Claire N

Mardi 14 septembre 2021 2 14 /09 /Sep /2021 15:30

Le bain par Claire

Stamp MD

Je me touchais dans mon bain à quatre pattes et par l'arrière pour faire durer mes envies. 

 

La porte s'ouvre !

 

- Eh bien si tu aimes ça, vas-y ne te gênes pas ! Me dit ma mère d'un ton de reproche assez feint

 

Je m'arrête mais elle me prie de continuer.

 

- Tu aurais pu m'appeler quand même…

- Oui bien sûr, mais toute seule ce n'est pas mal non plus !

 

Ma mère déboutonne et baisse son pantalon me présentant son sexe. 

 

- Avance ta langue, petite pute !

 

Je m'applique à la servir, elle est encore sèche. Alors je remonte ma salive dans ma bouche pour l'étaler sur sa surface intime. Son fruit devenant plus juteux, je pose mes mains sur ses cuisses pour presser son sexe tout entier dans ma bouche. Je la titille doucement, frôle le dessus de son clito en faisant des ronds pour le rendre fragile et électrique. Je vais de plus en plus vite de cette manière et je sens bientôt ses jambes se raidir et parfois son ventre trembler. Mais elle ne dit un mot. Alors je continu. Je ne presse pas trop fort ma langue pour agacer son corps. Sa main se pose sur ma tête pour l'appuyer, mais je résiste. 

 

Alors elle s'ouvre et pose un pied sur le rebord de la baignoire. Sa chatte est toute dépliée, rouge et gonflée. Je pose mon doigt sur son vagin et y entre un doigt. Mon mouvement de va-et-vient lent lui plait. Je la regarde, elle me fait le signe de deux. Alors je mets un second doigt, le fait glisser de haut en bas doucement pour bien la détendre. Puis j'avance de nouveau mon visage sur son sexe ouvert et le titille de ma langue. Mes doigts entrent et sortent, mais de façon plus profonde. Je remonte mes doigts en elle de façon droite et redescends en crochet pour trouver un éventuel point g. le mouvement en elle la fait bouger. Ses hanches dansent à peine, mais je le vois. Alors je vais plus fort et surtout plus vite. Ma langue se détache et frôle très rapidement. Je la sens faiblir et me tirer les cheveux. Elle joui. Je sens un liquide chaud entourer mes doigts. Elle me regarde satisfaite 

 

- Sors de là ! 

 

Et m'assied au sol, adossée à la baignoire, ouvre mes cuisses et s'agenouille face à moi. 

 

- A moi de jouer !

 

Elle regarde mon sexe, passe son doigt le long. Sa caresse me vient au ventre. Alors elle se couche en avant et boit mon sexe. Elle boit et boit jusqu'à ce que mes jambes s'ouvrent entièrement. Sa langue chaude et douce passe partout doucement et longuement avant de s'arrenter sur mon clito qu'elle aspire en avant puis arrière, comme si elle me pipait.. Le chaud me monte au corps et des images crues de sexe me montent dans l'esprit. Je l'ai oubliée et suis ailleurs, au milieu de mes fantasmes déchaînés.

 

Elle me tire alors les jambes et me couche, s'agenouille au-dessus de moi et m'offre encore son sexe. Elle bouge au-dessus de mes lèvres et contrôle parfaitement ses mouvements pour gérer son plaisir. Mon sexe est gonflé et redemande. Sans hésiter je passe ma main sur mon ventre et descend me toucher. Elle est en vue plongeante sur mes actes et je sais que ça va l'exciter de me voir me toucher. J'écarte mes lèvres exprès exagérément avec une main pour qu'elle voit bien et me caresse de l'autre. Ses hanches remuent plus vite et il me semble presque l'entendre gémir. Je joui sans un mot, mais me touche encore pour elle.

 

Lorsque ses tremblements convulsifs se sont terminés, elle se relève et me tend la main. Je la prend pour me lever.

 

- Je vais prendre mon bain avec toi on en a grand besoin"

 

Et elle entre dans l'eau .

 

Je la suis. La baignoire est grande, on peut y être à deux sans problème. L'une face à l'autre, les jambes relevées, chattes offertes, encore rouges de plaisir. On parle un moment, je ne sais plus de quoi. Elle se lève soudain et s'écarte les lèvres, je comprends qu'elle va uriner, j'ouvre la bouche et me régale de ce délicieux breuvage tiède au goût particulier. Elle me caresse les seins, me demande de lui pincer les siens, nous rions de bon cœur envahies par le plaisir, nos bouches se rapprochent et nous nous embrassons profondément.

00Claire bain

Mais le bain se refroidit et elle prend le soin de faire couler de l'eau chaude par le tuyau de la douche. Je lui passe du savon sur le corps et la rince. Elle se retourne et lui frotte le dos. A mon tour je me retourne et je sens ses mains glissantes de savon s'étaler sur moi. Elle passe ses mains sous mes bras, savonne mes seins en les pressant un peu, puis plus fort. Sur mon ventre, elle descend enfin sur mon sexe encore fragile et sensible. Elle prend entre son pouce et l'index mon clito et le titille comme un téton, doucement. Je me cambre, je ressens une petite douleur mais agréable. Elle se recule de l'eau et avec son autre main tire sur mes fesses en arrière, alors je me mets accroupie, mains contre le mur pour sentir sa main caresser mon anus 

 

Elle prend le jet d'eau et ôte la pomme de douche. Le jet assez puissant est sur mon anus serré. je me demande ce qu'elle veut. Elle déplace le jet sur mon sexe, et le pose sur mon clito. 

 

- Tiens-le

 

 Alors je l'applique sur moi, jusqu'à trouver un angle délicieux. Je commence à sentir l'intérêt de la chose et à oublier ses doigts se promenant sur mon cul dépassant de l'eau tant je suis cambrée. Je mouille et ressens une excitation démesurée à sentir son regard derrière moi me trémousser de plaisir. je me retient pour faire durer mon plaisir .... 

 

Je sens alors son doigt entrer en moi. Elle me sodomise de l'index doucement. Je la sens délicate et m'ouvre un peu. Au bout d'un moment je suis si à l'aise que je fais le mouvement avec elle. Elle entre alors deux doigts furtivement et me sodomise carrément. Le jet m'affole le sexe et je me sens ouverte et dilatée à tout. Je joui dans un cri de plaisir qui résonne sur le carrelage de la salle de bain.

 

Une fois mon souffle repris, je me retourne et la regarde me sourire. Elle s'agenouille à son tour face à moi en entrouvrant les lèvres de son sexe avec ses mains. Alors je dirige le jet sur son sexe et la regarde se cambrer et se trémousser dessus, les yeux fermés se mordillant la lèvre. très vite, son corps perd toute tenue et je la vois jeter son visage en arrière pour jouir dans un oui discret.

 

De nouveau la porte s'ouvre.

 

- Ben alors, les salopes on se donne du bon temps ? Dit mon père en sortant son sexe bandé de sa braguette.

- On le suce à deux ? Me propose ma mère !

- Bien sûr !

 

fin

 

D'après un texte signé paillette75 datant du siècle dernier

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Lundi 9 août 2021 1 09 /08 /Août /2021 08:38

Une cliente très particulière par Claire_N

Flag culote

Je m'appelle Martine, j'ai vingt et un ans, je suis célibataire, et depuis peu, j'ai réussi à trouver un emploi comme représentante en lingerie sexy féminine chez un grossiste.

 

Dans ce milieu, j'ai du mal à cacher que je suis bisexuelle, et que mes tendances penchent plus vers les femmes que vers les hommes.

 

Mon petit plaisir à moi c'est l'uro sous toutes ses formes, que j'ai découvert assez jeune. J'adore cela. J'adore me mouiller dans les lieux publics en pensant que peut-être on me remarquera. J'ai toujours pensé que j'allais finir par provoquer involontairement un scandale. J'ai aussi découvert la scato, ça me fascine mais je ne suis pas accro.

 

Un jour ma directrice m'appela :

 

- Martine ! Vous vous souvenez d'avoir fait votre première vente à Madame Moulenfeu ? Eh bien, cette dame est prête à passer un gros contrat avec nous. Et c'est avec vous qu'elle veut signer, uniquement avec vous. Je pense que vous réalisez bien l'importance de la mission que je vous confie ? Vous devrez déployer tous vos talents de commerciale pour nous ramener ce contrat. Vous me comprenez n'est-ce pas ? 

- Oui !

- Il le faut. Vous avez rendez-vous avec elle demain à 11 h 30 au "Restaurant de la chatte". Je compte sur vous.

 

Je rassurais ma directrice, et lui confirmais que j'étais prête à déployer tous mes talents pour décrocher ce contrat. Ça pourrait peut-être même être une porte vers une belle promotion. 

 

Je me souvenais…

 

Alors que j'avais installé devant elle toute la lingerie susceptible de l'intéresser pour son commerce, je sentais son regard davantage intéressé par ma modeste personne que par les dessous affriolants que je lui proposais. Ses mains réussissaient régulièrement à frôler les miennes. Puis ce fut une de ses jambes qui vint résolument se glisser entre mes genoux. Elle s'en excusa mais recommença quelques minutes plus tard. Ses avances ne me déplaisaient nullement. Mais je craignais de mal interpréter ses gestes. Débutante, j'étais là pour vendre, rien de plus. J'étais sûre qu'elle ressentait mon trouble. C'était une belle femme. Plus âgée que moi certes, mais je la trouvais attirante. Fausse blonde avec des cheveux mi courts, poitrine généreuse, elle en imposait.

 

Le lendemain…

 

J'avais enfilé un joli string rose pour ne pas avoir de démarcation de culotte sur mon jeans taille basse qui mettait en valeur mes fesses et ma taille mince. Je mis ensuite un cache-cœur et un soutien-gorge qui compensait un peu mes seins que je trouvais trop petits pour mon décolleté. Un passage devant le miroir, un coup de maquillage, des talons hauts et me voilà prête. L'appréhension me rendait la bouche pâteuse et je bus deux grands verres d'eau avant de partir en voiture, puis direction le rendez-vous.

 

J'étais un peu en avance. Je comptais là-dessus pour me rendre aux toilettes avant l'arrivée de ma cliente, mes deux verres d'eau m'y incitaient. Je n'aurais pas à m'en excuser pendant l'entretien pour disparaître deux minutes. Cela aurait été du plus mauvais effet. Pas de chance. En arrivant à la terrasse, je reconnus Madame Moulenfeu…

 

- Ah… Bonjour ! Vous êtes Martine je crois ?

- Oui… Bonjour Madame Moulenfeu.

- Je vous en prie… Appelez-moi Marie. Installez-vous là près de moi. Tout va bien pour vous ? Pas de problèmes ?

 

Je n'osais pas lui avouer que j'avais une terrible envie de pisser. J'attendais donc un moment plus propice.

 

- Bon… Tant mieux. Mettons-nous au travail avant de déjeuner. Je n'aime pas être interrompue quand je suis en affaire. Mais en attendant de nous mettre à table, nous allons prendre une coupe de Champagne… 

 

Je protestais mollement disant que je n'étais pas habituée au Champagne. En fait, je craignais fort que son pouvoir diurétique ajouté à celui des deux verres d'eau, me mette dans une situation plus qu'embarrassante.

 

- Allons, allons ! Nous n'abuserons pas, nous allons simplement trinquer !

 

Difficile de refuser…

 

Une accorte serveuse flanquée d'un décolleté impossible nous servit les coupes et je dû évidemment en boire une gorgée. Gorgée qui fut la plus petite possible.

 

Marie, au contraire de moi, avait une forte poitrine et son décolleté la découvrait largement. Elle portait une minijupe rouge qui, lorsqu'elle était assise découvrait assez haut ses cuisses blanches, pour le plus grand plaisir de la serveuse qui avait apporté le Champagne et qui devait elle aussi avoir des tendances goudou. .Je déployais des ressources inouïes pour, à la fois, retenir mon envie et présenter sous le meilleur angle, tous nos produits à notre acheteuse. Comment lui vanter la beauté et l'érotisme d'un string sans penser au mien que je devais éviter de mouiller ? Comment discuter un contrat annuel avec une telle envie de pisser ? Ah ! Quelle idée elle avait eue de commander du Champagne ! Toutefois, nous semblions d'accord et la liste de commande s'allongeait. Nous en arrivions à la fin de notre catalogue et j'allais enfin pouvoir présenter le bon de commande à la signature quand elle s'écria :

 

- Mon Dieu ! Déjà midi ! Je vous invite à déjeuner. Entrons dans la salle.

 

Elle me désigna une table et s'installa en face de moi. D'un regard circulaire, je cherchai un panneau indiquant les toilettes. Mais rien de bien évident de là où nous étions. Il aurait fallu que quelqu'un me renseigne. Et puis l'autre là qui n'en finissait pas de me poser des questions… Toujours en affaire… même en mangeant ses tomates à la mozzarella !

 

Et moi… Comme ce n'est pas possible… Si à l'aise en uro… Habituellement… Qui n'osais pas lui dire que j'avais une foutue envie… de crainte de l'indisposer et qu'elle ne signe pas le bon de commande.

 

En ramassant sa serviette tombée entre nous deux, sa main caressa intentionnellement la jambe de mon jeans. Je sursautai et je sentis nettement quelques gouttes passer dans mon string. J'en étais sûre maintenant. Son insistance pour m'avoir comme interlocutrice… ses jambes découvertes… sa serviette tombée entre nous deux… sa détermination de ne pas vouloir être interrompue… sa coupe de Champagne… oui, j'en étais sûre, Marie me cherchait et je devrais la suivre en échange de sa signature.

 

Bordel !… Elle finira bien par avoir envie de pisser elle aussi ! D'autant plus qu'elle avait bu deux verres d'eau en mangeant après le Champagne.

 

Soudain, elle me donna espoir :

 

- Et bien… Tout cela est très bien… C'est OK. Je vous accorde l'exclusivité pour un an. Je vais signer.

 

Je poussais un soupir de soulagement à l'idée que j'allais pouvoir me lever et demander au premier serveur rencontré où se trouvent les toilettes. Mais Marie enchaîna :

 

- Une autre coupe de Champagne pour sceller notre accord.

 

J'avais envie de hurler : "Nooooooon !"

 

Mais je pensais juste tremper mes lèvres dans le verre.

 

- Vous n'aimez pas le Champagne ? Demanda-t-elle.

- Si mais… J'ai encore à conduire cet après-midi… et je ne bois pas d'alcool en général.

- Pas d'inquiétude… Dans ce cas, nous prendrons le café chez moi et je signerai..

- Chez vous ?

- J'habite à deux pas d'ici. Rue Jean Labite… Attendez-moi ici. Je passe régler au comptoir et nous y allons. 

 

Je récupérais mon porte-documents. J'avais trente secondes pour m'informer auprès du serveur. Mais c'est elle qui l'occupait. J'étais vraiment devenue sa chose, car je ne devais surtout pas la bousculer ou la contrarier. Oui… C'était cela… Une dominatrice… Elle signera si…

 

J'eus soudain une impression que je m'empressai de vérifier. Mon entrejambe côté gauche était mouillé sur au moins vingt centimètres. J'espérais que cela ne se remarquerait pas. Elle me rejoignit pour sortir du restaurant. Tout en marchant je serrais les jambes, en priant pour que je tienne. Seule, c'est sûr, je me serais installée derrière un buisson du parc que nous longions. Quelle tentation !

 

Un digicode. La porte s'ouvre, et bientôt… des toilettes ?

 

Elle se mit à me tutoyer ;

 

- Entre… Mets-toi à l'aise. Installe-toi dans le divan.

 

J'avais une peur bleue de le mouiller. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu'elle passa devant moi de constater que l'arrière de sa jupe portait une tache d'humidité ? Cette surprise se lisait sans doute sur mon visage car elle me dit :

 

- Ah oui ! Tu as remarqué ma jupe ? Tu sais ton jeans, je l'ai remarqué aussi avec la tache entre les jambes. J'aime voir une fille qui mouille son jeans ! Ça ne te gêne pas, j'espère ? Et puis tutoie-moi toi aussi.

- Oui….si tu veux… Répondis-je timidement en pensant à mon contrat d'exclusivité.

- Tu vois, moi aussi j'adore pisser….Mais avant j'aime me sentir un peu mouillée. Tu es sympa Martine. On pourrait être amies….Non ?… 

- Oui bien sûr !

- Tu as déjà une relation intime avec une autre femme ?

- Ça m'est arrivé, oui !

- Et tu aimes ?

- Oui !

- Et avec une femme plus âgée que toi ?

 

N'étant pas complètement folle je voyais très bien où elle voulait en venir.

 

- Non, mais ça ne me dérangerais pas du tout !

- Alors allons-y, prenons un peu de bon temps !

 

Bien en face de moi, elle releva sa jupe, descendit son string découvrant son sexe fraîchement épilé. Avec un petit rire, elle me l'envoya à la figure.

 

- Pourquoi ? Ddemandais-je ;

- Pour te faire sentir l'odeur. Tu n'aimes pas cela ?

- Si… Mais j'ai été surprise.

- Ne le sois plus. Je suis comme toi. J'aime pisser. J'aime les femmes. Alors elle sent bon ma culotte ?

 

Elle était souillée, une belle tache de pisse devant, mais aussi quelques trainées marrons derrière. Je humais et me régalait de cette fragrance 

 

- Humm ! J'adore !

- Lèche si tu veux !

 

J'avançais ma langue et vint lécher légèrement la tache d'urine, puis m'enhardissant, je fis de même avec la tache de merde

 

Après cette petite fantaisie, elle vint me rejoindre sur le divan et passa ses jambes au-dessus des miennes. Elle se mit à me caresser les cheveux et le visage, palpa ma modeste poitrine. Certes des relations avec des filles j'en ai eu plusieurs, mais là, la situation était différente, C'était une cliente…. Je me suis laissé faire, nos langues s'enroulaient, nos salives se mélangeaient.

 

J'allais me faire gouiner par une vraie salope, mais ça ne me posait pas vraiment de problèmes.

 

Puis soudain, je sentis mon jeans se mouiller abondamment. Je glissais ma main entre les cuisses de Marie pour constater qu'elle était en train d'uriner abondamment sur moi.

 

C'est malin ! Je vais repartir comment, maintenant ?

 

Nous étions trempées toutes les deux. Elle se leva, enleva son chemisier et sa jupe ne gardant que son soutien-gorge. A mon tour, je retirai mon jeans trempé, mon soutien-gorge et mon string pour me retrouver complètement nue. On s'observa ainsi toutes les deux, on se plaisait mutuellement, on était bien.

 

Je lui enlevai son soutien-gorge pour libérer ses beaux seins dont je caressais les aréoles puis j'entrepris de les lécher et de les sucer.

 

Elle me fit coucher sur le sofa et elle se mit entre mes cuisses. Je reçus quelques baisers et quelques coups de langue sur ma petite chatte juste un peu dégarnie. Sa langue osa atteindre mon clitoris. J'étais au septième ciel, tout le plaisir était en moi. Mais je craignais que sous le plaisir ma vessie se libère brutalement à mon insu.

 

Puis nous avons changé de place, je vins sur elle pour nous manger mutuellement la chatte. Sa mouille remplissait ma bouche, je ruisselais dans la sienne. J'adorais ce goût.

 

- Attends… dit Marie. Ma fille a un accessoire, un double gode qu'on peut s'introduire à deux. Je vais le chercher et on va se donner du plaisir ensemble.

 

Et elle partit dans la chambre de sa fille, remua des tiroirs et revint vers moi.

 

- Tu sais Marie, lui dis-je. Toi tu as fait ton pipi. Moi le mien est toujours prêt à partir et tu as failli l'avoir à la figure sans que je le fasse exprès, je t'assure. Dis-moi où sont les toilettes ou la salle de bain.

- Attends ! Répondit-elle, on va gérer ça !.

 

Elle se coucha sur le plancher et me demanda de me placer debout au-dessus d'elle.

douche les47

- Allez ! Vas-y, pisse-moi dessus.

 

Je ne sais pas ce qu'il y avait de plus agréable : arroser ma cliente qui m'obligeait à me retenir depuis si longtemps ou de me sentir enfin soulagée. Mon jet ne s'arrêtait plus. Je l'arrosais de son visage à son entrejambe en poussant plus ou moins fort et en dirigeant le jet avec mes doigts. 

 

- Un vrai régal ton pipi, me dit-elle

 

Puis, Marie entra un bout du gode dans sa chatte et se mit à genoux. Je m'installai derrière elle en lui tournant le dos et je rentrai l'autre bout dans la mienne. Je me tortillais et finis par jouir bientôt rejointe par Marie.

 

Epuisées de plaisir, nous avions oublié que nous étions là pour boire un café.

 

Mais Marie préféra une troisième coupe de Champagne. Les deux précédentes ayant été éliminées, cette dernière fut la bienvenue. Nous l'avons dégusté assises dans le canapé, toutes mouillées, dans les bras l'une de l'autre.

 

Nous en étions là quand sa fille fit irruption en disant que sa mère n'était pas autorisée à lui emprunter son jouet, ce qui nous fit rire toutes les trois. La fille s'empara du gode et me claqua nonchalamment mes petites fesses.

 

- Tu ne vas pas me dire que tu as besoin du gode maintenant, laisse-le-nous encore un peu ! Protesta Marie

- Vous avez fini de jouer avec, je vous ai vu, espèces de cochonnes !

- Non on a pas fini, on ne se l'est pas mis dans le cul !

- Oh là là, qu'est-ce que j'entends ?

- Reste donc avec nous, Katia, tu ne nous déranges pas !

- Bon, bon !

 

J'avais remarqué la mezzanine, Marie me proposa de nous nous y rendre

 

Mais sur place je découvrais un voisin assis en terrasse en train de bouquiner, j'allais rebrousser chemin mais Marie m'expliqua.

 

- C'est monsieur Philippe, un retraité, il n'est pas méchant, juste un peu voyeur, il ne me gêne pas du tout… et puis c'est excitant de savoir qu'on nous regarde.

- Je préférerais qu'on reste à l'intérieur.

- C'est une expérience, tu vas voir c'est amusant. Vas-y caresse-toi, il va se branler en nous regardant

 

J'ai donc commençai à me caresser pour attirer son attention. Marie me rejoignit dans mes caresses. Pour lui prouver que je pouvais être aussi perverse qu'elle, je lui proposais de me pisser dessus à son tour. Elle ne se le fit pas dire deux fois et accroupie elle m'inonda le corps et la bouche de sa délicieuse urine.

 

Le voisin s'était déshabillé et s'astiquait frénétiquement sa bite en nous regardant.

 

- Regarde moi ce vieux cochon ! Tu sais, dés fois il lui prend l'envie de vouloir me baiser, il me téléphone, si je dis non, il n'insiste pas, il est très correct… et si je dis oui je lui demande de l'argent en échange, de temps en temps j'aime bien jouer à la pute. La semaine dernière on l'a sucé à deux, moi et ma fille.

 

Non mais ce n'est pas possible, où est-ce que je suis tombée ?

 

- Si ça t'intéresse je peux t'arranger un rendez-vous avec lui ! Reprit-elle. Il paie bien.

 

Elle me proposait carrément de faire la pute ! J'aurais pu me rebeller, mais je ne l'ai pas fait pour deux raisons, la première c'est que j'étais ici en mission et que le contrat n'était pas encore signé, la deuxième c'est que quelque part l'évocation de cette situation me faisait fantasmer.

 

Katia vint ensuite nettoyer avec sa langue la chatte de sa mère en se régalant des dernières gouttes de pipi.. Quand elle eu fini elle reprit le double gode et nous demanda à sa mère et à moi de nous mettre en levrette cul contre cul, elle nous lubrifia bien nos anus avec sa délicieuse petite langue avant de nous introduire ce joujou diabolique qui nous fit jouir au bout de quelques minutes.

 

- Hum, ça m'a donné envie de faire caca, tu veux regarder Martine ?

- Avec plaisir !

- Je suis sûr que tu aimerais me lécher le cul après ?

- Bien sûr !

Marie alla chercher une feuille de papier journal et s'accroupit dessus, me tournant le dos et m'offrant le magnifique spectacle de ses jolies fesses bien rebondies. Son anus s'ouvrit, je le sentis pousser et soudain un bel étron en sortit et vint s'écraser sur la journal.


- Alors ça t'as plu ?

- Oui ! Tu as fait une jolie merde.!


Elle prélève un petit morceau de l'étron, le porte à sa bouche et le léché légèrement en me regardant finement dans les yeux..


- Humm, tu veux goûter ?

- Peut-être pas, mais je vais te lécher le cul !

- Ce sera la même chose !

- Oui bien sûr ! Allez, donne je vais le faire !


 

J'ai donné un bref coup de langue, puis j'ai nettoyé son anus, j'ai trouvé ça très bon et très excitant.

 

Rassasiées, il nous fallait une douche, et c'est ensemble que nous sommes allées dans la salle de bain, Marie et moi. Sa fille vint nous rejoindre et après m'avoir embrassée sur la bouche, en fit de même avec sa mère tout en lui pelotant et lui embrasant la poitrine.

 

La dernière coupe de Champagne faisait son effet. Je pris la main de Marie et la glissai entre mes jambes pour la gratifier d'un dernier pipi en conclusion.

 

Katia avait la même taille que moi. Elle me prêta un de ses jeans et aussi un string en soie, rouge et blanc.

 

Une fois séchée et rhabillée, je ressortis mon bon de commande et mon contrat d'exclusivité.

 

- Ah ! C'est vrai s'excusa Marie… On allait l'oublier.

 

Et elle signa les deux exemplaires sans même les relire.

 

On s'embrassa d'un tendre baiser complice et je pris le chemin du retour.  :

 

- Alors Martine ?… Comment ça s'est passé ? S'enquit la directrice

- Mais très bien Madame… Elle a signé !

- Super on va arroser ça, je vous invite chez moi on va déboucher une bonne bouteille Champagne.

 

Encore du champagne ! Qu'est-ce qu'il va encore m'arriver ?.

 

Martine-secrétaire (Québec)

 

Postface :  le texte original écrit par Martine a disparu de la circulation. J'ai essayé de le reconstituer à l'aide d'un brouillon de publication. Martine peut évidemment nous joindre pour toutes remarques, corrections ou rectifications.

Claire_N

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 09:10

Mes envies par Claire_N

 

pisse stamp

Bonjour, je m’appelle Anne-Marie, j’ai 29 ans, je suis secrétaire, brune, grosses lunettes et gros nichons

 

Après une dure journée de boulot, la course pour avoir mon bus, pas le temps de faire pipi. L’attente puis , le trajet, debout, ça saute, ça remue, bref une grosse envie de faire pipi.

Je sors du bus prête à battre le record du monde en courant jusqu’à chez moi, mais trop mal au ventre, je marche, pas droit, cuisses serrées.

 

Ça vient, c’est horrible, je vais me faire dessus. La rue est piétonnière, à cette heure-ci, bondée.

 

Merde je suis en train de mouiller ma culotte gouttes après gouttes.

 

J’ai mal au ventre, je me suis arrêtée sous un porche d’une entrée de garage. Mon ventre me brule, je sens ma culotte humide de plus en plus malgré mes cuisses serrées qui n’empêche plus grand chose.

 

J’ai juste dix minutes pour arriver chez moi mais si je décroise mes jambes je me fast dessus c’est sûr ! Je ne me rappelle pas avoir eu autant envie, j’ai si mal au ventre, je dois faire !

 

Je blanchie, je sens que sa ruisselle sur ma cuisse, je me fais dessus. Plus la force de résister, je me plaque contre le mur, le plus dans l’ombre possible et …. Je me laisse aller. Ça coule le long de mes cuisses, j’écarte ma jupe et mon esprit chavire.

 

Envie

La douleur fait place à la délivrance et à un plaisir qui me surprend. Je ne peux pas retenir cette jouissance qui sort en même temps que je me soulage. Je jouis là dans la rue, je ne vois même plus les gens qui passe à un mètre de moi.

 

Quand je reprends mes esprits, il y a une grosse flaque à mes pieds, j’ai ma jupe pratiquement relevée, la culotte mouillée et pourtant j’ai joui comme rarement.

 

J’ai rapidement enlevé ma culotte et j’ai couru chez moi. Je me sentais honteuse, souillée.

 

Mais pourtant depuis ce jour j’ai une folle envie de recommencer.

 

J’ai déjà essayé à la maison de me retenir jusqu’à me laisser aller dans ma culotte, j’arrive à avoir du plaisir mais pas autant de jouissance.

 

Ok c ‘est pas naturel comme truc mais ne me prenez pas pour une folle, s’il vous plaît !

 

Et puis pendant que j’y suis-je vais vous dire autre chose : J’adore quand je fais caca après m’être retenu très longtemps…

 

Franchement quand je suis sur le trône et que je pose ma crotte c’est une vraie délivrance…

 

voilà, voilà !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 16:34

Exhibitions dorées par Claire_N

Stamp uro

J’ai écrit ça assez vite, ce n’est pas de la haute littérature mais j’avais envie de coucher ce fantasme sur le papier….

 

C’était l’été dernier mon mari et moi étions partis sur la Côte d’Azur quelques semaines. Vers la fin de nos vacances, nous avions dégotté une petite plage naturiste très bien isolée mais assez peuplée.

 

Mais ce qui était le plus excitant ce n’était pas la plage, mais ses alentours, de petits chemins très étroits, avec plein arbustes, où voyeurs et exhibitionnistes s’en donnaient à cœur joie.

 

Et je me souviendrais toujours la première fois, car un après-midi je fus saisi d’une grosse envie de pisser, Robert, mon mari, peu habitué aux us et coutumes du lieu me dit :

 

– Va dans les petits chemins, personne ne te verra et puis je surveille.

 

Alors je m’accroupis dans un coin à moitié dégagé, Robert reste dans le chemin, quand voilà que déboule un vieux à poil qui du coup ne peux pas passer et qui me matte ostensiblement, je sens Robert prêt à intervenir, mais d’un autre côté on est dans une zone naturiste…

 

– Laisse-le ce gentil pépère, il a bien le droit de mater !

– Ah, merci, madame !

– Et si tu veux te branler en me regardant, ce n’est pas un problème, mais tu ne t’approches pas.

 

Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd et là l’ancêtre s’est astiqué le poireau en me regardant faire mon petit pipi, son sperme est venu asperger la végétation et il est reparti avec un sourire niais.

 

Je me suis relevée et nous partîmes nous baigner un peu amusés et moi très excitée par l’insolite de la scène. Le soir nous avons fait l’amour en y repensant.

 

Le lendemain, j’avais une envie folle de recommencer, mais j’avais envie de faire ça dans un endroit offrant davantage de place, on s’est un peu baladé dans le sous-bois et on a croisé pas mal de vieux cochons à poil, pas mal de gays qui se tripotent, on en a même vu un qui se faisait enculer, inutile de dire que ça nous a bien excité, on a aussi croisé un type qui tenait en laisse une belle blonde un peu dodue.

 

– Si vous voulez la baiser, allez-y ! Dit le type en direction de Robert.

 

Il a refusé, on était pas venu pour ça, il m’a avoué ensuite l’avoir un peu regretté !

 

On est arrivé dans un coin où cinq bonhommes visiblement retraités, discutaient la bite à l’air. Je me suis posé à quelques mètres d’eux et me suis baissée pour commencer à pisser.

 

Du coup les séniors se sont mis à mater, et certains se tripotaient la bite.

 

L’un deux s’approche de moi :

 

– Je peux vous caresser ?

– Juste un petit peu, et juste caresser, pas autre chose.

 

Le mec m’a effleuré le nichon avec la main, il était content, un deuxième a pris le relais. Bientôt ils étaient tous les cinq à me peloter.

 

– Messieurs, c’est terminé pour aujourd’hui ! Leur dit Robert.

 

Ils n’insistèrent pas, furent très corrects.

 

On a répété le même scénario le lendemain, ils étaient trois dont deux qui étaient présent la veille et je me suis fait tripoter plus longtemps, l’un deux a demandé s’il pouvait m’asperger de son sperme.

 

La demande m’a surprise, je ne m’attendais pas à ça ! C’est Robert qui a répondu à ma place.

 

– Vas-y, arrose-lui les seins à cette salope !

 

Ces mots crus conjugués au fait qu’un type se branle devant moi jusqu’à la jouissance m’a profondément excitée.

 

Le mec a juté sur mes nichons et je me suis amusé à étaler ça comme si c’était de la crème de beauté.

 

Robert a ensuite demandé s’il y avait un autre volontaire. Non, pas d’autre volontaires pour ça, mais l’un des types a demandé à tout hasard si j’accepterai qu’il me pisse dessus.

 

– Bien sûr, vas-y arrose là, cette morue !

 

J’aurais quand même aimé qu’on me demande mon avis ! Cela dit personne ne m’a forcé, il me suffisait de me relever et de laisser tomber cette bande de pervers. Mais non je suis restée devant le pépère qui m’a arrosé partout, enfin presque partout, parce que je n’ai pas osé en boire… ce sera pour une autre fois je suppose.

 

Et là, Robert excité comme un pou, m’a demandé de me mettre en levrette et m’a enculé devant les trois vieux cochons.

 

Ce fut notre dernière folie sur la côte puisque le lendemain il nous fallait rentrer.

 

Cette expérience nous avait marqué et nous nous étions promis de la renouveler l’été suivant. Mais un an à attendre c’est long, un jour Robert a émis une suggestion.

 

– Il paraît que dans le Bois de la Petite Source », il y a des couples exhibitionnistes…

 

Bref, j’ai accepté de suite et le samedi en fin d’après-midi, nous voilà sur place.

 

Effectivement il y a quelques couples mais aussi beaucoup de gays, la mentalité n’est pas la même, ce ne sont pas de naturistes, il y a de tout, de joyeux libertins mais aussi des mecs inquiétants.

 

On trouve une clairière, on remarque qu’il y a des gens juste derrière qui ne se cachent à peine. Donc allons-y !

 

Solange99Je commence à pisser ! Quatre bonhommes s’approchent à deux mètres de moi, la bite sortie de la braguette, Robert les imite et se place parmi eux, l’un des mecs attrape la bite de son voisin, lequel lui fait savoir en reculant qu’il n’est pas intéressé. Le mec change de cible et pose sa main sur la queue de Robert. Et il se laisse faire ! J’aurais tout vu !

 

Je pisse et me relève, un seul semble intéressé et me propose de m’essuyer avec sa bouche, je refuse, je ne veux pas n’importe quelle bouche sur ma chatte, alors il me donne un billet de 20 euros pour que je m’essuie avec ma culotte et qu’il me l’achète. Pourquoi pas ?

 

Je me relève après ma petite transaction, Robert continue à se faire branler, puis le gars se baisse et prend sa bite en bouche. Je vous dis : c’est le jour de grandes découvertes.

 

Je m’approche d’eux et provoque Robert :

 

– Et toi, tu ne le suces pas ?

– Ça t’amuserais de voir ça ?

– De toute façon, t’es pas cap !.

 

Ben si, il la fait, c’était très excitant. On s’est dépêché de rejoindre la bagnole et on a baisé à l’intérieur, moi à dada sur mon mari.

 

On a pas recommencé tout de suite, Robert semblait avoir honte de son petit épisode bisexuel, et puis j’ai trouvé l’ambiance moins amusante que dans le camp naturiste.

 

Mais un mois plus tard, rebelotte. Quand ça taraude, ça taraude !

 

Même clairière, même scénario ou presque sauf que les voyeurs ne sont pas les mêmes.

 

Je pisse donc devant les quéquettes à l’air, mais une autre envie me tenaille et j’ai du mal à me retenir.

 

– Eh, les mecs, je vous préviens, je vais faire caca.

 

Et là, c’est la débandade, tout le monde s’en va voir ailleurs d’un air dégagé sauf un, celui-ci a beau être en tenue décontractée, on voit bien qu’il ne s’habille pas aux puces, monsieur est un bourgeois qui s’encanaille.

 

Je pousse et pond un joli colombin bien ferme qui termine sa chute dans l’herbe folle, un second rejoint le premier et il y en a même un troisième, tant qu’à faire…

 

– Que c’est beau ! S’exclame le bourgeois ! J’adore voir une femme chier et ce plaisir n’est pas si courant.

– Ben alors je suis content de vous avoir fait plaisir !

– Puis je solliciter la permission de vous essuyer avec ma langue.

– Vous êtes drôlement cochon, vous !

– C’est juste un péché mignon !

– C’est que voyez-vous, on ne m’a jamais proposé ce genre de chose !

– Il y a un début à tout !

 

Je lance un regard à Robert qui l’air de trouver l’idée amusante, j’hésite quand même !

 

– Je vous donnerais un petit billet ! Insiste le bonhomme.

 

Alors je me suis mis en levrette et je me suis fait lécher mon cul tout merdeux, ses coups de langues m’ont ravi, inutile de vous dire que j’étais tout excitée.

 

– Pourrions-nous nous rencontrer ailleurs qu’ici pour refaire la même chose, ce serait contre dédommagement bien évidemment, voici ma carte, on peut faire ça chez vous ou chez moi, ou à l’hôtel… Merci encore pour ce délicieux moment.

 

Et il est parti.

 

– Tu ne vas pas garder sa carte ? Me dit Robert. Tu n’es pas une pute ?

– Ben quoi ? Ça nous fera de l’argent de poche.

– Ah bon ? Ben c’est toi qui décides.

– Bon on rentre, je suis toute excitée !

– J’aurais bien sucé une bite, avant de rentrer !

– Robert !

– Ben quoi ?

 

Fin !

 

Inspiré par une short story trouvée sur internet

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 16:32

Coquine voisine par Claire_N

scat

ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE

Bonjour ! Je ne pense pas qu’on puisse se mettre à faire de la scato, comme ça, du jour au lendemain, à moins qu’on ait des prédispositions, à moins que les circonstances soient particulières, à moins que tous cela se conjugue… Mais lisez plutôt :

 

Je m’appelle Claire j’ai 24 ans, je suis célibataire, mais j’ai un petit ami régulier, il aurait bien voulu qu’on se mette en ménage, mais moi je tiens de trop à mon indépendance. J’habite au troisième étage d’un bel immeuble moderne et j’ai sympathisé avec Annie, une voisine, une nana dans les quarante ans, divorcée, de grands cheveux frisés et l’air canaille. Elle me dévore des yeux, elle doit être un peu goudou sur les bords. Moi je n’ai rien contre, tout n’étant que question de circonstances… Je lui ai d’ailleurs un jour fait comprendre que peut-être un jour…

Ce jour-là, je suis passée chez elle pour lui emprunter un peu de gros sel et elle m’a offert un verre qui fut vite suivi d’un deuxième… Je sais m’arrêter de boire et c’est d’ailleurs ce que j’ai fait. N’empêche que l’alcool ça désinhibe, j’ai fait alors semblant d’avoir bu un coup de trop, afin de voir si elle allait oser en profiter.

 

Ça ne loupe pas, elle me dit qu’elle a au cours d’une soirée appris un nouveau jeu très amusant et me propose d’y jouer. Moi très curieuse, lui dis oui avant même de savoir de quoi il s’agissait. Annie explique les règles du jeu qui consistait à me laisser faire quoi qu’il arrive pendant une minute chrono, puis ensuite de répéter tous les gestes qu’elle avait fait, pas trop compliqué jusque-là !

 

Le jeu commence, elle s’approche de moi tout doucement commence à me déboutonner mon petit haut. Instinctivement je me suis reculé avant de jouer le jeu, c’est le cas de le dire et de me laisser faire.

 

– C’est encore à moi de jouer ! Me dit Annie, puisque t’as reculé.

 

On ne va pas la contrarier ! Elle m’enlève carrément le chemisier. A moi de jouer, son haut à elle n’a pas de bouton, je le lui retire donc en passant par la tête !

 

A son tour de jouer ! Est-ce qu’elle va oser me dégrafer mon soutien-gorge ? Elle me fait un sourire très coquin et elle ose ! Et me voilà les nénés à l’air chez ma voisine de palier !

 

– Qu’est ce qu’ils sont beaux ! Me flatte-t-elle.

 

A mon tour de lui dégrafer le soutif ! C’était déjà prometteur, mais là j’ai devant moi une ce ces paires de loches bien dodues terminées par des tétons bruns aux pointes érigées. Maman, je mouille !

 

– C’est à moi ! Me dit Annie qui cette fois se rapproche un peu plus, elle me donne un baiser plein de chaleur, mon corps est devenu tout mou et tout chaud.

 

Je lui rends la politesse et me régale de ses gros tétons, Je vais la bouffer, la voisine !

 

Une minute c’est vite passée et je sens maintenant ses mains chaudes et douces me caresser les seins puis sa langue sur le bout de mon mamelon durci par ses gestes, je ne peux plus résister.

 

Je ne sais plus trop comment le jeu a évolué ensuite, disons que nous n’avions plus besoin de prétexte.

 

Une chaleur intense me parcoure tout mon corps. Ses mains glissent sur mon ventre et reviennent à mes seins et ses lèvres sont sur les miennes, tout va très vite. Une main se glisse entre mes cuisses et elle fait pénétrer son doigt avec un mouvement de va-et-vient. Sous tant de caresses mon corps frémit, je me mets à me gémir, ma tête me tourne, c’est si bon

 

– On va dans la chambre ? Me propose-t-elle !

– On ne joue plus alors !

– On va changer de jeu, on va jouer à broute-minou ! Rigole-t-elle.

 

On est maintenant nue toutes les deux, je me suis allongée sur le dos, elle se met à quatre pattes au-dessus de moi de façon que je puisse avoir sa chatte au-dessus de mon visage. Je ne comprends pas encore pourquoi, jusqu’au moment où je sens sa langue chaude sur mon clito et son doigt à l’intérieur de moi, elle me demande de lui faire la même chose. Je prends ses hanches entre mes mains et dépose ma langue sur cette chatte toute chaude et juteuse à souhait, c’était si bon que je sens jaillir en moi un désir insoupçonné. Je glisse mon doigt dans son vagin avec un mouvement de va-et-vient, je le retire pour pouvoir faire la dégustation de ce jus chaud.

 

Et la voilà qui se relève et m’informe qu’elle a une envie pressante.

 

– Tu viens ? Me propose-t-elle.

 

Pourquoi devrais-je venir, moi je n’ai pas envie… du moins je le pense pas.

 

– Je t’attends !

– Tu as tort, il est très beau mon pipi, et aussi très bon !

– Mais je n’en doute pas !

– Viens !

 

Puisqu’elle insiste… je ne suis pas idiote, je sais très bien ce qu’elle veut faire, et je me surprends à faire ma mijaurée alors que parfois dans mes fantasmes… Pas que dans mes fantasmes d’ailleurs

 

– Tu veux me pisser dessus ? lui demandais-je

– De la bonne pisse bien tiède… tu voudrais la boire ?

– Pisse moi dessus, ma cochonne !

– Ouvre la bouche !

 

Je le fais comme dans un rêve !

 

– Mais non idiote, couche-toi par terre, je vais venir sur ta bouche.

 

Ben oui évidemment !

 

Je n’aurais jamais imaginé que sa pisse soit aussi bonne, j’en reboirais !

 

– J’ai envie de faire autre chose…

 

C’est ce qui s’appelle un ballon d’essai.

 

Il faut vraiment que je sois super excitée pour ne pas mettre fin immédiatement à cette proposition scatologique.

 

– Essaie ! Lui répondis-je partagée entre la crainte que la chose me révulse et la fascination de franchir un tabou.

 

Elle a le tact se déplacer légèrement afin que je ne reçoive pas son « cadeau » sur la tronche ! « Pas tout le même jour ! » comme me disait ma grand-mère quand elle m’emmenait à la fête foraine.

 

Un gros boudin sort de son trou du cul et vient atterrir au-dessus de ma poitrine.

 

Bizarrement, ça ne me révulse pas, mais alors pas du tout, ce joli boudin, je le trouve même attendrissant, ce soit être l’effet de l’alcool. Cela dit, c’est bien joli tout ça, mais on fait quoi, maintenant ?

 

scat 1709b

 

Annie se redresse, ramasse sa merde dans ses mains, le regarde et rigole à la façon d’une gamine qui vient de faire une grosse farce.

Elle approche l’étron de sa bouche… elle ne va pas faire ça… Si elle le fait, du bout de sa langue elle atteint la merde, me regarde fixement, comme pour me narguer, puis redonne plusieurs petits coups de langue successifs.

 

– T’as déjà fait ça ? Me demande-t-elle.

– Non ! Jamais !

– Tu veux essayer !

– Non, non vraiment pas !

 

Elle dépose le machin sur le sol, mais s’en met un peu sur le doigt et s’en badigeonne très légèrement le haut des lèvres.

 

– Et m’embrasser, tu le ferais ?

 

Je suis hypnotisée par son audace. Je ne sais comment réagir, mais je m’aperçois qu’au lieu de l’envoyer promener par un « non » énergique, je n’en fais rien. Jusqu’où va m’emmener cette salope ? Je peux encore reculer, je ne fais pas, j’approche mes lèvres des siennes me disant que je peux me reculer au dernier moment.

 

Un centimètre, peut-être moins, sépare nos lèvres, je respire un grand coup, la jonction se fait, on s’embrasse, j’ai fait ça comme si je m’imposais un challenge, c’est âcre, mais ça n’a rien d’abominable. Je suis excité comme une puce.

 

Annie prend de la merde et se l’étale sur les seins. Je suis partie dans son trip, et sans qu’elle ne me le demande je lui lèche les tétons, d’abord timidement puis de façon plus hardie.

 

J’ai l’entrejambe trempée comme une soupe, Annie vient entre mes cuisses, langue en avant sur mon clito et me fait jouir en un temps record.

 

Je lui ai rendu la pareille, on s’est embrassé, on s’est douché.

 

J’étais venu faire quoi, déjà chez la voisine, ah oui, chercher du gros sel…

 

Claire

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Claire N
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