Partager l'article ! Anne-Marie, dresseuse de vilaines filles: Anne-Marie, dresseuse de vilaines filles par Marie-France Vivier Bonjou ...
Bonjour, je me prénomme Isabelle et puisqu’il est de tradition dans une nouvelle érotique de se présenter, je vous propose ma description, Je viens de passer le cap de la trentaine, je suis blonde, (fausse) assez fine, un visage qu’on dit « intéressant’ avec un grand nez un peu pointu, j’ai des seins en forme de poires avec de grosse aréoles marron, et je fais du bonnet D. Je mesure 1,66 m et j’ai de très jolies fesses bien cambrées. Ma profession, on va dire qu’on s’en fiche, je suis divorcée et vis avec un garçon charmant très porté sur le sexe et très pervers. Nous sommes un couple se voulant libéré et j’ai ainsi appris des tas de choses avec dix ans de retard, je n’ai, je crois, pas beaucoup de tabou, mais il y a des choses que j’aime moins que d’autres. Ce qui me plait le plus, c’est de jouer à des jeux un peu maso.
J’ai lu sur Vassilia (j’adore !) leur conception du sadomasochisme ! Un simple jeu érotique qui peut aller très loin, mais disent-ils, quand c’est fini, c’est fini, on passe à autre chose… Cette façon de voir les choses s’oppose donc à l’esclavage permanent. Bon je serais assez d’accord à cette nuance près que j’aime faire durer dans le temps ma condition de masochiste, mais je concède que pour moi cela reste tout de même un jeu et qu’il n’y a pas que cela dans la vie ! Quand Eric veut me dominer, il commence toujours par les mêmes mots : « tu veux jouer ? ». Si je réponds non, il n’insiste pas.
Après tous ces prolégomènes le récit peut commencer
Ce soir-là après le dîner, je zappe sur le téléviseur qui ne nous offre comme d’habitude que des conneries. Eric me demande simplement :
– Tu veux jouer ?
Oui j’ai envie de jouer, je ne réponds pas, me lève du canapé et m’agenouille devant lui !
– Vas-y joue !
– Il y aura un gage si tu n’es pas assez obéissante, le gage ce sera de passer la soirée chez Anne-Marie.
J’ignore qui est cette Anne-Marie, mais je sais déjà que quoiqu’il arrive, j’aurais droit à ce gage. Pas grave, ça aurait même tendance à m’exciter.
Quelques jours plus tard, pomponnée et maquillée, je me suis donc présentée chez cette mystérieuse Anne-Marie à 19 h comme prévu.
Une belle femme mature aux cheveux auburn m’a ouvert, habillée avec une veste croisée qui lui couvrait juste les fesses et cachait une mini culotte blanche qu’elle avait d’ailleurs du mal à dissimuler. Mais ce qui m’a frappé de suite c’est l’inscription « bonniche » marquée au rouge à lèvres sur son front.
– Je suis Magda, la bonniche de Madame Anne-Marie ! Se croit-elle obligée de préciser.
Elle portait un soutien-gorge blanc à balconnets lui aussi à peine caché par sa veste, elle m’a fait un grand sourire de bienvenue, et m’a introduit dans le salon où se trônait Anne-Marie dans un fauteuil entourée de quatre autres femmes complétement nues et agenouillées.
Anne-Marie est une grande brune à lunettes coiffée d’un chignon strict. Elle était habillée d’un bustier noir en vinyle, d’une mini culotte de même couleur, des bas résilles et des escarpins de compétition. Elle est harnachée d’un gode ceinture très réaliste. Elle doit avoir une quarantaine d’années, peut-être plus. Une très belle femme. !
Elle me toise comme si j’étais une marchandise puis demande à Magda de me préparer.
On passe dans une pièce contiguë, Magda me fait me déshabiller complètement, dépose toutes mes affaires sur une même chaise, me passe un collier de chien autour du cou puis avec un tube de rouge à lèvres m’inscrit le mot « salope » sur mon petit front. Puis sans aucun ménagement elle m’accroche des pinces sur mes tétons, ça fait un peu mal, mais je supporte. On rejoint les autres,
– A genoux !
Je m’y met (comme les autres)..
– Bon, les filles, déclare Anne-Marie, vous êtes ici toutes sur l’ordre de vos compagnons ou de vos compagnes de jeux. Vous êtes majeures et consentantes et vous êtes ici pour mon seul plaisir, j’aime dominer les femmes et les humilier. Vous n’êtes pas dans un club féministe mais dans un club de femmes soumises. Vous n’êtes que des merdes et ici je vais m’amuser à vous rabaisser et à vous avilir, si ça ne vous plaît pas, autant partir tout de suite.! Vous allez être fouettées, livrées à des mâles en rut, il y aura de la pisse et peut-être de la merde. Encore une fois, les chochottes peuvent s’en aller, je ne retiens personne. Si pendant la séance la situation vous parait vraiment invivable, il y a un mot de sécurité, à prononcer trois fois ce sera « Chapelure ». Sinon on ne vous laissera pas sortir.
On se regarde toutes, personne ne souhaite s’en aller.
Elle nous passe en revue, nous demande qui nous a envoyé et ce que nous avons fait comme bêtises…
– A toi ! Dit-elle en désignant Sylvie, une petite brune aux cheveux courts et à la mine délurée.
– C’est mon père qui m’envoie, il m’a dit que je l’avais mal sucé !
– Et tu aimes ça sucer la bite de ton père ?
– Oh, oui, j’adore ! Il a une belle queue.
– Tu fais quoi d’autre avec ton père ?
– Il m’encule !
– T’es vraiment une morue !
Et dans la foulée la Sylvie se ramasse deux baffes.
– Toi, viens là ! M’ordonne Anne-Marie.
Je m’exécute.
– Tu es arrivée en retard ! Me dit-elle.
– Non, non ! Me défendis-je.
– Si je dis que tu es arrivé en retard c’est que tu es arrivée en retard, Tu n’es pas autorisée à me contredire .
Et elle accompagne ses propos d’une double paire de gifles complètement inattendue.
– Ouvre ta bouche.
Elle me crache dedans, plusieurs fois de suite.
– C’est une faute très grave que d’arriver la dernière ! Me dit-elle.
C’est complètement idiot, il faut bien qu’il y ait une dernière, mais puisque c’est un jeu…
– Fabienne, tu vas venir la corriger.
Fabienne est une jolie blackette aux très jolies formes.
– Commence par lui tordre les tétons ! Indique-t-elle à Fabienne.
Elle commence à le faire et sans ménagement, mais Anne-Marie l’interrompt.
– Non, t’es trop nulle, quand tu t’occupes d’une esclave, tu dois d’abord l’humilier, en lui crachant dessus, une esclave c’est de la merde, ça doit être traitée comme de la merde, tu dois la gifler, l’insulter.
Et c’est que la Fabienne, elle se prend au jeu, je reçois plein de baffes, elle me crache dessus, me traite de tous les noms, puis sur ordre d’Anne-Marie, me cingle de dix coups de badines qui me font très mal.
Ça commence fort , ce truc !
– Voilà, c’est mieux comme ça ! Commente Anne-Marie. Maintenant on peut prendre un petit apéritif avant de passer à autre chose. Sylvie prend des verres ! C’est là-bas ! Apporte aussi la bouteille de Porto.
Nous avons ensuite reçu l’ordre de nous assoir sur des tabourets de bar.
– Magda, sers-nous l’apéro ! Dit-elle en claquant des mains.
Magda, la bonniche, était à présent complètement nue, plutôt bien faite, avec seulement un petit tablier de soubrette, comme unique vêtement.
La soubrette pris la bouteille de Porto et servit Anne-Marie, elle reposa la bouteille, laissant les autres verres vides. Elle s’approcha d’Anne-Marie puis délicatement fit glisser le string dévoilant un pubis assez poilu. Elle se baisse, donne un petit coup de langue, puis va chercher un verre qu’elle pose devant sa chatte.
Anne-Marie pisse alors dans le verre devant nos yeux subjugués. Je comprends alors quel sera notre apéritif. L’opération est répétée pour chaque verre et à la fin Magda ouvre sa bouche pour absorber le « surplus » à la source.
– Allez chacune prend son verre ! A votre santé les filles ! Vous ne pensiez quand même pas que j’allais vous laisser boire mon Porto. Allez régalez-vous avec ma pisse, bande de petites salopes !
Je m’amuse un peu, pour moi l’uro n’a jamais été une corvée, mais ce sera la première fois que j’en bois dans un verre, je porte le verre à ma bouche, c’est de l’urine du soir, elle n’est pas trop forte, j’en bois une lampée.
Si Dorothée, une blondinette à la peau très claire, Sylvie et Fabienne, la jolie blackette semblent passer l’épreuve sans trop de mal, Géraldine, une grande perche au longs cheveux châtain en boucle, fait la gueule, avale avec difficulté les premières goulées, après ça va mieux.
Je m’aperçois que j’ai commis l’erreur de boire avec une complète décontraction, Anne-Marie m’interpelle :
– Si je comprends bien ce n’était pas vraiment une punition pour toi !
– Ben non ! Avouais-je.
– Alors tout à l’heure je te ferais lécher ma merde ! Mais maintenant séance de gode.
Magda, la boniche, s’est à son tour harnachée d’un gode ceinture. Dorothée et Fabienne sont désignées pour sucer ces bites factices recouvertes à présent d’une capote.
– Et maintenant, en levrette, les salopes, l’une face à l’autre, le gode vous allez l’avoir dans le cul !
Joli spectacle des deux nanas qui se font pilonner le cul en cadence.
– Embrassez-vous pendant qu’on vous encule, et ne faites pas semblant, je veux voir la salive dégouliner sur vos gueules de gouines.
Charmant…
Les deux filles se prennent au jeu, s’embrassent à qui mieux-mieux et jappent de plaisir.
Je repensais à la menace d’Anne-Marie, j’ignorais si elle bluffait. Cette perspective aurait pu me faire récupérer mes affaires et m’enfuir de chez cette bande de folles. Mais en fait j’espérai secrètement qu’elle ne bluffait pas, me disant que moi qui adore les humiliations, je serais servie, de toute façon la scato ne me révulse pas, ayant régulièrement nettoyé la bite d’Eric alors qu’elle sortait maculée de merde de mon trou du cul.
Les deux godeuses se retirent et obligent les filles à lécher les fausses bites encapotées. Il ne sont pas vraiment pollués mais le jus du cul, ça a tout de même un goût, les deux filles s’exécutent sans grand enthousiasme.
C’est maintenant au tour de Géraldine et de moi-même de passer à la casserole. C’est Magda qui se charge de me pistonner le cul. Géraldine paraît peu motivée pour me rouler une pelle, dommage, j’aime bien sa jolie frimousse. Sinon l’engodage ne me déplait pas et je me surprend même à jouir.
Viens le moment du nettoyage, le gode que j’avais dans le cul est ressorti pollué. Moi qui voulait être humiliée, je vais être servie, je fais emblant de refuser en espérant recevoir une baffe, ça ne rate pas. Je lèche le truc, j’ai maintenant un drôle de goût dans la bouche.
Sylvie attend son tour.
– Non pas toi, ça te ferait trop plaisir, on va tout de même pas foutre un gode dans le cul d’une pouffasse qui se fait enculer par son père.
Anne-Marie restait toujours très maitresse d’elle-même, même si son regard trahissait son excitation.
– Maintenant nous allons appeler les experts, Tom et Jerry, vous pouvez venir !
Tom et Jerry ? Je rêve !
Et voici que s’amènent deux grands blacks complément nus et montés comme des mulets.
– Allez, les gars, tâtez-moi la marchandise. Et vous les filles, vous vous laissez faire, vous n’avez aucun droit, vous n’êtes que des merdes.
On va finir par le savoir…
Ces types nous pelotent sans ménagement, et que je te malaxe un sein, une fesse et le reste. Les doigts s’aventurent dans les chattes et dans les trous du cul. On nous tire sur les pinces accrochées à nos tétons, on nous tape sur les fesses. Ils bandent joliment les « experts », si seulement je pouvais les sucer.
Au bout d’un moment Anne-Marie siffle la fin de la récréation.
Tom et Jerry se dirigent vers le fond de la pièce, et là notre hôtesse ordonne au premier de sucer la bite du deuxième. Tâche dont celui-ci s’acquitte sans problème et même avec une certaine gourmandise.
– Regardez bien les filles, regardez ces deux pédés, ils se sucent la bite, ils adorent ça et ils aiment bien se faire enculer aussi. Humm que c’est excitant de voir ça, ça me change de vos tronches d’esclaves.
Je vous dis, elle est charmante.
Faut dire que le spectacle a de quoi étonner, moi je trouve ça très troublant, très excitant.
– Maintenant on va faire un petit break, Fabienne et Sylvie vous allez sucer la bite de Tom. Isabelle et Dorothée vous sucerez Jerry. Et quand je dis sucer, c’est à fond, je veux voir le sperme dégouliner de vos bouches de putes. Quant à toi, Géraldine, tu te mets à genoux, tu attends que ça se passe, on s’occupera de toi après.
Un vrai régal que de sucer cette bonne bite que je partage avec Dorothée. Malheureusement le bonhomme ne tient pas la distance et trois minutes après il décharge dans ma bouche, Dorothée lui nettoie le sperme resté sur sa bite.
– Ne restez pas comme ça, avalez-moi tout ça, grosses putes ! Viens nous dire Magda en en profitant pour nous cravacher nos jolies fesses. Et maintenant que vous avez sucé sa bite, vous allez lui lécher son trou du cul, Allez, on ne fait pas la chochotte et s’il pue, tant mieux. Jerry t’as le droit de leur péter dans la gueule.
Manquait plus que ça, et c’est qu’il le fait, le salaud, je suis un moment envahi par une odeur pestilentielle, Ça ne dure pas heureusement. Mais quelle humiliation !
Magda nous demande d’embrasser Jerry afin de le remercier de nous avoir pété à la gueule. C’est en effet la moindre des choses !
Fabienne et Sylvie sont elles aussi venues à bout de la bite qu’elles suçaient de conserve..
Jerry a pour l’instant la bite demi-molle, Magda pisse alors dans un verre et demande à l’homme d’y tremper sa bite. Et c’est ainsi imbibée d’urine qu’il vient la proposer à la bouche de Géraldine.
Celle-ci souffle un bon coup, lève les yeux au ciel, semble hésiter. Anne Marie passe derrière elle et la cravache plusieurs fois.
– Alors tu la suces cette bite ou tu attends le printemps ?
Elle hésite encore.
– Et ne te plains pas, ce n’est que de la pisse ! ça pourrait être de la merde.! Qu’est-ce que vous en pensez les filles ?
On ne sait pas trop quoi répondre.
– Ben oui ce pourrait être de la merde ! Commente néanmoins Sylvie.
– Et tu ferais quoi ?
– Je lécherais.
– Bon, alors tu vois !
Géraldine ferme les yeux, ouvre la bouche et se gobe la bite du black. Passés les premiers instants, elle ne s’en sort pas si mal et l’homme rebande presque. Anne-Marie fait cesser l’opération.
– Passons à table, mes chéries ! dit-elle.
Magda apporte une grande tarte aux pommes, la dispose au milieu de la table mais ne nous sert pas.
– Occupe-toi de notre cette chaudasse d’Isabelle ! Lui ordonne Anne-Marie
La bonne est venue à mon côté, m’a invitée à me lever, puis, placée derrière moi, m’a caressé le dos, en suivant ma colonne vertébrale jusqu’aux fesses et m’a fait pencher sur la table. Puis elle a commencée à me les caresser, passant un doigt dans le sillon, son doigt s’arrêtait sur mon petit trou, le caressait, le pénétrait, le ressortait, puis continuait vers mon entre-jambes, s’arrêtant juste sous ma culotte, à l’entrée de ma vulve.
Anne-Marie a demandé à Sylvie de venir lui bouffer la chatte pendant qu’elle se régalait du spectacle dont j’étais pour le moment la vedette.
Chacune des filles fut invitée à venir m’embrasser les fesses et à me caresser. Toutes sont venues suivant les ordres donnés. Géraldine m’a juste embrassé furtivement une fesse, ce qui a provoqué la colère d’Anne-Marie qui lui a demandé d’aller au coin, lui disant qu’elle serait punie pour manifester si peu d’ardeur. Dorothée m’a longuement léchée les parties charnues et j’ai senti sa langue dans mon sillon et sur mon petit trou, pendant que Sylvie se régalait de mes tétons érigés, je crois que j’ai gémi un peu. Fabienne, la jolie blackette, après m’avoir embrassée les lobes, me les a écartés et sa langue est venue le long de mon sillon, j’ai senti un doigt sur ma vulve qui cherchait mon clito qu’elle a caressée, m’obligeant à ouvrir mes jambes. Sa langue allait entre mon anus et ma vulve et je devais être prête à jouir quand la bonne l’a arrêtée. Elle m’a relevée et après m’avoir fait assoir sur un siège en m’obligeant à tenir mes jambes ouvertes, elle m’a doigté jusqu’à ce que je jouisse.
En voilà une étrange façon d’alterner la soumission et la douceur !
Sur un signal d’Anne-Marie nous avons regagné nos places.
Magda découpe la tarte. Elle fait six parts, donne la sienne à Anne-Marie mais avant de distribuer les autres, crache dessus.
Fallait voir la tronche des filles, qui n’osent pas toucher à leur part de tarte, quant à moi on a visiblement « oublié » de me servir
Géraldine se lève courroucée !
– Je ne reste pas, je me barre ! Dit-elle dans une posture très théâtrale et en se dirigeant vers la sortie de l’appartement.
– Stop ! Les filles, rattrapez-moi cette pute et amenez-là moi.
Chic, on va rigoler !
On se jette à quatre dessus on l’immobilise malgré qu’elle se débatte avec rage..
On l’amène devant Anne-Marie qui commence par lui foutre trois baffes.
– Lâche-moi !
– On va faire la paix, lui dit Anne-Marie, nous allons nous embrasser et tu pourras partir.
Géraldine se demande s’il y a un piège ou pas ! Bien sûr qu’il y en un, elle a oublié de se servir du mot de sécurité, donc Anne-Marie ne la laissera pas sortir. J’ai hâte de savoir ce que notre hôtesse lui prépare comme vacherie.
Les deux femmes s’embrassent, puis Anne-Marie la gifle à nouveau.
– Maintenant je vais t’expliquer quelque chose : en s’embrassant on s’échange de la salive, et apparemment ça ne te gêne pas trop. Quand Magda crache sur le gâteau c’est aussi de la salive, il n’y a pas de différence… Alors maintenant ton gâteau, tu vas le bouffer, et par terre comme une chienne.
Et elle lui tire les cheveux pour la mettre en position.
– Magda, cravache-moi cette salope jusqu’à ce qu’elle ait terminé son gâteau.
Quelle humiliation ! J’envie sa place, mais je me dis que mon tour devrait venir, il n’y a pas de raison !
– Salopes ! Vous n’avez pas le droit ! S’égosille Géraldine en pleurnichant.
– On t’a envoyé ici pour te punir, alors ferme ta gueule, morue !
– Ça devait être juste un jeu !
– Fallait te renseigner mieux, alors tu la bouffes, ta tarte ?
Vaincue, humiliée, domptée, le visage en larmes, elle la termina, elle était plus forte que je ne l’aurais imaginé.
Magda ouvrit une tenture derrière laquelle était disposé deux croix de Saint André, Géraldine fut attachée à l’une d’elle.
Magda s’empare de sa cravache et se met à fouetter durement les fesses et le dos de la pauvrette qui s’ornent bientôt de trainées rougeâtres. La Géraldine crie et pleure, mais supporte. Après une vingtaine de coups, on la détache mais c’est pour l’attacher de face.
– Allez-y les filles, maltraitez là, giflez-là insultez-là, défoulez-vous.
On ne s’en prive pas, on la gifle, on lui crache dessus, on lui tourne les tétons avec les pinces, on la traite de tous les noms. Quelle humiliation ! Comme j’aurais aimé être à sa place.
– Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait à cette pauvre fille, à votre tour d’être punies. Sylvie et Fabienne couchez-vous par terre sur le ventre, Isabelle et Dorothée fouettez les jusqu’à ce qu’on vous dise d’arrêter.
Je me suis acquittée de cette tâche avec grand plaisir, la Sylvie elle va se rappeler de moi ! Après cinq minutes de coups de cravache, on fait retourner les filles et on continue en ciblant les seins et le ventre, les filles sont en pleurs.
– Inversion des rôles !
Je l’aurais parié ! Me voilà par terre, ma victime est devenue bourreau, Mais c’est qu’elle me fait mal, la Sylvie, mes fesses se mettent à chauffer, je crie, je hurle, je piaille. Et quand on me fait retourner, c’est encore pire.
– Maintenant on va pouvoir retourner à table et déguster cette délicieuse tarte. Et on ne triche pas.
Sylvie, Dorothée et Fabienne prennent leur part et commence à grignoter.
Je vais pour attraper ma part qui est restée au milieu de la table.
– Non toi tu vas avoir droit à une garniture spéciale.
Anne-Marie monte alors sur la table s’accroupit au-dessus de ma part de tarte. Elle ne va quand même pas…
Ben si !
Un gros boudin marron sort de son anus et viens s’écrouler sur ma part de tarte.
Alors là, trop c’est trop, si elle m’oblige à bouffer tout ça, je me barre en utilisant le mot de sécurité.
J’ai maintenant l’assiette devant mes yeux.
– Je dois faire quoi ?
– Pour l’instant tu regardes ! Et tu me dis ce que tu en penses !
– C’est une jolie merde !
– Sens là !
Je me penche. Anne-Marie m’appuie sur le crâne, mon visage vient s’écraser sur la tarte. J’ai maintenant plein de caca sur le visage. C’est malin ! Cette salope pousse le vice jusqu’à prendre un peu de matière dans ses mains pour me l’étaler sur les seins.
– Regardez-moi cette salope d’Isabelle ! Se gausse Anne-Marie, elle est dégueulasse avec toute cette merde sur sa tronche et ses nichons de pute. Allez, vous autres approchez-vous venez la voir, ça vaut le coup d’œil !
Les filles arrivent, elles sont là devant moi, et j’ai l’air d’une conne.
– On ne va pas la laisser comme ça, il faudrait au moins lui nettoyer les tétons, Il y a une volontaire ?
– Je veux bien essayer ! Dit Sylvie
Tiens, tiens, mademoiselle a donc bien des penchants scatos ?
– Vas-y ! Lui dit Anne-Marie
La petite langue de Sylvie vient courir sur mon téton et en lécher la matière qui y était déposée. Sa tâche accomplie elle se recule très fière.
– Tu es une bonne petite pute, viens m’embrasser ! Lui dit Anne-Marie
Les deux femmes se roulent un patin, elles sont dégueulasses
– La suivante ! Ordonne Anne-Marie.
Dorothée et Fabienne se regardent, pas trop motivées, finalement c’est la blackette qui s’y colle
– Il reste un téton à nettoyer, Lui précise Anne-Marie
Fabienne donne un premier petit coup de langue très timide, puis de façon assez inattendue se prend au jeu et se met à me lécher avec avidité Elle devait avoir des prédispositions cachées
– Alors c’est bon ? Lui demande Anne-Marie
– Spécial, mais pas mauvais.
– Embrasse Isabelle !
Fabienne me roule un patin, avec le goût de la merde d’Anne-Marie dans la bouche Je suis honteuse de devoir subir une telle chose, mais ça me fait mouiller…
C’est au tour de Dorothée qui vient me lécher rapidement quelques traces sur mes seins, mais on sent bien que ce n’est pas son truc
Sur un signe d’Anne-Marie, Magda vient détacher Géraldine et la fait s’approcher de moi.
On se regarde toutes, il paraît évident alors que l’on va aller au clash, la Géraldine n’acceptera jamais de faire ce qu’on va lui ordonner. Reste à savoir comme ça va se passer.
– Tu sais ce que je vais te demander ! Lui dit Anne-Marie
– Oui ! De lécher ta merde !
– Très perspicace ! Et tu vas le faire ?
– Oui, madame, je vais essayer
On est sur le cul, on s’attendait pas à une telle réaction de sa part . Il me reste du caca sur le nez et sur les seins, elle se met à lécher tout ça en fermant les yeux, on voit bien qu’elle se force, mais elle ne lâche pas le morceau (c’est le cas de le dire).
Elle se recule toute contente !
– J’y suis arrivée, j’y suis arrivée. Clame-t-elle.
– Tu n’as pas encore léché ton gâteau ! Me fait remarquer Anne-Marie.
– Je vais le faire…
Je ne vais quand même pas être la seule à me dégonfler.
– Non, finalement on va faire mieux que ça, Magda va s’occuper de toi, couche-toi par terre et garde la bouche ouverte.
– Ah non pas ça !
– Si, si !
Je me couche ! Magda viens s’accroupir au-dessus de mon visage, un magnifique étron sort de son charmant trou du cul.
Il me tombe sur le visage, on vient de me chier sur la tronche, jamais je n’avais été autant humiliée. c’était bien la peine de me faire nettoyer le nez, le voilà de nouveau tout cacateux.
– Un grand nez comme ça ! C’est fait pour être enduit de merder ! Des moque Anne-Marie
Magda et Anne-Marie viennent ensuite prélever l’étron et s’amusent à en badigeonner le visage des quatre filles, nous avons ensuite été invitées à nous embrasser goulument les unes les autres.
Mais ce n’était pas fini.
Anne-Marie nous a fait nous mettre en rang d’oignons puis elle a rappelé Tom et Jerry.
– Bon, vous deux, pour vous remercier de votre collaboration vous allez pouvoir enculer deux de ces putes, mais comme ce sont des putes, il faut payer. Choisissez!
Tom me choisit, Jerry choisit Géraldine. Il sont allés chercher des sous qu’ils ont donné à Géraldine, puis nous avons été invitées à nous mettre en levrette. Et les deux blacks nous ont enculés, pendant ce temps Anne-Marie se faisait bouffer la chatte par Fabienne, tandis que Magda harnachée d’un gode ceinture sodomisait Sylvie, laquelle en profitait pour faire minette à Dorothée.
Quelle orgie mes amis.!
J’ai joui comme une malade, Tom est sorti de mon cul, il a enlevé la capote et m’a fait lécher sa bite pleine de sperme.
Je me sens bien, mais bien !
Mais ce n’était toujours pas fini !
– Et maintenant , la vedette de la soirée ! Dit alors Anne-Marie. Tom va chercher Droopy.
Ah ? Qui c’est celui-là.
Et revoilà le black qui se ramène en tenant en laisse un grand labrador noir. A tous les coups Anne-Marie va nous obliger à sucer la bite du chien. Non seulement je me sens capable de le faire, mais j’ai envie de le faire..
Anne-Marie nous fait assoir les unes à côté des autres et nous demande de bien écarter les cuisses. Je suis au milieu entre Géraldine et Sylvie, Fabienne est complètement à gauche et Dorothée en première position.
Anne-Marie emmène le chien entre les cuisses de cette dernière qui se laisse faire en fermant les yeux. Ce dure peut-être deux minutes, Anne-Marie décale le chien, ça va être le tour de Géraldine.
– Non, pas moi !
– Tais-toi, morue !
Elle fait le geste de se lever.
Isabelle, Dorothée, maintenez-la et empêchez là de gigoter !
Vaincue, mais renonçant à l’usage du mot de sécurité, Géraldine se laisse lécher la moule par le chien. Elle ne tarde pas à pousser des jappement de plaisirs.
– Alors ? lui demande Anne-Marie
– C’est trop bon, mais j’ai honte, honte !
– Ben faut pas !
En suite ce fut mon tour, puis celui de Sylvie et de Dorothée.
Anne-Marie couche le chien devant nous et lui tripote la bite jusqu’à ce qu’elle émerge de son fourreau. Elle le suce un moment semblant se régaler de ce cylindre de chair rouge.
– Une volontaire pour sucer, où faut-il que ce soit moi qui désigne l’une d’entre vous ?
On se regarde toutes, j’ai envie d’y aller, mais Sylvie aussi.
On a donc sucé la bite du chien toutes les deux ensemble.
Géraldine a pris le relais après avoir respiré un grand coup mais n’a pas fait trop durer, Fabienne l’a imité, Quant à Dorothée, après avoir pointé une langue timide, elle s’est prise au jeu et la sucé pendant quelques longues minutes.
– Vous êtes vraiment des chiennes. Attention pour le bouquet final.
Anne-Marie tire un petit papier dans une soucoupe et le déplie.
– Isabelle, en levrette, Droopy va te couvrir !
Ben oui, au point où j’en suis… Mais je n’imaginais pas que le clébard me procurerai une série d’orgasme à répétions.
On frappe !
C’est quoi encore ?.
Magda va ouvrir, un bonhomme fit son apparition.
– Bonjour la compagnie, je viens récupérer ma fille.
– Elle a été parfaite, souhaitez-vous qu’elle vous suce la bite, maintenant ? Devant tout le monde ?
– Avec plaisir !
L’homme sortit sa bite de sa braguette et Sylvie vint alors sucer la bite de son père devant la petite assistance..
Voici donc une histoire qui au lieu de se terminer par un mariage se termine par une bonne pipe ! C’est mieux, non ?
Fin