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La cousine Francette par Christelle Baxter
Je m’appelle Laura, j’ai maintenant près de 40 ans, brune, pas très grande…
Je passais ce jour-là par Brive-la-Gaillarde et me remémorais quelques souvenirs… Habitait dans cette ville une cousine, Francette, je ne l’avais jamais rencontré mais ses oreilles avaient dû lui siffler tellement mes parents lui avaient casser du sucre sur le dos. Tous les qualificatifs y étaient passés, Francette la pute, Francette la gouine, Francette la morue…
En ce qui me concerne j’ai été mariée dix ans avant que ça ne tourne mal, un moment dégouté des mâles, je cherchais refuge auprès de ces dames et j’eu une liaison assez épisodique mais intense avec une Marion de 15 ans mon ainée, qui m’a initié aux amours saphiques, mais aussi aux jeux de domination et à l’uro. Tout cela pour dire que je ne suis plus une oie blanche !
Donc, étant de passage à Brive, je me dis qu’il serait peut-être intéressant de rencontrer cette Francette, curieuse pour curieuse, après tout qu’est-ce que je risquais ? Je n’avais pas son numéro de téléphone, mais j’avais dégoté son adresse, elle habitait à la lisière de la ville.
Je sonne, Francette vient m’ouvrir, cheveux auburn, le regard malicieux
– C’est à quel sujet ?
– Je suis Laura, votre cousine !
– Laura, Laura ? Ah, la fille de tonton Roger ?
– C’est cela !
– Et qu’est-ce qui vous amène ?
– Pas grand-chose, on ne s’est jamais rencontré et comme je passais dans le coin, je me suis dit qu’on pourrait se parler ne serait-ce que cinq minutes.
– Alors rentrez cinq minutes, je vais vous faire un café.
Elle me vire pas, c’est déjà ça mais pour l’instant l’échange est juste poli, je me demande un peu ce que je fais là.
– Euh, vous vivez seule ? Demandais-je histoire de lancer la conversation.
– Oui, je suis très indépendante, mais cessons le vouvoiement, on est cousine, non ? Je suppose que tes parents m’adorent toujours autant !
– M’en parle pas ! Je ne sais pas ce que tu leur a fait, mais qu’est-ce que j’ai pu entendre sur ton compte.
– Je ne fais pourtant de mal à personne, ce n’est pas de ma faute si j’aime le cul !
Mais c’est qu’elle deviendrait vulgaire, la cousine.
– En fait le tonton Roger est un bel hypocrite, il m’a proposé la botte, j’ai refusé, je couche avec les gens qui me plaisent et il se trouve qu’il ne me plaisait pas .
– Je comprends mieux !
– Alors voilà, tu veux savoir quoi ?
– Je ne vais pas te déranger longtemps, je voudrais juste que tu m’écoutes cinq minutes, pour t’expliquer un peu ce que je deviens. Ensuite, ben ensuite on verra bien !
Je lui est alors raconté ma liaison avec Marion… mais sans entrer dans les détails, me contentant d’évoquer nos rapports saphiques.
– Intéressant ! Dit-donc ! Et pourquoi venir me raconter ça à moi ?
– Parce que je n’ai jamais raconté ça à personne, alors je me suis dit que toi, peut-être que tu me comprendrais.
– Bien sûr que je te comprends, la vie est courte et encombrée d’un tas de convenances et de tabous. On vit bien mieux quand on s’en libère !
– Merci !
– De rien ! Mais dis-moi, tu me trouves comment physiquement ?
– Tu es une belle femme ! Répondis-je
– Toi aussi ! T’es pressée ?
– Non pourquoi ?
– Parce qu’on pourrait peut-être s’amuser ensemble un petit peu.
– Je ne suis pas contre !
– Alors j’aimerais bien que tu me montres tes nichons.
C’est qu’elle attaque dur la cousine ! Mais je ne vais pas me défiler, cette situation c’est moi qui l’ai créée !
– Mais bien sûr ! Répondis-je en me dépoitraillant
– Hum c’est beau tout ça, je peux les embrasser ?
– Vas-y !
Dingue ça ne fait même pas une demi-heure que je suis là et la voilà en train de me lécher mes tétons qui deviennent vite tout durs ! Que c’est bon !
L’instant d’après nous nous sommes retrouvées quasi spontanément en position de soixante-neuf sur le canapé, J’avais sa pêche juteuse devant ma bouche et je la léchais avec gourmandise tandis qu’elle me rendait la pareille. Sa langue était diabolique et s’agitait comme une anguille à ce point que je me mis à crier ma jouissance.
Je soufflais une seconde et mis un point d’honneur à la faire jouir à son tour, ce ne fut pas très long.
Nous nous embrassâmes et elle se retourna m’offrant ses jolies fesses qu’elle écarta pour bien dégager son petit trou plissé. Je compris évidemment le message et dardait ma langue vers ce petit endroit si délicat.
– Mets-moi un doigt ? Me demande-t-elle.
Ce n’est pas un problème, mon doigt lui pénètre le cul, et je le fais coulisser.
– Attends, me dit-elle au bout d’un moment, je vais te montrer ma boite à trésors.
Ah ?
Et la voilà qui revient avec une jolie boite rectangulaire en marqueterie. Elle l’ouvre. Fantastique tout le petit nécessaire pour se donner du plaisir, on en fait l’inventaire, trois godes, deux de tailles moyenne et un plus gros, des pinces à seins, d’autres bricoles mais aussi des préservatifs et du gel.
– Et ça c’est quoi ?
– Un chapelet anal, ou des boules de geisha, si tu préfères, on s’introduit les boules dans le cul l’une après l’autre, puis on les retire soit d’un coup sec, soit en faisant durer le plaisir, je ne te dis pas la sensation !
– Ça donne envie d’essayer.
– Moi je veux bien, mais il y a quand même un inconvénient…
– Quoi donc.
– Ben quand les boules ressortent, elle sont parfois un peu merdeuses !
– Pas bien grave ! Répondis-je, ça se lave, non ?
– Ça se lave ou ça se lèche ! Reprend Francette en me regardant droit dans les yeux.
Sans doute voulait-elle me provoquer ou tester mes limites ?
– Tu lèches, toi ? Lui demandais-je.
– Quand il n’y en pas de trop !
– J’aimerais bien que tu me les mettes !
– Tu ne vas pas être déçue, ma chérie, ouvre bien ton petit cul !
La première bille tente d’entrer, curieuse sensation, elle reste au bord de l’anus, puis tout d’un coup semble avalée, je n’ai pas compté les billes, mais il devait y en avoir une dizaine. Les voilà toutes logés dans mon cul.
– On les retire ? Demandais-je.
– Non, ce n’est pas le jeu, on va attendre cinq minutes !
Cinq minutes avec tout ça dans mon cul qui ne demande qu’à se débarrasser de cette intrusion insolite ! Je ne pourrais jamais ! Je me tortille. Cinq minutes ce n’est pourtant pas bien long, je transpire, je vais craquer.
Francette tire enfin sur la ficelle faisant ressortir la première bille ! Oh que c’est bon ! La deuxième ! Le plaisir est intense, je mouille comme une éponge. Les autres suivent, je ne sais plus où je suis, je ne dois plus être sur terre, j’ai joui comme peu souvent ! J’embrasse ma complice.
Elle me tend le chapelet de billes, les dernières sont polluées de matière, comme elle me l’avait prévenue.
– Alors ? Prête pour le nettoyage ! Me nargue-t-elle.
Je me dégonfle ou je me dégonfle pas ? Je me dis que je peux toujours commencer, on verra bien. Je lèche donc les boules en commençant par les dernières qui sont quasiment cleans.
Une boule, deux boules, plus j’avance moins c’est propre, même s’il n’y a pas grand-chose, je lèche, je suce la merde, m’étonnant de la facilité avec laquelle je réalise cette action.
C’est fini, nous tombons dans les bras l’une de l’autre en nous embrassant. Un baiser au goût bien particulier comme vous pouvez le supposer !
On souffle un peu, on se boit un jus de fruit.
– Ben dis donc, je ne sais pas si c’est moi la salope, mais dans le genre tu n’es pas mal non plus ! Me dit-elle en rigolant.
– Il n’y a pas si longtemps que je suis comme ça, c’est ma copine qui m’a déniaisé.
– Elle t’a fait quoi au juste ? Je suis sûre que tu ne m’a pas tout raconté !
– On jouait à la maîtresse et à l’esclave, c’était moi l’esclave, elle aimait me cingler les fesses à coups de cravache, me serrer les nichons avec des cordelettes, me mettre des pinces… tout ça…
– Rien d’autre ?
– Si ! Elle m’a fait découvrir les jeux de pipi, maintenant j’adore boire de la pisse…
– Un peu de scato aussi, je suppose ?
– Oui, ça lui arrivait de chier devant moi et de me demander ensuite de lui lécher le cul, j’adorais faire ça ! Je suis cochonne, hein ?
– On est cochonne toutes les deux ! Tu voudrais ma pisse, là tout de suite ?
– Bien sûr !
Je me suis allongée et elle a collé sa chatte contre ma bouche que j’ai ouverte.
Hum, sa bonne pisse me coule dans le gosier. Je me régale.
– Alors ? Il est comment mon pipi ?
– Un délice !
– Tu en a gouté beaucoup des pipis ?
– En fait non, celui de Marion bien sûr, mais une fois elle avait invité trois vieilles salopes qui m’ont fait gouter à leur pisse.
– Hum ça devait être géant !
– Oui !
– A ton tour de me donner ta pisse !
– Mais bien sûr !
Nous avons donc permuté nos positions, et je lui ai rempli son palais de ma bonne urine.
– Il te reste des tabous ? Me demande Francette après quelques moments de douces et folles caresses.
– Il y a des choses que je n’ai jamais fait…
– Par exemple ?
– Baiser avec un chien !
– Ça te dirait ?
– Je ne sais pas trop, disons que c’est une question d’occasion, d’ambiance… Tu l’as fait, toi ?
– Oui, avec le chien de mon père, c’est génial de sucer la bite d’un chien. J’adore faire ça !
– Et tu t’es fait prendre aussi ?
– Bien sûr que je me suis fait prendre, dans la chatte et dans le cul, ça t’intéresserait ?
– Disons que ça me tente !
– T’es toujours pas pressée ?
– J’ai tout mon temps.
– Alors on se douche et je t’emmène.
– Où ça !
– Chez mon père, il habite à Nœudville, on va y aller en voiture.
On s’est donc douché, on en avait bien besoin, on s’est rhabillée et je suis montée dans la bagnole de Francette.
Quand même je ne comprenais pas bien, on allais faire ça où exactement ? Elle m’avait dit « chez son père »…
– Ton père te laisse ses clés ?
– Non pourquoi ?
– Ah, je comprends, on va faire ça dans la nature ?
– Non, restons discrètes !
– Il y a quelque chose qui m’échappe !
– Je vois bien ! Je vais te dire, mon père est un brave homme, il m’adore, Depuis que ma mère est partie avec un conard, il vit seul, je lui rends visite à peu près une fois par semaine.
– Ah ?
C’est bien joli tout ça, mais ça ne répond pas à mes interrogations.
– Je te dirais bien autre chose mais je ne voudrais pas te choquer ! Reprend-elle.
– Tu sais il n’y a pas grand-chose qui me choque !
– Dès fois je le suce, il a une très belle bite !
– Non ?
– Si ! Alors choquée ?
– Non pas choquée, juste surprise !
– Ça te plairait que je le suce devant toi et ensuite on s’occupera du chien !
– Et ben ! J’en apprends des choses !
– Tu ne m’as pas répondu ?
– Oui, oui, on va faire comme ça.
Le papa de Francette est un sexagénaire jovial.
– Quand-est-ce que tu vas te décider à t’acheter un portable ? Lui demande sa fille.
– J’aime pas ces machins-là !
– Je te présente Laura, elle vient de Nantes.
– C’est joli Nantes !
– Ça ne te dis rien « Laura » ?
– Euh, non ? Répond son père
– C’est la fille de Roger !
– Roger, mon beau-frère ? Je ne l’ai jamais fréquenté.
– Qu’est-ce que t’as fait du chien ! Il n’est même pas venu me dire bonjour !
– Il est avec l’âne dans la petite remise derrière.
– L’âne ! Quel âne ?
– Celui du père Gringoire, il me l’a confié quelques jours.
– On peut aller voir ?
Et nous voilà partis dans une toute petite écurie, où se trouve effectivement un joli âne gris. Le chien accueille Francette en remuant la queue. Du coup, elle soulève sa petite robe, lui donnant accès à son entre jambe. Le chien se précipite. Elle écarte sa culotte et cette fois le chien y va carrément de sa langue râpeuse.
– Tu vas encore faire des cochonneries ? Lui dit son père en se tripotant la braguette.
– Hi ! hi !
Francette me propose de faire comme elle. Le problème c’est que je suis en pantalon.
– Ben, enlève-le !
– Mais nous ne sommes pas seules.
– Et alors, ça te gêne d’offrir un petit spectacle à mon papa ?
Evidemment, c’est un argument ! Je retirais donc le pantalon et la culotte et m’autorisait à narguer le papa.
On ne m’avait pratiquement jamais parlé de lui, j’ignorais de quelle façon il été lié à mes parents, le frère de ma mère ou de mon père ? En fait c’était le beau-frère de ma mère, mais quelle que soit la configuration c’était mon tonton.
– Tu as un cul superbe ! Commenta-t-il.
– Tu voudrais me le caresser ?
– Je ne suis pas contre, mais ça risque de nous emmener assez loin.
– Arrêtez de draguez, tous les deux ! Intervient Francette, qui en même temps attire le chien entre mes cuisses.
Et voilà que la bestiole me lèche l’abricot. Je le laisse faire quelques instants, puis Francette le fais se coucher sur le flanc et lui branle la bite qui sort de son fourreau. Impressionnant, je n’avais jamais vu une bite de chien d’aussi près, c’est rouge, compact et finalement assez joli. Francette le lèche avant de mettre l’extrémité dans sa bouche, puis alors que mes lèvres sont très proches, me tend l’organe afin que le suce à mon tour.
Quel sensation ! Le sexe est gluant, secrétant en continue un liquide plus ou moins spermeux, ce n’est pas mauvais du tout.
Je suce, je suce. Je ne vois plus Francette, elle n’est pas loin, le tonton s’est débarrassé de son pantalon et se fait sucer la bite par sa fille.
Un moment, elle retire les chaussettes de son père, je me demande ce qu’elle fabrique ? Elle revient vers nous et enfile les chaussettes sur les pattes de devant du clébard, puis me demande de me mettre en levrette.
D’accord, je me positionne, je ferme les yeux, ça n’a pas l’air évident, le chien n’a pas l’air de se décider, Francette humecte mon trou du cul de sa propre mouille et s’arrange pour le faire sentir au chien. Celui-ci réagit, et se jette sur moi avec une certaine brutalité, je comprends maintenant le pourquoi des chaussettes.
J’ignore combien de temps cela a duré, j’ai joui plusieurs fois et pendant ce temps-là Francette se faisait enculer par son père.
Finalement le chien s’est retiré et est allé roupiller. Le père de Francette a joui en gueulant comme une baleine. Il décule en exhibant sa bite pleine de sperme et d’un peu de caca.
Francette me demande si je veux nettoyer ! Bien sûr que je vais nettoyer puisque on me le demande gentiment.
– Rejoignez-moi, je vais vous préparer deux ou trois bons trucs à emporter ! Nous indique le tonton.
On allait pour récupérer nos fringues quand Francette me fait du coude.
– T’as vu l’âne ?
Effectivement c’est impressionnant, ce n’est plus une bite, c’est un tuyau de poêle !
Francette s’approche de l’animal
– T’es gentil ? Si je te caresse tu ne dis rien ?
Effectivement, elle le caresse sans provoquer de réaction hostile de l’animal, au contraire ses oreilles se pointent en avant, signe de confiance, dit-on.
La main descend et s’approche inexorablement de la bite gigantesque et elle finit par la caresser, puis me demande de la rejoindre.
Après le chien c’est donc l’âne, pas le même genre de bite, mais quelle douceur, quelle sensation de puissance. On caresse, avant de tenter d’y mettre la langue et nous voilà en train de sucer l’animal. On se met à deux sur cet impressionnant tuyau de chair. A tour de rôle on suce le bout…
Et puis tout d’un coup ce sont les grandes eaux, la bite de l’âne projette une incroyable quantité de foutre clair. J’en reçoit partout y compris sur le visage, je goute, ce n’est pas mauvais, un peu ferreux !
Francette glisse et se retrouve le cul par terre On rigole comme des bossues.
– J’ai le cul plein de son foutre ! Rouspète-t-elle, je parie que tu n’es pas cap de me le lécher !
J’ai horreur de défis idiots, alors je lui ai léché son cul !
On est rentré chez le tonton.
– Vous êtes dans un drôle d’état toutes les deux !
– On a un peu déconné avec l’âne ?
– Vous ne lui avez pas fait de mal au moins ?
– Non que du bien, mais il nous a bien arrosé !
– Vous voulez prendre une douche ?
– Volontiers !
– Si j’osais je vous proposerais bien une fantaisie !
– Je sais à quoi tu penses ! Répondit Francette, allez Laura on se déshabille.
On s’est agenouillées côte à côte, et le tonton nous a copieusement pissé dessus, c’était la première fois qu’un homme me pissait dessus mais je ne l’ai pas dit à Francette.
Evidemment après cette petite distraction, le tonton bandait comme un sapeur, alors le veinard a eu droit à une fellation à deux bouches, Francette et moi nous nous sommes en suite échangées un long baiser au sperme bien dégoulinant.
Elle n’est pas belle la vie ?
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