Auteurs divers

Jeudi 21 novembre 2024 4 21 /11 /Nov /2024 16:20

Mais qui donc est Papillon ? par O_L

 

BigsTits
Petit, je lisais Dumas. Ado, j’ai dévoré Sartre et Camus, Dostoïevski et Tolstoï. Sade circulait sous le manteau à la fac (c’était avant l’ère Internet). Ces lectures et mon tempérament solitaire m’ont donné la passion d’écrire. Je trouvais plus de plaisir à imaginer les choses qu’à les vivre. Pourtant mes romans épiques et mes essais philosophiques sont restés ce qu’ils étaient : pure abstraction. Aucun éditeur n’a trouvé ma prose digne de franchir dans l’autre sens la porte du monde réel : du papier, avec une couverture dessus, dans la vitrine d’un libraire, et aussi un chèque pour faire bouillir la marmite.

 

Un week-end d’hivers bien gris et bien triste, j’ai jeté tout mon spleen et ma frustration dans une nouvelle de 4 pages qui a changé ma vie. C’était torride pas épique et pas philosophique. Les mensuels pornos se la sont arrachée et des années plus tard, mon filon ne s’est pas tari. La littérature porno n’est pas cher payée, mais c’est plutôt sympa. Surtout les jours d’inspiration. Les autres, c’est l’enfer.

Aujourd’hui, c’est « enfer ». Encore un de ces week-ends pourris que j’exècre. Mon stock de bière et de chips descend dramatiquement. Je surfe sur les forums sexo à la recherche d’inspiration. Rien d’original. J’essaye les forums psycho à la pêche à quelques sentiments sincères dont mes héroïnes habillent leurs frasques sexuelles. Mais rien de neuf sur la planète Internet. Jalousie et cocufiage sur fond de déprime. Très peu pour moi !

Je reviens sur un forum de filles que j’aime bien. J’y suis « Lydia » et j’y ai mes copines.

Elise : Bonjour, je m’appelle Elise, je suis nouvelle ici. Je me sens un peu perdue. Je voudrais savoir si d’autres filles ont déjà vécu les mêmes choses que moi.

Lilou : Ben si tu nous dis pas ce que t’as…

Elise : C’est pas facile à raconter. J’ai 25 ans, je suis hôtesse d’accueil dans une bonne boite à Paris, j’attendais tranquillement le prince charmant en m’ennuyant un peu au boulot et d’un coup ma vie a basculé. J’arrive pas à savoir si c’est pour de vrai ou en rêve. Est-ce que vous pouvez m’aider ?

Lilou : T’as toujours rien dit. Lâche toi, ça te fera du bien.

Elise : OK. Lilou, t’as raison. Voila. Bon. Je me jette à l’eau : J’ai branlé deux mecs en même temps pendant qu’ils me pelotaient tous les deux. Ça m’a fait jouir et j’ai fait pipi dans leurs mains à travers mes habits en jouissant.

Lilou : Non ??? Pour de vrai ? Où ça ? Chez lui ? Raconte !!

Elise : Dans une brasserie, et quand le garçon de café nous a découverts il s’est fait sucer par mon ami. Ça m’a excitée de voir mon ami sucer un homme alors je lui ai baissé le pantalon et je lui ai léché la rondelle. Je veux qu’une fille me réponde je vous en supplie. Est-ce que ça arrive de péter les plombs comme ça d’un coup ? Est-ce que je suis normale ?

Papillon : Bonjour Elise. Rassure-toi, y a plein de gens qui aiment jouer avec le pipi. Peut-être que tu as eu une éducation trop stricte et qu’au fond de toi tu l’avais pas acceptée, que tu te sentais une fille libre, alors tu t’es lâchée d’un coup. Je suis sûre que ça t’a fait du bien.

Elise : Merci Papillon. Ca fait du bien surtout de se sentir écoutée. Moi je vais pas très bien parce que je suis complètement crevée. Figure toi qu’après le coup de la brasserie, on est allés à une petite fête Là ça a été torride plus que tout ce que je pourrais vous dire. Et le pire c’est que ça m’a plu. Les filles s’il vous plait, dites-moi si ça vous arrive des trucs comme ça. Je me sens seule et perdue.

Papillon : Elise ! On veut tout le récit de ta soirée ! Moi j’ai déjà bu trois thés glacés, je les ai même déjà fait pipi sur ma chaise en me caressant et je commence à m’ennuyer. Je suis seule aujourd’hui et ça me fait mal parce que j’ai trop envie de jouir. Heureusement, j’ai un super vibro, pas trop gros mais très doux et qui vibre super fort. Là, je me le suis mis dans le cul et je me suis assise dessus comme ça à pianoter sur l’ordi pendant qu’il vibre. Ça me donne des envies de chier qui viennent comme des vagues me faire de l’électricité dans tout le corps et puis ça passe, jusqu’à la vague suivante. Je peux plus écrire. J’ai besoin de me caresser. Elise ! Je t’en supplie ! Raconte la suite de ton histoire.

BigBisou : Bonjour Les filles. Bonjour Papillon. Ben je vois que ça marche pour vous ce soir. Moi aussi j’attends la suite d’Elise avec impatience. Mon truc pour attendre, j’ai un énorme vibro bien dur que je serre entre mes cuisses quand je suis devant mon ordi. En fait je m’assoie presque dessus. En me balançant d’avant en arrière tout en serrant fort les cuisses, ça le cale juste là où il faut pour qu’il m’appuie sur le clito à travers mon jean. Je bois des cocas en même temps et quand mon sexe est tout gonflé et ma culotte toute remplie de mouille, l’envie de faire pipi me vient et là c’est le délice. Je n’aime pas les petits pipis. Ce que j’aime, c’est le gros jet qui fait bien du bruit et qui déborde énorme de partout. Si je suis entrain d’écrire un truc excitant en même temps comme maintenant, ça me fait à chaque fois la même chose. a a a a a a aaah wxsdcfvghnjklpoiopiuyhfd

Papillon : Cool ton histoire. Moi j’en suis restée à mon petit vibro. Je l’emmène même au boulot.

Elise : Au Boulot ?

Papillon : Oui, je suis caissière dans un supermarché. Ya pas un boulot plus dur que celui-là. C’est dur au physique avec les paquets à traîner. Et c’est dur au moral avec les clients en face qui sont pas souriant, moches, énervés, et qui ont même pas l’air d’être content d’acheter plein de trucs que moi je peux pas me payer. Alors je me défoule. Je me mets le vibro dans le cul, un boxer en lycra bien moulant et bien confortable dessus, et un cycliste en latex encore au-dessus pour les petites fuites (les grosses pas question !! là je suis virée illico ! c’est bien ce qui m’excite). Une minijupe au-dessus du cycliste. Ca attire les regards et ça excite les clients. Un décolleté pour finir le tout, et je m’assoie bien cambrée sur mon tabouret en écartant les jambes. Je sens mon anus bien écarté par le vibro et bien gonflé de plaisir et je l’écrase de tout mon poids contre la chaise. J’adooooore ça. Surtout quand les clients regardent mon décolleté, là je pousse un peu et en me balançant je peux faire aller et venir le vibro dans mon anus pendant que le mec regarde mes gros seins. J’imagine l’air que j’ai : une fille normale. Je regarde le client : il a l’air normal. Et après j’imagine ce qu’il pense : un gros cochon qui voudrait bien tromper sa femme avec une jolie fille de 20 ans bien mignonne et bien gentille qui ferait tout ce qu’il veut. Et j’imagine ce que je pense moi : je l’emmerde parce que je suis plus vicieuse que lui. Il est triste et con avec son caddy de supermarché et dedans des bières pour lui et des couches pour ses mômes et moi, je prends mon pied. C’est ma vengeance.

Ya pas de des ploucs remarquez. Parfois, ya des mecs XXL et là ça m’excitent encore plus. En fait c’est avec ces mecs là que je risque l’accident de vibro. Un jour il y en avait un que j’avais repéré très loin dans la queue à l’heure de pointe. Blond, mince, musclé, ça me fait des trucs dans le dos rien que de le décrire. L’air super cool et il avait acheté que des trucs intimes genre sous-vêtements, mousse à raser et des trucs comme ça. Bref, j’ai fantasmé sur lui pendant 5 minutes, le temps qu’il arrive quand j’ai passé ses affaires j’avais l’impression que c’était sa peau que je touchais à chaque article que je passait devant le scanner et ça a pas manqué, quand il est passé devant moi et que j’ai senti son odeur, j’ai joui du cul. J’ai été obligée de m’agripper à mon comptoir le temps que ça passe. J’étais toute rouge. Et ça a failli être le gros accident côté fuites. Il m’a demandé si ça allait. Ca devait ressembler à un mal de bide ou à un truc de fille auxquels les mecs ne comprennent rien. J’ai dit non, ça va. On s’est regardés, on s’est sourit. C’était trop top. Et moi j’avais toujours mon vibro qui me vibrait dans le cul pendant qu’il me souriait. Là j’avais ma dose d’émotions. Quel shoot ! Le vibro a pris des vacances pendant une semaine avant que je le ramène au boulot !

J’arrête quelques minutes de regarder le forum. Quand je reviens sur le forum, il y a des pages et des pages de réaction à l’histoire de Papillon. Et pourquoi elle a du succès comme ça et moi je rame pour écrire mes histoires de cul ? Je suis au bout du rouleau, et au bout des chips, et au bout des bières. Tiens, justement, je vais aller en acheter au supermarché ou bosse Papillon. J’espère que je vais la reconnaître. De toutes façons je pourrais toujours fantasmer sur n’importe quelle caissière du moment qu’elle a 20 ans, gros seins, minijupe et décolleté : tout ce que je sais d’elle !

Je remplis mon caddie en habitué. Bières, chips, et tout ce qui va avec dans le parfait caddie du célibataire à la dérive. Je repense aux posts de Papillon au sujet du contenu des caddies et je me demande si je ne vais pas abandonner le mien au milieu de l’allée. Je le pousse comme s’il sentait mauvais. C’est l’heure de pointe. Toutes les caissières sont forcément là. Elles sont trois à coller à mon portrait robot.

La première est brune, mince, le visage long, les cheveux noirs, très maquillée. Je l’imagine le vibro dans les fesses. Je l’imagine vue de dessus, sa tête guidée par ma main, ma bite dans la bouche. Ca colle bien. Tous ses gestes prennent un autre sens. Je commence à bander. Ca doit être elle.

La deuxième candidate est une africaine, la tête ronde, le nez large, les lèvres épaisses, les cheveux défrisés plaqués en arrière dans un bandana. D’énormes seins qui veulent sortir d’un immense soutien gorge qui les fait remonter jusqu’aux clavicules. Ses fesses colossales dépassent de chaque côté de son petit siège. Elle a l’air d’hésiter. Parfois elle s’y prend à deux fois pour scanner un article. On dirait que ses mains tremblent. J’en imagine la cause sans problème. J’imagine aussi son grand corps dans l’intimité, déployé sur toute la largeur du lit, bougeant librement à la recherche du plaisir. Ses énormes cuisses écartées et remontées jusque sous ses bras. Elle crie, elle appelle, elle veut jouir. Je m’approche, je pose mon gland sur l’anus fermé, et je rentre, d’une longue poussée, pendant qu’elle continue de crier. Elle jouit aussitôt, longtemps, jusqu’à ce que je décharge en criant moi aussi. Oui, c’est elle !

La troisième candidate est blonde, les cheveux longs en queue de cheval, grandes boucles d’oreille. Le teint rose, les joues rondes. J’imagine le vibro au travail à l’intérieur d’elle : ça marche bien et, comme pour ses deux copines, tous ses gestes prennent un autre sens, une sens caché, très pervers.

Je commence à me dire que ma technique d’identification n’est pas la bonne : mon excitation est tellement monté que même un baril de lessive passerait l’épreuve du fantasme ! Ce n’est plus vraiment sélectif. Retour à la case départ. Je vais vers la plus proche de moi : c’est la blonde. Il y a deux caddies avant moi. J’aurais le temps de l’observer.

Juste avant que je me mette dans la file, elle allume le panneau « Caisse fermée ». Zut ! Et si c’était elle ! Pas le temps de réfléchir ! Je m’approche :

– « Excusez-moi Mademoiselle, je cherche Papillon ».

Elle me dit d’une voix blanche qui n’attend pas de réponse :

– « Je fermerai la caisse après vous ».

L’attente est un supplice. Ses gestes sont machinaux. Pas un regard pour moi. Je sais maintenant que c’est elle, mais je suis mal à l’aise. Qu’est-ce que je fous là ? C’est moi qui ai maintenant le regard inquiet. Je scrute mon caddie. Il me fait honte. Je la regarde elle. Elle est belle. Elle, au moins, elle est normale, elle se comporte normalement. Et si c’était pas elle ? Je me dis que j’ai le trac et que c’est pour ça que je panique, que tout va bien.

Enfin elle me regarde. C’est qu’elle a passé tout mon caddie sans que je m’en aperçoive. Là, je devrais être entrain de mettre mes courses dans des sachets et de payer, mais je suis planté comme une merde devant elle à la regarder. J’essaye de passer de l’autre côté du caddie. Je trébuche. Mon désarroi est si visible qu’elle éclate de rire. Elle met la main devant sa bouche en signe d’excuses, je ne vois plus que ses yeux. Ils sont gais comme le printemps. J’essaye un sourire.

Elle ferme sa caisse et je range mes courses.

– « Attendez-moi là, je vais rendre ma caisse à la comptabilité ».

Elle s’éloigne sans se presser. Sa petite caisse se balance à son bras, au rythme de ses talons hauts qui claquent sur le sol en faisant bouger ses fesses de droite à gauche. J’attends. Le trac me reprend et m’empêche de bander à l’unisson des fantasmes qui agitent mon esprit.

La voila qui reviens du même pas. Ses fesses se balancent toujours de droite à gauche, du moins je les devine ainsi. Le haut de ses seins, la partie que le décolleté a laissée visible et libre, monte et descend au même rythme. J’essaye d’imaginer le vrai mouvement de ses seins quand le plaisir secouera tout son corps.

Et d’un coup elle est là, face à moi, elle penche légèrement la tête et dit dans un sourire :

–  » On y va ? ».

Je dis oui en rendant le sourire et sans savoir où il faut aller. Les deux autres caissières, la noire et la brune, sont là aussi !

– « Vous pouvez me rendre un service de déposer mes copines au passage ? ».
– « Mais avec plaisir. »
Je réponds l’air normal. Bon Dieu ! Ca devient compliqué !

La brune monte devant et m’indique le chemin, la blonde et la noire sont derrière. Le trajet est gai. A ma question elles éclatent de rire en cour et partent dans d’hilarantes plaisanteries. Tantôt revendiquant la possession du fameux vibro, tantôt en accusant leurs copines. On rit, mais impossible de tirer le vrai du faux. On arrive finalement au premier arrêt et tout le monde descend sans que j’en sache plus sur l’identité de mes nouvelles copines. Ascenseur. Je tente des approches directes mais je suis dissuadé d’aller plus loin. On entre dans un vaste studio qui sent le parfum, l’air frais et le corps de femme. Une grande fenêtre de ciel bleu et un lit en désordre. Des sous-vêtements par terre.

La blonde s’accroupit devant moi et me caresse la braguette qui gonfle instantanément. Les deux autres sont derrière et me caressent le dos jusqu’aux fesses.

-« Ne bouge pas » commande la blonde dans un sourire.
– « Ferme les yeux » dit la brune.

J’obéis. Un bandeau se serre sur mes yeux. Je veux protester mais une main a baissé ma braguette et aucun mot ne me sort. Le jeu continue. On me fait allonger par terre, des mains caressent mon torse, écartent mes bras. Je sens des liens attacher mes poignets. Je veux protester mais là encore, une main délicate vient de se fermer sur mon sexe et la force de protester m’abandonne.

C’est excitant de ne rien voir. Deux mains vous touchent et vous en sentez quatre. Combien de mains passent entre mes cuisses et les écartent ? Combien se sont affairées à me déshabiller ? Combien m’ont lié les pieds en l’air pendant que combien d’autres me caressaient les couilles et l’anus ? Je sens sans cesse des seins effleurer mon visage et mon corps en s’affairant autour de moi. Je ne peux pas dire que la situation me convenait, mais l’effet de surprise et la perspective d’un plaisir nouveau m’ont ôté toute volonté. Je suis finalement lié des quatre membres, les jambes en l’air, à la merci de trois filles aux gros seins dont je ne sais rien.

Je demande qu’on me détache mais la noire me répond de sa voix grave et chantante qui ne prononce pas les r

– « Tu n’as pas le droit de parler. Si tu parles encore, on va te taper ».

Malgré le ton autoritaire, l’ambiance reste légère. Des rires fusent. Je devine des caresses et des baisers entre les filles. Des sous-vêtements tombent par intervalle sur ma figure, me baignant dans leurs odeurs. Les mains des unes et des autres se relaient sur mon sexe qu’elles branlent doucement tandis que d’autres mains visitent les alentours. Ne pouvant parler, je manifeste mon plaisir et mon excitation en ondulant des reins. Ma respiration devient haletante.

Soudain un sifflement, un claquement, et aussitôt une vive brûlure aux fesses m’arrachent un cri de douleur et de surprise.

« Je t’ai dit de te taire » dit la même voix grave et chantante. « Tu vas me lécher pendant qu’on te tape. Ca va t’empêcher de crier ».

va1505paEt elle se met à genoux, ses jambes écrasant mes bras écartés, et s’asseyant carrément sur ma figure. Je suffoquais, la tête remplie de son odeur de sexe, de sueur et d’urine.

– « Lèche-moi mon chéri je t’ai dit ».

Je tentais de m’exécuter. Une main inconnue continuait de me branler doucement, insistant juste ce qu’il faut pour maintenir mon érection à son sommet.

Le deuxième coup claqua comme le premier. Certainement une cravache. Impuissant et immobile je dois accepter sans comprendre. Où sont passées mes jolies caissières de supermarché sur lesquelles je fantasmais librement il y a moins d’une heure ?

Les coups continuent à tomber à un rythme lent et régulier. La scène s’installe hors du temps, comme une longue descente vers l’inconnu. Je commence à sentir les coups différemment. Ils ne sont plus localisés. La brûlure des fesses est maintenant permanente mais étrangement supportable. Chaque coup électrise maintenant tout mon corps sans localisation précise. Le sexe de la grosse noire a gonflé sous l’action de ma langue, certainement combinée au spectacle de mon humiliation. Elle s’appuie maintenant des mains sur mon torse et en profite pour me pincer les seins. Elle commence à onduler du bassin et la sueur qui coule entre ses énormes fesses me colle les cheveux, me pique les yeux, et me fait tourner la tête de son odeur.

Son sexe est maintenant complètement ouvert et humide et je la sens au bord du plaisir quand du liquide chaud inonde ma bouche ouverte.

« Tu vas boire tout mon pipi hein ! Sinon on va encore te taper ! » et la cravache s’abat comme en écho sur mes fesses.

Le goût de son urine est terriblement fort et salé. Elle continue à m’inonder à petits jets. Certains dans ma bouche ouverte, d’autres quand je suis encore entrain d’avaler, si bien que le pipi coule sur mon visage en ajoutant encore de l’humidité et de l’odeur au contact animal entre ma figure et son derrière.

La main qui me branle étale un liquide froid sur mon sexe sans cesser son mouvement. Ca ressemble à un gel lubrifiant, en grande quantité. Deux mains s’affairent maintenant sur ma bite. Le gel leur permet de la presser avec beaucoup de force tout en la branlant sur toute sa longueur depuis le sommet du gland jusqu’aux couilles. C’est une experte. Du gras du pouce elle me masse la bordure du gland d’un geste circulaire et puissant qui provoque un plaisir mélangé de douleur. Il excite sans satisfaire. Il fait affluer le sang sans faire s’approcher la délivrance du plaisir. En un mot, il me rend fou. L’autre main glisse aux alentours, caresse, palpe et masse tout en étalant le lubrifiant en quantité. Brusquement deux doigts s’introduisent vivement dans l’anus, se retirent tout aussi vivement, et reviennent avec plus de force. La douleur encore une fois se partage au plaisir. Un troisième doigt, puis un quatrième, et c’est finalement toute la main qui force le passage, tourne, pousse, distend l’orifice encore trop étroit. Douleur et plaisir. Plaisir et douleur. Je suffoque. La branleuse, la fouetteuse et la pisseuse continuent leur travail et mes nerfs sont en surrégime, prêts à lâcher. La plus méthodique est la fouetteuse. Elle n’accélère ni ne ralentit, ne force ni ne se relâche. Mes fesses et le haut de mes cuisses ne sont qu’une zone informe de douleur dont je n’arrive plus à discerner chaque partie individuellement. Au milieu de ce magma, mon sexe et mon anus seuls sont identifiables par mes sens grâce à l’experte branleuse. Quand d’épuisement je me relâche et que mon sexe mollit, elle se fait plus douce, branle la hampe, me suce même, et fait tout jusqu’à retrouver la parfaire érection, mais sans jamais permettre le plaisir.

L’épuisement et la fatigue me gagnent et renversent inexorablement la balance du plaisir et de la douleur. Je suis à bout. Mes tortionnaires sont restées silencieuses pendant tout ce temps puis, d’un coup le métronome de la cravache cesse. Les trois filles sont debout autour de moi et me regardent.

« Albert, Cochon ! » me dit la Noire. « Tu écris tes livres cochons pour les cochons. Il faut rester avec les cochons et nous foutre la paix. »

J’oublie de me taire. Je demande ce qui se passe d’une voix affaiblie par les émotions, par ma position humiliante, et par le plaisir que j’ai pris malgré moi aux mauvais traitements.

« On ne t’as pas dit de parler » repris la Noire, et un coup de cravache claqua sur mes chairs endolories. « Pourquoi tu es rentré dans le Forum et tu as utilisé le pseudo de Papillon pour la faire parler dans ton bouquin de cochonneries ? Papillon, elle veut pas rentrer dans ton livre. Papillon elle veut mener sa petite vie tranquille, Elle veut aller au boulot tranquille, et elle veut aller sur les forums tranquillement aussi sans que tu lui fasse dire des cochonneries. »

C’est la douche froide. J’ai toujours les bras écartés, les jambes en l’air et les yeux bandés. Je sens maintenant monter les crampes. Dire que je ne suis pas en bonne position pour négocier est un euphémisme. Ces filles exagèrent. C’est vrai que je lui ai fait dire ce que je voulais à Papillon mais elle exagère. Je l’ai pas trouvée sur le forum « Sainte Vierge » quand même, Merde ! Elle vient sentir l’odeur du souffre sur le forum « Fantasmes entre filles ». Elle n’y raconte que des niaiseries jusqu’à ce que j’intervienne pour lui faire dire un truc vraiment intéressant. Un truc qui va la faire passer à la postérité et changer le regard des hommes sur toutes les caissières de supermarché. Et elle se plaint !

Je me promets en pensée de lui régler son compte à ma façon. C’est la première chose que je ferais dès que j’aurais retrouvé l’usage de mon clavier. Je vais écrire un chapitre sur Babacar. Babacar sera le grand frère de la Noire qui m’a pissé sur la figure. Il sera basketteur, immense, hyper musclé de partout, noir comme la nuit et monté comme un âne. Il sera l’ami de Tyson, le gars mignon à la bite monumentale que j’ai mis dans une autre de mes nouvelles. Ils vont draguer Papillon tous les deux en même temps. Ils vont la séduire, puis ils la convaincront de faire un casting porno avec eux. Je serai le metteur en scène, je signerai son contrat sur le champ et c’est moi qui la filmerai quand elle se fera défoncer la chatte et le cul par Babacar et Tyson en double pénétration. Elle gueulera comme une truie pendant qu’on entendra les halètements des deux mecs à la besogne. A la fin du film, elle sera KO. Je lui dirais qu’elle a été magnifique, qu’elle est la plus grande hardeuse de la Terre et que je l’aime. Je lui demanderais de me sucer et elle le fera jusqu’à ce que j’éjacule sur son visage. Tout sera exactement comme dans un bon porno réglementaire, en pire, et là ça sera moi, et ça sera en vrai ! Quand elle se fera inonder de mon foutre elle me sourira avec une larme à l’œil et tout cela sera imprimé sur la pellicule grâce à Babacar qui aura repris la caméra pour immortaliser ma vengeance. Le dernier plan montrera son sourire ému et conquis, avec au premier plan le trou béant de son cul qui ne se sera pas encore refermé.

Revigoré par ces pensées terribles et définitives, je me sens prêt à affronter la situation présente avec un peu de sérénité.

-« Moi, c’est Astou » dit la sœur de Babacar.
-« Marie » dit la blonde.
-« Zoé » dit la brune.
-« On va chacune s’occuper de toi à tour de rôle. Tu dois deviner qui c’est. Si tu trouves, on continue. Si tu te trompes, on te tape. »

Encore ému par mon prochain chapitre, je sens une bouche qui se serre autour de mon sexe et commence à le pomper. Je reconnais ma branleuse. « Marie » Hésitai-je. C’est gagné : elle continue jusqu’à l’érection parfaite. Enfin un peu de douceur dans ce monde de brute.

Les mouvements de mon bassin trahissent mon plaisir et Marie cesse aussitôt de pomper. Une douche tiède asperge alors mon visage. J’ouvre la bouche. C’est fort et salé : « Astou » dis-je sans hésiter. Gagné ! Elle se baisse jusqu’à moi sans cesser de pisser et me fait lui lécher l’anus pendant qu’elle se masturbe sur mon visage. On dirait que j’ai droit au quart d’heure de récréation. Elles me lèchent, me caressent, me mettent les doigts dans l’anus, se font lécher, me font jouer avec leurs énormes seins que je peux deviner lourds et mobiles, se balançant sous elles quand elles sont à quatre pattes au-dessus de moi. Je trouve quasiment à chaque fois et je commence à prendre du plaisir. Ces jeux les excitent aussi et j’entends des baisers entre elles. La chaleur monte d’un cran dans la pièce. Elles décident d’un nouveau jeu : elles se caressent mutuellement jusqu’à l’orgasme et se font pénétrer par ma bite en érection pendant qu’elles jouissent, puis se retirent avant que je n’éjacule moi-même.

Le jeu continue ainsi longtemps et tout y passe. Les filles sont de plus en plus gaies mais mon épuisement est abyssal. La difficulté qu’elles ont à me maintenir en érection les amuse et elles y trouvent encore prétexte à de nouvelles cruautés. Cela doit faire des heures que je suis là attaché, et je n’ai pratiquement pas débandé. Je n’ai eu droit qu’à quelques pauses dont elles profitent pour se branler et s’embrasser entre elles tout jouant avec leur pipi, en riant et en faisant des conciliabules.

– « C’est le dernier jeu » m’annonce solennellement Astou.

Je sens aussitôt un truc s’appuyer contre mon anus. C’est doux et lubrifié. Mais quand elles poussent dessus pour le faire rentrer, c’est une autre histoire.

– « Tant que tu ne trouves pas qui c’est, on continue ».

Je donne les trois noms successivement, mais elles continuent de manipuler l’engin qui s’avère énorme. Elles le font tourner, pivoter, jusqu’à trouver l’angle improbable sous lequel il trouvera son chemin. Je ne peux que dire et redire le nom de chacune mais elles continuent. Finalement le truc me rentre dedans et la douleur me coupe le souffle et la parole. Ca doit être le plus gros plug que je n’aie jamais pu voir et je ne suis pas familier de ces exercices. Je crie, je perds la notion du haut et du bas. Et le truc continue de rentrer. Je ne sens plus rien. J’ai juste l’impression irréelle de tomber en arrière.

Il s’immobilise enfin et je reprends connaissance. La douleur s’estompe graduellement, devient juste supportable, alors j’entends la voie de Zoé.

– « Tu as perdu. Tu donne ta langue au chat ? ».
– « C’était un cadeau de Papillon ! » Et elles éclatent toutes les trois de rire de leur bonne farce et Marie enchaîne : « Et il y a un message écrit dessus ». Zoé fait semblant de lire : « Ceux qui croient que les caissières de supermarché ont des vibromasseurs dans le cul sont des gros cochons ». C’était donc ça la vengeance qu’elles avaient préméditées depuis le début. Mais laquelle est Papillon et lesquelles sont ses complices ?

Une main invisible fait glisser le bandeau de mes yeux et je les voie s’éclater de rire. Elles sont nues toutes les trois, pliées de rire de leur bonne farce. Elles se gaufrent toutes les trois de rire sans retenue. Elles sont magnifiques et leur gaîté les rend éclatantes. Leurs énormes seins sont ballottés sans pudeur comme s’ils riaient aussi de leur côté. Zoé est la plus gaie. Elle est pliée en deux et se tient les côtes en s’étouffant de son rire aigu. Le pipi finit par lui sortir de la chatte tellement elle rit, ce qui déclenche en cascade le fou rire général. S’apercevant qu’elle pisse sans pouvoir se retenir, Zoé se met au-dessus de mon visage et m’asperge. Elle est bientôt rejointe par ses deux copines qui en font de même tout en continuant de se gondoler. Le tableau est merveilleux vu de là ou je suis. Trois cons magnifiques qui me pissent dessus et trois grosses paires de fesses qui s’agitent en vibrant au-dessus de moi dans la rigolade générale.

Mais qui donc est Papillon ?

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Samedi 26 octobre 2024 6 26 /10 /Oct /2024 08:57

La douche de Julie (d’après une histoire de Kevin Sellers)
Bombe

Des geysers d’eau jaillissaient en cascade sur les seins de Julie, et sur un coup de tête, elle tendit la main pour prendre ses gros seins et les pousser vers l’extérieur sous le jet ruisselant, sentant ses mamelons se raidir de plaisir inexorable.

Julie CopieJulie était fière de ses seins, et elle avait certainement des raisons de l’être. Leur fermeté n’avait pas diminué d’un iota au fil des ans. À 37 ans, elle avait toujours les seins les plus attirants de toutes les femmes de sa génération dans le quartier. Ils dépassaient, mûrs et gonflés, ils palpitaient pour attirer l’attention, ses gros mamelons roses se dilatant durement et longuement.

Son pouls s’accéléra. Elle sentit sa chatte crémer, sentit le précieux jus de chatte suinter de sa chatte et couler sur ses cuisses

Elle fit couler le jet de la douche le long de ses jambes. Presque sans réfléchir, elle passa ses pouces sur ses mamelons raides, haletant alors qu’ils tremblaient et dépassaient de plus d’un pouce de longueur. Elle les pinça légèrement, appréciant la chaleur qui se répandit dans son corps.

Puis elle laissa ses mains descendre le long de son ventre pour effleurer son épais pubis et pousser entre ses cuisses trempées jusqu’à sa chatte humide.

« Euh… »

Frissonnant de plaisir, elle fit rouler son pouce dans un mouvement circulaire sur son clitoris rigide, le torturant avec une ferveur croissante tandis qu’elle enfonçait deux doigts dans l’entrée de son trou du cul et commençait à glisser dedans et dehors.

Quand elle les ressortit, ce fut pour les lécher et les nettoyer avec frénésie.

« Ohhh, oh mon Dieu, oui… » haleta-t-elle alors que ses doigts avaient désormais complètement disparu dans sa chatte.

Elle grattait joyeusement son gros clitoris à capuchon jusqu’à ce qu’il devienne frénétique et, en quelques instants, la première vague d’orgasmes la traversa.

« Oui ! Oui, c’est ça ! Oh, ahhh… » Haletant et se cambrant sous la douche, et l’image d’être baisée par une jeune bite raide tourbillonnant dans son esprit, Julie jouissait encore et encore pendant qu’elle baisait son sexe dans une libération béate. « Tellement doux, putain, oui, mon Dieu, oui, plus, plus ! » Un torrent de crème de chatte trempa sa main alors qu’elle tremblait de joie.

Puis elle l’a vu…

Au milieu de son orgasme puissant, elle vit son fils Daniel dans le reflet du miroir. Il se tenait dans l’embrasure de la porte, ses yeux bleus écarquillés et sa bouche béante.

Mais Julie savait qu’elle ne pouvait pas arrêter ses orgasmes. Et elle savait que son fils pouvait voir ses doigts s’enfoncer profondément dans sa chatte. Savoir que son fils unique la regardait comme ça augmentait ses sensations orgasmiques au-delà de toute croyance.

Relâchant ses sphincters, Julie fit jaillir sa pisse sur ces cuisses. Sa main vint à la rencontre du jet dorée qui s’imprégna du précieux liquide. Elle la lécha d’un air satisfait.

« Ohhh, putain ! Oh, ma chatte ! » cria-t-elle, assez fort pour qu’il puisse l’entendre. « Ohhh, ma putain de chatte ! J’adore faire jouir ma chatte ! » Se tordant de bonheur sexuel, elle cria dans un pic d’extase, ses doigts pompant follement dans sa chatte bouillonnante.

Une fois que la dernière explosion de son puissant orgasme l’eut traversée, elle réalisa ce qui venait de se passer.

Daniel venait de voir sa propre mère se branler. Il l’avait regardé doigter sa chatte humide et jouir juste devant lui. Et il avait vu sa mère savourer chaque seconde orgasmique de ce moment.

Mais au lieu de réagir avec choc, Julie fut surprise de trouver un étrange sentiment de satisfaction se répandant dans son corps, aidé par les doigts qui frémissaient encore dans sa chatte tremblante.

Puis, une impulsion inattendue la frappa.

– Viens, Daniel, viens lécher Maman !

Fin (et à vous d’imaginer la suite)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 15 octobre 2024 2 15 /10 /Oct /2024 12:15

La bite du chien par Ashley Gibson
zoo

Bonjour, je m’appelle Ashley Gibson. J’ai 26 ans, j’ai de longs cheveux châtain clair, je mesure 1,80 m, j’ai des seins de taille 95D et un joli cul tout rond. Je suis un tout petit peu ronde mais je plais comme ça

J’ai emménagé dans une petit pavillon que j’avais récemment achetée avec des amis. J’étais la première à m’installer, j’avais donc beaucoup d’espace, mes amis ne me rejoindraient que dans deux semaines. J’avais amené mon précieux petit chien, Jewel, avec moi. C’est un Doberman de grande taille et quelque peu agressif que j’avais acheté à une amie à sa naissance.

Par cette chaude journée d’été, j’étais dehors, en train de me prélasser au soleil près de la piscine pendant que Jewel s’éclaboussait et courait comme un fou.

J’étais allongée sur le ventre, la tête entre les bras, essayant d’obtenir un beau bronzage sans maillot de bain. Mon chien a couru, a grimpé sur la chaise extensible et s’est tenu au-dessus de moi, avec sa balle préférée, voulant que je joue avec, mais j’étais trop fatiguée pour le faire. Je me souviens des gouttes d’eau qui tombaient sur mon dos et mes jambes alors qu’il planait au-dessus de moi. Il a laissé tomber la balle humide et baveuse sur mon dos et il s’est penché pour me donner un coup de nez. Pour une raison ou une autre, il m’a donné un coup de pattes sur les fesses et j’ai simplement essayé de le repousser avec douceur, mais il refusait de partir sans avoir lancé la balle.

– Je n’ai pas envie de jouer maintenant !

Mon chien a baissé sa tête encore plus et a poussé son nez froid et humide entre mes jambes et sur mon entrecuisse. Je me suis rapidement assise et je l’ai poussé de la chaise

– Méchant chien ! Va-t’en !

Le reste de la journée, j’ai essayé d’ignorer ce qui s’était passé. Plus tard, à la nuit tombante, Jewel et moi sommes rentrés à l’intérieur et j’ai décidé de prendre une bonne douche. J’ai ouvert une boîte de nourriture pour chien pour Jewel avant d’aller me doucher. Pendant que j’étais sous la douche, je me suis fait plaisir parce que je me sentais vraiment excité.

Je me suis enfoncé un doigt dans le cul et l’ai fait aller et venir avant de le, écher, j’adore ça ! Je me suis, ensuite touché la chatte jusqu’à la jouissance et ne pouvant plus me retenir de mon envie de pisser, j’ai arrose le sol de la cabine de douche (et mes cuisses aussi par la même occasion). J’aime me sentir cochonne, c’est plus fort que moi !

Après ces petites fantaisies,, je me suis séché et j’ai enfilé une nuisette ample. J’avais aussi une petite culotte lacée qui était couverte par la chemise.

Quand je suis descendue pour regarder la télé, Jewel était déjà sur le canapé à m’attendre comme un bon chien. Pendant j’essayais de m’intéresser à ce proposait le petit écran, j’ai remarqué du coin de l’œil que Jewel devenait un peu excité parce que je pouvais voir le bout de sa bite en frottant son ventre. Pour une raison quelconque, j’ai continué à le caresser, mais ma main est descendue entre ses pattes et j’ai touché doucement le bout de sa bite, puis j’ai retiré ma main, ne sachant trop quoi faire.

Je décidais d’aller me coucher et de me reposer, mais le lendemain, quand je me suis réveillée, Jewel se tenait au-dessus de moi et j’ai levé les yeux vers lui. Il m’a salué avec quelques léchouilles sur mon visage et a tapoté sa tête.

– Bonjour Jewel, tu as faim ?

Quand je me suis levée du lit, je ne voyais pas mes pantoufles, alors je me suis mise à quatre pattes et j’ai déplacé mes cheveux pour les chercher sous le lit, quand, soudain, j’ai senti le nez froid de Jewel contre ma chatte. Pour une raison étrange, ma chatte a commencé à être mouillée et j’ai essayé de repousser Jewel avec mon pied tout en continuant à chercher mes chaussures.

Après les avoir trouvées, j’ai baissé la tête et j’ai tendu la main sous mon lit pour les prendre quand j’ai senti Jewel me monter sur le dos. J’ai paniqué et j’ai retiré ma main, mais Jewel était trop lourd pour être repoussé. J’ai essayé de me glisser sous lui, mais il a poussé un grognement très fort, ce qui m’a fait peur, car j’étais dans une position très vulnérable. J’ai senti quelque chose de long et humide frotter contre l’intérieur de mes cuisses, quand j’ai réalisé que c’était la bite de Jewel, ce qui a rendu ma chatte encore plus humide.

Mon chien a enroulé ses pattes autour de moi et a commencé à pousser ses hanches vers l’avant, essayant de trouver mon entrée humide pour y enfoncer sa queue de 20 cm (que j’ai mesuré plus tard). Je pouvais sentir le bout de la bite de Jewel pousser contre le tissu fin qui l’empêchait de m’empaler, mais j’étais tellement excitée qu’un doux gémissement s’est échappé de mes lèvres. Je ne pouvais pas m’en empêcher et je savais que Jewel n’allait pas s’arrêter avant d’avoir obtenu ce qu’il voulait, alors j’ai passé la main derrière moi et fait glisser ma culotte jusqu’à mes genoux. Après de nombreuses tentatives ratées, Jewel a réussi à m’empaler avec sa pointe et j’ai été stupéfaite. J’ai glapi de surprise lorsque sa tige a commencé à s’enfoncer en moi. J’ai écarté les jambes en gémissant. Au début, c’était un peu douloureux, mais ça s’est vite transformé en plaisir lorsque Jewel a commencé à accélérer son rythme.

J’ai passé la main sous moi pour toucher ma chatte et d’une main j’ai commencé à me frotter férocement ce qui m’a fait atteindre l’orgasme. J’ai gémi bruyamment en jouissant sur le tapis de sol. Mon chien, de son côté, n’en avait pas fini avec moi et il a continué à pousser férocement jusqu’à ce que son nœud soit coincé en moi. Il a tellement gonflé qu’il m’a fait mal quand il s’est retiré pour le remettre dedans. Soudain, mon corps est devenu mou et s’est effondré quand j’ai senti Jewel vider ses couilles en moi. Après un moment à rester coincés avec lui, nous avons finalement réussi à nous séparer et j’ai laissé Jewel lécher ma chatte jusqu’à ce qu’elle soit propre. Mon chien s’est allongé à côté de moi et a levé sa jambe en l’air pour commencer à se lécher les couilles.

Je lui ai lancé un regard furieux, j’ai rampé jusqu’à lui et je lui ai dit

– Espèce de chien stupide, laisse-moi t’aider !

Jewell
Je me suis penché et j’ai commencé à lécher sa bite encore en érection jusqu’à ce qu’elle soit propre de nos deux saletés. J’ai pris autant de sa bite que je pouvais et j’ai commencé à bouger ma tête de haut en bas. De toute évidence, il s’amusait parce qu’il s’est allongé et a levé sa jambe un peu plus haut. Quand je l’ai achevé, j’ai senti le sperme chaud de Jewel suinter dans ma bouche et s’écouler sur le tapis. Je me suis léché les lèvres et je l’ai conduit en bas des escaliers pour lui donner à manger.

Tout cela m’a profondément troublé et croyez le si vous voulez, j’ai déjà envie de recommencer..

Fin

Une version de ce texte est trouvable sur le net, il s’agit d’une traduction assez maladroite d’un texte en anglais. Nous l’avons corrigé de ses pires maladresses et un peu enrichi.

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Mardi 24 septembre 2024 2 24 /09 /Sep /2024 12:44

Découverte
par Liouba

pluralite


Avant de connaître mon ami, j’étais comme beaucoup de femmes mal baisée par mon mari. J’avais un amant et il le savait. Je serais sans doute restée ainsi partiellement insatisfaite si je n’avais pas rencontré mon ami français. Tout de suite il a compris qu’en moi sommeillait une vraie salope qui ne demandait qu’à être réveillée. Mais il n’est pas facile de balayer tout un tas de préjugés et de faire fi de toute une éducation bourgeoise… Si j’ai pu progressivement jeter tout ça aux orties c’est grâce à l’extrême patience de cet ami.

Il avait une très belle bite qui me convenait parfaitement et me faisait jouir comme je n’avais jamais joui. Sa façon de me titiller les seins, de faire rouler délicatement les mamelons entre ses doigts ou de les mordiller était nouveau pour moi.

Ses façons de me baiser, devant une glace en me faisant admirer sa grosse bite qui entrait et sortait de moi, et de me baiser sur une table étaient nouvelles aussi pour moi. J’étais presque gênée au début quand il m’écartait les jambes les maintenait en l’air en me tenant les chevilles et admirait ma chatte qui commençait à baver d’impatience, avant de glisser sa bite en moi jusqu’aux couilles.

Liouba1107BIl me répétait souvent, que j’étais douée et que si je lui faisais confiance il ferait de moi une vraie salope. Moi, une salope ? Je n’y croyais pas trop, mais j’étais prête à lui faire confiance.

Comme il disait que toutes les salopes aiment se faire « enculer », j’acceptais que régulièrement il glisse ses doigts enduits de vaseline et comme je trouvais la sensation plutôt agréable, j’acceptais un jour, non sans appréhension, qu’il y glisse sa bite. J’ai eu l’impression d’éclater et que sa bite, (24 cms) me remontait jusque dans la gorge. Mais il se montra très doux comme à son habitude et me fit progressivement apprécier la sodomie.

Le fait d’aimer prendre « une bite dans cul » était, d’après mon ami, le signe que j’étais sur la bonne voie pour devenir une « vraie salope ». Je comprenais peu à peu que pour lui, « être une salope » n’avait rien de péjoratif et qu’au contraire ce terme contenait une sorte d’admiration pour ces femmes qui avaient su se libérer de tous les tabous imposés par notre société.

Il me parlait des autres hommes, de leurs bites toutes différentes, de ses expériences, des femmes qu’il avait connues et dont certaines (de bonnes salopes) aimaient se faire sauter par plusieurs types. Peu à peu il me préparait à l’idée que peut-être un jour moi aussi…

Moi je m’estimais incapable à tous points de vues de me prêter à ce jeu. Pourtant ce jeu, il m’y fit habilement jouer avec des partenaires virtuels, imaginant des types en train de se branler pendant qu’il me baisait. Parfois il me disait de fermer les yeux et de l’imaginer lui en train de se branler pendant qu’un autre me baisait, que ce n’était pas sa bite qui était en moi mais la grosse queue d’un autre qui allait me faire jouir. Et je jouissais, je jouissais comme une folle à cette évocation.

Il en profitais pour me dire : « Tu vois ça t’excite, ma jolie salope, quand je te parles de mecs qui te baisent et t’enculent, tu fantasmes sur toutes ces bites que tu pourrais prendre dans la chatte ou dans le cul ». Et moi, choquée les premières fois, je me mettais à aimer qu’il me parles ainsi et me traite de salope.

De nombreuses fois il me proposa d’inviter quelqu’un « pour de vrai » l’idée m’excitait mais je disais toujours non… Puis un jour j’ai dis oui.

Je venais de dire ce « oui » que déjà je le regrettais .Ma bonne conscience se rebellait et j’avais du mal à la faire taire.

Le jour où le type devait venir, quelques heures avant, je me mis à paniquer. Je n’étais plus d’accord. Mon ami tenta d’abord de me raisonner puis, me dit qu’il s’excuserai auprès du type et lui expliquerai que nous avions changé d’avis si toutefois il ne me plaisait pas. Cela ne me rassura qu’à moitié. J’étais seulement vêtue seulement d’un chemisier et d’une jupe, sans rien d’autre et voulais m’habiller plus décemment quand le type arriva.

C’était plutôt un beau mec, grand brun, la trentaine souriant, et à peine plus à l’aise que moi. Pas du tout le genre macho sur de lui, de son charme, et de ses possibilités sexuelles comme il m’est souvent arrivé d’en rencontrer par la suite. Pas du tout le genre de type qui brandi sa bite comme un étendard, certain d’avoir la plus grosse, la plus belle, la plus longue et être le seul à pouvoir faire bien jouir une femme. Non ! Celui-ci semblait assez timide et peu sur de lui ce qui me le rendit tout de suite sympathique.

Mon ami compris qu’il ne m’était pas indifférent et avec beaucoup de patience, d’esprit, et de gentillesse, détendit l’atmosphère en parlant avec humour de banalités qui n’avaient rien à voir avec le sexe.

A la deuxième coupe de champagne mes inhibitions commencèrent à disparaître et je laissais le regard de notre invité se glisser entre mes cuisses que la jupe, un peu courte et étroite, découvrait généreusement.

C’est le moment que choisit mon ami pour passer derrière le fauteuil et m’embrasser en déboutonnant mon corsage. Il savait que quand il mettait ses mains sur moi, sur mes seins, et plus particulièrement quand il en faisait, entre ses doigts, rouler les mamelons, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Troublée, mais ne me sentant pas encore prête pour me faire sauter par notre invité, je me levais sous le prétexte de resservir du champagne, mais sans refermer mon corsage. Je n’osais regarder le type mais je savais qu’il suivait le balancement de mes seins au dessus de la table et mon entrecuisse s’humidifiait délicieusement.

Quand j’eu reposé la bouteille, mon ami vint derrière moi me caressa un sein d’une main et de l’autre, ouvrit la fermeture éclair de ma jupe qui glissa à mes pieds. Me retrouver pratiquement nue devant l’invité me déclencha un mini orgasme et je n’avais plus qu’une envie : me faire baiser, sentir une bite bien dure, grosse et longue se glisser en moi.

Le type avait sorti le sienne et se branlait doucement en regardant mon ami me caresser. Un reste de pudeur incontrôlée me fit me retourner contre mon ami et enfouir ma tête au creux de son épaule. Et puis je sentis l’autre que caresser les fesses avec son gland. Il avait mis un préservatif. Sa bite se montrait insistante et suivait doucement la raie des fesses, espérant se glisser n’importe où. Mais je ne voulais pas qu’il me sodomise, pas maintenant, après peut-être, mais à cet instant, j’avais simplement envie qu’il me baise. Alors lentement je me suis écarté de mon ami, m’appuyant à lui en écartant les jambes et en tendant ma croupe à l’autre.

Je sentis le gland, se frotter à ma toison, écarter doucement les lèvres de ma chatte et me pénétrer lentement et profondément. Je crois que je me suis mise à jouir avant même qu’il soit au fond de moi, et plusieurs fois avant qu’il jouisse à son tour.

 

Liouba1107A


Après un petit passage à la salle de bain, tout me sembla plus simple. Je pus faire plus ample connaissance avec le bel engin qui m’avait fait jouir, ainsi qu’avec son propriétaire. Je ne me reconnaissais pas, je le suçais lui caressais les couilles et lui prodiguais toutes les caresses que je prodiguais habituellement à mon ami et sans aucune gêne. J’appréciais d’être caressée par quatre mains et d’avoir à ma disposition deux belles bites bien raides prêtes de nouveau à m’investir.

 

Quand l’invité me pénétra de nouveau sur le lit, j’étais un peu dans un état second, j’avais envie de jouir, jouir encore et encore, d’être baisée enculer, ne plus penser à rien, qu’a cette bite qui me pénétrait. Qu’au regard de mon ami sur moi: une salope, sa salope, en train de se faire baiser.

A près une courte pause mon ami me donna sa queue à sucer pendant que je branlais celle l’autre qui après avoir joui en moi, reprenait de la vigueur. Mon ami bandait très fort et je m’empalais sur sa queue, pendant que l’autre me caressait les fesses avec son gland. J’avais une furieuse envie qu’il m’encule, mais il préféra avant d’y glisser son gland m’introduire plusieurs doigts. De nombreuses fois mon ami m’avait sodomisé avec un godemiché plus gros que sa bite, aussi dès que le type appuya son gland sur ma rosette il pénétra sans problème. C’était la première fois que j’avais deux bites en moi. J’étais baisée et enculée comme ces « vraies salopes » dont me parlait mon ami !!

Cette première expérience a été pour moi extraordinaire et j’y repense encore très souvent quand j’ai le bonheur d’avoir deux bites en moi.

Dire combien de fois j’ai joui ? C’est impossible, je n’arrêtais pas. J’avais orgasme sur orgasme. Quand mes deux baiseurs ne bandaient plus assez pour me pénétrer je les suçais. (On m’a souvent dit que j’étais très douée pour les pipes). Mais il est arrivé un moment ou mes mains, ma bouche, ma langue ne purent leur redonner suffisamment de vigueur. Ils avaient la bite molle et les couilles vides, alors que moi j’aurais bien pris encore plusieurs coups de queue.

Mon ami voulu m’enfiler le gros gode, mais je lui dis que c’était de bites bien chaudes bien vivantes dont j’avais encore envie.

Comme je restais sur le lit jambes écartées chatte béante sans aucun complexe (ce qui m’étonne encore), mon ami en se tripotant la bite me dit : « Tu es une merveilleuse salope et puisque tu aimes la bite, je te promet que tu en auras » (Et il a tenu parole).

Quand le type nous quitta, je revenais lentement à moi et était presque gênée quand lui habillé, moi nue, il m’embrassa.

Pendant que mon ami le raccompagnait jusqu’à sa voiture, je me regardais dans la grande glace de la chambre. Ma conscience se réveillât et ce n’est pas moi que je vis dans la glace mais le reflet d’une salope qui venait de se faire baiser et enculer par un inconnu dont j’ignorais jusqu’au prénom. Portant je décidais de réagir de faire taire ma conscience de l’étouffer et le meilleur moyen était de devenir vraiment une salope, de me faire baiser et enculer tous les jours s’il le fallait. Mais surtout la faire taire, empêcher toute mon éducation, avec ses interdits et ses principes de refaire surface.

Au retour de mon ami, je lui fis part de ma décision, que je m’en remettais à lui et qu’à l’avenir il pourrait faire de moi ce qu’il voudrait y compris me faire baiser par tout un tas de types.

Aujourd’hui, je lui suis infiniment reconnaissante de m’avoir fait aimer le sexe, mais surtout de m’avoir débarrasser de mes complexes, de m’avoir aider à m’assumer comme « salope », une salope à qui il a aussi apprit à se prostituer intelligemment et occasionnellement.

LIOUBA

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Mercredi 28 août 2024 3 28 /08 /Août /2024 08:26

Au hasard d’une Maîtresse par Yourka

Fetish2

– Arrête de regarder cette femme !

Les paroles de Léa me sortent de ma torpeur.

Une terrasse du café, bondée, tout le monde est sorti se faire lécher par un soleil trop longtemps absent. Les filles sont peu vêtues, leurs épaules retiennent à peine les bretelles de petits hauts légers. Assises et décontractées, leurs escarpins se balancent au bout d’orteils qui ne rêvaient que d’être nus, laissant voir leurs talons rougis par les chaussures d’un hiver pourri. Elles exhibent des jambes encore blanches qu’elles viennent juste d’épiler.

– Je ne regarde personne en particulier.
– Tu te fous particulièrement de moi, là !

Léa me fatigue. Oui, je regarde cette femme brune en face de nous. La seule qui ait osé une robe en maille très ajourée. Les seins nus apparaissent au-dessous, leurs pointes roses tranchent sur le blanc de la poitrine. Les peaux sont contrastées, le bronzage n’est pas encore celui de fin août et des retours de plages.

– Je ne me fous pas de toi mais je ne vais quand même pas regarder les chiens ou les pigeons !

Je ne vais pas refouler ma libido qui se réveille. L’envie de mettre des claques à Léa aussi.

– T’as qu’à me regarder moi, t’es vraiment un mufle de me provoquer comme ça, à mater cette conne.

Léa bouillonne, Léa trépigne, Léa m’horripile.

– C’est une conne ? Tu la connais? Elle est silencieuse, ta conne, tu me la présentes ?

Je n’ai pas vu les gifles arriver. A l’aller, mon nez semble s’envoler et au retour, cinq doigts, bagues comprises, qui cognent mon tympan. Les gens arrêtent leurs conversations et nous regardent, amusés ou étonnés. Voilà, on est au centre du spectacle.

Mon nez saigne, mon oreille siffle et la tentation de taper comme un sourd sur Léa me démange.

Bien sûr, pas de mouchoir, je pisse le sang dans mon jus de tomate. Un bloody Mary nature !

– Quel con, non mais quel con, alors !

Elle aurait pu dire – quelle conne- mais elle fonctionne autrement, Léa.

– T’es pas sortable, Léa. Me cogner le nez comme ça, pour rien.
– Pour rien ? Et là-dedans, tu vas me dire qu’y a rien? Elle me dit ça en m’attrapant entre les cuisses. Folle-dingue, les gens voient et entendent.

Je suis dans état pitoyable, les bourses écrasées dans une main de fer et je sens ma tronche bouffie qui doit certainement m’autoriser une entrée gratuite aux tours de Notre Dame, toute proche.

La douleur au nez provoque une montée de larmes, malgré moi.

– Et y pleure, maintenant, mon macho mateur !

Elle est déchaînée, Léa. Sa voix porte et tout le monde en profite. Elle est furieuse, ne se tient plus et cogne la table. Au deuxième coup de poing, sa main s’écrase sur son verre qui vole en éclats. Justice divine, des morceaux se plantent dans la paume. Chacun sa croix, chacun son sang, c’est à son tour de pisser rouge. Nous voilà comme deux abrutis. Moi abattu; elle, hurlant jusqu’à gêner la sieste de Marseille. Et pas de kleenex.

La brune s’est levée et vient vers nous. Je le vois tendre un mouchoir à Léa.

– Merci, vous êtes gentille.

Je n’en reviens pas. Un sommet d’hypocrisie, cette Léa.

– Faites voir cette main, ce peut être grave, si un tendon est coupé.

Et mon oreille interne alors? Et mon nez aplati ? Je rêve, je n’existe pas.

Léa lui tend sa main, elle ne dit plus rien, s’est calmée d’un coup. A moi de bouillir. La fille scrute cette main, penchée vers Léa. Bon, je vais encore me faire massacrer mais j’ai la vision de son décolleté en plein axe ! Et puis debout, sa robe dans le soleil me laisse un souvenir pour mes vieux jours.

Elle parle lentement, concentrée sur les plaies de mon hystérique notoire.

– Il faudrait aller dans une pharmacie retirer les bouts de verre.
– Ben oui, un dimanche, on va trouver ça sans problème.
– Ecoutez, monsieur, ne vous fâchez pas, je tente de vous aider.

Nous aider… la meilleure nouvelle de la journée.

– Je ne me fâche pas, je suis juste un peu éclaté.
– Tu l’as cherché, la ramène pas, dit Léa presque doucement.

C’est incroyable ! Léa à un vrai talent pour retourner les situations.

– Renversez votre tête en arrière, ça va aller, me dit la brune.

C’est ça, c’est ça. Et pour l’oreille, pas une petite sonatine de Schubert?

– Putain, ça fait mal, lâche Léa avec grâce.
– Bon, j’habite à côté, je peux vous y emmener. Là-bas, j’ai de quoi soigner tout ça.

Nous voilà invités chez elle. Le monde est curieux, parfois. Léa joue les gênées.

– C’est trop gentil, vous êtes sûre?

Gna gna gna, retenez-moi… La matée invite le mateur et sa mijaurée.

– Oui, sans problème, allons-y.

Sans problème, oui. Je vais marcher le nez en l’air. Sans problème.

L’appartement est grand, lumineux et pas meublé en kits à cent balles. L’odeur de l’argent, je le sens à des kilomètres, malgré ma truffe de bouledogue.

– Au fait, comment vous appelez-vous ? Moi, c’est Solen.
– Que c’est joli, moi, Léa. Et ça, c’est Marc.

Ça… Je suis aux anges, moi, présenté comme un machin annexe.

Solen file vers le fond de l’appart, nous laissant livrés à nous même.

– Tu vois, le dimanche, c’est pas toujours monotone, mon amour. Tu as mal… mhh ?

Ma tentative de dégel est un fiasco.

– Me gonfle pas, Marc ! Si tu laissais pas tes yeux n’importe où, aussi !
– Sont là, mes yeux ! Plantés sur toi. T’es chiante mais sensuelle, en colère.

Léa est assise sur un fauteuil trop profond pour elle, obligée de laisser ses jambes tendues pour toucher le sol. Ses mains posées sur les accoudoirs, sa jupe remonte à mi-cuisses. Des cuisses pas rachitiques, des cuisses pleines mais sans graisse superflue. Elle m’épuise, cette fille mais je dois être maso. Ses petits seins ronds, son long cou, ses cheveux noirs en carré sage, ses yeux sombres. Tout me plait, sauf son humeur épouvantable, sa jalousie, son intolérance chronique.

Mais le feu n’est pas que dans son humeur. C’est un coup d’enfer, une partenaire de lit, de table ou d’ascenseurs sans mesure, qui sait se donner entière. C’est en partie ce qui me la rend supportable. Et quand elle dort, j’oublie ses travers. Moi, bien entendu, je suis parfait…

Solen réapparaît équipée d’un tas de trucs premiers soins. Elle est pieds nus, les ongles vernis d’un rouge discret. Les pieds bien faits, soignés, de jolis doigts rangés à la perfection. Ca me parle, ça. Mais mieux vaut regarder le ficus dans son pot.

Mon portable sonne, j’avais rendez-vous, avec tout ça, j’ai oublié. Je devais passer relever auparavant des e-mails, des fichiers, chez moi pour ce rendez-vous de boulot.

– Je vais devoir vous laisser, je file me connecter au web avant mon rendez-vous déjà manqué. Léa, on se retrouve ce soir à la maison ?
– Quoi ? Tu vas me planter là, tu pouvais pas y penser plus tôt ?

Retour agressif de Léa qui oublie les causes de ce retard.

– Vous pouvez vous connecter ici, sur le PC dans ma chambre, me dit Solen.

Je trouve l’idée pratique et j’accepte.

La chambre est grande, le lit au centre n’est pas fait et de la lingerie a été oubliée çà et là. Mieux que les web bars, ça, comme décor! Du carrelage blanc à cabochons noirs, des tapis. Le PC trône sur un grand plan de travail parsemé de photos, de dossiers. De mode, me semble-t-il, ou dossiers de casting. Mais si ce sont des castings, ce n’est pas pour tous les yeux. Plutôt dénudés, les modèles, hommes et femmes. Dénudés et franchement offerts à l’objectif. Si Léa me surprend devant ça, je suis bon pour un deuxième service de taloches.

Le PC est sous tension, juste besoin de cliquer pour le lancer. La page d’accueil est surprenante. Un site carrément bondage, je suis tombé chez une gourmande. Je ne résiste pas à aller dans l’historique et le déroulé est édifiant. Chaque clic m’envoie sur des pages de photos de femmes et d’hommes dans de curieux ébats. Des photos qui marquent un goût pour les bobos SM et un penchant pour les jeux de fontaines. Cuisses ouvertes sur des bouches qui semblent avaler ça comme du petit lait.

Et parmi les membres enjoués de ce club humide, je vois la belle Solen accroupie sur la bouche d’un garçon plein de bonne volonté, qui joue l’urinoir d’un soir. Même pas une grimace, il est visiblement aux anges. Et moi, sur le cul !

– Vous n’êtes pas dans vos e-mails, on dirait !

Solen est dans mon dos, presque contre moi et je suis dans l’état d’un gamin surpris à fouiller dans le placard.

– Heu, je suis tombé là par hasard.
– Attention, c’est un hasard qui peut devenir un plaisir, si vous vous y étalez.

Instant surréaliste, cette femme est en train de tranquillement poser des jalons. Et la furieuse dans le salon ne sait encore rien de cet échange incongru. Heureusement.

Je tourne la tête et encaisse un regard appuyé. Solen a croisé ses bras sur ses épaules, déhanchée, amusée et dangereusement séduisante. Rien de vulgaire, même si je pense à l’image passée de son sexe inondant son amant.

– Qu’est-ce que vous fichez là?

Voilà Léa qui débarque, l’œil inquisiteur qui nous scrute. Sa main est bandée. Moi aussi, mais ailleurs. Et ça, elle le sent comme personne rien qu’à me regarder.

– Putain, c’est quoi, ce bordel, c’est quoi, ces photos?
– Rien, juste des photos de travail de Solen.
– Ah parce que ça, c’est un boulot ?
– Ecoutez, Léa, Marc n’est pas responsable, je n’ai pas pensé à les retirer.
– Mais c’est vous, sur l’écran, là ! Putain, elle pisse sur un mec… et toi, tu mates les pervers, t’es un parfait salaud.

Mai09Je n’ai pas droit à une gifle mais Léa est prête à bondir.

– Ecoute, fais pas une histoire pour ça, de toute façon, on s’en va.
– Ben pas avec moi, en tout cas. Te pointes pas à l’appart, espèce de dégueulasse.

Elle tourne les talons et se tire dans un concert de jurons très innovants et frais.

Je me retrouve seul avec Solen et rien ne me donne envie de partir à mon tour.

– Je suis désolée, me dit Solen, vous allez avoir du mal à la convaincre qu’il ne s’est rien passé.
– Mais non, ça ira, elle sait quand je lui mens. Et là, nous n’avons rien fait.
– Je ne parle pas du passé immédiat, je pense au futur proche.

Je prends ses mots en plein caleçon… et un grand coup de chaleur dans l’échine.

– Vous ne dites rien?

Je ne dis rien, non… ce serait un bafouillage total. Elle est là, à me jeter des sorts, m’empêchant d’exprimer le moindre truc cohérent.

Son pied nu se pose contre ma jambe, entame un petit mouvement pour glisser sous le bas de mon pantalon. Lorsqu’il atteint ma peau, je n’ai aucun moyen de taire un énorme soupir.

Mais ce n’est rien par rapport à ses mains qui se posent dans mon cou, ses cheveux qui balaient mon visage. Elle est parfumée discrètement, ses doigts courent dans ma nuque et son souffle chaud annonce un baiser très proche. J’ai déjà oublié Léa, mes futures explications de mec qui se noie dans ses contradictions. Je goûte l’instant sans vouloir me réveiller. Quand ses seins se collent à mon dos, je renverse la tête et reçois sa langue en pleine bouche.

– Hasard ? On en est encore au hasard, monsieur ?
– Oui, enfin maintenant non… mais si, quand même.
– Non, je vais te dire, moi. Tu es là parce que je le veux et si ce n’avait pas été par le biais de ce PC, de ces photos, c’est ta femme que je serais en train d’enlacer. Tu crois que je suis secouriste dans l’âme?
– Non, bien sûr…
– Je vous ai observé, vous transpirez l’amour explosif, l’amour qui pince. Qui fait mal !

C’est mon sexe qui va exploser si elle continue comme ça. Elle susurre plus qu’elle ne parle, ponctuant ses mots de petits coups de langue sur mes lèvres. Sûre d’elle, entreprenante, je ne tente pas de guider ses baisers.

Je sens la chaise se renverser lentement en arrière et me retrouve étendu sur le carrelage. Sa robe quitte ses cuisses pour remonter sur ses hanches et une culotte blanche minimale me saute au visage. Je ne pensais pas un jour être chevauché aussi vite, tout son corps se frotte sur moi, ses mains quittent mes cuisses pour défaire ma chemise et livrer mon torse à ses seins encore prisonniers d’un soutien-gorge juste rempli de ce qu’il faut, loin des énormes trucs des salons de chirurgie plastique. Je fais quoi, moi, là ? Parti d’un bar avec une hystérique, je suis submergé par ce corps chaud.

Je sens des doigts jauger mon pantalon, l’ouvrir et glisser entre le coton et ma peau. Sans empressement, la main saisit mon sexe pour le caresser sous le tissu. Et moi, de tirer sur sa culotte, libérer ces lobes, ces fesses blanches en laissant la culotte barrer le centre et l’accès d’un anus tout rose. Mais mes mains savent aussi trouver leur passage vers son sexe qui promet d’avoir du goût, tant son parfum agace mon nez. Ma langue ira plus tard s’y baigner. Là, je lui caresse les hanches, le bas du dos, en gardant une vue imprenable sur sa croupe.

– C’est pas ces caresses, que je désire. Je suis plus au lycée !
– Mais alors, ce ne sont pas des caresses… tu veux que je te pince, te morde?

J’ai soudain l’air con, j’en suis sûr, son cul dans mon nez, je me demande quel traitement elle attend de moi.

– Ok, je vais te montrer, si tu es d’accord pour te laisser guider !

Je dis oui, elle bondit d’un coup, effleurant mon nez de sa chatte que je n’ai pas eu le temps de manger.

D’un tiroir, elle sort une paire de menottes et les agite devant moi.

– Assieds-toi ! Les mains derrière le dos !

Je suis assez fou pour obéir à cette inconnue, fasciné par son cul, son style et son aplomb. Et puis, je saurai l’arrêter s’il le faut.

Je me retrouve les mains dans le dos, menotté. Poussé en avant, je tombe sur le ventre. Elle engage une séance de frottements de son corps sur le mien, ses ongles se mettent à mordre ma chair, le long des bras, en griffures juste appuyées. Ses dents vives s’attardent à mes épaules, acérées au point que je sens qu’une seule morsure un peu forte m’arracherait un bout de viande. Puis, elle se lève et debout devant moi, relève mon menton de son pied.

– Tu as aimé les regarder, lèche-les, lèche mes orteils !

Le ton a changé, ça ressemble à une injonction mais je ne déteste pas ça, lécher de jolis pieds. Seule ma position est particulière mais je me sens bander. Elle se caresse au-dessus de moi, je tente de la regarder mais son autre pied repousse ma tête.

– Tu lèches, tu ne me regardes pas !

Ses orteils sont trempés et leur légère odeur de cuir chaud imprègne mes narines.

Elle a juste marché le temps qu’il fallait pour qu’ils soient parfumés ainsi.

Maintenant accroupie, elle écarte ses cuisses devant moi, à quelques centimètres. Je la vois mouiller, je la vois s’ouvrir, je voudrais y glisser ma langue.

– Non, ne me touche pas !

La vraie torture ce ne sont pas les menottes ou les ordres. Ne pas la sucer entre les cuisses, si près de ma bouche, ça, c’est un supplice.

Elle étend le bras vers un tiroir et en sort un gode d’ébène. Long et mat, sec comme une trique de flic. Là, devant moi, elle le passe entre ses cuisses, le promène sur ses seins qu’elle pince de l’autre main. Sans s’en pénétrer vraiment, elle le glisse à peine dans son sexe, le tourne sur lui-même très vite, le roulant entre ses deux mains. Cuisses contactées, ses muscles se tendent et moi, je sens mon sexe gonfler, coincé entre ventre et carrelage. Rien à lécher, rien à saisir, rien à branler… là, je peux le dire. Elle joue un solo, une partie d’allumage en règle.

– Donne-moi ce gode, laisse-moi te prendre avec.

Je l’implore presque.

– Attends, autre chose, avant.

Des larges bandes de cuir viennent entraver mes chevilles. Là, je me demande quand je vais m’occuper d’elle à mon tour !

– Alors, tu veux jouer avec le gode? Elle prend un ton doucereux.
– Oui, j’en ai envie, je veux que tu le sentes entrer en toi, de mes mains.

Elle se baisse sur moi et me mordille les hanches, ses cheveux se baladent sur mes reins.

– Tu me ferais quoi, avec ce gode, dis-moi ? Elle me rend fou, avec cette question.
– Je te ferai tout ce que tu veux !
– Ou plutôt ce que toi, tu veux, mec !
– Oui… mais ce sera bon…
– Pour moi ? De me faire mettre par un gode ?
– Mais… il est à toi, tu aimes…
– Tu vas le mettre dans ma chatte, c’est ça ? Et le regarder s’enfoncer ?
– Oui… oui, ça…
– Et tu vas m’enculer aussi… ?

Je meure de l’entendre et de ne pas pouvoir la toucher.

– Oui, je t’enculerai avec, et de mon sexe aussi.
– Ah ! Ça te plairait tant que ça, de m’enculer ? Elle devient étrange, ses mots sont dits de façon monocorde.

Elle glisse sur mon dos, je sens sa chatte sur ma nuque, mouillée et collée à la base de mes cheveux, ses pieds recroquevillés sous ma bouche.

– Tu vois, le jeu que j’aime, c’est pas d’être enculée par un homme qui prend des baffes de sa pétasse ! Les baffes de ta nana, c’est pas les gifles d’une Maîtresse !

Une énorme claque me brûle les fesses. Ses cuisses se resserrent contre ma tête. Une autre claque vient sur mon cul, le bout des doigts atteint mes bourses, comme si on les pinçait. C’est douloureux mais je bande autant que j’ai peur.

– Faut que tu comprennes… c’est moi qui vais t’enculer. Quelque chose à dire?

Là, le jeu s’emballe. Je réfléchis à toute vitesse.

– Ecoute, j’ai jamais fait ça… je ne sais pas, enfin je préfère pas.
– Ah oui ? Et à combien de femmes t’as pas demandé leur avis ?
– Mais non, il ne s’agit pas de ça.

Je ne bande plus… je suis comme un con qui a joué trop loin.

– Moi, je crois que tu vas enfin connaître la sensation que tu penses être si agréable aux pétasses du huitième. C’est moi, qui vais t’enculer et si c’est aussi bon que tu le penses, tu en redemanderas !

Elle me colle le gode dans la bouche, forçant mes lèvres.

– C’est trop gros ? Tu verras, il sera plus à l’aise dans ton cul. Allez, lèche-moi ça ! Plus fort, mouille-le. Plus il sera mouillé, moins tu auras mal !

Je suis dans un cauchemar. Je suis piégé par une disjonctée du cul. Elle pousse l’engin dans ma gorge, à me donner des spasmes.

– Quel effet ça fait, une bite dans les amygdales ? Et encore, celle-là est propre ! Quand elle aura fouillé ton cul, tu la lècheras encore, promis !

Je ne peux pas parler, de toute façon, je ne sais pas quoi dire, rien ne semble pouvoir l’arrêter.

– Dis-moi, tu aimerais plutôt lécher ma mouille sur ce gode ? Tiens, un petit cadeau.

Je la sens au-dessus de moi s’enfoncer le gode, puis elle me tire par les cheveux et force à nouveau ma bouche. Le goût de sa chatte me fait un temps oublier ma position. Je lèche presque avec plaisir ce truc froid et dur.

– Voilà, tu commences à y prendre goût, tu vas voir, tu vas adorer le sentir de remplir les fesses.

Elle me caresse la joue, me gratte le bout du nez, passe un doigt entre mes lèvres et mes dents, un doigt à l’ongle vif qu’elle prend soin de me planter dans une gencive. Elle est folle mais là, elle ne s’occupe pas de mon cul et puis, ça, je me surprends à aimer.

– Bon, tu les as bien préparées, tes bourgeoises, avant de les sodomiser ?
– heu, je ne leur ai pas fait de mal, je crois avoir fait comme il faut.
– Comme il faut ? Tu sais, ça veut rien dire ça. Tu cherches à m’amadouer ? Je vais te dire, moi, comment j’aime ! A sec ! Enfin, pour mes esclaves, bien sûr. Leurs gémissements ne sont pas feints, là, j’en suis sûre. T’as juste le droit de le lécher encore un peu. C’est le moment de vérité.

Le truc sort de ma bouche. Là, je voudrais qu’il y reste. Elle passe une main sous mon ventre.

– Tu bandes mou, monsieur ! Ca va pas, ça.

Elle me tourne un peu, sur le côté, je me demande comment j’en suis arrivé là. Mais surpris, je sens ses lèvres se refermer sur moi et sa bouche me pompe enfin comme j’en rêvais. Un délice de fellation où les dents ne sont pas absentes. Bon, si elle était sérieuse dans ces menaces, elle aurait déjà recraché mon gland à l’autre bout de la pièce.

Mais d’un coup, je sens la brûlure d’un doigt qui plonge entre mes fesses. Je crie… un « non » peu convaincant. Son doigt me fouille en se repliant à l’intérieur, tel un crochet. J’ai mal mais sa bouche sait donner l’antidote. Encore un cri.

– Tais toi ! C’est pas un doigt qui va t’arracher des larmes ! Tu m’emmerdes.

Elle lâche ma queue, mon cul… Elle se lève et attrape un carré de soie rouge. Me voilà bâillonné, comme sur les photos de son bureau. Je suis aux abois, là, j’ai les jetons.

– Hé ! Il tremble comme un porcin, mon esclave !

Elle me bascule sur les genoux, je tente de résister mais une troisième gifle me barre les fesses. Les mains dans le dos, le cul en l’air, un bâillon et des liens… je ne peux rien faire. Je la sens derrière moi, sa main gauche plaquée à mon cul, paume collée en ventouse, elle semble se régaler de me dominer. A cet instant, malgré la peur, j’avoue une excitation bien malgré moi. Je sens un sein venir au centre de mon cul, une dernière caresse avant l’assaut.

– Tu préfères quoi ? Une bonne poussée au fond ou un petit va et vient de rodage?
– Je… écoute, non, je…

Elle n’a pas attendu ma réponse. Je sens soudain ce truc froid à l’entrée de mes fesses. Elle est silencieuse, comme concentrée. Sans violence, elle pousse doucement, tout doucement le gode. C’est gros mais je n’ai pas mal… juste le passage qui semble s’étirer. Je suis presque rassuré. Pas si terrible, finalement. Elle douce, je préfère ! Je sens de la salive couler entre mes fesses. En plus, elle renonce au « sec ». Ouf, je me sens mieux et je bande gentiment.

Mais soudain, je me sens transpercé, envahit, violé. Et une douleur insupportable me fige, prostré, la croupe tournée vers le ciel, le gode planté en trophée, comme sur un sommet vaincu. Sans le bâillon, tout Paris en profiterait.

– Là… tu es reçu au club, mon gros cochon !

Elle vient s’asseoir devant moi, la chatte tout près de mes lèvres et se masturbe si vite qu’elle jouit en quelques secondes. Affalée sur le sol froid, elle reprend ses esprits. Mais pas son gode qui reste enfoncé dans mes fesses. Elle tourne autour de moi, semble réfléchir à la suite. Moi, je suis au bout de mes limites, rien de pire ne peut m’arriver. J’ai mal, mon cul se contracte malgré moi autour du manche, amplifiant la douleur. Mais je suis raide de la queue, comme un pendu.

– Bon, je vais être princesse, tu as droit au traitement de faveur final.

Elle s’approche de moi, m’arrache le gode dans un bruit de déboucheur de chiottes. C’est imagé mais j’ai que ça pour illustrer ce que je ressens. Puis à nouveau, elle m’ordonne de m’asseoir face à elle. Là, tranquillement, elle vient se caler devant moi, sa chatte devant mon visage.

– Et encore, t’a pas eu droit au foutre qui te gicle dedans ! Plains-toi ! Une petite douche, pour de remettre de tes émotions?

Oh non… elle va pas le faire, je revois le type sous elle en photo. Elle boit de longues gorgées d’eau, je me sens devenir fou, partagé entre mon voyeurisme et la crainte d’être aspergé de pisse. Là… je vois ses cuisses s’écarter, elle se baisse un peu et un filet s’échappe de son sexe, coulant sur ses cuisses. Elle me regarde, sourit narquoisement et arrête de pisser. De sa main, elle caresse son entre jambe et porte ses doigts à ses lèvres. Elle m’a épargné, je n’en reviens pas. Mais sa main replonge et là, revient vers mes lèvres.

– Tu t’en tires bien, je suis indulgente. Lèche mes doigts, un a un !

Je détourne la tête. Ses deux mains viennent me saisir les joues, maculant mon visage d’urine. Je m’exécute. Le goût est salé, l’odeur âcre, en tout cas, je préfère ça à la douche, même si elle prend soin de m’enfoncer ses doigts mouillés dans la bouche. Elle semble satisfaite. Elle me libère de mon bâillon en m’avertissant.

– Si tu gueules, si tu penses un seul instant te venger, tu connaîtras d’autres Maîtres qui sauront te trouver et te punir. Tu entends haut et clair ?
– Oui, je… tu ne me reverras pas.
– Oh mais si, j’en suis sûre ! Mais tu seras volontaire, tu en auras envie, je sens ça !

Mes liens défaits, je reste un instant sur le sol étendu, fourbu, le cul en feu. Et je ne l’ai pas baisée…

– La prochaine fois, tu pourras me prendre, si tu obéis comme il faut. Là, tu t’es fait prier. Allez, habille-toi et file retrouver ta petite pute !

L’air frais du soir me redonne un peu d’énergie. Je suis partagé entre la honte et une espèce de plaisir sournois que je refuse d’admettre.

Arrivé à l’appart, ma clef fonctionne, Léa n’a pas verrouillé de l’intérieur, prête à oublier sans doute notre dispute.

La douche est sublime, même si je n’ose pas me toucher les fesses, tant elles sont douloureuses. Léa dort profondément, je me glisse doucement dans le lit et m’endors, épuisé.

Mais les rêves finissent par me hanter, je tourne et tourne sur moi-même.

Et le rêve tourne au fameux instant de la douche évitée. Je revois Solen devant moi, mais je suis sur le dos, allongé dans un lit. Elle est au-dessus de moi, ouverte, son sexe béant, prêt à m’arroser, en souriant. Je ne fais rien pour lutter. Et là, je sens son urine couler, puissamment sur mon torse, elle se tortille en se vidant sur moi. Mes mains étalent tout sur mon ventre, mes épaules, mon cou. C’est chaud, c’est agréable.

– Alors c’est ça… tu en crevais d’envie, mon salaud !

La voix de Léa retentit et Solen s’efface de mon rêve, disparaissant dans une brume chimérique.

– Réveille-toi, regarde-moi !

Léa… debout sur moi continue de pisser, inondant le lit, aspergeant aussi mon cou. Je ne rêve plus, elle est bien là à me souiller.

– Tu l’as baisée, salaud ! Mais si elle t’a pissé dessus, alors à moi aussi de me lâcher ! Et en plus, j’aime ça !

Je deviens fou, je suis dans un jour hors limites. Mais la voir se soulager comme ça me fait bander et là, je ne resterai pas bredouille. Elle vient me sucer divinement, mélangeant les odeurs et les saveurs, me collant au nez sa touffe brune imprégnée de pisse. Puis, elle se cloue sur moi, mouillée, trempée de tous ses jus et me baise sans ménagement. Mais ça, maintenant, je connais et ses coups de hanches sont autant de caresses. Dans une dernière image, je revois le gode me pénétrer et dans la douceur du sexe de Léa, je peux enfin jouir en osant m’avouer que j’ai aimé ça !

Copyright © Yourka 2001 Première publication sur Vassilia, le 25/07/2001 Le webmaster tient à remercier vivement Yourka d’avoir à sa demande accepté de publier ce récit ici !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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