Mathilda Stenberg

Samedi 19 octobre 2024 6 19 /10 /Oct /2024 08:55

Les chiens coquins de Sidonie par Mathilda Stenberg

zoo

Sidonie, une superbe blonde mature sort de sa piscine, et commence à se sécher. Elle va se changer dans un abri prévu à cet effet. Elle admire son corps dans le miroir, elle est restée très belle et désirable.

Tout près, le couple de dobermans, Diego et Divine se prélasse, à l’ombre du murier platane. Cela ne fait que quelques jours qu’ils sont là. Ils appartenait à sa belle-mère décédée subitement.

Soudain, le téléphone sonne. Sidonie s’enroule dans une serviette, et se précipite au salon. Divine, surprise, part après elle. Arrivé près de l’appareil, la sonnerie s’arrête. En se retournant, elle reçoit Divine de plein fouet, qui, voulant s’amuser, la projette sur la moquette. La serviette s’ouvre. Sidonie prend appuie sur ses coudes. Suite à la chute, les jambes se sont largement écartées. La chienne fixe la chatte de la jeune femme en se passant la langue sur les babines.

– Mais ça va pas Divine, dit Sidonie. Qu’est-ce qu’il t’arrive? Tu as eu peur? Mais c’est juste le téléphone.

La tête de Divine est déjà entre les cuisses de sa maitresse, et renifle la fente.

– Lève-toi de là, tu entends, allez, couché, gronde Sidonie.

Sidonie saisit la chienne par les oreilles et essaie de la repousser. Mais Divine a plus de forces qu’elle. C’est un combat inégal qui s’engage. Petit à petit, Sidonie perd pieds. A plusieurs reprises, la langue râpeuse lèche les lèvres de Sidonie, jusqu’à décalotter le clitoris. Elle tente une nouvelle fois de repousser les assauts de la chienne, mais la sensation qu’elle sent entre les jambes, l’agréable chaleur qui se consume au creux de son ventre sont plus fortes. Divine a compris. Elle accentue ses léchages, vrillant même sa langue pour fouiller à l’intérieur du vagin.

– Oh mon dieu, gémit Sidonie, tu es vilaine. Qu’est-ce-que tu fais à la petite chatte de maman? C’est bon tu sais, ha…ha… Vas-y, gouine moi ma chérie…Bien sur le petit bouton là;…oui.

Sidonie se prend les seins en hurlant de plaisir. Divine, pensant avoir fait mal à sa maitresse, lui lèche le visage, puis docilement, se couche à côté d’elle.

Sidonie, remise de cet intermède érotique, prend la tête de Divine, et l’embrasse. Puis, elle se dirige vers la salle de bains pour prendre une bonne douche. Quand elle en ressort, elle regagne sa chambre pour s’habiller plus décemment. Elle ôte son peignoir, et se retrouve toute nue. Elle s’assied sur le lit, et met ses mains sur son visage.

Mon dieu, se dit-elle, comme je me suis fait sucer, quelle garce je suis !

Sidonie sent une présence dans la chambre. Elle ouvre ses mains et aperçoit les deux molosses assis devant elle. Elle remarque la bite de Diego à moitié décalottée. Les pensées les plus folles traversent son esprit.

– Alors mes bébés, on surveille maman. Toi, je te suis fâchée Divine. Tu as été polissonne avec moi.

L’odorat du chien est, en général, très développé. Si Sidonie s’est bien lavée, l’odeur de mouille ne leur échappe pas. A voir les rotations de langues sur les babines de Diego, Sidonie comprend qu’il a envie de quelque chose. Il s’avance, se dresse devant sa maitresse, et appuie ses deux pattes sur sa poitrine. Sidonie bascule sur le lit, jambes ouvertes. Elle sent la queue de Diego devenue énorme butter contre sa chatte, encore humide. Elle tente de repousser le chien en le prenant sous les aisselles, en vain. Le poids de l’animal est trop important pour elle.

– Pas ça Diego, supplie-t-elle, tu as une chienne toi. C’est pas bien ce que tu fais.

SidonieMais la queue a commencé à s’introduire entre les lèvres de sa maitresse. Il entame de brusques va-et-vient dans la chatte de Sidonie. Celle-ci hurle de douleur. Impassible, Divine, assiste à la scène

– Aie… aie… Arrête Diego, implore-t-elle, tu me fais mal.. .aie…Tu es fou, assez… assez…

Comme si elle la plaignait, Divine s’avance de sa maitresse et lui lèche le visage. Petit à petit, la douleur qui jusque-là lui tenaillait les entrailles, s’estompe pour laisser la place à une agréable sensation de plaisir. La queue du chien est enfoncée jusqu’au knot. La boule est énorme.

– Ha… Salaud, comme tu me niques mon chien. Vas-y, régale ma petite chatte… ha.. .il te nique comme ça Divine? Quelle chance tu as… Quel coup de queue… putain… comme je suis en train de me le faire mettre… oui.je joui… oui…

Sidonie ouvre la bouche et embrasse Divine. Sa langue est happée par celle de la chienne. Un baiser de feu. Pendant ce temps, Diego vide sa semence dans la chatte de sa maitresse. Il se retire, la queue pleine de mouille, pousse Divine, et vient se placer en face la bouche de sa patronne. Sidonie a compris. Elle saisit la queue, et commence à la sucer. Divine, elle, s’est mise entre ses jambes, et lui nettoie la chatte.

Sidonie va se faire prendre tout l’après-midi. Le couple de dobermans a décidé de jouer avec elle, de la faire hurler de plaisir. Elle offre même son petit trou pour que Diego l’encule. Puis, épuisée, les yeux cernés, elle s’écroule sur le lit. L’après-midi a été torride, intense, riche en découvertes sexuelles. Sidonie a pris gout aux rapports zoophiles. Le matin, quand son mari est parti au travail, elle ouvre la baie du salon, et fait rentrer les deux chiens. Elle s’accroupit devant eux, et les embrasse sur la bouche. Puis, l’instinct prend ses droits. Diego passe son museau sous la serviette, et renifle la chatte. Divine arrache le vêtement. Sidonie se retrouve nue. Puis, lentement, ce trio insolite rejoint la chambre.

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Samedi 25 novembre 2023 6 25 /11 /Nov /2023 08:43

L’éducation de Pascaline par Mathilda Stenberg
bisou1719

Bonjour, je suis Pascaline. Il y a quelques années, jamais je n’aurais imaginé pouvoir raconter mes histoires de cul.

Je n’étais pas la dernière des gourdes mais tout ce qui touchait au sexe me faisait peur. J’avais la terrible angoisse de baiser et de me retrouver nue avec un homme et couchée dans le même lit. Mes angoisses, c’était de mal faire les choses, de ne pas être à la hauteur, de paraître ridicule et d’être incapable de m’occuper du sexe de mon partenaire. J’étais pleine de doutes et remplie d’hésitations même si je savais que je plaisais beaucoup aux garçons.

Et plutôt que d’être confrontée à leur désir (et à leur queue toute dure devant moi, si j’ose dire ), je préférais me masturber et vivre des relations imaginaires. C’est en arrivant à la faculté de Bordeaux que je me suis complètement dévergondée, au grand dam de mes parents qui espéraient, pour moi, des études brillantes et une carrière réussie dans la magistrature.

A Bordeaux, j’ai fait la connaissance d’Aurore. Comme moi, elle était étudiante. Nous avons sympathisé sur les bancs de l’amphi et elle m’a proposé de partager avec elle son grand appartement tout en payant la moitié du loyer. Aurore était le contraire de moi. Elle parlait de garçons et de cul sans arrêt et vivait quasiment nue toute la journée. Elle me racontait ses expériences dans les moindres détails. Elles préféraient les hommes murs et mariés. La situation de maîtresse et les relations troubles des rencontres adultères l’excitaient beaucoup. Cela se passait le plus souvent dans des hôtels ou dans des garçonnières discrètes. Je savais tout de ses rendez-vous clandestins et j’étais souvent jalouse d’elle quand elle rentrait à la maison et me disait, sans aucune gêne :

– Il m’a bien baisée, le salaud ! Je n’ai pas arrêté de jouir. Je n’en peux plus ! A la fin je lui ai demandé un petit billet ! Il a joué les offusqués en me reprochant de faire la pute ! Je lui ai répondu qu’effectivement ça m’amusait beaucoup ! Fallait voir sa tronche !

Aurore n’amenait jamais ses amants de rencontre à la maison pour rester totalement libre. Elle leur faisait croire qu’elle vivait encore chez ses parents.

Quant à moi, je n’avais rien à lui raconter. Parfois, je mentais mais Aurore semblait s’en apercevoir tout de suite et je rougissais. Un jour, elle m’a lancé :

– Ne me dis pas que jolie comme tu es, tu es encore pucelle !

C’était pourtant vrai. A dix-huit ans, mon sexe n’avait connu que mes doigts. Et c’est Aurore qui s’est chargé de me pervertir et de me faire découvrir tous les plaisirs du libertinage. Non pas en me présentant à l’un de ses nombreux partenaires mais en s’en chargeant elle-même. Un soir, elle est venue se glisser dans mon lit. C’était juste pour bavarder un peu? Elle ne portait qu’une petite culotte en dentelle et, après m’avoir raconté ses dernières aventures avec un toubib de la ville, elle m’a questionné sur les miennes avant de me demander, sur le ton de la plaisanterie :

– Tu n’es pas gouine, au moins ? Remarque, j’ai rien contre les filles qui font ça entre elles.

Deux minutes plus tard, elle m’embrassait en ajoutant :

C’est même très bon, entre filles !

PascalineJe n’avais jamais eu de fantasmes bisex pourtant, je ne refusais ni sa bouche ni ses mains qui caressaient déjà mes seins et dont je sentais les pointes s’ériger sous ses doigts. En riant, Aurore m’a dit :

– Je vais t’apprendre à être une bonne petite salope.

Ses lèvres se sont de nouveau posées sur les miennes et sa main est descendue lentement sur mon ventre avant d’atteindre ma chatte. J’étais déjà toute mouillée. Entraînée par un délicieux tourbillon de sensations, je me laissais faire et j’écartais bien mes cuisses pour m’offrir aux attouchements de ma copine. Aurore a quitté ma bouche pour pencher sa tête vers mes seins. Elle a sucé et léché mes tétons l’un après l’autre. Plusieurs fois, elle m’a demandé :

– Tu aimes ce que je te fais ?

J’éprouvais trop de plaisir pour lui répondre d’autant plus que ses doigts excitaient toujours ma chatte. Pourtant, je ne me sentais pas du tout gouine mais j’adorais ce qu’elle me faisait et je n’avais qu’une envie : qu’elle continue ! Ce fut encore plus fort quand Aurore s’est mise à embrasser ma chatte et à la titiller avec la pointe de sa langue. Elle l’insérait entre mes lèvres que je sentais gonflées de désir et s’attardait sur mon clitoris, me faisant gémir de plaisir.

– Qu’est-ce que tu mouilles ! M’a-t-elle dit, il était temps de te faire dépuceler, je crois !

Ses caresses me rendaient folle. J’étais prête à jouir mais Aurore a retardé mon orgasme en revenant m’embrasser sur la bouche. Sa langue avait gardé le goût de ma chatte et elle a pris mes mains pour que je lui caresse ses seins avant de me demander de la toucher en bas, entre ses cuisses. Elle aussi était trempée. Je l’ai masturbée de la même manière que si je me masturbais moi-même, pressant mes doigts sur son clitoris et frottant sa fente. Je savais très bien comment fonctionnait le corps d’une femme et c’était facile, pour moi, de rendre à Aurore tout le plaisir qu’elle venait de me donner. Au bout d’un moment, elle s’est mise tête-bêche sur moi. J’avais son joli minou blond juste au-dessus de mes yeux et je pouvais également découvrir le petit orifice sombre caché entre ses fesses.

Je n’ai eu qu’à approcher ma bouche pour la lécher, pour goûter ce sexe de femme et le fouiller avec ma langue. Je me souviens d’un véritable feu d’artifice dans ma tête quand j’ai joui. Tous les muscles de mon corps se sont raidis et je n’ai pas pu retenir mes cris. Aurore a passé la nuit dans mon lit et avant de s’endormir, elle m’a murmuré, le regard animé d’une lueur espiègle :

– Je t’apprendrais tout. Tout ce que doit savoir une fille pour s’éclater avec les mecs.

Cette relation, exclusivement homosexuelle de mon côté, a duré plusieurs semaines. Ca me plaisait qu’Aurore veuille tout m’apprendre. Je me comportais comme une élève docile et appliquée et elle, comme un professeur attentionné. J’avais fini par lui révéler que j’étais totalement vierge et Aurore m’avait promis de me trouver quelqu’un de très bien pour mon premier passage à l’acte. Mais en attendant, elle continuait de m’initier chaque jour. Elle est allée jusqu’à entrer dans un sex-shop de Bordeaux pour acheter un godemiché. Elle me l’a présenté en me disant :

– Voilà ! C’est la même chose, un homme qui bande.

Nous rions beaucoup pendant les petites leçons particulières de sexologie qu’elle me donnait. Aurore me montrait comment caresser une queue, comment la lécher, la sucer? Elle me répétait :

– Les mecs, c’est pas compliqué. Dès que tu leur touches la queue, ils sont contents. Chez eux, tout se passe au-dessous de la ceinture. La bite, les couilles et certains aiment bien qu’on s’occupe un peu de leur petit trou.

Et justement? Aurore me débarrassait peu à peu de tous mes tabous ou de tous mes blocages. Aujourd’hui, je ne peux que l’en remercier. Elle m’a fait découvrir les délices d’une langue coquine entre les fesses ou ceux d’un doigt délicat en fureteur dans l’anus. Elle s’est occupée progressivement de mon dépucelage anal tandis que par-devant, elle me pénétrait souvent avec le godemiché. Le premier objet qu’elle a introduit entre mes fesses fut une bougie. Je trouvais ça très excitant d’être pénétrée de cette manière ce qui faisait dire à Aurore que j’étais aussi salope qu’elle. C’était vrai. Je jouissais autant avec la bougie dans le cul qu’avec le gode dans ma chatte. En quelques semaines, elle avait réussi à faire de moi une vraie petite garce, vicieuse et complètement pervertie. Je ne lui refusais rien et c’était même moi qui lui réclamais mes leçons de sexe, comme elle disait. J’étais étonnée par toutes les capacités à jouir de mon corps. Je pouvais éprouver du plaisir avec mes tous mes orifices et chaque fois que nous faisions l’amour, j’avais envie de repousser encore plus loin mes tabous. Tout me plaisait et il me fallait, maintenant, découvrir la jouissance avec un homme.

C’est encore Aurore qui s’est chargé de le trouver. Elle avait rencontré un architecte, très mignon et très séduisant d’après elle. Un type d’une quarantaine d’années et très bon baiseur :

– On pourrait se faire un truc à trois. Je suis sûre qu’il ne serait pas contre. Il n’a pas une grosse queue mais il peut bander pendant des heures.

C’est ainsi qu’un soir, j’ai fait la connaissance de Frédéric. Nous nous sommes retrouvé tous les trois dans un restaurant espagnol. Il me plaisait beaucoup mais j’étais très intimidée. Je m’étais habillée de manière très sexy avec des jolis dessous. Heureusement, Frédéric remplissait sans cesse mon verre de vin et l’alcool m’aidait à me détendre et à me sentir moins nerveuse. Quand Frédéric s’est levé de table pour régler l’addition, Aurore s’est penché vers moi et m’a murmuré :

– Alors ? Il te plaît ? On va aller prendre un verre chez lui.

J’étais un peu saoule et à présent, je n’avais plus du tout peur. En plus, faire ça à trois avec Aurore me sécurisait un peu. Moins d’une heure plus tard, je suçais mon premier sexe d’homme, ma première queue, tandis qu’Aurore lui doigtait l’anus. Et c’était mille fois meilleur et plus excitant que le godemiché d’Aurore. Nous avons passé une nuit complètement folle. J’ai tout donné de moi à Frédéric, il a pu me prendre par tous les orifices mais aussi, me voir en 69 avec Aurore.

Cette soirée fut un véritable déclic dans ma vie. Par la suite, j’ai rencontré beaucoup d’hommes. Tout comme Aurore, je faisais croire que j’habitais encore chez mes parents et j’allais faire l’amour dans des hôtels, dans des voitures, dans la nature. Et quand je sentais que le mec avait du fric je faisais ma pute. Et lorsque je retrouvais ma copine, cette fois, j’avais beaucoup de choses à raconter. J’ai continué à avoir des relations avec elle mais aussi, à partager certains de nos amants. Je suis devenue plus allumeuse dans la rue et c’est comme ça que, petit à petit, j’ai découvert une autre facette de moi : la provocation et l’exhibitionnisme. Certains de mes partenaires m’ont permis d’évoluer dans mes fantasmes. Quelques années plus tard, je prends un plaisir inouï à m’exhiber sans pudeur devant des hommes, que ce soit sur les plages naturistes, les boîtes échangistes les saunas… C’est dans un sauna que j’ai vu pour la première fois de ma vie deux hommes s’enculer. Une vision qui m’a profondément excité

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Lundi 3 janvier 2022 1 03 /01 /Jan /2022 18:33

Esclave d'un jour par Mathilda Stenberg

zoo

 

 

e m’appelle Marion, j’avais 19 ans à l’époque et poursuivais mes études. Nous étions en été et, comme toutes les nuits je dormais nue sans couverture mais cette fois ci j’avais oublié de fermer ma porte…

Je me réveillais quand je découvris mon chien (Cypher un labrador mâle noir), sa truffe était contre mon sexe, je sentais son souffle chaud sur ma chatte, puis il se mit à me la lécher sans retenu, j’étais pétrifiée, je ne pouvais plus bouger, mais ma chatte commençais à s’ouvrir et à mouiller abondamment, et je commençais à aimer ça, je poussais de petits gémissements, je me caressais les seins qui était tout durcis, je me mordais les lèvres pour ne pas crier, sa langue rugueuse me faisait totalement fondre.

Je fis soulever doucement la gueule de Cypher et le fit avancer doucement, je pris son sexe et après m’être assuré de sa rigidité en le lui suçant quelques instants, je me le suis enfoncé dans la chatte, ce qui me fit immédiatement jouir. Mon chien commença ses va-et-vient, je dû me mordre fortement les lèvres pour ne pas crier mais je ne pouvais retenir mes gémissements, j’enlaçais Cypher et le caressais.

– Hoooo, Ouiiii, continue mon toutou, fait plaisir à maman.

Il accéléra ses va-et-vient et jouit fortement en moi. Il se retira au bout d’un moment et s’assis sur mon lit, je mis quelques minutes pour m’en remettre. Mon chien m’avait donné un orgasme comme je n’en avais jamais eu, mais j’en voulais encore plus, alors je me suis mise à genoux et j’ai écarté les fesses devant sa truffe, il me renifla l’anus et sans se faire attendre, il se mit sur moi, je sentais son sexe chaud et humide faire pression sur mon cul, j’aidais son sexe à entrer dans mon anus. Une fois en moi il fit des va-et-vient très rapides en moi, je ne pouvais retenir mes cris de plaisir, il accéléra.

– Vas-y Cypher, je suis ta chienne, défonce-moi bien le cul ! Ouiiiii !

Je dû mettre ma tête dans les coussins pour couvrir mes cris, quand il a joui dans mon cul j’ai eu un orgasme encore plus violent que le premier. Il se retira et sortit en trottinant de ma chambre, et je vis la porte ouverte.

Alors mon sang ne fit qu’un tour, je me suis habillée en quatrième vitesse puis je suis sortie de la chambre et heureusement pour moi il n’y avait personne dans la maison, ils avaient profité tous que je dorme pour partir faire des courses. Je fus très soulagée que personne ne m’ai vu et entendu. Mais un soir mon frère, Corentin et moi étions seuls dans la maison, nos parents étaient sortis, il vint dans ma chambre.

– Il faut que je te parle ! Me dit-il
– C’est grave ?
– Mais non ! Voilà : ma copine voudrait faire une partie de jambes en l’air tous les trois.
– Tu veux dire moi, toi et ta copine ?
– Oui, Elle m’a demandé des photos nue de toi, tu l’excites beaucoup.
– Ben elle pourra toujours attendre avant que j’en fasse et en plus que je lui en donne !
– L’autre jour ta porte était ouverte, j’ai vu ce que tu as fait avec le chien…
– Et alors ?
– Et alors j’ai pris une photo.
– Montre la moi !
– Mon téléphone est resté en bas !

J’ai compris qu’il bluffait, mon frère est tellement accro au smartphone qu’il le garde toujours dans sa poche, mais je jouais le jeu, curieuse de savoir jusqu’où il irait.

– Salaud, j’espère que tu n’as posté cette photo sur le web
– Non, mais je pourrais…
– Tu n’oserais quand même pas !?
– Va savoir ?
– Et tu voudrais qui au juste ?
– Que tu sois mon esclave sexuelle, puisque tu as fait la chienne, maintenant tu vas faire la salope, jusqu’à la fin des vacances sinon…
– Sinon quoi ?
– Sinon, je te fais la gueule !

Si ce n’est que ça !

– Allez, réfléchi, prend ça comme un jeu, je suis sûr que tu seras aussi excitée que nous !
– Humm
– Je vais dans ma chambre et j’attends ta réponse.

Il sortit de ma chambre je mis plusieurs heures pour réfléchir Je pestais contre mon frère, en fait ce n’est pas tellement sa proposition qui m’embarrassais mais la façon dont il m’en avait fait la demande. Je pesais le pour et le contre et sans doute un peu par défi je décidais d’accepter

– Bon c’est d’accord ! Lui dis-je. Sauf qu’il n’est pas question que je sois à votre disposition jusqu’à la fin des vacances.
– Mais…
– Laisse-moi finir ! Mais je veux bien être votre esclave pendant une journée entière !
– O.K. On fera ça demain

Le lendemain matin mon frère vint me réveiller, il me demanda de me déshabiller, ce que je fis, puis il me passa un long manteau que j’enfilais à même mon cops nu.

– Aujourd’hui je t’amène chez Lucie

Il me prit la main et m’amena dans sa voiture, les sièges étaient rabattus, je ne portais comme vêtement que le manteau qu’il m’avait donné.

– Prends le gode qu’il y a dans la boite à gants, allonge-toi et déshabille-toi, tu vas te masturber tout au long du voyage.

Je me suis donc déshabillée, j’ai pris le gode et me suis allongée comme il me l’avait demandé. Je me suis caressé la chatte doucement avec le gode, je l’ai enfoncé délicatement en moi, mon frère démarra, il me caressait et me pinçait les tétons à chaque stop et à chaque feu rouge. Puis au dernier feu rouge un motard me vit.

– Allez ma salope accélère le mouvement et fait un sourire au motard, ça lui fera un souvenir !

Je n’osais pas, mon frère prit le gode en main et accéléra lui-même le mouvement, il me masturbait violemment et j’aimais ça, je me suis caressé les seins et je me léchais les lèvres. Mon frère a choisi le moment où je jouissais pour redémarrer la voiture. Nous arrivâmes chez sa copine.

– Maintenant ma salope, la journée ne fait que commencer, enlève ton manteau.

Je me retrouvais donc nue devant la porte d’entrée de chez Lucie, elle nous ouvrit et dès que nous sommes entrés, elle me tendit une boite en me disant :.

– Tiens comme je sais que tu aimes faire la chienne !

J’ouvris la boite, Il s’agissait d’un collier et une laisse de chien. Mon frère me fixa le collier avec la laisse et m’ordonna :

– Maintenant met toi à quatre pattes, on a un compagnon pour toi !

Lucie ouvris une porte et un chien Griffon en sorti.

– Regarde Rex : on t’a amené une vraie chienne en plus tu as de la chance elle est en chaleur.

Cypher


Mon frère me tenait en laisse, je ne pouvais plus bouger. Le chien a tout de suite compris ce qu’on lui demandait, il se mit derrière moi, grimpa et n’eut aucun mal à trouver mon cul, il se mit à faire des va-et-vient rapides, malgré l’incongruité de la situation je prenais beaucoup de plaisir. Mon frère se mit à côté de moi et me caressait, Lucie se déshabilla, c’était une belle fille, blonde à lunettes avec une abondante poitrine. Elle s’assit devant moi et écarta les jambes, prit ma tête entre ces mains et l’approcha de sa chatte.

– Maintenant ma salope, bouffe-moi la chatte.

Elle mit sa chatte contre ma bouche, je gémissais de plus en plus sous les coups de bite de son chien, je commençais à lécher doucement son sexe déjà humide, mon frère se déshabilla et me caressait, je mordillais les lèvres de Lucie. D’un coup mon frère plaqua ma tête violemment contre la chatte de Lucie.

– Elle t’a demandé de lui bouffer la chatte, alors tu vas lui bouffer jusqu’à ce qu’elle jouisse.

Je me suis mise à mordre, à lécher et à sucer tous ce que je pouvais. Lucie me gifla.

– Applique toi, sale chienne !

Ce que je fis, je léchais lentement ses lèvres chaudes, Rex accéléra nettement ces coups de queue en moi, je gémissais de plus en plus fort, Lucie commençait à mouiller et je buvais tous ce qu’elle me donnait, Le chien finit par jouir en moi en s’en alla, je suçais tendrement le clito de Lucie qui gémissait en se caressant les seins. Corentin se plaça derrière moi et enfonça violemment son sexe dans ma chatte ce qui me surpris, les rapports que j’avais pu avoir jusqu’à maintenant avec mon frère s’étant limités à quelques attouchements anodins. Lucie me tenait la tête contre son sexe chaud et très humide, mon frère faisait des va-et-vient très lents en moi, puis j’ai enfoncé deux doigts dans la chatte de Lucie et je l’ai masturbé très rapidement tout en lui titillant le clito avec ma langue, Lucie gémissait de plus en plus ce qui m’excitais aussi de plus en plus, mon frère accéléra ses coups de reins et les rendit très violents, je n’arrivais plus à me concentrer sur la chatte de Lucie, Les coups de reins était si violents (et si bons) que je me suis mise à crier de plaisir et je me suis totalement écroulée. Lucie me tira par la laisse et me releva.

– Alors petite pute, on a l’air d’aimer ça. Continue Corentin, fait la jouir.

Elle m’embrassa fougueusement, me pris le visage :

Je vois que tu préfères te faire prendre par ton frère que par des chiens.

Mon frère n’arrêtait pas ses coups de reins et finit par jouir en même temps que moi, il sortit son sexe de ma chatte et l’enfonça violemment dans mon cul.

– Vas-y Corentin, encule-moi cette salope, je vais m’occuper de sa chatte !

Mon frère me redressa et sa salope de copine se mit sous moi, m’enfonça trois doigts dans la chatte et elle me masturba, je sentais le souffle chaud de mon frère sur ma nuque, je me sentais bien, plus j’étais humiliée et plus j’aimais ça, Corentin me malaxa doucement les seins, Lucie, elle, continuait ma masturbation tout en me suçant le clito, je gémissais de plus en plus fort. Mon frère renforçait ces coups de reins dans mon cul, et sa copine buvait toute ma cyprine. Corentin finit par jouir dans mon cul et se retira, sa bite était maculée de merde…

– Tu as vu dans quel état tu as mis ma bite ! Nettoie-moi ça !

J’hésitais, ne sachant trop comment me dérober bien que j’en avais la possibilité.

– Tu hésites ? Me dit Lucie ! Après 20 coups de ceinturon tu hésiteras sans doute moins.

Lucie me frappait mon cul avec un sadisme évident, mes fesses me cuisaient.

– Arrête, je vais le faire ! Lui crias-je
– On termine la punition, tu le suceras après.
– Salope !
– Je sais !

Je me demandais si j’étais capable de faire une chose pareille, mais je le fis comme un défi que je me lançais à moi-même. J’engloutissais sa bite et léchais ce mélange de sperme et de merde, m’étonnant de trouver le goût beaucoup plus soft que ce que j’appréhendais. Du coup ce nettoyage humiliant fut un vrai plaisir.

– Tu as vu, Corentin, comme elle se régale avec la merde, j’ai bien envie de lui chier dessus.
– Tu as entendu, la chienne, mets-toi sur le dos, Lucie va te chier dessus.

J’étais dans un tel état de soumission que je ne discutais même pas, j’eu tout de même une appréhension quand je la vis s’arbouter au-dessus de mon visage, elle n’allait tout de même pas…

Mais ce n’était pas ce que je croyais, elle se mit à pisser, m’intimant l’ordre d’ouvrir la bouche, j’avalais son pipi et le trouvait délicieux. Puis elle se recula de quelques centimètre se retourna afin que je puisse voir sa crotte sortir de son trou du cul.

Puis ce fut très rapide, un long boudin se fraya un chemin à l’extérieur et dégringola sur mes seins..

Lucie étala la merde sur mon corps avec ses mains, puis elle me les donna à lécher.

– Alors ? Elle est comment ma merde ?
– Délicieuse ! Répondis-je. Le mot délicieux était peut-être exagéré mais je en voulais surtout pas la contrarier.
– Ah bon, vérifions ! dit-elle en léchant ses propres doigts.
– Hum tu as raison, elle est très bonne aujourd’hui. Embrasse-moi !

Un étrange french-kiss au gout de merde.

– Tu sais ce qu’on fera la prochaine fois ? Me demanda-t-elle
– Je ne sais pas s’il y aura une prochaine fois, mais dis toujours !
– Ce sera Corentin l’esclave, j’aimerais bien qu’il se fasse enculer devant moi par mon père !
– Excellente idée !
– En attendant on va prendre une douche, puis on va aller tous les trois au restaurant, c’est moi qui paye

 

Ce fut donc une bonne journée !

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 16:44

Annonce insolite par Mathilde Stenberg

scat

 

Attention texte scato explicite

 

Chloé (c'est moi) finissait son café en rêvassant à la terrasse de ce bistrot. Situé devant la gare, il était fréquenté par une clientèle de passage, où se mélangeait allégrement familles nombreuses encombrées de bagages, voyageurs de commerce, le nez dans leurs journaux économiques et babas-cool prenant leurs quartiers d'été.

 

La sonnerie du portable d'un type placé à un mètre de moi retentit. Il gueule comme un putois, il se croit tout seul, j'en ai rien à foutre de ses affaires. Je crois comprendre qu'il y a eu confusion sur l'heure d'un rendez-vous. Le type sort un billet de son portefeuille, et décampe, son portable à l'oreille. Il a oublié deux journaux sur la table, je les attrape pour y jeter un coup d'œil ! L'un est un journal sportif à grand tirage, en revanche je ne connais pas l'autre, de format plus petit, la couverture montrant une femme à la poitrine généreuse et dévoilée m'apprend qu'il ne s'agit cependant pas d'un manuel de jardinage. Je feuillette amusée, ce sont des petites annonces. Des petites annonces bien coquines...

 

Qui l'eu cru ! Toutes ces annonces m'excitent, il y a de tout, des sados, des masos, des homos, des lesbiennes, des travelos, des partouzeurs, des apprentis cocus, des voyeurs, des exhibos. Je voudrais foutre ce canard en l'air, mais non ça m'excite, ça m'excite et je continue à lire 

 

Et puis je tombe sur ça :

 

"Tina, 26 ans aimerait rencontrer une jeune femme qui accepterait de faire ses besoins devant moi. Réciprocité bienvenue."

 

N'importe quoi ! N'importe quoi ! Il y a des tarées graves quand même ! Allez regarder quelqu'un chier ? Non mais ça ne va pas ! Pisser encore, ce peut être rigolo ! Mais la merde, ça pue, c'est moche ! Berck Berck Berck et re berck !

 

Et puis ce flash, ce souvenir ! La campagne, ma cousine, la forêt.... 

 

- Faut que je fasse caca ! M'avait-elle annoncée.

- Ben vas-y ! Planque-toi derrière un tronc d'arbre !

- Non, reste avec moi, j'ai peur des serpents.

- Bon, ben vas-y, je me tourne !

 

Je le fais ! Mais ma cousine m'interpelle !

 

- Il n'y a rien derrière moi ?

 

Je suis bien obligée de me retourner ! Malgré moi je suis fascinée, ma cousine est accroupie, en train de déféquer et je la regarde, je n'arrive pas à détourner mes yeux de ce gros boudin qui pendouille et qui finit par dégringoler mollement au sol ! Je suis tout d'un coup terriblement excitée !

 

- Hum, ça fait du bien de faire un gros caca ! Commente-t-elle ? Tu n'as pas envie toi ?

 

Je lui ai répondue que non, je l'ai regardé s'essuyer et je suis restée avec mon excitation ! Le soir dans mon lit, je me suis rejoué la scène dans ma tête et j'ai regretté de ne pas avoir répondu à cette étrange demande de réciprocité. Allez donc savoir pourquoi ? Le goût de l'interdit sans doute... L'excitation retombée, j'ai refoulé ce plaisir pervers qui m'avait envahi. Et puis quelques jours plus tard quand ma cousine m'a demandé si elle pouvait faire caca devant moi "comme l'autre jour", au lieu de partager son délire, j'y ai mis des limites : "Pipi, oui, mais pas caca !" L'affaire en est restée là. Les jeux uros ont ensuite intégré petit à petit mon univers érotique mais jamais je n'ai accepté de franchir la frontière que je m'étais fixée. Et pourtant régulièrement des esquisses de fantasmes scatos m'assaillent, ça ne dure jamais longtemps d'habitude.

 

Pourquoi suis-je si excitée alors ? Je relis encore l'annonce. Rejouer cette scène une fois, juste une fois, après on verrait bien ! Après tout qu'est-ce que je risque ? Et puis cette impression si troublante de tenter le diable... Un numéro de téléphone est indiqué, je le compose. Evidement c'est un répondeur ! C'est vrai qu'il doit falloir gérer ce genre d'annonce. On me demande mes coordonnées, je les donne, je pourrais toujours dire que c'est une blague si ça me prend trop la tête.

 

J'ai passé la journée comme d'habitude à vendre des pantalons, des petits hauts et autres fanfreluches à quelques minettes et le soir en rentrant dans mon studio de "célibataire et fière de l'être" je ne pensais plus du tout à cette affaire quand mon portable sonna vers 19 h 30

 

- Je suis bien au 06 xx....

- Oui !

- Vous avez appelé suite à mon annonce….

- Ah ! Oui, c'est vrai ! 

 

L'excitation étant retombée, je n'avais plus trop envie de donner suite.

 

- Vous avez quel âge ? Demande la douce voix

- 28 !

- Et vous êtes quel genre ?

- Quelconque, brune à lunettes. Pas trop moche.

- Vous êtes sur Montpellier même ?

- Oui, mais...

- On peut se voir, pour discuter un peu ?

- Oui, mais...

 

Ça y est, les images de ma cousine qui reviennent. Il faut que je me calme, je ne vais quand même pas m'embarquer avec n'importe qui pour faire n'importe quoi...

 

- Je peux vous retrouvez où ? Insiste-t-elle

- Au "café des amis" devant la gare, à la terrasse, dans vingt minutes.

- Donnez-moi un signe de reconnaissance, c'est moi qui vous aborderais, je prends mes précautions, vous comprenez ?

- Je sais pas, moi, j'aurais un gilet noir et un cahier bleu à la main.

- Dans combien de temps ?

- 20 minutes, ça va ?

 

Ravagée, je suis ravagée, mais j'ai un plan, le cahier bleu je ne vais pas le sortir tout de suite, comme ça si je vois une fée carabosse en train de chercher quelqu'un et bien elle continuera à attendre. 

 

Je m'installe à la terrasse, le gilet sur les genoux et le cahier dans le sac. Personne n'a l'air ni d'attendre ni de chercher qui que ce soit sinon cette jolie blonde un peu plus loin, qui attend probablement son mec...

 

Donc récapitulons : j'ai rendez-vous avec une nana qui a passé une petite annonce pour qu'on chie devant elle et vice versa ! Il faudra que je consulte !

 

La blonde passe et repasse devant la terrasse ! Ce n'est pas elle tout de même ? J'enfile le gilet, elle regarde dans ma direction, semble hésiter. Je sors le cahier bleu et fais le geste de m'éventer avec. Elle s'approche, c'est elle !

 

- Bonjour, je suis Gwen !

- Chloé, enchantée ! Je ne vous voyais pas comme ça, vous êtes charmante.

- Merci ! On se tutoie !

- Oui !

- Toi aussi, tu aimes les grosses cochonneries alors ? Me dit-elle en guise d'entrée en matière.

 

Alors, je lui explique qu'il ne faut peut-être pas aborder le problème de cette façon. Et je lui explique : le bouquin d'annonces, la sienne d'annonce, le flash avec la cousine, tout sur la cousine, mon excitation, mon incomprehensible excitation.

 

- Et sinon sexuellement tu te classes comment ? Me demande-t-elle.

- Je ne me classe pas, j'aime tout un tas de chose, les mecs, les filles, les partouses, l'uro, un peu le SM... En fait j'aime beaucoup de choses mais je ne pratique pas souvent. Je suis trop indépendante pour supporter la vie de couple, alors le sexe c'est souvent en solo... et toi ?

- J'avais une copine, une fille plus vieille que moi, mais elle a été mutée dans le Nord, elle m'a initié à un tas de trucs, alors ça me manque, c'est pour ça que j'ai passé une annonce un peu extrême, mais faut pas croire, il n'y a pas que ça dans la vie ! Sinon, je te plais ?

- Oui, t'es mignonne !

- Bon, alors je t'emmène chez moi ?

 

Ben voyons !

 

L'impression d'être prise dans un engrenage... Et mon cœur qui fait des gros toc-toc dans cet interminable escalier. On rentre, la porte se referme. Je jette un coup d'œil sur le studio. C'est gentiment décoré, peut-être un peu chargé à mon goût, des poufs, des coussins, des tableaux genre pop'art. On se croirait à Greenwich Village dans les années hippies 

 

- T'es pas pressée, j'espère ?

- Non ! (je n'allais pas lui dire oui) 

- T'as mangé ?

- Non.

- T'as peut-être faim, il est 21 heures passés ? 

 

Elle farfouille dans le frigo.

 

- Jambon, pâtes, ça va ? J'ai du fromage, des fruits, tu bois quoi, du vin ?

 

Nous voilà à parler de nous, de nos vies, de nos boulots respectifs, elle travaille dans une boîte d'assurance. On se trouve quelques affinités. Elle est gentille, douce, je m'étonne de ne l'avoir jamais rencontrée, mais c'est vrai qu'elle n'a rien de particulier qui ferait qu'on la remarque.

 

On a mangé un dessert, elle me propose un café, je décline. Je l'aide à débarrasser la table et à faire la vaisselle. 

 

Et puis sans transition :

 

- Je vais pisser, tu veux regarder, je suppose ?

- Bien sûr !

- J'aimerais bien un petit bisou avant.

 

Pas de problème, on se rapproche on se serre dans nos bras, on se roule un patin d'enfer. J'en suis toute chose. 

 

- Viens !

 

Elle quitte son pantalon, puis sa culotte, elle m'exhibe carrément sa chatte poilue. 

 

- Elle te plaît ?

- Bien sûr qu'elle me plaît.

- Tu aimerai que je te pisse dessus ?

- Oui, pourquoi pas ?

- Dans la bouche ?

- Un peu dans la bouche, oui !

- Déshabille-toi, sinon on va en foutre partout !

 

Me voilà en train de me foutre à poil devant une inconnue rencontrée il y a un peu plus d'une heure. 

 

- Hum, c'est mignon tout ça ! Commente-t-elle.

- N'est-ce-pas ?

 

Elle m'embrasse les tétons, me caresse, me malaxe les fesses. Je lui fais comprendre qu'elle pourrait elle aussi retirer le haut. Pas de problème, le petit haut valse, le sous-tif, également. C'est trop mignon tout ça !

 

On s'embrasse, on se pelote, on roule sur le tapis, mais Gwen se libère.

 

- Viens, j'ai trop envie !

 

Je la suis dans la salle de bain, elle me fait allonger par terre, puis approche son pubis de mon visage. C'est vrai qu'elle avait une grosse envie, j'en avale pas mal mais rapidement, je ne peux plus suivre; j'en laisse plein à côté, on rigole comme des bossues.

 

- Alors,  il est comment mon pipi ?

- Hum ! Un délice !

- T'as pas envie, toi ?

- Si je peux t'en faire un peu, c'est quand tu veux !

 

Elle m'embrasse à nouveau, je suis bien, elle me susurre alors à l'oreille :

 

- Alors tu voudrais qu'on fasse des grosses cochonneries maintenant ?

 

Je lui fais signe de la tête que oui, le moment fatidique est donc arrivé.

 

- T'as envie de faire un petit caca ? Demande-t-elle.

- Je ne sais pas, je ne crois pas, pas tout de suite !

- Pousse pour voir !

 

Je le fais, mais sans résultat !

 

- La meilleure façon est d'aller voir sur place ! Répond-elle alors. 

 

Elle mouille alors son doigt et me le pénètre dans l'anus qu'elle me trifouille avec énergie.

 

- Pousse en même temps... C'est pas très loin, je sens ta merde, mais il faut peut-être attendre un petit peu... c'est pas un problème... On attendra.

 

Elle sort son index en vérifie l'état ! Il n'est pas très net, c'est le moins que l'on puise dire, recouvert qu'il est de choses marrons. Elle le regarde, amusée et sans hésiter un seul instant elle se le fourre dans la bouche et le nettoie de sa langue.

 

- Deuxième tentative ! Dit-elle en m'enfonçant cette fois deux doigts ! Allez pousse, pousse ma petite salope !

 

Elle retire ses doigts, me les fout sous le nez !

 

- Lèche !

- Non !

- Sois pas bête, ça n'a pas beaucoup de goût !

- Si ça n'a pas de goût, pourquoi veux-tu que je le fasse ?

- Parce que c'est pervers, parce qu'on est deux belles cochonnes et parce que ça me fait plaisir ! Ouvre ta bouche, ma mignonne !

 

Elle me dit ça tellement gentiment que je n'ose pas refuser. Je lèche ses doigts, c'est acre, et effectivement ça n'a pas beaucoup de goût.

 

- C'est bien, on fera quelque chose de toi, commente Gwen en plaisantant. On va attendre que ça vienne... Mmmm moi par contre, je crois que je vais faire un joli petit étron !

 

Elle me fait un peu peur, je ne sais pas trop où je m'embarque. Peur mais fascinée aussi !

 

- Tu veux vérifier ? Demande-t-elle

- Tu veux que je te mette un doigt ? Osais-je.

 

A mon tour je me mouille l'index et lui introduit dans l'anus, je sens effectivement une masse un peu molle. Je réalise que je suis en train de lui toucher sa merde, et que non seulement ça ne me gêne pas plus que ça, mais que ça m'excite ! 

 

- Je crois qu'il y a un gros caca en préparation ! Lui-dis je !

- Ok ! Retire ton doigt ! 

 

Bien sûr mon index est sale, je lui offre à sucer ! Je pensais qu'elle refuserait, me demandant de le faire, mais non elle me lèche le doigt, et une fois que c'est fini, elle approche son visage de mes lèvres, nous nous embrassons, un vague goût acre reste alors sur sa langue ajoutant à mon trouble.

 

Gwen s'en va chercher une assiette dans sa cuisine, elle se met ensuite à genoux sur la table, me tourne le dos au dessus du plat qui est prêt à recevoir ce qu'elle va chier.

 

- Tu veux me sucer l'anus avant ! 

- Oui, mais ne pousse pas, alors ?

- Tu as tort, mais OK, autant y aller progressivement.

 

J'approche mon visage de son trou du cul ! Bigre, ça ne sent pas la rose par là ! Ça sent nettement plus fort que ce qu'il y avait sur nos doigts à l'instant !

 

- Dis donc, tu sens un peu fort !

- C'est normal, c'est un trou du cul, c'est une odeur naturelle. Tu vas t'habituer, lèche !

 

Je lèche quelques instants son petit anus, mais j'ai l'impression que celui-ci à tendance à se dilater, je n'ai quand même pas envie de recevoir sa crotte dans la bouche. Je me recule.

 

- Ne pousse pas !

- Je ne pousse pas, c'est toi qui appréhendes. Bon j'y vais ! Regarde bien et tu vas me commenter tout ça !

Chloe

Commenter ? Il faut faire des commentaires ?

 

- Tu vas me dire ce que tu vois !

- Pour l'instant je ne vois pas grand chose, si... ton trou du cul se dilate !

- Je vais essayer de faire ça tout doucement !

- Ça y est, ton caca commence à sortir !

- Ça te plait de me regarder chier ?

- Je ne sais pas si ça me plait mais ça m'excite.

- C'est de quelle couleur ?

- Ben, marron, c'est toujours marron, non ?

- Oui mais marron comment ?

- Marron foncé !

- T'as de la chance se sont les plus belles merdes.

 

Un long étron merdeux se fraye un chemin hors de l'étroit conduit, sa taille augmente dans des proportions que je n'aurais pas cru possible, puis la merde se casse et tombe dans l'assiette. Gwen défèque toujours, une nouvelle merde sort de son anus et vient rejoindre l'autre, une troisième arrive; mais avant qu'elle ne tombe, elle y met la main, en récupère un peu et se l'étale entre ses fesses. 

 

Je crois que j'ai fini, viens me nettoyer avec ta langue !

 

Je jette un coup d'œil sur le cul merdeux de ma complice de ce soir, non trop c'est trop, je ne me vois pas lécher tout ça et je le lui dis.

 

- Juste un peu, je ne te demande pas de tout enlever... mais juste un peu pour faire plaisir à ta copine !

- Je ne sais pas...

- Ce n'est pas pire que de lécher les doigts, c'est la même chose...

- Bon je vais essayer, mais tu ne seras pas fâchée si j'arrête ?

 

J'y vais. Je choisis une zone pas trop encombrée et je commence à lécher, effectivement à part ce petit côté acre, le goût est plutôt neutre. Il y a l'odeur, mais ça reste supportable, je lèche, je lèche.

 

- Ça va ? demande-t-elle ?

- Ouais ! 

- Lèche-moi le trou !

 

Au point où j'en suis, je n'ai plus aucune réticence, je lance ma langue sur l'anus merdeux, je l'embrasse puis je le suce de petits coups de langues répétées. Je m'enivre de ce que je fais, je suis maintenant complètement dans le trip. Le goût n'est pas à proprement (?) parler désagréable, avec un arrière-goût un peu amer comme certains fromages. En fait le premier pas franchi, c'est même pas mauvais du tout, un peu particulier mais pas mauvais. 

 

- Hummm, elle est bonne ta merde !

- Ben tu vois !

 

Je suis dans un état second, ma chatte est mouillée comme une soupe, je continue à lui lécher le cul comme si je dégustais le meilleur plat d'un grand restaurant.

 

Et puis les jeux scatos ont aussi leur limites, alors excitées comme des puces nous nous sommes retrouvées spontanément en soixante-neuf à nous lécher la moule jusqu'à l'orgasme…

 

On a pris une douche, pas ensemble, l'une après l'autre…

 

Je craignais un peu la suite, mais Gwen m'a rassuré.

 

- C'était un fantasme, je suis contente de l'avoir réalisé ! Me dit-elle. Mais on ne recommencera pas… Si on se croise un jour dans Montpellier on se fera un bisou, on pourra même prendre un café vite fait, mais on en resteras là.

 

Voilà qui me convenait très bien.

 

Environ un mois après cette rencontre, je croisais Gwen en rentrant du boulot. Nous somme allées boire un verre, en fait on était contente de se retrouver, nous avons bavardé comme des pies, je l'ai suivi chez elle, on s'est bien amusé, on s'est trouvé tellement bien ensemble que cela va bientôt faire 10 ans que nous vivons ensemble.

 

Fin

 

 

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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Mercredi 10 novembre 2021 3 10 /11 /Nov /2021 16:29

Diane, ma prof de piano par Mathilda Stenberg

scat

Texte scato explicite

 

Je m'appelle Claire, j'ai 35 ans et je m'emmerde ! Mariée avec un cadre supérieur, celui-ci est toujours en vadrouille aux quatre coins du globe. Son niveau de rémunération est impressionnant. Ah, ça, je ne risque pas de manquer de quelque chose ! Mais enfin, on se demande à quoi je sers ? Prendre un amant, bof, je n'aime pas assez les hommes, me lancer dans des activités, j'en ai essayé plein, des solitaires comme l'aquarelle ou la sculpture. Des collectives comme la gymnastique, la randonnée, le chant choral, mais au bout de quelques mois tout cela ne me passionne plus, je laisse tout tomber. Je voudrais en fait changer de vie, avoir l'occasion de le faire, mais je ne sais tout simplement pas comment procéder. Et puis tout ce fric m'a habitué à un certain confort, suis-je vraiment prête à l'abandonner... On a beau se dire qu'il n'y a pas que ça dans la vie, mais bon...

 

J'ai le cafard cet après-midi : je me passe un disque, je ne choisis même pas, c'est une anthologie de morceaux pour le piano. Je connais tous ces airs par cœur. Tiens, la "Romance sans parole" de Mendelssohn ! Je savais la jouer avant ! Est-ce que je saurais encore ? Il y a des mois que je n'ai pas ouvert ce magnifique piano hérité de la tante de mon mari. Je m'y installe ! Et allons-y ! Le désastre ! Nouvel essai ! Nouveau désastre ! Je m'énerve, j'ai envie de casser quelque chose, je vais casser quelque chose, et je choisi cette ridicule sculpture "spéciale touriste naïf" ramenée par mon mari de Birmanie ! Patatras ! En miette l'œuvre d'art ! Au moins je ne la verrai plus !

 

- Oh madame !

 

Quoi "Oh madame !" ? La bonne qui joue les éplorées à présent. Elle est mignonne, mais elle m'énerve, tout le temps dans mes pattes, si au moins elle possédait un peu de tendresse, mais la seule fois où je me suis amusée à lui demander de me frotter le dos alors que je prenais mon bain, elle s'est enfuie en courant !

 

- Ecoute Anna ! Je te fais cadeau de huit jours de vacances, je ne veux pas te voir avant la semaine prochaine... 

- Mais pourquoi, madame ?

- Parce que c'est comme ça, allez file !

 

Je dois être timbrée, pendant huit jours je vais me farcir la cuisine les courses, le ménage, non pas le ménage, je vais lui laisser...

 

Je cours faire pipi, il faut que vous explique, je suis une pisseuse, j'ai souvent envie, le docteur m'a dit que je devais avoir une toute petite vessie, pas si facile à gérer, j'évite de boire trop de liquide ainsi que tout ce qui est diurétique si je dois sortir.

 

Je pisse, je me mets la main devant la chatte afin de l'imbiber de mon urine, puis je lèche, j'adore faire ça. J'aurais dû profiter de l'absence de la bonne pour me faire pipi dans ma culotte et rester comme ça un moment, pas grave, ce sera pour plus tard, de toute façon comme je vous l'ai, dit, je pisse tout le temps. Je me fous un doigt dans le cul, je le fais aller et venir, puis le ressors, il est un peu merdeux. Je le lèche ! Hum, c'est bon et c'est surtout délicieusement pervers, je recommence. Cet autre jeu est plus rare, mais j'adore le faire quand je sens l'excitation monter. Je crois qu'en poussant je peux faire un petit caca. Je pousse tout en mettant mes mains en corolle sous mon anus. La merde sort et tombe dans le creux de mes mains. J'approche ma main de mon visage, je contemple l'étron, le hume et m'enhardit jusqu'à le lécher un peu. Je me sens salope et j'aime ça !

 

Je quitte les chiottes sans me torcher le cul ni me laver les mains et vais me branler sur le lit.

 

Bon, si je n'arrive plus à jouer correctement au piano, quelques cours devraient me faire du bien. Je recherche un prof de piano, décide que je préférerais que ce soit une femme.

 

- D'accord ! Me dit la dame, on peut commencer jeudi, c'est à quelle adresse ?

 

Le problème c'est que jeudi, la maison sera pleine de poussière…

 

- Je préfère que ça se passe chez vous.

- Non, je ne donne pas de cours chez moi. Me précise la dame.

- Même si je double le prix ?

- Ce sera donc à titre exceptionnel.

 

Diane est blonde, la quarantaine, habillée très bourgeoise, le chignon ridicule prêt à chanceler, des lunettes… En s'arrangeant elle pourrait être pas trop mal, elle a des belles lèvres et un beau sourire… et bien sûr de très belles mains.

 

Nous sommes en pleine leçon quand j'ai soudain envie de faire pipi. Pour bousiller la concentration quand on est au piano c'est pas mal ! Je lui demande donc où sont les toilettes.

 

- Les toilettes ?

 

Ben quoi ? On dirait que je lui demande la lune, il y a bien des toilettes dans son appart, non ? Elle devient toute blanche.

 

- Heuh... c'est dans le couloir la deuxième porte, mais, euh, c'est un peu délicat, la chasse d'eau ne fonctionne pas très bien, le plombier devait passer hier, mais il faut que je le rappelle.

 

OK, pas la peine de se mettre dans des états pareils, je me rends donc à l'endroit indiqué ! Ça ne sent vraiment pas la rose, elle ne sait pas qu'il existe des déodorants pour chiottes, la prof de piano ? Un coup d'œil instinctif dans la cuvette. Il y a un magnifique colombin marron qui flotte dans de l'eau brunâtre. Bon, je n'effarouche pas pour si peu, elle m'avait prévenue, et puis comme ça par réflexe, je tire la chasse ! Miracle tout s'en va ! Elle fonctionne très bien sa chasse d'eau ! C'est quoi ce délire. ?

 

Je ne me suis ce jour-là pas attardée sur cette bizarrerie, j'ai fait ce que j'avais à faire, j'ai tiré la chasse qui pour la seconde fois de suite a fonctionné parfaitement, et je me suis remise à la musique.

 

C'est quelques jours après que la bizarrerie se renouvela. Pressée d'aller faire pipi, je remarquais encore une fois que la chasse n'avait pas été tirée ! Tout cela n'avait aucun sens ! Ou alors elle oubliait régulièrement de l'actionner ? Oui ça devait être ça, et c'est ce qui expliquait son trouble de l'autre jour ! Elle devait être incapable de se souvenir si elle avait tiré la chasse ou pas, d'où son explication vaseuse... Le syndrome du poisson rouge ! Quand on y réfléchit, les choses deviennent parfois bien simples... Et puis soudain un éclair dans mon esprit, la chose se compliquait. Où était donc passé le papier avec lequel elle s'était torchée et qui aurait dû être dans la cuvette ? On peut oublier de tirer la chasse mais pas de se torcher le cul quand même ! 

 

A moins d'être aussi cochonne que moi !

 

J'appuyais sur le mécanisme actionnant la chasse d'eau éliminant définitivement l'hypothèse d'un dysfonctionnement. Elle le faisait donc exprès. En voilà une perversion qui est bizarre ! Bizarre ? Mais pourquoi bizarre, puisque moi aussi, il m'arrive de faire des cochoncetés avec mon caca… 

 

Une réminiscence de mon adolescence me vint à l'esprit. Une sortie en forêt avec des copines, je m'étais isolée avec Julie pour faire caca. Et cette dernière m'avait proposé de jouer à qui ferait le plus gros boudin. On avait poussé, accroupies l'une devant l'autre en rigolant comme des malades.

 

- Celle qui a perdu à un gage ! Me dit-elle

- D'accord.

 

J'avais perdu.

 

- Le gage, c'est que tu ramasses mon caca et que tu le lèches !

- T'es malade. T'as qu'à le faire toi !

- C'est pas moi qui a perdu.

- Oui, mais si tu avais perdu, tu l'aurais fait ?

- Bien sûr !

- Mon œil !

- Regarde !

 

Et devant mes yeux effarés, Julie, ramasse un morceau de son boudin, le porte devant ses lèvres et le lèche en me narguant.

 

Alors tout c'est passé très vite, comme dans un rêve, sans doute n'ais-je pas voulu perdre la face, j'ai fait pareil. La surprise c'est que je pensais trouver quelque chose d'abominable, mais qui ne durerait que quelques secondes, une épreuve, quoi ! Au lieu de ça je rencontrais un gout plutôt neutre et loin d'être désagréable, 

 

L'affaire n'eut pas de suite immédiate, mais me troubla profondément. 

 

Quelques mots là-dessus quand même, étant gosse, le caca ne me dérangeait pas, et je me moquais de mes petites camarades que la chose révulsait. En grandissant, je me suis rendu compte que j'étais bien seule sur ce sujet, je me suis dit alors que je n'étais peut-être pas très normale et j'ai refoulé tout ça.. Jusqu'au jour ou en surfant sur Internet j'ai découvert des petites vidéos où l'on voyait de jolies femmes s'amuser comme des folles en faisant de la scato. Ce jour-là j'ai dû rester l'après-midi sur Internet, la main dans la culotte.

 

C'est à partir de ce moment là que j'ai commencé à me doigter le cul, et quand le doigt sortait il allait directement dans ma bouche.

 

Quand j'étais très excité, j'allais plus loin, parfois je chiais dans le creux de ma main et portait mon étron à mes lèvres et je le léchais vicieusement.

 

J'ai ensuite voulu chercher une complice C'était il y a trois mois, j'avais passé une annonce sous pseudo en ouvrant une boite mail anonyme. Une nana m'a répondu, elle voulait savoir si j'étais une vraie femme, un travelo… Bref elle se faisait payer, je m'en fous j'ai du fric. On a pris rendez-vous, et j'avais quelques idées sur ce que je lui demanderais de faire. Sur place, j'ai un peu déchanté, la nana n'était pas conviviale pour un rond, pas un sourire, pas une once d'humour, une moue dédaigneuse et suffisante. Je lui ai juste demandé de chier devant moi : elle m'a fait un joli boudin bien moulé, mais quand elle m'a demandé si je désirais autre chose, j'ai préféré en rester là. 

 

Alors parfois dans mes fantasmes, quand je suis réellement trop excitée, je me rejoue la scène avec Julie, et parfois j'y incorpore des variantes. 

 

Se pourrait-il que Diane...

 

Je décidais de la provoquer... Dommage, je n'avais envie que de faire pipi...

 

- Je crois que votre chasse d'eau est de nouveau bloquée, je n'ai pas tirée la chasse, on ne sait jamais, je ne voudrais pas que vous soyez inondée...

 

Sa tête ! L'autre jour, elle était blanche, mais aujourd'hui elle est rouge. Elle cherche quelque chose à dire ! Mais rien ne sort, elle me regarde, elle a les larmes aux yeux. Je suis sans doute allé trop loin. Soudain elle se lève, se dirige vers la patère où j'ai accroché mon manteau, me le lance !

 

- Foutez-moi le camp ! Trouvez une autre prof ! Je n'ai pas de compte à vous rendre. C'est si facile de juger les gens !

- Mais je ne vous juge pas !

- Si ! Vous me prenez pour une folle ! Comme si les choses étaient si simples que ça ! Disparaissez, j'ai besoin d'être seule !

 

Moi qui pensais créer un déclic positif, j'ai raté mon coup, lamentablement ! Diane est manifestement au bord de la crise de nerf ! Il faut que je trouve quelque chose pour la désamorcer.

 

- Je peux vous aider ! Vous n'êtes pas folle, ce sont les autres qui ne vous comprennent pas !

- Qu'est-ce que vous en savez, vous êtes psychiatre ? De toute façon, je le sais que je ne suis pas normale ! Maintenant laissez-moi, s'il vous plait, laissez-moi !

- Diane, vous êtes parfaitement normale !

 

Elle ne répond pas, elle sanglote, je lui mets la main sur les épaules, mais elle se dégage. 

 

J'aurais pu la planter là, et la laisser avec ses étranges pratiques, mais que voulez-vous, ce doit être mon côté protectrice, je n'aime pas que les gens soient malheureux. Et puis elle est mignonne avec son petit bout de nez en l'air... Je comprends que la seule façon de s'en sortir ça va être l'ultra choc, mais ça va être à mes risques et périls car après il faudra gérer la suite :

 

- Diane, j'ai les mêmes fantasmes que vous ! C'est pour cela qu'il faut arrêter de vous mettre dans de tels états.

 

Elle continue d'abord de se rebiffer !

 

- Quels fantasmes ? Qu'est-ce que vous en savez qu'on a les mêmes fantasmes ?

- Si vous le souhaitez, la prochaine fois que j'aurais envie, vous pourrez regarder, ça ne me dérange pas du tout....

 

Elle fait des yeux tout ronds, incrédules.

 

- Vous aussi vous aimez ces trucs-là, alors ?

- Puisque je vous le dis !

 

Elle n'a plus envie de me foutre à la porte. Je raccroche mon manteau. Elle a l'air un peu paumée. 

 

- Ecoutez, je ne suis plus très motivée aujourd'hui pour faire une leçon de piano, revenez demain, nous aurons pris du recul, et nous verrons bien si nous pouvons comment dire… rester en contact.

 

J'étais dans un état d'esprit assez partagé, d'une part je regrettais qu'elle ait mis fin à notre rencontre alors que les conditions étaient réunies pour que l'on tente d'aller plus loin. Mais je me disais aussi que demain je pourrais caresser son corps et lui offrir le mien… à moins qu'elle ne se dégonfle… à moins que ce soit moi qui me dégonfle !

 

Le lendemain, je me suis retenue d'aller faire caca. Diane m'accueille, tout sourire, elle s'est passé une petite robe beige, sans manches, et légèrement décolletée, je lui tends la main.

 

- Il faut d'abord que je vous dise une chose ! Commence-t-elle

 

Qu'est-ce qu'elle va me sortir ?

 

- Pour les toilettes, faut que je vous explique, j'aime bien l'odeur de mon caca…

 

En me disant ça elle devient rouge comme une pivoine

 

- Donc je ne tire pas toujours la chasse et je ne m'essuie pas systématiquement. Comme je ne reçois personne depuis mon divorce, ça ne gêne personne. Alors quand vous avez insisté pour prendre les cours chez moi, je n'aurais jamais imaginé que vous auriez besoin d'aller aux toilettes. Si ça vous choque, on en reste là.

- Mais non, ça ne me choque pas du tout.

- Alors, on s'embrasse ? Me propose-t-elle ?

 

Je lui fais un chaste bisou, mais elle me reprend :

 

- Si nos relations prennent un tour un peu particulier, autant nous embrasser mieux.

 

Je n'ai rien contre, et on se roule un patin. Mais alors le patin de chez patin, celui qui bave jusqu'au menton.

 

- Et la deuxième fois, vous aviez oublié… Demandais-je, poussé par la curiosité.

- Non, j'ai été naïve, je me suis dit :"elle ne va quand même pas aller pisser à chaque fois qu'elle va venir !"

 

On rigole de bon cœur, Et toujours est-il que la prof à l'air enchantée, ravie de ma réaction.

 

- Je peux vous caresser ?

- Bien sûr

 

En fait, elle se contente de me caresser les bras par-dessus mon chemisier, comme érotisme on fait mieux, mais elle s'enhardit rapidement et me pose les mains sur les seins.

 

Je lui fais un sourire d'encouragement, elle continue un peu puis elle se recule, manifestement elle a envie de me dire quelque chose, mais ça a du mal à sortir.

 

- Claire !

- Oui

- Je me suis un peu retenue en vous attendant, mais maintenant il faut je le fasse… Euh, cela vous plairait vraiment de me voir chier ?

- Mais assurément !

- Vous n'imaginez pas quel plaisir je vais avoir à chier devant vous !

- Je crois que le plaisir sera partagé !

- Vous préférez que je sois nue !

- Oui bien sûr !

 

Elle se déshabille vite fait et se plante devant moi. Je réalise alors que la situation est incongrue dans la mesure où je suis restée habillée... je me déshabille à mon tour, elle ne bouge pas, elle m'attend.

 

Ses jolis seins m'attirent irrésistiblement, je les pelote, je suce un peu les tétons, elle me caresse aussi, on se roule un nouveau patin aussi baveux que le précédent.

 

- Euh, on fait comment ? Dans les toilettes, nous risquons d'y être un peu à l'étroit ! La salle de bain ?

 

Allons-y pour la salle de bain, où elle s'y accroupit.

 

- Je vais faire par terre, me prévient-elle. 

 

Elle cherche une serviette.

 

- A moins que je fasse sur vous ? Ce n'est peut-être pas dans vos pratiques ?

- Dans mes pratiques, non, mais dans mes fantasmes, oui ! Alors faisons comme ça ! Chez moi dessus, Diane ! 

 

Je m'allonge sur le sol, elle s'accroupit de nouveau mais cette fois au-dessus de ma poitrine. Elle commence à pousser, mais abandonne au bout d'un moment.

 

- Ça ne vient pas, on va attendre un peu. Je vais faire pipi d'abord.

- Pissez-moi dessus, Diane ! Dans la bouche, je veux vous boire !

- Hum, et si je vous crachais dans la bouche, un tout petit peu !

- Allez-y Diane.

 

J'ouvre la bouche, elle me crache une première fois.

 

- Je peux vous insulter, je veux dire en le prenant comme un jeu ?

- Mais bien sûr !

- N'hésitez pas à me rendre la pareille, ça n'en sera que plus excitant.

- Crache-moi dessus, salope !

 

Elle le fait et ça m'émoustille, elle rectifie la position.

 

- Ouvre la bouche, grognasse !

 

La "grognasse" ouvre la bouche, et je reçois son urine dans la bouche, c'est délicieux, je me régale, il y avait une éternité que je n'avais pas goûté une autre pisse que la mienne.

 

Quand elle s'arrête c'est pour m'informer que cette fois "ça vient" et qu'elle va pouvoir me chier dessus.

 

- Vas-y ! 

- On y va !

Diane

L'anus s'ouvre, un petit étron marron quémande la sortie, il grossit, c'est maintenant un magnifique boudin qui sort du cul de la prof de piano, il se détache et me tombe sur la tronche.

 

Je n'ouvre pas la bouche, je n'ose pas, pas encore. L'odeur de merde m'envahit, pas grave, c'est de la fraiche, je m'habitue.

 

Diane se recule, un autre étron descend de son cul, il est magnifique. Terriblement excitée je me délecte du spectacle. Que c'est beau une belle merde qui sort d'un joli cul !

 

J'ose ouvrir la bouche, ma langue touche un peu de la merde de Diane, C'est surprenant, c'est même plutôt bon. Du coup, je m'enhardis et je lèche davantage.

 

Diane m'enlève le plus gros de ce que j'ai sur le visage et me badigeonne le torse avec, me voila avec les seins tout merdeux. Elle en prend un peu dans sa bouche, le garde et viens m'embrasser.

 

Son petit étron passe de sa bouche dans la mienne, puis de la mienne dans la sienne, je deviens folle d'excitation, mes cuisses dégoulinent de mouille.

 

Elle aussi s'est badigeonné, on est dans un drôle d'état, excitées comme des puces.

 

Et c'est quasi spontanément qu'on s'est retrouvé en soixante-neuf. J'ai sa belle chatte devant ma bouche, je lèche, je suce son jus, mais je sens mon ventre qui gargouille.

 

- Je crois que j'ai vais chier à mon tour !

- Chic ! Je veux ta merde dans ma bouche !

 

Je chie une grosse merde, Diane en a plein la tronche.

 

Ensuite ce fut la douche, le rhabillage, la cigarette, une bière.

 

- Je vais y aller…

- On se reverra ? Demande-t-elle avec une pointe d'angoisse dans la voix.

- Evidemment, j'ai vraiment besoin de vraies leçons de piano !

 

FIN

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Par vassilia-x-stories - Publié dans : Mathilda Stenberg
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