Dumigron

Samedi 24 mai 2025 6 24 /05 /Mai /2025 08:48

Danse avec Linda
(une histoire proposée par Dumigron)

Stamp Mature Sodo

Ma compagne, Caroline, est une ravissante petite brune sensuelle et coquine, court vêtue, joliment décolletée, très exhibitionniste, chaude, sensuelle et très nature. La base de notre entente est de conserver chacun une certaine liberté, mais de ne rien cacher à l’autre.

L’hiver dernier, nous nous sommes rendus à une soirée donnée par un ami qui souhaitait fêter une promotion professionnelle.

Marié tardivement, bon vivant, il vit dans une grande maison à la campagne, héritée de ses parents, et avait réservé l’hôtel du village afin que nous puissions tous – une trentaine de couples – passer tout le week-end ensemble et digérer un lendemain de fête peut être un peu difficile.

Je voulais que ma compagne, Caroline soit plus jolie et sexy que jamais, si cela était possible. Nous avions acheté un corset de résille noir, bas et mini-slip assortis, une petite jupe à damier noir et blanc et un gilet de cachemire blanc, assez largement ouvert sur ses superbes seins légèrement comprimés par la guêpière ! Un véritable appel au viol, presque un peu pute mais si joliment porté. Avec son sourire charmeur et son visage innocent qui contraste tant avec ses décolletés et déroute ses admirateurs, égale à elle-même, elle était une fois de plus à croquer.

Dans l’ensemble les femmes invitées étaient plutôt sexy, mais Caroline avait à son habitude ce petit plus indescriptible qui rend tous mes copains un peu amoureux d’elle. Seuls six ou sept couples nous étaient inconnus, et grâce à un punch maison, l’ambiance avait démarré très vite.

Je reconnaissais bien là le talent de notre hôte, c’est une technique dont nous usions pour mettre dans le bain nos amies lors de nos soirées de célibataires et les débarrasser de leurs inhibitions. Bien qu’habituée à la formule, Caroline avait commencé très fort et me semblait un peu gaie, ne cessant de passer en riant des bras d’un cavalier à ceux d’un autre. Ses amis qui la connaissaient bien, ne se privaient pas, sans insistance ni vulgarité, de lui caresser furtivement, et comme malencontreusement, les fesses et les seins, voire même d’écarter discrètement un pan de son gilet qu’elle refermait avec un air faussement réprobateur.

Elle est sans doute une des seules qui accepte, et provoque ce genre de privautés, et tous, m’enviant d’être l’élu, savent qu’ils peuvent pousser un peu ce jeu, mais que jamais elle n’accepte d’attouchements autres que sur ses seins et ses fesses, et ne tolérerait en aucun cas de se laisser entraîner au lit. Quant à moi il est de notoriété publique que ces situations m’amusent (savent ils même qu’elles me procurent beaucoup de plaisir) que je ne suis pas jaloux et profiterais de l’état d’excitation dans laquelle ils me la rendront. J’ai parfois laissé entendre à certains, sans qu’ils sachent si je plaisantais ou non, que je ne pourrais que les féliciter d’arriver à attirer Caroline dans leur lit !

Tout cela fait de nous un couple considéré comme très libéré, et aussi très énigmatique, car aucun ne peut se vanter d’avoir pu entrer dans notre véritable intimité, et Caroline qui ne cache pas notre entente, son appétit et le mien, joue le jeu en laissant planer le doute quant à d’éventuelles aventures. Elle est en un mot considérée comme chaude, sensuelle et libérée, sans tabous et très nature, mais désespérément fidèle et satisfaite (au goût de mes copains?) et chacun d’essayer de la faire craquer.

Ce soir ils ne s’en privaient pas. Après avoir fait danser ma compagne, je fleurtais gentiment avec Linda, une jolie brune, dont je venais de faire la connaissance, et dont le mari semblait essayer d’être celui qui ferai le plus danser Caroline. Je sentais ma jolie cavalière un peu gaie et je m’appliquais à la faire rire, quand soudain elle me demanda :

– Ça ne te gêne pas que mon mari drague ta femme avec autant de discrétion ?
– Pas du tout ! Cela me permet de danser avec toi. Mais si tu veux, je demande à Caroline de l’envoyer promener ?
– Non ! Moi ça ne me gêne pas ! Me répond Linda. Vous êtes assez libres tous les deux ?
– Je ne suis pas jaloux et j’aime la voir s’amuser ! Ça te choque ?
Je ne sais pas ! Mais est-ce qu’elle te trompe ?
– Je ne crois pas ! Et de ce côté-là nous sommes plutôt complices.
-Tu veux dire que vous faites des échanges ou des partouses ? Me demanda-t-elle d’une voix hésitante

Je la serrais un peu plus fort, et sentant qu’elle ne se dérobait pas, lui murmurais :

– La vie est courte, autant se donner quelques petits plaisirs comme celui de danser avec toi, par exemple ?
– Tu ne m’as pas répondu !
– Peut être que je n’ai pas trop envie de parler de ça pour l’instant.
– Je ne suis pas une oie blanche, et je ne suis pas si prude que tu as l’air de le penser ! Me répondit elle en se raidissant légèrement.

Je la ramenais contre moi et sentis ses seins s’écraser sur mon torse. Ce contact me troublait.

– Je suis capable de garder un secret ! Murmura-t-elle.

Elle semblait un peu hésitante et troublée. Je décidais de pousser un peu plus avant.

– Il nous arrive parfois d’admettre un partenaire dans nos jeux, mais très discrètement et toujours éloigné de nos amis ou relations.

Je la sentis frémir légèrement et ajoutais :

– Je n’aurai pas du t’en parler ! J’ai peur de t’avoir choqué et je serai désolé que tu me considères comme infréquentable !
– Je t’ai promis de garder le secret et je ne suis pas choquée, ou plutôt beaucoup moins que je ne l’aurai imaginé ! Je trouve que vous avez de la chance de vous entendre aussi bien ! Ma vie à moi me semble moins excitante !

Je saisis la perche. La brèche me semblait bien ouverte. Il fallait vraiment que le punch aie fait tomber nos inhibitions pour que nous puissions tenir une telle conversation.

– Tu n’as jamais trompé ton mari ?
– Je n’ai jamais osé ! Pourtant je sais qu’à lui, c’est déjà arrivé !
– Eh bien tente une fois ! Ce sera une expérience.
– Et toi, tu l’as déjà trompée ?
– Rarement, mais c’est arrivé ! Je préfère quand ça se passe avec elle. J’aime bien la voir comblée, la voir se donner devant moi à un homme qui lui plaît. Je dois te paraître totalement dévoyé ?
– Non ! Je ne sais pas pourquoi, mais je t’ai dit que ce soir ça ne me choquait pas, et c’est vrai ! C’est plutôt moi qui dois te sembler anormale en te posant ces questions ? Ça doit être le punch, mais j’ai envie que tu me parles encore…Si tu veux bien ? Me dit-elle en pesant un peu plus dans mes bras, tandis qu’une musique lente nous berçait et que nous dansions pratiquement sur place. Tu n’as pas envie de m’embrasser ?
– Ce que j’ai très envie de faire ! Lui murmurais je en déposant un discret baiser derrière son oreille.
– Mieux que ça !

Je collais ma bouche contre la sienne. Je l’ai senti se cambrer contre moi, son pubis est venu s’écraser contre ma cuisse. Elle devait sentir contre la sienne qu’elle ne m’était pas indifférente du tout. Heureusement que nous étions dans une relative obscurité, mais le morceau de musique finissant, j’ai choisi de me séparer – provisoirement- d’elle et l’ai entraînée prendre un verre. Caroline et Gilbert étaient invisibles, mais il y avait quatre pièces au rez-de-chaussée, en plus du jardin d’hiver et de la cuisine. La plupart de nos amis présents fleurtaient, en couples légitimes ou pas, et tout le monde semblait assez heureux et détendu.

– Tu crois qu’ils sont partis faire l’amour ? Me glissa Linda.
– Je ne sais pas ! Peut-être mais je ne crois pas !
– Pourquoi ?
– Parce qu’à ma connaissance elle ne m’a jamais trompé, mais après tout, je n’en suis pas sûr et cela m’est un peu égal? Ça t’ennuierai que ton mari…
– Non ! Ce soir je m’en fous ! Fais-moi danser encore !

J’avais très envie d’elle mais décidais de ne pas brusquer les choses. Cette situation était très excitante. A nouveau je l’ai prise dans mes bras, et j’ai senti ses seins et son pubis s’appuyer contre moi. Elle était ferme, chaude, douce et son parfum m’enivrait. Elle ne pouvait plus ignorer qu’elle me faisait bander et je ne faisais rien pour cacher mon état. Je voulais faire durer cet instant. D’une toute petite voix, elle me demanda :

– Vous avez déjà fait ça avec un autre couple ?
– Peu de fois, mais ça nous est arrivé.
– Et avec une autre femme ?
– Non parce qu’elle préfère les hommes. Dommage d’ailleurs ! Et toi, tu n’aimerais pas avoir deux hommes dans ton lit pour s’occuper de toi ? Te faire jouir sans interruptions ?

Elle a frémi, et j’ai repris d’une voix douce, glissant une main entre nos deux corps pour empaumer délicatement un sein rond et ferme :

– Ce n’est pas un de tes fantasmes ?
– Peut-être, mais ce n’est pas celui auquel je pense le plus souvent.
– Racontes moi ! Murmurais-je en accentuant la pression de ma main sur son sein, dont je sentais saillir le bout, sans qu’elle se dérobe.
– Il m’arrive de rêver qu’un de mes supérieurs plus âgé, qui m’impressionne, m’ordonne de me déshabiller devant lui, debout dans son bureau, et me caresse, me demande lui sucer la bite et pour finir m’encule devant sa secrétaire.

Sa voix était rauque, son corps pesait dans mes bras, sa bouche contre mon oreille, et sans cesser de lui caresser la poitrine, j’ai glissé mon autre main sur ses fesses, et tenté avec elle ce jeu que j’aime, celui des mots.

– Je voudrais être celui qui te demande de te déshabiller ! J’ai très envie de te retirer ta robe et de continuer à danser en te caressant !

Je la sentais réagir à mes mots et elle me semblait prendre le même plaisir que moi. Je continuais

– Mon plus grand bonheur serait de découvrir ton corps, de sentir monter ton plaisir. J’ai très envie de te faire l’amour et je voudrai te faire jouir !
– Continues ! Me dit-elle la tête sur mon épaule.
– Je voudrai faire glisser ta robe et sucer tes seins… Sentir sous mes lèvres ta jolie petite chatte mouillée et boire ta liqueur d’amour.

A l’abri de la pénombre, nous étions totalement imbriqués l’un dans l’autre, son sexe collé à ma jambe, ma queue écrasée sur sa cuisse, et je la sentais parcourue de frissons. Dans la paume de ma main, la pointe de son sein crevait le tissu.

– J’aimerai ouvrir tes jambes et passer la langue dans ton sillon…Sucer tes lèvres et ton clito… Caresser l’entrée de ton vagin et sentir ta mouille couler dans ma bouche.
– Continue…
– Je te retournerais, te lécherais ton petit trou avant d’y mettre un doigt, puis ma bite.

Ses fesses se contractaient sous ma main et elle se frottait imperceptiblement contre ma cuisse.

– J’aime quand tu te caresses sur moi… Reprit-elle
– Je voudrai te faire mouiller !
– C’est déjà fait ! Me dit-elle d’une voix rauque.
– Si nous étions seuls, je ne te laisserai que ta culotte jusqu’à ce qu’elle soit complètement trempé !
– Elle est trempé !
– Non ?
– Si ! Tu m’excites… Si tu me parles encore je vais jouir !

Je la sentais se branler franchement contre moi et je commençais à perdre les pédales.

– Tu me fais bander, jolie petite salope. J’ai envie de passer la main sous ta robe pour doigter ta petite chatte.
– Encore !
– Je veux ta mouille sur mes doigts et sur ma langue avant de m’enfoncer dans ton ventre.

Elle était comme parcourue par un courant électrique. Heureusement que l’obscurité nous enveloppait, car elle se frottait sur moi, les fesses contractées sous ma main, ondulant du bassin sans aucune retenue. Je la sentais au bord de l’orgasme, respirant par saccades. Moi-même au bord du plaisir, je repris :

– J’aime sentir ta chatte s’écraser sur ma cuisse… Ça m’excite d’imaginer ta petite cramouille ruisselante de foutre, tes jolies lèvres gonflées et ton clito dressé.
– Oh oui ! Je suis trempée et je n’en peux plus. Je vais jouir… Continue… Murmura-t-elle la voix chavirée.
– Je veux sentir ton odeur et boire ton jus? Enlève ta culotte et donne-le-moi !

Je l’ai sentie jouir alors que j’avais bien du mal à ne pas exploser, lorsque je lui ai dit :

– Je veux te respirer avant de te lécher… Je vais te montrer ce qu’on appelle se faire bouffer la chatte avant de te baiser !

Elle a jouit longuement, tremblante, tétanisée, la tête sur mon épaule, les cuisses serrées autour de ma jambe, tandis que je la soutenais, une main plaquée sur ses fesses. Je l’ai laissée se calmer, collée à moi, m’assurant d’un coup d’œil que personne ne nous prêtait attention. Mais les quelques couples présents étaient eux-mêmes plus occupés à se caresser en dansant. Toujours au bord du plaisir, je lui ai dit :

– J’aime te sentir jouir dans mes bras, mais maintenant j’ai envie de gouter à ta liqueur d’amour… Viens !
– Oh oui, mais pas ici… Mon mari et ta copine peuvent nous surprendre… Ils sont où ?
– Peut être en train de se tripoter là-haut ?
– Attends-moi ! Murmura-t-elle à mon oreille. Je reviens.

Je suis allé prendre un verre. Elle a réapparu une dizaine de minutes plus tard, me disant :

– Je ne les ai pas vus, mais pourtant toutes les chambres sont occupées ! Une véritable orgie ! Et dans le noir, je ne suis pas sûre que j’aurai pu les distinguer.
– Ça t’ennuie de savoir qu’ils sont peut-être en train de faire l’amour ?
– Non ! Ce soir je m’en fous ! Je suis bien avec toi… Mais j’aurai bien aimé être sûre que lui aussi…Tu m’as demandé quelque chose tout à l’heure.

Elle m’a glissé dans la main une petite boule de tissu noire et douce que j’ai aussitôt porté à mon visage. Sa culotte, minuscule et humide, sentait la noisette, la mouille, l’urine, la fille chaude.

– Tu sens bon ma petite salope, j’ai de plus en plus envie de boire ton jus d’amour directement à sa source

Elle s’est à nouveau écrasé contre moi.

– Tu es toute nue maintenant sous ta jupe ?
– Oui !
– Tu mouilles encore ?
– Oh oui ! Tu me fais toujours autant d’effet
– Je t’ai vraiment fait jouir ?
– Oui beaucoup ! Mais ne me dis pas que tu ne t’en es pas rendu compte ?
– J’aime te l’entendre dire !
– Salaud ! Tu m’as fait jouir très fort, et je crois que je n’avais pas joui comme ça, debout, dans les bras d’un homme, depuis bien longtemps. Maintenant je veux que tu décharges dans ma bouche….
– Viens !

Je l’ai entraînée dehors, le long du jardin d’hiver, malgré la température un peu fraîche. Je l’ai plaquée le long du mur, l’embrassant pour la première fois à pleine bouche. Elle répondait à mon baiser avec fougue. J’ai glissé la main sous sa jupe pour découvrir son coquillage nu et humide qui s’est ouvert sous mes doigts lorsqu’elle a écarté une jambe. Je me suis accroupi devant elle, le visage à la hauteur de son ventre. J’ai relevé sa jupe pour découvrir ses cuisses, le haut de ses bas et son ventre nu, sa toison brune plutôt fournie. J’ai soulevé sa cuisse pour la poser sur mon épaule. N’importe qui pouvait nous surprendre et à la faible lumière que dispensait le jardin d’hiver, j’ai vu son coquillage s’ouvrir, sa fourrure s’écarter et me révéler un sillon clair et luisant. Des perles de mouille brillaient dans ses poils. Du bout de la langue, j’ai déniché son clito, tendu, long et fin et l’ai délicatement pris entre mes lèvres et aspiré. Elle s’est mise à feuler en s’arcboutant, tendant son pubis vers ma bouche. J’ai glissé la langue dans son sillon en embrassant ses lèvres gonflées, avant de l’enfoncer dans l’entrée de sa chatte déjà ouverte et ruisselante. Elle me coulait dans la bouche en agitant son bassin, les mains posées sur ma tête.

Elle avait un goût de miel chaud, et je me suis mis à la laper à grands coups de langue, alternant baisers, succions et aspirations. Elle gémissait, agitée de soubresauts, et je l’ai léchée longtemps, comme j’aime, buvant son jus qui coulait sur mon menton et le long de ses cuisses. Elle mouillait comme une gouttière.

– Oh oui, c’est bon ! Tu lèche bien ! Je vais jouir… Continue… Oui ! Je jouis… Je jouis…

Elle m’a déchargé une impressionnante quantité de mouille dans la bouche. N’y tenant plus, je me suis relevé, déboutonné, et l’ai embrochée d’une seule poussée, la soulevant sous les fesses. Elle a noué ses jambes dans mon dos et je me suis senti aspiré jusqu’au fond de son vagin brûlant. Je la sentais ouverte, distendue, chaude et gluante, agitée de contractions, et je suis resté un moment sans bouger, planté en elle, lui parlant à l’oreille :

– Oh putain ! Tu es chaude et profonde ma salope !
– Je te sens bien… Ne bouge plus… C’est bon !
– Tu aimes te faire remplir et en avoir plein ta jolie cramouille ?
– Oh oui ! Tu es un salaud et un dégueulasse, mais j’aime quand tu me parles comme ça ! J’aime que tu me parles comme à une pute? Ça m’excite !
– Oui tu es ma petite pute et je vais te défoncer ta jolie chatte et me vider les couilles dans ton petit minou baveux !

J’ai glissé le doigt dans sa raie trempée pour le poser à l’entrée de son petit trou dans lequel je me suis un peu enfoncé. Elle n’a manifesté aucune répulsion.

– Tu as déjà été prise par-là ? Lui ai-je demandé à l’oreille
– Oui… Quelques fois mais pas souvent.
– Tu as déjà été baisée en sandwich par deux hommes ?
– Non, jamais.
– Je suis sûr que tu aimerais ça !
– Avec toi, peut-être? Tu es vraiment un beau salaud et j’aime ça !
– Je veux que tu sois très obéissante avec moi !
– Oui !
– Si tu as envie de me revoir ce sera sans culotte ni soutien-gorge? Seulement des bas !
– Oh oui !
– Je t’obligerais à sortir comme ça et je te montrerai ce que c’est que de se faire baiser par deux mecs pendant toute une nuit !
– Oui, oui !
– Je t’obligerai à sucer la bite de parfaits inconnus !
– Salaud ! Tu veux faire de moi une pute ?
– Oui et si tu ne suce pas correctement ce sera la fessée… devant tout le monde !
– Oh oui… baise-moi fort… je vais jouir… Je ferais ce que tu veux… baise-moi comme une pute !

LindaJe ne savais si elle était véritablement sincère et prête à accepter mes délires ou seulement suffisamment excitée pour répondre n’importe quoi, mais je sentais la pression de ses jambes autour de ma taille et les contractions de sa chatte sur ma queue. Tout son bassin ondulait, et la soulevant littéralement par les fesses je me suis mis à la pistonner comme un fou, arrachant presque mon sexe de sa cramouille béante pour changer brutalement d’orifice Je me suis senti soudain immobilisé dans l’étau de ses jambes, avec l’impression de m’enfoncer plus encore dans son cul. Je sentais son souffle chaud et sa respiration saccadée contre mon oreille. Elle s’est mise à feuler, et nous avons joui ensemble. J’ai déchargé dans son anus par longues saccades, avec un extraordinaire sentiment de tomber dans le vide ! J’ai dû longtemps rester planté en elle, et lorsque nous nous sommes déboités, nous sommes restés enlacés, accrochés l’un à l’autre pour ne pas tomber, sa tête sur mon épaule.

– Salaud, tu m’as enculé !
– J’ai peut-être été un peu brutal !
– Non ça m’a bien plu !

Tout à fait dégrisé, j’ai pris son visage dans mes mains après m’être rajusté, j’ai déposé un baiser sur ses lèvres en lui disant un peu brusquement :

– Cela fait partie des bonnes choses de la vie ! Rien ne nous empêche de nous revoir si tu le veux bien… Mais nous ne pouvons, ni toi ni moi, nous permettre de tomber amoureux… Et je suis sincère… tout ce que je t’ai dit est vrai.
– Tu aimerais que nous continuions à nous voir ?
– Oui… Mais seulement si ça ne te pose aucun problème !

Avant qu’elle ait pu répondre, je l’ai entraînée à l’intérieur. Nous avons pris un verre et à nouveau dansé, sans voir Caroline ni Gilbert. Linda se détendait et riait à mes bêtises, et ce n’est que plus tard que nous avons vu arriver son mari, l’air un peu perdu et hésitant. Il a tressailli en nous apercevant, et sans doute rassuré par mon sourire, s’est approché de nous. J’ai délicatement poussé ma cavalière dans les bras de son mari en leur disant : »à tout à l’heure » J’ai trouvé Caroline dans la pièce à coté au milieu d’un petit groupe et l’ai entraînée sur la piste dans un slow calme.

– Où étais tu passé ? M’a-t-elle doucereusement demandé.
– Et toi donc ? Il me semble ne pas t’avoir vue depuis un moment ! Ais-je répondu en riant.

Je l’ai sentie se troubler l’espace d’un instant, mais elle s’est reprise :

– Ce soir je n’ai pas eu une minute à moi… Gilbert m’a eu l’air de te trouver à son goût… Il m’a semblé que tu t’entendais bien avec sa femme !
– Tu as fait l’amour avec lui ?

Malgré cette question directe grâce à laquelle je pensais prendre l’avantage, elle m’a surpris en répondant sans hésiter et en riant :

– Pas vraiment l’amour, mais il a quand même réussi à me faire jouir ! Et toi tu as fait l’amour avec elle ?
– Oui !
– Si tu veux, on en reste là, me dit-elle doucement. Je crois qu’on est tous un peu pompette et qu’il vaut mieux ne pas essayer d’aller plus loin.
– N’empêche que j’aimerai bien savoir comment il t’a fait jouir ?

Gilbert et Linda sont arrivés à ce moment et se sont mis à danser comme nous, restant à l’autre bout de la pièce, semblant ne pas nous voir. Caroline, la tête nichée au creux de mon cou, m’a murmuré :

– Si tu veux tout savoir, il m’a emmenée dans une chambre, là-haut, et après m’avoir caressée, il m’a léché… Mais je n’ai pas voulu qu’il me baise, et il n’a pas insisté…et je l’ai sucé aussi pour le calmer?

Cet aveu m’a électrisé, elle a dû sentir mon sexe durcir et a écrasé son pubis sur ma cuisse en murmurant :

– J’ai envie que tu me prennes !
– Tu as remis ta culotte ?
– Non ! Je lui ao offert ! Il l’a gardé !

Nous sommes montés, mais toutes les chambres étaient occupées. Nous avons même aperçu dans la pénombre deux couples sur un lit… La soirée tournait à l’orgie, et faute d’un endroit pour nous isoler, nous sommes redescendus avec l’intention de regagner sagement l’hôtel. Gilbert et Linda dansaient encore, aux côtés de nos hôtes qui nous ont adressé un sourire complice et entendu. Nous avons parlé un peu avec eux et leur avons annoncé notre intention de nous retirer, ce que faisaient la plupart des couples encore présents. Gilbert nous a appris qu’ils logeaient eux aussi à l’hôtel, et nous avons décidé de rentrer ensemble, prenant rendez-vous avec nos amis pour le lendemain matin. Nous avons regagné notre base, et sagement, avec toutefois une certaine gêne et timidité, chacun a sagement regagné sa chambre. Aucun de nous ne savait que cette soirée n’était en réalité pas terminée, mais ceci est une autre histoire…

Fin

Léger rewriting, correction et reformatage d’un texte anonyme intitulé « Un couple libertin »

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 6 juillet 2024 6 06 /07 /Juil /2024 08:36

La blackette du comptoir par Firmin Dumigron
stamp26

22 h 30 ! Je sors enfin du bureau après avoir travaillé toute la journée et une bonne partie de la soirée sur un projet important. Bref, en sortant j’étais épuise, et a vrai dire, je n’avais aucune envie de rentrer chez moi pour me retrouver encore enfermé, et seul (puisque bobonne est parti avec son prof de fitness… la salope !). On a beau dire, mais Barcelone la nuit c’est fantastique, surtout au mois de juin. Le soir, les rues sont peuplés de gens qui profitent du temps et des vacances. Je décidai d’aller au café du coin prendre un remontant. J’ai commandé une Vodka orange, puis je me suis allumé une clope. C’était vraiment tranquille, il n’y avait pas trop de monde dans ce rade.

En sirotant tranquillos mon verre, j’aperçois au comptoir une jeune femme qui venait d’arriver. Elle a toute de suite attiré mon attention. Elle devait faire quoi ? 1 m 70, une ravissante blackette habillée d’une robe verte avec des fleurs, très décolleté mettant ses seins, assez gros à mon gout, très en valeur. Elle avait aussi une longue chevelure crépue, qui lui descendait au milieu du dos.

Tout en la fixant, j’ai vidé d’un trait mon verre, et je me suis approché d’elle. J’ai toute de suite entamé la conversation, elle ne semblait nullement surprise par mon approche un peu trop directe, elle me dit s’appeler Ida et n’être à Barcelone que depuis 6 mois. Nous avons bu quelques verres, et nous étions un peu éméchés. Enfin, surtout moi !

Je l’ai regardé dans les yeux, et lui dis que j’avais envie d’elle. Là, tout de suite ! Je me suis dit que j’avais complètement foiré le coup. Mais elle me sourit, me prit par la main, et nous sommes sortis du café. Nous sommes allés jusqu’à sa voiture. Au moment où elle s’est retourné pour ouvrir sa portière, j’ai posé mes mains sur ses fesses, je les lui caressais, tout en l’embrassant dans le cou lui susurrant :

– Ida, j’ai trop envie de toi !
– Moi aussi ! Me répondit elle en gémissant.

Je sentis le plaisir gonfler entre mes jambes. Je ne pouvais attendre plus longtemps. il devait être minuit passé, la rue était déserte, alors nous sommes montés à l’arrière de sa voiture.

IdaElle s’est allongé sur le dos, a retiré son chemisier et relevé sa robe verte. Je pouvais alors distinguer sa chatte, très poilue, l’entrée de son vagin, et ses lèvres toutes mouillées.

Tout en se malaxant les seins, elle me lança :

– Viens me lécher la chatte, ouiii viens…

Moi je ne pus me contenir, j’ai approché mon visage entre ses jambes et commencé à lui lécher frénétiquement sa chatte, tout en massant les pointes de ses seins pointus comme des flèches. Je l’entendais pousser des petits gémissements. J’ai introduit ma langue entre ses lèvres, plus je lui ai léché son clito qui avait doublé de volume. J’étais impatient de la baiser, je ne pris pas le temps de me faire sucer, je retirai tant bien que mal mon pantalon, baissais mon calfouet, et laissai ma bite prendre l’air. Je pris la précaution de m’enfiler une capote Nestor (Capote Nestor, Pas Né Pas Mort !) Et hop, c’est rentré comme dans du beurre. Son vagin était bouillant et spacieux. Hmmm, de suite son bassin fut pris de crampes, je sentais qu’elle n’était pas loin de l’orgasme, alors j’accélérai la cadence. Elle gémissait, criait, hurlait, j’en fus surpris. En plus, je ne voulais pas qu’elle attire l’attention. Le milieu de la banquette était trempé de sa mouille, une vraie fontaine, à croire qu’elle n’avait pas baisé depuis la bataille de Poitiers. Mais bon, moi j’étais comblé. Avant qu’elle ne jouisse, je me suis retiré juste à temps pour changer de position. Je voulais faire durer le plaisir et lui ai demandé de se mette à quatre pattes.

– Oh oui, prends-moi par derrière…Vas-y défonce moi la rondelle !

Ok j’avais compris, j’étais tombé sur une nympho. Ses yeux me suppliaient de la baiser. Alors je commençai à introduire ma bite gonflée à bloc, dans son anus, et d’un coup sec, je fis tout rentrer, et recommençai à lui donner de grands coups de butoirs, j’y allais franchement, et de ma main droite je lui caressai la chatte, et son clito… Et là, elle partit au 7eme ciel. Elle dandinait ses fesses comme une vraie chienne, et je commençai à mon tour à gémir, je sentais que ma bite allait bientôt exploser.

Pour finir en beauté, je fis un dernier tour en enfonçant ma queue dans sa chatte brulante, ça ne dura pas longtemps, car son corps se raidit, elle hurla et retomba sur la banquette en suffoquant, moi je me suis retiré, j’ai ôté ma capote, j’ai tout juste eu le temps de la retourner, et d’éjaculer dans sa bouche. Son corps se remit à se crisper, je sus qu’elle venait d’avoir un deuxième orgasme. Elle avala tout mon sperme, et me nettoya le gland comme jamais une fille ne me l’avait fait. 15 minutes après, nous nous rhabillâmes, nous nous sommes longuement embrassés, puis elle me dit :

– Normalement on paye avant, mais toi tu me plait bien, je sais que tu ne vas pas me la faire à l’envers !
– Ah parce que…
– Ben oui !
– Tu veux combien ?

Elle m’indiqua le prix et je la payais, elle me gratifia du plus beau de ses sourires et partit en me faisant un signe de la main dans le rétroviseur. Moi j’étais épuisé, complétement mort. Je n’avais pas la force de prendre le métro pour rentrer chez moi. Alors je suis retourné au bureau, et j’ai dormis sur la moquette, ma braguette ouverte et ma chemise trempée. Je n’avais jamais eu d’expérience avec une pute nympho, et franchement, franchement, ça m’a complétement crevé pour la journée du lendemain.

Moralité: Les putes nymphos, sont à consommer avec modération. L’abus de nymphos peut nuire à la sante

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 11 novembre 2021 4 11 /11 /Nov /2021 18:16

La fille du bus par Firmin Dumigron

 

StampFFH

Depuis quelque temps, la jeune femme qui prenait l’autobus avec moi tous les soirs me regardait avec un drôle d’air. Au tout début, je ne comprenais pas pourquoi, mais plus les jours se suivaient, plus je me rendais compte de plusieurs petites choses. Au tout début, ce n’était que des détails : prendre l’autobus en même temps que moi, porter des jupes un peu plus courte tous les jours, me regarder dans les yeux, etc.

Mais plus les jours avançaient, moins je pouvais me tromper: elle voulait effectivement quelque chose. Je décidais donc de descendre un soir, vers 18 heures, à son arrêt, par la même porte qu’elle. Au tout début, elle sembla surprise et mal à l’aise. Mais lorsque l’autobus tourna au coin, elle se retourna vers moi et me dit :

– Bonjour ! Sans doute faut-il que je me présente, je suis Consuela

Elle avait les cheveux longs et droits, châtain, une poitrine bien fournie sans être trop grosse, des jambes à faire rougir un coureur de fonds et de beaux yeux verts… Nous engagions ainsi la conversation pour nous retrouver devant son appartement. Elle m’invita donc à monter prendre un verre. Comme vous le devinez bien, j’acceptai volontiers.

Une fois entrée dans son appartement, elle me servit un cocktail dont j’ai oublié le nom, mais c’était délicieux et un peu fort. Nous parlions de nous et vint cette question :

– Tu as l’air en plein forme ! Tu pratiques une activité ?
– Tout à fait, j’excelle au cunnilingus et à la course à pied !
– Les deux en même temps ?
– Pas encore essayé.
– Ça ne me déplairait pas d’avoir une petite démonstration.
– De course à pied ?
– Je préférais l’autre activité !

Je cherchais une réplique mais je restais bouche bée quand elle se leva, ôta son haut puis son soutien-gorge, puis sa jupe et sa culotte et me laissa admirer son superbe corps.

Elle était magnifique. Des seins ronds avec des mamelons foncés, de jolies cuisses, une toute petite boucle d’oreille prise sur son nombril et une chatte et un mont de vénus compétemment glabre. Aucun poil. Ne sachant pas trop quoi faire et quoi ne pas faire devant cette déesse, je tentai le tout pour le tout. J’approchai donc ma bouche de ce superbe vagin sans rencontrer de résistance, et je le léchai consciencieusement avec ma langue pour ensuite le sucer avidement. Consuela aimait beaucoup ce que je lui faisais et se coucha sur le tapis du salon. Je descendis donc et continuai à la manger goulument. J’approchai ensuite un doigt et la pénétrai de mon majeur tout en continuant de sucer son clitoris.

Pendant que je la mangeais, la porte de l’appartement s’ouvrit et une autre femme, entra. Je notais la ressemblance avec Consuela.

– C’est ma mère ! Me précise cette dernière.

Nous étions sur le tapis du salon, Consuela, nue comme un vers, tout en sueur, et moi, rouge comme une tomate, ne sachant pas trop quoi faire.

– Salut les coquins, je m’appelle Dolores ! Et toi ?
– Euh, Fernando.
– Je peux me joindre à vous ?
– Pourquoi pas…

Elle se déshabilla donc et je commençai à sucer Dolores pendant que Consuela me déshabillait. Sa mère, beaucoup trop excitée, était déjà mouillée. Consuela pris alors goulument la relève et suça l’entrejambe de sa mère. Elle la léchait, la suçait alors que je caressai son vagin. Dolores s’excita de plus en plus et je ne pu m’empêcher d’approcher mon doigt de son anus. Ruisselant de sueur et d’excitation, j’enfonçais mon index dans cet anus accueillant pendant que Consuela suçait et pénétrait sa mère avec le sien. Dolores cria et jouit avec beaucoup de force.

dummigron busConsuela et moi étions maintenant extrêmement excités. Elle se tourna vers moi et me donna en offrande son vagin tandis qu’elle prenait mon membre dans sa bouche. Nous nous sucions ainsi au gré de l’excitation de l’autre. Je margeais son vagin, son clitoris, la pénétrai avec un puis deux doigts. Excitée au plus haut point, elle demanda alors à sa mère de faire la même chose que ce qui lui était arrivée quelque instants plus tôt. Sa mère prit donc la relève et la mangea avec appétit. Je me levais donc et décidai de faire à ma nouvelle amie une belle surprise. Je lui demandais de se mettre à quatre pattes et, pendant que sa sœur mère son vagin, j’introduisis dans son petit anus mon pénis ruisselant. Tout doucement, je l’enculais. Au tout début, elle gémit, puis elle commença à apprécier cela de plus en plus. Après trois minutes, le mouvement de va-et-vient était si intense que la mère de Consuela avait peine à suivre. Dolores profita donc de la situation et se retourna pour faire un 69 avec sa mère. La mère et la fille se mangeaient donc mutuellement pendant que j’enculais la maman. Nous jouîmes tous les trois après plusieurs minutes de plaisir et de bonheur intense…

Le lendemain Consuela n’était pas dans le bus, le surlendemain non plus et la semaine suivante pas davantage. J’essayais de prendre un bus avant, un bus après, Consuela semblait avoir disparue.

Je n’avais été qu’un coup d’un soir, mais je ne regrette rien, je me suis bien amusé.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 8 novembre 2021 1 08 /11 /Nov /2021 17:43

Florence, femme soumise par Firmin Dumigron 

stamp slave

 

Lorsque je suis entré dans la chambre, Florence s'y trouvait déjà…

 

Nous avons tous les deux la quarantaine, j'ai rencontré Florence un peu par hasard il y a environ un an. Elle était attablée au bistrot et chialait comme une madeleine. Je n'aime pas voir les femmes pleurer. Je suis allé la consoler, elle a mis un certain temps à m'expliquer que son jules venait de la quitter pour une autre et qu'elle ne savait même pas où dormir.

 

Je l'ai donc invité à venir chez moi. Nous n'avons pas baisé de soir-là, mais le lendemain on s'en est donné à cœur joie. Et tout de suite elle s'est révélée soumise et maso. Voilà qui tombait bien puisque je suis un tantinet dominateur.

 

Elle est brune, les cheveux longs, un beau visage avec un nez mutin, elle a une jolie poitrine dont les tétons s'ornent de piercing en anneaux.

 

Je suis cadre dans une grosse boite d'édition, et comme elle était sans travail, je lui ai obtenu un poste de traductrice qu'elle exerce à la maison.

 

Ce jour-là je suis rentré du boulot à 18 heures, un mot m'attendait :

 

"J'ai envie que tu me corriges, viens me rejoindre !"

 

Je criais : "j'arrive dans cinq minutes" 

 

Le temps de retirer ma veste et mes chaussures et d'aller faire pipi, non pas pipi, le pipi ce sera pour elle !

 

Elle était vêtue d'une simple chemise de nuit qui laissait découverts ses seins et ses épaules et lui descendait aux mollets, elle était debout au pied de son lit. Elle s'était attaché les mains à l'aide d'une corde fixée à la barre du lit. 

 

Je viens m'asseoir tranquillement dans un fauteuil.

 

- Quelle correction ce soir ? Demandais-je

- Je veux que tu me fouettes les épaules et les seins avec le petit bouquet d'orties fraîches que je t'ai cueilli ce matin ! Ensuite je voudrais douze coups de martinet sur les fesses !

- A nu ? 

- Evidemment !

 

J'ouvre une boite en carton dans laquelle se trouvaient rangée une dizaine de tiges d'orties bien garnies de feuilles. Florence avait entouré l'extrémité des tiges avec du papier d'aluminium afin d'éviter que je me pique. Délicate attention ! Je dénoue les rubans qui retenaient la chemise de Florence aux épaules. Elle tombe par terre, se retrouvant toute nue. Les épaules, le dos gracieusement incurvé, la poitrine bombée, les seins droits et blancs m'apparurent. 

 

- Baisse ta tête, poufiasse, pendant la correction… Et je ne veux pas t'entendre !

 

Je brandis le bouquet d'orties, commence à flageller mollement les épaules les seins, le dos et les flancs de Florence. Elle se met à gémir tout doucement tandis qu'elle remue son buste en tous sens sous l'action cuisante des plantes urticantes. 

 

- Je te défends de bouger ! Morue ! Baisse la tête sinon je te donne vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze ! T'as compris, trainée ?

 

Florence ne bouge plus. Maintenant la peau tout entière est rouge. Je décide d'arrêter la flagellation aux orties mais j'exige que ses fesses soient bien tendues. 

 

- Tu vas être une bonne fille, n'est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante ? Penche-toi encore un peu, je vais te donner tes douze coups de martinet sur tes fesses de salope. 

 

DumigronFlorence se penche en avant. Je lui passe la main gauche sous l'estomac, au creux, pour la soutenir et armée du martinet, je lui demande de compter les coups qu'elle désirait recevoir. Sur ses fesses tendues, le premier coup, donné en travers des fesses, je l'applique très bas, presque sur les cuisses, Florence sur ce coup rebondit en tressaillant tout entière en même temps que l'on entend le bruit de grêle des six lanières du martinet s'abattant presque simultanément et d'une voix étouffé Florence compte "un". 

 

Le second coup suit presque aussitôt, puis le mouvement se précipite. Florence est fouettée avec force et rage, sans que je donne une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup donné sur ses fesses rouges et boursouflées et Florence prononce avec soulagement le dernier chiffre. Je pose le martinet sur le lit. Je palpe un instant la partie fouettée, vérifiant si elle était suffisamment échauffée par le fouet. 

 

Je détache les mains de Florence, qui se frictionne sans pudeur aucune, puis s'agenouille et vient vers moi… sur les genoux

 

- J'ai soif !

 

Alors je sors ma bite bandée de ma braguette, attend un petit moment et me met à pisser d'abondance dans son adorable petite bouche.

 

Ma miction terminée, je suis branlé un petit peu pour redonner vigueur à mon membre. Elle l'a pris entre ses lèvres et m'a sucé jusqu'à la jouissance. Vicieusement elle ouvre sa bouche remplie de sperme, puis se relève et me demande de l'embrasser.

 

Drôle de fille !

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 30 août 2021 1 30 /08 /Août /2021 14:34

 

Un string bien rempli par Firmin Dumigron

stamp trans

Alors voilà, après une journée de travail, de réunion, nous décidons de nous détendre dans une boite dans Barcelone. 

 

Nous sommes invités par nos fournisseurs pour passer la soirée. Nous nous laissons guider par ces derniers qui nous emmènent dans un restaurant très branché de la ville. Nous passons une excellente soirée très alcoolisée.

 

Vers une heure du matin, nous sommes plus que deux à danser et faire la fête, les autres sont parti se coucher !

 

Nous sommes invités à aller dans une boite pour finir la soirée. Nous nous installons dans la boite qui parait très chaude, l’ambiance est top !

 

Nous sommes installés sur des coussins entourés de filles et de champagne à écouter de la musique trop forte !

 

Je suis super bien et lors de la soirée, je fais la connaissance d’une fille en tailleur avec des bas noirs, qui ne me laisse pas de glace !

 

Nous engageons la conversation. Nous nous trouvons des affinités, des points communs etc…

 

Afin de parfaire notre connaissance, nous nous mettons un peu à l’écart afin de rechercher un peu d’intimité.

 

L’alcool aidant, je me sens pousser des ailes et je commence à glisser ma main le long de sa cuisse.

 

Elle me laisse faire et je continue à la caresser jusqu’à monter aux porte-jarretelles. Je suis super excité, je bande très fort, ma queue est enfermée dans mon pantalon et ne demande qu’une main charitable pour sortir comme un diable de sa boite !

 

Cette salope comprend mon état et me caresse la queue à travers mon jeans.

 

Je bande très fort et je lui demande à l’oreille qu’elle me fasse une pipe !

 

J’en peux plus !

 

Elle me prend la main et m’entraine dans un coin discret.

 

A l’abri des regards, elle m’offre son intimité. Elle m’appuie sur les épaules, je me mets à genoux et j’attends de lécher sa chatte bien chaude et bien ouverte ! Elle me tient la tête et me demande de me calmer !

 

Alors elle glisse sa main dans son string et sort une belle queue pendante ! Après un moment de surprise, je comprends vite la situation….

 

RakotoCette queue au lieu de me rebuter m’excite au plus haut point. Je la prends dans ma bouche et la suce comme un bâton de réglisse !

 

J’adore son odeur, sa texture, sa forme, je joue avec dans ma bouche et avec ma langue. Je me surprends moi-même et me découvre un talent de pipeuse !

 

Je sens sa queue gonfler de plaisir dans ma bouche, mes doigts griffent ses bas ! Mes mains montent de ses cuisses, jusqu’à ses fesses !

 

Je bave, j’en peux plus. Il m’a pris la tête avec ses mains et il me baise la bouche en imprimant un rythme de plus en plus rapide !

 

Ça y est, ses mouvements ralentissent et je sens le jus s’écouler de sa queue. J’avale tous ce nectar, et engloutit sa queue ce qui lui procure encore deux ou trois spasmes de plaisir intense.

 

Il se recule, me présente sa queue à moitié débandée le long de mon visage afin de bien me faire comprendre que c’est elle qui mène la barque !

 

– Tiens si tu veux me revoir, voici ma carte, mais la prochaine fois, ma bite, je te la fous dans le cul !

 

Chic alors !

 

fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • Chanette
  • Hostess4
  • Martinov18i1
  • chanette15a
  • Malvina04a
  • Chanette17 c

Derniers Commentaires

Archives

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés