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Leçons particulières par Christelle_Baxter
Bonjour, je m’appelle Christelle, Henri, mon mari est professeur. Il a ça dans le sang l’enseignement. Moi je suis vendeuse dans un magasin de fringues. On est ensemble depuis six ans et marié depuis quatre.
Notre couple fonctionne bien, on a essayé de pimenter un peu nos ébats sexuels, mais ça ne va pas bien loin, j’aime bien quand il me donne la fessée et que je me retrouve avec le cul tout rouge et qu’ensuite il m’encule ! On s’amuse aussi parfois à des jeux de pipi, on s’arrose, mutuellement, on se boit, mais ça ne se limite qu’à ça, ce n’est déjà pas mal direz-vous. Question de point de vue !
Mais quand on fait l’amour j’ai plein de fantasmes et un jour une petite fantaisie que j’ai voulu réaliser nous a fait découvrir des pans insoupçonnés de notre sexualité.
Je raconte :
Parfois, lorsque je me sens d’humeur taquine, je chuchote à l’oreille d’Henri qu’il serait la personne idéale pour combler un de mes fantasmes. Voyez-vous, je rêve de me délecter du sexe moite d’une belle demoiselle et que ce soit un homme qui m’enseigne l’art de la faire frémir de plaisir. Timide de nature, pas question de me lancer à la recherche de la candidate idéale. Par contre, si mon tendre époux prenait l’initiative d’un doux intermède à trois, je serais aux anges. Je lui en parle parfois. Tout en caressant son membre gonflé de désir, je lui raconte en détails comment je verrais le déroulement de cette exquise expérience.
– Pourquoi on ne ferait pas cela avec cette Madame Robert dont tu me rabats les oreilles ? Tu m’as bien dit qu’elle appréciait autant les femmes que les hommes non ?
– Je peux toujours tâter le terrain !
– C’est cela mon amour, tâte !
Le lendemain, il me rapporta le résultat de sa manœuvre d’approche…
– Madame Robert serait d’accord ! Mais à certaines conditions.
– Dis moi !
– Déjà elle se fait payer, c’est l’un de ces fantasmes de faire la pute !
– Si elle ne prend pas trop cher, ce n’est pas un gros problème !
– Et puis elle viendrait avec son mari !
– Pourquoi, elle ne sait pas marcher toute seule ?
– C’est pas ça, mais comme ils sont un peu échangistes…
– Ah ! Et ça t’embête ?
– Non, mais ce n’est pas tout, elle aimerait qu’on ait aussi des rapports entre hommes !
– Eh bien pourquoi pas ? Ça peut être amusant de te voir sucer une bite ! T’en penses quoi, toi ?
– Je ne suis pas pédé !
– Personne te demande d’être pédé, on peut sucer une bite sans être pédé !
– Et s’il veut aller plus loin encore ?
– Ben quoi ? Si ça se trouve ça te plaira, je me fais bien enculer, moi, je ne vois pas pourquoi tu n’apprécierais pas les mêmes choses que moi ?
– Bon écoute on va arrêter ce cirque ! On laisse tomber la mère Robert et son pédé de mari et je vais essayer de trouver quelqu’un d’autre.
– C’est con parce que moi je fantasmais sur Madame Robert
– Mais tu la connais pas
– Si ! Tu me l’as présenté à la fête de fin d’année, une belle rousse avec un sourire enjôleur… C’est elle que je veux, personne d’autre.
– Bon je verrais si elle peut venir toute seule, mais ça m’étonnerait…
Autrement dit la situation était bloquée
Mais je me suis donné une semaine pour la débloquer…
J’ai d’abord tanné Henri afin qu’il achète un gode, il a rechigné, genre « ma bite ne te suffit plus », je lui ai alors sorti le couplet classique sur la variation des plaisirs et même que j’avais lu dans une revue…
Le lendemain soir il m’en rapportait un
– Tu me fais faire de ces trucs… Me dit-il en me l’offrant
Et le soir dans le lit, on a joué avec, je lui ai demandé de me l’enfoncer dans la chatte, puis dans le cul. Puis pour le narguer je me suis mis à sucer l’engin en le regardant droit dans les yeux. :
– Pas cap de faire comme moi !
– C’est débile, pourquoi je n’en serais pas capable ?
– Alors fais-le !
– T’es pénible !
– C’est toi qu’est pas drôle, on a bien le droit de délirer, non ?
Alors il l’a fait, mais faut voir comment ! Heureusement que c’est un gode qu’il avait dans la bouche et non pas une vraie bite, l’autre se serait sauvé en courant.
– Mais non, regarde comment je fais, il ne faut pas se contenter de faire des aller et retour, je lèche bien la couronne, je tillite le gland, le parcours la verge avec ma langue. Essaie !
– Mais c’est n’importe quoi !
– Ça m’excite de te voir faire ça, tu ne veux pas que je sois excitée !
Il a fini par le faire !
– C’est bien mon chéri ! J’aimerais un jour te voir sucer une vraie bite !
– Ça ne va pas, non ?
– Oh si ça me plairait, penses-y et quand tu te seras fait à l’idée, on essaiera de trouver quelqu’un
– C’est ça !
– Bon n’en parlons plus pour le moment !
– Enfin une parole sensée !
– Dis-moi ce petit gode, si je te le rentrais dans le cul !
– Mais pourquoi tiens-tu à me faire faire des trucs de pédés ?
– Parce que je suis une cochonne et que je préfère faire des trucs cochons avec toi qu’avec Daniel
– Qui c’est Daniel ?
– Le voisin !
– T’as couché avec le voisin !
– Non pas encore ! Mais ça pourrait se faire.
– Mais qu’est-ce qu’il t’arrive ?
– Il m’arrive que ça va faire six ans qu’on est ensemble, alors je pense qu’un peu de fantaisie, ça nous sortirait de notre monotonie.
– Je t’ai déjà acheté un gode…
– Je sais, mais j’espérais bien que tu te le prendrais dans le cul.
– Bon on arrête les conneries !
– D’accord, mon chéri on arrête ! Demain je m’envoie Daniel, mais rassure-toi, je te raconterais tout !
– Mais tu es folle !
J’ai eu l’impression que mon mari a eu du mal à trouver le sommeil.
Le lendemain matin nous n’avons plus parlé de ça et le soir pendant le repas, il était bizarre, j’ai décidé d’en remettre une couche.
– On fait quoi ce soir, on regarde la télé ou on joue avec le gode !
– J’aurais mieux fait de ne jamais t’acheter ce truc là, ça te détraque le cerveau.
– Je peux te poser une question philosophique ?
– Je m’attends au pire !
– Pourquoi le plaisir anal serait il réservé aux femmes ?
– C’est ça la question ?
– Oui, c’est ça d’autant que physiologiquement c’est pas très logique, les hommes ont une prostate donc ils peuvent avoir du plaisir.
– Bon écoute, je te promets d’y réfléchir…
– D’accord mon chéri, réfléchis, mais tant que je n’ai pas la réponse, c’est grève des rapports sexuels entre nous deux, et si j’ai des envies j’ai mon gode, et si ça ne me suffit pas il a Daniel, je te laisse je vais lire un bouquin à côté !
– Si c’est ça, moi aussi, je peux aller voir ailleurs !
– Tu l’as sans doute déjà fait ! Tu sais tes réunions qui se terminent tard, le pot de l’amitié qui s’éternise… je ne suis folle et j’essaie de ne pas être jalouse, je comprends qu’un homme ait envie de temps en temps de caresser une autre peau.
Alors là il est sur le cul, Henry.
– Je t’assure que tu te trompes !
– Non ne joue pas à ça avec moi ! Admet que tu as fait des écarts, je viens de te dire que je ne t’en tenais pas rigueur.
– Ça a dû m’arriver 2 ou 3 fois…
– Mais je te demande aucune explication. Je t’ai simplement dit et je te le répète que si tu refuses d’entrer dans mes délires, j’irais voir ailleurs
Pas de réponse ! Il m’a l’air en pleine confusion mentale.
Et puis au bout de trois longues minutes :
– Si tu m’encules avec le gode, tu ne coucheras pas avec un autre mec ?
– Disons que je serais beaucoup moins tentée.
– Allez viens dans la chambre, tu vas m’enculer !
J’avais bien préparé mon coup, j’ai passé plusieurs heures sur Internet à regarder des vidéos dans lesquels des femmes sodomisent des hommes, j’ai lu des récits aussi et même des textes théoriques. On va pouvoir maintenant passer de la théorie à la pratique.
Je n’avais pas de gel intime mais un peu de vaseline fit parfaitement l’affaire, je lubrifiais son trou du cul, je lubrifiais aussi le gode, j’aurais dû mettre une capote lubrifiée mais je n’avais pas l’article sous la main.
Je n’ai pas souhaité que cette première expérience se déroule en levrette, je désirais voir le visage d’Henri pendant que j’opérais, je lui ai donc demandé de se mettre sur le dos et de lever la jambe, j’ai introduit l’extrémité du gode dans son trou du cul, j’ai actionné le vibreur, puis tout doucement j’ai enfoncé l’objet jusqu’au trois quarts.
– Alors ? Ça fait mal
– Non mais ça me gêne, mon trou du cul, il n’a pas demandé de corps étranger.
– Attend un peu !
J’ai commencé alors une série de va-et-vient. Au début Henri ne disait rien, puis je l’ai vu soupirer, haleter, gémir.
– On dirait que ça te plaît ?
– C’est infâme ce que tu me fais !
– Arrête de te mentir à toi-même, dis-moi que c’est bon !
– C’est pas désagréable !
J’augmentais la cadence…
– Arrête, non n’arrête pas, qu’est ce que tu me fais ?
– Ben, j’arrête ou je n’arrête pas ?
– Non, non continue !
J’ai un peu continué, mais ayant lu que dans ces conditions l’homme pouvait jouir sans éjaculation, j’ai préféré arrêter, j’ai ensuite pris son membre dans ma bouche et lui ai prodigué une fellation savante tout en lui doigtant le trou du cul. Puis quand il fut bien raide je me suis empalé sur sa bite, par le cul bien entendu.
Nous avons joui presque en même temps, on s’est embrassés.
Le lendemain j’y allais de ma ritournelle :
– On refait comme hier !
– C’est quand même déviant comme truc, après on ne pourra plus s’en passer.
– Et alors on ne fait de mal à personne !
– Evidemment
– Ce que j’aimerais te voir faire ça avec une vraie bite !
– Ça y est, ça te reprend !
– C’est doux, c’est chaud, c’est vivant, c’est quand même autre chose que du plastique, non ?
– Je n’aime pas les hommes.
– Je ne te demande pas d’aimer les hommes, j’aimerais juste te voir jouer avec une bite
– Non !
– On peut peut-être essayer ! invite les Robert, on verra bien comment ça se passera, et si tu t’envoie la mère Robert devant moi je ne te dirais rien.
– Je vais réfléchir…
Il n’a pas dit non, c’est déjà un grand pas, je le laisse mijoter deux jours. Et puis
– Alors cette partouze avec les Robert, tu y as réfléchi, mon chéri, demandais-je.
– Bon je te propose un truc, on les invite, mais si je flanche, je prétexterais une migraine et je te laisserai avec eux.
– Tu ne flancheras pas, je te soutiendrais ! On fait ça quand ?
J’expose mon scénario en détail auprès d’Henri qui le soumet aux Robert, mon scénario ne concerne que ce qui va se passer entre Madame Robert, mon mari et moi, pour le reste c’est nos invités qui décideront.
Le jour fatidique, nous buvons un bref apéro, histoire que je fasse connaissance. Florence Robert a un sourire absolument irrésistible. Son mari William est un grand échalas d’allure décontracté.
– Ma femme est une pute, alors d’accord on va faire du sexe, mais il faut aligner la monnaie, messieurs dames à votre bon cœur s’il vous plait.
On avait prévu le coup puisque c’est le fantasme de Florence et on lui donne chacun un billet de 50.
– Vous verrez, c’est une bonne pute, elle suce, elle lèche et elle se fait enculer ! Nous précise son poète de mari.
-OK, au début on fait comme vous l’a expliqué Henri ?
Fébrile je fais signe à Henri de commencer de la façon que j’avais imaginé. Il me déshabille lentement, déposant de légers baisers sur la peau exposée. Je tremble. Il sourit. La pointe de mes seins se hérisse. J’ai ce désir brulant dans mon bas-ventre. L’autre femme se délecte du spectacle de nos corps nus.
– Viens. Je vais te montrer comment, me dit-il simplement.
Florence nous rejoint après s’être débarrassé de ses vêtements et sous-vêtements. Côte à côte, ma joue droite contre sa joue gauche… un peu comme si nos visages étaient soudés l’un à l’autre, Henri me fait respirer la douce moiteur de notre complice. D’une main experte, il entrouvre ses replis et m’expose, à mon plus grand étonnement, l’intimité féminine qui me fait tant envie. Bientôt, sa langue fouille, explore, titille, lèche. Je suis fascinée. Quel spectacle ! L’eau m’en vient à la bouche. J’exige de lui un baiser. Je goûte ainsi, pour la première fois de ma vie, les douceurs d’une vulve toute moite d’excitation. C’est bon !
– Allez, à ton tour ! me souffle-t-il.
Je touche du bout de ma langue ce beau clito que je convoite depuis un bon moment. Etrange sensation. Je le suce. La réaction de notre complice m’encourage, elle écarte un peu plus ses jambes et arque le dos. J’enfouis ma langue dans son sexe, la fait tournoyer. J’ai son gout dans la bouche. Ça m’excite. De ma langue, je recommence à darder son clitoris. A cette étape-ci de mon fantasme, mon mari intervient.
– Ne sois pas si gourmande ! dit-il en feignant de me gronder.
Et paf ! Il me sert une fessée du plat de sa main, j’ai bientôt les fesses toutes rouges et j’adore ça !
– Lèche. Caresse avec tes lèvres. Doucement. Fais-la languir. C’est lentement que tu dois lui faire atteindre les hauts sommets de l’extase ! conseille-t-il, d’un air expert.
Où a-t-il été cherché des phrases aussi tartes ?
Puis il replonge son visage entres les cuisses accueillantes de notre douce et patiente complice. Quelles merveilleuses leçons particulières ! Tour à tour, nous nous délectons du nectar de cette femme. J’apprends vite. Puisqu’il s’agit de mon fantasme, c’est moi qui la fais jouir. Elle pince ses mamelons, se tord, gémit. Son corps tout entier est secoué par les vagues de plaisir que lui procurent ma bouche et ma langue. Au même moment, mon mari qui, agenouille près de nous, caressait déjà son pénis depuis quelques instants semble prêt à atteindre l’orgasme.
– Stop ! Enlève ta main ! Ordonnais-je.
William se rapproche, il est nu, la bite en étendard, il l’approche de la bouche de mon mari !
– Regarde cette bite comme elle est belle, comme elle bande bien, suce-la bien mon chéri et après il va t’enculer devant nous.
C’est le moment fatidique ! Va-t-il se dégonfler, invoquer une migraine aussi soudaine que diplomatique. Je ne crois pas, il est trop excité.
Alors il embouche la bite et se met à la sucer comme je lui ai appris, il a l’air d’apprécier, mais il ne faudrait pas que son excitation retombe :
– Donne lui ton cul, mon chéri !
Il hésite, il va tout faire foirer ! Florence vient à la rescousse
– Laisse toi faire et après tu pourras m’enculer !
C’était la phrase magique, Henri se met en levrette, William lui tartine le fondement, s’encapote et le pénètre.
Mon Henri fait la grimace, mais il a retenu la leçon, la douleur et la gêne du début ont tôt fait de se transformer en plaisir.
Que c’est beau deux hommes qui s’enculent, je suis gâtée ce soir.
La sodo dure bien cinq bonnes minutes, William sait qu’il ne doit pas jouir car nous n’avons pas joué le final. Alors il décule abandonnant Henri béat de plaisir coupable.
Florence apparemment aussi ravie que moi du spectacle vient m’embrasser de façon très baveuse. Mon dieu quelle langue ! Que c’est bon de se faire rouler un patin par un si belle femme ! Elle en profite pour me tripoter les fesses. Un doigt vient s’égarer dans mon petit trou du cul, il va, il vient, me fait du bien, il ressort, un peu merdeux. Florence le lèche en me faisant un sourire vicieux ! Quelle cochonne ! Et elle recommence ! Puis m’invite par le regard à lui rendre la politesse. Je n’ose pas me dégonfler et lui doigte le cul, en espérant qu’il ressortira propre. Ouf, ça va, je lèche, juste un petit goût âcre… pas désagréable.
Puis dans un synchronisme des plus parfaits. Florence et moi, nous nous positionnons en levrette, William vient me donner sa bonne bite à sucer avant de m’enculer pendant qu’Henri fait subit le même outrage à la douce Florence.
Nos gémissements et nos douces plaintes produisent un sensationnel quatuor à mes oreilles. On a tous joui, les uns après les autres. Les hommes ont retiré les capotes, J’ai nettoyé la bite de William avalant le sperme qui restait sur le gland.
– Arrête, il faut que je pisse ! Proteste-t-il
Alors j’ai ouvert ma bouche et bu le cru doré qu’il m’offrait.
Fin
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