Confessions

Mercredi 8 septembre 2021 3 08 /09 /Sep /2021 16:40

Confessions bisexuelles - 1 

 

bi stamp

 

Tu parles d'un apéritif ! Par David.

Attention c'est un peu scato !

Bonjour je m'appelle David, j'ai 30 ans, légèrement bisexuel, j'aime sucer et lécher : les seins, les chattes, les bites, les culs… mais n'anticipons pas.

Je sonne chez mes amis vers 8 heures du soir. Mark vient me répondre, Michèle est occupée à arranger les derniers détails afin d'être sûre que nous passerons une bonne soirée !

- On a préparé un repas froid ! On peut s'amuser un peu en guise apéritif !

Ils sont tous les deux vêtus de leurs peignoirs de bain, on voit qu'ils reviennent de la piscine et d'après leurs yeux brillants, j'en conclus qu'ils ne m'ont pas attendu pour se donner du plaisir... Je peux entrevoir les jolis seins de Michèle et la queue durcie de Mark qui fait une bosse sur son peignoir... A cet instant Michèle nous dit :

- Allons tous à la piscine ! tout en détachant son peignoir

Je retire mon short et mon t-shirt, tout excité et la suis en commençant à bander... Mark me regarde mater Michèle et semble très excité aussi !

Nous sommes maintenant arrivés à la piscine et Mark tire une table basse à lui et pose des boissons fraîches dessus. Je viens de m'approcher de Michèle, complètement nue et ma queue se balance de droite à gauche, ce qui commence à l'exciter ! Elle me fait assoir, vient entre mes jambes, prend ma queue durcie de désir dans sa bouche et commence par lui donner de petits coups de langue... A ce moment, Mark s'approche de moi et me présente son membre épais et dur, que je commence à sucer avec passion... il se balance d'avant en arrière et fait entrer sa longue et bonne queue que je continue de sucer avec délectation.
mmf1jpg.jpg 

Michèle s'éloigne à cet instant car elle aime voir le spectacle de deux hommes se donnant du plaisir... et commence à se caresser la chatte qui devient vite trempée... Cela m'excite tellement que je dis à Mark d'arrêter pour que je ne vienne pas tout de suite car j'ai envie de baiser Michèle maintenant ! Je ne tarde pas à m'enfoncer profondément dans la chatte de Michèle et lui donne de bons coups de queue... Mark vient alors derrière moi et commence à me caresser le trou du cul avec un de ses doigts, qu'il a lubrifié d'un peu de salive... je lui dis :

- Oui, vas-y, encule-moi, fous-moi ta bite dans le cul pendant que je baise ta femme !

Mark ne ménage pas sa peine et chaque coup de bite qu'il me donne dans le cul est répercuté dans la chatte de Michèle avec la même force... Puis Michèle me dit qu'elle veut me sucer la bite pendant que Mark me bourre le cul.

Au bout de quelques instants, Mark se retire, sa bite est maculée de merde, je la nettoie avec ma bouche. J'aime bien faire ça !

Michèle veut maintenant que Mark la baise. Je suis derrière eux maintenant et je vois les fesses de Mark (très belles d'ailleurs) aller et venir alors qu'il bourre la chatte de Michèle. Je me dis que c'est mon tour de lui mettre un doigt dans le cul, après l'avoir lubrifié d'un peu de salive... J'entends un :

- Oh ! nique -moi, oui, vas-y, mets-la-moi bien profond !

Et pendant ce temps-là je m'enfonce dans le cul de Mark....

Michèle ne peut retenir sa jouissance plus longtemps et crie de plaisir, ce qui a pour effet de faire venir Mark puissamment dans sa chatte. A cet instant, j'envoie de bonnes giclées de sperme dans son cul et nous tombons ensemble sur l'herbe du gazon...

Michelle se relève, nous demande de ne pas bouger et nous pisse dessus. J'adore ce genre de jeux et j'avale de grandes lampées de sa bonne pisse. Elle se recule ensuite de quelques mètres et sans aucune pudeur se met à chier un gros boudin marron devant nous. Me revoilà en train de bander.

- Je n'ai pas pris de papier, David tu veux venir me lécher le cul !
- J'arrive !

Tu parles d'un apéritif !


A quatre, c’est bien ! par Henri


Laure, ma femme, a 25 ans, j’en ai 28. Nous nous aimons avec passion depuis 10 ans. Je me rappelle nos premières caresses malhabiles sur un matelas dans la cave pour ne pas que ses parents nous découvrent.


Rassurez-vous, rapidement ces caresses sont devenues plus habiles. Quel plaisir de caresser le corps parfait de Laure, de descendre de sa bouche charnue vers ses seins volumineux, de les prendre dans ma bouche tout en continuant de descendre vers sa chatte trempée de désir.


Laure adore que je promène ma langue sur ses lèvres, celles de sa chatte bien sûr ! J’aime ce goût indéfinissable et je ne me fais jamais prier. Je la pénètre ensuite en arrière à quatre pattes comme une bête. Nous aimons beaucoup… Mais au bout de dix ans nous commencions à trouver ces gestes biens répétitifs, quoique toujours très agréables.


Ce soir-là, nous avions un couple d’amis plus libérés que nous à dîner et je ne sais comment nous en sommes venus à parler de l’entente sexuelle dans le couple. Laurent, notre invité, nous dit l’air de rien que l’amour à quatre et la sodomie ont sauvé son couple de l’ennui.


Je regarde Laure d’un air gêné, et à mon grand étonnement celle-ci, très intéressée prend la balle au bond et demande à Catherine, la femme de Laurent si la sodomie n’est pas douloureuse. Celle-ci la rassure et lui garantit au contraire que cela procure une satisfaction vraiment intense.


Je m’enhardis à mon tour et fait remarquer à Laurent que l’échangisme n’a rien d’original. Celui-ci me répond que lorsqu’il disait amour à quatre il entendait également des caresses entre hommes et entre femmes.


Enfin Laure, visiblement très intéressée par le sujet et libérée par le vin, demande naïvement à Catherine comment elle s’y prend pour se faire sodomiser.


À ces mots Laurent se lève brusquement et commence à se déshabiller. Toute excitée, Catherine en fait autant et comme elle portait juste une fine robe de soie, se retrouve nue en quelques secondes. En voyant son pubis épilé, je suis pris d’une érection impressionnante et ne peux m’empêcher de caresser mon sexe.


Mais déjà Laurent commence à prendre Catherine offerte par derrière, le plaisir se lit sur leurs deux visages. Le sexe de Laurent va et vient dans le petit derrière de Catherine qui hurle de plaisir. N’y tenant plus, je lui avance mon sexe qu’elle engouffre dans sa bouche. À son tour Laure, vient caresser Catherine dont le corps de porcelaine se tord de plaisir dans tous les sens.


Laurent se retire alors et me regarde avec un doigt sur la bouche. Je me retire à mon tour et nous laissons nos deux femmes se caresser mutuellement, langoureusement, lentement en gémissant de plaisir. Pendant ce temps, Laurent prend mon sexe dans sa bouche et je découvre ce qu’il entendait par amour à quatre.


Ensuite il me propose de sodomiser Catherine et je découvre cette sensation délicieuse tandis que lui même bourre Laure par derrière et la salope apprécie. Je me retire pour éjaculer et ce sont Laure et Catherine qui viennent se battre pour mon foutre qu’elles avalent goulument.

Voyant que Laurent n’y tient plus non plus, totalement excité, je lui prends son sexe dans ma bouche et il éjacule en moi avec un râle de satisfaction.


Épuisés, nous éclatons tous de rires et sur proposition de Laure décidons de faire l’amour toute la nuit…


Dans les yeux de Laure je lis une satisfaction que je n’avais plus vue depuis longtemps et j’ai une petite idée de nos nuits pour ces dix prochaines années.


Rentrée plus tôt par Gisèle


A l'époque, j'avais 24 ans, en couple depuis 18 mois avec Paul un gentil garçon de deux ans mon aînée, dont j'étais follement amoureuse. nous avions une sexualité intense pimenté parfois par des fantaisies insolites. Ainsi un jour après qu'il m'eut acheté un gode, il me proposa de lui enfoncer dans le trou du cul. J'acceptais avec amusement, c'est là qu'il me dit :


- C'est super bon, mais ça ne vaut certainement pas une vrai bite.!


Je me gardais de répondre à cette réflexion insolite, mais du coup, le fantasme de voir mon chéri de faire enculer par une bonne bite me taraudait.


Notre vie sexuelle bascula un après-midi. J'avais rendez-vous avec une amie dans un café, mais alors que je l'attendais sirotant une menthe à l'eau, mon portable sonna. C'était Sonia, qui s'excusait de ne pouvoir venir, car sa voiture était en panne. En fait cela m'arrangeait, car c'était vraiment pour lui faire plaisir que je lui avais promis de l'accompagner faire les boutiques. Aussi sans plus attendre, je rentrais chez moi. 


Arrivée à la maison, des gloussements de plaisir me parvinrent de la chambre, je n'avais pas fait de bruit pour rentrer. Et quelle fut ma surprise en regardant par la porte entrebâillée de voir mon homme avec un jeune blondinet au lit. Cela me choqua un instant, puis la curiosité prit le dessus. Je me résonnais, c'est vrai j'aurais pu être jalouse d'une autre femme, mais d'un garçon, c'était différent… et puis il y avait mon fantasme… La scène commençait à m'exciter. Paul était allongé sur le dos, les yeux clos, savourant la fellation qu'était en train de lui pratiquer le jeune homme. Accroupi, les reins cambrés, offrant à mes yeux de belles fesses musclées. 


Ouvrir la porte en hurlant ? M'en aller discrètement ou participer avec l'homme de ma vie à ses plaisirs interdits. 


Je choisis la troisième solution. Je me déshabillais complètement derrière la porte, le plus silencieusement possible, puis, je pénétrais dans la chambre. Je m'approchais doucement du jeune garçon. Lorsqu'il me vit, il fut bien sûr surpris, mais sans doute rassuré par ma nudité, il continua son travail, sa bouche quitta le gland gonflé de plaisir puis sa langue descendit le long de la verge jusqu'au couilles qu'elle lécha délictueusement quelques instants puis s'enfonça dans l'anus de Paul. Il m'invitait à le rejoindre. Lorsque mes lèvres enveloppèrent le magnifique membre, Paul ouvrit les yeux, puis me voyant moi sa femme participer heureuse et amoureuse à ce qu'il me cachait depuis toujours, il s'écriât simplement  :


- Ben toi alors !


Je me sentis pour la première fois libre, totalement épanoui. Je venais d'enterrer définitivement tous les tabous ancestraux qui font de notre vie un enfer de culpabilité. Je pompais goulûment la berge bandée de mon homme. Le blondinet me regardait et m'encourageait d'une voix douce :


- Suce le bien, mets tout dans ta bouche


Ma chatte dégoulinait de plaisir et je n'en revenant pas moi-même l'énorme bite s'engouffra entièrement dans ma bouche. Son gland était au fond de ma gorge et je jouissais. 


- C'est bon ma chérie me dit-il, regarde maintenant ton homme comme il suce bien lui aussi. 


Paul était toujours allongé sur le dos, le sexe dur comme du béton. Et le blondinet baisait sa bouche. Ma chatte était en feu, je me mis à califourchon sur Paul, son membre pénétra en moi, ma bouche vint rejoindre la sienne. Le blondinet baisa tout à tour nos deux bouches puis, il jouit entre nos langues entremêlées autour de son énorme gland. Paul ne pouvant plus se retenir, éjacula dans mon ventre ce qui me provoqua un merveilleux orgasme. Nous étions exténués de plaisir, tous les trois


Paul m'expliqua que depuis quelques mois, il avait des désirs de garçon, et que de temps en temps il s'offrait une fantaisie gay. N'osant pas me l'avouer de peur de me perdre, il était maintenant soulagé que la fatalité qui me fit rentrer cet après-midi à la maison, ne brise pas notre couple mais bien au contraire le renforce. Et je lui avouais que j'avais toujours eut le fantasme de faire l'amour avec deux gays. 


Nous étions bien tous les trois nus sur le lit. Les deux membres vidés de leur semence était au repos. Mais je n'étais pas encore rassasiée, je voulais jouir, jouir et jouir encore. Paul s'était levé pour boire une mousse et se griller une cigarette. Lorsqu'il revint au bout de quelques minutes de la cuisine. Il me trouva entrain de caresser les belles fesses musclées du blondinet. Il ouvrit le tiroir de la commode et en sortit le godemiché qu'il me tendit sans dire mot. Puis il s'assit sur une chaise et s'alluma une nouvelle cigarette. Paul voulait me voir m'éclater avec son ami. Il n'allait pas être déçu, car j'étais devenu une vraie salope. Je me mis à lécher le cul du blondinet qui s'ouvrait comme une chatte en chaleur. Lorsque son anus fut bien dilaté, je me saisis du gode et lui introduisis au plus profond de son plaisir. J'entrepris de le sucer tout en continuant à le baiser. D'abord d'un rythme lent, très lent, j'avalais sa queue tout en enfonçant le gode au plus profond de ses entrailles puis j'accélérais le mouvement. Quand je sentis qu'il était prêt à jouir, je proposais à Paul de se mettre en position de levrette afin que le blondinet puisse l'enculer.! 


Ce fut bref mais géant 


- Je t'aime ma salope ! Me dit-il

 

- Moi aussi mon enculé !

 

 

 

 

  

Par inconnu - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 7 septembre 2021 2 07 /09 /Sep /2021 11:51

Confessions bitophiles - 4

BiteFlag

Les rencontres de Norbert

J'ai découvert votre site il y a peu de temps et je l'ai trouvé très ouvert et très diversifié.

Je voudrais apporter mon témoignage sur la 'bitophilie' car elle existe bien et j'en suis un exemple.

 

En effet je suis avant tout attiré par les femmes qui m'excitent et que je respecte. Je les aime et je suis marié et heureux dans ma vie hétérosexuelle.

Toutefois, je dois l'avouer, j'ai une attirance illimitée pour les bites et uniquement cet attribut masculin que j'adore. 

La vue d'une sexe d'homme peut me provoquer une érection ce qui ne sera pas le cas avec une femme. Ceci dit, si je suis attiré par toutes les bites, la personne qui en ai le propriétaire ne m'intéresse absolument pas.

 

J'ai 39 ans et mes aventures avec des bites ont été rares et ont eu lieu durant les quelques années après ma majorité ce qui remonte à loin.

 

Ma première aventure je l'ai eu au lycée dans le vestiaire du gymnase. J'étais rentré en premier dans le vestiaire pour me changer alors que le reste de la classe était resté en salle pour regarder la fin d'une partie de Hand.

J'étais assis sur le banc en train de défaire mes lacets quand Antoine, un camarade de classe m'a rejoint.

De nature surexcité, Antoine gesticulait et chantait "on a gagné, on a gagné, il va me sucer.."' etc.

Je le connaissais et n'étais pas étonné de ses propos mais je n'envisageais pas qu'il vienne se poster devant moi et baisser le devant de son short libérant son sexe épais, mou et décalotté.

La vue de cette masse de chair pendante au bout cramoisi eut sur moi un effet qui me mit dans un état second.

Je pense qu'Antoine s'en était aperçu, et c'est pour cela qu'il est allé plus loin en collant son gland contre ma joue cherchant la bouche. 

Allez savoir pourquoi, mais ce jour-là je n'ai pu le repousser et j'ai englouti son membre.

Je ne l'ai sucé que quelques secondes , juste assez pour sentir son sexe grossir et le goûter car nous avons entendu du bruit et nous nous sommes arrêtés.

 

Ma seconde aventure je l'ai eu dans un cinéma porno vers l'âge de 20 ans.

bitos4

Je suis arrivé dans la salle sombre car le film avait déjà commencé et je me suis assis à côté d'un homme que je ne voyais pas.

Après quelques instants, avec les lueurs du film, j'ai compris qu'il se branlait ce qui m'excita en un quart de tour et je crois même m'être caressé au travers de mon jeans. Je n'avais pas l'intention d'aller plus loin, j'étais bien trop poltron pour cela, mais au bout de quelques minutes j'ai senti le genou de mon voisin toucher le mien et sa main s'en rapprocher. Paralysé je n'ai pas bougé, ce qui, je crois, à tout déclenché.

Il a alors placé lentement sa main sur ma jambe puis est remonté lentement sur ma cuisse.

Je pensais qu'il allait chercher ma braguette sous laquelle mon sexe était tendu, brulant et au bord de l'éclatement. Mais non, il prit ma main et la mit sur son sexe.

C'était la première fois que je prenais la queue d'un autre homme. Je me souviens vaguement de cette chaleur que j'ai ressentie dans ma paume au contact de ce membre pas très long mais épais.

Il m'a incité à le branler ce que j'ai fait jusqu'à sentir quelque chose de brulant couler le long de ma main. J'ai compris qu'il avait joui et , pour la première fois depuis mes pollutions nocturnes, j'ai éjaculé dans mon slip presque instantanément sans même me toucher.

Je me suis alors levé et je me suis empressé de sortir. Je suis rentré chez moi, pas fier, le slip collant de sperme et dégageant, dans le bus, une odeur caractéristique de foutre.

 

Ma troisième aventure s'est déroulée dans les urinoirs d'une grande galerie marchande.

Je suis entré dans ce lieu que je ne connaissais pas et je suis allé chercher une place au fond.

Au fond c'était dans un recoin, une sorte de petite pièce annexe où il y avait 4 urinoirs dont 2 occupés.

Je me suis installé face au mon urinoir et j'ai sorti ma queue pour uriner.

Là un des gars est parti et je suis resté avec mon voisin. A nouveau, comme au cinéma, j'ai constaté qu'il se masturbait et qu'il tournait son visage vers ma bite.

Excité je me suis retrouvé bloqué à ne plus pouvoir uriner et j'ai commencé à sentir mon sexe grossir.

Mon voisin s'en est vite aperçu je crois car il passa, sans gêne, sa main devant moi et attrapa ma queue sans ménagement. 

Il me dit d'un ton sec de prendre la sienne et de le branler. Soumis je me suis mis à le masturber.

Cela a duré quelques minutes qui furent une éternité. Il m'a branlé violemment jusqu'à me faire jouir. 

Hélas il ne fut pas satisfait de ma prestation car je n'avais pas atteint le même résultat avec lui.

Il me demanda alors de le rejoindre dans une cabine.

J'ai attendu qu'il y rentre et je me suis sauvé.

Après je me suis repassé le film et me suis dit qu'il était dommage que ce type n'était pas trop sympa parce que j'aurais bien aimé sucer.

Merci et continuez, votre site est génial et innovant.

 

Norbert

Rencontres nocturnes par Loïc

Bravo pour ce site que je consulte depuis que je l'ai découvert au début de l'année. Le concept de bitophile me plait bien puisqu'il correspond bien à mes errances. De plus la philosophie du lieu qui est à la fois une ode au respect de l'autre et à la liberté individuelle me plait bien tout comme vos piques contre quelques féministes déphasées.

J'ai tenté plusieurs fois de coucher sur le " papier " quelques-unes unes de mes plus intéressantes rencontres nocturnes, voici un exercice qui me plait bien, mais pour l'instant je garde ça pour moi, il n'y a rien de vraiment original là-dedans. Alors faut-il parler du reste ? Je pense qu'effectivement que ceux qui se lancent dans certaines quêtes doivent savoir que parfois ça ne le fait pas toujours. Ainsi ce dernier mardi, je me rendis comme souvent dans un des clubs parisiens on l'on peut faire des rencontres bitophiles. Il faut savoir que ces visites sont un pari, parfois on ne trouve personne. Je rentre, il y a deux hommes dans la grande salle en train de se masturber mutuellement, ils ne m'inspirent pas trop, je descends dans la petite salle gay, deux hommes se contentent de regarder la vidéo. Je pense donc ne pas m'éterniser dans le lieu, je remonte, un nouveau vient d'arriver, il entre dans une cabine, mais ne la ferme pas.

J'ouvre, le type a sorti son engin et se le masturbe, pas trop joli l'engin, assez long mais pourvu d'un prépuce envahissant. Mais bon faute de mieux. Je sors donc mon propre sexe et le masturbe à mon tour afin que mes intentions soit claires. L'homme enlève sa chemise, baisse son pantalon. J'aime pas trop son corps, il est rare que je flashe sur le corps d'un homme, Il ne lâche pas sa queue, je lui tripote donc les couilles, lui fait les seins et lui donne même des petites tapes sur les fesses. Il a l'air d'apprécier, mais au niveau interactivité c'est nul. Ce petit jeu ne m'apportant pas grand chose, je décide au bout de cinq bonnes minutes de mettre les voiles, et je me reculotte. Voyant cela notre homme se met alors à genoux devant moi, commence par dégrafer ma ceinture, ouvre la fermeture de ma braguette, mais semble avoir des problèmes avec les deux boutons du haut, du coup il tire comme un malade et les fait craquer tous les deux. Je n'ai rien à faire avec un mec capable de tels actes de violence, je prends ma sacoche tandis que l'autre qui parle pour la première fois (et en anglais) me dit qu'il est sorry, sorry . Il ira jusqu'à me proposer 10 euros, je ne saurais jamais si cette proposition visait à louer mon corps ou à couvrir les frais de réparation de mon pantalon, mais je l'ai planté là, allant plus loin dans la rue m'offrir d'autres plaisirs qui n'ont rien ceux là de bitophiles. Pourquoi raconte-je ça : Comme ça ! Je crois qu'il ne faut pas se décourager, certaines rencontres dans ces lieux sont nulles, mais d'autres sont tellement merveilleuses. Je vous remercie de votre attention

Découverte pas Henri

 

Avant de lire les histoires vécues de certains auteurs, je me croyais bisexuel. A présent, je sais que je suis hétéro, et bitophile.

Voici comment je me suis rendu compte de la " chose ".

 

J'ai aujourd'hui 38 ans, divorcé. A l'époque, j'étais encore marié, je travaillais dans une petite commune située à peu près au centre de la France.  Souvent, après le déjeuner, il m'arrivait de partir une petite demi-heure avant le début de mon travail de bureau, histoire de marcher un peu. Un jour, en promenade, j'ai été pris d'une envie d'uriner. Cette envie était suffisamment forte pour ne pas pouvoir attendre d'aller aux toilettes de mon lieu de travail. Aussi, je décide donc de me rendre dans les toilettes publiques, situées sous un kiosque au centre d'une place. Là, je rejoins une pissotière et me soulage de cette grosse envie. Je croyais au début être seul dans ces toilettes. Pourtant, au bout de quelques secondes, j'entends du bruit dans la cabine fermée située juste à côté de la pissotière que j'occupais. Et en écoutant attentivement ce bruit, il n'y avait pas de doute possible : une personne était à l'intérieur en train de se masturber.

Ayant terminé d'uriner mais un peu curieux, j'attendais de voir qui allait bien sortir de la cabine. Occupant ce petit laps de temps à me laver les mains au lavabo situé près des cabines, je vois alors un homme sortir assez rapidement. Je me rends alors dans le lieu qu'il occupait et voit au sol ce qui ne pouvait être que des petites flaques de sperme. J'avais donc parfaitement bien interprété le bruit que j'avais entendu. Je me rends compte alors que le mur séparant cette cabine de celle d'à côté, était percé d'un trou, à hauteur de la ceinture, et d'un diamètre d'environ 7 ou 8 centimètres.

Je suis ressorti des toilettes, un peu troublé par ce que je venais de voir et entendre.

 

Quelques jours plus tard, à l'occasion d'une promenade telle que je les pratiquais comme expliqué plus haut, instinctivement mes pas m'ont dirigé vers les toilettes publiques, alors que je n'éprouvais aucune envie d'uriner, cette fois. En entrant, je me suis aperçu que l'une des cabines, la première, était verrouillée. Quelqu'un était donc à l'intérieur. Je suis entré dans la deuxième et ai refermé le verrou derrière moi. J'ai glissé un œil par le trou dans le mur, et j'ai vu ce spectacle : un homme était en train de se masturber, pantalon et slip complètement baissés. Son sexe était de belle taille, mais son érection n'était pas encore complète. J'ai alors senti mon pénis prendre du volume, à ma plus grande surprise. Si je ne regardais jamais les mecs dans la rue (je préfère de loin mater les filles), en revanche j'aimais contempler leur sexe. Quelle révélation !

Au bout de quelques minutes, le type s'est rapproché du mur et a passé son sexe par le trou. J'étais un peu surpris, et me sentais un peu idiot dans cette situation. Je n'avais jamais touché d'autre pénis que le mien ! Et pourtant celui-la se présentait à moi. Je l'ai pris dans ma main et ai commencé à lui donner un mouvement de masturbation. Le sexe s'est alors immédiatement redressé fièrement. Et j'ai senti le mien devenir tout raide dans mon pantalon. J'ai masturbé le sexe de cette homme pendant quelques minutes, jusqu'à entendre de sa part une sorte de gémissement. J'ai compris qu'il allait jouir et me suis reculé un peu pour ne pas avoir de sperme sur mes vêtements. Et j'ai bien fait : il a éjaculé, par longues saccades qui se sont écrasées sur le sol. Une fois terminé, il a retiré son sexe. Je l'ai entendu se rhabiller et sortir de la cabine.

Je me suis donc retrouvé tout seul, mon pénis dur comme un roc dans mon pantalon, devant de belles traînées de sperme par terre. J'ai alors sorti mon sexe et me suis masturbé à mon tour, en me remémorant les instants que je venais de vivre. Ma jouissance n'a pas tardé : j'ai éjaculé longuement, avec un plaisir d'une rare intensité.

 

Quand je suis ressorti de la cabine, je me suis dit que le prochain qui s'y rendra ne sera pas déçu : il y trouvera une bonne partie du sol maculée de sperme !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 10:37

Confessions peu catholiques

 

cure stamp2

 

 

Le goût du blasphème par Escarbec

 

 

Rendez-vous coquins dans une église déserte ?

 

Cela dit, que l’église (et notamment son décor) soit souvent associée au plaisir sexuel, personne ne le niera, ne serait-ce qu’à cause des dimensions de sacrilège, de profanation, qui prend alors tout acte de chair, ne serait-ce que le plus véniel, tâter une fesse, palper un sein devant la statue de la Vierge....

 

SacrilegeSans oublier que sur le plan pratique, c’est un lieu très commode pour les rencontres clandestines. Une adolescente qui fréquente les cafés, en province, est tout de suite cataloguée. Qu’elle soit toujours fourrée à l’église, la voilà à l’abri des racontars.

 

Elevée de façon très stricte, une lectrice en son jeune âge, déjouait la surveillance de sa famille et des voisins en se déguisant en bigote pour retrouver son galant à l’église du village.

 

Elle y était fourrée quasiment tous les jours. Le lieu s’y prêtait d’autant mieux que son jeune amant habitant la maison voisine, pouvait passer de son jardin dans celui du presbytère sans attirer l’attention du voisinage. L’église était le seul endroit du village ou elle ne risquait rien.

 

Ancien enfant de chœur, le garçon qui l’avait dépucelée connaissait bien l’endroit, il avait repéré une sorte de remise, un capharnaüm ou s’empilaient les vieux bancs, les statues au rencard ; ils y faisaient leur petite affaire en silence, dans l’odeur de la cire fondue et de l’encens, à guetter le glissement furtif des grenouilles du bénitier.

 

« C’est là que j’ai tout appris ; à sucer, à me faire lécher, et même le péché de Sodome.

 

Après m’avoir enculée, il rentrait chez lui par le jardin et moi, la rondelle en feu, je sortais par la grande porte.

 

C’en était venu au point qu’on craignait, dans ma famille, que je ne traverse une crise de mysticisme comme une de mes tantes qui était devenue carmélite. En fait de religieuse, je suis devenue une vraie salope. Et c’est à l’église que je le dois. «

 

Ce texte anonyme publié en 2010, portait la signature d'Esparbec, j'ai quand même des doutes sur le fait que ce grand auteur libertin m'a envoyé un texte par mail sans y ajouter un mot d'explication. Mais tel quel il m'a plus, il est évident que si un ayant droit fait valoir… ses droits je me rangerais à ses desiderata

 

Séance expiatoire par René

 

Je m'appelle René, je suis magasinier, il y a encore un an j'étais prêtre dans le 18ème à Paris. De temps en temps ne me satisfaisant plus de me masturber j'allais rendre visite à Gisèle, une charmante prostituée mature que je payais avec le denier du culte (personne n'est parfait). Un jour une paroissienne m'a vu, m'a prise ne photo alors que je suivais Gisèle dans son escalier Mon évêque m'a alors proposé soit de me rendre à la vie civile soit d'accepter une mutation en campagne profonde. Je me suis donc défroqué

 

Mais je voulais savoir le nom de cette corneille qui m'avait dénoncé. Un heure entière j'ai palabré avec l'évêque jouant les repentis, et invoquant le pardon, le rachat, le dialogue, la rédemption, l'écoute de l'autre et toutes ces choses. J'avais péché mais la corneille aussi, on ne dénonce pas son prochain, ce n'est pas bien. Deux pécheurs en discutant ne pourraient que retrouver la voie du Seigneur. Toujours est-il que l'évêque finit par me lâcher le nom de la bonne-femme

 

Je me rendis à son domicile avec un plan simple, flanquer une correction sévère à cette corneille et éventuellement faire semblant de vouloir la violer ! Sur le pallier je me masquais, mais quand je vis le laideron acariâtre, je ne pu mettre mon plan à exécution tellement elle me dégoutait. Je lui envoyais une paire de gifles qui fit valser ses lunettes et repartais.

 

J'étais un peu frustré de ne pas m'être vengé comme je l'aurais souhaité, j'eu alors une idée, j'allais voir Gisèle et lui proposais un jeu de rôle où elle prendrait la place de la corneille.

 

- Je veux bien, mais tu ne m'attaches pas, et je ne veux pas de traces de coups.

- Juste un peu… en payant davantage

- Alors viens le vendredi à 18 heures, tu seras mon dernier client, tu me fouetteras avec un martinet qui ne laissera pas de traces au-delà de 48 heures.

 

C'est parti !

 

- Alors ma salope, qu'est-ce que tu foutais dans un quartier à putes en train de m'espionner ,

- Eh bien justement je vous ai suivi.

- Je vais te punir !

- Oh oui puissiez moi !

- Déshabille-toi, morue !

 

Je lui ai tortillé ses bouts de seins, je l'ai giflé et lui ai craché au visage, puis elle est allée elle-même chercher son martinet, je l'ai fouetté à la volé sur les fesses, le dos les cuisses et les seins. Des larmes coulaient sur son beau visage et cela m'excitait encore plus. Je l'ai fait se tourner et l'ai enculé. Après avoir joui je lui ai intimé l'ordre de se coucher par terre, et je lui ai pissé dessus.

 

- Ça va, t'as fini ?

- Oui, ça m'a fait du bien !

- Ça t'arrive souvent de te conduire comme ça ?

- Jamais, c'était juste une cérémonie expiatoire, je te paie le restau ?

- Volontiers

Le bedeau et le sacristain

Monsieur le Curé, obligé d’aller à la ville pour ses affaires, est très ennuyé, car c’est justement son jour de confession. Il lui est impossible de ne pas partir, pourtant.

Après avoir bien réfléchi, il convoque son bedeau, un fidèle en qui il a toute confiance, et lui dit:

– Je suis obligé d’aller à la ville, Philippe, tu vas confesser à ma place. Depuis le temps que tu es avec moi, tu sais comment t’y prendre… Du plus, tu as à peu près ma voix. Tu mets ma soutane et comme il fera presque nuit à l’heure où tu me remplaceras, il n’y a aucun danger qu’on te reconnaisse. Pour ce qui est des pénitences, je vais te donner un barème…

Et le curé part pour la ville.

Tout se passe bien. Le bedeau, après avoir confessé quelques vieilles dévotes, auxquelles il a généreusement attribué Pater et Avé, se prépare à fermer le confessionnal, lorsqu’il voit arriver le sacristain. Quelle belle occasion pour lui de connaître les petits secrets du sacristain !

Le sacristain prend place dans le confessionnal et après avoir avoué quelques péchés, déclare :

– Et puis, Mon Père… j’ai couché avec la femme du bedeau !

Le sang du malheureux ne fait qu’un tour.

– Vous avez couché avec la femme du bedeau… Ah, nom de Dieu ! Enfin, je veux dire : C’est pas bien, pas très bien du tout, ça, mon fils !
– Et ce n’est pas tout, mon père, poursuit alors l’autre, j’ai fait quelque chose d’encore moins bien… J’ai couché avec la fille du bedeau…

Le bedeau blêmit. Sa fille, maintenant ! Et puis quoi, encore?

– C’est abominable ce que vous avez fait là, espèce de voyou! Je…

Pour ne pas se trahir, il s’efforce de retrouver son sang-froid. Hélas, l’autre poursuit:

– Je suis indigne, mon père, je le sais… J’ai fait encore pire…
– Non
– Si. L’été dernier. Il faisait une chaleur… Bref, j’avais un peu bu… J’ai honte, si vous saviez, mon père… Enfin, je vous dis tout. J’ai croisé la mère du bedeau et je..
– Ah, nom de Dieu de nom de Dieu, vampire, sadique, malade, crapule ! hurle alors le bedeau qui ne peut plus se contenir, attends un peu…

Il sort du confessionnal, déboucle la ceinture qui retient son pantalon et, se retournant, présente son derrière au sacristain, hébété.

 

– Tiens, salaud, lui lance-t-il en baissant son slip, vas-y ! Comme ça, t’auras eu toute la famille !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 août 2021 7 01 /08 /Août /2021 18:30

Confessions zoophiles - 2

 

zoo

 

 

 

Seule avec Benga par Nina

 

Je m'appelle Nina, jeune femme de 24 ans, brune yeux bleus

 

Voici mon histoire qui s'est déroulée il y a quelques mois, mon petit ami était parti "chez des copains" et m'avait laissée seule avec notre chien Benga un bel épagneul

 

Je décidai de m'habiller de façon à pouvoir me caresser en m'excitant je mis donc un beau petit string noir, une minijupe et un petit débardeur puis m'installai devant mon ordi et je commençai à regarder des sites pornographiques de tous genres : du banal en passant par le scato - uro - zoo enfin bref vous voyez le genre.

 

Quand soudain une envie de me badigeonner la chatte de Nutella et les seins d'huile me prit, je pris donc la bouteille d'huile et le pot de pâte à tartiner et partis dans la salle de bains je me déshabillai puis commençai à m'asseoir dans ma douche, je pris l'huile et m'en mis sur tout le corps, cette sensation douce et froide m'excita au plus haut point je me badigeonnai tout le corps puis pris le Nutella, j'en mis sur ma chatte et commençai à me caresser en me passant au début juste un doigt dans ma fente pour m'imaginer une petite langue douce quand l'idée folle me vint de me faire lécher par mon chien Benga, puis je l'appelai il arriva je mis du Nutella sur un de mes doigts puis j'ai dirigé ma main vers ma minette qui mouillait comme une folle, son premier coup de langue me fit un effet électrique, je la sentais elle était si grosse et me léchait aussi bien mon petit trou que mon clitoris en feu, je ne m'imaginai pas que des si gros coups de langue me rendrai folle à ce point, je ne tardai pas à jouir comme une chienne.

 

Pour le remercier je lui donnai de la pâtée pendant que je me lavai.

 

Je me mis devant ma télé réfléchissant à tout ça et je ne pus m'empêcher d'écarter les jambes en espérant qu'il recommencerai, je n'attendais que ça, voyant qu'il ne venait pas, je pris de la crème fraîche et m'en reversai sur la chatte et là il se remit à la lécher et à me faire jouir, quand ce fut fini je ne pus m'empêcher de prendre sa salive se trouvant sur ma chatte et à tout lécher, humm, rien que d'y penser j'en ai la chatte toute trempée.

 

Depuis je n'arrête pas de l'attirer dès que je peux, même quand mon copain est là, c'est plus fort que moi.

 

J'espère un jour pouvoir lui rendre la pareille mais je ne suis pas encore prête pour le moment

 

J'espère que mon histoire vous aura fait jouir autant que moi.

 

Bisous sur tous vos jolis sexes aussi bien aux filles une bonne léchouille qu'aux garçons

00zz

 

Expérience zoophile involontaire par Carita

 

Je suis une grande blonde, relativement svelte et très portée sur le plaisir. J'aime m'enfermer dans ma salle de bain, détacher le pommeau de douche du tuyau. En effet, j'ai découvert que lorsque je projetais à forte puissance le jet d'eau sur mon clitoris, il m'était facile d'atteindre l'orgasme. Ce dernier s'est révélé encore plus fort lorsque je me suis mise à lire des récits provenant de ce site, simultanément. Même si les histoires zoophiles m'ont toujours fait un effet indescriptible, même en ayant un chien chez moi, je ne supportais pas l'idée de "faire des choses" avec lui.

 

Un jour, je venais de "jouer" et je sortais de ma salle de bain, le clitoris encore très sensible, la moindre caresse provoquait en moi la montée de l'orgasme. C'est alors que mon chien apparut dans l'embrasure de la porte de ma chambre. En colère contre lui car il lui est interdit de monter à l'étage, je lui demande fermement de redescendre. Je l'entends s'exécuter pendant que je retourne dans la salle de bain me coiffer. Je remarque alors, sur le grand tapis blanc, qu'une boite de pinces à cheveux s'est répandue sur le sol. Je me mets alors à quatre pattes pour ramasser.

 

Je sens alors un souffle derrière moi, cependant, je n'ai pas le temps de me retourner lorsqu'un poids m'oblige à presque m'aplatir sur le sol. Pensant que mon chien veut jouer, je lui caresse doucement la tête. Quelques secondes plus tard, je sens une sorte de pointe, appuyant à coups répétés sur ma fesse droite. Pour savoir d'où provient cette pointe, je me tourne légèrement sur la gauche, et je la vois, je vois cette énorme bite, oui, mon chien a une trique monstre. Cependant, j'ai réagi trop tard. Ma torsion a permis à mon chien de trouver ma chatte et, par un violent coup de reins, il y pénètre, encore et encore sans retenue. Le plaisir monte en moi, malgré moi. Je sens ma chatte se remplir de son énorme membre à chaque coup de rein de sa part. Il va de plus en plus vite. Je me rends compte que je suis en train de me faire baiser par un chien, je le repousse et il finit par sortir définitivement. Je repose alors mes fesses sur mes talons et reste assise quelques secondes pour réaliser ce qui vient de se passer. Cependant, je ressens toujours le souffle dans mon dos qui accélère. En une demi seconde, mon chien a sauté de nouveau, mais cette fois il trouve le trou tout de suite. Mais pas le bon, je le sens en moi, dans mon cul et sa grosse bite me décape l'anus. Je le laisse faire. Ses coups répétés me font hurler mon plaisir. Par un geste maladroit, il se retire, puis après une hésitation, il entre à nouveau. Il a retrouvé ma chatte humide, et ça n'a pas l'air de lui déplaire. Il frappe de plus en plus fort. C'est alors que je sens le nœud se former. Je sais que je peux rester bloquée donc je mets ma main pour retirer son énorme membre de moi. Cependant, ma main glisse sur sa bite pleine de cyprine et je ne parviens qu'à lui donner plus de plaisir en le masturbant involontairement. Le nœud se forme, grossit, grossit, et on plaisir s'intensifie. L'orgasme que je retenais explose en moi. Puis un grand flot de sperme jaillit dans mon corps provoquant un autre orgasme. Le chien se retire, visiblement satisfait de s'être vidé les couilles sur mon pauvre corps meurtri. Une expérience involontaire que je n'ai pas regretté, croyez le bien !

Fabienne se sentait bien seule… par Kubila

Fabienne se sentait bien seule… Son mari André, était en voyage d’affaire au Vietnam et ne serait de retour que dans une semaine. Ses enfants en vacances chez leur grand-mère pour tout l’été. En fait, il n’y avait que son chien pour lui tenir compagnie, Rex le Rottweiler de son mari. Fabienne se sentait délaissée. Pourtant à 35 ans c’est encore une belle femme 1,60 m brune 50 kg environ et des seins qui notamment lorsqu’elle les expose sur la plage ne laisse pas indifférents.

Il est tard. Fabienne, nue dans son lit commence à se caresser en pensant à André. Elle caresse ses seins, titille ses tétons. Petit à petit une étrange chaleur commence à monter dans son bas ventre. Elle ferme les yeux, ses mains maintenant descendent pour atteindre son pubis. Ses mouvements se font plus fort, elle commence à mouiller..

C’est alors qu’elle sent une langue lui lécher le clitoris. Son plaisir décuple et sent que, si cela continue, elle va avoir un orgasme. Sur le coup elle croit qu’André est revenu à l’improviste et lui fait une merveilleuse surprise. Elle ouvre les yeux. : A sa grande surprise elle voit REX qu’elle croyait endormi au pied du lit lui lécher son clitoris. Fabienne a un sursaut, un mouvement de recul.

– REX, vas-t-en !

Mais REX n’as pas l’intention d’obéir. Fabienn monte le ton et le chien la queu entre les jambes sen va dans son coin…. Pas pour longtemps

C’est vrai qu’avec les yeux fermés, elle aurait presque pu croire qu’André lui léchait son clito. Humm que c’était bon… Ça y est son envie dans son bas ventre lui reprend. Ses mains redescendent titiller son clito. Elle commence à suer à grosses gouttes sous cette canicule. Le plaisir revient. Elle se cambre pour mieux jouir..

Au diable REX, Fabienne prend son pied. A nouveau elle sent une langue sur sa chatte, mais son plaisir est trop fort. Fabienne garde les yeux fermés tandis que REX continue à lécher sa petite chatte. Fabienne mouille, inonde les draps. Elle se crispe. REX donne le premier orgasme à sa maîtresse Fabienne.

– Oui REX… C’est bon, lèche bien ta maîtresse… Oh, j’ai envie d’une bonne bite !

Fabienne se retourne sur le côté et offre son anus à Rex qui s’empresse de lui lécher. Mais celui a maintenant d’autres idées et commence à agripper Fabienne.

– NON REX… pas ça !

REX se fait de plus en plus pressant. Fabienne peut sentir sa bite sur son cul. Celui-ci insiste lourdement.

Fabienne se met à quatre pattes et offre son cul à son chien REX. Ce dernier n’attendait que ça. Il se met en position et pénètre le vagin de Fabienne. Sa bite est énorme et remplit complètement le vagin de Fabienne. Fabienne n’en peut plus et commence à pousser des petits cris.

– Oui REX… Hum c’est bon… Oh je suis ta chienne… Bourre-moi à fond. « 

Fabienne sent un orgasme venir. Elle crie maintenant de plaisir tandis que REX s’agite de plus en plus fort en elle.

– Tu veux jouir dans ta maîtresse, mon salaud ?

C’est à ce moment-là que REX répand son sperme à l’intérieur du vagin de Fabienne, ce qui lui provoque un nouvel superbe orgasme. REX se calme et semble épuisé tout comme Fabienne d’ailleurs.

Fabienne resta collée à REX pendant encore une demi-heure, comme une vraie chienne avant enfin de pouvoir s’endormir épuisée inondée du foutre de REX dégoulinant encore entre ses cuisses.

 

Kubila

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 1 mars 2021 1 01 /03 /Mars /2021 16:35

Confessions scatos – 3
scat

Esclave de ma grande sœur par Titien

Un jour nous étions tous dans un bar, moi, deux copains et copines et ma grande sœur. Nous discutions un peu de tout quand je sentis le pied de ma grande sœur se frotter à mon entrecuisse, elle me regardait en plein dans les yeux en me faisant un sourire malicieux. Elle frottait son pied de plus en plus et pouvait sentir ma bite qui grossissait de plus en plus, et les autres ne voyaient rien.

Elle dit : je vais au toilette et me fis un clin d’œil. je la laissa aller puis je la suivis dans les toilettes. Elle ouvrit celle des filles et je vis ma grande sœur assise sur le trône les jambes ecartées, elle me dit : déshabille-toi et assis-toi, ce que je fis de suite, elle se leva et se mis en face de moi et commença à me pisser dessus en me disant : aller avale ca sale chien, tu aimes ça hein ? Je vois que ça te fais bander mon salaud, allez lèche-moi maintenant, !

Je lui bouffai son abricot ce qui la fit jouir une première fois, puis elle se retourna et me dit de lui lécher l’anus.je ne me fis pas prier et introduisit ma langue dans son petit trou, mais je sentais qu’elle forçait et je vis une crotte sortir et elle m’aspergea de sa merde ce qui me fis bander encore plus, elle se retourna et m’embrassa à pleine bouche en goutant à sa merde puis pris mon sexe et me suça comme une chienne et elle vint d’un seul coup ce qui la fis jouir en criant come une truie et tout cela me fis jouir également. Ma sœur est vraiment une salope, mais moi ça me plait d’être son esclave !scat032022

Dans le train. Par Loulou

J’ai toujours aimé regarder du porno scat, J’aime surtout quand une très belle fille pond une belle merde dans la nature en toute décontraction, mais je ne l’ai jamais expérimenté dans la vraie vie auparavant…

Il y a quelques jours, j’ai vécu quelque chose de nouveau. J’étais dans un train et dans la rangée de sièges à côté de moi j’ai vu une belle dame dans les 50 ans très élégante avec un décolleté très agréable à regarder. Fausse blonde avec des leggings en faux cuir. Je suis passé devant elle pour me rendre aux toilettes et en la dépassant, je pouvais sentir l’odeur de son parfum, elle avait vraiment chaud !

La surprise est venue quand j’ai eu fini et que j’ai ouvert la porte des toilettes. Elle attendit là, devant la porte. J’étais gêné et tout ce que je lui ai dit, c’est : « je vous laisse la place ! » Elle m’a souri.

Je suis retourné à ma place, j’attendais qu’elle revienne pour regarder sa belle silhouette. Elle a mis du temps à revenir. Nos regards se sont croisés et elle m’a gratifié d’un coup d’œil énigmatique.

J’ai fait un geste d’incompréhension, elle s’est alors approchée de moi et m’a dit « Je t’ai laissé quelque chose dans les toilettes, vas-y vite avant que quelqu’un d’autre n’y entre »

Sans réfléchir, je suis retournée aux toilettes. Elle n’avait pas tiré la chasse et sa merde gisait au fond de la cuvette, une belle merde marron ! J’ai baissé mon pantalon, je me suis masturbé de la main droite pendant que la gauche ramassait son étron et la portait sous mon nez pour en sentir l’odeur. J’ai ensuite approché ma langue et j’ai léché tandis que ma bite déchargeait un puissant jet de foutre.

Je suis revenu à ma place. La dame m’attendait et m’interpella : »Alors tu as apprécié mon cadeau, ça t’apprendra à mater dans mon décolleté, petit con ! » Je me suis abstenu de répondre, cette bourgeoise avait voulu m’humilier alors qu’elle m’avait offert le plus beau des présents !

Aux toilettes avec Laura par Bérénice

C’était l’année dernière, j’étais allé dans un boite de filles. Une nana m’a dragué, elle s’appelait Laura. Elle m’a entrainé aux toilettes et nous somme entrées toutes deux dans la même cabine

Laura a retiré sa petite culotte et s’est penchée pour pisser. Elle m’a demandé de m’approcher et a commencé à me lécher mon minou à travers ma petite culotte. Elle m’a demandé de m’approcher d’elle et s’est mise à me lécher à grands coups de langues travers me petite culotte.

Une fois son pipi terminé, elle s’est mise à pousser et elle a chié un joli boudin qui tomba dans la cuvette. Sans s’essayer, elle s’est relevée pour me laisser la place. Je me suis accroupie et Laura a collé directement sa chatte humide sur mon visage. Tout en sentant ce liquide chaud sortir de moi, je léchais la chatte de Laura qui avait encore ce goût amer de pipi. Ce goût disparaissait lentement pour laisser place à la mouille abondante de cette petite salope.

Salope est vraiment le mot : sa chatte ruisselait de plaisir et je me suis demandé un moment si elle avait vraiment fini de faire pipi ou si elle avait décidé de finir dans ma bouche…

Après avoir bien nettoyé sa chatte, elle s’est retournée et je pus admirer son magnifique trou du cul pollué de quelques taches de merde. Je n’en pouvais plus et j’avais envie de devenir de plus en plus sale. Sûrement que le décor des toilettes et les dessins et propos obscènes qui ornaient les murs me donnait d’étranges idées. Quelques coups de langue pour dilater son anus puis mon doigt prit la place de ma langue, puis ensuite deux doigts. Après le goût de sa pisse, il me fallait goûter à son autre produit naturel. Après des va-et-vient, mes deux doigts se dirigèrent directement vers ma bouche. Une odeur et un goût assez particulier provoquèrent un terrible orgasme en moi. Encouragé, je léchais ensuite les petites taches brunes lui resituant un cul tout propre !

Amusée, Laura plongea sa main dans la cuvette et récupéra l’étron quelle avait chié. Elle le porta vicieusement à sa bouche, le lécha et m’invita à en faire de même. Je ne me reconcassais plus, jamais je n’aurais imaginé faire une chose pareille, mais l’excitation l’emportait sur toute autre considération.

Après qu’elle eut reposé l’étron, elle plongea sa langue dans ma bouche comme pour me remercier de ce plaisir partagé, ou bien partager ce goût qui persistait sur ma langue.

Je n’ai jamais revu Laura, ce n’était qu’un coup d’un soir, mais cette expérience a bien sûr influencé ma sexualité, pas facile de trouver des partenaires d’autant qu’il faut éliminer les barjots, mais de temps en temps je trouve.et je me fais chier dessus.

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Confessions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Zarouny16a
  • Priscilla Lenn
  • CV05
  • Surviv04
  • Heka08b
  • Chanette23c1

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés