Léna Van Eyck

Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 10:53

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 7 – Les mésaventures d’Edouard dans les bois
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Mais avant d’aller plus loin il nous faut parler d’Edouard Corette. Cadet d’une nombreuse famille, il dû quitter la ferme familiale suite à une série d’embrouilles impliquant ses parents et leur voisinage.

Il prit la route avec sa sœur Catherine, celle-ci se fit héberger au couvent de Ture où elle entama son noviciat. Edouard, en ce qui le concerne, trouva du travail chez un tonnelier

Un an plus tard éclatait le scandale du couvent de Ture.

Il n’y avait pourtant rien-là qui puisse faire grand scandale, mais que voulez-vous…

Au départ une religieuse de peu de foi, placée là contre son gré se révéla folle de son corps, dotée d’une beauté sans pareille, d’un charme fou et d’une gentillesse naturelle, elle sut séduire plusieurs de ses congénères (l’histoire ne dit pas combien) dans des orgies saphiques qui après tout ne faisait de mal à personne.

La mère supérieure fut vite mise au courant, (il y a des garces en tout lieu) mais se souvenant qu’elle fut jeune en son temps, ferma les yeux.

Voilà qui ne fit pas renoncer la garce qui avait bavé, elle balança l’affaire aux oreilles du prieur, l’abbé Royer qui trouva là l’occasion de faire parler de lui.

L’affaire fut montée en épingle, on accusa les tribades de sorcellerie, on accusa la mère supérieure de complicité passive. Les interrogatoires démontrèrent sans trop de mal (dame, un peu de torture, ça aide un peu.) que tout le couvent était au courant.

Le procès fut retentissant et expéditif. La supérieure fut condamnée à mort (carrément). Quatorze sœurs furent déportées en Louisiane, un sort d’ordinaire réservé aux prostituées, les autres furent emprisonnées à vie

C’est qu’il ne rigolait pas le sinistre abbé Royer !

A cette époque les nouvelles n’allaient pas trop vite et ce n’est que quelques mois plus tard que le bel Edouard eut connaissance de ces évènements.

Il se renseigna donc, se rendit à Mornay-le Château où entre autres commérages on lui apprit que l’affaire avait été instruite à charge par l’abbé Royer que la population tenait en grande détestation.

Tout cela ne lui disait pas où était passée sa sœur adorée. Il lui aurait fallu pour cela avoir accès aux minutes du procès.

A partir de ce moment, Edouard se fixa deux buts : se venger de l’abbé et trouver un moyen de libérer sa sœur.

Et pour cela il fallait approcher l’abbé ! Plus facile à dire qu’à faire !

Alors il y alla au flan.

– Mon père, merci de m’avoir accordé cette audience, je suis étudiant à l’Université de Rennes et mon professeur m’a conseillé de m’intéresser à quelques procès récents pour en comprendre les mécanismes et les subtilités.

L’abbé Royer était subjugué par la beauté du jeune homme. Eh oui notre curé qui tenait les femmes en grande détestation fantasmait sur les beaux jeunes hommes, mais il n’était jamais passé à l’acte, ce grand mystique cultivant une peur maladive de l’Enfer.

Avoir ce jeune homme chez lui le comblait d’aise et c’est donc bien volontiers qu’il accéda à sa demande.

Edouard eu donc accès aux minutes du procès, il savait lire mais difficilement, de plus l’écriture du greffier n’était pas facilement déchiffrable.

Mais il y avait pire, les accusées étaient désignées sous leur noms de sœur et non pas sous leur nom de jeunes filles. Impossible donc de savoir ce qu’était devenu Catherine Corette avec ce document.

Une solution consisterait peut-être à consulter les archives du couvent de Ture, mais comment y accéder (si toutefois elles n’avaient pas été déplacées..

– Et qu’en est-il aujourd’hui du couvent ? Demanda Edouard.
– Il a été entièrement réorganisé sous l’égide de sœur Geneviève.
– Sœur Geneviève ?
– Ben oui, c’est quasiment la seule sœur du couvent qui n’a pas été pervertie. Elle a eu le courage de dénoncer toutes ces turpitudes, remarquez, dénoncez son prochain n’est pas non plus un acte très chrétien, mais que voulez-vous, les femmes sont toutes pécheresses d’une façon ou d’une autre.

« Cette sœur Geneviève est donc une piste » se dit Edouard, « mais comment exploiter ça ? »

– Je vais vous dire, lui déclara alors Royer, j’ai besoin d’un secrétaire, j’en ai bien un, mais le pauvre ne me sert plus à grand-chose. Non il me faudrait quelqu’un de jeune et de dynamique, ça vous intéresserait ?

Edouard ne s’attendait nullement à cette proposition, mais en saisit l’opportunité, en restant près de l’abbé, en gagnant sa confiance, peut-être parviendrait-il à ses fins ?

Mais un mois plus tard, Edouard n’était plus guère avancé.

Sa tentative afin de tenter de consulter les archives du couvent du Ture se heurta à une fin de non-recevoir

– Mon père, il m’aurait été agréable de pouvoir visiter le couvent afin d’en saisir le fonctionnement.
– Ne vous donnez pas cette peine mon fils, le fonctionnement du couvent je le connais dans ses moindres détails, il suffit de me demander ce que vous désirez savoir
– Vous ne pensez pas que…
– Mais non, laissez donc ces pauvresses tranquille

Edouard n’insista pas de peur d’éveiller des soupçons, mais la situation devenait bloquée. Trouver un prétexte afin de de consulter les hypothétiques archives du couvent devenait une gageure.

Edouard prit alors son mal en patience se disant que tout problème finit par trouver sa solution, tout n’étant qu’une question de temps et d’opportunité.

La mort de l’abbé Royer vînt comme vous vous en doutez bien, bouleverser ses plans.

Après que l’on fit grandes funérailles au prieur, Edouard se présenta aux portes du couvent.

– Je suis Edouard Corette, j’étais le secrétaire particulier de l’abbé Royer, celui-ci m’avait confié une mission secrète au cas où Il lui arriverait malheur. Et pour accomplir cette mission, il me faut me laisser entrer.
– Vous avez je suppose un sauf conduit validé par notre seigneur l’évêque ? Lui répondit la grosse sœur Geneviève
– Ma parole devrait vous suffire..
– Il n’en est pas question…

Bref, la discussion devint impossible, la mère supérieure se révélant aussi psychorigide qu’une poutre.

Entre temps la maréchaussée avait arrêté deux sœurs sorties faire des courses au marché, on les jugea coupables après un interrogatoire à l’eau bouillante et le destin leur évita l’infamie d’un procès puisqu’elles disparurent mystérieusement de leurs cellules.

Comment faire à présent ? Sans doute celles qui avaient commis l’acte savaient quelque chose mais commet les retrouver ?

Et puis vint le doute, et si ce n’était pas elles… une instruction bâclée, les présumées coupables envolées, tout cela paraissait trop bancal.

Il interrogea le jardinier du couvent, celui qui avait formellement désigné les sœurs comme coupables.

– Vous les connaissiez bien ?
– Juste bonjour, bonsoir, pas le genre à faire la conversation.
– Et elles venaient souvent ici ?
– De temps en temps, elles venaient chercher du thym et du laurier.
– Et vous les avez vu le jour où l’abbé a été assassiné.
– Comme je vous vois.

Le bonhomme avait l’air sincère, deux nonnes étaient passées, de là à affirmer qu’elles avaient assassiné l’abbé, il y avait un pas qu’on avait peut-être franchis un peu rapidement. Et puis pourquoi avoir emmené le prieur dans le sous-bois ?

Justement le sous-bois ! Edouard décida d’y aller faire un tour.

Il tourna pas mal avant de trouver des traces de chariot au sol.

– Bon, c’est donc là que ça s’est passé, mais je ne suis pas plus avancé…

Et alors que dépité, ’il allait quitter les lieux, il aperçut à demi dissimulé par les orties une sorte de petit baluchon blanc, il l’ouvrit :

Deus poires dans un état de pourrissement bien avancé, un quignon de pain à moitié rassis et un fromage à peine entamé.

Mais ça n’a aucun sens, le curé n’a pas apporté de provisions, les bonnes sœurs soupçonnées non plus, donc cela appartenait à d’autres, mais c’est qui ces autres ?

Alors saisi d’une idée folle, il récupéra le fromage, puis se mit à examiner les traces de roues gravées dans la boue

« Il y a un défaut dans le cerclage d’une roue, cela forme comme une encoche… »

Il rentra au presbytère, s’empressa d’examiner la charrette de l’abbé, celle-ci ne présentait aucune anomalie de cerclage.

« C’est donc bien le chariot des meurtrières ! »

Edouard eut ensuite l’idée de consulter le fromager du coin. Ce dernier huma le fromage ramassé dans le sous-bois puis d’un air suffisant déclara :

– C’est du Pissecoteau !
– Mais encore ?
– Un fromage de chèvre fabriqué à l’origine par les sœurs du couvent de Sainte Agathe…
– Et c’est où ?

La piste est faible mais quand on a rien d’autre…

Alors Edouard, revêtu d’une soutane noire, se mit en chemin jusqu’au couvent de Sainte Agathe… à dos d’âne, n’emportant que quelques provisions de bouche et un couteau afin de se défendre en cas de mauvaise rencontre ainsi que quelques monnaies ramassées dans le tiroir de l’abbé Royer.

Il n’avait malheureusement pas eu l’occasion de fouiller davantage dans ses affaires, la maréchaussée ayant mis sur ordre de l’évêque les biens de l’abbé sous séquestre.

Et après trois jours de voyage sans encombre et qu’une belle éclaircie laissait apparaitre un lumineux ciel bleu, Edouard se vit soudain entouré de quatre chenapans lui intimant l’ordre de s’arrêter.

– Alors l’abbé, on se balade ?
– Je ne me balade pas, je chemine et me rend au couvent de Sainte-Agathe pour une mission que m’a confié monseigneur l’évêque..
– Sans blague ! Les amis, fouillez-moi cet épouvantail et sa cariole.

Le butin ne brilla pas par son abondance : quelques pièces de monnaie, et un couteau. Les bandits ne touchèrent ni au chapelet, ni au livre de prières, non pas par superstition mais parce que leur valeur d’échange était nulle.

– Mais que fais donc un curé avec un couteau ? Un beau couteau !
– J’y tiens, c’est un cadeau de ma grand-mère.
– Tu sais l’ami je me demande si tu es vraiment un curé, tu me parais bien jeune.
– Je suis jeune, il est vrai; mais aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années. Répondit Edouard qui n’avait pas lu Corneille mais avait entendu cette phrase dans un estaminet et elle lui avait plus.
– Tu parles trop bien, mais à bon escient, dis-nous curé : quel saint fêtons-nous aujourd’hui ?
– Oh ! Le trou de mémoire ! Répliqua Edouard peu à l’aise.
– A mon avis tu n’es point un curé et si tu ne nous dis pas la vérité on va t’envoyer directement en enfer pour parfaire ton éducation, mais auparavant nous allons nous occuper de ton joli fessier, les beaux jeunes hommes comme toi, ça s’encule !

Edouard change lors brusquement d’attitude.

– Vous avez gagné, je ne suis pas curé !
– Alors pourquoi cette tenue ?
– Pour inspirer confiance, les gens ne se méfie pas des curés, alors je me mêle à la foule et je fais le vide-gousset.
– Sans doute alors pourrions-nous nous entendre, mais où sont tes gains.
– J’officiais à Ture et dans les environs et l’autre jour je me suis fait repérer, j’ai eu une chance inouïe de ne pas me faire attraper par les gens d’armes, j’ai donc pris la route en volant cette mule au passage.
– Voilà qui change tout ! Viens avec nous nous allons boire à la santé de tous les voleurs, je suis sûr que tu as un tas d’histoires croustillantes à nous raconter, cela nous fera bonne distraction.
– C’est très aimable à vous, mais je préférerais continuer ma route…
– Notre compagnie ne serait pas assez bien pour messire le vide-gousset ?
– Je n’ai pas dit ça.
– Alors en route !

Le repaire des bandits était une baraque en ruines, au trois quarts cachée par la végétation. L’odeur à l’intérieur était pestilentielle. Quatre couvertures faisaient office de couchette, il n’y avait ni chaise ni table mais tout un bazar provenant de l’agression de voyageurs, entassé n’importe comment dans un coin.

On but, Edouard fut sollicité pour raconter ses histoires, A défaut d’anecdotes personnelles, il avait entendu suffisamment de récits dans les tavernes que cela lui permettait d’alimenter la conversation.

On buvait, on rigolait, les langues se déliaient.

– L’autre jour on a détroussé trois dames du monde, des belles femmes, on leur a tout piqué, et on en a bien profité, elles n’ont même pas trop protesté, elles étaient bien chaudes les garces…
– Ha, ha !
– Et voilà que l’autre jour on les recroise, il en manquait une mais qu’importe on les a bien baisés.
– Vous leur aviez pris quoi ?
– Il n’y avait plus rien à voler, elles trimbalaient juste des déguisements de bonnes sœurs…

Alors là, ça fait tilt dans le cerveau d’Edouard pas encore complétement troublé par l’alcool.

– Et elles allaient où ?
– Qu’est-ce que ça peut te faire ?
– Je demandais ça comme ça…
– On te le dira si t’es sage ! Répondit Philibert tout en sortant son membre de son caleçon.

– Regarde un peu mon bel engin ! Il te plaît ?
– Sans vouloir vous vexer, je ne goûte pas trop les attributs masculins.
– C’est un tort, tout ceux qui y ont gouté l’ont apprécié, n’est-ce pas mes compères ?

Et les trois brigands d’approuver bruyamment.

Edouard pensait échapper à la chose mais se rendit compte qu’il faudrait qu’il y passe.

Contrairement à ses dires, Edouard avait déjà gouté à ce genre de rapport, son patron le tonnelier lui flattait régulièrement le cul jusqu’au jour où il exprima le désir d’aller plus loin.

– Laissez-moi tranquille…

Le tonnelier n’insista pas mais son compagnon le prévint.

– Il va revenir à la charge, si tu refuses encore il va te virer laisse toi faire, tu n’en mourras pas, et puis tu verras, ce n’est pas désagréable.

Il faut croire qu’Edouard avait déjà des tendances car non seulement il finit par succomber aux avances du tonnelier mais fut loin de trouver la chose déplaisante.

Donc comme nous l’avons dit, il devait y passer, sauf qu’ici ils étaient quatre, et la perspective de subir une quadruple sodomie ne l’enchantais pas plus que ça.

– Que souhaites tu que je te fasse ? demanda-t-il à Philibert, bien qu’il se doutât de la réponse.
– Que tu me sucer la queue et ensuite je vais te percer le fion.
– Et nous ? Demanda Pierre, l’un des bandits.
– Vous ! Pour l’instant vous regardez ! Et toi le faux curé, assez discuté, suce-moi la pine et applique-toi, j’ai horreur des mauvais suceurs.
– N’ayez crainte, mon patron me félicitait pour mon savoir-faire !
– Vil cochon !

Philibert donna quelques mouvements de branle au vit de Philibert afin de lui assurer une bonne rigidité.

Il ne porta pas le membre en bouche de suite, il fallait d’abord qu’il s’habitue à l’odeur un peu rance de la chose car Philibert n’avait rien d’un maniaque de la toilette intime (ni de la toilette tout court, d’ailleurs) Donc juste un petit coup de langue sur le gland, un petit léchage de la verge en mode glissant et on recommence.

Et après ces amuse-bouche (si l’on peut dire), il goba la chose et commença une série de « ça entre, ça sort » bien rythmés qui comblèrent d’aise le bandit.

Edouard se dit que si le brigand pouvait jouir dans sa bouche, cela lui éviterait la sodomie.

Peine perdue, Philibert se dégage.

– Nous allons voir maintenant si ton trou du cul est aussi accueillant que ta bouche de pute ! Allez, les fesses à l’air que je vois dans quoi je vais m’engager.

Edouard obtempère et voulant gagner les bonnes grâces du bandit en rajoute en tortillant du croupion comme une ribaude en chaleur.

– Non mais regardez-moi ce giton, Robert prépare lui les fesses que je puisse y entrer en douceur.

Robert passe derrière Edouard, lui écarte les globes fessiers et entreprend de lui lécher l’anus.

– Hum, son troufignard fleure bon le vieux fromage ! Commenta-t-il car il était poète ses heures.

L’homme introduisit ensuite un doigt préalablement sucé, effectua quelques mouvements de pilonnage, le ressortit, recommença avec deux doigts, puis avec trois.

– Ça devrait le faire ? Je peux l’enculer en premier ? Demande Robert.
– Mais bien sûr, vas-y, mon gars !

Sans davantage de préalables Robert encula Edouard tandis que Pierre passant devant se faisait sucer son gros chibre.

Le Robert ne tint pas la distance, après trois minutes de piston, il ressortit sa bite gluante de sperme et de jus du cul. Pierre accourut pour prendre sa place dans que Geoffroy présenta sa bite molle au palais d’Edouard qui mit tout son talent à la faire raidir. Pierre resta en cul un peu plus longtemps que son comparse, puis son forfait accompli s’en alla s’avachir dans l’herbe.

Margot 07

– C’est donc au tour de Geoffroy de jouer à « pine au cul ». Mais la raideur de sa queue n’a pas duré et le pauvre ne peut pas rentrer.

– Tu vas mettre trois heures… Ote-toi de là que je m’y mette ! Intervient Philibert qui lui, bandait correctement.


Edouard subit donc sa troisième sodomie consécutive, celle-ci fut mieux réussi que les précédentes, mais toute cette agitation lui avait donné mal au cul (le pauvre !)

– Je vais réessayer ! Intervint Geoffroy.
– Laisse tomber, tu as un problème de bandaison, va donc voir Irma la sorcière, elle te soignera ta bistouquette.

Après tout ça, on proposa à Edouard de dormir sur place, ce qu’il l’arrangeait bien vu son état.

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 10:50

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 6 – Humiliées dans la chapelle
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– Alors ? Demanda Sœur Sainte-Lucie.
– Alors on est crevé et on a faim !
– Nous allons y remédier de ce pas mais parlez-moi de votre mission.
– Nous avons fait respirer la poudre empoisonnée au prieur, il en est mort, son cocher aussi.
– Mais c’est parfait ça !
– Vous trouvez ça parfait ? Il n’avait jamais été prévu qu’il nous fallait devenir des assassins ! M’emportais-je.
– La sorcière qui m’a vendu cette poudre l’aurait-elle dosée n’importe comment ?

Elle a l’air de prendre la chose avec une désinvolture qui fait froid dans le dos…

– Vous êtes en train de culpabiliser, je crois qu’une petite fouettée vous remettra les idées d’aplomb..
– Je me dois de vous informer que nous avons été violées sur la route du retour par des bandits de grands chemins, nous n’en sommes pas mortes, mais on en a un peu marre de servir de joujoux sexuels
– Hum, je le conçois aisément, mais j’avais cru comprendre que vous ne détestez point mes jeux.
– Il nous faut nous reposer un peu, et après on verra. Répond ma mère.
– Alors faisons comme ça, reposez-vous. Désirez-vous une petite collation ?
– Ce ne sera pas de refus

Sœur Sainte-Lucie nous a ensuite accompagné toutes jusqu’à la cellule de Pauline.

– Ça va ? demandais-je à ma sœur, notre absence ne t’a pas pesé.
– Je m’inquiétais un peu mais Sœur Sainte Lucie a su me divertir.
– Tu me raconteras ?
– Bien sûr ! Elle lèche si bien… et j’adore son cul !
– Je vais vous laisser vous reposer, Nous indique Sœur Sainte Lucie. Demain je vous accompagnerais à Paris chez Monsieur Préhardi, c’est un banquier de bonne famille dont l’épouse est une de mes cousines éloignées. Je vous ai écrit une longue lettre d’introduction, l’affaire devrait se faire, et si par malheur elle ne se faisait pas, vous reviendrez ici, j’ai d’autres relations… soyez rassurées
– Euh, c’est pour toutes les trois ?
– Non toutes les deux, Pauline, je me la garde.

Et cette dernière me ratifie d’un sourire complice.

Un peu salope, la frangine !

Nous nous sommes reposées pendant deux heures aux termes desquelles la grosse sœur Perrine vint nous réveiller

– Sœur Sainte Lucie vous attend dans la chapelle expiatoire. Toutes les trois ! Vous devrez vous déshabiller devant-elle.

Elle devient chiante la sœur sainte Machin ! Mais on se sent obligées d’y aller.

– J’étais saisie d’une immarcescible envie de vous fouetter, ça m’a un peu passée, mais cela dit il serait bon que vous cessiez de culpabiliser sur la mort de l’abbé Royer et de son cocher. Si quelqu’un doit vraiment culpabiliser, c’est moi. C’est pour ça que je me le proposais de vous purifier. Et vous n’ignorez pas qu’elles sont mes méthodes. Qu’en pensez-vous ?
– Tout les prétextes sont bons ! Ne peut s’empêcher de rétorquer ma mère.
– Ça c’est de l’impertinence ! Je ne vais donc avoir aucun scrupule à te rougir tes fesses, Dégage-les. Voilà comme ça. Pauline puisque ta mère n’a pas été sage, je te charge de la corriger, prends cette badine et fouette-moi cette putain ! Car ta mère est bien une putain ? N’est-ce pas ?
– Une grosse putain ! Répondit Pauline, entrant dans son jeu

 

Margot06Pas gênée la frangine se saisit de la badine que lui tendit la mère supérieure et se met à cingler le joufflu de ma génitrice avec une ardeur insoupçonnée.

Bientôt son cul s’orne de zébrures cramoisies.

– Assez de ce côté ! Intervient Sœur Sainte-Lucie. Attachez-moi cette truie avec les chaines.

L’ordre s’adressait aussi à moi, on a donc attaché ma mère avec les chaines descendant du plafond.

– Et maintenant Pauline fouette-la devant, je veux que tu lui marques ses grosses mamelles.
– Non, pitié ! Supplie, ma mère.

Mais Pauline n’en a cure et fouette le ventre, les cuisses et les seins bien sûr, provoquant cris de douleurs et larmes.

– C’est ça chiale, tu pisseras moins ! Se gausse Pauline.

Mais en l’occurrence cet aphorisme se révéla bien faux, puisque ma mère incapable de se retenir se mit à pisser d’abondance.

– Non mais regardez-moi cette souillonne ! Détachez là, elle a eu son compte.

Ma mère croyait s’en être sortie, mais c’était mal connaître le sadisme de Sœur Sainte-Lucie qui lui fit nettoyer la flaque de pisse avec sa langue.

La mère supérieure désigna ensuite une chaise sur laquelle ma mère put s’assoir et se remettre de ses émotions.

Evidemment ce spectacle a considérablement excité Sœur Sainte-Lucie qui s’est introduit un gros cierge dans le vagin et le fait bouger de façon intempestive. Et comme cela ne semblait pas lui suffire elle s’en introduit un second, dans le rectum cette fois-ci. Quand elle ressortit les cierges après avoir meuglé sa jouissance, celui qui avait eu le privilège de la ramoner l’anus s’avéra un peu merdeux.

Elle le tendit à Pauline lui intimant l’ordre de le nettoyer de sa petite langue agile, tâche que ma sœur accomplît avec une évidente bonne volonté.

– C’est bon, n’est-ce pas ?
– C’est gouteux !
– Je ne dois pas avoir le cul très propre après cela ! Indiqua Sœur Sainte-Lucie en exhibant son popotin devant ma sœur. Dis-moi ?
– Il est un peu merdeux !
– Eh bien lèche ! Régale-toi ma chérie ! Je veux sentir ta bonne langue dans mon joli petit trou du cul.

Pauline après avoir accompli cette opération de nettoyage anal s’en alla consoler notre mère en lui roulant un gros patin, et en introduisant un doigt dans sa chatte humide, elle n’est pas rancunière ma mère !

Et moi ? Me demanderez-vous.

Et bien justement je me demandais à quelle sauce j’allais être mangée quand j’aperçois Sœur Perrine revenir (je ne l’avais pas vu quitter la chapelle) avec un chien en laisse et un bouquet d’orties à la main !

Alors là, mon sang ne fait s’un tour, je n’ai plus envie d’être le jouet de cette nonne lubrique.

– Mais où t’en vas-tu ? Me demande la supérieure ?
– Je fiche le camp ! Répondis-je en récupérant mes fringues au passage. Vous venez, la famille ?

Je m’attendais à ce que Pauline et ma mère m’emboitent le pas, mais ce ne fut pas le cas, Manifestement ma mère se trouvait fort bien ici, quant à ma sœur elle semblait hésiter.

Bien sûr la supérieure s’amuse de cette situation, (quelle garce celle-ci !) N’empêche que ça va être compliqué… partir seule, pour où ?

– C’est dommage que tu veuilles nous quitter commence Sœur Sainte-Lucie. Tu trouves que je suis trop méchante ?
– Tu n’es pas méchante, tu es complétement cinglée !
– C’est un point de vue, mais rien ne t’oblige à partir, tu peux rejoindre tranquillement ta cellule, je ne te ferais rien, si tu ne veux pas jouer, j’en prendrais mon parti.

Ah ! C’est peut-être ce que j’ai de mieux à faire, m’isoler en attendant que ma mère et ma sœur deviennent raisonnables et qu’on se casse toutes les trois de ce lieu de débauche.

– Va te reposer, ma belle, et si l’envie de jouer te revient, fais-moi signe.
– C’est ça !
– C’est dommage pour le chien !
– Hein ?
– Il va être frustré, je suis sûre qu’il avait une envie folle de te lécher la chatte, pas vrai mon toutou ?
– Ouaf-ouaf !

N’importe quoi, le chien répond en agitant la queue comme un métronome.

– T’as qu’à te faire lécher, toi ! Répondis-je.
– Mais ma chatte, il la connait par cœur, je voulais lui offrir un peu de nouveauté.
– Tu ne vas pas te dégonfler ? Intervient Pauline à qui on avait rien demandé..
– T’as qu’à le faire, toi, grosse vicieuse ! Répondis-je.
– Et si je le fais, tu le fais aussi ?

Serais-je au pied du mur ? Non quand même pas, rien ne m’oblige à relever ce défi, je peux toujours partir et attendre que les ardeurs de mademoiselle soit calmée.

C’est alors que ma mère, sortant de sa torpeur s’imbibe la main de sa mouille et attire le chien qui accourt entre ses cuisses et se met à lui laper la chatoune avec avidité.

Encore une fois, rien ne m’obligeait à rester, mais fascinée par le spectacle et ne voulant pas passer pour la mijaurée de service, je me rasseyais.

Sœur Sainte Lucie laissa passer quelques minutes, le temps que ma mère jouisse comme une forcenée sous la langue du chien, et le fit venir entre mes propres cuisses.

Les yeux fermés, je m’abandonnais à cette caresse contre nature mais tellement perverse. Je me sentais salope, mais salope !

Ma mère se lève et vient à mes côtés :

– Caresse le sous le ventre, tu vas sentir sa bite !
– Mais enfin Maman !
– Maintenant que tu as commencé, il faut aller jusqu’au bout.
– T’as déjà fait ça toi ?
– Oui, chez la baronne de Beaucolombin, elle adore faire ça et elle m’a un peu initiée.
– Ben j’en apprend des belles !

Mais pour le moment c’est Maman qui caresse le chien par en dessous, Et brusquement elle fait sortir le sexe bandé de l’animal par derrière, un gros machin rouge… Sans hésiter, ma mère prend l’organe en bouche et se met à le lécher et à le sucer.

Pauline s’approche, hésite…

– Tu vas le faire, toi ? Me demande-t-elle.
– Et toi ?
– Si maman le fait, je ne vois pas pourquoi je ne ferais pas !
– Alors pourquoi tu hésites ?
– Parce que la nature humaine, c’est compliqué !

Ma sœur Pauline a toujours été un peu philosophe !

Elle retient son souffle, ferme les yeux et se lance… et la voici à côté de Maman en train de lécher le pénis du quadrupède.

Elle donne quelques coups de langues, puis me toise d’un air de défi…

Bon, j’ai compris, je ne vais pas me dégonfler, je demande à ma mère de s’écarter et je prends sa place.

Ça y est j’ai la bite dans ma bouche, curieuse sensation, l’odeur est un peu forte, ça ne vaut pas une bonne bite bien humaine, mais n’empêche que le fait d’accomplir cet acte interdit me fait mouiller comme la dernière des salopes.

– C’est bon, hein ? Me nargue Sœur Sainte-Lucie.
– Je ne sais pas si c’est bon, mais ça m’excite.
– La pauvre bête, on ne va pas la laisser comme ça… Laquelle se dévoue ?

De quoi parle-t-elle ?

Mais ma mère, elle, a parfaitement compris et se met en levrette tandis que la supérieure attire le chien vers elle. Et le voilà qui la grimpe et qui la couvre avec une frénésie incroyable. Et cela jusqu’à la jouissance.

Croyez-moi, voir sa propre mère se faire ainsi baiser par un chien en rut a quelque chose de fascinant et ma chatte le sais bien puisqu’elle coule comme un robinet mal fermé.

– Alors tu vois que tu as bien fait de rester ! Me dit Sœur Sainte-Lucie.
– J’avoue.
– Viens là on va s’envoyer au ciel.

Ma voilà en soixante-neuf avec la supérieure, on se lèche l’abricot mutuellement et je me régale de ses chairs humides. A côté de nous Pauline et ma mère font la même chose.

La chapelle s’emplit alors de nos cris de jouissance.

– Je fais quoi des orties ! Intervient Sœur Perrine qu’on avait guère entendu jusqu’alors.
– Pose les sur une chaise et assis toi dessus !
– Mais ça pique !
– C’est excellent pour la circulation du sang ! Reste comme ça quelques minutes et regagne ta cellule. Nous on va faire de même on a besoin d’un peu de repos après toutes ces turpitudes !

Au prieuré de Mornay-le Château on eût tôt fait de s’inquiéter de l’absence de l’abbé Royer, les langues se délièrent vite, on l’avait vu sortir en charrette avec deux religieuses que personne ne connaissait et se diriger vers le sous- bois.

On retrouva vite les deux cadavres et il ne fut point nécessaire d’être grand clerc pour conclure à un double meurtre par empoisonnement.

On chercha donc deux religieuses, on en trouva deux qui n’y étaient pour rien mais le jardinier du prieuré jura ses grands dieux que c’était bien elles !

Voilà qui tombait bien, le prévôt du lieu voulait des coupables et montrer à la populace l’efficacité de la maréchaussée.

Un peu de torture et les deux innocentes avouèrent tout ce qu’on voulait les faire avouer. Le procès s’annonçait retentissant, il n’eut jamais lieu, les deux présumés coupables ayant subitement disparues de leur cellule. On soupçonna évidemment le geôlier, lequel devint introuvable. Il y a des choses bizarres quand même !

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 10:49

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 5 – Le retour des brigands
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– Dieu me demande de vous suivre ! Nous informe le curé avec solennité.

Si c’est Dieu qui lui demande tout va bien !

– Je vais demander ma charrette. Nous précise-t-il.

Le prieur remplit sa mallette d’un tas d’objets insolites dont je ne saurais préciser l’utilité et nous avons rejoint la charrette dans la courette.

Nous n’avions pas prévu que l’homme se ferait accompagner d’un cocher patibulaire. Il nous faudra donc également mettre celui-ci en état de nuire avec le risque de laisser derrière nous un témoin encombrant.

Echanges de coups d’œil avec ma mère, on est au diapason, mais aussi au pied du mur.

J’indique à ces messieurs de pénétrer dans le sous-bois et les fais stopper au niveau d’une petite clairière.

– C’est là ! Précisais-je.
– Mais je ne vois rien ! Répond l’homme d’église

Le vent est derrière moi. Je me bouche le nez, j’ouvre mon poudrier, tandis que ma mère se retourne. Je souffle en direction du prieur, il se met à tousser puis s’écroule en bavant de l’écume.

– Mon père, Mon père ! Balbutie le cocher en s’approchant du corps du prieur.

Je me baisse à mon tour, interpelle le cocher et le fait bénéficier d’une nouvelle soufflette, il s’écroule comme le curé.

Sœur Sainte-Lucie nous avait demandé afin que le travail soit parfait de saupoudrer les lèvres de notre victime d’un petit peu de poudre supplémentaire, ce que nous faisons donc.

Les corps des deux hommes ne bougent plus, saisie d’un bon doute raisonnable je vérifie s’ils sont encore bien en vie.. Mais il me semble bien qu’ils n’y sont déjà plus.

– Maman, nous les avons tué !

Elle vérifie à son tour.

– Ciel ! Sauvons-nous vite !

Le temps de retrouver notre propre charrette et nous voici sur la route du retour.

A la première occasion nous avons troqué nos habits de nonnes pour des tenues bourgeoises, et pas question de loger chez l’habitant, ce fut la belle étoile, heureusement le temps fut clément, nous n’avons trouver à manger que quelques baies, quant à l’eau on en trouve toujours.

Et c’est un matin alors que la fraicheur de la rosée nous tirait doucement de notre somnolence que nous avons entendu des voix masculines… Et je reconnais celle de Philibert, ce grand moustachu qui nous a détroussé dans tous les sens du terme lorsqu’on nous avons quitté la demeure familiale.

– Mais on les connait, celles-ci !
– Ne nous faites pas de mal ! Supplie ma mère.
– Mais cela n’est pas dans nos intentions, Il en manque une, vous étiez bien trois la dernière fois, non ?
– Et qu’est-ce que ça peut vous faire ? Lui répondis-je..
– Oh, mais voilà qu’on se rebelle, ça m’excite, ça m’excite !
– Il vous en faut pas beaucoup…
– Bon que je ne vous demande pas d’où vous venez, je m’en fiche, mais que transportez-vous donc aujourd’hui ?
– Rien du tout…
– On dit ça, on dit ça…

Mais l’un des brigands fouillant dans la cariole, le confirma :

– Juste deux habits de bonnes sœurs !
– Ciel, voilà qui est fort étrange ! Auriez-vous détroussé deux nonnes de leurs habits ?
– Mais pas du tout, répondit ma mère. La supérieure du couvent de Sainte-Agathe nous a sollicité afin d’effectuer une démarche et a estimé qu’elle serait plus fructueuse si nous étions en habits de nonnes.
– Bon puisque nous avons rien à vous voler, nous allons vous culbuter un peu…
– Vous ne pouvez vraiment pas vous en empêcher ! Protestais-je.
– Moi si, mais pensez à mes hommes, mon autorité s’en ressentirait si nous ne nous vous fassions pas subir les derniers outrages. Il y a chez les voleurs de grands chemins des traditions à respecter.
– On ne peut pas négocier ?
– Avec quoi ? Ne perdons pas de temps venez, vous autres, nous allons pédiquer comme il le convient ces deux morues.
– Etes-vous obligés de nous insulter en plus de nous imposer vos virilités ? S’énerve ma mère.
– Obligé, non, mais ça participe à l’ambiance et puis vous n’en mourrez pas. Et si je vois traite de morue, c’est que vous êtes des morues.

– Compagnons, elles sont à vous !

Ben oui, là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir !

On nous fait se déshabiller, Robert et Pierre sortent chacun de leurs brais, des bites au garde-à-vous et provoquent ma pauvre mère.

– Allez la greluche, deux belles bites rien que pour toi, toute seule, suce-nous ça et mets-y du cœur à l’ouvrage..

Je vais donc avoir droit aux assauts de Philibert et de Geoffroy.

Ce dernier s’avance vers moi en tenant sa bite en main comme un trophée. Mais de façon tout à fait inattendue, il se fait rabrouer par son chef.

– Toi, va t’occuper de la mère !
– Mais ils sont déjà deux !
– Eh bien comme ça vous serez trois ! Allez ne reste pas dans mes pattes…

Qu’est-ce que cela signifie ?

Il s’approche de moi sans intention lubrique apparente, semble chercher ses mots et me déclare tout de go :

– J’aimerais être une feuille morte devant ta porte pour que tu m’écrases par ta beauté à chaque fois que tu sors de chez toi.

Où a-t-il été chercher cette connerie, à laquelle je préfère ne pas répondre.

– Le ciel est pourtant dégagé, pont d’orage à l’horizon, qu’on m’explique alors pourquoi j’ai reçu un coup de foudre ? Ajoute-il la main sur le cœur.

Il pète les plombs le type, c’est pas possible !

– Tu ne réponds pas ? Me demande-t-il. L’émotion sans doute ?

Tu parles !

– Faites de moi ce que vous avez envie de me faire mais si vous pouviez cesser de débiter vos âneries, ça m’arrangerait.
– Ah, ah vous refusez de succomber à mes charmes, tant mieux j’adore qu’on me résiste.
– Je ne résiste pas, mettez-moi votre bite dans la bouche et même dans le cul mais en silence.
– Tu vas voir si je vais faire ça en silence, fille de morue, dévergondée:
– Pour être très franche je préfère encore ce registre.
– Tourne toi, salope !

On a donc sauté la case « turlutte », il m’a craché sur ma rondelle et est entré dans mon fondement d’un seul coup d’un seul. Il m’a fait mal ce con !

Margot05– Eh, doucement, je suis une jeune fille fragile.
– Pardonnez mon tempérament de feu, mais comme dit le proverbe quand on aime, on encule bien !
– Drôle de proverbe, allez moins vite maintenant ce sera mieux pour tout le monde

Et contre toute attente, Philibert ralentit la cadence.

– C’est mieux, hein ?
– Oui, c’est mieux, aaaah !

C’est un miracle, cet abruti se met à me sodomiser correctement, à ce point que malgré ma volonté de ne pas lui offrir ce plaisir, je laisse aller ma jouissance.

En revanche pour les paroles, il a abandonné tout romantisme…

– T’aimes ça, salope, t’es bien une enculée comme ta mère !

Ma mère, parlons-en justement, après s’être fait enculer successivement par les trois brigands lui laissant le trou du cul béant, ceux-ci ne trouvent rien de mieux que de lui pisser dessus en la gratifiant de tous les noms d’oiseaux qu’ils connaissent (et apparemment ils en connaissent un paquet).

Philibert sort de mon cul, la bite gluante de sperme et maculé de matière. Je sens que je vais être bonne pour le nettoyage. Ça ne loupe pas…

– Grosse cochonne, tu m’as dégueulassé la queue, tu ne pouvais pas avoir le cul propre ?
– Je ne pouvais pas prévoir que j’allais me faire enculer par un bandit de grand chemin.
– Nettoie donc au lieu de nous raconter ta vie !
– Et si je refuse ?
– Je te foutrais une tarte et je demanderais à ta mère de le faire.
– Ton romantisme n’aura pas duré bien longtemps .

Il me regarde bizarrement ne sachant va quoi répondre

– Je vous aime, Margot, mais comme apparemment cet amour n’est pas partagé…

Voulant éviter à la mère une ultime corvée, je me sacrifiais en effectuant le nettoyage demandé. La chose en elle-même ne me dégoûte pas du tout, j’y trouve même un petit plaisir pervers, mais admettez que les circonstances présentes n’aident pas à rendre la chose joyeuse

Mais voici que Geoffroy chuchote je ne sais quoi à l’oreille de son chef…

– Ah ce coquin de Geoffroy aimerait que tu lèches ta mère ! C’est tellement excitant de voir une mère s’accoupler avec sa fille.
– Et si je refuse ?
– Le coin est plein de noisetiers, rien de tel pour faire des belles badine et te cingler ton cul de trainée.

Ma mère me fait alors un signe fataliste. Je m’approche donc pour lui faire minette.

– Non, lèche-là derrière, ce sera encore mieux ! Intervient Geoffroy.

Ma mère se retourne et m’offre son el œillet à lécher, il ne sent pas précisément la rose, mais ça ne saurait me gêner.

– Mets-y le doigt, putain ! S’écrie l’un des bandits.

Ils auraient pu le demander gentiment… mais je le fais quand même malgré l’embarras de la situation ma mère se tortille d’aise, à moins qu’elle fasse semblant, allez savoir…

– Bon ça suffit, maintenant, tout le monde a eu ce qu’il voulait, foutez-nous le camp maintenant… Et souviens to Margot que e t’aime !
– Ben pas moi !
– Ça viendra, ça viendra, il faut laisser du temps au temps.
– C’est cela on lui dira !

Les bandits nous ont donc laissé reprendre notre chemin. Et c’est fourbues et affamées que nous arrivâmes au couvent de Sainte Agathe…

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 09:54

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 4 – L’abbé Denis puis le curé Royer
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Sanguin et ventripotent, l’abbé Denis n’a rien d’engageant, en milieu de matinée il sonne à la grille du couvent et demande à voir Sœur Sainte Lucie de toute urgence.

– Ma mère, j’apporte de tristes nouvelles…
– Allons donc, et qu’elles sont-elles ?
– Une indiscrétion venue de l’évêché me fait craindre que je serais bientôt remplacé…
– Par qui ?
– On parle de l’abbé Royer.
– Connais pas .
– Il n’aura pas ma tolérance.
– J’ai des arguments qui le fera changer d’avis .
– Je crains que ce soit compliqué, l’abbé Royer déteste les femmes, c’est viscéral.
– Admettons, et où sera le problème ?
– En écoutant vos sœurs en confession il pourra en conclure qu’il se passe ici des choses peu en adéquation avec la vie monastique.
– Et donc ?
– A terme ce sera la dénonciation de vos fonctions et vous vous retrouverez cloîtrée on se sait où.
– Charmant ! Et que me conseillez-vous ?
– Prendre la poudre d’escampette tant qu’il est encore temps.
– Et j’ai combien de temps ?
– Il n’y a pas le feu au lac, ces procédures sont lourdes, mais mon remplacement peut intervenir d’ici un mois.
– Il vient d’où cet abbé, je n’en ai jamais entendu parler ?
– Il est prieur à Mornay-le Château sur la route de Nantes, il s’est tristement illustré lors de l’affaire des possédées de Ture. La sœur supérieure condamnée au bûcher, mais qui s’est ouvert les veines avant l’exécution de la sentence, quatorze sœurs déportées en Louisiane, les autres emprisonnées à vie.
– Brrr.
– Comme vous dites !
– Je vais réfléchir à tout ça, merci de m’avoir prévenue. Vous restez un peu ?
– Ce n’est pas l’envie qui m’en manque mais j’ai malheureusement quelques obligations.
– Tant pis ! Vous reverrais-je avant votre remplacement ?
– Je l’espère bien.

Et alors qu’il allait prendre congé, Sœur Sainte Lucie vint impertinemment poser sa main sur l’entrejambe du prieur.

– Mais que faites-vous là ? Ma fille. Demanda fort hypocritement l’homme d’église.
-Vous savez bien que je suis une grande pécheresse, et j’ai comme une envie soudaine de votre bite.
– Mais ma fille, Dieu nous regarde ! Fit mine de s’offusquer l’homme d’église.
– Eh bien justement ça va le distraire !

L’abbé n’y tenant plus retira prestement sa soutane, exhibant une bite joliment bandée au gland arrogant.

– Seigneur, bénissez cette bite qui va faire des vilaines choses à votre servante Sœur Sainte Lucie…
– Pourquoi des vilaines choses, des bonnes choses, plutôt !

La mère supérieure se baisse afin de se positionner au niveau de la bite de l’ecclésiastique, et après quelques mouvements de branle, la porte en bouche et commence une fellation en règle.

– Oh, que tu suces bien, ma fille !
– Hummpf, hummpf
– Stoppe donc là, sinon tu vas me faire jouir prématurément.

A regret Sœur Sainte Lucie lui lâche le morceau.

– Je suppose que c’est mon cul qui vous intéresse.
– Vous lisez donc dans mes pensées ! Répond-elle en retroussant sa chasuble.

Elle baisse ensuite sa large culotte de coton et attend l’assaut.

– Oh, quel beau cul ! S’enthousiasme l’abbé Denis.
– Vous me le dites à chaque fois !
– Que voulez-vous ? On ne se lasse pas de bonnes choses

L’abbé vient ensuite de sa langue butiner le petit orifice, puis se permet d’y introduire un doigt qu’il fait aller et venir en cadence.

– Hum c’est bon ce que vous me faites, mais je préférais votre bite.

L’abbé retire son doigt, un peu cacateux et le lèche avec gourmandise.

– Hum, votre merde est délicieuse aujourd’hui.
– Cochon !
– Et si nous appelions l’une vos créatures dévergondées, cela serait encore meilleur.
– Pourquoi pas, vous pensez à qui ?
– La grosse Perrine, peut-être ?
– Nous l’avons quelque peu malmenée, hier, on lui a flagellé ses grosses mamelles. Ce fut grand plaisir de la voir se tortiller dans tous les sens en criant et en pleurnichant comme une malade. Mais elle a aimé ça, cette bougresse.
– Hum, j’aurais volontiers assisté à ce genre de choses ..
– C’est quand vous voulez…
– Et qui l’a fouetté ?
– Margot… ah je ne vous ai pas raconté, nous avons recueilli provisoirement trois marquises ou comtesses, je ne sais plus, qui se sont retrouvées à la rue suite à l’emprisonnement du mari et à la confiscation de leurs biens.
– Mais ce couvent n’est pas un hospice !
– Je n’allais tout de même pas me passer de la compagnie de trois belles dévergondées, la mère et ses deux filles.
– Vous auriez dû me consulter…
– Allons l’abbé, votre accord me paraissait implicite.
– Le mien, certes, mais qu’en pensera mon successeur ?
– Chaque chose en son temps, vous voulez les voir ?
– Assurément.

Margot04Et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvé toutes les trois devant l’abbé Denis dont les intentions libidineuses semblaient explicites, le bonhomme exhibant sa bite à la manière d’un étendard.

– Bonjour mes filles, comme vous pouvez le constater, je suis en rut et comme Sœur Sainte Lucie m’a fait l’éloge de vos disponibilités, j’ai pensé que nous pourrions faire connaissance de façon charnelle et rapproché.

Il est gonflé ce type !

– Vous ne manquez pas d’un certain toupet ! Lui fit remarquer Pauline.
– Je n’avais point l’intention d’être impertinent…
– Tu parles ! Et si nous refusons ?
– J’en serais fort marie, mais dans ce cas nous en resterons là, je ne vous forcerais point.
– Encore heureux, intervient ma mère mais puisque vous êtes gentilhomme et que cette bite nous nargue je vais peut-être y goûter.
– Maman t’es une salope ! Lui dit Pauline.

Et joignant le geste à la parole, ma maman embouche la bite du prieur.

Une situation bien excitante, et comme on m’a enseigné qu’il fallait toujours aider sa maman, je m’approche de la scène. Mais pas moyen de m’immiscer, la mère semblant vouloir conserver cette bite à elle toute seule. C’est pas gentil de ne pas vouloir partager !

Qu’à cela ne tienne, on peut toujours se débrouiller, je contourne l’ensoutané, lui pelote les fesses, les écarte et m’enhardi à lui lécher la rondelle. Ça ne sent pas précisément le muguet, mais ce petit goût particulier n’est pas pour me déplaire. (Ben oui je suis cochonne, vous en doutiez encore ?). Et tant que j’y suis-je lui fous un doigt dans le fion, il n’y a pas de raison !

Pendant ce temps-là, ma sœur Pauline entamait une séance de pelotage torride avec Sœur Sainte Lucie, il n’y a pas de mal à se faire du bien.

– Votre bouche est merveilleuse, je suppose que votre fondement est aussi accueillant ?
– Autrement dit vous voudriez m’enculer ?
– Cela me remplirait d’aise en effet.
– Alors allez-y mollo.
– Je suis un artiste, madame.
– On dit ça, on dit ça…

Ma mère se retourne, l’abbé lui crache sur la rondelle, ça n’a tien de romantique mais ça lubrifie bien l’endroit. Et hop la bite du curé se faufile dans le trou à crottes et entame des va-et-vient intempestifs. Maman pousse des cris d’allégresse, elle adore qu’on l’encule.

L’affaire ne dure pas longtemps, l’abbé étant excité comme un pou, il décule ressortant une bite imbibée de liqueur brunâtre mélangée à son sperme.

Il l’offre à sucer à ma mère laquelle a du mal à se remettre de ses émotions, c’est donc moi qui me dévoue pour ce petit nettoyage. Humm pas mauvais tout ça !

Le curé récupère ses vêtements, moi je n’ai pas joui, mais il s’en fiche, mais heureusement ma mère est là et elle a une bonne langue ! J’offre donc ma petite chatte à sa langue impudique.

Peu de temps après sœur Sainte Lucie nous rejoignit de nouveau dans la chapelle.

– Suivez-moi, nous avons à causer !

Et nous voici de retour dans la petite salle dans laquelle l’abbesse nous a accueilli à notre arrivée.

– Je vous propose un marché. Il est bien évident que vous n’allez pas rester parmi nous éternellement, il y a certes des avantages, mais surtout des contraintes, cela vous amusera sans doute quelques semaines mais ensuite les problèmes vont surgir.

Oui, bon … si elle en venait aux faits !

– Je connais du monde, des cousins, des amis de mon père, je peux donc vous recommander, au pire vous serez soubrettes, au mieux dames de compagnie Alors je sais ce que vous allez me répondre, que vous pouvez très bien trouver ce genre de place sans mon aide, mais justement ce n’est pas si simple, des maîtres de maison trop exigeants, irrévérencieux, méchants, méprisants il y en a à foison sans parler de ceux qui ne penserons qu’à vous faire subir quelques outrages que je vous laisse imaginer avant de vous jeter.
– Vous noircissez un peu le tableau, non ?
– Juste un peu, juste un peu, et puis il y a autre chose, quel maître prendrait à son service des personnes non seulement sans recommandation mais aussi sans expérience ?
– Evidement, vu comme ça…
– Donc dans mes lettres de recommandation, je me ferais fort de préciser votre situation et le fait que vous ne demandez qu’à apprendre. En échange de cet immense service, je vais vous en demander un.

Ah, enfin !

– Notre prieur est un homme très tolérant, les petites fantaisies, qui n’ont rien de monastique, que nous pratiquons ici l’amusent plus qu’autre chose. Le problème c’est qu’il va être remplacé. Et son remplaçant ne sera pas du même bois, ce monstre, je pèse mes mots, est responsable de la condamnation des sœurs du couvent de Ture, une condamnation à mort, des déportations aux Amériques et des peines de prison à vie. Vous comprendrez que je n’ai nulle envie de voir débarquer ce fou furieux dans mon couvent !
– Oui et qu’attendez-vous de nous ?
– Que vous m’en débarrassiez.
– Mais de quelle façon ?
– Il existe maintes manières de se débarrasser d’un homme, la plus efficace étant de l’envoyer dans l’autre monde…
– Désolée mais nous ne mangeons pas de ce pain-là ! Répondit ma mère, nous ne sommes point des criminelles
– J’entends bien, vous ne le tuerez donc pas, vous vous contenterez de le rendre idiot…
– Et par quel prodige ?
– J’ai ici une poudre qui fait des miracles, elle est contenue dans ce petit poudrier que je vous confierai, il faudra l’ouvrir vous boucher le nez et la bouche puis lui souffler la poudre en pleine face, cela l’étourdira et quand il reprendra ses esprits, il n’aura plus sa raison.

Sœur Sainte Lucie nous expliqua ensuite comment rencontrer cet abbé…

– Vous n’allez pas y aller toutes les trois, ça ferait bizarre. Je garde Pauline avec moi. D’accord ?

Puisque c’est elle qui décide…

On a pas voulu donner notre accord de suite, mais après concertation on s’est décidé à accepter cet étrange marché.

La route est longue jusqu’à Mornay-le Château, nous étions ma mère et moi en tenue de cornette et accomplissions le voyage à dos de mule.

A la tombée du crépuscule nous sonnions chez l’habitant, en principe on ne refuse pas l’hospitalité à des nonnes en chemin. Et cela nous permettait de nous nourrir convenablement. Bien sûr, Lucie nous avait fait répéter toutes les simagrées qu’il nous faudrait accomplir afin que notre rôle reste crédible.

C’est quatre jours plus tard que nous arrivâmes aux abords du prieuré de Mornay-le Château. Nous avons caché notre pauvre attelage dans les sous-bois environnants… et allons-y.

– Nous désirons rencontrer l’abbé Royer, c’est pour une révélation divine de la plus haute importance..

Pour l’instant tout se déroulait facilement, l’abbé nous reçut dans une petite pièce remplie de bondieuseries.

– Je vous écoute, mes sœurs
– La vierge Marie nous est apparue et nous a demandé de rencontrer un saint homme sur terre…
– Que me chantez-vous là ? N’auriez-vous point fait un rêve éveillé ?
– Nous avons été deux à la voir, mon père…
– Vous vous êtes influencées l’une l’autre. Où l’auriez-vous vu ?
– A Saint Michel du vallon, nous nous en sommes référées à notre mère supérieure qui a tout de suite pensé à vous.
– Et que voudriez-vous que je fisse ?
– A chacune de nos haltes la Vierge était là, sa dernière apparition fut dans le bois sur la route de Nantes. Elle vous attend.
– Elle m’attend, moi ?
– Assurément mon père !

Manifestement le curé ne sait qu’elle attitude adopter. Mystique dans l’âme il n’a jamais été témoin direct d’une quelconque apparition divine ou d’un message de l’au-delà. Bien sûr il est arrivé qu’on lui rapporte des visions étranges, mais celles-ci n’avaient su le convaincre.

– Avant tout chose, nous allons prier, finit-il par dire.

Ben oui, ils sont comme ça, les curés, quand ils ne savent plus trop quoi faire, ils prient.

On a donc prié ensemble, moi j’ai fait semblant, ma mère aussi

Ça dure, ça dure, s’il refuse de nous suivre, on va être obligé d’agir sur place et ça ne sera pas évident.

Il se relève enfin…

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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Samedi 22 juin 2024 6 22 /06 /Juin /2024 09:52

Deux filles et leur mère par Léna Van Eyck – 3 – Orgie au couvent

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Nous sonnâmes à la grille du couvent, une grosse bonne sœur, ne respirant pas vraiment la gentillesse, se présenta devant la grille sans en actionner l’ouverture .

– Que pouvons-nous pour votre service ?
– Nous héberger. Répondit ma mère.
– Mais vous vous égarez, c’est un couvent ici, et non pas un hospice.
– Nous sommes recommandé par maître Thomas, le palefrenier…
– Jamais entendu parler, passez votre chemin.
– Ecoutez, repris ma mère, nous sommes épuisées, nous avons été détroussées et violées par des bandits de grands chemins, nous avons faim et soif, laissez-nous au moins entrer le temps que nous envisagions la suite.
– Désolée, ce ne sont point nos règles.
– Et la charité chrétienne, qu’est-ce que tu en fait, espèce d’épouvantail ? S’énerve Pauline
– Oh !
– C’est vous la mère supérieure ? Demandais-je.
– Non, mais…
– Allez donc la chercher.

La cornette poussa un long soupir avant de disparaitre.

Nous nous demandions que faire mais cinq minutes plus tard une autre nonne fit son apparition. Entre elle et la précédente c’est le jour et la nuit. Celle-ci est beaucoup plus jeune, la trentaine probablement, un joli visage ovale, de beaux yeux bleus, un nez mutin.

Elle nous dévisage bizarrement avant d’ouvrir la grille.

– Entrez, nous allons causer cinq minutes.

Elle nous conduit dans une petite salle blanchie à la chaux et décorée uniquement d’un simple crucifix.

– Je suis Sœur Sainte Lucie, les vicissitudes du destin ont fait que j’ai été nommée abbesse de ce lieu. Maintenant racontez-moi vos malheurs.

On lui a donc raconté.

– Eh bien, en voilà une histoire. Je vais demander à ce qu’on vous apporte à boire et à manger.

Elle disparait quelques instants et revient accompagnée d’une autre bonne sœur qui nous apporte de l’eau, du pain et un plat de patates cuites à l’eau.

– Bien, maintenant qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de vous ? Nous ne sommes pas un hospice, toutes les sœurs qui sont ici ont prononcé leurs vœux, nous avons deux novices qui ne tarderont pas à le faire… je suppose que vous n’avez aucunement l’intention de prendre le voile ?
– Pas vraiment non. Répondit ma mère.
– Qu’allez-vous faire ?
– Peut-être nous diriger vers Paris et trouver des maisons bourgeoises qui voudront bien nous employer.
– Oui bien sûr. Mais rien ne presse. Je n’ai pas sollicité la fonction que j’occupe mais je n’ai pas eu vraiment le choix, je m’emmerde pas mal au milieu de toutes ces bigotes, vous ne pouvez pas savoir comme il est insupportable de supporter toutes ces simagrées. Alors j’essaie de m’amuser mais cela a ses limites et devient répétitif…
– Vous amusez ? M’étonnais-je.
– Ben oui, les cornettes, parfois je les punis. C’est très amusant les punitions !
– Des punitions comment ?
– Ça dépend, mais rassurez-vous, je reste dans les limites du raisonnable, je m’en voudrais de blesser qui que ce soit !
– Ah ?
– Donc je peux m’arranger avec le prieur afin que vous restiez quelque temps parmi nous, ce ne sera qu’une formalité, l’abbé Denis ne sait rien me refuser. Tout cela pour vous dire que si je vous garde, la contrepartie sera que vous acceptiez de m’accompagner dans mes petits jeux.

Echanges de regards avec ma mère et Pauline, on se demande toutes où nous sommes tombées.

– On va vous laisser, dit la mère, merci pour les patates.
– C’est vous qui voyez, mais pourquoi ne pas assister à l’une de mes punitions, ça vous donnera une idée ?
– Oui pourquoi pas ? Répond Pauline.

Elle est gonflée, elle aurait pu nous demander notre avis !

– Nous ferons ça demain, en attendant je vais vous faire visiter les lieux, ils ne sont pas si austères que ça.

Une chapelle avec les bondieuseries obligées, un réfectoire avec bancs en bois… rien de bien passionnant. Il y avait aussi un petit verger.

– Nous faisons pousser quelques légumes suivant les saisons, et nous avons deux chèvres qui nous donnent du bon lait pour faire des fromages, nous avons même une spécialité assez cotée, le Pissecoteau, nous élevons quelques poules qui nous donnent des œufs, sinon nous nous approvisionnons au marché de Flochville.
– Mais vous êtes envahies par les orties ! Fit remarquer Pauline.
– On les laisse tranquille, c’est parfois très utile pour les punitions.

Oups.

J’ai quelques cellules vides, vous allez pouvoir y aller vous reposer, ce soir vous partagerez notre repas collectif. Ensuite il y a les prières, j’ignore si ça vous amusera, mais vous pourrez toujours faire semblant, c’est ce que je n’arrête pas de faire.
– Vous ne croyez pas en Dieu ? Osa ma mère.
– Mais si bien sûr. Répondit Sœur Sainte Lucie sans grande conviction. Ah, je préférerais que vous délaissiez vos habits tant que vous serez parmi nous, nous allons vous prêter des tenues de novices.

N’importe quoi ! On a l’air de sac de patates dans ces machins informes.

– Ce soir pendant le souper vous vous installerez près de moi, personne ne vous posera de questions.

Après une brève prière collective, on nous a servi une soupe insipide dont je n’ai même pas pu discerner la composition. Mais le pain était bon, on se console comme on peut. Ensuite il a fallu se farcir une interminable séance de prière dans la chapelle.

Mon esprit s’évade, je le demande ce que nous faisons ici ? Je pense proposer à ma mère et à ma sœur de déguerpir demain au chant du coq. Ah oui, la cornette en chef veut absolument nous montrer de quelle façon elle punit ses ouailles, qu’est-ce que j’en ai à faire de cette cinglée ?

J’ai très mal dormi parvenant mal à trouver le sommeil en me remémorant les péripéties de cette sombre journée. La médiocre qualité de la literie n’ayant pas été d’un grand secours.

Je me suis levée en baillant afin de faire mes besoins dans un pot de chambre hideux, puis j’ai voulu sortir…

– Mais ce n’est pas vrai que ces filles m’ont enfermé !

Je cogne contre la porte, je hurle, je tambourine. Tant et si bien qu’au bout de quelques minutes j’entends des bruits de pas dans le couloir.

Ouf !

– Qu’est-ce qui se passe ? Vous êtes souffrante ? Me demande une voix chevrotante à travers la porte
– Non, mais on m’a enfermé, je veux sortir.
– Et c’est pour cela que vous vous livrez à un tel raffut, c’est un lieu sacré ici, vous devriez avoir honte !
– Bon, vous m’ouvrez ou non ?
– Ce n’est un pas encore l’heure des matines, calmez-vous.
– Vous n’avez pas le droit de m’enfermer…

Mais déjà les pas s’éloignent .

J’ai rongé mon frein un bon moment puis de nouveau des pas, des cliquetis, on débloque ma serrure, on entrouvre ma porte.

– Matines ! Hurle la cornette.

Je t’en ficherai, moi des matines ! Je sors dans le couloir où toute une envolé de nonnes sortant de leurs cellules se précipitent vers je ne sais où. Je suis le mouvement cherchant ma mère et ma sœur.

On arrive dans la chapelle. J’ignorais ce qu’étaient les matines, mais nous voilà parties pour une interminable séance de prières et de récitations pieuses. Je m’assois, ma mère et Pauline sont déjà installées devant, je ne peux donc pas leur parler.

Je prends mon mal en patience et lorsque ces pitreries prirent fin, toutes ces vierges folles se dirigèrent vers le réfectoire d’un pas lent

Je m’approche enfin de ma mère.

– On fait quoi ? On se barre ? Chuchotais-je.
– Attendons un peu. Répondit-elle, cette bonne sœur en chef pourra peut-être nous aider.
– Je n’y crois pas trop, si vous voulez rester ce sera sans moi.
– On peut peut-être attendre un peu, on n’est pas à une journée près.
– Alors juste une journée.

On nous a servi une collation à la limite du comestible. J’en ai marre, mais marre.

Ensuite il m’a semblé que tout le monde allait vaquer à ses occupations. On essaie toutes les trois d’approcher la sœur Sainte-Lucie mais elle est constamment occupée.

– Si vous savez pas comment vous occupez, ne restez pas là à ne rien faire, allez donc prier dans la chapelle. Nous suggère une cornette maigrichonne.
– Nous attendons que Sœur Sainte Lucie soit disponible afin de nous entretenir avec elle. Répondit ma mère.
– Notre abbesse n’est pas à votre disposition. Répondit sœur Gertrude de toute sa hauteur qui de n’était pourtant et pas bien haute
– Et ça vous arrive d’être aimable ? Lui lança Pauline.

On est resté sur place, puis comme la situation s’éternisait on est allé patienter dans la chapelle.

Sœur Sainte Lucie est venu nous chercher quelque temps après.

– Venez, je vais vous montrer ce qu’est la discipline dans ce couvent. Je suis certaine que vous allez apprécier le spectacle.

Nous nous dirigeons vers la « Chapelle des Repentances », une assez large pièce éclairée par un vitrail naïf.

– Asseyez-vous et attendez-moi.

Quelques minutes plus tard Sœur Sainte-Lucie revenait accompagnée de trois nonnes, deux d’entre elles encadrant une troisième.

– Ça va, lâchez-là ! Sœur Colette, est-ce que tes mauvaises pensées ont disparu depuis ta dernière punition ?
– Pas complétement, ma mère !
– Tu vas donc être punie !
– Oui, ma mère !
– Dis-moi ce que tu es ?
– Je suis une catin, ma mère.
– Décris moi tes dernières turpitudes
– Hier je me suis introduit une statuette de la vierge dans le con et je l’ai fait aller et venir jusqu’à ce que mon plaisir éclate.
– Et tu n’as point honte ?
– Oh, si !
– Déshabillez-là, puis attachez-la, on va commencer.

Elle est très jolie la sœur Colette dans sa nudité. Elle se laisse attacher les poignets au bout d’une chaine descendant du plafond, sans récriminer.

– Sœur Fernande, prend la badine et colore les fesses de cette pécheresse.

Et c’est qu’elle y va de bon cœur, la sœur Fernande, manifestement elle prend un pied d’enfer à martyriser le popotin de sa consœur. La pauvre Colette crie et se tortille en tous sens.

Au bout d’une cinquantaine de coups, Sœur Sainte-Lucie fait stopper la flagellation.

– Dite voir, Sœur Fernande, j’ai comme l’impression que vous avez pris grand plaisir à corriger cette fille perdue ?
– Non, ma mère, j’ai simplement voulu bien faire.
– Ben voyons, viens donc ici et relève ta robe que je vérifie ça !

La mère supérieure accède à la culotte qu’elle descend, elle plonge sa main dans l’épaisse toison de son pubis, lui introduit un doigt dans la chatte… qui ressort tout humide.

– Dis donc, morue, tu m’expliques ?
– Je ne l’ai pas fait exprès…
– Déshabille-toi ! Margot rejoins-nous tu vas m’aider à attacher cette ribaude, et ensuite tu vas la fouetter… et comme tu n’as pas prononcé de vœux tu as même le droit de mouiller.

Je n’ai rien contre les petits jeux où l’on se fait de petites misères mais en la matière je serais plus soumise que dominatrice. Mais ce n’est pas pour cela que je vais refuser de faire ce qu’on me demande.

Fernande est une femme d’une cinquantaine d’années, assez corpulente et visage intéressant. J’ai une envie folle de lui pincer ses grosses mamelles, mais j’ignore si je peux me permettre cette privauté…

Je prends donc la badine et cingle comme il faut le joufflu de sœur Fernande.

Ma mère n’est pas insensible à ce spectacle et sa main tripote gentiment son entrejambe. Pauline assise à côté d’elle vient lui porter main forte (c’est le cas de le dire). Spectacle insolite, où la fille caresse le con de sa mère laquelle lui rend la politesse.

– Mais regardez-moi ces deux salopes ! Fait mine de s’offusquer Sœur Sainte-Lucie. Déshabillez-vous donc vous serez plus à l’aise.

Elles obéissent un peu timidement, se demandant à quelle sauce elles vont être baisées…

Sœur Sainte-Lucie m’ordonne de détacher les deux suppliciées, puis demande à Pauline et à ma mère de se positionner de telle façon que l’on puisse leur lécher le cul.

Et moi qu’est-ce que je deviens ?

– Est-ce vraiment une punition de lécher un joli cul ? Demandais-je à la supérieure.
– Pour certaines oui, pour certaines non… mais qu’importe ça me plait de leur faire faire, et ça me plait de les regarder faire.
– Moi j’aime bien le faire ! Répondis-je.
– Tu voudrais me lécher la rondelle ?
– Oui.
– Alors vas-y !

Sœur Sainte Lucie soulève sa chasuble sous laquelle elle ne porte aucun linge et me tend son joli popotin en écartant les globes afin de me dévoiler son petit antre brun.

J’ai connu des trous du cul plus propres, mais n’allez pas croire que cela me répugne. Bien au contraire, ces petites taches marrons m’excitent terriblement et je les lèche avec gourmandise. Avant de tenter de faire pénétrer ma langue dans l’étroit conduit.

Mais au bout d’un moment Sœur Sainte Lucie me fait stopper mes léchouilles. Et s’adresse à Sœur Perrine (il s’agit vous l’aurez sans doute compris de la seconde « accompagnatrice ») une nonne bien en chair comme on dit

– Dis donc, toi qu’as-tu à rester plantée là, à ne rien faire, ? Nos jeux ne t’excitent plus ?
– Oh, si, ma mère !
– Déshabille-toi.

Elle a de sacrées rondeurs la sœur Perrine et des mamelles de concours agricole. La supérieure m’ordonne de lui donner des coups de badines. Du coup, la nonne se retourne et me présente son énorme joufflu.

– Non, non ! Personne ne t’a demandé de te tourner ! Margot, cingle-lui les nichons.

Je le fais volontiers, prenant un plaisir sadique à martyriser les seins de la grosse nonne.

– Aïe, ça fait trop mal !

J’hésite à poursuivre.

– Continue, elle aime ça, et tape plus fort.

Mon excitation est à son comble, je tape comme une damnée, y prenant un plaisir trouble à ce point que la Mère supérieure est obligée de me dire de stopper.

L’orgie bat son plein, Sœur Sainte Lucie a redistribuée les rôles. Ma mère est occupée à se gamahucher avec la sœur Pauline, les sœurs Colette et Fernande se pelotent à qui mieux mieux, Perrine se masturbe à l’aide d’un crucifix en bois… imaginez l’ambiance !

Et moi ?

Sœur Sainte Lucie m’ordonne de me coucher sur le sol.

– Ouvre la bouche, j’ai une grosse envie de pipi !

Même pas le temps de réaliser, sa pisse me coule dans le gosier, évidemment je ne peux tout avaler et une flaque d’urine se forme à côté de mon visage.

– Pas grave, me dit-elle, puis s’adressant à ma mère et à la sœur : vous deux nettoyez moi ces saletés.

Elles regardent autour d’elles cherchant de quoi éponger…

– Avec la langue, espèces d’idiotes.

Et les voilà toutes les deux en train de faire le travail, le croupion bien relevé,

– Regarde-moi ces culs de putains, Margot, reprend ta badine et fouette-moi tout ça.

Alors je fouette ma mère, je fouette la sœur et je mouille comme une éponge, j’ai la chatte en feu. Et bientôt d’insolentes zébrures viennent leur décorer les fesses.

– Assez, viens me faire jouir ! Me dit sœur Sainte Lucie en se couchant sur le sol, cuisses écartées, chatte offerte et dégoulinante.

Je me précipite langue en avant afin de me régaler de ces chairs imbibées du jus du plaisir et d’un arrière-goût d’urine (car évidemment la nonne ne s’est pas essuyé après sa douce miction.)

La nonne ne tarde pas à extérioriser son plaisir, d’abord des râles de plus en plus bruyants, puis je sens son corps se raidir…

Il est temps de porter l’estocade, ma langue s’entoure autour de son petit berlingot gonflé de désir, sœur sainte Lucie jouit en hurlant provoquant un écho insolite dans les murs de la chapelle.

Margot03La mère supérieure se relève, chancelante.

– La partie est terminée, vous pouvez regagner vos cellules ou vaquer à vos occupations.

Et sans autre discours, elle suit la chapelle bientôt suivie par les trois autres cornettes nous laissant seules, ma mère, la sœur et moi.

– En voilà un bien singulier couvent ! Commente ma génitrice
– Choquée ?
– Non, Juste surprise… j’ai un peu mal aux fesses, qu’elle idée de frapper si fort !
– Pardon maman, ce devait être l’excitation, mais ceci dit je n’ai même pas joui.
– Tu voudrais que je te lèche ? me propose ma mère.
– Tu voudrais bien ?
– Non tu le mérites pas, va te palucher dans un coin.
– Méchante maman…
– Mais non, allez viens on va te faire ça à deux avec Pauline.

Se faire lécher la chatte par sa mère et sa sœur après une bonne séance orgiaque, c’est génial, non ?

A suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Léna Van Eyck
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