Lucette

Mercredi 4 août 2021 3 04 /08 /Août /2021 18:01

Fanny, sa mère et moi par Lucette

Stamp MD

Salut, je m’appelle Lucette et je vais vous raconter ce qui s’est passé lundi dernier.

 

Je suis une jeune femme de 22 ans, je suis vicieuse, j’aime me régaler d’une bonne bite dans ma bouche, mais j’aime aussi caresser le cops d’une belle femme. J’ignorais que Fanny était encore plus vicieuse que moi.

 

J’ai sympathisé avec Fanny lors d’un séminaire et tout a commencé très banalement lorsqu’elle, m’a invitée en toute innocence à venir coucher chez elle du moins chez ses parents, puisqu’elle n’a toujours pas quitté le giron familial. Après avoir raccroché, j’ai préparé mes affaires et je suis partie. En arrivant chez elle, je remarquais que ses parents étaient sortis, Je découvris Fanny en déshabillé noir assez transparent. Je ne comprenais pas ce qu’elle faisait dans cette tenue. Elle me dit de poser mes affaires. Nous nous sommes installées pour boire un rafraichissement, puis elle m’a laissé seule, me disant qu’elle allait revenir.

 

Elle partit vers sa chambre et ferma la porte derrière elle. Plus de dix minutes s’écoulèrent et elle n’était pas revenue. Je décidai donc d’aller voir ce qu’elle mijotait. En entrant dans sa chambre, je la vis nue. Elle avait un corps de déesse à faire craquer tous les mâles. Elle me demanda ce que je faisais là et je lui répondis que je m’inquiétais pour elle. Elle me dit qu’elle cherchait quelque chose et qu’elle venait de le trouver. Et elle m’exhiba un vibrateur qui me dit-elle, appartenait à sa mère.

 

J’étais assez interloquée, Fanny se rapprocha de moi et mit ma main sur sa chatte humide. Je poussai un cri de surprise quand son doigt la pénétra. Elle me demanda de me déshabiller ce que je fis sans trop tarder. Je me suis couchée sur le lit, elle venue vers moi, et sans hésitation, elle alla directement d’une main sur ma chatte humide, et de l’autre, elle commença à me pétrir mes seins avec force. Elle commença à tracer des cercles sur mon clitoris avec trois de ses doigts. Les cercles étaient de plus en plus rapides et elle mettait de plus en plus de pression. Déjà je croyais m’évanouir tellement que j’étais excitée. Mais ça ne s’arrêta pas là…

 

Toujours en me pétrissant le clito de sa main experte, elle amena sa langue vers mon minou au comble de l’excitation. Je respirais très fort et poussais de petits cris. Elle léchait sans plus s’arrêter et mon vagin en entier vibrait à chaque coup de langue qu’elle me distribuait. Avec mon pied je lui chatouillais le minou et elle aussi je voyais bien qu’elle en raffolais. Ma timidité commençait à fondre complètement. Je lui pressais la tête tellement j’étais excitée et là, j’ai eu le plus bel orgasme de ma vie.

 

Je lui ai offert de lui rendre la pareille et sans rien répondre, elle s’est étendue en s’écartant les jambes pour me laisser voir sa petite fente rose qui ne demandait qu’à être embrassée. Nous ne parlions pas beaucoup, nous étions bien trop occupées à jouir ou lécher… Je la léchais et je me régalais du jus que sa chatte produisait. Après qu’elle ait crier de plaisir à son tour, nous avons essayé un autre truc…

 

Chatte contre chatte, nous avons commencé à nous frotter ensemble. Le contact de son poil frisé sur le mien m’électrisait. Elle me massait les seins avec vigueur et puis tout d’un coup elle s’est levée brusquement me laissant là, toute mouillée et excitée… Heureusement elle est vite revenue avec le vibrateur de sa mère à la main. Du genre parfait pour faire jouir à la mort. Elle a commencé à me le pénétrer avec des mouvements lents de va-et-vient. Je lui disais d’aller plus vite, étant trop pressée de venir une nouvelle fois, mais elle ne m’écoutait pas et faisait prolonger mon plaisir. Elle faisait tourner le vibrateur en dedans de moi, et je sentais le relief du plastique qui me chatouillait. Elle commença soudainement à aller plus vite et de l’autre main, elle me branlait encore le clito. J’ai été très étourdie et je crois que j’ai vu noir un moment… Elle me lâcha un peu et se masturba devant mes yeux avides de spectacle avant de recommencer à me lécher de nouveau.

 

C’est alors que l’on frappa à la porte. C’était la mère de Fanny qui était revenue et qui ayant entendu du bruit s’inquiétait. A ma grande surprise ma copine lui dit d’entrer. Je m’empressais de cacher ma nudité.

 

– Oh, tu n’étais pas seule ! Lui dis sa mère.

– Non je m’amusais avec une copine, je te présente Lucette.

 

Elle me tend la main avec douceur, tout sourire.

 

– Je suppose que vous étiez en plein séance de caresses ! Dit la maman.

– Oui, Fanny est très douce !

– Je n’en doute pas un instant, mais je vois que vous avez emprunté mon vibrateur.

– Ben oui !

– Vous vous en êtes servies devant ou derrière ?

– Juste devant, pour le moment !

– Ah ! Coquine, mais timides.

– On n’est pas timides protesta Fanny.

 

J’étais vraiment gênée par cette conversation et me demandais comment fuir cette situation.

 

– Faite moi plaisir, cessez de vous cacher ! Me demande sa mère.

– Non, ça me gêne !

– Vas-y ! Ma mère est cool, soit cool aussi ! Me dit Fanny.

 

Je me dis que si ce geste peut me permettre de me dépêtrer de cette situation, je ne vais pas en mourir et j’offre mon corps à la vue de la mère de Fanny.

 

Elle me félicite, me dit que je suis charmante et que si elle ne se retenait pas elle m’aurait volontiers caressé. Je rougis comme une tomate, mais Fanny enfonce le clou en me disant que sa mère est très affectueuse et que je devrais aimer ses caresses. Je suis tétanisée, n’osant pas répondre. Sa mère s’approche très près de moi, mais ne me touche pas. Elle me demande si je peux. J’ai dû lui répondre « juste un peu » ou un truc dans le genre, toujours est-il que la voilà qui me tripote les tétons, ses mains sont douces et électriques, je me laisse faire. Sa langue vient remplacer ses doigts, je m’abandonne.

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Fanny prend le relais de sa mère, pendant que celle-ci se déshabille intégralement. C’est une très belle femme cougar avec une poitrine superbe qui tient bien. Nous sommes à présent toutes les trois sur le lit, et pendant que la mère me suce les nymphes, Fanny m’a léché mon anus avant d’y introduire le vibrateur. Quelle sensation merveilleuse de sentir ce joujou ronronner dans mon trou le plus intime ! Sous les actions des deux diablesses, je jouis de nouveau, inondant le couvre lit de ma mouille.

 

Et tandis que je reprends mes esprits, j’ai la surprise de voir Fanny et sa mère s’embrasser profondément sur la bouche avant de se gamahucher en position de soixante-neuf en s’agitant comme des damnées.

 

Quand sa maman eut joui elle se releva et sorti de la chambre nous laissant Fanny et moi enlacées..

 

– Je ne savais pas que tu faisais ça avec ta mère ! M’étonnais-je.

 

Fanny m’expliqua gentiment qu’elle était majeure, qu’elles ne faisaient pas cela tous les jours, et que ce genre de relations ne faisait de mal à personne. Elle me confia aussi qu’il lui arrivait de sucer la bite de son père.

 

– Si ça t’intéresse, on va l’attendre et je lui demanderais de t’enculer, ça te plairait, ma chérie ?

– Pourquoi pas ?

 

Fin

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Mercredi 4 août 2021 3 04 /08 /Août /2021 17:59

Une famille tuyau de poêle par Lucette

Anna

 

Rachel, sculpturale blonde de trente-quatre ans, est prof de français au lycée St. Martin. C’est aujourd’hui que doit être prononcé son divorce, à cette occasion ses parents lui ont proposé de l’héberger. Elle a hâte de retrouver sa sœur Cécile, âgée de trente-deux ans, célibataire endurcie, pourtant très belle.

 

Rachel arrive à la villa tout sourire. C’est justement sa sœur qui l’accueille.

 

– Tu es radieuse ma chérie ! Dit-elle.

– Si tu savais, répond Rachel. C’est le plus beau jour de ma vie.

– Maman est en course, elle ne devrait pas tarder…

 

Et Rachel lui résume la séance au tribunal. Entre temps, son père Gérard, et son oncle René, sont rentrés de leur promenade journalière. Rachel les embrasse affectueusement.

 

– Les inséparables, dit-elle, ça va ?

– Très bien, répondent-ils, et toi ?

– Un peu lasse. Je vais aller prendre une douche, ça me réveillera.

– Tu veux que je vienne te frotter le dos, murmure Cécile.

– Le dos et le reste si tu veux ! Rétorque Rachel. Viens.

 

Cécile pénètre dans le carré à douche derrière sa sœur, et la prend par la taille. Elle se colle contre elle, et l’embrasse dans le cou. Une main va d’un sein à l’autre. les doigts font rouler les bouts. L’autre main descend entre les cuisses qui s’ouvrent pour laisser pénétrer les doigts entre les lèvres.

 

– Il y a si longtemps, murmure Cécile. Ta petite chatte est toute mouillée, vicieuse !

– C’est l’eau de la douche ! Répond Rachel.

– Attend, poursuit Cécile, je sais distinguer l’eau et la mouille.

– Oh, oui, qu’est-ce-que tu fais à mon clito ? Gémit Rachel.

– Il faut bien le laver aussi ce vilain ! Sourit Cécile.

– Oui mais, ha ! ha !, c’est trop bon, vas-y ma sœur, branle mon petit minou, ça fait un moment qu’on ne m’a pas caressée comme ça.

 

Rachel jouit. Les deux femmes s’embrassent. Seul le bruit de l’eau qui ruisselle sur leur corps résonne dans la salle de bains.

 

– Je vais faire pipi ! Prévient Rachel.

– Chic, je vais te boire ! Répond Cécile en se baissant de façon à ce que sa bouche soit devant la chatte de sa sœur

 

Rachel pisse, Cécile boit.

 

– Hum, c’était délicieux, tourne-toi, j’ai envie de te mettre un doigt dans le cul.

-Tu peux même en mettre deux ! Mais après ce sera ton tour de faire pipi.

– Pas de problème.

 

Puis, ce fut au tour de Rachel de faire jouir Cécile.

 

Les deux femmes sortent de la douche, s’essuient. S’arrangent les cheveux…

 

– Ta relation avec papa ? Demande Rachel, ça va ?

– Très bien, répond Cécile, rien de changé. De temps en temps, il me donne un coup de queue. Cette semaine avec tonton, ils m’ont fait une double péné devant maman ! C’était génial !

– Arrête, dit Rachel, tu m’excites. Il y si longtemps que je n’ai pas fait l’amour avec un homme. Enfin, bon, on va rejoindre tout le monde, ils doivent avoir faim.

 

Le repas bien arrosé se termine vers vingt-trois heures. Cécile roule une pelle à sa mère Josy, puis souhaite bonne nuit à tout le monde, en jetant un regard complice à sa sœur.

 

– Moi aussi, dit Rachel, je vais me changer. je reviendrais vous faire la bise.

 

Elle revient dix minutes après, vêtue d’un peignoir qui lui arrive à mi-cuisse. Les deux hommes se sont mis en caleçon. Ils sont assis sur le canapé de part et d’autre de Josy.

.

En arrivant près de son père, elle bute contre son pied. Rachel se retrouve appuyée contre le dossier du canapé, son corps incliné sur son père. En voulant la retenir, la main de Gérard glisse entre les jambes écartées de sa fille. Dessous, elle est nue. Ils se regardent dans les yeux. Pas un mot. Mais Rachel ne se dérobe pas. C’est à se demander si elle n’a pas provoqué cette situation. Gérard plie le majeur et l’index, et pénètre les lèvres humides de sa fille.

 

– Oh papa ! Sursaute-t-elle.

– Ta chatte est bien mouillée, ma fille. C’est ta sœur qui t’a gouinée sous la douche?

– Bien sûr !

 

Oncle René, voyant la tournure des évènements, se lève, et se place derrière Rachel. Il quitte son caleçon, et soulève le peignoir. Il découvre les fesses écartées et cambrées de sa nièce. Le petit trou est totalement offert. Avec ses deux pouces, il écarte l’orifice, et le taquine avec le bout de la langue.

 

– Ha… ha… Râle Rachel.

– Qu’est-ce qu’il t’arrive? Demande Gérard.

– C’est tonton, si tu savais ce qu’il me fait. je sens son gland contre mon petit trou. Ha… ha… ça y est, il est en train de me le mettre, il m’encule, Ha… ha… et toi qui me branle. Vous êtes des vicelards, tous les deux ! Mais c’est tellement bon !.

– Mais c’est normal ma chérie, poursuit Gérard. Regarde dans quel état tu es, ta chatte est pleine de mouille. Après, c’est papa qui va te baiser. tu veux bien ma chérie ?.

– Ouiii !

 

Dans un cri de bête, René joui dans le cul de sa nièce. Il l’a fait se retourner et l’embrasse goulument .

 

– Merci ma chérie, je me suis régalé.

– C’est moi qui te remercie, tonton, tu me l’as bien mis, salopard !

 

Le tonton quitte les lieux. Gérard ôte son caleçon, et dégage un membre en érection assez imposant. Rachel saisit la queue de son père entièrement décalottée, et suce le gland, tout en le branlant, et l’avale jusqu’aux couilles. Elle sait que son père se régale.

 

– Tu aimes te faire sucer par ta fille, hein Papa ?

 

N’y tenant plus, Rachel se relève, s’assied sur les genoux de Gérard, dos à lui. Elle lui prend le chibre et le fait coulisser dans sa chatte en poussant un cri de plaisir.

 

– Enfin une grosse queue, soupire Rachel, ça fait du bien.

 

 

Josy excitée par le spectacle s’est levé et vient caresser sa fille. Elle prend les pointes de seins et les fait rouler entre ses doigts.

01Rachel

– Oh, moi, caressez-moi partout.

– Mais doucement ma chérie. On a tout notre temps.

– Non, gémit Rachel, je suis trop chaude là, on recommencera après…. Oui….

 

Rachel a un orgasme puissant, elle hurle de plaisir, ne se souciant guère si les autres dorment.

 

– Encore papa, souffle-t-elle, j’ai envie, en levrette, je t’en prie.

 

Rachel se met à genoux, appuie ses mains sur le dossier du canapé. Gérard se place derrière elle, la queue contre sa chatte. C’est elle qui, en se cambrant, se fait pénétrer. Et pendant ce temps là Josy se place devant elle offrant sa chatte dégoulinante de mouille à lécher.

 

– Tu aimes te faire niquer par ton père, hein ?

– Oh oui papa, c’est tellement bon. J’aime bien lécher Maman aussi. Tu nous baises si bien. Mon dieu, je viens encore, je jouis, je jouiiiis.

– Moi aussi je viens ma chérie, ha… ha, je peux cracher dans ta bouche, s’il te plait ?

– Mais bien sûr papa. Viens.

 

Rachel ouvre grand la bouche. Gérard se branle, son gland contre les lèvres de sa fille.

 

– Vas-y papa, fait toi plaisir, jute dans la bouche de ta fille, hum, que c’est bon.

 

C’est en râlant de plaisir que la semence de Gérard gicle au fond de la gorge de Rachel. Elle prend la queue en main, et la nettoie jusqu’à la dernière goutte.

 

A neuf heures du matin, Rachel s’engage sur l’autoroute. Un sourire aux lèvres, elle pense à la séance avec son père, sa mère et son oncle.

 

– Quelle famille d’enfoirés tout de même ! Pense-t-elle.

 

Fin

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Mercredi 4 août 2021 3 04 /08 /Août /2021 17:54

Page de mon journal en vers par Lucia (Lucette)

zoo

Mon très cher journal

C’est en vers que j’écris aujourd’hui,

Non pour te compter mon plaisir anal,

Mais pour narrer comme je fus éblouie.

J’avais rendez-vous chez Léa…

Je suis en retard, j’espère qu’elle me punira,

Elle me présente Serge, venu avec son chien,

Un labrador beige qui le fait bien.

Serge se déculotte,

Ma main le décalotte,

Je suce avec gourmandise,

Cette délicieuse friandise.

Il a voulu m’enculer, faire la fête à mon cul,

Mais il n’y est jamais parvenu,

Le pauvre est bourré comme un petit Lu,

Et il s’affale dans le divan, ce malotru.

Mais moi je mouille, frustrée,

Léa vient me consoler, langue sur mes nénés,

Ses doigts tripotent mon abricot,

Et mon anus de salope scato.

Je mouille comme une fontaine

Des assauts de ma belle luciférienne.

Attiré par l’odeur de la débauche

Le toutou s’approche,

Léa écarte ses jambes,

Le chien vient lécher, ne craignant nulle réprimande.

– Comment peut-on faire pareille chose ?

– Il suffit d’ouvrir les cuisses ! Vas-y ose !

Je le fais ! Quelle bonne langue !

Léa a fait se retourner l’animal,

Elle sort sa bite de sa gangue

La branle et approche sa bouche, c’est original.

– Comment peut-on faire pareille chose ?

– Il suffit d’ouvrir la bouche ! Vas-y ose !

Sonia Beate37

 

Je suce la bite du chien et suis guillerette.

Sophie enfile des chaussettes

Sur les pattes avant du clébard

En dodelinant des nibards

Puis elle se met en levrette

Le chien grimpe sur elle, comme à la fête.

– Comment peut-on faire pareille chose ?

– Il suffit d’ouvrir les fesses ! Vas-y ose !

Alors j’ai attendu mon tour

Et le chien m’a sauté avec fougue et amour.

Voilà mon très cher journal

Ce qui m’est arrivé hier n’était point banal !

Aujourd’hui sera un autre jour :

Je vais adopter un toutou qui me fera des mamours

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Lucette
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Mercredi 4 août 2021 3 04 /08 /Août /2021 17:50

Sylvie, l’amie de ma mère par Lucette

 

Stamp MD

Moi, c’est Léa ! Hier soir j’ai eu une expérience extraordinaire; Sylvie l’amie de maman me fait des avances depuis quelques temps, avances non déguisées et même devant maman qui faisait semblant de ne pas s’en apercevoir. Je sais que Maman couche avec Sylvie, mais, moi les femmes c’est pas mon truc, à 20 ans, je plais aux mecs et puis j’ai un petit copain qui me fais bien jouir…

 

Bref donc, hier soir, Sylvie est venue partager le dîner avec nous. J’avoue que c’est une belle femme, la quarantaine épanouie, très brune et bien faite.

 

Comme d’habitude, c’est des allusions en permanence sur le plaisir du sexe, et que les hommes ne savent pas y faire; que je suis belle, que mes fesses sont bien faites, que ma poitrine est juste comme il faut etc etc…

 

Et tout d’un coup vient la proposition :

 

– Je coucherais bien avec toi ! Me dit Sylvie.

– Même pas en rêve ! Répondis-je sèchement.

– Et si je te donnais un petit billet ?

– Me prendrais tu pour une pute, Sylvie ?

– On l’est tous plus ou moins, tu veux combien ?

– 100 euros ! Répondis-je espérant avoir la paix avec cette réponse.

 

Vers 10 h je les laisse toute les deux et je vais me coucher. je mets mon tee-shirt pour la nuit comme d’habitude et me couche nue dessous. je devais être au lit depuis une heure, lorsque la porte de ma chambre s’est ouverte, Sylvie est entrée et est venue s’assoir sur le bord de mon lit.

 

Elle a retiré le drap qui me couvrais. Je me suis réveillée en sentant sa main qui me caressait les fesses (je dors sur le côté)

 

Le temps de réaliser ce qui se passait, j’avais un doigt entre mes jambes qui allait et venait sur mon minou. J’ai réagi violemment et me suis levée pour me dégager de cette caresse intime et j’ai criée. Maman est alors entrée dans la chambre et me dis :

 

– Allons calme-toi, Sylvie ne te veux pas de mal, au contraire.

– Enfin, maman elle me caressait les fesses et même la chatte, c’est dégoutant!

– Mais non, ma fille, Sylvie est très gentille et surement pas dégoutante, aller, recouche-toi et laisse-la faire. Je te signale qu’elle t’as déposé 100 euros sur ta table de nuit.

– Autrement dit, je suis piégée !

– Si vraiment, ça t’insupporte, je reprend mes sous et je te laisse dormir. Me dit Sylvie.

 

Et là je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai répondu

 

– Vas-y, je me laisse faire, faut pas mourir idiote

 

Sylvie me regarde souriante et commence à me caresser les seins doucement

 

Maman me sourit aussi et me dit :

 

– Tu vois bien, c’est pas méchant de faire plaisir à Sylvie et puis si tu te laisses aller un peu tu vas voir que c’est très agréable.

 

Une main de Sylvie a abandonné un sein et descend sur mon ventre, caresse mon pubis. je serre les jambes et sens un doigt qui essaye de passer entre mes cuisses.

 

J’ai un mouvement instinctif de défense et je serre les cuisses

 

Maman se penche sur moi et m’écarte les cuisses, elle met sa main sur ma chatte et me dit :

 

– Allons, laisse-toi faire.

– Oui maman, mais me faites pas de mal.

– On te veux que du bien, dit Sylvie

– Pour commencer, on vas la raser correctement, ces jeunes filles ne savent pas s’entretenir comme il faut.

 

Avec des ciseaux Sylvie entreprend de me couper les poils du pubis puis elle me met de la mousse à raser sur la motte et entre les jambes et me met le minou à nu, elle me fait mettre les genoux relevés, cuisses ouverte pour aller sur mes lèvres, elle dit que c’est plus pratique pour elle . elle met alors de la mousse dans la raie de mes fesses, et continue ma toilette intime autour de mon anus. elle est très délicate, frôle mon clitoris, le caresse, tire sur les lèvres de mon sexe, les tend avec douceur, au passage je sens son doigt presser mes petites lèvres et légèrement pénétrer mon vagin. Lorsqu’elle me rase autour de mon anus, elle tire sur le lobe des fesses, m’écarte, me caresse le petit trou, je sens son doigt le presser, il me pénètre un peu.

 

Tout cela fini par me donner chaud au ventre et je me laisse aller, je mouille même un peu. Essuyée, talquée, toutes les deux contemplent leur œuvre . Maman me caresse le front, le cou, les seins et Sylvie me caresse l’entrecuisse. On reste comme cela un moment, et malgré moi j’ondule légèrement le bassin.

Sylvie

Sylvie me prend la main et la pose sur son genoux, elle porte une jupe très courte, et assise en face de moi, une jambe repliée sous elle, je vois sa culotte et même la tache qui s’élargit sur son entrecuisse. Instinctivement et sans réfléchir, ma main remonte vers sa culotte. Elle, de son côté suis la même progression, et lorsque j’atteins sa motte, que je passe un doigt sous l’élastique et touche sa vulve, que je commence à caresser, je sens qu’elle m’investit aussi et me masturbe dans les règles. Je me retourne et vois maman, jupe relevée qui se pénètre avec deux doigts et s’astique comme une folle. Nous jouissons toutes les trois les unes après les autres.

 

Les deux amies se déshabillent tout en me caressant et se caressant, s’embrassant au-dessus de moi. Moi je les observe et au passage les caresse aussi. Je caresse même maman et la pénètre de mes doigts et elle se laisse faire et m’encourage en me demandant de lui lécher la chatte.

 

Sylvie reprend l’initiative et me demande de me mettre sur le ventre. elle commence à me caresser les fesses, me les ouvrir et lécher mon anus. Maman qui s’est absentée quelques instants est revenue, elle tient un godemichet, elle commence par se le mettre et se masturbe ostensiblement devant moi; puis l’enfile dans la chatte de Sylvie, par derrière. Je sens Sylvie excitée, car elle redouble sa caresse sur mon petit trou, elle passe une main sous moi et me pénètre le vagin. Instinctivement, je me cambre et alors je sens un doigt me pénétrer l’anus et rejoindre l’autre en moi Les deux doigts se touchent en moi et se retrouvent séparés par la paroi vaginal, je deviens comme folle et m’offre, me cambre et écarte mes fesses. Sylvie retire son doigt de mon anus, le lèche puis continue à m’astiquer le vagin, elle a mis maintenant deux doigts; Moi cambrée offerte comme une chienne, je sens le gode sur mon petit trou.

 

C’est maman qui le pousse doucement, je crie ça fait mal, elle continue et puis, je le sens rentrer doucement, loin très loin en moi. Les deux amies me font mettre à quatre pattes et me masturbent chacune de leur côté jusqu’à ce qu’un orgasme monte en moi et me fasse hurler de bonheur ou de douleur, je ne sais plus.

 

Maman sors le gode de mon anus, il me parait légèrement pollué, Sylvie l’aide à le nettoyer avec la langue.

 

Ma mère me roule un patin, je suis épuisée, j’ai envie de pisser, j’ai sommeil.

 

Pantelante je me dirige vers les toilettes et m’assois sur la cuvette, Sylvie me suit et me regarde pisser avec un air ravi.

 

– On te laisse dormir, me dit Maman !

– Oui, bonne nuit, je vous aime toutes les deux.

 

Fin

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