Dumigron

Jeudi 11 novembre 2021 4 11 /11 /Nov /2021 18:16

La fille du bus par Firmin Dumigron

 

StampFFH

Depuis quelque temps, la jeune femme qui prenait l’autobus avec moi tous les soirs me regardait avec un drôle d’air. Au tout début, je ne comprenais pas pourquoi, mais plus les jours se suivaient, plus je me rendais compte de plusieurs petites choses. Au tout début, ce n’était que des détails : prendre l’autobus en même temps que moi, porter des jupes un peu plus courte tous les jours, me regarder dans les yeux, etc.

Mais plus les jours avançaient, moins je pouvais me tromper: elle voulait effectivement quelque chose. Je décidais donc de descendre un soir, vers 18 heures, à son arrêt, par la même porte qu’elle. Au tout début, elle sembla surprise et mal à l’aise. Mais lorsque l’autobus tourna au coin, elle se retourna vers moi et me dit :

– Bonjour ! Sans doute faut-il que je me présente, je suis Consuela

Elle avait les cheveux longs et droits, châtain, une poitrine bien fournie sans être trop grosse, des jambes à faire rougir un coureur de fonds et de beaux yeux verts… Nous engagions ainsi la conversation pour nous retrouver devant son appartement. Elle m’invita donc à monter prendre un verre. Comme vous le devinez bien, j’acceptai volontiers.

Une fois entrée dans son appartement, elle me servit un cocktail dont j’ai oublié le nom, mais c’était délicieux et un peu fort. Nous parlions de nous et vint cette question :

– Tu as l’air en plein forme ! Tu pratiques une activité ?
– Tout à fait, j’excelle au cunnilingus et à la course à pied !
– Les deux en même temps ?
– Pas encore essayé.
– Ça ne me déplairait pas d’avoir une petite démonstration.
– De course à pied ?
– Je préférais l’autre activité !

Je cherchais une réplique mais je restais bouche bée quand elle se leva, ôta son haut puis son soutien-gorge, puis sa jupe et sa culotte et me laissa admirer son superbe corps.

Elle était magnifique. Des seins ronds avec des mamelons foncés, de jolies cuisses, une toute petite boucle d’oreille prise sur son nombril et une chatte et un mont de vénus compétemment glabre. Aucun poil. Ne sachant pas trop quoi faire et quoi ne pas faire devant cette déesse, je tentai le tout pour le tout. J’approchai donc ma bouche de ce superbe vagin sans rencontrer de résistance, et je le léchai consciencieusement avec ma langue pour ensuite le sucer avidement. Consuela aimait beaucoup ce que je lui faisais et se coucha sur le tapis du salon. Je descendis donc et continuai à la manger goulument. J’approchai ensuite un doigt et la pénétrai de mon majeur tout en continuant de sucer son clitoris.

Pendant que je la mangeais, la porte de l’appartement s’ouvrit et une autre femme, entra. Je notais la ressemblance avec Consuela.

– C’est ma mère ! Me précise cette dernière.

Nous étions sur le tapis du salon, Consuela, nue comme un vers, tout en sueur, et moi, rouge comme une tomate, ne sachant pas trop quoi faire.

– Salut les coquins, je m’appelle Dolores ! Et toi ?
– Euh, Fernando.
– Je peux me joindre à vous ?
– Pourquoi pas…

Elle se déshabilla donc et je commençai à sucer Dolores pendant que Consuela me déshabillait. Sa mère, beaucoup trop excitée, était déjà mouillée. Consuela pris alors goulument la relève et suça l’entrejambe de sa mère. Elle la léchait, la suçait alors que je caressai son vagin. Dolores s’excita de plus en plus et je ne pu m’empêcher d’approcher mon doigt de son anus. Ruisselant de sueur et d’excitation, j’enfonçais mon index dans cet anus accueillant pendant que Consuela suçait et pénétrait sa mère avec le sien. Dolores cria et jouit avec beaucoup de force.

dummigron busConsuela et moi étions maintenant extrêmement excités. Elle se tourna vers moi et me donna en offrande son vagin tandis qu’elle prenait mon membre dans sa bouche. Nous nous sucions ainsi au gré de l’excitation de l’autre. Je margeais son vagin, son clitoris, la pénétrai avec un puis deux doigts. Excitée au plus haut point, elle demanda alors à sa mère de faire la même chose que ce qui lui était arrivée quelque instants plus tôt. Sa mère prit donc la relève et la mangea avec appétit. Je me levais donc et décidai de faire à ma nouvelle amie une belle surprise. Je lui demandais de se mettre à quatre pattes et, pendant que sa sœur mère son vagin, j’introduisis dans son petit anus mon pénis ruisselant. Tout doucement, je l’enculais. Au tout début, elle gémit, puis elle commença à apprécier cela de plus en plus. Après trois minutes, le mouvement de va-et-vient était si intense que la mère de Consuela avait peine à suivre. Dolores profita donc de la situation et se retourna pour faire un 69 avec sa mère. La mère et la fille se mangeaient donc mutuellement pendant que j’enculais la maman. Nous jouîmes tous les trois après plusieurs minutes de plaisir et de bonheur intense…

Le lendemain Consuela n’était pas dans le bus, le surlendemain non plus et la semaine suivante pas davantage. J’essayais de prendre un bus avant, un bus après, Consuela semblait avoir disparue.

Je n’avais été qu’un coup d’un soir, mais je ne regrette rien, je me suis bien amusé.

 

fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 8 novembre 2021 1 08 /11 /Nov /2021 17:43

Florence, femme soumise par Firmin Dumigron 

stamp slave

 

Lorsque je suis entré dans la chambre, Florence s'y trouvait déjà…

 

Nous avons tous les deux la quarantaine, j'ai rencontré Florence un peu par hasard il y a environ un an. Elle était attablée au bistrot et chialait comme une madeleine. Je n'aime pas voir les femmes pleurer. Je suis allé la consoler, elle a mis un certain temps à m'expliquer que son jules venait de la quitter pour une autre et qu'elle ne savait même pas où dormir.

 

Je l'ai donc invité à venir chez moi. Nous n'avons pas baisé de soir-là, mais le lendemain on s'en est donné à cœur joie. Et tout de suite elle s'est révélée soumise et maso. Voilà qui tombait bien puisque je suis un tantinet dominateur.

 

Elle est brune, les cheveux longs, un beau visage avec un nez mutin, elle a une jolie poitrine dont les tétons s'ornent de piercing en anneaux.

 

Je suis cadre dans une grosse boite d'édition, et comme elle était sans travail, je lui ai obtenu un poste de traductrice qu'elle exerce à la maison.

 

Ce jour-là je suis rentré du boulot à 18 heures, un mot m'attendait :

 

"J'ai envie que tu me corriges, viens me rejoindre !"

 

Je criais : "j'arrive dans cinq minutes" 

 

Le temps de retirer ma veste et mes chaussures et d'aller faire pipi, non pas pipi, le pipi ce sera pour elle !

 

Elle était vêtue d'une simple chemise de nuit qui laissait découverts ses seins et ses épaules et lui descendait aux mollets, elle était debout au pied de son lit. Elle s'était attaché les mains à l'aide d'une corde fixée à la barre du lit. 

 

Je viens m'asseoir tranquillement dans un fauteuil.

 

- Quelle correction ce soir ? Demandais-je

- Je veux que tu me fouettes les épaules et les seins avec le petit bouquet d'orties fraîches que je t'ai cueilli ce matin ! Ensuite je voudrais douze coups de martinet sur les fesses !

- A nu ? 

- Evidemment !

 

J'ouvre une boite en carton dans laquelle se trouvaient rangée une dizaine de tiges d'orties bien garnies de feuilles. Florence avait entouré l'extrémité des tiges avec du papier d'aluminium afin d'éviter que je me pique. Délicate attention ! Je dénoue les rubans qui retenaient la chemise de Florence aux épaules. Elle tombe par terre, se retrouvant toute nue. Les épaules, le dos gracieusement incurvé, la poitrine bombée, les seins droits et blancs m'apparurent. 

 

- Baisse ta tête, poufiasse, pendant la correction… Et je ne veux pas t'entendre !

 

Je brandis le bouquet d'orties, commence à flageller mollement les épaules les seins, le dos et les flancs de Florence. Elle se met à gémir tout doucement tandis qu'elle remue son buste en tous sens sous l'action cuisante des plantes urticantes. 

 

- Je te défends de bouger ! Morue ! Baisse la tête sinon je te donne vingt-quatre coups de martinet sur le cul au lieu de douze ! T'as compris, trainée ?

 

Florence ne bouge plus. Maintenant la peau tout entière est rouge. Je décide d'arrêter la flagellation aux orties mais j'exige que ses fesses soient bien tendues. 

 

- Tu vas être une bonne fille, n'est-ce pas? Une bonne et sage fille, bien soumise, bien obéissante ? Penche-toi encore un peu, je vais te donner tes douze coups de martinet sur tes fesses de salope. 

 

DumigronFlorence se penche en avant. Je lui passe la main gauche sous l'estomac, au creux, pour la soutenir et armée du martinet, je lui demande de compter les coups qu'elle désirait recevoir. Sur ses fesses tendues, le premier coup, donné en travers des fesses, je l'applique très bas, presque sur les cuisses, Florence sur ce coup rebondit en tressaillant tout entière en même temps que l'on entend le bruit de grêle des six lanières du martinet s'abattant presque simultanément et d'une voix étouffé Florence compte "un". 

 

Le second coup suit presque aussitôt, puis le mouvement se précipite. Florence est fouettée avec force et rage, sans que je donne une seconde de répit au pauvre derrière corrigé. Un dernier coup donné sur ses fesses rouges et boursouflées et Florence prononce avec soulagement le dernier chiffre. Je pose le martinet sur le lit. Je palpe un instant la partie fouettée, vérifiant si elle était suffisamment échauffée par le fouet. 

 

Je détache les mains de Florence, qui se frictionne sans pudeur aucune, puis s'agenouille et vient vers moi… sur les genoux

 

- J'ai soif !

 

Alors je sors ma bite bandée de ma braguette, attend un petit moment et me met à pisser d'abondance dans son adorable petite bouche.

 

Ma miction terminée, je suis branlé un petit peu pour redonner vigueur à mon membre. Elle l'a pris entre ses lèvres et m'a sucé jusqu'à la jouissance. Vicieusement elle ouvre sa bouche remplie de sperme, puis se relève et me demande de l'embrasser.

 

Drôle de fille !

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 30 août 2021 1 30 /08 /Août /2021 14:34

 

Un string bien rempli par Firmin Dumigron

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Alors voilà, après une journée de travail, de réunion, nous décidons de nous détendre dans une boite dans Barcelone. 

 

Nous sommes invités par nos fournisseurs pour passer la soirée. Nous nous laissons guider par ces derniers qui nous emmènent dans un restaurant très branché de la ville. Nous passons une excellente soirée très alcoolisée.

 

Vers une heure du matin, nous sommes plus que deux à danser et faire la fête, les autres sont parti se coucher !

 

Nous sommes invités à aller dans une boite pour finir la soirée. Nous nous installons dans la boite qui parait très chaude, l’ambiance est top !

 

Nous sommes installés sur des coussins entourés de filles et de champagne à écouter de la musique trop forte !

 

Je suis super bien et lors de la soirée, je fais la connaissance d’une fille en tailleur avec des bas noirs, qui ne me laisse pas de glace !

 

Nous engageons la conversation. Nous nous trouvons des affinités, des points communs etc…

 

Afin de parfaire notre connaissance, nous nous mettons un peu à l’écart afin de rechercher un peu d’intimité.

 

L’alcool aidant, je me sens pousser des ailes et je commence à glisser ma main le long de sa cuisse.

 

Elle me laisse faire et je continue à la caresser jusqu’à monter aux porte-jarretelles. Je suis super excité, je bande très fort, ma queue est enfermée dans mon pantalon et ne demande qu’une main charitable pour sortir comme un diable de sa boite !

 

Cette salope comprend mon état et me caresse la queue à travers mon jeans.

 

Je bande très fort et je lui demande à l’oreille qu’elle me fasse une pipe !

 

J’en peux plus !

 

Elle me prend la main et m’entraine dans un coin discret.

 

A l’abri des regards, elle m’offre son intimité. Elle m’appuie sur les épaules, je me mets à genoux et j’attends de lécher sa chatte bien chaude et bien ouverte ! Elle me tient la tête et me demande de me calmer !

 

Alors elle glisse sa main dans son string et sort une belle queue pendante ! Après un moment de surprise, je comprends vite la situation….

 

RakotoCette queue au lieu de me rebuter m’excite au plus haut point. Je la prends dans ma bouche et la suce comme un bâton de réglisse !

 

J’adore son odeur, sa texture, sa forme, je joue avec dans ma bouche et avec ma langue. Je me surprends moi-même et me découvre un talent de pipeuse !

 

Je sens sa queue gonfler de plaisir dans ma bouche, mes doigts griffent ses bas ! Mes mains montent de ses cuisses, jusqu’à ses fesses !

 

Je bave, j’en peux plus. Il m’a pris la tête avec ses mains et il me baise la bouche en imprimant un rythme de plus en plus rapide !

 

Ça y est, ses mouvements ralentissent et je sens le jus s’écouler de sa queue. J’avale tous ce nectar, et engloutit sa queue ce qui lui procure encore deux ou trois spasmes de plaisir intense.

 

Il se recule, me présente sa queue à moitié débandée le long de mon visage afin de bien me faire comprendre que c’est elle qui mène la barque !

 

– Tiens si tu veux me revoir, voici ma carte, mais la prochaine fois, ma bite, je te la fous dans le cul !

 

Chic alors !

 

fin

 

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 07:23

Drôle de jeu par Dumigron

Voy

Après avoir tourné les clés dans la serrure, j'ouvris la porte toute grande pour pénétrer dans mon appartement. Je n'avais qu'une seule idée en tête : prendre une bonne douche pour effacer les tourments d'une nouvelle journée de travail que je venais de terminer, et ensuite une bière devant la télé me ferait le plus grand bien. C'est en déposant les clés sur la table de l'entrée, que je crus entendre un bruit provenant de fond de l'appartement. À cette heure-ci ma nouvelle colocataire ne devait pas être rentrée, elle avait l'habitude de travailler tard le soir. Je tendis l'oreille de nouveau et perçus une fois de plus des gémissements sourds. Je déposai mon manteau dans la garde-robe de l'entrée et me rendis vers le fond de l'appartement d'où provenaient les sons. Silencieusement je me dirigeai vers une porte ouverte, d'où semblaient sortir ces murmures.

 

Puis je la vis. Elle était rentrée plus tôt manifestement. Elle était étendue de son long sur son lit, de côté et lui faisait dos. Selon toute apparence, elle ne m'avait pas entendu rentrer. Une main était glissée entre ses jambes et je pouvais facilement en conclure que ces gémissements étaient le fruit de son plaisir. Je l'observai un instant. Sous ses vêtements féminins je l'avais toujours trouvé attirante, et supposais qu'elle devait avoir de belles formes. Mes yeux s'illuminaient de plaisir à la regarder ainsi se caresser l'entre jambe. Elle était nue, ne pouvant que dévoiler ce que mon imagination avait si souvent rêvé.

 

Je murmurai d'une voix rauque : " besoin d'aide ? ". Ça m'avait échappé, sans doute parce qu'inconsciemment, j'espérais qu'après avoir constaté ma présence, elle m'inviterait à la rejoindre.

 

Elle arrêta brusquement ses caresses et se retourna subitement dans ma direction. Elle était vraisemblablement surprise de trouver quelqu'un dans l'entrebâillement de sa porte. Ne me faisant ainsi plus dos, elle offrait son corps nu entièrement à ma vue et j'eus envie de prolonger ce plaisir. Je demandai une deuxième fois : " besoin d'aide ? ".

 

La femme, surélevée sur son lit par son coude, me pria de prendre place sur la chaise face au lit.

 

- " Ne bougez pas, ne bougez surtout pas ! "

 

Je m'exécutai et retournai la chaise avant de m'asseoir face au lit, et par là même, à la femme. Elle s'approcha du bout du lit le plus proche de moi et s'assit à son tour, jambes pendantes sur le côté. Elle me fixa des yeux et arqua légèrement le bassin vers le haut, écartant les jambes, laissant entrevoir ses lèvres gonflées. Elle écarta ses jambes davantage et ses lèvres s'entrouvrirent d'elles-mêmes. Je regardai et un début d'érection se fit ressentir. La femme dirigea le majeur de sa main droite vers sa bouche et l'humecta abondamment. Fixant toujours mon regard, elle dirigea son doigt mouillé vers sa chatte, qui réclamait ses caresses. La femme entama un léger frottement contre son clitoris dressé et durci. Je n'en croyais tout simplement pas mes yeux : en plus de voir la femme nue, j'étais en train de l'observer se masturber. Je tentai un mouvement subtil pour me rapprocher du lit, mais la femme me l'interdit du regard. J'étais donc condamner à observer. Elle me regarda un instant directement dans les yeux, puis ramena son doigt imbibé de sécrétion vaginale vers sa bouche. Son regard se faisait de plus en plus provocant. Lentement, elle vint rouler sa langue autour de son doigt, pour l'introduire dans sa bouche imitant une fellation. Sa main gauche vint caresser l'intérieur de la jambe et l'écarta progressivement. Je pouvais voir les lèvres s'écarter légèrement l'une de l'autre et les apercevoir perler d'excitation. Une mince couche de sécrétion c'était accumulée et une odeur d'extase s'en dégageait.

 

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Ramenant sa main droite vers sa chatte, elle y fit glisser son index jusqu'à l'entrée de ses lèvres. D'un clin d'œil, le doigt s'engouffra à l'intérieur et elle pencha son torse vers l'avant pour faire pénétrer celui-ci le plus profondément possible. Un léger mouvement du bassin d'avant arrière permit à la femme de laisser pénétrer son doigt jusqu'aux jointures de sa main. À chacun de ses gestes sa paume frottait sur son clitoris. Ses respirations se faisaient de plus en plus profondes et saccadées, sa tête commençait à valser de tous les côtés. Soudain la femme s'arrêta, me fixa de nouveau dans les yeux. Je dirigeai donc mon regard vers la chatte de la femme et la vit introduire un deuxième doigt. Une fois de plus la femme gémit. Ce fut ensuite le tour d'un troisième doigt. Je pus voir la femme surélever son bassin et tout simplement enfourcher ses trois doigts.

 

Elle glissait sur ceux-ci qui l'entrouvraient et étiraient les lèvres de sa chatte. Elle se déchaîna subitement je pouvais la voir effectuer des va-et-vient, de haut en bas, férocement. Le bout de ses doigts allait caresser l'intérieur et lui procurait un plaisir visible à son expression. La femme ne se retenait plus pour gémir et chaque fois que sa paume heurtait son clitoris, elle expirait en gémissant de plus belle. Elle avait de plus en plus de difficultés à garder le rythme de ses mouvements. Sa chatte commençait à se contracter chaque fois que ses doigts heurtaient le fond de celle-ci. Ses soubresauts finirent par la clouer sur place. Elle figea l'instant où les muscles de son corps lui donnèrent le plaisir tant convoité.

 

J'étais toujours assis sur la chaise. Je l'observais et ressentais un besoin intense de la toucher. La regarder faire ainsi m'avait plutôt excité. Je n'osais même pas regarder vers mon pantalon pour constater mon état… C'est alors que je me décidai à approcher. Je me levai de ma chaise d'où j'avais eu cette vision, et avançai vers le lit.

 

A ce moment l'inconnu sorti de derrière les rideaux où il était dissimulé. Il était nu, il bandait magnifiquement.

 

- On vous a demandé de ne pas bouger ! Retournez à votre place, s'il vous plait !

 

J'étais donc l'acteur inconscient d'un jeu érotique, dont les arcanes me dépassaient, mais qui prenait une tournure qui me déplaisait… je me dirigeais donc vers la porte.

 

- Ne partez pas, le jeu n'est pas fini ! me dit la femme.

 

J'hésitai une seconde…

 

- Ne trouvez-vous pas que mon ami a une très jolie bite ?

 

Par reflexe je regarde le membre de cet homme. Il est beau, il est bien tendu, le gland est fier sans être trop épais, la peau est d'une jolie couleur.

 

- Pourquoi cette question ?

- Parce que je vous propose un marché !

- Dites ?

- Aimeriez-vous me baiser, me prendre comme une chienne… devant lui !

- Ma fois…

- Cela a un prix !

 

Ainsi ma nouvelle colocataire se prostituait. Bien que n'ayant rien contre le principe, il se trouve que je n'ai jamais eu l'opportunité d'avoir affaire à ces dames… mais mon état d'excitation m'empêche de raisonner convenablement et je m'informe de ce prix.

 

- Non, il n'est pas question d'argent, le prix est en nature : suce la bonne queue de mon ami et tu pourras me baiser.

 

La femme ne pouvait savoir que bisexuel à mes heures, cette fantaisie ne pouvait pour moi être synonyme de corvée. Par jeu, et parce que sans doute était-ce là ce qu'ils souhaitaient tous les deux, je fis semblant d'hésiter, mais finis par approcher mes lèvres de cette bonne queue, que je m'empressai de savourer des lèvres et de la langue. Je me régalai tellement et m'appliquai si consciencieusement que l'homme ne put s'empêcher de dire :

 

- Ce n'est pas sa première queue !

 

Je continuai

 

- Dites-moi, cher Monsieur, ce n'est pas votre première queue ? Insista-t-il

- Non ! Confirmai-je, délaissant à regret ce membre magnifique !

- Vous aimez ça ?

- J'avoue !

- Dans ce cas, puisque nous sommes entre initiés, mon amie serait sans doute ravie de me voir vous baiser. Serait-ce trop vous demander que vous me présentiez vos fesses afin que je vous encule ?

- Mais faites-donc, cher monsieur !

- Je vous prends, vous prenez madame et ensuite nous irons tous les trois au restaurant, ce programme vous sied-il ?

- A merveille !

 

Dumigron de Séville

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 06:50

Une fille qui mène du train par Dumigron

sperm stamp

 

Je me demandais comment et quand je pourrais bien raconter cette histoire folle qui m'est arrivée, et bien voilà que vous, chers internautes, vous allez goûter un peu aux plaisirs et aux passions qui m'ont traversé lors de cette expérience.

 

Vous savez, quand votre ex petite amie vous appelle, c'est ou bien pour avoir des nouvelles, ou bien pour baiser car elle est en manque. Quel hasard, j'en avais besoin aussi. Pour mettre un peu de folie dans notre rencontre - nous nous sommes lassés il y a quelques années - il nous fallait trouver quelque chose d'exceptionnel. Pourquoi pas un voyage ? Ok ! Après quelques hésitations, nous avons décidé de prendre le train en direction de Barcelone afin d'aller manger dans un chic restaurant, voir une zarzuela et peut être se rafraichir les sens.

 

Elle portait une robe fleurie jusqu'aux genoux et des sandales aux pieds. Sa robe était franchement entrouverte au-devant, il faisait vraiment chaud. En effet, en cette belle journée de fin de printemps, les tenues légères étaient de mise. Lorsqu'elle marchait, son buste vaguait au rythme de ses pas… ce qui me subjuguait. Je l'ai observé pendant un bon moment pendant qu'elle achetait des magazines au kiosque de la gare. Sa chevelure blonde attachée, son sourire, sa joie de vivre… voici comment le romantique en moi voyait les choses. Son cul ferme, ses petits seins ballotant, ses cuisses fraîches et ses mains agiles… voici comment le baiseur en moi voulait ces choses.

 

Vu que nous étions un peu gênés, et surtout que ni l'un ni l'autre ne voulait faire le premier pas, nous nous sommes presque dévorés des yeux pendant toute la durée du voyage. Assise devant moi, en train de lire son magazine sur la mode, je devinais que, sous la tablette du train, ses jambes étaient complètement entrouvertes. Peut-être inconsciente de son désir de me recevoir ou peut-être une invitation à une chaude passion… en tous les cas, elle me faisait un effet d'enfer. Ça me faisait mal tant mon engin poussait le tissu de mon pantalon de coton. Il fallait que j'aille décharger mon fusil, sinon j'aurais tout envoyé dès les premières secondes lors de la baise future.

 

Je la laisse lire pendant que je me dirige vers la toilette la plus proche. Evidemment, le train bouge beaucoup et les couloirs sont étroits. La marche est assez compliquée si l'on ne veut pas bousculer personne. Une file d'attente pour traverser au prochain wagon… la porte est coincée ! Inutile de me retourner, déjà plusieurs personnes se sont placées derrière moi. Malheureux ? Non ! Une jolie rousse aux longues jambes galbées s'est placée derrière moi en file. Nous sommes un peu trop serrés mais juste assez pour sentir ses seins moelleux sur mon dos. Je frissonne et elle s'en aperçoit. Le train bascule un peu… elle se place de façon à presque m'envelopper tout l'arrière. Ses hanches se frottent tranquillement et ses mains se mettent sur mes hanches. Pendant qu'elle respire un peu plus fort et un peu plus près de mon oreille, elle met ses mains dans mes poches. Qui est cette personne qui me fait ça ? Pourquoi maintenant ? Un fantasme qu'un dieu paillard et libidineux veut me voir réaliser ? Sans que je sache pourquoi, elle enlève ses mains… et me dis : pour 50 $ je peux te faire plaisir comme et comment tu veux. Je lui réponds que j'aimerais beaucoup, mais que je ne suis pas seul et que j'aime bien cette personne et que… elle comprend !

 

" Je suis désolé pour toi… si tu savais ! ", qu'elle dit.

 

La file se met à avancer, la porte est enfin ouverte. Je reviens à ma table quelques instants plus tard sans avoir rien fait de ce que je voulais faire. Cette jolie putain m'a complètement troublé et j'ai toujours le désir au plafond.

 

Ma femme était là, une main sur sa poitrine, les yeux dans le magazine… surement un article intitulé : " Comment faire crouler votre homme sous le plaisir ? " Vous savez, ces magazines…

 

Nous mangeons notre dernier repas de la journée dans une ambiance plutôt chaude et légère. On se regarde dans les yeux avec la sensation très forte qu'il va se passer quelque chose d'assez passionné ce soir…

 

Nous avons bien mangé. Il est temps de se retirer dans notre chambre.

 

La chambre est assez bien aménagée. Petite mais confortable.

 

- " Retourne toi, je me change ! "

 

Ah bon…

 

À son " OK ", je me retourne. Elle avait une de ses chemises de nuits… oh là là ! Cette chemise, décolletée à souhait, me laissa complètement baba. Ses seins étaient en évidence comme jamais. On pouvait voir ses courbes, on pouvait voir la forme de son entre jambes, c'était si évident. C'était magnifique !

 

Dumigron4Elle me fit signe d'approcher. Tranquillement, elle défit le premier bouton de ma chemise. Ses mains douces et habiles… lorsqu'elle ma chemise laissa place à mon torse nu, elle y mit ses mains… me caressa et me pinça fortement le bout de mes tétons, ma caresse secrète, celle qui me fait toujours bander… et elle m'embrasse langoureusement. Nos lèvres entrèrent en un commun accord. La chaleur de sa langue autour la mienne, les doigts torturaient mes bouts, ses hanches collées sur les miennes… c'était une sensation de chaleur intense. Tout se passa si rapidement mais avec une intensité si profonde que…

 

Elle mit ses jambes autour des miennes en un petit saut. Je fis quelques pas afin de la mettre sur le lit. La bosse de mon pantalon caressait tranquillement sa fourche. Elle se rassit sur le lit, j'étais debout. Elle défit mon pantalon, mon boxer, j'enlevais mes chaussures et mes chaussettes. En un sourire béat, elle prit ma verge à deux mains. Ses mains chaudes et douces commencèrent à me caresser tranquillement de haut en bas. Elle m'apprivoisa… lorsque, yeux fermés, je sentis une chaleur qui enveloppa ma verge. Une succion… le plaisir monta. Les mains dans sa chevelure, elle s'y donna à cœur joie. Un doigt se faufila derrière mes fesses, par réflexe je m'ouvris pour lui permettre l'accès à mon intime trou. Elle me goutait avec tant de désir. Elle ne pouvait tout m'avaler, mais elle essaya tant elle me voulait entièrement. Ses lèvres mouillées… le plaisir monta tellement tranquillement. Je sentais la sensation monter si lentement, si longuement… ce plaisir était si intense… tout sortit d'un coup dans un cri de joie. Elle prit tout dans sa bouche. Elle ne laissait rien passer, elle gobait tout, il en avait ! La tête en arrière, le cri diminua pour n'être plus que lourd grondement au fonds de ma gorge.

 

- " C'est mon tour… et fais-moi jouir ! Je te veux… juste ici ! Lèche-moi jusqu'à plus soif ! "

 

À genoux, ses jambes sur mes épaules, je lui caressais les cuisses avec mes deux mains. Sa chatte m'était offerte tout entière. Je lui chatouillais doucement le contour de son vagin. Je la faisais souffrir, je la faisais languir de plaisir. Elle n'aimait pas ça mais elle en redemandait.

 

- " Caresse-moi, aime-moi, mange-moi ! "

 

Pourquoi pas : la cerise sur le sundae, le miel sucré en abondance, je la mangeais gloutonnement. J'aimais lui procurer ce plaisir. Elle flottait ! Elle ne laissa qu'une jambe sur mon épaule. Cela me permit de lui caresser d'une main son ventre. Elle se cambre, elle vibre, elle souffre le martyr. Elle aime tellement ça et moi qui la déguste de toute la qualité que je me connais. Son ventre frissonne, son corps m'est offert à la caresse. La langue sur son poing sans bouger, je la sens qui se mouille à une vitesse car elle gémit très fort… elle me donne l'envie comme jamais.

 

Je la glisse plus profondément dans le lit en me préparant à la pénétrer tranquillement. Ce brusque changement l'étourdit, mais je n'en peux plus. Tranquillement, le gland pénètre ce château de plaisir. Millimètre par millimètre il entre et moi je m'allonge en même temps sur son corps. Des goûtes de sueur perlent sur son corps. Ses cheveux mouillés font ressortir l'odeur charnelle si propre à une femme. Le va-et-vient se fait très doucement. Je sors presque complément et je la pénètre de nouveau aussi tendrement afin de vivre en détails ce que cela peut m'offrir. Je la prends de tout son corps. Pendant ce qui me semble des heures, tout en s'embrassant de petits baisers sur tout le visage, je me glisse entre elle de ma longue et chaude verge. On s'emballe un peu, on rougit de se voir se donner tout ce plaisir avec une harmonie si grandiose. La musique de nos gémissements pénètre tous nos sens. Elle pousse de petites cris de palisir… et je continue, j'en veux toujours plus. Je ne freine pas mes pulsions… je poursuis ce voyage entre ses jambes.

 

- " Allez, viens finir dans mon cul ! "

 

 

Je m'enfonce facilement dans ce trou charmant, je bouge et je bouge encore, elle est en nage, elle gémit, la tension est trop forte. Je jouis ! Je jouis si longuement, j'ai l'impression d'avoir une rivière qui sort. Je suis étourdi. Je me rends compte que je respire si fort !

 

Elle est radieuse, me sourit, elle regarde ma bite, maculée de sperme et de merde. Sa bouche pulpeuse à tout nettoyé.

 

Il fait un peu froid, en fait, on grelote. Le sourire au visage, on s'embrasse. Face à face, on s'endort..

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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