Léna Van Eyck

Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:20

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 17 – Les chaleurs de Sœur Odette
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Edouard fut reçu par la supérieure du couvent de Ture après qu’il eut exhibé sa lettre d’introduction.

La mère en question état plutôt jolie et arborait un sourire assez peu religieux

– Je suis Sœur Odette, je vais satisfaire à votre requête, mais auparavant permettez-moi de me présenter, je suis sœur Irène, je ne suis pas là supérieure en titre mais cela ne saurait tarder, autant que vous le sachiez, je suis cloîtrée ici non pas par vocation, mais parce que mes parents n’avaient plus de quoi fournir une dot. La vraie supérieure est devenue folle, on l’a isolée dans sa cellule. Je ne prends aucun risque en vous racontant cela, notre prieur est au courant, le nouveau… parce que l’ancien… couic !
– Couic ?
– Étranglé dans les bois avec son cocher … couic !
– Mais alors pourquoi rester ?
– Pour aller où ? Rétorque Sœur Odette
– Euh ..
– Et vous ? J’ai du mal à concevoir qu’avec un tel physique vous ayez choisi de servir l’église .
– Confidences pour confidences, je ne suis pas un homme d’église et ne souhaite pas le devenir. Mais je suis au service d’un homme d’église ! Nuance !
– Mais c’est parfait ça ! Aimes-tu les femmes ?
– Je les adore.
– Alors on baise ?

Évidemment la proposition est tentante et Edouard n’est pas de bois, mais il est tellement pressé de consulter ces fameux registres qu’il préfère commencer par ça.

– Il faut vraiment que tu recherches quelque chose d’important pour faire passer ces registres avant ma gentille personne.
– Je t’expliquerai .

Les registres sont bien là et sont très mal écrits, il parvint cependant à lire qu’une certaine Blandine Corette a été admise en tant que novice, puis plus loin qu’elle a pris le nom de Sœur Véronique.

Il n’a plus qu’à consulter le papier sur lequel il a recopié les peines prononcées à l’encontre des sœurs . Il lit donc : Sœur Véronique : déportée en Louisiane.

– Enfer et poils aux fesses ! Comment la retrouver maintenant ?
– On dirait que tu as un souci, mon lapin.
– Plutôt, oui, ma sœur a été envoyé en Louisiane par cette saloperie d’abbé Royer.
– C’est sans doute un sort plus enviable que de finir dans des geôles putrides.
– Et je fais comment pour la récupérer ?
– Première étape, te rendre aux Amériques, pas trop difficile il suffit de t’engager comme matelot, ensuite ça va être plus compliqué, mais avec de la patience…
– Je n’y arriverais jamais.
– Faut pas dire ça, en attendant je peux t’offrir peu de douceur.
– J’ai pas le cœur à ça.
– Mais je peux avoir du cœur pour deux, laisse-toi faire, mon lapin.

Et sœur Odette entrepris de déshabiller Edouard lequel tout à ses pensées se laissa néanmoins faire. Cependant il bandait mou.

La nonne lui attrapa les tétons et les pressa dans ses doigts. Le résultat ne se fit pas attendre, l’anguille montait jusqu’à en devenir raide comme la justice. C’est magique !

– Te voilà en forme, je veux maintenant que tu me baises comme un sauvage, en me traitant de tous les noms d’oiseaux que tu connais… N’ai pas peur de m’humilier, j’adore ça !

Et tout en parlant, Sœur Odette s’est débarrassée de ses frusques de bonne sœur et aborde une fort jolie silhouette et des seins fort attrayants.

Alors les seins, c’est comme des aimants, Edouard se jette dessus, les pelote, les tripote, et en suce les pointes.

– Oh, que me fais-tu, mon salaud ?
– Laisse-toi faire, trainée lubrique.

Mais Edouard se sent soudain gêné par une subite envie d’uriner qu’il se demande comment gérer.

– Une petite pause, il me faut faire pipi ! Balbutie-t-il.
– Dans ma bouche ! Soulage-toi dans ma bouche, donne-moi toute ta pisse !
– T’es sûre ?
– Tu ne vas pas faire des manières ! Allez vas-y ! Reprend la Sœur en ouvrant une large bouche.

Edouard se concentre quelques secondes puis ouvre les vannes, le jet atterrit directement dans le gosier de Sœur Odette qui ne peut tout avaler et qui toussote. Le surplus lui coule sur les nichons accentuant ainsi leur relief.

– T’aimes ça, hein, ribaude !
– Et oui c’est moi la Sœur Vicieuse ! Je vais te rincer la bite, elle doit encore sentir le pipi.

Edouard se laissa faire, c’est qu’elle suçait fort correctement, la nonne !

– Hum, j’adore ça ! Commenta-t-elle. Maintenant si veux te tourner, je ne suis pas insensible non plus aux odeurs du derrière.

Sœur Odette se mit à butiner le troufignon d’Edouard.

– Hum ! Quelle odeur subtile ! Ne veux-tu point péter ?
– Je vais essayer ! Répondit l’homme à qui on n’avait jamais encore demandé une telle chose.

Il essaya et envoya ses flatulences au nez de la nonne qui manifestement s’en régalait.

– Et maintenant, encule-moi ! Reprit la nonne en se mettant en position, son gros cul bien relevé.

Sœur Odette mouillait comme une éponge. Edouard préleva un peu de sa mouille afin de lui lubrifier le trou du cul et la pénétra sans difficulté.

– T’aimes ça, hein, catin, tu n’es bonne qu’à te faire enculer…
– Ah, oui, je suis une catin, la pire des catins… Aaahh, c’est bon. Aaah…

Mais la Sœur Odette faisait un tel raffut, que l’on vint frapper à la porte.

– C’est qui ? Je suis occupée ! Répondit la nonne.
– C’est sœur Denise, j’ai entendu des cris…
– Entre et referme bien derrière toi.

La Denise ne paraît même pas surprise de voir sa supérieure en train de se faire sodomiser par un parfait inconnu.

– Regarde comme il m’encule bien, ce brigand ! Fous lui un doigt dans le cul pendant qu’il me besogne, ça va le stimuler.
– Mais bien sûr ma sœur !

Maintenant excité par devant et par derrière, Edouard finit par décharger en poussant un cri rauque.

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– Tu m’as bien baisé, mon salaud, mais ma petite Denise, tu es toute triste, tu aurais aimé jouir à ton tour, attends, on ne va pas laisser partir ce jeune homme avec sa bite toute cracra. Aide-moi donc à la nettoyer.
– C’est qu’il n’y a pas que du sperme !
– Oui, il y a un peu de merde, ce n’en sera que meilleur.
– Hi ! hi !

Elle a raison la sœur Denise de prendre ça à la rigolade et après ce nettoyage, Edouard pu se rhabiller tandis que sœur Odette continuait de débaucher Denise

– Relève-moi tout ça que je te fasse minette.
– Oh, oui, ma mère, bouffez-moi la chatte, elle me brule !
– Il faudra que je te punisse ensuite !
– Ce n’est pas un problème, oh votre langue est diabolique… Oh que c’est bon ! Aaaaah !

Edouard aurait pu partir de suite, Saint Nazaire n’était pas si loin et c’est ce qu’il faillit faire. Mais très vite il se résonna, un voyage d’une telle ampleur ça se prépare, et puis il aurait besoin de conseils. Aussi reprit il la route de Flochville.

Le voyage du retour se fit sans encombre. Par précaution il abandonna son cheval à une lieue du presbytère.

Il rendit d’abord compte à l’abbé Denis, lequel s’en fichait un peu.

– C’est l’aiguille dans la botte de foin, d’après ce que l’on sait, les filles qui sont envoyé là-bas sont mal nourries pendant la traversée, certaines en meurent, pour les rescapées le destin se montre versatile, les plus chanceuses vont tomber sur de vieux fermiers en mal de célibat, d’autres vont se retrouver à tapiner dans les rades locaux, tout est possible.
– Hum ! Et vous me conseillez quoi ?
– De laisser tomber.

Sauf qu’Edouard n’a nulle envie de laisser tomber.

N’empêche qu’une telle expédition, ça ne s’improvise pas, ça se prépare avons-nous dit. Et l’affaire n’est pas mince. Se rendre aux Amériques en s’engageant sur un bateau n’est sans doute pas le plus difficile. Mais ensuite ?

En fait, il a besoin de conseils… et d’argent aussi

Il consultât la bibliothèque du lieu, il apprit que la Louisiane occupait une superficie équivalente au quart de celle de la France et que l’on pouvait y accéder directement par la mer. Sur place il lui faudrait donc se livrer à une véritable enquête, s’équiper, se nourrir, se loger… bref il lui faudrait de l’argent… et il n’en avait pas.

Il réfléchit donc à quelques projets insensés : cambrioler un riche bourgeois ou un nobliau constituait l’un de ces projets, mais les risques étaient énormes.

Il eût alors l’idée de solliciter les conseils de Philibert puisque celui-ci semblait l’avoir à la bonne .

Il rencontrât quelques difficultés à retrouver sa cabane mais y parvint néanmoins. A quelques toises de l’entrée, il manifesta sa présence.

– Ohé de la cabane, je suis un ami.

Un type qu’il n’avait jamais croisé sortit, pistolet à la main.

– T’es qui toi ? Trois pas en arrière, les bras écartés.
– Je m’appelle Edouard, je venais voir Philibert, il me connait.
– C’est bien vrai ça ?
– T’as qu’à lui demander.
– Ça ressemble à un piège. Tu es sûr que tu n’as pas des comparses avec toi, planqué dans les fourrés ?
– Si c’était le cas, je n’aurais pas pris le risque de me découvrir.

René, car c’est de lui qu’il s’agit, a du mal à assimiler l’argument, faut dire que l’homme ne brille pas par son intelligence.

– Tu essaies de m’embrouiller, désolé mais je prends pas de risque. Rendez-vous en enfer

Et René vise Edouard qui dans un réflexe de survie inconscient anticipe l’évènement et bondit de côté en plein dans les fourrés.

Un coup de feu part. Edouard est tout étonné de ne pas être touché.

« Il ne sait pas viser, ce type, le temps qu’il recharge j’ai le temps de me carapater… »

Mais tout alla très vite, des bruits de bottes venus d’on ne sait où, au sol le corps de René inanimé.

Edouard ne comprend rien…

– On ne bouge plus ! Lui ordonne un gens d’armes armé jusqu’aux dents.
– Hé, mais je n’ai rien fait, on m’a tiré dessus .
– Je sais on a vu, mais vous êtes qui et qu’est-ce sur vous foutez là ? Vous êtes prêtre ?
– Je suis Edouard Carette, je travaille pour le compte de l’abbé Denis, le prieur de Sainte Agathe.
– Et votre présence ici ?
– J’aime me ressourcer ici et puis il y a des champignons.
– On vous a vu converser devant la baraque.
– J’avais soif… je demandais…
– Vous allez pouvoir repartir nous sommes intervenus à temps.
– Effectivement, je vous dois une fière chandelle…

Ce qui n’explique pas ce que les gens d’armes faisaient dans le coin…mais on va vous expliquer.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:17

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 16 – Pauline et Edouard
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Pauline adorait sœur sainte Lucie, son corps, sa peau, ses jolis seins, ses moments de tendresse, mais aussi ses moments où se faisant dominatrice elle l’humiliait en lui faisant rougir le cul, en lui pissant dessus voire pire. Cependant une autre personne hantait ses fantasmes, et cet autre personne c’était Edouard, ce beau jeune homme qu’elle avait rencontré en allant porter des œufs fraîchement pondus chez l’abbé Denis

– Jeune personne, l’éclat de votre visage est un rayon de soleil dans la brume. Lui avait-il dit.
– Je suppose que vous racontez la même chose à tous les jolis minois qui passent ?
– Non pas tous.
– J’ai de la chance alors ? Mais qu’en est-il de vos vœux de chasteté ?
– Je ne les ai jamais prononcés.
– Et vous les prononcerez quand ?
– Sans doute jamais, entrer dans les ordres n’était pas une bonne idée. L’idée de passer ma vie entière sans embrasser une jolie bouche… sans lécher un joli sein… Rendez-vous compte, très peu pour moi…
– Et vous faites ce genre de confidence à tout le monde ? Ironise Pauline.
– Vous n’êtes pas tout le monde, vous êtes là beauté incarnée…
– Arrêtez donc votre baratin, j’aimerais mieux que vous me répondiez.
– Ma foi, être pris pour un homme d’église possède quelques avantages, je ne vais donc pas crier sur les toits que cela n’est que déguisement.
– Et l’abbé Denis est tombé dans le panneau ?
– Eh bien non justement…L’abbé Denis est un cochon mais il est intelligent.
– Cochon ? Vous l’avez vu faire des cochonneries.
– J’en ai été l’acteur ! Ce coquin a voulu que je l’encule, mais je le confesse, la chose ne m’a pas déplu !

Edouard se lève afin de prendre un pichet de cidre et deux verres qu’il remplit.

– A votre santé !
– Vous avez des projets ? demanda Pauline
– J’attends que les démarches de l’abbé me permettant de consulter les archives du couvent de Ture aboutissent. Si ça ne le fait pas j’ignore ce que je ferais, il me reste cependant une piste…
– La carriole ?
– Oui, la carriole, mais l’abbé ne semble pas pressé de m’autoriser à entrer dans votre couvent. Dieu sait pourquoi ?
– Les desseins de Dieu sont impénétrable…
– Tu parles ! Et vous, vous ne pouvez pas me faire entrer ?
– Ce n’est pas évident, mais je peux toujours vérifier la carriole et t’en parler.
– Faisons comme ça. Savez-vous que nous sommes tous damnés ?
– Hein ?
– Nous sommes tous des pêcheurs, à quoi bon lutter contre les tentations puisque c’est notre destin à tous.
– Un peu de mal à suivre, là.
– Me permettrez-vous d’introduire mon diable dans votre enfer ?

Pauline éclata de rire.

– Ce n’est point l’enfer qui siège entre mes cuisses, c’est le paradis. Et n’y pénètre pas qui veux.
– Il faut une clé je suppose ?
– C’est cela, la clé du paradis.
– Ça tombe bien, je possède cette clé, je vais vous la montrer !

Et Edouard déballa son matériel.

– En voici une drôle de clé !
– Une clé de chair, ma chère !
– Hum, cette clé se suce-t-elle ?
– Bien sûr, une clé bien sucée entre mieux dans la serrure.

A ces mots, Pauline se jette sur le membre viril d’Edouard et fourre tout ça dans sa bouche gourmande.Margot16

– Oh, la, la, tu vas me l’avaler !
– Humpf, humpf !

Pauline se livre à quelques mouvements de gorge profonde avant de se livrer à des choses plus délicates, comme titiller le méat avec le bout de sa langue, lécher la hampe avec passion, tourner autour du gland, serrer avec les lèvres… Bref toute la gamme…

– Tu es vraiment une experte ! Qui t’as enseigné à faire de si bonnes pipes ?
– Ma mère !
– En voilà une curieuse éducation !

Pauline préféra ne rien répondre et continua le travail, elle s’amusa à gober les couilles pendantes de l’homme tandis que sa main gauche glissait derrière lui et s’approchait stratégiquement du troufignon.

Une petite pression du doit sur l’anus, elle attend une réaction.

– Mais que fais-tu donc ?
– Eh bien vois-tu, je vais te mettre un doigt dans le cul !
– Mais ce sont des choses qui ne se font pas…
– Alors tant pis pour toi, tu rates quelque chose.
– Essayons, je ne veux pas mourir idiot.

Quel hypocrite cet Edouard, car non seulement il aime ça, mais son trou de balle a connu des introductions bien plus conséquentes, notamment quelque bonnes bites… et il ne s’en est pas plain, bien au contraire.

Feu vert pour Pauline qui agite son doigt frénétiquement dans le fondement du jeune homme qui se pâme de bonheur.

La jeune femme sent qu’Edouard est proche de la jouissance, aussi veut-elle lui offrit un joli final. Elle s’affale sur le fauteuil, lève ses jambes permettant l’accès à tous ses trésors.

– Oh que c’est beau ! S’écrie le jeune homme, béat d’admiration.
– Encule-moi bien comme il faut !

Il ne faut pas lui dire deux fois, à Edouard, il donne quelques bons coups de langue sur l’œillet brun puis approche sa bite…une poussée, ça entre… une autre poussée, ça entre à fond… Quelques va-et-vient et excité comme un jeune loup, il lâche sa purée.

Il décule faisant ressortir une bite spermeuse et un peu merdeuse que Pauline s’empresse de nettoyer de sa petite bouche coquine. Elle adore ça, cette belle coquine !

Le lendemain Pauline rencontrait de nouveau Edouard, l’entrevue fut brève et elle lui indiqua que la cariole du couvent ne présentait aucune anomalie.

La déception fut terrible, Edouard était proche de la déprime, mais l’après-midi une missive parvint au presbytère à l’attention du père Denis qui autorisait en bonne et due forme une personne désignée par lui, à consulter les archives du couvent de Ture.

Edouard vola un cheval en ville puis gagna le couvent de Ture à vive allure.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:15

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 15 – Intermède scato
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Attention, épisode contenant de la scato explicite

J’interviens demandant à mes patrons la permission de me concerter quelques instants avec ma mère afin de discuter de cette proposition insolite.

– J’ai bien envie d’accepter. Dis-je à ma mère
– Tu ne vas pas faire la putain ?
– Pourquoi pas ?
– Si ça t’amuse… mais très peu pour moi.
– T’en as fait d’autres…
– On ne me payait pas !
– Ben justement, maintenant je vais me faire payer, il n’y a pas de raison.
– Hum…
– Et puis ça peut être attractif, une fille et sa mère, ils ne voient pas ça tous les jours.
– T’es vraiment une dépravée.
– Tu en es un peu responsable, non ?
– Je le conçois .
– Alors, tu essaies, et si vraiment ça t’insupporte tu pourras toujours retourner chez sœur Sainte Lucie, je suis sûre qu’elle aura une idée de rechange…
– Bon je veux bien essayer mais tu crois que l’on voudra encore de moi, à mon âge ?
– Mais bien sûr, amman tu es toujours autant désirable

Madame Galoubet nous a reçu comme des princesses, nous offrant des fruits confits et du chocolat des colonies.

– La mère et la fille, voilà qui va agrémenter mon petit commerce, cette chère madame de Préhardi nous a indiqué que vous n’hésitez pas à vous gamahucher ensemble, je peux voir ?

– Là, maintenant, tout de suite ?
– Si vous le voulez bien !.

Elle ne perd pas de temps la mère maquerelle !

Échange de regards avec ma mère qui commence à se déshabiller. J’en fait donc de même, et nous voici face à face nues comme des grenouilles.

Elle me tripote les nichons, je lui pelote les siens, m’enhardissant à lui pincer ses gros tétés. On se roule une pelle, on se caresse, mais évidemment Madame Galoubet ne saurait se contenter de ses mises en bouche…

Alors qui va butiner l’autre ? Je prends l’initiative et me baisse de façon à ce que ma bouche soit à la hauteur de son pubis. Ma langue vient au contact des chairs délicates, je lèche absorbant la mouille qui l’imbibe.

Ma mère apprécie la chose, se cambre en arrière et se pince les tétons. Je cible son clitoris de la langue et la fait hurler de plaisir.

– Vous m’avez l’air de sacrées salopes ! S’exclame madame Galoubet.

Un compliment, ça fait toujours plaisir.

– J’espère que vous avez les idées larges, je veux dire j’espère que vous acceptez toutes les pratiques y compris les moins avouables.
– Du moment que l’on ne porte pas atteinte à notre intégrité et à notre santé… Répondis-je
– Nous n’avons pas l’habitude d’abimer la marchandise.

Merci pour la marchandise !

– J’aimerais faire un petit test, je pensais aller chercher une de mes filles pour ce faire, mais ce ne sera pas nécessaire, j’ai-je crois comme une envie de chier, je vais faire devant vous.

Voilà une perspective qui fait sourire ma mère, elle m’avouera plus tard avoir déjà joué à ces petits jeux chez cette mystérieuse baronne de Beaucolombin. Moi, le chose m’indiffère.

– Nous avons quelques clients friands de ce genre de chose, autant que vous le sachiez.

Madame Galoubet avise une assiette en porcelaine de Limoges qu’elle pose par terre, puis elle se défroque, nous exhibant son gros fessier, s’accroupit et pousse.

Son anus s’ouvre et très vite un petit étron apparaît, il s’allonge vite en un long boudin marron qui atterrit dans l’assiette, elle pousse encore et un autre étron vint alors rejoindre le premier.

– Ah, ça fait du bien ! Je ne m’essuie pas le trou du cul, vous allez avoir l’honneur de le faire… Allez, au boulot !

Je cherche un linge pour ce faire mais n’en aperçoit guère. Ma mère, pour sa part a compris ce que voulais la mère maquerelle et vient lui lécher son anus merdeux. Je l’ai donc rejoint dans cette tâche insolite.Margot15

– Vous avez aimé !
– Humm c’est da bonne merde ! Répond ma mère.
– Pas mauvais ! Ajoutais-je

Madame Galoubet ramasse l’assiette et nous la met sous le nez.

– Alors n’est-ce point là un joli boudin !
– C’est attendrissant ! Répond ma mère
– Léchez-le !

Au point où on en est…

On a donc léché, et j’avoue y avoir trouvé un plaisir pervers.

– C’est bien vous allez faire une bonne paire de salopes, j’aurais ces jours-ci la visite d’un client important, qui se fait appeler le comte de Montebello, il est friand de jeux merdeux, j’espère que vous lui donnerez satisfaction.
– Comptez sur nous, Madame Galoubet, lui répond ma mère.

Un messager est venu au couvent porteur d’une lettre pour sœur sainte Lucie.

« Ma chérie cousine, la fille et la mère Savourey de la Treille nous ont donné satisfaction et maints plaisirs. Hélas, elles semblent bien provoquer la convoitise de personnages peu recommandables dont les activités ont fini par perturber la sérénité de notre maison, aussi les avons-nous renvoyées. Avec leur accord nous les avons orienté vers la maison de madame Galoubet, je suis persuadée qu’elles deviendront de bonnes putains. Je t’embrasse sur tes douces lèvres »

Et c’est signé : Suzanne de Préhardi ».

Evidemment la sœur supérieure ne put faire autrement que de montrer la lettre à ma sœur Pauline.

– De Margot, cela ne m’étonne pas tant que ça, mais de ma mère, je n’aurais jamais cru.
– Tu voudrais les rejoindre ?
– Pourquoi ? Je suis bien ici avec toi ! A moins que tu ne veuilles plus de moi ?.
– Ne dis donc pas de bêtises !

A suivre

 

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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:12

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 14 – Les privautés de Monsieur de Préhardi
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Madame Préhardi s’empare d’une fine cravache et se met à fouetter en cadence le joufflu de Thomas lequel ne tarde pas à virer d’une couleur cramoisie. L’homme hurle de douleur tandis que monsieur Préhardi ravi du spectacle se masturbe sans vergogne.

Il me fait signe d’approcher, j’ai compris ce que je dois faire, je ne vais pas me dérober, après tout je lui dois bien ça.

– Oh, la jolie biroute ! M’exclamais-je fort hypocritement car elle n’avait rien de vraiment particulier.
– Elle attend ta bouche.
– Alors ne la faisons pas attendre davantage ! Répondis-je en la prenant entre mes douces lèvres.

Et pendant que je le turlutte, il en profite pour me dégager les seins et me les peloter à qui mieux mieux. Je le laisse faire, après tout c’est de bonne guerre.

Je sens une goutte de pré-jouissance perler au sommet de son gland, je redouble d’efforts faisant travailler ma langue et mes lèvres en un ballet infernal.

J’hésite à lui introduire un doigt dans l’anus, ne sachant pas s’il est friand ce genre de choses, et de toute façon il est mal placé, affalé sur son gros cul.

Mais ma tentative n’a pas échappé aux yeux de Madame de Préhardi.

– Tu voulais lui tourbichonner le cul, ne te gênes pas il adore ça !

S’il adore ça je ne vais pas me gratter, l’homme se soulève très légèrement mais assez pour que ma main puisse passer, je peux ainsi lui astiquer le troufignon, et c’est qu’il aime ça l’aristo !

– Il y a longtemps que je ne vous ai pas vu en train de vous faire enculer ! Lui lance son épouse.
– Ça vous plairait de me regarder !
– Beaucoup, oui !
– Vous n’êtes qu’une catin, Suzanne !
– Chacun ses vices ! Annette, allez donc quérir Joachim et indiquez-lui que Monsieur souhaite avoir sa bonne bite dans le cul !
– Mais bien sûr, madame.

Sans qu’on ne lui demande Guillaume de Préhardi s’est placé à genoux et le dos tourné sur son fauteuil, le cul cambré.

– Attendez Joachim, Margot va d’abord me lécher l’entrée, puis elle vous laissera la place afin que vous m’enculassiez comme il se doit.

Je lèche donc le cul de mon patron, il sent un peu fort mais je fais avec (bien obligé) et quand j’estime que l’endroit est suffisamment humecté, je fais signe au valet de venir y planter sa grosse biroute.

Margot14L’affaire fut assez brève…

– Ces messieurs dames ont-ils encore besoin de mes services.

Suzanne de Préhardi attendit pour répondre qu’Annette ait terminé de lui lécher la chatte.

-A ce qu’elle suce bien, cette catin, j’en suis toute retourné, Vous disiez quoi Joaquin ? A oui, vous pouvez disposer, Mais prenez donc ces quelques pièces qui raient sur la cheminée.
– Merci madame !
– – Fais moi joui, maintenant, me dit Guillaume.

Je reprends donc ma turlutte…

Un soubresaut dans la bouche, Monsieur de Préhardi jouit. Je crache ou j’avale ? Rien pour m’aider à cracher proprement, donc j’avale. Pas mauvais !

On conduisit ensuite Thomas au cachot sans que l’on lui permette de se rhabiller.

– Au cachot ? Vous avez ça ici ?
– Oui mais il ne sert jamais, une journée là-dedans lui remettra les idées en place. Ensuite nous le libérerons. Nous ne sommes pas si méchants, nous pourrions inventer une fable qui le ferait pendre, on nous croirait, pas lui !

Le lendemain, j’accompagnais madame de Préhardo jusqu’au cachot, celle-ci m’avait fait prendre un grand seau d’eau et une serpillière.

Elle ouvre, la chandelle dévoile Thomas prostré dans un coin.

– Gros porc ! Qui t’as autorisé à chier et à pisser ? Nous ne te libérerons que quand tu auras tout nettoyé.

Thomas s’exécuta, jamais au grand jamais il n’avait été humilié de la sorte.

On finit par le libérer et c’est la haine et la rage au cœur qu’il regagna sa charrette après avoir récupérer ses frusques.

Revenons un peu maintenant vers Philibert. Blessé et choqué il met un temps infini à gagner la masure d’Irma.

C’est qui Irma ?

Irma est un peu sorcière, un peu guérisseuse, pas mal charlatane, mais habile à soigner les blessures.

Elle a une fille, Hortense, une belle brune, un peu putain, elle ne se déplace guère, on vient la voir, on repart content et Irma engrange la monnaie .

– Qu’est-ce qu’il t’est arrivé, mon beau ?
– Accident de travail ! Répond Philibert
– Je vois, je vais soigner ça, mais tu es à pied ?
– Une vraie catastrophe, mes compagnons ont tous été tués, les chevaux ont disparu.
– Je t’avais pourtant dit de faire attention. Tu vas faire quoi maintenant ?
– Je vais essayer de reconstituer une équipe, ça ne va pas être de la tarte.

Effectivement… Philibert avait déserté les armées du Roy et après quelques péripéties avait trouvé une cabane abandonnée dont il se contentait, habile voleur, il opérait en ville, les jours de marché et revenait toujours avec quelques bourses remplis d’écus sonnants et trébuchants. Mais il savait qu’il pouvait faire mieux… mais ne pouvait le faire qu’à l’aide de complices chevronnés.

Il avait commencé en duo, avec Geoffroy, celui-ci rencontré dans un bouge avait fui sa Charente natale. la maréchaussée le recherchait suite au meurtre d’un paisible bourgeois qu’il était venu cambrioler. Philibert lui proposa de partager sa cabane en échange de sa complicité. Il rencontra ensuite Pierre, celui-ci n’était point bandit mais ne supportait plus sa femme et ses gosses. Une motivation comme une autre…

Il lui faudrait maintenant écumer les estaminets à la recherche d’un homme en galère. Pas si évident que ça !

Rétabli au bout de deux jours grâce aux bons soins d’Irma et aux turluttes d’Hortense, il retrouva sa cabane, puis s’en alla à Rambouillet.

Il était déjà venu dans ce rade, mais il ne se remettait aucun des hommes présents. Ça buvait, ça jouait aux cartes ou aux dés, deux accortes bougresses proposaient quelques prestations d’arrière-salle. La routine, quoi !

Philibert proposa à un homme solitaire de faire une partie de dés. Le but était de le faire parler au cas où… aussi le laissa-t-il gagner. La conversation avec ce type qui paraissait avoir des facultés limitées ne lui apprit rien, mais ses oreilles traînaient et il ne perdait rien de ce qu’il se disait aux alentours.

Et il faut croire que pour Philibert ce fut un jour de chance, parce que à une table voisine :

– Tu ne sais pas où je pourrais me loger ?
– Pourquoi tu n’es pas bien à l’auberge ?
– Si, mais j’aimerais davantage d’intimité.
– Chochotte !

Voilà qui ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd. Philibert attendit un certain temps que le bonhomme soit libre puis l’aborda.

– J’ai une cabane dans la forêt, je peux la partager mais c’est donnant-donnant.
– Et il faut que je te donne quoi ?
– Viens dehors, je ne veux pas qu’on nous entende.

Le type suivit docilement Philibert à l’extérieur de l’établissement .

– Je cherche des hommes pour attaquer des voyageurs, ça t’intéresse ?
– Pourquoi pas, mais je trouve ça bizarre…
– Je vais t’expliquer.

Philibert lui raconta donc sa dernière attaque et le bilan désastreux qui s’en suivit.

– D’accord je suis ton homme, je m’appelle René. Mais on ne ça pas faire ça à deux…
– Sur des cibles faciles, ça le fera, sinon, il nous faudra recruter.

On trouve toujours plus brute que soi. Et René se dévoila fort rapidement comme un compagnon compliqué, toujours à la ramener à propos de tout et de n’importe quoi à ce point que Philibert en arrivait à regretter de l’avoir enquillé.

Cependant leur première attaque fut un succès d’une facilité déconcertante.

– Te voilà déjà riche, toi. Tu t’es bien débrouillé, bravo !
– C’était facile !
– Je voudrais te confier une mission…
– Ah oui ?
– Tu vas aller à Paris, chez les Préhardi, c’est dans le Marais, tu trouveras bien, je veux savoir si une certaine Margot travaille toujours chez eux.
– Désolé c’est pas mon job !
– Ton job, c’est faire ce que je t’ordonne, si ça ne te plaît pas je te vire !
– Et si tu me vire, j’irais raconter à tout le monde quelles sont tes activités
– Et moi je raconterais les tiennes ! Tu veux vraiment jouer à ce jeu-là avec moi ?
– Bon, bon, je vais y aller.

René n’a vraiment pas envie de faire ce genre de chose, il se demande qu’elle réponse plairait le mieux à Philibert.

– Si je lui dis qu’elle est là il va me demander autre chose, autant lui dire qu’elle n’y est pas.

Bien sûr Philibert fut dépité quand René revint.

– Elle est passée où cette greluche ?

Philibert n’est jamais à court d’idées .

– Sa mère travaille aussi chez les Préhardi, débrouille-toi pour l’approcher et la faire parler, elle sait sans doute quelque chose.

Cette fois encore René n’avait aucune intention de mener à bien cette mission, il irait à Paris, s’empiffrait dans une auberge puis il reviendrait en indiquant à Philibert qu’il n’avait rien appris.

Mais après deux pintes de bière son point de vue se modifia légèrement. Il se demandait ce que pouvait avoir de particulier cette Margot pour qu’elle préoccupe Philibert à ce point.

Il se décida donc à aller voir sur place de quoi il en retournait.

Et c’est passablement torché qu’il se présente à l’entrée de l’hôtel particulier des Préhardi.

– Elle est là, Margot ? Eructe-t-il devant le garde.
– Passe ton chemin, sac à vin .
– Attention à qui tu parles, je veux voir Margot, on dit qu’elle est baisable.
– Fout le camp sinon il va-t’en cuire. Répond le garde en dégainant son épée

René se jette sur lui, mais le garde, ancien soldat du Roy, esquive, les badauds accourent. René est maitrisé et se retrouve à demi inconscient, quelques minutes plus tard la Maréchaussée vint le cueillir.

Madame de Préhardi alertée par tout ce vacarme vint aux renseignements.. Quand elle remonta, elle était de fort méchante humeur.

– Margot et Catherine confinez-vous dans vos chambres, nous prendrons une décision au retour de Monsieur
– Mais on n’a rien fait ! Protestais-je.
– Obéissez !

Le ton est sans appel. Je n’y comprends rien du tout et ma mère non plus

. Il ne peut s’agir que d’un quiproquo, ça va s’arranger.

Et quelques heures plus tard, on venait nous chercher.

Nous voilà devant les époux Préhardi qui abordent une impossible mine.

– On vous aimait bien et on vous regrettera, mais on ne peut plus vous garder, ce qui s’est passé tout à l’heure ce fut la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Commença la maîtresse des lieux.
– Vous parlez de cet ivrogne que nous avons aperçu à la fenêtre, mais nous ne savons rien de ce type…
– N’empêche qu’il demandait après toi, alors il y a eu Philibert, ensuite Thomas et maintenant cet olibrius, ça commence bien faire, c’est une maison tranquille ici !
– Nous sommes désolées.
– Nous aussi, allez faire votre bagage, notre cocher va vous reconduire au couvent de Sainte Agathe, j’ai préparé une lettre pour cette chère sœur Sainte Lucie, vous la saluerez de notre part.
– A moins que, à moins que… intervint monsieur de Préhardi qu’on avait pas encore entendu. A moins que vous acceptiez un emploi un peu particulier mais dans vos cordes…
– Et ce serait quoi ?
– Une maison de plaisir !
– Nous ne sommes pas des putains, proteste ma mère.
– Les mots ne sont que des mots, la maison que nous vous proposons est une bonne maison, la clientèle est de bonne tenue. En quelques mois vous pourriez vous faire bonne cagnotte.
– Je ne pensais pas tomber si bas !
– Mais ce n’est point tomber en déshonneur que d’offrir du plaisir aux hommes.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 11:10

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 13 – Une punition c’est une punition !
stamp slave

– Ce comportement mérite assurément une bonne punition ! M’indique Madame de Préhardi
– Je le conçois aisément. Mes jolies fesses vicieuses sont à votre disposition. Répondis-je

Et voilà, ça va encore être ma fête !

– Allez, on se déshabille ! Me presse Suzanne de Préhardi. Et toi aussi, Catherine !
– Mais je n’ai rien fait, moi ! Proteste ma mère.
– Si tu es la mère d’une putain !
– Ah bon !
– Annette, va chercher monsieur afin qu’il assiste à ce spectacle, cela lui réveillera sans doute sa pauvre quéquette.
– Mais Monsieur est sorti… Objecte la soubrette
– Alors tant pis, on fera sans lui !
– Je prends la badine ? Demande Annette.
– Non, la cravache, faut bien changer un peu.
– Hi hi !

Comme la fois précédente, Annette alterne ses coups, un pour moi, un pour la mère.

La douleur provoquée par la cravache est plus douloureuse que celle de la badine, l’impact étant plus large. Je m’efforce de ne pas crier mais ce n’est pas évident., ça fait quand même très mal.

Ma mère, elle, ne se retient pas et braille à tue-tête tandis que son joli cul devient cramoisi.

– De l’autre côté, maintenant ! Ordonne Suzanne de Préhardi

Cette garce d’Annette prend un malin plaisir à nous fouetter le ventre, les cuisses, les seins. Je supporte, mais j’ai hâte que ça s’arrête !

La flagellation terminée, (ouf !) Suzanne de Préhardi sort d’on ne sait où un godemichet accroché dans un harnais.

– Enfile ça comme une culotte et encule ta mère ! M’ordonne Suzanne.
– Mais enfin, ça ne se fait pas ! Protestais-je mollement.
– Une punition c’est une punition !
– On ne m’a jamais encore fait ce genre de chose ! Commente ma mère pas plus gênée que ça.

Puisqu’elle le prend comme ça…

Margot13
J’ai par conséquent sodomisé ma génitrice, laquelle eût l’air de trouver ce traitement bien à son goût.

– Ça te plait de te faire enculer par ta putain de fille ?
– Oh, oui ! C’est trop bon ! Continue Margot, encore, encore !

Suzanne de Préhardi se régalait du spectacle tout en se faisant bouffer sa chatte dégoulinante par l’inévitable Annette. Mais manifestement il lui manquait quelque chose.

– Annette, qui est de faction à la grille ?
– Joaquim, il me semble; madame.!
– Va le quérir, je veux qu’il m’encule comme une chienne.
– J’y vais de ce pas !

Vous pensez bien que Joaquim n’allait pas refuser une telle invite. Sans se déshabiller, il sortit un chibre de bonne taille de ses braies

– Annette, prépare moi cette queue.
– Oui madame !

Annette eut alors tôt fait d’emboucher cette bite afin de la rendre convenablement bandée. Alors que dans le même temps, ma mère se mettait à jouir du cul en braillant comme une baleine.

– A-t-on idée de gueuler pareillement ! Approche toi Catherine, et viens me lubrifier le trou du cul afin que ce jeune homme puisse m’enculer comme il convient.
– Avec plaisir Madame !

Ma mère se mit à l’ouvrage de bon gré tentant bien que mal de faire pénétrer sa langue dans le troufignon de notre patronne.

– A quel plaisir divin de se faire lécher on trou du cul merdeux par la mère d’une putain !
– Mais certainement madame !
– Tu le trouves comment mon cul aujourd’hui ?
– Il a, ma foi, un bon goût de cul !
– Fais moi gouter !
– Mais comment faire, madame ?
– En m’embrassant, espèce de gourde. Et toi Joaquim, tu peux m’embrocher, je suis prête !

Joli spectacle que celui de Madame de Préhardi se faisant sodomiser tout en embrassant ma mère à pleine bouche.

Annette s’apprête à quitter la salle.

– Ou tu va ? Lui demande la patronne.
– Madame a encore besoin de moi ?
– Je t’ai demandé où tu allais ?
– Je vais pisser madame !
– Pisse donc sur Margot, ça va la rafraichir, elle doit être fatiguée d’avoir enculé sa mère.

Je me suis donc couchée à même le sol, et tandis qu’Annette me gratifiait de son joli pipi dans ma bouche gourmande, je me tripotait le bouton jusqu’à la jouissance.

Il y a plein de pisse par terre ! Qui c’est qui va nettoyer ? D’après vous ?

Sœur Philomène est une vieille peau, méchante et acariâtre. Quand elle se mit à perturbe le trantran du couvent en vociférant n’importe quoi, on l’affubla d’un statut spécial en la confinant dans sa cellule et en la dispensant de toute participation aux activités collectives. Elle avait toutefois la permission de se rendre dans le jardin où elle pouvait brailler à sa guise. Mais comme beaucoup de personnes dérangées du cerveau, elle avait parfois des moments de lucidité.

Donc ce jour-là Sœur Philomène se rend au jardin et aperçoit Thomas en train d’y travailler mollement.

– Vous êtes nouveau, vous ?
– Eh oui…
– C’est un drôle d’endroit ici, vous savez ?
– Et pourquoi donc ?
– Parce que c’est Babylone, ici !
– Babylone ?
– Oui, ici tout le couvent s’adonne à la luxure.
– Ah ?
– Oui des orgies, elles sont toutes nues, elle se gamahuchent, s’introduisent les doigts et plein d’autres choses dans tous les orifices, elles se flagellent, se compissent et commettent toutes sortes d’actes dégoûtants et impies.
– Eh bien en voilà une description !
– Je ne cesse de le signaler à notre père confesseur, mais il tarde à agir, cet homme me semble posséder peu de volonté. Ou alors il me croit folle, tout le monde me croit folle mais moi je sais bien que je ne suis point folle. Le pire c’est que nous recueillons des filles perdues et qu’au lieu de tenter de les sauver, les sœurs du couvent leur ouvrent les portes du vice.
– Justement je suis à la recherche de trois femmes, deux jeunes femmes et leur mère…
– Je les ai vu…
– Comment les récupérer ?
– Il y en a une qui est restée ici, les deux autres sont parties.
– Parties où ça ?
– J’en sais rien, sans doute en un lieu de débauche… mais le cocher le sait sans doute…

Bref, Sœur Philomène lui expliqua comment rencontrer ce fameux cocher.

Gédéon travaille au presbytère, il est parfois sollicité par Sœur Sainte Lucie lorsqu’elle doit se rendre dans la capitale.

Lorsque Thomas parvient à rencontrer le cocher, celui-ci est à moitié ivre .

– Je suis le vieil oncle de deux jeunes femmes qui ont trouvé refuge au couvent et qui ont été conduites dans un endroit inconnu. Je souhaiterais leur porter secours ..
– Je ne pense pas que ces personnes courent un quelconque danger. Je les ai conduit dans une bonne maison.
– Voilà qui me rassure, mais comment faire ne serait-ce que pour les embrasser ?
– Autrement dit vous voudriez l’adresse ?
– Ma reconnaissance en serait infini.
– N’exagérons rien. Elles sont au service de monsieur Préhardi, c’est à Paris dans le Marais, vous trouverez bien.

C’est bien joli d’avoir une information, encore faut-il savoir de quoi en faire. Il n’a aucune idée sur la façon de faire sortir Pauline du couvent. Les deux autres ne sont pas cloîtrées mais comment les piéger ?

Alors, il improvise, se rendant à Paris, il repère le valet gardant l’entrée de l’hôtel particulier des Préhardi, le suit quand il a terminé son temps et le retrouve dans un estaminet où l’alcool aidant, il le fait parler

– Oui deux pimbêches, bien roulées, surtout la plus jeune, engagées. comme servantes… Ça y va les orgies…
– Ah oui ? Qu’est-ce que tu en sais ?
– On me fait parfois participer !.
– Et comment je peux les rencontrer ces nanas ?
– Je ne peux pas te faire entrer, mais souvent le matin elles s’en vont en courses…

Alors faisant le pied de grue devant l’hôtel particulier des Préhardi il attend patiemment que ma mère ou moi en sortent.

Et c’est évidemment sur moi que ça tombe :

– Tu me reconnais ?
– Oui et alors ?
– Je peux te sortir de là.
– Me sortir de quoi ? Je ne te demande rien.
– Ne me dis pas que tu es heureuse chez ces bourgeois ridicules ?
– Ils sont moins ridicules que toi !
– Allons, allons, quand on est née avec une cuillère en argent dans la bouche, se retrouver boniche, tu ne vas pas me faire croire que c’est un sort enviable.
– Qu’est-ce que ça peut bien te foutre ? Et tu as quelque chose à me proposer ?
– Oui.
– Et avec ce que tu vas me proposer, je vais retrouver mes belles garde robes, mes bijoux et tout le reste ?
– Non mais tu ne seras plus obligée de frotter le parquet.
– Bon tu me lâches maintenant, j’ai des courses à faire.
– Je vais t’accompagner.
– Certainement pas.

Il faut absolument que je me débarrasse de ce pot de colle. Une ébauche de plan germa dans mon cerveau.

– Reviens demain à la même heure, tu m’expliqueras mieux.

Je plantais là ce triste sire et en revenant des courses je mis ma mère au courant qui s’empressa de se confier auprès de Madame de Préhardi.

– Vous voudriez que l’on donne une bonne leçon à ce chenapan ?
– Ce serait une bonne chose en effet.
– Hi, hi et il va s’en souvenir, le drôle.

La maîtresse des lieux ordonna au garde de laisser entrer le dénommé Thomas quand il se présenterait le lendemain matin.

– Entrez, ces dames vont vous recevoir.
– Ah bon ?

Et sitôt Thomas dans les lieux, deux valets le maitrisent et l’emmènent dans le donjon où il est prestement déshabillé, et attaché contre un poteau .

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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