Années 1990

Jeudi 13 juin 2024 4 13 /06 /Juin /2024 18:28

Un jouet pour Cécile par Bougetoi

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Je vous parle d’un temps où les cinémas pornos étaient des lieux de rencontres coquins. J’y allais souvent et cherchait l’occasion de sucer des bonnes bites. Je n’avais pas de mal à trouver.

Ce jour-là je m’installe, j’attends que mes yeux s’habitent à l’obscurité, puis ouvre ma braguette et libéré ma queue, en même temps je soulève mon tee-shirt de façon à pouvoir me pincer les tétons… Et j’attends….

Ah, ça y est je commence à distinguer des choses ! Sur ma gauche un mec est entre les cuisses d’un vieux et lui pompe la queue, dans un peut renfoncement plus loin, un type compétemment nu se fait sucer alternativement par deux mecs, tandis que deux ou trois autres se branlent en regardant… La routine quoi !

Et voilà qu’une femme vient s’installer près de moi. Elle était habillée très chic. Elle a retiré son imper.

La présence de femmes en ces lieux de débauche est rare, mais ça arrive, souvent la femme est en couple, mais celle-ci est seule, a moins que son mec soit planqué un peu plus loin….

Elle m’a mis une main sur le genou et m’a caressé la cuisse. J’ai posé moi aussi une main sur son genou et je l’ai remontée sous sa jupe mais m’arrêtais à mi-cuisse. Puis, elle m’a touché le sexe. Elle m’a chuchoté à l’oreille :

– Profites-en, je n’ai pas de culotte !

La voix rocailleuse aurait dû me mettre la puce à l’oreille, mais voulant en avoir le cœur net je remontais ma main et trouvais une bite bien bandée.

– Je te suces ou tu me suce, on peut faire les deux.! Me dit-elle en écartant les jambes
– Je vais te sucer ! Répondis-je !
– Alors donne-moi un petit billet, et on va faire ça gentiment !

Elle est malade, me demander de l’argent, alors qu’ici on peut sucer gratuitement.

– Laisse tomber ! Lui dis-je
– C’est dommage, on aurait pu faire des tas de choses…
– Quoi donc ?
– Tu pourrais m’enculer, j’ai le trou du cul très accueillant, à moins que tu préfères que ce soit moi qui t’encules… Je peux aussi être très cochonne, je peut te faire gouter à mon pipi ou te fouetter ton petit cul.

Il m’excite avec son programme, le travelo.

– C’est combien ?
– Juste la pipe, c’est 20 balles, sinon on va dans ma voiture ou chez moi, pour 50 balles de plus.

Il y avait un parking derrière le cinoche, je l’ai suivie jusqu’à sa voiture. Je suis monté. J’ai pu la regarder mieux, elle était très bien maquillée, parfaitement efféminé, très bandante. Je l’ai payé, elle m’a roulé une pelle.

– On serait mieux chez moi, non ? C’est à cinq minutes.

Chez elle (chez lui, comment faut-il dire ?) elle m’a fait mettre nu, elle m’a posé des pinces sur mes tétons, m’a ligaturé les couilles et m’a fouetté mon cul avec une cravache.

798 1000 1Puis elle m’a fait mettre sur le lit, m’a fais sucer sa bonne bite, puis m’a demandé de projeter mes jambes en l’air afin qu’elle m’enculasse !

Elle m’a pilonné l’anus pendant de longues minutes, puis m’a demandé de me rendre aux toilettes. Là elle m’a fait mettre mon visage en arrière et elle m’a pissé dans la bouche.

– Branle-toi, maintenant, branle-toi en me regardant !

Je l’ai fait.

– C’était très bien, je m’appelle Cécile !

Je me fis alors la réflexion que j’avais été l’espace d’un moment un jouet pour Cécile.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Années 1990
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Lundi 30 octobre 2023 1 30 /10 /Oct /2023 20:36

Jennifer et les schtroumpfettes par Geneviève01

 

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Bonjour du Québec ! C’est Jennifer! J’ai 18 ans et j’ai une belle histoire à vous raconter.

Depuis toujours, je fantasmais que mon milieu de travail se transforme en orgie et ça s’est réalisée hier soir. Il était 10 heures du soir et nous étions 7 dans la boulangerie. Notre quart de travail était sur le point de se terminer.

Soudainement, je ressentis une main voyageuse s’approchant dangereusement de mes miches. Je me retournai et vu Mike tout excité qui commençait à me taponner. Le désir coulait en moi et à travers ma petite culotte. Ne pouvant résister au péché de la chair, j’offrais ma bouche à un bon « french », il me bécota goulûment. Pendant que nous nous embrassions, j’ai sentit son petit pain devenir baguette. Je baissai sa braguette pour le laisser lever à tous vents. Je pris son membre et commençai à le lui sucer.

La contremaître, Vanessa, voyant le manège, s’approcha et commença à me licher l’entre fesses. À force d’aspirer, Mike me beurra la cavité buccale et j’avalai sans dédain et nettoyai le tout avec ma langue pour recommencer. Puis, Isabelle arriva, se déshabilla rapidement et Mike commença à lui humecter la chatte et je taponnai les seins d’Isabelle au même moment.

C’est alors qu’arrivèrent Francine, Mélissa et Monica. Elles se joignirent joyeusement à nous quatre. Mike nous demanda de lui faire un show de lesbiennes pour son fun. Nous avons accepté avec plaisir. Francine me déversa sur moi et sur Isabelle un pot complet de confiture aux bleuets, il fallait licher le dégât. Les quatre autres se roulèrent dans les bleuets. Monica me licha le jus qui était sur mes seins et en même temps, Mélissa commença à licher le petit minois de Monica. Pendant ce temps, Mike se branla devant le spectacle. Disant qu’il était fatigué, Vanessa alla terminer le travail. Francine licha la chatte de Mélissa, moi je lichai celle de Francine. J’étais excitée comme jamais. Je tâtais tous les seins qui passaient. L’odeur mélangée des bleuets et du jus de chatte m’enivrait. Nous ressemblions à des schtroumpfettes en pleine orgie. On se faisait des cunnilingus successivement. Comme je trouvais que les autres commençaient à ralentir, je me dirigeai vers Mike pour qu’il m’encule. Je bondissais de joie sur la verge de Mike qui lui, me tâtais les seins. Vanessa commença à m’embrasser et à (elle aussi) me masser les seins d’une main et de l’autre elle me flattait la chatte. Les quatre schtroumpfettes se dirigèrent vers notre trio et commencèrent à nous embrasser. Mike commença à gicler là, sur nous six.

 

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Nous consommâmes le liquide blanchâtre comme si cela était notre dernier repas. Puis, nous avons crié dans un râle de jouissance tonitruant. Le bruit de notre orgasme rebondit dans toute la boulangerie. Nous nous sommes couchées sur le sol et nous nous sommes lichées délicatement. Nous nous sommes dirigées vers la douche pour nous laver, mais ça c’est une autre histoire…

 

Première publication sur Vassilia, le 25/03/2001

Note du Webmaster : Signalons aux lecteurs peu habitués aux québécismes que la confiture de bleuets dont il est question ici n’est rien d’autre que de la confiture de myrtilles (merci à Joy pour cette indispensable précision)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Années 1990
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Lundi 3 novembre 2003 1 03 /11 /Nov /2003 19:30

Tout va bien par Jill

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On s'était rencontrés chez des amis ennuyeux et nous étions sortis vite fait, bien fait pour eux. Sous le porche, il me caressa les seins et j'acceptai tout alors de lui. Il me dit simplement :

 

- Demain, on ira t'acheter des hauts talons. Rendez-vous sur la Place Julienne à 11 h, en jupe courte et sans rien dessous.

 

Bon, pourquoi pas ?

 

Quelques téléphones pour me décommander je ne sais où et me voilà à 11 h. sur la place, en jupe noire et corsage blanc. Rien dessous. Pas un mot de sa part; juste un regard et un geste d'une grande précision quand nous nous embrassons, pour s'assurer que j'ai tenu parole. Le magasin est petit, mais chic. Il m'invite à m'asseoir et cherche la vendeuse, qui revient avec une dizaine de paires de chaussures. Elle me met aux pieds la première, des hauts talons monstrueux, et, en se relevant, rougit. Elle a tout vu, et peut-être déjà tout compris. Je rougis à mon tour, bien incapable de cacher quoique ce soit à cette fille à mes pieds. J'essaie une seconde paire, qui semble me convenir, je marche un peu, mais peu habituée, je trébuche et je glisse. Cette fois, clients et patron ont pu constater que j'ai les fesses nues. Je suis étalée et ma jupe ne cache plus rien. Lui, ne s'occupe que de la paire suivante, qu'il savoure déjà. Mais quand je me retrouve assise, je panique un peu en voyant alors que tous les miroirs reflètent mon intimité. Comment ne m'en suis-je pas aperçue plus tôt ? Enfin, il est satisfait de ces hauts talons rouges en cuir. Je marche avec un peu plus d'assurance.

 

jardinier sexe

Dans la rue, l'air qui s'infiltre sous ma jupe, me donne encore plus l'impression d'être nue. Lui ne dit toujours mot. Un moment, il m'arrête, remet son lacet devant moi et me demande d'écarter un peu les jambes... Il est midi et il a décrété que nous avions faim. Restaurant, avec salle à l'étage. Je monte la première, un de ses doigts dans ma fente. On prend la table du fond. Aujourd'hui, lundi, presque personne. Un vieux qui lit son journal et deux femmes qui discutent de la dernière présentation de mode de Yiiiive Saint-Laurent. Lui, il me commande des radis aux beurres et il prend du canard à l'orange. Et de l'eau. Bien sûr, les radis, je les mangerai, sauf deux qui me combleront les deux trous, a-t-il décidé. Le deuxième rentrera avec du beurre. Pas un mot durant tout le repas; on dirait un vieux couple fâché. Il m'interdit d'aller dans ces WC qui lui semblent peu hygiéniques et me dit qu'on s'occupera de ma pisse un peu plus tard. Je ne sais comment m'asseoir, avec ce radis dans l'anus. Il me demande si j'ai un soutif. Je lui dis que non.

 

- Fais voir !

 

Je regarde les deux dames qui discutent et le vieux qui relève la tête. Je lui montre mes seins. Le vieux croit qu'il a trop bu.

 

- C'est bien, tu peux manger les deux radis qui restent et nous partons.

 

J'exécute vite, car j'ai vraiment envie de pisser. Les dames ont saisi quelque chose qui ne leur semble pas trop catholique.

 

Nous sortons, mais au passage devant lesdites dames, il me soulève la jupe et dit :

 

- Je vérifie, elle a souvent tendance à voler les petites cuillères !

 

Nous montons dans la voiture, suivis par des dizaines de regards ahuris. Nous roulons et il me dit :

 

- Une jupe noire et des chaussures rouges, ça ne va pas. Enlève-la !

 

Un petit parking dans la campagne, dans la rase campagne. Il s'arrête.

 

- Tu vas pisser ici devant la voiture, et debout. Tant pis pour les chaussures.

 

Je ne sors pas de la voiture; je regarde aux alentours. De temps en temps, passe une bagnole. J'ai trop envie et je me risque. Je tire sur mon corsage, pour qu'il me cache un peu, mais à quoi bon ? J'ai jamais fait ça, mais voilà, je pisse debout et presque fière, sauf quand une moto se profile à l'horizon. Cette urine me paraît interminable; le motard me salue, je termine et je rentre dans la voiture. Je peux remettre ma jupe...

 

Tout va très bien finalement. Beaucoup de peur et d'émotion, mais il va vouloir toujours plus. Je le sens. On revient en ville, on se gare devant un hôtel assez luxueux. Ce genre d'hôtel où je n'aurais jamais mis les pieds. Non, on n'a pas de bagage. Non, on ne reste qu'une nuit. Non, on n'a besoin de rien. Monsieur peut sonner. Monsieur sonnera. Mais avant, il m'installe nue sur le lit, et il m'attache avec les cordons du rideau, les jambes ouvertes, les clefs dans le sexe. Il sonne. On vient. Un jeune très poli et qui ne me voit pas tout de suite. Il lui crie de la salle de bain :

 

- Je ne retrouve plus les clefs de la chambre. Vous pouvez les chercher. Merci !
- Bien sûr, Monsieur !

 

A ce moment, il me voit, ce gringalet, il ne peut pas ne pas me voir, mais évidemment il ne se doute pas que les clefs... Il cherche sur tous les meubles, il cherche sur le tapis, en faisant comme si je n'existais pas. Mais dans un moment de contorsion, pour voir ce qu'il fait, je bouge et je fais sonner le trousseau de clefs. Il les découvre et reste interdit. Il bégaie et murmure à la fois.

 

- Elles sont là ! 

- Eh bien, donnez-les-moi, mon vieux et apportez-moi une vodka !

 

Le pauvre reste pétrifié. Je lui fais un signe pour l'encourager et il s'approche. Il tire un peu vers lui et elles viennent. Il les prend et les lui donne dans la salle de bain.

 

Quand il revient avec la vodka, je suis sur le ventre et j'ai les clefs dans l'anus... Le jeune tremble, mais il lui dit de regarder les clefs qui vont tomber de mon cul sur le tapis. A sa demande, je les chie. Il demande alors la chaussure du groom qui étonné, s'exécute. C'est pour une raclée. Il prend la chaussure noire bien cirée et me frappe sur les fesses, laissant des cris s'étouffer dans l'oreiller et des traces noirâtres et rouges pour me corriger. Il me fait mal, ce con ! Ça s'arrête un peu. Il me retourne et dit :

 

- Cette toison n'est pas hygiénique. On va raser tout ça demain. Vous en voulez un souvenir ?

 

Il va chercher des petits ciseaux et en coupe une bonne partie et il l'offre au groom qui se rechaussait. Celui-ci balbutie un remerciement et sort avec son trophée à la main. Lui continue à massacrer ma toison à coup de ciseaux, puis il m'installe sur la cuvette des WC et me pisse sur le pubis pour me débarrasser de tous les poils coupés. Son jet remonte vers mes seins et bientôt ma bouche qui s'ouvre machinalement. Je le bois et il bande bientôt comme un jeune homme. Je le garde dans ma bouche.

 

- Ce serait bien que tu chies maintenant en me faisant une pipe !

 

Le simple fait d'être assise dans cet endroit m'aide considérablement et je chie, et je pète et je rechie, et il me décharge dans la gueule à grandes giclées. Me voilà, la bouche pleine de foutre, la chatte dégarnie et le cul plein de merde.

 

Mais finalement tout va bien !

 

Jill

 

Ce texte a déjà fait l'objet d'une parution sur le web (revebebe - avril 2000) 

 

Par Jill - Publié dans : Années 1990
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Samedi 18 janvier 2003 6 18 /01 /Jan /2003 15:58

Les fantasmes de la mère Noël

par Zievertot

 

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Cette année-là, j'étais jeune instituteur dans une petite ville de province. Mon célibat ne me pesait pas trop parce que je prenais un réel plaisir à participer à toutes les activités para scolaires, ludiques et sportives. Le week-end, je remontais chez mes parents et j'en profitais avec copains et surtout copines, pour faire des virées sympas qui, le plus souvent se terminaient par un réel exutoire à mes pulsions sexuelles normales à mon âge.

 

C'est ainsi que j'ai été amené à prendre une part active dans l'organisation de la fête de Noël, organisée traditionnellement et conjointement par trois écoles de la ville. Nous avions de généreux sponsors (mécènes, disait-on autrefois lorsque quand on faisait un don, il n'était pas nécessaire de le publier dans la presse ou sur les affiches).

 

Tout était rodé par la force de l'habitude et mon rôle était simplement cette fois, de coordonner l'ensemble, en veillant à ce que tout soit en place à l'heure dite. C'était pour moi la première fois et j'étais très attentif car, en plus des élèves, les parents étaient conviés à la fête. Il ne fallait rien louper !

 

J'allais de salle en salle contrôler que les bambins disposaient bien de tout pour se costumer, je vérifiais que le traiteur amenait bien ses pâtisseries et friandises etc.

 

C'est ce qui m'a amené à me rendre à la salle des profs… la porte était dure à ouvrir et j'ai dû faire un effort important. J'y suis parvenu et là…. vision étonnante…. Le Père Noël était là à me regarder avec des yeux ébahis, son grand bonnet rouge à floche tombante sur la tête, besicles sur les yeux, barbe et moustache blanches sur la figure, justaucorps rouge jusqu'à la taille… mais... sans ses bottes et sans son ample pantalon. Et là ! Je vois une belle paire de solides jambes féminines, des bas blancs, un porte-jarretelles noir et un slip ajouré qui semble dissimuler une chatte luxuriante …. Mince, le Père Noël était une Mère Noël !

 

J'étais pétrifié, gelé sur place devant ce tableau d'un érotisme fou ! Vous vous rendez compte, en mitre, barbe et porte jarretelles ! La Mère Noël, prise aussi de surprise, réagit assez vite et me cria :

 

- Voulez-vous sortir… j'avais fermé la porte à clefs ! " .

 

Cela m'expliquait la résistance de cette porte que j'avais presque forcée.

 

Le plus grave c'est que j'ignorais totalement qui était cette Mère Noël ! En effet, le personnel des trois écoles participait à la fête et, nouveau, je connaissais encore peu de monde, surtout pour reconnaître une femme vue seulement en dessous de la ceinture !

 

Inutile de dire que cette vision m'avait troublé. J'ai quitté la salle des profs avec de vagues excuses.

 

Après m'être un peu remis de mes émotions, j'ai demandé à un collègue qui jouait le rôle de Père Noël. Il m'a répondu :

 

- Comment, tu ne la connais pas ? C'est le proviseur de l'école voisine. Elle fait cela chaque année, très bien d'ailleurs !

 

Catastrophe… je me voyais déjà mis à la porte de l'Education Nationale pour atteinte aux bonnes mœurs et voyeurisme aggravé !

 

J'ai évidemment eu garde de raconter mon aventure à mon collègue, mais je me suis informé auprès d'autres, quant à savoir qui était exactement ce proviseur qui possédait des jambes aussi affriolantes !

 

(Certains diront, à tort ou raison, que mon histoire est téléphonée… oui, après l'avoir lue, mais certes pas quand on la vit, c'est à dire sans en connaître la fin !)

 

Finalement, au fil des informations reçues, je suis arrivé à resituer cette dame. Elle s'appelle Mathilde K... et j'avais déjà eu l'occasion de la croiser soit en rue, soit lors de réunions pédagogiques. Je me souviens d'une femme dans la quarantaine, assez grande et solidement constituée (il le faut pour faire le Père Noël !), strictement vêtue d'un tailleur, ayant son opinion sur tout et le disant sans détours. Elle ne m'avait fait aucune impression particulière… mais maintenant, bien sûr, je la regarderai autrement !

 

La fête commença et les enfants, un par un se rendaient devant le Père Noël pour y recevoir des friandises et pour répondre à la traditionnelle question

 

- As-tu été sage, mon petit ? Que veux-tu que j'apporte comme jouet dans ta cheminée ?

Les mêmes, très intimidés ou un peu fanfarons, répondaient le plus souvent par des balbutiements et puis… hop, au suivant.

 

A la fin du défilé, quelle ne fut pas ma surprise de voir le Père Noël m'appeler d'un geste auguste de la main. Etonné et un peu craintif quand même, je me suis approché et j'ai entendu la voix (féminine !) du Saint patron des Fêtes, me demander :

 

- Et vous, mon jeune ami, avez-vous été bien sage ? Si tel est le cas, voici des bonbons à sucer !

 

Une lueur amusée pétillait dans les yeux de ma "mère" interlocutrice !

 

Toutes les festivités se sont continuées sans accrocs et à la satisfaction générale et, en fin d'après-midi tout touchait à sa fin. Je n'avais plus eu et je n'avais plus recherché un contact avec la "Mère Noël". Celle-ci, pleine de componction, avait rempli son rôle à merveille, à la totale et joyeuse satisfaction des mômes.

 

Il ne restait plus grand monde dans la salle lorsque la Mère Noël m'a appelé et me dit :

 

- Vous avez une voiture ? Vous voulez bien me reconduire chez moi, comme cela je n'aurais pas besoin de me changer ici ! Vous me devez bien cela… garnement !

 

Interloqué, je ne puis que répondre affirmativement.

 

Le chemin était court et Mathilde (alias Mère Noël) a eu tout juste le temps de me raconter que son mari, également enseignant, faisait un stage de formation au loin et qu'elle était seule pour encore au moins trois mois. Je ne savais pas comment prendre cette déclaration…. (Évidemment que c'est téléphoné… mais c'est cela la vie !)

 

Arrivé devant chez-elle, un coquet pavillon de banlieue, elle me proposa un rafraîchissement pour me remercier du lift.

 

L'intérieur du pavillon était cossu et très joliment meublé. Toujours affublée en Mère Noël, Mathilde me servit une copieuse rasade de Cognac et en fit de même pour elle….

 

Je m'étais installé dans un profond canapé et Mathilde s'était assise, en face de moi dans un fauteuil bas. C'était amusant de la voir là, toujours accoutrée en Père Noël …

 

Très gauchement, elle s'essayait à s'enlever ses bottes de service qui devait bien la gêner après une journée complète... Je me suis agenouillé sur le tapis et je me suis mis à l'aider, en tirant vivement dessus. Sous ces bottes, elle avait ses bas très féminins qui faisaient un agréable contraste. Pendant que j'étais toujours à ses pieds, elle s'est massée les chevilles et les jambes pour se relaxer. Je me suis enhardi et bientôt mes mains ont remplacé les siennes. C'est alors qu'elle m'a dit :

 

- Eh, bien… en plus d'être voyeur, tu es peloteur, mon jeune ami !

 

A ce moment-là j'ai bien compris qu'elle m'avait amené chez elle pour un doux jeu érotique et, peut-être pour satisfaire quelques fantasmes "Noëlliens" !

 

A moi de prendre, dès lors, l'initiative ! Jusqu'où me laissera-t-elle aller ?

 

Mon massage plantaire et des mollets ne pouvait s'éterniser et, doucement, je me suis mis à remonter vers les genoux mais mes mains se sont arrêtées à deux gros nœuds qui serraient le pantalon. Détachés facilement, j'ai pu continuer ma progression et remonter ainsi à mi-cuisses. Mathilde me laissait faire, comme détachée de ce que je faisais, mais, son souffle court et rapide agitait un peu sa fausse barbe et moustache.

 

C'était vachement érotique et assez équivoque car qui se laissait caresser ainsi les cuisses ? Un Père ou une Mère Noël ? La douceur de la chair des cuisses, la texture des bas ne pouvaient laisser place à aucune équivoque mais, pourtant, cela pouvait, tant pour elle que moi, susciter des fantasmes…

 

Très terre à terre, Mathilde me dit :

 

- Reprenons où nous en étions dans la salle des profs, au moment où mon jeune instit est venu m'épier ! "

 

Là-dessus, elle s'est levée, nous a resservi une solide rasade de cognac et, avec nonchalance, comme si elle était seule, elle a défait sa large ceinture de cuir noir et a fait tomber son ample pantalon noir, l'enjambant et l'envoyant promener d'un pied mutin !

 

Mes aïeux, quelle vision ! J'étais toujours agenouillé sur le tapis et, à quelques décimètres de ma figure, j'avais la chatte de madame la proviseur Mathilde K..., alias Mère Noël ! Cela n'était encore rien, mais l'agréable propriétaire de ce sexe à peine dissimulé par un slip en dentelles ajourées, était toujours affublée de sa fausse barbe et moustache, de son justaucorps et de son bonnet rouge à floche retombante et… avec besicles sur les yeux !

 

Mathilde s'était doucement rapprochée de moi, les mains sur les hanches, le bassin poussé en avant... Maintenant je sentais les effluves de cette chatte qui n'avait plus vu l'eau depuis le matin et, comme attiré par un aimant, j'ai approché ma bouche de son entrejambes, me mettant à lécher et à mordiller le tissu qui recouvrait son intimité. Madame la proviseur avait déjà copieusement mouillé son slip !

 

Tout en continuant mes contacts buccaux, j'ai introduit mes doigts sous le tissu et, comme je le supposais, sa chatte était luxuriante de poils abondants et longs… une vraie forêt tropicale, humide et chaude !

 

Le bassin de Mathilde ondulait et je comprenais le plaisir qu'elle éprouvait …. Finalement, usant de mes deux mains, j'ai fait glisser son slip le long de ses jambes et j'ai pu, librement, avoir accès à tout son sexe … qui n'attendait que cela. Presque émergent des poils, son bouton d'amour était turgescent et dressé parmi les poils comme un petit sexe d'enfant. Ma langue s'en est emparé et s'est mis à le sucer, à le mordiller, à le cajoler, suscitant de longs soupirs et des râles doux de ma Mère Noël en peine extase….

 

Ses mains étaient dans mes cheveux comme pour m'empêcher de rompre le contact.

 

J'étais toujours à ses genoux, tout habillé et dans une position inconfortable... Je me suis relevé, en laissant une de mes mains folâtrer entre ses cuisses, jouer avec sa toison et son clitoris ou pénétrer dans sa grotte …

 

J'ai tenté de rejoindre ses lèvres mais la barbe et la moustache postiche rendaient le contact rugueux et peu agréable. Mathilde, comprenant mon désir, avait sorti un bout de sa langue et, longtemps, nos langues ont ainsi joué ensemble, en dehors de nos bouches...

 

Ses mains ne restaient pas inactives et, bien vite, elle avait ouvert mon pantalon et était allé chercher mon sexe dans mon caleçon. Inutile de dire que depuis le début, je bandais solidement et que cela a été une délivrance que de voir mon sexe ainsi à l'air libre, non comprimé par mers vêtements serrés. D'autant plus que Mathilde s'en occupait activement !

 

Maladroitement, elle et moi, nous entraidant, je me suis retrouvé nu… verge au vent !

 

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Et alors, ma Mère Noël a changé les rôles… elle s'est agenouillé devant moi et a commencé une fellation de haute qualité…. Je n'avais jamais été sucé par une femme à barbe et moustache et, une fois de plus, cela suscitait toute une série de fantasme. Sa bouche était habile et la douceur relative des poils factices du postiche augmentait encore la sensation de plaisir…. Elle allait et venait le long de ma tige tandis que ses mains soupesaient et jouaient avec mes testicules. Sa langue s'enroulait autours du gland qu'elle avait soigneusement décapuchonné et s'y tortillait comme un serpent mourant de soif… Je devais me retenir pour ne pas exploser dans sa bouche …

 

J'avais encore un fond de retenue, car j'ignorais jusqu'où madame la proviseur voulait aller ou me laisser aller…

 

Sans se concerter, nous nous sommes relevés et avons atterri enlacés, sur le vaste divan…

 

Mes mains devenues fébriles ont entrepris de dégrafer son justaucorps pour avoir accès à sa poitrine... avant cela, pour plus de facilités, j'ai voulu lui enlever sa barbe et moustache postiche mais Mathilde m'en a empêché par des " non, non " impératifs et par un blocage solide de mes mains… Par contre, je pouvais avoir accès à sa poitrine, semble-t-il sans retenue … tant pis et tant mieux…

 

Son justaucorps ouvert, j'ai vu un splendide soutien-gorge noir type Marie Jo ou Adventure qui comprimait doucement deux seins que j'estimais être plantureusement agréable...

 

Vite fait j'ai fait sauter la fermeture et j'ai recueilli dans mes mains deux seins merveilleux, doux et pesants, aux tétons bien dressés… ma bouche n'a pas attendu pour s'en emparer et pour les recouvrir de baisers, de suçons ni pour les mordiller doucement… Je malaxais les deux globes de chairs….

 

Madame la proviseur feulait doucement de plaisir tandis que j'avais incrusté mon genou entre ses cuisses et que je massais ainsi son sexe… et qu'elle s'amusait avec le mien comme avec un jouet d'enfant (peu sage !)

 

Ses seins m'appelaient à un autre plaisir rare et, lentement, je suis remonté le long de son corps pour glisser ma verge dans le sillon accueillent… Mathilde avait compris mon intention et elle-même, de ses deux mains, comprimait sa poitrine pour bien serrer mon sexe enfouis dans l'interstice mammaire. C'était assez particulier car, en plus du plaisir d'être dans cet endroit sublime, mon gland était caressé par le bas de la barbe postiche du Père (Mère) Noël ….

 

Je me suis laissé aller à un calme mouvement de va-et-vient qui semblait plaire à ma compagne car sa tête oscillait de droite à gauche et ses feulements étaient maintenant remplacés par des grognements de satisfaction. Quelque fois, ses doigts venaient titiller mon gland et d'autres fois rejoignaient ma bouche pour s'y engouffrer pour une caresse profonde.

 

C'est longtemps que dura notre plaisir commun pour, enfin que j'explose sans retenue, lançant de nombreux et puissants jets dans la barbe de ce curieux Père Noël …. Mathilde, semblait être dans un autre monde et se contentait entre ses grognements de plaisir de murmurer des " Oui, oui …. ". D'elle-même, elle massa sa poitrine avec les jets qui s'étaient éparpillés sur ses épaules, autour de la barbe. Elle en recueillait aussi sur ses doigts qu'elle portait ensuite à sers lèvres gourmandes.

 

Madame la proviseur Mathilde K..., toujours sobrement élégante et pédagogue sévère était, dans l'intimité, une femme assoiffée de sexe, demanderesse de plaisirs de tous ordres…. Tant mieux, pour moi !

 

Nos corps, une première fois repus d'amour, nous sommes restés un peu allongés dans le canapé à nous caresser… Mathilde resservit un troisième cognac que nous avons bu d'un trait pour épancher notre soif. Finalement, me prenant par la main, la Mère Noël me dit :

 

- Viens, allons dans la chambre… on sera mieux !

 

Je l'ai suivi dans l'escalier… mais rappelez-vous le tableau… elle était fesses nues, en bas et porte jarretelles, justaucorps ouvert sur sa poitrine nue, mais toujours affublée de la barbe postiche, des besicles et du bonnet rouge à floche blanche pendante. !!

 

J'avais déjà vécu des scènes érotiques mais celle-ci était vraiment l'archétype en la matière. D'autant plus que madame le proviseur avait la fesse et la poitrine bien garnie et que le mouvement modéré de ses chairs dans les escaliers augmentait encore toute la sensualité de sa démarche. Je l'aurais bien culbutée illico presto sur les marches et mon sexe gonflé n'attendait que cela … je me suis contenté de passer mes mains délicatement sur ses fesses et de m'introduire légèrement dans sa raie fessière, tout en flattant sa toison au passage.

 

Arrivé dans la chambre, elle a prestement ouvert les draps et s'est débarrassée de son justaucorps étant maintenant devant moi poitrine et chatte nue mais toujours avec son bonnet, sa postiche barbue et ses besicles …. Je la voulais à moi, entièrement nue et j'ai voulu lui enlever ce qui lui restait mais, une nouvelle fois, elle m'en a empêché doucement mais fermement … c'était son fantasme !

 

Nous sommes tombés ensemble sur le lit et Mathilde à immédiatement ouvert largement ses cuisses, les remontant fort pour bien me montrer ce qu'elle voulait de moi … une immédiate pénétration classique, sans autre préliminaire (nous en avions fait assez !). Moi-même j'avais une envie folle de la prendre, de m'introduire en elle car dans mon esprit je mélangeais maintenant la femme, la proviseur, le Père Noël dans une même attirance dans un même désir de jouir dans son corps ….

 

J'avoue que cette femme "à barbe" décuplait mon plaisir et que, bien vite, ma verge a trouvé son chemin en elle. Sa grotte n'était pas humide mais trempée par de nombreux orgasmes et c'est bien douillettement que je m'y faisais un passage. Mathilde remontait ses genoux au fur et mesure pour m'avoir encore plus profondément en elle et, en quelques mouvements, elle glissa même un oreiller sous ses reins….

 

Elle se mit à psalmodier :

 

- Ne vas pas trop vite... doucement en moi…je veux jouir avec toi… je suis longue à jouir… patiente… oui, tu es bien … je te sens en moi…. Doucement, oui, comme cela…Répétant quasi toujours la même chose…

 

Finalement, elle accélérât le rythme de ses paroles et cela devint comme une mélopée sauvage...pour se terminer par un hurlement de plaisir au moment où, ensemble nous avons jouis… Je me suis répandu en elle à longs jets tout, en continuant mes mouvements alternatifs de pénétration. Elle se trémoussait sous moi comme pour encore trouver les ressources d'un nouvel orgasme …. Soudain, d'un geste violent, elle a arraché barbe moustache, besicles et bonnet, les lançant au loin pour ensuite, en se blottissant dans mes bras, me murmurer à l'oreille :

 

- Merci, tu as été merveilleux. Tu as satisfait mon fantasme mais, maintenant, c'est Mathilde qui s'offre à toi, sans plus d'artifice…. Reprend-moi, refais-moi l'amour souvent…. Comme tu le veux ! Tu sais, quand tu es venu dans la salle des profs, ton regard sur mes cuisses m'a troublé et j'ai eu envie de toi. Je me suis vite masturbée et toute l'après-midi j'ai dû serrer les cuisses tant je mouillais !

 

Comment la remercier de ces paroles… ma bouche a vite rejoint la sienne et, de longs moments nous avons joué avec nos langues en mélangeant nos salives, heurtant quelque fois nos dents lorsque la passion devenait trop forte, nous mordillant les lèvres ou bien allons avec notre langue au plus profond de la bouche de l'autre.

 

Malgré mes deux jouissances récentes, mon sexe recommençait à prendre forme, d'autant plus qu'il était l'objet des sollicitations manuelles de ma compagne qui ne cessait d'en jouer, de le malaxer, d'en découvrir le grand… en bref, de s'en amuser comme une gamine. Elle fut ravie de le sentir grandir entre ses doigts et lui donna sa forme par un doux mouvement de masturbation… j'étais aux anges d'avoir trouvé une maîtresse mature aussi libérée et aussi féminine tout à la fois. J'avais déjà oublié qu'elle était proviseur et que nos vies professionnelles risquaient de se croiser.

 

Soudain, Mathilde se redressa et, sans mot dire, elle se mit à quatre pattes sur le lit m'offrant son intimité bien ouverte par la voie arrière. Je n'avais jamais pratiqué la levrette mais j'en connaissais évidemment l'existence. Je n'ai donc pas attendu pour m'introduire à nouveau en elle, m'agrippant bien à ses hanches rebondies et commençant ce mouvement de va et vient qui agitait nos deux corps. La belle et plantureuse poitrine de Mathilde oscillait sous elle en un mouvement ample et plein de sensualité. De temps en temps j'y portais la main pour tendrement épouser le contour d'un sein ou en agacer la pointe tandis que ma compagne se caressait le clitoris pour encore accroître son plaisir. C'est très longtemps que dura notre accouplement. Nous n'avions plus besoin de nous prouver notre passion par une jouissance rapide mais nous voulions l'un et l'autre, sans nous l'avoir dit, profiter de nos corps, longtemps, longtemps pour en retirer la quintessence.

 

Lorsque j'ai sentis que le bassin de Mathilde s'est mis à s'agiter, à trembler, à venir à la rencontre de mon sexe pourtant bien enfouis en elle, j'ai accéléré mon mouvement sans rien brusquer, lui ai empoigné un sein et me courbant, je lui ai embrassé le dos et lui disant simplement un "Viens !" sans équivoque.

 

Elle était prête aussi car elle s'est alors déchaînée, fourrageant entre ses cuisses et agitant son bassin d'une façon tumultueuse, secouant sa poitrine, mordant les draps en haletant… une cavalcade folle qui s'est terminée par le mélange de nos orgasmes longs… j'étais moi aussi à bout de souffle …

 

Repus d'amour nous sommes restés étendus, nus sur le lit pendant très longtemps… savourant encore le contact furtif de nos corps, une bouche rejoignant un pli du corps, une main épousant la courbe s'un sein alangui, une lèvre avide cherchant l'autre, un doigt explorateur…. Le post-coït est un moment merveilleux pour ceux qui savent le savourer.

 

Et dire que certains se lèvent alors pour fumer une cigarette ou pisser un coup ! Ignares ...

 

Mathilde, lovée contre moi, nos jambes mêlées me dit :

 

- Tu sais, mon chéri que tu es mon premier amant… Mon mari est loin et mes envies devenaient pressantes. J'ai trouvé en toi, presque par hasard, celui qui pouvait me satisfaire… nous allons maintenant devoir gérer notre liaison car nos deux carrières pourraient être en jeu. Ce soir, tu m'as fait jouir et rejouir comme jamais je n'avais permis à mon mari de le faire…

 

Je lui ai fermé la bouche d'un baiser et lui ai répondu :

 

- Profitons du temps présent … on verra pour le plus tard. Lorsque ton mari sera revenu, tout rentrera dans l'ordre et tu redeviendras madame le proviseur et moi le simple instit. On se sera donné du bonheur, volé à personne….

 

Bien sûr qu'un long baiser d'amour nous a fait taire tous deux.

 

- Reste passer la nuit ici, me demanda ma compagne. Les écoles sont en congé pour toute la semaine … partons à nous deux… ce sera notre semaine de fête, une fois dans notre vie...

 

Comme j'en avais envie et que je n'avais pas d'autres projets, j'ai accepté….

 

Nous sommes allé ensuite ensemble à la salle de bain et Mathilde a voulu fermer la porte pour faire son petit pipi… je l'en ai dissuadée et, très gamin, je lui ai remis sa postiche de barbe et moustache et son long bonnet rouge en lui demandant de faire pipi comme un homme ! Amusée, elle a accepté et, debout dans la douche, de ses doigts elle a serré ses lèvres vaginales et s'est libérée d'un long jet d'or dont elle maîtrisait la direction… moi je caressais ses seins tout en étant éclaboussé par son jet chaud et odoriférant…. C'était sublime ce Père Noël nu sauf barbe, moustache et bonnet qui faisait pipi debout… d'autant plus sublime et érotique que moi je savais qui était cette belle femme … un proviseur !

 

Mathilde voulut me rendre la pareille et me prenant contre elle, elle s'empara de mon sexe et je me suis aussi libéré. Elle conduisait mon jet à sa guise, arrosant sa chatte, ses cuisses, ses mains comme si elle avait fait cela toute sa vie … pourtant, me confia-t-elle, c'était la première fois et elle s'expliquait mal son laisser aller… Je lui ai murmuré à l'oreille :

 

- C'est l'amour …

 

Peut-être, mais ce n'est guère certain, y aura-t-il une suite à cette histoire. Cela dépend d'elle et moi.

 

ZIEVERTOT

 

Première édition non conservée (on se demande bien pourquoi ?) sur "revebebe en décembre 2002" sous le titre "Le Père Noël apporte des jouets pas qu'aux enfants …"

Publié sur Vassilia en janvier 2003

 

ebonyte@caramail.com

 

 

Par Zievertot - Publié dans : Années 1990
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Mardi 18 juin 2002 2 18 /06 /Juin /2002 14:18

Un petit café chez Sandra

par Sandra et Claude

 

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Ce texte a été publié il y a plusieurs années sur un grand site d'histoires érotiques par Helena sans que l'auteur ne se manifeste. Il peut, bien sûr, toujours le faire ! Mais il aurait été dommage que ce très bon texte "bi" ne figure pas en bonne place parmi les histoires publiées ici !

Un petit café chez Sandra

Au volant de ma voiture, j'avais de la difficulté à me concentrer sur la route. J'allais enfin rencontrer Sandra en personne. Cela faisait déjà un bon moment qu'on avait fait connaissance sur un forum de discussion. Ce matin-là je m'étais connecté avec l'espoir de la trouver en ligne. Non seulement elle était là, mais elle a accepté mon invitation à prendre un café.

J'étais ivre d'anticipation, serait-elle ce que je m'attendais ? Nos conversations sur le net étaient-elles un indice de ce qui allait se produire ? Était-elle prête à tromper son mari ? J'en savais rien. Cela faisait déjà quelques temps qu'on partageait nos fantasmes et nos désirs les plus intimes sur le net et on avait parlé au téléphone une fois. J'avais été enchanté par sa voix douce et sensuelle, elle m'avait mis hors de moi en me disant ses fantasmes les plus chers. Mon cœur battait tellement fort j'avais peur d'avoir un malaise.

J'ai réussi à me rendre tant bien que mal à l'endroit prévu pour notre rendez-vous. Serait-elle là ? Changerait-elle d'avis à dernière minute ? Je me suis présenté avec quelques minutes d'avance. Devant les portes du café convenu comme lieu de rencontre je vois une fille qui attend... c'est elle ? D'un air distrait, elle me regarde approcher. Mes doutes disparaissent quand je la vois un magnifique sourire se dessiner sur son visage. Elle est telle qu'elle s'était décrit et plus. Elle a des grands yeux vifs et un regard innocent qui la font paraître beaucoup plus jeune que ses vingt-cinq ans. Je presse mes pas, je lui serre la main et je l'embrasse sur la joue d'un baiser nerveux, en touchant à peine son visage.

- Sandra ?

- Oui. Comment ça va ?

- Très bien... Heu... hmmm... Je suis très content de te rencontrer... Uhh... s'cuse-moi si je ne sais pas trop quoi dire... Tu es vraiment ravissante.

- Merci... Moi aussi je suis un peu nerveuse...

- On va à l'intérieur ? On fera mieux connaissance devant une tasse de café.

- C'est pas nécessaire. J'ai l'impression de te connaître déjà comme un vieil ami. Viens chez-moi, on sera mieux à l'abri des regards.

Je n'ai pas hésité une seconde avant d'accepter son invitation. J'avais seulement un doute :

- Ton mari n'est pas là ?

- Il est au bureau. Il ne sera pas là avant sept heures... Alors tu viens ? T'as ton auto ? Je suis venue à pieds, j'habite à dix minutes d'ici.

Il commençait à pleuvoir et on a couru s'abriter dans l'auto. À l'intérieur, l'imper qu'elle portait s'est ouvert et m'a permis de découvrir une paire de jambes divines. Elle portait une jupe très courte en dessous et je ne savais pas si elle faisait exprès pour montrer le plus de peau possible. Pendant qu'elle me montrait le chemin à prendre, je jetais des regards furtifs en sa direction. Une bosse imposante prenait déjà forme sous mon pantalon. Elle n'a pas fait semblant de rien voir, au contraire elle m'a regardé directement dans les yeux en passant lascivement sa langue sur ses lèvres.

La voiture s'est arrêtée devant sa porte et nous sommes rentrés d'un pas rapide.

Sa demeure était décorée avec goût. Je me suis assis sur un divan moelleux au salon pendant qu'elle fermait les stores et m'offrait un verre. Assise sur la causeuse, elle m'a fait signe d'approcher. Nous avons commencé une conversation sur nos différents intérêts, j'ai complimenté sa maison en buvant lentement ce qu'elle m'avait offert. Après seulement quelques minutes, j'ai senti sa main effleurer ma jambe, qui était près de la sienne. Elle a pris le verre que j'avais encore dans ma main et l'a placé sur la table à café.

C'est toujours indescriptible cette sensation du premier baiser. J'ai senti sa bouche se poser sur la mienne et c'est comme si un éclair avait touché à terre. Nos langues se sont entremêlées. La sienne avait un goût de miel et amandes en pénétrant ma bouche. J'ai caressé l'intérieur de sa bouche avec des va-et-vient furtifs de ma langue. Elle a mis une jambe à chaque côté de moi et s'est assise sur mes genoux. Me devançant, elle a pris chacune de mes mains et les a posés sur ses hanches voluptueuses.

J'ai caressé chaque partie de son corps d'une main fébrile. Ses fesses et ses seins étaient d'une douceur infinie. Très habile, elle commençait à défaire mes boutons de chemise et ceux de sa blouse sans briser notre baiser. Elle a défait mon pantalon avec la même adresse, puis j'ai vu ses mains baisser sa jupe qui ne tenait que par un élastique. Elle s'est mise débout pour la laisser glisser à ses pieds. Sa blouse défaite et sa chevelure en désordre, elle avait l'air d'une femme dans tous ses états.

Elle m'a aidé à baisser légèrement mon pantalon et est venue coller encore une fois son corps au mien. Cette fois en m'embrassant sur le cou et la poitrine, elle a réussi à sortir mon sexe déjà surexcité de sa prison. Tout en lâchant des petits râlements, des oh ! Et des ah ! Elle commençait à me masturber lentement. Sa main massait la hampe de mon membre rigide, soupesait le sac se forçant sous mes caleçons, serrait le nœud fermement. Elle a descendu son corps pour se mettre à genoux entre mes jambes, traçant son chemin sur mon cou, ma poitrine et mon ventre avec sa langue humide.

J'ai senti sa bouche se serrer comme un étau autour de ma queue. Levant les yeux vers moi, elle a commencé une succion répétitive. Son visage était comme illuminé pendant qu'elle s'activait à prendre le plus possible de ma bite dans sa bouche gourmande. Elle était devenue une mangeuse de queues. Si elle ne faisait pas attention, elle allait vite recevoir une abondante décharge de sperme à avaler.

Son regard s'est égaré, elle semblait se concentrer sur cette pipe comme si la queue qui remplissait sa bouche était la seule chose au monde, de temps en temps elle la sortait de sa bouche et la léchait à grands coups de langue. Cela me permettait d'éviter un orgasme trop vite venu tout en me donnant d'agréables sensations. Puis, elle m'a dit :

- Vas-y... Tu peux décharger dans ma bouche... J'aime ça.

Et elle a entamé une pipe endiablée. Elle me branlait d'une main en suçotant sur le nœud de ma bite. C'était presque violent. Mon dos s'est cambré, mes jambes ont raidi et j'ai senti ce courant électrique qui précède la jouissance. J'ai giclé avec beaucoup de force une abondante quantité de liquide visqueux et chaud. Elle a arrêté son pompage que lorsque ma queue était devenue tellement sensible que c'était douloureux. Puis elle a remonté vers moi. Son visage était radieux.

- Tu n'as pas échappé une seule goutte.

- C'est mieux comme ça... Pas de gaspille.

- Merci. C'était magnifique... Mais je n'ai même pas caressé ton sexe. Je voudrais te donner autant de plaisir que toi tu m'as donné.

- Tu l'as déjà fait. J'ai joui sans me toucher... Mais si tu veux me caresser, je suis toute à toi.

En disant cela elle a écarté de son sexe sa petite culotte. Il suffisait d'un coup d'œil pour voir que sa forêt était inondée. Sa toison reluisait tellement elle mouillait. J'ai pu voir des longues coulées de jus qui descendaient le long de ses jambes.

Une envie soudaine de plonger mon visage entre ses jambes m'a secoué. Je voulais fouiner chaque recoin de sa fente avec ma langue. Laisser ma bouche éponger ses sécrétions généreuses. La prenant presque violemment par la taille, je l'ai fait s'étendre sur le sofa. Elle semblait amusée par mon empressement. Je me suis rué sur elle, j'ai commencé par embrasser sa bouche comme un affamé. Elle goûtait encore moi. J'ai léché et sucé son cou et ses épaules, je me suis attardé spécialement sur ses seins, que j'ai tété et mordillé avec délectation. Ses mamelons ont dressé tout de suite et elle a gémi un peu en s'abandonnant à mes caresses. J'ai frayé mon chemin le long de son ventre, son odeur de femelle commençait à remplir mes narines.

Quel plaisir que de trouver enfin l'objet de mes convoitises ! Ses jambes écartées, son sexe était offert à moi et à mes caresses buccales. J'ai placé sous ses fesses un coussin qui se trouvait sur le divan. Sa chatte était toute baveuse et gluante déjà, elle baillait légèrement et une traînée de jus allait échouer sur son anus rosé.

Son corps a raidi au premier toucher de ma langue sur son sexe. Ouvrant un peu sa fente avec mes doigts, j'ai trouvé petit son bouton sans difficulté. Il était tout rouge et demandait de l'attention, dressé comme une petite bite. Je l'ai roulé sur le bout de ma langue, je l'ai pris dans ma bouche pour l'aspirer, je l'ai massé en le pinçant entre mes doigts. J'ai léché son con au complet, sans rien négliger. Je le lapais comme un chat. Ma langue défilait tout le long de son sexe qui me gratifiait avec son liquide doux-amer. J'ai plongé ma langue dans son vagin, en le léchouillant l'entrée, j'ai pu sentir ses contractions qui voulaient emprisonner ma langue à l'intérieur. Puis, j'ai glissé ma langue vers le bas. Son anus s'est ouvert sans objections à mes attaques buccales, pendant que jouais avec son clito. Son orgasme m'a surpris tant par sa violence que par sa durée. En sentant ses frémissements, j'ai sorti ma langue qui fouinait les plis de son petit trou pour aller coller ma bouche sur son sexe fumant.

J'ai vite été récompensé par une coulée succulente de jus féminins. Ses jambes ont emprisonné ma tête, m'empêchant presque de respirer. Des longs flots de liquide salé ont rempli ma bouche et sont descendus en grosses gorgées chaudes.

Je ne sais pas si elle a crié, car j'avais les oreilles bouchées par ses jambes, mais son orgasme a duré ce qui me semblait être des longues minutes. Je n'ai pas arrêté de lui brouter la chatte que lorsque son corps s'est détendu et elle est restée molle comme une poupée de chiffon.

Je me suis assis à côté d'elle pour qu'on reprenne notre souffle. Mon sexe avait repris ses forces pendant que je m'occupais d'elle, mais elle avait l'air épuisée.

- Merci. C'était trop bon. Tu manges toujours aussi bien les chattes ?

- Je t'avais dit que je suis très oral. Je pourrais faire ça pendant des heures entières...

- C'est parfait ça ! Moi je pourrais me faire manger comme ça pendant des heures.

- Dommage... Ton mari va arriver trop vite. On n'a pas des heures devant nous.

- Tu sais quoi ? Elle m'a dit d'un ton presque moqueur.

- Quoi ?

- Tu te rappelles une fois... Tu m'as dit avoir un fantasme... Ça te tentait d'avoir une relation à trois... avec un mec bi ?

- Oui... Mais c'est pas mal difficile de trouver un couple partant.

- T'as toujours envie de le faire ?

- Bien sûr... Si l'occasion se présentait.

- Ok. Tu sais quoi encore ? Tu ne vas pas te choquer ? Mon mari n'est pas au bureau... Il est là derrière la porte du placard et il a tout vu.

- Heu ? !!

Mon cœur a fait un saut. Je ne m'attendais surtout pas à ça. Elle avait mal à contenir son fou rire quand elle a vu l'expression sur mon visage. J'ai retourné la tête en direction du placard à l'entrée et j'ai vu la porte s'ouvrir. Son mari est sorti comme si rien n'était et s'est dirigé vers nous. Il n'avait pas du tout l'air d'un mari cocu. Il était plutôt souriant. Il ne portait qu'un t-shirt et des boxers... L'image de quelqu'un qui profite d'une journée de congé à la maison pour flâner et pour... regarder sa femme s'éclater avec un autre mec !

- Salut... Ça va ? Moi c'est Claude.

- Euh... Oui ça va... Juste un petit peu surpris.

- T'en fais pas... Toi tu ne le sais pas, mais des fois quand tu chattais avec Sandra j'étais à côté d'elle et je te lisais. On aurait dû te dire tout de suite qu'on serait trois à la table mais elle a préféré te surprendre. Je suis content aussi parce que j'ai trouvé ça très hot de vous voir en cachette. J'espère que tu n'es pas choqué.

- Non pas du tout. Mais si vous me faites ça encore une fois je vais mourir d'une crise de cœur. Vous êtes sûrs qu'il n'y a plus personne de caché quelque part ?

- On est sûr !

L'ambiance commençait à être détendue. Ils avaient l'air d'un couple très complice et bien dans sa peau. Lui aussi avait une mine très jeune. Il était un bel homme dans la mi-vingtaine mais ses cheveux bouclés lui donnaient une apparence de gamin. Du coup, l'érection que j'avais perdue avec la surprise revenait. Ma queue commençait à s'enfler de nouveau. Les possibilités qui se présentaient maintenant étaient très excitantes. Sandra a parlé la première :

- Et si on passait dans la chambre ? On va être beaucoup plus confortable.

Elle n'avait pas terminé de prononcer ces mots qu'elle était déjà en route. Nous l'avons suivie dans la chambre sans perdre du temps. À partir de là tout s'est passé comme si on avait l'habitude de faire ça. Elle a sauté sur moi et m'a dépouillé de mes vêtements en riant comme une gamine. Son mari pendant ce temps ôtait le peu de sous-vêtements qu'elle avait encore. En le disant, on était nu, Sandra et moi. Il ne restait que Claude. Je l'ai aidé à enlever son t-shirt et Sandra, toujours rieuse, s'est accroupie devant lui pour faire descendre son boxer.

Elle a dévoilé un sexe semi-rigide. Ses bourses étaient rasées, ainsi que la base. Il ne gardait qu'une petite touffe entre la queue et le nombril. Je me suis senti presque jaloux. Sa queue n'était pas plus grosse que la mienne (de toute façon je ne suis pas si insécure que ça), mais elle était vraiment belle. Sandra s'est mise à lui caresser les jambes. Elle ne riait plus et avait pris un air sérieux.

Elle a pris son sexe entre ses mains et a amorcé une masturbation sur le membre de son mari. Je voyais sa queue grossir à vue d'œil. Elle caressait partout autour de cette queue qui pointait maintenant vers le plafond. Elle m'a fait signe d'approcher. Debout devant elle comme lui, elle a pris nos deux pieux entre chacune de ses mains. Elle nous masturbait lentement, on aurait dit qu'elle était fascinée par ces deux membres qui étaient durs seulement à cause d'elle. Elle pesait nos couilles comme pour essayer de voir lesquelles étaient plus dures. En nous tirant par la verge, elle nous a fait approcher de son visage.

Mon sexe est le premier qu'elle a embouché. On aurait dit qu'elle avait l'eau à la bouche, tellement c'était mouillé et chaud dedans. Sa salive coulait sur son menton et allait retomber sur sa poitrine haletante. Puis elle a retiré ma queue pour la remplacer par celle de Claude. Elle n'a jamais arrêté de nous branler simultanément, gardant un rythme constant.

Après avoir passé d'une queue à l'autre plusieurs fois, elle s'est arrêtée sur la mienne. De sa main droite elle a tiré sur celle de son mari pour le forcer à s'accroupir à son tour. J'ai tout de suite deviné ce à quoi elle voulait en venir.

Très vite j'ai eu devant moi ce couple libertin qui s'en chargeait de me sucer en tandem. Il n'avait pas autant d'expérience dans les fellations que sa femme mais il n'était pas maladroit pour autant. Il mettait beaucoup d'effort à aspirer ma bite dans sa bouche devant les yeux médusés de Sandra, qui venait parfois prendre la relève ou donner quelques coups de langue à mes couilles.

Puis elle a fait mettre Claude debout. Répétant ce qu'elle avait fait à son mari, elle m'a fait mettre à genoux à côté d'elle. Droit devant mon visage, son sexe paraissait plus gros qu'avant. Sans hésitations, j'ai foncé vers lui et je l'ai embouché d'un seul coup. Sandra ne faisait que regarder la plupart du temps, mais elle venait à l'occasion m'aider dans la fellation de son mari. Du coin de l'œil je la voyais se tripoter les seins et sa main qui frottait entre ses jambes avec insistance. Elle aimait le spectacle devant elle, dans son visage on pouvait lire le plaisir qu'elle retirait en se branlant avec notre show.

Sandra est venue se coller à mon oreille et elle a chuchoté quelque chose qui m'a donné des frissons :

- Je veux qu'il t'encule.

Elle m'a pris par les mains et m'a fait approcher le lit. J'avais les jambes en gélatine. D'une part j'étais terriblement excité, d'autre part j'avais terriblement peur. Elle m'a fait mettre la tête sur le lit. J'étais presque à quatre pattes. J'ai senti deux mains qui écartaient mes fesses et une langue mouilla mon anus de salive. J'ai regardé Claude à côté du lit et j'ai su que c'était elle qui perçait mon cul. Elle me caressait si bien avec sa langue ! Elle la passait partout : sus mes couilles et sur mes fesses, mais surtout dans mon cul.

Elle a fait mettre Claude derrière moi et a placé le nœud de son sexe dans l'entrée de mon cul vierge. J'ai retenu ma respiration un moment, en sentant cette queue qui commençait à percer. Je m'attendais à plus de douleur, mais elle s'est assuré que Claude prenait son temps et mon cul était vraiment trempé de salive. Après un moment, je le sentais commencer un va-et-vient dans mon anus. Elle me branlait tranquillement au début, après elle a pris la main de Claude et l'a mise sur ma verge pour qu'il s'occupe de moi et elle est venue se placer devant moi. Assise sur le lit, les jambes bien écartées.

Claude me fourrait de plus en plus fort et de plus en plus vite et moi je léchais Sandra avec la même force, sinon plus.

J'ai senti Sandra tirer sur mon épaule et j'ai tout de suite compris ce qu'elle désirait. Marchant sur mes genoux et sans arrêter mon enculage, je l'ai rejointe sur le lit. Maintenant couchée et les jambes bien écartées, je n'ai pas perdu de temps et je me suis enfoncé en elle, profitant des coups de bite que Claude donnait dans mon derrière.

Elle semblait hors de soi. M'embrassant passionnément et me disant des noms à l'oreille.

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- Petit enculé.... Ahhh... hmmm... Je le sens en toi... Hmmm vas-y enculé, baise-moi encore plus fort.

Son vagin caressait chaque nerf de ma queue et j'avais le cul à vif. Claude me défonçait le cul comme un déchaîné maintenant. Je savais qu'il allait jouir en moi bientôt. La pièce au complet sentait le cul et on entendait les bruits de nos sexes moites dans nos orifices encore plus humides.

Elle a joui la première. Les contractions de son vagin sur ma queue ont eu un effet incroyable. Le cul bien rempli, mon orgasme a été dévastateur. Très long. J'ai serré le cul en même temps, ce qui a fait Claude m'envoyer un arrosage de foutre gluant dans le cul.

Épuisés, nous sommes restés comme ça pendant des longues minutes. J'ai senti Claude débander et abandonner mon cul meurtri, laissant échapper une abondante coulée de sperme de mon boyau. Je suis resté accouplé à Sandra pendant un moment mais finalement ma queue a dégonflé et quitté la gaine qui l'accueillait.

On était trempé de sueur et après un bref repos nous avons sauté sous la douche. Sandra et Claude se sont montrés très sympas, m'offrant de rester à dîner et même à passer la nuit. Pendant qu'on mangeait un excellent repas arrosé de vin rouge, Sandra m'a rappelé un fantasme qu'elle avait partagé avec moi avant :

- Tu sais ? J'adore la sodomie et j'aimerais toujours avoir deux hommes en même temps. Ça doit être quelque chose de se sentir remplie comme ça...

 

Sandra et Claude

Par Sandra et Claude - Publié dans : Années 1990
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