Christelle Baxter

Samedi 2 décembre 2023 6 02 /12 /Déc /2023 07:27

Brigitte et son fils par Kriss Baxter
Mat Stamp

Je suis Brigitte, une femme de 40 ans, mariée à un homme que je ne désire plus vraiment. Nous avons un fils, Gauthier, qui a maintenant 18 ans. Il a beaucoup changé depuis les deux dernières années. Il a beaucoup grandi et il est devenu un homme, un bel homme comme je les aime, ni trop musclé, ni trop frêle un petit côté ambigu même.

Il faut donc que je vous avoue que mon fils m’attire sexuellement. Depuis quelques mois, je l’observe et en voyant son corps quelques fois presque nu dans la maison, je ne peux m’empêcher de fantasmer en pensant à lui. L’autre jour, en passant devant sa chambre, j’ai aperçu Gauthier nu sur son lit et j’ai remarqué que son membre était en érection. Je n’ai pu m’empêcher de l’espionner un peu et je suis devenue mouillée. Il m’arrive de plus en plus souvent de me masturber en pensant à mon fils. Je sais que ça ne se fait pas de désirer de telles choses mais l’envie est plus forte que tout. L’autre jour, à ma grande surprise et à ma grande joie, je m’aperçu que mon fils Gauthier me regardait lui aussi du coin de l’œil alors que j’étais habillée légèrement par cette chaude journée d’été. Pour être certaine de ce que je pensais, j’ai tenté de provoquer les choses en m’asseyant doucement et en soulevant ma jupe un peu pour lui dévoiler ma cuisse. Ah, je ne vous ai pas dit, je suis bronzée, mes fesses et mes gros seins fermes me rendent sexuellement attirante et je parais plus jeune que les 40 ans que j’affiche.

Bref, mon fils ne pouvait s’empêcher de me regarder et soudain il s’est levé et il est monté dans sa chambre à toute vitesse. J’ai remarqué quand il s’est levé qu’il était bandé très dur dans son pantalon. Je suis monté doucement et j’ai espionné mon fils. Sa porte de chambre était fermé mais j’ai tendu l’oreille et j’ai pu entendre qu’il se masturbait. Probablement qu’il pensait à moi. Je n’avais que l’envie d’entrer dans sa chambre et de le baiser. Je n’ai pas pu le faire, c’était un trop gros tabou et je ne savais pas s’il aurait voulu. J’ai alors été, moi aussi, me masturber dans ma chambre.

Ne pouvant garder ceci pour moi plus longtemps je me suis décidé à en parler à ma grande copine Elsa, qui demeure pas très loin de chez nous. Je voulais savoir si j’étais normal et j’avais vraiment besoin de me confier à quelqu’un. Elsa m’a écouté. Elle était surprise de la situation farfelue mais elle me comprenait car elle aussi trouvait mon fils Gauthier très séduisant. Et elle m’a même dit franchement qu’elle le baiserait volontiers elle aussi.

Le samedi suivant, ma copine Elsa a invité toute notre famille pour diner, mais mon mari ne pouvait y aller ce qu’elle savait très bien d’ailleurs. Gauthier et moi sommes arrivés chez Elsa vers 18 h 30 et nous avons diné. Elsa portait un robe très sexy et j’ai remarqué qu’elle regardait Gauthier d’une drôle de façon. Après avoir pris deux ou trois digestifs elle mit de la musique et pris Gauthier par le bras pour l’emmener danser. En se dirigeant vers le salon, elle mit une main sur la fesse de Gauthier en se retournant vers moi et fit un clin d’œil. J’ai alors compris son plan tout de suite. Je l’ai suivi au salon et Elsa dansait de façon très sexy devant Gauthier qui avait l’air un peu embarrassé. Je me suis assise sur le canapé et j’ai observé Elsa se dandiner devant mon fils.

Elle caressait maintenant Gauthier le long de son corps et soudain elle allongea ses bras derrière lui, l’agrippa par les fesses pour l’entraîner sur elle. Gauthier sans faire ni un ni deux lui agrippa les fesses à son tour. La danse devenait très cochonne et j’enviais Elsa. Elle vint alors me chercher par la main pour danser avec eux. J’ai un peu hésité, j’étais embarrassé mais le vin et les digestifs m’encouragèrent à me lancer. Elsa se remit à danser langoureusement dos à Gauthier en se frottant les fesses contre le sexe de mon fils. Je dansais en regardant les fesses de mon fils et je me surpris à mettre mes mains sur son cul. Je me collai à lui en allongeant ma main pour atteindre son sexe déjà dur. Il resta surpris et un peu embarrassé sans toutefois trop le montrer mais se laissa faire et je sentais son érection augmenter à son maximum dans ma main. Il branla ses fesses doucement contre ma chatte humide tout en mettant ses mains sur les seins d’Elsa. Nous dansions tous les trois dans une chorégraphie très cochonne et mes fantasmes des derniers mois se réalisaient.

Soudain Elsa se retourna, descendit sur ses genoux face à Gauthier et détacha son pantalon. Elle sortit la queue de mon fils en lui demandant :

– Ça te plait cette soirée en compagnie de deux belles femmes ?
– Oh oui, je suis excité comme tu peux le voir ! Répondit-il nerveusement.

Kriss BrigitteSa belle queue dure pointait vers le visage d’Elsa et elle s’en empara, me fit un clin d’œil puis prit le sexe de mon fils dans sa bouche. Elle le suçait en le branlant doucement. Je descendis le pantalon de Gauthier jusqu’en bas et j’ai pris ses fesses dans mes mains pour savourer ce moment. Je me suis alors assise sur le canapé et les regardant. Elsa arrêta et dit à Gauthier de venir me rejoindre.

Il avait l’air très surpris, il hésita et me regarda l’air de se demander quoi faire. Je lui fis signe du doigt de venir. Il s’approcha doucement. Sa bite était là, pour moi maintenant, pointée vers moi et n’attendait que ma bouche. Je pris la queue de mon fils et commençai à la branler et je voyais l’excitation dans son visage. Je sentis ma chatte devenir toute mouillée et j’ai mis le sexe de mon fils dans ma bouche pour le sucer avec intensité. Au bout d’une dizaine de minutes, Elsa qui était nue sur le tapis du salon m’interrompit et me demanda:

– Dis-moi, est-ce que je peux me faire baiser par ton fils ?

Je lui fis signe que oui en disant à Gauthier de la baiser mais d’en garder pour moi. Pendent que Gauthier entrait sa jolie queue dans le sexe de ma copine Elsa, je me déshabillais et m’allongeai sur la canapé et me caressai en les regardant baiser. Après quelques minutes Elsa me regarda et repoussa Gauthier afin qu’il me voie sur le canapé. Je lui fis signe de nouveau et cette fois il n’hésita pas. Ma chevelure blonde qui cachait à peine mes seins qui pointaient vers le ciel, les cuisses écartées légèrement. Il se dirigea vers moi et me lécha mes gros seins fermes en les massant doucement. Je sentis son sexe chaud sur le mien. Mon fils dirigea sa queue vers ma chatte, je le pris par les fesses pour aider le mouvement et il me pénétra d’un seul coup. C’était bon de me faire baiser par mon fils que je désirais, ce joli corps ambigu avec une si belle queue que je voyais déambuler chez moi sans pouvoir rien faire. Mon fils me sautait de façon très virile et je sentais que lui aussi était en train de réaliser un fantasme. Il pompait très fort et mes seins bougeaient devant son visage. Il agrippa un de mes seins avec sa main, le lécha et jouit en moi, je sentis son sperme chaud couler dans mon intimité et j’ai joui en même temps que lui. Elsa s’était reculé dans l’ombre et nous regardait du coin du salon, à la fois excitée et abasourdie par le spectacle insolite que mon fils et moi lui donnions.

J’ai remercié mon amie Elsa. Et depuis ce temps, quand mon fils et moi avons des envies du genre, nous ne nous masturbons plus mais on se permet de baiser en douce chez nous ou chez Elsa avec sa participation

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Samedi 3 septembre 2022 6 03 /09 /Sep /2022 22:34

Helga, ma correspondante allemande par Christelle Baxter
scat

Récit contenant des passages scato explicites

 

C’est en relevant mon courrier, le soir que je découvrais une enveloppe manuscrite provenant d’Allemagne. Intriguée, j’ouvrais et découvrait une lettre d’Helga, mon ancienne correspondante. Elle devait passer à Paris pour rencontrer quelqu’un dans le cadre de son travail et me disait en profiter pour y rester une semaine, elle espérait me rencontrer et m’indiquait son numéro de portable.

Ça pour une surprise, j’avais déjà rencontré trois fois Helga, les deux premières fois furent classiques, mais nous étions bien appréciées, cette fille respirait la joie de vivre et la décontraction. La dernière fois, nous avions dix-huit ans tous les deux, elle me dévorait des yeux, et moi je n’osais franchir ce pas, elle multipliait les provocations se baladaient nue devant moi, pissait ou chiait sans fermer la porte des chiottes. « Ce serait bête d’attendre le dernier jour » m’avait-elle dit… « Je ne suis pas prête pour ça ! » avais-je répondu… Alors juste une fois, et on en parle plus… Je n’avais pas dit « non », j’avais dit « je ne sais pas »… elle sut alors qu’elle pourrait cueillir ce qu’elle était venue chercher. Ce fut le dernier jour, le dernier soir, ses valises étaient déjà faites, un amour bestial, nous nous sommes caressées, léchées, doigtées, fait jouir je ne sais combien de fois, et même compissées. Et au petit matin on s’est mises à pleurer comme des fontaines au milieu de ses bagages. « On se reverra bientôt, je t’appelle… »

Je m’étais traité de conne, pourquoi avoir attendu le dernier moment ? Helga m’avait rappelé le lendemain, on était resté longtemps à jacasser au téléphone. « Je te rappelle la semaine prochaine ! » Elle ne l’a pas fait, je ne l’ai pas rappelé non plus, c’était il y a huit ans !

Huit années… comme le temps passe trop vite !

Cette fille m’a profondément marqué, elle m’a permis de découvrir une bisexualité qui ne m’a depuis jamais quitté, même si je n’ai jamais retrouvé les frissons de cette chaude première fois. Certaines de ses réflexions incongrues sont restées dans ma mémoire. Elle me dit un jour qu’il fallait aimer et rechercher tous les plaisirs de la vie Comment ne pas être d’accord, mais c’est quand elle les énumérait que ça devenait insolite : « Manger, rire, baiser, boire, chanter, pisser, chier ». Et ses commentaires du même ordre « Oh ! J’ai bien chié, j’ai fait un gros boudin, il était joli comme tout ! » Je ne m’offusquais pas mais ne relançais pas.

Comment avait-elle aujourd’hui évolué ? Elle était peut-être mariée, ses tendances lesbiennes et scatologiques avaient peut-être été remisées aux magasins des fantasmes de jeunesse ? Mais bon, rien ne m’empêchait de la voir. J’étais pour ma part libre comme l’air, j’ai bien un lit à deux places mais il n’y a pas souvent deux personnes dedans.

Je lui téléphone, elle me dit qu’elle n’a pas beaucoup de temps pour me parler, mais si je pouvais lui rendre le service de lui trouver un petit hôtel pas cher et de lui en textoriser les cordonnées…

– Je peux t’héberger chez moi, je suis seule… si tu acceptes de coucher dans mon lit !
– Oh ! Quelle excellente idée…

Je suis allée la chercher Gare de l’Est, le dimanche soir. Un peu changée, coiffure plus sage, allure moins gamine et quelques kilos de plus. Un gros bisou.

– Tu veux boire un coup, ou on file direct à la maison ?
– Maison !

Et hop, métro.

Je lui avais préparé un petit repas sympa avec un bon petit rosé, elle me raconte un tas de trucs, une vraie pie, elle m’apprend qu’elle s’est mariée mais qu’elle a divorcé rapidement pour se mettre en ménage avec un mec et qu’ils se sont séparés dernièrement… Il s’en passe des choses en huit ans ! Par contre aucune allusion à nos galipettes d’antan, aucun propos ambigu sinon un banal « T’es toujours aussi belle ! » que je lui renvoie bien volontiers, aucune allusion scato non plus. Serait-elle devenue trop sage ?

Elle m’explique qu’elle a rendez-vous demain lundi avec un mec, que ça lui prendra toute la journée, je ne comprends pas bien ce qu’elle fait comme boulot, un vague rapport avec la recherche, je crois comprendre, mais je ne suis même pas sûre. Idem pour le mardi , mais elle sera donc complètement libre les trois jours suivants avant de repartir en Allemagne samedi matin. Je lui dis que je vais me débrouiller pour me libérer jeudi et vendredi. Elle a l’air désolée que je ne puisse le faire pour les quatre jours… Comme si c’était forcément simple !

On est allé se coucher, elle était crevée, elle s’est mise à poil et s’est endormie de suite sans aucune manœuvre d’approche. J’ai eu pour ma part du mal à trouver le sommeil.

Le lendemain matin, madame fait un raffut du diable dans la salle de bain et en plus elle traîne, elle traîne, idem pour le petit déjeuner qu’elle prend toute nue, trouvant le moyen de se mettre de la confiture sur les seins. Ça la fait rire et elle me demande si je veux lécher.

C’est le signal que j’attendais, mais il arrive au mauvais moment.

– Je voudrais bien, mais si je le fais, ça va nous emmener je ne sais où ?
– Tu n’aimes plus ?
– Si, mais faut que j’aille bosser et je sens que je vais être en retard.
– Ils ne sont pas cool tes patrons !
– Pas trop non, mais si tu veux on rejouera la scène ce soir…
– Oh, oui, « rejouer la scène » c’est un bon plan ça !

J’ai été bosser au magasin en me disant que ce soir j’allais passer à la casserole. Je me demandais si j’en avais réellement envie. Ce matin j’aurais bien dit oui si j’avais eu le temps. Là, je ne savais plus. Je rentrais vers 18 heures, j’hésitais entre préparer quelque chose à manger ou ne rien faire et l’emmener au restaurant.

La voilà qui rentre, elle a l’air dans un état d’excitation assez dingue, sans transition elle me demande si elle peut aller se doucher. Bien sûr qu’elle peut aller se doucher. Je ne sais toujours pas ce qu’on va faire après, je vais attendre que madame sorte, si c’est comme ce matin ça va durer un certain temps. Finalement ça aura été plus vite que prévu, la voilà qui se pointe à poil et à peine sèche.

– Il faut que je te raconte ma journée.

J’ai droit à un déluge verbal inimaginable, comme le plupart des gens elle ne sait pas raconter, ne respectant aucune chronologie, faisant référence à des personnages dont j’ignore tout. Je finis par comprendre quand même qu’il est question d’un contrat pour sa boite et que son interlocuteur voulait la sauter…

– Moche, très moche, il était !
– Qui ça ?
– Monsieur Berger.

Vraiment du mal à suivre.

– Et alors il m’a dit, « je ferais n’importe quoi pour passer une heure avec vous ! » Et moi, je lui dis « Monsieur, je n’ai pas envie de coucher avec vous ! » Il me parle alors de compensation, me demande ce qui me ferait plaisir… Je lui dis « du fric » ! Il me regarde avec des drôles de yeux, je crois qu’il va laisser tomber, il hésite et me dit d’accord « combien ? » Alors j’ai fait la pute avec lui, j’ai décroché le contrat et j’ai gagné de l’argent de poche… alors je suis allé chez le parfumeur… Ah, tiens je t’ai acheté un petit flacon pour toi… dit-elle en allant farfouiller dans son grand sac.

Elle me demande si ça me plait, bien sûr que ça me plait, c’est bien la première fois qu’on m’offre un parfum aussi cher. Je lui fais un bisou.

– Mieux que ça le bisou ! Demande-t-elle.

On se roule un patin. Je la caresse tandis qu’elle essaie de me déshabiller, elle n’y arrive pas trop bien, je me dégage et entreprends de le faire moi-même. J’allais pour reprendre nos ébats quand elle m’annonce tout de go :

– Il faut que fasse caca, tu viens avec moi ?
– Euh, peut-être pas !
– Mais si viens, on va rigoler !

J’aurais dû me douter que ce genre de choses arriveraient tôt ou tard ! Je la suis. Elle s’assoit sur la cuvette, puis se ravise.

– Je vais me mettre comme ça, tu verras mieux !

Je ne lui réponds pas que ce n’est peut-être pas indispensable… Elle ne m’écoute pas et se met donc les pieds sur le rebord de la cuvette, puis se met à pisser. Le filet n’est pas très abondant, sans doute, avait-elle déjà pissé sous la douche, mais cela me trouble confusément.

– Viens nettoyer mon pipi, pour le reste, je vais me retenir encore un peu.

Helga et KrissPas de problème, ça aussi c’est elle qui me l’avait apprise, et j’avais aimé le goût de son urine. Merveilleux souvenir d’une pratique que je n’avais jamais eu l’occasion de réaliser de nouveau. Un délicieux picotement m’envahit tandis que je me régale de sa pisse ! Mais pourquoi donc ne m’a-t-elle pas proposé de me pisser directement dans la bouche ? Bof, nous aurons d’autres occasions ! Il me suffira de lui demander !

Je me recule ! Je pourrais en profiter pour la faire jouir, mais le veut-elle maintenant ? Non, elle me retient pas, elle doit maintenant faire ce qu’elle à faire. Elle change alors de position me tournant le dos sur la cuvette.

– Attention les yeux ! Dit-elle. Approche-toi bien.

Je me rapproche mais pas trop quand même. Son anus s’ouvre : Un bout d’étron apparaît, puis le reste suit, très vite avant de sombrer dans la cuvette avec gros floc, un second boudin suit le premier. Helga descend de la cuvette sans s’essuyer. Elle regarde avec amusement le fond de la cuvette.

– Alors c’était beau ?
– Beau, je ne sais pas, mais c’est très troublant.
– Tu veux que je tire la chasse, si l’odeur te gênes.
– Mais, tu ne t’es pas essuyée ?
– Je sais, j’ai pensé que tu aimerais me le faire !
– Tu veux que je t’essuie le cul ?
– Que tu me le lèches, plutôt ! Tu n’as jamais fait ça ?
– Ben non !
– Tu voudrais essayer ?
– Oui, je veux bien, mais c’est juste pour essayer, d’accord ? Précisais-je.
– O.K. je vais t’aider, tu vas d’abord approcher ton nez de mon trou du cul et renifler, juste renifler, c’est pour que tu t’imprègnes bien de l’odeur.

Je fais comme elle me dit, petit mouvement de recul quand même, c’est vrai que ça pue la merde, mais je m’habitue vite, et puis l’excitation ça doit aider !

– Vas-y maintenant, lèche-moi mon cul plein de merde !

Je m’étonnais de la facilité avec laquelle j’accomplissais cette tâche.

– Alors tu te régales ? Me lança-t-elle.
– Je ne sais pas si je me régale, mais qu’est-ce que je suis excitée.

Curieusement, quand je repense à ce moment, et que j’essaie de me remémoriser la façon, dont je qualifiais le goût, le mot qui me vient à l’esprit c’est « surprenant ». Dans l’inconscient populaire, la forme et l’odeur de la merde sont toujours associées au « dégueulasse », alors vous pensez bien que le goût… alors que personne n’y a jamais gouté. Je m’attendais donc à rencontrer un gout abominable que seuls des détraqués de la papille pouvaient apprécier, genre vieux camembert oublié six mois dans un placard, mélangé à un ragout de de ragondin mort d’amour. Ben non, c’est presque neutre, avec une petite âcreté dans l’arrière-goût. En fait c’est pas mauvais du tout et puis c’est tellement pervers !

Je suis tellement dans mon trip que je m’acharne à ne laisser aucune trace suspecte et que je lui restitue son joli petit anus tout propre comme un sous neuf. J’en reprendrais bien encore…

Je suis dans un état second, je ne me reconnais plus. Helga s’en aperçoit et en profite, la salope !

La chasse n’était toujours pas tirée, alors Helga a ce geste incroyable d’aller de sa main repécher l’un des étrons, le regarder avec malice, puis d’y porter la langue.

– Regarde ce que je fais, je suis cochonne, n’est-ce pas ?
– Oui…
– Si je le fais, tu peux le faire aussi !

Elle approche l’étron de ma bouche. Je ne vais quand même pas faire ça ? Mais ça ne me dégoute pas. Alors pourquoi ne pas essayer ?

– Vas-y, lèche ma merde, la bonne merde de ta copine allemande.

Ça y est ma langue lèche l’étron. C’est le même goût que tout à l’heure, pourquoi aurait-il été différent d’abord ?

Helga reprend la merde, la prend en bouche cette fois par l’extrémité et se met à la sucer comme si elle faisait une fellation. Je suis hypnotisée. Elle le relâche.

– Ouvre ta bouche !

J’obéis, elle me fais pénétrer l’étron dans ma bouche, juste un peu, par reflexe, à moins que ce soit par vice, j’y porte la langue, je suis complètement folle.

Helga m’a ensuite badigeonné le corps avec sa merde, les seins, le ventre mais aussi le visage, les joues, le menton, puis elle m’a passé un morceau de l’étron m’invitant à lui rendre la pareille..

On est mignonne toutes les deux, ainsi enduite de caca, on rigole, on s’embrasse s’échangeant un délicieux baiser merdeux pendant de long instants.

L’affaire s’est terminée en soixante-neuf, je crois sans mentir avoir ce jour-là jamais joui aussi intensément.

Et après ? Me demanderez-vous.

Ben après, on s’est douché, on est passé à autre chose, on s’est tapé un bon petit repas, on a rigolé comme des bossues et on s’est endormies à poil l’une contre l’autre.

Le lendemain elle est partie de bonne heure, elle ne repartira que dans deux jours en Allemagne. Alors vivement ce soir qu’on refasse de belles cochonneries toutes les deux, J’en suis déjà tout excitée à l’avance.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 5 août 2021 4 05 /08 /Août /2021 13:13

Senteur de cannelle

par Christelle Baxter

 

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En février de cette année j’ai accueilli avec joie l’idée d’aller une semaine au Sénégal pour un travail bien précis. Ça consistait, avec d’autres ingénieurs à recenser les besoins en matériels du pays. C’était pour moi l’occasion de partir, de quitter le trantran quotidien. A Dakar j’ai été déçue ; la plupart des Français se comportent comme d’anciens colons, barbotant dans l’eau tiède des piscines d’hôtels luxueux en parlant à tort et à travers des africains. Dans cette ambiance j’étais complètement perdue. J’étais seule aux milieux de sept hommes délivrés de leurs « bonnes femmes » et bien décidés à en profiter un maximum. Comme je suis plutôt pas mal, vous comprenez sans peine que ces messieurs étaient empressés autour de moi. Cependant je ne suis pas une fille qui aime « tirer son coup » ou « se faire mettre ». Il me faut un certain romantisme et de plus je ne mélange jamais le travail et le plaisir. Par contre les bosses des jeans ou des pantalons de toile, elles, me renseignaient assez sur les désirs de leurs propriétaires ! Pas question de céder. A tout prendre, je préférais me caresser dans la moiteur de ma chambre plutôt que de céder à ces  » mâles triomphants « .

 

A la piscine de l’hôtel il y avait beaucoup de blanches d’un certain âge pour ne pas dire d’un âge certain, et quelques noires assez belles, certaines manifestement employées par le personnel masculin soucieux de les exploiter, d’autres visiblement prostituées. Elles avaient ce balancement des hanches que seules peuvent avoir les Africaines. Quand un petit cul chaloupait devant mes collèges, ils en avaient le souffle court la langue pendante et le slip prêt à craquer. J’ai rapidement remarqué une jeune fille. Elle avait un visage très fin, avec des lèvres un peu grosses, mais qui parlent aux mecs. Elle était très effrontée et ne cachait pas son métier. Un soir, ce devaient être le mardi, j’en ai eu assez des regards vicieux de mes confrères. Je suis montée dans ma chambre pour respirer une autre odeur. Dans l’escalier j’ai rencontré la jeune fille. Assise sur les marches elle pleurait toutes les larmes de son corps. Cela m’a attendrie, et je lui ai demandé

 

– Je peux faire quelque chose pour vous ?

 

Elle a essayé de me cacher ses yeux tuméfiés en fouillant son sac pour y pécher une paire de lunettes de soleil, mais j’avais tout vu.

 

– C’est l’autre salaud ! Me dit-elle. Je sais bien que je suis une pute, mais je ne fais de mal à personne, alors pourquoi m’humilier ?

– Allez venez ! Ai-je commandé. Je vais vous passer de l’eau fraîche sur le visage.

 

Elle s’est laissé faire docilement. Elle sentait la cannelle, ce qui me donnait envie de la manger, ou de la sucer longuement, comme un bonbon. Son aspect fragile était encore accentué par sa tenue : petite jupe ultra légère, corsage moulant ses seins fermes et appétissants et de longues jambes fines. J’aimerais avoir les mêmes ! Je l’ai d’abord rafraîchie avec de l’eau glacée sortie du mini-bar, puis j’ai passé de l’onguent d’Arménie….

 

CanelleEt quelque chose a dérapé. Je ne sais pas encore l’expliquer. Je ne suis pas habituellement attirée sexuellement par les gens de couleur. Peut-être était-ce dû à son aspect fragile. J’ai doucement massé sa nuque, j’avais envie de mettre mes lèvres sur cette peau et de ne plus bouger. Ses cheveux frisés m’attiraient. Elle a relevé la tête et son regard a plongé dans le miens. Nous nous sommes comprises. Elle a tourné la tête et nous nous sommes embrassées avec passion. J’avais l’impression de vivre un rêve. Sa bouche était douce et sa langue agile s’est nouée autour de la mienne.

 

Spontanément nous nous sommes retrouvées nues toutes les deux, puis ma bouche est venue sur sa chatte tandis que la sienne venait sur la mienne

 

Le plaisir est venu presque immédiatement. C’était si bon de se laisser enfin aller.

 

Sur le lit, plus tard bien plus tard, alors que nous prenions un peu de repos et que je suçotais gentiment un de ses seins, je me sentais pleine d’amour pour cette fille alors que je savais cette rencontre probablement sans lendemain. L’odeur de son sexe, si forte, si tendre, je l’avais sur tout le visage car je m’en étais goinfré. Je me sentais comme ivre d’amour, le corps moulu et extraordinairement détendue. Elle m’avait longuement léchée, sa langue cherchant à faire jaillir milles étincelles de mon clitoris. Elle s’était nouée autour de moi comme une liane agile, et je ne voyais plus que ses pieds menus et son ventre qui enflait et désenflait au rythme de sa respiration oppressée. Le plaisir nous de nouveau rapidement inondées. Nous étions collées l’une à l’autre par notre cyprine également abondante. Nos chairs étaient salées et nous nous effleurions du bout des doigts pour le seul plaisir de nous sentir frémir de désir.

 

– Tu veux rester dormir avec moi ?

– Non faut que je rentre, j’ai mes gosses…

– T’en as combien ?

 

Elle en avait deux, elle m’a montré leur photo, je l’ai complimenté un peu hypocritement, mais j’avais envie d’être gentille avec elle.

 

Je l’ai payé.

 

– C’est beaucoup trop !

– Mais non, ça me fait plaisir.

 

Elle a rangé l’argent et avant de s’habiller, elle est partie faire pipi, elle ne s’est pas cachée et j’ai pris plaisir à la regarder uriner pendant qu’elle me gratifiait du plus beau des sourires.

 

Récit issu du site des archives de SophieXXX et rewrité

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 13:32

Samba par Christelle_Baxter

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Je m’appelle Christelle et j’ai 50 ans, bien conservée dit-on et je suis une salope; divorcée assez vite, je ne me suis jamais remise en couple, mais j’ai multiplié les aventures avec des hommes ou avec des femmes. J’aime sucer des bites bien juteuses, des chattes ruisselantes et des culs bien ouverts, j’aime le sexe extrême, j’aime les partouzes, j’adore qu’on me domine, qu’on me pisse dessus et parfois je me laisse aller à la scato.

 

Je vais maintenant vous parler de Cynthia, c’est ma fille. Elle est très belle et bien faite, j’ai longtemps eu envie de la sauter, mais je n’ai jamais franchis ce pas, ne voulant pas risquer une dénonciation qui me ferait condamner pour pédophilie ! Comme si coucher avec une nana de 17 ans était de la pédophilie, mais passons ! Aujourd’hui elle a 19 ans et le problème ne se pose plus de la même façon.

 

Elle revient d’Angleterre où elle a passé près d’une année à perfectionner son usage de la langue de Shakespeare.

 

Mon histoire commence au mois de juillet de cette année, lorsque nous étions en vacances, dans un camp de nudistes, et j’avais décidé de filmer ma fille à son insu, afin d’avoir des séquences où elle apparaissait dans son plus naturel. Je la suivis donc, lorsqu’elle décida de faire une promenade le long de la côte pour permettre à notre chien Samba, un joli labrador beige, de se défouler quelque peu. Un petit chemin suivait la côte rocheuse et elle le suivait, tenant Samba en laisse. Je pris un chemin plus ou moins parallèle au sien et pu ainsi chaque fois la devancer pour trouver un endroit discret, d’où je pouvais zoomer sur elle. Au bout de vingt minutes de promenade, elle s’arrêta en dessous d’un promontoire rocheux, entouré d’arbustes feuillus. Elle s’accroupit pour pisser et je pu la prendre en train de se soulager. Imaginez mon émoi ! Imaginez l’état de ma chatte ! Ensuite Cynthia se coucha pour prendre un peu de repos et finit par s’assoupir, laissant les rayons du soleil caresser la peau bronzée de ses jolis seins. Couché sur flanc, Samba avait pris place devant elle et observait sa maîtresse d’un œil et les mouettes de l’autre.

 

Quelle ne fut ma surprise de voir la main droite de Cynthia descendre vers son entrejambe. Rêve érotique ou était-elle réveillée, les yeux fermés, je ne pouvais savoir ? Me trouvant plus haut qu’elle, je mis le zoom de ma caméra au maximum et pus ainsi voir les doigts caresser sa vulve. C’était la première fois que je voyais ma fille se masturber et cela m’excitait fortement. De l’autre main elle s’écartait les lèvres pour permettre à deux doigts de dégager son clitoris et le caresser à un rythme rapide, croissant. Elle écarta les jambes et replia celles-ci, ce qui lui permit de soulever le bassin à chaque vague de chaleur dégagée par sa vulve en feu. Samba s’était relevé et observait la scène, le museau ramené entre les jambes de Christine. Je trouvais le tableau un peu comique : un chien voyeur !

 

Tout à coup le chien s’approcha et commença à lécher le con de ma fille. Je mouilias déjà si bien que je me branlais d’une main pendant que je filmais de l’autre. Mon excitation s’accrut lorsque je vis le chien enjamber ma fille qui s’était retournée en levrette, son dard pointant hors de son logement. Une bite longue d’au moins 20 cm, rouge foncé avec le bout enflé. Christine le prit dans sa main et le guida vers ses lèvres déjà dégoulinantes de cyprine. Le chien s’introduit ainsi en elle et commença à la baiser en cadence. Ce tube de viande animale était en train de violer ma fille consentante ! Elle se mordait la main pour étouffer les cris de jouissance. Au bout de quelques minutes il se retira et lécha le sperme qui coulait entre les lèvres gonflées. Elle le caressa et flatta son échine. Puis elle l’amena au-dessus de son visage et le masturba, sa queue toujours raide. Au comble de mon étonnement, elle le prit en bouche et le suça longuement, lui faisant une pipe fabuleuse. Samba se mit à balancer du cul comme seuls savent le faire les chiens, baisant dans la bouche de ma fille et y déversa une nouvelle giclée de sperme qu’elle a dû avaler car je ne la vis pas cracher la sauce.

 

Ce spectacle m’avait énormément excité et mon entre jambe était devenu très humide. Je commençais à me tripoter, et c’est à ce moment que j’ai trébuché, ma caméra a dévalé la pente et s’est retrouvée à quelques mètres de ma fille.

 

Elle se retourne, je n’ai pas le temps de me cacher.

 

Ça va être la crise et il faut que je tente de la désamorcer de suite, je dévale la pente pour rejoindre Cynthia qui ne sachant manifestement pas de quelle façon s’en sortir, choisit l’agressivité.

 

– C’est quoi, tu m’espionnes maintenant ? J’ai bien le droit de délirer, ça ne fait de mal à personne !

– Mais je ne te reproche rien du tout ! Moi aussi j’ai déjà joué avec le chien !

 

Cette affirmation était un beau mensonge, j’avais envisagé la chose mais sans jamais passer à l’acte.

 

– Ah, bon, t’as fait ça ?

– Ben oui, je ne voulais pas mourir idiote.

– Et pourquoi tu me filmais ?

– Parce que t’es belle !

– Tu ne vas pas me dire que je t’excite ?

– Un petit peu quand même !

 

Cynthia dirigea son regard vers mon sexe.

 

– Si tu veux te branler, ne te gêne pas pour moi !

– A moins que je demande au chien de venir me lécher !

– Laisse-le, il roupille ! Mais si vraiment tu veux une langue, je peux te proposer la mienne.

– Mais enfin, ça ne se fait pas !

– Mais si, ça se fait !

 

Je n’ai pas protesté davantage, je me suis allongée, les cuisses ouvertes et j’ai laissé ma fille me lécher la chatte.

 

Depuis le temps que je rêvais de cette scène, mon excitation était à son comble, je n’ai pas tenu longtemps, ma fille suce trop bien !

 

Je n’ai pu m’empêcher d’hurler mon plaisir, ce qui a réveillé le chien qui s’est approché de nous en frétillant de la queue

 

– Viens Samba, et toi Maman mets-toi en levrette, il va t’enculer.

– Euh, je préférerai le sucer un peu avant.

 

Pas de problème on s’est mise à sucer la bite du chien, et c’est avec la bouche remplie du foutre canin que nous nous sommes roulé un patin magistral.

zoo190613

 

Ensuite, je me suis mise en levrette, et j’ai attendu l’assaut.

 

Salope, moi ? Pourquoi ? A qui aurais-je fais du mal ?

 

fin

Samba par Kriss Baxter

 

Je m’appelle Christelle et j’ai 50 ans, bien conservée, dit-on et je suis assez cochonne. Divorcée assez vite, je ne me suis jamais remise en couple, mais j’ai multiplié les aventures avec des hommes ou avec des femmes. J’aime sucer des bites bien juteuses, des chattes ruisselantes et des culs bien ouverts et odorants, j’aime le sexe extrême, j’aime les partouzes, j’adore qu’on me domine, qu’on me traite en esclave, qu’on me pisse dessus et parfois je me laisse aller à quelques fantaisies scatos.

 

Mais aujourd’hui je vais vous parler de Cynthia, c’est ma fille. Elle est très belle et bien faite, j’ai longtemps eu envie de la sauter, mais je n’ai jamais franchis ce pas, ne voulant pas risquer une dénonciation qui me ferait condamner pour pédophilie ! Comme si coucher avec une nana de 17 ans était de la pédophilie, mais passons ! Aujourd’hui elle a 19 ans et le problème ne se pose plus de la même façon.

 

Elle revient d’Angleterre où elle a passé près d’une année à perfectionner son usage de la langue de Shakespeare.

 

Cette histoire commence au mois de juillet de cette année, lorsque nous étions en vacances, dans un camp de naturistes, et j’avais décidé de filmer ma fille à son insu, afin d’avoir des séquences où elle apparaissait dans son plus naturel. Je la suivis donc, lorsqu’elle décida de faire une promenade le long de la côte pour permettre à notre chien Samba, un joli labrador beige, de se défouler quelque peu. Un petit chemin suivait la côte rocheuse et elle le suivait, tenant Samba en laisse. Je pris un chemin plus ou moins parallèle au sien et pu ainsi chaque fois la devancer pour trouver un endroit discret, d’où je pouvais zoomer sur elle. Au bout de vingt minutes de promenade, elle s’arrêta en dessous d’un promontoire rocheux, entouré d’arbustes feuillus.

 

Elle s’accroupit pour pisser et je pu la prendre en train de se soulager. Imaginez mon émoi ! Imaginez l’état de ma chatte ! Mais ce n’était pas terminé, sa miction terminé, ma fille conserva la position et se mit à chier un magnifique boudin brun. Elle chercha ensuite mais en vain de quoi s’essuyer.

 

Cynthia se coucha ensuite afin de prendre un peu de repos et finit par s’assoupir, laissant les rayons du soleil caresser la peau bronzée de ses jolis seins. Couché sur flanc, Samba avait pris place devant elle et observait sa maîtresse d’un œil et les mouettes de l’autre.

 

Quelle ne fut ma surprise de voir la main droite de Cynthia descendre vers son entrejambe. Rêve érotique ou était-elle réveillée, les yeux fermés, je ne pouvais savoir ? Me trouvant plus haut qu’elle, je mis le zoom de ma caméra au maximum et pus ainsi voir les doigts caresser sa vulve. C’était la première fois que je voyais ma fille se masturber et cela m’excitait fortement. De l’autre main elle s’écartait les lèvres pour permettre à deux doigts de dégager son clitoris et le caresser à un rythme rapide, croissant. Elle écarta les jambes et replia celles-ci, ce qui lui permit de soulever le bassin à chaque vague de chaleur dégagée par sa vulve en feu. Samba s’était relevé et observait la scène, le museau ramené entre les jambes de Cynthia. Je trouvais le tableau un peu comique : un chien voyeur !

 

Tout à coup le chien s’approcha et commença à lécher le con de ma fille. Je mouillais déjà si bien que je me branlais d’une main pendant que je filmais de l’autre. Mon excitation s’accrut lorsque je vis le chien enjamber ma fille qui s’était retournée en levrette, son dard pointant hors de son logement. Une bite longue d’au moins 20 cm, rouge foncé avec le bout enflé. Cynthia le prit dans sa main et le guida vers ses lèvres déjà dégoulinantes de cyprine. Le chien s’introduit ainsi en elle et commença à la baiser en cadence. Ce tube de viande animale était en train de violer ma fille consentante ! Elle se mordait la main pour étouffer les cris de jouissance. Au bout de quelques minutes il se retira et lécha le sperme qui coulait entre les lèvres gonflées. Elle le caressa et flatta son échine. Puis elle l’amena au-dessus de son visage et le masturba, sa queue toujours raide. Au comble de mon étonnement, elle le prit en bouche et le suça longuement, lui faisant une pipe fabuleuse. Samba se mit à balancer du cul comme seuls savent le faire les chiens, baisant dans la bouche de ma fille et y déversa une nouvelle giclée de sperme qu’elle a dû avaler car je ne la vis pas cracher la sauce.

 

Ce spectacle m’avait énormément excité et mon entrejambe était devenu très humide. Je commençais à me tripoter, et c’est à ce moment-là que j’ai trébuché, ma caméra a dévalé la pente et s’est retrouvée à quelques mètres de ma fille.

 

Elle se retourne, je n’ai pas le temps de me cacher.

 

Ça va être la crise et il faut que je tente de la désamorcer de suite, je dévale la pente pour rejoindre Cynthia qui ne sachant manifestement pas de quelle façon s’en sortir, choisit l’agressivité.

 

– C’est quoi, tu m’espionnes maintenant ? J’ai bien le droit de délirer, ça ne fait de mal à personne !

– Mais je ne te reproche rien du tout ! Moi aussi j’ai déjà joué avec le chien !

 

Cette affirmation était un beau mensonge, j’avais envisagé la chose mais sans jamais passer à l’acte.

 

– Ah, bon, t’as fait ça ?

– Ben oui, je ne voulais pas mourir idiote.

– Et pourquoi tu me filmais ?

– Parce que t’es belle !

– Tu ne vas pas me dire que je t’excite ?

– Si, un petit peu quand même !

 

Cynthia dirigea son regard vers mon sexe.

 

– Si tu veux te branler, ne te gêne pas pour moi !

– A moins que je demande au chien de venir me lécher ! Répondis-je.

– Laisse-le, il roupille ! Mais si vraiment tu veux une langue, je peux te proposer la mienne.

– Mais enfin, ça ne se fait pas !

– Mais si, ça se fait !

 

Je n’ai pas protesté davantage, je me suis allongée, les cuisses ouvertes et j’ai laissé ma fille me lécher la chatte.

 

Depuis le temps que je rêvais de cette scène, mon excitation était à son comble, je n’ai pas tenu longtemps, ma fille suce trop bien !

 

Je n’ai pu m’empêcher d’hurler mon plaisir, ce qui a réveillé le chien qui s’est approché de nous en frétillant de la queue

 

– Viens Samba, et toi Maman mets-toi en levrette, il va t’enculer.

– Euh, je préférerai le sucer un peu avant.

 

Pas de problème on s’est mise à sucer la bite du chien, et c’est avec la bouche remplie du foutre canin que nous nous sommes roulé un patin magistral.

 

Ensuite, je me suis mise en levrette, et j’ai attendu l’assaut.

 

– Alors ça ta plus !

– Super !

– Dis-moi, cette jolie merde, à côté, c’est toi qui l’a pondu !

– Ben oui, j’avais une grosse envie et je n’ai rien trouvé pour m’essuyer.

– Tu veux que je te le fasse ?

– Maman, t’es une salope !

– Alors on est fait pour s’entendre ! Tourne-toi que je te nettoie ton joli petit cul.

 

Ce fut délicieux !

 

Un petit vent se lève, on décide de rentrer… Et ce n’est que le début des vacances….

 

Fin de l’épisode

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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Jeudi 15 juillet 2021 4 15 /07 /Juil /2021 13:29

Rupture par Christelle Baxter

Stamp MD

Deux Femelles en rut.

Orgasmes en contre-ut.

Moment tranquille,

Regards graciles,

Volutes de cigarettes,

Mains sur la minette.

Lucie m’a demandé,

L’air de ne pas y toucher,

Si j’avais eu beaucoup

D’amourettes goudous.

On ne devrait pas tant parler,

Après avoir autant baisé…

– Une dizaine de partenaires,

– Mais la première ce fut ma mère.

– Ma pauvre, tu connus l’inceste,

– Pratique maudite et funeste,

– Tu dois ressentir une blessure,

– Que dis-je une salissure !

– Mais que nenni, personne ne m’obligea,

– Et je n’étais plus une enfant, déjà !

– Malheureuse, tu es si marquée,

– Que tu ne sais te l’avouer,

– Cours chez un psy qui t’écoutera,

– Et qui de cette horreur te délivrera !

– Pourquoi devrais-je trouver abject,

– Cet acte qu’on nomme inceste ?

– Parce que c’est tabou,

– Et que ce n’est pas bien du tout !

– Tu me feras la morale un autre moment,

– Rhabille toi et fous-moi le camp

Marre des semeuses de certitudes.

Cette conne a gâché ma plénitude.

Où est mon portable maintenant,

Que je prenne rendez-vous avec Maman ?

02

CB

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Christelle Baxter
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