Léna Van Eyck

Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 11:21

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 18 – Meurtre au bordel suivi du Chien d’Hortense
zoo

C’est en se rhabillant que Gravier me tint à peu près ce langage.

– C’était pas mal tout ça, j’ai bien aimé, mais je voudrais vous parler d’autre chose. Pour être très franc, je serais intéressé par cet immeuble, avec quelques travaux je pourrais le valoriser et le revendre à bon prix.
– Je ne vends pas !
– Réfléchissez ! Soit je vous en donne un bon prix, soit je peux faire encore mieux et vous verser une rente à vie en tant que produit de la vente. Rendez-vous compte, plus besoin de travailler, la belle vie…
– Je vais réfléchir.
– Bien sûr, je repasserai demain.

Rente à vie, belle vie… après tout pourquoi pas ? Et le lendemain je donnais ma réponse… positive bien sûr.

Et rendez-vous fut pris chez le notaire… Et là je ne vous dis pas la douche froide…

– Madame, quand on signe des documents, on les lit ! Me dit le notaire avec une telle suffisance que je l’aurais bien claqué.
– Quelque chose m’aurait échappé ?
– Plutôt, oui ! Vous n’êtes pas propriétaire de cet établissement.
– Je vous demande pardon ?
– L’état l’a préempté et le contrat que vous avez signé sans le lire se contente de vous en attribuer l’usufruit pour un an, renouvelable par tacite reconduction.!

Du coup Gravier se lève en maugréant je ne sais trop quoi et quitte le bureau du notaire. Je m’apprête à faire la même chose.

– Une dernière chose, Mademoiselle.
– Oui !
– La loi sur le divorce a été promulgué l’an dernier, mais à ce que je sache vous n’êtes point divorcée.
– Ben non.
– Donc il vous est interdit d’effectuer une transaction immobilière sans l’accord de votre mari.
– Eh bien je crois que je vais aller boire un alcool fort après toutes ces bonnes nouvelles. Au revoir Monsieur.
– On dit Maître !
– Maître, mon cul !

Le second événement fut plus compliqué. Nous avions comme client un dénommé Leriche, chef de cabinet au ministère des affaires étrangères. Un petit bonhomme ne payant pas de mine, il payait bien et restait une heure entière avec Juliette, une jeune bourguignonne aux formes épanouies.

Leriche, très imbu de sa personne ne cachait pas sa fonction et l’exhibait comme un étendard..

J’ignore comment Hans Shokoloff, un homme au fort accent germanique mais qui se disait alsacien (l’Alsace était redevenue allemande depuis la défaire de 1870) réussit à être au courant des relations tarifées entre Leriche et Juliette, mais il le fut.

En fait Shokoloff était un espion à la solde de l’Allemagne. Or il se trouve que Leriche était un indécrottable bavard racontant rien que pour se faire mousser auprès de Juliette des choses qu’elle n’auraient jamais dû savoir.

Pour Leriche ces confidences lui paraissaient sans risque ! Qu’en aurait fait Juliette ?

Sauf que Juliette savait elle aussi être bavarde, d’autant que Shokoloff l’encourageait de quelques beaux billets.

Ce qu’ignorait l’espion allemand c’est qu’il était surveillé par la Sureté et plus précisément par l’inspecteur Tardieu, lequel n’eut pas grand mal à comprendre ce qui se tramait. Il reçut alors des ordres stricts de sa hiérarchie.

C’est ainsi que Leriche dégringola « accidentellement » du troisième étage de son immeuble haussmannien et fut remplacé à son poste par quelqu’un de moins bavard.

Restaient Juliette et Shokoloff… Ce dernier, pas au courant du faux suicide de Leriche se rendit comme tous les mercredi à « la Mouette grise ». Tardieu lui emboita le pas.

A ce moment-là quatre de mes pensionnaires étaient présentes au salon.

– Choisissez ! Ces demoiselles peuvent être toutes à vous ! Signifiais-je au nouveau venu.
– Monsieur était avant moi, j’attends qu’il choisisse et je ferais mon propre choix ensuite ! Répondit Tardieu
– Vous venez pour Juliette, je suppose ? demandais-je à l’Alsacien.
– Je ne m’en lasse pas !
– Elle est occupée, elle ne devrait pas tarder à redescendre.

Un contretemps qui contrarie Tardieu qui ne sait comment trop gérer la situation d’autant que ces demoiselles ne se gênent pas pour venir le solliciter de façon fort explicite.

– Alors, le relançais-je, vous n’allez pas me dire qu’aucune de ces demoiselles ne vous tente ?
– En fait j’attends Juliette, on m’a tellement vanté ses mérites.
– Juliette est réservée par Monsieur, il va donc falloir attendre une bonne heure, puis-je vous suggérer d’aller faire une petite promenade en attendant !
– Je préfère attendre ici….
– Ce n’est point l’usage…

En fait la chose aurait été possible, mais j’ai eu quelques cas de types qui font banquette pendant une heure, puis après s’en être foutu plein la vue, s’en sont allés sans consommer. Alors non c’est un bordel ici, pas un salon pour voyeurs..

Le mec reste assis.

– Décidez-vous, monsieur !

Et là, le mec sort son pistolet, vise Shokoloff et l’abat avant de s’enfuir à toutes jambes.

Je ne vous dis pas la panique, il y a du sang partout. Des filles se précipitent sur le corps de Shokoloff, mais ne peuvent rien faire puisqu’il est mort sur le coup..

J’ai fait prévenir la maréchaussée qui a embarqué le corps.

L’événement fut certes, traumatisant mais aurait pu en rester là… ce ne fut pas le cas.

Le lendemain le journal « l’Aurore » en faisait ses choux gras.

« Enorme scandale sous forme de règlements de compte entre espions au sein de la maison de tolérance « la Mouette grise ». Hier un individu originaire des Balkans (n’importe quoi !) a ouvert le feu sur un restaurateur alsacien soupçonné d’être un agent double. Cet événement survient après l’étrange suicide de Benoit Leriche également habitué de l’établissement. La gérante de la maison de passe a été interpellé pour complicité de haute trahison ainsi que la dénommée Marguerite Chambon dite Juliette… L’établissement a été fermée sur décision du tribunal administratif de la Seine.

Je n’ai jamais su ce qu’il était advenu de cette pauvre Juliette. Plusieurs mois de prison je suppose ! Mais en ce qui me concerne je fus rapidement blanchi, mon avocat faisant valoir que je ne pouvais être au courant des conversations qui se tenaient dans l’intimité des chambres.

J’étais donc libre, mais sans activité. Certes il me restait mon appartement de la rue Notre Dame de Lorette, je n’étais pas sans toit, mais l’idée de refaire salon ne me disait rien que vaille, je manquais considérablement d’inspiration pour écrire de nouveaux poèmes licencieux.

J’eu l’idée d’aller rencontrer Robert Lelièvre au ministère de la guerre. Mais ce dernier n’eut même pas la politesse de me recevoir. (Ingratitude, quand tu nous tient !) Mes pas me menèrent ensuite rue de Vaugirard à la « Poule d’eau », le bordel tenue par Hortense Pilla.

– Simone, quelle plaisir de te revoir !
– Appelle moi Pauline, je préfère !
– Quel joli vent t’amène ?
– J’ai quelques soucis en ce moment, je te raconterais… Disons que j’avais envie de te faire un gros bisous, pour me changer les idées !
– Un bisou coquin ?
– Tant qu’à faire…
– Tiens, je te présente Aglaé, c’est ma nouvelle chouchoute, elle est mignonne non !

La nana en question, une jolie blonde aux yeux clairs, s’approche pour m’embrasser. En voilà une qui m’a l’air d’une sacrée coquine et d’ailleurs le bisou n’eut pas grand-chose à voir avec un bisou de politesse… je vous laisse imaginer.

– Sais-tu qu’il y a quelques semaines j’ai dû virer deux bonhommes qui te recherchaient ? M’indique Hortense

A ma demande elle m’en fit une brève description.

– Mon père et mon mari !
– Ne t’inquiètes pas, Lucien s’est occupé d’eux, ils ont quitté Paris, la queue basse. Claire, tu vas garder la boutique pendant que je vais m’envoyer en l’air avec Simone ! Aglaé viens avec nous !
– Pauline, pas Simone !
– Mais oui, mais oui, allez viens, je vais te faire grimper aux rideaux

En chambre, Aglaé se déshabille spontanément, Hortense et moi l’imitons (évidemment !)

Elle est vraiment très jolie, cette Aglaé, avec des seins… Oh ma Mère !

– Je veux vous regarder vous gouiner toutes les deux ! Indique Hortense, ensuite je vous rejoindrai.

Ce n’est pas tout à fait comme cela que je voyais les choses, mais après tout pourquoi pas ?

Je ne sais pas trop par quoi commencer. Aglaé, pour sa part ne se pose pas de question et vient me butiner me tétons.

Quelle langue elle a cette petite putain, elle virevolte comme un papillon… je ne vais pas déjà commencer à mouiller ? Si !

Elle me prend la main et m’entraine sur le plumard, je m’y affale en écartant les cuisses, elle arrive sur moi et me présente son cul.

Je lèche ! J’ai toujours adoré lécher les trous du cul des femmes et le sien est bien sympathique, une petite étoile brune contrastant avec le blanc de la peau de ses fesses.

Et puis ce petit gout si particulier ! Hummm…

Son anus finit par bailler sous mes coups de langue. Du coup puisque le passage est ouvert, j’y introduit un doigt préalablement mouillée de ma salive et le fais aller et venir.

– Oh ! Salope, tu m’encules bien !

Hortense a sorti de je ne sais où un magnifique gode très réaliste et me le tend.

– Fous-y ça dans le cul à cette salope, ce sera mieux que ton doigt.

Ben oui, pourquoi pas ?

Je le lui enfonce en la traitant de poufiasse et d’enculée !. Elle halète, elle gémit, on dirait bien qu’elle va jouir comme ça !

Effectivement, et elle jouit dans un geyser de mouille ! Je retire le gode dont l’état est pour le moins douteux. Aglaé s’en empare et le lèche en me regardant d’un air de défi.

– Et si tu t’occupais un peu de moi ? lui demandais-je.

Elle ne me répond pas mais fout ses doigts dans ma chatte en les agitant frénétiquement.

Au bout de quelques courtes minutes, elle retire ses doigts (ça devait la fatiguer) et c’est maintenant sa langue qui vient me faire du bien. Elle ne s’éternise pas trop et me titille rapidement le clito. A mon tour de gueuler.

– T’es marrante ! Me dit-elle

Ah bon, je suis marrante ? Il faut mieux être marante que d’avoir une gueule de raie, non ?

– Humm vous m’avez bien excité mes chéries, venez me voir maintenant.

Hortense a semble-t-il décidé d’être passive, alors on l’embrasse, on lui lèche les seins, on lui excite la moule, on la doigte dans ses deux trous, on alterne les caresses, on est complétement mélangées.

– Faites-moi jouir, faites-moi jouir ! Implore-t-elle.

Pas de chance je ne suis pas à la bonne place, c’est Aglaé qui lui prodigue un « bouche contre chatte ». Mais j’ai un beau lot de consolation en léchant ses tétons formidablement érigés.

Mais voilà que l’on gratte à la porte, c’est assez énervant comme bruit.

– C’est Brutus, je l’ai acheté la semaine dernière, c’est un bon chien mais il est parfois un peu collant, je vais le faire entrer.

La bestiole arrive en agitant sa queue. Il a un petit moment d’hésitation avant de filer directement entre les cuisse d’Hortense.

– Veut-tu être sage, vicieux toutou !

Elle dit ça, mais ne le repousse pas et semble même apprécier la chose.

– T’as déjà sucé la bite d’un chien ? Me demande Aglaé.
– Ma foi non !
– Et tu n’as pas envie d’essayer ?
– Et tu l’as fait, toi ? Rétorquais-je.
– Oui j’aime bien… J’ai un client régulier qui vient avec son chien….

Le récit d’Aglaé.

Le client me choisit et on monte en chambre; il tient son chien en laisse, je suppose qu’il va l’attacher quelque part pendant qu’on fera notre petite affaire..

Il me paye (assez génréreusement)

– Voilà je voudrais que tu suces la bite du chien…
– Ah non, désolé, je ne fais pas ça !
– Pas grave je vais demander à Madame Hortense de me trouver une fille moins coincée. Répond-il en reprenant son argent.

On redescend au salon, je n’entends pas ce que le client et Madame Hortense se disent, mais cette dernière s’avance vers moi et m’ordonne de la suivre.

Elle désigne deux filles qui faisaient banquette et on se dirige vers « le cabinet des punitions » en compagnie du client.
.
Et à peine entrée, elle me gifle sévèrement.

– C’est quoi ces manières ? On ne te demande pas la lune…
– Je n’ai jamais fait ça…
– Ben, il y a un début à tout.
– Les filles, attachez-moi cette grue sur la croix, tu vas recevoir 30 coups de martinet sur les fesses.
– Mais Madame !

Et j’ai donc été fouettée par les collègues qui avaient l’air de trouver ça très drôle.(les salopes !)

J’ai les fesses toutes rouges et des larmes me coulent sur le visage.

– Voilà, ça méritait bien une punition ! Maintenant tu vas choisir. Ou bien tu t’entêtes dans ton refus et dans ce cas je te prépare ta note et tu fous le camp d’ici sur le champ, ou bien tu deviens raisonnable. Me propose Madame Hortense tout en me caressant la joue.

Imaginez mon trouble… et je n’ai pas de délai de réflexion, le client est là…

– Je veux bien essayer… mais si je bloque…
– Tu ne bloqueras pas ! Allez, l’incident est clos, Monsieur remontez dans la chambre, Aglaé va vous satisfaire, c’est une bonne fille.

Tu parles !

On se déshabille, le client couche alors le chien sur le flan et dégage sa bite.

– Viens !

Pauline18
Je me dis qu’au pire, ce sera un mauvais moment à passer, je ferme les yeux et j’embouche le zizi du chien… Et là il s’est passé quelque chose de bizarre, je réalisais que j’étais en train de commettre un acte obscène et que ça m’excitait, alors j’ai continué à sucer.

Pendant ce temps-là le client se branlait tout seul comme un grand et a fini par faire jaillir sa sauce sur le parquet.

– La prochaine fois, j’aimerais bien que le chien te prenne.
– Me prenne quoi ?
– Qu’il te baise !
– Ça ne va pas non ?
– Au point où t’en es… et puis je paie bien…
– On essaiera mais je ne te promets rien.

Et en fait maintenant ça m’amuse de faire ça, dans un bordel on n’a pas si souvent l’occasion de s’exciter…

Fin du récit d’Aglaé

– Alors tu veux essayer ? Me relance-t-elle

En fait l’envie me titillait et le récit d’Aglaé n’a rien arrangé.

– Alors d’accord !
– On va le faire ensemble ! Reprit Aglaé qui après avoir récupéré le chien d’entre les cuisses de Madame Hortense le disposa de façon à ce qu’on ait accès à son pénis.

Et c’est en cœur que nous avons sucé de gros mandrin rougeâtre.

Puis excitée comme une puce, j’abandonnais ma fellation pour m’installer en levrette, les cuisses ouvertes. Aglaé a compris le message et à guidé le chien qui m’a enculé frénétiquement.

J’ai adoré ce petit moment de folie ! Et cela m’a donné quelques idées pour mon carnet de poèmes. Quand on est perverse autant l’être complétement !

Epilogue

J’aurais pu travailler de nouveau chez Hortense, mais j’étais devenue trop indépendante. J’avais quelques économies et acquérais la gérance d’un modeste rade, rue de Budapest et j’embauchais trois jolies serveuses montantes.

Il ne me restait plus qu’à attendre que je rencontre le prince charmant… à moins que ce prince ne soit une princesse..

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 11:19

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 17 – Petite séance à la « Mouette Grise »
Domina

Voyage sans histoire en direction de Paris dans un compartiment calme, j’ai roupillé pendant tout le trajet

On arrive à Paris Saint Lazare, je suis en queue de train et j’ai tout le quai à remonter. Pas grave, je ne suis pas pressée.

Et puis alors que j’avais presque oublié la présence de mon époux et de mon paternel dans ce train, je sens soudain deux bras qui m’attrapent de chaque côté.

– Pauline ! Quelle bonne surprise ! Tu croyais sans doute qu’on ne t’avait pas reconnu !

Moment de panique comme vous pouvez aisément l’imaginer !

– Lâchez-moi, bande de brutes !

Par chance, ces deux débiles ne s’attendait pas à me rencontrer, du moins pas dans ces circonstances, ils me tiennent, mais comment peuvent-ils gérer la suite ?

Alors je hurle ! Un attroupement se forme

– Qu’est ce qui se passe ? Demande un péquin en casquette.
– C’est ma femme, elle a quitté le domicile conjugal.
– Évidemment, j’en avais marre de recevoir des coups.
– Lâchez la ! Vous lui faites mal.
– Mais lâchez la ! Intervient un gros costaud.

Mes deux agresseurs sont désemparés et devant la pression qui monte n’ont d’autres solutions que d’obtempérer.

– Je vous accompagne jusqu’à la sortie me propose le gros costaud
– Ce n’est pas de refus.
– J’ai comme l’impression qu’ils vont vous suivre, je vais m’en occuper, si vous voulez on se retrouve au café « la Grenouille », rue d’Amsterdam, à gauche en sortant, je vous paierais un pot.

Voilà un plan qui me rassure .

Costaud se pointe devant les deux emmerdeurs et leur barre la route.

– Vous allez où comme ça ? Leur demande-t-il.
– Mais enfin, laissez-nous passer, de quoi vous mêlez-vous ?
– Je n’aime pas qu’on embête les dames.
– Ce n’est pas une dame, c’est une pute.
– Et alors, vous avez quelque chose contre les putes ?

Ils ne répondent pas, cette diversion aura suffi à me fondre dans la foule. Du coup je rejoins le rade indiqué en m’assurant de ne pas être suivie.

Ce type ne me branche pas outre mesure, mais j’ai été bien content de le trouver, alors je ne vais pas être vache et accepter son invitation. A tous les coups il va profiter de la situation, c’est de bonne guerre.

– Vous êtes très jolie ! Commence-t-il.

Qu’est-ce que je disais !

– Bon, on ne va pas tourner autour du pot, vous m’avez sorti d’une situation compliquée, ça mérite une récompense. Qu’est-ce qui vous ferais plaisir.
– Je n’ose pas…

L’hypocrite !

– Mais si, osez !
– Vous allez me prendre pour un salopard’
– Je ne suis pas une femme facile mais je suis très décontractée vis-à-vis des choses du sexe et je sais récompenser les gens qui me rendent service.
– Une petite pipe alors ?

Je donne mon accord, il m’explique qu’aux toilettes, il y a une cabine un peu vaste… On y va !

Je trifouille dans son calfouette, un peu inquiète de l’état dans lequel je crains de trouver sa bite.

Mais ça va, à part une inévitable odeur de pipi…

Je lui suce tout ça et ça devient rapidement tout raide. Elle est plutôt jolie sa bite avec son gland violacée.

– Tu ne me montres pas tes doudounes ! Demande-t-il.

Eh, oui, à part deux ou trois spécimens, ils veulent tous voir mes nichons. Un rigolo m’expliquait qu’il s’agissait d’une des lois de l’attraction universelle.

Alors je lui montre, il touche, il caresse, il m’embrasse, il m’aspire les tétons sans me demander la permission. Faut surtout pas se gêner Il s’excite, il s’excite, je sens que cette affaire ne va pas s’éterniser.

Et puis tout d’un coup il me lâche les seins et me regarde avec un air idiot.

– Un problème ?
– Non, non ! Tu es trop belle !
– Merci ! Tu veux que je te suce à fond ?
– J’aimerais bien une cravate de notaire !

Qu’à cela ne tienne, il va l’avoir sa cravate.!

Je coince sa bite entre mes nénés et la fait coulisser. Cinq minutes plus tard, il lâchait sa purée, je reçois plein de sperme sur le visage…

– Oh, pardon !
– Ce n’est pas grave, il parait que c’est bon pour le teint.

Georges Chamuseaux et Ernest Féval sont dépités.

– Quelle occasion qu’on vient de manquer !
– On fait comment maintenant ?
– On va se renseigner. Répond Georges.
– Et on se renseigne comment ?
– On va aller voir au journal.

Ce fut un échec, les deux bonhommes eurent beau faire valoir leurs liens de parenté avec moi, personne ne voulut leur fournir de renseignements complémentaires et devant leur insistance on les pria de déguerpir.

Pendant trois jours ils tournèrent en rond tentant de lier conversation avec des piliers de bistrot au sujet des personnes citées dans l’article, mais rien n’y fit….

Jusque dans un rade du boulevard Richard Lenoir…

– Hortense Pila ? Ce ne serait pas la maquerelle de « La Poule d’eau ? »
– Ça doit être ça, vous connaissez l’adresse ?
– Rue de Vaugirard, juste après le jardin du Luxembourg, vous ne pouvez pas le rater.

Et nos deux zouaves, satisfaits du tuyau se rendent sur place où on leur fait l’article

– En fait on aimerait rencontrer madame Hortense
– Ben c’est moi !
– On peut parler en privé ?
– Parler de quoi ?
– On va vous dire.
– Non ce n’est pas comme ça que ça se passe, vous me dites de quoi il s’agit et ensuite je verrais si j’ai convenance à vous recevoir en privé.
– En fait on aimerait rencontrer Pauline Féval
– Connais pas !
– Mais si, regardez cet article.
– Je vous dis que je ne connais pas ! Maintenant sortez de mon établissement !
– Je vous en prie, lisez…
– Si vous me foutez pas le camp immédiatement, j’appelle le videur, et il est très baraqué mon videur.

Et alors que les deux hommes dépités sortent de l’établissement, Madame Hortense appelle Lucien, son videur.

– Encore des gens qui cherchent après Simone, tu les suis et tu te débrouilles pour leur faire passer l’envie de fouiner !
– Bien madame !

Lucien a vite fait de repérer les deux hommes qui vont en direction du boulevard St Michel. Il ne s’embarrasse pas trop et profitant du fait que la rue soit pratiquement déserte, il les rattrape, et d’un crochepied bien calculé fait dégringoler Ernest.

– Oh, monsieur excusez-moi, de cette maladresse !
– Vous pourriez faire attention !
– Donnez-moi la main, je vais vous aider à vous relever !

Georges qui a senti le coup fourré ne le laisse pas faire.

– Laissez-nous tranquille ou j’appelle la police !
– Chiche ! Il y en a un là-bas, Monsieur l’agent, venez par ici s’il vous plait !

Le gardien de la paix s’avance d’une démarche débonnaire.

– Ah ! Monsieur Lucien ! Des ennuis ?
– Plutôt oui, Ces deux voyous voulaient chercher des noises à Madame Hortense.
– J’attends vos explications et vos papiers, Madame Hortense est une personne respectable.
– Maïs nous sommes en plein quiproquo ! Tente d’expliquer Georges.
– Oui, c’est ce que tout le monde raconte dans ces cas-là. Je vous verbalise pour troubles à l’ordre public.
– Mais laissez-moi parler !
– Fermez-là ou j’ajoute une amende pour outrage à agent.
– Vous nous aviez demandé de nous expliquer.
– Impertinent en plus ! Vous payez de suite ou on vous envoie une sommation à domicile ?

C’est alors qu’Ernest Féval, saisi d’une impulsion soudaine se met à déguerpir en prenant ses jambes à son cou. Evidemment Lucien le rattrape et le plaque au sol. Le poulet se sert de son sifflet pour rameuter ses collègues et c’est ainsi que les deux compères finirent leur journée en cellule de dégrisement.

Le lendemain après une nuit impossible, ils paraissaient en comparution immédiate, Georges écopant d’une amende supplémentaire pour délit de fuite.

Dégoutés, ils décidèrent de rentrer au bercail.

– Je te retiens, toi avec tes idées à la con ! Fulmine Ernest !
– Je ne t’ai pas obligé, t’étais d’accord pour venir !
– Si ! Tu m’as obligé moralement !
– N’importe quoi ! Réplique Georges
– Comment ça je dis « n’importe quoi » ? C’est quand même pas de ma faute si t’es cocu !
– Répète un peu !
– Quand on est cocu, c’est qu’on a pas fait tout ce qu’il fallait pour ne pas l’être.
– Conard !

Les deux hommes n’ont pas voyagé ensemble dans le train qui les ramenait à Rouen et depuis ils ne s’adressent plus la parole.

Après toutes ces péripéties, je suis rentrée pour me reposer un peu puis je suis allée au ministère de la guerre rencontrer Lelièvre afin de lui rendre compte de ma mission havraise.

– Et bien bravo, c’est du beau travail, je vous félicite ! Cela a été difficile ?
– Disons que j’ai eu beaucoup de chance.
– Alors chose promise, chose due, quelques formalités à remplir et d’ici une dizaine de jours « la Mouette grise » sera à vous !

Le lendemain de mon entrevue avec Lelièvre, le journal l’Aurore publiait un article à la une !

« Grâce à la pugnacité de nos services secrets, un énorme trafic d’armes favorisant une puissance hostile a pu être démantelé, le responsable accusé de haute trahison croupit désormais sous les verrous, etc etc… »

Évidemment on ne parle pas de moi, mais je ne vais pas m’en plaindre.

Et huit jours plus tard, je prenais mes quartiers à « la Mouette grise ». Certaines des filles de l’ancienne équipe étaient revenues. Elles étaient neuf en tout et je bénéficiais également des services d’un videur.

Je ne suis pas restée fort longtemps à la tête de cette maison, deux évènements indépendants l’un de l’autre me l’ont fait quitter bien plus tôt que prévu.

Parlons-en !

La maison tournait bien et les filles étaient appréciées. En ce qui me concerne je ne payais plus de ma personne sauf si le client insistait.

Et justement ce jour-là, un dénommé Gravier m’entreprit et comme il me paya double tarif, j’acceptais de « monter » avec lui. Et nous voilà dans la plus belle chambre du bordel : La mienne !

– Alors, qu’est-ce qui vous ferais plaisir ?
– On va faire un petit scénario, disons que je suis un vilain garçon qui a fait des bêtises et maman m’envoie chez une méchante maitresse pour me punir
– Ça peut se faire, on se donne une heure ?
– Oui.
– Alors à poil, morue !
– Oh, oui, j’adore qu’on m’insulte…
– Dépêche-toi, pédale, lopette, enculé !

Le voilà complétement nu, je lui accroche une pince à chaque téton, il me remercie d’une impossible grimace. Mais il grimaça bien davantage quand j’accrochais deux autres pinces… à ses couilles cette fois.

Pauline17– Et maintenant à genoux, salope ! Et ouvre bien la bouche.

Je lui crache dans le gosier, il est tout content et me remercie

Je me tourne, lui présente mes fesses que j’écarte afin de bien dégager mon trou du cul.

– Allez lèche mon trou du cul plein de merde. Je ne m’essuie jamais quand je vais chier.

Qu’est-ce qu’il ne faut pas raconter comme connerie, mais en fait, tout se passe dans la tête.

Mais c’est vrai qu’il a l’air d’apprécier mon petit trou qu’il lèche avec une telle passion qu’il s’entrouvre laissant passer le bout de sa langue.

– Bon dégage de mon cul, tu y prends trop de plaisir. Dis-moi, puisque tu aimes ce genre chose, que dirais-tu si je te chiais dessus ?
– Rien, c’est vous qui décidez, maîtresse !

Pas contrariant le bonhomme, mais il n’aura pas cette joie, je ne chie pas à volonté… en revanche pisser, je peux. Mais ne brulons pas les étapes. Je le fais s’arbouter contre ma commode, puis m’emparant d’un fouet à manche courte, je lui flagelle le dos et les fesses sans aucun ménagement. Il souffre, il gémit, il hurle, mais ne me demande pas d’arrêter… alors je continue, je résultat est spectaculaire, je lui ai fait un dos à rayures. C’est assez coquet je trouve !

Estimant qu’il a eu sa dose je passe à autre chose et m’harnache d’un gode ceinture.

– Tu vas me sucer cette fausse bite et après je vais te la foutre dans le cul !
– Oui, maitresse !

Il n’est pas contrariant, pépère !

Je le pilonne en cadence et lui pose la question que toute bonne gagneuse pose en de telles circonstances..

– T’est vraiment un gros pédé ! Et si je te faisais enculer par une vraie bite au lieu de ce machin en caoutchouc ?
– C’est comme vous voulez, maîtresse !

Il n’a même pas hésité, j’en suis surprise !

– Tu veux qu’on le fasse ? J’ai qu’un mot à dire et mon videur viendra t’enculer.
– C’est comme vous le sentez, maitresse.
– Oui, mais ça mérite un petit supplément.
– Je vous ai payé largement ! Répond-il d’un ton ferme qui me surprend car il n’a plus rien de celui d’un soumis.

Je fais quoi ? Si je chipote, ce n’est pas comme ça que je le fidéliserai. Donc je rétropédale.

– C’est vrai que tu m’as bien payé ! Alors pas de supplément. Je vais aller chercher le videur, il va te soigner ! Ne bouge pas d’un poil !

Je trouve donc Prosper et lui indique ce qu’il doit faire. Il a l’habitude, étant parfois sollicité pour ce genre de prestation qu’il accomplit avec beaucoup de professionnalisme.

J’ordonne donc à Gravier de lui sucer la bite.

Il le fait et apparemment pour lui cette pratique n’a rien d’une corvée. Il a même l’air d’y prendre du plaisir..

C’est quoi cette attitude ? il est venu pour se faire humilier et dominer par pour se régaler en suçant des bites ! Allez donc comprendre les soumis, vous !

J’arrête donc les frais et demande à Prosper d’enculer le monsieur.

J’ai beau avoir vu une infinité de situations dans mon activité, jusqu’à en être blasée, j’ai toujours eu une fascination à regarder deux hommes s’enculer. Ces choses-là ça ne s’expliquent guère !

Le spectacle de Prosper coulissant sa bonne bite dans le trou du cul du client lequel pousse des miaulements de plaisir ne tarde pas à m’exciter. En voilà une situation imprévue.

– Bon Prosper, retire-toi de son cul ! Il aime trop ça, ce n’est pas du jeu.

Il décule ! Sa bite ne sort pas très propre.

– Dis donc, grosse morue, tu as vu comment tu as rendu la bite de Prosper. Elle est pleine de merde ! Tu vas me nettoyer tout ça en vitesse.

Ni protestation, ni hésitation, il lèche tout ça comme s’il s’agissait d’une tarde aux myrtilles.

Passons à autre chose, je m’empare d’une cravache et je me défoule sur les fesses et le dos de Gravier. Il braille comme un malade mais ne demande pas d’arrêter. Je casse volontairement le rythme de mes coups l’empêchant de les appréhender. Un coup suivi d’un second après 30 secondes de répit puis deux coups consécutifs… Je le marque bien et son cul est maintenant strié de traces cramoisies.

– Allez on va conclure, tu vas t’allonger par terre et garder la bouche ouverte, tu vas te branler pendant que je vais te pisser dans la bouche.
– Oui, maîtresse !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 11:16

Pauline à Paris par Léna Van Eyck – 16 – Tribulations havraises
stamp brune

– Bienvenue à bord ! je suis le capitaine Corentin, il n’est pas si courant qu’une jolie femme s’intéresse aux bateaux !
– C’est une passion, quand j’étais gamine j’en dessinais tout le temps, surtout des bateaux à voiles
– Ah ! Une artiste en plus, vous êtes venue ici spécialement ?
– Non, non, j’habite près de Rouen et je suis venue pour des papiers à la mairie, et comme le fiacre pour le retour n’est pas tout de suite, je me balade un peu .
– Je comprends, allez venez dans la cabine, je vais faire chauffer de l’eau pour le thé.

La cabine est exigüe mais décorée avec goût.

– Quel beau sourire vous avez ! Reprend le capitaine.
– Le vôtre me paraît malicieux.
– Alors peut être sommes nous fait pour nous entendre ?
– Pourquoi pas ?
– Oh, vos mains !
– Qu’est-ce qu’elles ont mes mains ?
– Des mains d’artistes !

Et le capitaine m’attrape les mains, me les caresse doucement.

– Votre peau est si douce !
– Grand fou !
– Pardonnez mon audace !
– Il est des audaces qui n’ont rien de désagréable.
– Il ne faut pas me dire ce genre de choses, je risquerai de devenir entreprenant.
– Grand fou !
– Me permettrais-je ?
– Vous me troublez, capitaine
– Un baiser, alors ?

Il y a des hommes avec qui tout un cérémonial est nécessaire avant de gagner le plumard. Et puis il y a ceux qui brûlent les étapes comme ce capitaine Corentin. Avec ces derniers on passe pour des salopes, mais qu’est-ce que j’en ai à faire ? Et en plus ça m’arrange, je n’ai aucune envie de passer trop de temps à cette mission.

Il me débraille tandis que ma petite main se faufile sous sa ceinture pour dénicher sa bite bandée.

Je la branle un peu et m’apprête à la sucer…

– Attends ! Me stoppe-t-il

Il se déshabille complétement à l’exception de ses chaussettes.

– Pince-moi mes bouts de seins ! Demande-t-il.

C’est fou le nombre de types qui apprécie cette caresse. Je le pince donc et comme il me demande de le faire plus fort, je serre davantage, je tire, je tortille. Il est aux anges le marin, et faut voir sa bite, elle est raide comme un bout de bois.

– Je vais te lécher ! Me dit-il au bout d’un moment.

Pourquoi pas ? Je ne sais trop comment me disposer vu l’exigüité de sa cabine, alors je lève mes jambes au ciel, les écarte et le laisse venir.

Je l’attendais sur ma chatte, mais mon trou du cul a dû l’attirer parce c’est là qu’il me lèche. Ce n’est pas désagréable !

Mais au bout d’un moment il cible ma chatte. Putain il lèche plutôt bien ce marin ! Et il me fait mouiller. En même temps son doigt me pénètre l’anus. S’il continue comme ça je n’aurais pas besoin de simuler, je vais jouir pour de vrai !

Et c’est exactement ce qui se passe, je me retiens de crier tant que je peux, mais j’ai vu trente-six chandelles.

– Tu veux jouir comment ! Lui demandais-je
– Doigte moi le trou du cul, je vais me branler !

Ah, bon !

On fait donc comme ça, drôle de bonhomme , il ne baise pas, mes seins ne l’attirent pas plus que ça, mais cela ne l’a pas empêché de me faire jouir comme une folle. Parfois il ne faut pas trop chercher à comprendre..

Après quelque minutes de branle, il devient cramoisie et s’agite comme diable en boite. Son sperme jaillit, j’en reçoit un peu partout. Pas grave !

Il reprend sa respiration, manifestement il a envie de parler.

– Dans la marine, on prend parfois des habitudes un peu bizarres, moi je ne fais plus de long cours, mais les habitudes sont restées. Des semaines en mer sans l’ombre d’une femme, vous vous rendez compte ?
– J’imagine !
– Alors on se fait des trucs entre hommes, on se suce, on s’encule. Et quand on aborde dans un port on dit que nous oublions nos comportement de pédés en baisant les filles des bordels. Mais c’est pas tout à fait vrai, sucer des bites ça laisse des traces, se faire enculer, c’est pire. Mais on fait avec, je n’ai de compte à rendre à personne et suis très bien dans ma peau.. maintenant j’aime autant sucer des bites que des chattes…
– Au moins vous êtes décontracté.
– Vous avez déjà vu un homme sucer une bite ?
– Non ! Mentais-je.
– Ça vous plairait de voir ?

Je ne veux surtout pas le contrarier et lui répond par l’affirmative. Le capitaine entrouvre sa cabine et hèle un dénommé André.

– Viens me rejoindre, la dame a envie d’un petit spectacle.

Pauline16On ne peut pas dire que ces messieurs s’encombrent de préliminaires, André après m’avoir salué (c’est gentil) baisse son froc et offre sa bite à la bouche du Capitaine Corentin. Ce que je n’avais pas prévu c’est que la fellation serait plutôt courte, Corentin finissant par se retourner en offrant son trou du cul aux assauts de son matelot.

– Ça vous a plu ?
– Très excitant !
– Je vous refais un thé ?

André s’en va… Moment calme, il faut maintenant que je tente un truc !

– Je vais vous faire un aveux, je n’ai pas trop envie de rentrer chez moi.
– Personne ne vous attend ?
– Si mon mari, mais bon ..
– Mal mariée ?
– Plutôt oui, mariage arrangé, il est jaloux comme un tigre, nul au plumard…
– Et il vous a laissé venir au Havre.

Je n’avais pas préparé cette remarque.

– Disons que je me suis débrouillée. Je m’offrirai volontiers une petite croisière en bateau, mais je n’ai rien pour me la payer, c’est dommage, cela m’aurait permis de réfléchir à mon avenir
– Mon cargo n’est pas un bâtiment de croisière mais je peux vous emmener faire un tour si ça vous fait plaisir… et ce sera gratuit.
– C’est tentant.
– On le fait ?
– D’accord !
– Nous partons demain, vous pouvez coucher là bien entendu, ma couchette est à votre disposition, moi je coucherai par terre !
– Et on va où ?
– A Hambourg.
– Et ensuite ?
– Ensuite on revient.

J’avais donc appris ce que j’avais à apprendre, la mission était donc terminée, je n’avais plus aucune raison de rester à bord.

– Je vais descendre m’acheter deux trois bricoles pour le voyage…
– Il ne sera pas si long…
– Juste une culotte, quand même ! Je serais de retour dans une heure
– Bisous .

Et je me précipitais à la gare où j’achetais un billet de train pour Paris.

Ernest et Georges

Georges est aux chiottes, il faut bien y aller parfois, c’est la nature !. Comme la chose est plus longue que prévue, il s’occupe en lisant les bouts de journaux disposés sur un clou et permettant de s’essuyer le derrière et il tombe sur cet article.

«Monsieur René Feuillard a une nouvelle fois fait parler de lui en jouant une pièce licencieuse d’une absolue vulgarité, il y avait là les chanteuses Esther Laville et Marguerite Bonin qui furent horrifiées, quelques peintres et poètes ratés en mal d’inspiration ainsi que les demi mondaines Hortense Pilla et Pauline Féval… La maréchaussée est intervenue afin de mettre un terme à ce ramassis d’obscénités… »

– Pauline Féval ! Demi mondaine ? Elle serait donc revenue des Amériques ?

Il montre le papier à son beau-père.

– Ça par exemple !
– On peut peut-être la coincer ? Suggère Georges.
– Pfff, pour quoi faire ? J’ai tiré un trait, Pauline n’est plus ma fille.
– Je comprends mais elle est encore ma femme, et rien ne nous empêche de lui donner une bonne leçon !
– Oui bien sûr. Mais comment la retrouver ?
– Elle semble connue si l’on en croit l’article, on se débrouillera.

Le train ne part que dans une demi-heure, je me dirige vers la salle d’attente. J’en ressors aussi sec, tellement l’odeur y est insupportable. Mais il m’a semblé…. Non je dois rêver… je me retourne le plus discrètement possible. Je ne rêvais pas, ce sont bien mon père et mon mari. Il ne manquait plus qu’eux !

Je décide donc d’attendre le train en bout de quai en espérant que ces deux idiots ne monteront pas dans le même wagon que moi.

Je balise pas mal. S’ils me reconnaissent je fais quoi ? J’ai pas mal changé depuis ma fuite du domicile familial mais un père reconnaît toujours sa fille, non ? Et puis d’abord où vont-ils ? Peut-être à Paris, mais pour quoi foutre ?

Vingt minutes plus tard, les voilà qui sortent de la salle d’attente et se dirigent dans ma direction. Au secours !

Je me retourne, me dissimule le visage et m’en vais à l’autre bout du quai.

Ils ne m’ont pas vu, ouf !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 11:11

Pauline à Paris par Léna Van Eyck –15 – Le salon de Pauline
pisse stamp

Pendant mes périodes de repos outre les longs bavardages avec les copines, je continuais à rédiger mes poèmes, me perfectionnant en enrichissant mon vocabulaire et en variant mes inspirations.

– Pourquoi tu ne ferais pas salon ? Me suggéra un jour Hortense.
– Un salon ?

Elle m’expliqua le principe. L’idée me séduisit, et je troquais ma petite chambrette pour un appartement plus vaste rue Notre-Dame de Lorette, que j’entrepris de meubler et de décorer à mon gout.

Et c’est avec appréhension que j’y organisais ma première rencontre. J’avais pour l’occasion abandonné mon pseudo, je n’ai jamais aimé m’appeler Simone, j’ai par conséquent repris mon vrai nom, pas mon nom de femme mariée, mais mon nom de jeune fille, Pauline Féval. Hortense était présente et m’avait épaulé en m’envoyant la baronne du Formant, Esther Laville, une chanteuse en vogue, le député Noisiel ainsi que l’industriel Bertrand Hachmuller et son fils boutonneux.

Et c’est avec une appréhension bien compréhensible que je récitais devant ce parterre huppé l’un de mes poèmes préférés.

L’accueil dépassa mes espérance, ces messieurs me félicitèrent, et Esther Laville me sollicita pour que lui écrive les paroles d’une chanson, tandis que la baronne me dévorait des yeux.

Bertrand Hachmuller avait apporté quelques un de ses croquis au fusain, des croquis très licencieux montrant des couples baiser dans maintes positions. Cela eut pour effet de ravir l’assistance. Puis ce fut au tour de la baronne ne nous faire profiter de l’une de ses nouvelles licencieuses dont la lecture excita tout ce petit monde.

Esther Laville se proposa pour pousser la chansonnette, mais nous indiqua qu’elle préférait chanter en montant sur la table ce qui « permettrait à ces messieurs de regarder ses cuisses ».

– Vous pensez bien que tout le monde fut d’accord !.

Après s’être débarrassée de sa robe, c’est en corset et culotte qu’elle grimpa sur la table et commença à chanter l’une de ses compostions aux paroles abracadabrantes où il était question d’un bonne sœur s’efforçant de pisser sur un moine.


Pauline15Et la chanson se terminait par ces vers de mirliton :

Ce que vous voulez m’offrir est pervers
Sachez que je ne bois que dans un verre

– Je suppose que vous voulez savoir de quelle façon tout cela se termine ? Demande-elle à l’assistance
– Oui, oui !
– Alors allez me chercher un verre… ou deux !

Les choses se précisent, elle retire sa culotte faisant rougir comme un coquelicot le visage du fils Hachmuller.

Elle est vraiment très poilue, je ne l’aurais pas imaginé aussi broussailleuse.

Elle place le premier verre (un joli verre à pied en cristal acheté par demi-douzaine, la veille) entre ses cuisses et pisse dedans jusqu’à le remplir aux trois quarts, le reste sera pour le second verre.

– Qui veut trinquer avec moi ? Attention il n’y en aura peut-être pas pour tout le monde !
– Moi, moi ! S’égosille la baronne du Formant

Finalement tout le monde a gouté à son pipi a l’exception du fils Hachmuller. (un grand timide sans doute)

Esther interpelle ensuite le député Noisiel qui a sorti son sexe de son pantalon.

– Ne restez pas comme ça avec la bite bandée ! Venez plutôt me baiser sur la table.

Hachmuller de son côté se fit enquiller par la baronne du Formant et ce fut le signal d’une orgie où partenaires et positions se succédaient en une mêlée diabolique.

Madame Hortense se fit une joie de venir me brouter le gazon, tout en me doigtant le trou du cul ! Je ne vais pas m’en plaindre, elle pratique cela si bien.

Noisiel et Hachmuller eurent tôt fait de niquer leur partenaire respectifs et après un temps de récupération arrosé d’un excellent champagne. Ce dernier s’approcha de moi.

– Souffrez, chère Pauline que je vous encule !
– Mais avec grand plaisir, cher monsieur, mon trou du cul sera ravi d’accueillir votre bite !
– Et si nous la besognons à deux ! Suggère Noisiel.

Allons-y ! Noisiel s’allonge à plat ventre afin que je m’empale sur sa bite, tout en laissant mon accès de derrière disponible pour Hachmuller. Et tandis que le mouvement prenait forme, le fiston sans doute lassé de faire banquette vient me présente sa biroute afin que je la suce. Ce cochon m’a éjaculé une incroyable quantité de sperme dans ma petite bouche ! Ma fois c’était plutôt bon,!

Et pendant ce temps-là, la baronne du Formant et Esther Laville se gamahuchaient réciproquement et peu discrètement.

Elle n’est pas belle la vie !

Le bouche à oreille fonctionnait et mon salon connu un succès inespéré, pourtant à y réfléchir tout cela n’allait pas bien loin, mais sans doute s’agitait-il de l’attrait de la nouveauté.

Mon portefeuille d’habitués ne cessait de s’élargir et si artistes peintres et poètes se gardaient de revenir en se gaussant de la prétendue médiocrité de ce qu’on y présentait, des gens de la politique, de la finance et de l’industrie ne le boudait point, bien au contraire.

Robert Lelièvre, l’un de ces messieurs, par ailleurs fort distingué, tenu à m’inviter au restaurant. Je commençai par refuser ne souhaitant pas m’infliger des conversations qui ne m’apportaient rien, mais le bonhomme insista et insista encore.

Mais quand on est vénale…

C’est ainsi que je me retrouvais attablée avec lui à l’Orée du bois, près du Bois de Boulogne

– J’ai un proposition à vous faire. Commença-t-il.

Je m’attendais au pire, genre demande en maîtresse exclusive, voire mariage, ou alors rendez-vous galant avec une personnalité de premier plan. En fait il d’agissait de tout à fait autre chose.

– Vous connaissez mon nom, mais ce que vous ignorez c’est que j’ai l’honneur d’occuper les fonctions de directeur des missions spéciales au cabinet du ministère de la guerre.
– Ah ?

Qu’est que j’en ai à foutre ?

– Nous avons actuellement un gros problème avec un métallurgiste bien connu, ce gars-là fabrique des tas de trucs et de machins et figurez-vous que nous avons appris qu’il s’était mis à fabriquer des canons. Or l’armée française qui a ses propres fournisseurs ne lui a passé aucune commande.

Mais où est-ce qu’il veut en venir, pépère ?

– Donc ces canons sont destinés à une autre puissance, peut-être potentiellement hostile, vous voyez où je veux en venir ?
– Pas vraiment, non ?
– Vous allez comprendre. Nous avons dépêché l’un de nos meilleurs agents, et vous savez ce qu’il a découvert ?
– Ben non
– Que ces canons sont destinés à l’Ethiopie
– Ah ?
– Mas ça ne tient pas debout l’Ethiopie. n‘a pas besoin de canons, du moins pas dans ces quantités .
– Ah ?
– Notre agent n’est pas parvenu à en apprendre davantage, nous en avons envoyé un autre qui n’a pas pu en apprendre plus… mais il nous a rapporté un élément intéressant, c’est la description du genre de femmes qui l’intéresse..

Commencerais-je à comprendre ?

– Et ce genre de femmes, c’est moi, j’ai bon ?
– Tout à fait.
– Vous êtes bien gentil, mais je ne me sens pas l’âme d’une espionne.
– J’entends bien. Mais ce service n‘est pas gratuit, avez-vous une idée de ce que je peux vous offrir en échange ?
– Non, mais ça ne m’intéresse pas.
– Vous avez entendu parler de la Mouette grise ?
– Un bordel qui a fermé, c’est ça ?
– Oui, la patronne a cassé sa pipe, normalement ça devrait être mis aux enchères, sauf que l’état va préempter, Si vous réussissez, on vous l’offre !

Oups ?

– Et en admettant, il faudrait que je fasse quoi ?
– Découvrir la véritable destination des canons.
– Et je dois faire comment ?
– Vous improviserez.
– Ben voyons… je peux avoir un délai de réflexion ?
– Juste un journée parce que le temps presse. Pour le moment le cargo est à quai dans le port du Havre, il ne va pas y rester éternellement.
– D’accord.
– Je passe vous voir demain midi pour votre réponse.

J’ai pesé le pour et le contre, et comme vous vous en doutez bien, c’est le pour qui l’a emporté.

Je donnais donc la réponse à Lelièvre qui en échange m’offrit un. billet de chemin de fer pour Le Havre, monsieur est bien bon.

Me voilà donc sur les quais du port du Havre, sans aucun plan. Je repère non sans quelques difficultés, le cargo suspect « la Venelle » et fait semblant de l’admirer (il n’a pourtant rien de sensationnel). J’attends une réaction. Pas de réaction. Je fais un petit tour un quart d’heure et je recommence mon manège.

– Il est joli, le bateau, n’est-ce pas ? Me crie un matelot du haut de sa passerelle.
– J’aime bien.
– Vous avez rendez-vous avec le capitaine ?
– Non, mais je veux bien le voir, j’adore les hommes en uniforme.
– Je vais aller le chercher.

Trop facile !

– Bonjour madame, vous désirez ?
– Rien, je regardais votre bateau et un matelot s’est proposé d’aller vous chercher, je n’ai pas tout compris.
– Vous voulez monter voir le bateau de plus près ?
– Pourquoi pas ?
– C’est un cargo, il n’a rien de spécial, mais j’ai une jolie cabine et je peux vous offrir un vrai thé de Ceylan.
– Vite fait alors !

Le capitaine est plutôt bel homme, très brun, jolie moustache et sourire enjôleur.

« Un homme à femmes ! »

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 3 mai 2025 6 03 /05 /Mai /2025 11:07

Pauline à Paris par Léna Van Eyck –14 – La femme du commissaire
StampFFH

Je me suis donc rendue au domicile du commissaire Damien Grandjean qui me présenta sa femme Andrée, dans les 40 ans, assez gironde et souriante.

– Oh, bonjour mademoiselle, décidemment mon mari à très bon goût, vous être vraiment une femme ravissante !
– Merci !
– Depuis que mon mari a été muté à la brigade de mœurs, il a plein d’idées salaces, et moi ça me plait bien. Il vous a dit quoi exactement ?
– Je peux répéter ? Demandais-je au condé.
– Bien sûr !
– A l’exacte ?
– Mais oui !
– Il m’a dit qu’il voulait me voir brouter la minouche de son épouse.
– Je vous dis, c’est un poète ! Et ne perdons pas de temps, vous préférez que je me contente de relever mes jupes ou que je me déshabille complétement.
– Ma foi, vous voir nue ne me déplairait pas !

Alors Andrée enlève tout, elle a des gros seins laiteux aux bouts rosés qui me plaisent bien.. Elle se dirige ensuite vers un petit fauteuil dans lequel elle s’affale en écartant les cuisses.

Sa touffe est impressionnante.

– Allez viens ma jolie putain, viens me brouter la touffe, mais avant tu vas te déshabiller, je veux savoir si tu es aussi jolie sous le linge qu’avec tes froufrous..

Ça ne me dérange pas du tout, d’autant que cette Andrée me semble être une joyeuse cochonne.

– Hum ! Que c’est joli tout ça ! Dis-moi tu dois avoir du succès comme putain !
– Je ne me plains pas !
– Ça te plait d’être putain ?
– Ça ne me déplait pas.
– Tu dois rencontrer des gens bizarres ,
– Bien sûr, mais je rencontre aussi des gens charmants, attentionnés, respectueux… quand je fais le bilan les avantages l’emportent sur les inconvénients.
– Et moi tu crois que j’aurais fait une bonne putain ?

C’est quoi cette question ? Et qu’est-ce qu’elle attend comme réponse ? Alors tant pis, elle l’aura voulu et si je me plante, je n’en mourrais pas.

– Oui, je crois que vous feriez une bonne putain.!
– Et qu’est-ce qui vous fait dire ça ?

Elle cherche à me déstabiliser ou quoi ? Mais après tout qu’est-ce que je risque en entrant dans son jeux ?

– Vous avez une jolie bouche, je crois que vous pourriez faire des pipes fabuleuses.

Ça la fait rigoler.

– Qu’est-ce que tu dis de ça, Damien ?
– Euh….
– Bon , trêve de bavardages, viens entre mes douces cuisses, ma jolie putain !

On y va, on y va. Me voilà à genoux devant sa broussaille. Je lui écarte les lèvres afin de pouvoir faufiler ma langue. C’est tout mouillé là-dedans, mais ça ne me dérange pas du tout, bien au contraire. Je lape, je me régale.et puis…

– Attends arrête !

Je me recule sans comprendre.

– Je vais faire une pause pipi ! Indique Andrée.
– Pisse lui dans la bouche ! Intervient le condé.
– C’est vrai je peux ?
– Oui, mais pissez doucement, que je ne m’étouffe pas !
– Je vais essayer, c’est la première fois que je vais faire ça !
– Menteuse ! Lui dit Damien.
– Je voulais dire la première fois avec une femme.

Le condé s’est emparé d’une serviette et me la glisse sous le menton. Il est prévenant le monsieur. Andrée ferme les yeux, se concentre… en vain… quand ça ne veut pas, ça ne veut pas !

– Bon je bloque, je vais pisser ailleurs…
– Non, non ! Intervient le mari. Imagine que tu sois une putain et que le client demande que tu lui pisse dans la bouche.

Rien de tel parfois que l’évocation d’un petit fantasme pour débloquer les choses. Et hop ça fuse d’un coup et j’en ai plein le gosier, je fais signe à la dame de temporiser et j’avale tout ça, c’est ma foi fort gouteux.

Deuxième rasade, cette fois elle ne contrôle plus, heureusement la serviette est là pour éponger le trop plein.

Miction accomplie ! Elle est toute contente et rigole comme une bossue, j’adore sa bonne humeur.

Pauline14Mais je suis là pour lui brouter la chatte, alors broutons, je pratique en de larges lampées qui la font pâmer d’aise. Je la sens prête à partir, ma langue vise son petit clito. Andrée est rapidement saisie de tremblements, ses yeux se révulsent, elle crie comme une furie. Je me recule.

Elle me fait signe d’approcher mon visage du mien, Madame Andrée veut m’embrasser, Madame Andrée est très affectueuse.

Et pendant ce temps, le mari qui a dégagé sa bite de son pantalon se la branle avec frénésie jusqu’à ce que, le visage congestionné, il projette son sperme sur le parquet ciré, puis reste là comme une andouille avec sa biroute toute poisseuse. Nos regards se croisent, j’ai compris et lui offre ma bouche qui va nettoyer tout ça ! Voilà qui n’est pas une corvée et qui permet de tisser de bonnes relations….

– Vous restez diner avec nous, j’ai un ragout de poulet qui mijote.

J’ai refusé, ils ont insisté. Il n’était pas mal ce petit ragout !

Je suis restée près de deux ans à la « Poule d’eau », j’ai gagné pas mal d’argent, mon activité s’est déroulé dans l’ensemble sans encombre ni embrouilles notables. Quelques rivalités plus ou moins vachardes avec certaines collègues mais pas de quoi s’affoler. Sinon, je suis devenue la chouchoute, puis la grande amie de Madame Hortense. Et j’ai gagné la confiance de quelques clients réguliers à propos desquels je ne savais pas grand-chose sinon qu’ils occupaient de hautes fonctions dans la politique, la finance; ainsi que certains artistes ou écrivains. Pourtant j’éprouvais une sorte de lassitude, j’aspirais à autre chose, j’aurais voulu devenir davantage indépendante. Mais comment faire ? Fonder ma propre maison ? Mais je n’arrivais pas à me décider.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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