Auteurs divers

Lundi 28 avril 2025 1 28 /04 /Avr /2025 13:48

La vengeance de l’enculée par petitlapinou

 

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Transgression

Cette plage naturiste est vraiment un havre de paix et un avant-poste du paradis. Seuls quelques corps nus sont éparpillés seuls ou en couples entre les dunes semées de quelques touffes de genêts qui bordent la plage, où meurent de paresseuses vagues d’eau limpide. Je suis affalé à plat ventre sur l’ondulation de la dune, mes fesses nues liquéfiées par le soleil de cette fin d’après-midi, qui darde aussi entre mes jambes écartées ses rayons encore brûlants sur mes grosses couilles bouillantes répandues sur le sable blond.

Devant moi, j’ai une vue plongeante sur le corps parfait d’Emma, étalée dans mon prolongement sur la pente de la dune, face à la mer turquoise. Elle aussi est écrasée de chaleur, comme encastrée dans le sable, bras et jambes en croix.

Ça fait deux ans que nous vivons une passion dévorante. Avides l’un de l’autre, nous baisons comme des bêtes, découvrant ensemble les inépuisables ressources de nos sexes qui réagissent au quart de tour. Nos langues ont exploré et goûté chaque détour de nos beaux corps juvéniles. Nous nous sommes presque tout permis. C’est Emma qui a imposé un seul interdit : je lui lèche le cul qu’elle me permet aussi d’explorer du doigt, mais elle refuse que je l’encule, prétextant que ma grosse biroute lui déchirerait l’anus en le pénétrant, et que de toute façon elle n’y trouverait aucun plaisir.

Le menton posé sur les mains, je me délecte du spectacle de son cul magnifique : les fesses bronzées bien écartées dégageant son trou de balle ourlé de rose foncé luisant de la sueur qui perle le long de la raie. J’ai devant les yeux son entrecuisse bien ouvert, la vulve suintant un filet de mousse visqueuse sous l’excitation du soleil caressant, quelques grains de sable mêlés à ses poils humides. Nous avons déjà baisé dans les dunes ce matin, mais je bande à nouveau comme un bouc, la bite moulée dans le sable chaud pressée contre mon ventre jusqu’au nombril.

J’allonge un bras, remonte de la main l’intérieur de sa cuisse puis m’attarde sur sa fesse, dont je caresse le galbe mouillé de sueur avant de laisser glisser mes doigts tendus entre les lèvres déjà dilatées de son vagin. Mon pouce humide s’occupe de son clito que je sens se raidir et que je branle doucement. Mes autres doigts écartés vont et viennent dans son sexe mûr à point et le laboure doucement. Avec un gémissement d’aise alanguie, elle ouvre encore un peu plus les cuisses et tend sa croupe vers moi.

Relevant mon bassin, je me traîne sur les coudes et rampe entre ses jambes jusqu’à mettre mon museau à portée de sa chatte baveuse, dont ma langue écarte les lèvres entrouvertes et lèche avec délice le suc qui s’en échappe.

Elle roule le bassin pour que ma langue puisse pénétrer plus à fond dans sa moule qui dégorge et que je suce avidement. La pointe de ma langue trouve son clitoris salé, qu’elle excite en un mouvement enveloppant, le faisant rapidement doubler de volume. J’ai le nez planté dans sa chaude intimité détrempée. La forte odeur de marée qui s’en dégage me monte au cerveau et redouble mon érection. Ma pine me fait mal à force de bander dur et mes couilles enflées sont comme des outres trop pleines. Le dos trempé, je sens la sueur couler de mes reins dans la raie de mon cul.

Mes mains enveloppent maintenant ses mamelles fermes et soyeuses qu’elles ont dégagé du sable et dont je fais rouler les tétons tétanisés, pincés entre mes doigts. Ma langue abandonne bientôt son clito palpitant pour remonter entre les lèvres boursouflées de son vagin et lécher l’espace qui le sépare de la fleur de son cul, avant de venir baiser de mes lèvres humides son trou du cul largement offert et en explorer les profondeurs de ma langue vicieusement enfoncée. Je remplace ma langue par mon doigt, que j’enfonce en vrille dans son cul, lui arrachant un petit cri d’approbation gourmande.

Mes sens en sont complètement affolés. Je suis en rut et me sens totalement bestial, avec une envie irrésistible de l’enculer.

Mon index ramonant toujours son fion, j’introduis les autres doigts dans sa chatte détrempée et la fourrage à nouveau. De mon autre main j’essuie mon gland tapissé de sable mouillé de la bave qui en suinte abondamment. Préparant mon forfait, je cherche à tâtons la bouteille d’huile solaire qui gît dans le sable, l’ouvre du pouce et en asperge une copieuse rasade sur mon madrier enflammé. Agenouillé derrière Emma, j’avance le torse et le plaque contre son dos, ma bouche dans son cou lui baisant la base de l’oreille au goût de sel, une main remontée au niveau de son épaule pressée contre le sable. De ma main libre, j’empoigne mon pieu bien graissé, le guide fermement vers sa cible innocente et force l’entrée de son cul par surprise, en une poussée lente mais implacable. Mon engin hypertrophié avance par à-coups, forçant ce passage trop étroit qu’il distend à l’extrême.

Emma tente de se dégager de mon étreinte, mais je suis en position de force et maîtrise ses mouvements convulsifs, qui redoublent mon excitation, surtout quand elle contracte violemment son fessier pour m’en éjecter. Le visage contre le sol, elle vocifère, mais sourdement, bouche fermée pour ne pas bouffer du sable. Il y a longtemps que je rêvais de braver cet interdit. Je la pistonne en longs coups profonds, mon gros phallus confiné dans ce boyau soyeux, comprimé par tous les muscles en anneaux qui se resserrent à son passage. A chaque poussée, je sens mes couilles boursouflées qui viennent buter contre son vagin aux poils mouillés. Je suis en ébullition et je sens que je vais décharger lourd. Dans un ultime coup de boutoir, je lâche un feu d’artifice de purée brûlante au fond de son derche violé, et me laisse retomber de tous mon poids sur elle, salaud repu de son cul délicieux.

Emma se dégage en me poussant de côté, éjectant ma bite gluante et merdeuse, et sans un mot se dirige vers la mer d’un pas rageur. Ma semence bulle de son trou du cul et macule ses cuisses de traînées brunâtres. Je la suis et cours me jeter à l’eau à quelques pas d’elle. J’ai vraiment pris un pied d’enfer à lui bourrer le cul. Je ne regrette pas d’avoir transgressé son interdit, mais j’espère qu’elle y a aussi trouvé son compte. Je lui jette un regard curieux, un sourire gêné aux lèvres :

– Alors, comment c’était ? Tu vois, je ne t’ai pas déchirée comme tu le craignais !

Elle me retourne un regard noir, lance d’un ton courroucé :

– Mon salaud, tu vas me le payer très cher !

Et elle sort de l’eau en courant vers la dune pour y ramasser son maillot et se rhabiller rageusement. Bon, il va falloir que je me fasse tout petit pour laisser passer l’orage. J’enfile rapidement mon short de toile, saute dans mes savates, ramasse mes affaires et la suit sur le chemin qui serpente en direction de la route où nous avons laissé la tire louée pour la semaine. C’est elle qui a les clés et elle serait bien capable de me planter là si je traîne. Elle a déjà lancé le moteur quand je me jette sur le siège passager, et elle démarre en trombe. L’ambiance du trajet jusqu’au bungalow risque d’être assez lourde. Comme Emma ne desserre pas les dents, je ne me risque pas à commenter ma prestation, ou même à tenter d’excuser ma conduite. Je sens bien que ce serait peine perdue. Mes actions sont au plus bas.

Autostop

A peu près à mi-chemin, nous dépassons un jeune gars qui revient aussi de la plage, et qui fait du stop en levant le pouce. Il est torse nu avec un vieux short élimé et des baskets éculées, un sac à dos jeté sur une épaule. Quelques mètres plus loin, Emma ralentit et stoppe la bagnole en bord de route.

– Qu’est c’que tu fais ? Je demande, tu veux jamais prendre des stoppeurs !

Mais elle ne me répond pas et le mec arrive nonchalamment à ma hauteur. C’est un beau latino aux cheveux châtains qui tombent en longues boucles sur ses épaules bronzées. Un large tatouage court sur son bras bien musclé. Il dégage une impression de forte animalité renforcée par le sourire un peu énigmatique qu’il affiche et qui lui donne un air d’ange déchu sûr de son charme. Emma se penche vers ma fenêtre ouverte et lui dit de monter. Je n’ai rien contre, mais c’est bien la première fois qu’elle accepte un inconnu à bord. La séquence qui s’est déroulée dans les dunes doit y être pour quelque chose. J’ai l’impression qu’elle est en train d’orchestrer sa vengeance. Le mec jette son sac sur la banquette arrière et monte derrière moi. Il amène avec lui une odeur de sable mêlée de sueur mâle salée qui envahit l’habitacle. Du coin de l’œil, je surprends un frémissement des narines d’Emma qui lui fait monter le rouge au front.

– Où tu vas ? lui demande-t-elle.

Le gars se fend d’un plus large sourire et lâche :

– Não falo franceses, falo apenas português, e brasileiro… je pas parle français, Brazil

Bon, c’est pas sa conversation qui va faire diversion dans la voiture ! Par gestes, Emma répète sa question en dessinant un point d’interrogation dans l’air. Il semble comprendre et répond :

– Vou onde vai, vous y va, je va.

Pas trop compliqué le latino, mais où on va, c’est au bungalow que nous avons loué au milieu de nulle part, assez loin d’ici mais aussi du prochain village. Enfin, il verra bien, et de toute façon, Emma a déjà démarré. Nous échangeons nos prénoms, lui c’est Raphaël. Puis le silence s’installe et il doit sentir la lourde tension électrique qui règne entre Emma et moi. Arrivés au chemin d’accès aux bungalows, Emma lui propose par gestes de venir boire un verre et il acquiesce de la tête avec toujours son sourire ambigu.

Une fois débarqués au bungalow, nous prenons d’assaut les fauteuils de la terrasse ombragée. Je rentre préparer des caipirhinas glacées et un plateau de fruits que j’apporte dehors. Tout en sirotant son drink, Emma ne lâche Raphael des yeux que pour me lancer des regards de défi. Le jeune latino ne se pose pas de questions et la couve du regard sans vergogne. Les yeux plongés dans les siens, il choisit à tâtons une figue presque trop mûre, l’ouvre entre ses doigts, et se met à en lécher la chair violacée d’une langue gourmande. Un peu de jus mêlé de salive bave de son menton et coule en un sillon visqueux le long de son torse glabre. Le salaud n’a pas besoin de traducteur ! Je peux mesurer l’effet sur Emma au rythme de sa respiration qui s’est accéléré. A son tour, elle se penche vers le plat et saisit une banane tigrée qu’elle décalotte avec les dents, faisant apparaître la chair plus claire qu’elle dégage à moitié de sa peau et qu’elle caresse d’un doigt avant de l’introduire entre ses lèvres entrouvertes, de l’enfourner dans sa bouche et de l’en faire ressortir lentement en la suçant, le regard toujours rivé à celui de Raphaël. Pas difficile de voir comment Emma envisage sa vengeance, mais si elle croit me faire chier en se tapant le brésilien, elle se goure. Ça m’exciterait un max de la voir se faire mettre devant moi par ce bel étalon.

Le mec avance une main vers la cuisse d’Emma et commence à en caresser doucement l’intérieur. Mais elle se lève, s’empare de nos verres vides et part vers la cuisine pour les recharger. Je la soupçonne de vouloir en fait se débarrasser discrètement de son slip et de son sous-tif. En effet, quand elle revient avec nos drinks, ses seins lâchés bougent librement sous sa blouse à demi transparente. Elle pose les verres embués sur la table pour s’approcher du mec qui s’est levé et l’attend les reins appuyés contre la barrière de la terrasse. Elle promène ses paumes sur les pectoraux et les abdos bien dessinés du beau gosse, les seins appuyés contre son biceps, avant de déboucler fébrilement son ceinturon et de lui déboutonner sa braguette, d’où jaillit une belle grosse queue en plein raidissement.

Son short lui tombe sur les chevilles, et il s’en débarrasse en l’expédiant du pied sous une chaise. Il est maintenant complètement à poil devant nous, et enserre dans son poignet sa bite encore en train d’enfler.

Sans complexe, regardant Emma droit dans les yeux, il se met à se branler lentement en se massant les couilles de l’autre main. Emma semble fascinée. Attirée comme par un aimant, elle vient se coller contre lui en ouvrant sa blouse pour lui plaquer contre la poitrine ses seins aux tétons déjà gonflés, les mains agrippées à ses fesses musculeuses qu’elle se met à pétrir avec force. Une main insinuée par l’arrière dans le slip d’Emma, il continue de l’autre à masser son manche turgescent. Je dois avouer que le spectacle de cette belle bite en mouvement me fout aussi une solide trique, qui n’échappe pas à Raphaël dont le regard ironique sur le renflement peu discret de mon short en dit long. Par-dessus la tête d’Emma qui lui couvre le cou de baisers et lui lèche le lobe de l’oreille, il me fait un clin d’œil en portant un doigt à sa bouche pour le sucer. Je réalise que son exhibition m’est aussi destinée et ça m’excite grave. Je n’ai jamais eu l’occasion de me faire pomper la gaule par un mec, même si je me suis déjà dit que ça me brancherait assez. Surtout, un frisson me court le long de l’échine à l’idée de lui sucer la pine et de téter son gland et je me prends à saliver d’avance. Mais ça risque de brouiller les plans d’Emma et de ne pas être du tout à son goût, même si elle est assez ouverte aux expériences qui ne touchent pas son trou du cul. Il faudra la jouer finement. Emma, le slip maintenant baissé sous les fesses, la main affairée de Raphaël lui fouillant la chatte, le prend par le bras et l’attire à sa suite vers l’intérieur du bungalow.

Dès qu’ils ont disparu, je me désape fébrilement, libérant mon membre comprimé qui me fait mal d’être si dur, et je les rejoins discrètement dans notre chambre aux persiennes closes.

Festin de bites

Le beau mâle me fait face, debout au pied du lit, jambes écartées, la tête renversée en arrière dans la pénombre. Emma est agenouillée devant lui et lui suce les couilles avec des grognements gourmands, tout en le branlant d’une main, l’autre affairée à rouler un de ses tétons entre ses doigts. Je tombe moi aussi à genoux sans bruit derrière Emma. J’ai devant les yeux son cul défloré, et je ne résiste pas à caresser cette douce rondeur veloutée d’une main légère, tout en me branlant d’un poignet souple. Comme elle ne réagit pas, je m’enhardis, glisse une main entre ses cuisses, entrouvre les lèvres gonflées de son vagin et enfonce doucement l’index à la recherche de son point G que je connais bien. Je sais que je l’ai trouvé lorsqu’elle bascule son pubis en arrière vers moi et commence à se trémousser en gémissant de façon assourdie, la bouche maintenant vissée à la queue de Raphaël qu’elle aspire bruyamment. Cette double stimulation doit l’amener au summum de l’excitation car elle ne tarde pas à m’inonder la main d’une gerbe de jus brûlant dans une série de spasmes incontrôlés. Elle laisse échapper de sa bouche la biroute du bandeur brésilien luisante de salive, et se jette en avant sur le lit, le menton enfoui dans les draps pour se reprendre en main.
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J’en profite pour prendre la relève et empoigner la gaule dressée que Raphaël tend vers moi comme un étendard. Du bout de la langue, j’ouvre son méat et en extrais le pré cum visqueux au goût salé qui en suinte, puis je gobe son gros gland obèse et l’enfourne goulûment dans ma gueule. Mon cerveau est affolé de sentir cette masse de chair vivante qui pulse entre mes lèvres et me remplit la bouche avant de ressortir un instant pour mieux revenir forcer son passage entre mes dents, le gros bout protubérant palpitant contre mon palais. Agrippé à mes cheveux des deux mains, c’est lui qui règle en silence la cadence de mes aller-venues. Je lui broie les burnes d’une main, l’autre toujours vissée à mon sexe enflammé, que je secoue au même rythme, frère jumeau de celui qui m’emplit la bouche à m’étouffer. Si nous déchargeons en même temps, j’aurais la sensation que c’est moi qui me découille dans la gorge. Mais le salaud me frustre de ce délire en retirant de ma bouche son engin luisant de ma salive pour me tourner le dos et s’approcher d’Emma, qui l’appelle d’une voix étouffée par le drap, lui offrant un con béant encore baigné de cyprine, ouvert des deux mains tirant sur les fesses. Tombé à genoux, complètement en rut, il l’empoigne sous les cuisses largement écartées, l’embroche par l’arrière d’un coup de son pieu d’acier et la pistonne sauvagement à coups de bassin brutaux. Elle l’accueille avec un soupir d’aise et l’attire par la tignasse pour lui bouffer la bouche.

Je suis à peine remis de mon festin de phallus avorté et trop excité pour rester spectateur. Me trainant sur le sol, j’atteins la tête du lit que j’enjambe, et viens frotter contre leurs visages ma gaule dressée raide comme une poutre, cherchant à attirer leurs bouches soudées l’une à l’autre. C’est Emma qui prend conscience la première de ce monstre qui se presse devant ses yeux, et le happe au passage d’une bouche avide qui se ventouse autour du gland. De son côté, Raphaëlito saisit mes roustons entre ses dents et me les suce comme des sucres d’orge. J’ai l’impression que ces deux sangsues vont avaler mes parties génitales bousculées en tous sens par les coups de boutoir du baiseur qui lime ma copine. Très rapidement, la situation devient incontrôlable. Tout le corps du mec se raidit, fesses serrées et torse crispé. Il me mord le sac en laissant échapper un brame rauque et je sens qu’il éjacule en une longue série de convulsions. J’imagine son foutre épais qui englue le vagin hyper excité d’Emma, qui réagit en inondant le lit d’une marée de son jus. Ma trique me fait mal de tellement me retenir, et à mon tour, j’abandonne le contrôle, je lâche une puissante giclée de riche purée qui tapisse le visage et les cheveux des deux suceurs, et me laisse retomber en arrière, dos contre la paroi. Raphaël s’est écroulé, son sexe toujours emmanché encore animé d’un lent mouvement coulissant, la poitrine collée au dos d’Emma.

Enfilade

De ma position, je domine le corps musclé du brésilien, dont le large dos aux muscles saillants est perlé de sueur, comme ses fesses un peu velues qu’il serre et relâche au rythme ralenti de ses mouvements de va et viens. La vision de ce beau cul ! Je contourne les deux corps imbriqués et agrippe à deux mains les fesses fermes et duveteuses qui ondulent devant moi. Je les pétris et les écarte pour dégager le trou de balle dont je ne résiste pas à lécher et en saliver copieusement la rosace. Le mec m’encourage en relâchant les muscles de son fessier largement ouvert, dont j’ai idée qu’il a déjà été forcé plus d’une fois. De la main, je guide mon engin encore lubrifié de sperme jusqu’à l’orée de cet orifice accueillant et j’en force l’entrée d’une poussée résolue du gland visqueux.

Mon membre comprimé coulisse avec peine dans cet espace confiné, pour venir butter contre la prostate souple. Comme Raphaël a recommencé à besogner Emma avec plus d’ardeur, nos mouvements se coordonnent et j’ai l’impression que mes coups de hanche sont démultipliés. Je sens mes couilles bien pendues battre contre son gros sac quand nos balloches dilatées s’entrechoquent à la même cadence. Je caresse des doigts ce double paquet de couilles gluant des sécrétions qui ont coulé du vagin engorgé. Je saisis nos bijoux de famille et les masse ensemble d’une main ferme, pendant que de l’autre, je lui malaxe une de ses fesses, dure et poilue. A chacune de mes poussées, le jeune éphèbe bande tous ses muscles fessiers et compresse mon polar écrasé dans l’étau de son anus contracté.

Comparé au cul douillet et velouté d’Emma, même lorsqu’elle tentait de m’en éjecter, ce derche nerveux, qui pourtant m’accueille volontiers n’est que convulsions violentes et m’impose un rodéo sauvage qui tuméfie mon braquemart, qui pistonne et affole le frein de mon gland irrité. Je ne sais pas lequel des deux culs je préfère, et je n’en ai rien à branler. Je sens le foutre bouillonner dans mes burnes et s’engouffrer dans ma bite emprisonnée entre ses fesses qui ne demande qu’à cracher. Mais voilà maintenant tout le corps de mon enculé qui se raidit dans un violent spasme, essorant mon braquemart en train de vomir une salve incontrôlée d’épaisse purée au fond de son fion. Il éjacule aussi dans la foulée, et j’ai l’impression que c’est mon foutre qui gicle de sa grosse queue, prolongement de la mienne. La vengeance d’Emma s’est transformée en une nouvelle expérience plutôt jouissive pour moi.

Une fois relâchée toute la tension de cette séance, nous retirons nos dagues souillées de leurs fourreaux, que nous essuyons au drap, et nous nous laissons aller sur le lit, vautrés l’un sur l’autre à côté d’Emma le visage toujours enfoncé dans le matelas. Je crois bien que nous faisons un somme pour récupérer. En tout cas, le soir est tombé quand je reprends mes esprits sous les caresses d’une main douce, qui remonte le long de ma cuisse. J’entrouvre les paupières et espionne à travers le rideau de mes cils Emma, qui me fourrage les poils du pubis, son autre main baladeuse faisant de même à Raphael, agenouillée à cheval au-dessus de nos deux corps. Nous avons son beau cul et son vagin maculé de foutre séché entrouvert devant les yeux. Raphaël y a déjà introduit ses doigts. J’avance une main fébrile et viens le rejoindre dans cet antre moite où nos doigts se mêlent. A sentir comme Emma me manipule la gaule, il semble que je sois rentré en grâce. Du coin de l’œil, je peux vérifier qu’elle applique le même traitement au brésilien, et qu’il y est aussi sensible que moi. Nos deux verges jumelles sont en train de se déployer et de se redresser côte à côte en durcissant entre les mains expertes de ma femelle préférée, qui les caressent en stéréo. Puis elle les presse ensemble, et le souffle de son haleine chaude vient caresser mon gland hypersensible avant qu’elle le gobe tout entier avec son jumeau et nous traie les bites avec application. Je sens pulser contre ma pine gonflée la grosse veine saillante qui longe la teub de Raphael.

Nos deux corps tendus sont accolés, cuisse contre cuisse, poitrine contre poitrine, nos lèvres se cherchent et nos langues se trouvent. Nos doigts mêlés alternent à agacer le clitoris d’Emma qui bande grave. Mais sa bouche abandonne bientôt nos phallus et elle se dégage de nos caresses. Elle traine son pubis sur nos ventres et guidant nos deux manches tumescents qu’elle enserre ensemble entre ses doigts, elle vient empaler sa moule béante et détrempée sur nos deux pieux de chair qui l’emmanchent avec peine. Elle monte et descend sur nous, faisant lentement coulisser nos poutres dures comme de l’acier pressées l’une contre l’autre. Toujours à nous sucer les langues, nous nous paluchons nos poitrines et nos fesses de mecs pendant que nous laissons notre femelle coulisser langoureusement son vagin qui enrobe nos queues palpitantes et caresser ensemble nos sacs de couilles. Nous savourons religieusement cette communion voluptueuse et lascive, jusqu’à ce qu’Emma accélère le rythme de ses va et viens au gré de son excitation grandissante. Mes mains crispées sur les muscles contractés du jeune latino, je sens nos deux corps mâles se raidir à l’extrême. Je savoure la montée en puissance de mon excitation, peinant à retenir le flux de sève qui gonfle mes couilles dures comme du bois et qui ne demande qu’à gicler. Je saisis Emma par le bras et la force à figer ses mouvements pour nous laisser un peu de répit. Tous les sens en alerte, nous restons quelques instants sans bouger, au bord de la syncope. Puis Emma reprend son ouvrage avec encore plus de vigueur, nous amenant tous au-delà du point de non-retour. Dans un grand désordre de soubresauts hystériques, nous jouissons les trois en un cataclysme spastique de foutre et de jus qui débordent du con engorgé pour dégouliner sur nos balloches et se mêler à nos poils de queue. L’odeur enivrante de stupre m’enchante les narines.

Aveu et Perspective

Après avoir un peu récupéré, Emma se dégage et s’éclipse en direction de la salle de bains. Je me lève aussi, essuyant de la main mon phallus glaireux.

Raphaël est resté allongé, sa belle biroute à peine débandée encore suppurant sur une de ses cuisses, les poils pubiens englués de foutre. Levant un pouce, il me jette un regard entendu, que je lui rends avec un sourire ironique, puis je rejoins Emma sous la douche.

Je suis pardonné ? Je lui glisse à l’oreille ruisselante d’eau.

Elle sourit sous le jet puissant de la douche.

– Je crois, mais seulement si tu me promets de… revenir me fourrer le cul de temps en temps. En fait, j’aime assez

J’en suis un peu estomaqué. La salope m’a joué les vengeresses alors qu’elle avait autant pris son pied que moi! Après un temps d’arrêt, elle ajoute :

– D’ailleurs tu devrais profiter de la bite de Raph pour te faire mettre toi aussi

A vrai dire, je m’étais déjà dit que ça ne me déplairait pas de me faire déflorer et ramoner le trou du cul par la grosse pièce d’artillerie du latino, mais avec la bénédiction d’Emma, et sous ses yeux, ça en devient parfaitement alléchant, et je me reprends une trique monumentale.

Sortis de la douche, nous traversons le bungalow en ruisselant sur le carrelage et retrouvons notre beau jouet qui s’est assoupi en travers du lit. Nous le poussons de côté sans qu’il ne se réveille, et nous couchons lovés ensemble contre lui. Ça ne fait rien, je peux attendre jusqu’à demain matin. Je me vois déjà réveillé par une bonne odeur de café, prendre le petit déj’ au lit. Je vais tartiner mon pain de beurre, en graisser la gaule de Raphaël encore mal réveillé, et le faire bander prêt à me trouer le cul. J’aurais aussi beurré ma queue en érection et il se pourrait bien qu’Emma vienne m’offrir la fleur de son cul à défoncer pendant que je me ferais enculer dans la moiteur du petit matin.

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Lundi 21 avril 2025 1 21 /04 /Avr /2025 13:32

Champagne à la piscine par Pascal_G

Gs2

Comme tous les samedis, j’étais à la piscine. Je faisais mes longueurs comme
à l’accoutumé. Il y avait toujours du monde au bord, et il fallait regarder
avant de pouvoir faire son demi-tour pour éviter d’envoyer ses pieds dans la
figure de quelqu’un.

Ce jour-là, j’ai remarqué, au bout de quelques allées retours, qu’une fille
se mettait systématiquement tout près d’où je tournais. J’ai commencé à
l’observer et ce n’est qu’au tour suivant que j’ai vu qu’elle écartait très
fort les genoux à mon passage et que sa main se glissait sous son maillot.
Elle alla plus loin encore le tour suivant car de l’autre main, elle écarta
le maillot pour que je puisse bien voir son intimité. Ce spectacle aquatique
était des plus excitant et je bandais ferme. Je feignais n’avoir rien vu,
mais elle savait que je ne pouvais pas avoir manqué cela. D’ailleurs, le
tour suivant, au moment où je m’élançais les pieds en appui contre le mur,
elle a tendu sa main à plat sous mon corps, paume vers le haut pour me
toucher. Elle n’a pas raté sa cible et sa main a frôlé mon sexe en érection.
Ca m’a coupé mon élan et j’ai eu beaucoup de mal à continuer ma route.

Lorsque je suis revenu, elle n’était plus là. Je me suis arrêté pour voir si
je la voyais encore quelque part. Elle avait du se dire que si avec ça je
n’avais pas encore compris c’est que je devais être con ou pas intéressé. Et
puis, je l’aperçu, prêt de la porte du couloir qui mène aux toilettes. Elle
me fixait et m’a fait un petit signe m’invitant à la rejoindre. Je bandais
de plus belle et je ne voyais pas trop comment sortir de l’eau sans attirer
l’attention sur ma protubérance qui menaçait maintenant de faire sauter mon
maillot de bain.

Elle disparu derrière la porte. Il fallait que je trouve quelque chose pour
la rejoindre. Je ne voulais pas laisser passer une telle occasion. J’avais
si souvent fantasmé de me faire draguer à la piscine et de m’envoyer en
l’air dans une cabine au risque de se faire entendre par tout le monde.
C’était d’un excitant !

C’était mon jour de chance ! Arrivé au bord, il y avait des planches en
mousse dure qu’on utilise comme bouée pour travailler uniquement les jambes.
J’en ai pris une et je suis sorti de l’eau par l’escalier dans la petite
profondeur en collant cette planche contre moi comme si j’avais peur qu’on
me la vole. Je préférais de toute façon que les gens pensent çà plutôt
qu’ils voient ce qui se cachait derrière.

Enfin, j’ai atteint la porte et je suis entré à mon tour dans le couloir. Il
faisait très calme et il n’y avait personne dans le couloir. Je me suis
approché de l’entrée des toilettes femmes. Une porte était entrebâillée,
c’était plus qu’une invitation. Contrairement aux toilettes habituelles de
piscine, les portes allaient jusque par terre et il n’était pas possible de
regarder en dessous. Je me suis précipité vers la porte, je suis entré et je
l’ai refermée derrière moi.

C’était bien elle. Elle a mis son doigt sur ma bouche pour ne pas que je
parle. Elle m’a poussé contre la porte puis elle a reculé pour s’appuyer sur
le mur du fond. Elle était debout, les jambes écartées de part et d’autre de
la cuvette. Elle a fait glisser les bretelles de son maillot pour me faire
découvrir sa poitrine. Elle avait des seins superbes, bien rond et que je
devinais ferme. Les pointes étaient naturellement tendues par l’action de
l’eau. Elle se caressait la poitrine passant d’un sein à l’autre et se
pinçait par moment un téton en laissant échapper un petit cri étouffé de sa
bouche. Elle finit par retirer complètement son maillot. Une main descendit
à la rencontre de son entrejambe et elle commença à se caresser sous mes
yeux médusés. Elle m’offrait un spectacle d’un érotisme intense. Elle
s’abandonnait au plaisir devant moi, les yeux à demi clos. Sa langue fine
sortait légèrement de sa bouche entrouverte et parcourait ses lèvres
pulpeuses très lentement. Je n’en pouvais plus mais je voulais la laisser
faire à sa guise. C’est elle qui avait pris toutes les initiatives jusque là
et je voulais lui laisser carte blanche. Elle s’est interrompue un moment
pour sortir ma verge de mon maillot mais sans la toucher. Elle a juste
défait le nœud de mon maillot et mon sexe a bondit comme un diable de sa
boîte. J’avais maintenant mon maillot sur les chevilles. Elle a pris ma main
droite et l’a posé sur mon sexe. Elle voulait que moi aussi je me caresse
pour elle. Je ne me suis pas fait prier, j’ai caressé mes couilles, ma tige
et mon gland mais sans me masturber sinon j’aurais explosé dans la minute.
De l’autre main je me suis aussi excité les tétons.

Elle a fini par s’introduire deux doigts dans la chatte. Elle coulissait
lentement en elle presque au ralenti. Ses doigts étaient maintenant
recouverts d’un liquide épais et brillant. Elle a sorti les doigts de sa
grotte pour les porter à sa bouche. Elle a d’abord humé longuement puis
léché ses doigts, couverts de son plaisir, tout en me regardant droit dans
les yeux. Elle suçait ses doigts avec délicatesse et délectation, pas du
tout comme une chienne en chaleur. Elle a repris le chemin de son antre. Et
lorsqu’à nouveau les doigts en ressortirent, elle me les a tendus sous le
nez. J’ai pris tout mon temps pour apprécier son parfum intime. L’odeur
était puissante et enivrante. Elle a caressé le bord de mes lèvres et j’ai
entrouvert la bouche. Elle a introduit ses doigts dans ma bouche et j’ai
léché son plaisir qui en dégoulinait.

Des voix se sont fait entendre et plusieurs femmes sont entrées dans les
toilettes. Elles venaient se débarrasser d’une envie pressante. Le bruit de
l’urine qui tombait dans les cuvettes résonnait dans toute la pièce. Je
n’osais plus bouger. Je regardais toujours ma superbe inconnue et là, elle a
fait quelque chose d’incroyable ! Toujours debout, les jambes écartées au
dessus de la cuvette, d’une main visiblement experte elle a écarté ses
lèvres vaginales et placé ses doigts d’une manière particulière. Et puis
j’ai vu tomber les premières gouttes dans la cuvette. Elle avait la ferme
intention d’uriner debout devant moi. Je n’en croyais pas mes yeux, un long
flot doré continu tombait droit dans la cuvette. Elle pissait debout comme
un homme !

verena003Mais elle retira sa main avant de terminer et cette fois, le liquide doré courait le long de ses jambes et tombait sur ses pieds. Elle a repris ses caresses tout en continuant à uriner. Elle s’est à nouveau arrêtée. Je voyais bien qu’elle n’avait pas terminé, elle se retenait. Elle a porté ses doigts à sa bouche pour goûter son urine. Elle a léché jusqu’à la dernière goutte. J’étais stupéfait et de la situation et de ma réaction car je ne trouvais pas cela dégoûtant. Au contraire ça m’excitait de plus belle et elle s’en est aperçue. Elle a mis sa main en cuillère entre ses jambes et a relâché sa vessie pour remplir cette coupe improvisée. Ensuite elle a tendu sa main vers moi. Elle m’invitait à goûter son champagne. Je suis tombé à genoux devant elle et j’ai lapé le liquide chaud dans sa main comme un petit chat. Je ne me serais jamais cru capable d’un tel acte, mais j’étais dans un état second. Une fois la coupe improvisée vidée de tout contenu, elle a pris ma tête entre ses mains et m’a attiré vers son entrejambe. J’avais maintenant le visage devant sa chatte juste au-dessus de la cuvette. Elle a relâché à nouveau sa vessie et m’arrosa le visage du reste de son nectar. Je me suis surpris à ouvrir la bouche pour en goûter encore plus. Lorsqu’enfin la source s’est tarie, j’ai fouillé ce sexe offert pour ne pas perdre la moindre goutte.

Je m’apprêtais à lui donner du plaisir avec ma langue lorsqu’elle a repoussé
gentiment mon visage vers l’arrière. Elle m’a fait asseoir sur les WC. D’une
main, elle caressait mon scrotum qui pendait dans le vide au dessus de la
cuvette et de l’autre elle caressait son entrejambe. Elle a poussé son
exploration plus loin et a caressé le pourtour de mon anus. Elle m’a relevé
pour que je me mette debout au dessus de la cuvette face au mur du fond. Je
lui tournais à présent le dos. Elle m’a penché en avant et je me tenais en
appui sur le mur. Elle a repris sa caresse anale. Mais ce n’était plus avec
ses doigts car de ses deux mains elle écartait mes fesses et c’est sa langue
qui parcourait maintenant mon sillon. C’était divin. Ca n’avait rien de
dégoûtant car on venait de passer deux heures dans de l’eau chlorée et mon
cul devait être propre. Sa langue tourbillonnait autour de mon anus, je ne
savais pas qu’on était aussi sensible à cet endroit là, mais chacune de ses
caresses buccales me donnait la chair de poule. Elle a fini par introduire
un doigt dans mon cul. Et de son autre main, elle a enserré la base de mon
sexe et des mes couilles. Elle serrait puis relâchait comme on fait avec le
pis d’une vache. Je n’ai pas tardé à éjaculer ne pouvant retenir un râle de
bonheur. Elle m’a retourné et a nettoyé mon sexe avec sa bouche.

A nouveau quelqu’un est entré et le bruit familier a de nouveau résonné dans
les toilettes. Elle m’a demandé à l’oreille si je n’avais pas moi aussi une
petite envie à assouvir. Par chance, quelques minutes après avoir joui, j’ai
toujours besoin de pisser. Elle s’est assise sur la cuvette et je me suis
mis en face d’elle. Après de longues minutes et beaucoup de concentration,
j’ai commencé à sentir que ça venait. Mais je continuais à être bloqué et si
l’excitation revenait, c’en serait terminé. Je voulais absolument lui faire
ce cadeau. J’avais appris par des amis adeptes de ce type de plaisir
qu’avaler sa salive aidait beaucoup dans de telles circonstances (merci
Jean Michel et Martine ;-). Et j’ai fini par produire un grand jet
incontrôlé. Elle a saisi ma main pour diriger le jet à sa guise. D’abord sur
son torse et ses seins, puis sur son sexe et finalement le reste sur son
visage et dans sa bouche qu’elle a refermé de mon pénis. Heureusement que
j’en avais terminé car sa bouche experte a eu tôt fait de redonner vigueur à
mon intimité. C’est d’ailleurs ce qu’elle attendait et elle m’a fait me
rasseoir sur la cuvette. Elle s’est alors empalée sur mon sexe en me faisant
face. Son corps dégoulinait encore de mon urine. Elle se léchait un sein et
me présenta l’autre. Je ne me fis pas prié, oubliant qu’il était couvert de
ma propre miction. J’ai léché, sucé, mordillé ce sein avec avidité. Nous
avons fini par jouir presque en même temps.

Nous sommes restés quelques temps encore l’un sur l’autre. Nous étions seuls
dans les toilettes et aucun de nous ne voulait rompre ce silence. C’est
pourtant elle qui a fini par se lever. Elle a remis son maillot et m’a gratifié d’un tendre baiser. Avant de sortir, elle s’est retournée une dernière fois pour me dire dans un sourire

« Merci ! 15 heure la semaine prochaine ? »

Et moi j’ai fais « Oui » de la tête.

Je suis sorti discrètement des toilettes et je suis allé prendre une bonne
douche. Cette nuit là j’ai rêvé d’elle et je lui ai fait l’amour toute la
nuit dans ma tête. Je me suis réveillé au petit matin avec une trique
d’enfer et personne pour en profiter. Tant pis, j’ai expédié la chose
rapidement aux toilettes et je me suis recouché.

Dire qu’il faut attendre une longue semaine pour retrouver ma belle
inconnue. Je ne sais même pas comment elle se prénomme !

Pascal G

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 20 avril 2025 7 20 /04 /Avr /2025 15:11

Soir d’été par Odin
bi stamp

Bonjour tout le monde, Je suis Pierre, 40 ans, brun, moustaches et lunettes. Je suis en couple libre avec Jody, fausse blonde et belle poitrine, un peu salope mais tellement mignonne.

C’était une petite fête. Nous étions en été, installés autour de la grande table en bois du jardin. Il y avait là un couple de voisins, René et Henriette, la cinquantaine ainsi qu’Irma, une belle dame de soixante ans, accompagnée de son fils Philippe, un grand échalas à lunettes

L’alcool aidant nous nous sommes mis à parler sexe de plus en plus crument.

Irma qui lorgnait dans le décolleté d’Henriette finit par lui dire :

– Je trouve que vous avez une poitrine magnifique !
– N’exagérons rien, mais si vous voulez mieux la voir, je peux volontiers vous la montrer.
– Chiche ?

Et sans hésiter une seconde, Henriette se dépoitrailla libérant une véritable merveille de la nature.

– Waouh !
– Et si elle vous plait tant que ça, vous pouvez même la caresser ! Ajouta-t-elle
– Vous appréciez donc les caresses des femmes ? Lui demande Irma.
– Mais bien sûr.

Irma se leva et vint palper les deux généreux globes d’Henriette avant d’en sucer les bouts déjà érigés de plaisir.

Evidement n’étant pas de bois la situation me fit bander, et de façon machinale je portais ma main à ma braguette.

– Elle te fais bander ma femme, on dirait ! S’amusa René.
– Ça se voit tant que ça ?
– Ben oui !

Et le voilà qui me touche la braguette dans un mouvement spontané qu’il stoppe aussitôt.

– Ben dit donc, petit coquin ! Lui dis-je
– Désolé !
– Ne soit pas désolé, c’était amusant.
– Ça ne te choque pas ?
– Mais non !
– Et si je recommence ?
– Je me laisserais faire.

Alors il remit sa main et se sentant encouragé dézippa la fermeture éclair et entra la main dans l’ouverture à la recherche de ma bite qu’il finit par extraire, et la masturba quelques instants.

– En voilà une belle queue ! Je peux la sucer ? demande-t-il.
– Oui, mais ensuite, c’est moi qui suce la tienne.
– T’aimes ça sucer des bites ?
– Oui, mais il faut dire que je n’ai pas si souvent l’occasion de le faire
– Non mais regardez-moi ces deux cochons ! S’écria ma femme faisant semblant d’être choquée

Henriette et Irma maintenant complétement débraillées se pelotent comme des furies, René me suce la queue… Jody, ma compagne ne souhaite pas être en reste et s’approche de Philippe.

– Ne bouge pas mon grand, je vais te sortir ta queue.
– Bonne idée !
– Mais dis donc Philippe, comment ça se fait que tu n’as pas de petite copine à ton âge ?
– Pas besoin de copine, j’ai ma mère qui s’occupe de moi !
– Ta mère ? Elle te fait quoi ?
– Elle me branle, elle me suce et parfois je l’encule !
– Oh ! Tu encules ta mère ? Mais c’est très cochon ça, je ne te crois pas !
– Maman, Jody elle ne veut pas me croire…
– Tu ne vois pas que je suis occupée.

Mais la curiosité est la plus forte, abandonnant sa partenaire, Irma s’approche de son fils.

– Jody ne me croit pas quand je lui dis ce que nous faisons ensemble…
– En principe se sont des choses qui ne se disent pas ! Mais il a raison j’adore sucer la bite de mon fils, et je ne vois pas pourquoi je m’en priverais.

Laquelle bite est maintenant sortie et est agité par les doigts de Jody. Du coup Irma se penche et engloutit dans sa bouche la queue de son rejeton, avant que les deux femmes se mettent à la sucer de conserve.

La soirée tourne à la folie, René et moi nous nous sommes mis à poil, je lui ai sucé sa bonne bite, puis lui ai demandé s’il serait d’accord pour m’enculer.

OdinEt quelques instants plus tard, c’était la fête des culs, René m’enculait et par effet de mimétisme, Philippe se mit en sodomiser sa mère, tandis que ma tendre épouse se faisait lécher et doigter le trou du cul par Henriette.

Que c’est bon de sentir une bonne bite aller et venir dans mon cul, tout cela dans une ambiance de sexe libéré.

Merde, un gros orage se profile, nous mangerons le dessert à l’intérieur.

Fin

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Samedi 30 novembre 2024 6 30 /11 /Nov /2024 06:55

A poil ! par Lisa
Bombe

Je suis Lisa, une jeune femme de vingt-quatre ans, fausse blonde et célibataire. Je travaille comme esthéticienne dans un salon de beauté et j’habite une région superbe : la côte des Maures. Un agréable paradis qui s’étend de Hyères à Saint-Raphaël. Les plages y sont nombreuses. Ma préférée se trouve près de Saint-Tropez. Ce n’est pas la célèbre plage de Pampelonne mais une petite crique proche des Salins où on peut se baigner et se faire bronzer entièrement nue.

Il est là, mon petit vice. L’été, j’adore vivre nue. Dans mon appartement, lorsque je suis seule, je m’habille uniquement si je dois sortir. J’éprouve une sensation de liberté très agréable de n’avoir rien sur moi, ni culotte ni soutien-gorge, ni jupe ni t-shirt. Cela me plaît mais cela m’excite aussi de faire mon ménage à poil, de prendre mon petit déjeuner, de lire, d’étendre mon linge sur la petite terrasse abritée… L’an dernier, avec mon copain de l’époque, je suis allée passer un long week-end sur l’île naturiste du Levant. Ce fut une expérience qui m’a beaucoup plu et que j’aimerais renouveler plus souvent. Le plus dur, c’est de trouver un garçon qui soit prêt à vivre entièrement nu toute la journée, que ce soit pour aller faire les courses, prendre un verre à la terrasse d’un bar où s’amuser dans une boîte, le soir…

Finalement, je pense que les hommes sont beaucoup plus pudiques et plus coincés avec leur corps que les femmes. Ils sont prêts à montrer leur zizi sur une plage mais cela s’arrête là. C’est bien dommage car vivre nu procure des sensations délicieuses. Moi, par exemple, j’ai envie de faire l’amour beaucoup plus souvent que d’habitude. Tous les jours et parfois, plusieurs fois dans la même journée. L’hiver, je suis une fille plus sage tandis que l’été, je n’arrêterais pas. Il faut dire aussi, même si j’ai du mal à me l’avouer, que je suis une fille assez exhibitionniste. J’aime qu’on me regarde, j’aime provoquer, donner envie de moi. Je fais tout pour plaire et séduire. Lorsque je suis nue sur une plage, ce désir est encore plus violent. Les yeux cachés derrière mes lunettes noires (mon seul vêtement ), je peux épier les regards d’hommes qui se dirigent vers moi, qui s’attardent sur mes seins ou sur ma chatte, qui me détaillent, attendent le moment où ma position leur en montrera un peu plus… Quant à moi, je fais mine de ne me rendre compte de rien mais je joue un jeu trouble et délicieux avec ces hommes que j’aguiche et que j’excite avec une fausse naïveté… J’ai vraiment l’impression d’être caressée par leurs regards et cela me fait mouiller.

Bien entendu, il est souvent arrivé qu’on me fasse des propositions, qu’on me branche, que des types me demandent d’une manière plus ou moins directe de baiser avec eux. Je n’ai pas toujours dit oui, je n’ai pas toujours dit non. Plusieurs fois, j’ai quitté la plage des Salins en bonne compagnie, que ce soit pour aller faire l’amour à quelques mètres, là où la côte offre des recoins plus discrets, ou alors dans une voiture, chez mon nouveau partenaire… Jamais chez moi, par contre. Je n’invite pas un homme dans mon appartement quand je sais que ça ne durera pas avec lui.

Il y a quelques jours, je me suis retrouvée dans un hôtel. C’est cette expérience que j’ai eu envie de vous raconter. Elle m’a énormément excitée pour différentes raisons. Déjà, je me sentais un peu pute dans ma façon d’agir. J’accompagnais un homme dans un hôtel, un inconnu avec qui j’allais baiser dans une chambre complètement anonyme, et sans doute le quitter, tout de suite après. Il s’appelait Jacques et l’autre nouveauté était que cet homme était beaucoup plus âgé que moi, la quarantaine passée et sans doute plus proche de la cinquantaine. Cela faisait longtemps que je rêvais d’une aventure avec un homme mûr. J’avais été déçue plusieurs fois par des garçons de mon âge qui s’étaient montrés trop hésitants, malhabiles, peu sûr d’eux. Un homme comme Jacques, ça devait être bien, ça devait être super, j’en étais convaincue. En plus, il était beau mec, assez musclé, pas de ventre, les cheveux grisonnants avec une légère calvitie. Une belle queue, aussi ! Mais bon, ce n’est pas la première chose que je regarde, chez un homme, même s’il est à poil sur une plage.

Jacques aimait les femmes, cela se sentait. Il savait leur parler, les séduire, les faire rire. Il donnait l’impression d’en avoir connu beaucoup, d’avoir collectionner les maîtresses. Un type comme lui devait très bien baiser et savoir faire jouir une fille, c’est ce que j’ai pensé en répondant avec malices à ses premières avances. Puis, j’ai appris qu’il n’était que de passage dans la région. Jacques était V.R.P et s’était offert une petite halte sur cette plage. Voilà ce qui explique la chambre d’hôtel. J’ai passé deux heures délicieuses avec lui, deux heures durant lesquelles je me suis donnée sans retenue. Un homme qui sait y faire, c’est fantastique. Jacques me guidait, me dirigeait, je n’avais qu’à suivre ses conseils pour bien m’occuper de sa queue, un sexe court mais très large. Il me disait des choses comme :

– Oui, suce-la bien. Lèche le gland puis avale-la jusqu’à la garde… Frotte un peu le gland sur le bout de tes nichons… Branle-la entre tes seins;! Caresses mes couilles !

Il avait un petit côté autoritaire qui m’excitait encore plus. Il ne craignait pas de se laisser aller à fond avec moi et de se montrer un peu vulgaire. De me dire, par exemple :

– Ah, oui ! Qu’est-ce que tu suces bien, petite salope ! Bouffe-la ma queue ! Pompe-la à fond.

Ce qu’il m’a fait, par la suite, m’a rendu encore plus folle. Il m’a caressée, léchée, il m’a fait venir tête-bêche sur lui, en 69, et a pu ainsi s’occuper de mes deux orifices. Moi, je devais encore sucer sa queue et d’un coup, alors qu’il écartelait mes fesses, il m’a demandé :

-Tu aimes qu’on t’encule ?

Il s’est montré encore plus vicieux avec moi quand il a su qu’il pourrait aussi me prendre par derrière. Il a longuement fouillé mon anus avec sa langue avant de le pénétrer avec ses doigts pour me préparer à le recevoir. Hors de lui, il s’est écrié, tout en me doigtant :

- Je vais bien te défoncer le cul, ma petite pute ! Te mettre ma grosse bite à fond et bien le limer.

Je n’étais plus très loin de jouir, tellement excitée par ses caresses et ses insultes. Je n’en pouvais plus et je lui ai demandé de me prendre. D’abord par devant et je lui ai dit :

– Tu m’enculeras après, baise-moi d’abord. Fais-moi jouir et je te donnerai ensuite mon cul.

Je n’avais jamais parlé comme ça à un homme avec qui je faisais l’amour pour la première fois. Je voulais le sentir sur moi et je me suis étendue sur le lit. Jacques m’a pénétrée et j’ai tout de suite remonté mes jambes dans son dos de manière être toute à lui. Tout en m’embrassant, il s’est mis à pétrir mes seins, à les caresser, à tirer sur les pointes ou à les faire rouler entre ses doigts. Déjà, je retenais mon orgasme. Par moment, il me murmurait d’autres cochonneries dans le creux de l’oreille :

– Tu es vraiment bonne à baiser, ma petite salope. Tu sens comme je bande dans ta chatte? J’ai la bite raide comme jamais…

LisaJe me suis mise à crier en jouissant, incapable de me retenir tandis que mes ongles griffaient et labouraient le dos de mon amant. J’ai eu encore plus de plaisir quand j’ai senti que Jacques explosait et se laissait aller, lui aussi. J’ai eu du mal, par la suite, à retrouver mon souffle. Je n’avais pas le souvenir d’une jouissance aussi forte et aussi intense, avec mes anciens partenaires. Un moment plus tard, je laissais Jacques me sodomiser. Cette fois, il m’a prise en levrette, sans me faire souffrir malgré l’épaisseur de son sexe. Et grâce à son expérience et son savoir-faire, j’ai encore joui avec lui.

On a fumé une cigarette, puis quand j’ai voulu me rhabiller, il m’a interpellé.

– Je recommencerais volontiers !

J’étais partagé, d’un côté revivre ces instants n’était pas pour me déplaire, d’un autre côté, j’avais le sentiment que cet homme risquait de devenir collant. Pour moi c’était une bonne baise mais sans lendemain possible.

Comme je ne répondais pas à sa remarque il insista et là une idée m’est venue.

– Ce qu’on a fait, c’était gratuit, si tu veux continuer c’est 100 euros !
– T’es une pute alors ?
– Oui, ça m’arrive !

Et contre toute attente, je le vois aller vers son blouson et sort de son portefeuille la somme demandée.

– Voilà ! Mais est ce que je pourrais te dominer ! Sans exagération bien sûr…

J’ai crains de tomber sur un pervers sadique, j’ai été a deux doigts de refuser ses billets mais il faut croire que quelque chose me titillait. J’ai mis les choses au point en exigeant que la séance soit limité à une demi-heure maximum et refusait d’être attachée, bâillonnée ou les yeux bandés.

Il m’a fait m’allonger sur ses cuisses et m’a administré une bonne fessée, j’ai adoré cette sensation de sentir mon postérieur s’envahir d’une douce chaleur ponctuée par les frappes de ces mains suivantes.

Il m’a ensuite demandé de me coucher à même le sol et s’est branlé au-dessus de mon visage, me demandant d’avaler son sperme épais. Et alors que je pensais l’affaire terminée, il est resté au-dessus de moi son sexe en main.

– Ouvre la bouche, je vais pisser !

Et après qu’il m’ai arrosé copieusement de son urine, je lui ai demandé l’autorisation de me doucher, puis j’ai quitté l’hôtel. Je n’ai jamais cherché à le revoir, je vous dis, je ne m’attache pas.

Fin

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Jeudi 21 novembre 2024 4 21 /11 /Nov /2024 16:20

Mais qui donc est Papillon ? par O_L

 

BigsTits
Petit, je lisais Dumas. Ado, j’ai dévoré Sartre et Camus, Dostoïevski et Tolstoï. Sade circulait sous le manteau à la fac (c’était avant l’ère Internet). Ces lectures et mon tempérament solitaire m’ont donné la passion d’écrire. Je trouvais plus de plaisir à imaginer les choses qu’à les vivre. Pourtant mes romans épiques et mes essais philosophiques sont restés ce qu’ils étaient : pure abstraction. Aucun éditeur n’a trouvé ma prose digne de franchir dans l’autre sens la porte du monde réel : du papier, avec une couverture dessus, dans la vitrine d’un libraire, et aussi un chèque pour faire bouillir la marmite.

 

Un week-end d’hivers bien gris et bien triste, j’ai jeté tout mon spleen et ma frustration dans une nouvelle de 4 pages qui a changé ma vie. C’était torride pas épique et pas philosophique. Les mensuels pornos se la sont arrachée et des années plus tard, mon filon ne s’est pas tari. La littérature porno n’est pas cher payée, mais c’est plutôt sympa. Surtout les jours d’inspiration. Les autres, c’est l’enfer.

Aujourd’hui, c’est « enfer ». Encore un de ces week-ends pourris que j’exècre. Mon stock de bière et de chips descend dramatiquement. Je surfe sur les forums sexo à la recherche d’inspiration. Rien d’original. J’essaye les forums psycho à la pêche à quelques sentiments sincères dont mes héroïnes habillent leurs frasques sexuelles. Mais rien de neuf sur la planète Internet. Jalousie et cocufiage sur fond de déprime. Très peu pour moi !

Je reviens sur un forum de filles que j’aime bien. J’y suis « Lydia » et j’y ai mes copines.

Elise : Bonjour, je m’appelle Elise, je suis nouvelle ici. Je me sens un peu perdue. Je voudrais savoir si d’autres filles ont déjà vécu les mêmes choses que moi.

Lilou : Ben si tu nous dis pas ce que t’as…

Elise : C’est pas facile à raconter. J’ai 25 ans, je suis hôtesse d’accueil dans une bonne boite à Paris, j’attendais tranquillement le prince charmant en m’ennuyant un peu au boulot et d’un coup ma vie a basculé. J’arrive pas à savoir si c’est pour de vrai ou en rêve. Est-ce que vous pouvez m’aider ?

Lilou : T’as toujours rien dit. Lâche toi, ça te fera du bien.

Elise : OK. Lilou, t’as raison. Voila. Bon. Je me jette à l’eau : J’ai branlé deux mecs en même temps pendant qu’ils me pelotaient tous les deux. Ça m’a fait jouir et j’ai fait pipi dans leurs mains à travers mes habits en jouissant.

Lilou : Non ??? Pour de vrai ? Où ça ? Chez lui ? Raconte !!

Elise : Dans une brasserie, et quand le garçon de café nous a découverts il s’est fait sucer par mon ami. Ça m’a excitée de voir mon ami sucer un homme alors je lui ai baissé le pantalon et je lui ai léché la rondelle. Je veux qu’une fille me réponde je vous en supplie. Est-ce que ça arrive de péter les plombs comme ça d’un coup ? Est-ce que je suis normale ?

Papillon : Bonjour Elise. Rassure-toi, y a plein de gens qui aiment jouer avec le pipi. Peut-être que tu as eu une éducation trop stricte et qu’au fond de toi tu l’avais pas acceptée, que tu te sentais une fille libre, alors tu t’es lâchée d’un coup. Je suis sûre que ça t’a fait du bien.

Elise : Merci Papillon. Ca fait du bien surtout de se sentir écoutée. Moi je vais pas très bien parce que je suis complètement crevée. Figure toi qu’après le coup de la brasserie, on est allés à une petite fête Là ça a été torride plus que tout ce que je pourrais vous dire. Et le pire c’est que ça m’a plu. Les filles s’il vous plait, dites-moi si ça vous arrive des trucs comme ça. Je me sens seule et perdue.

Papillon : Elise ! On veut tout le récit de ta soirée ! Moi j’ai déjà bu trois thés glacés, je les ai même déjà fait pipi sur ma chaise en me caressant et je commence à m’ennuyer. Je suis seule aujourd’hui et ça me fait mal parce que j’ai trop envie de jouir. Heureusement, j’ai un super vibro, pas trop gros mais très doux et qui vibre super fort. Là, je me le suis mis dans le cul et je me suis assise dessus comme ça à pianoter sur l’ordi pendant qu’il vibre. Ça me donne des envies de chier qui viennent comme des vagues me faire de l’électricité dans tout le corps et puis ça passe, jusqu’à la vague suivante. Je peux plus écrire. J’ai besoin de me caresser. Elise ! Je t’en supplie ! Raconte la suite de ton histoire.

BigBisou : Bonjour Les filles. Bonjour Papillon. Ben je vois que ça marche pour vous ce soir. Moi aussi j’attends la suite d’Elise avec impatience. Mon truc pour attendre, j’ai un énorme vibro bien dur que je serre entre mes cuisses quand je suis devant mon ordi. En fait je m’assoie presque dessus. En me balançant d’avant en arrière tout en serrant fort les cuisses, ça le cale juste là où il faut pour qu’il m’appuie sur le clito à travers mon jean. Je bois des cocas en même temps et quand mon sexe est tout gonflé et ma culotte toute remplie de mouille, l’envie de faire pipi me vient et là c’est le délice. Je n’aime pas les petits pipis. Ce que j’aime, c’est le gros jet qui fait bien du bruit et qui déborde énorme de partout. Si je suis entrain d’écrire un truc excitant en même temps comme maintenant, ça me fait à chaque fois la même chose. a a a a a a aaah wxsdcfvghnjklpoiopiuyhfd

Papillon : Cool ton histoire. Moi j’en suis restée à mon petit vibro. Je l’emmène même au boulot.

Elise : Au Boulot ?

Papillon : Oui, je suis caissière dans un supermarché. Ya pas un boulot plus dur que celui-là. C’est dur au physique avec les paquets à traîner. Et c’est dur au moral avec les clients en face qui sont pas souriant, moches, énervés, et qui ont même pas l’air d’être content d’acheter plein de trucs que moi je peux pas me payer. Alors je me défoule. Je me mets le vibro dans le cul, un boxer en lycra bien moulant et bien confortable dessus, et un cycliste en latex encore au-dessus pour les petites fuites (les grosses pas question !! là je suis virée illico ! c’est bien ce qui m’excite). Une minijupe au-dessus du cycliste. Ca attire les regards et ça excite les clients. Un décolleté pour finir le tout, et je m’assoie bien cambrée sur mon tabouret en écartant les jambes. Je sens mon anus bien écarté par le vibro et bien gonflé de plaisir et je l’écrase de tout mon poids contre la chaise. J’adooooore ça. Surtout quand les clients regardent mon décolleté, là je pousse un peu et en me balançant je peux faire aller et venir le vibro dans mon anus pendant que le mec regarde mes gros seins. J’imagine l’air que j’ai : une fille normale. Je regarde le client : il a l’air normal. Et après j’imagine ce qu’il pense : un gros cochon qui voudrait bien tromper sa femme avec une jolie fille de 20 ans bien mignonne et bien gentille qui ferait tout ce qu’il veut. Et j’imagine ce que je pense moi : je l’emmerde parce que je suis plus vicieuse que lui. Il est triste et con avec son caddy de supermarché et dedans des bières pour lui et des couches pour ses mômes et moi, je prends mon pied. C’est ma vengeance.

Ya pas de des ploucs remarquez. Parfois, ya des mecs XXL et là ça m’excitent encore plus. En fait c’est avec ces mecs là que je risque l’accident de vibro. Un jour il y en avait un que j’avais repéré très loin dans la queue à l’heure de pointe. Blond, mince, musclé, ça me fait des trucs dans le dos rien que de le décrire. L’air super cool et il avait acheté que des trucs intimes genre sous-vêtements, mousse à raser et des trucs comme ça. Bref, j’ai fantasmé sur lui pendant 5 minutes, le temps qu’il arrive quand j’ai passé ses affaires j’avais l’impression que c’était sa peau que je touchais à chaque article que je passait devant le scanner et ça a pas manqué, quand il est passé devant moi et que j’ai senti son odeur, j’ai joui du cul. J’ai été obligée de m’agripper à mon comptoir le temps que ça passe. J’étais toute rouge. Et ça a failli être le gros accident côté fuites. Il m’a demandé si ça allait. Ca devait ressembler à un mal de bide ou à un truc de fille auxquels les mecs ne comprennent rien. J’ai dit non, ça va. On s’est regardés, on s’est sourit. C’était trop top. Et moi j’avais toujours mon vibro qui me vibrait dans le cul pendant qu’il me souriait. Là j’avais ma dose d’émotions. Quel shoot ! Le vibro a pris des vacances pendant une semaine avant que je le ramène au boulot !

J’arrête quelques minutes de regarder le forum. Quand je reviens sur le forum, il y a des pages et des pages de réaction à l’histoire de Papillon. Et pourquoi elle a du succès comme ça et moi je rame pour écrire mes histoires de cul ? Je suis au bout du rouleau, et au bout des chips, et au bout des bières. Tiens, justement, je vais aller en acheter au supermarché ou bosse Papillon. J’espère que je vais la reconnaître. De toutes façons je pourrais toujours fantasmer sur n’importe quelle caissière du moment qu’elle a 20 ans, gros seins, minijupe et décolleté : tout ce que je sais d’elle !

Je remplis mon caddie en habitué. Bières, chips, et tout ce qui va avec dans le parfait caddie du célibataire à la dérive. Je repense aux posts de Papillon au sujet du contenu des caddies et je me demande si je ne vais pas abandonner le mien au milieu de l’allée. Je le pousse comme s’il sentait mauvais. C’est l’heure de pointe. Toutes les caissières sont forcément là. Elles sont trois à coller à mon portrait robot.

La première est brune, mince, le visage long, les cheveux noirs, très maquillée. Je l’imagine le vibro dans les fesses. Je l’imagine vue de dessus, sa tête guidée par ma main, ma bite dans la bouche. Ca colle bien. Tous ses gestes prennent un autre sens. Je commence à bander. Ca doit être elle.

La deuxième candidate est une africaine, la tête ronde, le nez large, les lèvres épaisses, les cheveux défrisés plaqués en arrière dans un bandana. D’énormes seins qui veulent sortir d’un immense soutien gorge qui les fait remonter jusqu’aux clavicules. Ses fesses colossales dépassent de chaque côté de son petit siège. Elle a l’air d’hésiter. Parfois elle s’y prend à deux fois pour scanner un article. On dirait que ses mains tremblent. J’en imagine la cause sans problème. J’imagine aussi son grand corps dans l’intimité, déployé sur toute la largeur du lit, bougeant librement à la recherche du plaisir. Ses énormes cuisses écartées et remontées jusque sous ses bras. Elle crie, elle appelle, elle veut jouir. Je m’approche, je pose mon gland sur l’anus fermé, et je rentre, d’une longue poussée, pendant qu’elle continue de crier. Elle jouit aussitôt, longtemps, jusqu’à ce que je décharge en criant moi aussi. Oui, c’est elle !

La troisième candidate est blonde, les cheveux longs en queue de cheval, grandes boucles d’oreille. Le teint rose, les joues rondes. J’imagine le vibro au travail à l’intérieur d’elle : ça marche bien et, comme pour ses deux copines, tous ses gestes prennent un autre sens, une sens caché, très pervers.

Je commence à me dire que ma technique d’identification n’est pas la bonne : mon excitation est tellement monté que même un baril de lessive passerait l’épreuve du fantasme ! Ce n’est plus vraiment sélectif. Retour à la case départ. Je vais vers la plus proche de moi : c’est la blonde. Il y a deux caddies avant moi. J’aurais le temps de l’observer.

Juste avant que je me mette dans la file, elle allume le panneau « Caisse fermée ». Zut ! Et si c’était elle ! Pas le temps de réfléchir ! Je m’approche :

– « Excusez-moi Mademoiselle, je cherche Papillon ».

Elle me dit d’une voix blanche qui n’attend pas de réponse :

– « Je fermerai la caisse après vous ».

L’attente est un supplice. Ses gestes sont machinaux. Pas un regard pour moi. Je sais maintenant que c’est elle, mais je suis mal à l’aise. Qu’est-ce que je fous là ? C’est moi qui ai maintenant le regard inquiet. Je scrute mon caddie. Il me fait honte. Je la regarde elle. Elle est belle. Elle, au moins, elle est normale, elle se comporte normalement. Et si c’était pas elle ? Je me dis que j’ai le trac et que c’est pour ça que je panique, que tout va bien.

Enfin elle me regarde. C’est qu’elle a passé tout mon caddie sans que je m’en aperçoive. Là, je devrais être entrain de mettre mes courses dans des sachets et de payer, mais je suis planté comme une merde devant elle à la regarder. J’essaye de passer de l’autre côté du caddie. Je trébuche. Mon désarroi est si visible qu’elle éclate de rire. Elle met la main devant sa bouche en signe d’excuses, je ne vois plus que ses yeux. Ils sont gais comme le printemps. J’essaye un sourire.

Elle ferme sa caisse et je range mes courses.

– « Attendez-moi là, je vais rendre ma caisse à la comptabilité ».

Elle s’éloigne sans se presser. Sa petite caisse se balance à son bras, au rythme de ses talons hauts qui claquent sur le sol en faisant bouger ses fesses de droite à gauche. J’attends. Le trac me reprend et m’empêche de bander à l’unisson des fantasmes qui agitent mon esprit.

La voila qui reviens du même pas. Ses fesses se balancent toujours de droite à gauche, du moins je les devine ainsi. Le haut de ses seins, la partie que le décolleté a laissée visible et libre, monte et descend au même rythme. J’essaye d’imaginer le vrai mouvement de ses seins quand le plaisir secouera tout son corps.

Et d’un coup elle est là, face à moi, elle penche légèrement la tête et dit dans un sourire :

–  » On y va ? ».

Je dis oui en rendant le sourire et sans savoir où il faut aller. Les deux autres caissières, la noire et la brune, sont là aussi !

– « Vous pouvez me rendre un service de déposer mes copines au passage ? ».
– « Mais avec plaisir. »
Je réponds l’air normal. Bon Dieu ! Ca devient compliqué !

La brune monte devant et m’indique le chemin, la blonde et la noire sont derrière. Le trajet est gai. A ma question elles éclatent de rire en cour et partent dans d’hilarantes plaisanteries. Tantôt revendiquant la possession du fameux vibro, tantôt en accusant leurs copines. On rit, mais impossible de tirer le vrai du faux. On arrive finalement au premier arrêt et tout le monde descend sans que j’en sache plus sur l’identité de mes nouvelles copines. Ascenseur. Je tente des approches directes mais je suis dissuadé d’aller plus loin. On entre dans un vaste studio qui sent le parfum, l’air frais et le corps de femme. Une grande fenêtre de ciel bleu et un lit en désordre. Des sous-vêtements par terre.

La blonde s’accroupit devant moi et me caresse la braguette qui gonfle instantanément. Les deux autres sont derrière et me caressent le dos jusqu’aux fesses.

-« Ne bouge pas » commande la blonde dans un sourire.
– « Ferme les yeux » dit la brune.

J’obéis. Un bandeau se serre sur mes yeux. Je veux protester mais une main a baissé ma braguette et aucun mot ne me sort. Le jeu continue. On me fait allonger par terre, des mains caressent mon torse, écartent mes bras. Je sens des liens attacher mes poignets. Je veux protester mais là encore, une main délicate vient de se fermer sur mon sexe et la force de protester m’abandonne.

C’est excitant de ne rien voir. Deux mains vous touchent et vous en sentez quatre. Combien de mains passent entre mes cuisses et les écartent ? Combien se sont affairées à me déshabiller ? Combien m’ont lié les pieds en l’air pendant que combien d’autres me caressaient les couilles et l’anus ? Je sens sans cesse des seins effleurer mon visage et mon corps en s’affairant autour de moi. Je ne peux pas dire que la situation me convenait, mais l’effet de surprise et la perspective d’un plaisir nouveau m’ont ôté toute volonté. Je suis finalement lié des quatre membres, les jambes en l’air, à la merci de trois filles aux gros seins dont je ne sais rien.

Je demande qu’on me détache mais la noire me répond de sa voix grave et chantante qui ne prononce pas les r

– « Tu n’as pas le droit de parler. Si tu parles encore, on va te taper ».

Malgré le ton autoritaire, l’ambiance reste légère. Des rires fusent. Je devine des caresses et des baisers entre les filles. Des sous-vêtements tombent par intervalle sur ma figure, me baignant dans leurs odeurs. Les mains des unes et des autres se relaient sur mon sexe qu’elles branlent doucement tandis que d’autres mains visitent les alentours. Ne pouvant parler, je manifeste mon plaisir et mon excitation en ondulant des reins. Ma respiration devient haletante.

Soudain un sifflement, un claquement, et aussitôt une vive brûlure aux fesses m’arrachent un cri de douleur et de surprise.

« Je t’ai dit de te taire » dit la même voix grave et chantante. « Tu vas me lécher pendant qu’on te tape. Ca va t’empêcher de crier ».

va1505paEt elle se met à genoux, ses jambes écrasant mes bras écartés, et s’asseyant carrément sur ma figure. Je suffoquais, la tête remplie de son odeur de sexe, de sueur et d’urine.

– « Lèche-moi mon chéri je t’ai dit ».

Je tentais de m’exécuter. Une main inconnue continuait de me branler doucement, insistant juste ce qu’il faut pour maintenir mon érection à son sommet.

Le deuxième coup claqua comme le premier. Certainement une cravache. Impuissant et immobile je dois accepter sans comprendre. Où sont passées mes jolies caissières de supermarché sur lesquelles je fantasmais librement il y a moins d’une heure ?

Les coups continuent à tomber à un rythme lent et régulier. La scène s’installe hors du temps, comme une longue descente vers l’inconnu. Je commence à sentir les coups différemment. Ils ne sont plus localisés. La brûlure des fesses est maintenant permanente mais étrangement supportable. Chaque coup électrise maintenant tout mon corps sans localisation précise. Le sexe de la grosse noire a gonflé sous l’action de ma langue, certainement combinée au spectacle de mon humiliation. Elle s’appuie maintenant des mains sur mon torse et en profite pour me pincer les seins. Elle commence à onduler du bassin et la sueur qui coule entre ses énormes fesses me colle les cheveux, me pique les yeux, et me fait tourner la tête de son odeur.

Son sexe est maintenant complètement ouvert et humide et je la sens au bord du plaisir quand du liquide chaud inonde ma bouche ouverte.

« Tu vas boire tout mon pipi hein ! Sinon on va encore te taper ! » et la cravache s’abat comme en écho sur mes fesses.

Le goût de son urine est terriblement fort et salé. Elle continue à m’inonder à petits jets. Certains dans ma bouche ouverte, d’autres quand je suis encore entrain d’avaler, si bien que le pipi coule sur mon visage en ajoutant encore de l’humidité et de l’odeur au contact animal entre ma figure et son derrière.

La main qui me branle étale un liquide froid sur mon sexe sans cesser son mouvement. Ca ressemble à un gel lubrifiant, en grande quantité. Deux mains s’affairent maintenant sur ma bite. Le gel leur permet de la presser avec beaucoup de force tout en la branlant sur toute sa longueur depuis le sommet du gland jusqu’aux couilles. C’est une experte. Du gras du pouce elle me masse la bordure du gland d’un geste circulaire et puissant qui provoque un plaisir mélangé de douleur. Il excite sans satisfaire. Il fait affluer le sang sans faire s’approcher la délivrance du plaisir. En un mot, il me rend fou. L’autre main glisse aux alentours, caresse, palpe et masse tout en étalant le lubrifiant en quantité. Brusquement deux doigts s’introduisent vivement dans l’anus, se retirent tout aussi vivement, et reviennent avec plus de force. La douleur encore une fois se partage au plaisir. Un troisième doigt, puis un quatrième, et c’est finalement toute la main qui force le passage, tourne, pousse, distend l’orifice encore trop étroit. Douleur et plaisir. Plaisir et douleur. Je suffoque. La branleuse, la fouetteuse et la pisseuse continuent leur travail et mes nerfs sont en surrégime, prêts à lâcher. La plus méthodique est la fouetteuse. Elle n’accélère ni ne ralentit, ne force ni ne se relâche. Mes fesses et le haut de mes cuisses ne sont qu’une zone informe de douleur dont je n’arrive plus à discerner chaque partie individuellement. Au milieu de ce magma, mon sexe et mon anus seuls sont identifiables par mes sens grâce à l’experte branleuse. Quand d’épuisement je me relâche et que mon sexe mollit, elle se fait plus douce, branle la hampe, me suce même, et fait tout jusqu’à retrouver la parfaire érection, mais sans jamais permettre le plaisir.

L’épuisement et la fatigue me gagnent et renversent inexorablement la balance du plaisir et de la douleur. Je suis à bout. Mes tortionnaires sont restées silencieuses pendant tout ce temps puis, d’un coup le métronome de la cravache cesse. Les trois filles sont debout autour de moi et me regardent.

« Albert, Cochon ! » me dit la Noire. « Tu écris tes livres cochons pour les cochons. Il faut rester avec les cochons et nous foutre la paix. »

J’oublie de me taire. Je demande ce qui se passe d’une voix affaiblie par les émotions, par ma position humiliante, et par le plaisir que j’ai pris malgré moi aux mauvais traitements.

« On ne t’as pas dit de parler » repris la Noire, et un coup de cravache claqua sur mes chairs endolories. « Pourquoi tu es rentré dans le Forum et tu as utilisé le pseudo de Papillon pour la faire parler dans ton bouquin de cochonneries ? Papillon, elle veut pas rentrer dans ton livre. Papillon elle veut mener sa petite vie tranquille, Elle veut aller au boulot tranquille, et elle veut aller sur les forums tranquillement aussi sans que tu lui fasse dire des cochonneries. »

C’est la douche froide. J’ai toujours les bras écartés, les jambes en l’air et les yeux bandés. Je sens maintenant monter les crampes. Dire que je ne suis pas en bonne position pour négocier est un euphémisme. Ces filles exagèrent. C’est vrai que je lui ai fait dire ce que je voulais à Papillon mais elle exagère. Je l’ai pas trouvée sur le forum « Sainte Vierge » quand même, Merde ! Elle vient sentir l’odeur du souffre sur le forum « Fantasmes entre filles ». Elle n’y raconte que des niaiseries jusqu’à ce que j’intervienne pour lui faire dire un truc vraiment intéressant. Un truc qui va la faire passer à la postérité et changer le regard des hommes sur toutes les caissières de supermarché. Et elle se plaint !

Je me promets en pensée de lui régler son compte à ma façon. C’est la première chose que je ferais dès que j’aurais retrouvé l’usage de mon clavier. Je vais écrire un chapitre sur Babacar. Babacar sera le grand frère de la Noire qui m’a pissé sur la figure. Il sera basketteur, immense, hyper musclé de partout, noir comme la nuit et monté comme un âne. Il sera l’ami de Tyson, le gars mignon à la bite monumentale que j’ai mis dans une autre de mes nouvelles. Ils vont draguer Papillon tous les deux en même temps. Ils vont la séduire, puis ils la convaincront de faire un casting porno avec eux. Je serai le metteur en scène, je signerai son contrat sur le champ et c’est moi qui la filmerai quand elle se fera défoncer la chatte et le cul par Babacar et Tyson en double pénétration. Elle gueulera comme une truie pendant qu’on entendra les halètements des deux mecs à la besogne. A la fin du film, elle sera KO. Je lui dirais qu’elle a été magnifique, qu’elle est la plus grande hardeuse de la Terre et que je l’aime. Je lui demanderais de me sucer et elle le fera jusqu’à ce que j’éjacule sur son visage. Tout sera exactement comme dans un bon porno réglementaire, en pire, et là ça sera moi, et ça sera en vrai ! Quand elle se fera inonder de mon foutre elle me sourira avec une larme à l’œil et tout cela sera imprimé sur la pellicule grâce à Babacar qui aura repris la caméra pour immortaliser ma vengeance. Le dernier plan montrera son sourire ému et conquis, avec au premier plan le trou béant de son cul qui ne se sera pas encore refermé.

Revigoré par ces pensées terribles et définitives, je me sens prêt à affronter la situation présente avec un peu de sérénité.

-« Moi, c’est Astou » dit la sœur de Babacar.
-« Marie » dit la blonde.
-« Zoé » dit la brune.
-« On va chacune s’occuper de toi à tour de rôle. Tu dois deviner qui c’est. Si tu trouves, on continue. Si tu te trompes, on te tape. »

Encore ému par mon prochain chapitre, je sens une bouche qui se serre autour de mon sexe et commence à le pomper. Je reconnais ma branleuse. « Marie » Hésitai-je. C’est gagné : elle continue jusqu’à l’érection parfaite. Enfin un peu de douceur dans ce monde de brute.

Les mouvements de mon bassin trahissent mon plaisir et Marie cesse aussitôt de pomper. Une douche tiède asperge alors mon visage. J’ouvre la bouche. C’est fort et salé : « Astou » dis-je sans hésiter. Gagné ! Elle se baisse jusqu’à moi sans cesser de pisser et me fait lui lécher l’anus pendant qu’elle se masturbe sur mon visage. On dirait que j’ai droit au quart d’heure de récréation. Elles me lèchent, me caressent, me mettent les doigts dans l’anus, se font lécher, me font jouer avec leurs énormes seins que je peux deviner lourds et mobiles, se balançant sous elles quand elles sont à quatre pattes au-dessus de moi. Je trouve quasiment à chaque fois et je commence à prendre du plaisir. Ces jeux les excitent aussi et j’entends des baisers entre elles. La chaleur monte d’un cran dans la pièce. Elles décident d’un nouveau jeu : elles se caressent mutuellement jusqu’à l’orgasme et se font pénétrer par ma bite en érection pendant qu’elles jouissent, puis se retirent avant que je n’éjacule moi-même.

Le jeu continue ainsi longtemps et tout y passe. Les filles sont de plus en plus gaies mais mon épuisement est abyssal. La difficulté qu’elles ont à me maintenir en érection les amuse et elles y trouvent encore prétexte à de nouvelles cruautés. Cela doit faire des heures que je suis là attaché, et je n’ai pratiquement pas débandé. Je n’ai eu droit qu’à quelques pauses dont elles profitent pour se branler et s’embrasser entre elles tout jouant avec leur pipi, en riant et en faisant des conciliabules.

– « C’est le dernier jeu » m’annonce solennellement Astou.

Je sens aussitôt un truc s’appuyer contre mon anus. C’est doux et lubrifié. Mais quand elles poussent dessus pour le faire rentrer, c’est une autre histoire.

– « Tant que tu ne trouves pas qui c’est, on continue ».

Je donne les trois noms successivement, mais elles continuent de manipuler l’engin qui s’avère énorme. Elles le font tourner, pivoter, jusqu’à trouver l’angle improbable sous lequel il trouvera son chemin. Je ne peux que dire et redire le nom de chacune mais elles continuent. Finalement le truc me rentre dedans et la douleur me coupe le souffle et la parole. Ca doit être le plus gros plug que je n’aie jamais pu voir et je ne suis pas familier de ces exercices. Je crie, je perds la notion du haut et du bas. Et le truc continue de rentrer. Je ne sens plus rien. J’ai juste l’impression irréelle de tomber en arrière.

Il s’immobilise enfin et je reprends connaissance. La douleur s’estompe graduellement, devient juste supportable, alors j’entends la voie de Zoé.

– « Tu as perdu. Tu donne ta langue au chat ? ».
– « C’était un cadeau de Papillon ! » Et elles éclatent toutes les trois de rire de leur bonne farce et Marie enchaîne : « Et il y a un message écrit dessus ». Zoé fait semblant de lire : « Ceux qui croient que les caissières de supermarché ont des vibromasseurs dans le cul sont des gros cochons ». C’était donc ça la vengeance qu’elles avaient préméditées depuis le début. Mais laquelle est Papillon et lesquelles sont ses complices ?

Une main invisible fait glisser le bandeau de mes yeux et je les voie s’éclater de rire. Elles sont nues toutes les trois, pliées de rire de leur bonne farce. Elles se gaufrent toutes les trois de rire sans retenue. Elles sont magnifiques et leur gaîté les rend éclatantes. Leurs énormes seins sont ballottés sans pudeur comme s’ils riaient aussi de leur côté. Zoé est la plus gaie. Elle est pliée en deux et se tient les côtes en s’étouffant de son rire aigu. Le pipi finit par lui sortir de la chatte tellement elle rit, ce qui déclenche en cascade le fou rire général. S’apercevant qu’elle pisse sans pouvoir se retenir, Zoé se met au-dessus de mon visage et m’asperge. Elle est bientôt rejointe par ses deux copines qui en font de même tout en continuant de se gondoler. Le tableau est merveilleux vu de là ou je suis. Trois cons magnifiques qui me pissent dessus et trois grosses paires de fesses qui s’agitent en vibrant au-dessus de moi dans la rigolade générale.

Mais qui donc est Papillon ?

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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