 15 ans (en années terrestres) le bourgmestre de Vargala Station, il n’a jamais été élu et a été nommé à son poste par son prédécesseur qui se faisait vieux. On le soupçonne d’être le parrain de la mafia locale, mais personne n’ose s’aventurer à faire ce genre de vérification.

Il a devant lui Brent Quinto, l’un de ses fidèles lieutenants.

– Jiker a trouvé l’identité du tueur, un dénommé Jando Sambariz, elle a envoyé sa trombine sur tous les spacephones de ses indics… Autrement dit; comme elle se doute que certains de ses indics sont des agents double, elle nous demande de faire le boulot…. Commence Montesinos
– Pas forcément… ses indics « propres » peuvent très bien le localiser avant nous…
– Envoi un message à tous le réseau, précise qu’il s’agit d’une urgence absolue.
– Je vais aller faire ça…
– Non, reste là et tu fais ça tout de suite !

A peine cinq minutes plus tard le spacephone de Quinto sonnait.

– Sambariz repéré au bar de la Colombe.
– Déjà ! Ordre de l’intercepter et de le conduire à la Madrague.

Quinto dépêche deux hommes pour cueillir Sambariz.

Quelques minutes plus tard les deux hommes entraient dans le bar en question, repérait Sambariz occupé à on ne sait quelle activité à l’aide de son spacephone et s’asseyaient devant lui.

– Hé, mais je nous ai pas invité…
– Tu ne nous reconnait pas ?
– Vous devez confondre…
– Le chef veut te parler…
– Quel chef…
– Ou tu viens avec nous sans faire d’histoire et on pourra peut-être travailler ensemble, ou tu refuses et dans ce cas je te tirer dans les jambes, et c’est en ambulance que tu vas rencontrer le chef !

Sambariz n’est pas rassuré mais s’accroche à la phrase parlant de « travailler ensemble ». Il se lève et va pour sortir entouré par les deux mafieux.

– Hé ! Il n’a pas payé sa consommation ! Proteste le loufiat.
– Pas grave, je vais lui payer ! Propose le premier mafieux en tendant son spacephone.

Et c’est dans une petite barge volante que l’on conduit Sambariz à la lisière de la ville dans une construction en ruines et abandonnée surnommée pompeusement la Madrague.

Sur place on ligote le bonhomme sur une chaise en faisant fi de ses protestations. Et quelques minutes plus tard Montesinos et Quinto arrivaient à leur tour.

– Bon on t’écoute ! Commence le bourgmestre.
– Mais vous vous trompez de personne !

En guise de réplique Quito lui envoie deux baffes.

– A la prochaine mauvaise réponse je te coupe un doigt. Tu as assassiné trois personnes, on veut tout savoir.
– Ecoutez, est-ce que vous pouvez juste envisagez que vous vous trompez de personne ?

Quinto fait signe aux deux autres mafieux de lui libérer la main gauche. Il sort de sa poche un petit mais puissant sécateur et l’approche de l’index droit de Sambariz qui hurle comme un damné.

Quinto ne se laisse pas impressionner et coupe le doigt d’un geste sec.

Ça fait vachement mal !

– Une compresse s’il vous plait !

– On reprend. On sait que tu as tué un mec qui s’appelle Wang ! Tu confirmes ?
– Je l’ai pas fait exprès !

Non, non, hurle-il quand il voit s’approcher le sécateur, prêt à couper un autre doigt.

Mais le mafieux n’en a cure et coupe ! Sambariz perd connaissance.

– Une compresse et un verre d’eau.

– Bon écoute pépère, il faut bien que tu te mettes en tête que ton sort est scellé. Ici on ne tue pas les gens, on les envoie dans la presqu’ile des exclus. Reste à savoir si tu veux y aller avec juste deux doigts en moins ou si tu préfères qu’on continue à couper. Il reste huit doigts à couper, après on peut couper les orteils, les oreilles, les couilles, la bite…
– Bon, c’est quoi la question ? Demande-t-il en tremblant
– Tu as tué Wang, oui ou non ?
– Oui !
– Et les deux autres meurtres c’étaient toi ?
– Oui, mais je n’aurais jamais dû accepter…
– Accepter quoi ?
– Le contrat !
– Un contrat sur Vargala ? Mais comment as-tu pu penser que tu t’en sortirais ?
– Je ne suis pas très malin.
– Et le nom de la personne qui t’as engagé pour ces contrats.

Sambariz réfléchit, il se dit que s’il parvient à s’échapper de la presqu’ile des exclus, il n’a pas intérêt à balancer son commanditaire.

– Je ne connais pas son nom ! Balbutie-t-il.

Et cette fois c’est l’index de la main droite que l’on coupe.

– J’espère qu’on va avoir assez de compresses ? Se gausse Montesinos.
– On en a plein, chef !

Sambariz n’en peut plus. Mais il se dit que fournir un nom inventé pourrait sans doute le faire.

– Il s’appelle Manchek.
– Alors on récapitule, ce Manchek a au moins trois hommes à tuer, je ne te demande pas pourquoi, tu ne dois pas le savoir. Et comme par hasard il tombe sur toi, alors que tu sais pertinemment que les meurtres sont interdits ici.
– C’est plus compliqué…
– Il fait quoi comme activité, ce Manchek ?
– Il n’est pas résident, c’est un astronaute en bordée.

L’un des mafieux s’éloigne et contacte l’astroport puis revient.

– Aucun Manchek dans la liste des équipages qui ont atterri ici, chef.
– Mais c’est un pseudo, bien sûr ! hurle. Sambariz.
– Admettons ! A quel endroit a eu lieu le contact ?
– Au « Requin doré ».
– Et c’était quand ?.
– Euh, le 15 ou le 16 pluviôse, je ne sais plus exactement.
– OK on fait une pause.

Quinto demande à l’un de ses agents de se renseigner sur place, ce dernier se fait communiquer les enregistrements vidéo des dates en question. On y voit effectivement Sambariz discuter avec un type qui lui fournit ce qui semble être une liste manuscrite.

Il isole le visage de l’inconnu puis l’envoi à la capitainerie de l’astroport, le type à l’autre bout ne peut rien refuser à la mafia et lui fournit la réponse.

– Schmidt, officier en second du vaisseau « le Tamanoir. »
– Ce vaisseau est toujours sur le tarmac ?
– Oui, il a prévu de redécoller après-demain.

– Faut retrouver ce mec d’urgence avant qu’il ne reparte dans l’espace ! Indique Quinto à son chef.
– O.K., on met tout le monde à sa recherche. Il y a un truc que je comprends pas ! Tu le connaissais d’avant ton commanditaire ?
– Oui ! Je suis originaire de Louzia3, là-bas j’étais un peu tueur à gages, et puis une affaire a mal tourné. Manchek était un déjà second de vaisseau et trempait dans des trucs louches, il m’a proposé un deal, il m’exfiltrait de Louzia3 et me transportait sur Vargala, je trouvais que c’était un bonne idée ! Qui irait chercher un tueur à gages sur une planète où le crime est interdit ?. Et en échange il me dit, « le jour où j’aurais besoin de tes services, je compte sur toi pour ne pas te dérober. »
– Et tu vivais de quoi sur Vargala ?
– Des petits boulots,… des livraisons.. surtout des livraisons…
– On a appris tout ce qu’on voulait savoir, conduisez-moi ce connard dans la presqu’ile !

Le lendemain, personne n’avait trouvé Schmidt. Son hôtel avait été localisé mais il n’y était plus.

– Il doit se planquer dans un trou à rat, on va vérifier s’il n’a pas quitté la planète, on ne sait jamais, il a pu se faire enregistrer comme passager. Déclare le bourgmestre.
– Et sinon ?
– Sinon, on fait sauter le vaisseau !

Fin du flashback

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:10

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 3 – Les Amazones de la presqu’ile par Nicolas Solovionni

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Je loue donc une barge volante et m’en vais explorer la presqu’ile. La marée est basse ce qui veut dire que le type a déjà dû pénétrer dans l’épaisse jungle.

Et là, ça ne va pas être facile car la végétation est tellement dense que la survoler en barge ne servira à rien.

Je me pose à la lisière de la jungle et entre dans ce fouillis, je cherche désespérément des traces de son passage, je n’en vois pas ! Il est donc entré soit plus vers la gauche, soit plus vers la droite… Je ne suis pas sortie de l’auberge. Je ne vois toujours rien, il reste encore une entrée… Et si je ne trouve rien, je vais laisser tomber. Mon plan devait être mauvais à la base…

J’avance et aperçois des plantes piétinées. Quelqu’un est donc passé par là. Mais un moment je ne sais plus trop où j’en suis, il y a à la fois des traces de passages à gauche, à droite et devant. C’est quoi ce cirque ?

Et alors que je me perds en conjectures, une flèche siffle au-dessus de ma tête et va se loger dans le tronc d’un arbre bizarroïde.

Une flèche ? C’est quoi ce délire ? Serais-je tombé dans une faille spatio-temporelle qui m’aurait téléporté sur Terre à l’époque de la conquête de l’Ouest. Trêve de plaisanterie, je n’ai aucune envie de me faire percer et prenant mon courage à deux mains, je rebrousse chemin…

Et voici que devant mon nez une autre flèche vient se loger dans un autre tronc.

J’ai franchement la trouille, mais je me fais quand même la réflexion que ces flèches qui se sont logées à plus de deux mètres du sol, n’étaient pas destinés à me tuer.

Et soudain les voilà devant moi…

Stoffer603Deux nanas, à moitié à poil, des bouts de chiffons (sortant d’où ?) autour du pubis, et équipées d’arcs rudimentaires et de carquois de fortune

Donc je m’étais trompé, ce n’est pas dans l’ambiance de la conquête de l’Ouest que j’ai été téléporté mais en Amazonie, à moins que ce soit des Amazones de la Grèce antique.

– Jette ton arme ! M’ordonne la fille.

Moment d’hésitation, je pourrais leur retourner ma trouille en les menaçant de mon pistolet laser. Mais je m’aperçois que les deux filles sont maintenant cinq. Le rapport de force n’étant pas vraiment en ma faveur, j’obtempère et pose tout doucement mon arme au sol.

– T’es qui toi ? Qu’elles me demandent.
– Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau.
– Et que viens faire un capitaine de vaisseau dans cette jungle ? T’as fait des conneries ?
– Non, je cherche un type louche… vous ne l’auriez pas vu, par hasard…
– Un type comment ?
Je vais vous montrer sa photo ! Répondis-je en sortant mon spacephone.

Je suis quand même stupéfié que ces sauvageonnes ne soit même pas étonnées de découvrir un spacephone et une photo… Et puis qui leur a appris à parler notre langue ?

– Et tu le cherches pourquoi ?
– C’est un tueur, je veux l’attraper.
– T’es flic alors ! Je croyais que t’étais capitaine de vaisseau.
– Ce n’est pas incompatible ! (je n’ai aucune envie de rentrer dans les détails). Donc vous ne l’avez pas vu ?
– Si !
– Il est parti où ?
– On a fait dégringoler son corps dans le grand ravin un peu plus loin.
– Il est mort alors ! Répondis-je avant de me rendre compte de l’idiotie de ma réplique.
– Ben oui il est mort, on l’aurait bien bouffé, mais c’est de la vieille carne…

Brrr ! Elles seraient cannibales ?

– Et je peux vous demander pourquoi il est mort ?
– Tu vas nous suivre jusqu’à notre camp, et là Zorah t’expliquera…
– Vous n’allez pas me bouffer, j’espère ?
– Si t’es gentil avec nous, il ne t’arrivera rien.

Leur campement n’était pas bien loin, une baraque mal foutue avec des troncs d’arbres disposés en rondins et des énormes feuilles séchées en guise de toit pour se garder des pluies.

A l’intérieur assise en tailleur à même le sol; une autre amazone manifestement plus âgée et à ses côtés une jolie blonde, sans doute la plus belle du lot. Donc si j’ai bien compté ces dames sont sept.

L’une des amazones chuchote je ne sais quoi à l’oreille de Zorah qui ensuite m’interpelle.

– Le type que tu cherches est mort ! Il nous a demandé de l’accompagner au camp principal, nous avons refusé, on aurait pu négocier et le mettre juste sur le chemin, mais il est devenu agressif et il a giflé Vidia. Tout le monde lui est alors tombé dessus… et il en est mort.
– Donc je n’ai plus rien à faire ici, j’espère que vous allez me laissez partir…
– Ben oui, on n’est pas méchantes…
– Je n’ose pas vous demander de m’accompagner jusqu’à la sortie de cette jungle…
– Si, on pourra, mais avant tu vas nous satisfaire…
– Pardon ?
– Pas toutes, certaines sont lesbiennes et ne seront pas intéressées, mais moi et ma fille… et puis Sheila et Antinéa…
– Si je comprends bien vous voudriez que je vous baise ?
– Oui, et on va commencer tout de suite, je suis très excitée tout d’un coup. Les filles que ça intéresse, restez là, les autres faites ce que vous voulez.
– Je peux vous demander comment vous avez atterri ici ?
– Oui mais après, pour l’instant mets-toi à poil !

Je vais donc être le sex-toy de ces dames, c’est toujours mieux que de finir dans une marmite.. Mais va falloir que j’assume ! J’aime le sexe mais je ne suis pas Super-queutard !

On me demande de me déshabiller. Normal, c’est la moindre des choses !

On me fait m’allonger sur une paillasse improvisée et c’est alors un festival de caresses. J’ai dix mains qui s’occupent de moi, Zorah et sa fille Kali, Sheila, Vidia et Antinéa.

Ça tombe bien j’aime parfois être complétement passif dans ce genre de situation…

Mais c’est que ce sont des expertes ! Ces mains vont partout, m’effleurant la bite, me titillant légèrement les tétons

Kali passe sa main en dessous de mes testicules, caresse le périnée et allonge son doigt jusque sur ma rosette.. Elle a l’intention de me doigter le cul, ça tombe bien j’adore ça !

Et en même temps Antinéa me gratifie d’un frotti-frotta avec la pointe de ses seins ! Zorah er Sheila se relaient pour me rouler une gamelle. Je vous dit je suis au paradis.

Après toutes ces mises en bouche, Zorah me prévient.

– Tu as vu comme on est gentille avec toi ! Mais ne te trompes pas, ce n’est pas ta fête, c’est la nôtre ! Tu vas toutes nous baiser. Alors débrouille-toi pour tenir la distance et ne t’inquiètes pas, on n’est pas pressées.

Tu parles d’un challenge… et si je n’y arrive pas, elles vont me faire quoi ?

Par qui commencer ? Mais je n’ai pas à me poser de question ! Antinéa me tire par la main et se met en levrette. J’ignore quel trou choisir et comme elle ne me le dit pas je fais dans le classique et lui pénètre la chatte.

Et pendant que je la bourre, un spectacle insolite se déroulait devant mes yeux, celui de Zorah et de sa fille Kali, se tripotant mutuellement la chatte tout en s’embrassant baveusement ! Les coquines !

Pour l’instant Antinéa ne réagit pas trop à mes assauts, voilà qui m’embête un peu car si j’accélère, je crains de jouir prématurément. Alors j’attends, Zorah ne m’a-t-elle pas indiqué qu’elles n’étaient pas pressées :

Finalement je l’ai fait jouir, et plutôt bruyamment. Je me retire et demande à Kali de s’approcher. Pourquoi Kali ? Parce que me disais-je, sa chatte étant déjà bien excitée par les doigts de sa mère, l’exercice devrait être facile.

Et après que Kali eut pris son pied, je sollicitait sa maman, laquelle me précisa qu’elle préférait que la pénétration soit anale ! Pas de problème…

Sauf que la nana a une façon de gigoter du fion qui fait monter mon plaisir et que je ne sais pas trop comment me contrôler. Et ce qui ne devait pas arriver arriva… J’éjaculais dans le cul de Maman Zorah. Je me fit violence pour continuer mais quand ça ne peut pas, ça ne peut pas.

J’ai donc raté Zorah, mais aussi Sheila et Vidia. J’explique à ces dames qu’après un petit laps de temps je serais prêt à redémarrer.

Elles ne sont pas en colère, ça les fait rigoler.

– Allonge-toi ! Me dit Zorah, je vais te pisser dessus, ça va te faire du bien.

Je n’ai rien contre et j’ouvre la bouche. Son pipi est très gouteux… mais ce que je n’avais pas prévu c’est que son envie de pisser devait être communicative, car les quatre autres sont venues à leur tour m’inonder de leur urine.

Trop c’est trop, je suis évidemment incapable d’avaler tout ça…

Quelques minutes passent puis Zorah vient me narguer en me présentant son fessier, globes écartés, rosette brune bien en évidence…

Le résultat ne se fait pas attendre, je bande (et pas qu’un peu) et j’encule de nouveau la belle mature et cette fois je la fais jouir.

Reste Sheila et Vidia. Cette dernière me fait signe de rester à ma place et de m’allonger par terre. Elle vient alors me chevaucher dans la position du Duc d’Aumale. C’est donc elle qui fait tout le boulot. J’adore cette position, c’est reposant ! Et quand elle eut pris son pied elle laissa sa place à Sheila.

Je suis épuisé et j’ai la bite douloureuse, on m’offre à boire, de la flotte mélangé à du jus de je ne sais pas quoi, ça fait du bien.

– Alors, vous me racontez comment vous avez fait pour vous retrouver ici ?
– C’est tout simple ! M’explique Zorah, On travaillait dans un bordel de la ville, tout se passait à peu près bien, et puis il y eu un changement de propriétaire, un malade qui nous infligeait des châtiments corporels pour un oui ou pour un non. Au bout d’une semaine on en a eu marre, on s’est réuni toutes les sept, on lui est tombé dessus, en fait on l’a lynché. Après on a eu la trouille que la mafia nous cherche des noises. Alors on a pris les devants et on est venu ici.
– Mais comment…
– Antinéa était bien avec un client qui possédait une barge volante, on a fait deux voyages et on lui a renvoyé en automatique.
– Mais pourquoi ici ?
– Parce que on a avait aucune envie de rejoindre le camp principal. D’après les rumeurs il y a très peu de femmes dans la presqu’ile. Alors vous vous rendez compte, sept femmes pas trop mal foutues parmi tous ces mecs… non merci !
– Et vous êtes là depuis quand ?
– On a un peu perdu la notion du temps, mais ça doit bien faire une année en équivalence terrienne.
– Et pour la nourriture ?
– Il y a pas mal de gros lézards, il sont inoffensifs et stupides mais excellents à bouffer. Sinon il y a des baies et une petite source.
– Mais vous n’allez pas rester là cent sept ans…
– Non, on va attendre que ça se tasse, peut-être que quelqu’un nous aidera ? Et d’ailleurs, pourquoi pas toi ?

Je ne m’attendais pas à cette réaction et ne sachant trop quoi répondre je leur répondis simplement.

– Pourquoi pas ? Il faudrait que j’y réfléchisse, que je trouve un moyen…
– C’est une promesse ?
– Oui bien sûr !

Que n’avais-je pas dit là ?

– Et comment pourrait-on être certaines que tu tiendras ta promesse ? Reprend Zorah,

Oh que je n’aime pas ça…

– Il faut me faire confiance !
– La confiance c’est comme les bites, ça va, ça vient…
– Je ne sais pas quoi vous dire d’autre…
– Moi je sais, on va te raccompagner vers la sortie, mais tu ne vas pas partir seul… Sheila et Antinéa, laquelle de vous deux serait volontaire pour accompagner le capitaine ?

Elles sont toutes les deux volontaires. Alors on tire à la courte-paille… et c’est Sheila qui s’y colle.

Putain, mais qu’est-ce que je vais en faire… et elle est là en face de moi toute contente en train de ma narguer avec ses seins comme des obus et son sourire carnassier.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:07

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 2 – Andréa et Lisa, puis Schwartzman par Nicolas Solovionni
StampFFH

– Et maintenant que je t’ai rendu service, tu vas me récompenser comment ? Me demande la mère Dalhia
– Je suppose que tu aimerais que je profite des avantages de la maison ?
– On peut dire ça comme ça ! Une petite doublette par exemple ? Et ensuite tu signeras le livre d’or.

Comment refuser ?

– Monte au premier, et entre dans la chambre 12, les filles vont te rejoindre.

– Je suis Andréa ! Se présente une grande brune aux formes sculpturales tout de noir vêtue et ma copine c’est Linda (une petite rousse frisée comme un mouton avec un grand nez) Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? Du classique ou des spécialités ?
– J’aime beaucoup de choses…
– Les petites misères, t’aimes ça ?
– Des petites alors !
– Alors on y va, Mets-toi à poil, on va te gâter !

Je m’exécute puis elles me demandent de me coucher par terre. C’est du carrelage, ce n’est pas très agréable ! Ils ne peuvent pas poser de la moquette dans ce bordel, ou acheter des tapis, non ?

Andréa m’enjambe… Ah, ça y est j’ai compris ce qu’elle veut faire. Elle écarte ses grandes lèvres et m’envoie sa pisse sur la bite, puis elle remonte vers mon visage. J’ouvre ma bouche en signe d’assentiment et reçoit son joli jet doré dans ma bouche. Il est ma foi, savoureux et je m’en lèche les babines, cochon que je suis.

Je vais pour me relever, mais Linda m’indique de n’en rien faire, venant à son tour m’offrir son bon pipi..

Et pendant ce temps, la belle Andréa s’est harnaché d’un gode ceinture qu’elle a la bonne idée d’enduire de gel intime.

Pas besoin qu’on me fasse un dessin, je me mets spontanément en levrette, j’écarte mes fesses et j’attends.

– Regarde-moi ce pédé, il attend qu’on l’encule ! Se gausse Andréa. Ben non, ça ne va pas se passer comme ça, ça te ferait trop plaisir… Mais garde la position, on va te rougir un peu le cul.

C’est Linda qui s’en charge, elle s’est munie d’un martinet multi-lanières à manche court et elle me tape les fesses en cadence. Je supporte en me mordant les lèvres. Je tente de sublimer la douleur mais ça devient difficile. Heureusement elle finit pas s’arrêter, j’ai le cul en vrac, j’espère que je vais pouvoir m’assoir..

Alors elle m’encule ou elle m’encule pas ?

Hé non, il me faudra attendre, elle me fait me relever et c’est Andréa qui vient me poser des pinces sur mes tétons. Je me laisse faire, mais horreur voilà d’autres pinces, celles-là sont pour mes couilles. Mes pauvres couilles !

Je lui demande de les retirer, je ne suis pas maso à ce point, ou alors ses pinces sont trop fortes.

– Tu préfères qu’on baise ? Me demande la grande brune.
– Oui, mais je veux bien un peu de ton gode ceinture.
– D’accord ! Suce-le d’abord !

Stoffer602Je sais bien que ça fait partie du rituel, mais l’intérêt de sucer un machin en latex n’a rien d’évident. Je me prête néanmoins au jeu en fermant les yeux et en m’imaginant sucer un beau travelo… et ça fonctionne puisque je bande comme un sapeur.

Elle me fait ensuite me retourner… Et hop, j’ai son machin dans le cul. Et faut voir comment elle m’encule, la nana ! Elle doit être championne de la pénétration anale. Des ondes de plaisir envahissent mon trou de balle, je suis aux anges.

Et pendant qu’Andréa m’encule, Linda vient se glisser devant moi et me fourre ma bite dans sa bouche. Autant dire que je suis comblé.

Andréa a beau être endurante, il faut bien qu’à un moment elle s’arrête, elle sort donc de mon cul le laissant béant et Linda me lâche la bite.

Cette dernière avise un morceau de carton, en découpe deux languettes qu’elle me tend.

– On fait courte paille, tu as le droit d’enculer celle qui va tirer la plus courte !

J’adore ces jeux idiots !

C’est Linda qui tire la plus courte. J’aurais préféré m’occuper d’Andréa, mais je ne vais quand même pas faire la fine bouche.

J’aime bien ses petites fesses à Linda, elles sont douces et accueillantes, je lui lèche le fion (j’adore !) puis je m’introduit.

Tagaga, tagada… Après quelques va-et-vient, je deviens incapable de me retenir et je décharge dans son cul et me retire.

– Merci les filles, c’était bien !
– Attends, on assure aussi le service après-vente ! Me dit alors Linda en venant avec sa bouche me nettoyer la bite du sperme agglutiné et de quelques traces douteuses…

En quittant le café des lauriers, je découvrais un message de la capitaine de police Annabelle Jiker qui m’informait de la découverte d’une troisième victime, un dénommé Wang lui aussi membre de l’équipage du Tamanoir.

Voilà qui commence à bien faire.

Sans plan précis, je rends visite à un petit futé qui se fait à ma demande un malin plaisir de craquer le spacephone de Schwartzman. Il n’y a pas grand-chose d’intéressant dedans hormis le passe de son hôtel, ça peut toujours servir.

Je fais quoi ? Je n’ai pas de nouvelles des autres gus que j’avais listé… Alors retourner voir ce Schwartzman et l’avoir au forcing. Ça ne coute rien d’essayer.

Lui aussi est descendu à l’hôtel du Cygne, l’hôtel racheté par Dilos, mon ingénieur de bord (voir plus avant) Je m’y rends et demande à voir ce dernier.

– Salut ! Tu fais quoi ? Tu mènes une enquête ? M’interpelle Dilos
– Plus ou moins, t’as un Schwartzman chez toi.
– Ah oui, c’est le mec qui a perdu son spacephone… Tu veux le voir ?
– Oui, mais ne l’appelle pas, je vais monter j’ai son numéro de chambre.
– Ah ?
– Ben oui, c’est moi qui ai son spacephone avec le passe !
– O.K. Vas-y, j’espère que tu ne vas pas trouver un cadavre comme l’autre fois !
– Touchons du bois !

Je monte, repère la chambre et j’active le passe. Le mec entendant du bruit demande ?

– C’est quoi ?
– Service d’étage !

La tronche qu’il me fait en me voyant débouler.

– Vous ! Mais qui vous a autorisé à rentrer dans ma chambre ?
– Asseyez-vous, faut qu’on cause !

Il n’en fait rien et va pour activer l’interphone. Je l’en empêche et le pousse sans trop de ménagement sur le plumard !

– Bon si t’es sage dans 10 minutes je serais parti, alors tu arrêtes tes conneries et tu m’écoutes.
– Mais pourquoi faire, je n’ai rien à vous dire ! Foutez-moi la paix !
– Trois membres de l’équipage du Tamanoir ont été assassiné et s’ils ont été assassinés ici sur Vargala-station avec tous les risques que ça comporte, c’est qu’il devait y avoir une bonne raison…
– C’est pas mes oignons !
– Tu travaillais sous les ordres du subrécargue à bord du Tamanoir, c’est bien ça.

Pas de réponse.

– Eh ! Je te parles !

Manifestement le type a choisi le mutisme comme stratégie défensive. Ça va pas être de la tarte !

– Ecoute, j’avais prévu 10 minutes, mais si tu fais ta tête de lard, je vais changer la règle et je ne partirais pas d’ici avant d’avoir mes réponses.

Toujours pas un mot ! J’ai comme une envie de lui foutre un pain, mais ce serait contre-productif… et puis jusqu’à preuve du contraire ce mec n’a rien fait de mal, c’est juste un trouillard !

– Ce que je veux savoir c’est ce que le vaisseau livrait et à qui ? C’est quand même pas compliqué. Je ne te demande pas les coordonnées de la planète, je suppose que tu ne les connais pas et je les trouverais autrement, il me suffira de retrouver le navigateur.

Pas de réponse mais un rictus que je ne sais comment interpréter.

– Alors t’accouche ?

Ça devient pénible, je laisse passer cinq minutes et le voilà qui se lève…

– Où tu vas ?
– Pisser !
– Non !

Et je sors mon pistolet à laser.

– Des menaces physiques, maintenant, mais vous êtes ignoble !

Miracle, il parle !.

– Réponds à mes questions et ensuite je m’en vais et tu pourras aller pisser !

Silence radio. Il est mal, il se dandine, à tous les coups il va pisser dans son pantalon. Il continue son mutisme puis se rendant compte que ça ne sert à rien, il éclate :

– Vous me faites chier ! Vous êtes en train de me considérer comme un coupable ! Un coupable de quoi ? Je n’ai rien fait de mal, je ne suis qu’un navigant qui fait son travail. Et je n’ai aucune raison de répondre aux questions d’un type qui n’a aucun droit de m’interroger.
– Je ne m’adresse pas à toi comme coupable, mais comme témoin.
– Eh bien le témoin, il n’a rien à vous dire et il vous emmerde !
– Elles sont compliquées, mes questions ?

Il devient rouge comme un coquelicot et cette fois ça y est, il se pisse dessus.

– Vous vous rendez compte que vous mettez ma vie en danger ! Hurle-t-il.
– Comment ça ?
– Admettons que je vous dise des trucs, j’ai bien dit « admettons ». Vous les utilisez pour faire je ne sais quoi. Fatalement les gens qui ont tué Riddick et Salim vont vous tomber dessus, on va vous torturer, et sous la torture vous allez lâcher que c’est Schwartzman qui vous a tuyauté, et ça va me retomber sur la gueule.

Je m’abstiens de répondre et passe à autre chose

– Le Tamanoir va repartir ?
– Dans 10 jours à moins que ce soit retardé.
– Et toi, tu vas repartir ?
– Surement pas !
– Ah ? Et tu vas faire quoi ?
– Je trouverais bien un vaisseau qui voudra de moi !
– Peut-être pas !
– Pardon ?
– En tant que capitaine, j’ai accès a pas mal de fichiers, y compris celui des postulants navigants. Je peux donc ajouter sur ta fiche un truc du genre « élément indiscipliné et peu fiable »… et personne ne voudra de toi !
– C’est dégueulasse !
– Prends le risque de répondre à mes questions et je te foutrais la paix.
– Non !
– Bon, je ne peux pas t’obliger, je me casse. Au fait tu sais comment je peux trouver le navigateur de Tamanoir ?
– Mais enfin, vous dites n’importe quoi !
– Hein ?
– Vous m’annoncez sa mort et après vous me demandez comme le trouver !
– C’était Riddick, le navigateur ?
– Non, c’était Salim !

Et patatras tout s’écroule, entre Schwartzman qui ne veut rien me dire et Salim qui aurait sans doute été le seul à m’indiquer la destination du « Tamanoir », je suis servi… Il me reste quoi ? Je peux me débrouiller pour avoir accès aux livres de bord de leur vaisseau. Je ne me fais aucune illusion sur le livre courant qui doit être un ramassis de mensonges, quand à l’autre, la « Boite Noire », certains savent très bien la trafiquer.

Donc je laisse tomber. Mais je vais quand même rendre visite à la capitaine Jiker.

– T’as du nouveau ? Lui demandais-je
– Oui, apparemment la dernière victime du tueur s’est défendu, ce qui fait qu’on a de l’ADN,
– Le tueur n’a même pas pensé à se protéger ?
– Si, on le voit sur une vidéo avec un masque et des gants… Mais quand tu te bats, tu baves et tu postillonnes, d’où l’ADN sur le corps de la victime. Donc l’agresseur s’appelle Jando Sambariz. Tiens voilà sa tronche, ça te dit quelque chose ?
– Non, il a l’air plutôt insignifiant !
– Pourquoi voudrait-tu qu’il ait une tête spéciale ?
– La mafia est au courant ?
– Non, mais je peux m’arranger pour qu’elle le soit.
– N’en fait surtout rien ! Et si tu le choppes, préviens-moi, j’aimerais bien lui causer.
– J’ai donné l’ordre au cosmodrome de l’appréhender s’il essayait de quitter la planète.

Et pour le retrouver, la Capitaine Jiker n’a d’autres moyens que d’activer son réseau d’indics. Opération hasardeuse puisque ses indics peuvent aussi bien être également des indics doubles au service de la mafia.

Le lendemain, un message apparaissait sur tous les spacephones (enfin presque tous) de la ville.

« Les compagnons vigilants ont identifié et capturé l’assassin de trois membres de l’équipage du Tamanoir. Nous lui avons coupé trois doigts et l’avons éjecté de la ville en direction de la presqu’ile des exclus. Vu ses antécédents son espérance de vie devrait y être fort courte. Sur Vargala, on ne plaisante pas avec le crime ! »

La mafia l’a donc retrouvé, mais ne l’a pas tué, fidèle en cela sa politique visant à empêcher les vendettas dans l’enceinte de la cité.

Je peux donc éventuellement le retrouver, et je ne vais pas me compliquer la vie en passant par le sas permettant d’y accéder (voir Vargala Station 8 – La presqu’île des exclus du même auteur). Non je vais faire plus simple…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Samedi 10 mai 2025 6 10 /05 /Mai /2025 11:04

Stoffer 6 – Les négriers du cosmos – 1 – Meurtre à l’Hôtel du Cygne par Nicolas Solovionni
StampFFH

Bonjour tout le monde, moi c’est Ajas Stoffer, capitaine de vaisseau (spatial, bien sûr !). Une expédition juteuse sur Orza (voir ce chapitre), m’a permis de faire fortune et d’acheter « Le Diable rose » un cabaret fréquenté par des transsexuelles, tandis que ma seconde de vaisseau s’offrait un institut de massage haut de gamme baptisé « Les doigts d’or ».

Il pleut aujourd’hui sur Vargala. Des trombes d’eau ! Ça me rend de mauvais poil. Nadget la ravissante blackette qui a partagé maintes et maintes aventures avec moi cohabite actuellement dans mon bel appartement.

Nadget occupe les fonctions de technicienne de bord à bord de mon vaisseau. Avec ce qu’on a gagné sur Orza elle s’est acheté un restaurant assez chic qu’elle a placé en gérance ainsi qu’une piscine privée où elle passe beaucoup de temps.

Elle est gentille et elle essaie de me distraire en se baladant à poil dans toutes les pièces et en tortillant du popotin (qui est fort joli).

Mais aujourd’hui, ça ne marche pas, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.

Je décide d’écouter un peu de musique… de la musique terrienne du 19ème siècle… Ils savaient faire de la bonne musique en ces temps-là.

– C’est de la musique de film ? Me demande-t-elle.
– Non, c’est Beethoven !
– C’est joli !
– Ben oui !

Et voici que mon spacephone se met à sonner, C’est Dyane, ma seconde, je décroche.

– Bonjour ! Tu as vu, il pleut ! M’annonce-t-elle fièrement.
– Tu parles d’un scoop !
– Non, mais j’en ai un pas mal, de scoop, passe donc à l’institut, je te raconterais.
– Par téléphone, c’est pas possible ?
– Allons, allons !
– Bon, j’arrive !

J’en informe Nadget. Elle n’est pas jalouse mais elle est jalouse quand même.

– Qu’est-ce qu’elle te veut cette pétasse ?
– Je vous croyait copines ?
– C’est ma copine, mais n’empêche que c’est une pétasse !
– Elle a un scoop ! Je ne sais pas de quoi il s’agit, je peux toujours aller voir, ça me fera une balade !
– Sous la flotte !
– J’ai un parapluie !

La technologie a évidemment fortement évoluée ces siècles derniers et cela dans tous les domaines, mais un parapluie reste toujours un parapluie !

J’arrive à l’institut, l’accueil est occupé par une brune piquante aux seins débordant (volontairement je suppose) du décolleté.

– Ah ! Bonjour Capitaine ! Je suppose que vous désirez rencontrer madame Dyane ?
– Exactement, ma chère !
– Je crois bien qu’elle est occupée. Attendez que je vérifie…

Elle active son ordinateur, et de ma place, je ne distingue pas ce qui se passe à l’écran.

– Oh ! S’écrie-t-elle.
– Un problème ?
– Pas du tout, actuellement Madame Dyane est en partouze. Elle se fait enculer par une grosse bite !
– Epargnez-moi les détails !.
– Pourquoi, ça ne vous excite pas ?
– Si, mais bon… je peux repasser à quelle heure ?
– Madame Dyane m’a donné instruction au cas où elle serait occupée de vous offrir un massage royal à quatre mains. Si vous vous désirez en profiter, je vous suggère de vous diriger vers la cabine 7…

Puisque c’est offert…

– Je m’appelle Gudrun ! Me dit une jolie blonde aux cheveux mi court et au nez en trompette, et ma copine c’est Mirabelle (une brune au sourire ravageur) Mets-toi à poil sur la couchette, on va bien s’occuper de toi !
– Sur le ventre ? Sur le dos ? Demandais-je après m’être déshabillé.
– Sur le ventre pour commencer !

Et les deux filoutes se débarrassent de leur kimono à fleurs dévoilant leurs jolies poitrines, plutôt modestes avec les bouts très roses pour Gudrun, assez conséquente pour Mirabelle.

Cette dernière se place devant moi de telle façon que je puisse avoir accès à ses gros tétons. Pensez-bien que je m’en régale et pendant ce temps Gudrun après m’avoir versé de l’huile parfumée, me malaxe les fesses avec une certaine énergie. Je bande !

Gudrun m’écarte ostensiblement les globes fessiers. Pas difficile de deviner ce qu’elle compte faire ! Et fatalement son doigt m’entre dans le trou de balle et s’agite en cadence. Qu’est-ce que c’est bon !

– T’aimes ça que je t’encule avec mon doigt ?
– J’adore !
– Je vais te foutre un gode ce sera mieux que mon doigt !
– Si tu veux !

Le gode est équipé d’un petit vibrateur intégré, je ne vous raconte pas l’effet que cela me procure !

– Je parie que tu adores te faire enculer ! Me nargue-t-elle.

Je ne réponds pas, ça ne la regarde pas et de toute façon, elle n’en a probablement rien à foutre.

Après plusieurs minutes de plaisir anal et de léchage de tétons, les filles me demandent de me retourner.

Attention, ça va être la fête à ma bite !

Ah, non pas tout de suite, Gudrun se recule et Mirabelle me grimpe dessus en se débrouillant pour ramper sur mon corps de telle façon que ses tétons me touchent la peau. Faudrait vraiment être un pape en retraite pour ne pas bander devant une telle figure de style. Elle termine cette petite fantaisie en me gratifiant d’un patin magistral, puis de façon tout à fait inattendue elle me pince mes propres tétons. D’abord doucement puis remarquant que je réagis bien à cette petite misère, elle augmente sa pression… Qu’est-ce que c’est bon !

En même temps, Gudrun me caresse les couilles, puis entreprend de me branler la bite de l’extrémité de ses doigts.

Mais qu’est-ce qu’elle attend pour me sucer ? Est-ce au moins à son programme ?

Ah ! Ça y est ! Juste un petit coup de langue sur le gland pour commencer avant de me balayer la verge de haut en bas puis de bas en haut.

Stoffer601
Et voilà Mirabelle qui la rejoint… Une pipe à deux bouches ! N’est-ce point merveilleux ? Les voilà qui s’amusent comme des petites folles, Mirabelle met tout dans sa bouche, se livre à quelques va-et-vient puis repasse ma bite à sa collègue et ainsi de suite.

A ce régime, je ne vais pas tenir longtemps. Et elles s’en aperçoivent (ben oui ce sont des pros !)

Court moment calme pendant lequel elles se contentent de me caresser sensuellement, puis Gudrun se retourne et m’exhibe son bel œillet brun déjà entrouvert.

– Encule-moi, capitaine !

Voilà une proposition qui ne se refuse pas ! Mais avant d’introduire ma bite dans ce délicieux fourreau, je ne peux résister au plaisir de le lui lécher, j’adore ça !

Mais ma bite n’en peut plus, il me faut conclure, j’encule la masseuse d’un coup sec, quelques allers et retours auront suffi, je décharge en soufflant comme un bœuf. Je décule, je suis bien et Gudrun vient me nettoyer ma bite maculée de sperme.

– Le pourboire n’est pas obligatoire, mais on aime bien quand même ! Me chuchote Mirabelle.

C’est ce qui s’appelle ne pas perdre le nord !

J’ai pris une douche rapide et me suis rhabillé, avant que l’on m’accompagne jusqu’au bureau privé de Dyane.

– Alors, c’était bien ?
– Il faudrait être difficile…
– N’est-ce pas ? Mais regarde un peu ça !

Elle me tend son spacephone qui affiche une photo d’un mec qu’une cinquantaine d’années crasseux et en haillons, la barbe et les cheveux hirsutes, en train de cueillir des plantes que je n’identifie pas.

– C’est quoi que tu me montres ?
– Le mec c’est Martin Bonifacio…
– Jamais entendu parler !
– Un magnat de la finance. Disparu suite au piratage du vaisseau de luxe « La licorne ».
– Oui, et alors ?
– Ça veut dire qu’un certain nombre de passagers mâles ont été réduit en esclavage après le piratage. Pour les femmes, je suppose que les circuits sont différents.
– Mais où est-ce que tu veux en venir ?
– On pourrait les libérer, non ?
– N’importe quoi ! Tu me vois risquer ma vie pour sauver des milliardaires. Ces gars-là ont eu une vie chanceuse et puis un jour le vent a tourné, tu ne voudrais quand même pas que je les plaigne ?
– D’abord il n’y a pas que des milliardaires, il doit y avoir des membres de l’équipage, du personnel de maintenance, des employés de la restauration…
– Mais tu la sors d’où cette information ?
– Un client, il m’a juste transféré la photo et l’identité du type qui fait de la cueillette, sinon je ne l’aurais pas reconnu. Il m’a simplement dit que si je connaissais quelqu’un qui pourrait lui acheter des informations complémentaires…
– Donc au lieu d’aller raconter aux flics ce qu’il a vu, il préfère moyenner l’information. Pas trop gêné le mec !
– Il tente sa chance, c’est son droit !
– Admettons ! Je suppose qu’il t’a laissé ses cordonnées ?
– Oui ! Zubin Riddick, hôtel du cygne.
– C’est l’hôtel que Dilos a racheté ?
– Oui !

Dilos était mon ingénieur de bord sur mon vaisseau « Le Rosamunda », quand on s’est partagé le magot suite à notre expédition sur Orza, il a acheté ce bel hôtel avec sa part .

Je décide donc de rencontrer ce type, non pas que j’ai l’intention de me lancer dans je ne sais quelle expédition hasardeuse, mais j’aime bien savoir parfois…

– Alors Dilos; les affaires marchent bien ?
– Faut pas se plaindre.
– Est-ce que t’as un certain Zubin Riddick chez toi ?
– Décidemment il est très demandé, tu veux le voir ?
– Oui !
– Je l’appelle.

Il l’appelle, mais ça ne répond pas…

– Il a dû couper l’interphone, et je n’ai pas son numéro de spacephone ! Tu veux lui laisser un message ?
– Non mais j’ai comme un mauvais présentiment, on ne peut pas aller faire un tour dans sa chambre ?
– Attends ! Mina s’il vous plait, trouvez un prétexte pour entrer dans la chambre 14 et prévenez-nous s’il a quelque chose d’anormal.

Et trois minutes plus tard !

– Monsieur Dilos, le monsieur du 14 ben…
– Ben quoi ?
– On dirait bien qu’il ne respire plus.

On monte et nous ne pouvons que confirmer que le bonhomme est passé de vie à trépas, probablement par étranglement.

On fouille un peu, évidemment on ne trouve rien d’intéressant d’autant que son spacephone a disparu.

On appelle la police, c’est la capitaine Annabelle Jiker, une grande rousse au physique impressionnant, (voir les épisodes précédents) qui se déplace en personne

Très vite l’identité de la victime est confirmée, mais l’individu était jusqu’à présent inconnu des services de police locaux.

– Tu voulais le voir à quel sujet ? Me demande la fliquette.

Vite un gros mensonge ;

– J’en sais rien, c’est lui qui a demandé à me rencontrer.
– Ah ? Je contacte l’astroport, je voudrais savoir d’où il sort !

Jiker s’éloigne de quelques pas, puis revient.

– Bizarre ça, c’est le deuxième en trois jours !

Qu’est-ce qu’elle raconte ?

– Il est descendu à bord du vaisseau « le Tamanoir », un autre membre du même équipage a été retrouvé mort avant hier. J’ai contacté le capitaine, mais pas facile de dialoguer avec ce mec d’autant que ses documents sont en règle.
– Tu pourrais me filer les coordonnées de ce capitaine ? Et aussi le nom de cette autre victime.
– Dans quoi tu vas encore aller te fourrer ?
– S’il te plaît Annabelle ?
– Bechima, hôtel des vagues. Mais je ne t’ai rien dit.
– Tu vas continuer à enquêter ?
– Pas facile, l’autre victime a été attaqué en pleine rue par un mec masqué… monsieur Dilos, montrez-moi la vidéo de l’accueil
– Voilà, c’est ce mec-là.

Jiker actionne son logiciel de reconnaissance faciale

– Que dalle ! Le mec avait un masque en latex. Je ne vais pas m’acharner. La mafia locale n’aime pas trop les meurtres en ville, je vais les laisser s’en occuper, ils ont d’autres moyens que moi…

Bon je fais quoi avec tout ça ?

Pour l’instant, je n’ai toujours aucune envie de m’occuper du fond de l’affaire, c’est-à-dire d’aller fouiner sur cette planète négrière pour laquelle de toute façon je ne possède pas les coordonnées.

D’un autre côté aller tuer un mec (et peut-être même deux) uniquement parce qu’il souhaitait dénoncer une situation de mise en esclavage, me révulse !

Les meurtres sont interdits de facto sur Vargala. Un petit aparté à propos de cette situation.

La mafia locale évite de tuer, du moins officiellement, depuis qu’un pacte de non-agression a été conclu entre les différents parrains du lieu, non par conviction pacifique mais par crainte de voir leurs effectifs fondent comme neige au soleil (voir pour plus de précisons sur ce point : Vargala station -3 – La-Maison parme). Par contre quand un meurtre est perpétré sur la planète, elle s’érige en main justicière et ne fait pas de cadeau !

Qu’est-ce que je pourrais bien faire pour me rendre utile ? Pas question de rencontrer ce capitaine Rutger Béchima qui doit inévitablement être impliqué d’une façon ou d’un autre dans l’affaire ! Alors essayer de sonder l’un des membres de son équipage, mais je ne les connais pas…

Mais en tant que capitaine de vaisseau, j’ai l’autorisation d’accéder à la composition de l’équipage via les fichiers de l’astroport, à l’aller comme au retour.

Alors allons-y, je choppe la fiche de Zubin Riddick qui effectuait son second voyage à bord du Tamanoir. OK, mais ce n’est pas ce que je cherchais, je mémorise les tronches des autres membres de l’équipage, j’en sélectionne quatre parmi ceux qui ont le moins d’ancienneté sur le vaisseau et n’ai plus qu’à activer mon (modeste) réseau d’indics occasionnels.

Ça ne loupe pas on me signale la présence d’un dénommé Schwartzman au café des Lauriers..

Je mémorise sa tronche et m’y rends donc ! C’est un semi-bordel comme il y en a des tonnes dans cette ville portuaire.

Un rapide tour d’horizon, je n’aperçois pas le mec en question…

Une gagneuse au décolleté impressionnant s’approche de moi

– Bonjour capitaine, on ne vous voit pas souvent ici !
– Que voulez-vous ! J’ai mes habitudes ailleurs.
– Les habitudes, c’est fait pour en changer, non ?
– Certes, mais en fait j’attends quelqu’un.
– Quel dommage, je vous aurai volontiers fait une pipe d’enfer. Je m’appelle Iris !
– Cela aurait été avec grand plaisir mais on ne peut pas tout faire à la fois… Ah justement le voilà qui descend… Si vous pouviez le prévenir que je l’invite à ma table.
– Mais bien sûr mon chéri !

Le type est surpris mais se pointe néanmoins devant ma table.

– Asseyez-vous, je suis le capitaine Stoffer, je veux juste vous dire deux mots. Je vous commande une bière ?

Il ne me connait pas, je suppose que Vargala station n’est pas son port d’attache. Aucune importance.

– Vous étiez à bord du Tamanoir, je ne me trompe pas ?
– Non, mais qu’est-ce que vous me voulez ?
– Zubin Riddick, ça vous dit quelque chose ?
– Un collègue. Il était à bord du Tamanoir avec moi.
– Il vient de se faire assassiner !
– Ici ?
– Dans son hôtel. Et Stal Salim ça vous parle aussi ?
– Vous n’allez pas me dire qu’il s’est fait tuer lui aussi ?
– Ben si !
– Je croyais que les crimes n’existait pas ici ?
– Que voulez-vous, il y a toujours des gens qui prennent des risques. Mais pour prendre un risque pareil, il faut sans doute une raison grave. Vous en pensez quoi ?
– Qu’est-ce que voulez que je vous dise ?
– Ce que vous en pensez ?
– Je n’en pense rien !
– Peut-être que quelqu’un a trouvé qu’ils étaient trop bavards… lui suggérais-je.
– Bon, vous n’êtes pas de la police à ce que je sache, alors merci de me foutre la paix. Répond Schwartzman en haussant le ton..

Et il se lève brusquement en renversant son verre de bière, puis va pour se diriger vers la sortie.

Et là, il est bloqué par une sculpturale brune entre deux âges, il s’agit de Madame Dalhia, la patronne du lieu. une brune mature et potelée arborant un impressionnant décolleté.

– Dites donc jeune homme, vous n’êtes pas très aimable avec le capitaine Stoffer, il vous paie à boire et vous faites une esclandre ! Ce n’est pas dans les habitudes du lieu.
– Bon ça va, je m’excuse !

Un impressionnant videur est arrivé à la rescousse. Schwartzman est blême.

– Capitaine, si vous souhaitez l’interroger, on a un petit local discret au sous-sol !
– Non, laissez-le partir, il n’a tout simplement pas de couilles au cul.
– Alors remercie le capitaine de sa générosité.
– Excusez-moi, mais ce n’est pas de ma faute si je ne peux pas répondre à vos questions..
– Ce ne sont pas des remerciements, ça ? Insiste Madame Dahlia
– Merci, merci !
– C’est ça dégage !

Ma voilà bien avancé, et j’avoue ne pas comprendre le sens de l’intervention de la patronne.

– J’ai par mégarde entendu votre conversation, je voulais vous donner un coup de main. Cela aurait été un échange de bons procédés, en échange nous aurions eu l’honneur de vous avoir comme client VIP.

Evidemment vu sous cet angle…

Mais c’est qu’elle est curieuse la mère Dalhia avec ses gros nichons. Elle s’assoit devant moi.

– Un double crime ici ? La mafia ne va pas laisser passer ça ! Il en va de sa crédibilité.
– Pour l’une des victimes, je ne sais pas, mais l’autre a eu le tort de ne pas rester discret, ce vaisseau avait des choses à cacher…
– Quelles genre de choses ?
– Je ne sais pas trop. (il me faut rester prudent).
– Tiens, j’ai un cadeau pour toi.

Et elle me tend un spacephone.

– C’est celui du mec, je lui ai fait les poches pendant qu’on le bloquait.

Je regarde l’objet, évidemment il est sécurisé et je ne peux pas l’ouvrir. Pas grave il y a plein de hackers sur Vargala.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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Vendredi 30 août 2024 5 30 /08 /Août /2024 17:05

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 15 – La punition de Sierra par Nicolas Solovionni
stamp transblack

J’emmenais ensuite Sierra, la belle transsexuelle dans mon bureau privé dans lequel se trouve un moelleux canapé au cas où..

– Sierra, tu dois avoir plein de choses à me raconter ?
– Plein !
– Mais tu me les raconteras plus tard, pour le moment j’ai envie de te prendre dans mes bras.
– Faites-moi tout ce que vous voulez ! Je me laisse faire, j’ai confiance !
– Eh bien commence par te déshabiller, j’ai trop envie de revoir ta bite !

Stoffer515Elle n’avait pas grand-chose à enlever, mais en bonne professionnelle elle fit durer le plaisir, me dévoilant d’abord ses seins magnifiques sur lesquels je me jetais comme un fou, les embrassant et leur tétant les bouts.!

Je m’accroupissais ensuite pour lui baisser moi-même sa culotte et emboucher sa bite demi-molle mais que mon action combinée des lèvres et de la langue eut tôt fait de lui rendre une honorable rigidité.

Je cessais ma fellation au bout de quelques minutes n’ayant pas l’intention de la faire jouir prématurément.

– Au fait, Sierra, je te dois une punition !
– Une punition, pourquoi ? J’ai été vilaine ?
– Bien sûr, tu ne serais pas allé faire de la provocation dans un rade sur Idoxa, tu ne te serais pas fait kidnapper.
– Alors c’est vrai, patron ! Punissez-moi comme je le mérite.

J’ai toujours quelques gadgets dons les tiroirs de mon bureau. Je demande à la joli trans de ne pas bouger et lui fixe une pince à chaque téton.

Oh, la vilaine grimace qu’elle me fait !

– Ça fait mal, patron !
– Bon, je vais te les enlever…
– Non, non patron punissez-moi, je ne suis qu’une chienne.
– Ça c’est vrai, et tu sais ce qu’elles font les chiennes ?
– Des cochonneries, je suppose.
– Tout à fait ! Et je vais te demander de me lécher le trou du cul !

Elle ne se fait pas prier et sa petite langue vicieuse vient me lécher ma rondelle. J’adore cette caresse, et mon anus aussi puisqu’il finit par bailler de plaisir.

– T’aimes ça lécher les culs, hein Sierra ?
– J’adore !
– Même quand il ne sont pas très propres ?
– Quand ils ne sont pas propre, je nettoie, puisque je suis une chienne.
– C’est bien, fous moi un doigt maintenant !

Sierra possède de très jolies mains avec de grands doigts. Tant mieux plus c’est long, plus c’est bon !

Elle me ramone ainsi mon conduit anal pendant plusieurs minutes et quand je lui demande se retirer, c’est un doigt pas très net qui ressort.

– Ben tu ne va pas rester avec le doigt pollué, lèche-moi tout ça !

Et là encore, elle ne se fait pas prier, elle donne même l’impression de se régaler. C’est vraiment une bonne soumise !

– Alors c’était bon ?
– Oui, j’aime bien.
– Parfait mais la punition n’est pas terminée.

C’est bizarre la nature humaine, parce que je suis plutôt en matière de sexualité, orienté maso, mais il m’arrive parfois de me laisser aller à des instinct sadiques… Non pas sadique, je ne m’amuse qu’avec des partenaires consentants. J’ai quand même quelques principes.

Je lui ai accroché deux autres pinces sur ses grosses couilles que j’ai ensuite ligaturé.

Retour des grimaces.

– J’ai mal patron.
– Et qu’est-ce que je dois faire ?
– Continuez à me faire mal !

J’ai dans mon attirail, un Rimba, c’est un peu comme un martinet mais avec beaucoup plus de lanières..

Je la flagelle à la volée sur son joli petit joufflu. Pas trop cependant, je n’ai aucune intention de la mettre en arrêt de travail.

– Bon tu m’a bien excité, tu as vu ma bite comme elle est raide !
– Elle est belle !
– Merci c’est gentil ! Attention, je retire les pinces

Une opération toujours douloureuse…

– Et maintenant suce moi la bite ! Lui ordonnais-je en quittant promptement mes vêtements. Elle s’accroupit et ce fut donc à son tour de me pomper.

Elle le fit en m’agrippant les fesses, sa main glissant presque imperceptiblement vers l’anus avant d’y faire pénétrer un doigt inquisiteur.

C’est pas vrai, elle doit être accro a ce truc là !

J’étais bien sûr aux anges !

Mais elle non plus n’avait pas l’intention de me faire jouir trop vite, aussi se releva-t-elle et se retourna pour m’offrir ses fesses. Des fesses magnifiques soit dit en passant au risque de me répéter.

Je l’enculais donc (même si j’aurais préféré le contraire) avec d’autant plus de vigueur que je sentais mes couilles prêtes à exploser, tandis que la belle trans se branlait la bite comme une forcenée.

Mais quand je la senti jouir du cul sans aucune simulation ce fut pour moi le plus beau des cadeaux, alors j’accélérais la cadence et me libérais dans son fion de princesse.

On s’enlace, Sierra me nettoie ma bite gluante de sperme et de jus de cul, de sa bouche. On s’embrasse profondément…

Et pour finir en beauté, supposant que toutes ces turpitudes avait du lui donner soif, je lui pissais dans la bouche. J’avais une grosse envie !

Et c’est chères lectrices, chers lecteurs, chères lectrices, la fin de ce trip et aussi la fin de cette aventure qui j’espère vous aura satisfait.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Eros Cosmos
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