Air Hostess

Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:08

L’hôtesse de l’air – 10 – Partouze finale par Air Hostess

stamp partouz

 

 

 

A New York, dans la chambre du Waldorf, un nouveau conseil de guerre s’est réuni. Tim expose les renseignements qu’il a obtenus à l’ambassade de France. Autour de lui, Souria, Shannah, Gene, Nikki et Jane et Nick, tous et toutes sont suspendues à ses lèvres.

– J’ai réussi a téléphoné à l’Oncle Gabriel, pour le mettre au courant de la situation. Aux dernières nouvelles, un satellite militaire français a repéré‚ la balise de Françoise. En Europe, mes enfants ! On l’a transportée en Europe, vraisemblablement en Grande-Bretagne ou du moins, la balise émet de là. On espère que Françoise se trouve à proximité‚. Le colonel Vidalain négocie avec les autorités britanniques pour pouvoir envoyer un hélicoptère français sur les traces de l’émetteur. Si j’obtiens des nouvelles favorables, je pars pour Londres.

 

Au même moment, dans la nuit qui s’achève, le jour naissant dévoile le beau corps ambré de May-Lee que Françoise caresse doucement en pensant à Tim et à ses amis laissés en Amérique. Tout en dormant, l’eurasienne se colle contre le corps chaud de l’hôtesse. Tout est calme dans le dortoir, une rumeur persistante entoure cependant la jeune déflorée, chacune à son tour veut lécher les traces de la pénétration. Ces caresses guérissent la légère douleur de la défloration.

 

Au deuxième étage, la Directrice atteint l’orgasme, elle crie :

 

– Tiens moi les seins ! Je jouis !

– Je viens, répond Michel qui éjacule avec modération, l’homme a des limites, dans le sexe minuscule de la grosse dame. Etonnant, pense-t-il, ces jeunes femmes du dortoir, si jeunes, vous présentent des cons largement ouverts et cette dame qui a trois fois leur âge, possède une petite ouverture de première communiante. Tout en réfléchissant, il pétrit les gros nichons et la dame chante en se trémoussant. Elle finit par raconter sa vie !

 

Le récit de Margareth.

 

« Je suis née en Ecosse, ma famille a toujours été‚ au service des Thornton. Grâce à Milord Gathwell of Thorton, j’ai obtenu une bourse et j’ai suivi les cours d’infirmière à Londres. J’étais un peu solitaire, mon accent écossais faisait rire mes compagnes. Diplômée, j’ai obtenu une place dans un hôpital de Cork, Après deux ou trois ans, j’ai postulé‚ pour le service d’urologie de l’hôpital. Pendant des années, j’ai soigné‚ des messieurs et j’ai la plus grande expérience en matière de pénis. J’ai tenu dans mes mains tous les modèles, les minces, les longs, les gros, les énormes. Et tandis que je tenais les queues de ces messieurs très gênés de bander comme des collégiens, je sentais ma mouille qui coulait sur mes cuisses. Bien sûr, je ne portais pas de culotte, pour pouvoir me masturber dès que j’avais un moment de libre. Comme j’étais jeune et bien faite, les jeunes médecins me possédaient furtivement entre deux consultations, sur un coin de bureau ou le bord d’une civière. Même le chef de service, malgré son âge respectable, me demandait de lui faire un pompier. Je devais me mettre à genoux, entre ses jambes. Je me cachais dans le tambour de son bureau, dissimulée aux regards. Et je le pompais, discrètement, sans aucun bruit. Je devais tout avaler pour satisfaire ce vieux cochon. Jamais, il ne m’a touchée, jamais il n’a soulevé mes jupes pour me faire jouir. Malheureusement, il m’a donné le goût du sperme. Quand je regarde un homme, j’évalue toujours la quantité de jute que je pourrai recueillir. Puis j’ai été nommée par le comité de direction de la fondation Thornton, comme Directrice de ce pensionnat pour jeunes délinquantes. Toutes les filles, ici sont pourries jusqu’à la moelle. Mises sur le trottoir dès le plus jeune âge, prostituées, vendeuses de drogues, voleuses à la tire, complices de crimes et de délit, j’ai hérité de tous les vices de la terre. Comme je suis aussi vicieuse qu’elles, la nuit, je viens à pieds nus regarder par le trou de la serrure, je vois à la lueur des bougies, tout ce qu’elles se font entre elles, pour pallier l’absence de leurs amants, d’ailleurs la plupart sont des gouines ou le sont devenues. Alors à genoux devant le trou de serrure, je relève ma chemise et je me masturbe. La semaine dernière, mon manège a failli être découvert. Quand elles ont un petit besoin, les filles prennent leur pot de chambre, ensuite c’est la ruée pour lécher la trace humide laissée sur leur con. J’étais tellement excitée, que je me suis précipitée dans le cagibi voisin, où l’on remise les balais. J’ai retiré ma chemise, et pieds nus, j’ai glissé le manche d’une brosse dans mon cul. J’avais appuyé la brosse contre le mur, pour faire pénétrer plus loin, lorsque j’ai entendu, la porte du dortoir s’ouvrir. Une fille se rendait aux toilettes au bout du couloir. Elle est passée à côté de la porte entrebâillée du réduit, sans me voir. Mon cœur battait à tout rompre, j’avais peur qu’elle me trouve, mais je n’ai jamais autant joui.  »

 

A la suite du récit de Margareth, Michel la saisit sur ses genoux et la fesse de toutes ses forces. Les grosses fesses rougissent, la brûlure gagne le vagin et l’anus. Michel trouve assez d’énergie pour rebander et l’enculer. Profondément enfoncé dans le derrière de la grosse, il entend tout proche le bruit d’un hélicoptère qui rode. Un coup d’œil par la fenêtre lui permet de reconnaître les numéros d’immatriculation français de l’appareil qui se pose sur la pelouse. Françoise aussi a entendu, et bientôt, rhabillés, les deux agents assistent au débarquement des visiteurs.

 

Le capitaine Bertrand découvre qu’il a deux passagers à transporter.

 

– Ma chère collègue, dit-il à Françoise, je veux bien embarquer Monsieur puisqu’officiellement il n’a jamais mis les pieds en Grande-Bretagne.

 

Une heure plus tard, nos deux agents, la française et l’israélien se trouvaient à Paris. Tim arriva à Roissy à 12 h 30, Anne (ou Françoise puisque c’est la même) vint l’accueillir et le conduit directement à son appartement. Les deux hommes sympathisèrent immédiatement. Devant l’évidence, Anne suggère que Tim en connaît un peu trop, pour ne pas être impliqué dans ses aventures. Tim avoue, enfin qu’il veille sur elle, sur les recommandations de l’Oncle Gabriel, un peu par devoir, beaucoup par affection. Anne comprend l’insistance du colonel Vidalain à lui faire rencontrer le géant noir. Une discussion franche réunit les trois jeunes gens, Anne attirée par Tim, ne veut pas frustrer Michel. Assise sur son large divan broché, entre Michel et Tim, Anne envahie par une bouffée de désir, pour ne pas faire de jaloux, dépose une main à gauche sur la cuisse de Michel, et à droite sur celle de Tim. Enhardis, les deux hommes partent en exploration. Après une après-midi, consacrée au bain et à la sieste, ils se sentent délivrés de leurs angoisses.

 

Tim déboutonne le chemisier d’Anne et embrasse doucement les tétons roses. Michel retrousse la jupe et atteint immédiatement la toison soyeuse, comme d’habitude, Anne-Françoise ne porte pas de culotte. Un long baiser de retrouvaille joint les lèvres de l’athlète noir, tandis que Michel à genoux entre les jambes de l’hôtesse, goûte goulûment à son fruit juteux. Anne ressent la montée du désir, elle ouvre les cuisses en grand écart pour accueillir la bouche impatiente qui la fouille et le baiser qui la lie à Tim prend les allures d’une pénétration. Elle franchit l’arcade dentaire de son partenaire pour plaquer sa langue contre celle du noir. Bientôt des gémissements lui échappent, la jouissance qui monte, transforme en ruisseaux d’orage, le mince filet de sa mouille. Elle glisse sur le tapis, tenue par Michel, qui couché sous son cul, avale tout ce qui coule du sexe de son aimée. Tim en profite pour placer son pénis dans la bouche consentante d’Anne. Les cris de plaisirs jaillissent de partout. Anne suce la bite de Tim avec une telle passion que ses joues se creusent. Un petit arrêt, pendant lequel, ils quittent leurs vêtements et ils se retrouvent sur les draps de soie du grand lit. Anne s’empare de la bite de Michel pour les faire subir les mêmes sévices que pour Tim. Elle suce, elle mord le membre congestionné, Tim récupère la fonction de Michel et lèche les abondantes sécrétions de la jeune femme. Puis, c’est le grand jeu, Anne, accroupie, se place sur l’énorme queue du noir, couché sur le dos, puis elle s’étend à plat ventre, en serrant son sexe pour ne pas perdre le membre dressé. Elle écarte les fesses de ses deux mains, permettant ainsi à Michel d’introduire sa bite dans son cul. Maintenant, ils sont liés, extraordinaire sensation, Michel crie

 

– Je sens ta queue Tim ! Chaque fois que je remue, je sens à travers la membrane ta queue qui palpite.

 

La queue de Tim, noyée dans la jouissance d’Anne, se dilate. Michel ne peut plus se retenir, il mordille la nuque d’Anne, le spasme de sa bite lui arrache des cris de jouissance insoutenable. Anne sent dans son anus les palpitations de son enculeur. Il a atteint l’acmé, tout son corps tendu, il éjacule un torrent de sperme dans l’antre brûlant. Tim perçoit les contractions du vagin. Le corps parfumé de la française s’écrase sur sa poitrine, les seins élastiques affolent sa poitrine, les pointes s’impriment sur son torse, la sueur d’Anne coule en nappes sur les tétons sensibles. Penchant la tête Anne, qui jouit lui tend la bouche pour un baiser qui par sa puissance déclenche l’éjaculation du noir. Anne atteint la plénitude des sensations, la progression du sperme des deux hommes dans ses entrailles entraîne une jouissance nouvelle. Elle se donne à tous les deux, elle s’offre à leurs désirs et jouit d’être remplie de cette merveilleuse substance qui pétille. L’odeur du sperme a envahi la chambre et exerce une excitation complémentaire. Le trio reste longtemps engagé, puis ils restent étalés sur le lit, mêlant leurs membres et leur transpiration. Ce parfum persistant d’aisselles mouillées réveille le désir de Tim, il lèche le dessous de bras d’Anne. Michel lèche le sperme qui coule du vagin entrouvert. Michel plante sa queue dans le con d’Anne-Françoise, couchée sur le dos sur Tim qui a introduit avec précaution son pénis dans le cul bien graissé de sa partenaire. Cette seconde double pénétration se déroule à l’envers de la première. Anne-Françoise couchée sur le dos, se fait enculer, dès que la sodomie est en place, Michel introduit sa queue dans le vagin mousseux de la jeune femme. Epuisés, ils finissent par s’endormir, brusquement, nus et entassés les uns sur les autres.

 

Le lendemain, Anne-Françoise demande à Michel de les accompagner à New-York. Il obtient l’accord de son chef de réseau et ils prennent l’avion du soir.

 

Arrivée à New-York, Françoise rassemble tous ses amis pour une soirée gigantesque. Elle a de bonnes nouvelles pour Nick, les enquêteurs anglais sur les suggestions de l’hôtesse ont retrouvé le passage secret et arrêté les malfrats du vieux château. Après une recherche minutieuse, un antique coffre-fort dissimulé dans une salle inconnue attend la visite de Nick pour être ouvert. Ce même Nick, lui avait raconté une mémorable virée dans un club anglais. Chaque participant recevait une broche portant un grand numéro, sur fond rouge pour les hommes, sur fond bleu pour les femmes. Chaque membre du club devait rechercher la concordance, la direction avait décidé pour eux, du partenaire idéal, celui qui arborait le même numéro. Anne-Françoise n’avait pas voulu choisir entre tous ses amis et amies, elle confie au hasard, le soin de former des groupes. Elle confie à chaque homme, Nick, Tim et Michel un groupe, et tire au sort à plusieurs reprises les participantes à la soirée. Le premier tirage donne Nick, Françoise et Souria dans le deuxième groupe Tim, Nikki et Jane et le dernier groupe comprend Michel, Gene et Shannah. Il n’y a aucune interdiction à la réunion de deux groupes.

 

Assise sur un divan entre Souria et Nick, Anne-Françoise se débarrasse en un clin d’œil de tous ses vêtements. Elle a hâte de retrouver son amie noire aux caresses douces et maternelles et le petit diplomate aux fantasmes imprévisibles. Souria l’imite aussitôt, et les deux femmes assiègent Nick qui se laisse dévêtir sans résistance. Sur un signe d’Anne, sa robuste compagne lui ouvre les fesses d’une poigne énergique, elle avance la langue dans ce sombre réduit et l’introduit dans l’anus dilaté. Anne alterne du pénis encore flaccide de Nick aux grosses lèvres noires ballantes de Souria entrouvertes sur un sexe rouge et déjà mouillé. La bouche gourmande d’Anne redresse le pénis et transforme l’antre de Souria en source jaillissante. D’un autre divan, on entend les clameurs de Tim aux prises avec Nikki qui lui pince les tétons en chevauchant sa bite tendue. Jane tentée par la rousse, lui lèche les seins en se masturbant. Le troisième groupe en pleine discussion, Gene pleure sur l’épaule de Michel.

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– A cause de moi, tu as été enchaîné dans cet affreux château. Depuis que j’ai épousé Nick, je n’ai plus donné de renseignements. Nick ne connaît pas l’emplacement du trésor, mais ils ne voulaient pas me croire. Je te jure que je n’ai pas trahi mon mari.

 

Michel la rassure en étouffant ses paroles sous ses baisers, tandis que Shannah, toujours tentée par les femmes, saisit le clitoris de Gene entre le pouce et l’index. Elle échangera bientôt les doigts pour la bouche, elle aspire dans la toison auburn, le petit bouton rose, qu’elle retrouve avec passion. Nick tenté par le corps rebondi de Souria, se couche sur les gros seins et cherche la bouche, Anne reprend la fonction de Souria, elle lèche doucement l’anus du jeune homme. Nick pénètre dans le vagin odorant de la noire et Anne qui a découvert la réserve, a saisi un gode. Elle fait progresser lentement le gros cylindre de plastique dans le cul de Nick, avant de mettre en marche le petit moteur électrique du vibreur. Après des éjaculations libératrices, tout ce petit monde se retrouve autour d’une table basse pour absorber un petit remontant. Le second tirage rassemble Gene et Shannah auprès de Tim, Nick hérite de Jane et garde Anne-Françoise, quant à Michel, il retrouve Souria et fait la connaissance de Nikki.

 

Ce changement des participants relance l’intérêt, les appétits se réveillent. Shannah retrouve avec plaisir, le corps sculptural de Gene, elle s’agenouille pour poser ses lèvres sur le sexe que la rousse tient ouvert à son intention. Tim en profite pour se glisser derrière elle et la prendre dans le con. Surprise, elle ne réagit que lentement, retrouvant dans son geste, le défenseur. Jane et Anne-Françoise se livrent à des ébats érotiques entrecoupés de fou-rires, que Nick interrompt en utilisant la petite queue que la nature lui a offerte, il enfourche la blanche, aidé par la noire aux seins gonflés de silicone. Quant à Michel, ravis de rencontrer Nikki, il se soumet de bonne grâce à ses rudes caresses, ses morsures, Souria calme le feu des griffures en léchant ses plaies. Le troisième tirage rassemble Michel Jane et Shannah, Tim, Anne-Françoise et Gene, Nick, Nikki et Souria. La nuit déjà très avancée, les ardeurs se sont émoussées. Ils retrouvent une nouvelle vigueur en se réunissant tous les six, sur le tapis. Dans une joyeuse bousculade, les filles se sont imposées et avec l’aide de leurs compagnes sont parvenues à extraire encore de l’énergie des trois males fourbus. Le jour ne s’était pas encore levé, ils dormaient tous, les uns sur les autres dans la satisfaction de leurs sens apaisés.

 

FIN

 

Air Hostess 1998

 

Postface d’Eddy

 

Voici un texte bien mystérieux qui trainait dans mes archives depuis fort longtemps. Publié en 1998 par le site aujourd’hui disparu de Sophiexxx, il le fut sans aucune relecture, sans aération et encombré de caractères exotiques qui rendaient la lecture fastidieuse. Le site d’XStory l’a réédité sans finaliser les corrections typographiques et en oubliant la moitié du récit. Entamant dernièrement la relecture de ce texte, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un récit intelligent, bien écrit et évoquant l’essentiel des fantasmes que nous défendons.

 

Le texte est anonyme, je lui ai donné un nom d’auteur fantaisiste qui fait référence au titre d’origine… Maintenant d’où vient ce texte, mystère ? J’ai pourtant cherché… Le titre initial « Air Hostess » semble indiquer qu’il pourrait s’agir d’une traduction, ou du moins d’un texte écrit par une personne bilingue, peut-être nord-américaine. Certains détails ne trompent pas, on tient par exemple à nous préciser que Marie-Antoinette était une reine française, et l’auteur sait reconnaitre l’accent écossais ! Autre bizarrerie, le texte est d’une richesse de vocabulaire remarquable et d’un érotisme descriptif très efficace et impressionnant, pourtant il n’excluait pas certaines lourdeurs ou répétitions et certains dialogues étaient déstructurés. Bizarre, bizarre ! Le texte que vous avez lu est conforme à l’original à plus de 99 %., je n’ai procédé qu’à quelques retouches de pure convenance qui en rien n’altère son propos. La mise en forme de ce récit qui m’a pris plus de cinq heures, m’a énormément excité. J’espère que sa lecture vous a rendu de même.!

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:06

L’hôtesse de l’air – 9 – L’institut des filles perdues par Air Hostess

 

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Pendant ce temps à New-York, dans l’appartement de Nick, Gene, Shannah, Nick et Tim rappelé d’urgence tiennent un conseil de guerre. Nick dit :

 

– Depuis la demande de rançon, formulée par ces gangsters, plus aucune nouvelle. Le F.B.I n’a retrouvé aucune trace. La communication téléphonique des gens qui prétendent avoir enlevé Gene a été émise à partir d’une cabine de Central Station. Vu le nombre de voyageurs qui prennent le train, aucun espoir de ce côté-là de retrouver ces crapules.

– Je suis sûre qu’ils croyaient vraiment m’avoir enlevé. Pauvre Françoise, ils ont dû s’apercevoir de leur erreur. Dieu sait ce qu’ils ont pu lui faire ? intervient Gene

– J’espère que ces bandits vont demander une rançon pour Françoise. Mais ce ne sera pas une preuve de ce qu’elle soit toujours en vie ! J’ai prévenu l’Oncle Gabriel. Déjà il m’a envoyé un employé de l’ambassade. Tous les moyens sont mis en œuvre pour la retrouver. Ajoute Tim.

 

Depuis plusieurs jours, les amis de l’hôtesse de l’air se réunissent pour comparer leurs intuitions. Tim s’est Installé au Waldorf avec Souria et le bébé. Il a prévenu tous les indicateurs du milieu, qui ne sont au courant d’aucune affaire concernant Françoise ou Gene.

 

– Je pense qu’il s’agit de terroristes étrangers, une équipe totalement inconnue des autorités.

 

Françoise se dispose enfin à se laver. Débarrassée du collier, elle retire les menottes et les chaînes qui reliaient ses poignets, en utilisant sa lime à ongles, retrouvée dans son sac. Elle se hâte de délivrer Michel du carcan rouillé. Après une heure d’efforts, les maillons cèdent. La jeune fille voudrait profiter des dernières lueurs du jour pour sa toilette, mais Michel ne peut résister à l’odeur puissante qu’elle dégage. Tandis qu’il la fouille d’une bouche insistante, passant du clitoris à l’anus en s’excitant du parfum sauvage qu’elle émet, elle réfléchit à cette préférence inattendue.

 

« Les êtres humains sont curieux, je m’efforce d’être toujours d’une propreté scrupuleuse et j’aime les hommes bien rasés, parfumés, hygiéniques. Et je m’excite et je jouis à faire l’amour à des partenaires sales, puants. Je trouve du plaisir à me faire baiser brutalement, même avec sauvagerie.  »

 

– Soit plus brutal ! Crie-t-elle à Michel qui la pénètre.

 

Ensuite, elle entreprend d’enfoncer deux puis trois doigts dans l’anus de son compagnon surpris, mais qui ne tarde pas à jouir sous sa caresse. L’eau froide du seau les rafraîchit, après une rapide ablution qui lui permet de constater que les blessures de Michel sont toutes cicatrisées, elle retire son sac à main de l’embrasure. Un gros clip blanchâtre sert de fermoir, il dissimule une lampe puissante. La cloison secrète réouverte, ils s’engagent tous les deux dans l’escalier en vis, en dégageant des nuages de poussières. Au bas des marches, trois portes, une seule s’ouvre sans difficulté sur un couloir voûté qui descend dans les ténèbres. Après un parcours de plusieurs centaines de mètres, une partie du conduit est remplie d’eau claire. Ils progressent avec de l’eau jusqu’aux genoux, puis de nouveau un couloir sec qui remonte et atteint des marches de pierre. Un escalier, semblable au premier les amène à une trappe de chêne. Leurs efforts conjugués permettent de la soulever. La petite lampe vacillante éclaire des barriques défoncées et des bouteilles vides. La porte de cette cave n’étant pas fermée à clé, ils gagnent un escalier de moellons et se retrouvent dans un grand couloir d’un bâtiment habité. Est-ce là que se cachent les membres de la bande ?

 

Une exploration prudente les conduit au premier étage. L’escalier de chêne débouche sur un couloir muni d’une veilleuse. Une porte vitrée donne accès à un grand dortoir. Ils entendent des rires étouffés, des voix de jeunes filles et prennent le risque d’ouvrir la porte. Un spectacle curieux se déroule sous leurs yeux.

 

Une quinzaine de jeunes filles, complètement nues, étendues sur des lits individuels se donnent du plaisir. Rassemblées par deux ou par trois, certaines solitaires, se masturbent en regardant les autres. Leur entrée crée un remue-ménage indescriptible. La plus proche de la porte, une brune piquante qui se fait lécher le sexe par une petite blonde rondouillarde, qui doit avoir dix-huit ans et les fixe effrontément, sans cesser d’offrir ses cuisses écartées à la blonde qui absorbée par son travail n’a rien vu. L’index sur la bouche, Françoise recommande le silence et vient s’asseoir à côté de la brunette.

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– Excuse-moi, nous avons été kidnappées par des gangsters, peux-tu me dire, où nous sommes, quel est le nom de cette localité ?

 

Entraînée par ses habitudes, elle pose tout en parlant, sa main sur le sein le plus proche et le caresse doucement.

 

– L’institut se trouve à 15 milles de Corcaigh.

 

Françoise comprend difficilement le gaélique, elle apprend qu’elle se trouve à proximité‚ de Cork, un port sur la mer d’Irlande. Les gestes remplacent les paroles, la bouche de l’hôtesse savoure un petit téton rose, et ses doigts effilés viennent rejoindre la bouche de la blonde sur le sexe dilaté. Michel apparait dans l’embrasure de la porte, deux filles qui regardaient avec intérêt les trois filles, s’élancent à sa rencontre et le traînent sur le second lit. Le dortoir est éclairé par quelques bougies tremblotantes dans des bougeoirs de fortune. La directrice du pensionnat ferme tout l’éclairage à partir d’un tableau, mais lorsqu’elle fait une ronde de surveillance, elle rallume d’abord le tableau, quand elle arrive dans le dortoir du premier étage, tout est calme. Les filles font semblant de dormir. Les bougies sont retournées dans les tables de nuit, les pensionnaires dans leur propre lit. Ça sent la bougie, comme dans une église, la directrice doit fermer les yeux. Michel, déculotté en moins de deux, exhibe un pénis mou, qui ne tarde pas à relever la tête, sous les attouchements des deux femmes. Mais déjà, tous les lits se vident, les pensionnaires entourent le trio et s’excitent en regardant le sexe de Michel. Chacune veut sucer, pour retrouver le goût délectable de la bite, dont elles sont privées depuis qu’elles sont enfermées. La tête serrée entre les cuisses d’une certaine Jenny, forte fille, poilue, aux cheveux noirs, Michel se sent aspiré par la file des pensionnaires qui font la file pour quelques instants d’activité. Toutes sucent en tenant la queue de la main droite et en se masturbant de la gauche. Michel en battant l’air, de tous côtés, les grosses cuisses de sa partenaire l’empêchant de voir, attrape soit un sein, soit un pubis soyeux. Jenny interrompt les opérations, une seule fille est restée prostrée sur son lit, une petite rousse, crispée qui baisse la tête et entoure ses genoux de ses bras protecteurs.

 

– La vierge n’est pas venue ! lance Jenny.

 

Michel est porté en triomphe sur le lit de Meg, qui n’a jamais connu d’homme. Il est mis en demeure de déflorer la seule pensionnaire encore vierge. Il se penche sur la roussette et lui parle à l’oreille.

 

– Je voudrais savoir si tu es d’accord avec ce qu’elles disent ? Je te respecterai, si tu désires conserver ta virginité ?

– Oh ! Non, Monsieur, prenez-moi. Elles se moquent toutes de moi, comme cela je serai comme tout le monde ici. Mais ne me faîtes pas trop mal.

– Rassure-toi, tu ne sentiras presque rien.

 

Pour la mettre en condition, il entreprend de caresser doucement les petits seins pointus et d’explorer avec douceur une belle toison roussâtre qu’elle lui abandonne avec pudeur. Pendant ce temps, Françoise a repéré‚ une jeune fille qui la regarde intensément. Chinoise ou Vietnamienne, ses yeux en amandes et son corps souple retiennent son attention, délaissant ses deux partenaires, elle s’assied sur le lit de l’Eurasienne. Elle entoure ses épaules d’un bras protecteur et lui levant le menton, elle l’embrasse tendrement sur la bouche. Les yeux noirs s’agrandissent, la fille happe la langue de Françoise pour y coller la sienne. La succion qu’elle pratique éveille des sensations impossibles à refouler pour l’hôtesse. La langue mime une fellation, comme si l’organe de notre amie s’était transformé en bite. La sensation puissante accompagne l’ouverture des cuisses qui accueille la main bienfaisante qui prend le chemin du clitoris. Le petit bouton bien dégagé mesure trois ou quatre centimètres, érectile il grandit sous les doigts de la française, bientôt remplacés par une bouche éperdue de plaisir. May-Lee, nom de l’eurasienne, hurle de jouissance, son jus, au goût épicé comme toutes les orientales, excite la langue de Françoise qui se place sous la fille, pour ne rien perdre du jus divin. Pendant ce temps, Michel, lèche avec tendresse, les beautés mises à sa disposition. Du clitoris au petit anus rose et resserré, il mouille tout l’entre-jambe. Il perçoit l’ouverture progressive du vagin et du cul sous sa caresse. La fille gémit doucement, entourée par un cercle de compagnes qui l’encouragent, tout en se masturbant mutuellement. Michel se couche sur le lit, et place Meg accroupie de face.

 

– Voilà, j’introduis ma verge, et toi, tu te glisses dessus. Je te guide, mais je ne tiens pas. Si tu as mal, retire-toi.

 

Meg dont le con laisse couler des filets de jouissance, se place doucement sur le pénis de Michel. Timidement, elle sautille et se soulève dès que l’introduction s’avère difficile. Peu à peu sa respiration s’accélère, on voit ses seins se soulever et son visage s’éclaire d’un large sourire. Elle puise le courage de s’empaler, elle ferme les yeux et place ses mains sur sa poitrine. Son corps glisse sur le sexe dressé, elle pousse un cri et se retrouve le clitoris planté dans le poil de Michel. Elle jouit avec une intensité dramatique, la queue lui parait traverser ses entrailles, labourer son ventre en faisant jaillir des sensations étranges, inconnues auxquelles, elle ne peut s’arracher. Longtemps, elle reste enfilée sur le pénis, le ventre de l’homme se colore du sang du sacrifice. La joie de la fille est indescriptible, elle embrasse l’israélien, elle serre son visage sur ses seins en criant :

 

« Merci ! Oh ! merci !

 

Dans un autre lit, May-Lee jouit toujours dans la bouche de Françoise, puis saisissant dans son tiroir un énorme godemiché, elle l’introduit dans le vagin de sa partenaire. La française, excitée par le jus étrange tient le clitoris entre ses dents, le gode bien en place dans son sexe. La porte s’ouvre avec fracas et les battants se cognent contre le mur. Une grosse dame fait son apparition, en chemise de nuit, elle tient un fusil qu’elle braque sur Michel

 

– Quelle honte, petites salopes ! Je savais bien que vous faisiez vos saletés derrière mon dos. Où avez-vous trouvé cet homme ? Allons debout. Levez-vous. Je vais appeler la police. Vous serez moins faraud devant un constable.

 

Michel debout devant elle, nu et désarmé regarde avec détermination, la grosse femme, aux lunettes de myope, son corps boudin‚ gonfle la chemise à fleurs qui est son unique vêtement. Sur un signe du canon du fusil, il récupère ses vêtements épars. Les bougies éteintes, le calme revenu, la Directrice du home des filles perdues n’a pas remarqué Françoise, elle ramasse dans le couloir sa lanterne sourde, referme la porte et intime à Michel de la précéder dans le couloir.

 

Françoise profite du calme relatif pour disposer son sac à main balise, sur l’appui d’une fenêtre, l’antenne dirigée vers le ciel. Elle regagne le lit de la petite asiatique, mais son excitation tombée, elle pense à Michel et au sort que lui réserve la grosse dame. Celle-ci, maintenant toujours Michel sous la menace de son fusil de chasse à double canon, le pousse dans une chambre du deuxième étage, éclairée et chauffée, visiblement la sienne. Michel a remarqué que les chiens de l’arme ne sont pas levés, d’ailleurs l’état du fusil suggère une arme de collection non chargée.

 

– Laisse tes vêtements dans le fauteuil et couche toi dans le lit.

 

L’honorable correspondant du Mossad obéit à l’injonction, tandis que la dame dépose son arme, retire ses grosses lunettes de myope et fait glisser sa chemise de nuit par-dessus la tête. Nue, elle paraît moins lourde, elle s’installe dans le lit à côté‚ de Michel.

 

– Montre-moi ce que tu sais faire !

 

Ses yeux bleus de myope regardent dans le vide, elle approche son visage et entrouvre les lèvres dans un sourire appétissant. L’homme se saisit des gros seins étonnants par leur fermeté. Elle chevauche le corps de Michel et bouche à bouche, elle parcourt son corps de ses doigts boudinés. Dans une masse de poils châtain foncé, on devine la dépression du sexe, cerné par des bourrelets de chair rose. Tout à coup, elle saisit la verge :

 

– Tu as du sang sur ta queue.

– Oui ! J’ai dépucelé la vierge, tu en vois la marque.

 

La directrice se penche et gobe le pénis.

 

– C’est délicieux, ce jus a la fraîcheur d’une jeune fille.

 

La fellation entraîne un brusque raidissement du membre. La grosse dame se hisse sur le gland et le fait glisser lentement dans son conduit étroit. Avec un certain doigté, elle accompagne ses sautillements sur la queue qui la pénètre, par des pincements des tétons masculins.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 07:02

L’hôtesse de l’air – 8 – La nuit des merlettes.par Air Hostess

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La nuit des Merlettes.

 

Françoise plongée dans les ténèbres, perçoit confusément l’odeur âcre du sac en jute. Des mains rudes la saisissent, mais elle ne ressent aucune douleur. Elle flotte dans un univers, sans pensée, sans mémoire, sans image. Elle ne réagit pas à une piqûre dans le bras gauche, elle replonge dans un sommeil comateux. De temps en temps, elle émerge, mais la notion de temps écoulé disparue, sa capacité de raisonnement bloquée, elle ne peut évaluer. Par moment, son corps léger comme une plume lui donne la sensation d’être immergée dans un liquide ou d’avoir franchi les frontières de la mort. A un certain moment, elle commence à percevoir des lueurs diffuses, des sons assourdis, le frottement d’un tissus épais, une nouvelle injection la précipite à nouveau dans le royaume du silence. Combien de temps a-t-elle sombrée dans l’immatérialité des sens ? Tout à coup, elle éprouve une sensation de froid, ses pieds glacés se matérialisent, ses mains crispées se réveillent, son estomac tordu par une crampe, ses yeux s’ouvrent sur une réalité déplaisante et inattendue. Elle est couchée sur un matelas, dans une chambre aux murs de pierres, froide et hostile.

– Elle se réveille enfin ! dit une voix d’homme, vulgaire et rocailleuse.

 

Elle tourne la tête et aperçoit un inconnu, vêtu de grosses laine bariolée et qui porte un bonnet de même matière. Son visage rougeaud et mal rasé, souligné par une grosse moustache rousse respire la bêtise et l’obstination. Prévenus de son réveil, deux personnages font leur entrée, ils portent une cagoule de laine noire.

 

– Rassurez-vous Madame Gathwell, dès que votre mari aura répondu à nos questions, vous serez libre ?

 

Françoise comprend la méprise des kidnappeurs, capturée dans la voiture de Nick, ils pensent avoir enlevé Gene. Elle réfléchit rapidement, peut-être, est-il préférable de ne pas protester. Ils semblent traiter la pseudo Madame Gathwell avec une certaine déférence, seraient-ils aussi polis avec une étrangère ? La journée se passe dans l’attente, un petit repas lui est servi, deux petits pains beurrés et un verre de thé chaud. La pièce où elle est enfermée, est constituée de grosses pierres verdâtres, dont certaines sont sculptées en ronde bosse. Avec étonnement, elle découvre sur le linteau de la grande cheminée, un blason armorié qui porte trois merlettes.

 

« Trois merlettes d’or sur champ de gueule, mais c’est le blason des Gathwell ! Comment est-ce possible, ici, aux U.S.A de découvrir une salle moyenâgeuse, ou alors un décor de cinéma ? construit en dur ? »

 

Un des cagoulards, vint lui rendre visite :

 

– Veuillez excuser, Madame notre brutalité, nous ne savions pas que vous apparteniez à l’organisation ? S’il vous plaît ne vous plaignez pas au chef. On nous a dit, il y a une personne à enlever et à transporter en Europe. Nous ne savions pas qui vous étiez. Un nom et une photo, on n’a rien reçu d’autre.

 

Françoise le rassure, elle ne se plaindra pas. Après une nuit agitée, enveloppée dans un plaid aux couleurs des Torndyke, le jour parait enfin entre les barreaux de la fenêtre grillagée, construite si haut, qu’il est impossible de regarder à l’extérieur. Le gars à la moustache rousse lui apporte un plateau, thé brûlant et scones beurrés. Rien ne semble prévu pour faire sa toilette. Elle entend des voix qui lui parviennent par le manteau de la cheminée. L’un des interlocuteurs d’une voix plaintive déclare qu’on aurait pu le prévenir. Il n’est pas responsable du fait que Madame Gathwell n’envoie plus de rapports à l’organisation. Il a été chargé de veiller sur elle, puisque Herbert est resté à New-York. Tout cela conforte Françoise de ne pas dévoiler son identité‚. Mais quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre devant un grand gaillard blond, au visage en lame de couteau, vêtu d’un trois pièces classique.

 

– Mais, dit-il. Ce n’est pas Madame Gathwell, il s’agit de la toute belle « Françoise Laborde », comme elle aime se faire appeler. Bonjour Françoise ou plutôt, Anne de Neubourg, honorable correspondante des services secrets français. Comment allez-vous Anne ? Depuis que je suis sorti des geôles américaines de Francfort, je n’ai cessé de penser à toi, je suis persuadé que tu es responsable de mon arrestation, ta copine Solange doit être du même bord ?

 

L’apparition d’Oskar Reynecke a frappé Françoise de stupeur. Que vient faire ce redoutable fomentateur de troubles, successivement, Wehrwolf, agent de Moscou, membre de la Stasi et agitateur de la Rote Armee Fraktion. Déjà, assis familièrement sur le bord du matelas, il la questionne

 

– Comment les services français sont-ils au courant ?

– Je n’en sais rien, j’obéis aux ordres. Ce sont vos sbires qui se sont trompés, Nick Gathwell me reconduisait à mon hôtel, ils m’ont prise à la place de Gene

– Je veux bien le croire, mais maintenant vous en savez trop. Une autre fille, je l’aurais fait liquider en vitesse, mais toi, en souvenir de la douceur de tes fesses, je vais te garder en lieu sûr, pour que tu ne puisses nous dénoncer. Comment as-tu entendu parler du trésor des Gathwell ?

– C’est la première fois qu’on m’en parle, j’ai rencontré Nick au Caire et je l’ai retrouvé au Congrès des hôtesses de l’air à New York, il y quinze jours.

– Alors je t’explique, je suis assez fier de mon stratagème. Irina Kotkowa, parfaite bilingue russo anglaise, fait partie de mon équipe. Je l’ai envoyée à Boston avec de faux papiers, avec mission de séduire ce jeune benêt de Nick Gathwell. Un membre de la famille Torndyke a disparu à Auschwitz, mais nous avions enregistré ses aveux. Pour obtenir la vie sauve, il avait déclaré qu’un ancêtre de ton nigaud de Nick avait ramené des Indes un fabuleux trésor, des pierres précieuses et de l’or, en pièces et en lingots. Après la guerre, j’ai constitué une équipe pour surveiller ce jeune homme, mais nous n’avons rien trouvé de suspect. Plusieurs tonnes de bijoux et de joaillerie tiennent beaucoup de place. Nous avons pensé que c’est ici dans le vieux château de la famille, près de Cork que doit se trouver le magot. Malgré les recherches discrètes, le personnel du château est à ma botte, nous faisons chou blanc. J’ai obtenu l’appui de certains agents de la C.I.A, dès qu’il y a du fric, les américains sont là. Le château possède sa piste d’atterrissage, aménagée pendant la guerre, pour recueillir les bombardiers revenant de Norvège. Les types de la Mossad sont aussi sur l’affaire, ça devient un problème international.

 

Le sinistre personnage se retira, en fermant soigneusement la porte derrière lui. Quelques minutes plus tard, les deux hommes qui l’avaient amené au château, l’ont fait descendre par un escalier en colimaçon dans de sombres caves. jeté sans ménagement sur un tas de paille, il lui fixent au cou, un collier de fer rouillé relié par une chaîne à une colonne portante, ses mains sont également réunies par une chaîne de fer rouillée. La porte se referme avec force sur les deux personnages.

 

– Bienvenue, chère amie dans le royaume des ténèbres !

 

La voix vient d’une autre colonne, aucun doute l’homme enchaîne‚ à cet endroit s’appelle Michel Goldfinkel, l’homme de la Mossad.

 

– C’est toi Michel ?

– Oui, comme tu vois, une fois de plus j’ai fourré mon nez où il ne fallait pas. Mais je me demande, par quelle opération magique tu es au parfum, d’une information totalement secrète, qui n’est connue que de mon service ?

– Tu veux parler du trésor des Torndyke ?

– Comment les français sont -ils au courant ? Un groupe de gangsters américains dirigés par un certain Brown ont financé les recherches des anciens membres de la Stasi qui sont sur la piste du trésor. On ne sait pas comment ce Brown a pu apprendre l’existence du magot. Brown, qui a été assassiné, peut-être par d’anciens complices de la Stasi, s’appelait en réalité Bauer, il était Obersturmbannführe dans la SS et c’est lui qui a recueilli les confidences du vieux Torndyke. Il a gardé pour lui, cette histoire juteuse. Après la fin de la guerre froide, il a commencé ses recherches. C’est Oskar Reynecke qui a introduit ses hommes parmi les serviteurs du château. D’autre part, une russe, une certaine Irina, une belle rousse a séduit Nick et l’a épousé pour lui arracher un complément d’informations. Mais Nick parait ne rien connaître de ce trésor.

– Et bien tu n’as pas perdu ton temps.

 

Françoise tripote sa chevelure, elle retrouve avec intérêt, deux ou trois épingles à cheveux qui lui permettent d’ouvrir la fermeture rudimentaire du collier de fer rouillé. Elle se précipite vers Michel et se jette dans ses bras.

 

– Oh ! Mon pauvre amour, comme ils t’ont arrangé ?.

 

Michel couvert de bleus et d’ecchymoses, garde un œil fermé.

 

– Ils m’ont un peu tabassé, mais je récupère assez vite. Cette fichue chaîne, trop courte m’empêche de m’étendre.

Hostess0

Françoise couchée à côté de l’agent israélien, le réchauffe avec son corps. Ses yeux se portent vers la cheminée qui occupe le même emplacement qu’à l’étage supérieur. Et toujours, comme pour la narguer, le blason des Gathwell sur le manteau, surplombant les restes d’un ancien foyer. La taque de fonte aux ronde-bosses rongées par le feu, présente une réplique effacée des armoiries. Le regard de la française se fixe sur les quatre merlettes qui trônent sur le linteau.

 

« Pourquoi quatre ? Nick a toujours dit « le blason de mon sweater, appartient à ma famille, trois merlettes d’or sur champ de gueule (rouge) ». Cette quatrième merlette, n’est pas innocente, ce n’est pas une initiative du sculpteur, elle répond à une signification précise, elle veut dire quelque chose. »

 

La nuit interrompt la suite de ses pensées et puis Michel, malgré ses souffrances, retrouve suffisamment de force, pour lui arracher des gémissements de plaisir. Elle s’endort, les doigts de Michel englués dans son sexe. Elle rêve de liberté, nue, elle court dans les prés qui entoure le château et est suivie par une myriade de canards, non de merlettes qui clopinent sur le gazon.

 

Au lever du jour, elle regagne sa place, sur le tas de paille du premier pilier. La lumière froide du matin passe par les meurtrières et colore le manteau de la cheminée. Il n’y a aucun doute, quatre merlettes se suivent sur le blason. Françoise replace le collier rouillé sur son cou. Le rouquin moustachu apporte à chacun un cruchon d’eau fraîche et un gros pain aux raisins. La porte cloutée se referme sur ce personnage soupçonneux et taciturne. La journée se passe lentement, les ombres et les lumières dessinent sur les murs des images fugaces. La jeune hôtesse attend que tout bruit cesse dans le château, pour retirer le collier avant la nuit complète. Avant même de rejoindre le cher Michel au pied du second pilier, elle s’approche de la cheminée et sur la pointe des pieds, elle appuie sur la quatrième merlette qui s’enfonce sous la pression. Avec un bruit grinçant, une plaque de fer latérale pivote dans la cheminée. Derrière la plaque, le fond de la cavité, démasque un levier couvert de suie. Françoise saisit la poignée et de toutes ses forces la tire vers le bas. A l’extérieur de la cheminée, une autre plaque de fer forgé s’entrouvre, on distingue dans la pénombre grandissante, un escalier en vis. Françoise remet toute chose en place, efface les traces de suie répandues sur le sol. Elle se rend près de Michel pour en discuter. Il va mieux. Avant de parler de ce sujet, il veut assouvir le désir insoutenable de posséder la jeune fille, qui se soumet de bonne grâce à ses attouchements. A genoux, sur la paille, elle présente à ses lèvres tuméfiées la chair tendre de son sexe.

 

– Si tu savais quel bien tu me fais ! Mes doigts déchirés hier se sont cicatrisés avec le merveilleux baume de ta jouissance. Tu verras que mes lèvres vont guérir à ton contact.

 

Il suce les douces membranes, le nez enfoui dans le poil du pubis. De ses deux bras, il soulève la robe, retire la culotte de crêpe de chine, bordée de dentelles champagne. Il écarte les cuisses nerveuses et parcourt le périnée avec ses paumes meurtries. Françoise oublie sa situation périlleuse, elle sent une puissante pulsion partir de ses reins cambrés, elle mouille, le jus sacré coule directement dans la bouche entrouverte de Michel. Il entend le ronronnement de Françoise se transformer en râle de plaisir, elle jouit directement dans la bouche de l’aimé. Elle tâte le pantalon pour contrôler le désir du mâle, la dureté du sexe autorise tous les espoirs. Elle le dégage, et s’assied sur le pénis dressé. Il glisse sans effort jusqu’au fond de son vagin, une giclée de cyprine jaillit et roule sur les poils de son ventre. Longtemps, elle sautille sur le sexe dressé, les jambes ouvertes en grand écart, elle veut bénéficier du moindre centimètre de chair vivante qu’elle sent palpiter dans son con. Lorsque les battements annonciateurs de l’éjaculation se rapprochent, elle se retire doucement, des ruisseaux de cyprine coulent à flot. Le calme revenu dans la bite palpitante, elle la nettoie avec sa bouche brulante, et se replace chevauchant à nouveau le membre adoré. Plusieurs heures plus tard, elle fera pénétrer la bite toujours aussi raidie, dans son orifice anal. La jouissance devient torride. La pénétration génère des sensations extrêmes, à la limite du supportable. Le spasme qui malaxe sa petite matrice de nullipare, lui arrache des larmes de joie, sa poitrine se soulève avec des cris de délivrance qui se confondent avec les gémissements du mâle. Son anus en fusion se resserre sur la queue. Profondément enfoncé dans le colon, il sent les haustrations qui glissent sous son gland, comme autant de bouches à ouvrir. Dans un dernier spasme, il éjacule dans cet espace brulant et accueillant. Françoise perçoit l’hommage rendu à sa lascivité. Le sperme dégouline, se répand dans ses entrailles. Elle entre en communion avec ce sperme vivant qui pétille et excite les parois. Ils retombent sur la paille et s’endorment toujours engagés l’un dans l’autre, comme s’il ne formait plus qu’un.

 

Accroupie sur la paille, qu’elle a rassemblée au coin du pilier de pierre, Françoise urine, sa petite culotte de dentelles descendue sur ses mollets, la chaîne du collier tendue, elle relève les pans de sa robe défraîchie. Elle n’a pas entendu la porte du donjon, s’ouvrir sous la poussée du rouquin moustachu. Il reste un instant interdit, devant le magnifique spectacle que lui présente la jeune femme tournée vers la porte. Il se rapproche il porte un plateau fumant, thé et pain beurré‚ qu’il dépose sur la paille. Il avance vers la jeune hôtesse qui prend conscience de son aspect négligé, ses mains noires de suie, ont laissé des marbrures noirâtres sur ses cuisses. Depuis son enlèvement, elle n’a pu se laver, ni changer ses sous-vêtements, elle répand une odeur sûre de corps mal lavé, ses yeux splendides se fixent sur le geôlier. Il bande. Elle lui demande

 

– Pourriez-vous m’apporter un seau avec de l’eau fraîche, je voudrais me laver ?

 

Sans un mot, l’homme déboutonne la braguette de son pantalon de velours côtelé et retire un pénis de taille moyenne, ainsi que d’énormes couilles poilues couvertes de soies rouges comme un sanglier. L’odeur de sa queue écœure, le prépuce couvre le gland. Françoise s’efforce de faire glisser le fourreau de peau, pour mettre le gland à la lumière. Le prépuce trop étroit rend cette opération très douloureuse. Visiblement, il souffre d’un phimosis, malformation qui jadis avait empêchée Louis XVI de rendre ses devoirs conjugaux à Marie-Antoinette, reine de France. Notre jeune française tient délicatement l’objet dans sa main droite, il sent le bouc, et le poil roux, et avec précaution, malgré‚ son dégoût, y pose les lèvres. Pris en bouche, le goût du membre excite les sens de la jeune fille. Elle pue, l’odeur aigrie de sa sueur sort de son décolleté et se mélange à celle du gardien. La saveur piquante de cette bite mal lavée, augmente encore l’excitation de la fille. De la main gauche, elle introduit deux doigts dans son sexe humide et de la droite, elle tient le pénis dans sa bouche chaude. Son regard accroche les yeux de Michel qui attaché à son pilier, suit des yeux le manège. La salive de Françoise accomplit des miracles, le prépuce glisse et dégage le gland bleuté. Maintenant, elle suce la queue délivrée de la gaine trop serrée. Elle espère que l’homme se contentera d’un pompier, elle n’a aucun moyen anticonceptionnel. Mais il se dégage et il dit brutalement

 

– Retire ta culotte complètement et ouvre les jambes

 

Françoise lui dit

 

– D’accord, mais d’abord va chercher mon petit sac à main que je portais en bandoulière. Il contient des affaires de femme, et des préservatifs.

 

L’homme revient quelques instants plus tard, dépose le sac en cuir et paraît satisfait de voir la jeune hôtesse qui l’attend, la robe relevée sur la poitrine et le sexe bien exposé. Françoise reprend la fellation interrompue puis suggère un coït anal en exhibant son cul. Sans aucune répugnance, le rouquin d’une langue pâteuse lèche les résidus collés sur l’anus. Toutes les odeurs dégagées mettent la jeune femme dans un état indescriptible. Elle mouille, et la cyprine coule sur ses cuisses. Le rouquin ajuste sa queue sur le sphincter entrouvert et la pénètre brutalement. Elle n’a pu retenir un cri de douleur et de surprise, mais tout de suite le désir de l’homme efface le mal, la jouissance submerge toute autre sensation. Après une dizaine de pénétrations successives, il décharge enfin.

 

Longtemps prostrée, Françoise récupère son sang-froid, sa respiration se calme, elle perçoit encore longtemps la brulure délicieuse et l’odeur aphrodisiaque. Le rouquin apporte un seau d’eau et même un morceau de savon. Dès que la porte se referme, Françoise se précipite sur son sac à main. Elle en vide rapidement le contenu sur une dalle, dans le fond, doublé de daim, elle dégage un espace creux, qui dissimule une petite balise. La courroie du sac contient une antenne, se débarrassant du collier de fer, elle tourne un minuscule bouton qui allume une petite lampe rouge. Refermant le tout, elle dépose le sac dans une meurtrière, la courroie dirigée vers le ciel, espérant qu’un satellite français signalera l’appel à l’aide.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:58

stamp partouz

 

 

Françoise promit de les accompagner, et s’engagea à leur présenter quelques amis ou amies intéressants. Elle pensait à Tim, ou à un duo, Jane et Gene, les époux n’étaient pas racistes. Nick réveillé propose de reconduire Françoise à son hôtel, les rues ne sont pas sûres à cette heure, et les taxis problématiques. Comme il se doit, Nick conduit une Bentley. Arrivé au coin de la rue, le pare-brise s’étoile, une balle se fiche dans le plafond. Un coup d’accélérateur les éloigne de leur agresseur, un piéton muni d’une carabine. Qui était visé ?

Le récit à Shannah, de son diner chez les Gathwell, interrompu à plusieurs reprises par l’état de fatigue de notre héroïne, excite prodigieusement la syrienne. Françoise désirait prendre une douche et dormir, mais sa compagne l’en dissuade.

 

– Je veux respirer ton corps nu, je découvrirai tout ce que tu as fait ou qu’on t’a fait, ce soir. Tu te rends compte dans quel état tu es ?

– Laisse-moi dormir, répond l’hôtesse, les lèvres de Shannah collées à son entre-jambe. Elle baise bien, la femme de Nick ? Aussi bien que moi ?

 

Elle n’obtient aucune réponse, Françoise dort profondément. Un brunch, faisant office de petit déjeuner et de diner réunit les deux filles et Françoise décrit brièvement le retour dramatique et l’attentat manqué. Shannah est très intéressée par la secte du gourou, elle insiste pour être présentée à Gene et à Nick. Avant cette soirée, notre jeune hôtesse aurait refusé tout net, elle voulait garder pour elle seule, le jeune anglais. Mais le dîner lui a fait perdre ses dernières illusions, elle ne refusera pas le plaisir qu’il pourra lui donner, mais il l’a déçu, moralement et physiquement. Tim séjourne toujours à Frisco avec Nikki et Jane. Souria reste à Washington à les attendre, ce sont les premiers pas de Karim, qui titube sur la moquette du palace. Françoise évoque la dernière carte illustrée de l’Oncle Gabriel, le revenant, est-il Reynecke ou Gathwell ?

 

Dans un coin éloigné du Bronx, une ancienne salle de danse, ou peut-être, une salle de boxe désaffectée, au milieu des épiceries orientales, des boucheries polonaises casher, des brocanteurs levantins et des officines de pari italiennes, sert de lieu de réunion à la secte du bouton d’or. Gene a admis tout de suite Shannah, dans son intimité, elle la chaperonne comme si elle avait quinze ans. Elle la serre contre elle, dès la descente de voiture. La Bentley de 1977 a retrouvé en quatre jours un nouveau pare-brise, une performance pour un véhicule de cet âge. Nick suit avec Françoise, charmeur et contrit, il tente de faire pardonner son mensonge. Une série de petites pièces précèdent la salle de réunion de l’étage. Dans la première, un moustachu filtre les arrivants, il porte sur la tête, un large boudin d’astrakan gris, d’où dépasse un haut fez de feutrine rouge, une large robe brodée tombe jusqu’à ses pieds nus, dans des babouches. Il accueille le petit groupe, avec le sourire, ces adeptes convaincus et leurs invitées sont priés de franchir la porte du vestiaire. Chacun dispose d’un casier pour y pendre ses vêtements. Dans chaque casier, une paire de babouches attend le visiteur.

 

Shannah bat des mains, elle s’amuse comme une folle, nue, elle embrasse la toison auburn de Gene, et comme s’il s’agissait d’un sucre d’orge, elle gobe rapidement la verge de Nick très surpris. Un grand noir, nu comme un vers, mais qui porte un turban, les introduit dans la pièce suivante. Le gourou porte aussi un turban brodé et une longue simarre de plusieurs tons. Gene, la première se met à genoux devant l’indien, qui lui impose la main gauche sur la chevelure et de l’autre ouvre sa robe brodée, dessous, il est entièrement nu. Gene toujours agenouillée saisit entre ses lèvres minces, le sexe démesuré du grand homme qui a conservé tout son prépuce. Le même cérémonial se déroule pour Nick, qui aspire avec empressement le membre tendu. Françoise suit le mouvement, l’énorme bite frémit dans sa bouche, quand elle aspire la peau du prépuce, le gland jaillit sur sa langue. Une petite tape, sert de confirmation. Shannah prend son temps, elle est en manque, depuis sa sortie de prison, elle n’a pas eu beaucoup d’occasion de rencontrer des hommes. Mais le gros homme, se retire rapidement de la bouche affamée.

 

Nos quatre voyageurs pénètrent alors dans la grande salle, décorée de nombreux tapis et offrant de nombreux divans à la lascivité des participants. Au grand étonnement de la française, plus de cent personnes des deux sexes, entièrement nues, sacrifient à la gloire de Vénus, ou plutôt du bouton d’or. Il s’agit en fait du gland sacré du gourou, élevé à la dignité d’un objet du culte. Il y a nettement plus de femmes que d’hommes, le contraire des speak-easys, pense Françoise. Un solide castard, au visage rougi par le soleil, s’avance vers Nick, et le saisit par la verge. A en juger par le comportement des voisins, ce geste à remplacer le shake-hand de bienvenue. La petite suite de Nick s’intègre rapidement dans un plus large groupe. Le grand gaillard, un irlandais, s’empare du jeune anglais qui s’assied sur ses genoux. Gene, Françoise et Shannah, assises dans un divan couvert de coussin, sont entourées de dames replètes et bedonnantes, mais couvertes de bijoux comme des châsses. Notre française sent confusément que Gene voudrait bien partir à la découverte de Shannah, elle cède sa place à côté de Gene. L’écossaise prend l’initiative et s’enthousiasme de ce corps juvénile et frénétique. La voisine de Françoise risque une main timide sur les seins aux pointes dressées de la française

 

– Puis-je me permettre ? Chez qui avez-vous fait refaire vos seins ? Ils sont merveilleux !

– Ils sont comme cela de naissance, si je puis dire, en fait, en réalité depuis mes quinze ans.

Hostess7

La main beaucoup plus hardie, s’aventure sur le ventre plat, descend dans le buisson du pubis et entrebâille la porte du temple. Françoise se tourne vers cette admiratrice, une quadragénaire très soignée, mais au ventre rebondi, aux seins translucides remplis de silicone, qui reposent sur des plis dispensés par une nature genreuse. Elle n’est pas belle, mais plaisante, dans ce lieu où règne une température d’étuve, elle transpire abondamment. L’odeur de la sueur a toujours un effet aphrodisiaque sur Françoise. Elle ne peut retenir un élan pour respirer les aisselles mouillées de la grosse dame, et caresser les gros nichons gonflés aussi sensibles qu’un ballon en plastique. La main chatouille son clitoris, tandis qu’une autre admiratrice pointe son museau, entre ses cuisses, et finit par introduire une grosse langue baveuse dans l’entrée du vagin. Les yeux fermés, l’hôtesse jouit, elle baigne dans l’odeur de transpiration qui évoque des étreintes puissantes, son sexe largement ouvert à la disposition des deux femmes. L’ami irlandais de Nick, le masturbe et se dispose à le sodomiser, Shannah très intéressée se rapproche et saisit la bite d’une main et de l’autre ses doigts fuselés ouvrent le passage. Gene se penche pour embrasser son mari et lui parle à l’oreille. Nick à genoux sur le large siège, lèche le sexe roux de son épouse, il lève la croupe pour faciliter l’introduction anale, debout Shannah, une jambe appuyée au dossier présente son sexe à la langue épanouie de Gene. Pendant ce temps, Françoise a renversé les rôles, elle explore les cuisses grasses de son admiratrice, elle agrippe le clitoris grassouillet dans les replis de son capuchon, et le masturbe délicatement. La dame implore un traitement plus brutal :

 

– Pince-moi les seins, oui, oui… comme ça mais beaucoup plus fort, fais-moi mal. Je t’en prie, tord les bouts de mes seins, je ne sens presque rien. Mord dans mon clitoris, et dans les lèvres, plante tes dents. Griffe-moi le dos avec tes ongles.

 

Le dos, tout sillonné de griffures précédentes témoignent des jouissances passées. Tandis que la femme gémit et répand des flots de transpiration parfumée de Guerlain, Françoise sent le ruisseau de sa propre jouissance aspiré par la bouche exigeante de la seconde matrone. Nick, au visage congestionné reçoit l’offrande du pénis du rouquin, une énorme trique, aussi grosse que longue, qui pénètre lentement dans son anus distendu. Françoise le regarde et prend conscience de la jouissance qu’il éprouve et qui modifie les traits de son visage. Les rapports dits contre nature, curieusement font jouir intensément hommes et femmes, les femmes parce qu’une grosse bite dans le colon, si elle est assez longue, n’est séparée de la naissance de la matrice que par une mince membrane élastique.

 

Une femme accroupie présente un vagin plissé et raccourci, l’index et le médius conjugués peuvent caresser le col de la matrice et déclenchent un violent orgasme, mais il est plus puissant encore au niveau du début de la matrice, qui ne peut être atteint que par la sodomie ou un solide godemiché. Chez l’homme, la queue du partenaire masse la prostate, l’éjaculation rapide et complète entraîne une jouissance extraordinaire. Nick transpire, Shannah attirée par le changement de son rythme respiratoire, comprend qu’il va jouir. Elle abandonne Gene, se glisse sous le ventre du mari et arrive à temps pour avaler à pleines gorgées, le sperme écumeux dont elle est si friande. Elle le partagera, ensuite, avec Gene et Françoise, les trois langues remuent l’éjaculé crémeux.

 

Le gourou ne tarde pas à faire son entrée. Complètement nu, il a cependant gardé son turban, qui dissimule sa calvitie, il marche très lentement, il a fixé sur son prépuce démesuré une pince métallique à laquelle pend un poids d’un kilo. Sur ses seins deux autres pinces, reliés par une chaîne, entrent dans les chairs. Il tire sur la chaîne, et sans une plainte, mais avec cependant une grimace provoquée par la douleur, il prouve une jouissance morbide. Il appelle près de lui, Gene, Shannah et Françoise. Il caresse les seins de Shannah et de Gene, tandis que Françoise dégage le long prépuce de la pince et le prenant en bouche, suce doucement la trace sanglante des dents métalliques. D’une poche damassée, le maître retire de vulgaires pinces à linge de plastique, qu’il place sur les tétons de ces dames. La douleur est vive, mais s’efface rapidement, seule persiste la sensation cuisante d’être pincé ou d’être retenue vigoureusement. Françoise retrousse le prépuce et entre en contact avec le gland, comme à son habitude, elle engloutit toute la verge, jusqu’à sa base et ses narines échouent dans le poil raide du gourou. L’odeur de bouc excite ses sens, d’une main elle tient l’organe et de l’autre, elle se masturbe. La grosse dame constellée de pinces à linge, lui écarte les cuisses et la lèche à grands coups de langue. Déjà, le gourou se dégage, c’est à Shannah qu’il dédie son offrande, une bonne lampée de sperme épais.

 

Dans la salle les fidèles, calquant leur attitude sur celle du maître se font flageller, fouetter. Gene explique à Françoise qu’elle a subi, enfant, une éducation anglaise, sa sexualité se déchaîne, lorsqu’elle est fessée, battue ou enchaînée. Françoise craint que la réunion ne dégénère en pulsions sadiques. Elle s’avise que Nick, un peu à l’écart, récupère et lui demande de la reconduire au Waldorf. Shannah et Gene ne désirent pas les accompagner. Elles sont les objets préférés des participants. Rhabillés, Nick et Françoise prennent place dans la Bentley, lorsqu’ils sont assaillis par des individus cachés derrière le dossier. La jeune française reconnait l’odeur âcre du chloroforme, elle se débat, un sac lui est enfoncé sur la tête, elle perd connaissance.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:55

L’hôtesse de l’air – 6 – Le congrès des hôtesses par Air Hostess

Gode stamp


Le passé‚ peut-il revivre ?

 

Le lendemain du procès, qui abandonne les charges contre Shannah et reporte le verdict à quinzaine, Françoise apprend successivement que le nommé Oskar Reynecke s’est échappé‚ depuis deux mois de sa prison. Elle reçoit ce matin une carte illustrée portant au recto le visage caractéristique de Boris Karlov dans « Frankenstein », au verso une formule sibylline comme à l’habitude

« Les revenants séjournent dans nos pensées. Prend bien soin de ta santé. Signé‚ Oncle Gabriel ».

 

Le message a pris du retard, pense notre hôtesse, et elle se demande qui dans son entourage peut renseigner le boss. Trêve de réflexion, le Congrès international des hôtesses navigantes s’ouvre demain à New York. Laissant Souria et Karim à la garde vigilante de Tim, elle prend le courrier de New York avec Shannah. Le Waldorf arbore les drapeaux des pays participants. Françoise retrouve au bar du rez-de-chaussée, de nombreuses copines qui travaillent sur des lignes étrangères, des anglaises, des russes, des finnoises, des coréennes et surtout de très nombreuses américaines aux uniformes multicolores qui représentent les différentes compagnies. Toujours en civil, Françoise regagne sa chambre pour se mettre en uniforme, la tenue d’été‚ d’Air-France, une robe légère que par cette chaleur, elle porte comme à l’habitude à même la peau. Shannah, vautrée sur le lit l’observe :

 

– Tu oublies ta culotte ?

– Tu sais bien, je ne mets jamais de culotte en uniforme, j’aime que la brise me caresse le poil, quand j’accueille les passagers.

 

La salle réservé au Congrès, tendue de drap gris-bleu où s’affairent les décorateurs des stands commerciaux parait immense à Françoise qui doit prendre la parole en tant qu’unique représentante de la France. Elle monte à la tribune, pour essayer les micros. Les électriciens en profitent pour régler les projecteurs. La salle plongée dans l’ombre, une voix s’élève :

 

– Miss, on vous demande. Un monsieur attend à la porte de la salle

– Nick !

 

Le cri sort de ses entrailles. Elle défaille, mais le jeune anglais a ouvert les bras, elle s’y précipite en fermant les yeux. En un éclair, elle l’a reconnu, malgré qu’il ait pris quelques kilos depuis sa disparition au Caire. (Voir au début de ce récit) Il lui couvre le visage de baisers, des larmes de joie roulent sur les joues de Françoise. Elle pend à son cou, ses jambes ne la porte plus. Elle questionne.

 

– Je t’ai cru mort ! Ton nom figurait sur la liste des victimes.

– Je sais, le Foreign Office n’a pas voulu démentir, il m’ont envoyé à New York, je suis attaché d’ambassade, ici. Quand j’ai lu ton nom, Françoise, dans la liste des orateurs, j’ai voulu te revoir.

– Oh ! chéri, j’ai tant souffert à l’annonce de ta disparition. Aujourd’hui je suis heureuse de te retrouver. Viens, nous allons bavarder !

 

Et la blonde française entraîne le jeune diplomate dans la suite qui lui est réservée au Waldorf. Shannah est de sortie. Ils sont seuls, les yeux dans les yeux, Leur bouche se joignent à nouveau et Nick vérifie si Françoise a conservé ses habitudes. Assis dans le grand divan de cuir, il glisse discrètement la main sous la légère robe d’uniforme, et comme il s’y attendait, ses doigts atteignent, sans entrave, la douce toison bouclée. Françoise ne peut résister, elle ouvre les cuisses pour faciliter la progression de la main qui reprend possession de ses charmes les plus intimes. Un long moment se passe, puis la jeune fille pousse un long cri étouffé‚, en serrant le jeune homme sur ses seins. Il retire la main empoissée par la brutale jouissance de la jeune fille, et la lèche pour retrouver la saveur aphrodisiaque de ses secrétions.

 

Mais déjà, Françoise dégrafe la fermeture du pantalon et d’une main expérimentée elle extrait le pénis, Dans un élan passionné‚, elle le fait pénétrer dans sa gorge, ses lèvres avides touchent le poil roux du pubis. Les joues déprimées par la succion, elle aspire, la queue grossit, elle perçoit le gonflement avec sa langue, recrache presque complètement le membre, jusqu’au frein qu’elle arrête avec les dents et avale à nouveau entièrement la queue. Sa science du pompier lui permet d’atteindre l’extrême limite avant l’éjaculation, puis calmant l’excitation, elle relâche la succion et lèche le gland et le sillon balanopréputial, mordillant le frein de ces incisives. Lorsque les battements du gland s’atténuent, elle reprend la fellation. A ce régime, le jeune britannique, subjugué, enchaîné‚ esclave de son désir et de la séduction de la jeune femme ne réfléchit plus, il s’abandonne à la langue gourmande. Plus tard, nus tous deux, il la pénètre avec douceur, selon son habitude, comme s’il craignait d’endommager un objet précieux. Sa longue queue fine glissée dans le vagin de Françoise frotte sur le col de la matrice. Se massage provoque chez la fille des soubresauts furieux, tant la jouissance devient puissante. Elle mouille, le flot de sa jouissance noie les couilles de l’anglais et les enduit de leur masse parfumée. Françoise implore :

 

– Nick, mon chéri, prends-moi dans le cul ! Je t’en prie encule moi.

 

Lorsque Shannah rentre quelques heures plus tard, elle est surprise de retrouver Françoise, au lit, toute dolente.

 

– Tu n’es pas malade, ma chérie ?

 

Et la française de lui raconter sa merveilleuse soirée.

 

La rencontre

 

La salle était surchauffée par les déclarations de la présidente américaine des hôtesses de l’air, qui désirait que les affiliées protestent contre les conditions de travail de plus en plus draconiennes des sociétés de son pays. Françoise apportait un appui nuancé à sa consœur américaine. Elle mis l’accent dans son exposé sur les problèmes sociaux rencontrés dans la profession. Particulièrement à l’heure de la retraite, la plupart des filles vivant largement et dépensant sans compter, se trouvaient dans une situation précaire au moment de quitter le service actif. Certaines compagnies récupèrent dans leurs bureaux, ces personnes d’expérience qui connaissent tous les aéroports du monde et leurs particularités. La jeune française insistait sur la nécessité de consacrer une partie des appointements à la création d’une pension. Elle est vivement applaudie, par un public qui n’appartient pas uniquement à la profession, mais composé également de reporters, de curieux, de photographes. Une jeune femme, l’aborde pour lui exprimer l’admiration qu’elle ressent pour cet exposé brillant. « Gene Croffts », dit-elle brièvement, elle presse Françoise de lui accorder un bref entretien.

 

Le break prévu pour le déjeuner, réunit les deux femmes dans un des restaurants du Waldor. Françoise a choisi celui d’un chef français, beaucoup plus onéreux et donc moins fréquenté que la salle de restaurant réservée aux congressistes. Gene dépose son Leica, sur la tablette. Rousse auburn, au visage triangulaire, elle fixe ses yeux verts sur la jeune française qui s’étonne de la profusion de bijoux de son interlocutrice. Elle porte une robe de Versace, et le diamant de son annulaire vaut le prix d’une Cadillac, ce n’est pas une reporter. Ce que la rousse aux yeux d’émeraude convient facilement. Elle a toujours admiré la jeune hôtesse depuis son évasion d’Iraq, elle a profité de son discours à New York pour la rencontrer et faire connaissance avec son idole. Le déjeuner très soigné, les vins très fins, lèvent la gêne initiale, la blonde et la rousse bavardent comme deux amies de longues dates. Elles ont beaucoup de points communs et s’étonnent de montrer les mêmes goûts pour bien des sujets. Gene s’exprime avec un léger accent, elle est écossaise et roule les r. Aussi grande que notre amie, sa poitrine parait menue, sa taille très mince, toute sa personne indique plutôt une artiste qu’une sportive.

 

– Effectivement, je suis photographe et je peins des portraits, de femmes presqu’exclusivement.

 

Elle a insisté sur le mot femme, comme pour faire passer un message. Et tout son corps semble s’être rapproché de l’hôtesse sur la banquette du restaurant.

 

– Je voudrais devenir votre amie.

 

Le doute n’est plus possible, elle cherche une aventure. La main baguée a saisi les doigts fuselés de la française.

 

– Vous voulez bien ? Je voudrais à mon tour vous recevoir à dîner, ce soir, chez moi, à Greenwich Village où nous possédons un appartement. Vous ne serez pas dépaysée, vous connaissez mon mari, je suis la femme de Nick Gathwell !

 

Le dîner aux chandelles

 

Le dilemme avait duré deux heures, accepter l’invitation et retrouver Nick, le menteur qui n’avait jamais annoncé qu’il était marié, et qui serait sous la coupe de cette belle rousse fière d’affirmer qu’il lui appartenait ou au contraire refuser l’invitation. Mais dans ce cas, elle ne pouvait se disculper, elle apparaissait comme une voleuse de mari. Elle se décide enfin à affronter les époux. On accède à l’appartement de Greenwich Village, au rez-de-chaussée d’une vaste et ancienne maison, séparée‚ de la rue par des caves habitées, par un escalier de six marches de pierre. L’endroit rappelle Londres et a dû séduire les anglais. Françoise est accueillie bras ouverts par Gene, en grande forme, vêtue d’une robe d’intérieur verte assortie à ses yeux, et par un Nick réservé‚ qui se tient un peu à l’écart. Le dîner, particulièrement délicieux, ramène notre hôtesse à son enfance. Un mélange de mets traditionnels anglais et de plats indiens aux saveurs exotiques piquantes ravit nos convives. La conversation, un peu guindée, se détend grâce à la bonne humeur de Gene. Ils se rendent tous trois dans le salon-fumoir pour prendre des liqueurs et Françoise est priée de s’asseoir dans un large canapé de velours vert, Gene s’assied à sa gauche, Nick l’encadre à droite. Notre hôtesse n’a plus aucun doute sur l’issue de la soirée, toutefois la distribution des rôles n’a pas été faite. Qui va prendre l’initiative des opérations ? Délibérément Gene ne s’est pas assis près de son mari, laisse-t-elle le champ libre à la française ou veut-elle se la réserver ? Après un temps mort, la conversation languit. Puis tout à coup :

 

– Nick m’a parlé de vos habitudes vestimentaires. Je suis très curieuse, est-il vrai que vous ne portez jamais de culotte lorsque vous êtes en uniforme ?

 

Tout en parlant elle a posé d’un geste naturel, sa main lourdement baguée sur le genoux de Françoise qui frissonne jusqu’à la chute des reins.

 

– Exact, Gene, et comme je suis en uniforme, tu peux vérifier facilement que je ne mens pas !

– Je te crois, d’autant plus que pour apprécier réellement ce fantasme, ce soir, j’ai agi de même.

 

Et la main aux bijoux glisse entre les cuisses largement ouvertes de Françoise, et tandis que la britannique se livre à une exploration minutieuse du terrain, la jeune française libérée de ses inquiétudes s’aperçoit que la robe d’intérieur se ferme par une ceinture nouée à la taille. En s’ouvrant, elle libère le corps nu de Gene. Françoise ne voit que les petits seins pointus aux délicates pointes roses qui palpitent et l’énorme toison écarlate qui envahit tout le bas-ventre de l’écossaise. Celle-ci retrousse l’uniforme d’Air-France sur la poitrine de Françoise et parcourt ses charmes avec excitation

 

– Regarde Nick, comme elle est jolie, tu as raison, elle est très excitante. Allons, ne reste pas figé, caresse-la !.

 

Et Nick à son tour, de glisser la main entre les cuisses de notre héroïne qui déjà se mouillent. Bientôt, la bouche de Gene collée sur son sexe, les seins livrés à l’impatience de Nick, Françoise perd la notion du temps, elle jouit, elle pousse une douce plainte de jouissance qu’elle module à chaque coup de langue de ses deux partenaires. Elle veut à son tour récompenser Gene de ses attentions, mais la femme aux yeux verts pousse la française dans les bras de son mari.

 

– Je veux vous voir baiser tous les deux. Pendant ce temps, je vais me faire jouir, toute seule.

 

Elle les conduit dans la chambre à coucher, et Nick pénètre aussitôt la française dans l’anus. Tandis qu’il l’encule, et que Françoise crie comme une bête, assise sur le bras d’un fauteuil de tapisserie, Gene avec deux doigts dans le vagin, hurle son plaisir de contempler les deux amants en action.

Hostess6

Longtemps, Gene se masturbe en criant, elle atteint l’orgasme et rejoint sur le lit les deux amants, replace la queue de Nick qui a glissé hors du corps de la Françoise, elle rampe sous le corps de celle-ci et se retourne, bouche à bouche, les deux femmes s’embrassent. Plus tard, Nick ayant joui, elle lèche sur l’anus de Françoise, les gouttes de sperme qui s’échappent, et tandis que Françoise, très excitée lui suce le clitoris, elle lave à grands coups de langue le pénis de son mari. Bientôt elle s’éclipse, dans la pièce à côté‚ et revient avec un étrange attirail, elle se fixe sur le pubis, un harnais de cuir qui porte un gros pénis de caoutchouc rempli de liquide. Avec cet instrument, elle pénètre Françoise, introduit le gland factice dans la vulve inassouvie de notre amie. Tout en recommençant à mouiller et à jouir, Françoise a remarqué que l’anus de Nick s’entrebâille lorsqu’il se masturbe en les regardant. Elle en déduit qu’il a l’habitude de se faire enculer, et pousse deux doigts réunis dans l’orifice anal de son amant. Aucun doute, les doigts pénètrent sans difficultés, et génèrent une sensation particulière. Attirée par la respiration saccadée de Nick, Gene abandonne Françoise, pour pénétrer à son tour très profondément le cul de son mari, qui encule à nouveau Françoise avec une rigidité retrouvée. Puis les deux femmes se livrent à des ébats sans fin, à côté du mari qui récupère les efforts consentis. La jolie rousse couche sur le corps de l’hôtesse de l’air, les petites pointes roses de ses seins, sucées alternativement par la française, s’épanche :

 

– Nick a toujours été‚ homosexuel. Au collège, il passait de l’un à l’autre. Dès le premier jour, il m’a traitée en garçon. Ensuite, nous avons trouvé ici au Village, une communauté dirigée par un gourou indien qui défend l’amour libre. Tu devrais venir avec nous aux réunions. c’est divin. Nick a découvert des types bien bâtis et il jouit beaucoup. Moi j’ai découvert des hommes et des femmes sans tabou.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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