Marie-France V

Vendredi 29 septembre 2023 5 29 /09 /Sep /2023 17:42

Souvenirs d’Afrique par Marie-France Vivier
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Il y avait déjà un an que j’étais en Abidjan et que ma vie s’écoulait lentement, au rythme africain, dans la chaleur et l’humidité étouffante. J’avais eu des aventures à l’insu de mon compagnon, avec Norbert, notre boy et les quelques malandrins qu’il m’avait présentés. Ma vie sexuelle était parfaite, je dominais Norbert et arrivais à le tenir à distance quand c’était nécessaire. Je lui laissais croire qu’il décidait des « parties » que nous faisions, prenant égoïstement mon plaisir. Une semaine que mon compagnon était débordé de travail et que moi j’avais deux jours à récupérer, il me suggéra de me rendre à la plage ! Je n’étais pas très enthousiaste, il le vit et me proposa d’en profiter pour sortir sur la périphérie d’Abidjan et de visiter les petits marchés de brousse. Norbert qui était en train de nous servir, se cru obligé de dire :

-Tu as raison patron, il y en a un de bien vers Adjamé !

Mon compagnon sauta sur l’occasion pour répondre au boy, qu’il devrait m’emmener là-bas.

– Si tu veux patron, on peut y aller cette après-midi, si Madame elle veut !

Je fus obligé d’accepter cette invitation forcée pour aller sous le soleil me traîner sur un marché de brousse plein d’odeurs plus ou moins agréables. Mon compagnon reparti à son travail, je m’habillais léger comme à l’habitude, chemisier, jupette et samaras aux pieds et nous partîmes, Norbert monta à côté de moi dans ma petite voiture, décidé à me servir de guide. Nous rejoignîmes Adjamé en une demi-heure. Le boy me fit prendre un chemin de traverse me garantissant que le village où nous allions, avait un marché réputé et qu’il y avait beaucoup de monde. Il en profita pour poser sa main, sur ma cuisse et la faire glisser jusqu’à ma petite culotte, un doigt triturant entre mes cuisses et faisant mouiller ma chatte par ce contact appuyé. Il rigola et à ce moment nous arrivâmes sur une grande place de village en terre battue. Animée par des dizaines de marchands et colorés par des piles de fruits et légumes exotiques divers. Je garais l’auto et descendis avec Norbert. Nous allâmes vers les étales colorés, il est vrai que le déplacement valait le coup d’œil, le boy s’écarta de moi et me dit qu’il avait aperçu des gens qu’il allait saluer, que j’en profite pour visiter et acheter des fruits et des légumes pour le patron ! Je tournais une vingtaine de minute dans ce labyrinthe végétal, seule blanche, détaillée par des centaines d’yeux et commençais à en avoir marre lorsque j’aperçu de loin Norbert qui revenait vers moi. Je poussais un Ouf ! Il me dit :

– Madame je viens de voir le chef du village qui est un oncle à moi, il nous offre quelque chose à boire si tu veux te rafraîchir-tu peux venir !

J’avais en effet soif et au moins un verre d’eau serait le bienvenu. Nous rentrâmes dans une case un peu à l’écart du village où se tenait un Africain d’environ 50 ans entouré de trois personnes, ses « conseillers » entre 35 et 45 ans. Au milieu de la pièce une table chargée de verres et d’un broc rempli d’un breuvage rouge orangé, mais certainement frais car plein de buée. Dans un coin un canapé recouvert d’un tissu de pagne en coton. Plus loin une paillasse à l’Africaine, en lattes de bois recouvertes d’un matelas lui-même enfermé dans un pagne de coton. On me salua avec déférence, et on me tendit un verre de cette boisson que l’on me présenta comme un sirop local, très régénérant et désaltérant lorsqu’il fait chaud. Je mis mes lèvres dans le verre sous les regards attentifs des quatre hommes et de Norbert qui insistait :

– Vas y goûte patronne, tu auras le tonus !

Le breuvage était frais et légèrement acide, ce qui devait sûrement désaltérer Je le bus avec plaisir et, l’on se dépêcha de me resservir un second verre, que je commençais à boire lorsque je ressentis comme une onde de chaleur monter en moi et envahir mon corps par l’intérieur, mon sexe me démangeait agréablement, j’étais d’un seul coup légère comme dans du coton. Je vis comme dans un nuage deux des noirs s’approcher de moi, me retirer ce qui restait de mon verre, et me proposer de m’asseoir sur le canapé, je les suivis en souriant et m’écroulais sur les genoux d’un des « conseillers ». Celui-ci entreprit de glisser sa main sous ma jupe, j’essayais de me débattre comme me le conseillait mon cerveau mais en même temps mon sexe, mon intimité, attendaient cette caresse, je me laissais faire voyant de loin les autres noirs rigoler et Norbert quitter la case après avoir encaissé une liasse de billets, le salaud m’avait droguée et vendue au village. Je sentis bientôt huit mains prendre possession de mon corps, s’infiltrer dans mes chairs, pétrir mes seins, me peloter m’embrasser partout où un carré de peau apparaissait. Les doigts et les mains s’activaient sur les tissus, déboutonnant qui un chemisier, qui une jupe, qui triturant une agrafe de soutien-gorge ou encore un élastique de slip.

Le résultat ne se fit pas attendre. Je fus bientôt mise à nu, chemisier, soutien-gorge, slip et jupe formaient un tas aux pieds du divan. Je sentais l’odeur forte des Africains qui devaient transpirer devant cette blanche offerte à leur excitation. Je fus mise debout et me retrouvais devant le chef du village, un « conseiller » derrière me tenant les bras, il me mit à genoux devant la queue du chef qui était d’une dimension impressionnante plus grosse et longue que celle de Norbert, je n’eus d’autre solution que d’ouvrir la bouche et absorber le membre d’ébène, étonné qu’un vieux puisse avoir un tel engin ! Je sentais monter en moi l’excitation, le sirop remplissait bien son rôle. Mes mains caressaient les couilles du vieux et ma bouche lui prodiguait une caresse qui semblait lui convenir.

Le « conseiller » voyant mes capacités, vint sur le côté pour profiter de mon action buccale. Maintenant je sautais d’une bite à l’autre, elles étaient belles et je mouillais de plus en plus. Bientôt l’on me redressa, droite devant les deux hommes un devant un derrière, le « conseiller » me fit courber devant le chef et m’enfonça deux doigts dans mon cul pour l’agrandir et plaça son gland de bonne dimension sur le sphincter qui fut forcé et pénétré sans autre forme de procès. Nous poussâmes tous les deux un « Oui ! » de plaisir, enfin j’étais prise, à fond, il fit quelques va-et-vient pour se placer au mieux de mes profondeurs, je sentais avec délice ses couilles battre sur ma chatte turgescente dans l’attente de la possession. Je sentis deux mains empoigner ma poitrine et me redresser devant le chef, toujours excité et bien droit, il présenta son gland devant ma chatte gluante et n’eut aucun mal à me défoncer jusqu’à l’utérus, je relevais mes jambes et les serrais dans le dos du chef qui investissait ma bouche d’une langue longue et chaude, comme sa pine. Je nouais mes bras autour de son cou. Je fus ballottée, envahie, pilonnée, durant de longues minutes à ma plus grande satisfaction, criant des insanités.

– Oui, allez-y à fond, encore, tapez à fond !!
– Tu aimes nos queues noires, petite salope de blanche ?
– Oui, elles sont bonnes !!.

Les deux hommes éclatèrent en même temps leurs plaisirs dans mon ventre et mes intestins, je sentis leurs jus inonder mon corps en longs traits chauds. Je me mis à jouir, comme folle, le ventre secoué de longues crispations de bonheur, ils me déposèrent sur le canapé, pantelante, ruisselante de leurs jus et de ma mouille mélangés, les cuisses largement écartées, mon intimité, dégoulinante de leurs foutres, livrée à la concupiscence des deux autres qui s’étaient mis à poils en attendant leur tour. Je me sentais bien et heureuse entre les mains de ces autres hommes, les deux autres s’approchèrent et me prirent à bras le corps pour me déposer sur la paillasse. Un des « conseillers » se glissa sous moi et me demanda de le chevaucher, je m’exécutais docilement, faisant pénétrer dans mon con regorgeant de sperme la longue tige noire offerte. Il m’attira brutalement sur sa poitrine pour laisser son coéquipier profiter de mon cul également dilaté et lubrifié. Il tenait fermement mes fesses englobées dans ses mains calleuses, écartant au maximum les deux lobes, livrant mon sphincter à l’excitation et l’agressivité du gland du second noir. Cette fois ci la pénétration fut encore plus facile, j’étais investie à fond et bientôt ils se lancèrent à l’attaque de mes trous qui étaient irrités par ces assauts et les nombreux va-et-vient subis. Je me mis à crier :

– Ouiii ! Salauds allez-y, profitez-en, j’aime ça ! Encore à fond cognez, ouiii c’est bon ! Faites cracher vos queues dans mon ventre !

Afrique
Ils intervertirent leurs positions et recommencèrent leurs coups de boutoir m’empalant à fond à chaque aller. Leurs mains malaxaient mes fesses et mes seins, j’étais complètement à leur merci, docile, consentante, et surtout ravie par toutes ses sensations qui remontaient de mon sexe jusqu’à ma gorge, me faisant crier de plus en plus. Excités autant par mes propos que par ce qu’ils avaient vu auparavant, ils ne purent se retenir plus longtemps et une fois de plus je fus délicieusement souillée par la liqueur des hommes fichés en moi. Ils se dégagèrent et me laissèrent en chien de fusil. Le fond de mon con et mon cul me faisaient mal tel un énorme bleu, ces quatre phallus d’une taille très au-dessus de la moyenne m’avaient bien visitée et baisée et laissée dilatée. Je voulus me relever pour m’éloigner de cette couche et de cette bacchanale, mais ma tête tournait et je retombais sur la paillasse. Le chef du village s’approcha et me dit de lui sucer sa bite, je m’exécutais devant le regard goguenard des « conseillers », pompant ce long et gros morceau de chair qui envahissait toute ma bouche et le fond de ma gorge. Mes mains s’activaient sur les couilles que je malaxais, le chef ne résista pas longtemps à ce traitement et je reçus, la tête coincée dans ses mains puissantes, les giclées de son plaisir. Je dus encore satisfaire les « conseillers » de mes caresses buccales, je reçus leurs spermes d’engins aussi imposants que celui du chef, sur la figure, les seins, le ventre, j’en étais inondée ! L’un des hommes avança sa bite vers moi , je me demandais ce qu’il voulait puisqu’il ne bandait plus, puis je compris qu’il allait me pisser dessus, j’ouvrais la bouche et me régalait de ce nectar, pendant que ses comparses s’approchaient pour pisser à leur tour Je n’en pouvais plus lorsqu’ils m’abandonnèrent 2 heures plus tard couverte de sperme et de pisse, les seins rougis, le con et le cul en feu, mais heureuse d’avoir fait la pute. Une vieille Mamma me rapporta mes habits, et une grande cuvette en alu, remplie d’eau fraîche, je me fis une petite toilette du visage et de la poitrine et ensuite intime, sous l’œil intéressé de la vieille qui n’avait sans doute jamais vu une chatte de blanche d’aussi près et qui vint y mettre ses doigts. Je me rhabillais en vitesse et courrais vers ma voiture où mon boy m’attendait assis, souriant :

– Alors Madame, tu as aimé, il paraît ? .
– Espèce de salaud je ne suis pas à vendre, ni ton esclave ! .
– Mais Madame, je sais que tu aimes te faire prendre par mes copains et eux aussi ils aiment se vider dans une blanche comme toi !
– Hum…
– Tu as jouis hein ? Dis patronne, avoue ?
– Oui, mais ce n’est pas ton problème ! Tu m’as droguée et donnée à je ne sais qui ! .
– Pardon Madame, demain je serais gentil avec toi.

Je l’espère bien, je peux ainsi le garder à peu près sous mon contrôle et faire avec lui ce que je veux. Nous rentrons sur Abidjan, moi au volant, Norbert caressant ma chatte sous le tissu !!! Plein de promesse pour demain .

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Samedi 12 février 2022 6 12 /02 /Fév /2022 15:09

Soubrette soumise par Marie-France Vivier
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Ce texte n’est pas ma plume, il s’agit d’une traduction-adaptation d’un texte anglais.

Etre exhibée dans un menu costume aux tissus transparents… Aux coupes trop courtes… Et aux côtés échancrés… Revêtir la peau d’une vraie soubrette et tout faire pour répondre aux moindres désirs de Monsieur, à ses moindres caprices, ainsi vêtue, le cul exposé aux regards, pendant qu’il reçoit des amis… Devoir faire le service, nécessairement être très polie et courtoise à l’égard des invités de Monsieur… être humiliée de la situation, rougir de gêne et sentir ma chatte qui coule… Avoir honte d’être excitée de la sorte… Tout faire pour éviter qu’il s’en aperçoive… Et qu’il me qualifie de salope avant de me traiter comme telle…

J’imagine facilement l’amusement qu’il prendrait à échapper un quelconque objet par terre et à me demander de le ramasser, m’obligeant ainsi à me pencher vers l’avant et à montrer mon cul dans sa totalité. J’imagine son plaisir au moment où je viendrais pour me relever et, que d’une main robuste, il me contraindrait à rester penchée, poussant sur ma tête pour m’obliger à rester pliée en deux. J’entends déjà les rires de ses invités qui se rinceraient l’œil, leurs commentaires à mon égard. Je sens même la mouille qui coule entre mes cuisses mais ça c’est vraiment réel et présent au moment où j’écris ces mots !

Et puis la voix d’un invité qui dit son envie pressante d’aller uriner, le regard de Monsieur qui s’illumine et ses mots qui tombent et qui me nouent la gorge…

– T’es ici pour servir… Alors va avec lui… Détache son pantalon… Et tiens sa bite pendant qu’il pisse !

La peur mélangée à la honte qui m’envahit… Me retrouver ainsi seule dans une pièce fermée avec un inconnu… L’humiliation de la position dans laquelle je vais me commettre. Je me vois agenouillée dans la salle de bain en train de sortir ce sexe mou de sa prison… Maladroite et tremblotante, je vois la silhouette derrière lui et je l’entends me dire de faire attention et de bien diriger le jet dans la cuvette, ce qui ne fait qu’accentuer ma nervosité… Le jet fuse et, par maladresse de ma part, vient atterrir sur le sol… Je lis la colère dans ses yeux et j’entends dans le trop calme de sa voix son mécontentement… Il empoigne mes cheveux fermement, me tire vers l’arrière et me dit que je devrai tout nettoyer. Il m’oblige à me mettre à quatre pattes et à lécher l’urine sur le carrelage…

– Lèche ! Nettoie comme il faut et totalement ! Salope… Cochonne… Souillon.. Traînée !

Une pluie d’insultes vient couronner la mauvaise posture dans laquelle je me trouve. L’humiliation qui me remplit, la honte et la peur… être ainsi invectivée en public et pourtant être excitée comme ce n’est pas permis !

Je lèche le carrelage, m’appliquant pour faire disparaître la moindre trace… Monsieur m’abandonne à mon sort, allant rejoindre ses invités… Je n’ose pas revenir… Morte de gêne et de honte… Craignant d’accentuer sa colère par ma simple présence… Je l’entends rire… Je reste seule dans les toilettes pendant une durée de temps qui semble s’éterniser, ne sachant plus quoi faire… Et n’osant surtout pas attirer son attention ou faire quelque bruit que ce soit.

Quand je lève les yeux, Monsieur est devant moi, imposant par sa stature, imposant par son regard… Regard de glace ! Visage déserté de sourire…

– A genoux salope ! J’ai envie de pisser mais cette fois, je ne risquerai pas de salir la céramique ! Ouvre la bouche et bois ! Si tu perds ne serait-ce qu’une seule goutte, tu serviras d’urinoir à tous ceux qui auront envie ce soir, je te le jure !

C’est le cœur battant la chamaille que je m’agenouille, que j’ouvre la bouche et tends la langue pour recevoir son urine… Urine que je bois, urine que je suce pour ne rien perdre, de peur d’être contrainte à en boire toute la soirée… Enfin un sourire sur son visage me rassure un peu… Puis il me dit de le rejoindre au salon, m’abandonnant encore une fois…

C’est la tête baissée et le regard fuyant que je les rejoins, me faisant la plus petite possible pour ne pas être remarquée, pour être inaperçue… Mais sa voix plus forte que la musique retentit !

– Ça mérite une correction salope ! Tu as manqué à ton devoir envers un invité ! A plat ventre sur mes cuisses et cul relevé !

J’hésite, osant espérer qu’il n’est pas sérieux, qu’il blague… Mais non !

– Tu préfères que je me lève et que j’aille chercher le fouet peut-être ?

J’obéis immédiatement, me retrouvant à plat ventre sur ses jambes…

– Relève ton cul !

Aussitôt une main vient se glisser entre mes cuisses… Ses doigts découvrent instantanément ma chatte… Diluvienne… Monsieur me présente ses doigts enduits de ma mouille…

– Qu’est-ce que c’est ça ?

Je bredouille, ne sachant que répondre…

Monsieur me fesse sans ménagement… Je sens les claques pleuvoir sur mon cul… Je sens mon fessier en feu… Je me confonds en excuses, l’implorant d’arrêter… Puis il m’ordonne de servir le souper… Ce que je m’applique à faire minutieusement… Après avoir déposé la dernière assiette sur la table, Monsieur me regarde, sourire aux lèvres… Je connais ce sourire en coin, signe qu’il n’a pas terminé avec moi ! Je baisse les yeux, cherchant un peu d’indulgence et j’entends…

– Prends la bougie dans le tiroir !

Je vais chercher la bougie… M’en voulant amèrement de n’avoir pas pensé à la mettre sur la table pour le souper… Au moment où je m’apprête à l’allumer et à la glisser dans le chandelier…

– Non ! Tu vas nous servir de chandelier ! Allez ! A quatre pattes, à côté de la table, le cul bien cambré… Tu t’insères la bougie dans le cul et je vais me faire un plaisir de t’allumer !

Tous s’esclaffent de rire… Tout le monde sauf moi bien entendu… Néanmoins, j’obéis redoutant de ternir la bonne humeur qui semble habiter Monsieur… Accroupie, le cul bien relevé, j’introduis la bougie…

– Plus profond ! Allez, pousse un peu !

Puis il vient allumer la mèche… Je sens les regards amusés qui me fixent… La cire qui dégouline jusqu’à mon anus… Je reste silencieuse et immobile… Le souper semble s’éterniser… Je sens mes genoux engourdis… Mes bras s’affaiblissent… La chaleur de la flamme se rapproche dangereusement de mon cul… Et pourtant, une seule envie obsède mes pensées : l’envie de me masturber encore et encore !

L’attente, j’entends des propos de plus en plus grivois… Monsieur éteint la mèche… On me fait me relever. Les invités sont debout les uns à côté des autres… les bites sortent de leur braguette… Je sais qu’il me va falloir les sucer…

Soubrette MFV
Je commence par la première, la plus proche de moi… je la masturbe un peu, puis la porte en bouche… mes lèvres et ma langue s’activent.

– Sois une vraie salope, fous-lui un doigt dans le cul ! Me dit Monsieur.

Très vite, il décharge… j’avale un peu et laisse couler le reste sur mon menton.

– Nettoie, il a la queue pleine de sperme.

Je m’acquitte de cette tâche… l’homme range son sexe, puis sort un billet de son portefeuille qu’il jette à mes pieds.

– Tiens, putain !

Je suis morte de honte… mais ma chatte est en feu…

– Ne t’essuie pas, reste comme ça, et suce son voisin.

Je suce, il veut aussi que je lui suce les couilles, puis le trou du cul, il m’énerve ce type ! Mais j’obtempère en bonne soubrette obéissante.

Son cul sens la merde mais peu me chaut, ce soir je ne suis que la salope de service.

Il veut ensuite m’enculer, je redoute ce moment, certains s’y prennent tellement mal. Je me demande dans quelle position il veut faire ça… Il me fait mettre en levrette ! Tant mieux, je ne verrais pas sa gueule !

Il m’écarte les fesses et entre en force. J’ai mal, je serre les dents. Heureusement l’homme est tellement excité que l’épreuve ne dure pas longtemps. Je pensais en avoir terminé, mais un autre prend sa place et contrairement au précédent semble vouloir prendre son temps.

Celui qui vient de jouir dans mon fondement me présente sa bite afin. que je la nettoie. Il a conservé sa capote polluée par ma propre merde. J’ai un instinctif mouvement de recul, il me gifle. Je suce en lui lançant un regard de haine. Il en retire sa capote et je lèche son sperme

C’est tout ? Oui ?

L’autre décule, se débarrasse de sa capote et se branle en m’aspergeant le visage de son sperme visqueux.

Ils ont tous joui, ils n’ont plus besoin de moi, je suis invité à débarrasser le plancher.

Je ramasse les billets gisants au sol et l’enveloppe que m’a réservée le maître des lieux.

J’ai bien gagné ma soirée, mais quels connards ! Ils ne sont pas près de me revoir. Heureusement que la plupart de mes clients ne sont pas comme ça.

Mais je n’ai qu’à m’en prendra qu’à moi-même, j »avais accepté ce scénario… et n’empêche qu’ils m’ont fait mouiller !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Samedi 4 septembre 2021 6 04 /09 /Sep /2021 18:13

Anne-Marie, dresseuse de vilaines filles par Marie-France Vivier
Domina

 

Bonjour, je me prénomme Isabelle et puisqu’il est de tradition dans une nouvelle érotique de se présenter, je vous propose ma description, Je viens de passer le cap de la trentaine, je suis blonde, (fausse) assez fine, un visage qu’on dit « intéressant’ avec un grand nez un peu pointu, j’ai des seins en forme de poires avec de grosse aréoles marron, et je fais du bonnet D. Je mesure 1,66 m et j’ai de très jolies fesses bien cambrées. Ma profession, on va dire qu’on s’en fiche, je suis divorcée et vis avec un garçon charmant très porté sur le sexe et très pervers. Nous sommes un couple se voulant libéré et j’ai ainsi appris des tas de choses avec dix ans de retard, je n’ai, je crois, pas beaucoup de tabou, mais il y a des choses que j’aime moins que d’autres. Ce qui me plait le plus, c’est de jouer à des jeux un peu maso.

J’ai lu sur Vassilia (j’adore !) leur conception du sadomasochisme ! Un simple jeu érotique qui peut aller très loin, mais disent-ils, quand c’est fini, c’est fini, on passe à autre chose… Cette façon de voir les choses s’oppose donc à l’esclavage permanent. Bon je serais assez d’accord à cette nuance près que j’aime faire durer dans le temps ma condition de masochiste, mais je concède que pour moi cela reste tout de même un jeu et qu’il n’y a pas que cela dans la vie ! Quand Eric veut me dominer, il commence toujours par les mêmes mots : « tu veux jouer ? ». Si je réponds non, il n’insiste pas.

Après tous ces prolégomènes le récit peut commencer

Ce soir-là après le dîner, je zappe sur le téléviseur qui ne nous offre comme d’habitude que des conneries. Eric me demande simplement :

– Tu veux jouer ?

Oui j’ai envie de jouer, je ne réponds pas, me lève du canapé et m’agenouille devant lui !

– Vas-y joue !
– Il y aura un gage si tu n’es pas assez obéissante, le gage ce sera de passer la soirée chez Anne-Marie.

J’ignore qui est cette Anne-Marie, mais je sais déjà que quoiqu’il arrive, j’aurais droit à ce gage. Pas grave, ça aurait même tendance à m’exciter.

Quelques jours plus tard, pomponnée et maquillée, je me suis donc présentée chez cette mystérieuse Anne-Marie à 19 h comme prévu.

Une belle femme mature aux cheveux auburn m’a ouvert, habillée avec une veste croisée qui lui couvrait juste les fesses et cachait une mini culotte blanche qu’elle avait d’ailleurs du mal à dissimuler. Mais ce qui m’a frappé de suite c’est l’inscription « bonniche » marquée au rouge à lèvres sur son front.

– Je suis Magda, la bonniche de Madame Anne-Marie ! Se croit-elle obligée de préciser.

Elle portait un soutien-gorge blanc à balconnets lui aussi à peine caché par sa veste, elle m’a fait un grand sourire de bienvenue, et m’a introduit dans le salon où se trônait Anne-Marie dans un fauteuil entourée de quatre autres femmes complétement nues et agenouillées.

Anne-Marie est une grande brune à lunettes coiffée d’un chignon strict. Elle était habillée d’un bustier noir en vinyle, d’une mini culotte de même couleur, des bas résilles et des escarpins de compétition. Elle est harnachée d’un gode ceinture très réaliste. Elle doit avoir une quarantaine d’années, peut-être plus. Une très belle femme. !

Elle me toise comme si j’étais une marchandise puis demande à Magda de me préparer.

On passe dans une pièce contiguë, Magda me fait me déshabiller complètement, dépose toutes mes affaires sur une même chaise, me passe un collier de chien autour du cou puis avec un tube de rouge à lèvres m’inscrit le mot « salope » sur mon petit front. Puis sans aucun ménagement elle m’accroche des pinces sur mes tétons, ça fait un peu mal, mais je supporte. On rejoint les autres,

– A genoux !

Je m’y met (comme les autres)..

– Bon, les filles, déclare Anne-Marie, vous êtes ici toutes sur l’ordre de vos compagnons ou de vos compagnes de jeux. Vous êtes majeures et consentantes et vous êtes ici pour mon seul plaisir, j’aime dominer les femmes et les humilier. Vous n’êtes pas dans un club féministe mais dans un club de femmes soumises. Vous n’êtes que des merdes et ici je vais m’amuser à vous rabaisser et à vous avilir, si ça ne vous plaît pas, autant partir tout de suite.! Vous allez être fouettées, livrées à des mâles en rut, il y aura de la pisse et peut-être de la merde. Encore une fois, les chochottes peuvent s’en aller, je ne retiens personne. Si pendant la séance la situation vous parait vraiment invivable, il y a un mot de sécurité, à prononcer trois fois ce sera « Chapelure ». Sinon on ne vous laissera pas sortir.

On se regarde toutes, personne ne souhaite s’en aller.

Elle nous passe en revue, nous demande qui nous a envoyé et ce que nous avons fait comme bêtises…

– A toi ! Dit-elle en désignant Sylvie, une petite brune aux cheveux courts et à la mine délurée.
– C’est mon père qui m’envoie, il m’a dit que je l’avais mal sucé !
– Et tu aimes ça sucer la bite de ton père ?
– Oh, oui, j’adore ! Il a une belle queue.
– Tu fais quoi d’autre avec ton père ?
– Il m’encule !
– T’es vraiment une morue !

Et dans la foulée la Sylvie se ramasse deux baffes.

– Toi, viens là ! M’ordonne Anne-Marie.

Je m’exécute.

– Tu es arrivée en retard ! Me dit-elle.
– Non, non ! Me défendis-je.
– Si je dis que tu es arrivé en retard c’est que tu es arrivée en retard, Tu n’es pas autorisée à me contredire .

Et elle accompagne ses propos d’une double paire de gifles complètement inattendue.

– Ouvre ta bouche.

Elle me crache dedans, plusieurs fois de suite.

– C’est une faute très grave que d’arriver la dernière ! Me dit-elle.

C’est complètement idiot, il faut bien qu’il y ait une dernière, mais puisque c’est un jeu…

– Fabienne, tu vas venir la corriger.

Fabienne est une jolie blackette aux très jolies formes.

– Commence par lui tordre les tétons ! Indique-t-elle à Fabienne.

Elle commence à le faire et sans ménagement, mais Anne-Marie l’interrompt.

– Non, t’es trop nulle, quand tu t’occupes d’une esclave, tu dois d’abord l’humilier, en lui crachant dessus, une esclave c’est de la merde, ça doit être traitée comme de la merde, tu dois la gifler, l’insulter.

Et c’est que la Fabienne, elle se prend au jeu, je reçois plein de baffes, elle me crache dessus, me traite de tous les noms, puis sur ordre d’Anne-Marie, me cingle de dix coups de badines qui me font très mal.

Ça commence fort , ce truc !

– Voilà, c’est mieux comme ça ! Commente Anne-Marie. Maintenant on peut prendre un petit apéritif avant de passer à autre chose. Sylvie prend des verres ! C’est là-bas ! Apporte aussi la bouteille de Porto.

Nous avons ensuite reçu l’ordre de nous assoir sur des tabourets de bar.

– Magda, sers-nous l’apéro ! Dit-elle en claquant des mains.

Magda, la bonniche, était à présent complètement nue, plutôt bien faite, avec seulement un petit tablier de soubrette, comme unique vêtement.

La soubrette pris la bouteille de Porto et servit Anne-Marie, elle reposa la bouteille, laissant les autres verres vides. Elle s’approcha d’Anne-Marie puis délicatement fit glisser le string dévoilant un pubis assez poilu. Elle se baisse, donne un petit coup de langue, puis va chercher un verre qu’elle pose devant sa chatte.

Anne-Marie pisse alors dans le verre devant nos yeux subjugués. Je comprends alors quel sera notre apéritif. L’opération est répétée pour chaque verre et à la fin Magda ouvre sa bouche pour absorber le « surplus » à la source.

– Allez chacune prend son verre ! A votre santé les filles ! Vous ne pensiez quand même pas que j’allais vous laisser boire mon Porto. Allez régalez-vous avec ma pisse, bande de petites salopes !

Je m’amuse un peu, pour moi l’uro n’a jamais été une corvée, mais ce sera la première fois que j’en bois dans un verre, je porte le verre à ma bouche, c’est de l’urine du soir, elle n’est pas trop forte, j’en bois une lampée.

Si Dorothée, une blondinette à la peau très claire, Sylvie et Fabienne, la jolie blackette semblent passer l’épreuve sans trop de mal, Géraldine, une grande perche au longs cheveux châtain en boucle, fait la gueule, avale avec difficulté les premières goulées, après ça va mieux.

Je m’aperçois que j’ai commis l’erreur de boire avec une complète décontraction, Anne-Marie m’interpelle :

– Si je comprends bien ce n’était pas vraiment une punition pour toi !
– Ben non ! Avouais-je.
– Alors tout à l’heure je te ferais lécher ma merde ! Mais maintenant séance de gode.

Magda, la boniche, s’est à son tour harnachée d’un gode ceinture. Dorothée et Fabienne sont désignées pour sucer ces bites factices recouvertes à présent d’une capote.

– Et maintenant, en levrette, les salopes, l’une face à l’autre, le gode vous allez l’avoir dans le cul !

Joli spectacle des deux nanas qui se font pilonner le cul en cadence.

– Embrassez-vous pendant qu’on vous encule, et ne faites pas semblant, je veux voir la salive dégouliner sur vos gueules de gouines.

Charmant…

Les deux filles se prennent au jeu, s’embrassent à qui mieux-mieux et jappent de plaisir.

Je repensais à la menace d’Anne-Marie, j’ignorais si elle bluffait. Cette perspective aurait pu me faire récupérer mes affaires et m’enfuir de chez cette bande de folles. Mais en fait j’espérai secrètement qu’elle ne bluffait pas, me disant que moi qui adore les humiliations, je serais servie, de toute façon la scato ne me révulse pas, ayant régulièrement nettoyé la bite d’Eric alors qu’elle sortait maculée de merde de mon trou du cul.

Les deux godeuses se retirent et obligent les filles à lécher les fausses bites encapotées. Il ne sont pas vraiment pollués mais le jus du cul, ça a tout de même un goût, les deux filles s’exécutent sans grand enthousiasme.

C’est maintenant au tour de Géraldine et de moi-même de passer à la casserole. C’est Magda qui se charge de me pistonner le cul. Géraldine paraît peu motivée pour me rouler une pelle, dommage, j’aime bien sa jolie frimousse. Sinon l’engodage ne me déplait pas et je me surprend même à jouir.

Viens le moment du nettoyage, le gode que j’avais dans le cul est ressorti pollué. Moi qui voulait être humiliée, je vais être servie, je fais emblant de refuser en espérant recevoir une baffe, ça ne rate pas. Je lèche le truc, j’ai maintenant un drôle de goût dans la bouche.

Sylvie attend son tour.

– Non pas toi, ça te ferait trop plaisir, on va tout de même pas foutre un gode dans le cul d’une pouffasse qui se fait enculer par son père.

Anne-Marie restait toujours très maitresse d’elle-même, même si son regard trahissait son excitation.

– Maintenant nous allons appeler les experts, Tom et Jerry, vous pouvez venir !

Tom et Jerry ? Je rêve !

Et voici que s’amènent deux grands blacks complément nus et montés comme des mulets.

– Allez, les gars, tâtez-moi la marchandise. Et vous les filles, vous vous laissez faire, vous n’avez aucun droit, vous n’êtes que des merdes.

On va finir par le savoir…

Ces types nous pelotent sans ménagement, et que je te malaxe un sein, une fesse et le reste. Les doigts s’aventurent dans les chattes et dans les trous du cul. On nous tire sur les pinces accrochées à nos tétons, on nous tape sur les fesses. Ils bandent joliment les « experts », si seulement je pouvais les sucer.

Au bout d’un moment Anne-Marie siffle la fin de la récréation.

Tom et Jerry se dirigent vers le fond de la pièce, et là notre hôtesse ordonne au premier de sucer la bite du deuxième. Tâche dont celui-ci s’acquitte sans problème et même avec une certaine gourmandise.

– Regardez bien les filles, regardez ces deux pédés, ils se sucent la bite, ils adorent ça et ils aiment bien se faire enculer aussi. Humm que c’est excitant de voir ça, ça me change de vos tronches d’esclaves.

Je vous dis, elle est charmante.

Faut dire que le spectacle a de quoi étonner, moi je trouve ça très troublant, très excitant.

– Maintenant on va faire un petit break, Fabienne et Sylvie vous allez sucer la bite de Tom. Isabelle et Dorothée vous sucerez Jerry. Et quand je dis sucer, c’est à fond, je veux voir le sperme dégouliner de vos bouches de putes. Quant à toi, Géraldine, tu te mets à genoux, tu attends que ça se passe, on s’occupera de toi après.

AM2

Un vrai régal que de sucer cette bonne bite que je partage avec Dorothée. Malheureusement le bonhomme ne tient pas la distance et trois minutes après il décharge dans ma bouche, Dorothée lui nettoie le sperme resté sur sa bite.

– Ne restez pas comme ça, avalez-moi tout ça, grosses putes ! Viens nous dire Magda en en profitant pour nous cravacher nos jolies fesses. Et maintenant que vous avez sucé sa bite, vous allez lui lécher son trou du cul, Allez, on ne fait pas la chochotte et s’il pue, tant mieux. Jerry t’as le droit de leur péter dans la gueule.

Manquait plus que ça, et c’est qu’il le fait, le salaud, je suis un moment envahi par une odeur pestilentielle, Ça ne dure pas heureusement. Mais quelle humiliation !

Magda nous demande d’embrasser Jerry afin de le remercier de nous avoir pété à la gueule. C’est en effet la moindre des choses !

Fabienne et Sylvie sont elles aussi venues à bout de la bite qu’elles suçaient de conserve..

Jerry a pour l’instant la bite demi-molle, Magda pisse alors dans un verre et demande à l’homme d’y tremper sa bite. Et c’est ainsi imbibée d’urine qu’il vient la proposer à la bouche de Géraldine.

Celle-ci souffle un bon coup, lève les yeux au ciel, semble hésiter. Anne Marie passe derrière elle et la cravache plusieurs fois.

– Alors tu la suces cette bite ou tu attends le printemps ?

Elle hésite encore.

– Et ne te plains pas, ce n’est que de la pisse ! ça pourrait être de la merde.! Qu’est-ce que vous en pensez les filles ?

On ne sait pas trop quoi répondre.

– Ben oui ce pourrait être de la merde ! Commente néanmoins Sylvie.
– Et tu ferais quoi ?
– Je lécherais.
– Bon, alors tu vois !

Géraldine ferme les yeux, ouvre la bouche et se gobe la bite du black. Passés les premiers instants, elle ne s’en sort pas si mal et l’homme rebande presque. Anne-Marie fait cesser l’opération.

– Passons à table, mes chéries ! dit-elle.

Magda apporte une grande tarte aux pommes, la dispose au milieu de la table mais ne nous sert pas.

– Occupe-toi de notre cette chaudasse d’Isabelle ! Lui ordonne Anne-Marie

La bonne est venue à mon côté, m’a invitée à me lever, puis, placée derrière moi, m’a caressé le dos, en suivant ma colonne vertébrale jusqu’aux fesses et m’a fait pencher sur la table. Puis elle a commencée à me les caresser, passant un doigt dans le sillon, son doigt s’arrêtait sur mon petit trou, le caressait, le pénétrait, le ressortait, puis continuait vers mon entre-jambes, s’arrêtant juste sous ma culotte, à l’entrée de ma vulve.

Anne-Marie a demandé à Sylvie de venir lui bouffer la chatte pendant qu’elle se régalait du spectacle dont j’étais pour le moment la vedette.

Chacune des filles fut invitée à venir m’embrasser les fesses et à me caresser. Toutes sont venues suivant les ordres donnés. Géraldine m’a juste embrassé furtivement une fesse, ce qui a provoqué la colère d’Anne-Marie qui lui a demandé d’aller au coin, lui disant qu’elle serait punie pour manifester si peu d’ardeur. Dorothée m’a longuement léchée les parties charnues et j’ai senti sa langue dans mon sillon et sur mon petit trou, pendant que Sylvie se régalait de mes tétons érigés, je crois que j’ai gémi un peu. Fabienne, la jolie blackette, après m’avoir embrassée les lobes, me les a écartés et sa langue est venue le long de mon sillon, j’ai senti un doigt sur ma vulve qui cherchait mon clito qu’elle a caressée, m’obligeant à ouvrir mes jambes. Sa langue allait entre mon anus et ma vulve et je devais être prête à jouir quand la bonne l’a arrêtée. Elle m’a relevée et après m’avoir fait assoir sur un siège en m’obligeant à tenir mes jambes ouvertes, elle m’a doigté jusqu’à ce que je jouisse.

En voilà une étrange façon d’alterner la soumission et la douceur !

Sur un signal d’Anne-Marie nous avons regagné nos places.

Magda découpe la tarte. Elle fait six parts, donne la sienne à Anne-Marie mais avant de distribuer les autres, crache dessus.

Fallait voir la tronche des filles, qui n’osent pas toucher à leur part de tarte, quant à moi on a visiblement « oublié » de me servir

Géraldine se lève courroucée !

– Je ne reste pas, je me barre ! Dit-elle dans une posture très théâtrale et en se dirigeant vers la sortie de l’appartement.
– Stop ! Les filles, rattrapez-moi cette pute et amenez-là moi.

Chic, on va rigoler !

On se jette à quatre dessus on l’immobilise malgré qu’elle se débatte avec rage..

On l’amène devant Anne-Marie qui commence par lui foutre trois baffes.

– Lâche-moi !
– On va faire la paix, lui dit Anne-Marie, nous allons nous embrasser et tu pourras partir.

Géraldine se demande s’il y a un piège ou pas ! Bien sûr qu’il y en un, elle a oublié de se servir du mot de sécurité, donc Anne-Marie ne la laissera pas sortir. J’ai hâte de savoir ce que notre hôtesse lui prépare comme vacherie.

Les deux femmes s’embrassent, puis Anne-Marie la gifle à nouveau.

– Maintenant je vais t’expliquer quelque chose : en s’embrassant on s’échange de la salive, et apparemment ça ne te gêne pas trop. Quand Magda crache sur le gâteau c’est aussi de la salive, il n’y a pas de différence… Alors maintenant ton gâteau, tu vas le bouffer, et par terre comme une chienne.

Et elle lui tire les cheveux pour la mettre en position.

– Magda, cravache-moi cette salope jusqu’à ce qu’elle ait terminé son gâteau.

Quelle humiliation ! J’envie sa place, mais je me dis que mon tour devrait venir, il n’y a pas de raison !

– Salopes ! Vous n’avez pas le droit ! S’égosille Géraldine en pleurnichant.
– On t’a envoyé ici pour te punir, alors ferme ta gueule, morue !
– Ça devait être juste un jeu !
– Fallait te renseigner mieux, alors tu la bouffes, ta tarte ?

Vaincue, humiliée, domptée, le visage en larmes, elle la termina, elle était plus forte que je ne l’aurais imaginé.

Magda ouvrit une tenture derrière laquelle était disposé deux croix de Saint André, Géraldine fut attachée à l’une d’elle.

Magda s’empare de sa cravache et se met à fouetter durement les fesses et le dos de la pauvrette qui s’ornent bientôt de trainées rougeâtres. La Géraldine crie et pleure, mais supporte. Après une vingtaine de coups, on la détache mais c’est pour l’attacher de face.

– Allez-y les filles, maltraitez là, giflez-là insultez-là, défoulez-vous.

On ne s’en prive pas, on la gifle, on lui crache dessus, on lui tourne les tétons avec les pinces, on la traite de tous les noms. Quelle humiliation ! Comme j’aurais aimé être à sa place.

– Vous vous rendez compte de ce que vous avez fait à cette pauvre fille, à votre tour d’être punies. Sylvie et Fabienne couchez-vous par terre sur le ventre, Isabelle et Dorothée fouettez les jusqu’à ce qu’on vous dise d’arrêter.

Je me suis acquittée de cette tâche avec grand plaisir, la Sylvie elle va se rappeler de moi ! Après cinq minutes de coups de cravache, on fait retourner les filles et on continue en ciblant les seins et le ventre, les filles sont en pleurs.

– Inversion des rôles !

Je l’aurais parié ! Me voilà par terre, ma victime est devenue bourreau, Mais c’est qu’elle me fait mal, la Sylvie, mes fesses se mettent à chauffer, je crie, je hurle, je piaille. Et quand on me fait retourner, c’est encore pire.

– Maintenant on va pouvoir retourner à table et déguster cette délicieuse tarte. Et on ne triche pas.

Sylvie, Dorothée et Fabienne prennent leur part et commence à grignoter.

Je vais pour attraper ma part qui est restée au milieu de la table.

– Non toi tu vas avoir droit à une garniture spéciale.

Anne-Marie monte alors sur la table s’accroupit au-dessus de ma part de tarte. Elle ne va quand même pas…

Ben si !

Un gros boudin marron sort de son anus et viens s’écrouler sur ma part de tarte.

Alors là, trop c’est trop, si elle m’oblige à bouffer tout ça, je me barre en utilisant le mot de sécurité.

J’ai maintenant l’assiette devant mes yeux.

– Je dois faire quoi ?
– Pour l’instant tu regardes ! Et tu me dis ce que tu en penses !
– C’est une jolie merde !
– Sens là !

Je me penche. Anne-Marie m’appuie sur le crâne, mon visage vient s’écraser sur la tarte. J’ai maintenant plein de caca sur le visage. C’est malin ! Cette salope pousse le vice jusqu’à prendre un peu de matière dans ses mains pour me l’étaler sur les seins.

– Regardez-moi cette salope d’Isabelle ! Se gausse Anne-Marie, elle est dégueulasse avec toute cette merde sur sa tronche et ses nichons de pute. Allez, vous autres approchez-vous venez la voir, ça vaut le coup d’œil !

Les filles arrivent, elles sont là devant moi, et j’ai l’air d’une conne.

– On ne va pas la laisser comme ça, il faudrait au moins lui nettoyer les tétons, Il y a une volontaire ?
– Je veux bien essayer ! Dit Sylvie

Tiens, tiens, mademoiselle a donc bien des penchants scatos ?

– Vas-y ! Lui dit Anne-Marie

La petite langue de Sylvie vient courir sur mon téton et en lécher la matière qui y était déposée. Sa tâche accomplie elle se recule très fière.

– Tu es une bonne petite pute, viens m’embrasser ! Lui dit Anne-Marie

Les deux femmes se roulent un patin, elles sont dégueulasses

– La suivante ! Ordonne Anne-Marie.

Dorothée et Fabienne se regardent, pas trop motivées, finalement c’est la blackette qui s’y colle

– Il reste un téton à nettoyer, Lui précise Anne-Marie

Fabienne donne un premier petit coup de langue très timide, puis de façon assez inattendue se prend au jeu et se met à me lécher avec avidité Elle devait avoir des prédispositions cachées

– Alors c’est bon ? Lui demande Anne-Marie
– Spécial, mais pas mauvais.
– Embrasse Isabelle !

Fabienne me roule un patin, avec le goût de la merde d’Anne-Marie dans la bouche Je suis honteuse de devoir subir une telle chose, mais ça me fait mouiller…

C’est au tour de Dorothée qui vient me lécher rapidement quelques traces sur mes seins, mais on sent bien que ce n’est pas son truc

Sur un signe d’Anne-Marie, Magda vient détacher Géraldine et la fait s’approcher de moi.

On se regarde toutes, il paraît évident alors que l’on va aller au clash, la Géraldine n’acceptera jamais de faire ce qu’on va lui ordonner. Reste à savoir comme ça va se passer.

– Tu sais ce que je vais te demander ! Lui dit Anne-Marie
– Oui ! De lécher ta merde !
– Très perspicace ! Et tu vas le faire ?
– Oui, madame, je vais essayer

On est sur le cul, on s’attendait pas à une telle réaction de sa part . Il me reste du caca sur le nez et sur les seins, elle se met à lécher tout ça en fermant les yeux, on voit bien qu’elle se force, mais elle ne lâche pas le morceau (c’est le cas de le dire).

Elle se recule toute contente !

– J’y suis arrivée, j’y suis arrivée. Clame-t-elle.
– Tu n’as pas encore léché ton gâteau ! Me fait remarquer Anne-Marie.
– Je vais le faire…

Je ne vais quand même pas être la seule à me dégonfler.

– Non, finalement on va faire mieux que ça, Magda va s’occuper de toi, couche-toi par terre et garde la bouche ouverte.
– Ah non pas ça !
– Si, si !

Je me couche ! Magda viens s’accroupir au-dessus de mon visage, un magnifique étron sort de son charmant trou du cul.

Il me tombe sur le visage, on vient de me chier sur la tronche, jamais je n’avais été autant humiliée. c’était bien la peine de me faire nettoyer le nez, le voilà de nouveau tout cacateux.

– Un grand nez comme ça ! C’est fait pour être enduit de merder ! Des moque Anne-Marie

Magda et Anne-Marie viennent ensuite prélever l’étron et s’amusent à en badigeonner le visage des quatre filles, nous avons ensuite été invitées à nous embrasser goulument les unes les autres.

Mais ce n’était pas fini.

Anne-Marie nous a fait nous mettre en rang d’oignons puis elle a rappelé Tom et Jerry.

– Bon, vous deux, pour vous remercier de votre collaboration vous allez pouvoir enculer deux de ces putes, mais comme ce sont des putes, il faut payer. Choisissez!

Tom me choisit, Jerry choisit Géraldine. Il sont allés chercher des sous qu’ils ont donné à Géraldine, puis nous avons été invitées à nous mettre en levrette. Et les deux blacks nous ont enculés, pendant ce temps Anne-Marie se faisait bouffer la chatte par Fabienne, tandis que Magda harnachée d’un gode ceinture sodomisait Sylvie, laquelle en profitait pour faire minette à Dorothée.

Quelle orgie mes amis.!

J’ai joui comme une malade, Tom est sorti de mon cul, il a enlevé la capote et m’a fait lécher sa bite pleine de sperme.

Je me sens bien, mais bien !

Mais ce n’était toujours pas fini !

– Et maintenant , la vedette de la soirée ! Dit alors Anne-Marie. Tom va chercher Droopy.

Ah ? Qui c’est celui-là.

Et revoilà le black qui se ramène en tenant en laisse un grand labrador noir. A tous les coups Anne-Marie va nous obliger à sucer la bite du chien. Non seulement je me sens capable de le faire, mais j’ai envie de le faire..

Anne-Marie nous fait assoir les unes à côté des autres et nous demande de bien écarter les cuisses. Je suis au milieu entre Géraldine et Sylvie, Fabienne est complètement à gauche et Dorothée en première position.

Anne-Marie emmène le chien entre les cuisses de cette dernière qui se laisse faire en fermant les yeux. Ce dure peut-être deux minutes, Anne-Marie décale le chien, ça va être le tour de Géraldine.

– Non, pas moi !
– Tais-toi, morue !

Elle fait le geste de se lever.

Isabelle, Dorothée, maintenez-la et empêchez là de gigoter !

Vaincue, mais renonçant à l’usage du mot de sécurité, Géraldine se laisse lécher la moule par le chien. Elle ne tarde pas à pousser des jappement de plaisirs.

– Alors ? lui demande Anne-Marie
– C’est trop bon, mais j’ai honte, honte !
– Ben faut pas !

En suite ce fut mon tour, puis celui de Sylvie et de Dorothée.

Anne-Marie couche le chien devant nous et lui tripote la bite jusqu’à ce qu’elle émerge de son fourreau. Elle le suce un moment semblant se régaler de ce cylindre de chair rouge.

– Une volontaire pour sucer, où faut-il que ce soit moi qui désigne l’une d’entre vous ?

On se regarde toutes, j’ai envie d’y aller, mais Sylvie aussi.

On a donc sucé la bite du chien toutes les deux ensemble.

images (1)Géraldine a pris le relais après avoir respiré un grand coup mais n’a pas fait trop durer, Fabienne l’a imité, Quant à Dorothée, après avoir pointé une langue timide, elle s’est prise au jeu et la sucé pendant quelques longues minutes.

– Vous êtes vraiment des chiennes. Attention pour le bouquet final.

Anne-Marie tire un petit papier dans une soucoupe et le déplie.

– Isabelle, en levrette, Droopy va te couvrir !

Ben oui, au point où j’en suis… Mais je n’imaginais pas que le clébard me procurerai une série d’orgasme à répétions.

On frappe !

C’est quoi encore ?.

Magda va ouvrir, un bonhomme fit son apparition.

– Bonjour la compagnie, je viens récupérer ma fille.
– Elle a été parfaite, souhaitez-vous qu’elle vous suce la bite, maintenant ? Devant tout le monde ?
– Avec plaisir !

L’homme sortit sa bite de sa braguette et Sylvie vint alors sucer la bite de son père devant la petite assistance..

Voici donc une histoire qui au lieu de se terminer par un mariage se termine par une bonne pipe ! C’est mieux, non ?

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Samedi 7 août 2021 6 07 /08 /Août /2021 19:02

Le Maître par Marie-Paule Perez

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Je marchais à vive allure, faisant bien claquer mes talons et onduler mes hanches, saisissant au passage les regards des hommes et des femmes que je croisais. J'avais pris sans m'en rendre compte l'habitude d'adopter cette démarche arrogante, à mi-chemin entre la princesse et la putain, lorsque je me rendais à mes rendez-vous. Arrivée devant la cathédrale qui était le lieu convenu, je m'adossais à une arcade, et, la griserie de ma promenade redescendue, grillais nerveusement une cigarette en sentant se former au creux de mon ventre la boule bien connue. L'attente décuplait mon excitation, je serrais contre moi l'imperméable qui me tombait aux genoux et dissimulait ma tenue de pute. Bientôt une voiture s'arrêta et mon bas ventre se liquéfia en voyant le Maitre ouvrir sa portière. Comme toujours je m'engouffrais dedans au plus vite, poursuivie de la désagréable et sans doute stupide impression que tout le monde savait qu'il allait se servir à sa guise de mon corps de jeune salope contre quelques coupures glissées dans le porte jarretelle.

 

Je relevais ma jupe pour poser mes fesses nues directement sur le siège et j'écartais généreusement les cuisses. Le Maitre vint me flatter la joue puis l'intérieur de la cuisse de la main, souriant. Je me félicitais intérieurement d'avoir enfin intégré les règles de base du jeu. Il y a quelques semaines j'aurai déjà pris deux gifles pour avoir croisé les jambes !

 

- Bonjour ma chienne, dit-il en me gratifiant d'une tape chaleureuse sur la cuisse.

- Bonjour Maître, répondis-je en léchant la main qu'il me tendit.

- Comment tu te sens aujourd'hui ? Excitée ? Craintive ? J'ai des choses à te faire découvrir…

 

(Des CHOSES ? Le vague qui entourait ce présage fit monter en flèche mon appréhension.)

 

- Humm, quelles sont-elles Maitre ? Demandais-je alors nonchalamment en soufflant ma fumée.

 

Bordel j'ai le diable au corps. Pourquoi faut-il que je joue les allumeuses insolentes avec les clients qui attendent des yeux baissés et une voix humble ? Ça va finir par me coûter cher, je suis vraiment maso.

 

Il introduit sa main entre mes jambes et me fouille sans tendresse. Je suis déjà humide, j'ai honte de l'être, ce qui me fait mouiller encore plus…

 

- Tu m'as l'air d'être en chaleur petite putain. On est arrivés, descends que je te mette ton collier. 

 

Je tends mon cou, il y serre un collier de cuir rouge auquel il attache une laisse. Il sort de la boite à gant un martinet qui trainait là, ce qui me fait irrésistiblement esquisser un sourire ironique. Il le voit, claque la portière, et me conduit sans un mot à la maison. Dès que la porte est refermée, je n'ai pas encore enlevé mon manteau que je reçois une claque cinglante.

 

- Déshabille-toi.

 

J'obéis sans rechigner et me mets nue, ne gardant que mon collier et mes talons. Le Maitre me regarde, me tâte, il a toujours l'air aussi content de mes seins lourds, de ma taille fine et de mes jambes aguicheuses.

 

- Va en position devant la cheminée et attends ton Maitre. Sans bouger.

 

Je vais donc face à la cheminée, appuie mes mains sur le rebord, écarte les jambes et me cambre au maximum. Je sais qu'il va se faire un plaisir de m'ôter mon air impertinent par une séance d'humiliations, reste à savoir lesquelles. Je suis si occupée à imaginer ce qui va m'arriver que je ne l'aie pas entendu arriver derrière moi. Il m'attrape par les cheveux et me tire violemment la tête en arrière.

 

- Tu vas être fessée jusqu'à ce que ton cul de pute soit rouge et brûlant. D'ici là je ne veux pas t'entendre.

 

Il joint le geste à la parole et me colle d'une main experte le bâillon gode dans la bouche, attache mes poignets aux côtés de la cheminée avant de se remettre derrière moi. Je serre un peu plus fort mes mains sur le rebord en attendant le premier coup.

 

Oh, ça faisait longtemps que je n'avais pas été punie comme ça… Les coups se font de plus en plus durs, tout mon cul est en feu, les lanières de cuir me lacèrent même l'entrejambe sans pitié, j'essaie de coller mes cuisses pour protéger mon intimité mais le Maitre rugit  

 

- Tu vas écarter les jambes, salope, comme tu sais si bien le faire ! Attends je vais t'apprendre…  

 

Et je sens à l'entrée de ma chatte trempée le bout froid d'un gode, qui me semble de taille honorable. Il l'enfonce d'un coup, je gémis, ce qui me vaut une claque, et il le fait aller et venir en moi. Je sens que je suis en train de m'inonder et je commence à remuer mon petit cul de pute pour mieux m'empaler dessus. Je gémis sous mon bâillon, qu'il retire tout en continuant de me goder.

 

- Tu aimes ça ma chienne hein ? Tu as besoin de sentir ta chatte remplie ?

- Oui Maitre j'aime ça…  

 

Je m'entends répondre, gémissante et soumise. C'est ce moment de capitulation, où j'abandonne mes sourires cyniques et l'envie de faire des réflexions grinçantes parce que je ne sens plus que mon corps qui brûle, j'ai honte de me sentir aussi chienne et d'aimer ça, mais je ne pense plus à mes billets, juste à l'orgasme qui se rapproche.

 

- Tu ne dois pas jouir ! Tu le sais ça ? Si tu jouis tu seras sévèrement punie !

 

Ah ? Parce que jusqu'ici on a fait semblant ? Merde alors…

 

Là-dessus il s'en va et me laisse plantée là avec le gode planté, lui, en moi. J'étais tellement mouillée qu'il ne lui a pas fallu plus de vingt secondes pour glisser et tomber par terre. J'entends le Maitre qui rapplique intrigué par le bruit.

 

- Il… il est tombé… Bredouille-je avec appréhension et sans oser tourner la tête.

- Et pourquoi il est tombé ? demande-t-il en me fouillant de ses doigts.

- Parce que je suis mouillée Maître…

- Comme une salope ! Allons viens là que je m'occupe de ta chatte. Position 1 ! 

 

Je soupire de soulagement, j'ai jamais été foutue de mémoriser les positions, et c'est presque la seule que je connais. Je me mets docilement à quatre pattes, bien cambrée, le cul offert, et je positive en me disant que je viens là d'éviter une punition. Il se met derrière moi, attrape mes hanches et s'enfonce en moi d'un coup, commence à me défoncer sans état d'âme, mais quand ses coups de reins commencent à me faire haleter, se retire et attrape mes cheveux pour me retourner face à sa queue. Bon, le message est clair, je le suce avec application, en enfonçant sa bite tout au fond de ma gorge sans qu'il ait à me forcer. Du coup il se contente de laisser sa main posée sur ma tête pendant que je m'active. Il la resserre sur mes cheveux lorsqu'il me gicle en travers des amygdales, je m'étouffe un peu avec et j'avale tout. Je lève sur lui des yeux larmoyants, quémandant une approbation.

 

- Tu as tout avalé ?

- Oui Maitre !

 

Et là-dessus, il m'envoie une paire de gifles retentissante, ce qui me plonge dans un abîme de perplexité.

 

- Tu n'apprends donc jamais ? Me gronde-t-il, Je t'avais déjà dit que tu devais garder mon sperme en bouche et ne l'avaler que sur mes ordres ! Tu cherches à te faire punir chienne… 

 

Je ne sais même pas quoi répondre alors je reste à genoux les yeux baissés. Il me prend le menton et insiste.

 

- Tu sais que tu as fait une faute ?

-…Oui maître. Pardon Maitre…

- Tu vas donc me demander de te corriger pour cela parce que c'est pour ton bien.  

 

L'humiliation que m'inflige cette situation me fait presque jouir sans aucun contact physique. Je me sens dégouliner sur mes cuisses.

 

-  S'il vous plait Maître, punissez-moi comme je le mérite… 

 

Satisfait, il va fouiller dans son coffre. Je frissonne en me demandant ce qu'il va en sortir. Premièrement les pince tétons qu'il vient serrer sur mes seins. Puis, après quelques secondes de réflexions, une cravache et une ceinture. Ouf, il a laissé son fouet et sa canne de côté, ne puis je m'empêcher de penser.

 

- Laquelle préfères-tu pour ta punition ?

 

Choix cornélien. Mais mon vieux fétichisme sur les ceintures en cuir, objets multifonctions de mes premiers émois, qui servent à punir, attacher, caresser, quand on n'a pas les moyens ni l'âge légal d'aller dans un sex-shop, reprend le dessus.

 

- La ceinture.

- Bien. Viens sur mes genoux vilaine pute. 

 

Obéissante, je viens me coucher en travers de ses genoux. Il me touche le cul, et sans me prévenir, m'enfonce un plug ! Je gémis, de surprise et de douleur. J'imagine son sourire satisfait quand je l'entends me dire :

 

- Je me suis dit qu'une simple fessée n'était pas assez sévère, dilater ton petit cul en même temps me semble judicieux. Qu'en penses-tu ?

 

J'ai déjà les larmes aux yeux mais je m'entends approuver :

 

- Oui c'est une bonne idée Maitre… 

 

AngieLe cuir de la ceinture vient caresser mes fesses, puis se soulève, je me crispe dans l'attente de la douleur. Les coups arrivent, fermes, espacés, de quoi laisser le temps à chacun de diffuser sa brûlure dans tout mon cul, chacun me fait tressaillir et me tendre sur le sexe à nouveau dur du Maitre. Passé 12 coups, je commence à me tortiller. Vers les 25, je commence à pleurer et à demander pardon. Mais le Maitre n'arrêta que lorsqu'il eut rendu mon cul écarlate. Il le caressait gentiment et je me contorsionnai pour lever vers lui mes yeux pleins de larmes. Il s'applique alors à retirer le plug de mon anus, ce qui me soulage, je ne supporte que moyennement le métal lourd du bijou. Il applique une grande claque sur mes fesses à vif, accompagné d'un très froid :

 

- A quatre pattes maintenant, fais ton boulot petite putain. 

 

Je frissonne en obéissant. Toute la feinte "affection" du Maitre" c'est pour ton bien petite chienne" et autres caresses entre les coups, cette volonté de m'éduquer, tout cela disparait et me laisse à ma condition de pute qu'on bourre et qu'on paye. Son mépris m'excite comme c'est pas légal. Je tends mon cul dilaté et prêt à être rempli du sexe du Maitre. Il l'enfonce sans ménagement, et me sodomise sans retenue. Il choppe mes hanches et me fais aller et venir sur son sexe, j'adore ça, je gémis, j'en veux encore, et c'est trop tôt à mon goût qu'il jouit en moi. Une chienne ne jouit pas…

 

Toujours à quatre pattes par terre, je l'observe, un peu hagarde, mon maquillage s'apparente à celui du Joker, j'ai le cul ouvert et plein de sperme, j'ai honte de cet état qui me sied si bien. Il rajuste sa diabolique ceinture, compte les billets qu'il sort de sa poche, et vient m'aider à me relever pour me les donner avec un sourire et une gentille claque sur mes fesses endolories.

 

- A plus ma belle putain !

- Je crois que j'ai toujours un truc à vous M'sieur ! dis-je, retrouvant avec bonheur ma gouaille de gamine et mon demi sourire tandis que je lui tends le collier de cuir rouge.

 

Petite putain qui disparait dans la nuit avec son cul rouge nu sous son imperméable et sa démarche de princesse qui vient de se faire enculer.

 

Fin

 

Je ne suis pas l'auteure de ce texte qui trainait sur mon disque dur, impossible de retrouve l'auteur sur le web, mais comme je l'ai trouvé intéressant je vous le propose, j'ai simplement effectuée quelques corrections mineures.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 18:41

Un 5 à 7 chez Ellen par Marie-France

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Je me prénomme Angéla et je suis afro-américaine. Mes parents m'ont laissé orpheline alors que j'étais toute petite, et je n'en ai aucun souvenir. J'ai été élevé par ma tante et je crois bien qu'elle ne m'a jamais aimé, mais j'ai mis du temps avant de m'en rendre compte. Dès que j'ai eu ma majorité, je suis parti voir ailleurs, sans diplômes, sans expériences. Une amie m'avait généreusement prêté son petit studio qui serait libre quelques mois, le temps d'une mission au Mexique. J'avais également déniché un poste de serveuse dans un fast food, mais cet emploi à mi-temps et mal rémunéré ne pouvait me suffire.

 

Ne sachant pas faire grand-chose, je consultais les petites annonces et fus attiré par l'une d'entre-elles au titre curieux : 5 à 7 !

 

On demandait une femme de compagnie durant cette tranche horaire. Il fallait simplement avoir des compétences en tâches ménagères et aimer la lecture, précisait-on !

 

C'est ainsi que je me suis retrouvée employée chez Ellen Earl, une femme d'environ 40 ans. C'est une grande blonde décolorée, genre plutôt chic avec coiffure apprêtée, maquillage savant, lunettes fantaisies, et toute une collection de bagues, de bracelets et de collier. Quand elle m'a reçue dans son immense maison de la banlieue de Richmond, elle était en tailleur et chemisier blanc.

 

Ellen vit seule, manifestement elle ne travaille pas et j'ignore quelles sont ses sources de revenus. Elle passe son temps à faire du ménage, où alors elle s'enferme des heures entières dans sa grande chambre où est entreposée une partie de sa bibliothèque ainsi que son ordinateur, ses vidéos et sa chaîne hi-fi.

 

Mes activités ne sont pas très cadrées. Et en arrivant tous les jours à 17 heures, j'ignore comment vont se passer les deux heures que nous allons passer ensemble. Parfois je l'aide à faire son ménage, c'est une obsession chez elle, soit elle m'envoie faire des courses, soit je lui fais de la lecture ou même parfois, nous parlons simplement de tout et de rien. 

 

Les rapports avec mon employeuse étaient au début très distants, mais ils se sont compliqués avec le temps. D'un côté, elle me faisait une confiance absolue, notamment en m'ayant attribué un jeu de clé, ce qui me permettait d'entrer sans sonner. Mais aussi elle est devenue plus exigeante sur ma façon de m'habiller. Elle tient à ce que je vienne en robe ou jupe et m'interdit le port du pantalon. Elle me dit de rester féminine et il y a quelque temps, elle est intervenue en me demandant ce que je portais comme dessous. La question aurait été embarrassante, mais elle me demandait cela avec un tel naturel que je lui avouais ne pas porter de soutien-gorge.

 

- C'est malin, c'est comme cela qu'on se déforme la poitrine ! Et je suppose que tu n'as pas de culotte non plus ?

- De culotte, si bien sûr ! Répondis-je, gênée.

- Le lendemain, je mettais donc un soutien-gorge, estimant que s'il n'y avait que cela pour la contenter, ça ne me coûtait pas trop. En arrivant chez elle, Ellen elle me tendit un sac venant du magasin de lingerie.

 

Je déballais le petit paquet, et en sortit, très étonnée un joli soutien-gorge jaune en fine dentelle !

 

- Euh ! Vous m'avez acheté un soutien-gorge, il ne fallait pas, j'en ai acheté un de mon côté. Euh ! Je vous dois combien ?

- Rien du tout, c'est un cadeau !

- Un cadeau ? Mais pourquoi, je n'ai rien fait pour mériter un cadeau !

- Si ! Tu me plais bien ! Considère que c'est une sorte de prime ! D'ailleurs ce n'est pas grand-chose. En fait, je n'ai pas trouvé ce que je cherchais. Demain tu auras peut-être une surprise !

 

Voici une attitude qui m'étonnait un peu, mais cette personne se révélait comme très originale sur beaucoup d'aspect. Après tout, si cela lui faisait plaisir !

 

Le lendemain, je trouvais un cadeau sur la table de sa chambre. Je ne pensais pas qu'elle mettrait sa promesse à exécution et déballais, fébrile pour y découvrir un ensemble très joli bas noirs, culotte, porte-jarretelles et soutien-gorge en dentelles mauves. Avant d'avoir pu me remettre de mon émotion, elle m'a demandée si cela me plaisait. 

 

- Tu vas l'essayer et me montrer, je suis sûre que ça devrait t'aller parfaitement, mais on ne sait jamais, je tiens à vérifier !

 

Me pliant à ses désirs, je suis allée dans la salle de bain afin de m'y changer. Je me regardais dans les miroirs, me disant que tout cela ne m'allait pas si mal que ça. Bizarrement ce que préférais c'était sans doute la culotte, dont la forme laissait échapper en le mettant en valeur le galbe de mes petites fesses. Puis, je suis réapparue devant elle en petite tenue afin qu'elle puisse juger du résultat. Elle m'a fait d'abord pivoter afin de m'observer sous tous les angles, puis s'est reculé un petit peu afin d'avoir une vue d'ensemble, reviens vers moi, et sans me demander mon avis elle se met soudain à me réajuster le soutien-gorge en remettant mes seins en place, à rectifier la place de la culotte sur mes fesses, et du porte-jarretelles, puis des bas légèrement torsadés au niveau des cuisses. Finalement, elle se déclare satisfaite et me demande de remettre ma robe. Nous avons passé le reste de la soirée à faire du rangement et à discuter de choses et d'autres. Curieuse bonne femme ! 

 

Le lendemain, elle m'attendait avec encore un cadeau. C'était une merveilleuse petite robe, toute simple et très légère. Elle l'avait choisie un peu trop courte, sans doute, le manque de coup d'œil sur ma taille car pour le reste, elle m'allait comme un gant. A l'essayage, elle n'a pas fait de commentaire sur la longueur, pourtant elle était si courte que je voyais l'extrémité de mes bas et les crochets du porte-jarretelles. Et le décolleté en carré découvrait mes seins, heureusement pris dans le soutien-gorge à balconnet, de sorte que cela pouvait aller. 

 

Elle m'a déclarée que cela l'amusait de m'habiller, qu'elle jouait comme pour habiller une poupée. Et qu'il ne fallait pas que j'offusque de ses cadeaux. Par contre, elle exigeait que je garde les habits qu'elle m'offrait pendant tout le temps du service que je faisais chez elle.

 

J'ai accepté, ça faisait un peu pute, ces trucs, ou tout du moins soubrette d'opérette, mais qu'importe, j'avais l'impression qu'Ellen ne recevait personne (du moins pas en ma présence), donc elle serait la seule à me voir ainsi !

 

Le dernier cadeau fut un ensemble jupe noire et chemisier blanc. Ce dernier très classique, n'avait que très peu de boutons et laissait un décolleté très sexy. La jupette était ultra courte, du genre portefeuille, sauf que le recouvrement du tissu était minime, voire inexistant, et chaque mouvement laissait voir mes dessous. 

 

Cette fois-ci, je n'étais plus dupe, Ellen à l'évidence ne se contentait pas de jouer avec moi à la poupée Barbie, mais m'entraînait lentement mais sûrement dans un jeu de rôle où elle serait la voyeuse et moi l'exhibitionniste de service.

 

Du coup, je me rebellais, et lui indiquai qu'il était hors de question que je porte des vêtements comme ceux-ci :

 

- C'est à prendre ou à laisser, Angéla, mais si tu laisses, tu perds ta place !

 

Puis elle tourna les talons et parti vers la cuisine. Bizarrement, je ne tenais pas à partir, je n'étais pourtant pas aux abois, j'aurais pu trouver facilement un petit job de remplacement, mais quelque chose d'indéfinissable m'attirait ici. Je lui courais après !

 

- Pardon, pardon ! Je m'habillerais comme vous voulez ! Je ne sais pas ce qui m'a pris !

- OK, ce sera 10 coups de martinet !

- Quoi ?

- 11 coups !

- Mais, enfin...

- 12 coups !

 

Je me tus, consciente d'être dans une impasse ! J'hésitais à présent, envisageant cette fois de partir pour de bon, mais attendant sa réaction. Elle se voulut rassurante :

 

- N'ai pas peur, je ne suis pas une brute, je ne vais pas te frapper fort, c'est juste pour le principe !

 

Elle me proposait une "sortie de crise" honorable, je m'empressais de l'accepter.

 

- Va me chercher le martinet dans le petit placard sous l'escalier, reviens avec, puis enlève ta culotte et soulève ta jupe !

 

Un peu fébrile, je trouvais rapidement l'instrument, m'étonnant qu'il soit si directement accessible, je le lui apportai et comme demandé, je me mis les fesses à nu !

 

- Il est joli ton petit cul de "blackette" ! Ce serait dommage de l'abîmer. Mais si tu recommence à me désobéir, la prochaine fois je frapperais plus fort.

 

Le premier coup atterrit, je poussais un petit cri, mais encaissais, c'était heureusement très supportable. Après le douzième, elle me fit remettre ma culotte et m'ordonna de nettoyer à fond la salle de bain et la toilette, et je ne la revis plus de la soirée.

 

J'étais assez circonspecte en rentrant chez moi. Mon trouble était certain. Non seulement Ellen se révélait voyeuse, mais elle voulait jouer à la dominatrice. J'avais eu l'occasion de voir sur Internet des images de domination avec des gens enchaînés dans toutes les positions, des pinces partout et des traces de flagellation sur toutes les parties du corps. Cela ne me disait rien que vaille ! Par contre une domination légère psychologique accompagnée de châtiments plus symboliques que brutaux. Hum... Pourquoi pas ?

 

J'avais donc pris l'habitude de me changer chaque fois en arrivant chez Ellen, soit avec l'ensemble jupe, chemisier, soit avec la robe qui entre-temps avait été transformé. Les échancrures ouvertes, elle était devenue une robe-chasuble, jusqu'au niveau de la poitrine, et chaque mouvement découvrait mon corps. Sinon mes occupations restaient les mêmes. Quant à Ellen si l'on excepte son regard appuyé, je ne sentis pas de changement dans son attitude avec moi. Mon travail terminé, je me changeais et quittais son domicile. Je m'habituais à travailler comme cela et ne faisait plus attention à ses regards. 

 

Jusqu'au jour où en arrivant, je ne trouvais pas ma petite culotte. J'allais dans sa chambre où je pensais la trouver. Elle y était effectivement... 

 

...Allongée sur son lit, les cuisses grandes ouvertes, Ellen se masturbait avec frénésie, ma culotte sur son visage. Elle ne m'a pas vue et je me suis retirée discrètement. J'ai attendu de ne plus entendre ses gémissements pour frapper cette fois et entrer comme si de rien n'était... 

 

tits-02Ellen avait repris une attitude normale et m'accueilli comme à son habitude. J'ai fait exprès de ne pas mettre de culotte et elle a dû tout de suite le voir avec ma robe chasuble qui ne cachait pas grand-chose de mon anatomie. Je faisais des mouvements amples et augmentais le déplacement du tissu, me tenais en face d'elle en travaillant, en évitant de joindre les jambes, bref je l'allumais. 

 

Elle me demanda alors de m'asseoir en face d'elle et de lui lire un bouquin que nous avions commencé depuis deux ou trois jours. Il s'agissait du dernier Patricia Cromwell. Elle m'interrompit un moment après que j'ai lu un passage :

 

- Ca ne m'étonne pas qu'elle écrive ça ! Tu savais que Patricia Cromwell était lesbienne ?

- Euh, non !

- Mais c'est ce qui lui donne cette sensibilité si particulière. De toute façon j'adore les lesbiennes.

 

Au moins le message était clair. Je ne relevais pas et continuais ma lecture. Ellen comme à son habitude s'était allongée sur une liseuse et fermait les yeux. En fait, je sentais son regard sous ses paupières mi closes. Au fur et à mesure de ma lecture, j'écartais doucement mes jambes et elle pouvait profiter de la vue de mon intimité. Elle ne m'a interrompue à aucun moment. J'avais les cuisses ouvertes et je passais ma main sur mon pubis et sur ma vulve, sans la regarder. J'étais comme nue devant elle. Je me suis arrêtée de lire, et je l'ai entendu me dire :

 

- Continue !

 

Ça voulait dire quoi ? Continuer de lire ou continuer de l'allumer ? Les deux sans doute ! Je décidais de n'en faire qu'à ma tête et tant pis (ou tant mieux) pour la punition, martinet ou autre qui risquait de me tomber dessus. J'abandonnais ma lecture, la regardais, ouvrais mes jambes en ramenant mes pieds sous mes fesses, et j'entrepris une véritable masturbation devant elle. Elle m'a regardé faire, sans commentaire et après que j'ai jouie, elle s'est levée, s'est approchée de moi et a passé sa main entre mes cuisses, sur mon minou et a senti ses doigts. Elle m'a fait lever, m'a caressé mes fesses, repassée sa main entre mes cuisses par derrière et toujours sans commentaire, m'a envoyé une énorme claque sur le cul, puis m'a ordonnée de partir sur le champ. 

 

- A demain, petite garce !

 

Le lendemain, je me suis présentée chez elle comme d'habitude, je me suis changée, ma culotte avait retrouvé sa place et suis allée à la rencontre d'Ellen, qui comme souvent devait se tenir dans sa chambre. 

 

Elle y était bien, mais pour la première fois depuis que j'étais à son service, elle n'était pas seule, une de ses amies lui tenait compagnie et semblait m'attendre.

 

- Angéla, je te présente Ashlyn !

 

Ashlyn était une petite brune frisée toute en rondeurs

 

- Ellen m'a parlé de toi, elle m'en a dit beaucoup de bien !

 

J'étais très gênée à cause de ma tenue, j'avais mis ma jupe et le chemisier. Heureusement que j'avais récupéré ma petite culotte ! 

 

- Approche, Angéla !

 

Je me suis approchée un peu craintive, Ashlyn me dévisageait. Tranquillement, elle entreprit d'ouvrir mon chemisier et de dégager ma poitrine. Je la laissais faire sans réagir, les bras le long du corps. 

 

- Ellen ne m'a pas racontée d'histoire, tu es très docile !

 

Je ne suis pas docile, je suis tétanisée, ce n'est pas pareil ! Mais le jeu ne me déplait pas J'avais le chemisier ouvert et elle me pelotait les seins complètement sortis de mon soutien-gorge. Des attouchements savants, parfois du bout des doigts, parfois à pleines mains. J'étais debout devant elle, qui était à moitié assise sur un fauteuil. Ellen en retrait regardait sans rien dire, semblant attendre l'appréciation de sa copine.

 

- Elle est pas mal, tu as fait du bon travail, Ellen ! Voyons la suite !

 

Elle m'a fait tourner, et passa sa main sur mes jambes très haut, puis sur mes hanches, et a fini par dégringoler ma culotte et me la retirer complètement. Elle me touchait, me tripotait, m'auscultait, me flattait comme elle l'aurait fait d'un petit animal et moi, je me laissais faire sans réaction, subjuguée. 

 

Je me suis retrouvée nue devant les deux femmes. Ellen me regardait avec des yeux bizarres et son amie continuait son inspection qui devenait très intime, presque médicale. Sauf que de temps en temps elle venait carrément m'agacer le clitoris ! 

 

Elle m'a ainsi fait mettre sur le dos pour une inspection vaginale complète, puis à quatre pattes pour un toucher rectal qu'elle aurait aussi bien pu faire lorsque j'étais sur le dos. Moi docile, j'ai tout accepté de cette femme, je ne me reconnaissais plus. 

 

Je suis restée nue devant elles un long moment avant qu'Ellen ne me dise de m'étendre sur la liseuse et de refaire comme la veille. 

 

Je me suis allongée, un pied par terre, l'autre sur le dossier et j'ai commencé à me toucher, mais ce n'était pas facile, comme ça, à froid. 

 

En me voyant dans cette position, Ashlyn s'est approchée et a commencé à me caresser les cuisses, à l'intérieur, tout en découvrant ses seins qu'elle frottait un moment sur mon ventre. 

 

J'ai commencé à me doigter doucement, alors les deux amies ont relevé leurs jupes, quitté leur culotte et devant moi, jambes ouvertes, cuisses écartées, m'ont imitée en me regardant. 

 

Nous avons jouie chacune de notre côté puis chacune d'entre elle est venue entre mes cuisses et m'a goûtée en posant directement sa langue sur mon sexe ouvert et humide de cyprine. Elles m'ont fait jouir chacune leur tour, sans pudeur et ont profitées de mon corps abandonné à leurs désirs les plus inavoués et les plus érotiques. Je suis devenue leur chose où elles exultaient leurs fantasmes les plus fous, les plus odieux aussi. 

 

Lorsqu'elles ont eu assez de mon corps, elles se sont rhabillées et m'ont ordonné de rester nue et ouverte devant elle, avec un sexe en plastique planté en moi et immobile. Je suis restée ainsi je ne sais combien de temps et par moment elles s'intéressaient à moi pour le remuer et essayer de me faire pousser des cris de jouissance.

 

L'heure de mon départ est arrivée, mais elles m'ont demandé de rester à leur disposition pour la nuit. Je fus invité à me mettre dans le lit. Elles se sont déshabillées chacune de leur côté et sont venues me rejoindre, j'étais au milieu et sentais leur corps chaud contre moi pour la première fois. 

 

© 2000 - Adaptée de l'anglais par Maîtresse Marie-France

maitresse_marie_france@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 14/10/2001

 

Note : Ce texte est une traduction-adaptation d'un texte anglais anonyme. Une version non corrigée de ses fautes avait été publié il y a quelque temps sur Sophiexxx. (J'en ai repris certains passages en y apportant les corrections nécessaires)

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marie-France V
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