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Esclave d'un jour par Mathilda Stenberg
e m’appelle Marion, j’avais 19 ans à l’époque et poursuivais mes études. Nous étions en été et, comme toutes les nuits je dormais nue sans couverture mais cette fois ci j’avais oublié de fermer ma porte…
Je me réveillais quand je découvris mon chien (Cypher un labrador mâle noir), sa truffe était contre mon sexe, je sentais son souffle chaud sur ma chatte, puis il se mit à me la lécher sans retenu, j’étais pétrifiée, je ne pouvais plus bouger, mais ma chatte commençais à s’ouvrir et à mouiller abondamment, et je commençais à aimer ça, je poussais de petits gémissements, je me caressais les seins qui était tout durcis, je me mordais les lèvres pour ne pas crier, sa langue rugueuse me faisait totalement fondre.
Je fis soulever doucement la gueule de Cypher et le fit avancer doucement, je pris son sexe et après m’être assuré de sa rigidité en le lui suçant quelques instants, je me le suis enfoncé dans la chatte, ce qui me fit immédiatement jouir. Mon chien commença ses va-et-vient, je dû me mordre fortement les lèvres pour ne pas crier mais je ne pouvais retenir mes gémissements, j’enlaçais Cypher et le caressais.
– Hoooo, Ouiiii, continue mon toutou, fait plaisir à maman.
Il accéléra ses va-et-vient et jouit fortement en moi. Il se retira au bout d’un moment et s’assis sur mon lit, je mis quelques minutes pour m’en remettre. Mon chien m’avait donné un orgasme comme je n’en avais jamais eu, mais j’en voulais encore plus, alors je me suis mise à genoux et j’ai écarté les fesses devant sa truffe, il me renifla l’anus et sans se faire attendre, il se mit sur moi, je sentais son sexe chaud et humide faire pression sur mon cul, j’aidais son sexe à entrer dans mon anus. Une fois en moi il fit des va-et-vient très rapides en moi, je ne pouvais retenir mes cris de plaisir, il accéléra.
– Vas-y Cypher, je suis ta chienne, défonce-moi bien le cul ! Ouiiiii !
Je dû mettre ma tête dans les coussins pour couvrir mes cris, quand il a joui dans mon cul j’ai eu un orgasme encore plus violent que le premier. Il se retira et sortit en trottinant de ma chambre, et je vis la porte ouverte.
Alors mon sang ne fit qu’un tour, je me suis habillée en quatrième vitesse puis je suis sortie de la chambre et heureusement pour moi il n’y avait personne dans la maison, ils avaient profité tous que je dorme pour partir faire des courses. Je fus très soulagée que personne ne m’ai vu et entendu. Mais un soir mon frère, Corentin et moi étions seuls dans la maison, nos parents étaient sortis, il vint dans ma chambre.
– Il faut que je te parle ! Me dit-il
– C’est grave ?
– Mais non ! Voilà : ma copine voudrait faire une partie de jambes en l’air tous les trois.
– Tu veux dire moi, toi et ta copine ?
– Oui, Elle m’a demandé des photos nue de toi, tu l’excites beaucoup.
– Ben elle pourra toujours attendre avant que j’en fasse et en plus que je lui en donne !
– L’autre jour ta porte était ouverte, j’ai vu ce que tu as fait avec le chien…
– Et alors ?
– Et alors j’ai pris une photo.
– Montre la moi !
– Mon téléphone est resté en bas !
J’ai compris qu’il bluffait, mon frère est tellement accro au smartphone qu’il le garde toujours dans sa poche, mais je jouais le jeu, curieuse de savoir jusqu’où il irait.
– Salaud, j’espère que tu n’as posté cette photo sur le web
– Non, mais je pourrais…
– Tu n’oserais quand même pas !?
– Va savoir ?
– Et tu voudrais qui au juste ?
– Que tu sois mon esclave sexuelle, puisque tu as fait la chienne, maintenant tu vas faire la salope, jusqu’à la fin des vacances sinon…
– Sinon quoi ?
– Sinon, je te fais la gueule !
Si ce n’est que ça !
– Allez, réfléchi, prend ça comme un jeu, je suis sûr que tu seras aussi excitée que nous !
– Humm
– Je vais dans ma chambre et j’attends ta réponse.
Il sortit de ma chambre je mis plusieurs heures pour réfléchir Je pestais contre mon frère, en fait ce n’est pas tellement sa proposition qui m’embarrassais mais la façon dont il m’en avait fait la demande. Je pesais le pour et le contre et sans doute un peu par défi je décidais d’accepter
– Bon c’est d’accord ! Lui dis-je. Sauf qu’il n’est pas question que je sois à votre disposition jusqu’à la fin des vacances.
– Mais…
– Laisse-moi finir ! Mais je veux bien être votre esclave pendant une journée entière !
– O.K. On fera ça demain
Le lendemain matin mon frère vint me réveiller, il me demanda de me déshabiller, ce que je fis, puis il me passa un long manteau que j’enfilais à même mon cops nu.
– Aujourd’hui je t’amène chez Lucie
Il me prit la main et m’amena dans sa voiture, les sièges étaient rabattus, je ne portais comme vêtement que le manteau qu’il m’avait donné.
– Prends le gode qu’il y a dans la boite à gants, allonge-toi et déshabille-toi, tu vas te masturber tout au long du voyage.
Je me suis donc déshabillée, j’ai pris le gode et me suis allongée comme il me l’avait demandé. Je me suis caressé la chatte doucement avec le gode, je l’ai enfoncé délicatement en moi, mon frère démarra, il me caressait et me pinçait les tétons à chaque stop et à chaque feu rouge. Puis au dernier feu rouge un motard me vit.
– Allez ma salope accélère le mouvement et fait un sourire au motard, ça lui fera un souvenir !
Je n’osais pas, mon frère prit le gode en main et accéléra lui-même le mouvement, il me masturbait violemment et j’aimais ça, je me suis caressé les seins et je me léchais les lèvres. Mon frère a choisi le moment où je jouissais pour redémarrer la voiture. Nous arrivâmes chez sa copine.
– Maintenant ma salope, la journée ne fait que commencer, enlève ton manteau.
Je me retrouvais donc nue devant la porte d’entrée de chez Lucie, elle nous ouvrit et dès que nous sommes entrés, elle me tendit une boite en me disant :.
– Tiens comme je sais que tu aimes faire la chienne !
J’ouvris la boite, Il s’agissait d’un collier et une laisse de chien. Mon frère me fixa le collier avec la laisse et m’ordonna :
– Maintenant met toi à quatre pattes, on a un compagnon pour toi !
Lucie ouvris une porte et un chien Griffon en sorti.
– Regarde Rex : on t’a amené une vraie chienne en plus tu as de la chance elle est en chaleur.
– Maintenant ma salope, bouffe-moi la chatte.
Elle mit sa chatte contre ma bouche, je gémissais de plus en plus sous les coups de bite de son chien, je commençais à lécher doucement son sexe déjà humide, mon frère se déshabilla et me caressait, je mordillais les lèvres de Lucie. D’un coup mon frère plaqua ma tête violemment contre la chatte de Lucie.
– Elle t’a demandé de lui bouffer la chatte, alors tu vas lui bouffer jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Je me suis mise à mordre, à lécher et à sucer tous ce que je pouvais. Lucie me gifla.
– Applique toi, sale chienne !
Ce que je fis, je léchais lentement ses lèvres chaudes, Rex accéléra nettement ces coups de queue en moi, je gémissais de plus en plus fort, Lucie commençait à mouiller et je buvais tous ce qu’elle me donnait, Le chien finit par jouir en moi en s’en alla, je suçais tendrement le clito de Lucie qui gémissait en se caressant les seins. Corentin se plaça derrière moi et enfonça violemment son sexe dans ma chatte ce qui me surpris, les rapports que j’avais pu avoir jusqu’à maintenant avec mon frère s’étant limités à quelques attouchements anodins. Lucie me tenait la tête contre son sexe chaud et très humide, mon frère faisait des va-et-vient très lents en moi, puis j’ai enfoncé deux doigts dans la chatte de Lucie et je l’ai masturbé très rapidement tout en lui titillant le clito avec ma langue, Lucie gémissait de plus en plus ce qui m’excitais aussi de plus en plus, mon frère accéléra ses coups de reins et les rendit très violents, je n’arrivais plus à me concentrer sur la chatte de Lucie, Les coups de reins était si violents (et si bons) que je me suis mise à crier de plaisir et je me suis totalement écroulée. Lucie me tira par la laisse et me releva.
– Alors petite pute, on a l’air d’aimer ça. Continue Corentin, fait la jouir.
Elle m’embrassa fougueusement, me pris le visage :
Je vois que tu préfères te faire prendre par ton frère que par des chiens.
Mon frère n’arrêtait pas ses coups de reins et finit par jouir en même temps que moi, il sortit son sexe de ma chatte et l’enfonça violemment dans mon cul.
– Vas-y Corentin, encule-moi cette salope, je vais m’occuper de sa chatte !
Mon frère me redressa et sa salope de copine se mit sous moi, m’enfonça trois doigts dans la chatte et elle me masturba, je sentais le souffle chaud de mon frère sur ma nuque, je me sentais bien, plus j’étais humiliée et plus j’aimais ça, Corentin me malaxa doucement les seins, Lucie, elle, continuait ma masturbation tout en me suçant le clito, je gémissais de plus en plus fort. Mon frère renforçait ces coups de reins dans mon cul, et sa copine buvait toute ma cyprine. Corentin finit par jouir dans mon cul et se retira, sa bite était maculée de merde…
– Tu as vu dans quel état tu as mis ma bite ! Nettoie-moi ça !
J’hésitais, ne sachant trop comment me dérober bien que j’en avais la possibilité.
– Tu hésites ? Me dit Lucie ! Après 20 coups de ceinturon tu hésiteras sans doute moins.
Lucie me frappait mon cul avec un sadisme évident, mes fesses me cuisaient.
– Arrête, je vais le faire ! Lui crias-je
– On termine la punition, tu le suceras après.
– Salope !
– Je sais !
Je me demandais si j’étais capable de faire une chose pareille, mais je le fis comme un défi que je me lançais à moi-même. J’engloutissais sa bite et léchais ce mélange de sperme et de merde, m’étonnant de trouver le goût beaucoup plus soft que ce que j’appréhendais. Du coup ce nettoyage humiliant fut un vrai plaisir.
– Tu as vu, Corentin, comme elle se régale avec la merde, j’ai bien envie de lui chier dessus.
– Tu as entendu, la chienne, mets-toi sur le dos, Lucie va te chier dessus.
J’étais dans un tel état de soumission que je ne discutais même pas, j’eu tout de même une appréhension quand je la vis s’arbouter au-dessus de mon visage, elle n’allait tout de même pas…
Mais ce n’était pas ce que je croyais, elle se mit à pisser, m’intimant l’ordre d’ouvrir la bouche, j’avalais son pipi et le trouvait délicieux. Puis elle se recula de quelques centimètre se retourna afin que je puisse voir sa crotte sortir de son trou du cul.
Puis ce fut très rapide, un long boudin se fraya un chemin à l’extérieur et dégringola sur mes seins..
Lucie étala la merde sur mon corps avec ses mains, puis elle me les donna à lécher.
– Alors ? Elle est comment ma merde ?
– Délicieuse ! Répondis-je. Le mot délicieux était peut-être exagéré mais je en voulais surtout pas la contrarier.
– Ah bon, vérifions ! dit-elle en léchant ses propres doigts.
– Hum tu as raison, elle est très bonne aujourd’hui. Embrasse-moi !
Un étrange french-kiss au gout de merde.
– Tu sais ce qu’on fera la prochaine fois ? Me demanda-t-elle
– Je ne sais pas s’il y aura une prochaine fois, mais dis toujours !
– Ce sera Corentin l’esclave, j’aimerais bien qu’il se fasse enculer devant moi par mon père !
– Excellente idée !
– En attendant on va prendre une douche, puis on va aller tous les trois au restaurant, c’est moi qui paye
Ce fut donc une bonne journée !
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