Auteurs divers

Mardi 28 novembre 2023 2 28 /11 /Nov /2023 14:45

Pizzas magiques par Lazenby
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Je me nomme Lucas, j’ai 30 ans et suis célibataire mais j’ai une copine en ville, elle s’appelle Carole et ce soir-là j’étais partie chez elle, une jolie petite blonde avec des seins comme des obus. Elle me reçoit chaleureusement, on s’embrasse, on se pelote.

– On va dans ta chambre ? demandais-je tout excité.
– Y’a pas le feu, j’ai envie que tu me racontes une belle histoire bien cochonne, et si tu réussi à m’exciter bien comme il faut on s’enverra en l’air.
– Pas de soucis

Alors voilà !

C’était un repas de famille, on prenait l’apéro en attendant le livreur de pizzas

Autour de la table nous étions six. il y avait mon père Charles, 57 ans, ma mère Solange 55 ans, encore très bien conservée avec des fesses rebondies et des seins gros et biens ronds. Elle aime s’habiller encore sexy avec de beaux décolletés. Ma sœur Florence 37 ans aussi jolie que ma mère ainsi que son mari Richard 38 ans et leur fille Delphine 19 ans qui elle tenait autant de la mère que de la grand-mère.

On a sonné, c’était le livreur de pizzas.

– On n’avait plus de pizzas quatre saisons, alors la maison vous offre des pizzas magiques, on vous a fait 50 %…
– Il y a quoi dans la pizza magique ?
– Une surprise ! Je vous laisse, j’ai plein de livraisons à faire.

On a commencé à manger nos pizzas et soudain j’ai senti la jambe de ma mère se coller contre la mienne, j’ai aussitôt ressenti une chaleur me monter à la tête. Mon père se mit à raconter des anecdotes de sexe particulièrement osées, et plus il racontait plus ma mère appuyait sa jambe contre la mienne. à un point même que je croyais qu’elle faisait exprès pour la faire monter descendre contre ma jambe. Elle commença aussi à coller son bras contre le mien tout en mangeant sa pizza. Je n’en pouvait plus, je glissais discrètement ma main comme si j’allais me frotter la cuisse et je la posais sur le côté de la cuisse de ma mère. J’ai senti immédiatement sa réaction. Elle avait l’air d’aimer ce traitement car elle se collait davantage. Soudainement la main de ma mère se retrouva sur ma braguette. J’étais bandé au maximum et ma mère s’en aperçut car elle me fit un clin d’œil complice. Plus ma mère mettait de la pression plus ma main s’aventurait sur son entre-cuisse, jusqu’à toucher sa petite culotte..

Puis mon père se leva prétextant vouloir aller aux toilettes. Delphine s’écria alors :

– OHHH!!!! WOW !

Son père Richard lui a demandé qu’elle était l’objet de son émoi. Delphine répondit qu’une bosse déformait le pantalon de son grand-père. Richard répliqua :

– C’est normal avec ces histoires que racontent Charles, moi aussi ça m’a excité. Dis Delphine tu veux voir ma bosse de plus près en réel ?

Mon père éberlué n’osa pas répondre mais Richard revenait à la charge :

– Allez beau-père fais-lui ce plaisir, ça lui permettra de voir une bonne bite d’homme bien bandée !

Alors mon père s’exécuta, baissa sa fermeture éclair devant les yeux éberlués de Delphine et extirpa son sexe gros et dur. Une bien belle bite qui me fit saliver d’envie ! Richard demanda à Delphine si elle voulait lui toucher. Delphine timidement tendit la main vers le sexe dur à souhait. Delphine commença à caresser le membre de son grand-père. Mon père ferma les yeux pour sentir la sensation de la caresse de Delphine. Puis Richard se leva d’un trait et alla se placer à coté de Delphine, baissa son pantalon et dis à Delphine :

– Regarde la queue de ton père, elle aussi elle est belle !

Delphine regarda son père et lui sourit tout en prenant dans l’autre main sa queue hyper excitée

Pendant ce temps-là ma mère n’était pas restée inactive à la vue du spectacle offert, elle baissa ma fermeture éclair et sorti mon membre bien raide et le caressa avec ardeur, alors que moi j’avais déjà mes mains dans son décolleté pour lui caresser ses gros seins. Ma sœur était en face de nous avait baissé sa culotte et se caressait la chatte. Elle me dit alors :

– Lucas lève-toi, je veux voir ta queue se faire sucer par maman. Vas-y maman, sois cochonne suce bien la bite de ton fils.!

Je me levais d’un trait et présentais ma queue à la bouche de ma mère qui la goba aussitôt.

A l’autre bout de la table; Delphine était étendue au milieu des assiettes, elle suçait la queue de son père qui lui avait baissé sa culotte. Ma mère invita ma sœur à l’accompagner, elle se leva et au lieu de s’occuper de moi elle vint caresser le cul de ma mère. Florence dit à ma mère qu’elle avait envie de lui manger la chatte. Ma sœur appuyait sa langue sur le clito de ma mère. Pendant ce temps-là Delphine râlait; elle dit à ses deux partenaires :

– Je suis chaude come la braise, j’ai envie de sentir vos deux queues.
– Allons dans le salon nous serons beaucoup mieux. Proposa mon père

Ce que nous fîmes !

Mon père, Richard et Delphine avaient pris place sur le canapé tandis que moi je m’asseyais dans le fauteuil, ma mère se plaça à mes pieds voulant encore avoir ma queue dans sa bouche. Mon père coucha Delphine sur le côté et pénétra sa petite-fille tandis que Richard, son père lui présenta sa queue à sucer. Ma mère se leva et me dis qu’elle avait envie de se faire pénétrer par ma queue. Elle s’empala sur mon membre bien raide et demanda à sa fille de venir lui lécher le clito. Florence à quatre pattes vint sucer sa mère. Mon père avait une vue imprenable sur son cul. Il se leva et demanda à Richard de prendre sa place et se dirigea vers Florence en lui disant :

Lazenby

– J’ai envie de ton cul.
– Oui vas-y papa encule-moi, je la veux ta queue dans mon cul. Répondit Florence

Et mon père lubrifia bien l’anus de Florence et l’encula d’un coup sec. Pendant ce temps-là je pistonnais ma mère et je ne pouvais plus me retenir bien longtemps et lui dis que j’allais jouir. Elle me répondis :

– Fiston je veux gouter à ton jus.

Elle s’excusa auprès de Florence de la déranger, elle se leva et commença à me pomper avec vigueur. C’est à cet instant que je giclais toute ma semence dans la bouche de maman, qui la garda dans sa bouche puis alla embrasser Florence pour qu’elle puisse y gouter.

Mon père continuait de pistonner le cul de ma sœur et lui dis :

– Je veux te la mettre partout et finir dans ta bouche.

Ma mère insatiable alla rejoindre son gendre et sa petite-fille; elle a sorti la queue de Richard de la chatte de Delphine et la présenta à l’anus de celle-ci qui s’exclama :

– Oui papa encule-moi je la veux.

Richard ne put résister longtemps à ce traitement, ma mère le sentit jouir et sorti la queue gluante de sperme et de merde pour la mettre dans sa bouche pendant que Richard était pris de violents spasmes et envoyait sa purée. Ma mère se délectait. Mon père toujours occupé avec sa fille demanda à sa petite-fille de venir aider sa mère à gouter à sa semence. Et envoya trois ou quatre jets de sperme.

Après un petit break à coup de bon vin d’Italie, mon père a voulu m’enculer. Devant une si belle bite je ne pouvais refuser, j’ai commencé par bien la sucer avant qu’il me la foute dans le trou du cul. Et pendant qu’il me sodomisait Richard est venu devant moi pour m’offrir son sexe à sucer.

Après tout ça, nous sommes tous effondré de fatigue sur le plancher.

– Mais que nous est-il arrivé ? Demanda mon père quand il reprit ses esprits.
– Ce doit être les pizzas magiques ! Suggéra ma mère !
– Il faudra qu’on en recommande, alors !

Et voilà mon histoire.

– Ben dis donc tu en as des drôles de fantasmes ! Me dit Carole.
– Ça t’as excité au moins ?
– Ça on peut le dire !
– Alors on va dans ta chambre !.
– Mais bien sûr mon gros biquet !

Fin du délire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Mardi 14 novembre 2023 2 14 /11 /Nov /2023 09:56

Folle semaine par Filou01

 

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Me voilà seul pour la semaine, ma petite famille étant partie chez ma belle-famille et moi devant rester au boulot. J’attendais ce moment avec impatience pour m’adonner à quelques plaisirs solitaires voir plus.

Le lundi soir, je m’étais programmé un petit surf coquin et pour m’éviter des séances de nettoyage fastidieuses (et oui je pensais bien être amené à me masturber devant mon écran), j’avais fixé sous mon bureau un récipient pour accueillir ma semence. Je me suis mis à mon aise, c’est à dire nu, puis j’ai lancé mes recherches de vidéos X. Pas facile de trouver du gratuit mais je finis par en trouver des biens excitantes et d’ailleurs je sens une chaleur au niveau du sexe, ma bite est déjà bien raide. Je la saisis de la main gauche et débute une branlette lente et maladroite (je suis droitier). Les images de fellation, pénétration défilent alors que des cris de plaisir arrivent dans mes écouteurs. Les mouvements de ma main gauche ne me satisfaisant pas, je change de main après avoir mis en boucle les meilleures vidéos. Une fille aux seins superbes est à califourchon sur un mâle en rut assis sur une chaise. Elle monte et descend pour s’empaler sur cette bite bien raide, il lui titille le clitoris. Un gros plan est fait sur cette chatte juteuse pénétrée par la queue bien droite, elle rentre, elle sort. Le gars pousse un gémissement grave, la femme cri son plaisir, des coulées blanchâtres descendent le long de la verge et moi je sens monter la jouissance, je ralentis le mouvement de va et vient. Les jets de sperme se succèdent dans un plaisir délicieux pour ma 1ère éjaculation de la semaine. Je continue mon surf tout en me caressant le sexe avec ma main gauche. Une heure passe et la moisson de vidéo est intéressante, ma queue reprend de la vigueur et l’envie d’une 2ème explosion se fait sentir.

Mais j’ai envie d’une excitation différente, plus proche de la pénétration d’une chatte, je me lance dans ma petite fabrication maison. Pour se faire, je prends un tube carton d’essuie-tout, j’utilise les dernières feuilles, les superpose les unes aux autres et les habille sur une face d’un sac plastique fin fixé avec du ruban adhésif. Je roule ces feuilles dans le tube carton avec la face plastique côté intérieur, les fixe à celui-ci puis je vérifie que mon sexe légèrement tendu pourra s’y glisser. J’enduis l’intérieur avec de l’huile de cuisine pour permettre un bon glissement et je coince ce tube entre le matelas et le sommier. Il ne me reste plus qu’à mettre l’ordinateur portable sur le lit, à m’agenouiller et je me retrouve avec la bite en face de mon « tube vagin ». Depuis peu j’utilise un préservatif qui évite à fermer l’extrémité du tube mais surtout les sensations de frottement sont plus agréables. Je me branle pour raidir encore mon sexe afin d’enfiler le préservatif puis pénètre mon tube alors que les vidéos commencent à défiler sur mon écran. Je suis accroupis au bord du lit, le haut de mon corps est incliné sur le matelas et ma queue va et vient dans mon « tube vagin » au rythme de mes hanches. La sensation est vraiment proche d’une chatte mouillée et quand mon sexe gonfle encore, les parois du tube le serre de plus belle. Alors que sur la vidéo une belle brunette inconfortablement installée sur une banquette, les jambes en l’air maintenues par un homme accroupis devant elle, lui assène des coups de butoir violent. J’entends ses gémissements ainsi qu’un doux son de succion à chaque enfoncement de la bite dans sa chatte trempée, il y va à fond, je la vois secouée, ses seins ballottés, se mordant les lèvres de plaisir. Le gros plan sur cette bite qui s’enfonce puis sort et ainsi de suite de ce vagin tout ouvert me fait accélérer mes mouvements. Le gars s’arrête, se retire, viens à la hauteur du visage de cette belle jeune fille et se branle pour se vider les couilles sur sa jolie frimousse. Et c’est à ce moment exaltant où il l’éclabousse de son sperme que j’explose massivement dans mon tube. Pour quelques instants, je viens de la sauter par écran interposé et le plaisir était tout aussi intense.

Ce fut un bon début de semaine et comme elle s’annonce longue j’arrêterais là pour ce soir.

Le lendemain matin, je me réveille avec une bite bien raide, je la prends en main et me dirige à la douche pour une bonne petite branlette comme je les aime. Du savon, de l’eau et la queue qui glisse toute seule dans ma main qui va et vient. La vue, dans le miroir qui recouvre tout le mur du fond, de ma queue raide et mes couilles se balançant dans le rythme de ma masturbation est un plus à l’excitation. Dans la main gauche, je tiens la « pomme » de douche pour la diriger sous mes bourses. Le jet d’eau qui en jaillit ajoute du plaisir, ma queue se raidit pour se mettre au garde à vous, le gland devient violet foncé. Je ralentis mon mouvement pour profiter au mieux de cette montée lente de mon orgasme, la verge vibre, gonfle encore et mon sperme gicle sur le miroir et entre mes doigts. La journée commence bien. Le soir après une journée de labeur, je repasse par la douche et puis continue mon surf à la traque de vidéo de fellation. Le visionnage est terriblement excitant, je bande dur et une immense envie de me faire sucer me submerge. Je ne vois qu’une solution, aller voir une des belles blacks qui en échange d’un billet prendra ma bite en bouche.

Je me rhabille, mon excitation est telle que mon sexe reste raide et qu’en sortant de chez moi, il est impossible que la voisine que je croise dans l’escalier ne s’en soit pas aperçu. Les belles filles noires sont là, près de la gare, je fais un 1er passage de repérage et une d’elles me fait bander de plus belle, elle est magnifique. Je m’arrête à sa hauteur, ouvre la glace. Elle m’indique son tarif, un hochement de tête et elle est assise à côté de moi. Elle me guide vers un parking sombre, je m’arrête, lui donne son billet, incline mon siège, elle défait les boutons de mon jean et sort ma bite toujours raide. Elle l’enfourne tout entière dans sa bouche et l’enserre avec ses lèvres pulpeuses, je jouis. Ma position me permet de caresser ses fesses bien fermes et d’une infinie douceur. Alors qu’elle poursuit à bon rythme ses va et vient sur ma queue tendue, je lui saisis un de ses seins, il est divin sous ma main, il m’excite davantage, je le pelote énergiquement. Elle est passé aux petits coups de langue sur mon gland et lèche les petites gouttes qui perlent de ma fente, je n’en peux plus. Elle s’en aperçoit, reprend ma queue tout entière dans sa bouche pour des va et vient plus lent cette fois et je m’y vide les couilles avec délectation. Elle m’aspire tout et je sens mon sperme continuer à jaillir par petites giclées, ma jouissance est immense. Je la remercie, elle me sourit, j’en bande encore.

Après une bonne nuit, je prends tranquillement mon petit dej’ quand à la télé apparaît une de mes présentatrices préférées, Sophie L, il n’y a pas à dire, elle est bandante. D’ailleurs, aidé de pensées coquines et du mouvement de mes cuisses qui viennent me serrer puis desserrer les testicules, je me retrouve rapidement avec une belle érection. En continuant dans mes pensées et en la fixant droit dans ses yeux superbes, je passe ma main droite dans mon pyjama pour me masturber. Tout en la regardant, je m’enfuis dans mes songes très sexes :

 » T’aimes ça, tu la veux ma grosse bite qui te bourre la chatte, tiens prends ça. Oh oui t’es bonne, tiens, tiens, oui !! T’en veux encore. Baisse-toi que je te prenne par derrière, je te la mets bien profonde, tu jouis; Oui ! Viens, prend la dans ta bouche. Oh oui suce moi, c’est bon. Vas-y oui je fais te lâcher la dose, oui ça vient, oui tiens ! Avale-moi tout. Oui tu l’aimes mon sperme, aspire encore, oui c’est bon! ».

Quand je sors de mes pensées, je m’aperçois que je viens de m’éjaculer dessus, j’ai plein de sperme sur le pyjama, les cuisses, les couilles et les doigts, ce fut un régal. Il est temps de partir au boulot et dehors je croise la voisine d’hier, une femme mûre, élégante et avec de belles formes excitantes. Elle s’arrête à ma hauteur pour me saluer et me dit :

« Ce soir, chez moi à 20 heures »

…puis elle poursuit son chemin. Je vais y penser toute la journée car cela m’étonnerait qu’elle m’ait invité pour prendre le thé et j’imagine tous les scénarios possibles. En arrivant le soir chez moi je n’en peux plus. Une petite douche s’impose, elle restera sage malgré un début d’érection, il faut que je garde de la réserve. L’heure est arrivée, je monte chez ma voisine et sonne à sa porte qui s’ouvre de suite. Là, je me retrouve nez à nez avec son mari, je ne m’attendais pas à çà et ne sais quoi dire. Il m’invite à entrer et à le suivre. Je m’exécute de bonne grâce tout en me demandant ce que je fais là et que va t’il se passer maintenant.

J’ai rapidement ma réponse quand il me fait rentrer dans la chambre, ma voisine Danielle est allongée avec une simple nuisette qui moule ses formes encore plus voluptueuses que celles que j’imaginais. En la contemplant, s’offrant à moi, mon excitation remonte d’un coup et j’en oublie la présence de son mari. Après avoir enlevé mes vêtements, je m’approche d’elle en glissant une main le long de sa jambe puis je passe sur l’intérieur de sa cuisse. La nuisette remonte jusqu’à me dévoiler sa belle chatte brune, je me baisse et commence délicatement à la lécher. Elle me prend la tête pour la diriger sur ses parties les plus intimes, elle écarte les cuisses et je rentre ma langue dans son vagin d’où coule abondamment sa mouille. Pendant que je me délecte de son jus de jouissance, mes mains montent le long de son corps pour s’arrêter sur sa poitrine douce et moelleuse. Je me mets en position de levrette entre ses cuisses pour mieux poursuivre l’exploration de sa chatte. A ce moment, je sens la bite de son mari se frotter contre mes fesses. En indiquant que je ne veux pas de pénétration, je l’aperçois dans le miroir du placard. Il se frotte le sexe sur le bas de mon dos en le maintenant avec la paume de sa main gauche alors que sa main droite me caresse la bite. Ce contact avec cette queue m’excite de plus belle, je lèche avec encore plus de frénésie l’orifice vaginal de Danielle qui gémit de plaisir. Son mari accélère ses mouvements, ses bourses rentrent en contact avec mes fesses quand je sens sur mon dos des giclées humides, il m’éjacule dessus. A peine à t-il fini de jouir qu’elle me tire vers elle, lève encore ses jambes et m’invite à la pénétrer. Les parois de son vagin sont si douces et si humides, le plaisir est intense, la sensation délicieuse et j’entends ce bruit stimulant de succion que fais mon sexe à chaque mouvement dans sa chatte détrempée. Elle m’enduit le dos avec le sperme de son homme, appuie ses mains sur mes fesses pour m’indiquer d’augmenter mes coups de butoir. Je sens mes bourses virevolter à chacun de mes va et vient, je jouis avec délice et ma queue se tend encore. Alors que je suis au bord de l’explosion, son mari me pose sur les bourses un sac de glace et mon éjaculation arrive massivement. Cette sensation de froid sur mes couilles amplifie mon orgasme et Danielle lâche des cris qui ne laissent aucun doute sur le sien.

Ma voisine est décidément une gourmande, à peine ai-je fini de me décharger dans elle que je me retrouve sur le dos avec mon sexe dans sa bouche, elle commence à me faire la toilette avec sa langue. Elle est sur mon côté droit en position de levrette et c’est maintenant son homme qui la lime avec entrain. Je vois ces couilles ballottées tout autant que les seins de Danielle et ma main droite passe du pelotage des bourses de Jean à la poitrine de Danielle. Elle poursuit avec assiduité ma fellation, et je viens lui titiller le clitoris pendant que Jean continue ses va et vient. Sa chatte laisse échapper mon sperme et sa mouille quand je m’aperçois que son homme est au bord de l’explosion. Je saisis le sac de glace laissé à ma portée, je lui colle sur les bourses, il gémit de plaisir et une bonne quantité de son sperme coule de la chatte de Danielle sur mon bras. Elle s’est arrêter de me sucer, lâche

« Vas-y Jean, oui !!! »

…et je peux lire sur son visage l’expression de sa jouissance. Il lui agrippe les hanches pour terminer de se vider. Puis elle se remet à l’ouvrage sur ma queue tendue, il l’a rejoint et je m’abandonne à mon plaisir. Ma main droite s’occupe de ses seins ou de son clitoris et ma main gauche lui caresse la bite encore toute pleine de sperme. Elle se relève pour se mettre à califourchon de dos sur moi et s’empale sur mon sexe. De cette position je profite d’une belle vue sur ses fesses qui accompagnent un mouvement ample de ses hanches pour bien me dorloter ma verge avec son vagin. Toutefois elle n’oublie pas son mari, elle lui lèche le sexe alors qu’il pose sa main sur mes attributions pour les peloter. Je sens monter en moins un nouvel orgasme, elle ralentit ses va et vient, lui m’en sert la queue avec deux doigts et suit les mouvements de Danielle. L’arrivée de mon sperme est proche mais ces mouvements très lents font que cette montée dure et c’est exaltant. Au moment du jaillissement de ma semence, je ne peux retenir un cri violent tellement mon orgasme est fort. Elle continue ses montées et descentes au même rythme et mes giclées de sperme se poursuivent dans un plaisir intense. Elle descend, j’éjacule, elle remonte, je sens son orifice me caresser le gland, elle redescend, nouvelle giclée et ainsi de suite, un délice. Cela me laisse l’impression d’avoir les couilles complètement vidées, je suis bien. A la reprise de mes esprits, je m’aperçois que la séance est terminée, Jean vient d’éjaculer sur le joli visage de Danielle et moi, je rejoins mon appartement.

biblonf45La nuit fut bonne et avant de me rendre au boulot ce jeudi, je fais un petit surf rapide pour dénicher un bar échangiste, la soirée d’hier m’a donné envie. Dans ma messagerie, j’ai un lien vers une vidéo, je télécharge et visionne. Ce sont des extraits de nos ébats d’hier, rapidement je me retrouve avec une sacrée érection et machinalement je me mets à me masturber. Le moment où Jean se décharge sur mon dos me stimule de plus belle mais l’excitation est à son comble quand les images où Danielle est sur moi défilent et au moment de mon cri violent, j’éjacule devant mon écran et lors de mes dernières giclées, je vois Danielle branler Jean qui se vide sur elle. Je reprends mon surf pour trouver un lieu où des massages et plus sont proposés. Un formulaire permet de réserver directement et je m’inscris pour un massage par deux divines créatures le soir même, sa durée est d’une demi-heure ou 2 éjaculations, cela s’annonce bien. Au moment du règlement en ligne, je m’aperçois que l’on a la possibilité d’avoir cette séance gratuite si on accepte d’être pendant 1 heure un « objet sexuel », je clique « oui » et valide.

Le soir, je me rends directement à l’adresse où est juste indiqué sur une plaque  » Salon de massage « . Je sonne, la porte s’ouvre sur un petit hall tout blanc et une voix m’indique de rentrer dans la pièce de droite. Là, une belle blonde avec une blouse très échancrée et courte me demande de me déshabiller. Je me retrouve complètement nu devant cette magnifique inconnue avec une érection que je ne peux dissimuler, mais à quoi bon, elle sait pourquoi je suis là. Je dois me laver, c’est elle qui me savonne partout, c’est une bonne entrée en matière. Puis, elle m’emmène dans une nouvelle pièce où se trouve une grande table de massage. Je m’y allonge sur le dos, elle se met à ma droite et prend un liquide visqueux dans ses mains. Elle me l’étale sur le torse puis débute des caresses sur tout le haut de mon corps. Dans ma position, j’aperçois le bas de ses fesses, je glisse ma main droite sous sa blouse et lui pelote ses divines fesses bien fermes. Puis, j’ôte ses boutons et d’un petit geste, elle fait glisser sa blouse au sol. Elle est maintenant nue devant mes yeux émerveillés, mon excitation monte encore d’un cran. D’autant plus que ses mains s’approchent de plus en plus prêt de mon sexe, je sens ses doigts passer dans mes poils, c’est délicieux. Ma main vient lui toucher ses parties les plus intimes, elles sont sèches ce qui me paraît normal, elle n’est pas forcément là par plaisir. Pourtant, après quelques minutes de tripotage de son clitoris, je sens que sa chatte commence à se lubrifier. Son visage ne saurait mentir, elle se mord la lèvre inférieure et j’ai maintenant les doigts trempés par sa mouille. C’est à ce moment qu’elle saisit à pleines mains mon sexe pour le branler, l’excitation monte encore et j’enfourne deux doigts dans son vagin. Alors qu’elle me branle tout en douceur, que mon index et mon majeur vont et viennent dans sa chatte, une femme aux cheveux noirs entre dans la pièce. La table étant plus large à la hauteur de ma tête, elle se met à califourchon au-dessus de ma tête et il ne me reste plus qu’à lui lécher le sexe. Ma main gauche étant libre, je luis caresse sa poitrine abondante et douce. Ma langue lui titille le clitoris alors que sa mouille me coule dans la bouche, un délice. Les sensations provenant de ma bite m’annoncent une éjaculation prochaine, cela monte doucement en moi. En plus de me branler, elle me tripote l’arrière des testicules qui est une partie très érogène chez moi et je fini par exploser abondamment. Contrairement à une éjaculation où c’est moi qui contrôle les mouvements, lors d’une masturbation ou d’une pénétration, et que mes gestes du fait de mon excitation deviennent maladroits. Là, c’est elle qui mène la chose et ses mouvements ainsi que son rythme restent réguliers ce qui apporte une jouissance bien meilleure. Je me concentre uniquement sur sa main qui glisse tranquillement sur ma bite et accompagne chacun de mes spasmes qui entraînent une giclé de sperme. La fille aux cheveux noirs se lève, me demande de me mettre sur le ventre et je m’aperçois qu’un trou dans la table me permet d’y passer ma queue et mes testicules.

Mon érection est un peu retombée mais pas pour longtemps, la blonde recommence ses massages alors que l’autre femme s’est allongée sous la table et commence à me sucer. Elle est positionnée assez haute pour voir sa chatte toute humide et si je n’ai pas possibilité dans cette position de la lécher à nouveau, je peux lui tripoter son orifice vaginal avec mes doigts. Je fini par lui mettre mon index, mon majeur et mon annulaire qui vont et viennent dans elle alors qu’elle me gobe entièrement ma verge. La blonde continue ses caresses et me tripote à nouveau l’arrière de mes couilles, je savoure pendant plusieurs minutes. Puis elle se met sur moi et me dévore les fesses. Elle se frotte la chatte sur mon cul et je sens sa mouille s’y déposer. Pendant ce temps, mon sexe est caressé par la langue de l’autre à laquelle j’introduis un gode qui était sous la table. Mon exaltation est à son comble quand la blonde me lèche les testicules alors que ma suceuse se remet à m’aspirer la bite de plus belle. Mon orgasme monte et je lui remplis la bouche de mon sperme, elle avale chacune de mes giclées, je jouis.

La séance massage est terminée, j’ai eu mes 2 éjaculations et je suis emmené dans une autre pièce pour la séance « objet sexuel ». L’endroit est de couleur rouge, il y a un plateau avec des trous, cela pour le haut du corps, et deux supports pour les jambes. Tout cela est réglable et peut se basculer de l’horizontalité à la verticalité. Je suis allongé dessus, mes mains sont attachées un peu plus bas que mes épaules mais pas le long de mon corps alors que mes chevilles sont fixées aux extrémités des supports. Je suis maintenu sous les aisselles et mes pieds sont calés de façon qu’en position verticale, je puisse me tenir debout. Je suis complètement nu, les jambes écartées, on me passe une cagoule qui me permet juste de voir et le plateau est mis en position verticale. La porte devant moi s’ouvre et je me retrouve dans une pièce circulaire où d’autres personnes sont attachées comme moi, il y a 5 hommes et 2 femmes. Et il y a des gens (hommes et femmes) qui sont libres et assouvissent tous leurs désirs sur ceux qui sont, comme moi, leurs objets sexuels. Je le comprends bien vite quand je vois 7 hommes obèses en train de s’occuper d’une des filles dont le plateau est couché. Les deux supports pour ses jambes les lui maintiennent bien écartées, un homme la pénètre pendant que 4 se branlent au-dessus d’elle et qu’elle suce les deux derniers. Et dans un tempo régulier, ils changent de place, je fixe ce manège quelques minutes avant que chacun se vide les couilles sur le corps de cette fille. En regardant autour de moi, je m’aperçois que, à part ceux attachés, toutes les personnes qui sont là sont soit âgés, soit gros, soit les deux à la fois, ils ont tous un physique repoussant au premier abord. Une première femme âgée vient vers moi, elle n’a rien d’excitant, elle est maigre, la peau toute flétrie, ses seins tombent. Et pourtant de savoir que je suis à sa complète merci, je me remets à bander. Elle s’accroupit devant moi, me branle avec sa main toute ridée puis me suce. Une autre personne derrière moi passe sa main entre mes jambes et attrape mes couilles. Je suis à leur complète merci ce qui m’occasionne un plaisir insoupçonné.

Puis mon plateau est basculé à l’horizontal, elle m’aspire toujours la bite pendant qu’une autre femme, très grosse, caresse mon corps avec le sien. Deux hommes s’approchent de moi, ils ont la bite raide et la présente à chacune de mes mains. Ils me font comprendre qu’il faut que je les saisisse, mes mains attachées serrent leurs queues et ils commencent des mouvements de hanches afin de se branler. Je n’aperçois plus très bien qui me suce mais j’ai la forte impression qu’il y a une tournante sur ma queue car la façon de faire n’est pas constante. En fournissant un petit effort, j’aperçois des femmes mais aussi des hommes qui se succèdent pour me sucer. Les deux types accélèrent leur va et vient pour se vider les couilles sur moi, leur sperme me gicle sur le corps et c’est à ce moment que mon sexe se raidit pour exploser au visage de la vieille dame qui paraît ravie quand elle se relève avec ma semence sur elle. Mon érection retombe, il faut dire qu’après 3 éjaculations en si peu de temps j’ai les couilles un peu vides et elles commencent à tirer. Mais voilà les autres n’ont pas eu leur dose et continue de me branler et me sucer. On m’a remis à la verticale et comme ce traitement de force commence à être légèrement douloureux, j’essaye de me concentrer sur mes partenaires attachés. La femme de tout à l’heure est toujours là, et des hommes et des femmes à la queue leu leu passent au-dessus d’elle pour uriner. A côté d’elle, un homme qui a dû accepter la sodomie est en train de se faire enculer par un type énorme, celui-ci met du cœur à l’ouvrage à voir ses bourrelets de graisse qui flottent à chaque coup de butoir et aux gémissements du gars en train de se faire remplir. Encore un homme à sa droite qui a deux vieilles dames sur lui, il en lèche une, l’autre est empalé sur sa bite. Sur ma gauche, une femme au corps magnifique subit les assauts de 8 hommes et vu tout le sperme sur son corps, sa cagoule et les poils de sa chatte, ce ne sont pas les premiers. Et elle va encore en recevoir une sacrée dose quand chacun va lui éjaculer dessus, c’est un feu d’artifice de sperme jaillissant de ces 8 queues bien branlées. Je suis à nouveau remis en position couchée et des femmes âgées ou très grosses viennent s’empaler à tour de rôle sur ma queue suffisamment raide pour cette pratique. J’ai mal dans les bourses et tout le long de verge pourtant je bande toujours. Elles continuent leur manège et une d’elle qui est très forte se laisse retomber de tout sa masse à chaque descente sur ma bite qui ne peut pas rentrer plus profond dans sa chatte. Cette femme imposante poursuit ce manège jusqu’à mon éjaculation qui sera plus souffrance que plaisir, la dose sera minime et je sens mon sexe s’effondrer complètement dès la dernière giclée.

Pourtant mon heure n’est pas terminée et comme la fille de tout à l’heure, je me retrouve avec 8 mecs en train de se branler au-dessus de moi dont 2 qui me la mettent dans la bouche. Je leur lèche le gland, des perles de sperme sortent de leur fente alors que deux autres me posent leurs bites dans mes mains. L’un deux, en plus de se masturber, me branle le sexe qui n’est plus que douleur et pourtant cette relation forcée me fait jouir. Au bout de quelques minutes, tout ce beau monde va m’exploser dessus et je prends un grand plaisir à sentir chaque giclé de leur sperme me recouvrir le corps. J’en ai partout, du bas ventre jusqu’à la tête et bien sûr les deux que je suçais m’ont déchargé dans la bouche. Des femmes reviennent me caresser en étalant tout ce sperme, une d’elles, très âgée, masturbe ma queue qui ne bande plus vraiment. Ma bite me fait de plus en plus mal mais elle continue encore et encore, la douleur monte encore d’un cran quand un semblant d’éjaculation arrive. Quelques petites giclées achèveront ma souffrance, elles arrêtent ses mouvements, lâchent ma queue qui s’effondre. Une des femmes me caressant lance vers les autres que c’est le moment de ma douche et des femmes et des hommes arrivent vers moi. La première se présente debout au-dessus de moi et urine, la sensation du liquide chaud et la vision de cette coulée me surprennent mais m’excitent fortement. J’en oublie les douleurs de mon sexe alors qu’ils et elles se succèdent pour se vider la vessie sur moi. Les hommes dirigent leurs queues pour me piser sur mon sexe alors que les femmes se vident en se frottant la chatte sur mon torse. Mon heure d’objet sexuel se termine sur cet acte et je suis ramené dans la pièce rouge où je suis lavé par mes deux masseuses.

Je rentre chez moi épuisé et quand je me réveille le lendemain, j’ai encore quelques douleurs dans le sexe. Je devais rejoindre ma famille ce jour mais je repousse au samedi pour me remettre de cette folle soirée.

Samedi matin, ma journée d’abstinence m’a fait le plus grand bien pour retrouver un peu de vigueur, les douleurs ont disparues malgré mon érection du matin. Je prends la route. A la radio, Gainsbourg chante « Love on the beat » et je ne sais pas si c’est de repenser aux branlettes que j’ai pratiqué étant jeune sur cette chanson mais je me retrouve avec un début d’érection au volant. Il m’est déjà arrivé de me masturber en roulant mais c’était de nuit et donc plus discret qu’en pleine matinée. Pourtant je commence à me tripoter à travers le pantalon puis à défaire mes boutons, sortir ma bite et commencer à me branler en saisissant mon sexe avec le bout des doigts. L’autoroute est quasi déserte, je me cale à bonne distance du véhicule qui me précède, prépare 5 épaisseurs de mouchoirs en papier. Je les pose sur mon gland, les referme sur ma bite avec mes doigts et reprend des mouvements de haut en bas. Des voitures apparaissent dans mon rétro, elles me dépassent et je suis tout excité à penser que leurs conducteurs ou passagers ont pu s’apercevoir que je me branlais. Il ne me faudra pas longtemps pour éjaculer dans mes mouchoirs qui malgré les 5 épaisseurs sont vite détrempés par mon sperme. Cette bonne petite branlette marquera la fin d’une sacrée semaine.

Filou

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Jeudi 19 octobre 2023 4 19 /10 /Oct /2023 11:04

Un train en été par Guy01

 

Voy

Je suis assis dans le compartiment d’un train en été, près de la fenêtre. Il
n’y a personne avec moi jusqu’à ce que le porte s’ouvre sur une belle femme,
grande et brune. Ses cheveux sont courts et noirs. Elle a la quarantaine.
Elle porte une jupe noire à mi-jambe, des sandales noires, un chemisier
blanc assez léger.

Elle s’assied devant moi sans me regarder, l’air sévère, croise les jambes
et laisse son regard se perdre dans le paysage.

J’ai poussé mes jambes pour lui laisser de la place. Je me cale dans la
banquette pour continuer ma sieste.

Mais je jette un coup d’oeil sur elle avant de me rendormir. Ses genoux
blancs brillent juste au bord de sa jupe. Ses cheveux sont agités par l’air
qui passe par la fenêtre entrouverte. Son chemisier aussi frissonne. C’est
un tissu léger, un peu transparent. Je crois voir au travers la pointe de
ses seins qui se dessine. J’ai l’impression qu’elle n’a pas de soutien
gorge. Elle ne me regarde toujours pas, m’ignore et je ferme les yeux.

Pour être bien assis, j’ai les mains dans les poches de mon jean noir. Dans
un demi-sommeil, des images me passent par la tête, et j’imagine son visage
en face de moi, ses lèvres épaisses, ses grands yeux noirs. Je revois la
marque de ses seins sous sa chemise. Mes doigts sous le pantalon sentent mon
sexe qui durcit doucement à cette image. Je le touche doucement à travers le
tissu de ma poche. Je sens le gland qui devient gros et je le caresse
doucement. J’allonge les jambes pour permettre à mes doigts d’aller plus
loin, de couvrir mon sexe qui grossit jusqu’au milieu de sa longueur. Au fur
et à mesure qu’il s’allonge, je reprends conscience, et je prends conscience
aussi de sa présence. J’arrête de bouger mais je laisse mes doigts contre
mon sexe.

J’ouvre les yeux et je m’aperçois alors qu’elle est en train de me regarder.
Elle a mis ses mains contre sa poitrine. Elle s’aperçoit que je suis
réveillé, mais elle continue de regarder le haut de mon pantalon. Elle me
regarde dans les yeux et bouge un peu ses doigts sur sa poitrine.

Je me sens tout à coup très excité et, moi aussi je pose mes doigts sur mes
tétons qui sont tout durs. Je déboutonne deux boutons de ma chemise et je
passe ma main à l’intérieur. Mon index atteint mon téton gauche et
l’effleure doucement. C’est un geste que je fais souvent quand je suis seul
devant ma glace qui m’excite beaucoup.

Elle continue à me regarder fixement et appuie un peu sur ses seins du bout
de ses index. Alors je m’enhardis et ouvre ma chemise. De chaque main je me
caresse les pointes de mes tétons qui sont très durs. Je la vois elle aussi
qui se pince ses tétons à travers le tissu. Elle me regarde encore en
léchant ses lèvres de sa langue. Je vois ses jambes qui sont décroisées et
qui se frottent doucement l’une contre l’autre.

Je me dis alors qu’elle a envie que je continue et je pose ma main sur mon
sexe au travers de mon pantalon. Je frotte un peu et je le sens qui est très
dur. Je déboutonne tout doucement mon jean pour pouvoir glisser ma main sur
mon slip. Je sens le tissu qui est tout mouillé. J’ai envie de libérer mon
sexe de le voir à l’air libre. Je la regarde devant moi qui continue à
frotter ses jambes. Alors je baisse mon slip et je sors mon sexe. Je
l’entends qui gémit. Je la vois qui ouvre elle aussi sa chemise et me montre
ses petits seins tout ronds. Ils ont des tétons très longs et très noirs
qu’elle caresse du bout des doigts. Elle prend ses seins en entier dans sa
main en se léchant les lèvres.

Ruby03bMoi je n’en peux plus de voir ça. Je prends mon sexe entre les
deux doigts de la main droite et je tire sur la peau pour bien sortir mon
gland qui est tout gonflé et tout rouge. Il y a du jus qui en sort. J’en
prends un peu sur le bout des doigts et je le mets sur mes tétons qui sont
tout doux à caresser. Elle se frotte les jambes en gémissant et elle pince
ses seins très fort. Moi je continue à me caresser le sexe. C’est mon rêve
de me masturber devant une femme. Elle a l’air d’aimer cela. Elle me regarde
droit dans les yeux pendant que que j’ai ma bite bien serrée dans ma main.
Je caresse le gland avec de la salive que j’ai mise dessus pour que cela
glisse bien. J’aime qu’elle me voie faire cela. Elle avance sa main entre
ses cuisses et la plonge à l’intérieur en gémissant. Je vois qu’elle
continue à regarder ma bite en train d’être masturbée par moi. Elle écarte
ses jambes et soulève sa jupe au moment où je suis sur le point de jouir.
Elle s’en aperçoit, et au moment où elle va montrer son sexe elle me dit

 » Vas-y ! Jouis! »

Et elle lève sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Je vois son sexe bien écarté
avec ses poils au-dessus. Il y a de l’humidité qui coule sur la banquette.
Elle pose son doigt sur son clitoris et moi je n’en peux plus. Je gémis et
je la vois qui me regarde. Je laisse mes yeux dans les siens et je tire
fort, fort sur mon sexe qui explose. Elle me fixe toujours pendant que tout
mon sperme jaillit sur mon ventre.

Alors elle se penche vers moi, prend mon sperme sur mon ventre et caresse
ses seins avec lui. Sa peau brille. Elle en reprend et enfonce encore ses
doigts entre son sexe et frotte elle aussi en écartant complètement les
jambes; Je la vois tout à coup qui tremble, qui ferme fort ses cuisses et
qui garde sa main serrée entre ses jambes en fermant les yeux et en
gémissant. Elle tremble longtemps comme cela de plaisir, puis elle ouvre les
yeux et me regarde encore longtemps avec un beau sourire, qui luit de toutes
ses dents.

Guy

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Dimanche 27 août 2023 7 27 /08 /Août /2023 14:56

Aéroport Saint Exupéry
par Voyageur

 

pipe stamp


Bonjour, Je suis le « membre » voyageur. LOL, c’est bien le cas.

 

Je voyage pour mon métier.

Environ 90% de mon temps, je suis à l’étranger : L’Europe, le Moyen Orient, L’Afrique (toute entière du nord au sud), la Russie et l’Inde.

En plus d’être voyageur, je suis un « coquin » dans l’âme et dans les faits et les voyages aident beaucoup aux rencontres.

Ma dernière rencontre s’est passée en France, vite fait, bien fait, fallait il le voir…

Je me suis rendu dans le Sud Ouest de la France, (et oui, inutile d’aller beaucoup plus loin) en Avion.

Donc Aéroport Saint Exupéry (Lyon), 7H30, passage de la douane (les portiques etc), devant moi, il y avait un couple BCBG, la soixantaine pour le monsieur, la dame, environ 50/55ans avait des bottes noires brillantes genre cuissardes, une jupe kilt noir et blanc, plus court que ne l’aurait permis son âge, un haut en dentelle noir sur un décolleté, un blouson noir assorti aux bottes et un manteau très long en daim qu’elle tenait au bras.

J’avais donc l’œil très vagabond, qui allait du décolleté à la jupe, espérant le miracle…

Et il eut lieu ! Au portique, Mme « sonne ». La voilà qui enlève bagues et bijoux. Elle me sourit l’air de me dire, « pensez si j’ai l’air d’une terroriste », je lui répond d’un autre sourire qui bien que complice devait exprimé la lubricité plus que mon accord et elle a soutenu mon regard, juste une seconde de plus, une seconde de trop… du moins je l’ai pensé.

C’est le feu au compteur (le mien) que je l’ai revue passer le portique et miracle… il sonne à nouveau.

Le vigile lui demande d’enlever ses bottes, ce qu’elle fait devant à moi et elle me dévoile des bas assez hauts montés, et de superbes fesses bronzées séparées par un mince string noir. Inutile de vous dire que mon sang n’a fait qu’un tour, il y avait une manifestation dans la guérite mais l’estocade, c’est quand elle s’est retournée et m’a fait un coup d’œil en me souriant. Là, je regarde son mari…qui me sourit aussi !

OUF, le portique ne sonne plus et Mme peut remettre ses bottes. Ô joie, j’ai oublié de sortir mon ordi de mon sac, je prends donc le temps, bien entendu de le sortir, mais surtout de mater Mme qui s’est assise face au portique en remettant ses bottes et en profite pour montrer l’outrecuidance de ce string à s’ingérer dans ses affaires, impudique.

Nouveau sourire provocant et soutenu. Je passe moitié rouge, moitié souriant, moitié compote de pomme.

Chance, il vont dans la même zone que moi, mais pas le même avion. Je n’hésite pas à me mettre bien en face d’eux et mate plus qu’indiscrètement la dame qui m’aide à bien voir. Le Monsieur me demande :

– Vous aimez ?

Je lui réponds poliment :

– C’est fantastique !

Il me glisse :

– Vous aimeriez y toucher ?

et je me suis entendu répondre dans un brouillard :

– Ha ça oui alors mais pas facile ici non ?

Alors le Monsieur se lève et demande :

– Chantal, tu peux accompagner Monsieur ?

Chantal murmure

– Avec plaisir, vous pouvez laisser votre valise ici, mon mari la gardera.

Nous voilà partis dans le hall, direction ?….les toilettes dames, politesse (et discrétion) oblige. Après la porte principale des toilettes, personne dans le lieu, j’en profite pour passer rapidement la main sous cette jupe. Mme s’arrête et se cambre en ouvrant les jambes pour me laisser mieux toucher. Vous dire que je bande est au dessous de la vérité. J’avais une trique monstrueuse.

Elle me dit :

– Viens dans une cabine !

J’ai rarement été aussi obéissant.

Là, elle s’assoit sur la lunette, enlève sa culotte, la met dans ma poche de pantalon en me susurrant

– T’as l’air en forme dis donc !

Puisqu’elle était sur les lieux du crime, elle en profite pour ouvrir ma braguette et sortir (difficilement et douloureusement car il était coincé sous la ceinture) mon sexe que je ne connaissais pas si dur depuis des années. Sa bouche était un délice de pompage, chaude, douce et j’ai adoré regarder son rouge à lèvre aller et venir, lentement sur mon sexe, sa main me caresser doucement les boules. J’étais tellement excité que je n’ai pas pu me retenir. Elle a bu jusqu’à la dernière goutte, sans arrêter, j’avais l’impression de lui en vider des litres tellement s’était bon.

Quand elle a senti mes actions en baisse, elle me demande :

– Et pour moi, il te reste quelque chose ?

Grand moment de solitude où l’homme doute de ses capacités. Je prends mon courage à deux mains et lui demande de me laisser la place. Pantalon aux chevilles, je m’assois à mon tour sur les toilettes (chaudes et sèches), et je la lèche, (sexe absolument lisse, épilé), elle se retourne et j’en profite pour lui lécher l’anus, profondément,

– Oui, encore, caresse moi en même temps.

J’introduis un doigt dans sa chatte et je constate qu’elle est déjà en train de travailler le sujet. Comme je suis de bonne composition, je l’aide.

Ô miracle, je rebande (rarissime à mon âge). Alors, j’essaie de me lever et elle me dit

– NON, attends !

Elle se retourne, me suce rapidement en se baissant comme elle peut, (je pense pour humecter la bête) et elle s’empale, jusqu’à la garde, tête en arrière. Je sens ses « lèvres » chaudes descendre sur mon sexe et elle commence, lentement et régulièrement le va-et-vient. Je suis encore en pleine forme mais je me demande si je vais tenir. Je sens la dame qui accélère et s’humidifie, impatiente, elle me demande essoufflée

– T’as pas envie de jouir ?

Devant ma gêne, je suppose qu’elle comprend que j’ai l’âge de son mari et que l’affaire n’est pas gagnée. Alors, elle change de trou. Elle s’encule, sans hésitation, d’un seul coup et le va-et-vient est plus brutal. Puis elle change, alternant la chatte et l’anus. J’ai joui très rapidement, j’en avais mal au sexe, tellement il était tendu et pour les curieux, c’est l’anus qui a gagné ! 

Vas040805C


Dans ma tête, plusieurs pensées (mon avion, quelle heure est il ? que faire maintenant avec mon encombrant colis). Elle devait avoir ses habitudes car gentiment elle s’est désempalée, une petite goutte de sperme a coulé sur ma cuisse, a pris du papier pour s’essuyer. J’étais assez gêné car mon sexe arborait des traces blanches de sperme et autres… et des traces et petits bouts marrons/noirs… je vous rappelle que je sors de son anus. Elle se baisse (je pense qu’elle va m’essuyer avec son papier, berk) mais elle me reprend le sexe en bouche et me le laisse comme un sou neuf, en ayant tout avalé. Quand elle pense avoir fini, elle fait claquer sa langue, souriante, comme après un bon repas.

 

Là, elle m’embrasse goulûment et me souhaite « bon voyage ». Elle s’en va. Rien pu dire, rien pu faire, pantalon aux chevilles, assis sur mon chiotte…

Le temps de me refaire, je rejoins le monsieur souriant, Chantal est à son bras. Il me donne sa carte et me dit qu’il serait heureux de me revoir et que « rares sont ceux qui ont pu enculer ma femme, il faut qu’elle vous apprécie » ils sont prêts à embarquer. Poignée de main à lui, bise rapide sur la bouche à elle…

Et puis je repense, elle a oublié son string dans ma poche, superbe trophée, elle est donc cul nu !

Je tiens à vous dire que c’est VRAI, c’est récent, et c’était BOOOOON…

VOYAGEUR

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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Vendredi 21 juillet 2023 5 21 /07 /Juil /2023 08:23

Daisy par Alexandre_2

 

avion fa

…Aujourd’hui, je vous envoie une histoire de mon cru, déjà publiée sur
le site Revebebe sous le titre « Mme Besson » et mon pseudo Alexandre.
A le demande d’une amatrice du Nord de la France, Daisy, que j’ai connue par
votre intermédiaire, j’ai adapté cette histoire et illustré de ses propres
photos, avec son accord…. Alexandre

Depuis le début de juin, les nuages boudent notre beau pays, peut être au
profit d’un autre, un peu plus septentrional !
Un magnifique soleil darde donc ses chauds rayons sur l’ensemble de la
France et la canicule s’installe doucement, mais sûrement, avec quelques
semaines d’avance.

Je m’appelle Jean-Marc et je travaille dans l’aéronautique, dans le Nord de
la France. Mon travail est très intéressant, mais il m’oblige, un peu trop à
mon goût, à rester enfermé devant un ordinateur, de longues heures, dans un
bureau qui attend toujours son climatiseur !
Je suis justement en train de baigner dans une douce moiteur lorsque le
téléphone sonne :

– » Allo, oui, c’est moi (c’est ma femme), tu rentres à quelle heure ?
 »

Un étranger mal informé pourrait penser que je lui manque (à ma femme,
pas à l’étranger)
 et qu’elle a hâte de me voir revenir à la maison après
cette rude journée de labeur. En fait, il n’en est rien, elle a certainement
un petit service à me demander…
– » Je ne sais pas…, pourquoi ?  »
– » J’emmène Elodie (c’est notre fille) chez Daisy, est-ce que tu
pourras la prendre en rentrant, si ce n’est pas trop tard ?  »

Daisy01Daisy est la dentiste et l’amie de la famille. Elle a connu
les dents de lait des enfants et connaît presque tout de nos problèmes
buccaux. C’est une belle femme, pas très grande, dotée d’une belle poitrine,
un visage ouvert et sympathique éclairé par de beaux yeux bleus coquins.

– » Compte tenu de la température qui règne dans mon bureau et du boulot
qu’il me reste, je pense que je ne vais pas tarder à faire riper les
galoches (c’est une expression que j’aime bien, qui veut dire, pour ceux
qui par hasard n’auraient pas saisi,  » je ne vais pas tarder à partir »)
« 

– » Ça ne te dérange pas de la récupérer alors ?  »

– » Bien sur que non, et en plus il faut que je prenne un rendez vous pour
moi. Il y a une longtemps que je ne suis pas allé voir cette chère Daisy  »

 » Cette chère Daisy  » n’est pas une expression ironique. Il est loin le
temps où j’avais la terreur des dentistes. Avec l’age, (la cinquantaine bien
entamée, je ne suis donc pas un perdreau de l’année) cette peur panique
s’est quelque peu estompée. Je pense que c’est plus en raison de
l’amélioration des techniques qu’à une sagesse qui me serait tombée
soudainement dessus. Cependant, il me reste comme un certain respect
craintif vis-à-vis de cette corporation médicale qui passe sa vie au bord
des bouches grandes ouvertes. Il en faut du courage et de l’abnégation…

– » Très bien (c’est toujours ma femme qui parle). Je l’emmène vers
16h30, ce serait bien que tu passes vers 17h.  »
– » Pas de problème, j’y serais  »
– » Merci, cela m’arrange bien car j’ai encore un tas de choses à faire, à
tout à l’heure, bisous  »

Clic

J’adore ma femme. Elle ne travaille pas officiellement mais en fait elle
est encore plus occupée que moi. Entre les associations et ses diverses
activités, je peux dire, sans mentir, qu’elle travaille plus que moi.

Pendant que je vous explique tout ça, le temps passe…

My god ! (Souvenir de mes études d’anglais) Il est déjà 16h50. Il ne
faut pas que je traîne. On est à la campagne mais il arrive parfois que cela
bouchonne un peu à l’entrée du village (un bouchon à faire éclater de
rire les parisiens)

De plus, en cette saison, les tracteurs chargés de foin qui roulent à 20
km/h sont fréquents.

Mes appréhensions n’étaient pas fondées et me voilà, presque à l’heure,
devant le cabinet dentaire.
Elodie m’attend sagement dans la salle d’attente :
– » Bonjour Papa, je suis prête, on peu y aller…  »
– » Attends une minute, il faut que je prenne un rendez-vous pour moi, je
n’en ai pas pour longtemps  »
– » OK, donne moi tes clés, je t’attends dans la voiture  »

Au moment où j’allais m’adresser à la secrétaire, la porte du cabinet
s’ouvre et Daisy apparaît pour faire entrer le patient, plus exactement la
patiente suivante. Elle me voit et sourit.

– » Tiens… Jean Marc, il y a une éternité que je ne t’ai pas vu, étais-tu
fâché ?  »
– » Pas du tout, d’ailleurs je profitais de la consultation d’Elodie pour
prendre un rendez vous pour moi  »
– » Très bien, dans ce cas, à bientôt…  »

Et elle disparaît, non sans avoir au préalable, fait entrer dans son
repaire, une grosse dame qui visiblement souffrait autant de la chaleur que
de ses dents !

J’obtiens un rendez vous pour le surlendemain à 18h.

En reprenant ma voiture, dans laquelle Elodie patiente en écoutant Fun Radio
plein pot, je pense à Daisy. Mais qu’a-t-elle donc de changé ? Je la trouve
différente. Peut être est-ce dû au fait que je ne l’ai pas vu depuis…depuis
combien de temps, je ne sais plus ! …


-« … Depuis deux ans ! (C’est Daisy qui parle). Tu n’es pas très
fidèle. Ce n’est pas raisonnable ! Il va peut être falloir venir me voir à
plusieurs reprises dans les jours qui viennent  »

Je suis effectivement un mauvais exemple. Moi qui pousse mes enfants à
consulter au moins deux fois par an, je ne suis pas pardonnable.

– » Deux ans ! Tu es sûre ?  »
– » Absolument. Je ne suis pas douée en informatique mais mes archives sont
formelles, ta dernière visite remonte à octobre 2001. Il faisait moins chaud
qu’aujourd’hui !
– » C’est vrai, je m’en souviens c’était pour un détartrage et un bilan  »
– » Eh bien nous allons recommencer, en espérant que ce ne sera pas plus
important, installe toi  »

Pendant que je prends place sur son fauteuil horizontal, je la regarde à la
dérobée, et je repense à la réflexion que je me suis faite deux jours plus
tôt, en me demandant ce qui avait bien pût changer en elle. Peut être la
coiffure ? Non, elle a toujours les cheveux courts, châtains, avec quelques
mèches plus claires.
Il émane de sa personne une fraîcheur, une sensualité qui m’a toujours plu.
Ses yeux sont brillants et le sourire enjôleur comme d’habitude. Peut être
est-elle amoureuse et y a-t-il du nouveau dans sa vie affective ?
J’ai toujours entretenu avec elle des rapports distants, sans toutefois
m’interdire à l’occasion une petite plaisanterie, tout en restant, bien sûr,
très correct.
Le fait de la voir ainsi, souriante, m’incite à lui faire un petit
compliment.

– » En tout cas, tu es toujours aussi attirante !  »

Daisy02– » Tu es gentil !  »
Elle rosit un peu, ajuste son masque et se concentre sur son travail…

– » Ouvre la bouche…  »

Le masque blanc souligne son regard et met en valeur ses beaux yeux bleus
Je ne sais pas si c’est l’intensité de mon regard mais le sien quitte un
instant ma bouche pour me fixer l’espace de quelques secondes.
Son regard est interrogateur. Je sent comme une complicité, mais je me
trompe peut être…
Ma bouche grande ouverte ne me facilite pas la tâche pour ajouter quoi que
ce soit. Je me décontracte un peu, elle le sent et je vois ses yeux
esquisser un beau sourire qui n’a rien de professionnel.

Comme souvent la conversation s’oriente vers le temps qu’il fait.

– » Toi qui est bien renseigné, est ce que cela va durer longtemps cette
chaleur ?  »
– » Ontontpon….  »
C’est dur de parler avec les doigts de quelqu’un d’autre dans la bouche.
Elle suspend son travail le temps de la réponse :
– » J’en ai peur ! Pourquoi tu ne supportes pas ?  »
– » Difficilement, mon climatiseur commence à se faire vieux et je suis tout
de même bien obligée de rester correctement habillée pour recevoir mes
patients.  »
– » Dommage…ce serait pour moi une bonne raison pour venir te voir plus
souvent !  »

Celle-là est sortie sans réfléchir et soudain j’ai un peu peur de sa
réaction. Elle sourit.

– » Cela ne te plairait peut-être pas…  »
– » C’est à moi de juger…  »
– » Bon, hum, restons sérieux, je voudrais commencer. Ouvre la bouche !  »

J’aime bien la façon qu’elle a de dire  » Ouvre la bouche !  » comme elle
dirait  » Déshabille toi !  »

– » Tu as besoin d’un petit détartrage, mais à part cela tout va bien, je
vois que tu suis mes conseils de brossage  »

Tout à ma réflexion je lâche :
– » Daisy, tes conseils sont pour moi des ordres  »

Elle ne relève pas cette nouvelle tirade si ce n’est par un demi-sourire que
je devine sous le masque.

– » Nous allons donc commencer ce petit détartrage…  »

Pour se saisir d’un instrument, elle se penche vers moi et l’espace d’un
instant, trop court à mon goût, je sent contre mon bras le poids de son
volumineux sein gauche qui malgré tout, s’attarde un peu plus qu’il n’est
nécessaire. Serait-ce volontaire ?
Ce contact est on ne peut plus ferme !
Elle commence l’opération et je ne peux plus rien dire pendant plusieurs
minutes.
Elle est très habile et je ne sens rien malgré la petite appréhension qui me
revient. Elle se rend compte de ma crispation et fait une petite pose que je
mets à profit pour me rincer la bouche.

– » Il faut te détendre Jean-Marc, je ne vais pas te faire de mal  »
– » Je le sais bien mais je suis un peu stressé.  »
– » Comment ça, c’est moi qui te stresse ? Depuis le temps que l’on se
connaît …  »
– » Justement, c’est ce que je suis en train de découvrir, je pensais te
connaître mais en fait je ne t’avais jamais très bien regardée !  »
– » Ah bon, cela n’est pas vraiment un compliment !  »
– » En réalité, c’est ta tenue de travail qui m’intimide et cache l’essentiel
!  »
– » Tu exagères, il n’y a dessous qu’une femme comme les autres…  »
– » Que tu dis… Moi je te trouve bien différente et ne demande qu’à partir à
la découverte…  »
– » On recommence à s’égarer…! Moi aussi je pensais te connaître et je te
découvre sous un jour que j’ignorais. Tu me sembles être un petit coquin…  »
– » Je t’ai choquée ?  »
– » Pas le moins du monde, étonnée, pas plus  »

Elle termine cette première séance et nous prenons rendez-vous pour le
vendredi suivant.

Ce jour là, je suis le dernier patient et la secrétaire a terminé son
service, c’est donc Daisy elle-même, qui m’accueille.
– » Bonjour, Jean-Marc, comment vas-tu depuis notre dernière rencontre ?  »
– » Très bien malgré la canicule, et toi ?  »
– » Cela ne s’arrange pas. Le climatiseur a rendu l’âme et le réparateur ne
peut pas venir avant la semaine prochaine.  »

Effectivement, il fait une douce chaleur dans son cabinet et je constate
qu’elle a le visage constellé de très fines gouttes de sueur, ce qui n’ôte
rien à son charme qui m’apparaît de plus en plus évident.

Daisy03Je constate également que son chemisier blanc, d’ordinaire
boutonné très haut, ne l’est plus sur les trois derniers, au niveau de sa
plantureuse poitrine.
Comme elle suit mon regard elle ajoute :
– » Excuse-moi, j’ai été obligée de me mettre à l’aise. Mais comme tu me l’as
avoué la dernière fois, il semble que cela ne te gêne pas…  »
– » Non, au contraire !  »

Le petit jeu des sous-entendus et regards semble lui convenir mais je décide
de ne pas trop en rajouter et me contente de cette seule remarque.

– » Installe-toi, nous allons reprendre là où nous en étions la dernière
fois. Cette fois je voudrais que tu sois complètement détendu.  »

Je ne peux pas résister à ce genre d’allusion aussi, dis-je sans trop y
réfléchir :
– » Je connais une bonne méthode pour détendre un homme…  »
– » Moi aussi, mais ce n’est pas remboursé par la Sécurité Sociale !  »

Elle vient de marquer un point et semble satisfaite de sa répartie.

Pendant que je m’allonge elle cherche quelque chose dans le tiroir d’un
meuble bas.
Ce qui fait bailler largement le chemisier qui n’en demandait pas tant.
Pour le coup, c’est moi qui suit bouche bée !
Effectivement, Daisy s’est mise à l’aise ! Elle ne porte strictement rien
sous son chemisier immaculé.
Du coup j’adore la canicule.
La recherche dure un peu et, pétrifié, je ne peux détacher mon regard de
deux seins magnifiques qui sont lourds et de bonne tenue. Mes pensées
partent à l’aventure et je sens une partie de moi-même devenir un peu à
l’étroit dans son emballage.

Tout en restant penchée, Daisy me demande :
– » Est-ce que cela te détend ?  »
– » Pardon ?  »
Perdu dans mes pensées et tout à mon observation j’ai cru avoir mal compris.
– » Est-ce que cela te détend ? Je parle de ce que tu es en train de regarder
avec insistance »
Surpris comme un petit garçon fautif je ne réussis qu’à bredouiller :
– » Euh…je ne sais pas, enfin…pas vraiment  »
– » Moi j’ai l’impression que cela te fait l’effet inverse  »
Placé comme je le suis, je ne peux effectivement pas cacher que ce spectacle
a beaucoup d’effet sur moi.
Après avoir trouvé ce qu’elle cherchait, elle se redresse, me regarde en
souriant et dit :
– » Allons-y, ouvre la bouche.  »
Elle y colle l’aspirateur à salive qui empêche dorénavant toute
conversation.
J’ai l’impression que c’est elle, désormais, qui mène les opérations et
après tout ce n’est pas pour me déplaire.
Pendant qu’elle s’active dans ma cavité buccale son regard fait
l’aller-retour entre mes dents et mes yeux et je sens bien qu’elle jubile.
Elle repasse à l’offensive :
– » Je ne sais pas si je te détends mais ce qui est sûr, c’est que je te fais
saliver !  »
Nouveau point, d’autant plus que je ne peux pas répliquer. Elle enlève
l’aspirateur de mes lèvres et demande soudain :

– » Il fait de plus en plus chaud…Est-ce que je peux te demander une faveur ?
 »
– » Euh…oui  »
– » Compte tenu que je n’ai plus rien à cacher à ce niveau est ce que cela te
gêne si j’ôte mon chemisier ?  »
– » Euh….euh…je ne….  »
– » Faut-il prendre cette réponse pour une approbation ?  »
– » Euh…  »
Je me filerais des claques si j’osais !
Avant d’obtenir une réponse claire, elle déboutonne son chemisier, l’enlève
et le pose délicatement sur le dossier de son siège.
– » Après tout, c’est bientôt les vacances, tu en verra tout autant sur les
plages. »
– » Je ne fais pas de naturisme, mais je suis très souvent seins nus sur la
plage. Je suis d’accord, nous ne sommes pas vraiment sur la plage, mais nous
sommes entre adultes raisonnables, et je sais que je peux avoir confiance en
toi et ta discrétion »
– » Tu as peut-être tort…  »
– » A quelle niveau ? La confiance ou la discrétion ?  »
– » La confiance. Peut-être vais-je te sauter dessus !  »
– » Je suis de taille à me défendre s’il le fallait ! Ouvre la bouche ! »
De nouveau l’aspirateur empêche tout échange.
– » Tourne la tête vers moi  »
Là elle pousse le bouchon un peu loin ! J’ai sous les yeux, à quelques
centimètres, ses seins qui sont effectivement très beaux, avec de très
larges aréoles brunes qui contrastent avec leur blancheur laiteuse. Les
pointes de ses tétons sont dressées, longues, exactement comme je les aime.
A mon avis, c’est intentionnel, elle veut tester ma résistance.
Pour l’instant je me gave de la vue de ces deux globes, mais mon dieu que
j’aimerai les toucher !
Je suis de plus en plus à l’étroit !

– » Comment les trouves tu ?  »
– » Hein ?  »
– » Je te demande ce que tu penses de mes seins ?  »
– » Et bien je les trouve à mon goût  »
– » Comment peux tu dire ça alors que tu n’y a pas encore pas goûté ? »

Daisy04Très subtile, décidément, elle teste et provoque.

– » Je ne me permettrait pas de tels égarements…  »
– » Tu as tort !  »

Dernière aspiration buccale, rinçage, crachage.
– » Voilà, j’en ai terminé pour aujourd’hui  »

Avant que je n’ai pus dire un mot elle réajuste son chemisier et s’assoit à
son bureau pour chercher dans son agenda une date pour les prochains soins.

– » On se revoit jeudi soir en dernière heure ?  »

Je bredouille un petit :
– » D’accord, même endroit, même heure…  »
– » Sans oublier : même tenue  » Elle a un large sourire et me serre la main.

Avant de me laisser franchir la porte, elle se penche à mon oreille et me
glisse :
– » Pas trop dur, tu vas pouvoir marcher jusqu’à ta voiture ?  »

J’ai un sourire crispé.
Je me traite de tous les noms en regagnant ma voiture, j’ai été en dessous
de tout. Elle a mené le jeu, je n’ai pris aucune initiative et je l’ai sans
doute déçue. Elle va penser qu’elle ne me plait pas alors que je ne vais pas
arrêter de penser à elle et à sa magnifique poitrine jusqu’à notre prochaine
rencontre.

Les jours sont longs jusqu’au jeudi et ce jeudi encore plus !

– » Bonjour Jean-Marc. Entre.  »

Elle est resplendissante et arbore un magnifique sourire carnassier, une
vraie publicité pour dentifrice.
Il fait presque aussi chaud que la dernière fois dans le cabinet, mais
est-ce pour me déplaire ?

– » Les réparateurs de la clime sont venus mais ce n’est encore pas
extraordinaire ! Il va falloir encore travailler en petite tenue  »
– » Faites comme chez toi  »
– » J’avais hâte que ce rendez vous arrive ! C’est la canicule, c’est
entendu, mais il est totalement hors de question que je me mette à l’aise
avec madame Michu ou monsieur Martin, que je voudrai bien garder comme
clients. En vérité il faut, que je te fasse une petite confidence, installe
toi.  »

Je m’allonge sur le fauteuil et avant que j’ai pu placer un mot, elle
reprend :
– » J’avais depuis très longtemps une envie, en réalité c’est ce que l’on peu
appeler un fantasme. Je suis une exhibitionniste née. Tu connais notre
ville, il est hors de question que je me ballade en tenue légère dans les
rues, d’autant plus que tout le monde me connaît. Avec toi, j’ai senti comme
une ouverture.
Détend toi !  »

Sur ce en deux temps, trois mouvements, elle se débarrasse du chemisier, de
sa courte jupe et apparaît vêtue uniquement d’un tout mignon slip en
dentelle, genre string qui ne cache pas grand-chose ni devant ni derrière.

– » Alors, qu’en penses tu ?  »

Un peu plus sur de moi que lors du dernier show, je lance :
– » Je te promet de venir te voir plus souvent pour les soins…  »
Elle sourit et pour me remercier de cette promesse elle enlève ce petit bout
de tissu qui ne cache en vérité pas grand-chose.
Daisy ne succombe pas à cette mode idiote qui consiste à épiler et raser ce
que la nature nous donne. J’aime bien la pilosité et visiblement elle non
plus n’a rien contre.

– » Bien, reprenons, ouvre la bouche !  »

De sentir cette belle femme près de moi dans le plus simple appareil me fait
bander comme jamais et je suis en train de tremper copieusement mon slip !
Il va falloir remédier à cela !

Profitant d’une pose je lui avoue que je suis dans tous mes états et que
j’aimerai me mettre un peu à l’aise.

– » Je n’osais pas te le proposer  »

Je me lève, enlève ma chemise, mon pantalon, mon slip et me rallonge sur le
fauteuil affublé de mes seules chaussettes blanches.

– » Effectivement tu devais être à l’étroit dit elle en jetant un œil vers
mon sexe tendu. Et en plus il pleure ! Je vais le consoler…  »

Délaissant ses soins buccaux habituels, elle entreprend un nettoyage buccal
complet de mon petit service.
Daisy n’est pas plus débutante en fellation qu’en détartrage !

Daisy05Le fauteuil de dentiste, c’est super à ce point de vue. Il
permet de mettre le patient à la bonne hauteur et facilite le travail du
praticien.

Comme je ne suis pas égoïste, j’entreprends une aspiration systématique et
alternée des tétons turgescents de Daisy qui manifeste sa satisfaction par
de petits cris, en partie étouffés par mon sexe qu’elle tète à présent sans
aucune retenue.

La position allongée m’étant fort confortable et je me rend soudain compte
que ma main droite est disponible. La gauche s’occupant des mamelles de ma
belle soignante.
Aussi, glisse-je ma main droite, doucement derrière la jambe gauche de ma
belle suceuse et remonte lentement vers l’intérieur. Sentant cette
investigation, elle facilite ma tâche en écartant légèrement les cuisses.
Parvenu à destination, je constate qu’elle est trempée et bouillonnante à
souhait. Mes doigts investigateurs provoquent un clapotis obscène et
arrachent à ma tortionnaire un soupir à fendre l’âme.

Daisy est consentante !

Evidemment le traitement qu’elle me fait subir porte ses fruits et je me
surprends à expédier plusieurs violentes giclées dans sa bouche.
Voilà un dentifrice qui n’est pas prescrit par la Faculté !

– » Jean-Marc, tu es un petit égoïste !  »

Elle s’est redressé et me regarde amusée, tout en passant sa langue sur ses
lèvres.

– » Nous allons vérifier si le fauteuil qui m’a coûté si cher est réellement
solide !  »

Sur ce, elle met le système à l’horizontale et me voilà au premières loges
pour regarder ce qui tout à l’heure provoquais un tel clapotis !
J’ai sous les yeux le magnifique sexe touffu de Daisy que je n’aurai jamais
pu imaginer aussi beau, même dans mes rêves les plus débridés.
Ses petites lèvres sont d’un rouge vif, échauffées par l’excitation.
Sa vulve brûlante est une puissante invitation et je ne résiste pas
longtemps à y plonger la langue avec délice. C’est doux, chaud, humide,
odorant, dégoulinant et délicieux à souhait.
A ce moment là, la terre pourrait s’arrêter de tourner je ne m’en rendrait
pas compte tellement le plaisir est complet.

Comment décrire fidèlement ce qui m’est si généreusement offert ? Comme je
l’ai précisé plus haut, elle ne pratique pas l’épilation intime et c’est une
vraie brune ! Moi qui aime les chattes poilues je suis aux anges, c’est un
vrai bonheur. Sa toison recouvre largement son sexe, déborde sur le haut des
cuisses et donne à sa raie culière un aspect soyeux des plus craquants ! On
ne sait comment aborder ce paradis des cinq sens. Il y en a pour la vue, le
toucher, l’odeur bien évidemment, le goût, l’ouie (ah, le délicieux clapotis
lorsque mes doigts investissent son intimité !).
Son magnifique minou me fait penser à ce splendide tableau qui fit scandale
en son temps et qui s’appelle  » L’origine du monde  »

Pendant mon observation, mes mains ne restent pas inactives, mais devant
tant de trésors offerts, ne savent plus où donner de la phalange !
Je caresse, je palpe, je pince (avec différentes intensités), je soupèse,
j’introduis, je tâte.
En vérité, je teste ses réactions pour faire plus ample connaissance et voir
ce qui lui plait. Je suis aux aguets de la moindre contraction, le moindre
soupir, la plus petite crispation, le plus imperceptible relâchement ou
mouvement dans ma direction, destiné à me faire comprendre que ce que je
suis en train de faire, lui convient.
Un proverbe dit :  » Méfie toi de l’eau qui dort, c’est la plus profonde !  »
Je ne suis plus à l’age des premières expériences et j’ai beaucoup donné et
reçu dans ce domaine et plus le temps passe, plus j’aime me consacrer
entièrement au plaisir de ma partenaire, encore plus que celui qu’elle me
procure.

Daisy, de son côté, n’est semble-t-il plus une novice !

Le traitement qu’elle est en train de faire subir à ma verge en est la
preuve. Quand je dis  » verge « , le terme est quelque peu restrictif car pour
l’heure ma dentiste est affairée à gober mes testicules, l’un après l’autre
en les faisant rouler délicieusement de sa langue, à un point tel que je me
demande par instant si elle n’a pas deux langues !
Je ne vais pas pouvoir tenir la distance si elle persiste !
Pour ne pas prendre trop d’avance sur elle, je délaisse le spectacle de son
cul pour prendre d’assaut son petit clitoris. Que dis-je ? En réalité le  »
petit clitoris  » ressemble plus à un petit gland masculin. Pour l’heure le
magnifique bouton de Daisy est cramoisi, gorgé de sang à l’instar de ses
petites lèvres rouge foncé qui disent bien l’état d’excitation de leur
propriétaire, c’est superbe !
Je pose donc le bout de ma langue à la commissure de ses petites lèvres et
se sens une onde de chaleur qui émane de ce bout de chair. Je le pince entre
mes lèvres et je constate qu’un grand frisson lui parcours l’échine, je ne
suis pas surpris mais elle a l’air d’aimer le traitement que je lui fais
subir. Encouragé par cette réaction je me mets à téter de plus belle,
j’aspire de mes lèvres et masse la petite excroissance qui roule
délicieusement sur ma langue affolée par le goût de son jus.

Daisy se liquéfie !

Devant cet assaut elle n’offre plus de résistance et cesse de son côté toute
activité pour se concentrer sur son propre plaisir qui se manifeste par une
abondante sécrétion de cyprine qui me dégouline sur le menton. Je perçois
ses gémissements étouffés, sa bouche est contre ma peau, entre scrotum et
anus.
Encouragé par ces manifestations, je redouble d’activité. Le tout va
crescendo, plus je me démène, plus elle dégouline, plus cela m’excite et
m’incite à me démener.

Daisy ne bouge plus, elle est tendue comme un arc, attentive à la vague de
plaisir qui grossit et grossit encore et qui ne va pas tarder à déferler. Je
pousse ma langue au plus loin à l’intérieur de son vagin et m’en sert comme
d’une petite verge. J’en ai mal aux mâchoires mais c’est trop délicieux,
c’est un peu salé mais c’est un divin nectar dont je prendrai volontiers,
une bonne rasade chaque matin en guise de petit déjeuner !
Pendant encore de longues minutes, je m’active encore à la source de ma
victime consentante. Elle ne se manifeste plus que par de longs soupirs et
de tous petits cris d’approbation. Soudain, tout son corps tout entier se
met à vibrer. Une longue giclée de jus me coule sur la langue, et soudain,
totalement détendue, Daisy, libère ses entrailles d’un long pet sonore,
suivi de quelques autres plus discrets qui se suivent en mitraille. Nous ne
bougeons plus et dans le silence du cabinet, j’entends un petit rire nerveux
et son corps, toujours au dessus de moi est secoué d’un petit accès de
gaîté.
Sa tête est toujours entre mes cuisses,

– » Excuses moi  »
– » Je t’en prie, c’est tout naturel  »
– » J’espère que je ne t’ai pas choqué ?  »
– » Du tout, je prendrai même cela pour un compliment…  »
– » Jamais je n’aurai imaginé un jour péter au nez d’un de mes patients !  »
– » Le contexte est particulier et pour l’heure, suis réellement dans la
position d’un patient classique ?  »
– » Effectivement, en principe, les caries ne se situent pas à ce niveau !  »
et elle est reprise par son petit rire nerveux.

Elle descend du fauteuil et constatant une demi berne à mon entrejambe,
s’exclame :

– » Il va falloir que je m’en occupe car il a été abandonné en chemin  »

Elle installe son siège à la bonne hauteur et avant que je ne réponde quoi
que ce soit, la voilà qui englouti mon sexe. Sous ce traitement, il reprend
une forme plus conquérante. La satisfaction se lit dans son regard et elle
me suce de plus belle.
Quel travail ! Elle pourra donner des cours le jour où son métier ne lui
conviendra plus ! Je veux bien être son assistant.
Je me laisse aller à son doux traitement qui arrive très rapidement à ses
fins.
Sentant venir les spasmes, elle creuse les joues de plus belle pour hâter
mon éjaculation. Mon sexe prisonnier de sa bouche gourmande se libère
violemment de son foutre en longues saccades. Je n’en verrai pas une seule
goutte ! Daisy a horreur du gâchis et ne veux pas que je souille sa belle
moquette.

– » Voilà qui est mieux ! Je vais pouvoir reprendre ton détartrage en toute
décontraction.  »

Sur ces mots nous nous réinstallons pour terminer cette consultation mais
dans le plus simple appareil.

– » Au fait, quand m’emmènes tu faire un petit tour d’avion ?  »
– » Ton jour sera le mien, mais en ce moment il fait très chaud, même en
altitude  »
– » Si tu le permets, je me mettrai à l’aise ! D’autant plus que personne
d’autre que toi, ne pourra me voir !  »
– » Dans ce cas pourquoi pas samedi matin, ton cabinet est fermé ce jour là ?
 »
– » D’accord  »

Elle termine son travail, nous nous rhabillons et elle me raccompagne
jusqu’à la sortie, me serre fort civilement la main et me souhaite une bonne
soirée.

– » A samedi  »
– » A samedi  »

Le samedi matin, nous avons rendez-vous, Daisy et moi à l’aéro-club où j’ai
mes habitudes.
J’arrive un peu en avance pour préparer l’avion, effectuer la visite avant
vol et vérifier que tout va bien.
Malgré la matinée peu avancée il fait déjà très chaud et j’ai opté pour une
tenue on ne peut plus décontractée, short, tee-shirt et chaussures de sport.
Le short est loin d’être un bermuda et il me couvre juste les fesses, mais
je ne pense pas que Daisy soit choquée.
Elle n’est toujours pas arrivée et je commence à m’inquiéter lorsque je vois
arriver une Twingo bleue qui se gare devant le parking de l’aéro-club. C’est
bien elle.

J’avais tort de m’inquiéter sur ma tenue car de son côté elle s’est
également mise en tenue légère et c’est un euphémisme !
Elle a passé une jolie jupette qui ne couvre pas grand-chose de ses jambes
qui sont fort agréables à regarder.
Pour couvrir son abondante poitrine, elle a choisi un léger boléro assorti
qui à beaucoup de mal à cacher qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.
Est-ce la perspective de s’envoyer en l’air, euh, je veux dire, faire une
promenade en avion, toujours est il que ses tétons sont bien visibles sous
le tissu très fin.

Elle descend de voiture et l’espace d’un instant il me semble entrevoir un
slip noir mais ai-je bien vu ? Je ne pourrais l’affirmer.

– » Bonjour Jean-Marc, j’espère que je ne suis pas trop en retard !  »
– » Pas du tout, j’ai eu le temps de tout préparer on va donc pouvoir y
aller, d’accord ?  »
– » Maintenant que je suis au pied du mur, je dois avouer que j’ai un petit
peu peur en avion, j’espère que tu seras prudent…  »
– » Ne t’inquiète pas, je prendrai soin de toi. Tout d’abord nous allons
jeter un œil sur la carte pour que je t’explique notre itinéraire et
ensuite, je t’aiderai à t’installer à bord, car comme tu peux le constater,
mon avion n’est pas un Airbus !  »
– » Oh effectivement il est tout petit ! On va bien se tenir chaud là dedans,
heureusement que je me suis mise à l’aise…  »

Je lui explique les détails de notre promenade et lui montre comment monter
sur l’aile de l’avion pour pouvoir s’installer sur le siège avant.
Elle s’exécute, alors que je reste derrière elle au pied de l’avion pour
parer à toute éventualité.
Pour faciliter l’opération, elle remonte un peu sa jupe, si bien que je
constate, à mon grand émoi, que ce que tout à l’heure j’avais cru prendre
pour un slip noir n’est en fait que son abondante toison.
Fort heureusement, compte tenu de l’heure il n’y a pas un chat (si chose
dire) aux alentours.
L’installation à bord est à l’avenant.
Ce petit avion possède pour le piloter, ce que l’on appelle communément un  »
manche à balai « , que ce soit côté pilote ou côté passager, précisément là
où elle tente de s’installer avec force contorsions. Elle fait si bien
qu’elle se retrouve les fesses sur le siège, la jambe gauche à sa place de
l’autre coté du  » manche  » mais la jambe droite elle, n’est pas encore à
bord !
Comme entre temps je suis monté sur l’aile pour l’aider, je saisis sa
cheville et lui facilite le mouvement.

Inutile de dire qu’à ce moment là je suis aux premières loges pour lorgner
l’intimité de ma dentiste préférée.
Celle-ci, un peu amusée, les joues rosies par l’effort me regarde et dit, en
toute innocence :
– » J’aurai peut-être du mettre une petite culotte, mais il fait si chaud !  »
– » Ne t’inquiète pas, nous allons prendre un peu d’altitude à la recherche
d’un peu de fraîcheur  »
En réalité, au fil des minutes la température à l’intérieur du petit avion
allait rapidement atteindre des valeurs record !
Daisy à bord, je m’installe à mon tour. Comme il fait de plus en plus chaud
une fois la verrière fermée, je me dépêche à faire les actions avant la mise
en route et nous commençons à rouler vers la piste.

Elle est ravie et pause tout un tas de questions. Je m’efforce de répondre à
son attente et petit à petit, ma  » tension  » retombe un peu. Pour une courte
durée.
Parmi les vérifications obligatoires avant le décollage figure les essais de
débattement du fameux  » manche à balai « . Il faut vérifier que l’on peut
utiliser cette commande dans son plein débattement, de gauche à droite et de
l’avant vers l’arrière. La sécurité du vol en dépend. Comme nous avons tous
les deux les jambes de part et d’autre de ce manche, je demande à ma
passagère d’écarter les cuisses. Elle ne se fait pas prier et les écarte,
largement plus que nécessaire, ce qui a pour effet de dévoiler une fois de
plus son entrecuisse pileux. Elle me regarde en coin et dit :
– » Avoues que cela aurait été dommage pour notre sécurité que je mette une
jupe longue, qui n’aurait fait que m’entraver dans mes mouvements !  »
Je lui souris pour toute réponse.
Je termine mes vérifications et nous sommes rapidement autorisés à décoller
par la tour de contrôle.
En quelques centaines de mètres notre petit coucou est en l’air et
subitement Daisy ne dit plus rien, je la sens quelque peu tendue.
Je lui montre que tout va bien et que notre vol, compte tenu des conditions
météorologiques idéales a de fortes chances de se dérouler au mieux.
Elle finit par se décontracter et admire enfin le paysage qui défile sous
les ailes.
– » Tu m’avais dis qu’il ferait moins chaud en altitude, ce n’est pas tout à
fait vrai  »
– » Tu sais, il faudrait monter très haut pour trouver des températures plus
fraîches ! Mais comme personne ne vous vois, met toi à l’aise…  »
Elle ne me fait pas répéter ma proposition et se retrouve torse nu. Ses deux
gros seins sont vraiment magnifiques et j’en suis à me demander s’ils sont
naturels.
Je n’ose pas poser la question et tente de me concentrer sur mon pilotage.
– » Est-ce que cela te tenterai de piloter ?  »
– » Ici, maintenant ? J’ai un peu peur…  »
– » Je te montre, c’est très simple  »
Après deux ou trois explications techniques elle se saisit délicatement du
manche et, très concentrée essaie, de maintenir une ligne droite et de
conserver l’altitude.

La vue de sa jolie main, aux beaux ongles rouges vifs, entourant
délicatement le manche de l’avion provoque chez moi une petite bouffée
chaleur et un peu de jalousie. Pourquoi l’avion et pas moi ?

Mais je suis un petit coquin car me voilà les mains libres.

Tout en surveillant la trajectoire de l’avion je porte ma main gauche vers
sa poitrine nue. Elle sursaute sous cet assaut.
– » Ce n’est pas bien, tu vas me faire faire une bêtise et je ne peux pas me
défendre !  »
– » Tu as envie de te défendre ?  »
– » Euh…pas vraiment, mais n’en profites pas ou je lâche tout !  »
– » J’ai bien l’intention de profiter de cette situation  »

Lâchant le téton que je faisais depuis peu rouler entre mes doigts, je porte
ma main vers son sexe. Je constate que le tissu du siège est un peu humide,
pour tout dire, franchement poisseux. Il faut dire que la petite jupe, lors
de l’installation à bord, a franchement reculé vers l’arrière.

Daisy est loin de souffrir de sécheresse vaginale.
– » Je suis confuse, je vais tacher tes jolis sièges  »
Je ne relève pas, concentré sur ma caresse. La position assise ne facilite
pas l’opération mais ma passagère-pilote fait le maximum pour me faciliter
le travail. Je sens son corps se détendre et se crisper alternativement. Mon
traitement a l’air de lui convenir.

La trajectoire de l’avion elle, en souffre beaucoup ! Mon pilote occasionnel
ne se concentre plus que sur son plaisir, qui monte lentement mais sûrement
! Il va falloir que je l’abandonne à contre-cœur mais notre survie en
dépend.
– » Si tu veux, je vais reprendre les commandes et nous reprendrons cette
petite leçon un peu plus tard  »
– » Je veux bien car j’ai un petit peu peur de faire une bêtise  »
– » Tu t’en tires très bien mais je n’aurais pas du te caresser ainsi  »
– » J’ai bien aimé mais effectivement cela n’est pas compatible avec une
première leçon de pilotage. Moi-même, dans ma partie, j’aurai beaucoup de
mal à soigner une carie et me faire sodomiser en même temps !  »
Nous poursuivons notre ballade et ma passagère admire le paysage pendant que
de mon côté je regarde ses seins. Elle remarque mon œil en coin et avec un
large sourire :
– » Tu devrais regarder devant toi, tu vas attraper un torticolis.  »
– » Depuis que je les regarde je me pose une question…  »
– » Tu veux savoir si j’ai été opérée ? Eh bien non, ils sont naturels. Par
contre, j’ai bien failli faire l’opération inverse. Les hommes aiment bien
les gros seins, mais ils ne se rendent pas compte le handicap que cela
représente  »
– » Cela aurait été dommage  »

Elle ne poursuit pas dans ce sens et admire de nouveau le paysage sous
l’avion. Je n’ose plus en rajouter et le vol se poursuit en silence quelques
minutes, puis :

Je mets l’avion en virage. Daisy, qui ne s’attendait pas à une manœuvre
aussi soudaine se penche à l’opposé du virage, en l’occurrence vers moi et
se cramponne à ma cuisse.

– » Jean-Marc, j’ai peur !  »
– » Excuses moi, j’aurais du t’avertir avant la mise en virage  »

Je remets les ailes à l’horizontale, mais elle est toujours penchée vers moi
et ne semble pas rassurée. Au bout d’un moment, elle se détend mais garde sa
main posée sur le haut de ma cuisse. Est-ce volontaire, je ne peux le dire.

– » Tu m’as fait une de ces peurs !  »
– » Tout va bien  »

Je sens la main de la coquine Daisy remonter doucement et se poser sur la
bosse qui tend mon short.

– » Il n’y a pas que moi qui suis tendue !  »
– » Tu fais tout pour me mettre dans cet état et tu es étonnée ?  »
– » Effectivement ce n’est pas bien de ma part. Et si je te détendais ?  »
– » Nous allons prendre des risques !  »
– » Je pense que tu as suffisamment de self-control !  »

Joignant le geste à la parole, elle glisse la main dans mon short et sort
mon membre qui n’est plus tout à fait flasque.

– » Tu mouilles beaucoup, une vraie petite fontaine. Cela tombe bien, j’ai un
peu soif  »

Elle se penche vers mon entrejambe et je sens sa bouche prendre possession
de mon gland qu’elle tête comme si sa survie en dépendait. Je vais avoir
beaucoup de mal à garder une trajectoire rectiligne et encore plus à me
retenir.
Manifestement elle aime bien cette pratique et l’on sent bien que sa
maîtrise de l’opération est totale.
Pendant quelques instants, le ronron du moteur est souligné de façon
discrète par des petits bruits de succion.
C’est extraordinairement bon, d’autant plus que sa main droite est partie à
l’intérieur de mon short pour sortir mes testicules et tenter de leur faire
subir le même sort !
Elle est aussi adroite des mains que de sa roulette.
Elle me masse les bourses quelques instants et soudain, sa bouche les gobe
entièrement. La surprise me fait faire un écart de trajectoire et elle se
cramponne à ma verge sans pour autant recracher ce qui pour l’heure est
l’objet de toute son attention.
D’une langue ferme mais douce elle me masse consciencieusement chaque
testicule, tout en me masturbant avec application.
Je sens son sein gauche reposer sur ma cuisse et c’est très agréable. Je me
laisse aller au bien être.

Quelques spasmes indiquent à ma tourmenteuse que son traitement est efficace
; je pense qu’elle va stopper sa fellation mais il n’en est rien, elle
embouche cette fois la totalité de ma pine, avec la ferme intention de ne
plus la lâcher avant le terme.
Ce terme ne tarde plus, soudain, je lui sers plusieurs giclées de sperme
qu’elle avale avec bonheur. Elle se redresse, le visage un peu rosi par
l’effort mais heureuse de sa prestation.
– » C’était bon ?  »
– » J’aurai du mal à nier l’évidence, tu es très douée …  »
– » J’aime tellement ça, que si j’osais, j’aimerai pouvoir le proposer à
chaque consultation à mes clients ou à des inconnus dans la rue, mais je
n’ose pas, c’est dommage.  »
– » Ceci dit le secret aurait du mal à être préservé et il est fort possible
que les épouses de tes clients en prenne ombrage !  »
– » Tu sais, elle ne sont pas toutes coincées, j’ai dans ma clientèle des
femmes très  » comme il faut  » qui me font des propositions à peine voilées.
Il faut voir aussi comme certaines s’habillent, c’est parfois un appel très
clair !  »
– » Tu ne t’es jamais laissée aller avec une de ces patientes ?  »
– » Une seule fois, mais je te raconterai plus tard car cela risque d’être un
peu long.

Soudain :
– » J’ai envie de faire pipi, très envie !  »

Eternel problème féminin… Elles ne boivent pas mais on toujours une envie
pressante !
– » Nous ne sommes pas très loin d’un aérodrome, nous allons faire une petite
pose soulagement.  »
– » Ce n’est pas de refus, sinon je vais tremper tes beaux sièges…  »

En quelques minutes nous sommes à proximité du petit terrain, très calme à
cette heure là, ce qui me permet de raccourcir un peu notre trajectoire pour
gagner encore un peu de temps.

A peine arrivés au parking, Daisy jaillit de l’avion et sans s’éloigner,
s’accroupi sous l’aile, après avoir relevée sa jupe.
Je sors à mon tour et m’approche de ma passagère.
– » Ce n’est pas très correct, ce que tu fais là, me dit-elle avec un demi
sourire  »

Daisy06Elle continue d’uriner pendant que je m’approche doucement par
derrière. J’ai une vue magnifique sur ses fesses, son petit trou et sur ce
jet jaune clair et fumant qui n’en finit pas de couler.
Je n’ai jamais été très attiré par ces pratiques, mais cette fois c’est plus
fort que moi et je pose ma main sur la sa raie, elle frissonne légèrement.
Elle continue cependant sa mixion, imperturbable…
Je descends doucement, franchi son anus et dirige doucement ma main vers ce
liquide chaud qui me tente.
Je suis soudain éclaboussé par son urine qui fini de s’écouler en petits
jets désordonnés. Je mets ma main en coupe et récolte les dernières gouttes.
Je la porte à mes narines, ç’est fort mais pas désagréable, poursuivant le
geste, et avant d’avoir tout perdu, je bois la pisse de cette chère Daisy
avec délectation.

A suivre
et voici le mail de Daisy : daisyfreebe@yahoo.fr
Ce texte a eu l’honneur d’être désigné comme premier prix du meilleur
récit uro pour l’année 2004

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Auteurs divers
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