Benoît de Macadamia

Dimanche 18 juillet 2021 7 18 /07 /Juil /2021 09:15

Le hérisson tout chaud de la Reine Margot (anecdote historique)

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(texte anonyme paru il y a quelques années dans la Vie Parisienne, et proposé par Benoît de Macadamia)

 

Au début de 1576, la Reine Margot se promène dans les couloirs du Louvre des yeux enfiévrés et une mine défaite.

 

Elle n'en peut plus, le moindre frôlement de tissus sur la pointe de ses seins la fait gémir et le bas de son ventre lui rappelle à chaque instant qu'elle est seule depuis plus de trois mois. Son doigt l'a bien calmé un peu au début... mais ça ne peut suffire

 

Elle rêve tout éveillée de verges charnues et solidement dressées. Sa gorge s'assèche à l'évocation de glands veloutés puissamment dilatés et humidifiés par le désir. Elle se souvient de délicieux glissements. Son frère, le duc d'Alençon et son mari le roi de Navarre (futur Henry IV) ont conspiré contre son autre frère, Henri III. Ils ont même réussi à s'évader du Louvre.

 

Depuis on la retient prisonnière de crainte qu'elle les rejoigne. On la surveille jour et nuit. Elle qui n'a jamais manqué de sexes masculins en est privée depuis de longues semaines. Elle hurlerait rien qu'à imaginer les phallus qui gonflent les chausses de ses gardiens.

 

Surtout qu'elle se sait belle. La plus belle femme de France.

 

Et les hommes bandent pour elle. Tous les hommes, catholiques ou protestants, seigneurs et valets, blonds et bruns. Peu lui importe du moment qu'ils bandent. Du moment qu'elle peut serrer dans ses mains leur dure virilité et tenter de la faire durcir encore plus. En respirer le parfum qui la chavire. En goûter la saveur sans pareille quand elle y promène ses lèvres et sa langue.

 

margot43L'idée qu'une belle queue brûlante pourrait frôler (oh ! pas bien fort !) l'entrée de sa bouche lui laisse échapper une plainte. Le ventre lui brûle et palpite. Le frottement de ses cuisses l'une contre l'autre la met hors d'elle. 

 

"Sans doute", écrit l'un de ses proches, "aurait-on pu cuire un œuf sur son hérisson tant celui-ci était chaud et ardent".

 

Cependant elle parvient à informer le Duc d'Alençon, son frère de son état. Contre son aide, elle lui promet tout ce qu'il désire. Et ce que désire pardessus tout François d'Alençon, c'est sa sœur Marguerite ! Par pure politique, leur mère Catherine de Médicis, persuade Henri III de laisser partir Margot avec elle en ambassade pour tenter d'amadouer Alençon. En effet une alliance entre lui et Henri de Navarre serait très dangereuse pour la couronne de France.

 

C'est décidé ! .Au soir de la première journée de négociations entre Catherine de Médicis, Margot et François, la sœur s'en va retrouver le frère dans sa chambre. Le duc d'Alençon n'est ni très beau, ni très intelligent. Il a d'autres qualités. Il est très endurant et remarquablement membré. Malgré l'épaisseur de murs du château de Chatenay, personne ne peut ignorer que la belle Margot a hurlé sa jouissance à sept ou huit reprises. Un chroniqueur rapporte "que tout le linge était à tordre".

 

Le lendemain matin, malgré des yeux un peu battus, Marguerite de Navarre affiche une mine éblouissante. Le prodigieux appétit de son "hérisson" et celui non moindre de son trou plissé, viennent d'éviter une guerre civile.

 

Quelques précisions :

 

Marguerite de ValoisMarguerite de Valois dite la Reine Margot (1553-1615),

c'est la fille de d'Henri II et de Catherine de Médicis, et donc la sœur de François II, Charles IX et Henri III. Elle est contrainte par sa mère d'épouser le roi de Navarre, le futur Henri IV, pour des raisons politiques, mais le mariage est stérile et Henri de Navarre la trompe à tour de bras. Elle enchainera à son tour les liaisons amoureuses notamment Joseph Boniface de La Molle (décapité sur ordre de Charles IX en 1574). En 1586, Henri de Navarre la fait enfermer au château d'Usson, en Auvergne, où elle subit une demi-captivité de dix-huit années. C'est là qu'elle a une liaison avec son écuyer Jean

d'Aubiac, (pendu sans procès en 1586 sur ordre d'Henri III). En 1589 Henri de Navarre devenant roi de France, elle devient donc Reine de France.

 

A partir de 1594, elle écrit ses Mémoires (publiées en 1658), tandis qu'elle se fait remarquer par ses beuveries et ses fêtes galantes. En 1599 son mariage avec Henri IV est dissout. Elle revient à Paris et séjourne d'abord à l'hôtel de Sens, puis rue de Seine. Elle est devenue énorme et s'entoure de gigolos.

 

(C'est ainsi que le 5 avril 1606, le comte de Vermont, 20 ans, ex-gigolo de Marguerite de Valois, assassine son remplaçant, Gabriel Dat de Saint-Julien, 18 ans, sous les yeux de celle-ci, devant l'hôtel de Sens.).(1) Sa réputation de nymphomane. "Sans doute, aurait-on pu faire cuire un œuf sur son hérisson tant celui-ci était chaud et ardent" fut établi par ses contemporains (Brantôme, Agrippa d'Aubigné)(2).

 

En revanche, contrairement à ce qu'affirma Alexandre Dumas, elle avait un physique ingrat. Et à ce propos, Chéreau en la faisant interpréter par Isabelle Adjani, s'est carrément planté ! Vous la trouvez sexy, vous, la Margot ?

 

Notes :

(1) cité dans "Juliette Faure - Le Marais, promenade dans le temps - L'Harmattan 2007"

(2) Certains historiens pudibonds s'offusquent de cette réputation, et leurs points de vue sont largement relayés par l'article très orienté consacré à Marguerite de Valois sur Wikipédia.

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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 11:30

Branlette au super marché, par Benoît de Macadamia

Voy

Je l’avoue, je suis voyeur. Oui j’aime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire qu’en ce domaine je suis plutôt chanceux et je ne puis résister à l’envie de vous raconter mon dernier « coup de chance » qui fut particulièrement bandant et qui m’a procuré un plaisir extrême.

Je poussais tranquillement mon caddie dans une allée d’un super marché, il était 8 h 30 et à cette heure ce n’est pas la foule, j’étais donc seul dans cette allée que j’avais empruntée parce qu’elle était libre et dégagée, sans gondoliers en train de recharger les rayons, comme c’est souvent le cas. Je n’avais pas fait attention et je m’aperçu soudain que je déambulais entre des rangées de lingerie. Soudain une jeune femme arriva devant moi et, en tirant un mouchoir de la poche de sa veste, elle fit tomber des pièces de monnaie. Elle s’accroupit aussitôt pour les ramasser et là, mes amis, ce fut un magnifique spectacle. Sa petite culotte ne cachait pas grand chose et le fond en était si étroit que des mèches de poils passaient sur les côtés. Bonheur ! Moi qui ai horreur des minous glabres ou juste soulignés d’un trait de quelques poils, j’étais servi ! J’étais médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante… C’est le cas de le dire car je fus pris d’une érection spontanée.

 

L’une des pièces avait roulé jusqu’à mes pieds et, à peine relevée, elle s’en aperçut. Qu’allait-elle faire ? Contre toute attente, elle vint jusqu’à moi et s’accroupit à nouveau, mon sexe en eut un tressaillement au moment où, relevant la tête, elle vit mon… « émoi ». Elle rougit, se releva vivement et disparut.

 

Je fis mes emplettes, toujours avec une trique pas possible, et me pressai de sortir. Après avoir chargé ma voiture je remis le caddie en place… Au moment où mon inconnue ramenait le sien. Nos yeux se sont croisés. Je ne pus m’empêcher de lui dire :

 

– Je m’excuse pour ma réaction très masculine, mais ce n’est pas contrôlable

 

Elle sourit en me disant qu’après tout cette réaction était normale car elle avait conscience que le spectacle qu’elle m’avait involontairement offert en était la cause. Comme elle ne manquait pas d’humour elle ajouta :

 

– J’espère pour vous que votre femme ou votre amie, sera là pour vous guérir ?

 

Quand je lui appris que j’étais divorcé et seul elle me dit :

 

– Mais alors ?

– Alors ? Eh bien je vais me débrouiller seul.

– Vous voulez dire que vous allez vous…

– C’est cela, répondis-je.

 

Elle me tint alors ce langage stupéfiant :

 

– Je suis fautive, même involontairement, en conséquence je vous dois réparation. Seulement, comme je suis fidèle, je ne puis vous offrir plus que ma main. Ma voiture est tout près, ses vitres noires nous mettront à l’abri des regards.

 

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Je la suivi, nous montâmes à l’arrière, j’ouvris ma braguette et sortis mon sexe hyper tendu qu’elle prit aussitôt en main. Cerise sur le gâteau elle releva sa robe pour me montrer le « corps du délit » et commença à me masturber, doucement pour commencer, puis elle accéléra son allure et me mena ainsi au plaisir, un plaisir sublime matérialisé par trois jets saccadés suivis de quelques gouttes.

 

Elle reçut une partie de mon hommage sur sa cuisse. Je pus m’apercevoir que sa petite culotte avait une tache sur le fond, elle mouillait. Je reprenais peu à peu mes esprits et elle ne relâcha sa prise que lorsque j’eus débandé.

 

– C’était bon ? me demanda-t-elle

– Merveilleux, répondis-je et j’ajoutai : « A présent, à chaque fois que je me procurerai ce plaisir, je penserai à vous ».

 

Et après nous être dit au revoir, sans plus, je suis sorti et j’ai regagné ma voiture, la tête pleine de musique.

 

Bonne branlette !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Benoît de Macadamia
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 11:26

Je t’ai déshabillée par Benoït de Macadamia

 

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Je t’ai déshabillée

Tu es maintenant nue

Tes remparts sont ôtés

Je vois tes seins, ton cul !

Bon Dieu que tu es belle

Offerte à mon plaisir !

Promis tu seras celle

De nous deux qui va jouir !

 

J’ai pincé ton téton.

J’en avais très envie,

tu m’avais dit « c’est bon !

j’aime quand tu me pétris ! »

Plutôt que des caresses,

toutes douces, toutes légères

j’appuie, je pince, je presse,

je malmène ta chair.

 

J’ai mis mes doigts en toi,

Et je l’ai caressé

L’intérieur tout laqué

De ton antre de roi.

Sucé le clitoris,

Léché toutes tes lèvres

Ca m’a donné la fièvre

C’était un vrai délice !

 

Je t’ai pénétrée loin,

Je me suis enfoncé

Dans ton puits tout mouillé.

J’ai limé avec soin,

Vite et puis doucement,

Je rentrais je sortais

Ton plaisir arrivait :

Tu l’as dit en hurlant!

 

J’ai écarté tes fesses,

Tu voulais cette caresse.

Tu l’as plus qu’appréciée…

…Et je t’ai enculée !

Mon vit dans ton anus,

J’en avais tant rêvé,

C’est fort, c’est bien serré…

Du plaisir ! Encore plus !

 

J’ai pissé dans ta bouche

(On dépasse les limites).

Tu me suçais la bite

Je t’ai donné une douche !

J’aime tout tes fluides

Ta pisse et ta cyprine,

Tu bois tous mes liquides

Mon sperme et mon urine.

 

Ai-je fait ou rêvé

Tout ce que j’ai décrit ?

Est-ce la réalité,

Etait–ce la vraie vie ?

Peu importe ! Je t’aime

Et je veux ton plaisir !

Le but de ce poème

C’est bien de nous faire rire 

poeme1429

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Benoît de Macadamia
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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 11:21

Astronome amateur par Benoît de Macadamia

Voy

 

Ce texte date du temps pourtant pas si lointain où la photographie numérique n’existait pas. On photographiait sur une pellicule négative qu’on confiait ensuite à un magasin de photos qui envoyait ça à un laboratoire de développement. Puis on récupérait les tirages papiers quelques jours plus tard dans une pochette.

 

Les lumières de l’immeuble d’en face s’allumèrent au fur et à mesure que la nuit tombait.

 

Je me trouvais sur le balcon pour essayer de capter le peu d’air frais qu’il aurait été possible de trouver par cette chaude fin de journée d’été. Le ciel sans nuage découvrait peu à peu ses perles d’or. Les conditions étaient idéales pour faire quelques clichés de la voûte étoilée. Je sortis mon télescope et je commençais à préparer mon matériel photo. Les lumières d’en face commençaient à s’éteindre les unes après les autres. Le halo bleuté de quelques télévisions transparaissait en quelques points de la façade. Je fis la mise au point de mon appareil sur la façade afin de vérifier que l’ensemble était en état de marche. Je visais une fenêtre éclairée afin de vérifier la cellule de l’appareil.

 

En mettant l’œil au viseur, je découvris qu’il s’agissait d’une chambre. La télévision allumée projetait un film. Je fis la mise au point sur la télé. A ma grande surprise, je constatais qu’il s’agissait d’un film porno. Je balayais du regard l’espace de la chambre et trouvais enfin une jeune femme en chemise de nuit sur son lit. Elle n’était vêtue que d’une robe de chambre entrouverte sur son mont de vénus que caressait sa main droite. Sa main gauche glissait sur son sein droit, tandis que ses yeux ne quittaient pas l’écran.

 

Je déclenchais mon appareil. Il n’était plus question de chercher Vénus dans le ciel alors qu’elle se trouvait là en face de moi.

 

Petit à petit, le rythme de sa main s’accélérait et par curiosité je regardais à nouveau l’écran. Une blonde pulpeuse se faisait sucer par un mâle surdimensionné. Elle s’agitait sous la langue de son partenaire, qui s’immisçait dans les moindres recoins de son intimité. Le mâle partenaire la retourna pour la mettre à genoux et la prit en levrette.

 

Je retournai sur la jeune femme pour m’apercevoir qu’elle avait sorti tout un lot de godemichés de tailles variables et de crèmes lubrifiantes. Alors que l’étalon de l’écran avait commencé à pistonner sa partenaire, notre inconnue avait ressentie le besoin de sentir sa cavité vaginale pleine d’un sexe d’homme en plastique.

 

Elle prit l’un des membres artificiels qu’elle suça pour le lubrifier, avant de s’en fourrer. Bien que je ne pusse en percevoir la vibration, il m’apparaissait que les piles de l’engin entrèrent en action. Mon doigt fébrile s’était compulsé sur le bouton de mon appareil et la scène de la pénétration se trouvait captive dans mon boîtier. Des spasmes commencèrent à secouer la belle inconnue qui atteint là son plaisir ultime. Elle retira alors son partenaire mécanique pour goûter les liqueurs de sa jouissance solitaire. Je réalisai soudain que mon propre sexe était lui-même passablement excité. Je mis de côté la pellicule, me demandais si j’oserais la faire développer.

 

Quelques jours plus tard, poussé par la curiosité, je reportais mes appareils sur la fenêtre de la charmante inconnue, mais il faut croire que les miracles n’ont lieu qu’une fois, il n’y avait rien à voir, il en fut de même les fois suivantes, jusqu’à ce qu’un jour…

 

Des allées et venus dans sa chambre, elle n’était plus seule mais avec deux hommes, l’un parait assez jeune, l’autre avait les cheveux gris. La femme finit par s’asseoir, l’un des hommes, le plus vieux, invita son hôte à se relever et l’enlaça. Ses mains parcoururent sa croupe et je recommençai à déclencher mon appareil. L’homme ne fut pas long à lui ôter sa robe alors qu’il n’était déjà plus qu’en caleçon. La dame extirpa de celui-ci un vigoureux mandrin qui ne demandait qu’à s’évader. Tous deux enfin nus, ils se retrouvèrent sur le lit, tête bêche, chacun à sucer le sexe de l’autre. Leurs langues s’agitaient frénétiquement sur leurs gourmandises respectives. L’homme écartait les fesses de la femme et sa langue allait de l’un à l’autre de ses trous divins. La femme gobait ce joli pénis qu’elle masturbait de ses deux mains. Elle changea alors de position pour s’enfiler ce sexe humide de salive, après l’avoir recouvert d’un morceau de latex. Elle chevauchait l’homme, qui accompagnait son mouvement en la tenant par les hanches. La femme haletait de plaisir et son corps se cambrait sous l’effet de la jouissance à venir. Elle se figea, soudain saisie par l’orgasme qui la traversait. Elle se retira, épuisée alors que l’homme n’avait pas joui.

 

C’est alors que le jeune apparut dans mon champ de vision. Il semblait fort joyeux et s’approcha du lit. Et c’est à ce moment-là que l’extraordinaire se produisit : Alors que la femme avait repris en bouche le sexe de l’homme aux cheveux gris, le jeune vint la rejoindre et se mit à son tour à sucer ce fort joli sexe.

 

L’insolite de la situation, alliée à la réminiscence de vieux fantasmes bisexuels, me provoqua une érection de compétition.

 

Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. L’homme jeune se releva avant de s’installer en levrette sur le lit. Quelques instants après, l’homme aux cheveux gris l’enculait d’un assaut viril et assez bref au terme duquel il s’écroula sur lui.

 

 Daria astro

Je n’en pouvais plus et me masturbais hardiment, sans toutefois rechercher la jouissance. Je pouvais, en effet espérer une suite au spectacle puisque le jeune n’avait pas joui.

 

Cette fois la femme et l’homme aux cheveux gris se mirent à leur tour en levrette, côte à côte. Le jeune commença par enculer la femme, puis vint se « finir », dans le cul de l’autre homme.

 

Pratiquement au même moment mon sexe libéra un impressionnant jet de sperme.

 

Quelques jours après, je confiais mes deux pellicules, non pas à la boutique photo où j’avais mes habitudes, mais dans une autre, où je n’avais jamais mis les pieds mais qui n’était pas très loin de mon domicile…

 

J’allais chercher mes tirages quelques jours plus tard.

 

Que ne fut pas ma surprise de découvrir que la vendeuse n’était qu’autre que l’inconnue qui était sur les photos. Le monde est petit parfois.

 

– « No 80921, oui je les ai reçues, je me souviens ».

 

Je rougissais au fur et à mesure que ses doigts triaient les pochettes de photos.

 

– « Nous les avons reçues ce matin. Les voilà ! Vous prendriez bien des pellicules 800 ou 1600 ASA avec cela pour vos photos de nuit ajouta-t-elle avec un clin d’œil ».

 

Je ne savais plus que faire et de stupeur laissai tomber la pochette. Je sortis de mon portefeuille un billet pour payer, ramassais la pochette bredouillait une vague excuse et me précipitai hors du magasin en oubliant ma monnaie.

 

Dans la rue j’ouvrais nerveusement la pochette, je feuilletais les clichés et découvrait des photos… d’oiseaux. C’était donc une erreur ! Un petit mot était glissé.

 

– Monsieur, écrivait-elle. Vos photos sont fort réussies, mais je les ai conservées ainsi que les négatifs, j’espère que vous apprécierez les charmants petits oiseaux que j’ai mis en remplacement. Ce que vous avez fait est interdit je passe pour cette fois, mais ne vous avisez pas de récidivez ! Si toutefois vous désirez consultez ces photos, cela reste tout à fait possible, mais il faudra venir chez moi. Mais ce sera un jour où je recevrai mes amis, et il vous faudra accepter de vous faire enculer. Mon téléphone est 06 23…. »

 

Qu’est-ce qu’elle croit ? Que je vais me dégonfler ? Il est quelle heure ? 5 heures et demi, je peux dormir encore un peu… Mais ce rêve… Quel rêve… Et quelle trique !

 

Fin

 

PS : Je n’ai jamais fait développer ces photos.

 

Ce texte est le rewriting d’une histoire publiée sur feu le site de Sophiexxx à la fin du siècle dernier. Il ne portait aucune signature et était curieusement titré « baiser de vipère »

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Lundi 24 août 2020 1 24 /08 /Août /2020 11:29

Dans le petit trou par Benoît de Macadamia

cochon

Dans le petit trou

 

 

La belle Amélie

Est douée au lit

On aime sa poitrine

Et sa taille fine

Mais par-dessus tout

Ses amants sont fous

De son petit trou

 

La belle Joséphine

Est folle de la pine

D’abord elle la touche

Puis la prend en bouche

Mais elle préfère

Je devrais le taire

L’avoir dans l’derrière

 

La belle Eloïse

Aux lèvres cerise

Aux pupilles vertes

A les cuisses ouvertes

Cependant si j’ose

L’aimer c’est à cause

De son anus rose

 

La belle Amanda

N’a pas dit pas « holà ! »

Quand je l’ai pelotée

Et puis retournée

Mais c’est ridicule

Comme elle ulule

Lorsque je l’encule

 

La belle Gladys

Adore boire ma pisse

Quand j’ai terminé

Elle m’offre son fessier

Elle ouvre son cul

Pour un plaisir défendu

Par ma bite tendue

 

Jolie maquerelle

As-tu des filles nouvelles ?

Je les ai toutes enculés

Et ne suis point rassasié !

– Pourquoi pas moi ?

Car sodomie du matin

Réjouit les belles putains !

sodo824

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