Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 15:37

Le retour de Jessica par Marie-Paule Perez

Stamp MD

 

Je m’appelle Jessica, j’ai 24 ans. J’ai passé ma jeunesse à Clermont-Ferrand. Je me suis enfuie du domicile parental quand j’avais 16 ans et on m’a émancipée.

 

Si je suis partie, c’est parce que l’ambiance devenait étouffante, je ne supportais plus Roger, mon beau père, violent, alcoolique et bipolaire, je ne supportais plus non plus l’attitude de ma mère passive devant ce bonhomme et qui trouvait le moyen de prendre son parti.

 

Je suis monté à Paris. J’ai pas mal bourlingué, copains marginaux, petits métiers, petits trafics, coups d’un soir, jusqu’à ce que je rencontre en boite un type qui s’est pris le béguin pour moi, ce n’était pas réciproque mais il a eu l’extrême bonté de m’héberger quelque temps et de me trouver une place dans son agence de voyage. Il croyait en me rendant ces services, inestimables, j’en suis bien consciente, m’acheter d’une certaine façon, certes j’ai couché avec lui mais il a fallu que je mette un jours les points sur les « i » et lui expliquer que je n’avais aucune envie de faire ma vie avec lui, et comme j’avais économisé un peu de sou en travaillant j’ai pu payer la caution d’une piaule que j’ai loué. Le pauvre gars en a été malade que je le quitte mais a fait semblant d’accepter de bon cœur la situation. Quelque part il m’a fait mal au cœur, mais que voulez-vous…

 

Je ne me suis jamais attaché à aucun garçon, après quelques jours de cohabitation il y avait toujours un petit quelque chose qui me rappelait mon beau-père. Merci j’ai déjà donné.

 

Frédérique de vingt ans mon aînée, m’a fait découvrir l’amour saphique. On vit ensemble on s’entend bien et de cette cohabitation tout le monde y trouve son compte, même s’il y a des hauts et des bas.

 

Un jour j’ai ouvert un compte Facebook. Et c’est comme ça que j’ai retrouvé ma mère. J’ai accepté le contact, elle m’a suggéré de lui téléphoner, je l’ai fait, elle m’a appris qu’elle vivait maintenant seule, son énergumène étant parti vers d’autres cieux. Et elle m’a proposé que je vienne lui rendre visite.

 

– Passe me voir, on parlera, si ça colle tu pourras rester quelques jours, si ça ne colle pas, eh bien tant pis pour moi…

 

Elle m’a donc suggéré de me pointer le mercredi à midi. Pas folle la guêpe, un bon gueuleton c’est toujours l’occasion de détendre l’atmosphère.

 

Bisous, bisous, elle me trouve changée. Moi aussi je la trouve changée, huit années ce n’est pas rien ! Elle a maintenant 44 ans, et c’est une belle femme mature, on sent qu’elle a repris du poil de la bête.

 

Bref, ce n’est pont le lieu de raconter par le détail ces retrouvailles, le repas était délicieux, ma mère ayant été toujours bonne cuisinière, le pinard pas mauvais, bonne ambiance, on a causé mais je ne lui pas tout raconté. J’étais contente, elle aussi.

 

A la fin du repas, elle se lève pour une raison inconnue, j’en profite pour aller satisfaire un petit besoin bien naturel et me dirige vers les toilettes.

 

La porte n’est pas fermée, elle est même grande ouverte, et là, je vois ma mère assise sur la cuvette pantalon baissée en train de pisser dans la plus naturelle des décontractions.

 

Ma mère n’a jamais été pudique, elle ne s’est jamais cachée à mes yeux pour se déshabiller, se laver… ou pour faire pipi, j’en avait tellement l’habitude que je n’y faisais plus attention. Mais là il se passe quelque chose, ce n’est plus la femme soumise à mon beau-père et qui de ce fait m’énervait qui est devant moi, mais une magnifique femme mature.

 

– J’ai presque fini ! M’informe-t-elle, je vais te laisser la place.

 

Je bredouille quelque chose d’incompréhensible.

 

– Ça te choque, parce que j’ai laissé la porte ouverte ? me demande-t-elle

– Non, non pas du tout !

– Tout va bien alors !

 

Elle se relève, s’essuie, je prends sa place et à ce moment-là me vient une idée folle !

 

« J’aimerais qu’elle me regarde »

 

Mais elle ne le fait pas !

 

On revient à table, on n’a plus faim, on est gavé, mais on fume une clope et là je me décide à lui avouer ce que je ne voulais pas forcément lui dire.

 

– En fait quand tu m’as demandé si j’étais avec quelqu’un, je t’ai menti, je suis avec quelqu’un mais ce n’est pas un homme.

– Si c’est ton choix…

– Ben oui, c’est mon choix ! Tu dois trouver ça bizarre !

– Non, j’ai eu aussi quelques expériences comme cela, il y a bien longtemps…

– Et ça t’avais plus !

– Ma fois, ce n’était pas désagréable !

– Et tu n’as jamais eu envie de recommencer ?

– Tu m’en poses des drôles de questions ! Disons que l’occasion ne s’est plus représentée. T’as une photo de ta copine ?

 

Je lui montre une photo sur mon smartphone.

 

– Jolie femme, elle a quel âge ?

– Comme toi, vous êtes de la même année.

– T’aimes bien les femmes mûres, alors ?

– Je préfère !

– C’était quoi ton trouble quand tu m’as vu faire pipi ?

– Rien !

– On peut parler librement ! Tu m’as fait déjà pas mal de confidences… T’étais bien troublée, non ?

– Ben te voir comme ça…

– Tu m’a dit que tu n’étais pas choquée !

 

J’ai dû faire un effort surhumain pour répondre :

 

– Je n’étais pas choqué, j’étais troublée.

– Viens sur mes genoux !

– Sur tes genoux !

– Ben oui, je ne vais pas te manger !

 

Je me mets sur ses genoux, consciente de m’embarquer dans un drôle de truc.

 

– Un bisou ? Quémande-t-elle

 

Je l’embrasse sur la joue, et elle en profite pour me caresser mes bras nus, ça me fait un bien fou.

 

– Tu me caresses bien !

– C’est vrai ?

– Oui !

 

« Qu’elle mette ses mains ailleurs, je ne demande que ça ! »

 

Je relève légèrement ma robe, comme une invite discrète. Ça y est, elle a sa main sur mon genou, elle remonte un peu sur la cuisse.

 

« Remonte, mais remonte plus haut ! »

 

– Tu sais me dit-elle, il y a huit ans qu’on ne s’est pas vu ! Je suis toujours ta mère, je serais toujours ta mère, mais nos rapports peuvent être différents…

 

Elle pile en pleine phrase, elle ne sait plus quoi dire.

 

– Caresse-moi encore les cuisses !

– Comme ça ?

– Oui !

– Si on continue, on va faire des bêtises !

– On ne fais de mal à personne !

 

Et tout d’un coup j’ai sa main sur ma chatte.

 

– Tu vois, je peux être très cochonne !

 

Et elle retire sa main.

 

– Sois cochonne, je me laisse faire !

– Tu ne serais pas un peu vicieuse ? Demande-t-elle en rigolant.

– Si ! Pourquoi ? Remets ta main, je me le laisserais faire.

– Tu es sûre ? Tu es bien sûre ?

– Oui !

– Alors enlève ta culotte, je vais t’embrasser la chatte, mais toi tu m’embrasseras la mienne ?

– Bien sûr !

 

Trois minutes plus tard on s’est retrouvé toutes les deux sur le lit, complètement à poil. Quelques hésitations… qui allait commencer ? Comment s’y prendre ?

 

On s’est un peu caressé, j’ai pu gouter les doux nichons de ma maman, j’ai pris un réel plaisir à en téter les bouts et puis presque naturellement sans que nous nous concertions en s’est retrouvé tête bêche en soixante-neuf. Alors je me suis lancée, ma langue est venue lécher sa fente et je me suis enivrée de sa mouille. De son côté elle me faisait la même chose. Nous étions deux gouines en furie, ma langue approcha son clitoris et commença à le titiller, le résultat fut fulgurant, ma mère brailla comme une damnée, je venais de faire jouir ma mère. Je restais là comme une conne en attendant qu’elle reprenne ses esprits.

mere-fille

Elle m’embrasse, elle me pelote, elle ne tient pas en place, et elle finit par revenir sur ma chatte, je me laisse faire, j’écarte les jambes et je jouis à mon tour.

 

Une nouvelle fois, on s’embrasse, on se caresse on se câline, on se cajole. Mais on ne dit rien. A quoi bon les mots et de toute façon on ne les trouverait pas !

 

Elle se lève, me précise qu’elle va chercher des cigarettes, on est là à cloper après l’amour comme deux goudous épuisées par leurs folies.

 

– J’aimerais bien que tu me fasses un truc finit-elle par me dire après un long silence.

– Si je peux…

– J’ai un martinet, je voudrais que tu me cingles les fesses avec…

– Ben, si tu veux…

– Je veux que tu me punisses !

– Te punir de quoi ? Tu n’as rien fait de mal !

– Me punir de ne pas avoir été une bonne mère quand il y avait Roger.

– Mais c’est idiot, je ne vois pas pourquoi je te punirais !

– Alors disons que c’est un jeu, juste un jeu, tu ne veux pas qu’on continue à jouer toutes les deux ?

– Si c’est juste un jeu, je veux bien !

 

Elle fouille dans sa commode, il était bien enfoui le martinet, il doit y avoir une éternité qu’elle n’a pas jouer avec.

 

Maman me tend l’objet puis se met en levrette prête à recevoir les coups. Quelle est belle comme ça, la croupe en l’air, tous ses trésors devant mon nez. Saisie d’une pulsion subite, je viens lui déposer un baiser sur le trou de balle, puis me met à le lécher.

 

– Hum, c’est bon ce que tu me fais !

– C’est délicieux !

– Ah, bon, tu trouves que mon trou du cul est délicieux ?

– Eh, oui, j’aime bien !

– C’est pas un peu épicé ?

– Si mais ça ne me gêne pas !

– Alors régale-toi !

 

Epicé ! C’est un euphémisme ! Mais on parle toujours de l’âcreté d’un anus, puisqu’il n’est pas politiquement correct de dire que ça sent légèrement la merde ! Je ne suis pas spécialement accro aux trucs scatos, mais à ce stade non seulement ça ne me dérange pas mais ça aurait même tendance à m’exciter, en fait tout est question de circonstances et puis on est perverse ou on ne l’est pas ! Je pousse même le vice jusqu’à lui introduire un doigt dans le troufignon pour ensuite le porter à ma bouche.

 

– Alors ces coups de martinets, ça vient ?

– Fort ? Pas fort ?

– Moyens !

 

Elle en a de bonnes, elle !

 

Je fouette donc, un coup, deux coups !

 

– Continue ! Traite-moi de tous les noms !

– Mais enfin maman !

– C’est un jeu, Jessica, c’est un jeu !

 

Alors d’accord !

 

– Tiens grosse truie, tiens morue, tiens salope !

 

Inutile de vous dire qu’au bout de cinq minutes son pauvre cul était devenu cramoisie, et que nous avons stoppé cette petite plaisanterie.

 

– Bon, on s’est bien marré, il faut que je retourne pisser !

– Maman !

– Oui ?

– Je voudrais que tu me pisses dessus !

– Ce n’est pas un problème, ma fille. Tu veux me boire ?

– Oui !

– Cochonne !

 

Je suis étendue dans la salle de bain sur le tapis de sol. Ma mère s’est accroupie chatte contre bouche. J’attends, les vannes s’ouvrent, il n’y avait pas grand-chose mais c’était délicieux avec un arrière-goût indéfinissable, peut-être du café ?

 

– On est des vraies cochonnes ! Me dit-elle après m’avoir roulé un patin. J’ai un peu honte quand même !

– Honte de quoi ? On fait du mal à qui ?

– A personne !

– Alors tu vois tout va bien !

– Quand tu reviendras, tu pourras descendre avec ta copine ?

– En voilà une bonne idée !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-Paule Perez
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