Désir interdit par Christelle Baxter
Je suis une femme de 49 ans, mariée à un homme que je ne désire plus vraiment. Nous avons un fils, Walter, qui a maintenant presque 20 ans. Il a beaucoup changé depuis ces dernières années. Il est devenu un très bel homme très élégant, très séduisant, ni trop frêle, ni trop musclé, ses cheveux blonds lui tombant en boucles sur la nuque
Et comme vous l’avez bien sûr deviné, je dois avouer que mon fils m’attire sexuellement.
Depuis quelques mois, je l’observe et en voyant son corps quelques fois presque nu dans la maison, je ne peux m’empêcher de fantasmer en pensant à lui. Il a vraiment de très jolies fesses, je me demande s’il ne serait pas un peu gay, d’ailleurs il me parle très rarement de ces flirts et toujours en termes très vagues. L’autre jour, en passant devant sa chambre, j’ai aperçu Walter nu sur son lit et j’ai remarqué que son joli membre était en érection. Je n’ai pu m’empêcher de l’espionner un peu et je suis devenue mouillée. Il m’arrive de plus en plus souvent de me masturber en pensant à mon fils. Je sais que c’est très mal vu de désirer de telles choses mais l’envie est plus forte que tout. L’autre jour, à ma grande surprise et à ma grande joie, je m’aperçu que mon fils Walter me regardait lui aussi du coin de l’œil alors que j’étais habillée très légèrement par cette chaude journée d’été. Pour être sûre de ce que je croyais, j’ai tenté de provoquer les choses en m’assoyant doucement en soulevant ma jupe un peu pour lui dévoiler ma cuisse.
Je ne me suis pas présentée physiquement, je suis très brune, les cheveux coiffés au carré la peau un peu mate, j’ai une poitrine avantageuse, je la trouve trop grosse mais mon amie Annie me dit qu’elle est très belle. Bref je n’ai rien d’une mémère et me considère comme sexuellement attirante.
Mon fils ne pouvait s’empêcher de me regarder et soudain il s’est levé et il a monté dans sa chambre à toute vitesse. J’ai remarqué à ce moment-là qu’il était bandé très dur dans son pantalon. J’ai emprunté l’escalier doucement et j’ai espionné mon fils une fois de plus. Sa porte de chambre était fermée mais j’ai tendu l’oreille et j’ai cru comprendre qu’il se masturbait. Probablement qu’il pensait à moi. Je brulais d’envie d’entrer dans sa chambre et de le prendre dans mes bras. Je n’ai pas pu le faire, c’était un trop gros tabou et je ne savais pas s’il aurait voulu. J’ai alors été, moi aussi, me masturber dans ma propre chambre.
Ne pouvant garder ceci pour moi plus longtemps je me suis décidée à en parler à ma grande copine Annie, qui demeure pas très loin de chez nous.
Annie est une femme de cinquante ans passés, un peu enveloppé, les cheveux blonds et raides, un très joli visage malicieux et toujours souriant.
Je ne suis pas trop portée sur les femmes, elle, si ! Il nous est arrivé plusieurs fois après avoir bu un petit coup de nous abandonner à des folles caresses, souvent très osées. Il faut dire que sa chatte et son anus ont vraiment très bon goût. Et puis elle a quelques godes… passons.
Je voulais savoir si mes désirs secrets étaient « normaux », et j’avais vraiment besoin de me confier à quelqu’un. Annie m’a écouté. Elle était surprise de cette situation hors du commun mais elle me comprenait car elle aussi trouvait mon fils Walter très séduisant. Et elle m’a même dit franchement qu’elle le « baiserais volontiers » elle aussi.
– On peut essayer quelque chose, venez samedi tous les deux, je vous ferais un bon petit repas, et je m’arrangerais pour que ça dégénère.
Walter et moi sommes arrivés chez Annie vers 19 heures et nous avons fait honneur au repas. Annie portait une petite robe noire très sexy, bien décolletée et laissant ses belles épaules nues. J’ai remarqué qu’elle regardait Walter d’une drôle de façon. Après le café et le digestif elle mit de la musique et prit Walter par le bras pour l’emmener danser dans le salon. En y allant, elle mit une main sur la fesse de Walter en se retournant vers moi et me faisant un clin d’œil. J’ai alors compris son plan tout de suite. Je les suivi au salon et Annie dansait de façon très sexy devant Walter qui avait l’air un peu embarrassé. Je me suis assise sur le canapé et j’ai observé Annie se dandiner devant mon fils.
Elle caressait maintenant Walter le long de son corps et soudain elle allongea ses bras derrière lui, l’agrippa par les fesses pour l’entraîner et le coller contre elle. Walter sans faire ni une ni deux lui agrippa les fesses aussi. La danse devenait très cochonne et j’enviais Annie. Elle vint alors me chercher par la main pour danser avec eux. J’ai un peu hésité, j’étais embarrassée mais l’alcool m’avait un peu désinhibé et je me suis lancée. Annie se remit à danser langoureusement son dos contre Walter en se frottant les fesses contre le sexe de mon fils.
Je passais derrière mon fils et je me surpris à mettre mes mains sur ses belles fesses. Je me collai à lui en allongeant ma main pour atteindre son sexe déjà dur. Il resta surpris et un peu embarrassé sans toutefois trop le montrer mais se laissa faire et je sentais son érection augmenter dans ma main à son maximum. Il frotta ses fesses doucement contre ma chatte humide tout en mettant ses mains sur les seins d’Annie. Celle-ci fit tomber sa robe sous laquelle elle n’avait pas de soutien-gorge. Walter se jeta sur eux et se mit à les lécher. Je profitais d’une pause pour les lécher à mon tour. Puis à mon tour je me débarrassais de mon haut. Walter se demandais quelle attitude adopter.
– Embrasse les seins de ta mère, juste un petit baiser…
Il chercha mon approbation, la trouva et ne se le fit pas dire deux fois, il me tétait mes gros tétons avec une gourmandise non feinte.
Tout cela devenait très cochon et mes fantasmes de ces derniers mois se réalisaient.
Soudain Annie descendit sur ses genoux face à Walter et détacha son pantalon. Elle sortit la queue de mon fils en lui demandant :
– Elle te plait cette petite soirée ? Tu as deux belles femmes rien que pour toi !
– Oh oui, vous m’avez fait bander toutes les deux, mais je ne sais pas si c’est raisonnable.
– OK on se posera des problèmes philosophiques plus tard, pour l’instant on s’amuse et on ne fait de mal à personne, d’accord ?
Sa belle bite dure et droite pointait vers le visage d’Annie et elle s’en empara, me fit un clin d’œil et la prit dans sa bouche. Elle le suçait en le branlant doucement. Je descendis le pantalon de Walter jusqu’en bas et j’ai pris ses fesses dans mes mains pour savourer ce moment. Je mouillais mon doigt qui s’égara jusqu’à son anus, forçant délicatement l’entrée.
– Oh , Maman, qu’est-ce que tu me fais ?
– Rien, c’est juste un doigt dans le cul.
– C’est bon ! Continue !
Annie stoppa sa fellation et me fit signe de m’installer sur le canapé.
– Va voir ta mère, elle va te sucer un peu !
Il avait l’air un peu surpris, il hésita et me regarda l’air de se demander quoi faire. Je lui fis signe du doigt de venir. Il s’approcha doucement. Sa bite était là, maintenant, pointée vers moi et n’attendait que ma bouche. Je pris la queue de mon fils et commença à la branler et je voyais l’excitation sur son visage. Je sentis ma chatte devenir toute mouillée et j’ai mis le sexe de mon fils dans ma bouche et le suçai avec intensité. Au bout d’une dizaine de minutes, Annie qui était nue sur le tapis du salon m’interrompit et me demanda :
– Tu me le laisses un peu, j’aimerais bien qu’il me baise !
– Vas-y Walter, va baiser ma copine, mais retiens-toi, gardes-en un peu pour moi !
Pendent que Walter entrait sa jolie queue dans le sexe de ma copine, je finissais de me déshabiller, m’allongeai sur la canapé et me caressais en les regardant baiser. Annie me regarda et se positionna de telle façon que mon fils puisse me voir me donner du plaisir.
Annie ne tarda pas à prendre son plaisir en éjectant une fantastique quantité de mouille. Walter se retira. Je lui fis signe de nouveau et cette fois il n’hésita pas. Il se dirigea vers le canapé et s’allongea au-dessus de moi, lécha mes gros seins fermes en les massant doucement. Je sentit son sexe chaud sur le mien. Mon fils dirigea sa queue vers ma chatte, je le pris par les fesses pour aider le mouvement et il me pénétra d’un seul coup.
Il me pilonnait de façon très virile et je sentais que lui aussi était en train de réaliser un fantasme. Il s’agitait comme un métronome et mes seins bougeaient devant son visage. Il agrippa un de mes seins avec sa main et le lécha. Je jouis assez vite, il continua un peu puis sorti sa queue et m’éjacula sur ma poitrine.
Annie se rapprocha et vint lécher le sperme.
– Alors, Walter ? Lui demanda ma copine.
– Vous êtes deux belles salopes !
– Je ne te le fais pas dire ! La prochaine fois tu nous enculeras !
– C’est vrai, je pourrais ?
– Puisqu’on te le dis !
Fin
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