Air Hostess

Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:52

 

L’hôtesse de l’air – 5 – Coup de théâtre par Air Hostess

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Le blond à la longue pine


Françoise retient à son hôtel, une chambre supplémentaire pour caser Nikki et Jane, celle-ci intervient auprès de Tim pour lui trouver un job. Elle repartira à New-Orleans avec la fille pour la prendre en stage au Modern Théâtre comme meneuse de revue. Tim a repris un bar à attractions à Frisco et cherche une gérante. Nikki, très indépendante n’a pas de maquereau. Ses poings lui suffisent à se faire respecter. Elle parait enchantée de travailler en Californie. Comme elle est connue de Mary Pink, surnom du blondin recherché, Tim et Françoise joindront leurs efforts pour le repérer. Le lendemain soir, Françoise habillée d’un smoking noir, la poitrine aplatie et portant une perruque noire à queue de cheval accompagne Tim dans le milieu Gay de la capitale fédérale. Son aspect androgyne et sa beauté fascinent les hommes et les femmes. Sur son passage, on s’interroge, Le grand noir qui la tient serrée, vient-il avec un giton ou est-ce une lesbienne ? Après deux ou trois établissements et filtrages soupçonneux, ils apprennent qu’une certaine « Alex », pour Alexandra a déjà été vue en compagnie du blondin. Alex plus grande que Françoise accepte un verre de Bourbon, Une superbe chevelure platine, des yeux bleu-violet, une grande bouche et des dents superbe, la fille attire tous les regards, qui fixent surtout sa superbe poitrine qui déborde du bustier bleu pâle pailleté de clous dorés.

 

« Oui, elle connaît « Mary Pink. »

« Non, elle ne donnera pas son adresse ».

 

Une tentative pour la faire boire davantage, tourne à la confusion de nos amis, la tête leur tourne et la donzelle très entraînée ne montre aucun signe d’ébriété. Sollicitée par Françoise, elle accepte de continuer la conversation dans le petit fumoir du premier étage, qui sert surtout aux consommateurs de cannabis. Assise entre Tim et la française, Alex peu farouche est partagée entre les avances de l’homme noir et la douceur de Françoise. Cette dernière explore les dessous parfumés et caresse les cuisses satinées de la dame. Tim plonge dans le soutien-gorge baleiné et extrait une superbe poitrine d’un blanc laiteux redessinée par la science au format standard américain. Ni trop grosse, ce qui parait malsain, ni trop tendue ce qui donne une impression de ballons gonflés, ses seins souples et vivants, dressent leur pointes palpitantes que se partagent Tim et Françoise. La fille prend l’initiative de retirer le pantalon du smoking de l’hôtesse, ce qui met fin au suspense, l’androgyne sans pantalon est bien une femme. La langue pointue d’Alex s’insinue dans la fente de Françoise qui a dégagé ses seins qui respirent enfin. Comme à son habitude la française mouille, mais Alex très excitée avale au fur et à mesure le jus délicieux qui coule de son con. Tim a profité de ces initiatives pour retirer tous ses vêtements. Nu, le sexe tendu par le désir, il s’approche des deux femmes. Françoise couchée sur le dos, offre son sexe à la voracité d’Alex qui suce tout en caressant les jolis seins de l’hôtesse. Tim débarrasse la fille de son corsage, de son soutien-gorge, retire la jupe à volants, et retire doucement le slip en dentelle qui protège son intimité la plus secrète. Malgré sa grande expérience, il sursaute, le linge retiré dévoile un pénis mou et des testicules soigneusement épilés. Travesti, Alex vit de la prostitution, attiré par la beauté de Françoise, il n’est pas insensible à la grosse bite de Tim qu’il saisit d’une main douce et manucurée. Françoise râle de plaisir sous la langue énergique d’Alex, qui des deux mains écarte ses fesses pour inciter Tim à l’enculer. Celui-ci a recul‚, il n’a aucune velléité d’homosexualité, Françoise l’implore de contenter celui qui la fait jouir. Tim à genoux derrière Alex pousse son énorme engin dans l’anus entrouvert, le travesti pousse un cri déchirant qui se termine en plainte amoureuse.

 

– Oui, encule-moi, plus fort. Va plus profond. Ah ! c’est bon. Je n’ai jamais eu une aussi grosse. Je sens ta bite qui remonte jusqu’à mon estomac. Pousse plus fort, encore. c’est divin !

 

Tim tout d’abord très passif, agissant pour faire plaisir à Françoise, se sent entraîné par la jouissance. sa queue tendue comme une épée, il frappe d’estoc, son énorme gland laboure les parois fragiles du rectum, traverse les sphincters et explose dans un jaillissement de sperme dans la chaude cavité de son hôte. De plus en plus excité, Alex mord dans le clitoris de Françoise et griffe ses seins haletants. Dégagés et assis côte à côte, les protagonistes se rendent compte que le jour se lève. Ils ont passé toute la nuit à de sauvages pénétrations, Tim enculant Françoise qui suce le petit truc ridicule d’Alex, sensible cependant à la succion et qui à son grand étonnement bande dans la bouche gourmande de l’hôtesse. Epuisé, heureux, le travesti livre enfin l’adresse convoitée.

 

Liberté‚, tu n’es qu’un concept !

 

La caution de Shannah, payée aux autorités du comté, Françoise va chercher, son amie à la prison du comté de Washington où elle a été‚ transféré. La petite syrienne, toute menue, toute maigrie pleure serrée contre la jeune française. Durant le trajet, Françoise conduit d’une main sûre, la voiture possède une boîte automatique, en maintenant dans son bras droit les frêles épaules secouées par les larmes. Shannah lui raconte son douloureux séjour dans cette prison, véritable bouge sous un extérieur propret.

 

– Nous dormons à quatre par cellule, une énorme grille glisse sur des galets et nous sépare du couloir éclairé‚ nuit et jour. Aucune fenêtre, on ne peut échapper à la sensation d’enfermement sous terre. L’air empuanti, pollué par la respiration des deux cents femmes entassées par quatre, dans les vingt-cinq boxes du pavillon C., une gardienne changée toute les deux heures nous surveille sans arrêt. Une tinette, vieux bidon à pétrole sert à recueillir nos déjections.

 

Bien mise en évidence près de la grille, sous les yeux fureteurs de la matonne, elle oblige Shannah à attendre la nuit pour uriner. Dès qu’elle pisse dans les urines déjà répandues, ses compagnes de chambre se précipitent pour se mouiller les mains à son sexe et se masser les seins. La voisine qui occupe la couche du bas, la saisit au moment où elle remonte sur sa paillasse, pour lui lécher l’intérieur des grandes lèvres encore humides. Une véritable passion pour ces filles, partagée par les gardiennes qui encouragent ce genre de distraction. Finalement Shannah, ne dort jamais sur le mince matelas du dessus. Toutes les nuits, elle partage la couche d’une blondasse vulgaire aux dents malpropres, elle suçait ses parties intimes réservant à son cul, un long index à l’ongle noir.

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– Pisse-moi dans la gueule ! Oui, pisse, j’attends, tu vois bien que je garde la bouche ouverte. J’ai envie de goûter ta pisse toute chaude.

– Finalement j’ai obéi, j’ai lâché‚ un petit jet à la grande satisfaction de ma nouvelle amie, qui m’a défendue contre toutes les autres harpies. Elle m’empêchait d’utiliser la tinette, désirant tout conserver pour elle. Elle achetait de la bière à la cantine qu’elle me réservait et qu’elle me poussait à consommer sans cesse disant :

– Je m’en passerai bien, je la boirai quand elle ressortira, elle aura bien meilleur goût.

 

Cette triste relation de la détention sordide de la syrienne, aurait dû attrister Françoise, mais assez curieusement lui avait mis le feu aux joues. Elle voyait dans son imagination la prisonnière en chemise de nuit réglementaire puisant à même la source, le liquide brûlant qui constituait son plaisir. Cette évocation suffit à rallumer sa sexualité dévorante, elle arrête la voiture, et elle embrasse fougueusement son amie sur les lèvres.

 

– Ma pauvre Choute, comme tu as dû souffrir, toi si délicate, si raffinée.

– Je ne sais pas… au début affreux à supporter, puis je crois j’y ai pris goût. Je pensais à toi, je me disais, je pisse dans le bouche de Françoise et je me sentais heureuse, comme si tu m’avais retrouvée.

 

Cette déclaration se termine par un baiser ardent qui joint les langues des deux filles, les mains sous les jupes ont trouvé des orifices propices à une masturbation rapide mais efficace. Rentrées à l’hôtel, les deux femmes s’isolent dans une chambre vide pour leurs retrouvailles.

 

Pendant ce temps Tim et le privé retrouvent la trace de Mary Pink. Comme Shannah le connaît elle pourra l’identifier. Elle accepte le soir même d’accompagner Tim à la piaule du blondin. Piégé dans sa chambre sans issue, le frêle prostitué ne peut fuir, affolé par la présence du gigantesque Tim et de Shannah qu’il a reconnue, il tremble de tous ses membres et jure qu’il ne savait pas que la jeune fille avait été accusée du meurtre.

 

– Lorsque j’ai vu Shannah à sa descente de l’hélicoptère, j’ai oublié d’un seul coup que Brown m’avait fait venir pour que je le baise, j’avais envie d’elle. Mais le milliardaire désirait que je l’encule devant son chauffeur qui lui rendait ce service habituellement. Je suppose qu’il voulait l’éprouver ou le rendre jaloux. J’étais payé pour le ficeler sur la table et le prendre devant le chauffeur qui devait baiser la demoiselle. Devant mon refus, et le désir manifeste de Shannah de partager mon point de vue, il lui a demandé de couper ses liens. Shannah et moi, nous nous sommes enfermés dans la chambre, pendant que les deux hommes continuaient à se disputer. Nous avons fait l’amour, très délicatement, avec tendresse et tout le respect que je lui porte, nous avons recommencé trois ou quatre fois, et nous nous sommes endormis. Les sirènes de la police m’ont réveillé‚, ils venaient de tous côté en 4×4, tout terrain, je ne voyais plus personne dans le ranch, je suis passé par la grange et profité de l’arrivée du shérif pour gagner le désert, dans la direction opposée.

 

Par reconnaissance pour la douce Shannah, il finit par accepter de témoigner à son procès. La culpabilité d’Allquist, le chauffeur-pilote et amant occasionnel du financier ne paraissait plus faire de doute. Il restait cependant introuvable, lorsque le limier apprit d’un adjoint du shérif que le district attorney avait un atout dans sa manche, la police du comté‚ avait loué‚ un appartement dans un motel pour loger un témoin capital, déterminant pour apporter la preuve de la culpabilité de l’accusée. Nul doute qu’il ne s’agisse d’Allquist. Le privé parvient assez rapidement à localiser le motel en suivant les véhicules du comté‚ faisant le va-et-vient du palais de justice au lieu présumé‚. Quand il arrive cet après-midi au parking du motel, il choisit un emplacement éloigné des voitures de police. En s’approchant discrètement derrière la haie d’épineux qui sépare les différents blocs, il fût conscient de l’énervement qui gagnait les inspecteurs en civil. certains couraient en tous sens, d’autres agglutinés dans une cabine, téléphonaient avec frénésie. Le shérif ne tarde pas à apparaître dans sa voiture toute blanche de la poussière du désert. Il était suivi par une ambulance qui charge un corps recouvert d’un drap, s’agit-il d’un personnage que la police dissimule aux regards ou d’un cadavre. Notre privé fait un pas de trop pour se renseigner, reconnu par le shérif, arrêté pour obstruction à la justice et bientôt accusé de meurtre sur un inconnu. Son colt est saisi par les inspecteurs aux fins d’examen.

 

Il fit appel à Maître Greenwood, comme la loi l’y autorise, prévenu tout aussi tôt, Tim décide de prendre à sa charge la défense du détective privé. La séance du tribunal, après une remise de huit jours nécessitée par la santé du témoin, fit comparaître Shannah, et comme témoin de la défense, le blondin versatile. Il confirma spontanément qu’il était resté dans le lit occupé par la jeune syrienne, jusqu’à l’arrivée de la police du comté‚. Le contre-interrogatoire mené par le district attorney en personne, tente de trouver des contradictions entre la version de Shannah et celle du blondin.

 

– Monsieur… Euh… Black Fish », dit-il en s’adressant au témoin, pouvez-vous nous confirmer sous la foi du serment que vous n’avez jamais quitté la jeune… femme ? Euh

 

Il se pinçait le nez, son surnom de  » Pince-Nez » prétendaient les gens bien informés, provenait surtout de son aptitude inégale à fourrer son tarin dans les affaires les plus louches, les compromissions signées maffia.

 

– Je confirme, votre Honneur.

– La cour se demande, poursuivit le procureur Clayton, si le témoin tente de couvrir la coupable, ou au contraire de se procurer son propre alibi.

 

Avec habileté, il changeait de cible, et il gardait en réserve le témoignage du témoin principal de l’accusation. Introduit sur une chaise roulante, Allquist, amaigri et les traits tirés tient à rectifier certains faits.

 

– Je n’ai jamais accusé Mademoiselle Shannah, que j’ai en grande estime, d’avoir tué mon patron. Non, je n’ai pas tué celui-ci. J’étais en rage contre lui, car après m’avoir promis successivement de baiser la fille, puis de le sodomiser, ce qu’il me demandait chaque jour, il m’avait préféré‚ cet avorton qui n’est ni un homme, ni une poupée.

– De qui, voulez-vous parler ?

– Je parle de Mary Pink, le type qui est assis à droite, au premier rang du public.

– Montrez le du doigt ! Demande le président

 

Allquist désigne d’un index tremblotant le blondin.

 

– Voulez-vous dire qu’il a assassiné le financier Brown ?

– Grand Dieu, non, il s’était enfermé‚ dans la chambre avec Miss Shannah.

– Alors, c’est vous le meurtrier ?

– Je ne me souviens de rien, nous avions beaucoup bu, Brown et moi, on s’‚était réconciliés et je lui avais donné satisfaction à sa demande. Il buvait encore pendant que je le pénétrais. Il avait la tête sur la table, et je voyais le désert qui entourait le ranch. Après je suis sorti faire une ronde, je m’étais rhabillé‚ et je tenais mon Luger à la main. Je n’ai rien vu, mais j’ai reçu un coup sur la tête et quand j’ai repris conscience, la police était là et je me suis éloigné‚ dans le désert.

– Donc, vous ne savez rien, si j’en crois vos déclarations ?

– Pas tout à fait, Votre Honneur, il y a quelques jours, je regardais par la fenêtre du motel où vous m’aviez enfermé, les détectives Mulliar et Richardson étaient à mes côtés et j’ai vu un homme qui me visait avec une carabine. J’ai reçu une balle à côté du cœur, mais j’avais eu le temps de le reconnaître, c’est un ancien espion de la Stasi qui a déjà dans le passé, tenté‚ de tuer mon maître le financier Brown, qui s’appelait en réalité‚ Bauer, et avait été‚ directeur des opérations internationales de la BDR. Le type qui a essayé‚ de me tirer comme un lapin, s’appelle Oskar Reynecke.

 

Le ciel semblait tomber sur la tête de Françoise, ce sinistre personnage qui revenait de son passé, n’était-il pas interné en Allemagne.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:48

L’hôtesse de l’air – 4 – Enquête sur le trottoir par Air Hostess

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L’avenir est sombre.

Les relations entre Tim et les deux femmes prennent un aspect ambigu. L’athlète au cœur d’artichaut ne peut se détacher de Françoise qui flatte sa vanité vis à vis de la communauté noire et qui l’excite au plus haut point. Il témoigne à Souria d’un sentiment fleur bleue tout à fait inattendu. Les deux femmes présentes, il espère les voir se témoigner leur tendresse. Il parait très excité lorsque Françoise chevauche le ventre nu de sa compagne ou plonge son visage dans les gros seins nus de la nourrice. Françoise doit s’avouer qu’elle ne peut résister à l’odeur de sueur des noirs. Cette saveur épicée, au goût exotique qui émane de leur corps entraîne de sa part un débordement de cyprine qui déborde de son sexe. Les blancs ont une sueur, moins aphrodisiaque, les noirs disent que nous sentons le cadavre. Bouche à bouche, Françoise allongée sur le corps rebondi de Souria, Tim les pénètre l’une après l’autre, sortant son énorme bite toute engluée de la jouissance de la blonde française pour envahir le sexe rouge cerise de la jeune mère.

– Ah ! Crie celle-ci, ça glisse bien, le jus de ma Françoise : ça me fait jouir.

 

Et la grande noire se trémousse pour s’enfiler plus profondément le pénis qui gonfle au fur et à mesure. Les trois corps apaisés, les deux femmes affamées de sperme, rassasiées, le mâle prend du repos, étendu sur le dos de Françoise toujours allongée sur Souria. Le temps passe, ils se taisent, tentant de retenir ces moments privilégiés dans la mémoire de leurs chairs. Puis la sexualité‚ reprend ses droits, Françoise perçoit la reprise de la tension dans la grande queue qui repose entre ses cuisses. Tim, lui lèche la nuque, la mord et lui fait sentir entre les fesses qu’il est prêt à reprendre l’assaut. Cette fois, il varie, il modifie son approche. Une pénétration anale complète provoque l’orgasme prolongé de Françoise qui jouit, sa langue palpitante aspirée par la bouche pulpeuse de Souria, qui engloutit sa salive. Quelques minutes plus tard, elle-même subit le même sort, elle hurle de plaisir la grosse bite enfoncée jusqu’au pubis dans son cul épanoui.

 

Shannah en larmes se réfugie dans les bras de Françoise. Greenwood a tenu parole, il a obtenu, non sans mal, une autorisation de visite. Il parvient à faire sortir le shérif qui veut assister à l’entretien en l’entraînant dans un bureau, soi-disant pour recueillir son avis personnel, sur la situation de sa cliente. Flatté, le représentant local de l’autorité du comté laisse les deux filles en présence dans la sordide cellule grillagée.

 

– Je savais que tu ne m’abandonnerais pas !

– On va te sortir d’ici. Un peu de patience !

– Si tu savais, ils me traitent comme du bétail. Tous les adjoints du shérif sont des rustres, des paysans. Dès que je me lave, ils viennent me regarder comme une bête rare. Je fais mes besoins, sous leurs regards égrillards. Tu sais que je n’ai pas peur des hommes, mais je ne peux plus supporter cela.

– Calme-toi. Raconte-moi ce qui s’est passé au ranch. Le procureur se tait, nous ne savons rien.

– Après l’invitation de Brown et le départ de son hélicoptère personnel, j’ai compris tout de suite qu’il avait une idée luxurieuse en tête. Il m’avait placée à côté du secrétaire-pilote et n’arrêtait pas de me peloter. Il m’avait demandé de mettre une tenue très sexy et il incitait le pilote à prendre des privautés à mon égard, tandis qu’il lui caressait la nuque. Quelque chose ne collait pas. Avait-il l’intention de me sauter ou de me faire baiser par le secrétaire. Je me demandais s’il ne préférait pas caresser son employé. Arrivés au ranch, tout à fait isolé dans le désert, voilà le blondin qui nous attend et qui se précipite sur moi, comme si j’étais aimantée. Brown n’était pas content. Réfugiés tous les quatre dans une grande bergère en rotin, ils me déshabillent et je pense, un instant qu’ils vont m’enfiler les uns après les autres. Je me réjouis déjà, mais voilà que ce corniaud de Brown demande de se faire attacher sur la table avec de grosses cordes qui traînaient dans le ranch. Il avait l’air fin avec sa petite bite ridicule.

– Oui, mais il sait s’en servir. Il m’a fait jouir pas mal avec ce petit machin.

– Possible, mais cet imbécile ne m’a pas touchée, sinon, il vivrait encore. Il désirait qu’on le couche sur la table à plat ventre, pour permettre au blondin de l’enfiler, tandis que le secrétaire avait pour mission de me baiser sous ses yeux. La dispute a débouché brusquement, le blondin préférait me sauter, le secrétaire voulait baiser le sénateur comme il paraissait en avoir l’habitude. Il fumait tous, une cochonnerie de marijuana qui empuantit la pièce, la fumée obscurcissait ma vue. Ils en sont venus aux mains et Brown m’a crié de couper ses liens. J’ai saisi un grand couteau sur une desserte et j’ai coupé les cordes. Puis le blondin m’a entraîné dans une chambre vide, tandis que les deux autres continuaient à s’engueuler. Le blondin baisait bien. Il avait une longue bite très fine qui disait-il, plaisait beaucoup aux messieurs. Totalement bisexuel, il vivait d’expédients et des dons de ses amant(e)s. Très mince, nerveux, remuant sans cesse, stressé, les yeux dans le vague, il baisait en parlant sans cesse. Il ne parvenait pas à jouir, comme s’il avait absorbé une de ces drogues qui font bander, mais retardent l’éjaculation. J’ai dû jouir cinq ou six fois, puis je me suis endormie. Je me suis réveillée quand le shérif est arrivé avec ses cochons d’adjoints. Ils m’ont tous pelotée, soi-disant pour vérifier que je n’étais pas armée. J’étais à poil, il n’était pas difficile de voir que je n’avais pas d’arme. Il n’y avait plus personne dans la baraque, Brown, le secrétaire Allquist et le blondin avaient disparu. Voilà tout ce que je sais

 

– L’audience préliminaire est fixée au 13 mai. La caution demandée par le procureur du comté s’élève, vu les charges retenues à 500.000 dollars.

 

Françoise prend un vol régulier pour New York pour rassembler la somme. Elle laisse Souria et son bébé sous la garde de Tim qui revient d’un mystérieux voyage sur son Cesna. Les deux noirs sont ravis d’occuper la chambre. Françoise retourne au Waldorff et prend discrètement contact avec Paris, elle obtient un accord pour pouvoir disposer du montant nécessaire sur les crédits mis à sa disposition. Le concierge du Waldorf lui téléphone

 

– Miss, une… »dame » veut vous rendre visite. Hum !

– Demandez-lui, comment s’appelle-t-elle ?

– Elle dit qu’elle porte le nom de Jane Radcliffe et que vous la reconnaîtrez facilement.

– Faites la monter.

 

La porte s’ouvre sur une apparition surprenante, Jane Radcliffe n’est autre que la chanteuse noire qui trouvait Françoise tellement à son goût ! Les deux femmes s’embrassent et Jane explique qu’étant de passage à New-York, elle a reçu un message de Tim qui lui signalait que l’hôtesse française était à nouveau au Waldorf. Jane est vêtue d’un short blanc très court et d’un corsage en lamé‚ qui met en valeur sa poitrine haletante.

 

– J’ai encore plus chaud ici qu’à la Nouvelle-Orléans, dit-elle en épongeant ses aisselles nues.

 

Son parfum troublant est noyé dans le flot odorant de sa transpiration. Françoise ne peut résister à cet appel à sa sexualité‚ et tandis que Jane déboutonne son strict chemisier blanc, elle dégrafe le short et dégage les longues jambes de la chanteuse. Bientôt les deux femmes entièrement nues se rejoignent sur le couvre lit de soie et s’étreignent avec fureur. Chacune connaît maintenant le goût intime de l’autre, mais elles n’ont pas encore connu d’orgasme partagé. Se plaçant la tête, entre les cuisses de Jane, Françoise plaque son sexe sur le visage de la divette. La noire ouvre les grandes lèvres de l’hôtesse qui libèrent une giclée de cyprine parfumée, pendant ce temps, la blonde racle le clitoris turgescent de la star. Un orgasme, sans cesse renaissant emporte les deux femmes dans un délire sexuel qui leur fait oublier toute réalité‚. Plusieurs heures s’écoulent avant qu’elles s’abattent dans leurs bras, épuisées par la violence de leurs sentiments.

 

Une lueur d’espoir.

 

Tim n’a pas perdu de temps, installé dans la chambre de Françoise, il a mobilisé ses informateurs et rencontré le détective qui enquête sur les participants à la tuerie du ranch. La disparition du chauffeur-confident apparait comme très importante au géant noir, l’attorney ne partage pas son opinion.

 

– La fille a peut-être également tué le chauffeur, dit-il à Tombstone, qui lui fait observer que déjà transporter le cadavre de Brown paraissait difficile à attribuer à une mince jeune femme.

 

L’enquêteur privé‚ fouille les milieux interlopes et les bars fréquentés par les gays. il espère trouver la trace du blondin à la longue bite. Après une journée harassante, consacrée à la visite de tous les bars louches de Washington, il trouve une piste au « Green daffodil », un barman bouffi, en échange d’un billet de 10 dollars, reconnait la description de « Mary Pink » surnom du blondin qui monnaie ses charmes. Un billet de 50 dollars fortifie sa mémoire et lui arrache des détails supplémentaires. Parfois, le blondin à la recherche d’un client se travestit en gonzesse et arpente le bitume. Il s’est battu avec une prostituée du nom de Nikki qui défendait son territoire. Retrouver Nikki tâche facile pour un détective confirmé qui vers les 10 heures du soir, aidé par des copines compatissantes aperçoit sous la lueur d’un lampadaire électrique une grande rousse corpulente qui parcourt à pas furieux les quelques mètres de trottoir qu’elle défend farouchement. Elle rougeoie, la chevelure de flammes, les lèvres sanglantes, les joues maquillées à outrance, le léger chemisier entrouvert sur une poitrine rebondie, la mini-jupe et les souliers à très hauts talons passés au minium, tout concourt à souligner une forte personnalité. Notre enquêteur engage la conversation, et la rousse incendiaire lui propose un endroit plus discret pour cent dollars la passe. Marchant devant lui, elle traverse un passage étroit, entre les buildings, encombré de poubelles, où des collègues de bas-étage pratiquent des fellations au rabais sur des ombres filiformes et peu fortunées. Nikki atteint un hôtel petit, mais propre où elle a ses habitudes. Elle franchit le bureau d’accueil, suivie de notre limier. Dans l’escalier étroit, il se risque à glisser la main sur une cuisse et atteint un fessier ferme endurci par les longues déambulations de la dame. Dans la chambre, méfiante, elle exige que l’enquêteur face usage des lavabos pour passer sa queue au savon. elle surveille l’opération, car dit-elle son expérience lui a appris que l’hygiène, l’absence de drogues et une bonne psychologie lors du premier contact l’ont toujours préservée des mauvaises surprises. Elle s’étend sur le lit, après avoir retroussé sa mini-jupe et retiré sa culotte de soie noire, c’est moins salissant avec toutes ses mains d’hommes qui vous tripotent dans l’escalier et toc ! Comme le privé‚ ne fait pas un geste d’approche, elle se méprend et ouvre encore plus largement son chemisier rouge, jusqu’à retirer de son soutien-gorge rouge, ses gros nichons rebondis aux énormes tétons rouges. L’enquêteur ne peut masquer la bosse qui vient de se former dans son pantalon. il saisit un sein d’une main ferme et questionne la fille.

 

– Dis- moi, Nikki. Tu as eu des problèmes avec une petite frappe, celui qu’on surnomme Mary Pink.

– Le salaud, si je le retrouve, je lui coupe sa banane à cet enfoiré !

– Tu ne sais pas où il crèche ?

– Qu’est-ce que tu lui veux ? Tu es aussi de la pédale ?

 

Le ton devenu prudent, la fille déclare qu’elle n’a aucune idée de l’endroit où il vit, ni dans quels lieux on peut le trouver. Comme la pute parait fraîche et expérimentée, notre limier décide de profiter des cent dollars versés et se déshabille, sous l’œil critique de la donzelle qui se marre. Il s’étend sur le lit aux draps propres, mais la fille qui s’est absenté dans les toilettes revient avec une panoplie d’instruments.

 

– Qu’est-ce que tu préfères, le fouet ou le martinet ? D’abord, je vais t’attacher.

 

Nu, les fesses en l’air, il subit les brutalités de la dame qui se venge des tracas quotidiens en lui zébrant les fesses de longues marques rouges sanguinolentes à souhait. D’abord silencieux et surpris par la spécialité de la tapineuse, il crie ce qui accentue la dégelée de coups, la peau des fesses le brûle, mais tout à coup la robuste fille dépose un baiser mouillé‚ sur l’ecchymose la plus cuisante. Maintenant après chaque coup, elle baise la marque sanglante de ses exploits et le privé sent monter en lui une jouissance terrible qui prend naissance dans ses reins meurtris et tord ses couilles enflammées. Il appelle maintenant les coups qui augmentent son plaisir. Après une dernière rafale qui fait péter la peau des écorchures, elle le retourne comme une crêpe et saisissant son pénis entre ses lèvres carminées, elle suce le membre brûlant qu’elle mord cruellement avec ses incisives. Il jouit à flot dans la bouche tout à coup douce et accueillante qui avale avec la satisfaction du devoir accompli, l’offrande du client satisfait. Allongés tous deux, sur le lit, elle parle un peu de son boulot de ses clients ou de ses clientes parce que sa clientèle comprend les deux sexes. Mais jamais elle ne reviendra sur Mary Pink.

 

Prévenue par Tim, des résultats de l’enquête, Françoise, accompagnée de Jane prend le premier avion pour la capitale fédérale. Elle loue à l’aéroport un vaste bahut Chevrolet et se met à la nuit tombante à la recherche de Nikki le tapin. Les deux femmes la blanche et la noire questionnent les filles nombreuses dans cette rue. Oui c’est bien ici, le coin favori de Nikki. La fille en se déhanchant sur ses hauts talons reprend son poste d’attente et Françoise l’aborde avec un sourire engageant. Jane reste dans la voiture et promet d’intervenir si la conversation dure trop longtemps. Françoise prend le même chemin que le détective et se retrouve sur les draps blancs de la petite chambre. Elle échappe à l’obligation du savonnage et se voit déculottée et déshabillée de main de maître par la rouge dominatrice. Entièrement nue, celle-ci implore la jeune française d’utiliser les instruments de sa spécialité‚ pour la battre, mais Françoise incapable de faire mal, caresse la lourde poitrine et suce les tétons écarlates. La pute gémit sous la caresse.

 

– Mords-moi, dit-elle. Mords-moi les seins.

 

Les dents de la française écrasent les bouts durcis. En entendant les cris de jouissance de la rousse, elle en oublie de questionner la fille, elle commence elle-même à jouir. Son con collé à la cuisse puissante de la pute, déverse un flot de jus, sa respiration s’accélère, ses yeux dilatés fixent le visage extasié. Elle extrait de la masse d’outils sexuels répandus sur le lit un gros godemiché qu’elle introduit, sans douceur, dans le con rougeâtre. La fille sursaute :

 

– Dans le cul, mets-moi quelque chose dans le cul ! Crie-t-elle à Françoise qui obtempère aussitôt.

 

Un second godemiché‚ aussi gros que le premier fiché dans l’anus, la fille rend la pareille à Françoise, les deux filles tenant fermement les godes s’assurent une jouissance prolongée. Après un long moment d’extase, la pute extrait le gode du sexe de Françoise pour le sucer avec ravissement, elle passe ensuite au godemiché vibrant qu’elle extrait du cul de sa compagne et lèche avec passion.

 

On frappe violemment à la porte et Jane fait une entrée de théâtre, son Stetson blanc sur la tête elle domine de son mètre quatre-vingt-dix les deux femmes enlacées. Elle ne peut résister à son envie de déguster les filles comme un sorbet. Françoise la présente à Nikki, mais déjà, la grande noire fourre son museau entre les cuisses de la péripatéticienne, Françoise baisse le short et le string blanc qui sépare les deux fesses et lèche l’énorme clitoris boursoufflé‚ de la noire qui suce les grandes lèvres de la rousse. Bientôt, nues toutes les trois, elles alternent les positions, chacune désirant offrir aux deux autres le meilleur aspect de sa virtuosité sexuelle. Si Nikki désirait se sentir l’esclave d’une femme dominante qui réponde aux caresses par des coups, elle a trouvé en Jane une partenaire idéale. Après une fessée donnée avec force sur son gros derrière, Nikki humblement implore son pardon. elle reçoit l’ordre de lécher Françoise étendue sur les draps. Sa langue parcourt tous les recoins du sexe de la blonde, qui comme vous vous en doutez, mouille déjà comme une fontaine. Pour aiguillonner son ardeur, la noire lui tord les seins, mord les tétins flamboyants et pince les fesses. Nikki subit un martyre qui engendre une jouissance croissante. Elle pousse des cris étouffés par les poils pubiens de l’hôtesse. Elle mouille également avec abondance le visage sombre qui maintenant lui mange le bas ventre.

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Deux heures se passent en combinaisons diverses, chacune proposant sa version préférée et sa place dans le trio. Les trois femmes sortent de l’hôtel lorsque, la nuit très avancée, les néons des bars louches s’éteignent l’un après l’autre. Nikki se rend à son poste habituel pour gagner sa croute, les deux autres vont reprendre la voiture. Les trois femmes sont entourées par un groupe d’adjoints du shérif qui les pousse dans un car de ramassage, la voiture saisie, les suit, pilotée par un policier. Le shérif accueille Françoise avec un rire sarcastique et l’accuse de faire illégalement le trottoir. La jeune française sort le grand jeu, demande de téléphoner à l’ambassadeur de France, ancien officier de son père, avant d’entrer dans la diplomatie, déclare que son amie Jane, artiste de variétés a retrouvé en Nikki, une amie d’enfance, qui vit dans des conditions difficiles. Mais que maintenant, les trois femmes vont vivre ensemble, dans la plus stricte légalité. Après quelques menaces voilées sur le sort qu’il réserve à Shannah et aux trois autres, il est bien forcé‚ de les relâcher avec des excuses et de leur rendre le véhicule de location dûment fouillé.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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Mardi 13 juillet 2021 2 13 /07 /Juil /2021 06:42

L’hôtesse de l’air – 3 – Sacs de nœuds par Air Hostess

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Le Cesna vibre en tanguant sur l’aile, Thimoty Tombstone le redresse en jetant un regard curieux sur sa voisine. Assise en co-pilote, Françoise en tailleur de lin bleu nuit, brodé‚ de motifs dorés, songe à la carte postale illustrée, reçue ce matin. D’un côté, la tombe de Victor Hugo au Père Lachaise, et au verso :

« L’étude des monuments funéraires est captivante et riche en informations. Meilleurs baisers de ton Oncle, signé Gabriel ».

 

« Il sait déjà ! »se dit la jeune française.

 

Elle est entourée d’informateurs anonymes et invisibles, elle sent autour d’elle, les liens mystérieux des « honorables correspondants ». L’allusion est claire, Tombstone peut se traduire en pierre tombale. Le code suivant veut dire, continuez, foncez. Elle avait donc eu raison d’accepter ce voyage dans le monomoteur de Tim, qui veut essentiellement la conduire à la Nouvelle-Orléans, pour lui présenter son empire du business, et éblouir ses amis par la blondeur de sa conquête, (eh, oui, pour cette mission Françoise s’est teint les cheveux) et accessoirement profiter du trajet pour tisser des liens plus tendre avec Françoise.

 

Shannah a été invitée par Brown à participer à un barbecue dans son ranch près de Washington, elle est partie très tôt ce matin, en hélicoptère privé, Souria dormait encore, un sourire béat illuminait son visage, elle tenait dans ses bras, Karim, son bébé‚ tout aussi endormi.

 

Tim pose sa large main sur le genou de l’hôtesse de l’air. Dans ce geste, il met toute l’affection qu’il porte à la jeune fille. Françoise voudrait bien piloter le petit appareil qui réagit si bien aux commandes, mais elle ne peut faire état de son brevet de pilote, brevet militaire obtenu à Istres, lorsqu’elle commandait une unité de jets de combat. Elle prétend avoir été initiée par un commandant de bord d’Air-France qui lui a enseigné les rudiments du pilotage. Tim lui cède le double des commandes. Ravie notre amie se laisse aller au gré de sa fantaisie, et tout en maintenant le cap sur le Mississippi, elle prend un peu d’altitude pour exécuter quelques cabrioles, immelmann et autres vrilles qui témoignent de sa maîtrise. Tim en profite pour explorer ses dessous. En fait, sous la jupe de lin, Françoise ne porte rien. La grande main s’égare avec son assentiment dans un buisson touffu et trouve l’entrée de la grotte des plaisirs. L’un après l’autre, les longs doigts noirs hésitent, pénètrent dans ce lieu humide, en ressortent tout englués et laisse la place au suivant. Françoise halète tout en suivant des yeux l’horizon artificiel, le badin indique 240 knots, (vitesse du vent en nœud) la pression d’huile est parfaite, elle peut s’abandonner à la main salvatrice qui anime son désir. Tim se lèche les doigts, il recueille avec sa langue tous les témoignages de la sensualité de la jeune fille. Bientôt, il reprend le pilotage, pour permettre à Françoise de se dépouiller de tous ses vêtements et de dégager la fermeture éclair de son compagnon. Et tandis, qu’il reprend le cap en s’aidant de la balise de Saint-Louis, elle engloutit l’énorme membre noir dans sa bouche, elle en garde encore le souvenir dans sa vulve reconnaissante.

 

 

 

Blues in the Sky.

 

Hotesse3Pendant ce temps, l’hélico piloté‚ par le valet à tout faire de Brown atteint le ranch, très éloigné de toutes communications, et se pose sur une petite piste de ciment au milieu du désert, face au bâtiment de bois, ancien relais de diligences, appartenant au milliardaire. Brown aide Shannah à descendre. Un homme les attend, grand et mince, il salue le sénateur et sa compagne qui entrent dans la pièce principale. Le pilote apporte les légers bagages. Shannah comprend très rapidement les intentions du parlementaire. Il désire voir la syrienne se faire prendre par le pilote ou le blond mystérieux qui la regarde avec envie. Seule femme, assise dans un divan de rotin en compagnie de trois hommes excités, elle maîtrise la situation. Ce n’est pas la première fois qu’elle doit faire face à trois mâles en chaleur. Dans le bordel de sa mère, elle passait de l’un à l’autre et son tact naturel permettait d’éviter les querelles. Le confident valet et pilote l’entreprend le premier. Leurs bouches se joignent, les mains courent sous sa jupe. Des mains étrangères retirent sa culotte de dentelles. Tandis que le vaillant serviteur suce son clitoris rougi par le frottement, elle constate avec étonnement que le sénateur n’est pas seulement voyeur, entièrement nu, il caresse avec ardeur le pénis du blondin et lui lèche les testicules.

 

Le Cesna touche le sol, sans problème, Tim et Françoise montent dans une vaste Chrysler noire qui les conduit en ville. Leur tournée des lieux de plaisir de la Nouvelle Orléans passe par tous les « speak-easys » du quartier français. Tim possède beaucoup de ces établissements où le consommateur déguste son whisky en contemplant des filles, debout sur le comptoir qui dévoilent petit à petit une anatomie stéréotypée retravaillée par des chirurgiens champions du silicone. Sans aucune pudeur, les spectateurs se masturbent et glissent des billets de 10 dollars dans le slip des « artistes ». Lorsque le billet atteint 100 dollars, le donateur a droit à un coup d’œil sur le petit jardin de ces dames, entièrement passé à la tondeuse à gazon et où les grandes lèvres rectifiées par les chirurgiens esthéticiens m’apparaissent plus que sous forme d’un léger pli parfaitement fermé. D’autres billets conduisent la fille à effectuer une branlette d’une main experte et dénuée de tout sentiment. Françoise est frappée par l’aspect uniquement commercial du système. En Europe, les putes ont la charité de vous faire croire qu’elles éprouvent un certain sentiment, une certaine attirance pour leur visiteur. Ici, les filles ne sont pas des putes, elles ne couchent pas, où alors en dehors de l’établissement. Elles se considèrent comme des employées qui exercent un métier comme un autre. Après leur neuf heures de prestation entrecoupées de poses, elle retournent près de leur ami, leur mari, leurs enfants avec la bonne conscience du travail accompli. Tim entraîne sa conquête dans un ancien théâtre. Une sorte de revue en chanson, menée par une grande noire athlétique habillée ou plutôt déshabillée en cow-girl attire une poignée d’hommes et quelques couples, en grande majorité noirs. La fille exhibe ses seins, modèle standard gonflés au silicone et se dandine. Devant elle, quelques femmes noires qui masturbent leur compagnon, qui bandent en regardant la chanteuse qui beugle des insanités à double sens. Elle a reconnu Tim, le patron de l’Agence de casting la plus connue et attire son attention par des sourires et des signes tout en interprétant sa chanson. Elle se penche, et confie quelque chose à l’oreille du géant noir. Françoise est très intriguée, la chanteuse la regardait intensément en chuchotant. Elle est sûre qu’elle lui parlait d’elle. Assise à côté de Tim, elle lui tire les vers du nez

 

– Qu’est-ce qu’elle te disais ?

– Elle disait qu’elle te trouvait à son goût ! Si tu veux bien monter sur la scène, elle voudrait te lécher pour connaître la saveur de ton con

 

La chaleur envahit le visage de l’hôtesse de l’air, en même temps une bouffée de flammes inonde son vagin. La proposition de la belle noire a fouetté son désir. Sa respiration s’accélère et Tim s’aperçoit du changement de son visage.

 

– Tu veux la rejoindre sur la scène ? Soit tranquille, elle est très propre et très « safe »

 

Françoise se dit qu’il l’a déjà essayée et s’efforce d’écarter toute idée de jalousie. Tim l’aide à escalader les lourds fauteuils de feutrine rouge et à plat ventre elle rampe sur la scène, soutenue par des dizaines de bras noirs, qui glissent sous sa jupe. A peine arrivée sur le proscenium, la chanteuse s’accroupit et la retournant sur le dos, retrousse la jupe de lin bleu. La magnifique toison fauve de Françoise brille sous les feux de la rampes. Les spectateurs applaudissent et tentent de franchir la fosse d’orchestre. Déjà la bouche fardée a pris possession de son sexe, une langue exercée parcourt sa vulve, escalade le clitoris, redescend sur l’anus, tandis que les mains noires aux paumes si claires écartent les fesses pour faciliter l’introduction dans le rectum. Françoise jouit, sa mouille coule à flot et rejaillit sur ses cuisses, elle gémit de plaisir, tandis que la divette tout en léchant et en suçant détaille ses sensations.

 

– Hum ! c’est bon. Elle a un merveilleux goût de jeune fille et en même temps, une pointe d’épices de Cayenne. Elle mériterait d’être noire.

 

L’assistance exulte, Françoise rend la pareille à la chanteuse qui dissimule sous les paillettes, un con accueillant, largement fréquenté, mais tendre, onctueux, souple, s’adaptant à toutes les audaces et ouvert en permanence à la langue de notre amie. Déjà des mains s’emparent de ses fesses. Des hommes surgis de partout se battent pour posséder la chair blonde de la française, mais Tim intervient, il l’arrache à la populace, rabat la jupe et referme le chemisier.

 

– Viens ! Dit-il en l’entraînant. Tu la retrouveras ta chanteuse, en privé, je te le promets. Mais je ne peux pas supporter que ces hommes puissent te monter dessus.

 

Ce fut la seule fois, où il dévoila son amour et sa jalousie pour cette femme qui l’avait ensorcelé.

 

Rentrés à l’hôtel, un vieux palace français, au charme vieillot, un message les attendait, Au téléphone, Shannah les appelait au secours. Elle se trouvait au poste de police à Washington, accusé de l’enlèvement du sénateur Brown qui avait disparu. Elle pleurait, affolée par les accusations injustes du shérif alerté par un coup de téléphone anonyme. On ne retrouvait pas de trace de l’hélico, ni du pilote, ni du blondin. La police effectuait des rondes dans le désert pour retrouver le parlementaire manquant.

 

Un juge obstiné

 

– Maître, pouvez-vous m’assurer que votre cliente aura les moyens financiers de payer sa caution ?

– Sans aucun doute, c’est la petite française qui possède des fonds à Washington. J’ai été collègue du Directeur Général de la banque à Harvard, il ne m’a pas caché qu’elle est en mesure de renflouer les caisses du Comté.

– D’où vient tout ce fric, ne pourrait-on l’inculper, elle aussi, pour blanchiment d’argent, par exemple, et rafler le magot ?

– Monsieur le Juge… ce serait très dangereux, l’oseille a été versée régulièrement en provenance directe de l’Elysée. Ce qui veut dire que cette fille doit être la maitresse d’un ministre ou d’un très haut fonctionnaire.

– Merci de me prévenir. Monsieur le procureur a-t-il quelque chose à ajouter ?

 

Jim Clayton, l’attorney général, encore un collègue à Harvard de l’avocat, Anthony Greenwood, se pinça le nez, un geste familier qu’il ne pouvait réprimer lorsqu’il devait réfléchir à un problème ardu.

 

– La caution sera levée, mes services ont pratiquement démontré sa culpabilité. L’affaire est dans la poche. Mon cher Anthony, je ne comprends pas, comment un vieux renard, comme toi, a pu se laisser entraîner à défendre cette cause pourrie et cette pouffiasse syrienne.

– J’ai confiance dans les déclarations de ma cliente, elle est innocente !

– Innocente ou pas, le département d’état tient à ce qu’elle reste en tôle, le plus longtemps possible. La C.I.A. prétend qu’elle appartient aux services secrets syriens. Dès qu’elle sera condamnée à une très longue peine, ils lui proposeront un marché, dénoncer tous les agents de son réseau contre une remise de peine.

 

Anthony Greenwood, après avoir quitté le palais de justice, rejoignit Françoise Laborde qui l’attendait déjà à son luxueux cabinet proche de la Maison Blanche. En reconnaissant, le gigantesque noir qui accompagnait la jeune française, il eut un frisson :

 

J’avais le nez creux, pense-t-il, si Tombstone est dans le coup, l’affaire est d’importance.

 

Il connaissait l’étendue des entreprises appartenant au noir et soupçonnait l’emprise de celles qui n’étaient pas connues. Bien implanté dans le Missouri et toute la côte sud, ce diable d’homme venait de s’emparer, coup sur coup, de plusieurs établissements de la côte Est et spécialement à Los-Angeles. Il avait déjà un pied dans le casting des vedettes des principaux producteurs et sa réputation prétendait que s’opposer à lui valait un arrêt de mort. Le célèbre avocat avait défendu plusieurs fois Tombstone dans des procès qui l’opposaient à des boss de la pègre, qui avaient toujours perdu ou étaient décédés mystérieusement pendant l’instruction.

 

– Je suis un collègue d’université de l’attorney général, Jim Clayton, surnommé « Pince-nez », il m’a laissé entendre, que Shannah était seule dans le ranch, lorsque Brown a disparu, les services de l’attorney n’ont pas trouvé de trace d’un hélicoptère, comme le prétend ma cliente. Rien ne prouve que le financier ait rejoint un autre homme, totalement disparu. Le chauffeur prétend qu’il a conduit la syrienne et le milliardaire au ranch dans une Cadillac décapotable et qu’il est reparti aussitôt. La seule chose qui reste mystérieuse, c’est le coup de téléphone d’un inconnu, qui passait par là et a entendu des coups de feu.

– Ne trouvez-vous pas étrange qu’un voyageur se retrouve à cet endroit, à plus de trente kilomètres de toute route et où on ne peut accéder que par des chemins de mulets ?

– J’estime que c’est tout à fait rocambolesque, mais le district attorney et le shérif sont persuadés du contraire. Je vais obtenir de Jim, une autorisation de visite pour que vous puissiez rencontrer votre amie à la prison du Comté. Elle a bien besoin de votre affection pour tenir le coup.

 

Tim reconduit Françoise à son hôtel et reprend l’avion pour New York. Dans la nuit du lendemain, la française qui partage son grand lit avec Souria, est réveillée par un coup de téléphone de Tim qui lui apprend qu’il a beaucoup de nouvelles à lui raconter. Il vient d’arriver à Washington, bientôt, il frappe à la porte de la chambre. Françoise lui présente Souria, presqu’endormie. Le regard du noir sur l’immense stature de la soudanaise n’a pas échappé à Françoise.

 

– Dis-moi ce que tu as appris ?

– J’ai consulté un privé, un détective de mes relations qui a déjà découvert que le cadavre de Brown a été‚ retrouvé, lardé de coups de couteaux, à proximité du ranch, dans un buisson épineux. Malgré les recherches, l’invité n’est pas connu. Mais l’argument capital du procureur, un couteau ensanglanté, trouvé dans le ranch porte les empreintes de ta Shannah.

– Mon dieu, elle est perdue !

– Non, si tu as confiance en moi et que tu es sûre de son innocence. Je la tirerai de là !

 

Tim voulait retourner à New York, mais Françoise lui propose de partager son lit. Tim, sculptural dans sa beauté musclée s’étend sur le corps prestement dénudé de l’hôtesse. Sous le poids de ses 120 kg, le matelas en latex se creuse sous Françoise, le géant noir l’écrase ce qui ravit la jeune femme qui jouit toujours lorsqu’elle est dominée par une force qui diminue sa respiration, lui coupe le souffle et accélère la montée du désir. Il ne lui échappe pas cependant que tandis qu’il la fouille de son énorme pénis, d’une main, il caresse les énormes seins de Souria. Tim la pénètre, elle s’ouvre sous la puissance de l’étreinte et jouit immédiatement. Elle mouille et sa plainte graduellement s’élève jusqu’à l’acmé de l’orgasme.

 

– Arrête », dit-elle à cet amant incomparable, arrête, garde tes forces pour mon amie Souria qui meurt d’envie de se faire baiser.

 

Pour toute réponse, Tim l’embrasse affectueusement pour sa compréhension et à la force des poignets se glisse sur la compagne de lit qui a dévoilé ses seins. Un instant, il la surmonte, pendant qu’elle retire sa longue chemise de nuit. lorsqu’elle apparait nue, sa peau noire luisant sous la lumière tamisée de la vielleuse, il s’abat sur elle, comme un chêne frappé par la foudre, sa grosse bite glisse entre les cuisses d’ébène. Souria ouvre les jambes pour le recevoir, mais il rampe sur la couverture, de ses grandes mains il écarte les lèvres, le sexe d’un rouge cramoisi de la soudanaise se couvre de sécrétions épaisses et laiteuses qu’il happe d’une langue gourmande. La jeune mère retrouve le goût du plaisir et crie dans un dialecte incompréhensible la joie qu’elle éprouve. Ensuite, elle clame sa joie de retrouver sur la queue tendue la saveur du con de son amie Françoise. Mais déjà le Play-boy la pénètre en l’écrasant de tout son être. Françoise excitée par les cris de son amie et les halètement furieux du mâle, lui caresse les couilles et emportée par sa sensualité exacerbée par une pénétration avortée, elle lui lèche tendrement l’anus.

 

à suivreL’hôtesse de l’air – 3 – Sacs de nœuds par Air Hostess

 

Le Cesna vibre en tanguant sur l’aile, Thimoty Tombstone le redresse en jetant un regard curieux sur sa voisine. Assise en co-pilote, Françoise en tailleur de lin bleu nuit, brodé‚ de motifs dorés, songe à la carte postale illustrée, reçue ce matin. D’un côté, la tombe de Victor Hugo au Père Lachaise, et au verso :

« L’étude des monuments funéraires est captivante et riche en informations. Meilleurs baisers de ton Oncle, signé Gabriel ».

 

« Il sait déjà ! »se dit la jeune française.

 

Elle est entourée d’informateurs anonymes et invisibles, elle sent autour d’elle, les liens mystérieux des « honorables correspondants ». L’allusion est claire, Tombstone peut se traduire en pierre tombale. Le code suivant veut dire, continuez, foncez. Elle avait donc eu raison d’accepter ce voyage dans le monomoteur de Tim, qui veut essentiellement la conduire à la Nouvelle-Orléans, pour lui présenter son empire du business, et éblouir ses amis par la blondeur de sa conquête, (eh, oui, pour cette mission Françoise s’est teint les cheveux) et accessoirement profiter du trajet pour tisser des liens plus tendre avec Françoise.

 

Shannah a été invitée par Brown à participer à un barbecue dans son ranch près de Washington, elle est partie très tôt ce matin, en hélicoptère privé, Souria dormait encore, un sourire béat illuminait son visage, elle tenait dans ses bras, Karim, son bébé‚ tout aussi endormi.

 

Tim pose sa large main sur le genou de l’hôtesse de l’air. Dans ce geste, il met toute l’affection qu’il porte à la jeune fille. Françoise voudrait bien piloter le petit appareil qui réagit si bien aux commandes, mais elle ne peut faire état de son brevet de pilote, brevet militaire obtenu à Istres, lorsqu’elle commandait une unité de jets de combat. Elle prétend avoir été initiée par un commandant de bord d’Air-France qui lui a enseigné les rudiments du pilotage. Tim lui cède le double des commandes. Ravie notre amie se laisse aller au gré de sa fantaisie, et tout en maintenant le cap sur le Mississippi, elle prend un peu d’altitude pour exécuter quelques cabrioles, immelmann et autres vrilles qui témoignent de sa maîtrise. Tim en profite pour explorer ses dessous. En fait, sous la jupe de lin, Françoise ne porte rien. La grande main s’égare avec son assentiment dans un buisson touffu et trouve l’entrée de la grotte des plaisirs. L’un après l’autre, les longs doigts noirs hésitent, pénètrent dans ce lieu humide, en ressortent tout englués et laisse la place au suivant. Françoise halète tout en suivant des yeux l’horizon artificiel, le badin indique 240 knots, (vitesse du vent en nœud) la pression d’huile est parfaite, elle peut s’abandonner à la main salvatrice qui anime son désir. Tim se lèche les doigts, il recueille avec sa langue tous les témoignages de la sensualité de la jeune fille. Bientôt, il reprend le pilotage, pour permettre à Françoise de se dépouiller de tous ses vêtements et de dégager la fermeture éclair de son compagnon. Et tandis, qu’il reprend le cap en s’aidant de la balise de Saint-Louis, elle engloutit l’énorme membre noir dans sa bouche, elle en garde encore le souvenir dans sa vulve reconnaissante.

 

 

 

Blues in the Sky.

 

Pendant ce temps, l’hélico piloté‚ par le valet à tout faire de Brown atteint le ranch, très éloigné de toutes communications, et se pose sur une petite piste de ciment au milieu du désert, face au bâtiment de bois, ancien relais de diligences, appartenant au milliardaire. Brown aide Shannah à descendre. Un homme les attend, grand et mince, il salue le sénateur et sa compagne qui entrent dans la pièce principale. Le pilote apporte les légers bagages. Shannah comprend très rapidement les intentions du parlementaire. Il désire voir la syrienne se faire prendre par le pilote ou le blond mystérieux qui la regarde avec envie. Seule femme, assise dans un divan de rotin en compagnie de trois hommes excités, elle maîtrise la situation. Ce n’est pas la première fois qu’elle doit faire face à trois mâles en chaleur. Dans le bordel de sa mère, elle passait de l’un à l’autre et son tact naturel permettait d’éviter les querelles. Le confident valet et pilote l’entreprend le premier. Leurs bouches se joignent, les mains courent sous sa jupe. Des mains étrangères retirent sa culotte de dentelles. Tandis que le vaillant serviteur suce son clitoris rougi par le frottement, elle constate avec étonnement que le sénateur n’est pas seulement voyeur, entièrement nu, il caresse avec ardeur le pénis du blondin et lui lèche les testicules.

 

Le Cesna touche le sol, sans problème, Tim et Françoise montent dans une vaste Chrysler noire qui les conduit en ville. Leur tournée des lieux de plaisir de la Nouvelle Orléans passe par tous les « speak-easys » du quartier français. Tim possède beaucoup de ces établissements où le consommateur déguste son whisky en contemplant des filles, debout sur le comptoir qui dévoilent petit à petit une anatomie stéréotypée retravaillée par des chirurgiens champions du silicone. Sans aucune pudeur, les spectateurs se masturbent et glissent des billets de 10 dollars dans le slip des « artistes ». Lorsque le billet atteint 100 dollars, le donateur a droit à un coup d’œil sur le petit jardin de ces dames, entièrement passé à la tondeuse à gazon et où les grandes lèvres rectifiées par les chirurgiens esthéticiens m’apparaissent plus que sous forme d’un léger pli parfaitement fermé. D’autres billets conduisent la fille à effectuer une branlette d’une main experte et dénuée de tout sentiment. Françoise est frappée par l’aspect uniquement commercial du système. En Europe, les putes ont la charité de vous faire croire qu’elles éprouvent un certain sentiment, une certaine attirance pour leur visiteur. Ici, les filles ne sont pas des putes, elles ne couchent pas, où alors en dehors de l’établissement. Elles se considèrent comme des employées qui exercent un métier comme un autre. Après leur neuf heures de prestation entrecoupées de poses, elle retournent près de leur ami, leur mari, leurs enfants avec la bonne conscience du travail accompli. Tim entraîne sa conquête dans un ancien théâtre. Une sorte de revue en chanson, menée par une grande noire athlétique habillée ou plutôt déshabillée en cow-girl attire une poignée d’hommes et quelques couples, en grande majorité noirs. La fille exhibe ses seins, modèle standard gonflés au silicone et se dandine. Devant elle, quelques femmes noires qui masturbent leur compagnon, qui bandent en regardant la chanteuse qui beugle des insanités à double sens. Elle a reconnu Tim, le patron de l’Agence de casting la plus connue et attire son attention par des sourires et des signes tout en interprétant sa chanson. Elle se penche, et confie quelque chose à l’oreille du géant noir. Françoise est très intriguée, la chanteuse la regardait intensément en chuchotant. Elle est sûre qu’elle lui parlait d’elle. Assise à côté de Tim, elle lui tire les vers du nez

 

– Qu’est-ce qu’elle te disais ?

– Elle disait qu’elle te trouvait à son goût ! Si tu veux bien monter sur la scène, elle voudrait te lécher pour connaître la saveur de ton con

 

La chaleur envahit le visage de l’hôtesse de l’air, en même temps une bouffée de flammes inonde son vagin. La proposition de la belle noire a fouetté son désir. Sa respiration s’accélère et Tim s’aperçoit du changement de son visage.

 

– Tu veux la rejoindre sur la scène ? Soit tranquille, elle est très propre et très « safe »

 

Françoise se dit qu’il l’a déjà essayée et s’efforce d’écarter toute idée de jalousie. Tim l’aide à escalader les lourds fauteuils de feutrine rouge et à plat ventre elle rampe sur la scène, soutenue par des dizaines de bras noirs, qui glissent sous sa jupe. A peine arrivée sur le proscenium, la chanteuse s’accroupit et la retournant sur le dos, retrousse la jupe de lin bleu. La magnifique toison fauve de Françoise brille sous les feux de la rampes. Les spectateurs applaudissent et tentent de franchir la fosse d’orchestre. Déjà la bouche fardée a pris possession de son sexe, une langue exercée parcourt sa vulve, escalade le clitoris, redescend sur l’anus, tandis que les mains noires aux paumes si claires écartent les fesses pour faciliter l’introduction dans le rectum. Françoise jouit, sa mouille coule à flot et rejaillit sur ses cuisses, elle gémit de plaisir, tandis que la divette tout en léchant et en suçant détaille ses sensations.

 

– Hum ! c’est bon. Elle a un merveilleux goût de jeune fille et en même temps, une pointe d’épices de Cayenne. Elle mériterait d’être noire.

 

L’assistance exulte, Françoise rend la pareille à la chanteuse qui dissimule sous les paillettes, un con accueillant, largement fréquenté, mais tendre, onctueux, souple, s’adaptant à toutes les audaces et ouvert en permanence à la langue de notre amie. Déjà des mains s’emparent de ses fesses. Des hommes surgis de partout se battent pour posséder la chair blonde de la française, mais Tim intervient, il l’arrache à la populace, rabat la jupe et referme le chemisier.

 

– Viens ! Dit-il en l’entraînant. Tu la retrouveras ta chanteuse, en privé, je te le promets. Mais je ne peux pas supporter que ces hommes puissent te monter dessus.

 

Ce fut la seule fois, où il dévoila son amour et sa jalousie pour cette femme qui l’avait ensorcelé.

 

Rentrés à l’hôtel, un vieux palace français, au charme vieillot, un message les attendait, Au téléphone, Shannah les appelait au secours. Elle se trouvait au poste de police à Washington, accusé de l’enlèvement du sénateur Brown qui avait disparu. Elle pleurait, affolée par les accusations injustes du shérif alerté par un coup de téléphone anonyme. On ne retrouvait pas de trace de l’hélico, ni du pilote, ni du blondin. La police effectuait des rondes dans le désert pour retrouver le parlementaire manquant.

 

Un juge obstiné

 

– Maître, pouvez-vous m’assurer que votre cliente aura les moyens financiers de payer sa caution ?

– Sans aucun doute, c’est la petite française qui possède des fonds à Washington. J’ai été collègue du Directeur Général de la banque à Harvard, il ne m’a pas caché qu’elle est en mesure de renflouer les caisses du Comté.

– D’où vient tout ce fric, ne pourrait-on l’inculper, elle aussi, pour blanchiment d’argent, par exemple, et rafler le magot ?

– Monsieur le Juge… ce serait très dangereux, l’oseille a été versée régulièrement en provenance directe de l’Elysée. Ce qui veut dire que cette fille doit être la maitresse d’un ministre ou d’un très haut fonctionnaire.

– Merci de me prévenir. Monsieur le procureur a-t-il quelque chose à ajouter ?

 

Jim Clayton, l’attorney général, encore un collègue à Harvard de l’avocat, Anthony Greenwood, se pinça le nez, un geste familier qu’il ne pouvait réprimer lorsqu’il devait réfléchir à un problème ardu.

 

– La caution sera levée, mes services ont pratiquement démontré sa culpabilité. L’affaire est dans la poche. Mon cher Anthony, je ne comprends pas, comment un vieux renard, comme toi, a pu se laisser entraîner à défendre cette cause pourrie et cette pouffiasse syrienne.

– J’ai confiance dans les déclarations de ma cliente, elle est innocente !

– Innocente ou pas, le département d’état tient à ce qu’elle reste en tôle, le plus longtemps possible. La C.I.A. prétend qu’elle appartient aux services secrets syriens. Dès qu’elle sera condamnée à une très longue peine, ils lui proposeront un marché, dénoncer tous les agents de son réseau contre une remise de peine.

 

Anthony Greenwood, après avoir quitté le palais de justice, rejoignit Françoise Laborde qui l’attendait déjà à son luxueux cabinet proche de la Maison Blanche. En reconnaissant, le gigantesque noir qui accompagnait la jeune française, il eut un frisson :

 

J’avais le nez creux, pense-t-il, si Tombstone est dans le coup, l’affaire est d’importance.

 

Il connaissait l’étendue des entreprises appartenant au noir et soupçonnait l’emprise de celles qui n’étaient pas connues. Bien implanté dans le Missouri et toute la côte sud, ce diable d’homme venait de s’emparer, coup sur coup, de plusieurs établissements de la côte Est et spécialement à Los-Angeles. Il avait déjà un pied dans le casting des vedettes des principaux producteurs et sa réputation prétendait que s’opposer à lui valait un arrêt de mort. Le célèbre avocat avait défendu plusieurs fois Tombstone dans des procès qui l’opposaient à des boss de la pègre, qui avaient toujours perdu ou étaient décédés mystérieusement pendant l’instruction.

 

– Je suis un collègue d’université de l’attorney général, Jim Clayton, surnommé « Pince-nez », il m’a laissé entendre, que Shannah était seule dans le ranch, lorsque Brown a disparu, les services de l’attorney n’ont pas trouvé de trace d’un hélicoptère, comme le prétend ma cliente. Rien ne prouve que le financier ait rejoint un autre homme, totalement disparu. Le chauffeur prétend qu’il a conduit la syrienne et le milliardaire au ranch dans une Cadillac décapotable et qu’il est reparti aussitôt. La seule chose qui reste mystérieuse, c’est le coup de téléphone d’un inconnu, qui passait par là et a entendu des coups de feu.

– Ne trouvez-vous pas étrange qu’un voyageur se retrouve à cet endroit, à plus de trente kilomètres de toute route et où on ne peut accéder que par des chemins de mulets ?

– J’estime que c’est tout à fait rocambolesque, mais le district attorney et le shérif sont persuadés du contraire. Je vais obtenir de Jim, une autorisation de visite pour que vous puissiez rencontrer votre amie à la prison du Comté. Elle a bien besoin de votre affection pour tenir le coup.

 

Tim reconduit Françoise à son hôtel et reprend l’avion pour New York. Dans la nuit du lendemain, la française qui partage son grand lit avec Souria, est réveillée par un coup de téléphone de Tim qui lui apprend qu’il a beaucoup de nouvelles à lui raconter. Il vient d’arriver à Washington, bientôt, il frappe à la porte de la chambre. Françoise lui présente Souria, presqu’endormie. Le regard du noir sur l’immense stature de la soudanaise n’a pas échappé à Françoise.

 

– Dis-moi ce que tu as appris ?

– J’ai consulté un privé, un détective de mes relations qui a déjà découvert que le cadavre de Brown a été‚ retrouvé, lardé de coups de couteaux, à proximité du ranch, dans un buisson épineux. Malgré les recherches, l’invité n’est pas connu. Mais l’argument capital du procureur, un couteau ensanglanté, trouvé dans le ranch porte les empreintes de ta Shannah.

– Mon dieu, elle est perdue !

– Non, si tu as confiance en moi et que tu es sûre de son innocence. Je la tirerai de là !

 

Tim voulait retourner à New York, mais Françoise lui propose de partager son lit. Tim, sculptural dans sa beauté musclée s’étend sur le corps prestement dénudé de l’hôtesse. Sous le poids de ses 120 kg, le matelas en latex se creuse sous Françoise, le géant noir l’écrase ce qui ravit la jeune femme qui jouit toujours lorsqu’elle est dominée par une force qui diminue sa respiration, lui coupe le souffle et accélère la montée du désir. Il ne lui échappe pas cependant que tandis qu’il la fouille de son énorme pénis, d’une main, il caresse les énormes seins de Souria. Tim la pénètre, elle s’ouvre sous la puissance de l’étreinte et jouit immédiatement. Elle mouille et sa plainte graduellement s’élève jusqu’à l’acmé de l’orgasme.

 

– Arrête », dit-elle à cet amant incomparable, arrête, garde tes forces pour mon amie Souria qui meurt d’envie de se faire baiser.

 

Pour toute réponse, Tim l’embrasse affectueusement pour sa compréhension et à la force des poignets se glisse sur la compagne de lit qui a dévoilé ses seins. Un instant, il la surmonte, pendant qu’elle retire sa longue chemise de nuit. lorsqu’elle apparait nue, sa peau noire luisant sous la lumière tamisée de la vielleuse, il s’abat sur elle, comme un chêne frappé par la foudre, sa grosse bite glisse entre les cuisses d’ébène. Souria ouvre les jambes pour le recevoir, mais il rampe sur la couverture, de ses grandes mains il écarte les lèvres, le sexe d’un rouge cramoisi de la soudanaise se couvre de sécrétions épaisses et laiteuses qu’il happe d’une langue gourmande. La jeune mère retrouve le goût du plaisir et crie dans un dialecte incompréhensible la joie qu’elle éprouve. Ensuite, elle clame sa joie de retrouver sur la queue tendue la saveur du con de son amie Françoise. Mais déjà le Play-boy la pénètre en l’écrasant de tout son être. Françoise excitée par les cris de son amie et les halètement furieux du mâle, lui caresse les couilles et emportée par sa sensualité exacerbée par une pénétration avortée, elle lui lèche tendrement l’anus.

 

à suivre

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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 18:50

L’hôtesse de l’air – 2 – Mission Démoniaque et la fête égyptienne par Air Hostess

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Mission Démoniaque.

 

Françoise, sortie du métro, hume l’air empuanti par les échappements et gagne le boulevard Bonne Nouvelle. Une foule dense l’entoure qui la distrait de ses pensées. Depuis son enlèvement en Syrie et sa miraculeuse évasion (Voir chapitre précédent) elle se repose dans sa maison de la Chaussée d’Antin, Elle a gardé près d’elle son inséparable Shannah, tous les jours un peu plus parisienne, dont les goûts raffinés se modèlent sur les siens, et la très utile Souria, toujours souriante qui se charge de cuisiner et de dorloter son nourrisson. Depuis deux mois, en convalescence après l’épisode dramatique de Syrie, Air-France ne lui a plus confié aucune tâche. Mais ce matin, elle a reçu une carte de l’Oncle Gabriel qui s’inquiète de sa santé. On ne résiste pas à Tonton Gabriel. A chaque escale, Françoise lui envoie une petite carte illustré à laquelle, il ne manque pas de répondre. Elle atteint rapidement le comptoir d’Import-Export, et le concierge dans le hall la salue avec le sourire, tandis qu’elle pénètre dans le secrétariat. Elle s’adresse à Mademoiselle Rose, quinquagénaire à lunettes dont la tête dépasse du comptoir d’acajou.

 

– Je viens voir mon Oncle.

– Il vous attend, Françoise.

 

Et d’un doigt exercé elle appuie sur un bouton invisible sous la tablette. La porte derrière la secrétaire donne accès à des toilettes un peu vieillottes, en marbre et en chêne vernis. Françoise, sans hésiter, saisit le porte serviette et le tord vers le plafond. Tout le panneau, lavabo compris, pivote sur son axe et dévoile un long couloir parquet‚ qui bientôt couvert de moquette s’éloigne, éclairé d’une lumière tamisée. Un ascenseur la conduit au cinquième étage au bureau des opérations. La secrétaire personnelle du Boss la gratifie d’une solide poignée de mains.

 

– Comment allez-vous Anne ?

 

En franchissant le porte secrète, Françoise a retrouvé son identité : Anne de Neubourg, capitaine de l’Armée française, attachée aux services spéciaux. Le colonel Vidalain, dit l’Oncle Gabriel la reçoit avec effusion. Une mission importante lui est réservé. Profitant d’un Congrès international du personnel navigant, Anne-Françoise doit représenter la France mais aussi nouer des contacts étroits avec des milieux d’affaires proches des compagnies américaines, mais liés également au show-business. Des crédits importants sont à sa disposition à New York et en Californie. Pour assurer sa couverture, Françoise voyagera avec ses deux amies et le bébé métis de la noire Souria.

 

Dans un beuglement de colère, le Concorde s’arrache à la piste et fonce vers le zénith, puis après avoir accompli une parabole parfaite, il trouve son altitude préférée et le cap sur New-York. Enfoncées dans les profonds fauteuils, Shannah et Souria se taisent, impressionnés par le fracas des moteurs. En grande conversation avec une hôtesse, Françoise lit la liste des passagers, elle sait qu’il est important de nouer un contact avec le sénateur Brown qui occupe à lui seul une rangée de sièges réservés. Très puissant personnage, aussi influent au Sénat, que dans le conseil d’Administration de plusieurs banques, il serait dit-on le conseiller secret de la maffia, très amateur de jolies femmes, avocat des producteurs de films à succès. En entrant dans la cabine, il a jeté un regard perspicace sur les deux amies de Françoise et lorsque celle-ci gagne le petit bar, il se lève et vient à son tour demander une coupe de champagne. Françoise lève les yeux et son regard suffit à faire disparaître la stewardesse. Le sénateur se lance à l’abordage en français, preuve qu’il s’est renseigné sur l’identité‚ des passagères.

 

– Je suis très heureux de voyager dans ce Concorde, puisqu’il me donne l’occasion de contempler la jolie Françoise, l’hôtesse de l’Air dont l’enlèvement a bouleversé la France et aussi l’Amérique. Je vois que ces péripéties n’ont pas nuis à votre beauté. Vous êtes plus belle que jamais.

 

Notre amie lui répond en anglais qu’elle est très heureuse de rencontrer un homme aussi célèbre en France qu’en Amérique. Et que son jugement lui fait grand plaisir venant d’un connaisseur qui avait été le mari de plusieurs beautés américaines. Brown d’un geste qui parait anodin, ferme la porte du bar derrière lui.

 

« L’opération Brown débute à 15 h 27 », déclare mentalement Françoise, tandis que le sénateur la saisissant par le bras, l’a fait virevolter devant lui comme pour mieux apprécier sa taille fine et ses hanches de rêve. Comme elle ne résiste pas à cette traction, il l’attire vers lui. Feignant de glisser, Françoise tombe dans ses bras et sa bouche ouverte dans un cri de stupéfaction bien imité, s’écrasa sur la sienne. Un long baiser les réunit, enlacés. A travers la fine chemise de soie du parlementaire milliardaire, elle sent l’humidité de son torse mouillé de sueur. Il fait très chaud dans ce petit réduit. Mêlé au parfum de son eau de toilette, elle perçoit son odeur corporelle puissante qui évoque des étreintes idéales.

 

« Je mouille » se dit-elle ! « il va sentir mon désir, comme je perçois le sien ».

 

Le solide quadragénaire la tient fermement par la taille de la main gauche, la droite appuyé sur la poitrine de notre héroïne ferme la prise et évalue discrètement l’élasticité du soutien-gorge. Il presse son bas-ventre contre le sien et elle sent, sous le fin tissus de cachemire du pantalon, acheté à Londres et adapté au climat californien, qu’elle ne le laisse pas indifférent. Françoise, par pudeur, tente de réagir, mais son tempérament et sa mission se complètent pour faire échouer sa résistance. Le milliardaire la traîne dans le couloir et gagne la porte des toilettes. Il ferme le verrou et assied Françoise sur le lavabo. En se débattant sous la poigne énergique du sénateur, elle perd ses souliers. Il écarte les jambes de notre hôtesse, en poussant en avant son ventre comme un bulldozer. Françoise respire bruyamment, sa poitrine se soulève, son parfum favori s’évade du décolleté et fouette les sens du milliardaire excité. Glissant la main sous la jupe du deux pièces de soie sauvage, il atteint la ceinture du slip et le tire sur les cuisses. Notre hôtesse en perdant la protection de sa culotte, semble soulagée, libérée de toutes contraintes, elle livre son entrejambes à la main fourrageuse du mâle qui sans attendre, investit le clitoris, écarte les lèvres et pointe son index dans la vulve. Françoise soulève son bassin et porte son ventre à la rencontre du doigt dispensateur de voluptés. Sans un mot, Brown, la conduit dans un W.C. et avec son aide, laisse tomber son pantalon et son slip, s’assied sur le siège et l’attire à califourchon sur son sexe dressé. Françoise se plante sur le pénis et s’étonne de sa faible longueur. Le sénateur se trémousse, la sueur coule sur son visage hâlé de play-boy prolongé. La vivacité de sa verge et sa grosseur rachète son côté dérisoire, Françoise ne tarde pas à jouir, elle mouille abondamment et la cyprine coule à flot sur les couilles du parlementaire avant de tomber goutte à goutte dans le vase du W-C. Le bruit d’eau excite le sénateur.

 

– Oh ! Oui, j’aime ça, pisse sur moi. Je veux sentir ton urine couler sur mes couilles !

 

Françoise sourit, malgré‚ la jouissance qui monte, elle éprouve un besoin pressant d’uriner et sous la prière du californien, elle libère sa vessie, le pénis frétille, toujours engagé‚ dans son sexe. Sous le flot brûlant qui mouille le poil de son pubis et inonde ses testicules, le quinquagénaire ne peut plus se retenir, il jouit et les palpitations de sa bite entraînent l’orgasme de Françoise, qui perd sa cyprine et son urine confondues. Longtemps, ils restent immobiles dans le réduit, sentant la jouissance se retirer et le sexe de l’homme se ratatiner dans le réceptacle de sa partenaire. Ensuite, très excité, le parlementaire d’une langue expérimentée tient à nettoyer toutes traces d’urine sur le corps de sa partenaire. Léchant tous les replis et s’enivrant du goût et de l’odeur d’urine. Rhabillés et apparemment très corrects, ils retournent vers les fauteuils.

 

– Comment savais-tu que je suis fou de ce genre de sexualité ? Je n’en ai jamais rien dit à personne ?

– Je n’en savais rien. C’est également ce que je préfère. Répondit Françoise sûre de répondre à un penchant secret et de nouer des relations durables avec cet homme important.

 

La fête égyptienne.

 

Le Waldorf-Astoria ne relève pas des établissements tranquilles et reposants. Une nuée de garçons d’étage, de femmes de chambre, de maître d’hôtel, de grooms, de voituriers, de concierges s’agite en un ballet incessant qui persiste même la nuit. Shannah très impressionnée par le clinquant et le luxe ostentatoire des lieux accompagne Françoise qui se rend à l’invitation du sénateur à une soirée très spéciale, dont le thème tourne autour de l’Egypte des pharaons. Le chauffeur-valet de chambre du parlementaire attend dans le hall. Fardée par la syrienne qui lui a dessiné‚ des yeux de biche, Françoise enveloppée dans un long manteau de soie noire, porte une valise d’accessoires de théâtre qu’elle a loués dans la sixième avenue. Une Cadillac noire aux fenêtres opaques les accueille, la destination demeure secrète. Après une heure de route, la berline pénètre dans le jardin d’une somptueuse villa, mise à la disposition du milliardaire et de ses invités. Une petite pièce réservée à Françoise et à Shannah, permet à l’hôtesse de l’air de revêtir son déguisement, une panoplie complète de reine d’Egypte. La jeune française porte sous son manteau, une légère tunique transparente qui ne cache rien de son corps magnifique. Un pectoral d’or enrichi de gemmes précieuses dévoile ses seins appétissants, une ceinture de pièces d’or, d’où pendent des scarabées sacrés et des chaînes entremêles de gros cabochons de lapis-lazuli sont sensés dérober aux regards sa superbe toison pubienne. Habillée en esclave soumise, les cheveux noirs dissimulés par une énorme perruque de lin, Shannah pose sur la tête de son amie, le Pschent, cette coiffure qui symbolise le pouvoir sur la haute et la basse Egypte. Devenue Cléopâtre, investie dans son personnage elle remercie d’un sourire sa servante, qui introduit ses doigts fuselés dans les tuyaux d’or de ses gants. Ses pieds sont chaussés d’une semelle qu’elle maintient grâce à un serpent d’or qui ondule sur ses orteils laqués. Elle fait une entrée remarquée dans la salle réservée aux invités. Elle gagne une estrade basse surmontée d’un fauteuil doré portant de la main droite le fléau d’or et de la gauche, le sceptre qui affirment son autorité‚. Shannah agenouillée à ses pieds, les seins nus, porte une courte jupe blanche. Les spectateurs sont subjugués, Brown vivement applaudi pour ses initiatives, vient baiser la main de sa conquête. En cet instant, il se prend pour César retenant captive la reine d’Egypte. Les invités, un verre à la main se sont rapprochés et détaillent à haute voix les beautés découvertes. Mais déjà, la lumière défaille, un projecteur hollywoodien allume des éclairs dans les bijoux en toc. La voix de Shannah s’élève tout à coup dans le silence retrouvé.

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– Oh reine, toi qui es la déesse de la fécondité, la mère de toutes nos richesses fait pleuvoir tes bienfaits sur ton peuple éploré‚ qui attend la crue de son grand fleuve. Accepte l’hommage des humains qui désirent copuler sur ton corps divin pour hâter la montée des eaux. Accepte leur semence généreusement répandue sur ton corps de déesse. Prend place sur l’autel du sacrifice.

 

Françoise-Cléopâtre s’étend avec abandon sur un tapis de pétales de roses dressé sur l’estrade. Très excités, les mâles de l’assistance dont nombreux sont ceux déjà dévêtus, entourant le corps sublime se masturbent, parfois aidés par la Syrienne. Les plus ardents, les plus rapides éjaculent déjà, cherchant les seins ou le pubis. Des flots de sperme dégoulinent, se croisent, se mélangent. du plus gras au plus liquide. L’émotion sexuelle s’empare des femmes qui relevant leur robe du soir se masturbent en criant. On y reconnait des actrices superbes les doigts enfoncés dans leur chatte et hurlant de désir. D’autres plus âgées, couvertes de bijoux, prise par l’ambiance, cherchent chez une amie, une main secourable pour activer leur jouissance. Entre-temps, la couche de sperme qui recouvre le corps de la reine brille sous les projecteurs. Brown très excité, exhibe son petit pénis ridicule, complètement nu, il se couche sur le corps de Françoise et la pénètre brièvement. Les retardataires le prennent également comme cible. Shannah reprend la parole :

 

 

– Oh reine gratifie ton peuple de tes eaux bienfaisantes.

 

A genoux, devant l’estrade, elle attend. Et le miracle s’accomplit, un énorme jet jaillit du sexe entrouvert de Françoise. L’urine tourbillonne dans les rayons des spots et asperge l’esclave agenouillé et tous les spectateurs avides de recevoir cette douche brûlante. L’urine dilue le sperme sur les cuisses de l’hôtesse. La Syrienne lèche en poussant des cris de jouissance. Des femmes dépoitraillées prélèvent du liquide pour se masser les seins. Brown extrait Françoise de sa couche fleurie et l’entraîne dans une pièce voisine. Dépouillée de ses oripeaux de théâtre, Françoise est présentée par le maître de séant à un gigantesque noir, bâti comme un arbre, dont le corps nu brille comme de l’ébène.

 

– Je te présente Thimoty Tombstone, le plus grand spécialiste du casting de tous les Etats-Unis.

 

Le noir se penche pour lui baiser la main, la retenant entre ses immenses paluches, il embrasse la paume, l’avant-bras, les biceps et continue par les seins. Françoise se sent comme une toute petite chose dans les bras de l’athlète. Shannah restée dans la grande salle pour trouver son plaisir parmi les invités, lui manque. Elle comprend vite les desseins du sénateur, il veut voir. Voir le noir la pénétrer. Couchée sur la moquette, la française redoute l’énorme braquemart de Mister Tim. Celui-ci, avec une grande douceur, écarte les grandes lèvres poissées par les orgasmes répétés de Françoise, il explore le vagin surchauffé‚ d’une langue pénétrante, mais se décide pour l’anus. Le sphincter sous la caresse insistante et l’appoint de salive, s’entrouvre et libère la douceur de ses parois. La grosse bite prend son appui et le gland force l’ouverture. Françoise n’a pas souffert, l’excitation couvre la douleur, elle jouit tandis que le membre tendu plonge plus profondément en elle. Brown se masturbe et bientôt il arrose le plancher de quelques gouttes de sperme, tandis que Françoise et Tim liés par un même cri, unissent leur plaisir dans un orgasme partagé.

 

à suivre

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Lundi 12 juillet 2021 1 12 /07 /Juil /2021 18:44

L’hôtesse de l’air – 1 – Fesses en l’air par Air Hostess

 

air hostess

Le commandant Mercier redresse l’assiette, le bimoteur tangue et reprend le fil de la descente. Dans l’axe de la piste, les roues touchent le sol, il maintient la pression sur le palonnier, l’appareil a tendance à glisser sur ce tarmac poisseux. Ouf ! On est à Varsovie. Le moteur n°2 qui chauffe un peu, est arrêté, plus de risque. Truon Khin le co-pilote conduit l’avion d’Air-France au débarquement. Satisfait Mercier, les deux avant-bras derrière la tête savoure sa première cigarette. Françoise, chef hôtesse salue les passagers, Georges Gonesse, le steward aide une vieille dame à descendre les marches. Peu après, à son habitude, Mercier rassemble les hôtesses, pour économiser un taxi à la compagnie. En réalité‚ pense Françoise, il a une idée en tête, il va organiser une petite soirée à l’hôtel. Elle regrette, elle ne se joindra pas à la joyeuse bande, son taxi l’attend déjà, commandé par la tour de contrôle. Merci à la gentillesse des polonais.

 

Le véhicule atteint rapidement la rue Potowski. Madame Svetlana l’accueille avec le sourire, une certaine complicité lie la jeune hôtesse de l’air à la polonaise qui subsiste grâce à la location de ses chambres garnies. Françoise Laborde occupe toujours la même chambre, dans cette grande baraque délabrée, mais d’une rigoureuse propreté. Déjà, la grande blonde portant le sac de l’hôtesse, l’a conduite à son appartement. Elle a hâte de voir ce que je lui apporte, pense Françoise, qui à chaque voyage à Varsovie, offre un petit cadeau à son amie démunie. Mais la rencontre prend un tour inattendu, la polonaise embrasse la française et dans sa fougue, leurs lèvres se rencontrent, le baiser de retrouvailles avorte. Les yeux bruns de Françoise plongent dans l’océan gris-bleu des iris polonais, des paillettes d’or réchauffent le regard perçant. Françoise emportée par sa spontanéité‚ reprend l’initiative à son tour. Elle approche sa bouche fardée des lèvres tendues, le baiser n’a pas surpris Svetlana, les dents légèrement écartées, elle aspire le souffle frais de la jeune fille qui répond à son ardeur. La langue de la polonaise frétille, et force la française à entrouvrir la bouche. Les deux langues se touchent, les salives se mêlent. Françoise sent une douce chaleur l’envahir. Il y a longtemps qu’elle n’a plus de compagne et cette délicate caresse lui rappelle de bons souvenirs.

 

Une main agile la distrait de ses pensées, Svetlana a dégrafé le troisième bouton de son chemisier d’uniforme, et les doigts robustes de Madame Sulowski plongés dans le soutien-gorge, ont découvert le téton. Françoise sensible à cet attouchement, pose une main tremblante sur le poignet pour se dégager. Mais pendant qu’elle résiste l’autre main de Svetlana, glissée sous la jupe courte atteint le slip de soie et cherche la dépression du sexe. La respiration de Françoise s’accélère. La polonaise repère le mont de Vénus, en dessous, la soie mouillée dessine le clitoris et l’entrebâillement des petites lèvres. Dès que l’index de Svetlana s’est posé sur le clitoris à travers la soie naturelle du slip, Françoise perd toute résistance, elle s’abandonne à la sensation excitante, elle mouille, elle se sent mouiller. La cyprine inonde les grandes lèvres et envahit son vagin. La tenancière de la pension l’a conduite sur le lit tout proche, et lui retire le slip trempé. Bientôt la blonde ouvre les portes du temple, et d’une langue experte, elle ramasse tout le flux jaillissant. Lorsque la bouche brûlante atteint le clitoris, celui-ci spontanément sort de son capuchon et se redresse sous la vigueur du coup de langue. Françoise hurle de plaisir. Bientôt, nues toutes deux, elles s’étalent sur le lit. Françoise rendant avec générosité les caresses reçues. Le corps de la polonaise, plus robuste cache des muscles puissants. Son appétit sexuel, aussi exigeant que celui de la française s’exprime plus brutalement. Le corps parcouru par les mains énergiques de Svetlana, Françoise pousse une douce plainte.

 

La porte s’ouvre, le fils de Svetlana, Stepan apparait inquiet en entendant les cris de sa voisine. Il ne semble pas étonné de voir sa mère et la française, nues, en train de se caresser. En moins de trois secondes, il se sépare de ses vêtements. son corps d’athlète aux pectoraux puissants, aux cheveux couleur de blé, se mêle à leur jeux. Il suce à son tour le clitoris turgescent de la française, tandis que sa mère saisissant son pénis maintien sa raideur en le pompant vigoureusement. Ce spectacle inusité‚ et totalement choquant excite violemment la jeune française, une mère faisant un pompier à son grand fils. Finalement, Françoise, la bouche sur le sexe de Svetlana, à genoux sur le lit dévasté, les fesses écartées par les mains du géant, l’anus fouillé par sa langue, gémit plaintivement. Mais déjà, le pénis avait remplacé la langue. La grosse bite du polonais entrait difficilement dans le petit conduit anal de l’hôtesse. D’une poussée, il pénètre et décharge sauvagement dans le rectum enflammé par ses ardeurs. La sauvagerie de cette agression, avait laissé Françoise, sans voix. La jeune française reprend ses esprits, tandis que Stepan ébranle sa mère de pénétrations multiples dans son vagin. Epuisé, il se retire sans un mot. Les deux femmes passent toute la nuit enlacées, la petite tête brune de Françoise reposant sur le sein droit de la polonaise.

 

Le lendemain, jour de repos, la française ne reprend son poste que le jour suivant sur le 721 Varsovie-Frankfort, habillée d’un petit tailleur noisette qui met en valeur ses fines chevilles, elle décide de visiter quelques échoppes. Elle pense à sa soirée précédente et à celle que Mercier a dû organiser avec ses collègues. Pas mécontente d’avoir pu y échapper, elle évoque ce macho de Mercier, qui convie dans sa chambre les trois hôtesses, Solange, Anne-Marie et Françoise, à chaque escale. Le co-pilote et le steward Gonesse participent à ces orgies. Nues les filles doivent à tour de rôle, à genoux, faire un pompier au commandant, qui jamais ne les gratifie de la moindre caresse. Dès qu’il bande à son gré, il saisit la première venue et l’enfile sur le bord d’un fauteuil avant de passer à la suivante. Les deux autres membres de l’équipage saisissent leur chance. Françoise a horreur de ce genre de réjouissance. Elle aime les hommes, mais les préfère caressants, doux, affectueux. Truon, plus tendre, semble accorder plus d’attention à ses partenaires, il caresse ces jolies filles et parcoure toute leur féminité d’une bouche amicale. Quant à Gonesse, fier de sa bite, courte et grosse comme un gourdin, il ne pense qu’à baiser, sans aucun égard.

 

Françoise, toute à ses pensées, n’a pas pris garde à ces deux hommes qui tout à coup, la saisissent par les bras et la poussent dans une voiture. Un troisième homme la tire à l’intérieur. La porte claque, le deuxième homme assis à l’avant braque sur la jeune hôtesse un automatique de gros calibre. Les deux individus qui l’encadrent portent des cagoules bleues. l’homme au révolver fixe sur Françoise ses yeux d’un bleu pervenche.

 

– Taisez-vous ! Ne criez pas ! Nous ne vous ferons pas de mal. Nous avons seulement quelques questions à vous poser

 

Il lui parle en anglais, dévoilant de petites dents blanches de carnassier. Sa voix posée calme les appréhensions de la jeune fille. La voiture a pris de la vitesse et gagne les faubourgs. Bientôt, les inconnus lui entoure la tête d’une lourde écharpe qui la plonge dans la nuit. Elle est ensuite, portée, traînée dans une maison, les pas résonnent dans des pièces vides, glaciales. On l’assied adossée à un objet dur, les bras ramenés en arrière sont attachés avec des chaînes. On lui retire le bandeau. Elle est assise sur un matelas d’enfant, enchaînée à un radiateur éteint, dans une chambre vide, aux hautes fenêtres sans rideaux. Le papier peint jaunâtre déchiré pend lamentablement. Aucun meuble, les trois hommes, le chauffeur demeurant invisible, sont accroupis en face d’elle. Le plus costaud, retire sa cagoule, cheveux roux, visage rougeaud, il ressemble à un boxeur d’une quarantaine d’année.

 

– Première question, depuis quand connaissez-vous Oskar Reynecke ?

– A ma connaissance ce nom ne me dit rien, je ne me souviens pas d’avoir un passager de ce nom. Enfin c’est possible mais je n’en ai aucun souvenir.

 

Le second masque lui dit :

 

– Ne vous fichez pas de nous ! Nous sommes bien renseignés. Mais peut-être le connaissez-vous sous un autre nom ?

– Je vous assure, ce nom ne me dit rien.

– Oskar Reynecke, fils d’un des artisans de l’holocauste, dirige le groupe des néo-nazis de Varsovie.

 

Le blond à visage découvert la regarde de ses yeux bleus et ajoute

 

– Nous ne savons pas encore, sous quel nom il se cache à Varsovie, mais nous trouverons Nous avons la certitude qu’il se cache à la pension Sulowski. D’après un indicateur de la police qui nous a renseigné, il mesure 1 m 90, blond, sportif de proportion athlétique, sadique, véritable obsédé‚ sexuel, il abuse des femmes. L’avez-vous rencontré ?

 

Françoise se rend compte que cette description correspond à Stepan Sulowski. Elle se tait et déclare ne pas connaître de pensionnaire de ce genre. Les ravisseurs s’en vont, elle reste seule, attachée à son radiateur en fonte. Au fil des heures, un besoin lancinant trouble ses réflexions, elle doit faire pipi, et plus elle évite d’y penser, plus la pression devient douloureuse Plusieurs heures après, elle appelle et le type à tête de boxeur arrive aussitôt.

 

– Il n’y a pas de W.C. dans cette baraque qui a été‚ bombardée pendant la dernière guerre, il n’y a, ni eau, ni gaz, ni électricité. Je vais voir ce qu’on peut faire.

 

Il réapparait avec ses acolytes, tenant une grande gamelle.

 

– Soulevez-vous, un peu, je vais tirer votre slip et vous pisserez là-dedans.

 

Françoise veut protester, mais il n’y aucune alternative, ou, elle mouille son slip et le matelas ou elle accepte la proposition du rouquin. Celui-ci glisse les mains sous sa jupe et en tirant sur la ceinture élastique, il retire le slip soyeux et le dégage des deux pieds. Ensuite il place la gamelle et lève la jupe pour repérer la trajectoire. Les trois hommes contemplent avec une certaine excitation la belle fourrure de son pubis. Le rouquin décidément très obligeant, pose les doigts de chaque côté‚ du méat pour diriger le jet. Toute rougissante, Françoise, très choquée dans sa pudeur, ne peut pas uriner. Alors le gros homme siffle comme on fait pour les chevaux. La jeune fille délivrée entend le bruit de l’urine tombant dans le pot métallique. La sensation d’apaisement se double d’une intense excitation sexuelle, en montrant ses parties les plus intimes à ces hommes rudes, elle éprouve un sentiment pimenté, comme si elle reprenait l’initiative sur ses tourmenteurs cagoulés. Le boxeur essuie la dernière goutte avec ses doigts et les portant à ses lèvres :

 

– C’est une bonne année ! Dit-il comme s’il buvait du Chablis.

 

Trois jours après, Françoise nourrie de petits pains secs, avoue qu’elle a été sodomisée par un homme qui pourrait bien être l’Oskar recherché. Les beaux yeux bleus lui demande lors de prochains rapports avec le fils de Madame Sulowski, de prélever discrètement sur un cure-oreille, une petite partie du contenu de son rectum. Une analyse de l’ADN permettra de comparer avec les éléments en leur possession. Ils ramènent la fille à sa pension, en lui apprenant, chemin faisant, que des certificats médicaux ont été expédiés à son employeur pour justifier de son absence. Les collègues de cabine sont parties à la date convenue.

 

Elle reçoit mission de prendre le vol de 7 h 51 à destination du Caire, où elle recevra une nouvelle affectation. Après un voyage sans histoire, elle aide les autres hôtesses, sur l’escalier de coupée elle prend congé des voyageurs. Comme toujours, lorsqu’elle est en service, dans les pays chauds, elle ne porte pas de slip, elle aime sentir le vent chaud du désert parcourir sa magnifique toison pubienne. L’hôtel international, qui accueille le personnel d’Air-France, particulièrement confortable offre des chambres à l’air conditionné. Avant le repas, Françoise est abordée par un jeune anglais très raffiné qui l’invite à partager son repas. Très gentleman, il lui fait une cour discrète. Assis en face d’elle à la petite table ronde, il laisse tomber sa serviette. Il veut voir mes jambes estime la jeune française qui ouvre largement les genoux, exposant ainsi sa jolie toison bouclée aux regards concupiscents du jeune britannique. Celui-ci en se rasseyant, le visage tout congestionné, lui saisit la main à travers la table et y pose un baiser reconnaissant. Il appartient au Foreign Office, fils de lord Thorthon of Torndyke, il s’appelle Nick Gathwell, il est attaché à l’ambassade britannique au Caire.

 

Sur le balcon de l’hôtel, la nuit semble magique, très noire, trouée de lueurs mouvantes, parcourue de la rumeur incessante d’une ville grouillante de monde, un peu inquiétante aussi, elle rapproche les deux jeunes gens qui échangent de tendres baisers. Reconduite à la porte de sa chambre, Françoise ne peut se séparer de son admirateur. Elle l’entraîne à l’intérieur et lui retire sa veste de shantung blanc. Couchés sur le couvre-lit, embrasés par un long baiser, ils savourent ces minutes délicieuses pendant lesquelles, chacun espère aller un peu plus loin dans le jeu de la séduction. Nick, le jeune anglais déboutonne le tailleur strict d’Air-France et Françoise retrousse sa jupe d’uniforme et attire les mains de son compagnon sur le magnifique corps dévoilé.

 

Couverte de baisers, elle se débarrasse de tous ses vêtements et déshabille le pudique jeune homme qui tient à garder son slip déformé par une énorme bosse qui tente la main experte de l’hôtesse. La jeune femme se glisse sur le visage de son partenaire, accroupie, elle pose son sexe entrouvert sur sa bouche. Enivré par le parfum de son vagin il lèche et aspire les sécrétions féminines qui envahissent les petites lèvres. Une main derrière le dos, Françoise baisse le slip et dégage une verge tendue. Elle pivote sur elle-même, pour engloutir le pénis mis à jour, tandis que la langue du blond jeune homme pénètre au plus profond de son intimité.

 

Elle est tellement excitée qu’elle ne se souvient plus à quel moment, il l’a possédée. Elle se souvient seulement d’une lente pénétration précautionneuse, qui ne semblait jamais s’arrêter, suivie d’une série de mouvements sauvages qui témoignaient de sa jeunesse. Elle sentait le sperme se répandre délicieusement dans son vagin. Elle s’endormit, toujours reliée au jeune éphèbe par son long membre viril. Le chaud soleil du petit matin la réveille toujours engagée et toujours aussi mouillée. Nick devait terminer quelques affaires personnelles, mais lui donne rendez-vous à 17 h sur le Ramsès qui faisait l’excursion jusqu’au barrage d’Assouan.

 

La traversée du Caire demeure une épopée même pour les personnes habitués comme notre héroïne. La circulation démentielle, le bruit entêtant, les marchands ambulants, les crieurs de journaux, les mendiants entravent votre marche. Françoise était arrivée près de l’appontement de l’embarcadère lorsqu’un horrible mendiant couvert de loques crasseuses la saisit par la main. Elle réprime un geste de répulsion, l’homme porte un caftan jaunâtre, et un turban brun couvert de taches. Il lève la tête, elle reçoit en plein visage l’éclair des yeux bleus.

 

– Vous !

– Silence, pas un mot, vous êtes en danger de mort. Ne prenez pas le Ramsès.

– Mais j’ai rendez-vous.

– Vous prendrez « le Champollion » qui lève l’ancre dans une demi-heure. Je vous en conjure, obéissez, d’ailleurs mes hommes vous surveillent.

 

La vaillante hôtesse a reconnu l’énigmatique kidnappeur de Varsovie. Que fait-il au Caire ? L’a-t-il suivie ? Elle cherche autour d’elle la silhouette appuyée sur un bâton, il a disparu, happé par la foule. Une demi-heure plus tard, sur le pont flottant où l’on délivre les billets pour les excursions, un hautparleur annonce qu’un attentat terroriste a causé la mort de plusieurs passagers et membres de l’équipage sur le Ramsès. Le Champollion prêt au départ est réquisitionné par la police qui embarque une compagnie de militaires en armes. Revenue à l’hôtel Kéramis, Françoise lira dans la soirée le nom de Nick Gathwell dans la liste des disparus publiée par un journal local.

 

Le lendemain, elle reçoit mission de rejoindre le vol 451 Le Caire-Munich. Toute à ses pensées, la jeune fille rejoint la Bavière dans un brouillard qui l’empêche de réfléchir. Ce jeune anglais lui plaisait bien et le voilà disparu. Le destin s’acharne-t-il sur les hommes que j’aime, pense-t-elle ? A peine arrivée à Munich avec 6 minutes d’avance grâce au vent arrière, elle retrouve un poste dans le vol d’Air-France Paris-Prague. A Prague, elle retrouve son équipe de cabine et le commandant Mercier, toujours aussi macho. Le lendemain, l’équipe sera de repos, Mercier en profite pour décréter une grande soirée intime avec ses collègues de cabine.

 

La nuit enveloppe Prague d’un manteau de silence. Dans le centre, les néons de quelques magasins modernes tentent d’attirer les rares touristes attardés. Le grand hôtel, lui-même somnole, Françoise en entrant dans la chambre du commandant, aperçoit la longue Solange dans les bras de Gonesse. Tout le monde habillé attend le signal de Mercier. D’humeur vagabonde, il ordonne à Solange de se mettre à genoux pour faire un pompier à Gonesse. Anne-Marie fait glisser le pantalon et le slip du steward. Sa grosse queue courte et couverte de poils roux, prestement avalée par la bouche avide de Solange, il se penche pour faire pénétrer sa verge jusqu’au fond de la gorge offerte. Anne-Marie sur un signe de Mercier, lui caresse l’anus et l’enduit d’un gel transparent. Mercier soudain très excité, exhibe une verge tendue et sans un mot d’explication la pose sur le cul de Georges, il pousse son gland dans l’anus béant et pénètre dans le rectum du serveur qui lâche un cri inarticulé, surpris, il veut se dégager, mais la poigne solide du commandant le maintien. Mercier par un mouvement de va-et-vient vient à bout de la résistance du jeune homme. Solange suce toujours le membre dressé‚ avec un bruit de salive remuée, Anne-Marie à genoux également lèche les couilles de Gonesse, et parfois celles du commandant. Mercier aboie :

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– Françoise, foutez- vous à poil, nom de Dieu !

 

Comme dans un songe, Françoise soulève sa jupe et dévoile son sexe qui déjà s’entrouvre de plaisir, une goutte de cyprine pend aux lèvres roses. Elle retire sa veste d’uniforme et son chemisier, puis retire la jupe. Maintenant elle est nue, face à Mercier, elle introduit deux doigts dans sa chatte, et entreprend de se masturber, ce qui excite encore plus ce vieux dégoûtant. Le frottement de la verge dégage une chaleur telle que Gonesse se met à jouir. Malgré la douleur de la pénétration, c’est une première pour lui, il ne peut réprimer la jouissance infernale que lui procure cette bite profondément enfoncée dans ses entrailles. Il se sent possédé‚. Cette sensation délicieuse se répand dans ses couilles, sa verge se tord dans la bouche de Solange. Il veut résister, penser à autre chose, mais son regard accroche la main de Françoise qui ressort toute poisseuse de son vagin. Il ne peut plus retenir sa jouissance, il sent qu’il va jouir Il le crie :

 

– Je jouis ! Ah c’est si bon je vais partir !

 

Ce cri déclenche l’éjaculation du commandant, quelques puissantes contractions de son pénis, excitent encore davantage le bienheureux Gonesse. A flot, le sperme du chef de bord coulent dans le colon du serveur, des soubresauts de plaisir soulèvent la queue de Georges qui décharge voluptueusement dans la bouche insatiable de Solange. Mercier retire précautionneusement sa bite du cul qu’il vient d’honorer. Il sait qu’après l’enculage, certains ou certaines présentent une douloureuse sensibilité au retrait. Anne-Marie s’est redressée et prélève dans la bouche de Solange, une portion de sperme qu’elle déguste en ronronnant. Devant ce spectacle, Françoise a joui également, comme en témoignent les coulées de cyprine qui maculent ses cuisses.

 

Truon a contemplé toute la scène sans dire un mot, au début son visage d’eurasien exprimait la réprobation, mais devant le corps dénudé de Françoise, il a changé d’expression, il a retiré son uniforme de second pilote et maintenant, nu, le pénis redressé il s’approche de notre jeune hôtesse. Il l’assied dans un fauteuil, et d’une langue agile, il absorbe les sécrétions vaginales de la jeune fille. Longuement, il va susciter d’une langue effilée, le clitoris saillant et les petites lèvres qui lui livrent accès au vagin. Françoise très excitée ouvre ses belles jambes, elle n’a plus fait l’amour depuis la disparition de Nick. Quelques heures se sont écoulées, mais cette chasteté temporaire devient intolérable, elle a besoin d’un homme. Maintenant, la langue insidieuse force le passage anal. Il enduit de salive la merveilleuse fleur rose de la jeune fille. Il aspire la salive répandue, et se réjouit du goût amer qui s’oppose au parfum suave du vagin. Françoise gémit doucement, elle commence à jouir tandis que le jaune, bandant comme un tigre la sodomise très lentement. Excité par cette vision, Mercier se fait branler par Solange et Gonesse qui perd du sperme par son cul entrouvert se fait caresser par Anne-Marie. Quelques minutes plus tard, tandis que Françoise hurle sa joie et jouit de cette longue bite plantée dans son cul, Mercier déverse son sperme sur le sein de droite, dirigé par la main experte de Solange. Gonesse ajoute sa propre jouissance sur le sein de gauche. Anne-Marie en parfaite ménagère lèche les liquides répandus sur les seins de son chef de cabine.

 

Le matin du lendemain, un serveur de l’hôtel apporte un pli urgent à notre chef hôtesse encore endormie. Elle se dépêche de faire sa toilette et de prendre son petit déjeuner. Déjà elle arrive en civil à l’aéroport, son passeport à la main et le billet reçu ce matin, elle passe le contrôle et prend place dans un antique Tupolev de l’Aeroflot qui la conduit à Bucarest. A peine arrivée, un taxi brinquebalant la conduit dans la banlieue, elle fait arrêter le véhicule, à proximité‚ d’une série de villas bourgeoises qui ont échappé à la folie urbanistique de Ceausescu. Elle pousse la grille de fer rouillée, la porte s’ouvre, elle est attendue. Deux heures plus tard, elle ressort, visiblement contrariée.

 

Après un repas frugal au mess du personnel navigant, elle reprend le chemin de Prague. Le vol suivant Prague-Damas, commence sans incident. Mercier content de sa soirée, félicite les filles de la qualité de leur café, ce qui n’est pas coutume. Gonesse renfrogné semble souffrir des privautés brutales du commandant, il s’assied avec précaution et de préférence reste debout. Truon épanoui, procède au décollage, sous le regard attentif de Mercier. Solange et Anne-Marie se font des confidences. Après avoir complété la liste des passagers, Françoise sort de son cagibi et jette un coup d’œil circonspect sur les passagers du long courrier. A l’arrière, un peu isolé des autres, un gentleman habillé à Londres lui fait signe. Rasé de près, l’élégant personnage lève le menton. Françoise reçoit comme un signal le choc des yeux bleu pervenche. Encore lui ! Un explication lui parait nécessaire.

 

– Vous me suivez ? Qui êtes-vous ?

 

Assisse à côté‚ du chef des ravisseurs, elle ne se sent pas en danger, même elle a la sensation qu’il la protège. L’homme a remarqué‚ qu’elle ne porte pas de culotte, comme toujours lorsqu’elle porte les jupes moulantes d’uniforme. Il pose la main droite, paume en l’air sur le fauteuil au moment même où l’hôtesse de l’air s’assied. Ses doigt prennent avantage de la situation, l’index et le médius, au cœur de l’action remuent le mucus vaginal. Tout autre femme se serait dégagée de ce geste inattendu, Françoise dominée par ses sens, subjuguée par ces doigts persuasifs, s’abandonne. L’homme de la main gauche soulève la jupe courte et saisit délicatement le capuchon du clitoris. il caresse tout d’abord les grandes lèvres, puis ne sentant aucune résistance, il capture le bouton qu’il fait rouler entre pouce et index. Solange a aperçu le couple au bout de la cabine, avec sollicitude, elle tire d’un placard, une grande couverture qu’elle vient déposer sur les partenaires. Elle semble avoir compris le sentiment qui les lie, car elle s’éloigne discrètement sans prendre part aux ébats. Protégée par la couverture, Françoise part en exploration, elle ouvre la braguette et plongeant la main dans la chaleur excitante du slip, elle extrait une bite puissante grosse et longue. Cette sensation délicieuse provoque une nouvelle coulée de jus sur les doigts de son compagnon. Elle jouit par avance de pouvoir sucer cet énorme pénis, et espère que le sperme jaillira en abondance, gras, épais et onctueux, comme elle les aime. Elle laisse couler sa salive sur le gland au méat béant et l’engloutit dans sa bouche avide. A plusieurs reprises, elle humecte le gros tronc et le triture avec la langue, jusqu’à ce qu’une plainte étouffée jaillissant sous la couverture lui témoigne de la proche éjaculation de son partenaire. Quelques contractions rapides et le gonflement sensible du gland précèdent le flot spermatique. La sensation délicieuse la fait entrer en jouissance, elle déguste la semence épaisse qui coule dans sa gorge. Elle a peine à avaler cette abondance crémeuse qu’elle déglutit avec bruit, ce qui excite encore plus le mystérieux personnage. Des commissures de ses lèvres, le sperme dégouline sur son menton et barbouille son visage.

 

– Anne, tu m’as fait jouir comme jamais je n’avais pu le faire !

– Vous connaissez mon vrai prénom ?

– Je sais tout de toi, tu es Anne de Neubourg, Capitaine au service du contre-espionnage de l’Armée Française. On vient de te conseiller de collaborer avec moi, Michel Goldfinkel, même grade mais au Mossad.

 

Solange attentive aux besoins de ses passagers s’est approchée. Tentée par l’odeur d’amour qui flotte dans la dernière rangée de siège, elle s’assied à la droite de son chef de cabine et lui saisit la main encore maculée et la lèche à grands coups de langue. Elle continue sur le menton de Françoise, elle exprime sa satisfaction par des petits cris étouffés. Notre héroïne avec un regard complice à son partenaire israélien, soulève la jupe d’uniforme de sa collègue et écarte le slip, pour qu’il puisse voir la magnifique chatte de Solange. Le goût du sperme sur le visage de son amie, et l’exhibition de son sexe déclenche un orgasme chez la jeune hôtesse. Elle jouit debout, en parcourant du regard les rangées de passagers à demi assoupis qui leur tournent le dos.

 

Arrivés à Damas, après la formalité tatillonne des passeports, l’équipage se rassemble pour gagner l’hôtel de destination avec un vieux bus Volkswagen tout déglingué. L’hôtel une vraie caserne prison, sous le contrôle de la police d’Etat offre un certain confort. Le portier remet à Françoise, une grande enveloppe qui contient une invitation à une soirée donnée par le ministre de l’intérieur, un général qui a l’habitude de voir ses désirs, considérés comme des ordres. Françoise a exhumé de son bardas, une tenue de soirée, les invités sont en grande partie masculin, généraux syriens, diplomates au regard impénétrable, quelques jeunes femmes en caftan ou étrangères en sari ou en robe du soir. Françoise entourée d’une petite cours d’admirateurs est présentée au ministre, qui la prie de le suivre un instant dans un petit salon. Il lui demande de bien vouloir prendre soin de sa jeune nièce qui voyage seule pour la première fois en avion. Renseignements pris, l’appareil d’Air-France qui décolle demain pour Paris figure sur l’agenda de Françoise. Rentré dans les salons, le général-ministre fait rechercher sa nièce.

 

Cette petite et frêle jeune femme aux yeux aussi noirs que ses cheveux d’ébène vêtue à l’occidentale parle très correctement la langue française. Elle a fait conduire ses bagages à l’aéroport et comme le départ a lieu de très bonne heure, elle décide de passer la nuit à l’hôtel du personnel aérien. Une voiture blindée des forces armées reconduit Françoise et sa protégée. L’hôtel malheureusement complet ne peut offrir la moindre chambrette à la future étudiante parisienne. Françoise se voit forcée de partager sa chambre avec la jeune femme qui s’appelle Shannah. Elle lui laisse le libre accès à la salle de bain, et lorsqu’elle même, à son tour, regagne sa chambre, elle la trouve endormie dans le grand lit. Françoise a revêtu une grande chemise de nuit, contrairement à son habitude de dormir nue. La lumière éteinte, Françoise se détend, quelques heures seulement la sépare du réveil. Une main timide se pose sur sa manche,

 

– Mademoiselle, dites- moi comment vous vous appelez ?

– Je m’appelle Françoise ! dit notre héroïne qui tient à son pseudonyme. Tu peux me tutoyer !

– Moi, je m’appelle Shannah

 

La voix très douce s’est rapprochée de son oreille. Shannah dans un geste enfantin a posé son énorme chevelure noire sur l’épaule de Françoise, elle se blottit contre sa hanche et levant la tête, elle dépose un baiser sur la joue de l’hôtesse.

 

– J’ai peur dans le noir ! Au palais j’ai toujours une veilleuse dans ma chambre

– Tu ne dois pas avoir peur avec moi, il n’y a rien à craindre.

– Prenez moi dans vos bras.

 

Et la craintive jeune femme se serre contre Françoise qui a tôt fait de constater qu’elle est toute nue. Sans doute a-t-elle oublié de prendre un vêtement de nuit. Le bras gauche de l’hôtesse de l’air entoure les épaules de la fille. Au grand étonnement de Françoise, elle sent les doigts de la syrienne qui dénouent les cordons de la robe de nuit. La bouche de Shannah part à la recherche des tétons, elle saisit le plus proche, entre ses lèvres serrées. Elle suce, comme un bébé suce son pouce. Françoise, un instant surprise, laisse faire. Le geste malgré son côté osé a quelque chose de tendre et de naïf. Je suis devenu sa nourrice pense-t-elle. Mais la main de Shannah, explorant la chemise de nuit, relève l’ourlet, et tire le pan jusqu’à la taille. Ses doigts se referment sur le mont de Vénus. Un instant elle caresse le poil souple de sa compagne de lit, mais déjà d’un doigt prudent, elle écarte les grandes lèvres et atteint le clitoris, Françoise, sans effort, mouille abondamment sous les attouchements de la fille. Quelques minutes se passent, l’hôtesse savoure la précision de la caresse sans réagir, ni sans rendre la pareille. Comme Shannah fait des efforts pour lui retirer sa chemise, elle la fait passer par-dessus la tête. Elle lance la chemise au hasard dans la chambre. Son geste a ouvert les couvertures, la jeune femme plonge la tête sous les draps, sa langue remplace les doigts. elle lèche les lèvres entrouvertes et le clitoris découvert. Puis, elle introduit sa langue pointue dans le méat urinaire. La sensation douce et tendre mais aussi insidieuse a paralysé Françoise. Elle reprend ses esprits au moment où la langue infatigable atteint l’anus. Très en forme, Shannah crache de la salive sur le sphincter, elle torche de la langue et aspire le liquide épicé par les sécrétions de l’hôtesse. Tandis qu’un doigt fuselé pénétrant dans le canal maintient l’excitation à son comble, la bouche entame la visite de la vulve. La langue curieuse tapisse la muqueuse d’une épaisse couche de salive.

 

Françoise n’a jamais éprouvé une telle jouissance, elle crie, elle exprime son plaisir, un long râle accompagne ses sensation intimes. L’extase dure plusieurs minutes, sa respiration revient à son rythme normal elle se penche sur sa voisine pour lui témoigner sa reconnaissance. La syrienne se glisse, jambes ouvertes au-dessus du visage de Françoise. A genoux, elle ouvre sa vulve directement sur la bouche de l’hôtesse. Elle mouille terriblement, c’est un flot continu qui inonde la bouche de l’employée d’Air-France. Françoise aspire le liquide divin qui l’excite et la fait mouiller à son tour. Elle sent que son orgasme qui s’est éloigné‚ revient à la même puissance. Et les deux femmes, la bouche de l’une collée au vagin de l’autre entrent en jouissance en même temps. Jusqu’au matin, les deux femmes mêlent leur salive, savourent leur cyprine et pénètrent dans leurs cavités sexuelles. Très fatiguées, mais triomphantes, nos deux héroïnes prennent place dans le petit bus qui doit les conduire à l’aéroport.

 

Le véhicule Volkswagen quitte l’hôtel pour la seconde fois, dans un premier voyage il a conduit l’équipage à l’aéroport. Françoise et Shannah, épuisées par leur nuit blanche, bénéficient d’un transport particulier, en hommage à leur beauté. Le petit bus rouge et noir avance en cahotant dans les rues défoncées du centre-ville. Tout à coup, un camion délabré chargé de moutons bêlants, s’arrête brusquement dans la voie étroite. La porte d’une camionnette qui suivait le bus s’ouvre et deux hommes encagoulés se précipitent vers le conducteur du bus. D’une rafale d’un pistolet mitrailleur, ils neutralisent celui-ci et intiment aux jeunes femmes de les suivre. Aussitôt, elles sont enfermées dans la camionnette qui réussit à emprunter une petite ruelle latérale. Tandis que le chauffeur fait des prouesses pour éviter les marchandises étalées dans la rue, les deux cagoulés attachent étroitement les deux filles avec de très grosses cordes à une main courante. Ils les questionnent en français ;

 

– Où sont les autres membres de l’équipage ?

– Déjà à l’aéroport ! ».

 

Visiblement ils recherchent les pilotes. Ils cachent leur désappointement. Après une heure de route et de cahots, la camionnette s’arrête enfin. La porte ouverte, dans un cliquetis d’armes diverses, le bleu intense du ciel radieux envahit l’espace de chargement. Les filles sont autorisées à descendre. L’horizon très éloigné accuse quelques collines. Le sol uniformément ocré, s’étend à leurs pieds. A peine peut-on distinguer la petite route serpentine qui les a amenés jusqu’ici. Françoise toujours entravée, obtient de pouvoir s’éloigner de quelques pas pour un besoin pressant. Shannah a traduit en arabe, la demande à celui qui parait le chef. Françoise se réjouit de porter la robe de service, celle-ci moule son corps si étroitement qu’elle évite de mettre une culotte, lorsqu’elle est en uniforme. Elle ouvre largement les cuisses et pisse un long jet d’urine sur le sable qui l’absorbe immédiatement, sous l’œil songeur du ravisseur. Shannah qui semble jouir d’un traitement de faveur, débarrassée de ses entraves, fait glisser son slip et joint son urine sur le sable mouillé.

 

Derrière un petit rocher, ocre évidemment, quatre chameaux blatèrent. Réentravées, traînées jusque-là, les deux femmes sont hissées sur une selle en peau de mouton, placée entre les bosses, et l’animal placide se redresse. Chacune solidement attachée au bat d’un chameau, les deux chameliers qui ont remplacé les hommes en cagoules prennent direction des collines. La journée se poursuit au lent balancement des chameaux. Le ciel d’un bleu turquoise rayé par la trajectoire fuligineuse des hélicoptères de plus en plus nombreux retient l’attention des bédouins. Ils jettent un caftan crasseux sur les deux prisonnières et placent un turban sur leurs cheveux. La transpiration des chameaux est insupportable au nez de Françoise, écœurée par l’odeur tenace du vêtement, mélange de suri et de rance. Des deux chameliers, le plus âgé‚ parait le chef. Il indique la direction du voyage. Son visage tanné‚ par le soleil du désert, envahi par une barbe hirsute aux poils noirs ou blancs indique par l’énergie des traits taillés à la serpe qu’il accomplira la mission qui lui a été confiée, sans se préoccuper de sentiments.

 

Toutes tentatives d’engager un dialogue est restée vaine, tant pour Françoise, en anglais ou en français, que pour Shannah en arabe. Il dit à son jeune compagnon quelques mots en dialecte irano-syrien compréhensibles pour la jeune fille. qui recommandent le silence. Le soleil déjà haut dans le ciel marque l’arrêt momentané‚ à l’ombre d’un rocher. Désentravées les deux filles reçoivent la même pitance que les geôliers, une crêpe de pain azyme qui a adopté‚ l’odeur des chameaux. Le barbu a depuis longtemps remarqué‚ que Françoise ne porte rien sous sa robe. Il se laisse choir lourdement sur le sable à côté‚ de l’hôtesse, réajuste la grosse corde qui lui maintient les mains et dans le même mouvement, retrousse la jupe jusqu’à la taille. Brutalement, il écarte les jambes de notre héroïne et dégage son pénis en soulevant sa djellaba, il se couche sur elle, pénétrant son intimité la plus secrète de sa grosse bite, courte et basanée. Françoise n’a pu retenir un cri d’horreur. Elle se sent écartelée sans ménagement, par le membre dur comme de la pierre qui déchire sa chair. Jamais, elle n’a ressenti une douleur aussi fulgurante, lorsqu’elle a perdu jadis sa virginité, à peine avait-elle senti une légère piqure. Le barbu la fouille avec vigueur avec son sexe durci. Un voile noir aveugle la jeune hôtesse, sa peur intense brouille sa vision. Son corps écrasé par le poids de cet homme robuste, l’a fait souffrir horriblement. Les cordages entrent dans ses poignets, le chanvre brûle comme un feu. Ses seins se soulèvent de terreur et sa poitrine halète, une vague de flamme envahit ses poumons. La sueur coule sur son corps dénudé qui tente d’échapper à l’infâme possession. Mais un spasme puissant monte de ses entrailles, domine la sensation de dégout que lui cause la saleté du barbu, elle jouit, elle perd la notion du temps.

 

Elle se presse à la rencontre de l’homme qui la possède, comme si la courte bite pouvait pénétrer plus avant. L’intense douleur du vagin déchiré agit comme un piment qui excite plus qu’il ne retient. L’odeur infecte qui la prenait à la gorge, l’excite maintenant, elle respire avec avidité la sueur mêlée d’urine qui s’exhale de son violeur. Elle ouvre la bouche et embrasse fougueusement le barbu qui surpris met un certain temps à répondre à son baiser. Françoise entend seulement maintenant les cris de Shannah qui gémit sous l’étreinte du plus jeune chamelier. Moins brutal que son ainé, il a induit chez la fille une intense jouissance, qui se traduit par une mélopé très aigue, très différente de celle qu’elle clamait dans le lit de Françoise. Finalement, Shannah a traîné le chamelier auprès de l’Hôtesse, dont elle couvre le visage de baisers. Le barbu d’un geste s’est dégagé, Françoise de plus en plus excitée, saisit le pénis puant et enivrée par l’odeur elle suce les gouttes de sperme qui ont échappé à son vagin.

 

Le barbu qui s’appelle Martouk se lève et donne le signal du départ. Attachée sur le bat de son chameau, Françoise souffre le martyre, son sexe blessé, exposé aux rayons du soleil, s’arrache encore plus sur cette peau de mouton. L’hôtesse de l’air retrousse sa robe chiffonnée jusque sous les seins espérant un peu de fraîcheur ce qui est illusoire sous cet ardent soleil. Soit que les quatre chameaux ont franchi la frontière de l’Irak, soit que l’intermède érotique ait rassuré les geôliers, la surveillance se relâche. La nuit met fin au supplice de Françoise, désormais, les prisonnières ne sont plus entravées, pour la première fois, un feu allumé‚ entre deux pierres réchauffe un maigre dîner de boulettes de couscous. Du lait de chamelle bu dans la gourde du barbu et de l’eau croupie arrose ce maigre repas, rapidement suivi par une reprise des ébats amoureux.

 

Evitant le sexe douloureux de Françoise, le barbu accorde toute son attention à son cul. De ses bras puissants, il lui enserre les hanches, à genoux, Françoise sent la barbe rude glisser entre ses fesses et la langue pénétrer dans son anus. Elle s’attendait à cette caresse, et malgré son appréhension son sphincter s’ouvrait de lui-même, comme une jolie fleur dont les roses pétales se déploient aux rayons du soleil. Bien enduit de salive, le conduit n’offrit aucune résistance à la queue rude, mais beaucoup moins brutale qu’auparavant. En se penchant en avant, pour faciliter l’introduction, Françoise pique du nez sur le sexe grand ouvert de Shannah que le jeune chamelier a disposé devant elle, tandis que la syrienne déguste son pénis. Ainsi reliés les uns aux autres, nos quatre personnages jouissent sans retenue sous le ciel étoilé qu’Allah miséricordieux leur a offert pour leur nuit de noce. Trois jours durant, ils cheminèrent parmi les rochers ocre, toujours vers l’est. Françoise attend avec impatience, les trois repas frugaux toujours suivis d’ébats érotiques. La plaie de son vagin, parfaitement guérie, elle monte à cru le siège de mouton de sa chamelle. Elle ne porte plus aucun vêtement, le soleil lui a tanné la peau à la couleur des roches. Roulée en turban, la défunte robe de la compagnie aérienne la protège des rayons ardents. Shannah l’a imitée et les deux femmes, les seins au vent traversent fièrement les collines de pierre.

 

A l’étape, sur un tapis déployé, le grand jeu les rassemble tous les quatre. Samlr, le plus jeune chamelier se joint à Martouk pour pénétrer les deux filles. Françoise pour la première fois de sa vie amoureuse, empalée sur le pénis long et mince de Samir, sent la queue de Martouk pénétrer dans son cul. Collée au ventre du jeune homme, envahie par l’odeur tenace de sueur et celle de sa propre crasse, elle espère cette double introduction, douloureuse et lente, mais qui lui procure une joie indicible. Chaque pénis entré jusqu’au pubis dans son corps pantelant anime sa jouissance. Un fer rouge dans ses entrailles crée un feu dévorant. Savannah adoucit la tension de tout son être, en lui offrant gentiment comme une fleur ouverte, le don de son sexe dégoulinant de cyprine qui apaise ses lèvres altères. Ensuite Shannah à son tour devient la proie des deux chameliers qui la pénètrent simultanément, tandis que Françoise lui rend son offrande. La nuit, les quatre corps allongés sur le tapis, dans une seule couverture prennent un repos bien gagné. Françoise songe aux efforts de la journée, elle compare mentalement les performances des deux ravisseurs. Elle se demande également, si des recherches ont été entreprises pour la retrouver. Les hélicoptères et les avions des premiers jours ont complètement disparus. Il lui reste quelques pilules contraceptives, dans la petite aumônière qu’elle a dissimulé‚ dans une fonte du bat. Elle partage avec Shannah, mais bientôt, elles n’auront plus de protection.

 

ah1bA l’étape suivante, Shannah couchée sous le corps de Françoise accroupie suce les grandes lèvres de sa copine, tandis que les deux hommes à tour de rôle pénètrent dans le sexe de Françoise, et lorsque leur pénis dérape et glisse dehors, la bouche altérée de la syrienne s’en saisit et vole au passage le témoignage de leur ardeur. Au jour suivant, les chameaux mus par un signal invisible accélèrent leur pas de sénateurs, et bientôt les voyageurs du haut de la colline voient à l’horizon une vallée verdoyante et un village de maisons en terre battue longeant le cours de l’Euphrate. La Mésopotamie déployait son charme millénaire devant leurs yeux brûlants encore du sable du désert.

 

Rhabillées d’un caftan blanc ligné de bleu, les prisonnières attachées à nouveau, furent conduites dans une rue déserte, dans une petite maison de paille et de torchis. Elles furent enchaînées dans une pièce presque vide. Les gardiens qui leur avaient fait des adieux à la dernière halte, disparurent. Une femme d’un noir d’ébène, une somalienne, leur apporta un excellent repas. Un grand calme règne dans la petite maison, troublé parfois par les pleurs d’un nourrisson. La somalienne visiblement dégoutée par l’odeur des deux voyageuses, apporte une énorme cuvelle de bois cerclée de fer, la remplit d’eau fraîche, ajoute de l’eau très chaude et après avoir retiré leurs entraves, lave Françoise d’une main ferme avec du savon de Marseille. Assisse dans la cuve, l’hôtesse de l’air, sous la poigne solide de la gardienne pense que celle-ci privilégie certaines parties de son corps, elle passe et repasse sa main savonneuse entre les cuisses et s’attarde délibérément sur les seins de Françoise qui paraissent minuscules en comparaison avec les deux énormes baudruches gonflées qui ont échappé à sa robe noire toute déboutonnée. Géante et robuste, la noire mesure près de 1 m 95 et doit peser plus de cent kilos, soulève notre amie et la posant sur une chaise lui tend une serviette éponge. Ce fut le tour de Shannah d’éprouver le récurage minutieux de la somalienne, elle tente la conversation, la noire s’exprime dans un dialecte éthiopien, mais baragouine un peu l’arabe irako-syrien. Les deux filles apprendront qu’enlevée dans son pays par une bande de terroristes intégristes et conduite de force en Irak, elle fût violée par cinq de ses agresseurs et se retrouva bientôt enceinte. Elle venait d’accoucher trois mois auparavant d’un petit garçon avec l’aide d’une sage-femme locale et on l’avait chargé de nourrir des prisonniers des intégristes dans cette petite maisonnette. Souria c’était son nom, cuisinière experte confectionne des plats consistants pour rétablir les deux jeunes femmes. Il n’y a aucun gardien dans la maison, les deux prisonnières jouisse d’une liberté‚ totale dans les trois pièces.

 

Le soir venu, elles sont poussées dans un grand lit à l’occidentale. le bébé, après sa dernière tété s’est endormi. Souria vint prendre la place centrale sous les draps. Les trois femmes dorment nues et se rapprochent à cause de la fraîcheur de la nuit. Shannah repose sa petite tête, sur le gros sein gonflé‚ de la noire, qui lui embrasse le front. Françoise plus réservée s’est retournée de son côté. Elle sent le glissement des draps, la syrienne explore le bas-ventre de Souria, glissant ses doigts fuselés dans la vulve béante. Françoise attiré par des bruits de clapotis, se retourne et plongeant la tête sous les draps, lèche le sexe de la somalienne. Celle-ci mouille abonnement sous les caresses des deux femmes. Sa cyprine d’un goût plus corsé que les amantes habituelles de la jeune hôtesse, l’a fait défaillir, elle mouille elle-même à tel point qu’elle aurait tâché les draps si Shannah n’avait avalé cette offrande délicieuse. Saisie par les bras puissants de la noire et assise sur son visage, elle continue sa sécrétion dans la bouche de la gardienne. Le sexe de Souria attire les deux jeunes femmes, profond, défendu par de grandes lèvres d’un noir d’encre, brillantes de secrétions continuelles, il cache des replis d’un rouge éclatant, par chance, elle n’a pas été opérée, elle a gardé son clitoris et ses petites lèvres charnues.

 

Pendant de longues semaines, les trois femmes, ont alterné‚ la cuisine, les soins au nourrisson, et les heures passées au lit ou sur les tapis de la pièce principale. La noire infatigable léchait l’une ou l’autre de ses pensionnaires, souvent les deux. Françoise qui avait repris du poids et dont la poitrine avait grossis sous les caresses, malgré sa bonne mine, avait les yeux battus d’une femme bien baisée. Elle se demandait souvent, si on la recherchait encore. Sa disparition avait sûrement fait l’objet d’une enquête internationale. Mais les jours et les mois passés sans aucun résultat, ils avaient dû abandonner les recherches.

 

Un matin, les trois femmes entendent des coups de feu, semblant provenir du bout de la ruelle. Soudain, un bédouin, cagoulé de noir ouvre brutalement la porte, braquant sa mitraillette sur les occupants. Françoise se précipite au cou du combattant, elle a reconnu le regard des terribles yeux bleus. Michel l’a retrouvé. Mais celui-ci ordonne

 

– Viens vite, nous ne pourrons longtemps tenir tête aux intégristes. J’ai un hélicoptère dans la prairie voisine.

 

Françoise refuse d’abandonner Shannah, Souria et le bébé. C’est ainsi que les quatre personnes furent évacuées par le gros hélico survolant à basse altitude les collines désertiques de l’Iraq. Michel doit lui faire une confidence, mais il attend l’arrivée à Tel-Aviv, les deux moteurs de l’hélico rendent la conversation impossible. A peine sur le sol israélien, il la conduit dans un petit salon à l’écart, Françoise s’attend à des caresses de retrouvailles, mais le commandant parait troublé :

 

– Sais-tu qui est cette syrienne que tu trimballe à tes côtés ?

– La nièce du général-ministre syrien.

– Pas du tout, Shannah, née de père inconnu, est la fille d’une prostituée du quartier réservé‚, elle-même exerce ce métier, elle est spécialisée dans la séduction des diplomates étrangers et si on l’a placée sur ta route, c’est pour obtenir des renseignements sur ton service.

 

A l’hôtel, Françoise questionne Shannah, qui avoue l’essentiel des informations de Michel. Elle ajoute :

 

– Je ne t’ai jamais trahie Françoise, je n’ai jamais fait de rapport depuis que nous avons fait connaissance. Je ne tiens pas à renouer le contact avec la Syrie. Garde-moi près de toi, je te servirai fidèlement, je resterai dans ton ombre et je serai prête quand tu m’appelleras pour te caresser. Tu es devenue la raison de mon existence.

 

Le soir, Michel lui appris :

 

– Solange après ta disparition avait rassemblé‚ tous tes bagages restés à Prague et les a expédiés à Paris. Stepan toujours aussi excité, l’a renversée sur ton lit et l’a sodomisée selon ses habitudes Nous avons maintenant la preuve qui nous manquait, Stepan recherché par la commission de l’O.N.U. des crimes de guerre a été‚ arrêté.

 

Le prochain vol d’Air-France emporte à Paris, les trois femmes et le bébé‚, qui vont vivre désormais dans l’appartement que Françoise a hérité de ses grands-parents. Françoise bénéficie d’un congé, qui lui permettra de rester au calme en attendant de prochaines aventures.

 

Bruxelles, le 25 janvier 1998 – Version restaurée d’après la version illisible de Sophiexxx.

 

à suivre

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Air Hostess
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