Le petit concert de Christelle par Christelle_Baxter
La semaine dernière il m’est arrivé un truc assez extraordinaire ! Et tiens justement je vais vous le raconter ! Car il faut dire que je n’y étais pas du tout préparée
Voilà ! Il m’arrive souvent de d’aller à de petits concerts, dans les bars du coin les soirs de week-end. J’y vais en général avec plusieurs ami(e)s. Et après la musique on sort en boite ou alors on reste trinquer entre nous. Mais nous sommes en période d’examen, et la plupart de mes copains-copines n’ont pas trop le loisir de sortir. Seul Sylvie, à daignée m’accompagner vendredi dernier, mais elle est partie avant la fin du concert. C’est la vie !
Comme je trouvais les musiciens excellents, je n’ai pas voulu, qu’elle me ramène et je lui ai dit que je prendrais un taxi pour rentrer. A la fin du show, j’avais un peu soif et j’ai pris un verre au bar. A côtés de moi se tenait une fille d’une vingtaine d’années. Elle était seule mais connaissait l’une des serveuses avec qui j’avais déjà sympathisé un peu. La soubrette a entamé la conversation, nous a demandé si nous avions aimé la musique, mais comme d’autres clients ont eu la mauvaise idée de venir réclamer à boire, elle n’a pas eu le loisir d’écouter nos réponses et s’en fut rapidement pour les servir. J’ai donc continué la conversation avec ma voisine de comptoir. Elle prénommait Valérie et avait 22 ans, était célibataire et travaillait dans un magasin du centre historique de la ville. Je me suis également présenté : Christelle 21 ans, étudiante en sociologie. Nous nous sommes trouvées pas mal d’affinités et avons longuement discuté, en buvant nos consommations
L’heure tournait, le bar finit par fermer. Comme elle habitait assez près, elle me proposa de finir de discuter chez elle, autour d’une tasse de thé. Comme sa compagnie était agréable, j’accepta avec plaisir, d’autant que c’était sur ma route, donc pas de problème. Sur le chemin nous avons plaisanté en nous moquant un peu du look des musiciens, (des mecs un peu boutonneux, musicalement bon, mais physiquement pas top). Elle habitait un petit deux pièces au dernier des trois étages d’une vielle maison. Elle me fit asseoir sur un grand canapé de cuir, mis un CD pour briser le silence, alluma trois petits spots, et éteint la lumière principale. Il y a des gens qui savent recevoir !
L’atmosphère était très sympathique. Elle prépara le thé et vint s’asseoir à mes côtés pour le servir. Nous avons continué à bavasser de tout et de rien, sans oublier de nous moquer de temps à autre de notre groupe de boutonneux. (Les gens sont méchants, les gens sont moqueurs…)
Un moment, elle me demanda si j’avais quelqu’un… un petit ami. Je lui ai confié que non, que j’avais plaqué le dernier quelques semaines auparavant, et que pour l’instant j’assumais parfaitement ma vie de célibataire. Elle m’avoua qu’elle était aussi seule pour le moment et qu’après trois déceptions amoureuses en quelques mois elle avait décidé de prendre un peu de recul avec les mecs, et s’était juré de prendre son temps avant de choisir un nouveau male.
Mais il se faisait tard. Je la remerciai et lui proposai de passer chez moi à l’occasion (l’endroit où elle travaillait était à deux pas de ma chambre d’étudiante). Elle me proposa alors de rester dormir chez elle prétextant qu’il se faisait froid dehors et m’assurant que ce n’était pas un problème. Tout en me disant cela elle fit une mine curieusement attristée et approcha son visage très proche du mien. Elle me dit en chuchotant :
– Reste s’il te plait !
Et elle avança ses lèvres pour m’embrasser, je pris cela pour un petit bisou d’affection mais quelle ne fut pas ma surprise de constater que volontairement, ce sont mes lèvres qu’elle embrassa subrepticement. Je restais sans voix, Valérie me regarda ensuite en me souriant affectueusement, et avant que je ne puisse dire quoique ce soit, elle me plaça le doigt sur la bouche en me faisant « chut ».
A nouveau elle me sourit, semble me tester, puis elle se coucha sur moi, me forçant pratiquement à m’allonger, et reposa ses lèvres sur ma bouche. J’étais tellement abasourdie, que je ne trouvai pas l’énergie de protester, et quand elle chercha à pénétrer ma bouche de sa langue, je n’offris aucune résistance, et en quelques secondes nous nous embrassâmes profondément. Hypnotisée, paralysée, les yeux fermés, j’appréciais le goût délicieux de ce baiser.
C’est alors que je ressentis une forte et étourdissante chaleur dans tout mon corps. Elle descendit une main vers l’emplacement de ma poitrine et se mis à pétrir mon sein délicatement. Puis elle se dégagea légèrement et vint desserrer ma ceinture. Elle défit deux boutons de mon jean, et fit glisser sa main lentement sur mes poils pour atteindre mon sexe trempé, elle joua quelques instants avec mon clitoris, introduit son doigt à l’entrée de mon vagin et y fit quelques mouvements. Elle retira sa main de ma culotte et lécha ses doigts humides. Elle baissa alors mon jean délicatement, puis ôta mon pull, et mon tee-shirt, elle plaça ses mains sous mon dos et dégrafa mon sous-tif sans difficultés. Elle l’enleva définitivement en le saisissant au niveau de ma poitrine qu’elle pelota un peu au passage. Je me retrouvais totalement nue quand mon hôtesse fit glisser avec délicatesse ma culotte humide. Elle contempla quelques instants ma toison blonde, remonta ses mains à l’intérieur de mes jambes et vint tripoter mon sexe. Lorsqu’elle jugea que ses doigts étaient suffisamment imprégnés de mes sécrétions elle les porta à ma bouche. Je n’avais jamais fait ça, mais je lui suçai les phalanges avec délice, comme dans un rêve.
Elle se mit debout et laissa tomber sa jupe au sol elle se libéra aussitôt de sa culotte maculée. Je m’amusais de constater que son désir s’y était en effet concrétisé en y déposant une insolite auréole de mouille. Elle vint se replacer à califourchon sur moi. Et enleva finalement son pull et son chemisier. Elle se caressa les seins avant de passer ses mains derrière son dos afin de se défaire par ce geste si classique, de son soutien-gorge.
Terriblement excitée, je n’avais pas perdu une miette de son strip-tease, et une main par-dessous les fesses une main par-dessus, je me masturbais. Valérie arrêta net mon action et s’allongea sur moi pour m’embrasser de nouveau. Son baiser était maintenant plus féroce, et elle me dévora la bouche pendant plusieurs minutes, puis l’abandonna pour aller sucer mes tétons. Ce n’était qu’une halte, elle n’y resta pas longtemps et finit par plonger vers mon sexe qu’elle lécha à grand coup de langue. Une onde de plaisir en provenance de mon bouton d’amour me secoua alors en plusieurs spasmes. Je jouis dans un essoufflement, qui me donna l’impression que j’allais perdre conscience. Valérie concéda encore quelques coups de langues sur ma vulve inondée. Puis elle posa sa main sur ma chatte comme pour empêcher mon plaisir de s’envoler. Et plaça sa tête sur mon buste pour écouter battre mon petit cœur. Je lui passai la main dans les cheveux avec une tendresse pleine de reconnaissance.
En reprenant un peu mes esprits je compris que la moindre des choses était de lui donner du plaisir à mon tour. Ma main caressa d’abord son visage dont la peau était très fine et très douce. Lorsque mes doigts passaient sur ses lèvres elle leurs faisait de petits baisers. Parfois je tentais d’enfoncer un doigt dans sa bouche, elle le mordillait alors affectueusement, puis le rejetait, tout mouillé en le poussant de la langue. Je descendis ma main sur son épaule et la passai sous son aisselle et jouai avec quelques jeunes poils collés par la sueur. Valérie, réagit à mes chatouilles et y mit fin en attrapant ma main pour la positionner sur sa poitrine. Elle avait une jolie paire de seins très ferme mais avait de tout petits tétons, qui pour l’heure étaient très durs et très sensibles vu les gémissements que mon amante laissa échapper lorsque je les lui triturais. Elle était prête pour que je m’occupe de son petit minou, mais notre position ne me permettait pas de l’atteindre.
Nous avons alors roulé sur les côtés et je pus ainsi atteindre sa petite chatte. Mais comme je suis très curieuse j’eus envie de l’observer de plus près, pour détailler » en direct » un sexe de femme. Bien sûr je m’étais déjà regardé dans un miroir, et j’avais vu quelques films pornos, mais c’était la toute première fois que je pouvais admirer l’anatomie féminine de cette façon. Je m’agenouillai entre les jambes de Valérie, je lui fis les écarter encore plus grand et approcha mon visage au plus prés. Avec le majeur je suivis toutes les lignes de ses parties, mon doigt glissait facilement sur son sexe abondamment mouillé. Son clitoris paraissait plus imposant que le mien et semblait espérer une attention toute particulière, je me suis donc concentré sur son petit bijou. Valérie gémit de plus en plus fort, j’accéléra un peu la cadence, terriblement excitée par ce que je faisais je mis ma main libre sur mon sexe et me branla, m’efforçant de synchroniser le rythme de nos masturbations. J’introduis alors deux doigts dans l’orifice vaginal et la masturba d’une cadence infernale. Elle s’occupa alors elle-même de son clito en plaçant sa main dessus et en décrivant de petits cercles, parfois elle le tapotait, puis elle finit par jouir dans un long râle de plaisir. Je retirai mes doigts de son vagin pour m’occuper de mon intimité, ma double branlette me procura un orgasme fou et je me laissai tomber sur elle, elle m’enlaça. Et nous sommes restées comme ça un long moment, écoutant nos respirations qui lentement se calmaient. Elle finit par s’endormir, je me suis alors levée et habillée sans faire aucun bruit. Et je suis rentrée chez moi. J’aurai voulu rester mais une sorte de petite voix (elles sont bizarres parfois ces petites voix) me dit qu’il était temps de partir.
Elle sait où j’habite alors peut-être passera-t-elle ? Je lui ouvrirai alors volontiers en l’invitant à boire un thé.
Christelle
NDW : Ce texte a connu une 1ère publication sur Sophiexxx, il a été partiellement réécrit, tout en en respectant l’histoire et l’esprit pour l’édition sur revebebe, que nous reprenons ici à la demande de son auteur.
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