Irenée Vardin

Dimanche 22 mai 2022 7 22 /05 /Mai /2022 09:34

Ciel ! La douche est occupée par Irénée Vardin

stamp transblack

Ciel ! La douche est occupée

Par une magnifique shemale bronzée.

Elle m’invite à venir près d’elle, cette cochonne !

On se caresse, on se plote, on se savonne.

Doucement, ses mains descendent

Et trouve ma bite qui bande,

Je lui rends volontiers la politesse

Sans oublier de lui tâter ses fesses.

Je me penche en avant afin de la suçailler

Que c’est bon une bite de trans dans le gosier !

Je me retourne, c’était fatal,

Et lui offre mon trou de balle.

Elle me sodomise bien profond

Me faisant intensément jouir du fion.

Que c’est bon de se faire enculer

Sous une douche tiède en été

Quand il fait si chaud dehors

Et même que je n’ai aucun remord !

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Mardi 2 novembre 2021 2 02 /11 /Nov /2021 15:13

La descente aux enfers de Madame Grenet par Irénée Vardin

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Je m'appelle Julien, j'ai 25 ans et travaille dans un cabinet d'assurance depuis quelques mois. Je suis tout à fait ordinaire, mon physique est quelconque, mais je suis très doué en l'informatique. Je suis au service comptabilité et directement sous les ordres de madame Grenet, la directrice financière. Cette femme d'une quarantaine d'année, plutôt belle, toujours habillée strictement est un cauchemar pour tous les employés du service qu'elle se plait à humilier. Hautaine et fière, méprisante, personne n'ose la contredire et ses désirs sont des ordres. 

 

Mais dans le comportement de madame Grenet, il y a une faille. Et je l'ai trouvée. J'ai remarqué que chaque vendredi, une rubrique comptable était débitée de petites sommes ne dépassant jamais quelques centaines d'euros. Quelqu'un préparait-t-il ses week-ends ?

 

Après de longues recherches, J'ai découvert grâce aux références du compte crédité que c'était la directrice financière elle-même qui se servait ! Ah l'informatique ! Après avoir réfléchi, je décide de ne pas laisser passer une si bonne occasion.

 

Je rédige un rapport détaillé à l'attention de la direction parisienne de la société en me donnant le beau rôle évidemment, J'espère ainsi obtenir une promotion substantielle. Mais avant je veux avoir le plaisir d'en informer ma directrice afin de l'humilier à son tour.

 

Le jour venu, je demande à la secrétaire de madame Grenet un rendez-vous en précisant que c'est important et urgent. En entrant dans le bureau, je ressens un moment de grande jubilation. Madame Grenet est assise derrière son bureau et sans lever la tête me dit :

 

- J'espère que c'est important ? 

- En effet, j'aimerai vous montrer ces documents, puis-je me servir de votre PC ?

- Oui, mais dépêcherez-vous je n'ai pas que ça à faire…

 

J'introduis une clé USB dans le lecteur.

 

- Depuis quelque temps, j'ai remarqué des irrégularités comptables qui je crois vont vous intéresser

- Ah ?

 

Madame Grenet regarde l'écran, son visage blêmit…

 

- Comment avez-vous ? … 

- Par hasard !

 

Je commence à savourer son triomphe.

 

- Au siège de Paris, ils ne vont pas apprécier les fraudes de leur directrice financière. 

- Nous pouvons nous arranger, dit-elle d'une voie plus douce, je vous donne la moitié des sommes. 

- L'argent ne m'intéresse pas… Répondis-je jouant les grand seigneurs.

- Alors, vous comptez faire quoi ? 

- Prévenir Paris ! Mais avant je voulais m'amuser à vous l'annoncer, rien que pour voir votre bobine ! Vous faites moins la fière maintenant !

- Connard !

- N'aggravez pas votre cas !

- Bon foutez le camp de mon bureau ! 

- Bonne continuation, Madame Grenet !

 

Je vais pour sortir, savourant ma vengeance.

 

- Attendez ! Ne me dites pas qu'il est impossible de s'arranger !

- Si, c'est impossible ! 

- Vous vous prenez pour quoi, pour le chevalier blanc ? Vous êtes sans doute un saint, vous ?

 

Et c'est à ce moment là que j'ai eu l'idée de lui faire une réplique salace.

 

- Il y aurait bien une solution…

- Je savais bien…

- Ce serait que tu deviennes mon esclave sexuelle.

- Hein ? S'esclaffe-t-elle en rougissant comme une pucelle

- On pourrait commencer, ce soir, je te fouetterais ton gros cul de salope avant de t'enculer comme une chienne.

 

La tronche qu'elle tire ! Madame Grenet reste stupéfaite et hébétée durant quelques minutes. Jamais elle n'aura imaginer une telle issue. Que faire ? Si au siège, cela se sait, sa carrière est fichue, sans oublier les éventuelles suites judiciaires.

 

Je me dirige à nouveau vers la porte

 

- Attendez, je suis d'accord !

- Sans blague ?

- Puisque je vous le dit ! On ferait comment ?

- Je vais te donner mon adresse, à 19 heures, tu sonneras chez moi, je te veux habillée en pute, décolleté, escarpins, porte-jarretelle… 

 

A 19 heures précises elle sonnait à l'interphone de mon immeuble, je lui ouvris et lui précisait l'étage et la porte.

 

-  Entre, grosse pute et donne-moi ton manteau ! 

 

Elle est superbe moulée dans un tailleur pied de poule, ses cheveux en chignon lui donnent un air encore plus sévère.

 

- Pose ton gros cul sur la chaise ! Tu devines ce qui va t'arriver ?

- Oui, je vous demande simplement de ne pas abuser de la situation.

- T'es pas en position de discuter, ma vieille ! Si tu n'as pas confiance, tu te casses et demain j'envoie mon rapport à Paris.

- Bien, je suis à votre merci !

- Tu portes quoi sous ta jupe ?

- Des bas 

- Fais voir ! !

 

Madame Grenet remonte sa jupe jusqu'à la lisière des bas.

 

- Maintenant je te veux à poil !

- Complètement ?

- Evidemment abrutie !

 

GranetPutain, elle a une de ses paires de doudounes, la directrice, Je m'empresse de les malaxer et d'en sucer et d'en mordiller le bout. Bizarrement ça n'a pas l'ai de lui déplaire. Je lui accroche des pnces à linges au bout des tétons. Oh, la vilaine grimace qu'elle me fait. Alors par pur sadisme je les retire… pour les remettre aussitôt.

 

- Aïe !

- Supporte connasse ! On t'as déjà dit que tu avais une bouche à tailler des pipes ?

- Euh, non ?

- Ben maintenant tu le sauras ! Tu va fouiller dans ma braguette et me sortir la bite, ensuite tu la mettras dans ta bouche.

- Maintenant ?

- Bien sûr que c'est maintenant, pas dans 8 jours, conasse ! A genoux et au boulot !

 

Madame Grenet s'agenouille entre mes jambes de Julien. Elle défait la ceinture et ouvre la braguette du pantalon. Elle sort du slip ma verge gonflée de désir.

 

- Allez, salope, en avant et commence par me donner des petits coups de langue, comme une bonne bourgeoise. 

 

Morte de honte, elle s'exécute. Le gland devient tout mouillé, je suis fou d'excitation.

 

- Suce-moi à fond !

 

La bouche enroule la verge et commence un long va-et-vient.

 

- C'est bien, continue, et surtout avale tout. Comme c'est bon de se faire sucer par sa directrice ! Aaaah, madame Grenet est une suceuse, Aaaah ! Aaaah ! Avale tout !

 

Ça a été trop vite, mais la soirée est à peine commencée.  Et j'ai quelques idées.

 

- Bon, ça m'a creusé tout ça ! Tu vas aller dans le frigo, il y a des œufs et du gruyère râpé , tu vas me faire une bonne omelette.

- Une omelette pour une personne ?

- Non pour deux, je ne voudrais pas que tu meures de faim.

- Je me rhabille ?

- Non !

- A quelle heure je vais pouvoir partir ?

- J'en sais rien !

 

Je regarde nonchalamment la télé pendant qu'elle est en cuisine.

 

- On mange où ? Demande- t-elle quelque minutes plus tard !

- Moi ici ! Et toi par terre !

- Par terre ?

- Ben oui les chiennes, ça bouffe par terre !

 

Quelle humiliation pour cette femme hautaine de devoir manger par terre, complètement nue. Me voilà de nouveau en train de bander.

 

J'attends qu'elle ait terminé son assiette, je n'aime gâcher la nourriture, puis je m'empare de ma ceinture et sans prévenir commence à lui cingler le cul en l'insultant !

 

- Tiens grosse pouffe, tiens morue !

- Aïe !

- Ta gueule !

 

Quand elle eut le cul bien rouge, je lui ai demandé de se mettre en levrette et je l'ai enculé. Elle a grogné au début, disant que ça lui faisait mal, mais je n'ai rien voulu entendre, et à ma grande surprise quelque minutes plus tard, elle en redemandait presque et c'est mise à joui du cul ! La salope !

 

Après m'être retiré, j'avais comme une envie de pisser. Idée !

 

- A genoux ! Chiennasse ! je vais te pisser dans la bouche !

- Non…

- Comment ça "non" ?

 

Elle a ouvert la bouche, manifestement elle n'avait jamais pratiqué ce genre de choses. Mais elle fit contre mauvaise fortune, bon cœur !

 

- Maintenant rhabille-toi et rentre chez toi ! Désormais chaque fois que j'aurais envie de m'amuser avec toi tu devras venir ! D'accord ?

- Puisque je ne peux pas faire autrement !

 

Voilà comment à commencer la déchéance de madame Grenet. Elle y a pris goût. Nos rapports sont toujours basés sur la domination mais une certaine complicité s'est installée entre nous à ce point que parfois c'est moi qui fait l'esclave !

 

Et l'argent détourné demanderez-vous ? Eh bien on se le partage. Et grâce à mes connaissances informatiques le détournement est maintenant bien sécurisé.

 

Un jour une mission d'audit a été annoncée, Pas grave, un vilain virus informatique a détruit tout l'historique des opérations comptables. La direction parisienne nous a infligé un blâme pour ne pas avoir installé un antivirus efficace. Ça nous a bien fait rigoler !

 

Fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 16:38

Laticia, ma mère et moi par Irénée Vardin

Stamp mature

Je m’appelle Robin, j’ai 23 ans et suis étudiant en médecine. J’ai couché avec ma mère pour la première fois il y a 6 mois, nous revenions d’une réception ennuyeuse et nous avions pas mal picolé. Ce fut un concours de circonstances, ma mère portait une robe dont le décolleté m’avait profondément troublé et elle était troublée par mon trouble. A la maison que nous habitions seuls tous les deux, on était assis l’un contre l’autre, quelques caresses… elles devirent osés, par jeu je plongeais dans le décolleté, ma mère ne protesta pas, j’attrapais un téton, elle me toucha la braguette, quelques minutes pus tard nous étions tous les deux nus sur le lit et après quelques préliminaires buccaux, je l’ai baisé.

 

Il ne s’en est suivi aucune honte, nous étions des adultes consentants et nous avons recommencé.

 

Mais depuis la rentrée, je n’ai eu que deux soirées torrides avec ma mère. Ça ne me suffit plus. Rien qu’à regarder son cul quand elle marche ou à voir ses tétons qui pointent à travers sa chemise de nuit le soir, ça me rend dingue.

 

Mon attirance pour son corps tourne à l’obsession. Je ne peux quand même pas lui sauter dessus tout le temps. Surtout que nous arrivons encore à être réservés malgré tout ce qui s’est déjà passé.

 

Plus on avance, et plus j’ai l’impression que ma mère change, elle est plus souriante, elle rigole de mes blagues sans arrêt, elle laisse la porte de la salle de bain ouverte quand elle se douche, bref que de bonnes choses. Quant à moi, comme ma mère travaille, je ne la vois principalement que le soir et les weekends.

 

Pendant la journée, je potasse ma médecine, et surtout j’attends impatiemment son retour.

 

La voilà, elle rentre épuisée de sa journée et de sa semaine, ma mère travaille d’arrache-pied dans un cabinet d’assurances, elle gagne très bien sa vie. Evidemment quand on suce le patron, ça facilité l’avancement !

 

Bref. La voilà, je lui sers un verre d’eau et nous discutons un peu, de son travail, de ce que j’ai fait de la journée. Elle est fatiguée, ce n’est pas la soirée idéale pour tenter quelque chose avec elle, zut. Après sa douche, elle se couche au premier dans sa chambre. Quant à moi, je regarde la télé en bas. J’avais tellement envie d’elle ce soir, je ne vais quand même pas la forcer, c’est pas mon genre ni celui de ma mère.

 

Il fallait quand même faire passer mon envie. Je décide donc de me masturber, je monte à pas feutrés chercher une revue d’histoires érotiques avec plein de bon récits y compris d’inceste, je jette un coup d’œil dans la chambre de ma mère, elle a l’air de dormir, je redescend donc, direction le canapé pour une bonne masturbation. Je trouve mon bonheur avec un bon récit d’inceste qui met en scène un fils, sa mère et sa tante. Ils font des parties à trois, l’histoire est assez cochonne, avec des fessées et du pipi. J’agite donc ma main autour de mon membre quand j’entends ma mère me parler:

 

– Tu n’en a jamais assez, tu es un vrai cochon !

 

Je suis honteux, ma mère est en face de moi, elle a l’air si fâchée. Elle reste là, à me regarder, le visage tiré. Tout d’un coup elle se met à rire et me dit :

 

– Tu lis quoi ? C’est quoi ce magazine ?

 

Elle plaisantait donc. Alors, débandant, je lui montre, elle vient s’assoir près de moi.

 

– Tu lisais quelle histoire ?

 

Je lui montre, elle se met à la lire.

 

– Ça te plairait ces choses ?

– Fessées, pipi, on a déjà fait, mais un trio ce serait bien.

– Sans doute ? Mais désolé je n’ai pas de sœur pour réaliser ton scénario

– Pourquoi, tu serais d’accord pour faire des choses avec une femme et tous les trois on ferait des trucs ?

– Pourquoi pas ? me répondit-elle

 

Sa réponse me surpris. Ma mère deviendrait-elle une véritable obsédée ?

 

– Sur cette bonne parole, je vais me coucher, je suis crevée, bonne nuit

 

Une fois ma mère repartie, j’achevais enfin cette masturbation. Le lendemain, c’était samedi. Il fallait que je sache jusqu’où ma mère était prête à aller.

 

– Dis maman, tu sais ce dont on parlait hier soir, tu es toujours d’accord ?

– Oui, pourquoi ?

– Je me demandais juste avec qui, on pourrait faire ça ? A qui demander ?

– Personne autour de nous en tous cas, la relation que nous avons doit rester cachée.

– On ne fait pourtant de mal à personne..

– Je sais bien, mais va expliquer ça aux gens, toi !

 

Et puis vint l’idée géniale de ma mère, le journal gratuit que l’on ramassait chez le boulanger était rempli de petites annonces de dames dans la rubrique masseuses. Ma mère voulait choisir une prostituée ! Fallait en choisir une dans ces deux pages remplies. Il y en avait pour tous les goûts, les textes en disaient long… âge, propositions implicites, couleur de cheveux, tour de poitrine, téléphone…

 

Après une première sélection de ma mère, je me suis mis à téléphoner, une dizaine de femmes ne faisaient que les hommes, c’est à la deuxième page que j’ai eu une réponse positive. Cette annonce plaisait assez à ma mère, il était écrit Laticia, la quarantaine TP95 reçoit ou se déplace… Au téléphone, cette charmante dame m’a même donné ses tarifs. Je lui ai donné notre adresse, lui demandant expressément de ne pas garer sa voiture en face de chez nous et de ne pas être habillée tapageuse pour ne pas éveiller les soupçons des voisins. Alors elle me dit que c’était plus cher pour tout ça. Nous étions d’accord pour le prix, elle venait ce soir à 20 heures. La seul chose que je ne lui ai pas dite, c’est que nous étions mère et fils.

 

Tout au long de la journée, ma mère n’arrêtait pas de me dire:

 

– Je sais pas si on a bien fait…

 

La soirée approchait. Toute la journée, je n’ai pensé qu’à ça. Je pense que ma mère aussi. 19 h 30, Nous sommes tous les deux au salon, l’attente est interminable ! 20 heures. Toujours personne 20 h 15. On sonne à la porte, je vais ouvrir. Laticia est assez grande, elle porte un tailleur qui met ses formes en valeur, elle est brune, cheveux courts, de larges hanches un peu comme ma mère. Je la fait entrer au salon. Elle s’assied sur le canapé. Embarrassée, ma mère lui dit:

 

– Excusez-nous, c’est la première fois que nous faisons appel à quelqu’un, vous faites souvent ce genre de choses ?

– Pas souvent à trois mais ça arrive, je peux vous expliquer comment je travaille… Mais avant toute chose, nous avons une tradition dans notre profession, le client doit payer d’avance.

– L’enveloppe est sur la cheminée.

 

Je sers un verre ensuite elle commence son discours sur le préservatif obligatoire. J’accepte, je n’ai pas trop le choix ! Et puis arrive la grosse question histoire de faire connaissance :

 

– Vous êtes ensemble dans la vie ?

– Nous sommes amants depuis quelques temps mais il y a quelque chose qu’il vous faut savoir. Robin est mon fils et ce n’est pas facile de trouver quelqu’un qui n’en parlerait à personne. Répond ma mère.

– A vrai dire, je m’en doutais, vous vous ressemblez, vous pouvez compter sur ma discrétion, c’est compris dans le prix. Répondit Laticia:

 

Ouf, elle acceptait donc !. Une fois au premier, les choses sérieuses ont commencé. Encore habillés, nous l’écoutions attentivement. Nous devions d’abord tous passer à la salle de bain se laver les parties intimes. Laticia nous demanda où se trouvait la salle de bain, elle y alla d’abord seule. Nous attendions et puis elle appela ma mère. Ma mère alla la rejoindre, Laticia était déjà nue, ma mère se déshabilla et c’est Laticia qui lava le sexe de ma mère avec un gant puis l’essuya délicatement.

 

Puis est venu mon tour, même scénario, elle me lava le sexe. Je pensais que j’allais défaillir tellement ses seins étaient gros et pendaient. Ses auréoles étaient plus larges que ceux de ma mère et ses tétons plus petits. Sa chatte était bien rasée, je ne voyais qu’une fine ligne de poils.

 

Nous voilà tous les trois debout à côté du lit dans la chambre de ma mère. Laticia:

 

– Bon, mon grand, voilà comment ça va se passer, je vais commencer par m’occuper de ta maman, regarde-nous pour te mettre en forme !

– Ecoutez, c’est la première fois que je fais ça, alors … répond maman

– Ne vous en faites pas !

 

Elle avait l’air cool, c’était rassurant. Ma mère se couche et Laticia vient la rejoindre et commence par l’embrasser, je n’en crois pas mes yeux. Elles se lèchent et se sucent la langue, puis Laticia descend lui sucer les gros bouts, c’est excitant à mort ! Ensuite elle descend doucement lui lécher sa grosse touffe.

 

– Ta maman a très envie on dirait, elle est toute mouillée, viens me donner un coup de main mon grand.

 

J’arrive donc, Laticia était remontée aux seins de maman. j’entrepris donc seul cette minette. Je léchais ma mère et je regardais le spectacle en même temps. Elle suçait les seins de ma mère. Ma mère gémissait à mort !. Puis Laticia me dit:

 

-Regarde ta maman mon grand, je crois qu’elle a très envie que tu lui fasses l’amour.

00 Laticia

Alors, elle me mit un préservatif et me suça un peu le sexe, elle était très douée. C’est Laticia qui a guidé ma bite dans la fente de maman. Je commençais donc à lui faire l’amour. Pendant ce temps, Laticia mettait ses gros seins au-dessus de la bouche de ma mère. Ma mère suçait les tétons d’une femme, quel bonheur de voir ça ! Puis elle mit sa chatte sur le visage de maman. Juste en face de moi, je voyais clairement la langue de ma mère qui donnait des coups de langue sur le clito de Laticia.

 

J’ai dû me retirer tout de suite sinon j’allais jouir tellement le spectacle était intense. Je suis même sorti de la pièce, je n’osais plus les regarder tellement je pensais jouir rien qu’en les voyant toutes les deux. J’étais maintenant dans ma chambre, j’entendais encore ma mère gémir. J’ai réalisé à ce moment-là que nous avions été beaucoup trop loin et que ma gentille maman était prête à tout pour réaliser mes fantasmes.

 

Quelques minutes passèrent, mon érection s’était calmée un peu et j’avais toujours cette foutue capote sur mon sexe. Bon, j’y retourne. Arrivé dans la chambre, il y a avait une forte odeur de mouille. Laticia était couchée jambes écartées et ma mère lui broutait le minou tout en lui doigtant le trou du cul

 

– Ah, te voilà enfin me dit Laticia. Viens près de nous, on va s’occuper de toi mon grand.

 

Je me couche à côté d’elles, mon sexe est hyper tendu. Voilà Laticia qui me change de capote. Les voilà toutes les deux en train de me sucer la bite à tour de rôle. J’essayais de penser à autre chose pour faire durer le plaisir mais en vain, j’ai dû leur demander d’arrêter sinon j’allais jouir.

 

Elles se sont donc remises l’une sur l’autre à côté de moi. Ma mère était sur Laticia, elle lui léchait, lui suçait les seins. Je ne participais plus, j’étais devenu spectateur de cette scène de gouines. Voir ma mère comme ça, c’était géant ! Je les ai regardé se manger pendant au moins 5 minutes avant de revenir à l’action. Ma mère était couchée, Laticia était sur elle et me dit :

 

-Tu sais ce qui serait bien mon grand, c’est que tu fasses l’amour à ta maman et que tu jouisses en elle.

 

Maman m’enleva ma capote et se mit à quatre pattes au-dessus de Laticia. Elle suçait les gros bouts de maman pendant que je la pénétrais, c’était torride!

 

– Peut-être que tu aimerais qu’il t’encule ? Demande Laticia à ma mère

– Oui, oui !

 

J’ai changé de trou et j’ai joui comme un fou dans son cul, et quand j’en suis sorti ma mère m’a nettoyé la bite avec délectation..

 

Crevés, nous avons fini par une embrassade à trois langues. Maman a remercié Laticia qui s’en est allée à minuit avec notre secret. Je me demande maintenant ce qu’elle est devenue et si elle fait encore ce métier.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 16:34

Ma mère est un peu pute par Irenée Vardin

Stamp Mature Sodo

Salut ! Je suis Marc, j’ai 25 ans et j’habite encore chez maman, Nous ne sommes que tous les deux à la maison.

 

Par une belle journée d’été, la clarté du soleil causa mon réveil prématuré. Le cadran indiquait qu’il était à peine sept heures du matin. Je m’aperçus que ma mère avait remarqué que je dormais tout nu, car quand j’ai regardé vers ma porte et je l’ai vu s’enfuir. Comme j’étais excité, je décidais de rester nu un bout de temps. Je me promenais dans ma chambre, je suis allé vers ma commode pour commencer à m’habiller. Ma mère est rentrée dans ma chambre, elle est restée un peu surprise de me voir tout nu. Je voyais ses yeux qui regardaient mon pénis, ses yeux s’illuminaient et je savais que je l’excitais.

 

Elle me dit :

 

– Marc, tu sais que je ne suis pas faite en bois, toi tu es jeune et beau et je suis ta mère.

– Oui mais maman j’ai le droit d’être nu, je n’ai pas honte de mon corps.

– Justement tu es mon fils et en ce moment tu as sûrement remarqué que j’étais excitée.

– Oui, mais j’aime être nu.

– Je sais, moi aussi j’aimais être nue, mais ça fait tellement longtemps de ça. Et ça fait longtemps que je n’ai pas baisé.

– Ok, je vais essayer de faire attention à l’avenir.

– Merci chéri.

– Bon je vais aller prendre mon bain.

 

J’étais dans le bain, je pensais à ma mère qui m’avait surpris tout nu et puis là j’ai commencé à me masturber lentement. Je pensais à elle comme si elle était à côté de moi à me regarder me masturber. Je l’imaginais, assise sur la cuvette des toilettes qui me disait : vas-y, touche-la ta queue, n’es pas peur de te branler, caresse-toi les testicules tout en te branlant. Comme j’allais venir, je l’entendais me dire : éjacule pour maman, éjacule pour ta mère. Puis là j’ai eu un gros orgasme intense, par la suite je me suis relaxé dans le bain, c’était tellement bon. Pendant le reste de la journée j’y pensais encore. Le soir venu, je me suis dévêtu et je suis allé me coucher.

 

Le lendemain sans même y penser, je me suis levé pour aller m’habiller et puis tout à coup ma mère m’a encore surpris mais cette fois-là j’étais tellement bandé, l’érection matinale, la queue gonflée au maximum. Elle m’a dit :

 

– Ah non, Marc, cette fois j’ai trop de mal à résister. Une queue bien bandée, jeune et en plus celle de mon fils. Hé ! En plus de cette belle flèche t’as des belles testicules.

– Maman ce n’est pas de ma faute si j’ai une érection, tu n’as qu’à pas regarder.

– Facile à dire mais difficile à faire pour une femme de mon âge.

– Même si tu es dans la quarantaine, tu es encore belle et tu attires sûrement les garçons de mon âge.

– Comment peut tu en être si sûr?

– Est-ce que je peux te parler en toute franchise?

– Mais oui fiston vas-y.

– Je ne les ai pas vraiment vu mais je peux constater que tu as de jolis seins, de belles fesses pas trop grosses et sûrement une belle grosse chatte juteuse.

– Oh, j’aime comment tu me décris, merci.

– Il y a une chose que j’aimerais beaucoup te demander, tu vas peut-être trouver ça stupide.

– Vas-y chéri, n’ai pas peur.

– OK. Je voudrais que ce soit toi qui me rase les poils pubiens et les testicules, j’ai confiance en toi et c’est toi qui est ici en ce moment.

– Je pensais pas que tu me demanderais ça à moi, je veux dire à ta mère, mais si ça peut te faire plaisir en une quelconque manière, je suis d’accord.

– Merci maman. Est tu sûre que tu pourras résister ?

– Non, je suis pas sûre mais je vais essayer.

– Est-ce qu’on peut le faire avant que je prenne mon bain?

– Oui, va te préparer j’irais te rejoindre.

 

Je suis allé dans la salle de bain, je me suis dévêtu et je me suis assis sur la cuvette des toilettes. J’étais excité à l’idée que ma mère allait me raser la queue. Après deux ou trois minutes ma mère est arrivée dans la salle de bain avec le rasoir électrique. Elle s’est mise devant moi à genoux et ma dit de m’écarter les jambes. Elle a commencé à me raser, je voyais qu’elle allait un peu vite car elle avait du mal à résister. Pour me raser les testicules, elle a dû prendre mon pénis dans sa main et le soulever. Là je sentais que j’allais bander mais j’essayais de me retenir. J’ai commencé à bander, ma mère avait presque terminé, et elle a pu sentir ma queue en érection entre ses doigts. Elle m’a dit que je pouvais prendre mon bain et elle est vite partie.

 

Je me suis fait couler un bon bain chaud, pendant ce temps je me suis regardé dans le miroir. J’examinais ma queue fraîchement rasé, je la trouvais différente mais elle me donnait envie de me branler . Alors je suis entré dans la baignoire, j’ai commencé à me masser les testicules lentement. J’ai fermé les yeux et j’ai commencé à me masturber en pensant à mère. J’imaginais que je la voyais dormir nue, alors je me suis approché d’elle, j’ai poussé un peu la couverture pour apercevoir une belle grosse chatte. J’ai approché le visage tout près pour pouvoir la sentir, elle sentait si bon et cela m’excitait au maximum. Quand j’ai frotté mon doigt contre ses lèvres, je sais pas pourquoi mais j’ai ouvert les yeux, j’ai eu une belle surprise. Ma mère était juste là, en train de me regarder me masturber, j’avais les jambes écartées, la main autour de mon pénis en érection, l’autre main qui me tenait une fesse et un peu de sperme sur le bout de mon gland. J’étais tellement gêné, puis ma mère a dit que c’était pas grave , que je pouvais continuer à me donner du plaisir et qu’elle aimerait me regarder faire. Sans même y réfléchir j’ai répondu oui, ma mère est venue s’asseoir sur la cuvette des toilettes et s’et mise à pisser. Le bruit de son pipi m’a rendu fou et j’ai continué tout en regardant ma mère. Elle m’a dit :

 

– Vas-y chéri, fais-le pour maman !

– Oh maman, c’est bon, hum !

– T’aime ça te masturber en pensant à moi?

– Oh oui maman. T’aimes me voir me branler ?

– Oui fiston, tu m’excites tellement… Regarde les seins de maman.

– Oh maman ils sont superbes, caresse-toi les seins pour moi. Pince-toi les bouts…

– T’aime ça hein?

– Ah, j’en peux plus, je vais décharger.

– Attends, je veux goûter à ton foutre.

 

Elle colla ses lèvres sur mon gland et avala tout mon sperme. J’étais tellement content que ma mère ait voulu me regarder, je voulais rester avec ma mère aujourd’hui car je savais qu’elle serait tellement excitée, mais je devais partir travailler.

 

Le lendemain matin, je me suis réveillé, il était à peine huit heures du matin, on était le jour de la Saint-Valentin. Je me suis aperçu que quelqu’un avait enlevé les couvertures et que j’avais dormi tout nu aux yeux de tous. Ma mère était dans le bain, alors je me suis habillé pour aller au tabac acheter des cigarettes. Quand je suis revenu, je suis allé dans ma chambre regarder la télé. À neuf heures ma mère est rentrée dans ma chambre et elle m’a dit que je méritais d’avoir mon cadeau de la Saint-Valentin. Je lui ai demandé ce que j’allais avoir, elle m’a dit de lui faire confiance. J’étais étendu sur mon lit, elle s’est approchée de moi, elle m’a enlevé mon tee-shirt. Elle m’a déboutonné mon pantalon pour me le retirer. Elle a baissé mon boxer pour dévoiler mon pénis, j’étais encore tout nu devant elle. Elle me dit :

 

– Enlève mon soutien-gorge, Marc !

– OK maman. T’as de beaux seins.

– Merci, enlève mon jeans maintenant et mon string.

– Ta chatte est tellement belle et elle sent bon.

– Bon, maintenant laisse-moi faire.

 

Ma mère prit ma queue entre ses doigts, elle bandait dur, elle me masturbait lentement. Je ne pouvais pas y croire, ma mère était en train de me branler. Elle ouvrit la bouche et me confia :

 

– Cela fait tellement longtemps que je souhaitais avoir cette belle queue entre mes doigts.

– Je sais maman, mais maintenant tu peux quand tu veux.

– Est-ce que t’aime que maman te masturbe?

– Oh oui, continue, frotte-moi le gland.

 

Sa min passa derrière moi et je sentis un doigt me pénétrer l’anus.

 

– Tu aimes ça ?

– Oui, maman, c’est très bon !

 

Après quelques minutes.

 

– Ho maman, je crois que je vais venir.

– Vas-y mon fils, décharge pour moi.

– Hum! Hum! c’était bon, j’adore quand tu me masturbes.

– Je sais que t’as aimé ça. Maintenant c’est à mon tour d’avoir du plaisir. Tu vas me doigter la chatte.

– Avec plaisir maman.

 

Je me suis mis à genoux devant elle, je lui ai dit de s’écarter les jambes. J’ai levé ses jambes en l’air et j’ai mouillé mon doigt, je l’ai approché près de ses lèvres inférieures et je l’ai enfoncé dans sa chatte lentement jusqu’au fond. Par la suite j’y ai introduit une deuxième et même un troisième doigt avant qu’elle me dise :

 

– Ah, mets ta langue dans ma chatte, pénètre-moi avec.

– Est-ce que c’est bon comme ça ?

– Ah oui chéri, continue.

– Ta chatte est toute juteuse.

– C’est normal, je vais venir. Ah, je jouis…

 

On a repris de nos esprits, on s’est détendu. Quand je me suis réveillé, il était temps d’aller travailler. Il était onze heure du soir quand je suis revenu à la maison.

 

J’ouvre la porte, je vais vers le salon, je n’ai vu personne dans la maison. Je suis allé dans ma chambre pour regarder la télé, comme il y avait rien de bon, j’ai décidé de mettre un film porno. Le film était commencé depuis dix minutes, à l’écran on voyait une femme dans la cinquantaine qui suçait un jeune homme. Tout à coup, ma mère était à la porte de ma chambre, elle m’avait surpris en train de regarder ce film de cul. Elle est rentrée, elle est venue s’asseoir à côté de moi sur le lit. Elle m’a dit que ce soir, elle voulait que ce soit spécial car elle savait que j’allais devoir partir demain pour un mois à cause du travail. Je lui ai dit :

 

– C’est une très bonne idée, moi aussi j’ai envie de passer la soirée avec toi.

– O .K. mais tu vas nous laisser ce film, car cela fait longtemps que j’en ai pas vu un.

– Maman, est-ce que t’aimerais qu’on commence par fumer un joint?

– Ouais, c’est une bonne idée, ça fait longtemps ça aussi.

– Bon ben ok je vais le rouler.

– Pendant que tu fais ça, je vais aller nous chercher deux grands verres de bière.

– Oui, c’est parfait.

 

J’ai eu le temps de rouler le joint avant qu’elle arrive et même un deuxième. J’ai vu ma mère arriver devant ma porte, elle s’était changée pour mettre sa robe de chambre. Elle tenait deux verres à la main et une grosse bière dans l’autre. Elle déposa le tout sur la table et retourna dans l’autre pièce. Quand elle est revenue, elle avait les main derrière le dos et me dit:

 

– Marc, enlève le film parce que j’ai une surprise pour toi que j’ai acheté hier.

– Ha oui, c’est quoi?

– Regarde, c’est un film porno. J’ai pensé que ça te plairait parce que c’est l’histoire d’une mère et de son fils. Alors on le met ce film ?

– Bien sûr . On fumera le joint en le regardant.

– Ouais, allume-le , moi je vais remplir nos verres.

 

Ma mère a mis le film dans le lecteur, moi j’ai allumé le joint et elle est revenue s’asseoir à côté de moi sur le lit. On fumait le joint et tout à coup le film à commencer c’était une mère dans le bain avec son fils qui pour l’instant se lavent mutuellement. Au bout d’un moment la mère se lève et se met à uriner dans la bouche de son fils.

 

– Oh, regarde ce qu’ils font ! Dit ma mère.

– Il a l’air d’apprécier !

– T’aimerais qu’on fasse pareil ?

– Je veux bien essayer.

 

Après quelques minutes le joint était terminé, on a alors commencé à boire la bière tout en finissant de regarder le film. Tout cela a commencé à vraiment nous exciter au maximum. Ma mère a commencé à détacher le cordon de sa robe de chambre et alors elle m’a dit :

 

– Regarde Marc, je porte pas de soutif,

– Maman , t’as les plus beaux seins que j’ai vu.

– Enlève moi mon string et je vais te déshabiller.

– T’est déjà toute mouillée.

– Regarde t’est pas mieux il y a des taches de sperme sur ton boxer.

– J’avoue tout ça m’a excité.

– Écarte toi les jambes je vais te sucer ce gros gland.

– Ah maman tu suces vraiment bien.

– J’aime avoir ta queue dans ma bouche, elle goûte bon.

 

Après dix minutes de suçage intense, je sentais que j’allais décharger alors je lui ai dit :

 

– Je vais décharger. Je peux plus me retenir.

– Vas-y je suis prête à tout avaler.

– Ça y est…

– Hum. J’adore avaler du sperme tout chaud, surtout quand il y en a autant.

– C’est à mon tour je vais te manger la chatte.

 

Elle s’est écarté les jambes, les a levés en l’air air et puis moi je me suis mis la tête entre ses jambes pour commencer à la manger. Là elle m’a dit :

 

– Attends, je vais faire une goutte de pipi.

 

Je me suis reculé, ai attendu un instant et elle m’a fait pipi dans la bouche, j’ai trouvé ça très gouteux, puis j’ai recommencé à la lécher

 

– Ha ! c’est tellement bon, met-moi ton doigt dans l’anus. Lèche-le un peu avant

 

J’ai léché le petit trou de ma mère, il goutait bon, puis, j’ai fait entrer mon doigt dans son anus, elle a gémit de plaisir tout en se faisant aller le bassin de plus en plus vite. Elle m’a demandé de lui en mettre deux de plus dans le cul. Elle aimait tellement ça, et en voulait de plus en plus. Après vingt minutes, elle m’a dit qu’elle allait couler à flot.

 

Puis elle a eu plusieurs orgasmes. On s’est dit qu’on reprendrait nos esprits en regardant la fin du film. Après un vingtaine de minutes, on était toujours tout nu, j’ai proposé qu’on fume l’autre joint qui restait. Elle m’a dit que cela nous remettrais d’aplomb. Dès que le joint a été terminé, elle a sortie de sa poche de robe de chambre, une capote. Elle me l’a enfilé sur la queue, puis elle s’est mise à quatre pattes sur le lit et ma dit :

 

– Marc met ta queue dans ma chatte, jusqu’au fond.

– Ah, ça faisait longtemps que je rêvais de ça.

– Va un peu plus vite.

– Comme ça, est-ce que c’est bon ?

– Ho oui c’est parfait, continue.

 

Pendant plusieurs minutes je l’ai pénétré, jusqu’à elle sorte un vibrateur de la poche de sa robe de chambre. Elle m’a demandé de lui mettre dans le cul. Après je l’ai enlevé pour y insérer ma queue.

01 RENATE MILADA BERNA

– Oh, oui, mon chéri, tu m’encules, c’est si bon !

 

La partie de jambes en l’air a continué une bonne partie de la nuit.

 

Le lendemain, le téléphone a sonné, c’est ce qui m’a réveillé. C’était mon ami Frank qui voulait que je passe cher lui pour l’aider à réparer son auto. Je lui dit que je serais là dans une heure. Je me suis retourné et j’ai aperçu ma mère qui dormait encore. Elle était la toute nue, je pouvais voir sa belle chatte poilue. Je l’ai réveillé pour savoir si elle voulait qu’on prenne une douche ensemble. Elle m’a dit qu’elle voulait encore dormir un peu mais qu’à mon retour se serait encore mieux que la douche. Je suis donc parti chez mon ami.

 

Presque toute la journée on a réparé son auto et on a discuté de nos baises les plus récentes. C’est ce qu’on a souvent comme discussion. Et sans faire attention j’ai parlé de la baise que je venais d’avoir. Il arrêtait pas de me demander avec qui c’était alors je lui ai dit :

 

– C’est ma mère. Mais t’en parles à personne.

– Ouais, ouais, je te crois pas.

– Tu veux parier ?

– Ouais mais comment tu vas me le prouver?

– Tu verras bien et si je dis vrai tu me devras 100 balles

– Pari accepté.

 

On s’est vite dépêché de tout ranger et puis on est parti cher moi. Sur le chemin, il arrêtait pas de me questionner sur ce que j’allais faire pour pouvoir lui prouver. Je lui ai dit de me faire confiance. Rendu cher moi, ma mère était assise dans le salon alors on est allé la rejoindre.

 

On s’est assis et ma mère nous a servi chacun un verre de bière. On a commencé à discuter de tout et de rien, après une trentaine de minutes, j’ai parlé à ma mère dans le creux de l’oreille, lui ai expliqué ma gaffe et mon pari.

 

Ma mère m’a dit tout bas qu’elle allait arranger ça. Elle dit tout haut :

 

– Comme ça, t’aimerais me voir sucer mon fils ?

– Oui j’aimerais bien voir ça.

– Donne-nous chacun cinquante euros et je vais commencer.

 

Mon ami n’en revenait pas encore, il était pas tout à fait convaincu, jusqu’à ce que ma mère m’enlevé mon pantalon, puis mon boxer, pour dévoiler mon pénis. Elle le frotta un peu jusqu’à ce que j’aie une érection, puis là elle a commencé à me sucer, que c’était bon. Pendant environ dix minutes elle ma sucé, je ne pouvais plus me retenir et elle a tout avalé. Puis elle a dit à mon ami.

 

– On dirait que ça t’as fait bander, Frank ?

– Oui madame !

– Alors redonne-moi 50 euros et je vais te sucer aussi.

 

Il donna 50 euros à ma mère et elle commença à le sucer, puis il dit :

 

– J’aimerais vous voir toute nue !

– C’est un peu plus cher.

 

Elle se mit toute nue et continua à le sucer, un moment elle s’arrêta et me dit :

 

– Elle très bonne la bite de ton ami, tu veux goûter ?

– Maman , je ne suis pas pédé !

– Je sais, mais c’est juste une fantaisie, goute.

 

Je pris le pénis de mon ami dans la bouche et je le suçais un peu. Puis nous l’avons sucé alternativement jusqu’à ce qu’il décharge et que Maman lui avale son foutre.

 

Une fois Frank parti ma mère regarda les billets qu’il lui avait donné d’un air contente.

 

– J’ai sucé pour de l’argent, j’ai fais la pute, ça ne te choque pas ?

– Non, maman, t’es une gentille pute.

– Et toi t’a aimé lui sucer la bite ?

– Oh oui !

– Tu recommenceras !

– Oui !

 

FIN

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 08:43

Mais… quel était donc le titre de ce film ? par Irénée Vardin

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Mais… quel était donc le titre de ce film ?

 

C’était il y a quinze ans.

 

Ce soir-là, le temps était tellement maussade que nous n’avions absolument pas envie de faire quoique ce soit lorsque le téléphone résonna dans le salon. Nicole répondit d’une voix morne se demandant probablement qui pouvait bien appeler par une soirée semblable. La pluie tambourinait sur les vitres du salon tandis que le vent sifflait dans les arbres devant la maison.

 

C’était François, un de mes collègues de travail avec qui je m’entends bien. Nicole le trouve très séduisant, comme à peu près toutes les femmes, et j’en suis entièrement conscient. Je sais très bien que les deux se sentent sexuellement attirés l’un vers l’autre. Il s’était récemment séparé de son épouse et il trouvait les soirées longues à l’occasion. François, tout comme Nicole d’ailleurs, est un amateur de cinéma et la raison de son appel était de nous inviter à voir un nouveau film présenté au centre-ville.

 

Nous avons alors accepté son invitation. Je décidai alors de prendre une douche avant de partir et Nicole vint bientôt me rejoindre. Je ne me lasse jamais d’admirer son corps superbe. Ses seins, quoique modestes sont fermes et auréolés de mamelons roses très pâles. Ses jambes sont longues et effilées et ses fesses sont probablement les plus belles qu’il m’a été donné de caresser dans ma vie. Lorsque je tentais de la caresser sous la douche, c’est avec un sourire en coin et un petit éclair dans les yeux qu’elle me pria de garder mes énergies.

 

Dans la chambre à coucher, alors que je me préparais à m’habiller, je tentais encore une fois de la toucher mais c’est avec un baiser rapide qu’elle me congédia sous prétexte que nous serions en retard à la représentation. Elle ferma même la porte de la chambre afin de s’habiller en toute quiétude.

 

Lorsqu’elle sortit enfin de la chambre, c’est avec émerveillement que je constatais à quelle vitesse elle était capable de changer complètement d’apparence. En effet, une demi-heure auparavant, je n’aurais jamais pensé la voir aussi ravissante.

 

Elle avait revêtu une jupe portefeuille verte ainsi qu’un haut un peu transparent que j’appréciais particulièrement. Nicole ne porte pratiquement jamais de soutien-gorge et il était possible de déceler les mamelons en érection caressés par le tissu soyeux. Elle partait les cheveux sur les épaules et ceux-ci, d’un blond foncé, reflétaient la lumière. Son maquillage discret ne faisait que souligner ses traits. Ses yeux brillaient d’une façon un peu spéciale mais je ne pouvais expliquer pourquoi. Sa beauté classique ne cessait de me séduire.

 

En route pour le cinéma, alors que je conduisais, elle me dit qu’elle me réservait une petite surprise pour la soirée et qu’elle espérait ne pas me décevoir. C’est un peu intrigué que je rejoignis donc François qui nous attendait dans le hall. Il embrassa Nicole sur les joues et nous échangeâmes une franche poignée de main. Il nous dit que le film était un peu érotique et qu’il espérait que cela nous plairait. La salle était presque vide et nous nous sommes dirigés vers l’allée de droite. Nous prenons place vers le centre de la salle et Nicole est assise entre François et moi. Peu après, les lumières s’éteignent et l’écran prend vie. Après les bandes annonces traditionnelles et souvent agaçantes, le film débuta.

 

Très rapidement, les scènes érotiques commencèrent à se répéter et je me sentais un peu excité.

 

Tout à coup, Nicole me souffla à l’oreille qu’elle se sentait bien entre deux hommes qu’elle trouvait à son goût et elle me prit la main ainsi que celle de François. Celui-ci nous regarda avec un certain étonnement qui se changea rapidement en sourire. Il approcha la main de Nicole de ses lèvres et y déposa un baiser à la fois chaste et sensuel. Nous échangeâmes alors tous les deux, un sourire complice.

 

Il y a longtemps que je savais que François excitait Nicole et je trouvais que le temps était peut-être venu de permettre à la femme que j’aime plus que tout au monde de vivre un certain fantasme. En croisant les jambes, Nicole permit alors à sa jupe de s’ouvrir et c’est alors que je constatais, en raison de la lumière dansante de l’écran, qu’elle portait des bas avec des jarretelles. Celle-ci sait combien je trouve ça excitant et je pus constater que François aussi appréciait. Nous pouvions en effet voir les cuisses gainées de noir et le début de cette chair au-dessus du bas. Nicole se tourna vers moi et m’embrassa. Je pus constater, à sa respiration légèrement saccadée, qu’elle se sentait excitée. Son baiser était sensuel et sa langue jouait avec la mienne. Sa main serrait la mienne et lorsque nos bouches se séparèrent, elle me souffla qu’elle se sentait très femme. François ne pouvait quitter les cuisses de Nicole des yeux. Cela m’excitait beaucoup de voir mon meilleur copain désirer ainsi ma femme. Je libérais alors ma main et la plaçais derrière Nicole et de ma main gauche, je commençai à lui caresser les cuisses, m’attardant surtout sur cette partie de peau si tendre et si soyeuse de l’intérieur de la cuisse.

 

Elle me regarda et je lui souris. Elle comprit alors que tout était permis.

 

Ma main remonta sur ses cuisses les dénudant jusqu’à la culotte noire de dentelle. Ce genre de culotte ne serre pas à l’aine et permet donc plus de liberté. Pendant que je la caressais ainsi, elle se pencha vers notre ami et l’embrassa farouchement. Celui-ci en profita donc pour approcher sa main de ses seins et, avec une certaine gêne, commença à les caresser. Très rapidement, il les avait dénudés afin de mieux les contempler, Il se pencha ensuite sur la poitrine offerte et embrassa ces seins arrogants tout en mordillant gentiment les mamelons. Nicole se cabra sous la caresse et commença à geindre. J’insérais les doigts dans sa culotte et constatais à quel point elle désirait faire l’amour. Sa chatte était déjà toute humide et je n’eus aucun problème pour trouver son clitoris que je caressais avec délicatesse.

 

Elle se tourna vers moi et murmura qu’elle nous désirait tous les deux. J’étais très excité. Elle put le constater alors qu’elle me prit le pénis à travers mon pantalon. Mon érection était très ferme et je fus encore plus excité lorsque je constatais qu’elle caressait également François de la même façon. Je l’embrassais goulûment et commençai à caresser ses seins. Je dirigeai alors la main de François vers sa chatte et celui-ci ne se fit pas prier. Je sentis Nicole soulever le bassin afin de mieux s’abandonner à la caresse et très rapidement, elle fut prise de soubresauts que je connaissais tellement bien. La jouissance la parcourait par vagues incessantes et elle ne put retenir certains gémissements. Les doigts de François ne cessaient de lui parcourir la chatte et c’est toute pantelante que Nicole le suppliait de ne pas cesser.

 

Avec une certaine dextérité, elle était parvenue à extraire nos pénis respectifs de nos pantalons.

 

Elle n’avait d’yeux que pour la bite de François qui est beaucoup plus grosse que la mienne. Je sentais monter en elle un désir qui m’était jusqu’alors inconnu. Son corps obéissait maintenant à toutes nos caresses et ses gémissements devenaient de plus en plus audibles. Je me rendis compte que la culotte de Nicole avait maintenant disparue et que la main de François et la mienne s’affairaient à tour de rôle sur son sexe offert. Elle tenait les jambes bien écartées afin de nous permettre de bien la caresser.

 

film

Alors que mon copain la caressait en introduisant trois doigts dans sa chatte et que je dégustais ses seins, elle eut un autre orgasme aussi long que le premier tout en continuant, tant bien que mal, à nous masturber, François et moi. Peu de temps après, elle nous supplia de cesser de la caresser pour quelques instants, Elle désirait reprendre ses sens pendant qu’elle continuait à nous caresser tous les deux à la fois.

 

Tout à coup, elle m’embrassa et me dit :

 

« Je suis très heureuse et je t’aime. François est en train d’éjaculer dans ma main et cela est formidable. Retournons à la maison. Je t’en prie. »

 

C’est en essayant de retrouver une certaine contenance que nous quittâmes précipitamment le cinéma. La guichetière nous regarda avec un certain sourire en voyant Nicole nous tenir par le bras tous les deux. Se doutait-elle de quelque chose ? François nous avait rejoint dans notre voiture et il en profitait pour caresser les seins de Nicole et l’embrassant passionnément durant tout le trajet. C’est donc encore tous excités que nous sommes revenus à notre appartement. Dès notre arrivée, par contre, Nicole prit le contrôle de la situation. Alors que nous désirions la déshabiller complètement afin de lui faire l’amour, elle nous repoussa gentiment en disant que c’était son tour de s’amuser un peu.

 

Elle commença par nous faire tenir debout tous les deux et nous enleva nos chemises tout en nous embrassant partout sur la bouche et sur la poitrine. C’était la première fois que je pouvais voir à ce point combien elle était belle lorsqu’elle avait le goût de faire l’amour. J’aimais la voir embrasser mon ami et le provoquer. Bientôt, elle nous enleva nos pantalons et peu après, elle entreprit de nous enlever nos caleçons. François et moi étions en érection depuis longtemps et elle se plaisait à se faire désirer. Lorsqu’elle m’enleva mon caleçon, elle prit ma bite dans sa bouche pendant qu’elle me caressait avec ses mains. La douceur de sa langue ainsi que la chaleur de sa bouche m’amenèrent rapidement à une excitation maximale. Je dû me retenir pour ne pas laisser aller ce jet de sperme immédiatement dans sa gorge et je lui retirais ma pine afin de profiter encore plus longtemps de cette folie érotique.

 

Elle se retourna donc vers mon ami et je pus constater le désir de Nicole lorsque le pénis de François fut enfin libre. Elle commença par le caresser lentement et délicatement avant de le lécher. Elle semblait sucer un bonbon longtemps désiré. Elle mangea ainsi mon copain durant plusieurs minutes. Elle nous fit enfin asseoir sur le divan du salon et commença à nous faire un strip-tease. Jamais je ne l’avais vue aussi sensuelle. Elle caressait ses seins en nous les offrant, mais ne pouvions toujours pas la toucher. Lorsqu’elle se défit enfin de sa jupe, elle ne garda que ses bas ainsi que ses jarretières.

 

Ses yeux pétillaient de désir en regardant nos pénis en érection et nous pouvions voir quelques gouttes de jus perler sur les poils de sa chatte.

 

Elle nous prit alors par la main tous les deux afin de nous conduire dans notre chambre. Nous ne nous sommes pas fait prier et nous voici donc tous les trois dans le lit. Nicole se retrouve rapidement entre nous deux et nous embrassons ses seins pendant que François lui caresse l’entrejambe. Tout à coup, mon copain descend le long du ventre de ma compagne et se retrouve rapidement la figure entre ses cuisses. Nicole se cabre lorsque la langue de François commence à lui lécher les lèvres. Celui-ci est très doux avec elle et je l’apprécie beaucoup. Je regarde le sexe de mon ami avec un certain trouble, à ce point que Nicole finit par s’en apercevoir, alors elle se débrouille pour approcher ce pénis bandé avec fierté de ma propre bouche. Elle demande à François

 

 » Tu veux bien qu’il te suce ? »

 

Il répond par un sourire, Nicole ne m’a rien demandé à moi, sans doute lut-elle dans mon inconscient, et me voici en train de faire une fellation à un homme et d’en ressentir une excitation incroyable. Nicole ne voulant être en reste s’empare alors de mon pénis qu’elle dévore avec appétit. Très rapidement, alors qu’elle me suce avidement, son corps est traversé de soubresauts typiques et je ne peux plus me retenir. Je jouis dans sa bouche en même temps qu’elle. Nous formons alors un curieux triangle, Nicole me suce, je suce François qui n’a pas pour autant cessé de la déguster et lorsque je me retire afin de prendre un certain repos, elle lui demande de venir sur elle et de la pénétrer. Je ne croyais jamais voir autant de plaisir sur son visage et rapidement, elle fut secouée de plusieurs orgasmes. François la pénétrait à la fois avec douceur mais aussi avec toute l’ardeur du mâle.

 

Tous les deux avaient longtemps retenu cette attirance sexuelle qui créait quelques fois une certaine gêne entre nous trois. C’était très beau de les voir et je ne fus aucunement jaloux. Au contraire, j’étais heureux de voir Nicole combler un fantasme et de voir mon meilleur copain être aussi doux avec la femme que j’aime. Et puis j’avais aussi réalisé un de mes propres fantasmes, un fantasme que je croyais enfouis dans mon inconscient mais qui ne demandait qu’à ressurgir à la première occasion

 

Nous avons ainsi fait l’amour toute la nuit sans jamais sentir notre désir s’atténuer et ce n’est qu’au petit matin que nous réussîmes à nous endormir. Le lendemain matin, Nicole vint me rejoindre alors que je prenais ma douche. Elle m’embrassa amoureusement en me remerciant pour la nuit la plus formidable de son existence et me dit :

 

– « C’était formidable de faire l’amour avec François mais tu es l’homme que j’aime ; ne l’oublie jamais. »

 

Peu après, notre ami nous rejoignait dans la douche. Fatalement nos corps se frôlèrent, et François et moi ne tardions pas à bander de nouveau. Irrésistiblement attiré par le sexe de mon ami, je le pris de nouveau en bouche, pendant que Nicole m’introduisait un doigt fureteur dans l’anus.

 

« J’aimerais bien que François t’encule ! »

 

Je ne sais ce qui m’excita le plus, cette proposition inattendue ou la crudité du propos, toujours est-il que je fis à mon ami l’offrande de mes fesses et que celui-ci me pénétra avec tact et douceur, tandis que Nicole les yeux exorbités se régalait du spectacle.

 

Voilà, j’ai voulu coucher sur le papier cette histoire inoubliable, il y en eu d’autres, mais le charme de la première fois a rendu ce souvenir tenace. Mais… quel était donc le titre de ce film ?

 

fin

 

Cette histoire publiée jadis sur le site de sophiexxx a été remaniée pour publication sur le présent site

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Irenée Vardin
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