Confessions

Jeudi 30 juillet 2020 4 30 /07 /Juil /2020 11:35

Confessions zoophiles

zoo

 

Jeff

 

J’ai 58 ans, menue et encore bien faite, avec de jolis seins.

 

Je vais vous raconter ce qui s’est passé une nuit où mon mari était en déplacement.

 

Il était minuit, il faisait très chaud et je ne pouvais pas dormir, je décidais de prendre une douche quand notre chien Jeff est rentré dans la salle de bain, je me suis dit : je vais le laver. Jeff est un labrador croisé, il fait le double d’un labrador normal, je dois vous dire que j’étais en conflit avec mon mari et que je n’avais pas fait l’amour depuis 5 ou 6 mois et que je ne suis pas très portée sur la chose. Je fais donc rentrer Jeff dans la baignoire, avec difficulté vu son poids, mais j’ai la chance qu’il aime l’eau.

 

Je commence donc à lui savonner le dos, sans aucune arrière-pensée, le lavais penchée sur son dos par-dessus sa tête c’est alors que Jeff a commencé à me lécher les seins et descendait jusqu’à mon sexe, je réalisais que j’étais nue dans la baignoire avec mon chien cela me faisait des sensations dans un autre monde. J’ai décidé de lui laver le ventre et son sexe. Je me suis donc glissée sous lui et je l’ai savonné, il a commencé à bander avec du liquide qui sortait. J’étais fascinée par ce sexe gros et long, une fois et demie celui de mon mari, j’ai pété les plombs et j’ai commencé à le masturber.

 

Il était magnifique, il m’a joui sur les seins et le visage, je me suis dit alors : stop.

 

Je me suis mise sur le ventre pour me relever et en me relevant je me suis cogné la tête sur la robinetterie, j’ai eu mal et je me suis pris la tête entre les mains. J’étais à quatre pattes sous lui, le bassin relevé et la tête en bas, un peu sonnée. Avant que je n’aie pu faire un mouvement, son sexe était à l’entrée du mien. Je criais : non, mais j’étais bloquée, en deux coups de bassin il était en moi. Là, je me suis laissé aller, jamais je n’ai été aussi entièrement prise, il me bourrait magistralement. Je jouissais comme une folle et lui m’inondait sans arrêt.

 

Je ne sais pas combien ça a duré, mais j’étais en extase, j’ai même aimé quand il a grossi. Je suis allé dans mon salon pour récupérer et je dois vous dire que je me suis fait reprendre.

 

Depuis je me fais prendre par lui régulièrement, il ma sodomisée et une autre fois je l’ai sucé et tout avalé je ne l’avais jamais fait car c’était tabou pour moi.

 

Je l’ai même fait prendre ma meilleure amie, mais je vous raconterais ça plus tard ainsi que mes autres expériences.

 

Depuis Jeff je ne suis plus la même femme.

 

Janice

 

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Zorro est arrivé

 

Je m’appelle Alice, j’avais 19 ans quand cela s’est passé. Je n’avais pas de petit ami à ce moment-là et coté vie sexuelle c’était un peu le désert. C’était les grandes vacances d’été, mes parents m’avaient conduit chez mes grands-parents dans le Nord. Ils possédaient une grande maison assez isolée dans la campagne avec un immense jardin. Mes parents devaient initialement rester avec moi mais ils ont dû rentrer pour une urgence professionnelle. Je me retrouvais donc seule avec mes grands-parents pour une semaine. (Ah oui j’ai oublié de vous raconter un détail qui aura son importance par la suite: mes grands-parents ont un labrador de 4 ans qui s’appelle Zorro.

 

Je dormais dans la seule chambre du rez-de-chaussée, la première journée s’est passée d’une façon tout à fait banale. J’avais emporté dans mes bagages un gode que j’avais achetée une semaine plus tôt sur internet et que je n’avais pas encore essayé. Le soir en regardant une de mes séries préférées, je commençais à jouer avec mon gode sans la crainte d’être surprise, car mes grands-parents se couchais tôt, l’orgasme ne se fit pas attendre puis je m’endormis vêtu d’une simple petite nuisette.

 

Le matin suivant je me réveillais vers 10 heures, mes grands-parents m’avaient prévenues la veille qu’ils partaient la journée rendre visite à des amis à eux. Je pris mon petit déjeuner sur la table du salon. Pendant que je prenais mon petit déjeuner Zorro le chien de mes grands-parents passa sous la table et se frotta contre mes jambes; je sursautai et fis tomber la tasse que j’avais dans les mains. Je le disputais et me mis à quatre pattes pour ramasser les dégâts: quand tout à coup je sentis une pression sur mes épaules, je tournais la tête et vit Zorro qui s’appuyait sur mes épaules avec ses pattes. Ne pensant pas qu’il voulait réellement « s’accoupler » je le repoussai; mais pas assez fort pour qu’il s’en aille: puis je sentis une pression sur mon sexe et quelque chose qui voulait entrait en moi; je compris immédiatement et je repoussai Zorro de toute mes forces. Furieuse je le mis dehors et je me suis dit que le fait de ne pas avoir mis de culotte était une erreur. Je partis immédiatement prendre une douche pour oublier ce qui s’était passer avec Zorro, mais je n’y arrivais pas: je ressentais encore cet énorme chose qui vouait entrait en moi et un frisson parcourra tous mon corps.

 

Mes grands-parents revinrent à temps pour le diner. Ils me demandèrent comment ma journée s’était passée: je leur répondis qu’elle avait était banale et que je m’excusais pour la tasse que j’avais cassé. Ils remarquèrent que Zorro était dans le jardin, ne comprennent pas pourquoi il était enfermé dehors: je leur expliquais que c’était à cause de lui que j’avais casser la tasse et que pour le punir je l’avais mis dehors. Ça m’était sorti de la tête. Avant d’aller se coucher ma grande mère voulu me parler :

 

– Demain ton grand père et moi allons faire une ballade, est ce que tu veux venir avec nous?

– Non désolée je n’ai pas trop envie de sortir. (Je ne vous cache pas que j’avais une tout autre idée en tête).

 

Le soir je surfait sur le net pour en savoir plus sur les relations entre femme et chien. Je tombais sur plusieurs vidéos mettant en scène des femmes en train de baiser avec un chien, elle avait l’air de prendre beaucoup de plaisir: j’avais une petite envie d’essayer.

 

Le lendemain au petit déjeuner je remarquas un petit papier sur la table du salon mais je n’y prêtai pas plus d’attention. Je voulais recréer la scène de la veille, je cherchais Zorro qui était dans la cuisine, je le caressais pendant quelque temps pour qu’il soit un peu excité: quand il se leva j’enlevai ma culotte et me mis à quatre pattes. Il ne mit pas longtemps avant de s’appuyer sur mes épaules puis il me pénétra d’un seul coup, je poussai un cri tellement fort que même les voisins auraient pu entendre. Il entama un va-et-vient qui me fit gémir de plaisir et me fit atteindre l’orgasme, c’est alors qu’il éjacula en moi. Il se retira et me laissa là, étendue sur le sol, du sperme dégoulinant de mon vagin. Soudain j’entendis quelqu’un qui me parlait :

 

– Alors Alice tu prend ton pied ?

– Euh…

43

Oh mon dieu c’était ma cousine Audrey plus vieille que moi de deux ans, je ne l’avais pas entendue entrer

 

– Tu as l’air surprise de me voir, on ne t’a pas dit que j’arrivais aujourd’hui ?.

 

C’était donc ça le papier sur la table, ma grande mère l’avait laissé là pour me prévenir

 

– Tu dois te demander ce que je fais à moitié nue sur le sol de la cuisine.

– Non pas tant que ça, tu n’as pas dû le voir mais je regardai depuis un petit bout de temps et j’ai vu la scène.

– Alors tu dois me prendre pour une folle.

– Non pas du tout.

– Ah bon??

– Non. C’est la première fois que tu fais ça avec un animal?

– Euh, ouai.

– Et bien moi je peux te dire que je suis allée plus loin. (Elle me fit un clin d’œil)

– Comment ça ?

– Je l’ai déjà fait avec une petite variante.

– C’est-à-dire ?

– C’est-à-dire que le chien m’a enculé !

– Je vais me doucher et tu me raconteras tout ça. Et au fait pas un mot de tout ça.

– D’accord mais on va se doucher ensemble, j’aimerais bien gouter à tes petits trésors !

– Pas de problème.

 

Alice

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Mon mari et mon chien par Lola

Il était environ 18 heures quand David, mon mari arriva du travail, il faisait assez chaud et j’étais donc en petite tenue. Je ne portais qu’un tee-shirt très très court. Comme à son habitude, David m’embrassa dans le cou et me fit remarquer que si je restais comme ça, il serait dans l’obligation de me baiser. Ne m’en déplaise mais avant il devait sortir notre chien Amoj, un rotweller de 6 ans.

Après m’être repoudré le nez, je continuais mes occupations à la cuisine en attendant le retour de mon mari. La porte s’entrouvrit et mon cœur commençait à s’affoler. Il arriva derrière moi et commença à me peloter mon cul, il m’embrassa, me lécha. Avec délicatesse, il m’allongea par terre puis m’introduisit un doigt puis deux, j’aime avoir mal quand il me fait l’amour, sans peine, il me ramona avec sa main puissante. Instinctivement, il attrapa la courgette que j’étais en train d’éplucher, je savais ce qui allait se passer, je le priais de me l’introduire dans l’anus. Il ressortit sa main pour prendre la courgette, il me la planta dans le corps : j’ai crié ! Il me pilonnait si fort que je croyais tomber dans les pommes.

Mon chien attiré par les cris arriva, il me renifla d’abord puis s’assit la langue pendante. Son sexe commençait à gonfler; il faut avouer qu’il était divinement monté. Mon mari continuait quand il me regarda fixement, je compris de suite. Il approcha le chien et lui fit mettre sa truffe sur ma chatte mouillée, il lécha. David me demanda de me retourner et Anjol monta sur mon dos. Il avait du mal à trouver mon con alors David dirigea son sexe ce qui l’excita encore plus puis d’un coup il me força. Pendant de longues minutes il me fit l’amour avec une certaine intensité; c’était si bon. Dans le même temps je suçai mon mari qui bandait terriblement devant ce spectacle. Après l’étreinte de mon chien terminée, David le sortit de la pièce.

– On recommence quand, mon chéri ? Lui demandais-je

– Mais quand tu veux !

 

Lola

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 14 juin 2013 5 14 /06 /Juin /2013 10:48

 Confessions bitophiles – 3 – (texte collectif)

BiteFlag

Un couple d’amis
par Gédéon

Depuis quelques temps, je passais de longs moments sur le net, à chercher des photos et des vidéos de trio bi. J’étais fasciné par la queue d’un type dans l’anus d’un autre, devant sa femme.

J’avais tenté les dominatrices professionnelles, et je m’étais fait goder. Aussi un transsexuel, qui m’avait bien enculé. J’ai même tenté le sauna, où là, c’est un mec qui m’a demandé de le prendre, ce que j’ai fait.

J’avais l’habitude de tout raconter à mon meilleur pote, lui seul savait mes petites perversions.

Un soir qu’il m’invitait à manger chez lui, comme ça arrivait régulièrement, je le trouvais bien fatigué. Alors que je lui en faisais la remarque, il me répondit qu’il travaillait trop, et qu’il me laissait ranger le couvert avec sa femme, lui allant se coucher.

Sa femme… 15 ans qu’elle me draguait, presque ouvertement devant lui, sans qu’il ne s’en rende compte. Elle était sexy ce soir là. Et est arrivé ce qui devait. Je la pelotais en l’embrassant sur la bouche, elle un peu effarouchée au début, puis se laissant aller. Je crus qu’elle éteignait les lumières pour plus de sécurité. Elle se rapprocha de moi, et me posa d’autorité un bandeau sur les yeux.

Je sentis mon pantalon tomber à terre, retiré complètement. Elle me dévêtit complètement, en quelques minutes, je me retrouvais nu dans leur canapé. Et là, je sentis sa langue sur mes bourses, puis sur ma queue. Un délice. Je ne tardais pas à bander. Elle me suçait bien, la salope. Je bandais d’autant plus que je pensais à mon pote qui dormait à côté. La situation me gênait vis à vis de lui, mais m’excitait davantage.

Bi286 Alors que ma queue mouillait de plaisir, raide comme un I, je l’entendis se lever, allumer la lumière et revenir à moi en m’arrachant le bandeau. Surprise, c’était mon meilleur pote qui me suçait.

Elle expliqua que son mari lui avait tout raconté, et que comme il était facilement soumis, elle allait jouer avec nous deux ensembles. J’étais confus, honteux, mais ne débandait pas. Elle fit mettre son mari à quatre pattes, et m’ordonna de l’enculer à sec, ce que je fis avec une étrange facilité. Il avait l’habitude de se faire péter la rondelle…

—-

Manon et Eric par Camille

J’étais mal remis de mon divorce. Au boulot une femme me plaisait beaucoup, Manon, elle était gentille avec moi mais repoussait mes avances. Une fois sans doute pour me refroidir, elle me dit qu’elle et son mari étaient libertins et bisexuels. Loin de me braquer, je fantasmais au contraire sur une possible rencontre. Je continuais donc à poursuivre Manon de mes assiduités.

- si t’es libertine, pourquoi tu ne veux pas de moi ? si je ne suis pas ton genre de mec, dis-le-moi carrément, je te fouterai la paix.

- t’es trop sentimental, mon gars, moi quand je baise c’est juste physique, quand il commence à y avoir des sentiments c’est dangereux, et d’abord j’aime mon mari.

- Ah bon !

- Si tu veux me baiser ce sera devant mon mari, et vu ses orientations sexuelles tu prends un risque.

Alors je lui répondis que je voulais bien prendre ce risque. Je fus invité chez eux, on a d’abord diné, je me souviens qu’ils m’avait fait un soufflé au fromage et une mousse au chocolat. On a bu l’excellent bordeaux que j’avais apporté, et au moment du café, Eric, le mari s’est levé et s’est approché de moi puis a baissé son pantalon. Et m’a demandé de lui sucer la bite. Court moment de panique mais Manon m’encourage du regard alors j’ai pris la bite et je l’ai sucé. C’était doux, chaud, délicieux, je me suis régalé, après il m’a sucé la sienne. Il a voulu m’enculer mais il n’est jamais réussi à passer, le chemin était trop étroit.

Après j’ai baisé Manon comme il se doit.

Le temps a passé, j’aime toujours les femmes et je vis en ménage avec une fille formidable, mais de temps en temps je m’arrange pour me rendre dans des endroits où il y a de la bite à sucer, c’est tellement bon. Je me fais aussi enculer, depuis le temps le chemin s'est ouvert !

Bisous sur la bite à tout le monde

Camille

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Jeudi 27 septembre 2012 4 27 /09 /Sep /2012 10:40

Confessions uro - 2
Nadine, astuce et caniveau
Texte collectif

 

Gs2

Thémes abordés : exhibition, fétichismes divers, uro, voyeurisme, uro

 

Ces confessions sont issues des anciennes versions du site. Très différentes dans leur propos, il aurait été dommage de les laisser dans l’oubli !

 

Pipi-culotte
par Nadine
Je voudrais apporter mon témoignage personnel sur l’ondinisme. Je suis mariée, j’ai 50 ans et j’ai eu trois enfants. Quand j’étais plus jeune, il m’arrivait de souvent de faire pipi dans ma culotte, lors de fou-rires… Je me souviens qu’à l’âge de 19 ans j’étais en vacances en Suisse et lors d’une descente dans la poudreuse je suis tombée dans une telle épaisseur de neige que je n’arrivais pas à me relever, j’étais avec 2 copines et on riait fort. J’ai senti que je faisais pipi de rire et je ne pouvais pas me retenir ayant une grosse envie, j’ai pissé dans ma culotte à travers mon pantalon, mes deux amies ont pissé aussi en même temps que moi dans leur culotte et on est rentré se changer car nos pantalons fuseaux étaient auréolés à l’endroit des fesses.

 

Quand j’ai connu mon mari, je me souviens d’une sortie en forêt de Chantilly, je ne voulais pas faire pipi devant lui et je me retenais, il m’a caressé le sexe dans la voiture à travers ma gaine-culotte et au moment de l’orgasme, j’ai fait pipi dans ma gaine-culotte blanche qui était toute mouillée. Mon mari a bien rigolé et cela a dû le marquer car il m’en parle encore et m’a demandé souvent de pisser volontairement dans mon slip…

A mon 2 accouchement, j’ai eu un gros bébé et j’ai été recousue, pareil pour le 3° et depuis j’ai de gros problèmes de vessie. Pratiquement tous les jours je fais pipi dans ma culotte en riant ou éternuant, parfois il y a juste une auréole jaune sur le fond mais il m’arrive aussi de faire pipi dedans et à travers. au début cela me gênait, et puis je me suis habituée à avoir l’entre-jambe mouillé. Il m’arrive même, de ne plus aller aux toilettes quand j’ai envie, je fais pipi dans ma culotte au bureau, en regardant la télé ou au cinéma et cela m’excite. Souvent quand je rentre le soir, j’ai la culotte toute jaune bien au-delà du fond doublé, souvent je pisse debout à travers dans la rue avant de rentrer, je mets des culottes en coton blanc (Sloogy™ ou Playtex™) bien absorbantes une gaine-culotte par-dessus et des jupes foncées qui cachent l’auréole de pipi quand je mouille ma culotte.

Au lit, je garde ma culotte de la journée et mon mari est toujours excité par cela, il regarde si j’ai pissé dans la journée (c’est presque toujours le cas…) me caresse à travers et je fais pipi dedans avant qu’il me pénètre ou alors, il introduit son sexe en écartant la culotte et je fais pipi quand il est dans moi, cela nous conduit à un orgasme simultané et rapide.

Parfois, je me mets sur lui et je fais pipi dans ma culotte et mon pipi coule sur son pénis (il adore…) La femme de ménage était étonnée de voir tous les matins une culotte trempée de pipi ou tout jaune d’urine dans le linge sale aussi je lui ai expliqué que je faisais pipi dans ma culotte ayant des problèmes de vessie. Elle m’a dit qu’elle aussi faisait souvent pipi dans sa culotte en faisant le ménage.

Bref, les pipi-culotte nous excitent tous les deux, il paraît que la plupart des femmes pissent régulièrement dans leur culotte, souvent par plaisir, je ne suis donc pas la seule !
(18/12/02)

poire h

Une super-astuce !
par Christophe
Voici une astuce qui devrait intéresser de nombreux lecteurs : Comment retrouver les joies provoquées par le jet du pipi dans la bouche lorsqu’on est trop souvent célibataire (du moins dans l’accomplissement du fantasme) ? Il y a bien la méthode de la baignoire qui consiste à se positionner de telle façon de recevoir sa propre urine dans le gosier, mais avouez que ça manque de confort ! Alors voilà ! Il faut acheter une petite ‘poire pour hygiène intime  » ça s’appelle comme ça et ça s’achète chez le pharmacien ! Si le pharmacien vous pose des questions répondez que c’est pour faire des bains d’oreilles (ça sert aussi à ça !) Mais les pharmaciens ne sont pas curieux, ça fait partie de leur métier. Donc, vous pissez dans une cuvette, vous y plongez la petite poire en la pressant puis en relâchant la pression afin qu’elle se remplisse. Il ne reste plus qu’à vous en projeter le contenu dans la bouche par petites giclettes successives ? Ais-je gagné la meilleure astuce de l’année ?
(08/12/02)

 

 

Le caniveau
Par Luc, en Bretagne
C’est une histoire, mais vraie, c’est-à-dire plutôt un fait divers vécu. Ça se passe à Paris 14ème, rue Delambre je crois, vers 1995. Je marche sur le trottoir, il y a peu de monde dans la rue. J’aperçois un type qui travaille pour la propreté de Paris en tenue verte, un grand noir.
Un couple à pied me dépasse. Ordinaire. Quelques mètres plus loin, j’entends la femme qui dit à son mari :

 

Uro Rue

- « J’ai une de ces envies de pisser ! J’en peux plus, faut que je pisse ou je vais pisser dans ma culotte ! »

La vache ! elle commence à m’exciter celle-ci ! Elle se cambre, se contorsionne comme si elle offrait aux passants, son beau cul moulé par la jupe de coton blanc à travers laquelle je distingue déjà la culotte. Je ralentis le pas, pour ne pas les dépasser et savourer le spectacle, et je sens ma braguette qui gonfle et mon zob qui se déplie dans mon slip comme un jet quand on ouvre le robinet. La femme se caresse les fesses presque accroupie ; on croit que sa jupe va craquer, elle cherche désespérément des toilettes publiques… mais rien à l’horizon. Elle aperçoit l’éboueur et s’avance vers lui.

- « Je peux faire pipi dans le caniveau ? » dit-elle en riant.
- « Ah ! si vous voulez » répond le grand noir en souriant aussi, surpris, son balai à la main.

Elle ne le fera pas bien sûr. Le type à la cotte verte et blanche retourne à sa poubelle. Et moi je rêve… Lorsque j’arrive à hauteur du couple je vois la femme qui se retourne enjambe le caniveau, écarte les cuisses, remonte sa jupe, baisse sa culotte. Elle s’accroupit et se met à pisser. La salope ! Jamais j’aurais crû ça possible !

Y a que dans les films pornos qu’on voit ça ! même pas dans les érotiques ! Elle pisse, un jet dru gicle de sa fontaine ; je regarde sa chatte poilue comme un touriste japonais éberlué devant les grandes eaux des pelouses de Versailles. Le noir fixe la scène lui aussi paralysé de plaisir et de surprise.

« Allez tant pis pour les risques, me dis-je je tente le tout pour le tout! ».

Et devant le mari médusé je dis :

 » Madame excusez-moi, mais je collectionne les culottes portées, si je pouvais avoir la vôtre, ça me ferait grand plaisir  »

Elle finit de pisser, se relève et sort ses chevilles de sa culotte. Elle s’essuie la moule avec d’un geste rapide, me la donne

…et repart avec son mari qui n’a rien dit. Le grand noir l’appelle en se marrant :

 » Hé ! Madame on peut s’amuser tous les deux ! non ?

incroyable ! »

Le couple se met à courir et disparaît… Je porte la culotte chaude et mouillée à mes narines.
(23/10/02)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Vendredi 21 septembre 2012 5 21 /09 /Sep /2012 10:29

 

coin102

Thémes abordées : engodage masculin, prostitution

 

Ces confessions sont issues des anciennes versions du site. Nous les republions aujourd’hui non pas pour faire du remplissage, mais parce qu’elles n’ont rien perdu de leur force de témoignage, ni de leur actualité

 

Histoire Flash ! Par Jean-Claude

Le couloir d’un bordel rue St Denis, j’attends que J. soit libre, une oreille discrète, des bruits de sommier, j’attends quelques instants, puis j’entends une conversation, c’est fini mais ça s’éternise, je frappe. Peut-être suis-je arrivé un peu tard, elle quitte vers midi en principe. Elle m’ouvre, me demande d’attendre 5 minutes ! Ce n’est pas un problème et m’en vais fumer une clope. La porte s’ouvre ! Le client sort hilare :

-  » Je vous la laisse, elle est à vous  » me dit-il manifestement enchanté de sa prestation.  »
- C’est sympa bonne journée ! « , Répondis-je.

C’est bien la première fois que je rigole avec un autre client… Cette rencontre commençait donc sous les meilleurs auspices. Je rentre, me déshabille (mon intention n’est pas de tout vous raconter). On se caresse un peu debout et elle me retourne pour me flanquer une fessée. Elle connaît mes habitudes, elle connaît aussi mes autres fantasmes, ceux que nous ne faisons pas, parce que… et bien parce que ça me ferait trop cher ! Elle a l’air en pleine forme, elle a l’impression de cacher quelque chose, mais comme elle commençait à ranger ses affaires pendant que je me déshabillais, je n’y fais pas attention plus que ça ! Elle se place derrière moi, quelque chose de frais force mon anus. Et me voilà avec un gode dans le cul, que je n’avais pas demandé. Elle l’agite, je suis aux anges… On rigole, on passe à la suite, mais je conserve le gode planté… j’ai joui comme rarement cela ne m’était arrivé. Superbe souvenir ! Pourquoi je vous raconte ça, me demanderez-vous ? Et bien parce que je voulais simplement rendre hommage à celles d’entre elles (et elles ne le sont pas toutes) qui font leur métier (leur métier je dis bien) avec gentillesse, décontraction et conscience professionnelle. Et puis moi d’abord j’ai même pas honte, je suis bien dans ma peau, nananére.
(JC 21/05/03)

 

Je suis un vilain client par Patrick

R Pross99 Je suis un vilain client. Je consomme du sexe ! Vous vous rendez compte à quel point je suis un être asocial ? Et alors ? Moi, je suis aussi pour la banalisation du sexe ! En matière de consommation on fait bien pire, et ça ne choque pas trop les ligueurs de la morale qu’ils soient de gauche, de droite ou du centre (parce que consommer des vêtements ou des chaussures de marques fabriquées dans des conditions d’exploitation incroyables en Asie du sud-est, vous croyez que c’est bien, vous ?).

Envie d’écrire ce petit courrier de Paris, où je me rends chaque mois… La rue St Denis… Mais la personne que je rencontre d’habitude n’y était point. Cela arrive. Alors coup de poker, car il m’est déjà arrivé de choisir des filles qui se sont révélées peu consciencieuses, regardant leur montre (l’horreur) ou bâclant la prestation sur fond de blabla radiophonique (l’horreur – bis) …

Deux choses m’ont attiré chez cette jeune femme : sa grande taille et son sourire qui éclairait son visage de blonde vénitienne. Peu de seins, peu de fesses, mais une belle allure. Elle m’a fait ce que je lui demandais avec art et manière, puis elle m’a pratiqué une fellation d’anthologie… j’ai eu beau rechercher dans mes souvenirs, je ne me souviens pas avoir été un jour aussi bien sucé ! Quelle fougue ! Quelle ardeur ! Mais aussi quelle gentillesse. Cette fille possédait un certain niveau culturel et un humour détonnant, ne pratiquant bizarrement le tutoiement prostitutionnel qu’en fin de prestation.

Elle m’a sorti un truc assez spécial, me disant qu’elle aussi jouissait en même temps que son client, mais qu’il s’agissait d’une jouissance cérébrale, le plaisir de voir l’autre jouir, quoi … Blabla commercial qui ne rajoute pas grand-chose, mais du même ordre d’idée que la boulangère qui vous demande si ça va… Après tout être comme on dit : commerçante, n’est jamais un défaut.
J’ai passé un excellent moment. Et je ne comprends pas moi non plus l’entêtement de ceux qui s’acharnent contre nous au point de ne pas nous entendre. Vive les filles !

(Patrick 13/03/03)

 

Merci à vous, mesdames ! par Bernard

A l’âge de 22/23 ans j’étais puceau, n’arrivant pas à m’affirmer auprès des filles. Je n’avais donc jamais connu l’amour physique et cela me travaillait… j’ai donc été voir les prostituées. Et là je me suis aperçu que je développais un blocage : je bandais correctement mais pas moyen de jouir. La première fois, je m’en tirais avec un piteux, « ce doit être la fatigue… la chaleur « . Les autres fois cela n’a pas été mieux. Je changeais de fille à chaque fois, à raison d’une ou deux fois par mois. Et à chaque fois, l’échec. Et à chaque fois j’invoquais la chaleur, la fatigue, et même la marche à pied…. J’envisageais assez mal l’avenir, je me voyais vieux garçon refoulé, aigri, sans perspective, l’horreur ! Et puis un jour, il pleuvait des cordes, je monte avec une fille super gentille, qui commence par me sécher les cheveux, sans doute plus pour ne pas mouiller son dessus de lit que pour m’être agréable, mais elle était souriante et avenante. Le scénario se répétait. « La chaleur, la fatigue… » -

« Mais non, faut que tu jouisses ! » Me dit-elle et elle commença à me masturber.

Puis me demanda de le faire moi-même en se laissant caresser par mon autre main. Le fait d’avoir joui me fit changer complètement la vision que j’avais des séances avec ces dames. Et à partir de cet instant, après mes tentatives, au lieu d’invoquer la chaleur… je proposais : « Je vais me finir à la main… «  pas facile à sortir la première fois, mais on s’y fait vite !

Et puis un jour, une fille, (je me souviens de son prénom -c’était Brigitte-, de son visage malicieux et de ses grands cheveux blonds) me répondit « Mais, non, laisse toi faire ! »elle me chevaucha avec application et décontraction, y mit tout son savoir-faire, et pour la première fois de ma vie, j’éjaculais en faisant vraiment l’amour… J’en avais les larmes aux yeux de bonheur.

Le déclic fut radical, mon blocage disparut… Quelques mois après je rencontrai une femme, et ma vie sexuelle est devenue normale, à ceci près que parfois je retourne voir les filles. Mais non, je corrige, cela n’a rien d’une anormalité !
Simplement la question que je me pose, c’est : quelle aurait été ma vie, si je n’avais pas rencontré ces deux filles ? Merci encore, à toutes les deux et merci encore à toutes les autres, je vous dois ma vie d’homme. !

B. (14/06/02)

ce dernier témoignage est tout simplement l’un des plus beaux et des plus touchants qu’il m’a été donné de lire sur le sujet.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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Lundi 27 août 2012 1 27 /08 /Août /2012 10:14

Confessions bitophiles – 2
par Mirando, Looker et Dami 62

BiteFlag

Thémes abordés : bisex masculine, naturisme

                Cinoche par Mirando

Je viens de vivre une de mes expériences bi les plus excitantes depuis ces 5 dernières années…

 

Je suis agent commercial indépendant ce qui me laisse beaucoup de temps de libre ainsi je vais parfois faire un tour dans un des derniers cinés pornos de Paris à Bonne Nouvelle. On entre dans une vraie salle de cinéma ou bon nombre de mecs présents sont en train de se branler soit tous seuls soit aidés par leur(s) voisin(s).Ambiance ultra excitante devant de vieux films pornos d’il y a dix ans…

La meilleure place est celle au bord du couloir tout en haut avec le mur dans le dos, ainsi on peut observer les nouveaux arrivants qui restent parfois quelques instants debout afin de mieux habituer leurs yeux à l’obscurité et savoir où ils vont pouvoir s’asseoir. Beaucoup de vieux bien murs et puis quelques âges intermédiaires un ou deux jeunes comme moi parfois. Sur le dernier rang il peut tout se passe…

Me voilà donc debout avec deux autres hommes plutôt bien murs l’un devant moi appuyé contre le mur comme moi et l’autre à côté. Nous regardons le film et rapidement celui de devant passe ses mains derrière son dos pour me palper la braguette. Érection immédiate, je me laisse faire il sort mon sexe et commence à me branler…. Je suis BIEN inutile de vous le dire…

En quelques instants ils sont trois autour de moi à me branler et caresser les couilles le cul à travers le pantalon cinq ou six mains au niveau de mon bassin en même temps le REVE. Et puis le temps passe… mais je commence à fatiguer de rester debout aussi quand la fameuse première place au bord se libère je retire doucement les mains de mes « Assaillants » et je vais m’asseoir.

Et là les choses deviennent incontrôlables car l’un de mes ex palpeurs se met à genoux et entreprend de me sucer goulûment (je n’ai rien contre… ils le comprennent tous…) et quand mon suceur me laisse un peu de répit, ma queue se dresse de ces 19 cm avec le gland luisant de bave épaisse et dure dans l’obscurité… Alors c’est mon voisin qui prend le relais pour me pomper en gorge profonde en me titillant les seins (Je fais tout mon possible pour ne pas jouir et prolonger cette expérience) je suis en transe, on me baisse le pantalon et cette fois c’est mon voisin de devant qui s’est retourné et commence à enfoncer son doigt lentement et avec délicatesse dans mon trou du cul. L’opportuniste en profite pour me prendre en bouche dès que son complice libère ma queue et me voilà sucé par trois mecs à la fois tour à tour…. C’est quand le tout premier reprend son goûter que, à bout d’excitation et saisi par de gros spasmes, je lui envoie les jets chauds et salés de mon sperme au fond de la gorge ce qui semble le combler d’aise (même s’il recrache le tout ensuite ce qui me parait une attitude prudente par les temps qui courent).

J’avais du mal à marcher en sortant du ciné, et cette expérience me sert de sujet de masturbation très souvent ces derniers temps.

 

Biscarosse par Looker
branlettes J’ai eu une première expérience avec un homme cet été dans les dunes de la plage de la lagune à Biscarrosse.

 

J’étais en train de me faire bronzer à poil lorsque j’ai été intrigué par des va-et-vient de mecs derrière un bosquet pas très loin. Je me suis approché et j’ai alors vu un couple en train de faire l’amour devant une demi-douzaine de mecs assis en cercle autour d’eux et tous en train de se branler. Je me suis joint au groupe et j’ai moi aussi commencé à me caresser doucement car j’étais très excité et j’avais peur de jouir devant tout le monde. Malheureusement, la séance devait avoir déjà commencée depuis un petit moment et le couple finit sa « prestation » peu après.

Toujours très excité, je suis retourné me faire bronzer dans mon coin et allongé sur le dos, ma main continuait à aller et venir sur ma queue toujours bandée. Mon manège ne tarda pas à attirer l’attention d’un mec qui rodait par là et qui s’approcha doucement. Pour la première fois de ma vie, j’étais en train de me branler devant un mec et cela m’excitait terriblement. Au bout d’un moment, il était carrément debout devant moi à 50 cm !!! J’étais de plus en plus excité et ma queue prête à exploser. A ce moment-là, il s’est agenouillé et il a posé sa main sur mes couilles et a saisi ma queue. C’était trop pour moi !! Je lui ai fait signe « non » de la tête tout en serrant mon gland dans ma main et il est parti silencieusement sans se rendre compte que ce simple contact m’avait fait jouir et que ma main était pleine de sperme.

Inutile de vous dire que je suis retourné ensuite à cette plage que je vous recommande.

 

La première fois par Dami 62
J’avais 33 ans au printemps 1978 et j’étais déjà attiré par les petites annonces (sur revues uniquement, il n’y avait pas internet).

 

Il fallait correspondre pour se fixer un rendez-vous et pour la première fois je fus attiré par un portugais de dix ans mon aîné, et qui voulait un modèle pour faire des photos. Par très rassuré, je me rendis à son domicile à Paris. Il s’appelait Jésus et il m’attendait à poil dans son petit deux pièces. Cela m’enhardit à faire de même et armé de son polaroid il me demanda de prendre tous genres de poses : de face, de dos, couché, des plans entiers et des gros plans de mon sexe.

J’y pris vite goût de me montrer ainsi et comme je bandais, il me proposa de me caresser. Ce fut ma première expérience et après ses mains, se fut bientôt sa bouche qui prit possession de mon « mât » tout dressé. De plus en plus excité, mes mains maladroitement prirent son beau sexe bien long pour le caresser et bientôt je fis comme lui, et j’y portais ma bouche. Ce fut ma toute première expérience d’un homme et j’en garde un très bon souvenir.

La preuve j’ai recommencé souvent ensuite, ne pouvant plus m’en passer !

 
Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
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