Niko

Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 07:52

C’est tout à fait Claire – 2 – par Nicolas Solovionni

 

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La seconde partie (tout comme la première) de cette histoire date des débuts de l’Internet, ce qui explique que certaines précisions techniques soient complètement dépassées, j’aurais bien sûr pu actualiser ! Mais à quoi bon ! Il me faudrait encore réactualiser dans trois ans. !

 

Ça se bouscule trop dans ma tête ! J’ai couché sur le papier cette incroyable expérience avec Claire et Patrick. (voir le chap 1) On s’est dit au revoir au premier degré car on souhaitait réellement encore sous le feu de l’action jouer une suite. Avec un peu de recul, je pense plutôt en rester là, qu’est ce qu’une seconde rencontre pourrait bien ajouter au souffre de la première. Mais j’avoue être hésitant. Pour m’aider à y voir clair, je décide de tenir pendant quelques jours une sorte de journal sur lequel je noterais mes impressions et le reste.

 

Mercredi 28 janvier

 

Les quelques jours qui ont suivi mon premier contact avec Patrick et Claire ont été déprimants. J’ai beau me raisonner, cette expérience m’apparaît comme traumatisante. Je suis de mentalité très libérale sur les choses du sexe, et je n’ai absolument rien contre les homosexuels, ni contre les bisexuels, mais quelque chose au plus profond de moi n’admet pas que j’ai pu un après-midi effectuer certains gestes ! Et pourtant ces gestes m’ont donné du plaisir ! C’est à rien ni comprendre ! J’ai pourtant franchi d’autres interdits et cela ne m’avait posé aucun problème. Alors ? Est-ce que je suis en train de changer de bord, comme on dit ?

 

Jeudi 29 janvier

 

Je souhaite en avoir le cœur net. Je poste mon problème sur une page de news sur le net. (les forums n’existaient pas encore) Au milieu de réponses farfelues, deux personnes me disent à peu près la même chose :

 

– Sors dans la rue et fixe le visage des hommes, ignore les femmes et tu verras bien si un déclic se produit !

 

En voilà une idée qu’elle est bonne.

 

Vendredi 30 janvier

 

Je ne pourrais faire ça que lundi soir. En attendant je risque de gamberger tout le week-end.

 

Lundi 2 février

 

Ce soir en sortant du boulot, au lieu de rentrer directement à la maison, j’ai traîné dans la rue, dévisageant délibérément chaque mâle que je croisais, dans l’attente de ce fameux déclic… Au bout d’une heure j’ai arrêté, parce que ce fameux déclic, et bien il n’y pas eu lieu ! Décidément je ne flashe pas sur les hommes ! Alors ? Alors ?

 

Un peu plus tard

 

J’ai réfléchi ! Tout cela a commencé par un commentaire de Patrick sur une image de fellation. J’ai une idée, demain soir j’irais aux chiottes du métro H…

 

Mardi 3 février

 

Une éternité que je n’ai pas mis les pieds dans ce truc, d’ailleurs je ne le connais que de réputation. La seule fois où j’y suis allé, une envie pressante, j’ai dû me faire tout petit pour éviter qu’on me regarde. J’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, j’angoisse. Il me faut supporter le regard méprisant de la dame pipi à qui j’ai pourtant laissé un petit pourboire. Des hommes se masturbent hardiment de chaque coté de cette petite salle. D’autres attendent. Un urinoir s’est libéré, j’y suis allé. J’ai jeté un coup d’œil à ma droite, un coup d’œil à ma gauche, et horreur ! Je bandais comme un dingue ! Je me suis enfui !

 

J’ai eu la confirmation de ce que je supposais déjà : Ce ne sont pas les hommes qui me font bander, mais leurs appendices sexuels. Je suis barge !

 

Mercredi 4 février

 

Je prends rendez-vous chez un sexologue. Miracle il y a un désistement dans ses rendez-vous et il peut me prendre demain après midi, je sécherais le boulot

 

Jeudi 5 février

 

Une montagne ce sexologue, genre pilier de rugby. Mais non il ne m’attire pas ! Par contre, il m’a rassuré, m’a expliqué que c’était très courant et qu’il ne fallait surtout pas culpabiliser… Bref il a fait son métier.

 

– Bon, alors je suis bisexuel ou pas ?

– Les pulsions qui vous inquiètent, bien à tort, sont effectivement de nature bisexuelle !

– Et qu’est-ce qu’il faut faire ?

– Assumer !

– Comment ?

– Parlez-en à votre épouse ! Essayez de la convaincre que la présence d’un autre homme donnerait du piment à vos rapports. Essayez du côté des travestis ou des transsexuels, beaucoup de personnes dans votre cas y trouvent la solution.

 

C’est vrai que les travestis et les trans me fascinent alors que les machos pur et dur ont tendance à les mépriser.

 

– Vous ne dites plus rien ?

– Je réfléchis !

– Je suppose que vous aimez la cuisine française ?

– Oui, mais quel rapport ?

– Mais aimez vous aussi la cuisine chinoise ?

– Oui ! Répondis-je sans comprendre où il voulait en venir.

– En cuisine on peut aimer plusieurs choses assez différentes, en sexualité c’est la même chose, La bisexualité est à la sexualité ce que la cuisine chinoise est à la cuisine.

 

La réponse m’a plus, à défaut d’être entièrement convaincante, elle me donne bonne conscience, c’est déjà énorme.

 

Vendredi 6 février

 

J’ai fait un rêve, un rêve érotique et j’ai mouillé mes draps. Ma femme m’a juste dit :

 

– C’est pas étonnant, obsédé comme tu es ! Faudra que tu m’aides à changer les draps.

 

Ce rêve il faut que je le note avant qu’il ne disparaisse de ma mémoire

 

Mon rêve

 

Je suis chez le sexologue qui se veut rassurant etc… etc…

 

– Et confidence pour confidence, je suis moi-même bisexuel, je peux donc parler de tout ça en toute décontraction. Me dit-il

– Ah ?

– Seriez vous prêt à vous livrer à une petite expérience pratique. Vous êtes ici chez un sexologue, rien de doit vous choquer.

 

Il me regarde bizarrement le sexologue, je ne sais pas quoi répondre.

 

– La question vous embarrasse, c’est que je ne vous ai pas complètement convaincu.

– Si quand même !

– Je ne crois pas ! Supposons que je vous montre ma bite ?

– Pardon ?

– Vous avez très bien entendu. Si vous dites non, nous nous arrêterons là.

 

Ce mec est complètement fou, mais au lieu de lui dire « non », je reste tétanisé. Une partie de mon cerveau veut que j’accepte cette proposition incongrue

 

Le type se lève, contourne son bureau, s’approche de moi et sort sa bite de sa braguette…

 

– Touchez là, je vous en prie, et considérez ce geste comme purement professionnel.

 

Tu parles !

 

Je le fais, je suis comme dans un rêve (c’est le cas de le dire), je branle un peu ce joli membre.

 

– C’est doux n’est-ce pas ?

– Oui !

– Sucez-là donc, vous en mourez d’envie !

 

Et me voilà avec la bite du sexologue dans la bouche, je m’en régale et je bande comme un cerf.

 

– Humm, vous sucez bien ! J’ai la queue toute raide.

 

Il me la retire de la bouche, me la fait admirer, c’est vrai qu’elle est jolie toute droite avec un jolie veine violette qui la parcoure, avec le gland d’un joli mauve luisant.

 

– Retirez votre pantalon, je vais vous sodomiser !

– Mais ça ne va pas ?

– Rassurez-vous, je vais mettre un préservatif.

– La question n’est pas là !

– Si justement ! Vous ne savez pas si vous allez le faire ou pas, Quand vous aller rencontrer vos amis vous en mourriez d’envie, mais soit, il ne sera pas disposé, soit vous trouverez un prétexte pour retarder l’acte, et vous en souffrirez.

– Bon, je vous laisse, combien je vous dois ?

– Dès ce soir vous regretterez de ne pas l’avoir fait, demain vous me téléphonerez pour reprendre rendez-vous. Passez à l’acte, bordel !

 

Alors j’ai retiré mon pantalon, le docteur ma demandé de me mettre en levrette sur le divan, il m’a tartiné le trou du cul de gel, et m’a introduit sa bite dans le fondement sans doute de la façon la plus douce possible, mais n’empêche que j’avais mal.

 

– On arrête ça, ça me fait mal !

– C’est normal, ça ne va pas durer.

– Arrêtez je vous dis

– Comptez jusqu’à cent et j’arrête.

 

Le temps de compter, la douleur avait disparu remplacé par un sentiment de gêne, mon cul se rebellait de ce corps étranger qui n’avait pas été invité !

 

– J’arrête ou on continue un peu ?

– Je sais pas !

– Alors je continue !

 

Curieuse sensation, quelque chose de nouveau, d’indéfinissable, ça me fait du bien, je plane, je suis dans état second.

 

Le mec finit par sortir de mon cul, j’ignore s’il a joui et je m’en tape.

 

– Et bien voilà, vous êtes fait enculer, vous allez pouvoir voir les choses autrement, il vous faut assumer, vous êtes un suceur de bite et un enculé, mais vous devez vous sentir bien dans votre peau.

 

Ce mec est complétement fou, mais quelque part il a sans doute raison.

 

Et puis là tout de suite, je bande comme un malade, je voudrais bien me finir.

 

– Vous avez vu mon état ?

– Oui, et d’ailleurs je dois dire que vous avez une belle bite, mais nos relations doivent rester professionnelles.

– Bon, ben je vais vous laisser, je vous dois combien ?

– Remarquez que si ça vous intéresse, on peut se retrouver ailleurs ?

– Non merci, docteur.

 

J’ai payé le mec, une fois dans la rue l’esprit d’escalier avait commencé son travail, je regrettais de ne pas avoir accepté la proposition de ce curieux praticien. Mais bon, je n’allais pas revenir… Alors je me planque derrière un gros platane, je me branle…

 

Et je me réveille

 

Mercredi 11 février

 

6 jours sans rien écrire sur ce cahier. Il ne sert peut-être à rien. Mais je ne suis pas plus avancé. Ce que m’a dit le sexologue m’a rassuré mais pas transformé. Et puis le souvenir de ce rêve qui ne cesse de me poursuivre… Où mon subconscient est-il allé chercher des précisions pareilles, y compris sur la pénétration anale ? Sans doute des souvenirs inconscients de lectures cochonnes ?

 

Au bout de cette période l’envie de revoir Patrick et Claire me tenaillait. Une envie extrêmement trouble puisque si je souhaitais recommencer les gestes que nous avions fait ensemble, il n’était pas question pour moi d’aller plus loin. Mais comment concilier tout cela ? D’autant que l’image de Patrick caressant ma raie culière avec un gode vibreur m’apparaissait comme une menace !

 

Je patientais, m’étant malgré tout persuadé dans ma petite tête que bien qu’ils aient assimilé ce que je leur avais montrés, ils ne tarderaient pas à me recontacter pour des précisions. Et ça n’a pas raté ! Mais lors de ce premier nouveau contact, c’est la crainte qui l’a emporté ! Et alors que j’avais là un magnifique prétexte pour me déplacer de nouveau chez eux, je ne l’ai pas fait, leur indiquant par téléphone comment réparer. Après je m’en suis voulu ! Je leur ai quand même précisé que s’ils avaient besoin que j’intervienne chez eux je le ferais volontiers et sans problèmes, et… gratuitement, bien sûr ! J’attends donc ! On verra bien !

 

Dimanche 15 février

 

Je devais revoir Claire et Patrick, en fait je les ai vu hier samedi, mais ça ne s’est pas très bien passé. On s’est quittés très en froid. Ils devaient me téléphoner, ils ne l’ont pas fait, je ne les reverrais sans doute jamais. Dommage car j’aurais préféré rester sur la délicieuse journée d’il y a quelques semaines.

 

Je raconte :

 

Donc je me pointe, je m’étais fait mon cinéma dans ma tête, persuadé que la journée serait chaude, j’avais d’autre part emmené une sacoche pleine d’outils informatique pour réparer leurs trucs, des logiciels pour les aider, et des banques d’images pour les épater.

 

Il me tardait d’ailleurs de savoir quelles images ils avaient capturé sur Internet, cela afin de connaître un peu leur jardin secret. Toujours est-il que j’y allais en pleine forme fantasmant déjà sur l’inévitable conclusion. Je suis tombé de haut ce jour-là.

 

Ces messieurs dames n’étaient pas seuls. Ils finissaient leurs repas en compagnie d’un autre couple, on me présente, la bonne femme ne me plaît guère, une vulgarité comme on n’en fait plus… J’espère simplement qu’ils n’ont pas combiné un projet de partouze avec ces zigotos… Evidemment, j’ai droit au « ah ! vous êtes dans l’informatique justement j’ai un problème… » Je réponds que je ne sais pas (alors que je sais très bien), mais cette bonne femme non seulement fout mes plans en l’air mais je sais que je ne vais pas la supporter longtemps. Bon, je me mets au boulot, c’est un désastre ! Un plantage pas possible !

 

Après avoir examiné tout cela je propose à Patrick plusieurs solutions dont une très longue, consistant à faire une réparation provisoire, puis sauver ce qui peut l’être, puis un re-formatage et une réinstallation. (8 heures de boulot !) Cette solution a bien sûr l’avantage de sauver toutes les images qu’il a pu glaner. (Cette andouille n’a pas pensé une seconde à sauvegarder tout cela malgré mes conseils). Je démarre donc, assez énervé, et ne sachant quand les deux olibrius vont se décider à dégager.

 

En plus, je fais des conneries. Voici que derrière, tout ce beau monde se lève de table, je reprends espoir, mais patatrac, c’est pour s’installer sur le canapé à quatre mètres derrière moi, la bonne femme n’arrête pas de parler, je me demande comment des gens aussi calmes, aussi gentils, aussi tolérants, peuvent s’acoquiner avec ce couple de beauf. J’essaie de ne pas écouter, mais j’en reçois plein les oreilles, je passe… Faut voir les conneries qu’elle débite, elle est pratiquement seule à parler. Un moment Patrick lui coupera sèchement la parole en lui disant

 

– Ecoute tu sais très bien que l’on ne sera jamais d’accord sur ce sujet, alors parlons d’autres choses !

 

Mais bon sang pourquoi ne les foutent-ils pas à la porte. Un moment j’en ai marre, je laisse tout tomber, je me contente de réinstaller Windows mais pas Internet, et me tournant vers Patrick je lui dis :

 

– Pour faire ça il me faut un minimum de concentration, cet après-midi ce n’est, pas possible, j’arrête !

 

Stupeur de ce dernier ! Je lui explique que j’ai fait une réparation minimum et que par conséquent cela risque de replanter bientôt. Il ne sait pas quoi dire, il n’a pas manifestement l’intention de se fâcher, mais il est très froid, je me tire, refusant le fric qu’il me tend et lui demande de me téléphoner si cela le chante.

 

Samedi 21 février

 

Patrick m’a rappelé une semaine après. J’ai bien aimé sa démarche au téléphone – très « catho de gauche » : « Je crois qu’on a été un peu con tous les deux l’autre fois ! ». Moi, je ne pense pas avoir été con, mais si cela peut l’aider à renouer le contact… Et de m’expliquer que Claire et lui ont subi une épreuve extrêmement grave (je n’aurais pas plus de précision), et que pendant cette période toute sa famille et tous ses amis les ont laissés tomber sauf justement ce couple.

 

– Je leur dois, me dit-il, une reconnaissance infinie, et même si je suis obligé de supporter leurs conneries, alors tant pis.

 

Curieuse situation qui m’a fait un peu réfléchir, mais bon il me demande si je peux repasser samedi prochain. Je peux !

 

Samedi 28 février

 

Me voilà chez eux ! Et là, nouveau coup de théâtre, Patrick me fait entrer, Claire est dans le salon, elle est vêtue en haut d’un truc en soie noir complètement transparent. J’imagine un moment que c’est une tenue d’accueil pour me faire pardonner la dernière fois, mais pas du tout, elle enfile un manteau et s’en va !

 

– Je serais rentrée pour le dîner, j’espère que vous serez encore là !

 

Je ne saurais pas ce qu’elle partit faire dans une tenue pareille pendant quatre heures, d’autant qu’à part ce détail vestimentaire sa tenue n’a rien de provoquant !

 

Je me mets au boulot. Je renonce à comprendre ces gens. Patrick me dit qu’il a du travail et qu’il me rejoindra plus tard… et que je ne m’inquiète pas si je le vois pas, il fera peut-être une sieste… En fin d’après midi, allant pisser, je l’aperçois dans la chambre en train de repasser du linge…

 

Les choses ne se passent pas trop mal, et vers 18 heures j’ai presque tout réinstallé, après avoir pu sauver l’essentiel de leurs images, reste Internet, la partie la plus chiante, avant d’en commencer l’installation je mate un peu les images cherchant quel peut bien être son « truc », beaucoup de lesbiennes, des gros seins, des pipes… que du classique, mais il a bon goût.

 

Sur ce, Claire rentre et se renseigne sur l’avancée de la réparation, rejoint par Patrick, toujours occupé dans les travaux ménagers.

 

– Alors, ils te plaisent, les images cochonnes de mon mari ?

 

Elle dit cela sans aucune provocation, tout n’est que calme chez cette femme, tout est en douceur, le visage, le maquillage, la coiffure, mais pourquoi donc cette tenue incongrue, je lorgne bien sûr ses seins super bien visibles sous son chemisier.

 

Je leur propose de leur montrer les images que j’ai amenées, remettant à un peu plus tard la réinstallation d’internet (qui est semi-automatique). J’ai étiqueté des disquettes par catégorie, et puisqu’ils ont l’air d’aimer les lesbiennes, les pipes et les gros seins je leur montre, les gros seins excite surtout Patrick mais les autres catégories ont l’air de les brancher tous les deux. J’attends, il va bien se passer quelque chose, mais ça ne démarre pas au quart de tour comme la dernière fois.

 

Et puis tout se passera très vite, elle retire carrément son chemisier en nous narguant :

 

– Ça vous plaît, les garçons ?

– C’est très mignon ! Répondis-je

– Alors sortez-moi vos bites, que je joue un peu avec.

 

Je ne me fais pas prier et j’ouvre ma braguette, et quand je vois Patrick retirer carrément pantalon et caleçon, j’en fait de même.

 

Claire gobe la bite de son mari, puis s’empare de la mienne, pour la branler avec beaucoup de délicatesse. Elle alterne assez vite, masturbant Patrick tandis qu’elle me suce, puis faisant les mêmes gestes que l’autre fois, léchant les couilles et la verge, mais très peu le gland… Dommage quelque part, mais la pipe reste agréable d’autant que mes mains ne restent pas inactives et s’égarent sur ses petits seins et en éprouve la douceur.

 

De façon insolite je me fais la remarque que je suis aussi excité par la vision des seins de Claire que par celle de la bite de Patrick. Et quand Claire me demande avec un air faussement vicieux :

 

– Tu la sucerais bien, la bite à Patrick, hein mon salaud ?

 

Voilà un vocabulaire auquel elle ne m’avait pas habitué, mais qu’importe, ça ne me dérange pas le moins du monde. Et je réponds bien sûr par l’affirmative.

 

Ma bouche se remplit de salive tandis qu’elle s’approche de la belle bite de Patrick, je me régale de sa douce texture et de ce petit arrière-goût légèrement musqué, je suce partout, tout ce que je peux, le gland, la hampe, les testicules. J’essaie de tout mettre dans la bouche mais n’y parvient pas, je triche donc en envoyant tout ça au fond de mes joues, mais ce que je préfère encore c’est donner des petits coups de langue très rapides sur le méat.

 

– Où est-ce que tu as appris à sucer aussi bien ma salope ?

 

Tiens, lui aussi fait dans la vulgarité, aujourd’hui ?

 

La question est bonne, mais je n’ai pas la réponse, à moins que ce soit le souvenir inconscient de quelques films pornos, allez savoir…

 

– On va dans la chambre ! propose Claire

 

On passe dans la chambre. Là, je peux enfin lui sucer les tétons, ils sont gros et tendre, un régal ! Patrick la prend en levrette, tandis qu’elle me suce. Et puis voilà qu’elle s’empare du gode, ce fameux gode !

 

– Tu le veux dans ton cul ? Me demande-t-elle.

 

Je suis au pied du mur ! je pourrais répondre « non », mais pourquoi ne pas essayer, si ça ne le fait pas je pourrais toujours arrêter le massacre.

 

Je me mets en levrette pour faciliter la chose, mais au lieu de sentir le gode tentant de pénétrer mon intimité, c’est la langue de Claire que je sens sur ma rosette. Putain que c’est bon, que c’est excitant de se faire lécher le trou de balle !

 

Je m’entrouvre légèrement laissant passer un doigt qui vient remplacer la langue. Et puis ça y est le gode veut entrer, ça ne s’est pas fait du premier coup mais ça s’est fait.

 

– Non, ça fait mal !

– Compte une minute, ça ne fera plus mal !

 

Elle en a de bonnes, elle ! Quand ça fait mal, ça fait mal. Pourtant elle y va doucement, mais je ne supporte pas ce truc.

 

– Alors ?

– Ça fait moins mal, mais retire-le, j’aime pas trop.

– Allez encore une minute et j’arrête !

 

Par quel miracle la douleur a-t-elle disparue laissant la place à un étrange trouble ?

 

– J’arrête ?

– Je sais pas

– Alors je continue !

 

Logique ! Elle m’a godé comme ça, je ne sais pas, cinq minutes, dix minutes, le temps ne passe pas à la même vitesse quand on baise que quand on attend le bus !

 

Elle finit par retirer le gode ! Pas mal la sensation quand on le retire ! Je vais pour me retourner.

 

– Ne bouge pas, maintenant Patrick va t’enculer !

– Non, non, une prochaine fois peut-être !

– La prochaine fois on ne sera pas forcement dans les mêmes dispositions, aujourd’hui Patrick a envie et moi j’ai envie de te voir.

– Non, mais mettez-vous à ma place, je n’ai jamais fait ça !

– Il y a toujours un commencement à tout, et mieux vaut le faire avec des gens sympas que tu connais qu’avec je ne sais pas trop qui.

 

L’argument est fort. Une petite voix intérieure me dit « Vas-y, ne te dégonfle pas ! »

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– D’accord on va essayer.

 

Alors Patrick m’a bien lubrifié le cul, et m’a pénétré sans trop de difficultés. Il m’a fait ça en douceur, et c’était bon. Tellement bon que quand il est ressorti après avoir éjaculé dans la capote, je regrettais que cela soit déjà terminé.

 

– Viens me lécher, me dit Claire, on va se mettre en 69. Je me régale de sa chatte tandis que ma partenaire me fait une fellation bizarre dans la mesure où sa langue ne touche jamais le gland. J’ai connu mieux comme pipe.

 

J’ai réussi à la faire jouir, mais moi je suis resté en rade, alors Claire, bonne fille m’a fini à la main, elle branle bien.

 

Ce soir sur mon journal intime, je vais pouvoir marquer : Aujourd’hui je me suis fait enculer ! »

 

Après bouffe chinoise comme il y a un mois, tandis que d’un œil, je surveillais l’installation d’internet, puis rien d’autre, on a pas mal parlé cul, mais Claire était fatiguée.

 

Vivement leur prochaine panne !

 

Malgré tout, ce couple est un peu bizarre, en y réfléchissant il n’y a pas dans leur appartement ces petits détails qui font « vécu », des photos, des cartes postales, tout se passe comme s’ils n’habitaient pas vraiment ici, et puis j’ai beau me poser la question dans tout les sens : où pouvait bien aller Claire ce samedi après-midi avec un chemisier quasi transparent et sans soutien-gorge ?

 

Elle me fascine quelque part, elle n’a pas des formes exceptionnelles, ce serait plutôt du petit format, mais il y a quelque chose d’angélique dans son visage, et surtout elle est reposante, j’ai rarement vu quelqu’un d’aussi calme. On dirait que mutuellement avec son mari ils font tout pour se faire plaisir et ne pas se contrarier, pourtant j’ai cru comprendre qu’il ne s’agissait pas d’un nouveau couple. Je ne suis pas d’un naturel fouineur, et je respecte le droit à l’intimité de chacun cela ne m’empêche pas d’être curieux, mais les deux ou trois questions (à peine indiscrètes) que je leur ai posées n’ont eu pour réponse qu’un sourire poli. J’ai essayé d’en savoir plus par l’intermédiaire de la personne à qui j’avais donné quelques cours, mais ce fut peine perdue,

 

Samedi 7 mars

 

J’ai eu Patrick au téléphone. Evidemment leur ordinateur est encore à moitié planté, j’ai des vacances courant mars et je leur ai proposé de leur faire deux jours non-stop de formation de base, ils ont d’accord et vont s’organiser en conséquence, mais ils voulaient que je vienne quand même en urgence, j’ai essayé de les guider par téléphone, mais ca n’a pas marché, j’y suis donc allé, mais malheureusement il ne s’est rien passé, sinon la vision sublime de Claire se changeant le haut à un mètre de mois, pour aller je-ne-sais-où (mais contrairement à la dernière fois, elle n’a pas mis de truc transparent)

 

J’ai donc pris rendez-vous chez mes deux zouaves les 14 au 15 mars. Et je vais complètement changer de tactique, j’ai en effet remarqué que quand je leur apprenais quelque chose, il le faisait très bien, mais quand ils ne savent pas quelque chose ils essayent un tas de trucs et c’est ça qui fout le bordel, je vais donc en tenir compte. Et surtout j’espère que j’aurais droit aux grandes manœuvres, j’ai dû déjà écrire que la dernière fois nous n’avions rien fait (coté sexe). Je n’avais pas accepté d’argent, mais quelle ne fut pas ma surprise de recevoir par la poste du champagne à la maison en remerciement ! Ce n’est pas vraiment ce que j’attendais.

 

Week-end du 14 au 15 mars

 

J’ai fait la formation prévue, ils m’ont généreusement payé, mais question sexe, zéro, la bulle. A peine installé voilà que Môssieu me tient un discours du genre

 

– Tu sais, j’ai l’impression que je te paye en nature, avec ma femme, quelque part ça me gène, au début on a eu un coup de folie, mais c’est terminé, maintenant si tu viens uniquement pour ça, ce serait dommage, mais je sais que ce n’est pas le cas.

 

Ça sentait le discours qu’il avait dû répéter quinze fois devant sa glace. Je réponds hypocritement que je les comprends très bien … mais je fais l’erreur de lui préciser que j’ai néanmoins apporté plein de disquettes de cul… Il me coupe alors en me précisant qu’il préfère qu’on ne les regarde pas, pour ne pas être à nouveau tenté…

 

La rage. Et la Claire qui m’excite avec son visage de Madone et ses yeux de chatte. Je ravale ma déception, espérant sans trop y croire que quelque chose se produira. Je n’aurais pas dû parler d’emblée des photos, j’aurais dû attendre un moment un peu opportun, le repas par exemple. Pourtant le lendemain, vers 10 heures alors que nous faisions une pause café, Claire me dit :

 

– Tu sais j’ai discuté hier soir avec Patrick, tu as l’air tout malheureux, je veux bien te faire un petit câlin, mais se sera le dernier…

 

Et comme un con j’ai refusé.

 

Bref je ne suis pas près de les revoir, s’ils cassent encore tout, ils se démerderont sans moi. Ah mais !

 

Mai 2001

 

Ils ne m’ont plus appelé. Ça m’a paru bizarre, deux mois sans rien casser ! Le hasard a voulu que je me déplace à Montgeron pour le boulot, un petit détour là où habite Claire et Patrick, sans plan précis, et faisant confiance à mes facultés d’improvisation… pour constater qu’ils avaient déménagé sans laisser d’adresse. J’ai essayé le truc classique (d’habitude ça marche) aller à la poste (au cas où ils auraient demandé une réexpédition automatique de leur courrier) et fournir un gros baratin, mais je suis tombé sur une fonctionnaire aussi revêche que zélée…

 

Non daté

 

J’ai fini par m’accepter comme je suis, j’ai arrêté de vouloir me mettre une étiquette sur le slip. Je me fous de savoir si je suis hétéro-machin, homo-truc, ou bi-chose. J’aime les femmes, je ne suis pas attiré par les hommes sauf les travestis et les transsexuelles, mais j’aime les bites. Alors j’ai voulu retrouver ces sensations, avoir une bite dans la bouche ou dans le cul. J’ai trouvé un bon sauna et j’ai même une carte de fidélité, mais restons dans le sujet, ce récit concerne Claire.

 

Avril 2002

 

Je dois ce jour là effectuer une démarche professionnelle à Brunoy, dans la banlieue sud de la capitale. Un peu en avance, je décide d’aller me goinfrer un bon café crème avec des tartines. Je m’installe dans la terrasse vitrée et en attendant qu’on me serve, je laisse courir mon regard. Mon attention est alors attirée par une femme au visage ovale semblant perdue dans la lecture d’un gros bouquin ! Claire ! Je ne me pose même pas la question de savoir si elle a envie de me revoir et de me parler, et me lève pour aller la saluer.

 

– Pardonnez-moi si je me trompe, mais je me demandais…

– Ne vous le demandez plus. Je vous avais reconnu, je ne peux pas vous parler pour l’instant. Je suis désolée.

– Je…

– N’insistez pas, si vous voulez on peut se voir à midi… midi et demi plutôt !

– Je vous paie le restau alors ?

– Oui, pourquoi pas !

– Je vous retrouve ici ?

– Non ! Dans le hall de la gare

 

Je regagnais ma place avec des sentiments assez contraires, il était clair que je n’étais pas le bienvenu, mais pourquoi alors avait-elle alors proposé un rendez-vous. Je craignais bien que celui-ci ne fut qu’un lapin.

 

Quelques minutes plus tard, un homme, très classe vint l’accoster, ils quittèrent ensemble les lieux après s’être salués d’un chaste bisou.

 

Il fallu que j’insiste ensuite lourdement auprès de mon interlocuteur professionnel qui voulait absolument m’emmener au restaurant pour lui expliquer que je n’étais pas libre à cette heure.

 

A midi 50, Claire n’était toujours pas là, je lui laissais encore un quart d’heure, mais n’y croyais plus trop. Elle finit pourtant par arriver, essoufflée, et sans s’excuser le moins du monde et de façon très peu courtoise elle me demande :

 

– Comment vous avez fait pour me retrouver ?

– Le hasard !

– Le hasard, le hasard, il a bon dos le hasard !

– Je devais voir un type à la banque Machin, j’étais en avance et comme il n’y a pas trente six…

 

Elle ne me laisse pas finir, elle a l’air super énervée.

 

– J’en ai marre, tout le monde me cherche, tout le monde me retrouve, c’est plus une vie. Et d’abord, vous voulez quoi ?

– Mais rien du tout, je vous ai aperçu, j’étais content de vous retrouver, maintenant si je vous importune à ce point, on peut en rester là.

– C’est ça restons-en là !

 

Et elle s’en va ! Me voilà contrarié, je ne devrais pas mais c’est comme ça ! Et en plus ça m’a coupé l’appétit. Je retourne m’attabler à la brasserie juste pour boire un coup, je ne reste que cinq minutes et me dirige vers la gare pour regagner Paris. A peine entré dans le hall une voix m’interpelle :

 

– Nicolas !

 

Je me retourne, c’est Claire ! Imaginez mon incompréhension. Je la laisse s’approcher.

 

– Tu vas me trouver folle, mais je vais essayer te t’expliquer, j’ai cru que tu me suivais, que tu me cherchais, alors quand je t’ai quitté tout à l’heure j’ai regardé ce que tu fabriquais, ça m’a rassuré. Donc t’étais bien là par hasard ?

– Pour le boulot…

– J’ai envie de parler à quelqu’un, tu veux qu’on se mange un petit truc ?

 

On commande, je sens Claire assez mal à l’aise.

 

– Il est possible que tu sois choqué par ce que je vais dire.

– Je prends le risque.

– Alors deux choses : Patrick est en prison, oh, il n’a tué personne, il s’est fait manipuler par une bande de truands qui lui ont fait porter le chapeau, mais un gros chapeau. Ils ont rien trouvé de mieux que de l’enfermer aux Baumettes à Marseille, il en chie en prison, faut voir les abrutis qu’ils y enferment. Tout ça, ça me coute des ronds, le voyage, les frais d’avocats, les colis que je lui envoie…Heureusement, j’ai deux gros clients réguliers…

– Des gros clients réguliers ?

– Ne fait pas semblant de ne pas comprendre. Je fais la pute. Si ça te choque on va en rester là.

 

 Claire2b

– Non, non, ça ne me choque pas du tout. Mais ton ancien métier…

– Je n’ai pas d’ancien métier, je faisais la pute dans des boites de nuit, c’est là que j’ai rencontré Patrick, il a d’abord été mon client, puis on s’est mis en ménage, il gagnait bien sa vie, il bossait dans le design. Et puis la catastrophe, une bonne femme a porté plainte contre Patrick pour tentative de viol, sans la moindre preuve évidemment, la nana étant un peu connue, elle travaille à la télé, ces connards de média se sont emparés de l’affaire.

– Eh ben !

– On a tout perdu, Patrick son emploi, nous tous nos amis à l’exception d’un couple qui nous a dépanné quelque temps, obligé de déménager… et tout ça pour que dalle, l’affaire c’est terminé par un non-lieu ! Mais Patrick n’a pas retrouvé son emploi, alors j’ai refait la pute… Ça va, je ne te saoule pas ?

– Non, non, t’as envie de parler, tu peux y aller je t’écoute.

– T’es gentil ! J’ai eu du bol j’ai dégoté assez vite deux gros clients, ça nous a permis de voir venir, mais Patrick voulait trouver autre chose et il a fait la connerie de servir de porte-valise dans une affaire de drogue, il s’est fait pincer, et comme il n’a voulu dénoncer personne, tu sais ce qui se passe dans ces milieux-là quand tu dénonces ?

– Hélas !

– Donc il n’a dénoncé personne mais il a pris le maximum. Et c’est pas fini, il y a encore une suite. Un jour alors que je tapinais, un mec m’a abordé et m’a carrément dit que si je lui filais pas la moitié de mes gains, il s’en prendrait à Patrick. J’ai eu peur et au début je lui ai filé de l’argent. Puis j’ai été voir les flics. Bizarrement mon récit les a intéressés, sans doute parce qu’ils ont dû penser que le mec en question le mettrait sur la piste des trafiquants qui ont fait porter le chapeau à Patrick. Je ne sais pas ce qu’ils on fait mais, c’est peut-être une coïncidence, quinze jours plus tard Patrick était transféré aux Baumettes. Par précaution j’ai déménagé et je n’ai communiqué ma nouvelle adresse à personne. Voilà, ça fait du bien de parler.

 

Elle essuie une larme, je ne sais pas trop quoi faire.

 

– Merci de m’avoir écouté, je n’ai pas de rendez-vous, si tu veux qu’on fasse l’amour, je suis partante, moitié copain, moitié client.

 

Je n’ai pas trop compris ce que ça voulait dire : « moitié copain, moitié client », mais pas grave, j’ai accepté.

 

Nous n’avons pas été chez elle, ni à l’hôtel mais dans un coquet studio qu’elle louait pour y faire ses passes.

 

– Tu sais me dit-elle, faire la pute, c’est un business, mais c’est aussi un fantasme, c’est fabuleux pour une femme de se dire « je suis tellement désirable qu’on me paie pour coucher avec moi ! » je sais bien que je ne suis pas un top model mais penser comme ça a pour moi quelque chose de gratifiant.

– Si les féministes t’entendaient !

– Je les emmerde ! Mais c’est pour cela que j’aimerais que tu me donnes un petit billet, juste symbolique, comme ça on reste dans le fantasme.

– Tu veux combien ?

– Tu me paieras après, c’est le privilège des clients qu’on aime bien ! On se fout à poil !

 

Je ne m’attendais pas à une prestation de ce genre, alors je décidais de me laisser faire, après tout n’étais-je pas en bonnes mains ?

 

Elle me demanda de m’allonger sur le lit, là elle me pinça les tétons, assez fort, afin que je bande bien comme il faut., puis elle m’encapota et s’apprêta à me prodiguer une fellation.

 

– Mais qu’est-ce qu’il t’arrive ? Ne soit pas timide, tu peux me toucher, me caresser.

 

Ben oui ! Qu’est ce qu’il m’arrive ? Mais puisque j’ai la permission, je me lâche, je la caresse, ma bouche s’approche de ses petits seins et gobe ses tétons avec gourmandise.

 

On se caresse mutuellement comme ça pendant quelques minutes, puis Claire plonge sa bouche vers ma bite et cette fois ne la lâche plus, me gratifiant d’une fellation de première classe, qu’elle accompagne par une introduction de son doigt dans mon trou du cul.

 

Un moment elle marque une pause, c’est pour m’annoncer fièrement qu’elle a un gode à ma disposition.

 

Ça a l’air de lui faire tellement plaisir de me le l’introduire, et comme je ne suis pas contre, on fait joujou avec un moment. Finalement j’adore cette sensation, cette petite chose étrangère qui voudrait s’en aller mais qu’on sent si bien aller et venir et qui nous fait tant du bien.

 

– Si tu veux des choses spéciales, tu me dis ! je n’ai pas de tabous ! M’avertit-elle avec un sourire format commercial.

– Choses spéciales ? Quoi par exemple ?

– Je ne sais pas, des trucs que t’aimes bien et que tu ne m’aurais jamais dit, tu dois bien avoir un jardin secret non ?

– Je ne vois pas ?

– Une petite fessée ?

– Moi je veux bien, mais ce n’est pas trop mon truc !

– Je fais pipi aussi !

– Moi aussi je fais pipi ! Répondis-je bêtement

– Non je suis uniquement donneuse !

 

Cette fois j’ai compris.

 

– Oui, je veux bien !

– On verra ça tout à l’heure, pour l’instant ne bouge pas, et essaie de ne pas jouir de suite, je ne suis pas trop pressée !

 

Et la voilà qui me chevauche, elle monte et elle descend sur ma bite en cadence ! Mon Dieu que c’est bon ! Mais je vais partir trop vite si elle continue à ce rythme, je lui fais signe qu’il conviendrait de faire une pause. On fait la pause

 

– Tu veux me lécher la chatte ?

 

Bien sûr que je veux. Je lèche, c’est délicieux, mais je suis un peu surpris que ce ne soit pas plus mouillée, j’essaie d’y mettre tout mon savoir faire et toute mon ardeur, mais ça ne fait pas, madame semble bloquée, je lui attaque le clito, le titille de la langue et le suce comme une petite friandise, je sens quelques vibrations, Claire se met à crier, elle a probablement simulé, allez savoir ?

 

– Maintenant viens à côté, je vais te pisser dans la bouche, tu vas voir il est délicieux mon pipi !

 

A l’époque les photos d’uro gratuites étaient assez rare sur Internet et seuls les danois en diffusaient, ce qui fait que j’en avais vu assez peu, mais ceux qui m’étaient passés sous les yeux représentaient des jeunes filles et des jeunes gens effectuant ce genre de chose dans la plus parfaite rigolade. Alors allons-y.

 

Et son pipi était délicieux, je me suis branlé pendant qu’elle pissait. J’aurais préféré un peu plus de romantisme mais bon…

 

Un peu plus tard, Claire m’a proposé qu’on se mette en ménage, j’ai donc annoncé à ma femme que je foutais le camp. Elle a réagi curieusement :

 

– Bof c’est pas grave, dans 15 jours tu seras revenu, et en attendant ça me fera des vacances.

 

C’est exactement ce qui s’est passé, je n’étais pas fais pour vivre avec Claire, on s’est quitté bons copains et je n’ai plus souhaité la revoir. Il y a des pages qu’il faut savoir tourner.

 

Septembre 2018

 

17 ans ont passé, j’étais attablé à une terrasse de bistrot près de la Tour Saint-Jacques, quand je vois s’approcher une femme, proche de la soixantaine, bien conservée. C’est elle qui m’a reconnu.

 

– Nicolas ?

– Claire c’est bien toi ?

– Eh, oui !

 

Elle est méconnaissable avec sa nouvelle coupe de cheveux blond cendré. Elle s’est assise à ma table, on était content de se revoir, mais on n’avait pas grand-chose à se dire, elle m’apprit que Patrick avait été libéré et qu’ils vivaient toujours ensemble, bizarrement ça m’a fait énormément plaisir.

 

Fin (ben oui)

 

Nicolas Solovionni ©

 

La première partie de cette histoire authentique a été publié il y a 18 ans. Je ne m’étais jamais décidé à en publier la suite jusqu’à ce que l’événement décrit dans le dernier paragraphe me libère de mes appréhensions. Les noms de lieu et ceux des protagonistes ont été modifiés.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Niko
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Jeudi 1 décembre 2016 4 01 /12 /Déc /2016 15:14

J’suis cocu mais content 2 – Partie presque carrée par Nicolas Solovionni

 

Petit rappel pour ceux qui n'ont pas lu la première partie (il vaudrait mieux la lire quand même …) Je me prénomme Gaétan, ma femme Christelle. J'ai appris qu'elle me trompait, étant mal placé pour le lui rapprocher (j'avais une liaison avec une collègue) je ne lui en ai pas fait reproche, mais j'ai trouvé excitante l'idée de l'épier pendant qu'elle faisait l'amour avec son amant.

 

En fait d'amant, elle en avait deux qu'elle recevait simultanément. Mais comme la discrétion n'est pas ma qualité première elle a découvert que je l'observais. D'où explications. Christelle me proposa de rompre avec ma collègue, en contrepartie je pourrais assister à ses ébats sans être obligé de me cacher et je pourrais même participer. Elle me précise même que l'un de ces amants manifeste de fortes tendances bisexuelles et que… enfin vous avez compris…

BiteFlag

 

La partouze eut lieu, cela tourna au fiasco avec l'un des deux amants de ma femme, en revanche avec l'autre, Philippe, cela se passa de la meilleure façon du monde. Fin du résumé

 

Philippe parti, je m'attendais à un commentaire de Christelle, elle n'en fit pas et s'en alla prendre une douche. Quand elle en sortit elle m'indiqua simplement que je pouvais y aller à mon tour.

 

Elle est ensuite allé préparer le repas du soir.

 

Son silence m'énerve, je n'aime pas ça ! Je me douche vite fait, enfile un peignoir, et la rejoint en cuisine.

 

- Ça va ? Demandais-je bêtement.

- Super ! Répond-elle tout sourire.

 

Elle ne me demande pas si moi, ça va !

 

- J'ai mal au cul ! Lâchais-je.

- Je n'ai plus de tomates, tu veux que j'ouvre une boite de maïs pour la salade ?

 

Elle rien à rien à foutre de mon cul !

 

- Tu fais la gueule ?

- Mais pas du tout, mon amour !

- Ah, bon, je croyais.

- Qu'est-ce qui te fais penser à une chose pareille ?

- Je sais pas, on vient de vivre une expérience, comment dire…

- Amusante ?

- Ce n'est pas le mot que je cherchais, mais bon… et toi, tu fais comme ci il ne s'était rien passé.

- Et que voudrais tu qu'on fasse ? Que nous dissertions ?

- Non, je pensais simplement qu'on en parlerait.

- On en parlera à table si tu veux ?

 

Bon, je ne cherche pas trop à comprendre mais je me dis que quelque chose cloche, elle veut sans doute me dire un truc mais doit réfléchir à la façon de le faire ! C'est compliqué les femmes, parfois !

 

On passe à table, je ne me suis pas rhabillé, j'ai troqué mon peignoir contre une robe de chambre. On se sert, Christelle est souriante, elle ne donne pas du tout l'impression de faire la gueule, mais elle ne dit rien.

 

- Tu voulais me dire quelque chose ? Lançais-je.

- Y'a pas le feu !

- Tu m'avais dit qu'on parlerait à table…

-  C'est-ce qu'on fait, on parle !

- T'es bizarre ce soir !

- Mais non, et ton cul, tu as toujours mal ?

- Un tout petit peu !

- C'est bizarre, ça, quand je te mets un gode, ça ne te fait pas mal.

- Une gode et une bite, c'est pas la même chose !

- Ah tu as remarqué aussi ? Se moque-t-elle. On va dire que c'était une expérience ! Donc tu ne la renouvelleras pas ?

- J'ai pas dit ça !

 

J'ai répondu par réflexe !

 

- Tu voudrais recommencer ? Minaude-t-elle.

 

Mais bon sang, à quoi joue-t-elle ? Du coup je ne sais plus quoi répondre.

 

- La femme de Philippe, tu la connais ? Reprend-elle.

- Pas plus que toi, bonjour, bonsoir, je ne connais même pas son prénom.

- Mais si l'occasion se présentait, tu ferais des trucs avec elle ?

- En fait d'occasion, il me semble justement que le voisin nous a tendu une perche !

- Ah oui une perche, elle est jolie sa perche, tu as bien aimé la sucer sa perche ?

 

Elle m'énerve, elle m'énerve !

 

- Ben oui, j'ai bien aimé le sucer ! Voilà, t'es contente ?

- Et t'as bien aimé qu'il t'encule, aussi ! C'était très amusant, tu frétillais d'impatience, tu te demandais s'il allait le faire ou pas !

- Et alors ? Tu ne vas pas me le reprocher ! C'est bien toi qui a tout organisé ? Non ?

- En fait, tu es un suceur de bites et un enculé !

- Et toi tu es quoi ?

- Une salope ! Me répondit-elle le plus calmement du monde. Mais tu n'as pas répondu à ma question.

- Quelle question ? Sa femme ? Ben oui, si elle se pointe pour une partouze, je ne vais pas aller coucher dans la baignoire !

- Je m'en doute bien, tu es un gros cochon.

- Un gros cochon et une salope, on est sans doute fait pour s'entendre.

- Nous y voilà !

 

Qu'est-ce qu'elle va encore me sortir ?

 

- C’est-à-dire ?

- J'aurais préféré qu'on attende demain, la nuit porte conseil et on n'est pas pressé...

- Mais enfin, où veut-tu en venir, tu joues au chat et la souris depuis tout à l'heure.

- Il y a que j'aurais préféré réfléchir un peu plus, mais après tout on peut défricher le terrain ensemble, n'est-ce pas mon gros biquet ?

 

Si je suis son gros biquet, c'est qu'il ne doit rien y avoir de grave !

 

- Bon, alors explique-moi le souci !

- Il n'y a pas de souci, mais il faut qu'on mette les choses sur la table !

 

Et c'est à ce moment que le téléphone portable de Christelle sonna.

 

- Ah ! Bonsoir Vincent ! Tu vas mieux ?

 

Elle me fait signe que c'est le plombier (voir le chapitre précédent) elle branche le haut-parleur.

 

- Oui ça va mieux, je voulais m'excuser pour tout à l'heure, j'ai eu comme un coup de chaud ! Raconte la voix dans le téléphone.

- Mais ce sont des choses qui arrivent…

- Je ne voudrais pas que tu sois fâchée !

- Fâché, non pas du tout, pourquoi est-ce que je serais fâchée ?

- Parce que tu sais, il y a des choses que je n'ai jamais fait.

- Oui, et alors ?

- Je ne voudrais pas que tu penses que je me suis défilé à cause de ça !

- Mais je sais bien, Vincent, tu as les idées larges, et puis tu n'es pas un dégonflé.

 

Christelle me fait un signe me faisant comprendre qu'elle le manipule. Ça va, j'avais compris.

 

- O.K, je suis content que tu ne sois pas fâchée, on se revoit quand ? Demande l'importun.

- Mais quand tu veux, ta jolie bite est toujours la bienvenue. Je parie que t'es en train de bander en ce moment.

- Euh…

- Tu sais comment je suis habillée ce soir, j'ai juste un petit déshabillé transparent en soie, j'ai mes tétons qui frottent contre le tissu, ça les rend tout dur.

 

Je me marre parce qu'en fait elle a une espèce de pyjama d'intérieur qui n'a vraiment rien de sexy.

 

- Arrête, tu m'excites. Répond l'autre anduille.

- Je descends ma main vers ma petite chatte et je me tripote en pendant à ta grosse bite.

- Euh !

- Tu es où là ?

- Dans ma camionnette, je me suis garé, je vais rentrer chez moi.

- Alors préviens ta femme que tu as une urgence, tu peux être là dans combien de temps ?

- Mais ton mari ?

- Mon mari, il est là ! Pourquoi ?

- Euh !

- Il nous regardera, il adore mater, c'est mon petit cocu !

- On ne peut pas remettre ça à un autre jour ?

- Babababa ! Tu as envie, moi aussi, alors tu radines ! Tu ne voudrais quand même pas me décevoir ?

- Ton mari, il regarde et c'est tout ?

- Mais on verra sur place, t'es là dans combien de temps ?

- Oh, vingt minutes.

 

Je n'en crois pas mes oreilles, la situation à l'air d'amuser Christelle.

 

- Bon on se dépêche de manger ce poulet, après faut je retrouve ma nuisette.

- Tu lui dis de venir à ce type et tu ne me demandes même pas mon avis ?

- Non, parce que ce soir, c'est moi qui commande !

- Comment ça ?

- Tu ne veux pas jouer ?

- A parce que c'est un jeu ?

- Oui !

- Et il va se passer quoi d'après toi ?

- On va baiser devant toi, mais avant tu vas lui sucer la bite.

- Et s'il se dégonfle ?

- Je le vire !

 

Un quart d'heure plus tard, Vincent était là.

 

- Tu veux boire quelque chose, une bière ! Lui propose Christelle.

 

Le gars n'arrête pas de reluquer le très beau déshabillé de Christelle, et histoire de le déstabiliser davantage, elle lui met la main à la braguette. Par contre il est gêné par ma présence… mais difficile de reculer maintenant pour lui sous peine de perdre la face.

 

Christelle lui a servi une bière, mais ne lui laisse pas la boire, elle l'enlace, ils s'embrassent se pelotent, très rapidement le pantalon de l'homme dégringole sur ses chevilles, le caleçon ne tarde pas à suivre le même chemin, et le voilà la bite à l'air.

 

Flexion du genou et Christelle se retrouve avec la queue de l'homme dans la bouche. Vincent est aux anges.

 

- On va te sucer à deux ! Lui dit alors ma femme en me faisant signe de m'approcher.

- Euh…

Niko_161204.jpg  

Il est embarrassé, mais ne sait pas comment l'exprimer. Me voilà à genoux aux côtés de mon épouse, elle me refile gentiment le membre gluant de salive et hop le voilà dans ma bouche. Il est 19 heures 30 et la bite du plombier ne sent pas précisément la savonnette, malgré le fait que la bouche de Christelle soit passée avant la mienne. Pas bien grave ! Je lèche le gland, lui titille le méat, donne des grands coups de langues sur la verge, néglige les testicules qui sentent la transpiration. Je ne sais pas comment faire des gorges profondes, j'engloutis donc tout son paquet en le calant au fond de ma joue, puis je pratique une fellation avec mles lèvres en sangsue en faisant avancer et reculer le membre dans ma bouche. Toute une technique ! Ça sert d'avoir vu des films pornos !

 

N'ayant pas l'intention de gâcher le plan de ma compagne, je lui retends la chose. Elle me fait signe de me reculer un peu, puis se relève !

 

- Alors il t'a bien sucé ?

- Ça va ! Répond le plombier, un peu confus.

- T'en es pas mort !

- Non !

- Et moi, ça m'a fait plaisir !

- On va sur le canapé ?

 

Christelle ne répond pas, mais s'y installe en levrette. J'ai une vue imprenable sur son joli cul que je connais par cœur, mais ce doit être l'ambiance, je bande comme un cerf et ne sait pas quoi faire de ma bite.

 

Me sucerait-elle pendant que l'autre la pine ? Je n'ose pas lui demander, elle est trop bizarre ce soir, mais j'attends qu'elle me sollicite.

 

L'autre s'est encapoté et se déchaine dans une série d'impressionnants allers et retours. Christelle lui demande de changer de trou. Le plombier n'attendait que ça, et le voici qu'il encule ma moitié en poussant des cris d'haltérophile sur le retour.

 

Christelle prend son pied en gueulant comme une forcenée. L'autre encouragé force le mouvement et finit par éjaculer en soufflant comme un bœuf.

 

Le gars n'a rien d'un romantique, il décule, se recule, s'éponge le front, vire sa capote et va enfin écluser sa bière.

 

- C'était super, mais maintenant faut que j'y aille. Je vais faire pipi avant.

- Pisse sur mon mari, il aime bien ! Propose Christelle.

- N'importe quoi ! Répond le plombier qui ne comprend pas que la proposition était sérieuse.

 

Christelle n'insiste pas, le gars prend congé, il a le tact de ne pas rouler une pelle à ma femme devant moi, juste un petit bisou comme entre cousins et pour moi une poignée de main avec un petit sourire gêné..

 

En attendant, moi, je n’ai pas joui et je bande toujours. D’un geste de la main je demande à mon épouse de constater l’état de mon membre.

 

- Je me remets en levrette ? Me propose-t-elle.

 

Elle n'attend pas ma réponse et me voilà avec une vue imprenable sur son cul que l'autre andouille vient de labourer et qui est encore tout humide.

 

J'y vais à la hussarde ! Directo dans le trou de balle.

 

- Quelle fougue, ce soir ! Dis-moi, ça ne te gêne pas de passer après le plombier.

 

Je ne réponds pas ! Qu'est-ce que vous voulez que je réponde ?

 

- Ça t'excite d'être mon cocu ? Reprend-elle.

 

Je ne réponds toujours pas, elle m'énerve un peu avec ses réflexions idiotes.

 

- Si tu ne réponds pas, on arrête.

 

Elle en est capable ! Alors elle l'aura voulu !

 

- Et toi ça t'excite de t'envoyer tous les mecs qui passent.

- Bien sûr que ça m'excite, mon petit cocu !

- Je suis peut-être cocu, mais toi t'es une salope !

- Cocu et pédé en plus !

- Si ça peut te faire plaisir, grosse pute !

- Non, je ne me fais pas payer… mais il faudra que j'y réfléchisse, ça arrondirait nos fins de mois.

- Tais-toi, je viens !

- On pourrait passer une annonce : couple vicieux et bisexuel pour assouvir vos fantasmes les plus secrets, oh, ooooh, oh, c'est boooooon !

 

Madame a joui, du coup, elle ne raconte plus de conneries. Encore un effort je ne vais pas tarder à venir…. Ça y est !

 

Grand élan de tendresse, nous nous enlaçons tendrement pendant quelques longues et délicieuses minutes.

 

- J'ai envie de pisser, ça t'intéresse ? Me demande-t-elle au bout d'un moment.

- Non pas maintenant, je suis crevé !

- C'est comme tu veux ! Au fait tu as vu ta bite ?

- Ben quoi ma bite ? Je vais aller me la rincer, t'es pas obligé de regarder.

 

C'est vrai qu'elle n'est pas ressortie intacte de ce petit pilonnage dans le cul de ma belle.

 

- Reste là, je vais te la nettoyer !

- Pas cap !

- Tu vas voir si je suis pas cap !

 

Et avant que j'ai pu dire ou faire quoi que ce soit, elle me prend la queue en bouche et me nettoie du sperme gluant et des choses brunâtres qui s'y étaient agglutinés.

 

Elle me regarde ensuite, tout sourire, pas dégoûtée pour un rond.

 

- C'est la première fois que tu fais ça avec moi…

- C'est la première fois que je fais ça tout court ! Mais je recommencerais !

- Mais enfin, qu'est-ce qu'il t'arrive ?

- Bon assis-toi, on va causer.

 

On s'assoit de part et d'autre de la table de la salle à manger. Christelle allume une cigarette. Elle semble hésiter à se lancer.

 

- Bon, j'ai un peu de mal à faire le tri dans mes idées. J'aime le sexe et aimer le sexe, ça veut dire aimer le changement. Il n'est pas question en ce qui me concerne de remettre en cause notre vie en couple, mais toi t'en pense quoi ?

- Il est où le problème, on tolérait nos écarts, aujourd'hui on a été un peu plus loin, j'ai trouvé ça comment dire…

- Excitant ?

- Oui, et puis ça change !

- Hummm, disons que jusqu'à présent je gardais quelques-uns de mes fantasmes sans t'en parler. Maintenant je ne vois pas pourquoi on se gênerait

- Oui mais alors il est où le problème ?

- Le problème c'est que si tu te figures que je vais renoncer à m'envoyer en l'air quand tu es au travail tu te fous le doigt dans l'œil.

- Tu m'as bien demandé de rompre avec Julie (voir la première partie)

- C'est pas pareil, Julie, c'est une liaison, et avoir une liaison c'est prendre le risque de provoquer une rupture. Je n'ai aucune envie de ne plus vivre avec toi ! Mais bon, je ne suis pas derrière toi et je ne vais pas aller te surveiller, mais ce serait con qu'on se quitte d'autant que maintenant on va partouzer ensemble.

- Mwais…

- Pas convaincu ?

- Faut que je prenne du recul.

- Aujourd'hui tu as sucé deux bites et tu t'es fait enculer, t'as eu besoin de prendre du recul pour ça ?

 

Touché !

 

- C'était un fantasme !

- N'empêche que tu recommencerais bien ?

- Oui !

- Alors je te propose ceci : A l'extérieur on fait comme avant, sauf que si on se racontait nos petits écarts ce serait encore mieux. Ici c'est moi la chef, c'est moi qui organise tout.

 

Si ça peut lui faire plaisir.

 

- Parce que moi je ne peux rien organiser ?

- Non, parce que je n'ai pas envie que tu me ramènes des mecs qui ne me disent rien... Et puis je préfère, comme ça, tu seras mon petit cocu ! Tu te rends compte la chance que tu as, je m'envoie des tas de mecs…

- Des tas ?

- C'est une expression, donc je m'envoie des mecs, mais c'est avec toi que je partage ma vie !

- Bon, et bien on n'a qu'à essayer de faire comme ça quelque temps et on verra bien si ça nous convient ! Répondis-je mettant un terme à cette discussion surréaliste.

 

Et je me lève pour aller pisser. Mais voilà que Christelle recommence à parler. Une vraie pie, ce soir !

 

- Il faut que je te dise, j'ai eu une liaison !

- Ah !

- Oui avec une femme !

- Je la connais ?

- Peut-être, c'était Mylène, la petite blackette qui travaillait à la pharmacie, elle a déménagé depuis…

- Celle avec les cheveux bouclés ?

- Oui !

- C'est vrai qu'elle était mignonne !

- Oui et une belle cochonne ! Elle m'a fait faire de ces trucs !

- Ah !

 

Ça y est, je vais avoir droit au détail de ses galipettes…

 

- Quand je lui léchais la chatte, elle partait au quart de tour. Et je ne te dis pas la fontaine, la première fois elle m'avait demandé une serviette, je me demandais pourquoi après j'ai compris.

- Ah ?

- Et puis, fallait voir comment elle me léchait, une artiste !

- Et elle t'a dragué comment ?

- C'était pas de la drague, en fait, un jour je lui ai demandé conseil pour une crème épilatoire non allergique, on s'est mise à délirer et puis de fil en aiguille…

- Je vois !

- Oui une sacrée cochonne !

 

Mais non, elle n'insiste pas, c'est une idée !

 

- Bon alors tu meurs d'envie de me raconter ce qu'elle faisait comme cochonneries, alors vas-y, je t'écoute.

- Mais non, tu vas être choqué !

- Choqué, moi ?

- Oui !

- Raconte !

- On jouait souvent à des jeux de pipi, un jour elle était à califourchon sur la cuvette, et elle m'a dit qu'elle voulait faire caca et que si ça me gênait de voir ça, il faudrait mieux que j'aille l'attendre à côté.

- Et alors t'es restée ?

- Oui, et ça m'a excité ! Alors je ne sais pas ce qui m'a pris, mais elle m'a proposé sans que je sache si elle plaisantait ou pas, de l'essuyer avec ma langue, ben je l'ai fait.

- Et ben ! Mais ne compte pas sur moi pour jouer à ces trucs-là !

- Je ne te le demande pas !

 

Et voilà qu'elle me met la main sur la braguette.

 

- N'empêche que ça t'a fait bander ma petite histoire.

- Je bande facilement ! Mais pas touche, j'ai un peu mal à la bite après toutes ces excitations.

- Ma pauvre bibiche.

 

Samedi soir

 

Christelle avait organisé "le coup" avec Philippe. Il viendrait avec sa femme pour prendre l'apéritif, elle serait prévenue de la tournure que pourrait prendre les événements, mais il avait été convenu que si des réticences apparaissaient, on en resterait là.

 

- Je vous présente Sophie ! Nous dit Philippe

 

Sophie est une jolie brune, elle a soigneusement soigné son maquillage pour venir chez nous s'est probablement rendue chez le coiffeur dans la journée. C'est en tout cas la première fois que je la vois de si près.

 

Pas coincée la Sophie qui nous fait la bise avec un joli sourire.

 

Elle enlève son manteau et là où je pensais découvrir une tenue sexy, je n'ai droit qu'à un gros pullover nordique et à un jean.

 

On s'assoit, je sers l'apéritif. On ne sait pas comment commencer, alors on fait comme tout le monde, on parle du temps qu'il fait. C'est d'une originalité !

 

Sophie ne me regarde pas, je ne dois pas être son genre, en revanche elle dévisage Christelle avec une insistance non dissimulée.

 

Un ange passe, les considérations météorologiques ne sont pas inépuisables. En principe après on passe à l'évocation des vacances…

 

Pas cette fois puisque Sophie prend la parole.

 

- Bon autant entrer dans le vif du sujet, Philippe m'a expliqué ce qu'il souhaitait. Moi je ne souhaite rien, mais je ne suis pas contre.

 

Nous répondons Christelle et moi d'un sourire entendu.

 

- Disons que je ne suis pas contre le fait d'essayer ! Tient-elle à préciser.

 

Un blanc, personne ne dit plus rien ! Dois-je proposer à ces braves gens que nous déshabillions tous ?

 

Sophie reprend :

 

- Philippe m'a raconté que vous vous étiez enculé, j'avoue que j'aimerais assez voir ça !

- Vous ne l'avez jamais vu faire ? Demande Christelle.

- Tutoyons nous ! Si je l'ai vu, mais c'était il y a assez longtemps, les circonstances conduisant à ce genre de choses ne sont pas si fréquentes.

- Tu voudrais qu'on commence par faire un petit spectacle ? Propose Philippe.

- Oui, mais ça me plairait assez d'en être l'organisatrice. Ça vous dit ?

 

Pas d'objection.

 

- Alors voilà, les garçons mettez-vous debout l'un en face de l'autre, Christelle, vient à côté de moi !

 

Le programme ne me déplaît pas, mais j'ai comme l'impression que je ne baiserais pas Sophie ce soir. Je me bois une rasade de Martini et j'obtempère.

 

Me voilà en face du Philippe.

 

- Embrassez-vous sur la bouche en vous touchant la braguette, vous faites ça jusqu'à ce vous bandiez tous les deux.

 

Ça commence mal, j'ai déjà eu des réticences à embrasser l'autre zouave l'autre jour, qu'est- ce que vous voulez, ce n'est pas mon truc, mais je ne vais pas commencer à casser l'ambiance alors que les choses commencent à peine !

 

Je me laisse embrasser mollement, son visage pique, il aurait pu se raser avant de venir, ce con !

 

Ce qui se passe plus bas est plus intéressant, la main de Philippe qui me touche la bite à travers le tissu de mon pantalon, parvient à la faire bander assez rapidement. La mienne ne chôme pas et je sens bientôt sa quéquette grossir et se raidir.

 

Sur le canapé, Sophie commence à se faire entreprenante, elle a sa cuisse collée contre celle de Christelle, laquelle accepte cette timide approche avec un large sourire...

 

- Baissez vos pantalons et le reste, on veut vous voir la bite à l'air tous les deux.

 

Ce n'est pas un problème, je retire tous le bas, m'en vais précautionneusement déposer tout cela sur un dossier de chaise, Philippe fait de même, et nous reprenons nos places l'un devant l'autre attendant les instructions de ces dames.

 

Ces dames justement en sont aux caresses sur les cuisses et sur les bras, leurs visages se rapprochent et les voilà qu'elle se roulent un patin.

 

Ne voulant pas rester à ne rien faire, j'avance ma main vers la bite de mon partenaire et commence à la tripoter. Ce contact me plait décidemment beaucoup, c'est doux, c'est chaud, c'est attendrissant. Evidemment il me rend la politesse, c'est un homme bien élevé.

 

- Mais qu'est-ce qu'ils font ces deux-là, se moque Sophie ! Je ne vous ais pas donné l'autorisation de vous tripatouiller. Bon, vous allez vous sucer ! Mais qui suce l'autre en premier ? Tu en penses quoi Christelle.

- Je te laisse décider !

- Alors, vas-y Philippe, suce la bonne bite de Gaëtan. Mais avant finissez de vous mettre à poil.

 

Et voilà le Philippe à genoux devant moi, ma queue dans sa bouche en train de s'appliquer. Il suce bien, mais il se trouve que je préfère sucer qu'être sucé, mais mon tour viendra ensuite, du moins je l'espère.

 

Un coup d'œil sur la banquette où ces dames sont de plus en plus débraillées, Sophie à le pantalon et la culotte sur les cuisses et par conséquent la chatte à l'air, tandis qu'un sein s'est échappé du soutien-gorge de Christelle.

 

- On ne voit rien ! Proteste Sophie. Non ne bougez pas, j'arrive.

 

La voilà qui se lève au grand dam de Christelle qui n'a plus personne à peloter. Elle se colle derrière mon dos et m'attrape mes bouts de seins qu'elle entreprend de tournicoter dans tous les sens. Du coup ma bandaison activée par la langue agile de Philippe est à son maximum.

 

Ce délicieux moment ne dure, malheureusement pas très longtemps car Sophie toujours en maîtresse de cérémonie, nous fait intervertir les rôles.

 

Me revoilà avec une bite dans la bouche, je vais devenir un spécialiste, si ça continue ! Mais j'adore ça, je le confesse, c'est doux, c'est délicieux, c'est follement pervers.

 

Il faut croire que regarder son mari se faire sucer n'intéresse pas Sophie qui est retournée sur le canapé aux côtés de Christelle, Les deux femmes se déchainent maintenant. A moitié nues, elles s'embrassent, se caressent, se lèchent et se tripotent la chatte. Joli spectacle !

 

- Si on se mettait en 69 ? Propose Philippe.

 

Pourquoi pas ? Je n'ai jamais pratiqué ce genre de chose avec un homme, mais je me dis que sucé et être sucé en même temps, ça ne peut-être que tout bon, n'est-ce pas ?

 

On se met en position, non pas l'un sur l'autre mais un peu de côté, et on commence

 

- Eh ? vous faites quoi les deux pédés ? Intervient Sophie !

- Ben ça se voit non ? Rigole Philippe.

- Relevez-vous !

 

Il ne discute pas ! A mon avis il aime bien jouer les soumis, je fais pareil, je ne vais pas rester tout seul par terre.

 

- Face à nous, qu'on voie bien vos bites ! Oh ! Mais dites-moi, ça bande bien tout ça ! Ça vous a bien excité de vous sucer la bite, bande de tarlouzes ! Branlez-vous un peu qu'on voie comment vous faîtes. Mais non pas chacun de son côté, branlez-vous mutuellement voyons !

 

C'est vrai que ce n'est pas désagréable du tout de branler une bite qui n'est pas la sienne, c'est agréable, c'est vivant et puis c'est tellement pervers !

 

- Lequel va enculer l'autre ? Demande Sophie avec un air faussement innocent.

- Soit tu choisis, soit on tire à pile ou face ! Répond Christelle.

- Si tu me laisses choisir, je voudrais que ce soit Philippe qui se fasse enculer.

 

Et moi qui espérait le contraire. Pas de bol ! Tant pis ce sera pour une autre fois, s'il y a une autre fois, ou tout à l'heure si je suis encore motivé.

 

Je prends une capote dans la boite que j'avais placé intentionnellement sur la bibliothèque, et je me l'enfile, j'ouvre aussi une dosette de gel.

 

Philippe est déjà en position. En levrette, le cul cambré, les fesses écartées, je l'ai déjà dit : mes fantasmes en matière de bisexualité vont essentiellement du côté passif, et ce cul, s'il ne me laisse pas complétement indifférent ne m'excite pas tant que ça. Je m'approche, j'aurais pu doigter, lécher, mais je n'ai pas envie, ça ne se commande pas. Je lui tartine le cul avec un peu de gel ! Et vas-y Léon, je rentre là-dedans et commence à m'activer, je rentre, je sors, je fais ressort ! C'est mon zizi qui fait du sport !

 

J'ai un peu peur de débander, ça m'embête un peu, je ne voudrais pas que cette affaire tourne au fiasco. J'essaie d'invoquer mes fantasmes mais ça ne le fait pas trop bien, je lorgne du côté de Sophie mais elle est tellement emmêlée avec Christelle que je ne vois pratiquement rien.

 

- On peut peut-être intervertir les rôles ? Proposais-je à la cantonade.

- Continue, j'arrive ! Me répond Sophie.

 

Elle arrive pour quoi faire ?

 

Sophie est maintenant quasiment à poil si l'on excepte ses chaussettes. C'est vraiment une jolie femme, pas un canon, mais mignonne comme un cœur, elle a une jolie poitrine juste un peu lourde avec de jolis tétons bruns et arrogants. Bandante la fille !

 

Elle passe derrière moi et comme tout à l'heure me pince les tétons, du coup mon érection s'optimise de nouveau, d'autant qu'elle colle les siens (de tétons) contre mon dos, je ne vous dis pas l'effet que ça me fait.

 

Je redouble d'ardeur et ce qui devait arriver arriva, je ne peux plus me contrôler, je pilonne comme un dingue, je m'excite, je pilonne de plus en plus vite et finit par jouir comme un charretier dans le trou de balle de Philippe.

 

Je décule, me débarrasse de la capote dans un kleenex et vais pour me diriger vers la salle de bain pour me faire une rincette, mais Philippe veut me sucer la bite pour en lécher le sperme. Philippe est un cochon.

 

- Tu l'as bien enculé, ce pédé ! Me félicite Sophie.

 

Et la voilà qui se vautre sur le canapé, les jambes en l'air en demandant à Christelle de venir la lécher.

 

Je m'assois dans un fauteuil, je regarde, c'est beau ! Philippe vient debout près de moi, je ne sais pas ce qu'il veut, il ne dit rien, alors on regarde tous les deux. Sophie ne tarde pas à jouir dans un vacarme épouvantable.

 

Heureuses femmes qui peuvent jouir sans presque discontinuer. Elles ont interverti les rôles, Christelle qui se fait maintenant lécher la chatte par Sophie fait signe à Philippe de s'approcher et lui suce la bite.

 

Tout ce petit monde finit par prendre son pied.

 

- Je vais pisser ! Ça intéresse quelqu'un ? Demande Sophie.

 

Bien sûr que ça m'intéresse, mais Christelle m'a devancé. On ne rentrera pas à trois dans la salle de bains qui n'est pas bien grande. Mais l'image de Sophie pissant d'abord sur les seins de ma compagne, puis dans sa bouche hanta longtemps mes nuits d'insomnies.

 

Philippe et Christelle devaient déménager en province, on devait se revoir avant, ça ne s'est pas fait. On devait rester en contact, on s'est envoyé quelques mails… et puis comme on dit loin des yeux loin du cœur.

 

Mais, Christelle est restée la même, pas facile de trouver des amants qui acceptent qu'on les regarde, et encore moins qu'on participe. Je lui ai donc suggéré de passer une annonce. Ça ne marche pas si mal que ça et en ce moment elle voit régulièrement Fredo, il baise ma femme devant moi, il aime bien que je le suce et parfois il m'encule.

 

Je suis cocu mais content !

 

Nicolas Solovionni, novembre 2016

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Niko
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Jeudi 1 décembre 2016 4 01 /12 /Déc /2016 07:22

J'suis cocu mais content

1 Partage de bite

par Nicolas Solovionni

 

BiteFlag

 

Quand je me suis mis en ménage avec Christelle, une collègue de bureau, nous étions conscients que, très portés sur le sexe et la recherche de nouveaux partenaires, l'un et l'autre, la vie commune n'y mettrait pas un frein absolu. Nous avions donc convenu que nous tolérerions nos écarts mutuels à la double condition qu'il ne s'agisse pas de liaisons durables et que ça ne perturbe pas notre vie de couple.

 

C'est très beau la théorie ! Et c'est ainsi que pendant 7 ans, nous avons mené une vie de couple sans problème majeur. Ayant obtenu rapidement une intéressante promotion professionnelle, je suggérais à Christelle de rester à la maison, ce qu'elle accepta volontiers. Je trompais régulièrement ma femme, mais j'étais persuadé qu'elle n'en savait rien, J'étais également persuadé, allez donc savoir pourquoi, qu'elle, de son côté ne me trompait pas…

 

Qui a dit "Un homme intelligent ne rentre jamais chez lui en avance sans prévenir" ? Pour avoir oublié ce sage précepte, j'ai failli commettre une belle erreur.

 

Ce jour-là, j'en avais fini plus tôt que prévu avec un client et n'ayant rien de spécial à faire je décidais de rentrer à la maison. Il était 17 heures. Je rentrai, je cherchai ma femme, ne la trouvai pas !

 

- Christelle !

 

Pas de réponse, mais j'entends le bruit de la douche, je vais vers la salle de bain, j'ouvre, elle pousse un cri !

 

- Christelle, qu'est ce qui se passe ?

- Ben, rien j'avais envie d'une douche, tu m'as fait peur.

 

Je la laisse terminer et rejoins le salon, un verre et une canette de bière vide traînent sur la table. Bizarre, Christelle ne boit jamais de bière. Quelqu'un est venu ! Christelle me dira qui !

 

Justement la voilà qui revient emmitouflée dans son peignoir.

 

- Comment ça ce fait que tu es déjà là ?

- Tu n'es pas contente de me voir ?

- Si bien sûr, mais je demande ça comme ça.

 

Je lui explique.

 

- Et toi rien de neuf ?

- Ben non rien ! Répond-elle

 

Je ne comprends pas, si quelqu'un est venu, elle devrait me le dire ! Je n'avais jusqu'à présent aucun soupçon et c'est en toute innocence que j'en ajoute une couche :

 

- La routine quoi ? T'as vu personne ?

- Non, pas un chat…

 

Et soudain son visage rougit, elle vient de réaliser la présence de la canette et du verre sur la table.

 

- Enfin, si… il y a un représentant qui s'est pointé, il m'a cassé les pieds, il voulait me vendre des encyclopédies. Je l'ai foutu à la porte.

 

Elle ment, je le sais, bien sûr on peut toujours offrir à boire à un vendeur à domicile, puis le virer après, mais je n'y crois pas. J'ai le choix entre deux stratégies : ou bien je lui mets le nez dans ses contradictions, et ça va tourner en crise conjugale, ou bien j'écrase le coup. J'opte pour la deuxième solution après avoir respiré un grand coup.

 

- Tous des cons les représentants, moi je ne lui aurais même pas offert à boire !

- Il avait soif !

- Bon qu'est-ce qu'on mange ?

- Attends il n'est pas l'heure ! Me répond-elle toute étonnée de s'en sortir si bien.

- Je mangerais bien des pâtes !

- Pourquoi pas ?

 

Dès que je peux, je me faufile dans la salle de bain. J'ouvre la poubelle, je fais l'inspection des kleenex qui y sont déposés, et c'est ainsi que très rapidement j'en trouve un, enveloppant un préservatif usagé ! La salope !

 

J'encaisse le coup me disant que le jour où elle me reprochera mes écarts si elle arrive à être au courant, j'aurais un argument en or. Je te trompe, tu me trompes, on est quitte, et d'ailleurs n'est pas ce qu'on avait convenu plus ou moins au départ ?

 

Ça c'est la théorie ! Parce qu'en fait les jours suivants je me suis demandé qui pouvait bien être le salopard qui tronchait ma femme pendant que je bossais pour ramener l'argent du ménage.

 

Je me suis pris la tête pendant plusieurs jours, je voulais absolument savoir s'il s'agissait d'une toquade ou d'une liaison. Comment savoir ? Partant du faux postulat selon lequel les liaisons adultérines se font à jours fixes, je décidais de me mettre en faction le jeudi suivant, en milieu d'après-midi. Après avoir garé ma voiture dans la commune voisine, je louais un véhicule et me postais non loin de l'entrée de mon pavillon. Je n'avais plus qu'à attendre. Vers 16 heures une camionnette se gare devant la grille. C'est le plombier ! Zut alors il y aurait donc une fuite à la maison ? Christelle a appelé le plombier alors que j'aurais peut-être pu faire moi-même la réparation. Une envie folle de l'appeler sous un prétexte quelconque afin de savoir ce qui se passe. Mais j'hésite, je lui téléphone très rarement quand je suis au travail et elle risque de trouver ça bizarre. J'attends donc, le plombier repart au bout d'une heure… A 18 heures n'ayant rien observé de particulier, je m'en vais rendre la voiture et sans me presser me voici à la maison à 19 heures.

 

- Bonsoir Chérie, en forme ?

- Ça va !

- Rien de spécial ? Il y a du courrier !

- Pas de courrier et rien de spécial ! Me répond-elle.

 

Mais pourquoi ne me parle-t-elle pas du plombier ? Elle aurait fait une bêtise qu'elle n'a pas su réparer et ne veut pas m'en parler ? A moins que ce soit lui l'amant ? Je me faufile discrètement dans la salle de bain et refait la même inspection poubelle que l'autre fois. Quand je trouve la capote, je deviens blême ! Je fais quoi ? Je fais quoi ?

 

- Tu n'as pas l'air bien Gaétan ?

- C'est la fatigue.

 

J'eus du mal à trouver le sommeil le soir, le salopard étant identifié je ne pouvais m'empêcher de l'imaginer en train de tripoter les seins et les fesses de ma femme. Je m'imaginais aussi Christelle occupée à lui sucer la queue, en train de se faire prendre dans toutes les positions, en train de se faire sodomiser… et voilà que la chose me faisait bander. Ne pouvant rester comme ça, je sollicitais madame qui manifesta le désir de dormir tranquille. Je me levais donc et allais me masturber dans la salle de bain.

 

Le lendemain vendredi, je devais coucher avec Julie, une collègue, pendant la pause de midi. Alors que d'habitude je prends mille précautions afin de ne pas être repéré, sans doute est-ce mon inconscient qui me poussa à lui rouler une galoche à la sortie du bureau.

 

- Tu es fou ! Tout le monde va nous voir !

- Je m'en fous !

- Oui, mais pas moi, me précisa la jeune femme.

 

Mais le mal était fait, dans les gens qui nous avait vu, il y avait Marie, une vielle peau… qui avait été la collègue de Christelle quand celle-ci travaillait encore… mais n'anticipons pas.

 

Je baisais ce jour-là Julie avec une frénésie inhabituelle, plus préoccupé par les images de mon épouse en train de se faire prendre comme une chienne par cet abruti de plombier, que par le corps de ma jolie partenaire. Elle m'en fit le reproche.

 

- Décidément aujourd'hui tu es bizarre !

- Ce doit être le surmenage.

 

Je me réveillais le samedi matin avec une drôle d'idée : J'avais envie de regarder ma femme faire l'amour avec son amant. Le bas de la fenêtre de la chambre étant à deux mètres de hauteur, je commençais à installer négligemment une vieille chaise de jardin au pied du mur, puis pendant que madame fut parti faire une course, je pratiquais un trou gros comme une pièce de deux euros dans une lame du volet.

 

Le jeudi suivant j'avais hâte de me libérer, je ne pus le faire aussi tôt que souhaité, je choisis donc de garer ma voiture dans une rue adjacente et arrivait à pied à la maison. La camionnette de ce salaud de plombier était bien là. J'entrais discrètement, contournais le pavillon, constatait que les volets de la chambre avait été fermés et montait sur la chaise de jardin. Je m'approchais de l'ouverture et…

 

Il n'y avait pas que le plombier, il y avait aussi le voisin ! Quel salaud celui-là aussi. Et il était en train de sauter ma femme tandis qu'elle suçait la bite du plombier. Le voisin n'y allait pas de main morte faisant trembler le plumard. Ma femme était en sueur, belle, épanouie, bandante, et d'ailleurs je bandais…

 

C'est alors que je ne sais ce qui m'a pris, je veux décoincer mon sexe, prisonnier de ma braguette, je recule un peu, perd l'équilibre, tente de me rattraper au rebord, fait bouger le volet et me retrouve sur la pelouse les quatre fers en l'air. Je me précipite comme je peux sur le côté de la maison alors que j'entends les volets qui s'ouvrent. J'ignore si elle m'a vu, mais elle a dû remarquer la chaise renversée… Je me cache, espérant qu'elle ne va pas entamer une battue, j'attends cinq minutes, personne ne sort à l'extérieur. Je détale, rejoins ma voiture et vais faire un tour. En voulant me rattraper au rebord, je me suis écorché l'intérieur de l'avant-bras. Ça saigne, ma chemise est déchirée et toute tachée. Et en plus j'ai le cul de mon pantalon plein de terre. Qu'est-ce que je vais raconter à Christelle ?

 

- J'ai glissé en sortant de la voiture, j'ai le bras tout abîmé !

- Oh, mon pauvre biquet, je vais t'arranger ça !

 

Un peu plus tard, je fais un tour sur la pelouse, la chaise de jardin a été retirée, Christelle n'est pas complètement folle. Mais sait-elle que c'est moi qui en suis tombé ?

 

Pas de plan pour le jeudi suivant, remplacer la chaise par des parpaings, pourquoi pas, ce sera plus stable ? Mais j'ai une meilleure idée : celle d'installer une micro caméra… mais bon il faut que j'aille acheter tout ça, que j'installe, ça me prend un peu la tête.

 

Et puis le vendredi suivant les choses se sont précipitées. Après avoir passé une heure de galipettes érotiques en compagnie de la pulpeuse Julie, je rentrais… Christelle vient à ma rencontre, et au lieu du petit bisou habituel, elle me roule un patin. Voilà qui est déjà surprenant, mais ce qu'il l'est encore davantage, c'est qu'elle n'est vêtue que d'une petite nuisette rose transparente que je lui avais offert il y a deux ans et qu'elle n'avait pratiquement jamais portée. Ses tétons dardent à travers le tissu, c'est très joli.

 

- Gaétan, je veux que tu me prennes comme une chienne !

- Christelle, tu es sûre que ça va ?

- Ça va très bien, je n'ai pas bu une goutte d'alcool, je n'ai rien fumé, je m'ai pris aucune médicament. Je suis simplement excitée comme une puce et je t'attendais avec impatience…

- Mais…

- Alors il faut que je fasse quoi, pour que tu viennes dans la chambre ?

- On ne peut pas attendre un peu, je suis un peu fatigué…

- Fatigué ? Ah, oui, mais ce n'est pas un problème, c'est moi qui ferait tout le boulot.

 

J'avoue ne pas comprendre son attitude. Une crise de nymphomanie ? Un fantasme de "revenez-y" après m'avoir trompé à tour de bras ? Je finis par céder d'autant plus que sa main sur ma braguette finit par produire l'effet voulu. Je me déshabille et elle me demande de me coucher sur le dos.

 

Elle attaque par une pipe classique. Christelle a toujours très bien sucé, elle suce mieux que Julie… assez vite elle s'empale sur moi et me chevauche avec frénésie. Elle monte un peu trop haut, ma bite sort de son sexe, elle la reprend avec la main, je crois alors qu'elle va la replacer… non pas tout à fait, elle la dirige vers son anus, me demande de ne pas bouger et très lentement s'empale. Bon, ce n'est certes pas la première fois que l'on pratique ce genre de choses ça mais c'est très rare, et ça a toujours été à ma demande ! Qu'est-ce qu'il lui arrive ?

 

Ma queue introduite, elle commence à coulisser !

 

- Alors t'aime ça, avoir ta bite dans mon cul, hein salaud ?

- Tu m'a l'air en pleine forme !

 

C'est à ce moment qu'est venu le trait assassin :

 

- Et Julie, est-ce que tu l'encules aussi ?

- Pardon ?

- Je te demandais si tu enculais Julie ?

 

Je ne réponds pas, hésitant sur la tactique à adopter. Elle est quand même gonflée de me reprocher mes écarts après ce qu'elle fait de son côté.

 

- Tu ne réponds pas, hein salaud ! Reprend-elle en freinant le rythme de ses va-et-vient.

- Qu'est-ce que tu veux que je te réponde ?

- Tu l'encules ou pas Julie ?

- Ben, non ! Mentis-je

- Et tes autres penchants dégoûtants, tu lui en as parlé à Julie, ou tu t'es dégonflé ?

- Je n'ai pas de penchant dégoûtant !

- Ah, non et quand on se pisse dessus, c'est pas dégoûtant ?

- Non, c'est un jeu.

- Et quand tu me nettoie le trou du cul, c'est pas dégoûtant, peut-être ?

- Il n'y rien de dégoûtant entre deux personnes qui s'aiment !

- Et quand je te fous un gode dans le cul, c'est pas dégoûtant ?

- Non, et d'ailleurs à ce propos…

- T'en a envie, hein, tu aimerais ça en ce moment un gros gode dans ton cul de salope ?

- Pourquoi pas ? Temporisais-je.

- Et après je te le ferais lécher ?

- Si tu veux !

- Et c'est pas dégoûtant ça peut-être ?

- Mais, non, c'est rigolo !

- Elle le sait Julie que tu te fais mettre des trucs dans le cul.

- Mais non !

- Ben alors pourquoi tu vas avec elle, si c'est pour lui faire l'amour à la papa-maman ?

- Christelle, arrête avec ça !

- Non j'arrête pas, tu n'oses pas lui dire ? Hein ? Tu as peur pour ta réputation de macho ! Mais finalement ce que tu aimerais bien c'est une vraie bite dans le cul ? Si ça se trouve, tu me trompes aussi avec les hommes, je te verrais bien en train de sucer des grosses bites…

- Arrête Christelle, je vais jouir !

- C'est pas un problème, avec moi tu peux faire tout ce que tu as envie, il suffit de me le dire et il suffit que je sois d'accord.

 

Elle accélère, je vais éclater, j'éclate ! Elle se retire, je vais pour l'enlacer, mais elle se dégage, puis me balance une énorme provocation :

 

- Quand je pense que moi, je ne t'ai jamais trompé !

 

Trop c'est trop, et c'est presque par réflexe que je réponds :

 

- Sauf avec le plombier et avec le voisin !

- Ben oui, sauf avec le plombier et le voisin… Qu'est-ce que tu veux, ils ont des belles queues, elles te plairaient. Et d'ailleurs tu as du les voir, dommage que tu sois tombé, tu les aurais encore mieux vu.

- Bon, Christelle il faut qu'on cause !

- Ben c'est ce qu'on est en train de faire, non ? Je constate simplement que tu n'as pas respecté nos accords, moi je baise mais je n'ai pas de liaison, toi tu en a une.

- Mais non !

- Tais-toi, je sais tout… alors, juste une question, ça t'intéresse que je demande le divorce ?

- Mais pas du tout, pourquoi cette question, c'est dans tes intentions ?

- Pas pour l'instant. Mais je vais te demander deux choses : La première c'est de prendre tes distances avec Julie, c'est possible ça ?

- C'est possible, oui, mais toi tu vas prendre tes distances avec tes deux zigotos.

- Non parce que je te le répète, ce n'est pas une liaison et d'ailleurs pour te le prouver, je vais te demander la deuxième chose…

 

Sa parole reste un moment suspendue…

 

- C'est de te joindre à nous !

- Tu es folle ?

- Non, je leur en ai parlé, le voisin serait ravi que tu lui suces la bite, le plombier est un peu plus réticent mais il n'a pas dit non.

- Tu es vraiment atteinte !

- Je te laisse réfléchir.

 

A table, nous avons parlé d'autre chose, et j'avais du bricolage à faire le week-end, ce qui fait que nous n'avons ni l'un ni l'autre abordé de nouveau le sujet. J'étais partagé, laisser tomber Julie qui commençait par être collante n'était pas une mauvaise idée, d'autant que je pourrais facilement trouver à la remplacer… Mais c'est bien sûr la seconde proposition qui me préoccupait. D'un côté accepter me plaçait dans le rôle du cocu qu'on humilie. De l'autre la perspective de voir ma femme se faire baiser à quelques centimètres de mes yeux, et avoir la possibilité d'assouvir mes fantasmes bisexuels ne me laissait pas indifférent. Le dimanche soir, Christelle me demanda :

 

- Alors on fait ça jeudi après-midi ou tu préfères un autre jour ?

- On va dire Jeudi, mais je ne suis pas encore bien sûr !

- Je vais t'aider, le voisin est quelqu'un de très bien, l'autre on fera avec. Je saurais faire… Compte sur moi, ce sera moi qui dirigera les opérations en cas de cafouillage.

- Mouais…

- Mais attention, rien avec Julie en attendant Jeudi, je serais au courant…

 

Cette dernière condition ne fut pas trop difficile à remplir, Julie ayant pris une semaine de vacances.

 

Le jeudi suivant, je pris donc mon après-midi. Christelle m'avait demandé de n'arriver que vers 16 heures, après que les deux autres soient arrivés, afin qu'elle puisse mettre un dernier pli à "l'organisation de la chose."

 

Le voisin, Philippe travaille dans la restauration d'entreprise, il est donc libre assez tôt dans l'après-midi et rentre avant son épouse… Voilà une situation qui peut être pratique ! Je ne l'ai jamais fréquenté, juste bonjour bonsoir, mais il a un abord sympathique, la quarantaine petite barbiche, bonne bouille. Gilbert, le plombier approche la soixantaine, cheveux (du moins ce qui lui reste) blancs et grosse moustache assortie, une bonne figure de bon vivant.

 

Christelle m'accueille, radieuse, elle a remis la nuisette de l'autre jour, sauf qu'aujourd'hui elle n'est pas nue en dessous.

 

- Bonjour mon chéri ! Me dit-elle avant de m'embrasser.

 

Et elle fait les présentations.

 

- Voici donc Gaétan, mon petit cocu ! Philippe et Gilbert, avec qui j'ai fait des choses un peu coquines.

 

Je serre la main des deux zouaves, le plombier est mal à l'aise, mais mal à l'aise, ce n'est rien de le dire, par contre, le voisin lui, il assume :

 

- Je voudrais vous féliciter, ainsi que Madame pour votre ouverture d'esprit ! Si seulement tout le monde était comme vous il y aurait moins de problème.

- Ce n'est pas toujours facile de faire évoluer les mentalités ! Répondis-je histoire de dire quelque chose d'un peu profond.

- Alors dites-moi, Christelle m'a dit que vous étiez un peu bisexuel ? Reprend-il.

- Bisexuel, c'est un grand mot, mais disons que je n'ai rien contre le fait de faire des trucs avec des messieurs, si l'ambiance s'y prête.

- Tout à fait d'accord avec vous ! Mais l'ambiance, on peut la créer, non ?

- On peut essayer, Oui ! Répondis-je.

- Alors d'accord, on va essayer ! Intervient Christelle.

 

Elle vient alors s'intercaler entre Philippe et moi, et pose chacune de ses mains de façon ostensible sur nos braguettes respectives. Je ne tarde pas à bander. Les fermetures éclair se défont sous ses mains expertes, Elle farfouille dans les caleçons, c'est la bite du voisin qui jaillit de sa cachette la première. Joli engin. Christelle la branlotte un petit peu, puis s'occupe de moi. Nous voici tous les deux la bite à l'air, elle nous fait signe de nous rapprocher. Et voilà que de façon presque naturelle, nous nous mettons à nous masturber mutuellement.

 

Christelle nous laisse et se dirige vers le plombier, blanc comme une craie, elle lui touche la braguette à son tour, mais il ne réagit pas, ou du moins pas comme prévu.

 

- Je vais peut-être vous laisser, je ne suis pas très bien. Objecte-t-il.

- C'est vrai que t'es tout pâle, constate ma femme.

- Oui, je vais rentrer m'allonger…

 

Il s'en va en grommelant un au revoir à peine audible.

 

- Et oui ça s'appelle la différence entre la théorie et la pratique ! Commente Philippe.

- Continuez donc messieurs, nous encourage Christelle.

 

Spontanément nous reprenons chacun la bite de l'autre dans notre main.

 

- Ton charmant cocu a une très belle bite, me donnes-tu l'autorisation de la sucer ?

- Je crois que vous seriez contrarié tous les deux si je t'en empêchais, non. Allez suce lui sa bonne queue.

 

J'aurais préféré le contraire, mais dans une party il faut faire des concessions, me faire sucer par un homme ne me dérange pas, d'autant que la plupart du temps ils font ça très bien, mais le plaisir est purement physique, pas cérébral.

 

- On va peut-être aller dans la chambre, on sera plus à l'aise ? Propose Christelle.

 

Christelle_party01.jpgOn y va, on se met à poil tous les trois, et Philippe attaque de nouveau ma queue tandis que Christelle pompe la sienne.

 

Je suis dans une disposition un peu contradictoire, d'un côté je suis excité comme un pou, de l'autre, j'aimerais bien inverser le rôle que je tiens actuellement.

 

- Arrêtes un petit peu ! Demandais-je à Philippe qui obtempère.

- Pourquoi, tu veux déjà jouir ? S'étonne Christelle, un grand sourire aux lèvres et la bite de son amant dans sa main.

- Non, mais…

- Tu veux qu'on change un peu ?

- Ben oui !

 

Du coup c'est Christelle qui vient me sucer, Philippe lui prodiguant pendant ce temps un cunnilingus. Le sexe de l'amant de ma femme est trop loin, je ne peux y accéder… Pas grave on attendra.

 

Ce salopard arrive à faire jouir ma femme en moins de cinq minutes, elle ne cherche pas à le cacher et pousse des cris de lionne en chaleur ! Il la caresse avec tendresse, et sollicite un french kiss qu'il obtient sans problèmes… Je me sens de plus en plus cocu…

 

De nouveau Philippe s'intéresse à ma bite dont il vérifie la bandaison d'une douce caresse manuelle.

 

- Tu me la mets dans le cul ? Me demande-t-il.

- J'aurais préféré le contraire… répondis-je.

- Et bien on fera le contraire après, on a le temps ! Intervient Christelle. Pour l'instant prépare-lui bien son petit cul.

 

Bon, cette séance ne se passe pas du tout comme je l'avais imaginé… Et l'autre, pas gêné, qui me présente son troufignon en écartant ses fesses.

 

- Lèche-lui le cul ! Me dit Christelle.

 

Ce n'est pas le cul que je veux lui lécher, c'est la queue… mais bon "quand faut y aller, faut y aller !" et après quelques secondes d'hésitations puis d'accoutumance, je prends plaisir à lui pratiquer une jolie feuille de rose. Quand son anus est devenu bien baveux, ma femme me demande de lui mettre un doigt. Allons-y pour le doigt, c'est qu'il a l'air d'aimer ça le voisin, le voilà en train de pousser des petits cris de satisfaction. Christelle me passe la capote, je l'enfile, j'approche mon sexe de sa cible, je force un peu, ça commence à entrer, je force encore, ça y est je l'encule, ce salopard ! Et j'y vais de mes va-et-vient !

 

- Ça va, il t'encule bien, mon petit cocu ? Lui demande ma femme tout en lui branlant la bite.

- Oui c'est bon !

- T'aimes ça, hein, gros cochon ?

- Ah, oui, j'adore me faire enculer !

- Vas-y chéri, encule-le bien ! Hummm… qu'est-ce ça m'excite de vous voir faire des trucs de pédés ! Vas-y bourre le bien, enfonce lui bien ta bite dans le cul !

 

Je fais ce que je peux, mais je me prends au jeu… Je suis de plus en plus excité, et si je ne me contrôle pas, je vais jouir de suite, ce qui est peut-être embêtant pour la suite… Je préviens Christelle.

 

- Calme-toi et retire toi, on n'est pas pressé.

 

Je fais comme ça, Philippe est aux anges, il me regarde avec l'œil coquin. Son visage se rapproche du mien. J'ai l'impression qu'il a envie de me rouler une pelle… Au secours ! Ça va pas, non ! Je veux bien sucer des bites, je veux bien me faire enculer, mais embrasser un mec sur la bouche ! Jamais !

 

- Tu m'as bien baisé ! Me complimente le zigoto.

 

Surpris de cette réflexion que je n'attendais pas, je ne réagis pas quand son visage s'approche davantage, sa langue cherche ma bouche. J'entrouvre la mienne. Nos langues se mêlent, je viens d'embrasser un mec. J'aurais pourtant juré que jamais… mais il ne faut jamais dire jamais… mais bon dieu, pourquoi j'ai accepté ? Pour lui faire plaisir ? Pour faire plaisir à l'amant de ma femme ? Quelque chose ne tourne pas rond… mais qu'est-ce que ça peut foutre.

 

- A ton tour de le sucer ! Me propose Christelle.

 

Ben, tiens, je vais me gêner… Cette queue qui me nargue depuis tout à l'heure, je la prends délicatement dans ma main, lui imprime une légère caresse, puis devant les yeux étonnés de ma femme, la prend en bouche. Une éternité que je n'avais pas fait ça… Avant notre mariage dans un sauna… je la suce des lèvres et de la langue, je tente de l'entrer complètement dans la bouche, mais ce n'est pas si facile, je goûte un peu aux testicules, mais j'apprécie modérément et revient lui astiquer le gland comme j'ai vu le faire dans les films X.

 

- Tu suces bien ! Commente l'énergumène.

- Tu as vu comme je suis gentille avec toi, je t'offre la bite de mon amant… tu en trouveras des comme moi !

 

Christelle a toujours eut une pratique de la plaisanterie très spéciale. Elle s'est placée derrière moi et tandis que je continue ma fellation, elle me prodigue une magnifique feuille de rose sur mon anus qui s'ouvre de plaisir.

 

- Son cul est prêt, tu peux y aller ! Confie-t-elle à Philippe… il a l'habitude, je lui fous régulièrement des godes dans le cul, n'est-ce pas, mon petit cocu ?

- Et même que j'adore ça !

 

Les choses vont vite, je me mets en position, l'autre aussi, le morceau est de bonne taille, mais mon anus finit par l'absorber. Putain que c'est bon ! Déjà j'espère que cette petite séance ne sera pas sans lendemain. Je frissonne de plaisir, c'est trop bon.

 

- Vous êtes deux beaux enculés ! Constate Christelle.

- Ben, oui ! Répond Philippe, il y en a qui ne savent pas ce qu'ils perdent.

- Occupe-toi de mon cul, maintenant ! Demande ma femme.

 

Le voisin décule, moment pas trop top, avec cet impression de l'anus qui ne veut plus se refermer… Il est déjà dans le cul de ma femme et s'active comme un damné. Christelle m'a pris en bouche… Je sens que je vais éclater. J'éclate… une jouissance intense, longue et profonde. Ma femme hurle, le voisin décharge à son tour. Nous voici tous les trois sur le plumard, épuisés. Un silence un peu lourd s'installe, que Christelle rompra :

 

- Ça va, les mecs ?

- Bien sûr ! Avoua Philippe, je ne vous remercierais jamais assez, tous les deux pour cette séance.

- Tout le plaisir était pour moi ! Répondis-je à mon tour, m'efforçant d'être aussi diplomate que mon inhabituel partenaire.

- On se découche une bouteille de champ ? Propose Christelle.

- Non, il faut que je rentre, reprend le voisin, ma femme ne va pas tarder à rentrer.

- Si elle savait ! Sourie ma femme.

- Oh, c'est quelqu'un d'assez ouvert… je ne vais pas lui raconter ce qu'on a fait cet après-midi, mais je peux toujours lui raconter que vous n'avez rien contre l'échangisme… Vous n'avez rien contre les femmes, Christelle ?

- Non, non.

- Alors, si on se programmait un petit truc à quatre prochainement ?

 

FIN

 

 

Ce récit a eu l'honneur d'être 3ème prix de la meilleure nouvelle pour 2008 

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Samedi 2 avril 2011 6 02 /04 /Avr /2011 07:49

Des fleurs pour Marie-Laure

2 - Retour chez Michelle

par Nicolas Solovionni

 

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L’idée me taraudait de trouver un prétexte pour revenir chez Michelle. Je cherchais, mais ne trouvait rien de bien génial. Ce fut presque un an après que je me jetais à l’eau. Je composais son numéro et fit l’andouille :

 

- Allo, Sophie ?

- Non, c’est une erreur, Monsieur !

- Mais je reconnais votre voix, vous êtes Michelle !

- Peut-être, mais vous, vous êtes qui ?

- Nico !

- Je ne vois pas

- Mais, si il y a un an, j’avais un bouquet de fleur à la main dont je ne savais que faire...

- Ah, oui ! On avait été boire un coup au café du coin, puis vous m’aviez enculé dans l’entrée de mon appartement de fort belle façon !

 

Oups ! Je ne m’attendais pas à une remémoration si triviale !

 

- Cela vous dirait de me revoir ? Proposais-je avec une pointe d’anxiété.

- Hum… oui pourquoi pas, permettez que je regarde mes disponibilités… mardi prochain en début d’après-midi ça vous dirait ?

- Oui !

 

Dingue, je ne pensais pas décrocher un rendez-vous aussi vite, je fixais donc une journée de vacance avec mon employeur, prétextait une journée de séminaire auprès de mon épouse, et après avoir acheté un joli bouquet fleuri, arrivait vers 14 heures chez cette perverse bourgeoise. Et là première surprise alors que je m’attendais à voir Fathia m’ouvrir la porte, ce fut en son lieu et place un blondinet habillé comme Nestor dans les aventures de Tintin, qui me fit entrer dans le salon, là Michelle se leva pour m’accueillir, m’embrasser sur la bouche et me mettre la main sur la braguette, avant de me présenter à une autre femme assise dans le canapé.

 

Michelle n’a guère changée, belle quadragénaire, légèrement forte, le visage un peu fatigué, de jolis yeux bleus, très bien maquillée, sa coiffure blond cendré est coupée au carré. Elle est habillée d’une jupe noire un peu longue et assez transparente, alors qu’en haut seul un imposant soutien-gorge noir constitue son seul vêtement. J’avoue que tout cela est fort troublant.

 

- C’est Jackie, ma meilleure amie… et une sacrée cochonne. Elle adore les bites, le chattes, les culs… tout quoi…

- Oh ! Michelle ! Que va penser Monsieur ?

- Monsieur ne s'offusque pas de ce genre de choses ! Rétorque-t-elle.

 

Je me fends d'un sourire un peu gêné.

 

Jackie est d'un tout autre genre que Michelle, nonobstant la tranche d’âge qui est la même, fine, cheveux teints en roux, visage très souriant avec un grand nez fouineur, des yeux bleus et des lunettes. Elle est vêtue d’un jeans assez banal et d’un chemisier blanc déboutonnée jusqu’à l’échancrure d’une poitrine qu’on devine généreuse. Je lui tends la main, mais elle préfère m’embrasser, ce n’est pas un problème.

 

- Je vous offre un café ? me propose Michelle.

 

Va pour le café, qu’elle commande auprès de Ghislain… elle m’explique :

 

- Fathia est toujours à mon service mais elle a pris des vacances, j’ai donc demandé à l’agence de me la remplacer, et histoire de changer, j’ai choisi un jeune homme, il me donne d’ailleurs toute satisfaction. Il a une très belle bite, vous ne tarderez pas à la découvrir.

- Très belle et très bonne ! Renchérit Jackie

 

Je m'en fous de la bite du larbin et suis un peu déçu, moi qui pensais pouvoir admirer enfin les seins de la petite Fathia…

 

On me fait asseoir, et Michelle, debout se positionne à mon côté, me remettant de nouveau la main sur la braguette mais cette fois de façon beaucoup plus ostensible. Qu’auriez-vous fait à ma place, bander bien sûr ! Par reflexe, je lui caresse les seins d'abord par-dessus le soutien-gorge, puis en en dégageant les bonnets. J'ai bientôt son téton dans ma bouche… tandis que mon sexe est en train d'éclater.

 

- Hum, ça a l’air en forme tout ça ! Commente la coquine.

- Montre-nous ça, Michelle ! Intervient Jackie.

 

Sans me demander quoique ce soit, Michelle me dézippe ma braguette et s’en va à la recherche de ma bite qu’elle finit par extraire. Les choses ne se passent pas du tout de la façon dont je les avais imaginées, tout cela va beaucoup trop vite. Et tandis que mon hôtesse imprime à mon membre quelques mouvements masturbatoires, je m’enhardis à lui caresser les deux tétons en écartant complètement le tissu du soutien-gorge.

 

- Attend je le retire ! Me précise-t-elle.

 

Michelle2.jpg

 

Elle le fait libérant deux globes impressionnants. C’est le moment que choisit Ghislain pour apporter les cafés. Du coup Michelle se dégage. Par reflexe, je vais pour remettre ma queue dans ma braguette.

 

- Tss, tss, veux-tu laisser ça sorti, garnement ! Intervient-elle.

 

Bon Ok, je vais boire mon café, la bite à l’air, c’est une première, mais il est trop chaud.

 

- Alors quoi de neuf depuis tout ce temps ? Me demande Michelle.

- Bof, la routine, le temps passe si vite… et vous ?

- Je t’en prie, tutoyons-nous… ben moi, je rattrape le temps perdu, je suis de plus en plus cochonne… rigole-t-elle. Putain, mais c’est vrai qu’il est trop chaud ce café… Ghislain !

 

Revoilà le biquet.

 

- Madame !

- Ghislain, ton café est imbuvable, il est bouillant !

- Je suis désolé, madame !

- A ton avis, ça vaut combien de coups de martinet ?

- C’est vous qui décidez, madame !

- Alors déshabille-toi, et va me chercher le martinet.

 

Il va pour s'en aller. Michelle le reprend :

 

- Non, tu te déshabilles ici et tout de suite.

 

Il est bien obéissant ce garçon, il se déshabille entièrement, je ne suis pas attiré par les hommes, mais ce mec est troublant, le visage est fin, il est très peu musclé, entièrement épilé, et il faut bien que j'admette qu'il a une jolie bite ainsi que de belles petites fesses bien rebondies. Michelle a surpris mon regard.

 

- Il n’est pas mal, hein ?

 

J’esquisse un sourire, ne voulant pas m’aventurer dans un terrain que je ne saurais pas forcément maîtriser.

 

- Ghislain, approche-toi de Niko, qu’il te voit mieux !

 

Qu’est-ce que vous voulez que je fasse, je ne vais pas m’enfuir ? Et l’autre qui s’approche, il est à 50 centimètres de moi. Je ne sais pas quoi dire, je ne sais pas quoi faire. Je suis comme un con.

 

- Tu peux le caresser ! Me précise Michelle.

- Peut-être pas ! Parvins-je péniblement à articuler.

- Comment ça "peut-être pas" ? Regarde comme sa peau est douce, presque aussi douce qu’une femme.

 

Michelle m’a pris la main et sans que je m'y oppose me la place d'abord sur le torse du zigoto, puis l'a fait rapidement glisser et voilà que quelques instants plus tard je me retrouve avec sa bite dans la main.

 

- Vas-y branle-le !

 

Je le fais, je suis sur une autre planète. Me voici dans un trip qui me ramène à mes années collège, où lors d’une sortie j’avais sucé un de mes camarades suite à un pari. L’occasion ne s’était jamais représentée, mais il faut dire que je ne cherchais pas non plus. Et voilà que moi, l’amoureux fou des femmes, je suis rattrapé par ce vieux fantasme, cette bite j’ai envie de la sucer… J’attends que Michelle me le propose, mais le fera-t-elle ?

 

- Tu m’avais caché que tu aimais bien branler les bites ?

- Ben à vrai dire, je n’ai pas fait ça très souvent !

- Mais je peux te faire rattraper le temps perdu, si tu veux…

 

Je ne réponds pas et continue à branler la bite de Ghislain. Jackie s’est approchée de moi et entreprend de me descendre mon pantalon et mon slip, puis m’ouvre ma chemise et se met à me pincer mes tétons, Comment a-t-elle deviné que cette caresse m’excitait terriblement ? Me voilà complètement débraillé à défaut d’être déshabillé.

 

- Attends, dit-elle, finit d’enlever tout ça, et mets-toi à quatre pattes sur le canapé, ce sera plus pratique !

 

Si elle le dit… j’obtempère, Ghislain est invité à se rapprocher de moi, j’ai à présent sa bite à vingt centimètres de mon visage. L’une des nanas va-t-elle se décider à me proposer de la sucer ? Peut-être n’osent-elles pas ? Pendant ce temps-là, Jackie me pelote les fesses avec ardeur.

 

- Qu’est-ce qu’il a un beau petit cul ! Commente-t-elle.

- Un vrai petit cul de pédé ! Renchérit Michelle.

 

On ne me l’avait jamais faite celle-là encore ! Je sens la langue de Jackie fureter dans ma rosette, j’adore cette caresse qu’on ne m’a prodigué que trop rarement…

 

- Il est bon son cul ? demande Michelle.

- Moins bon que le tien, mais ça va, on va en faire quelque chose…

 

Je ne cherche pas trop à comprendre et continue de masturber le biquet. Derrière, le doigt de Jackie a remplacé sa langue, et s'agite en va-et-vient rapides. Ça me plait bien ce truc !

 

- Tu aimes ? Me demande la coquine à lunettes.

- Oui !

 

Du coup, j'ai droit à un deuxième doigt et c'est encore meilleur.

 

- Attend, je vais te mettre un petit gode, tu m'en passe un, Michelle !

- Non, non ! Protestais-je mollement

- Tu ne vas pas me dire que tu n'as jamais essayé, je ne te croirais pas !

 

Effectivement, j'en ai un à la maison, je l'avais acheté pour varier les fantaisies érotiques avec mon épouse, mais ça lui avait fait ni chaud ni froid, je l'ai essayé un peu sur moi, trouvant la chose plutôt agréable, mais les occasions de faire ça tout seul n’étant pas si fréquentes, j’ai finis par remiser l’objet et serais bien en peine de dire où…

 

- Allez, ouvre-toi bien, je l’enfonce !

 

Je fais comme elle dit et effectivement ça s’enfonce. C’est un machin vibrant qui fait un bruit d’hélicoptère, ce n’est pas très romantique mais il est vrai que ça me donne de bonnes sensations.

 

- T’aimes ça un gode dans le cul ? Me demande Jackie.

- C’est pas désagréable !

- Je m’en doute bien, mais ce n’est pas la réponse que j’attendais ?

- Pardon ?

- J’aimerais que tu répondes avec les mêmes termes que la question !

- J’ai peur de ne plus suivre là…

- Ça nous excite t’entendre un homme dire qu’il aime qu’on lui gode le cul…

- Ah d’accord, alors oui, j’aime bien la façon dont tu me godes le cul !

- Un gode c’est bien, mais ça ne vaut pas une bonne bite ! reprend-elle.

 

Le déclic ! J’ai compris leur truc, les deux nanas fantasment sur ce que peuvent faire deux mecs ensemble. La finalité de leur petit jeu sera que je me fasse sodomiser par Ghislain ! Non, mais ça ne va pas la tête ! Toutes les conditions sont réunies, la mise en place se fait crescendo et en douceur… Il faut que je maîtrise l’envie folle de sucer la bite du biquet, si je fais, rien n’arrêtera plus l’engrenage…

 

- T’es pas d’accord avec moi ? Insiste lourdement Jackie.

- Je n’en sais rien, je ne suis pas prêt pour ça !

 

C’est alors que Michelle s’agenouille près de Ghislain, ou plutôt près de la bite que je tiens toujours à la main.

 

- Tu me la prêtes ?

 

Et hop, voici qu’elle suce la queue bandée avec avidité. Voilà un joli spectacle, jolie visage et belle bite à quelques centimètres de mes yeux… et puis au bout de deux minutes, d’un geste très naturel, elle cesse sa fellation et dirige le sexe du biquet vers ma bouche.

 

- A ton tour !

 

Je n’ai rien calculé, mais voilà que sans le vouloir, je me retrouve avec l’objet dans la bouche, la texture est fine, mais c’est surtout la situation qui est troublante, je suce la bite d’un mec et ça me plait, ça me plait même beaucoup. Je n’ai pas tenu compte de mes propres appréhensions, mon cerveau est descendu dans ma bite, et je sais à présent que la prochaine étape, la sodomie est inéluctable… non pas parce qu’on me forcera, je peux toujours dire non, et je suppose que ces nanas respecteront ma décision, mais tout simplement parce que je n’ai plus aucune envie maintenant de m’y opposer !

 

- Elle est bonne ?

- Hum délicieuse ! Arrivais-je à articuler pendant une pause.

- Pourquoi tu n’essaie pas de te la faire mettre dans le cul ? Si vraiment ça ne te plait pas on arrête…

 

Qu’est-ce que je disais ? Mais je vais les étonner les gonzesses !

 

- Ok, je veux bien essayer !

 

Surprise générale, mais ça va très vite, la bite de Ghislain est encapotée et vient quémander l’entrée intime du milieu de mes fesses. Il force un peu, se reprend et miracle ça s’enfonce… et là c’est vraiment une première, je ne m’étais jamais fait enculer, c’est désormais chose faite, et le gars qui me besogne s’y prend remarquablement, sans violence, tout en douceur et en finesse, un expert. Se faire enculer par ce gars-là, c’est de l’art, du grand art.

 

- Alors ? Demande Michelle.

- C’est trop bon !

- Redis-le mieux !

 

Je me souviens de l’observation de Jackie tout à l’heure…

 

- C’est trop bon de se faire enculer !

- Le vrai délire ce serait que tu suces une bite tout en te faisant défoncer le cul !

- Ce serait super ! Ais-je la grande imprudence de répondre…

- Tu voudrais ?

- On peut toujours fantasmer !

- On va le réaliser ton fantasme… me répond Michelle.

 

Cette dernière s’empare de son téléphone.

 

- Emilio, je ne vous dérange pas… Nous sommes en pleine partouze… On aurait besoin de vos services, si vous pouviez monter… non un ami que je n’avais pas vu depuis un moment, il est mignon et il adore les bites…

 

Qu’est-ce qui va encore m’arriver ? Pas le temps de trop réfléchir, l’Emilio se radine trois minutes après le coup de fil de Michelle. J’ai appris plus tard qu’il s’agissait du gardien de l’immeuble, c’est un quinquagénaire assez banal…

 

- Bonjour M’sieur dames ! Et bien dites donc, il y a de l'ambiance ici ! Qu’est-ce que je peux faire pour vous !

- Sortez donc votre bite, Niko va se faire un plaisir de vous la sucer !

 

Et voilà que sans plus de cérémonie et tandis que Ghislain continue de me pilonner l’anus, Emilio se positionne au niveau de ma bouche et me sort un chibre de taille respectable que je mets un point d’honneur à introduire dans ma bouche sans aucun préalable, et que je me mets à sucer avec gourmandise. Son goût est un peu fort, ça sent un peu la pisse, mais curieusement ça ne me gêne pas trop.

 

- Ne jouissez-pas, Ghislain, réservez votre foutre pour Jackie ! Précise Michelle

- Bien Madame !

- Par contre, Emilio, allez-y ne vous gênez pas, libérez-vous…

- Je peux me mettre derrière ? Demande le nouveau venu

- Bien sûr ! Et Ghislain va venir devant

- OK, passez-moi une capote, je vais le ramoner bien comme il faut, votre ami…

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, Ghislain libère la place, et me voilà avec la deuxième bite de mon existence dans mon cul ! Je fais fort aujourd’hui. Le chemin étant préparé il entre facilement, il me remplit toutefois davantage et pilonne plus vite.

 

- T’aimes ça te faire enculer, hein petite salope ? Se croit-il obligé de commenter.

- J’adore ça ! Répondis-je au poète, puisque c'est cette réponse qu'il attendait.

 

Ghislain m’a contourné et se place devant moi, le sexe toujours en érection. Il va pour retirer le préservatif qui est un peu pollué quand Jackie l’en empêche.

 

- Non, tourne toi, donne lui ton trou du cul, je vais m’occuper du reste !

 

Ghislain obéit et me présente son joli fessier à lécher. J'hésite un peu, mais au point où j'en suis… Je commence par un chaste bisou sur la fesse gauche avant de m'enhardir. Ce mec a vraiment un cul de gonzesse, c'est doux, c'est frais, c'est potelé et il n'y a pas un poil qui traîne, je ne tarde pas à lui lécher le trou du cul tandis que la rousse à lunettes à tout l'air de se régaler en nettoyant de la langue les traces douteuses déposées sur la capote. La cochonne !

 

J'ai quand même du mal à synchroniser tout ça, Emilio s'excite de plus en plus et je suis mal calé. Tout d'un coup son mouvement s'accélère, puis s'arrête, il pousse une sorte de grognement. Il a joui et il décule. Jackie attend sa bite à la sortie et effectue son second nettoyage de l'après-midi. J'aurais bien aimé que ça dure un peu plus longtemps, c'était vraiment agréable, et j'ai découvert quelque chose… mais maintenant que c'est fini j'ai quand même un peu mal au cul.

 

- Bon, je vous laisse, j'ai du travail ! Indique Emilio. Mais si vous avez encore besoin de moi, rappelez-moi…

 

- Avec tout ça, on n'a pas bu notre café ! Déplore Michelle.

- C'est de la faute de Ghislain, il ne nous aurait pas servi des cafés bouillants, on les aurait bu avant de faire des bêtises ! Ajoute Jackie.

- Je suis désolé, madame, répond l'intéressé. Souhaitez-vous que je refasse du café ? Je me permets par ailleurs de signaler à ces dames que je suis redevable d'une punition.

- Ok, va déjà refaire du café !

 

J'ai plus envie d'une boisson fraîche que de café. Je demande poliment :

 

- Je boirais bien un verre d''eau !

- Mais si ce jeune homme a soif, je pourrais peut-être lui offrir mon champagne suggère Jackie.

 

Je ne réponds pas, ayant un petit doute…

 

- Je crois en effet me souvenir qu'il aime ça.

 

Et la voilà qui retire son pantalon et sa culotte, tandis que Ghislain revient avec des tasses propres. Jackie lui demande de nous apporter trois verres. Elle s'empare alors d'un des verres et se met alors à pisser dedans, un joli pipi d'un joli jaune, elle remplit ensuite un deuxième verre, puis répartit harmonieusement le liquide doré dans les trois récipients. Je pensais qu'on allait trinquer. Ben non, la coquine est encore plus perverse que je ne le pensais. Elle prend l'un des verres, en absorbe une partie mais sans l'avaler, puis d'un mouvement des lèvres et du doigt, me fait signe de venir l'embrasser. Je m'exécute, et roule une pelle à Jackie dans sa bouche pleine de sa pisse. Imaginez comme je bande. Michelle prend le relais et m'embrasse puis c'est au tour des deux femmes de s'échanger un brulant baiser doré. Jacky enlève enfin son haut et dévoile une jolie paire de seins, très probablement refaits, mais de bonnes tenues avec des jolis tétons qui dardent, elle trempent deux doigts de chaque main dans un verre et s'humecte la poitrine, puis m'invite à venir lécher… Je vous dis, je vais éclater…

 

Ghislain revient avec les cafés. Ça veut dire qu'on va faire une pause… ce n'était peut-être pas nécessaire. Il ne s'est pas rhabillé et nous amène tout ça la bite et le cul à l'air. Troublant je vous dis. Michelle lui ordonne d'aller chercher un martinet et de se tenir prêt à recevoir une bonne fouettée.

 

- Allez, tends bien tes fesses de pédé, on va te rougir tout ça !

 

Michelle commence à le flageller, puis Jackie prend le relais, je n'ai pas compté les coups, mais ça ne doit pas lui déplaire de trop au Ghislain parce que le voilà qui rebande comme un âne… Une envie folle de le sucer de nouveau. Michelle surprend mon regard.

 

- Oh, toi tu aimerais bien le sucer encore une fois !

- C'est vrai !

- Alors vas-y, mais juste un peu, parce que comme vous bandez bien tous les deux, après vous allez nous enculer.

 

Voilà une perspective attrayante, mais en attendant me revoilà avec la bite du biquet dans la bouche. Je me régale, j'ai vraiment découvert quelque chose cet après-midi. Mais alors que mes lèvres et ma langue entamaient un ballet pervers avec cette trop jolie verge, on me fait stopper et après s'être concertées, les deux femmes se mettent en levrette

 

Quels magnifique spectacle que ces deux culs offerts, celui de Michelle est très blanc, très rond, peu poilu attendrissant, celui de Jackie plus mat, plus poilu, et très légèrement pollué. Ghislain se positionne derrière cette dernière.

 

- Comment est mon cul ? demande-t-elle.

- Très beau, madame !

- Non, ce n'est pas ça que je te demande, je te parle de son état.

- Ah… son état ! Et bien disons qu'Il n'est pas très net, madame !

- Mais comment cela se fait-il que mon cul ne soit pas net, d'après toi ?

- Sans doute, madame s'est-elle mal essuyée...

- Ce serait donc des traces de merde ?

- Probablement, je ne vois pas ce que cela pourrait être d'autre, madame !

- J'ai donc le cul merdeux !

- Très légèrement, madame, vous avez le cul très légèrement merdeux !

- Alors nettoie !

- Aved grand plaisir, Madame, répondit-il en s'exécutant.

 

Le cul de Michelle, que je lèche pour ma part sent un peu fort mais n'est pas vraiment pollué… heureusement car je ne pense pas que j'aurais pu aller aussi loin que Ghislain. Après quelques minutes de préparation, elle me présente son fondement et m'invite à la pénétrer, ce que je fais avec une facilité déconcertante. J'encule Michèle tandis que Ghislain fait de même avec l'autre cochonne. Les deux femmes se sont arrangées pour se placer face à face, ce qui fait que malgré nos coups de boutoir, elles trouvent le moyen de se lécher le museau.

 

Je préviens ma partenaire que je vais jouir, et comme elle me dit de ne pas me retenir, me voilà qui décharge bientôt, et je m'écroule sur elle. Les deux zouaves à côté ne tardent pas non plus à terminer leurs petites affaires. On est tous les quatre sur les rotules.

 

- Ghislain, du champagne… du vrai et plus vite que ça... tu prendras une coupe avec nous… lui commande Michelle. Non, non reste à poil, tu es très bien comme ça.

 

Le champagne est arrivé, mais avec ces deux nymphos, les choses ne pouvaient se passer "normalement". Michelle a commencé par se mouiller le sein avec le champagne et m'a invité à la lécher. Du coup Jacky l'imita et invita Ghislain… l'objectif était bien sûr de nous faire rebander. Et nous rebandâmes assez vite.

 

- Si on leur faisait faire un petit soixante-neuf à ces deux pédés ? proposa Jacky

- Ça me paraît une excellente idée… allez messieurs en position, les désirs de mon amie sont des ordres.

 

Je suis un peu crevé, mais je me prête au jeu, je suce la bite de Ghislain tandis qu'il me suce la mienne. Les deux femmes se pelotent mutuellement la chatte en nous regardant. Je profite au maximum de cette queue dans ma bouche, je pense que je n'aurais sans doute pas de sitôt l'occasion de me livrer à ce genre de fantaisie. Nous bandons tous les deux comme des cerfs, je sens que je vais venir, mais Michelle nous fais arrêter et nous lance des capotes.

 

- Allez les garçons, dans nos culs encore une fois.

 

Je pensais qu'on allait changer de partenaire, mais non, me revoilà donc une nouvelle fois en train de pilonner Jacky. J'éjacule assez vite, je suis vidé, j'irais bien faire un somme… Je me sers un jus d'orange, je me rhabille, prend congé de Michelle (gros bisous sur la bouche) et de Jackie (même punition). J'aurais bien dit au revoir à Ghislain mais il semble avoir disparu de la circulation…

 

Je descends l'escalier, la tête pleine d'images, le cul un peu endolori, la quéquette un peu fatiguée. Je passe devant la loge du gardien. La porte s'ouvre pour laisser passer Emilio.

 

- Au revoir, Monsieur, me dit-il.

- Au revoir !

- Vous n'auriez pas cinq minutes ?

- Cinq minutes pourquoi ? Demandais-je.

- Venez ! me répond-il

 

J'entre dans la loge, il referme la porte.

 

- Vous m'avez bien sucé tout à l'heure !

- Ah, oui ? Merci !

- On n'pourrait pas recommencer ? Juste un petit coup vite fait…

 

Ben, non, je suis crevé, il faut que je rentre, je cherche mes mots pour lui dire, alors que lui ne trouve rien de mieux que de sortir sa queue de sa braguette.

 

- Allez suce !

 

Si je ne le fais pas je vais le regretter, me dis-je dans ma tête, et me revoilà en train de le sucer… je sais aussi que s'il me propose une nouvelle sodomie je ne dirais pas non… il me l'a proposé, je me suis laissé enculer, j'y ai pris du plaisir et je suis parti, le mec a voulu m'embrasser, j'ai refusé.

 

Dans la rue, un doute m'asseye, ais-je changé de bord, je regarde les passants autour de moi, je fixe les mecs, ça ne me fait rien du tout, je fixe les femmes, et me retrouve hétéro comme devant, les classant grosso-modo en mémères inconsommables et bourgeoises à butiner… quelque part ça me rassure…

 

Envie de fumer une clope, je fouille dans ma poche, je sens un bout de papier, je le sors… une écriture inconnue : je lis :

 

"Si vous êtes d'accord pour qu'on se revoit en privé, téléphonez moi au 06…"  et c'est signé Ghislain…

 

Mon visage s'éclaire d'un sourire. Je lui téléphonerais demain matin… Je ne suis pas homosexuel, je ne sais pas si je suis bisexuel, mais, au diable les étiquettes, si je peux à nouveau lui sucer la bite à celui-ci qu'est-ce que je vais être content !

 

Fin de l'épisode

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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Samedi 2 avril 2011 6 02 /04 /Avr /2011 00:00

Des fleurs pour Marie-Laure

par Nicolas Solovionni

 

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J'ai de drôles d'habitude ! En vacances au bord de la mer, je m'emmerde. Il n'y a que deux choses qui me font passer le temps : Barboter à qui mieux-mieux dans la flotte, et observer les femmes, de préférence celles qui ont les seins nus. De plus la seconde semaine, quand ma peau est devenue moins fragile, je me fais une petite séance le matin pendant que la petite famille vaque à autre chose. C'est comme ça que j'ai connu Marie-Laure ! Un petit bout de femme tout en nerf, amusante, intelligente, Elle aimait bien ma compagnie, moi aussi, moi qui adore les grosses poitrines, je n'arrivais pas à me rassasier de ses tous petits nénés que je ne cessais de caresser, de tripoter, de lécher, d'en sucer les bouts. Quand elle en avait marre, elle se mettait à rire, me signifiant par-là qu'elle ne prenait rien au sérieux. J'ai cru un moment qu'elle était frigide. Mais non pas du tout, un peu longue à la détente, mais est-ce important ? On a fait l'amour, une fois, une seule fois, et c'était bien. La seconde fois, cela n'a pas été possible (passons), elle n'était pas farouche côté sexe, mais pas obsédée non plus ! Quand je lui ai annoncé que mes vacances étaient terminées, j'ai senti que ça l'embêtait un peu !

 

- On peut peut-être se téléphoner ? Que je lui demande avec appréhension !

- On peut toujours !

- T'es d'où ?

- Paris !

- Super moi aussi !

 

Avant de me griffonner son numéro de téléphone, elle m'avertit :

 

- Je veux bien qu'on s'appelle, qu'on se voit, on s'enverra peut-être même en l'air, ça ne me dérange pas du tout. Mais autant te prévenir pour qu'il n'y ait aucune ambiguïté : Je ne recherche pas de liaison. Je tiens à ma liberté et à ma tranquillité. Alors tu le veux toujours mon numéro ? Moi je veux bien te le donner !

 

- Vas-y ! Donne !

 

Ce qu'elle ignorait, (mais pourquoi ne pas le lui avoir dit ?) C'est que c'est justement le genre de relation que je recherchais, une fille sympa que je ne verrais que de temps en temps, quand l'envie s'en ferait sentir et qu'elle en serait d'accord. Et tout cela sans entrer dans le protocole des habitudes adultérines et donc sans mettre ma vie de couple en danger.

 

En rentrant à Paris, un tas de problèmes (d'ordre familial) à régler m'attendait. J'avais, certes, le temps de lui téléphoner, éventuellement celui de tenter un rendez-vous, mais pas celui de le réaliser dans la sérénité d'esprit souhaité pour ce genre de choses. J'attendais donc que tout cela se calme, les choses finissent toujours par se calmer, mais le temps passe vite, et nous voici déjà à la mi-octobre.

 

L'automne arrive, et les femmes se couvrent et les bronzages de l'été palissent déjà, mais la plupart de mes problèmes sont réglés ou en voie de règlement. En tous les cas, je ne suis plus obligé de me presser pour rentrer à la maison le soir, plus obligé de remplir mon agenda avec des rendez-vous pénibles, et je peux même m'octroyer le luxe de prendre une ou deux journées de repos. C'est donc l'esprit tranquille que je m'apprêtais à contacter cette petite coquine de Marie-Laure qui avait si bien pimenté mes derniers jours de vacances.

Je lui téléphonerais demain du bureau, mais d'abord retrouver son numéro. Il n'est pas dans mon carnet d'adresses, il n'est pas non plus dans le petit calepin dans lequel je note tout un tas de choses. Obligé de fouiller dans mes affaires de vacances : la banane, l'étui à lunette de soleil, le sachet de cartes postales... Non rien ! Je suis, je le sais, très fouillis, et je ne me corrigerais plus, j'aime bien mes fouillis, mais je ne jette rien sans avoir regardé ce dont il s'agit ! Ma femme ? Non ! Elle s'est habituée à mon bordel et sait que je supporte mal que l'on me jette mes affaires ! Je me souviens que Marie-Laure avait griffonné ce numéro sur une marge de journal que j'ai ensuite découpé pour la mettre… Pour la mettre où ? J'épluche mon portefeuille, je vide mon porte-monnaie, je regarde dans mes portes cartes ! Rien, cela devient désespérant ! Ce numéro serait-il introuvable !

 

Qui a dit qu'on était moins con le matin que le soir ? Toujours est-il que je me réveille ce matin-là avec un flash dans la tête ! Mes bouquins de vacances ! Ma manie de truffer mes livres d'un tas de trucs en guise de marque page… je me précipite sur la bibliothèque et je récupère mes lectures estivales ! Celui-là ? Non ! Celui-là ? Non plus ! Celui-là ! Et oui, c'est le bon ! Le numéro est là ! Je téléphonerais demain... du bureau...

 

Ça y est ! Les collègues sont partis à la cafétéria, j'ai prétexté je ne sais plus quoi pour ne pas les accompagner, et je me jette sur le téléphone, et… mais c'est quoi ce numéro ?… il en manque un bout ! Les 6 premiers chiffres sont lisibles, le 7ème est sans doute un zéro (même pas sûr ! Si pourtant on dirait bien un zéro) et les 3 suivants sont tout simplement absent ! Enfer et Damnation que vais-je faire ?

 

Bien sûr je suis dépité !

 

Un rapide calcul : Cela fait 1000 numéros de téléphone possible ! Les essayer tous reste humainement possible, même si l'ampleur de la tâche va me mobiliser plusieurs semaines. Après tout je n'ai pas que ça à faire…

 

J'hésite quand même, et l'envie de tout laisser tomber m'effleure, mais non, je me fixe un objectif de 35 appels par jours ! Au pire il me faudra donc 6 semaines !

 

Et ça y est ! C'est parti ! Un petit fichier sous Excel pour lister et suivre tous les numéros à faire ! Et le calvaire commença. Il fallut faire avec les numéros occupés, les répondeurs, les fax, les numéros qui sonnaient désespérément dans le vide. Pourtant parfois, ça décrochait !

 

- Allô ! Je ne suis pas sûr du numéro ! Je voulais parler à Marie-Laure !

- Non désolé, pas de Marie-Laure ici !

 

Et ça continuait, 5 ou 6 fois malgré tout, je tombais sur des Marie-Laure.

 

- C'est bien vous qui étiez en vacances au Grau du Roi cet été ?

- Ah ! Non c'est une erreur !

 

Les travaux d'Hercule devaient être moins pénibles. Ce troisième jeudi de Novembre est traditionnellement (traditionnellement, tiens ça me fait rire !) Celui de la mise en vente du beaujolais nouveau (bof !) et j'avais dépassé les 700 appels, je répétais ma litanie sans réelle conviction :

 

- Allô ! Je ne suis pas sûr du numéro ! Je voulais parler à Marie-Laure !

- Elle n'est pas là ! Elle ne rentrera qu'à 6 heures !

- Attendez, je voudrais être sûr de ne pas me tromper, je cherche une Marie-Laure qui était en vacances au Grau du Roy cet été !

- Ben oui, c'est ma sœur !

 

Sa sœur, elle habite chez sa sœur ? Je ne me souvenais pas qu'elle m'ait dit une chose pareille, mais il est vrai que quelque fois en vacances les gens changent de personnalité

 

- Elle sera là sûr, à 6 heures ?

- Bien sûr qu'elle sera là, c'est l'heure de sa leçon de piano !

 

Leçon de piano ?

 

- Bon merci, bonne journée, dites-lui que Nicolas a appelé !

 

Sous ces apparences de femme libérée, un peu bohème, se cachait donc une petite bourgeoise bien rangée ! Mon espoir de la revoir s'anéantissait, elle m'avait donné son numéro dans l'enthousiasme de notre petit flirt estival, mais il n'y aurait pas de lendemain, elle m'éconduira sous un prétexte quelconque. Je retéléphonerais de toute façon ce soir, on verrait bien…

Dans la journée, un meilleur plan me vint à l'esprit. Pourquoi ne pas y aller ? Il lui serait plus délicat de me larguer surtout si j'apporte un volumineux bouquet de fleur ! En voilà une bonne idée !

 

Me procurer l'adresse ne fut pas difficile… et là nouvelle surprise, la donzelle habite en plein milieu du 16ème arrondissement ! Sa présence au Grau du Roy en devenait presque insolite…

 

En fin d'après-midi, je me dirige donc en métro vers le quartier ou habite Marie-Laure, sur place, je m'inquiète de la présence d'un fleuriste, on m'en indique un, et voulant mettre tous les atouts de mon côté, j'achète un bouquet gigantesque avec carrément 25 roses ! Quand on aime, on ne compte pas !

 

Je repère la baraque ! Quelle baraque ! J'attends 18 heures sonnantes, je laisse encore passer 5 minutes, et actionne l'interphone, le cœur plein d'angoisse !

 

- Je suis le monsieur qui a appelé ce matin, j'ai rendez-vous avec Marie-Laure

- Montez !

 

Pour l'instant ça se passe comme sur des roulettes, je monte deux étages, je repère la porte, je sonne. Une jeune fille m'ouvre, très petite fille du 16ème en petit pull bleu marine

 

- Bonjour j'aurais voulu voir Marie-Laure !

- C'est moi, monsieur !

- Non, écoutez, vous plaisantez !

- Non Monsieur ! Je ne plaisante jamais avec des inconnus ! Mais vous vous trompez peut-être de Marie-Laure…

 

Il y en aurait une autre dans l'escalier, je sens malgré tout mon château de carte en train de se fragiliser

 

- Euh, je cherche une Marie-Laure C… qui était en vacances au Grau du Roy cet été !

- C'est bien moi ! Ma sœur m'a fait part de votre coup de fil !

 

Je reste comme un con incapable de sortir un son.

 

- Bon, écoutez, je ne sais pas ce que vous fabriquez, mais vos fichiers doivent être un peu mélangés. Au revoir Monsieur !

 

Et Bing ! Je viens de comprendre, Bien sûr que je me trompe de Marie-Laure ! Que sur 1000 personnes il y ait au moins deux personnes du même prénom en vacances au même endroit n'est pas aussi surprenant !

 

Je bafouille je ne sais plus quoi ! Elle referme la porte sans brutalité, et me voici sur le palier avec mon gros bouquet qui ne sert plus à rien ! Je sonne de nouveau

 

- Encore vous ?

- Ecoutez, je ne sais pas quoi faire de ces fleurs, acceptez-les, je vous les offre !

 

En guise de réponse elle me claque la porte au nez !

 

Et me voici dans la rue, complètement décontenancé, je ne sais que faire de ce volumineux bouquet ! Je ne peux même pas le ramener à mon épouse. Elle va me prendre pour un dingue. Alors folie, pour folie, allons-y carrément, j'aborde une jeune femme :

 

- Bonjour mademoiselle, et bien voilà, vous avez gagné ce magnifique bouquet de fleurs !

 

Non elle passe sans même m'accorder un regard ! Pétasse ! J'essaie une autre fois, ce n'est guère mieux ! Si ça continue, je vais les foutre en l'air ces fleurs devenues aussi encombrantes qu'inutiles !

 

- Qui veut mes fleurs ? Qui veut mes jolies fleurs ? C'est gratuit !

 

Le cirque dure bien cinq ou dix minutes. Cette fois j'en ai marre de toutes ces nanas sans aucune fantaisie, sans aucun humour !

 

- Dernier avis ! Si dans une minute personne ne veut de mes fleurs, je les piétine devant vous !

- Ne vous donnez pas ce mal, je les accepterais volontiers !

 

D'où sort-elle celle-ci ? Pas précisément une jeune fille, 45 ans minimum et sans doute plus, mais beaucoup de classe, beaucoup de distinction et remarquablement conservée et entretenue, assez grande, un beau visage, des lunettes, une coiffure argentée, haute et bouclée. Elle est habillée d'une jupe dont je ne me rappelle plus ni la couleur ni la forme, par contre, je me souviens très bien de ce chemisier blanc, dont les deux boutons du haut avaient été négligemment et sans doute volontairement déboutonnées.

 

- Et bien voilà je vous les donne !

- Ce me fait plaisir, mais je ne les prends qu'a une condition !

 

Ah ! Non ! Qu'est-ce qu'il va m'arriver encore ?

 

- Dites !

- Je vais vous remercier en vous offrant une coupe de champagne !

 

Ouf ! J'ai eu peur ! Mais c'est une bonne idée, un petit peu d'alcool me fera du bien !

 

- Mais, bien volontiers !

- Alors allons-y !

 

Je m'attendais à ce qu'elle m'emmène dans un salon de thé super classe ! Mais Non ! On atterrit tout simplement dans le café tabac du coin. Surprise ! Ici tout le personnel à l'air de la connaître ! J'espère quand même ne pas être tombé sur une version féminine du piller de bistrot ? Bof ! Qu'est-ce que ça peut faire après tout ? Je suis libre, si tout ça me prend la tête je ma sauve et c'est tout !

 

Le garçon s'approche pour prendre commande.

 

- Ah ! Madame De la Rocheraie ! Déjà de retour !

- Mais oui ! Regardez le magnifique bouquet que ce bon jeune homme vient de m'offrir. Tenez Hervé ! Faites-le porter chez moi, et que l'on demande à Fathia de les préparer. Dites-lui aussi de vider la baignoire, je serais certainement en retard pour mon bain, je me contenterais d'une douche !

 

Et elle commanda du champagne !

 

- Ah ! Il faut que je vous explique, je suis romancière, enfin, romancière, je débute, je n'ai pas publié grand-chose, mais il faut bien commencer un jour. Mais chez moi, j'ai du mal à travailler, j'ai tendance à me disperser, et puis, je suis souvent dérangée. Alors j'écris ici, une heure, deux heures, parfois beaucoup plus longtemps, ça dépend de mon humeur, de mon inspiration. Alors évidemment ici tout le monde me connaît.

 

- Intéressant ! Et vous écrivez quoi ?

- Rien de précis, des trucs sur la vie des gens… Mais justement quand je vous ai vu avec votre bouquet de fleurs que vous vouliez refiler à tout le monde, je me suis dit, ce monsieur, à sûrement une histoire à me raconter…

 

Alors je lui raconte ! Elle prend deux ou trois notes sur un petit carnet

 

- En voilà une belle histoire !

- Ce n'est pas une belle histoire, c'est tout triste !

- Buvez votre champagne ça vous fera oublier !

- D'accord !

- Et si j'écrivais cette histoire, comment est-ce que je pourrais la continuer ?

- On est peut-être en train d'écrire la suite ?

 

Mais pourquoi ai-je sorti une chose pareille ? C'est venu spontanément, je le regrette aussitôt, mais déjà, elle reprend la parole !

 

- Bien sûr que nous écrivons la suite, mais ce sera quoi comme roman, un roman à l'eau de rose ou autre chose ?

- Je n'aime pas trop les romans à l'eau de roses !

- Un roman un petit peu coquin, alors ?

- Pourquoi pas ?

- Et si je vous disais que j'en écris !

 

Quelque chose cloche, cette femme ne s'est pas réveillé avant hier en train d'écrire des romans cochons dans un bar-tabac, seul îlot un peu populaire de ce quartier bourgeois. Alors elle me raconte. Une éducation bourgeoise classique, quelques années délurées que ses parents ont arrêtées net en la mariant à un officier supérieur à la carrière brillante. Une vie morne, un mari qu'elle s'était forcée à aimer, des enfants qui ne l'aimaient pas, pas d'amant (mais ça, j'ai peine à le croire !) Une vie sexuelle conventionnelle ! Et puis un jour le mari décède brutalement dans un accident de la route. Quelques mois passent, mais un ami de la famille qu'elle avait toujours repoussé, comble sa solitude, d'abord chastement, puis finira par coucher avec. Ce fut une révélation. Elle virera le type qui devenait collant, mais décida de rattraper le temps perdu pendant qu'elle était encore " consommable " (le mot m'a choqué, mais il est d'elle !). Elle me dit avoir tout essayé, les femmes, les partouses, le S.M. l'exhibition, le voyeurisme, l'uro, le gang-band, et qu'après cette frénésie elle s'était calmée. Elle pratiquait maintenant très bien la masturbation, parfois elle se satisfaisait d'une aventure sans lendemain ; et sa femme de ménage recrutée dans une agence bien particulière n'était pas farouche, voilà qui lui convenait à présent très très bien !

 

Le message était clair, c'était maintenant à moi de jouer, sauf à passer pour un imbécile ! Cette bourgeoise avait un charme fou, et la perspective d'une conclusion aussi rapide qu'inespérée me permettait de compenser l'immense déception que je venais d'encaisser. Je lui expliquais que moi aussi j'avais les idées larges en amour, et que seules certaines pratiques un peu limites me bloquaient. Elle s'inquiétât de savoir lesquelles, mais parut rassuré de mes réponses. Il me fallait maintenant entrer dans son jeu, simplement mais sans ambiguïté :

 

- Vous m'excitez !

- Je sais, profitons-en pour arrêter ce vouvoiement qui n'est plus de mise ! Si tu en es d'accord ?

- Alors tu m'excites !

- Et c'est quoi qui t'excite ?

- C'est un tout, ta personnalité, tes réactions, mais ça aussi !

 

Ça c'était l'échancrure de son chemisier.

 

- Tu veux que j'ouvre un autre bouton ?

- Oui ! Oui !

 

Elle regarde autour d'elle, et renonce !

 

- Il y a trop de monde !

- Tant pis !

 

Je réfléchis un instant pour savoir s'il serait opportun que je lui propose un petit tour aux toilettes, mais elle me devance.

 

- Je t'emmène chez moi !

 

Je répondis en opinant de la tête !

 

- Ecoutes-moi, j'ai un fantasme depuis quelques semaines, en fait, un petit scénario tout simple, je vais te le dire ! Ça me plairait tellement que tu me le réalise !

- Dis toujours !

 

Elle me le décrit ! J'acceptais, ce n'était pas si extraordinaire que cela ! Alors nous quittâmes le bistrot sans s'être même touchés. Et nous nous dirigeâmes vers son appartement. Nous franchissons le portail. Toujours rien ! Nous appelons l'ascenseur ! Toujours rien ! C'était prévu ! L'ascenseur arrive, il est étroit. Alors comme convenu, je me jette sur elle, je sens le contact de ses lèvres et de sa langue tandis que ma main plonge dans son décolleté, rencontre un sein que je pelote, continue jusqu'au téton que je pince, l'autre sein subit bientôt le même sort… sa chatte à présent, mais non, l'ascenseur stoppe, je l'interroge du regard !

 

- On fait comme on a dit ! Vient !

 

C'est incroyable ! Elle a les seins à l'air sur le palier, elle sort ses clés, ouvre la porte !

 

- Ferme ! Vite !

 

Je le fais ! Elle est à genoux devant moi. Elle attend haletante que je sorte ma bite, puis l'engouffre dans sa bouche, ça ne dure que très peu de temps car voici qu'elle se met à quatre pattes, me présentant son cul, sa jupe est déjà loin, jetée sur le parquet de l'entrée, je lui déchire sa culotte, et tandis que d'une main j'assure mon érection par un léger mouvement de masturbation, je lui humecte le trou du cul avec ma langue, constatant que l'endroit et ses environs immédiats sont déjà bien humides. L'odeur est légèrement âcre et un peu forte, mais reste agréable !

 

- Encule-moi ! Mon amour !

 

Mon gland est maintenant tout près de son trou le plus intime, je force à peine (miracle de l'auto lubrification, à peine aidée de ma salive !) Je la pénètre avec peu d'effort, ça y est ! Je l'encule, j'imprime des mouvements de va et vient en m'efforçant de retarder le moment de mon plaisir qui ne devrait plus tarder maintenant, mais arrive un moment ou je n'en puis plus, j'éjacule dans un râle et tombe sur elle épuisé ! L'affaire n'a même pas duré 5 minutes. C'est quelque part quelque peu frustrant.

 

Elle se retourne alors sur le dos

 

- Lèche-moi !

 

Je me cale entre ses cuisses et de la langue commence à lui laper le clito, elle est dégoulinante de cyprine. J'avale ce liquide au goût un peu âcre. Sa respiration se saccade de plus en plus et soudain elle tressaute, ses fesses se soulèvent à 10 centimètres du sol, ses cuisses tremblent, elle pousse un invraisemblable cri de jouissance et retombe sur le sol groggy.

 

La porte claque brusquement, pas celle d'entrée, celle qui conduit aux autres pièces de l'appartement

 

- Oh ! Madame !

- Ne t'inquiète pas Fathia ! Tout va très bien prépare-nous du champagne !

- Oui madame, euh lequel ?

- Les deux, Fathia ! J'espère que tu as compris ce que t'as dit le garçon à propos de ma douche !

- Pas de problème madame !

- Je la prendrais avec ce Monsieur, nous en avons besoin tous les deux !

- Oui Madame ! Si vous voulez, vous pouvez passer dans le salon et commencer à vous déshabiller, je serais prête dans un instant… euh je vous apporte le champagne, enfin le vrai…!

- Merci, Fathia !

- Fathia était une belle fille bien faite au visage légèrement mate et aux longs cheveux de jais, une beurette probablement, toujours souriante.

 

Mes fleurs trônaient à présent en plein milieu du salon. Encouragé par Michèle, je me déshabillais complètement, elle m'imita aussitôt, son corps n'avait pas trop souffert des atteintes de l'âge et restait terriblement désirable, seul le ventre était un peu abîmé avec une vilaine cicatrice de césarienne, mais bon ! Quelle ne fut pas ma surprise de voir arriver la soubrette quelques minutes après poussant devant elle un petit chariot sur lequel était disposé un seau à champagne ! Banal certes, mais ce tableau le sera moins quand vous saurez que Fathia n'était alors plus vêtue que d'un unique soutien-gorge ! Elle nous servit !

 

- Prend toi une coupe pour toi, Fathia

- Non, merci madame, vous savez que je ne supporte pas bien l'alcool !

- Une goutte pour trinquer, tu n'es pas obligé de boire, tu pourrais te le verser sur tes seins ! Et d'ailleurs pourquoi gardes-tu ton soutien-gorge ?

- J'ai mal aux seins aujourd'hui madame !

- Et alors ? Ça ne t'empêche pas de nous les montrer ?

- Si je vous les montre, vous allez me les tripoter, et ça va me faire mal !

- Bon ! N'insistons pas ! Et sinon tu es prête ?

- Oui madame ! Je suis prête !

- Alors le temps de trinquer !

 

Michèle leva son verre

 

- A notre rencontre !

- Tchin ! Tchin !

 

Très vite nous avalons cet excellent cru, pressé que nous étions d'en déguster un autre d'un tout autre genre. La baignoire était immense, nous nous y sommes assis tous les deux. Fathia se mit entre nous deux, restant debout !

 

- Je peux y aller ?

- Vas-y Fathia arrose-nous !

 

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Fathia se mit alors à pisser d'abondance, son urine coulait en pluie sur nos corps, j'en recueilli un peu avec mes doigts afin de goûter, et la trouvant très bonne, j'ouvris une large bouche afin de recevoir directement son jet doré. Michèle se contentait de ce qui dégoulinait de mon menton. Quand Fathia eu terminée, elle quitta la salle de bain, Michèle m'offrit alors sa bouche et nous échangeâmes un long baiser insolite et salée !

 

Ma queue avait repris une vigueur très convenable.

 

- Veux-tu que je demande à Fathia de te faire une gâterie ?

- Je ne vais pas refuser !

 

Mais c'est Fathia qui refusa ! Je demandais à Michèle de ne pas insister, mais elle n'en avait de toute façon pas l'intention. Elle intima malgré tout l'ordre à sa soubrette de ne point s'éloigner. Alors Michèle du bout de ses doigts me masturba doucement la queue, en dégagea le gland et le caressa du bout de sa langue, avant de tournicoter autour, puis elle referma ses lèvres sur mon sexe, alors que sa langue s'agitait frénétiquement. Après quelques minutes de ce régime elle me fit pénétrer plus en avant mon sexe et le suça de manière plus classique, tandis qu'un doigt polisson, suivi bientôt d'un deuxième allait fureter dans l'intimité de mon anus. A ce régime je ne pouvais tenir longtemps et lui déchargeais dans la bouche. Elle n'avala pas tout et s'amusa à étaler coquinement un peu de sperme sur un sein, puis sur l'autre.

 

- Voilà ! Un sein chacun ! Venez nettoyer !

 

Alors tandis que Fathia lui nettoyait le sein gauche, je m'occupais du droit, les traces de sperme disparurent bien vite, mais elle ne nous dit pas d'arrêter, alors nous avons continué, nous attardant sur ses tétons turgescents que nous aspirions, pressions, pincions. Il ne fallut pas longtemps à Michèle pour atteindre un second orgasme presque aussi intense que le premier. Fathia se recula un peu, le visage rayonnant. Elle était manifestement ravie, les rapports qu'elle avait avec sa patronne devaient être assez compliqués…et assez troubles.

 

Je passais ensuite encore une bonne heure à discuter avec Michèle, tout en terminant le champagne (le vrai) Je m'attardais pas mal, mais il fallut bien qu'un moment je me décide à rentrer ! Je lui promis de revenir (un peu hypocritement car je n'en étais pas si sûr !). Fathia me raccompagna à la porte et au moment de prendre congé me glissa un bout de papier dans la main.

 

Ce n'est que dans le métro que l'éclairage fut suffisant pour lire ces lignes d'une écriture maladroite :

 

" Si je vous avais fait une gâterie, comme vous dites, et si vous étiez revenu, cela aurait été pour en avoir une autre ! Je ne veux pas que vous reveniez pour moi, mais j'aimerais que vous reveniez pour Michèle… et j'espère que vous le ferez parce que cette femme le mérite !".

 

Je ne fus pas insensible à ce message fort, mais je ne savais dire à ce moment-là si je reviendrais, quand soudain je réalisais que je n'avais pas vu la poitrine de Fathia ! Alors je me dis en souriant que je reviendrais pour les deux !

 

Nicolas

 

© 2000 Nicolas Solovionni

 

nikosolo@hotmail.com

Première publication sur Vassilia, le 18/11/2000

 

Ce récit a eu l'honneur d'obtenir le 3ème prix du concours des histoires érotiques décerné par Revebebe pour Novembre 2000

Par Nicolas Solovionni - Publié dans : Niko
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