Années 1990

Dimanche 2 septembre 2001 7 02 /09 /Sep /2001 13:21

Un trio particulièrement humide

Par Tony

 

Stamp uro

 

Bonjour, Toutes mes félicitations pour ce superbe site qui fait la part belle à l'uro et à la bisexualité ! J'avais écrit il y a quelques temps une histoire pour le site revebebe, elle cadre parfaitement avec l'esprit de votre site aussi je me permets de vous demander si vous ne voudriez pas l'inclure dans la liste des récits. Amicalement, et bonne continuation. Tony

 

L'histoire que je vais vous raconter débute dans un grand magasin où je suis en train de faire quelques courses, je choisis deux pantalons dans le rayon homme et je me dirige vers les cabines d'essayage en même temps qu'un couple. Je remarque tout de suite la femme. Elle a des yeux superbes et un visage très doux. Elle est blonde avec des cheveux longs, de grands yeux bleus qui vous fixent avec une telle intensité que je suis presque gêné. Elle doit avoir dans les 30-35 ans. C'est plutôt difficile à dire. La personne qui l'accompagne - que je suppose être son mari - est un homme d'environ 40 ans plutôt du genre BCBG assez sérieux. Le mari referme le rideau derrière son épouse, moi je m'installe dans la cabine opposée un peu en amont. Le rideau de la cabine de cette femme n'est pas très bien refermé et il ne m'est pas difficile de la voir se déshabiller. C'est trop tentant et je ne peux m'empêcher de regarder. Elle soulève son tee-shirt. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Je l'avais deviné auparavant mais je l'imaginais avec une poitrine un peu plus forte. En fait, elle a encore une poitrine d'adolescente mais ses tétons fièrement dressés me font beaucoup d'effet.

 

Le mari se retourne brutalement, devine à mon regard ce que j'essaye de mater. A ma grande surprise, au lieu d'avoir une expression furieuse, son visage s'épanouit et il me lance un sourire. Puis il entrouvre le rideau de l'autre côté et parle à sa femme suffisamment bas pour que je ne l'entende pas. Contrairement à ce que je pensais, son épouse entrouvre un peu plus le rideau et se retourne dans ma direction pour se déshabiller. Je déglutis, j'ai un peu honte de cet acte de voyeurisme mais cette invitation est trop tentante pour que je détourne mon regard. La jeune femme essaye une jolie petite robe bleue puis se dévêtit à nouveau pour enfiler ses vêtements précédents. Voyant qu'ils en ont terminé, je referme le rideau sur moi car je n'oserais pas croiser leur regard de près. Je les entends rire puis soudain un bras - celui de la femme - passe sur le côté du rideau. Je l'entends parler comme si de rien avec son mari de banalités concernant une soirée entre amis. Sa main ne reste pas inactive. Elle mime le fait de branler un homme. Je reste un moment sans bouger puis, osant le tout pour le tout, je baisse mon slip - j'avais déjà retiré le pantalon - et avance ma queue raide depuis déjà un moment vers cette main qui me réclame. Cette main empoigne aussitôt mon sexe et commence à me branler doucement avec une maîtrise et un savoir-faire qui en dit long sur l'expérience de cette femme. C'est si bon que je ne résiste pas bien longtemps à ces mouvements de va-et-vient sur mon sexe. Je jouis dans un râle en essayant de ne pas trop crier de plaisir. Sa main continue de me caresser, ses doigts s'enroulent autour de mon gland et bientôt sa main est remplie de mon foutre.

 

Elle retire son bras, je ne bouge pas, puis je vois le rideau bouger. Elle et son mari passent la tête dans la cabine. Devant moi, elle lèche le creux de sa main puis son mari fait de même et suce les doigts pleins de sperme de son épouse. Ce dernier me tend une carte de visite avec leurs coordonnées et ils lancent en cœur un :

 

" - A ce soir ! ".

 

Ils referment le rideau me laissant le sexe pendant encore gluant de sperme avec leur carte de visite à la main que je m'empresse de lire. Ils se prénomment Christelle et Alex. Au dos de la carte, il est écrit :

 

" - Tu nous plais, rejoins-nous ce soir vers 20 heures à l'adresse indiquée sur la carte "

suivi de la curieuse phrase suivante :

" - Bois beaucoup d'eau avant de venir, s'il te plait "

 

Je passe tout le reste de la journée à ne penser qu'à ça. Aussitôt rentré chez moi, je me dirige vers la salle de bain, je prends un bain, me nettoie partout - surtout les parties intimes puis attend anxieusement l'heure venue. Je connais bien la rue indiquée sur l'adresse et je fais les cents pas dans l'appartement en attendant la soirée. Je bois pratiquement un litre et demi d'eau comme ils me l'ont demandé.

 

Vers 19 heures 30, je prends ma voiture et me rends à l'adresse indiquée, c'est une jolie petite maison avec un petit jardin devant. Je sonne, c'est Christelle qui vient m'ouvrir, elle est vêtue de la jolie robe bleue qu'elle avait essayée dans la cabine. Elle me fait entrer, me serre la main puis prend mon bras pour me diriger vers ce que je devine être le salon. Le store de la fenêtre est baissé et je vois à terre un grand drap qui a été allongé à même le sol. Alex est assis sur le canapé, il vient vers moi et me dit :

" - Détend toi, ici, tu vas pouvoir satisfaire tous tes fantasmes "

 

Je lui dis que sa femme est très belle.

 

" - Viens à côté de moi " dit-il, elle va nous faire un strip-tease.

 

Sur une musique très douce, elle commence à onduler son corps puis retire doucement sa robe dévoilant presque aussitôt une nudité totale. Je peux enfin savourer de près sa petite poitrine. Ses seins sont petits mais magnifiques, sa chatte peu poilue dévoile des lèvres charnues. Je salive et sens la main d'Alex se poser sur mon genou.

 

Christelle me tend les bras et m'invite à la rejoindre au centre du salon. Le simple fait de me lever me donne une terrible envie d'uriner vu la quantité d'eau que je viens d'avaler. Mais je trouve trop indécent d'en parler. Lentement, elle me déshabille sous le regard intéressé de son mari. Je me retrouve bientôt au milieu de la pièce avec une grosse bosse dans le slip qui reste ma seule tenue. La main de Christelle caresse cette bosse puis elle me demande de faire pipi dans mon slip. Je suis un peu surpris par sa demande malgré le fait que je me doutais bien de ses intentions. Il ne m'a pas fallu longtemps pour satisfaire son envie car ma vessie était pleine à craquer et bientôt un filet de pisse marqua le slip en s'agrandissant petit à petit puis glissa tout le long de ma jambe. Christelle se mit à genou devant moi, caressa à nouveau mon slip humide, se place en dessous de moi puis lécha celui-ci, mordillant mon sexe à travers le tissu peu épais. Parfois sa langue récupérait le trop plein qui coulait sur mes jambes. J'urinais par petites saccades pour faire durer le plaisir. Au bout de quelques instants, elle retira mon slip trempé, s'allongea au sol sur le dos et me demanda de me mettre à califourchon sur son ventre.

 

Alex se leva à son tour se déshabilla rapidement puis la queue fièrement dressée se plaça debout au-dessus du visage de son épouse. Christelle me dit :

 

" - Maintenant tu vas sucer Alex tout en continuant à m'uriner sur le corps car j'ai envie de prendre une douche de ta pisse "

 

Je ne me suis pas fait prier. Alex n'avait pas une queue très longue mais par contre, elle était bien grosse. J'ai commencé par m'attarder sur son gland. Il y avait une forte odeur de mâle qui me plaisait dans cette fellation. Tout en m'évertuant à procurer du plaisir à mon partenaire masculin, je n'en oubliais pas pour autant mon partenaire féminin sur laquelle je vidais avec le plus grand plaisir ma vessie. Elle se malaxait la poitrine sous cette douche dorée. De temps en temps, elle se relevait, prenait ma bite en main et dirigeait le jet de pisse vers son visage. Parfois même, elle gobait cette queue et j'urinais à même sa bouche. C'était merveilleux ! Les mains d'Alex ne restaient pas inactives. En effet il me prit par les cheveux et faisait faire à ma tête des mouvements de va-et-vient incessants sur sa queue m'obligeant presque parfois à enfoncer sa tige très loin dans ma gorge.

 

Ma vessie était maintenant complètement vidée et Christelle se chargea de rendre à ma queue un peu de vigueur. Je sentis sa langue tourner autour de mon gland. Il ne lui fallut pas longtemps pour avoir la bouche pleine car ma queue finit par grossir rapidement sous la langue agile de cette belle salope. De mon côté, je me régalais car je voyais Alex gémir et je savais que je lui ferais plaisir si je le laissais jouir dans ma bouche. Et puis j'en avais trop envie. Cette odeur de mâle me rendait fou. Puis sans me prévenir, il s'est mis à hurler en me serrant contre lui. J'ai reçu les premières giclées directement au fond de ma gorge et j'ai ensuite sortit son sexe tout en laissant ma bouche grande ouverte pour en recevoir partout sur mon visage. Cela n'en finissait pas, son éjaculation était très abondante et je me suis rapidement retrouvé le visage complètement maculé de sperme. J'ai quand même continué à le sucer car je sais combien c'est agréable de se faire sucer juste après la jouissance.

 

Christelle me disait :

 

" - T'en as partout, hein ! T'aimes ça toi aussi. Donne-moi le tien aussi. Vient sur moi ! J'en veux aussi plein la bouche, plein mon visage "

J'ai donc commençais à me branler devant son minois. Au bout de quelques instants, j'éjaculais à mon tour avec plusieurs saccades moins abondantes qu'Alex mais tout aussi crémeuse sur le visage de Christelle comblée. Le mélange d'urine et de sperme sur son visage était fascinant. Elle se pourléchait et me demanda de l'embrasser. Cette invitation était trop belle pour que je la refuse. Nos langues se sont donc mêlées dans un baiser baveux ou se mélangea urine et sperme. Cela dura longuement puis Alex voulut aussi m'embrasser... Je n'ai pas refusé. Je crois, de toute manière, que je n'aurais pas été capable de refuser quoique ce soit ce soir-là !

 

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Nous sommes restés ainsi allongés à nous caresser et nous lécher pendant une bonne quinzaine de minute le temps de bien récupérer des forces et nous permettre d'honorer comme il se doit la chatte de madame. C'est son mari qui commença, il n'eut pas beaucoup de difficultés à pénétrer son épouse, elle était trempée et son sexe entra très facilement. il la besogna pendant que moi je caressais chaque partie de son corps en insistant sur cette poitrine qui m'avait tant excitée dans le grand magasin. Christelle était aux anges, le gros sexe d'Alex avait tout pour la combler et sa résistance me surpris ! Il semblait ne jamais être gagné par l'envie de jouir. Elle - par contre - avait orgasme sur orgasme et je peux vous garantir que ce n'était pas de la simulation. Lorsqu'elle était arrivée au summum de son plaisir, elle demanda à son mari de lui remplir la chatte de foutre. Il activa donc sa pénétration et se lâcha dans un râle qui faisait plaisir à voir. Lorsqu'il se retira, un filet de sperme mélangé à de la sécrétion féminine dégoulinait de la chatte trempée de Christelle. Celle-ci m'invita à déguster ce nectar. J'écartais donc les jambes de Christelle et commença par nettoyer les abords de ses lèvres par de petits coups de langues. Ensuite, écartant au maximum celles-ci, j'enfournais profondément ma langue dans cette chatte et me régala de ce délicieux cocktail. C'était délicieux et je sentais Christelle expulser à chaque jouissance du liquide que je m'empressais d'avaler.

 

Moi aussi j'avais envie de pénétrer cette chatte devenue maintenant bien odorante et je pointais donc, à mon tour, mon sexe à l'entrée de son vagin. Elle l'accepta sans problème, c'était très chaud à l'intérieur et je savais que je ne résisterais pas aussi longtemps qu'Alex à cette douce intimité qui m'englobait la queue. En moins de trois minutes, je fus pris d'une terrible envie de jouir et ce fut dans la bouche d'Alex que je fus cette fois-ci invité à me vider. Au lieu de recevoir une partie de mon éjaculation sur le visage, il préféra garder tout en bouche sans avaler. Je compris quelques instants plus tard pourquoi... Penché sur le visage de sa femme, il laissa couler doucement le sperme de sa bouche sur les lèvres de son épouse et ils finirent le spectacle par un baiser tout aussi gourmand que celui que j'avais eu l'occasion d'avoir tout à l'heure.

 

L'histoire que je viens de vous raconter, je ne l'ai malheureusement pas vécu. C'est juste un des nombreux fantasmes que j'aimerais vivre….

 

Tony. Première publication sur Vassilia, le 02/09/2001 tony.carin@caramail.com

 

 

 

 

Par Tony - Publié dans : Années 1990
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Dimanche 19 août 2001 7 19 /08 /Août /2001 09:35

Nos sorties le vendredi soir...

Par Fantasy (Couple coquin… un peu exhibitionniste)

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Nous sommes mariés depuis plus de 10 ans et avons tous les deux développés une complicité assez prononcée sur tous les sujets, mais aujourd'hui je vais vous parler de notre complicité sexuelle comme votre site s'y prête bien.

 

Tout d'abord, je dois vous préciser que nous habitions Québec et maintenant déménagés aux USA... Elle a 36 ans et j'en ai 34, elle est très jolie, elle fait 5' 5, 128 livres, les cheveux longs noirs, les yeux noirs, une poitrine de 36 c, elle a un style espagnol, moi, 5' 10, blond, yeux bleus, 150 livres, sexe de 7 3/4. Tous les deux nous sommes adeptes de l'épilation...

 

Traduction en mesures métriques par le webmaster : elle fait 1,65, 58 kg, les cheveux longs noirs, les yeux noirs, une poitrine de 90 C, elle a un style espagnol, moi, 1,78, blond, yeux bleus, 68 kg, sexe de 19,5.)

 

J'aime sortir ma femme tous les vendredis soirs, je l'amène dans les restaurants de la ville, toujours de nouvelles places, rarement le même, j'aime qu'elle soit vêtue sexy, robe, jupe, cat suit... J'aime la voir s'habiller sexy et j'aime que les gens se retournent sur son passage.

 

Alors maintenant je vais vous raconter comment vendredi dernier j'avais prévu la soirée, nous avions au préalable réservé une table pour 20 heures, j'avais fait des achats via Internet et j'ai reçu le tout trois jours avant ce vendredi. J'avais commandé une robe noire un peu transparente, un long décolleté s'attachant sur le devant avec une sorte de lacet. Une fois enfilée, ma femme pouvait faire elle-même l'ajustement du lacet, soit le serrer complètement ou soit le laisser lousse pour que l'on puisse voir une bonne partie de son cou jusqu'à son nombril et la courbure de ses seins. Après qu'elle eut revêtu cette robe, on pouvait voir ses seins par la transparence du tissu étiré. Pour ce qui est de la longueur du bas, elle mesurait environ 35 cm et on pouvait facilement voir ses belles jambes...

 

J'aime quand ma femme sort sans culotte et de plus avec cette robe avec le devant en lacet il est pratiquement impossible de mettre de soutien-gorge... alors c'est comme ça que nous sommes sortis ce vendredi, j'aime utiliser les services d'un taxi, ça évite de chercher un stationnement et ça nous permet de prendre quelques verres en toute sécurité. Il n'est pas rare de revoir le même chauffeur pour le trajet, même que des fois il nous demande s'il peut venir nous reprendre après notre soirée, ils nous laissent leur numéro de téléphone pour les contacter directement sans passer par l'agence... Quelques fois nous le rappelons et d'autres fois nous préférons appeler une autre compagnie de taxi...

 

Cela dit, nous embarquons dans la voiture et le chauffeur ne manque jamais de regarder bien où il le faut... Il peut apercevoir ses seins ou bien sa chatte épilée... J'entre à mon tour deux ou trois secondes derrière elle et je prends place, je donne l'adresse et le nom de l'établissement où nous désirons aller, et on part...

 

Tout le long du trajet, j'en profite pour glisser ma main entre les cuisses de ma femme, celle-ci ouvre immédiatement les jambes pour me faciliter l'accès à sa belle fente... J'aime bien la masturber tout le long du trajet... Elle devient toute humide et chaude comme j'aime...

 

Une fois arrivés au restaurant, je paye le type, je sors et elle sort, mais souvent sa robe est remontée et le type a une superbe vue, elle sait que cela m'excite alors elle prend son temps pour bien lui montrer ses parties intimes... Nous entrons dans le restaurant et on nous place à l'endroit réservé, souvent près de la rue, devant la terrasse, sur le bord des vitrines, un premier serveur nous apporte l'eau et le cendrier, ensuite un autre prend notre commande de boisson. Sans montrer que ma femme lui fait de l'effet, il la regarde discrètement sans montrer qu'elle l'excite... Il part quelques instants et revient avec nos consommations, nous trinquons quelques verres, question de détendre l'atmosphère et oublier le stress de la semaine...

 

Quand ma femme a quelques verres de pris, elle devient un peu plus exhibitionniste et fait volontairement de la provocation. Sous la table, je joue du pied et j'arrive toujours à sa chatte humide, j'aime l'exciter là et savoir que peut-être que quelqu'un a remarqué notre manège. Après quelques consommations, l'envie inévitable de se rendre aux toilettes se fait sentir. Elle part quelques minutes et revient. Quand elle n'est pas là, j'en profite pour tirer sur la nappe de mon côté, déplacer sa chaise pour offrir plus de visions aux autres hommes dans la place. Elle revient, s'assied et nous recommençons à parler de tout et de rien... de sexe devrais-je dire...

 

Le serveur vient plusieurs fois vider notre cendrier, remplir nos verres et je sais qu'il a une très bonne vue sur les attributs de ma femme... J'ai remarqué quelques clients qui observent discrètement les moindres gestes de ma femme... et ils en sont ravis aussi... Après un certain temps, je demande à ma femme de défaire le lacet de sa robe, ce qui laisse apparaître presque complètement ses seins... Je lui demande aussi d'écarquiller ses jambes aussi, le serveur revient et il voit tout, il est dans tous ses états et je lui demande son opinion, il répond :

 

- Sur quoi ?

- Ma femme me dit qu'elle aimerait avoir de plus petits seins, qu'en pensez-vous ?

 

Il répond tout rouge

 

- Hé hé, hé, bien moi je les trouve bien comme ça.

 

Ma femme de répondre,

 

- Vous ne les trouvez pas un peu gros, ils ne se tiennent pas tout seul, regardez, même mon lacet ne suffit pas à les retenir..., joignant le geste à la parole... Pensez-vous que je devrais rattacher mes lacets ?

 

Le serveur lui répond,

 

- Damme, soyez à l'aise, faîtes comme bon vous semble, mais moi je les trouve très bien comme ça...

 

Ensuite il part... rouge... intimidé...

 

Nous parlons de ça entre nous et je sais que ma femme a très envie de moi, je lui demande alors d'insérer ses doigts dans sa fente humide et ensuite de me les donner à lécher... Ce qu'elle fait sans trop porter attention aux autres clients, j'adore goûter à son miel d'amour et m'en délecter...

 

Je lui demande aussi de se masturber aussi discrètement, ce qu'elle fait sans se faire prier... Le serveur revient et cette fois avec les menus, nous choisissons nos plats et ma femme lui demande ce que contient l'assiette. Le gars se penche un peu pour lire les ingrédients et lui expliquer. En même temps, je pousse un peu la chaise pour qu'il puisse aussi avoir une bonne vue sur sa chatte épilée... Le gars ne regarde plus que ses seins et sa chatte humide, mais il semble plus à l'aise que tout à l'heure... Il ne se gêne pas pour détailler sa chatte. Ma femme, audacieuse, prend plaisir et ose se passer un doigt dans sa fente sous ses yeux, le gars me regarde et me dit qu'on doit être de super vicieux et que, s'il n'était pas en train de travailler, il aimerait bien nous accompagner... Bref, il aime ce qu'il voit et adore notre jeu, sans savoir si c'est un jeu... ou simplement de la provoc.

 

Les commandes sont prises et le serveur s'en va, ma femme retourne aux toilettes et elle a un sein complètement hors de sa robe, pris dans la corde je dirais. Plusieurs hommes ne se privent pas du spectacle. Aux toilettes, elle se masturbe frénétiquement et puis en ressort quelques instants après, elle a réajusté son sein dans sa robe... Je sens tous les regards sur elle maintenant...

 

Nos plats arrivent, nous commençons à manger. Dans le plat de ma femme il y a un petit mot disant, Je termine vers 2 heures du mat et un numéro de téléphone... Dans son assiette, il y a cinq ou six petites patates, je lui demande de s'en insérer trois dans le vagin, elle s'exécute... Elle les garde là jusqu'à temps que je lui dise la suite...

 

Nous terminons notre repas et quittons le restaurant, nous marchons un peu et allons dans un petit bar, nous choisissons une place au bar, assis sur de hauts tabourets... Là, discrètement, je demande à ma femme de retirer les petites patates, mais elles ne sont plus rondes mais plutôt comme de la purée. Elle va aux toilettes et les expulse... J'aurais bien voulu les manger, mais rondes, pas en purée...

 

Nous commandons un verre, des gars nous regardent... Je demande à ma femme si elle veut jouer au billard, elle accepte, vous savez toutes les positions qu'elle a pu prendre pour jouer, jambes écartées, semi-couchée sur la table, le cul bien en évidence. On voit les gars essayer de ne rien perdre... On se fait payer des tournées...

 

Il commence à se faire tard et on quitte, on appelle le taxi, le même, il arrive dix ou quinze minutes après et nous demande si on retourne à la maison, je lui réponds,

 

- C'est sûr, mais on va probablement s'arrêter en chemin...

 

Ok, on démarre et, à un moment donné, ma femme demande d'arrêter en bordure de la route pour un petit pipi. Le gars arrête... Elle sort et s'accroupit... Je sors immédiatement moi aussi et, lorsqu'elle a terminé son pipi, je me baisse pour la lécher et bien l'essuyer de ma langue. Le chauffeur est tout excité de voir ce spectacle et ne manque pas une miette du spectacle...

 

Je ferme la porte de derrière et j'appuie ma femme de dos à celle-ci. Je lui relève la robe et je me place à sa gauche pour laisser le chauffeur bien voir ce que je lui fais. Je commence à la masturber un peu, enfonçant un, deux, trois doigts en elle, je fais plusieurs allers en elle, je la pénètre bien, son souffle s'accélère... Maintenant qu'elle est bien dilatée et surtout très mouillée, j'enfonce complètement ma main en elle, je la fiste un bon moment, elle se tortille.

 

Des voitures passent près de nous, mais ne semblent rien voir du spectacle. Ma femme est très excitée par le passage fréquent des voitures et par la présence du chauffeur. A son tour il débarque de la voiture et se positionne devant elle à environ deux mètres, elle ouvre les yeux et elle l'aperçoit, elle atteint un orgasme fulgurant, et elle en redemande.

 

Le chauffeur a dézippé son pantalon et sort sa queue qu'il commence à masturber. Je prends dans une de mes poches un préservatif et le place dans la poche de ma chemise. J'enlève à mon tour mon pantalon et entreprends maintenant de la pénétrer. Je me sens lousse après le passage de ma main. J'ouvre la porte de la voiture et je m'assois. Je fais asseoir ma femme sur moi et pénètre facilement sa chatte, elle est assise sur moi bien ouverte faisant face au chauffeur. Je fais signe au chauffeur de s'approcher un peu plus pour qu'il puisse bien admirer les mouvements de sa chatte. Il est bandé au max, il continue de se masturber. Je jette à l'occasion des regards à son membre un peu plus gros que le mien, je fouille dans ma poche pour prendre le préservatif et je fais signe au chauffeur de le prendre, le chauffeur ne se fait pas prier et l'enfile lui-même. J'attire ma femme plus contre moi, offrant une meilleure vue de la chatte de ma femme, de mes deux mains, je l'écarquille pour laisser comprendre au chauffeur de venir en elle aussi. Il s'approche, il se tient avec une main sur le toit de la voiture et de l'autre main dirige son membre en elle, je le sens bien et ma femme est surprise de le voir si près et elle réalise qu'il est en elle. Elle voudrait protester mais le plaisir lui fait perdre toute inhibition...

 

Le chauffeur est bien en elle et je sens bien son membre caresser le mien, il s'accélère, ma femme commence à gémir comme jamais je ne l'avais entendu. Après quelques minutes j'éjacule en elle, elle crie, je laisse terminer le gars, il remplit le préservatif en un long râle de jouissance...

 

Il se retire, je me retire, ma femme toujours sur moi essaye de reprendre un peu ses esprits. Je demande au chauffeur s'il a aimé, oui de répondre, il a très bien aimé. Je lui demande de me détailler sa chatte, parce que je suis toujours derrière elle. Il me dit :

 

- Très ouverte et dégoulinante de sperme, le clitoris d'un rouge vif...

 

Je lui demande s'il aime lécher le sexe d'une femme. Il répond "Oui"... Alors je lui demande de bien la lécher. Il hésite, probablement à cause de la grande coulée de sperme...

 

Ma femme me demande d'attendre un peu, qu'elle a probablement la chatte en feu et une petite pause est bien méritée. En disant cela, le chauffeur plonge sa tête entre les deux cuisses bien ouvertes de ma femme et commence à la lécher. Elle sursaute, elle croyait sans doute que le chauffeur allait attendre un peu, mais non... Il la lèche habilement, pénètre sa langue bien profondément en elle. Elle bouge, se tortille, je suis toujours sous elle... Elle bouge tellement qu'elle m'écrase sans le vouloir.

 

Je la tasse sur le côté et sort de la voiture, je regarde l'homme s'exécuter... Je suis tout excité. Après quelques autres coups de langue, elle jouit encore... Elle demande grâce...

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Nous prenons une pose et parlons avec le chauffeur, les voitures n'arrêtent pas de passer... On décide de tous reprendre nos places et de repartir. Je propose au chauffeur de prendre un dernier verre dans un petit bar sur la plage, ma femme est crevée et voudrait plutôt rentrer se reposer. Mais on vote, deux contre un, et on va au bar. Il n y a que deux autres clients qui sont prêts à partir. Nous venons juste de nous asseoir au bar sur des tabourets tournants quand le serveur dit : "C'est le last call", alors on commande doubles consommations.

 

Je me dirige vers les toilettes, il y a une distributrice à brosse à dents et préservatif, j'en achète deux. Je reviens et je m'assois, ma femme est entre nous deux. Je fais signe au chauffeur que j'ai quelque chose pour lui dans ma main, il tend sa main et je lui donne le préservatif.

 

Nous commençons à discuter de tout ce qui vient de se passer, comment ma femme était mouillée, comment elle a joui... Le serveur est à nettoyer mais il écoute attentivement notre conversation... Ma femme me dit qu'elle va aux toilettes, je lui demande

 

- Est-ce pour te masturber... .

 

Le serveur répond

 

- Pas besoin d'aller vous masturber seule dans les toilettes, elle pouvait le faire ici...

 

Elle de répondre

 

- Non, c'est pas pour ça, j'ai envie de pipi... .

 

J'attrape un verre et lui dis qu'elle peut le faire dans le verre ici, le serveur de répondre,

 

- Et bien oui, j'en ai plein d'autres s'il en manque...

 

Ma femme est gênée et se rassoit... Le serveur nous dit qu'elle est désirable et excitante. A ces mots, je relève la robe de ma femme et approche un verre de sa chatte. Le serveur est dans tous ses états de voir sa chatte épilée et toute rouge... Je positionne le verre à l'entrée de son vagin mais elle est incapable de pisser... Probablement la gêne...

 

Je commence à lui glisser trois doigts dans la chatte et le chauffeur commence à lui pétrir les seins... Le serveur nous dit de ne pas se gêner... Je relève complètement la robe de ma femme et le chauffeur m'aide à la passer par-dessus sa tête. Elle est complètement nue à l'exception de ses bas et talons hauts. Je la prends dans mes bras et l'assieds sur le comptoir. Je commence à la manger, le serveur commence à lui pétrir les seins, le chauffeur se défait de son pantalon, commence à se masturber, enfile le préservatif. Je lui fais signe de s'asseoir sur le tabouret. Je déplace ma femme et hop ! Je l'embarque sur le chauffeur, son sexe est en elle complètement.

 

Le serveur se défait à son tour de son pantalon et me demande si elle suce. Je lui dis que non... Je lui présente le deuxième préservatif que j'avais acheté dans les WC. Il me regarde et puis l'enfile.

 

Après quelques minutes je demande au chauffeur de faire place au serveur. Il a une belle queue, mais plus petite que les nôtres. Il s'approche de ma femme qui est maintenant assise sur le tabouret. Il se pointe devant elle, elle a les jambes écartées et les pose sur le comptoir, comme pour lui dire qu'il ne pourra pas lui échapper... Il entreprend ses va-et-vient et, au bout de sept ou huit minutes, il remplit le préservatif en un long râle...

 

Il se retire, ma femme me regarde et me dit que sa chatte est en feu... Je demande au chauffeur s'il aime enculer, "Oui", qu'il répond. La même question au serveur, même réponse. Ma femme prend la parole et dit :

 

- Ok, vous aimez enculer, ben vous aller enculer mon mari sous mes yeux.

 

Les gars se regardent, hésitent. Elle reprend : Si vous ne voulez pas, on arrête tout tout de suite...

 

Elle vient retirer mon pantalon et commence à me lécher l'anus. Elle me lubrifie et commence à glisser ses doigts en moi et ensuite elle prend le serveur par la queue et le dirige dans mon trou. Il commence sa pénétration, j'ai un peu mal, mais j'encaisse, ma femme est sous moi léchant mon sexe et les couilles du serveur... Il jouit et se retire.

 

Maintenant au tour du chauffeur de me pénétrer, il est plus gros, mais je le prends tout... Il s'active de plus en plus vite, je jouis tellement c'est bon... Il jouit à son tour et se retire, ma femme vient derrière moi et commence à glisser ses doigts en moi, ensuite la main entière... Dieu que c'est bon, j'en redemande... Après quelques minutes de ce sport, je ne supporte plus cette main en moi et me dérobe...

 

Je prends mon souffle, je suis assis sur le tabouret, ma femme vient s'empaler sur moi et demande aux deux autres de se tenir de chaque côté, elle leur tend chacun une jambe et demande de la soulever à la hauteur de mon visage pour que je lui lèche le vagin. Je commence à lui lécher quand soudain elle m'expédie un gros jet d'urine en plein visage. Les gars aiment ça et l'encourage à continuer. C'est ce qu'elle fait, elle m'arrose et ça ne semble pas terminer tellement elle a envie. J'en ai plein la bouche, les cheveux, ma chemise est toute mouillée...

 

Quand elle a terminé, elle me regarde et me demande de la baiser encore une dernière fois mais dans ses fesses, je m'exécute, je jouis en elle. Elle a du sperme qui lui coule de ses fesses, elle insert un doigt dans ses fesses et le donne au chauffeur pour qu'il le suce, ensuite au serveur. Après elle me dit,

 

- A toi de nettoyer le reste.

 

J'ai dû lui lécher l'anus jusqu'à ce qu'elle soit contente de mon nettoyage...

 

Il est 4 h 30 du matin, le chauffeur nous propose de nous ramener... Le serveur ne nous a même pas fait payer nos consommations et nous demande de revenir une autre fois...

 

Nous débarquons à la maison fatigués et allons dormir... toute une soirée, et nous nous sommes promis de recommencer vendredi prochain le 17 décembre...

 

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Fantasy

 

Première publication sur Vassilia, le 19/08/2001

Par Fantasy - Publié dans : Années 1990
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Dimanche 12 août 2001 7 12 /08 /Août /2001 13:43

Véronique a renversé le thé

par Bougetoi

 

Gode stamp

 

Véronique a renversé le thé


Mon nom est Sylvain et je souhaite que la petite histoire que voilà va vous faire autant de bien qu’à moi… 


Ce soir-là je me trouve chez des amis (Véronique et Patrick). Nous avons dîné tous les trois autour d'un barbecue, et après le dessert Véronique me propose un café. Sans vouloir être difficile je lui demande si elle ne peut pas me faire un thé à la place. Pour elle pas de problème. Véronique part à la cuisine et avec Patrick nous continuons de discuter de tous et de rien.


De retour de la cuisine Véronique me sert mon thé et en servant le café de Patrick elle reverse ma tasse. Même ayant bu quelques verres de vin je me lève brusquement et le thé finit sur mes jambes. La chaleur étant intense je pose mon pantalon sans même réfléchir à la situation dans laquelle je me mets. Véronique s’empresse de m’essuyer les jambes avec une serviette, c’est alors que l’on entend Patrick éclater de rire devant le comique de ma tenue et de la réaction de sa copine. Je regarde à nouveau Véronique et on part tous les trois dans un immense fou rire. Je fais le con en caleçon, quand Patrick très sérieusement me propose de passer la robe que porte Véronique car il a toujours rêver de me voir en femme.


Ni une ni deux j’accepte, de toute façon le ridicule ne tue pas. Véro retire sa jupe et je la mets. Je fais un peu la personne efféminée pour les faire rire. Véro me prend par la main me fait entrer à l'intérieur et me guide vers sa chambre. Elle sort de ses affaires une paire de porte jarretelles, un soutien-gorge et un petit haut de corps bien moulant..


- Passe tout ça et je vais te maquiller ! Me dit-elle


Je me mets nu et revêts ses affaires.


Elle revient vite de la salle de bain avec le nécessaire pour me grimer. 10 minutes plus tard je fais mon apparition devant Patrick de nouveau mort de rire. Il se lève et s’approche de moi, et passant son bras derrière mon cou :


xtcznedj.jpg- Vous habitez toujours chez vos parents, belle enfant ? Se gausse-t-il 

- Oh non ! Je peux rentrer très tard si je veux. - - Très bien. 


Je commence déjà à moins rigoler quand je sens sa main descendre sur mes fesses. Véronique s’est assise devant nous et tient ses jambes repliées sur elle. Patrick continue son numéro de charme et je ne sais pourquoi je rentre dans son jeu.


- Je vous aime. Sylvain

- Moi aussi grand fou ! Répondis-je


Et aussitôt il m’embrasse, sa langue pénètre ma bouche et je le laisse faire et même je l’accompagne. Ses mains se baladent sur mon corps et il commence à défaire ce que je porte. Je me retrouve vite nu et je bande. Patrick enlève ses vêtements et il est dans le même état que moi. Il passe dans mon dos et je sens son sexe contre mes fesses. Il prend ma tête dans ses mains et la dirige vers Véronique. Elle me sourit et écarte doucement les cuisses. Je comprends vite pourquoi elle était dans cette position. Entre ses cuisses je ne vois pas sa chatte mais une ceinture supportant un gode énorme. Elle se lève et se colle contre moi. Elle m’embrasse à son tour. Patrick me manipule sans problème et il m’allonge sur le dos sur la table : position gynécologie.


Véronique tient son "sexe" à la main et le dirige contre mon anus. Elle tend la main vers une feuille de salade qui traîne sur la table et la frotte contre. L’huile se dépose sur moi et son ‘sexe’ me pénètre. Une sensation nouvelle m’envahit, une très agréable sensation. Elle se penche complètement sur moi. Sa poitrine chaude touche mon corps et je prends ses seins dans mes mains. Patrick derrière elle la prend en levrette et commence de petits mouvements. Véro reprend alors les siens et les voilà tous deux en action. La position ne change pas jusqu’au moment où Véro s’affale sur moi dans en râlant son plaisir. Patrick donne alors encore de plus grands coups pour que son bonheur soit immense.


Elle se retire de moi, je sens alors un grand vide, mais Patrick prend alors sa place. Ses gestes sont moins tendres que ceux de Véro mais je l’encourage d’aller plus vite pour me faire jouir. Je porte ma main sur mon sexe pour me masturber mais Véro me la saisit et me fais non de la tête. Patrick accélère et joui dans mon corps, je sens son sperme pénétrer mes entrailles. Je veux bouger mais Véro prend aussitôt sa place et lui tient mes mains. Elle me sodomise plus de 10 minutes avant que mon sperme jaillisse de mon gland. Je cris tellement mon plaisir est grand. C’est la première fois que je jouis grâce à mon cul. Et c’est bon. On passa toute la nuit ensemble. Ils jouirent tour à tour de mon cul et de ma bouche et moi des leurs et depuis quand on se revoit, je ne peux que repenser à cette soirée.


Bougetoi 


(titre original : Le Thé Oh) Première publication sur Vassilia, le 12/08/2001 (préalablement publié sur SophieXXX)   Légèrement révisé en 2024

 

Par Bougetoi - Publié dans : Années 1990
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Samedi 3 mars 2001 6 03 /03 /Mars /2001 11:55

La vendeuse de chaussures

par Sarah

 

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On dit que nous avons tous plus ou moins cachés des désirs bisexuels. C'est vrai que pendant mon adolescence, j'ai eu quelques désirs, et même certaines petites expériences, mais qui ne sont jamais allées plus loin que quelques caresses furtives, dans des contextes de chambre de jeune fille ou de vestiaires de sports ou de danse. Je me souviens que probablement par contraste (d'origine juive, nous sommes tous bruns dans la famille) j'étais surtout attirée par les amies blondes. Et puis tout ça s'est ensuite estompé dans ma mémoire, et je n'y faisais plus attention depuis longtemps. Et puis un jour, il a suffi de peu de choses pour que cette partie de moi revienne à la surface.

 

C'est un souvenir de l'été dernier, mais dont tous les détails assez incroyables sont restés gravés dans ma mémoire, et j'ai envie de le raconter pour m'y replonger à nouveau.

 

J'habite ce quartier depuis peu de temps et je me rends pour la première fois dans une boutique de chaussures qui se trouve à quelques blocs de là. On est en été et il fait chaud, je me suis mise en jupe légère et chemisier sans manches, j'ai pris pas mal de bains de soleil, ma peau est déjà assez bronzée, j'ai un teint de brune, ça va assez vite même en début de saison.

 

J'entre dans le magasin après avoir repéré en vitrine un modèle de chaussures d'été qui me plaît. Une jeune femme brune est occupée avec une cliente sur la droite, et une dame mûre qui est peut-être la gérante du magasin sur la gauche. Je m'avance vers le milieu et du fond du magasin une vendeuse vient vers moi. Je ne sais pas pourquoi, je suis intriguée par ce qui se dégage d'elle au fur et à mesure qu'elle se rapproche de moi. Elle a probablement une quarantaine d'années, très blonde, les cheveux en carré court, elle est mince mais en même temps sa démarche lui fait balancer les hanches comme si elle était beaucoup plus en chair, peut-être aussi plus grande, c'est assez sensuel. Elle porte une blouse verte aux couleurs du magasin, comme les autres vendeuses, à manches courtes, larges et ouvertes, avec un décolleté carré, je lui trouve une sorte de beauté troublante, ses yeux sont verts et elle a une jolie bouche gourmande. Sous sa blouse, on devine ses seins qui bougent légèrement au rythme de sa démarche, comme s'ils étaient libres, ce que je trouve très sensuel aussi. Quand elle arrive vers moi, elle lève un instant ses bras nus pour lisser ses cheveux, j'observe au passage fugitivement sous ses manches courtes ses aisselles rasées très blanches, et aussi ses yeux qui s'abaissent, un instant seulement, mais me semble-t-il de manière appuyée sur ma poitrine. Ça ne fait pas très longtemps que j'ai arrêté d'allaiter mon fils et mes seins sont encore très gros, ça attire en général le regard des hommes, mais là, tiens, c'est curieux, ça m'intrigue.

 

- "Bonjour Madame"

 

Sa voix est à la fois douce et un peu rauque, je regarde son visage aux traits harmonieux, sa bouche est jolie, avec des dents très blanches, je ne sais pas pourquoi ces détails m'attirent, mais je regarde aussi ses bras nus, minces et bien dessinés, légèrement halés, le duvet blond sur ses avant-bras. Sans faire paraître un certain trouble qui me gagne, j'explique ce que je recherche, et le modèle que j'ai vu en vitrine.

 

- Oui bien sûr, ce modèle est disponible…

 

Elle me demande quelle est ma pointure et puis elle m'accompagne pour m'installer, elle me guide vers un fauteuil situé au fond du magasin, complètement isolé, puis elle s'éloigne pour aller vers l'arrière-boutique où se trouve le stock. Au bout d'un petit moment, elle revient vers moi, tiens je n'avais pas remarqué précédemment, sa blouse est déboutonnée en haut, les deux derniers boutons sont défaits. 

 

- "Voilà le modèle". 

 

Elle se penche pour me le montrer dans sa boîte, et dans le mouvement qu'elle fait le haut de sa blouse baille largement, par l'ouverture j'aperçois très bien la naissance de ses seins. Elle s'arrête et demande : 

 

- "Vous désirez les essayer ?" 

 

Oui, bien sûr. Elle s'agenouille donc devant moi pour procéder à cet essayage. Elle a de beaux bras, à la fois minces et musclés, mais aussi charnus, un peu en chair, comme le sont ceux des femmes déjà mûres, une peau de blonde. Je ne sais pas pourquoi j'observe ça. Là maintenant elle est penchée en avant, l'entrebâillement de la blouse se creuse encore plus, tiens, elle ne porte pas de soutien-gorge et j'aperçois fugitivement sa poitrine jusqu'à ses bouts de sein qu'il me semble entrevoir. Je crois qu'elle a vu le regard que je n'ai pu m'empêcher de plonger dans ce décolleté impudent, mais déjà elle s'est redressée.

 

- "C'est trop petit, non ? Je vais vous chercher la taille au-dessus".

 

Elle s'éloigne à nouveau, vue de derrière, elle a de très jolies jambes, minces et musclées, mises en valeur par des chaussures à haut talons très fins, et sa démarche qui balance ses hanches sous la blouse me fascine à nouveau.

 

Elle revient avec une autre boîte, mais non je ne rêve pas sa blouse a maintenant un troisième bouton défait en haut... De nouveau, elle est agenouillée devant moi pour m'essayer les chaussures dans la nouvelle taille, et là, placée comme elle est, légèrement tournée sur le côté et penchée en avant, avec les trois boutons défaits, je plonge dans son décolleté non plus fugitivement comme précédemment, mais en permanence, je vois ses seins, en poire, pas très gros, mais mignons et bien dessinés, pointus et légèrement retroussés, avec tous les détails, quelques taches de rousseur sur la peau très blanche, le bout de sein fripé, une jolie tétine rose.

 

Je ne peux m'empêcher de regarder, c'est un spectacle attirant, ce n'est pas possible, on dirait qu'elle fait vraiment exprès de me les montrer, ça m'intrigue et ça me trouble un peu. Je reviens sur son visage et je sens ses yeux clairs qui m'observent comme s'ils attendaient mes réactions, comme s'ils étudiaient cliniquement mon trouble, tout en restant bien penchée en avant pour que le spectacle continue. Sous ses yeux, les miens s'abaissent à nouveau directement vers sa gorge, je rentre dans le jeu, pourquoi pas ? Je continue à regarder... Dans le mouvement qu'elle a fait en se penchant, le médaillon qu'elle porte au bout d'une chaîne fine est sorti de la blouse. Tout en me regardant, elle le prend et le remet dans la blouse, ce geste lui fait passer la main par l'échancrure déboutonnée de la blouse, je vois maintenant sa main à l'intérieur de la blouse, qui s'approche de son sein, qui en effleure le bout, qui insiste, qui continue.

 

Je ne bouge pas, je continue à la regarder sous ses yeux qui m'observent, elle est carrément en train de se caresser les seins devant moi, je ne rêve pas, je sens l'excitation me gagner et le rouge me monter aux joues.

 

Cessant ce manège, elle s'occupe quand même à nouveau de la chaussure que j'ai enfilée, c'est encore trop petit et elle s'éloigne à nouveau pour aller chercher une autre paire. Quand elle revient, j'observe que sa blouse est maintenant déboutonnée en bas, sur au moins trois boutons... et à chaque pas, on aperçoit fugitivement ses cuisses claires. Pour essayer la nouvelle chaussure, elle s'agenouille à nouveau devant moi, la blouse est maintenant ouverte jusqu'en haut de ses cuisses blanches et lisses, je me sens maintenant très excitée car j'ai compris son manège, je ne dis rien et regarde, je sens un courant, une complicité s'établir entre nous, qu'elle guette en me regardant comme pour me demander si elle doit s'arrêter ou continuer.

 

Qui ne dit mot consent, et mon silence, mon apparente absence de réactions sont lourds d'approbation ..., du reste je veux maintenant savoir jusqu'où elle veut aller, qu'est-ce qu'elle va faire, que va-t-elle me montrer. Elle passe lentement de la position à genoux à la position accroupie, en se tenant d'une main au repose-pied qui est devant moi, elle se retrouve pratiquement assise sur ses talons, genoux serrés. Et là, toujours en me regardant, elle écarte rapidement ses genoux, devant mes yeux écarquillés, je vois l'instant d'un éclair qu'elle ne porte pas de culotte et j'aperçois un instant ce qu'elle a envie de m'exhiber, une vision fugitive d'intimité blonde...

 

Elle a refermé ses genoux, c'était un essai juste pour voir si je réagissais, et elle a vu que je regardais sans rien dire, sans me lever, sans partir, sans faire d'esclandre. Elle m'enfile la chaussure, on continue l'essayage, mais elle recommence, cette fois plus lentement, ses cuisses s'écartent de plus en plus, et elle me regarde contempler son minou, un triangle blond et frisé, toute son intimité, avec au milieu des boucles claires, les détails, les plis bruns de sa vulve... Elle reste là comme ça maintenant pour me laisser contempler, je me sens toute rouge, elle aussi du reste, accroupie sur ses talons, m'exhibant son sexe sans rien dire, dans un silence que je trouve encore plus provocateur dans cette situation.

 

Maintenant pour lacer la chaussure, elle se relève à demi pour s'asseoir sur le tabouret placé devant moi, voilà, ça y est, elle est assise au bord du tabouret, Une de ses mains est restée à tenir les lacets de la chaussure que j'essaie, que je suis censée essayer tout au moins, et maintenant l'autre main remonte le long de l'intérieur de sa cuisse, la caresse lentement, monte, monte. Je la regarde monter, fascinée, oubliant où je suis, un magasin de chaussures, dans lequel des clients entrent, sortent, achètent des chaussures, dans un brouhaha de bruits de fond que je n'entends plus.

 

Sa main disparaît maintenant sous la blouse, elle respire fort, la bouche entrouverte, il s'est établi entre nous une incroyable complicité, sans rien se dire à ce sujet, elle qui s'exhibe devant moi et moi qui regarde, qui m'excite à la regarder, qui respire fort aussi, le cœur battant, qui sent le désir prendre mon bas-ventre, mouiller ma culotte... Mes yeux remontent vers son visage, et je trouve à cet instant que le spectacle est tout aussi excitant, voire plus à cet endroit. Elle a la figure rouge, presque cramoisie, sa bouche est entrouverte, sa respiration complètement haletante, ses yeux ne fuient pas les miens, au contraire, ils y sont plongés, mais en même temps, comme s'ils ne me voyaient pas vraiment, très troubles, comme fixés sur un horizon lointain, beaucoup plus loin que moi. 

 

Tout son visage, son expression, exprime le désir et l'excitation, le plaisir maintenant, car ça y est, elle se caresse carrément, voluptueusement, ostensiblement devant moi, avec sa main sous sa blouse, je vois les mouvements de son bras. Elle se donne du plaisir devant moi et ça me plaît de la regarder...

 

Les choses s'accélèrent maintenant, elle donne en même temps de tous petits coups de reins pour que son ventre aille à la rencontre de sa caresse, je perçois son léger halètement au même rythme, ses yeux ne me voient plus, complètement troubles, elle jouit, elle prend son plaisir, elle prend son pied devant moi, totalement impudique plus encore dans l'exhibition de cette jouissance que tout à l'heure dans celle de son bas-ventre, de son sexe...

 

Ça y est, voilà, elle se crispe, tout son corps se raidit, elle laisse échapper de petits gémissements, son visage est tordu par le plaisir de l'orgasme, ses jolis traits deviennent presque bestiaux, cette jouissance est un véritable spectacle, que ne n'avais encore jamais vu, j'en suis une spectatrice lucide, bien que très excitée, rien à voir avec la jouissance réciproque que l'on connaît quand on fait l'amour, où l'on se trouve nous-mêmes suffisamment impliqués pour ne plus véritablement voir les choses, sauf à travers nous-mêmes, déformées par notre propre plaisir.

 

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Voilà, c'est fini, elle a joui, sa main se retire, elle resserre ses cuisses, elle reboutonne rapidement sa blouse, son visage a repris ses jolis traits normaux, encore très rouge, je la trouve presque émouvante ainsi, dans une espèce de sérénité d'après l'amour, après l'exhibition qu'elle vient de me faire...

 

De façon très naturelle, comme si rien ne s'était passé "entre nous", elle reprend le côté professionnel, elle finit de lacer la chaussure qu'elle m'essaie.

 

- "Vous essayez l'autre ? Il faut voir en marchant" 

 

Un peu comme dans un rêve, je le fais, je marche, oui les chaussures me vont bien, oui, je vais les prendre. Je les enlève et elle les remet dans la boîte 

 

- "Donc je vous mets celles-ci. Il vous fallait autre chose ? Du cirage pour les entretenir ?"

 

Non, pour l'instant il ne me faut rien d'autre. On va à la caisse et je règle mon achat, elle met la boîte dans un grand sac en papier qu'elle me tend avec un joli sourire. Les yeux dans les miens, elle dit de sa voix chaude 

 

- "Merci..."

 

Et je devine que ce merci n'est pas seulement destiné à mon achat... La voix étranglée, je murmure aussi "Merci " et je ne sais pas moi-même à quoi ce merci s'adresse...

 

Je me retrouve dehors dans la rue, les voitures circulent, les piétons me croisent, j'ai l'impression d'arriver d'un autre monde, ou alors d'avoir fait un rêve, de me réveiller. Mais non, c'était en vrai, je ressens des ondes de frissons que me procurent mes cuisses nues qui se frottent sous ma jupe, je sens bien encore mon ventre tout émoustillé, ma culotte humide...

 

Ça m'a travaillé pendant des jours et des jours. J'étais seule, mon mari en voyage, je me caressais abondamment en y repensant. J'avais constamment envie de retourner au magasin de chaussures, pour peut-être aller plus loin avec elle, pour participer au jeu moi aussi, mais en même temps je n'osais pas le faire et je reculais chaque fois cet instant.

 

Un jour, je n'en pouvais plus, il fallait que j'y aille, il fallait que j'essaie. Je m'achetais sur le marché, le matin, une robe d'été bon marché, boutonnée devant de haut en bas, exactement comme une blouse, comme la blouse qu'elle portait. L'après-midi, je me décidais. Je me maquillais et me parfumais, et mis la nouvelle robe directement sur moi, sans rien en dessous, ni culotte ni soutien-gorge. Je me regardais dans la glace avant de partir, la robe était en tissu léger et j'avais vraiment l'impression de ne rien avoir sur la peau...

 

Ça y est, je sors, je marche dans la rue, il fait chaud, je me sens presque nue, c'est excitant, je sens l'air entre mes cuisses, mes seins qui bougent sous la robe, ils sont lourds et ballottent beaucoup, ça doit se voir, j'aperçois pas mal de regards qui les observent, qui les accompagnent, des hommes qui se retournent presque, j'ai l'impression que je m'exhibe déjà... Au coin de la rue, il y a une rafale de vent, un vent chaud d'été, il passe sous ma jupe, je sens l'air qui me caresse les fesses, qui me décoiffe le minou, je suis de plus en plus excitée...

 

J'arrive au magasin de chaussures, j'ai le cœur battant, à la fois une angoisse - que va-t-il se passer vraiment - et une excitation de la chose interdite, comme quand on est enfant et qu'on est en train de faire une petite cochonnerie, une chose défendue, hou la vilaine, mais qu'est-ce que tu fais là, dis-donc toi, espèce de petite cochonne, hein ? En poussant la porte du magasin, je sens une onde de chaleur envahir mon bas-ventre, là, nu sous la robe légère, une véritable excitation sexuelle, une bouffée de désir qui me prend aussi les reins. J'entre, je m'avance, j'ai repéré une paire de chaussures dans la vitrine, pour avoir un alibi, pour donner le change.

 

Elle n'est pas là, à sa place il y a une jeune femme brune ordinaire... Je m'entends demander, avec un air qui se veut naturel, si la personne qui m'avait servi la dernière fois n'est pas là, vous savez une jeune femme blonde ? Non, elle n'est plus là, elle a quitté le magasin, elle ne travaille plus ici...

 

Sarah

 

Merci à Sarah d'avoir eu la double gentillesse d'aimer notre site et de nous permettre de publier cet excellent récit primitivement publié sur revebebe et qui a été honoré du 1er prix du concours des histoires érotiques décerné par ce site pour Septembre 2000

 

 

Première publication sur Vassilia, le 03/03/2001

Par Sarah - Publié dans : Années 1990
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Mardi 13 février 2001 2 13 /02 /Fév /2001 13:10

Une promenade très bi !

(ou le récit d'Agathe)

par Agathe

 

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Bonjour Eddy ! J'aimerais bien que soit publiée sur ton site l’une de mes histoires fétiches, une de celles que je ne me lasse pas de lire et de relire. Je ne sais rien de l’auteur, j’avais copié cela sur mon disque dur. Il y était indiqué : Le récit d'Agathe pour XHEROX [Le forum SCHKOPI SEX] Ecrit par Agathe le 06 Février 1997 à 10:01:10. Cette histoire a été publiée à ma demande sur Revebebe en mai 2000 sans que l’auteur ne se manifeste depuis. Bisous ! Léna Van Eyck

 

C'est bien volontiers que je publie donc cette ode à la bisexualité, certes un peu maladroite, mais tellement dans l'esprit du site. Quant à l'auteur nous serions heureux qu'il nous contacte ! (NDLR)

 

Une promenade très bi !

 

Arrivés sur place vers sept heures, aussitôt, nous nous déshabillons ce qui fait immédiatement bander Patrick. Sa très belle queue se dresse droite devant lui. Il l'a empoigné et se masturbe lentement en se caressant les couilles.

 

Il faut dire que nous nous étions arrêtés en route pour nous taper une branlette. Patrick marchait derrière Laurence et Véronique qui avaient enlevé leurs culottes pour ne rester qu'en minijupe de tennis. Patrick ne pouvait supporter plus longtemps de voir devant lui ces chattes en mouvement, il bandait dur et avait sorti sa bite pour se masturber en marchant, cela avait excité tout le monde, et d'un commun accord, nous nous sommes arrêtés pour nous taper une bonne branlette. Nous ne risquions rien puisque plus bas, le chemin était condamné par un premier portail. Le chemin ne nous permettant pas de nous regrouper en cercle, une moitié d'un côté et une moitié de l'autre, de façon à nous voir tous et nous nous sommes masturbés. Après cela les hommes sont repartis avec la bite sortie de leur short ou pantalon et les femmes avaient toutes enlevé les vêtements du bas et marchaient avec le cul à l'air, heureusement que Christine et son mari entretiennent bien le chemin, sinon les ronces auraient abîmé quelques chattes et quelques bites. Mais comme nous étions intercalés femmes et hommes, ces derniers avaient une formidable vue sur les culs et ils bandaient raides comme du chêne. C'était très excitant de nous regarder marcher dans cette tenue, cela excitait aussi bien les hommes que les femmes. Nous avions tous envie de nous branler en marchant. Mais la pente aussi était trop raide.

 

Donc, nous finissons de nous déshabiller pendant que Patrick continue sa branlette puis nous décidons de nous asseoir en cercle et de nous masturber chacun individuellement avant de casser une petite croûte. Patrick éjacule par terre avant que nous ayons commencé et se propose de faire le café pendant que nous nous envoyons en l'air. OK, sa branlette nous a mis en appétit. Mais Aude et Véronique sont déjà en train de s'exciter et d'exciter les autres par une petite partie de tétons.

 

- Décidément aujourd'hui c'est la réunion des grosses queues ! S'exclamait Laurence.

 

Il va sans dire que nous sommes tous bisexuels, mais pas homo. Voyeurs et exhibitionnistes, masturbateurs et masturbatrices, certainement, et très contents de l'être sinon nous ne serions pas ensemble. Nous avons aussi une très forte libido. Maintenant nous sommes tous à poils, dans la position debout et en cercle, nous nous masturbons chacun soi-même en nous regardant, nous jouissons tous très fort, les hommes éjaculent dans l'herbe et les femmes écartent très largement les cuisses pour mieux nous exciter. Ce préambule terminé, nous rejoignons la cabane et attaquons le petit déjeuner, ce qui n'empêche pas les caresses et les petites branlettes pour entretenir l'excitation et les érections.

 

La marche et le casse-croûte ont mis tout le monde en pleine forme, en bandant et bien excité nous rejoignons la clairière ombragée et commençons vraiment notre "nature-sexe-partie". C'est, à qui se branle le mieux, qui suce le mieux une bite ou une chatte, qui branle mieux le copain ou la copine, qui éjacule le plus loin. Assis ou couché sur des couvertures, c'est une profusion de fellations et de masturbations. Pierre et Patrick se branlent leur belle queue tout en se caressant les couilles et en s'embrassant, Pierre fait décharger Patrick sur son ventre pendant que celui-ci fait gicler la queue de Pierre sur son pubis. Aude est en train de masturber et de sucer Georges qui la branle avec la main entière plaquée sur la chatte. Les soupirs et les râles de plaisirs fusent de partout, fort heureusement ils ne s'entendent pas très loin à cause des arbres. Véronique se masturbe et se lèche avec Alice, Tandis que Laurence, Gilbert, Sophie et Jean-Jacques multiplient les combinaisons avec leurs chattes, leurs queues et leurs bouches. Des flots de sperme accompagnés de petits cris et de râles se répandent dans la nature.

 

Passage au réservoir près de la source pour un brin de toilette, et direction la clairière, nous nous asseyons en demi-cercle pour voir Patrick et Pierre juchés sur le rocher et qui pour nous exciter vont se sucer, se masturber et se branler chacun leurs grosses et belles bites. Nous nous branlerons en même temps. Ils bandent terriblement tous les deux, leurs bites sont magnifiques. Ils s'enlacent pour s'embrasser tout en saisissant leurs queues qu'ils commencent à masturber lentement, ils ne sont pas avares de caresses sur les couilles, le pubis et le ventre. Ils sont très excités et se masturbent intensément. Puis Pierre engloutit la belle queue de Patrick pour lui faire un succulent pompier en se branlant lui-même. Leur excitation est communicative, car le reste du groupe est pris d'une incomparable frénésie masturbatoire et fellatrice. Chacun d'eux fait gicler le sperme de l'autre vers nous.

 

- Dis-nous Aude ? "Quand deux femmes font l'amour ensemble, pourquoi dit-on - C'est normal elles veulent changer un peu - Et quand deux hommes se sucent ou se masturbent dit-on - ce sont des pédés.- ?"

- Parce que vous êtes toujours des machos, vous voulez rester le sexe dominant, vous avez peur pour votre virilité, puis les femmes qui font l'amour ensemble est un spectacle qui vous excite. Si l'amour entre femmes et homme est la norme, l'amour physique entre hommes ne me paraît pas du tout anormal. Personnellement, j'aime regarder des hommes qui se masturbent et se sucent, cela m'excite, par contre je n'aime pas regarder deux hommes qui pratiquent le coït anal. Mais je ne trouve pas ça anormal, question de goût. On se masturbe, on se suce, on s'embrasse, même entre hommes, et sans complexe, non pas parce qu'on s'aime, mais tout simplement parce qu'on est excité et qu'on veut jouir autrement.

 

Nous jouissons avec eux dans un déchaînement de sperme et de râles. Après cet orgasme collectif, nous recommençons une autre séance, mais cette fois ci c'est Aude qui monte sur le rocher pour nous charmer avec une magistrale branlette, car si quelqu'un sait bien se masturber, c'est bien Aude. Encore une fois, nous nous envoyons en l'air en nous masturbant et en nous suçant les uns les autres. Entre chaque orgasme nous continuons à nous caresser aussi bien celui ou celle qui se trouve à notre droite ou notre gauche, parfois nous changeons de place pour nous retrouver avec une nouvelle bite ou chatte dans les mains.

 

Nous remettons cela plusieurs fois jusqu'au petit déjeuner près de la cabane qui dure assez longtemps mais est accompagné de caresses, de branlettes et de pompiers à la confiture, à la crème de chocolat, vanille etc. Mais c'est surtout la fête des femmes qui se remplissent la fente de crème au chocolat et vanille avant de se faire copieusement sucer le sillon et le clitoris. Et elles y remettent une bonne portion avant de jouir, la confiture ne servant qu'à enduire le clitoris et les grosses lèvres des chattes. Les discussions aussi vont bon train ; Aude préconisait comme dessert que tous les hommes présents lui déchargent en même temps dans la bouche.

 

- Adopté à l'unanimité, tu auras ta ration lui dit Laurence.

 

En effet, dès que nous sommes passés au dessert, les six hommes se sont levés pour aller se masturber face à Aude qui les aide tant qu'elle le peut. C'était un tableau très excitant, Aude les regardait faire en se branlant, les femmes se sont serrées entre elles pour se masturber en regardant ce spectacle paradisiaque. Pendant le temps de leur masturbation, les hommes s'étaient constamment concertés pour arriver à éjaculer ensemble. Dès qu'un d'eux avait atteint le point de non-retour il ralentissait les mouvements de sa main pour attendre les autres, ceux qui avait un peu de retard le disaient aussi. Puis lorsque tous les six étaient près de la jouissance, ils le faisaient savoir pour enfin parvenir une formidable éjaculation synchronisée. Le sperme giclait sur la langue et la bouche d'Aude qui se finissait avec sa main entièrement plaquée sur sa chatte. Les autres femmes de l'assistance participaient à cet orgasme collectif en soupirant et gémissaient.

 

Vers les quatorze heures, retour à la clairière jusqu'au soir pour plusieurs séances sexuelles non-stop, avec diverses combinaisons, femmes-hommes, femmes-femmes et hommes-hommes. Un déluge de masturbations, de pompiers, et de minettes déferle sur la clairière. Les chattes sont constamment ouvertes, les bouches prêtes à sucer, et les bites en érection permanente. Les mains n'arrêtent pas de masturber et les bouches de sucer ou de lécher.

 

Entre deux orgasmes collectifs, nous continuons de nous embrasser, de nous tripoter les sexes, les seins. Nous jouissons individuellement, à deux, ou à plusieurs. C'est selon le partenaire qui se trouve à côté de vous. Ou alors on change de place et on recommence avec d'autres partenaires. Ici, nous ne relatons que les orgasmes collectifs, mais les autres sont bien plus nombreux et il faudrait des pages et des pages pour les raconter. Toutes ces grosses bites et ces belles chattes ne connaissent pas le repos pendant toute la durée de la rencontre. Ce qui est le plus excitant, c'est de pouvoir se masturber nu en toute liberté et en pleine nature, sans se gêner devant les amis sur un terrain qu'on sait être l'abri de tous les regards.

 

 

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C'est encore plus excitant de voir ses amis se promener nus en bandant ou en se masturbant la bite ou la chatte. Ce sont des sensations merveilleuses qui ne se racontent pas mais qu'il faut vivre.

 

Avec combien d'éjaculations le sperme aura-t-il giclé, sur les corps, contre les arbres, dans l'herbe. Nul n'en a fait les comptes, mais pour la journée, c'est Alice qui tient le record des branlettes qu'elle s'est faite, ou fait faire ou qu'elle a fait aux autres. Elle a joui seize fois et a fait jouir au moins deux fois chacun et chacune de ses amis. Et dire qu'elle remettra ça le lendemain. Mais elle et son mari nous ont dits que la masturbation faisait partie intégrale de leur vie, que chez eux ils pratiquaient, le coït bien sûr, mais qu'ils se masturbaient dès qu'ils en avaient l'occasion.

 

Combien de fois au cours de cette journée aurons-nous peloté les seins, léché les chattes, sucé les bites et masturbé les sexes ? Nous n'en tiendrons pas la comptabilité, car personne ne nous croirait !

 

Avant de partir Sophie fait dans la clairière un magistral pompier à Daniel et notre excitation nous oblige à les accompagner dans leur orgasme en nous masturbant.

 

Nous aurons tous joui au moins une douzaine de fois, mais maintenant il faut descendre vers les véhicules en temps voulu pour ne pas être pris par la nuit. En altitude, les nuits sont encore assez fraîches pour camper avec un matériel de fortune.

 

Alice et Jean-Jacques nous invitent chez eux pour le lendemain. Pas de problème, nous y serons tous, Christine et Roger seront avec nous. La belle et grande Christine qui va encore, pour le plaisir de tous, vouloir sucer toutes les bites en se faisant masturber par les femmes. Roger qui bande dès qu'on le touche et qui astique sa grosse bite en permanence voudra sûrement se faire glouglouter le nœud par Patrick. Une bonne journée et soirée en perspective !

 

 

Première publication sur Vassilia, le 13/02/2001

Par Agathe - Publié dans : Années 1990
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