Confessions

Jeudi 18 avril 2024 4 18 /04 /Avr /2024 12:10

Confessions voyeurisme

Voy

En face par Charlotte

Assise bien tranquille sur mon balcon, je profite de la douceur d’une soirée bien étoilée.

Une lumière s’allume dans un logement en face. Je vois un homme y entrer et après quelques minutes, il enlève tous ses vêtements. Il fume une cigarette tout en se promenant nu dans son appartement.

Peu après, il va prendre sa douche dans la pièce contiguë. Je m’avance un peu, pour mieux voir. Il laisse justement la fenêtre ouverte. Pendant quelques secondes, il laisse couler l’eau sur son corps. Je le regarde se détendre. Il a un beau visage, de long doigts et de belles fesses bien galbées.

Tout à coup, il commence à se caresser. Je m’avance un peu plus pour mieux l’observer. Et voilà que sa bite se met à gonfler. De sa longue main, il se branle tout doucement, pour faire durer son plaisir. Son sexe grandit encore plus. Il se recule sous le jet d’eau et par le regard de ses yeux, je sens qu’il y prend beaucoup de plaisir. Il continu à bien se masturber. Il prend son temps et sa bite est devenue toute raide. De son autre main il s’introduit un doigt dans l’anus !

– Oh, le cochon !

Tout en le regardant, je sens pour moi aussi le désir d’en faire autant. Je me caresse les seins qui se mettent à durcir. Je sens monter une grosse chaleur en moi. Je ne peux faire autrement que de continuer à me caresser les seins, le ventre, les cuisses tout près de ma chatte qui réclame de plus en plus de caresses.

Je continue à regarder le charmant spectacle qui se déroule devant mes yeux. Pendant les caresses de cet inconnu, j’accentue mes caresses. Son sexe est toujours en érection et il continue de faire des va-et-vient intempestifs.

Pour ma part, je rentre mes doigts dans mon vagin, qui est plein de jus, de chaleur et regarder cet homme, me donne encore plein de désir. Pendant plusieurs minutes, nous nous caressons à l’unissons. J’ose même me tripoter mon anus et ça me fait un bien fou. Tout à coup il se colle à la douche, pour laisser couler l’eau sur son sexe. Ensuite tous les deux nous nous laissons aller à notre plaisir. Il se caresse plus vite et pendant ce temps, mes caresses se multiplient pour me laisser aller à ma jouissance. Avec cet inconnu nous atteignons ensemble le septième ciel, moment sublime que l’on voudrait perpétuer .

Après quelques secondes de calme, tous les deux nous nous nous remettons de nos émotions. L’inconnu se met à pisser d’abondance puis se douche et s’essuie tout doucement, et ensuite il s’approche de la fenêtre, enroulé dans sa serviette de bain, et regarde dans ma direction et m’envoie un salut de sa main et un sourire de satisfaction.

Il ferme son rideau et je reste surprise. Il savait donc que j’étais là et que je le regardais. Je reste encore sur mon balcon pour penser encore aux bons moments que je venais d’avoir.

Lanzarotte par Timothé

Avec ma copine nous avons gagné un séjour de vacances. Nous avons pris l’avion pour Lanzarote, une charmante petite île des Canaries. Le climat était superbe, notre bungalow très confortable, bref, j’étais aux anges.

Rapidement, je me suis rendu compte que j’avais un rythme assez différent de celui du reste de ma famille. En effet, ma copine, plutôt que de profiter pleinement des plages idylliques de l’endroit passait un temps fou à roupiller comme une marmotte. Moi, je voulais profiter à fond de ce séjour. Un matin, exaspéré par l’immobilisme et les ronflements de ma copine, je la réveillais.

– Ecoute Sophie, ça me fait chier de roupiller ici toute la matinée. Je vais chercher des coquillages !. -; – Comme tu veux mon amour, à tout à l’heure
Je me renseignait auprès de la cabane administrative

– Essayez d’aller derrière la grande colline qui se trouve sur la gauche. Derrière, il doit y avoir peu de monde, contrairement à la grande plage. Avec un peu de chance, vous trouverez un coin sauvage

Mon seau à la main, je parvins donc à l’endroit conseillé assez rapidement et contournai cette espèce de grande colline de sable. Derrière, je trouvai une petite crique sympa. Effectivement l’endroit sympa. Je me mis donc à m’emparer de coquillages et de crustacés.

Au bout d’un petit moment, j’entendis des bruits. Comme un brouhaha étouffé. J’identifiai rapidement son origine. Un bosquet à l’extrémité de la crique. Je m’y aventurai prudemment. Il me fallut gravir une pente de sable pour y parvenir. J’entendis à nouveau le bruit. Il venait d’un peu plus loin en réalité. Je compris qu’il y avait une autre crique. Il me suffisait de traverser le bosquet pour la voir. C’est ce que je fis et la scène que je découvris me laissa stupéfait.

Conf voyToute une bande de nudistes avait peuplé la crique. Une quinzaine de personnes. Tout le monde était complètement nu. C’était incroyable. Je n’en croyais simplement pas mes yeux. Il y avait tout aussi bien des jeunes que des vieux. Ils étaient pour la plupart tranquillement étendus au soleil et, fort heureusement, personne ne m’avait vu. Je décidai de rester là un moment pour les observer.

Les silhouettes étaient parfois amusantes. Il y avait, notamment un vieux beau tout bronzé. Celle qui devait être sa compagne était ses côtés, une belle brune aux cheveux bruns coupés courts, elle devait avoir dans les cinquante ans sinon plus mais affichait une belle prestance et des seins magnifiques. Et elle était chaude, comme je pus le remarquer rapidement. Elle glissa sa main vers la queue du mec et se mit à la lui caresser

Franchement, pensai-je, elle ne manque pas de culot.? En effet, j’étais convaincu que les nudistes se contentaient d’aimer être nus, mais que ça n’en faisait pas des gens plus portés sur la chose que les autres. Soit je m’étais trompé, soit j’étais tombé sur un groupe un peu particulier.

La belle mature continua un moment à caresser la queue du mec, avant de finalement l’empoigner vigoureusement.

Nooooooon ! me dis-je. C’est incroyable.? Elle le branlait, on ne pouvait pas dire autrement. Elle le branlait comme une damnée avec toute son énergie. Deux hommes et une femme se sont levés et sont approchés du couple. L’un des hommes se branlait carrément. Il avait une jolie bite.

J’étais halluciné, et ce n’était que le début. Pendant que le vieux beau restait couché, presque amorphe, sa partenaire s’excitait de plus en plus. Elle lui grimpa dessus, fesses du côté de sa bouche, et se mit à le sucer. C’était un rêve ! J’étais en train de mater une fellation de nudistes. Et je restais le regard fixé là-dessus et la bite toute raide Je ne parvenais pas à m’en détourner.

Je continuais à mater. D’autres personnes s’étaient levés et les voyeurs formaient maintenant un cercle autour du couple mature.. L’une des voyeuses s’empara de la bite de son voisin et commença à le masturber. Un mec pelotait les fesses d’un autre qui se laissait faire avec un sourire béat.

La mature du sentir que le vieux beau était près d’éjaculer, elle dégagea la bite au moment où il fit jaillir son sperme, elle en reçut partout, sur le visage, sur les seins et ça l’a fit rigoler

Elle resta immobile, les jambes écartées puis fit un singe de la main invitant qui le voudrait à venir la baiser. Un type profita de l’occasion (si l’on peut dire) et vint la sauter, tandis qu’n deuxième attendait son tour. Un peu plus loin l’homme qui se faisait peloter les fesses était maintenant en train de sucer la bite de son comparse. Je n’en pouvait plus, et me mit à me branler, arrosant de mon sperme le sable chaud.

Je compris bien sûr que j’étais tombé sur un groupe de joyeux obsédés du cul qui se réunissaient ici pour mêler plage et sexe tranquillement. J’étais convaincu que si je restais, je verrais d’autres scènes bien chaude, mais pour l’instant j’étais rassasié.

Quand je revins, Sophie m’interpelle :

– Alors la cueillette a été bonne ? Mais dis-moi : t’as l’air bien pâle, t’es blanc comme un linge.

Je lui répondis la première bêtise qui me vint à l’esprit :

Sans doute l’odeur des moules qui m’est montée à la tête !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 25 février 2024 7 25 /02 /Fév /2024 11:40

Confessions bisexuelles – 2
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Trio bi improvisé par Lucas

Je suis depuis 8 mois conseiller en communication après du directeur de l’entreprise Carlson. Quand ce dernier fit valoir se droit à la retraite, Janice Massouilier sa fille le remplaça.
Je la connaissais un peu. Elle m’appela alors et me demanda si j’étais intéressé pour continuer à assumer cette tâche. J’acceptais parce que j’étais flatté et que je me disais que j’aurai souvent l’occasion de la voir. En effet, cette femme de 56 ans possédait sur moi un ascendant que j’avais du mal à m’expliquer. De longs cheveux blonds décolorés, des yeux noisette, un joli nez légèrement retroussé, elle s’habillait de manière bourgeoise avec souvent des fourrures, un maquillage soigné, des toilettes de marque des escarpins noirs et des fragrances opiacés. Notre collaboration commença sous les meilleurs hospices, nous travaillons souvent ensemble, je lui écrivais ses discours…
Souvent en rentrant chez moi, je me masturbais en pensant à elle, me rappelant le moment où j’avais frôlé sa jambe gainée de soie au prétexte de ramasser un stylo. Janice sentait cette attraction. Elle l’a titillé de manière discrète afin de jouir de ma tension permanente. Et, un jour sortant d’un restaurant alors que nous étions légèrement grisé par l’alcool, elle me coinça dans l’ascenseur. M’embrassant à pleine bouche sa main glissa pour tâter mon paquet. Nous prîmes sa voiture et me conduisit chez elle affirmant :
– Ce soir, tu passes à la casserole !
On se déshabilla rapidement, s’installant dans une espèce de boudoir avec divans à velours. Je me régalais de la vision de sa jolie poitrine que je caressait frénétiquement et dont j’embrassais les bouts tendus. A ce moment précis j’étais prêt à tout pour elle. Elle me regardait d’un air de dominatrice, vêtue uniquement de sa fourrure, de sa lingerie, de ses bijoux et de son string..
– Tu as envie hein, ça fait longtemps…Lèche-moi; m’intima t’elle, en écartant le tissu de son string perle.
Son sexe était glabre et son clitoris légèrement proéminent. Je commençais à passer ma langue sur ce qui dégoulinait de désir. Elle m’encourageait !
– C’est ça mon cochon, boit, régales-toi !
Elle appuyait ma tête avec sa main, tout en me caressant. Je m’étourdissais de son parfum, ses odeurs musquées, le crissement de ses bas. Je lui dit
– Fais de moi ce que tu veux, humilies-moi. je m’abandonnes à toi totalement…
– Vraiment ! Me dit-elle avec une voix étrange. Mets-toi à genoux devant moi, tu vas boire ma pisse !
J’ouvrais la bouche, me régalant de cet insolite jet doré à la saveur exquise.
– Et maintenant surprise !
Elle appela alors. Armand…
– C’est mon mari, ça fait longtemps que je voulais me régaler d’un petit trio ! Tu es d’accord ?
Je m’entendis murmurer un vague  » oui ».
Armand descendit son pantalon, arborant une bite en étendard. Une jolie bite !
– Suce, petite salope
Dans un état second, je portais ma langue sur son pénis avant de l’engouffrer dans mon palais et de la sucer comme on voit le pratiquer dans les vidéos pornos.
– Tu sucs bien, petite lopette, relève-toi à présent
Je senti une main derrière moi qui palpait mes couilles, passait un doigt sur ma raie, commençait à la lubrifier. Janice me dit !
– Respire c’est du poppers et détends-toi. Tu vas voir après tu en redemanderas !
Je pris une bouffée du flacon. Je sentit mon anus s’ouvrir. Armand pointait son sexe, le frottait. Puis il commença de n’emmancher, de me prendre, doucement, langoureusement. Douloureux au début, une chaleur intérieure intense commencer de monter
– C’est bon hein, dis-le ! Soufflait Janice, tandis que j’entendais Armand, ahaner derrière moi. Au bout de vingt minutes Il se lâcha dans le préservatif. Je léchais encore la perverse Janice un petit moment avant de l’enculer sous les yeux du mari.
Ce soir-là, j’étais devenu un suceur de bites et un enculé… Même pas honte !

Conf bi2
Soirée à gages par Ludovic

Nous étions huit, trois filles et cinq garçons, José nous avait proposé de jouer a un jeu de question réponse avec gages, il avait à ce propos préparé des gages sur des petits papiers pliés en quatre dans plusieurs petites soucoupes. Je n’ai su qu’après qu’il avait truqué le jeu. Cela a commencé par des gages soft, ainsi Marlène dû nous montrer sa chatte… ensuite cela devint plus hard, et Carla du sucer la bite de Jean-Loup… Puis ce fut a mon tour d’être incapable de répondre à une question. Je choppe donc un gage, on tire le papier : « Tu dois te faire enculer devant tout le monde ! ». Je proteste, indiquant que ça allait trop loin et je me fais insulter « Mauvais joueur, dégonflé… » Je m’apprêtais à quitter cette bande de pervers et fit signe à ma copine de venir. Mais au lieu de me suivre elle me dit : »Fais-le ça va pas te tuer. » « Pas question ». « Alors fous le camp, moi je reste. » Du coup me voilà bien embarrassé, pas envie de me fâcher avec ma copine, mais pas envie de me faire enculer. C’est cornélien ! Quelques secondes d’hésitation, l’assistance me chambre : « Allez Gilou, allez Gilou… »Alors j’ai baissé mon pantalon, José s’est recouvert d’une capote, m’a enduit l’anus de gel et m’a pénétré sous les quolibets de mes amis. Après un moment de gêne ou mon cul semblait refuser cette présence inattendue, j’ai ressenti un certain plaisir, on me traitait de tantouse, de tafiolle, de pédé, » mais je m’en foutais, je venais de découvrir quelque chose et j’étais bien.. « T’aime ça la bite, hein ! Me narguait Norbert ! « Oui, oui, c’est trop bon » Et il vint devant moi m’invitant à lui sucer la bite ! Je n’ai même pas hésité… en fait je devais avoir des prédispositions cachées. Maintenant j’assume, avec ma copine on se tape des soirées bisexuelles, et je suce, je me fait pendre pendant qu’elle se fait brouter le minou par ses copines.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Samedi 4 novembre 2023 6 04 /11 /Nov /2023 14:00

Confessions de travestis - 1 
Fetish

 

Première sortie par Marguerite

zz131027 travBonjour je suis un jeune homme de 19 ans un peu efféminé, mon prénom n’a aucune importance, puisque dans cette histoire je serais Marguerite. Et oui vous le devinez mon fantasme est de m’habiller en fille.
En chattant sur le net, j’ai fait connaissance d’un type qui m’a suggéré des sortes de gages que je devais exécuter. L’un d’eux consistait à m’habiller d’un soutien-gorge et d’une petite culotte de fille sous mes vêtements de garçon et de sortir en ville faire les boutiques. Vola qui tombait très bien puisque cela rejoignait mes fantasmes. Si l’envie de me branler me prenais, je devais me retenir le plus longtemps possible et enfin en désespoir de cause je pouvais me finir dans les toilettes d’un bistrot.
Décidant de réaliser ce gages, je me préparais donc à sortir, j’étais vêtue d’un jean, d’un T-shirt d’un blouson de jeans qui venaient par-dessus un soutien-gorge rose en dentelle blanche avec un petit laçage devant et un string assorti. Dans l’ascenseur je me mirais dans la glace et me trouvais satisfaite de l’image qu’il me renvoyait

Je quittais le quartier puis me jugeant à bonne distance, j’enlevais mon blouson et pris un bus. Il était bondé et je m’avançais au milieu de cette foule en ayant l’impression que l’on voyait au travers de mon jean que tout le monde devinait ce que je portais. Je me demandais si l’un des passagers n’allait pas crier : « Oh le travelo ! » !

Soudain je vois un mec se diriger vers moi, il me fixe je sens son regard sur mes fesses je suis sûr qu’il va me mettre la main au cul, il s’engage vers la porte, il passe derrière moi, le revers de sa main effleure mes fesses, je sursaute littéralement secoué d’une décharge électrique, le mec est déjà dehors

A l’arrêt suivant je me dirige vers le premier bar venu, je rentre, commande un Orangina, et me dirige sans attendre vers les toilettes. Elle sont spacieuses, deux mecs pissent côte à côte, je m’avance poussée par je ne sais quel démon et là je constate qu’ils ne pissent pas, ils se branlent l’un l’autre. Je bande. L’un des types se retourne et me demande si ça m’intéresse, je me suis dégonflé.

Je l’ai regretté, maintenant J’ai besoin de jouir, ça m’obsède je ne vois plus rien, ma tête tourne je suis comme fou, il faut que je rentre chez moi me soulager, puis je reprends mes esprits. Je dois trouver mieux, je prends machinalement la route du bord de mer là où passe les touristes. J’entreprends de faire du stop, mais auparavant j’enlève mon t-shirt et met mon blouson de jean suffisamment entrouvert pour qu’on puisse voir mon soutif. J’arpentais ainsi la route espérant une rencontre, je n’avais pas fait 300 mètres, qu’un grosse Volkswagen break se gare sur le côté. Le conducteur m’interpelle avec un accent allemand à couper au couteau, je me dirige vers la voiture et remarque du même coup qu’il n’est pas seul dans la voiture, il y a sa femme, grassouillet mais le visage agréable.

– C’est Helga, elle ne nous dérangera pas, elle dore me regarder quand je suce un travelo !

Il me fait monter devant demandant à sa femme de passer derrière. Je m’assied ferme la portière, la voiture démarre. L’allemand me demande mon âge, ce que j’aime où je vais. Je me sens en confiance et du coup, j’écarte le pan de mon blouson dévoilant davantage un bout du soutif. La réaction du conducteur est immédiate il commence à lorgner sur le côté, sa main frôle mon genoux lorsqu’il passe les vitesses et pour finir il appuie sur la bosse qui déforme son entre jambe et remonte comme s’il dézippait une fermeture éclair. Malheureusement c’est là qu’on arrive en ville il me dit qu’il doit me déposer; mais prend bien soin de me dire qu’il va séjourner 15 jours au camping au club rose (est-ce une invitation ?) toujours est-il, que je reste là planté au milieux de la rue quelques secondes perplexe, puis je reprends mes esprit j’ai littéralement le feu au cul . Du coup je fonce chez moi, m’enferme à double tour dans la salle de bain et là devant la glace je m’enfourne un gros gode dans le cul…. Quelle joie et quel plaisir d’assouvir enfin mes pulsions : Le gode entre comme dans du beurre dans mon petit trou de salope et je le fait aller et venir pesant lentement sur chaque mouvement. Le miroir me renvoie mon image avec cette petite poitrine dessiné par le soutif rose, ma bite super tendue qui sort de ce petit slip dentelé et enfin ce pieu planter en moi… Je ne tarde pas à jouir dans un râle sonore et prolongé, je me laisse terrasser par la jouissance, de long jets de sperme éclaboussent le miroir et je m’effondre comme un sac sur le tapis de bain. Je reste bien quelque minutes le corps poisseux de sperme le gode toujours dans le cul puis je reprends mes esprits me dégage du gode, tout est fini je suis repu.

Demain j’irais faire un tour au club rose, j’espère que je rencontrerais l’allemand et que je pourrai lui sucer la bite avant qu’il ne m’encule.

Jany par William

En rencontrant Jany, Maggy et moi ne nous attendions pas à une soirée aussi surprenante.

Mon amie Maggy et moi sommes liée par une complicité quelque peu perverse qui nous permet de jouir de tous les plaisirs sexuels). Si nous ne courons pas les partouzes, notre excitation et notre jouissance sont chaque fois majorées par la rencontre d’un troisième partenaire.

Maggy tous en me faisant une pipe, aime se faire sauter par un gars qui lui plait, mais la plupart du temps c’est une demoiselle a qui ont fait appel pour se joindre à nos ébats amoureux.

Quel plaisir pour moi d’enculer l’une ou l’autre pendant qu’elles se mange !!!!!!…..

En rentrant un soir du travail, Maggy m’a dit avoir fait la connaissance dans une boutique de lingerie sexy, d’une jeune femme brune avec un charme exceptionnel : les yeux verts et des taches de rousseur se mariant très bien à une chevelure auburn assez court, petits seins dont on devinait les aréoles roses et les pointes érigées sous sa chemise, fesses rondes et musclées sous une mini-jupe moulante .

Elle a accepté une invitation à diner pour le lendemain et j’ai partagé l’excitation de Maggy dans l’attente de cette rencontre .

Jany étais en effet une rousse au charme indéfinissable (que j’adore). De plus elle était grande, avec des épaules larges et des hanches étroites. Sa voix un peu rauque étais prenante et j’ai vite été persuadé que cette femme androgyne étais dotée d’une sensualité propre à nous ravir, mon amie et moi .

Après une conversation qui devint osée à la fin du diner, Maggy assise à côté de notre invitée sur le divan, entreprit de lui caresser les seins tous en l’embrassant.

Sans se dérober, Jany garda son regard rivé au mien, ce qui m’incita à les rejoindre.

Une main de notre amie s’est alors portée sur mon sexe qui durcissait .

Abaissant mon pantalon, elle délaissa la bouche de Maggy pour me sucer. En commençant par son haut, mon amie déshabilla Jany et, sous une ravissante petite culotte de dentelle noire, elle découvrit à notre étonnement un sexe d’homme qui bien que modeste, bandait fièrement, c’est un travesti qu’avait dragué Maggy sans le savoir (du moins c’est ce qu’elle m’a laissé entendre)

Son excitation redoubla et elle saisit cette petite queue entre ses lèvres charnues .

Le va-et-vient qu’elle entreprit mit du temps à déclencher l’orgasme de notre invitée, alors que depuis un moment déjà, j’avais joui dans sa bouche .

Après une période calme, Jany me demanda si je serais d’accord pour le sucer. J’hésitais un peu mais Maggy m’encouragea, je me retrouvais donc avec ce délicieux pénis dans la bouche, puis au bout d’un moment, saisi d’une pulsion folle, je me retournais et lui offrais mes fesses tandis que Maggy se branlait compulsivement.

Première fois en travestie par Maria50TV

Cette histoire se passe dans les années 80, à l’époque je venais d’avoie 18 ans

Avec un ami cela faisait plusieurs temps que l’on avait une relation. Un jour en discutant il me dit qu’il aimerait bien me voir porter des vêtements féminins. Tout en me disant ça il m’explique qu’il a trouvé des sous-vêtements affriolant dans les affaires de sa mère.

Je lui dis que cela serait très intéressant donc on prit rendez-vous un jour où nous serions sûr d’être seul, un après-midi complet. Le jour convenu j’arrive chez lui là nous allons directement dans la chambre de sa mère où il a déjà sorti tous les habits qu’il voulait que je porte.

Je me déshabille pour mettre la tenue qu’il a choisie pour moi, je commence par enfiler une guêpière puis les bas qui vont avec, pour les chaussures nous regardons dans le placard par chance sa mère fait la même pointure que moi, je prends une paire d’escarpins avec des talon de 7 cm, une fois vêtu il me fait défiler devant lui pour voir le résultat.

Après on se dirige vers sa chambre, il se déshabille on s’assied sur le lit, je le rejoins et m’agenouille devant lui. On commence à se caresser tous en s’embrassant, je sens ses mains sur mon corps, son sexe qui grossit contre mon torse. Il s’allonge sur le lit, je viens prendre son sexe en bouche, je le fais aller et venir en variant l’allure, lui pendant ce temps me prépare l’anus en le lubrifiant et en me pénétrant avec ses doigts.

Quand je sens que je suis prêt je viens m’empaler sur son sexe qui rentre en moi sans effort, je le sens bien au fond de moi; là je commence à monter et descendre sur sa queue puis au bout de quelques minutes il me fait mettre à quatre pattes et me pénètre, ses mouvement sont plus puissants, il me défonce le cul.

Tous en me prenant il me traite de pute, de chienne, moi je lui dis que j’aime être pris comme ça, que je suis sa chienne. Il se retire de moi me tend sa queue pour que je le suce et pour recevoir son sperme au fond de ma gorge.

Le temps de prendre un petit café pour nous remettre, je me glisse sous la table pour aller prendre son sexe en bouche. Grâce à mes aller-retour sa queue reprend de la vigueur et devient bien raide.

Il me demande de me relever, je place mes mains sur la table et lui présente mes fesses qu’il commence à malaxer puis il sort de la pièce pour aller chercher des objets.

Quand il revient il a plusieurs objets différents il prend le premier qui est une brosse à cheveux il commence à me taper sur les fesses avec, je sens les coups qui au début sont désagréables puis au fur et à mesure cela devient très agréable puis il m’enfonce le manche de la brosse avant de le faire entrer et sortir en le tournant dans mon anus.

Puis il prend un morceau de manche à balai qu’il m’introduit à la place de la brosse il l’enfonce de plus en plus profondément en moi et recommence les allers retours. Avec la brosse il me tape sur les fesses, je sens le plaisir monter, je lui demande de me prendre. Il retire le manche et me pénètre d’un seul coup je sens son sexe qui rentre en moi jusqu’à la garde il commence à me pilonner de plus en plus vite, puis il me demande de m’allonger par terre les jambes bien relevées.

Là il me défonce comme si j’étais une femme je sens son sexe qui grossit en moi, son sperme qui gicle dans mon cul en plusieurs jets, pour finir il me donne sa queue à sucer.

Voilà comment ce termine ma première journée en travestie !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Dimanche 9 avril 2023 7 09 /04 /Avr /2023 16:49

Confessions zoophiles – 3

zoo
Sylvie par Anouchka

C’est l’histoire de Sylvie telle qu’elle me l’a racontée. Fantasme ou réalité, qu’importe après tout…

Sylvie, superbe blonde de vingt-deux ans, sort de la piscine, et commence à se sécher. Elle va se changer dans un abri prévu à cet effet. Elle admire son corps dans la glace, se seins magnifiques hauts perchées, son minou fraîchement épilé. Une bombe !

Tout près, le couple de labradors, Safran et Lady se prélasse, à l’ombre du murier platane.

Soudain, le téléphone sonne. Sylvie s’enroule dans une serviette, et se précipite au salon. Lady, surprise, part après elle. Arrivé près de l’appareil, la sonnerie s’arrête. En se retournant, elle reçoit Lady de plein fouet, qui, voulant s’amuser, la projette sur la moquette. La serviette s’ouvre. Sylvie prend appuie sur ses coudes. Suite à la chute, les jambes se sont largement écartées. La chienne fixe la chatte de la jeune femme en se passant la langue sur les babines.

– Mais ça va pas Lady, dit Sylvie. Qu’est-ce qu’il t’arrive? Tu as eu peur? Mais c’est juste le téléphone.

La tête de Lady est déjà entre les cuisses de sa maitresse, et renifle la fente

– Lève-toi de là, tu entends, allez, couché, gronde Sylvie.

Sylvie saisit la chienne par les oreilles et essaie de la repousser. Mais Lady a plus de forces qu’elle. C’est un combat inégal qui s’engage. Petit à petit, Sylvie perd pieds. A plusieurs reprises, la langue râpeuse lèche les lèvres de Sylvie, jusqu’à décalotter le clitoris. Elle tente une nouvelle fois de repousser les assauts de la chienne, mais la sensation qu’elle sent entre les jambes, l’agréable chaleur qui se consume au creux de son ventre sont plus fortes. Lady a compris. Elle accentue ses léchages, vrillant même sa langue pour fouiller à l’intérieur du vagin.

– Oh mon dieu, gémit Sylvie, tu es vilaine. Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de maman? C’est bon tu sais, ha…ha… Vas-y, gouine moi ma chérie…Bien sur le petit bouton là…oui.

Sylvie se prend les seins en hurlant de plaisir. Lady, pensant avoir fait mal à sa maitresse, lui lèche le visage, puis docilement, se couche à côté d’elle.

Sylvie, remise de cet intermède érotique, prend la tête de Lady, et l’embrasse. Puis, elle se dirige vers la salle de bains pour prendre une bonne douche. Quand elle en ressort, elle regagne sa chambre pour s’habiller plus décemment. Elle ôte son peignoir, et se retrouve toute nue. Elle s’assied sur le lit, et met ses mains sur son visage.

Mon dieu, se dit-elle, comme je me suis fait sucer, quelle garce je suis !

Sylvie sent une présence dans la chambre. Elle ouvre ses mains et aperçoit les deux molosses assis devant elle. Elle remarque la bite de Safran à moitié décalottée. Les pensées les plus folles traversent son esprit.

– Alors mes bébés, on surveille maman. Toi, je te suis fâchée Lady. Tu as été polissonne avec moi.

L’odorat du chien est, en général, très développé. Si Sylvie s’est bien lavée, l’odeur de mouille ne leur échappe pas. A voir les rotations de langues sur les babines de Safran, Sylvie comprend qu’il a envie de quelque chose. Il s’avance, se dresse devant sa maitresse, et appuie ses deux pattes sur sa poitrine. Sylvie bascule sur le lit, jambes ouvertes. Elle sent la queue de Safran devenue énorme butter contre sa chatte, encore humide. Elle tente de repousser le chien en le prenant sous les aisselles, en vain. Le poids de l’animal est trop important pour elle.

– Pas ça Safran, supplie-t-elle, tu as une chienne toi. C’est pas bien ce que tu fais.

Mais la queue a commencé à s’introduire entre les lèvres de sa maitresse. Il entame de brusques va-et-vient dans la chatte de Sylvie. Celle-ci hurle de douleur. Impassible, Lady, assiste à la scène.

– Aie…aie…Arrête Safran, implore-t-elle, tu me fais mal…aie…Tu es fou, assez…assez…

Comme si elle la plaignait, Lady s’avance de sa maitresse et lui lèche le visage. Petit à petit, la douleur qui jusque-là lui tenaillait les entrailles, s’estompe pour laisser la place à une agréable sensation de plaisir. La queue du chien est enfoncée jusqu’au knot. La boule est énorme.

– Ha…Salaud, comme tu me niques mon chien. Vas-y, régale ma petite chatte…ha…il te nique comme ça Lady ? Quelle chance tu as… Quel coup de queue… putain.. .comme je suis en train de me le faire mettre… oui.je joui… oui…

Sylvie ouvre la bouche et embrasse Lady. Sa langue est happée par celle de la chienne. Un baiser de feu. Pendant ce temps, Safran vide sa semence dans la chatte de sa maitresse. Il se retire, la queue pleine de mouille, pousse Lady, et vient se placer en face la bouche de sa patronne. Sylvie a compris. Elle saisit la queue, et commence à la sucer. Lady, elle, s’est mise entre ses jambes, et lui nettoie la chatte.

Sylvie va se faire prendre tout l’après-midi. Le couple de labradors a décidé de jouer avec elle, de la faire hurler de plaisir. Elle offre même son petit trou pour que Safran l’encule. Puis, épuisée, les yeux cernés, elle s’écroule sur le lit. L’après-midi a été torride, intense, riche en découvertes sexuelles. Sylvie a pris gout aux rapports zoophiles. Le matin, quand son mari est parti au travail, elle ouvre la baie du salon, et fait rentrer les deux chiens. Elle s’accroupit devant eux, et les embrasse sur la bouche. Puis, l’instinct prend ses droits. Safran passe son museau sous la serviette, et renifle la chatte. Lady arrache le vêtement. Sylvie se retrouve nue. Puis, lentement, les trois amants regagnent la chambre

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Boniface par Louisa

Ma fille de 22 ans et moi avons toujours eu des rapports très libres, vraiment très libres si vous voyez ce que je veux dire.

Ce jour là je suis entré dans sa chambre, je ne me souviens plus pourquoi, toujours est-il que je découvre ma fille complément à poil sur le lit en train de jouer avec Boniface, notre labrador.

– Alors, tu t’amuses bien lui demandais-je sans malice
– Eh oui, il est pleine forme, regarde comme il bande.
– De quoi ? Mais tu fais quoi exactement ?
– Ben , je lui ai un peu touché la bite ! Ça a eu l’air de lui plaire.
– Mais tu es une cochonne !
– Oui Maman

Et devant mes yeux incrédules elle prend la bite du chien dans sa main et la caresse.

– J’ai regardé de vidéos zoophiles sur Internet, j’ai eu envie de faire pareil.
– De Faire quoi exactement ?
– De sucer la bite du chien !
– Tu as fais ça ?
– Oui ! Tu veux que je te montre ?

Je suis tétanisée, je ne sais quoi répondre alors ma fille a pris al bite du chien et la mise dans sa bouche, j’ai senti l’excitation me gagner.

– Ça m’excite de te regarder faire ça !
– Tu veux essayer !
– Non quand même pas !
– Allez viens !

Alors comme dans un rêve, j’ai rejoint ma fille et nous avons sucé à deux la bite de Boniface, j’ai senti un liquide visqueux m’envahir la bouche. Complétement excitée je me suis déshabillée et j’ai embrassé ma fille à pleine la bouche. Nous nous sommes caressées et gamahuchées pendant un long moment laissant le chien tranquille.

Mais il et revenu quelques instants plus tard, reniflant peu discrètement le cul de ma fille et là devant me yeux effarés, il l’a grimpé !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Mercredi 8 mars 2023 3 08 /03 /Mars /2023 09:15

Confessions d’exhibitions

culmat


Fesses à l’air au bureau
par Jocelyne_D

 

Lisant un récit à propos de la fessée imposée à une femme par son employeur, ça m’a fait penser à mon cas personnel et m’a incité à vous le raconter. Je travaille depuis près d’un an dans une agence d’une grande entreprise d’assurances, et je suis satisfaite de mon emploi bien payé et de mes conditions de travail assez particulières.

Nous sommes quatre à travailler dans les mêmes locaux, trois femmes dont moi qui m’occupe du standard et notre chef direct, Roger, un homme d’une cinquantaine d’années.

Lors de mon entretien d’embauche, le chef en question a été très direct et m’a dit que j’avais le choix entre être payée le smic ou un salaire de 2.300 € brut. Quand je lui ai demandé sur quoi reposait cette différence de salaire pour un même job sans qualification particulière, il m’a expliqué sans se démonter que je gagnerais les deux mille trois cent roros si j’acceptais de venir travailler tous les jours en jupe… et sans culotte.

Bien sûr, j’ai été d’abord soufflée du culot du type et j’ai commencé par refuser énergiquement en menaçant d’aller de ce pas porter plainte contre ces méthodes sexistes et machistes. Mais il m’a rattrapée et s’est mis à rire en me disant que les deux femmes qui travaillaient ici étaient déjà elles-mêmes sans culotte sous leur jupe, qu’elles ne s’en portaient pas plus mal, et qu’il n’exigerait strictement rien de plus. Il m’a laissé jusqu’au lendemain pour réfléchir.

Rentrée chez moi, j’ai mal dormi en pensant toute la nuit à cette proposition aussi bizarre qu’indécente. Un fils de 8 ans à charge, j’étais au RMI depuis plus de six mois, et les 2.300 € mensuels étaient dans ces conditions bien alléchants. Le lendemain matin, Roger me rappelle et me demande si j’ai réfléchi. Comme je ne sais toujours pas quoi répondre, il me passe l’une de ses employées qui me raconte qu’effectivement, elle-même ne porte jamais de culotte, que c’est la condition pour bosser et qu’à part ça l’ambiance est sympa, Roger n’exigeant rien de plus. Je ne sais pas pourquoi mais cette situation commence malgré moi à m’émoustiller, et je décide de retourner là-bas pour voir de plus près comment est l’ambiance de travail.

Je suis reçue par les deux femmes (sans le chef) qui se montrent très gentilles et très persuasives, n’hésitant pas à relever leurs courtes jupes pour me montrer qu’en effet… Bref, je passe sur les détails et mes dernières hésitations.

J’ai finalement accepté de tenter l’expérience, et j’ai effectivement été engagée à 2.300 € (pour un job de standardiste !). Ce que mes collègues ne m’avaient pas dit à l’époque c’était que Roger avait tout de même les mains très baladeuses, et j’ai pu m’en apercevoir très vite. Il ne se passe jamais un jour sans qu’il nous colle les mains aux fesses sous les jupes, mais c’est exact qu’il ne cherche jamais à aller plus loin. Aujourd’hui, je suis très satisfaite de ce travail cool et très bien payé, d’autant plus que le fait d’avoir les fesses à l’air et de ressentir une main s’y balader de temps en temps me maintient dans un état d’excitation permanent très agréable.

Mon petit ami ne sait évidemment rien de cette situation, mais il trouve que je suis devenue beaucoup plus portée sur le sexe qu’avant que je trouve ce travail ! Je sais que ce genre de situation peut être considéré comme du harcèlement sexuel (c’est d’ailleurs ce que j’ai pensé au début), mais il est des fois où ce « harcèlement » peut être très agréable, surtout s’il correspond à des fantasmes que l’on a, et si le chef est habile et sympa.

Je suis sûre que d’autres femmes pensent comme moi et connaissent ce genre d’expérience au boulot.

Bisous à tous les lecteurs.

Au bord de la rivière par Mike67

C’est le printemps, nous allons souvent au bord d’une petite rivière passer l’après-midi. Tandis que je pêche, ma copine Yolande lit et bronze au soleil. L’endroit est très isolé, nous y sommes seuls tout le temps

 

Ce jour-là avant de partir, je lui suggère d’enfiler un débardeur très court et une minijupe ample très raz des fesses. Elle est nue dessous mais elle sait qu’où nous allons il n’y a personne. (du moins c’est ce qu’elle croit)

 

Je descends son sac pour le ranger dans le coffre, dans le garage je l’ouvre et vérifie ce qu’elle emporte. Il y a un maillot de bain et une serviette, je les retire du sac et les cache puis referme le sac et le remets dans le coffre.

 

Elle me rejoint et monte en voiture. Tandis que nous roulons je la félicite pour sa tenue sexy et la rassure de nouveau en lui rappelant que toutes les fois l’endroit est désert, elle me répond que c’est pour cette raison qu’elle a accepté de garder cette jupe sans culotte sinon elle n’aurait pas cédé car c’est vraiment trop court.

 

Nous arrivons à la rivière, je me gare et prends les sacs dans le coffre. Yolande est déjà engagée dans le petit sentier qui mène à la crique, elle s’est hâtée pour éviter d’être vue sur la route. Il y a 5 mn de marche encore à travers des buissons, je la regarde marcher, sa jupe est vraiment courte elle couvre à peine le pli des fesses et le vent qui s’est levé la lui soulève facilement découvrant ses rondeurs généreuses. Enfin nous arrivons, j’installe nos tapis sur les galets ronds, elle ouvre le sac et s’aperçoit qu’il n’y a pas de maillot:

 

– J’ai oublié mon maillot et les serviettes ! Dit-elle

– Ma pauvre, tu n’as pas de tête !

– C’est que tu étais tellement pressé de partir…

– Ça y est, ça va être de ma faute…

 

Elle ne répond pas et s’assoit sur son tapis.

 

– Tu vas pas rester comme ça ! Lui dis je

– Ben si, puisque je n’ai pas de maillot !

– T’as qu’à te foutre à poil ! Y’a personne !

 

Elle se met debout et quitte ses vêtements en les rangeant soigneusement dans le sac et va s’allonger au soleil sur une pierre plate au milieu du ruisseau. Je reste près des sacs à l’ombre pour lire un peu. Le temps passe, je vais voir Yolande et comme elle ne répond pas je lève ses lunettes de soleil, je constate qu’elle s’est assoupit, je la laisse dormir, le soleil est faible et avec la crème elle ne craint rien. Je me replace sur mon tapis et reprends ma lecture.

 

Un homme surgit, il me salut en passant. Tandis qu’il continue de descendre la rivière , je fais mine d’être plongé dans ma lecture et l’observe discrètement. Il est debout sur la berge juste en face de Yolande et la regarde en se tripotant la braguette. Yolande est sur le dos, ses cuisses légèrement ouvertes dévoilent ses lèvres intimes, son pubis rasé la rend indécente, ses seins lourds aux larges aréoles roses sont bronzés mais invisibles pour le moment.

 

– Ne la réveillez pas ! Lui dis-je doucement en m’approchant.

 

Il se recule un peu gêné en me souriant et se sauve rapidement dans les buissons. Je reste seul déçu qu’il ne comprenne pas. Me retournant, je vois Yolande assise sur la pierre:

 

– Il est parti?’ demande t elle

 

Elle m’avoue s’être rendu compte qu’on l’observait et par peur elle est restée immobile.

 

– Tu vois c’est pas difficile de s’exhiber ! Lui dis je

– Oui, bon ! On ne va pas épiloguer…

 

Je m’approche et la caresse entre les cuisses, elle est vite excitée

 

– Tu as apprécié d’être matée on dirait ?

– Oui j’avoue… un peu… Mais tu ne vas pas me demander de recommencer ?

– Disons que c’est un jeu !

– Tu exagères !

 

Je lui pelote les fesses, elle se laisse faire en gémissant.

 

Un homme sort des buissons, il s’approche timidement. Je lui fais signe de venir plus près, sa braguette est ouverte.

 

– Tu ne la touches pas, mais si tu veux te branler, tu peux.

 

Le mec à sorti son chibre et se masturbe frénétiquement. Ça ne dure pas longtemps et il envoie son sperme sur les fesses de Yolande.

 

– Cochon ! Lui dit-elle.

 

L’homme disparaît.

 

– Salaud qu’est-ce que tu m’a fait faire ? me reproche-t-elle

– Mais je ne t’ai rein fais faire tu avais toute liberté pour l’envoyer promener , tu ne l’as pas fait!

– Ah, c’est vrai !

– Tu vas faire quoi maintenant ?

– Je vais attendre, dès fois qu’l vienne un autre cochon !

 

 

Glups !

 


Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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