Marie-Paule Perez

Mercredi 29 juin 2022 3 29 /06 /Juin /2022 13:16

La prêtresse d’Anubis par Marie-Paule Perez
zoo

C’est aujourd’hui le jour propice,
Celui de mon ordination
Comme prêtresse d’Anubis.
Ils sont tous là, par tradition :
Les vielles prêtresses
Qui ont tant donné de leurs fesses,
D’autres plus jeunes et délurées
Nues et peinturlurées,
Le sexe généreux et ouvert
Aux diables de l’enfer.
Les prêtres, les scribes, les gardes
Guettent le signal du porteur de hallebarde.
On m’enlève ma toge, on la jette au feu
Et je monte les marches deux par deux.
Ramon m’attend sur l’estrade
Très digne, comme à la parade
Il tient en laisse, Travis,
Le chien sacré, symbole du vice.
Deux officiants couchent la bête
Le font bander. Sa bite est prête
– Suce, salope ! M’ordonne-t-on.
Je suce la bite du chien, c’est bon,
Elle est visqueuse, je bave,
Et je lèche sans ambages

Anubis
– Suffit maintenant, deviens sa chienne
Je me positionne à la phénicienne,
Dare, dare, le chien me sodomise,
Je suis sa pute et sa soumise.
Les chœurs retentissent
Pour la gloire d’Anubis !
– Elle est des nôooootres,
– Elle est une chienne comme les autres.
Je salue la foule, signe des autographes,
Pose pour les photographes.
Me voilà prêtresse d’Anubis
Et bien excitée du clitoris !
Mais c’est quoi cette langue
Sur ma chatte non exsangue ?
Pardi, c’est mon chien
Qui présentement, me lèche bien.
Il vient me faire l’amour, ce touche-à-tout :
– Une seconde, mon toutou,
Je viens de faire un rêve insensé
Laisse-moi récupérer
Et ensuite nous allons baiser
Comme des forcenés !
Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Samedi 2 avril 2022 6 02 /04 /Avr /2022 17:39

La bourgeoise de la plage par Marie-Paule Perez
Domina

 

Marie-Paule, 35 ans, célibataire, brune aux yeux bleus. Cadre supérieure dans un boite de crédits hypothécaires.

Au boulot, je passe pour une femme sérieuse et inaccessible, toujours tirée à quatre épingles, tailleurs strict, chignon et lunettes à grosse monture.

J’ai toujours refusé les avances de mes collègues, mais accepté celles de mes supérieurs quand je pouvais y trouver avantage, et à condition que la relation reste furtive, je ne suis la maîtresse de personne. Maintenant ça va, j’ai une bonne situation et ne monterai pas plus haut !

Dans ma vie privée, je suis toute différente, nymphomane et bisexuelle, j’aime sucer des bites, des chattes et des trous du cul, je ne déteste pas me faire faire des petites misères avec un martinet ou des pinces, j’aime me faire humilier par des hommes ou par des femmes, mais c’est toujours moi qui mène la barque. Je n’ai pas de tabou, j’aime la pisse et j’ai mes périodes où je me laisse aller à la scato.

Je n’avais pas encore expérimenté la zoo, mais l’idée me faisait fantasmer. Pour passer à l’acte il m’aurait fallu un chien, je n’avais pas de chien. Trop de contraintes…

Le passage à l’acte eu lieu pendant mes vacances. Je vais donc vous raconter cet épisode qui a été un tournant dans ma vie sexuelle. Mais pas tout à fait comme vous pourriez le penser !

C’était un magnifique jour d’été au bord de la grande Bleue Le climat était des plus agréable, soleil, un léger vent rafraîchissant, le sable chaud et la mer.

Il n’y avait plus grand monde sur la plage naturiste. Je m’étais installée à environ un mètre du bord de l’eau, étendue sur ma serviette de bain et enduite de crème solaire profitant du beau temps qui s’offrait à moi. Au bout de quelques minutes, je me décidai à aller me baigner un peu. L’eau était très bonne. Ni trop froide, ni trop chaude, en somme à la température idéale pour se baigner. Avant de quitter la plage, je me mis à me faire sécher avec la chaleur naturelle. Une fois que cela fut fait, je remis mon petit haut et mon paréo autour de la taille et réunis toutes mes affaires et pris tranquillement le chemin du retour.

J’aurais bien fumé une cigarette, mais je n’en avais plus.

J’avise deux nanas qui prennent le soleil en clopant. Bizarre ces deux-là, l’une, fausse blonde, la cinquantaine mais bien conservée, semble être une bourgeoise friquée si j’en crois sa quincaillerie de bijoux et ses piercings aux tétons. L’autre est une jeune blackette très souriante.

Une jolie paire de gouines vicieuses ! Me dis-je.

– Bonjour ! Je peux vous demander une cigarette ?
– J’aime bien la façon dont tu nous regardes ! Me répond la bourgeoise.
– Pardon ?
– Tu nous trouves jolies ?
– Oui, vous êtes de très belles femmes.
– Tu vas avec les femmes, parfois.? Me demande-t-elle avec un œil coquin.
– Ça m’arrive ! J’aime bien ! Pourquoi ?
– T’es mignonne je t’ai vu à poil tout à l’heure, t’aimerais qu’on se caresse ?
– Pourquoi pas ?
– Assis-toi entre nous deux.

Je le fais et Guylaine, la bourgeoise me met carrément sa main sur mon téton droit par-dessus mon petit haut, et me le titille.

– Je peux plus fort ?
– Oui, oui !
– Un peu maso, un peu soumise, non ?
– Un peu tout ça ! Un peu salope aussi.

Et la voilà qui me roule un patin, pendant que Maud, la blackette s’attaque à mon autre téton.

Incroyable comment elle embrasse, la Guylaine, j’en ai de la bave sur le menton.

– Je te cracherais bien sur ta petite gueule d’amour ! Me dit-elle
– Si tu veux ! Répondis-je en ouvrant le bouche.

Elle me crache dans la bouche, j’avale sa salive en la regardant d’un air de défi.

– Petite vicieuse !
– Si tu le dis !

Elle lève son bras gauche.

– Lèche-moi mon aisselle, j’aime bien qu’on me le fasse.

Pourquoi pas, ça change !

– Ça sent un peu fort, non ? Me dit-elle
– Oui, mais ce n’est pas désagréable. Répondis-je
– Tu aimes les odeurs intimes ?
– Oui, j’aime bien !
– Le pipi ?
– Aussi !
– T’aimerais me lécher le trou du cul ?
– Pourquoi pas ?
– Ça te dirai qu’on t’emmène chez nous, et que tu sois notre petite soumise. Comme ça pour jouer un peu pendant une heure ?
– Ça peut se faire !
– T’as des tabous !
– Non mais je ne veux pas qu’on m’attache, pas de trucs trop violents, pas de sang..
– La fessée quand même ?
– Fessée, martinet, oui !
– Ça colle, viens ma biche ! Dit-elle en se levant, se passant son paréo et en ramassant ses affaires. Pluto ! Viens ! Où il est Pluto ? Pluto !

Et je vois un chien qui déboule, un labrador beige qui remue la queue joyeusement. Ça promet !

Bon, je suis ces dames, Guylaine me fait la conversation. Elle m’apprend que Maud est à la fois sa soubrette, sa dame de compagnie et son amante. Sinon elle ne se dévoile pas trop, moi non plus.

Madame possède un luxueux appartement de vacances sur le front de mer, ce n’est pas très loin.

On arrive et on se débarrasse de suite des paréos.

– Bon, on va s’amuser disons une heure, et après… ben après on verra, ça te convient ?
– Pas de problème.

Guylaine se tourne m’exhibant ses jolies fesses qu’elle écarte afin de me dévoiler son petit anus brun..

– Viens lécher, tu me diras ce que tu en penses !

Voilà qui ne me dérange pas du tout, je pointe ma langue vers ce charmant endroit et je lèche, découvrant un gout légèrement acre.

– Alors ?
– Délicieux !
– Ça ne sentait pas un peu la merde ?
– Juste un peu ! Ça ne me dérange pas !
– T’es vraiment une salope ! Tu veux boire quelque chose ?
– Oui je veux bien.
– Maud, prépare-nous à boire, moi faut que je fasse pipi. Tu le veux mon pipi ?
– Oui !
– Quel enthousiasme ! Je suppose que pour toi, boire du pipi n’est pas une punition ?
– Non, j’aime bien !
– Le caca aussi ?
– Là, c’est un peu plus compliqué. Disons que de temps en temps ça peut m’amuser, mais dans le cadre d’un jeu de domination, je peux accepter sans problème.
– Donc tu vas accepter ma merde ?
– Sans problème ! Répondis-je avec un air de défi
– Et la lécher !
– Pourquoi pas ?

Guylaine demande un verre à sa soubrette et pisse dedans avant de me l’offrir à boire.

– Humm, délicieux ! Commentais-je en avalant ce doux breuvage.

Guylaine me toisa, s’approcha très près de moi et m’attrapa les tétons qu’elle me tordit avec force.

– T’aimes ça, hein ?
– Oui.
– Maud, vas me chercher des pinces à linges !

Chic j’adore ce genre de petites misères, la bourgeoise m’en fixe une sur chaque téton, puis sur mes grandes lèvres. Et là ça fait un peu mal, mais je supporte, on est maso ou on ne l’est pas ! Ma tortionnaire s’amuse un peu à les faire bouger, elle les tire, les tord, les serre plus fort en les pinçant entre son pouce et son index. Bref, elle me tourmente, la douleur que je transcende me donne des frissons de plaisir, je dois être bargeot ! Et en plus je mouille.

– T’es vraiment une salope ! Qu’elle me dit.
– Ça n’a pas l’air de te déplaire que je sois salope !
– Et arrogante en plus !

Et voilà que je reçois une gifle, j’attends la seconde, non pas de seconde, je suis déçue !

Il se passa ensuite une séquence insolite, Guylaine demanda à Maud de lui cracher sur les seins. En voilà une idée ! Toujours est-il que la blackette s’en donne à cœur joie, envoyant une dizaine de crachats sur les beaux nénés de la bourgeoise, à ce point qu’il ne tardèrent pas à être entièrement recouvert de salive gluante et écumante.

– Et maintenant tu me lèches tout ça ! M’ordonna-t-elle.

Pourquoi pas, c’est nouveau, ça vient de sortir, je m’excite en léchant ses seins gluant de bave et en insistant sur ses gros tétons que j’aspire de ma bouche..

– Hum, tu me fait mouiller ! Minaude la bourgeoise. Maintenant tourne-toi, pose tes mains sur le petit meuble et tends bien ton petit cul, Maud va te donner 20 coups de cravache.

Un peu d’appréhension quand même, j’espère qu’elle ne va pas me démolir !

Elle cingle fort, ça fait mal, j’essaie tant bien que mal de supporter la douleur et de la sublimer, je crie, des larmes me viennent au coin des yeux, mais je me laisse faire. J’aime avoir mal… et je mouille.

La flagellation est terminée, personne ne m’a dit de me retourner, mais je le fais quand même, Guylaine est affalée dans un fauteuil en train de se palucher, elle pousse des petits cris de plus en plus rapprochés et finit par jouir en faisant un boucan du diable.

Elle émerge, un peu hagard.

– Pluto, viens, viens lécher ta maîtresse ! Dit-elle.

Le chien doit avoir l’habitude, l’instant d’après il était entre les cuisses de la bourgeoise en train de laper son jus. Puis sa tâche terminée il s’en va dans un coin en remuant la queue.

– T’as déjà sucé la bite d’un chien ? Me demande Guylaine.
– Ah, non, je n’ai jamais fait ça !
– Et ça te dirait ?
– A vrai dire je n’en sais rien, j’ai vu des vidéos, c’est assez fascinant. mais si tu me demandes le faire, je veux bien essayer.
– Bien sûr que je vais te demander de le faire, une bonne chienne comme toi, ça doit sucer les chiens. Viens près de moi, viens, ma salope.

J’obéis, je sais que je vais le faire et je suis déjà tout excitée à l’idée d’accomplir cet acte « contre nature ». Guylaine est passé derrière le chien, lui a pris sa bite dans la main et la sort d’entre ses pattes de derrière. Elle approche ses lèvres et se met à sucer ce bout de chair baveux.

Perez bourgeoise
Franchement je préfère avoir affaire à belle bite de mec, ici je ne vois pas bien ce qu’il y aurait comme petit plus. Sauf que le plus en question n’a rien à voir avec l’esthétique mais avec le tabou ! Je m’apprête à sucer la bite d’un chien ! Ce n’est pas le truc à tout le monde !.

Guylaine après s’en être mis plein la bouche me repasse l’organe comme s’il s’agissait de l’acte le plus banal du monde, et hop, ça y est je le fais. J’ai le machin dans la bouche, je le lèche et je le suce, je suis la reine des salopes !

On se roule un patin avec Guylaine, on a toutes les deux le goût de la bite du chien dans la bouche et je trouve ça génial, c’est dingue non ?

Maud en profite pour sucer le chien à son tour, puis réclame sa part de baiser.

– Maintenant, tu vas te faire sauter par Pluto !
– Euh, peut-être pas aujourd’hui… tentais-je de temporiser.
– Ah, oui ? Quand alors ?
– Je ne sais pas, on pourrait peut-être se revoir…

Je n’ai pas vu arriver la gifle.

– Qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci.
– Merci qui ?
– Merci Guylaine.

Nouvelle gifle

– Non, on dit, merci ma maîtresse adorée !

N’importe quoi ! Mais je reste très joueuse.

– Merci ma maîtresse adorée !
– Tu es là pour m’obéir, n’est-ce pas ? Pour obéir à ta maîtresse adorée ?

Elle me crache plusieurs fois de suite sur le visage, j’en ai partout sur le nez, sur le menton… Je fais le geste de m’essuyer.

– Non, défense de t’essuyer ! Alors tu vas le faire ?

Bon j’ai compris, elle veut absolument que je me fasse sauter par le chien, ça ne va me tuer d’essayer.

– Bon OK, je vais me faire baiser par le chien, montre-moi comment on fait.
– Ah te voilà raisonnable ! Maud : démonstration !

Maud quitte un moment la pièce, puis revient avec deux gants de toilettes, qu’elle enfile sur les pattes de devant du quadrupède..

– Ben oui, normalement on lui met des chaussettes, mais on n’emporte pas de chaussettes au bord de la mer ! Commente-elle.

Maud se met ensuite à quatre pattes, puis enduit sa main gauche de sa mouille afin d’attirer le chien, qui vient lécher. Lentement elle déplace sa main vers ses fesses. Le chien vient lécher, puis tout d’un coup la pénètre.

Spectacle fascinant !

Guylaine me demande de me mettre en levrette aux côtés de Maud, celle-ci parvient à se détacher des assauts du clébard et se relève. Guylaine attire le chien vers mon cul…

Et ça y est, j’ai la bite du chien dans ma chatte. Quelle sensation, physiquement ce n’est jamais qu’une pénétration même si elle est très rapide (c’est le moins qu’on puisse dire) mais psychologiquement c’est fabuleux, je suis en train de me faire baiser par un chien. Je plane, je suis sur un autre planète.

Au bout de quelques minutes le chien s’est calmé, et est parti roupiller dans un coin.

– Alors, c’était bon ? me demande Guylaine.
– C’était une première.
– Tu le referas ?
– Si j’ai l’occasion, pourquoi pas ? Salope un jour, salope toujours !
– Ce qui est génial c’est de prendre la bite du chien dans le cul, mais c’est un tout petit peu compliqué, il faut avoir l’anus bien ouvert ! Tu aimes te faire enculer, toi ?
– Quand c’est bien fait, oui !
– Maud, rentre donc un doigt dans le cul de cette salope !

Je me prête volontiers à cette délicieuse fantaisie, la soubrette fait aller et venir son doigt à une allure frénétique.

– On dirait qu’elle a le cul plein ! Commente la soubrette.
– Fais-moi voir ! Demande Guylaine

Maud sort son doigt maculé de matière, le montre à sa maîtresse, puis le lèche.

– Hum, elle est bonne sa merde! Commente-t-elle.
– A moi maintenant ! Dit Guylaine qui à son tour m’enfonce un doigt qui ressort merdeux.

Elle le lèche avec une gourmandise non feinte.

– Tu ne vas pas garder ce caca dans ton cul ! Fais-nous une jolie petite crotte.

Moi je veux bien, mais je fais ça où ?

Maud se couche par terre, Guylaine me fait signe de m’accroupir au-dessus de sa bouche.

– C’est que je vais faire pipi aussi ! Précisais-je
– On s’en fout, fais-lui sur la gueule à cette chienne !

Je n’ai jamais été très loin en scato, sans doute par manque d’occasion, me limitant à nettoyer quelques culs pas bien nets.

Je suis accroupie au-dessus de Maud, la chatte à quelques centimètres de sa bouche. J’ouvre les vannes et ma pisse dégringole, j’essaie de contrôler mon débit, mais je n’y parviens pas, Maud avale en toussant. Il y a plein de pisse par terre.

Et maintenant je dois chier, je me retourne, je pousse, ça vient, non ça ne vient pas, je pousse encore, ça y est, l’étron va sortir. Il y a un vrai plaisir à se libérer de son caca, mais ici les circonstances sont particulières. Par réflexe je chercher quelque chose pour m’essuyer le cul.

Je me retourne, c’est spectaculaire, Maud a plein de merde sur le visage et reste ainsi. dans un attitude extatique.

Je me redresse. Guylaine vient alors de poser délicatement son pied nu gauche sur la bouche de sa soubrette. Puis elle change de pied, et s’en va s’affaler dans un fauteuil.

– Viens Marie-Paule, viens, ma salope, viens me lécher mes jolis pieds. Je crois que viens de me les salir, je vais quand même pas rester comme ça,!

Au secours ! Est-ce que je vais être capable de faire ça ? Le pied est à quelques centimètres de mon visage, je pointe ma langue, la fait toucher la merde. Pour l’instant ça va, je m’enhardis, je lèche davantage, puis fait signe à Guylaine que je ne souhaite pas continuer.

Elle a l’intelligence de ne pas insister C’est Maud qui prend ma place et qui lui nettoie consciencieusement ses panards.

Guylaine lui intime ensuite l’ordre de nettoyer le sol souillé de merde par endroit. La soubrette se met à quatre pattes et entreprend de lécher tout ça. La bourgeoise me confie alors une badine en me demandant de frapper Maud et de l’insulter.

Je suis maso, pas dominatrice et ce qu’on me demande ne me dis rien que vaille. Me voilà comme un conne, la badine dans la main, me demandant ce que je dois faire.

– On t’as dit .de me frapper, alors frappe-moi, conasse ! M’apostrophe Maud.

Alors je me suis lancé, et j’ai frappé à la volée son joli cul couleur de chocolat au lait. Cela a duré plusieurs minutes aux termes desquelles la soubrette s’est redressée mettant ainsi fin à cette cuisante fantaisie.

Je suis excitée comme je l’ai rarement été. Maud veut m’embrasser… M’embrasser après ce qu’elle vient de faire, avec ce goût dans la bouche… Pourtant j’ai accepté ce baiser, j’ai la chatte en feu. Maud s’en est aperçue, elle se baisse, sa langue vient me lécher la figue, je tremble d’excitation, elle s’approche de mon clitoris, elle l’a juste effleuré, j’ai jouis comme un bête.

On m’a proposé une douche et un soda light.

Je vais pour prendre congé. Guylaine me propose de nous retrouver au restaurant.

– C’est moi qui paie ! Me précise-t-elle.

Je n’ai pas envie de raconter ma vie autour d’une assiette, j’ai donc décliné. Et au moment de quitter les lieux, Maud a trouvé le moyen de me glisser un papier dans les mains.

J’attends un peu d’être éloignée pour en prendre connaissance. Il y a un numéro de téléphone et cette phrase « téléphone-moi pour un truc »

Intriguée, je téléphone de suite en cachant mon numéro

– Oui, c’est Marie-Paule.
– D’accord, rappelle-moi dans 10 minutes, je vais sortir faire une course.

J’ai donc fait comme ça !

– Juste une question ! Me dit-elle. Ça te dirait d’embaucher une soubrette comme moi ?

En voilà une idée qu’elle est drôle !

– T’as envie de changer de patronne ?
– En fait oui, elle me paie bien, mais j’en ai marre de supporter sa bipolarité…
– Je suis désolée, j’aime bien les jeux de domination mais comme soumise.
– S’il n’y a que ça, on peut s’arranger ! La soubrette qui fait des petites misères à sa maîtresse, ça existe aussi !

Du coup je vois les choses autrement.

Voilà maintenant deux ans que Maud est mon service ! Et qu’est-ce qu’elle m’en fait baver, mais j’y trouve largement mon compte ! Ah et puis j’ai acheté un chien, un labrador noir gentil comme tout, il s’appelle Smooty. Et c’est moi qui le promène.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 08:55

Le Pervers par Marie-Paule Perez

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Qui n’a pas un jour ou l’autre flirter dans un bar pour quitter à la fin de la soirée avec une connaissance ou un parfait inconnu même?? Cette nuit-là, à la fermeture du bar. c’est en pleine nature que je me suis retrouvée avec Le Pervers. C’est à Fort-Chambly que nous nous sommes arrêtés. Avec pour seul tapis l’herbe fraiche et humide, pour musique de fond le ruissellement de l’eau coulant à proximité.

 

Ses yeux me regardent m’examinent, me transpercent. Et ses paroles parfois crues et vulgaires m’excitent. Le Pervers possède ce côté brute que j’aime et qui me fait mouiller la chatte :

 

– Déshabille-toi, salope ! Qu’est-ce que t’attends?? C’est pour te faire fourrer que tu es venue ici? !?

 

Mal à l’aise. Je m’exécute. Ne portant volontairement pas de sous-vêtements ce soir-là. il me suffit de laisser glisser ma robe sur le sol pour me retrouver en toute nudité. Le Pervers m’observe et sourit.

 

Je m’agenouille devant lui et défait son pantalon. Son sexe est dur et gonflé. je le caresse doucement, je le regarde sourire en coin et j’approche mes lèvres tranquillement. ma langue s’attarde sur son gland puis se promène sur son sexe en entier. Je lèche un moment ses testicules poilues avant d’enfoncer son sexe totalement dans ma bouche, mes lèvres montent et descendent sur sa jolie queue toute raide. Je le pompe avec ardeur et d’une main je caresse mon entre cuisses qui ruisselle déjà.

 

Je le suce pendant un long moment. Je lèche sa raie aussi, ma langue curieuse fouille son trou merdeux. puis ma bouche affamée revient engloutir son sexe dans sa totalité.??

 

– T’es vraiment cochonne?! J’ai envie de te pisser dans le visage, salope??

 

Je me suis retirée, j’ai pris son sexe dans ma main et l’ai porté à mes lèvres. J’ai attendu quelques secondes, puis le chaud liquide est venu se déverser dans ma bouche, liquide amer que j’avalais, que je buvais. Et puis le jet est devenu plus fort, j’avais peine à avaler sans m’étouffer. Un mouvement de recul. et voilà le jet qui m’éclabousse en pleine figure, qui dégouline sur mon menton, mes seins.

 

Pervers

Le Pervers me saute littéralement dessus, me renversant par terre. et me fourrant à grands coups sans trop de minutie. J’aime être prise violemment. Je sens mes fesses qui glissent sur l’herbe humide. Je sens ses mains qui empoignent mes seins fermement, presque douloureusement. je sens surtout sa queue gonflée et prête à exploser qui me lime l’intérieur. L’odeur de l’urine mélangée à celle du sperme me rend chienne de par son parfum aphrodisiaque, je jouis et je crie, ici aucun voisin. aucune oreille pour entendre, alors je crie mon plaisir, avant d’entendre le grognement qu’émet Le Pervers.

 

Le silence prend place, je profite de l’immobilité du Pervers pour venir lécher son sexe doucement. Ma langue voyage lentement sur ses parties. ma bouche embrasse cette queue mi tendue, mes doigts explorent son entre fesses. puis tranquillement glissent vers son trou. J’insère un doigt avec d’infinies précautions, ma bouche se fait plus insistante sur sa queue, je le fouille et je le suce, je sens son sexe durcir dans ma bouche.

 

Je m’installe à quatre pattes et je lui dit :

 

– Viens fouiller mon cul toi aussi??

 

Le Pervers s’approche et d’un coup de reins m’enfonce sa queue dans le cul. Je laisse échapper un cri.??

 

– Ta gueule p’tite enculée?!??

 

Je me mords les lèvres. Le seul bruit qu’on entend est celui du bas-ventre du Pervers qui vient frapper contre mes fesses. Je me fais enculer et j’aime me faire remplir le cul. Je jouis encore une fois, tandis qu’il me fait nettoyer sa bite maculée de merde et sperme.

 

C’est le lever du soleil et quelques promeneurs matinaux qui ont mis terme à nos jeux. Prenant le chemin du retour au volant de ma voiture. j’ai le sentiment d’être sale. l’odeur de l’urine, l’odeur de cul. les brins d’herbes collés sur ma peau et la terre sous mes ongles en témoignent. je suis vraiment sale?! Et je souris à cette pensée?!

 

Arrivées avenue Bourgogne, Le Pervers demande à descendre. Pas d’aurevoir, pas de bisou, mais il me jette deux billets.

 

– Tu les as bien mérités, jolie pute !

– Merci m’sieur !

 

Je reprends la route, celui-là, je sais déjà que je le reverrai la semaine prochaine.

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 15:37

Le retour de Jessica par Marie-Paule Perez

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Je m’appelle Jessica, j’ai 24 ans. J’ai passé ma jeunesse à Clermont-Ferrand. Je me suis enfuie du domicile parental quand j’avais 16 ans et on m’a émancipée.

 

Si je suis partie, c’est parce que l’ambiance devenait étouffante, je ne supportais plus Roger, mon beau père, violent, alcoolique et bipolaire, je ne supportais plus non plus l’attitude de ma mère passive devant ce bonhomme et qui trouvait le moyen de prendre son parti.

 

Je suis monté à Paris. J’ai pas mal bourlingué, copains marginaux, petits métiers, petits trafics, coups d’un soir, jusqu’à ce que je rencontre en boite un type qui s’est pris le béguin pour moi, ce n’était pas réciproque mais il a eu l’extrême bonté de m’héberger quelque temps et de me trouver une place dans son agence de voyage. Il croyait en me rendant ces services, inestimables, j’en suis bien consciente, m’acheter d’une certaine façon, certes j’ai couché avec lui mais il a fallu que je mette un jours les points sur les « i » et lui expliquer que je n’avais aucune envie de faire ma vie avec lui, et comme j’avais économisé un peu de sou en travaillant j’ai pu payer la caution d’une piaule que j’ai loué. Le pauvre gars en a été malade que je le quitte mais a fait semblant d’accepter de bon cœur la situation. Quelque part il m’a fait mal au cœur, mais que voulez-vous…

 

Je ne me suis jamais attaché à aucun garçon, après quelques jours de cohabitation il y avait toujours un petit quelque chose qui me rappelait mon beau-père. Merci j’ai déjà donné.

 

Frédérique de vingt ans mon aînée, m’a fait découvrir l’amour saphique. On vit ensemble on s’entend bien et de cette cohabitation tout le monde y trouve son compte, même s’il y a des hauts et des bas.

 

Un jour j’ai ouvert un compte Facebook. Et c’est comme ça que j’ai retrouvé ma mère. J’ai accepté le contact, elle m’a suggéré de lui téléphoner, je l’ai fait, elle m’a appris qu’elle vivait maintenant seule, son énergumène étant parti vers d’autres cieux. Et elle m’a proposé que je vienne lui rendre visite.

 

– Passe me voir, on parlera, si ça colle tu pourras rester quelques jours, si ça ne colle pas, eh bien tant pis pour moi…

 

Elle m’a donc suggéré de me pointer le mercredi à midi. Pas folle la guêpe, un bon gueuleton c’est toujours l’occasion de détendre l’atmosphère.

 

Bisous, bisous, elle me trouve changée. Moi aussi je la trouve changée, huit années ce n’est pas rien ! Elle a maintenant 44 ans, et c’est une belle femme mature, on sent qu’elle a repris du poil de la bête.

 

Bref, ce n’est pont le lieu de raconter par le détail ces retrouvailles, le repas était délicieux, ma mère ayant été toujours bonne cuisinière, le pinard pas mauvais, bonne ambiance, on a causé mais je ne lui pas tout raconté. J’étais contente, elle aussi.

 

A la fin du repas, elle se lève pour une raison inconnue, j’en profite pour aller satisfaire un petit besoin bien naturel et me dirige vers les toilettes.

 

La porte n’est pas fermée, elle est même grande ouverte, et là, je vois ma mère assise sur la cuvette pantalon baissée en train de pisser dans la plus naturelle des décontractions.

 

Ma mère n’a jamais été pudique, elle ne s’est jamais cachée à mes yeux pour se déshabiller, se laver… ou pour faire pipi, j’en avait tellement l’habitude que je n’y faisais plus attention. Mais là il se passe quelque chose, ce n’est plus la femme soumise à mon beau-père et qui de ce fait m’énervait qui est devant moi, mais une magnifique femme mature.

 

– J’ai presque fini ! M’informe-t-elle, je vais te laisser la place.

 

Je bredouille quelque chose d’incompréhensible.

 

– Ça te choque, parce que j’ai laissé la porte ouverte ? me demande-t-elle

– Non, non pas du tout !

– Tout va bien alors !

 

Elle se relève, s’essuie, je prends sa place et à ce moment-là me vient une idée folle !

 

« J’aimerais qu’elle me regarde »

 

Mais elle ne le fait pas !

 

On revient à table, on n’a plus faim, on est gavé, mais on fume une clope et là je me décide à lui avouer ce que je ne voulais pas forcément lui dire.

 

– En fait quand tu m’as demandé si j’étais avec quelqu’un, je t’ai menti, je suis avec quelqu’un mais ce n’est pas un homme.

– Si c’est ton choix…

– Ben oui, c’est mon choix ! Tu dois trouver ça bizarre !

– Non, j’ai eu aussi quelques expériences comme cela, il y a bien longtemps…

– Et ça t’avais plus !

– Ma fois, ce n’était pas désagréable !

– Et tu n’as jamais eu envie de recommencer ?

– Tu m’en poses des drôles de questions ! Disons que l’occasion ne s’est plus représentée. T’as une photo de ta copine ?

 

Je lui montre une photo sur mon smartphone.

 

– Jolie femme, elle a quel âge ?

– Comme toi, vous êtes de la même année.

– T’aimes bien les femmes mûres, alors ?

– Je préfère !

– C’était quoi ton trouble quand tu m’as vu faire pipi ?

– Rien !

– On peut parler librement ! Tu m’as fait déjà pas mal de confidences… T’étais bien troublée, non ?

– Ben te voir comme ça…

– Tu m’a dit que tu n’étais pas choquée !

 

J’ai dû faire un effort surhumain pour répondre :

 

– Je n’étais pas choqué, j’étais troublée.

– Viens sur mes genoux !

– Sur tes genoux !

– Ben oui, je ne vais pas te manger !

 

Je me mets sur ses genoux, consciente de m’embarquer dans un drôle de truc.

 

– Un bisou ? Quémande-t-elle

 

Je l’embrasse sur la joue, et elle en profite pour me caresser mes bras nus, ça me fait un bien fou.

 

– Tu me caresses bien !

– C’est vrai ?

– Oui !

 

« Qu’elle mette ses mains ailleurs, je ne demande que ça ! »

 

Je relève légèrement ma robe, comme une invite discrète. Ça y est, elle a sa main sur mon genou, elle remonte un peu sur la cuisse.

 

« Remonte, mais remonte plus haut ! »

 

– Tu sais me dit-elle, il y a huit ans qu’on ne s’est pas vu ! Je suis toujours ta mère, je serais toujours ta mère, mais nos rapports peuvent être différents…

 

Elle pile en pleine phrase, elle ne sait plus quoi dire.

 

– Caresse-moi encore les cuisses !

– Comme ça ?

– Oui !

– Si on continue, on va faire des bêtises !

– On ne fais de mal à personne !

 

Et tout d’un coup j’ai sa main sur ma chatte.

 

– Tu vois, je peux être très cochonne !

 

Et elle retire sa main.

 

– Sois cochonne, je me laisse faire !

– Tu ne serais pas un peu vicieuse ? Demande-t-elle en rigolant.

– Si ! Pourquoi ? Remets ta main, je me le laisserais faire.

– Tu es sûre ? Tu es bien sûre ?

– Oui !

– Alors enlève ta culotte, je vais t’embrasser la chatte, mais toi tu m’embrasseras la mienne ?

– Bien sûr !

 

Trois minutes plus tard on s’est retrouvé toutes les deux sur le lit, complètement à poil. Quelques hésitations… qui allait commencer ? Comment s’y prendre ?

 

On s’est un peu caressé, j’ai pu gouter les doux nichons de ma maman, j’ai pris un réel plaisir à en téter les bouts et puis presque naturellement sans que nous nous concertions en s’est retrouvé tête bêche en soixante-neuf. Alors je me suis lancée, ma langue est venue lécher sa fente et je me suis enivrée de sa mouille. De son côté elle me faisait la même chose. Nous étions deux gouines en furie, ma langue approcha son clitoris et commença à le titiller, le résultat fut fulgurant, ma mère brailla comme une damnée, je venais de faire jouir ma mère. Je restais là comme une conne en attendant qu’elle reprenne ses esprits.

mere-fille

Elle m’embrasse, elle me pelote, elle ne tient pas en place, et elle finit par revenir sur ma chatte, je me laisse faire, j’écarte les jambes et je jouis à mon tour.

 

Une nouvelle fois, on s’embrasse, on se caresse on se câline, on se cajole. Mais on ne dit rien. A quoi bon les mots et de toute façon on ne les trouverait pas !

 

Elle se lève, me précise qu’elle va chercher des cigarettes, on est là à cloper après l’amour comme deux goudous épuisées par leurs folies.

 

– J’aimerais bien que tu me fasses un truc finit-elle par me dire après un long silence.

– Si je peux…

– J’ai un martinet, je voudrais que tu me cingles les fesses avec…

– Ben, si tu veux…

– Je veux que tu me punisses !

– Te punir de quoi ? Tu n’as rien fait de mal !

– Me punir de ne pas avoir été une bonne mère quand il y avait Roger.

– Mais c’est idiot, je ne vois pas pourquoi je te punirais !

– Alors disons que c’est un jeu, juste un jeu, tu ne veux pas qu’on continue à jouer toutes les deux ?

– Si c’est juste un jeu, je veux bien !

 

Elle fouille dans sa commode, il était bien enfoui le martinet, il doit y avoir une éternité qu’elle n’a pas jouer avec.

 

Maman me tend l’objet puis se met en levrette prête à recevoir les coups. Quelle est belle comme ça, la croupe en l’air, tous ses trésors devant mon nez. Saisie d’une pulsion subite, je viens lui déposer un baiser sur le trou de balle, puis me met à le lécher.

 

– Hum, c’est bon ce que tu me fais !

– C’est délicieux !

– Ah, bon, tu trouves que mon trou du cul est délicieux ?

– Eh, oui, j’aime bien !

– C’est pas un peu épicé ?

– Si mais ça ne me gêne pas !

– Alors régale-toi !

 

Epicé ! C’est un euphémisme ! Mais on parle toujours de l’âcreté d’un anus, puisqu’il n’est pas politiquement correct de dire que ça sent légèrement la merde ! Je ne suis pas spécialement accro aux trucs scatos, mais à ce stade non seulement ça ne me dérange pas mais ça aurait même tendance à m’exciter, en fait tout est question de circonstances et puis on est perverse ou on ne l’est pas ! Je pousse même le vice jusqu’à lui introduire un doigt dans le troufignon pour ensuite le porter à ma bouche.

 

– Alors ces coups de martinets, ça vient ?

– Fort ? Pas fort ?

– Moyens !

 

Elle en a de bonnes, elle !

 

Je fouette donc, un coup, deux coups !

 

– Continue ! Traite-moi de tous les noms !

– Mais enfin maman !

– C’est un jeu, Jessica, c’est un jeu !

 

Alors d’accord !

 

– Tiens grosse truie, tiens morue, tiens salope !

 

Inutile de vous dire qu’au bout de cinq minutes son pauvre cul était devenu cramoisie, et que nous avons stoppé cette petite plaisanterie.

 

– Bon, on s’est bien marré, il faut que je retourne pisser !

– Maman !

– Oui ?

– Je voudrais que tu me pisses dessus !

– Ce n’est pas un problème, ma fille. Tu veux me boire ?

– Oui !

– Cochonne !

 

Je suis étendue dans la salle de bain sur le tapis de sol. Ma mère s’est accroupie chatte contre bouche. J’attends, les vannes s’ouvrent, il n’y avait pas grand-chose mais c’était délicieux avec un arrière-goût indéfinissable, peut-être du café ?

 

– On est des vraies cochonnes ! Me dit-elle après m’avoir roulé un patin. J’ai un peu honte quand même !

– Honte de quoi ? On fait du mal à qui ?

– A personne !

– Alors tu vois tout va bien !

– Quand tu reviendras, tu pourras descendre avec ta copine ?

– En voilà une bonne idée !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 15:33

La sorcière de la bibliothèque par Marie-Paule Perez


Catland

Vous croyez aux histoires de sorcières, vous ? Non bien sûr ! Moi je n’y croyais pas non plus… mais lisez plutôt…

 

J’ai 39 ans, je me prénomme Julie et je suis professeur d’université. divorcée, sans enfants.

 

La préparation de cette conférence est décidément plus difficile que prévue, Internet ne m’aide pas, et je n’ai pas les bouquins qu’il me faut sous la main, je décide donc de me rendre à la Grande Bibliothèque pour me documenter.

 

Je voulais aussi avoir la paix. Je me suis déniché un coin assez isolé, sans personne dans les environs. Donc, je me suis installée et je commençais à bouquiner quand, étant très absorbée par mon ouvrage, je ne me suis pas aperçu qu’une jolie demoiselle s’était installée à la table, juste devant moi. J’ai senti qu’on posait les yeux sur moi et c’est à ce moment-là que j’ai vu cette superbe fille. Elle avait l’air assez grande, les cheveux en longues boucles noires, des yeux d’un bleu profond, des lèvres pulpeuses et un teint très pâle. Elle me regardait sans cesse et je dois dire que j’essayais d’éviter son regard, car elle me mettait mal à l’aise.

 

Je me replongeais dans mon livre mais je sentais toujours ce regard perçant. Je relevais parfois la tête et elle me regardait toujours, avec un petit sourire en coin et des yeux remplis de désir. Je me demandais bien ce qu’elle voulait. En vain, j’essayais de me concentrer sur ma lecture.

 

Tout à coup, elle se lève, contourne la table et vient vers moi :

 

– Je vais aux toilettes, tu viens avec moi ? Me demande-t-elle.

 

Hein ? Elle est folle celle-là ! Et qu’est-ce qui lui prend de me tutoyer ? Elle ne dit plus rien, me regarde avec des yeux de braise et un sourire conquérant. Je me lève, je la suis comme dans un état second. Nous voilà dans les toilettes, elle avise une cabine de libre et me l’indique du doigt, j’y vais, elle me suit, elle verrouille la porte. Je m’assois sur l’abattant de la cuvette, tout habillée

 

Elle glisse entre mes jambes. Déjà, de ses mains expertes, elle avait retroussé ma jupe. J’ai senti contre mes cuisses un souffle brûlant qui remontait tout doucement jusqu’à mon ventre. Oh ! J’avais déjà chaud. J’étais déjà tout excitée.

 

Elle m’a descendu ma petite culotte. Je n’ai même pas eu le temps de m’indigner. Quelque chose de doux, de brûlant, d’insinuant et de tendre venait de se poser sur moi. Je me suis senti raidir. J’ai voulu refermer mes jambes, mais je ne pouvais pas résister à cette douce sensation. Surtout que je sentais que cette caresse se faisait plus profonde. Hmmm ! … J’ai laissé échapper un faible gémissement. Tout à coup, je me suis mise à penser qu’il y avait peut-être des gens qui nous avaient vu entrer à deux dans cette cabine, cette pensée m’a alors excitée davantage. En ce moment, je sentais sa langue s’enfoncer en moi, quel délice, et remonter sur mon petit bouton de plaisir pour bien le titiller et l’aspirer. Je sentais que ma pêche devenait de plus en plus juteuse, mais elle prenait bien soin de tout effacer avec sa langue.

 

Elle m’a écarté délicatement les lèvres du vagin et m’a murmuré :

 

– Tu as une chatte splendide !

 

Et elle a plongé sa langue plus profondément dans ma fente pour la ramener rapidement jusqu’à mon petit bouton de plaisir, qu’elle s’est mise à lécher sauvagement. Voyant que je m’abandonnais à ses avances, elle s’est mise à mordiller doucement mon clitoris, puis à l’aspirer plus fortement entre mes lèvres. Je contractais légèrement mon ventre, sentant les premières montés de la jouissance m’envahir. Elle se régalait comme une gloutonne à dévorer ma pêche douce et bien humecté tout en explorant ma petite grotte avec un doigt inquisiteur. Elle m’a fait me relever un peu pour pouvoir me glisser un doigt derrière les fesses, afin d’aller me chatouiller délicatement l’entrée de mon anus.

 

Je n’ai pas pu retenir plus longtemps, les fortes sensations de plaisir, qui ne cessaient de traverser tout mon corps. Les caresses perverses de cette fille dans mon vagin et dans mon anus me faisaient littéralement monter au septième ciel. Sentant que je me crispais de plus en plus, elle a accéléré davantage le tournoiement de sa langue et les mouvements de va-et-vient dans mon vagin et mon anus. Tout à coup, j’ai senti une vague se déverser à travers tout mon corps et j’ai joui avec une intensité impensable. Mon ventre se secouait interminablement, mon corps se tordait contre ma volonté.

 

Elle se relève, me sourit; je lui souris, j’ai envie de l’embrasser, j’ai envie de lui rendre ces minutes de bonheur intenses et si particulières. Mais j’ai aussi une envie beaucoup plus urgente et prosaïque, je me redresse, relève l’abatant, me rassoit et attend que mon petit pipi veuille bien jaillir. Mon inconnue s’est de nouveau baissée. Elle veut donc me voir uriner. Pourquoi lui refuserais-je ce plaisir ? Ça y est, je pisse, elle s’est approchée encore plus près de façon à ce que sa bouche rencontre le jet. Elle me boit et je suis infiniment troublée.

 

C’est fini, elle approche son visage pour m’embrasser, sa bouche a le goût si particulier de mon urine, Qu’est-ce que c’est bon !

 

On sort de la cabine, une dame d’un certain âge est en train de s’essuyer les mains, elle nous jette un regard outré.

 

La belle inconnue me tend une carte.

 

– Tu viendras à 18 heures.

 

J’ai acquiescé comme si c’était la chose la plus naturelle du monde.

 

A l’heure convenue, Sardonia m’a entraînée dans sa chambre, a étalé une grande serviette éponge sur le drap et a préparé un gros coussin. Elle m’a demandé de me dévêtir complètement et de m’allonger.

 

– Je reviens dans un quart d’heure, le temps de préparer le matériel et le lavement.

– Un lavement ?

– Tu vas adorer !

 

Quand elle est enfin revenue, elle portait un broc relié à un long tuyau terminé par une canule souple d’une taille impressionnante en épaisseur et en longueur (vingt centimètres de long et quatre de diamètre). Sardonia m’a fait allonger sur le côté, les fesses surélevées par le coussin et une jambe repliée.

Sorciere

Doucement, elle a enduit mon petit trou du cul de vaseline, a fait entrer et sortir son doigt. Elle m’a offert des tas d’agaceries pour me préparer au plaisir. Elle a enduit la canule de vaseline, et a suspendu le broc au-dessus du lit. Elle a purgé le tuyau, et la canule est entrée en moi très lentement. Sardonia a commencé à faire des allers et retours de plus en plus profonds. J’étais déjà folle d’excitation mais je n’osais rien dire. De toute façon, mon sexe parlait pour moi. De l’autre main, Sardonia a caressé mes grandes et petites lèvres, puis mon clito. A ce moment, mon plaisir s’est mis à grandir, grandir. Je me sentais pleine et épanouie.

 

– Allez, ma chérie, m’a dit Sardonia, le lait est à la bonne température. Maintenant, ouvre-toi bien, cambre bien ton dos, et tends tes fesses vers moi.

 

J’ai senti le liquide tiède me remplir, puis devenir petit à petit plus chaud, de plus en plus chaud, jusqu’à l’insupportable. La canule s’agitait en moi. J’ai joui longuement, le lavement n’en finissait pas. Mon orgasme s’est prolongé, c’était incroyable. Sardonia m’a demandé d’attendre pour tout rejeter.

 

Cinq minutes plus tard, je n’en pouvais plus. Sardonia, bouche ouverte m’a écarté mes petites fesses, m’a demandé de me laisser aller et s’est régalé de tout ce qui sortait de mon cul.

 

Elle m’a ensuite prêté un balai que j’ai chevauché comme il se doit, ma mouille m’aidant à m’accrocher au manche, nous avons ouvert la fenêtre et elle m’a raccompagné jusqu’à chez moi par-dessus les toits de Paris.

 

Alors, vous ne croyez toujours pas aux sorcières ?

 

Fin

 

Merci à Céline du magazine Union à qui j’ai quelque peu emprunté le passage « lavement »

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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