Dumigron

Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 06:50

Une fille qui mène du train par Dumigron

sperm stamp

 

Je me demandais comment et quand je pourrais bien raconter cette histoire folle qui m'est arrivée, et bien voilà que vous, chers internautes, vous allez goûter un peu aux plaisirs et aux passions qui m'ont traversé lors de cette expérience.

 

Vous savez, quand votre ex petite amie vous appelle, c'est ou bien pour avoir des nouvelles, ou bien pour baiser car elle est en manque. Quel hasard, j'en avais besoin aussi. Pour mettre un peu de folie dans notre rencontre - nous nous sommes lassés il y a quelques années - il nous fallait trouver quelque chose d'exceptionnel. Pourquoi pas un voyage ? Ok ! Après quelques hésitations, nous avons décidé de prendre le train en direction de Barcelone afin d'aller manger dans un chic restaurant, voir une zarzuela et peut être se rafraichir les sens.

 

Elle portait une robe fleurie jusqu'aux genoux et des sandales aux pieds. Sa robe était franchement entrouverte au-devant, il faisait vraiment chaud. En effet, en cette belle journée de fin de printemps, les tenues légères étaient de mise. Lorsqu'elle marchait, son buste vaguait au rythme de ses pas… ce qui me subjuguait. Je l'ai observé pendant un bon moment pendant qu'elle achetait des magazines au kiosque de la gare. Sa chevelure blonde attachée, son sourire, sa joie de vivre… voici comment le romantique en moi voyait les choses. Son cul ferme, ses petits seins ballotant, ses cuisses fraîches et ses mains agiles… voici comment le baiseur en moi voulait ces choses.

 

Vu que nous étions un peu gênés, et surtout que ni l'un ni l'autre ne voulait faire le premier pas, nous nous sommes presque dévorés des yeux pendant toute la durée du voyage. Assise devant moi, en train de lire son magazine sur la mode, je devinais que, sous la tablette du train, ses jambes étaient complètement entrouvertes. Peut-être inconsciente de son désir de me recevoir ou peut-être une invitation à une chaude passion… en tous les cas, elle me faisait un effet d'enfer. Ça me faisait mal tant mon engin poussait le tissu de mon pantalon de coton. Il fallait que j'aille décharger mon fusil, sinon j'aurais tout envoyé dès les premières secondes lors de la baise future.

 

Je la laisse lire pendant que je me dirige vers la toilette la plus proche. Evidemment, le train bouge beaucoup et les couloirs sont étroits. La marche est assez compliquée si l'on ne veut pas bousculer personne. Une file d'attente pour traverser au prochain wagon… la porte est coincée ! Inutile de me retourner, déjà plusieurs personnes se sont placées derrière moi. Malheureux ? Non ! Une jolie rousse aux longues jambes galbées s'est placée derrière moi en file. Nous sommes un peu trop serrés mais juste assez pour sentir ses seins moelleux sur mon dos. Je frissonne et elle s'en aperçoit. Le train bascule un peu… elle se place de façon à presque m'envelopper tout l'arrière. Ses hanches se frottent tranquillement et ses mains se mettent sur mes hanches. Pendant qu'elle respire un peu plus fort et un peu plus près de mon oreille, elle met ses mains dans mes poches. Qui est cette personne qui me fait ça ? Pourquoi maintenant ? Un fantasme qu'un dieu paillard et libidineux veut me voir réaliser ? Sans que je sache pourquoi, elle enlève ses mains… et me dis : pour 50 $ je peux te faire plaisir comme et comment tu veux. Je lui réponds que j'aimerais beaucoup, mais que je ne suis pas seul et que j'aime bien cette personne et que… elle comprend !

 

" Je suis désolé pour toi… si tu savais ! ", qu'elle dit.

 

La file se met à avancer, la porte est enfin ouverte. Je reviens à ma table quelques instants plus tard sans avoir rien fait de ce que je voulais faire. Cette jolie putain m'a complètement troublé et j'ai toujours le désir au plafond.

 

Ma femme était là, une main sur sa poitrine, les yeux dans le magazine… surement un article intitulé : " Comment faire crouler votre homme sous le plaisir ? " Vous savez, ces magazines…

 

Nous mangeons notre dernier repas de la journée dans une ambiance plutôt chaude et légère. On se regarde dans les yeux avec la sensation très forte qu'il va se passer quelque chose d'assez passionné ce soir…

 

Nous avons bien mangé. Il est temps de se retirer dans notre chambre.

 

La chambre est assez bien aménagée. Petite mais confortable.

 

- " Retourne toi, je me change ! "

 

Ah bon…

 

À son " OK ", je me retourne. Elle avait une de ses chemises de nuits… oh là là ! Cette chemise, décolletée à souhait, me laissa complètement baba. Ses seins étaient en évidence comme jamais. On pouvait voir ses courbes, on pouvait voir la forme de son entre jambes, c'était si évident. C'était magnifique !

 

Dumigron4Elle me fit signe d'approcher. Tranquillement, elle défit le premier bouton de ma chemise. Ses mains douces et habiles… lorsqu'elle ma chemise laissa place à mon torse nu, elle y mit ses mains… me caressa et me pinça fortement le bout de mes tétons, ma caresse secrète, celle qui me fait toujours bander… et elle m'embrasse langoureusement. Nos lèvres entrèrent en un commun accord. La chaleur de sa langue autour la mienne, les doigts torturaient mes bouts, ses hanches collées sur les miennes… c'était une sensation de chaleur intense. Tout se passa si rapidement mais avec une intensité si profonde que…

 

Elle mit ses jambes autour des miennes en un petit saut. Je fis quelques pas afin de la mettre sur le lit. La bosse de mon pantalon caressait tranquillement sa fourche. Elle se rassit sur le lit, j'étais debout. Elle défit mon pantalon, mon boxer, j'enlevais mes chaussures et mes chaussettes. En un sourire béat, elle prit ma verge à deux mains. Ses mains chaudes et douces commencèrent à me caresser tranquillement de haut en bas. Elle m'apprivoisa… lorsque, yeux fermés, je sentis une chaleur qui enveloppa ma verge. Une succion… le plaisir monta. Les mains dans sa chevelure, elle s'y donna à cœur joie. Un doigt se faufila derrière mes fesses, par réflexe je m'ouvris pour lui permettre l'accès à mon intime trou. Elle me goutait avec tant de désir. Elle ne pouvait tout m'avaler, mais elle essaya tant elle me voulait entièrement. Ses lèvres mouillées… le plaisir monta tellement tranquillement. Je sentais la sensation monter si lentement, si longuement… ce plaisir était si intense… tout sortit d'un coup dans un cri de joie. Elle prit tout dans sa bouche. Elle ne laissait rien passer, elle gobait tout, il en avait ! La tête en arrière, le cri diminua pour n'être plus que lourd grondement au fonds de ma gorge.

 

- " C'est mon tour… et fais-moi jouir ! Je te veux… juste ici ! Lèche-moi jusqu'à plus soif ! "

 

À genoux, ses jambes sur mes épaules, je lui caressais les cuisses avec mes deux mains. Sa chatte m'était offerte tout entière. Je lui chatouillais doucement le contour de son vagin. Je la faisais souffrir, je la faisais languir de plaisir. Elle n'aimait pas ça mais elle en redemandait.

 

- " Caresse-moi, aime-moi, mange-moi ! "

 

Pourquoi pas : la cerise sur le sundae, le miel sucré en abondance, je la mangeais gloutonnement. J'aimais lui procurer ce plaisir. Elle flottait ! Elle ne laissa qu'une jambe sur mon épaule. Cela me permit de lui caresser d'une main son ventre. Elle se cambre, elle vibre, elle souffre le martyr. Elle aime tellement ça et moi qui la déguste de toute la qualité que je me connais. Son ventre frissonne, son corps m'est offert à la caresse. La langue sur son poing sans bouger, je la sens qui se mouille à une vitesse car elle gémit très fort… elle me donne l'envie comme jamais.

 

Je la glisse plus profondément dans le lit en me préparant à la pénétrer tranquillement. Ce brusque changement l'étourdit, mais je n'en peux plus. Tranquillement, le gland pénètre ce château de plaisir. Millimètre par millimètre il entre et moi je m'allonge en même temps sur son corps. Des goûtes de sueur perlent sur son corps. Ses cheveux mouillés font ressortir l'odeur charnelle si propre à une femme. Le va-et-vient se fait très doucement. Je sors presque complément et je la pénètre de nouveau aussi tendrement afin de vivre en détails ce que cela peut m'offrir. Je la prends de tout son corps. Pendant ce qui me semble des heures, tout en s'embrassant de petits baisers sur tout le visage, je me glisse entre elle de ma longue et chaude verge. On s'emballe un peu, on rougit de se voir se donner tout ce plaisir avec une harmonie si grandiose. La musique de nos gémissements pénètre tous nos sens. Elle pousse de petites cris de palisir… et je continue, j'en veux toujours plus. Je ne freine pas mes pulsions… je poursuis ce voyage entre ses jambes.

 

- " Allez, viens finir dans mon cul ! "

 

 

Je m'enfonce facilement dans ce trou charmant, je bouge et je bouge encore, elle est en nage, elle gémit, la tension est trop forte. Je jouis ! Je jouis si longuement, j'ai l'impression d'avoir une rivière qui sort. Je suis étourdi. Je me rends compte que je respire si fort !

 

Elle est radieuse, me sourit, elle regarde ma bite, maculée de sperme et de merde. Sa bouche pulpeuse à tout nettoyé.

 

Il fait un peu froid, en fait, on grelote. Le sourire au visage, on s'embrasse. Face à face, on s'endort..

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 19:13

Une séance de sauna particulière par Dumigron

Stamp sodo

Là où je travaille, il y a, au sous-sol, une salle de sports, avec tous les appareils de musculation possibles, ainsi qu'un sauna pour 2 à 3 personnes maxi. Les murs, très hauts sont couverts de miroirs et de barres de danse.

 

La semaine dernière, je descends dans cette salle, comme je le fais quelquefois l'après-midi vers 15 heures. Ce n'est pas vraiment autorisé, même pas du tout, mais il est juste interdit de se faire prendre. J'arrive donc dans la salle, et je m'aperçois que la lumière est allumée. Bizarre à cette heure. Je ne fais pas de bruit, je me dirige vers les vestiaires hommes, et en passant devant les vestiaires femmes, j'entends une douche couler. Je pousse doucement la porte et je m'approche de la douche du fond. Je me penche un peu et je jette un coup d'œil sous les portes style western. Je vois d'abord deux pieds et mon regard remonte vers l'intimité de cette inconnue. Je peux admirer une toison pleine de mousse et une main qui s'affaire dessus. Dessus et dedans d'après ce que je vois aux doigts qui entrent et qui sortent. Je suis super excité, mais pas assez gonflé pour oser me faire voir. Je ressors donc du vestiaire femmes et vais me déshabiller dans mon vestiaire pour aller au sauna. Ma queue est tendue à son maximum tant je suis encore excité par cette vision de rêve.

 

J'entre donc dans le sauna et je m'allonge sur la banquette supérieure. Les bancs sont, comme dans beaucoup de sauna, faits avec des lattes de pin. Je m'allonge sur le ventre, à même le bois brûlant et je laisse ma queue encore raide se glisser entre deux lattes. Humm quelle agréable sensation. Je suis en train de repenser au corps superbe de cette femme sous sa douche quand la porte s'ouvre. La même femme se présente dans l'entrebâillement, nue, la serviette à la main. Elle vient en fait de prendre une douche fraîche entre deux séances de sauna, et se croit encore seule. Quand elle me voit, elle pousse un petit cri de surprise et se cache avec sa serviette rose. Je lui souris, surpris moi aussi, et la salue. Je suis toujours nu, et ma position avec ma queue coincée entre deux lattes m'empêche de me recouvrir avec ma serviette.

 

Tant pis, je reste ainsi sans oser bouger. Elle répond à mon salut et s'allonge sur la banquette inférieure, sur le dos. Nous échangeons quelques banalités, " le sauna n'est pas trop chaud aujourd'hui " etc. pourtant il est quand même à 85°.

 

Le silence retombe et nous commençons à suer. Tout à coup, je sens une chaleur différente du bois sur ma queue qui a ramolli depuis tout à l'heure. C'est une main, " sa main ", qui glisse doucement dessus. Je n'en crois pas mes sens. Cette femme, qui avait l'air gênée tout à l'heure est en train de me caresser la queue. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je rebande de plus belle et la main me branle carrément. Je laisse tomber mon bras vers le banc inférieur et je passe ma main sur le corps de ma branleuse. Je fais glisser sa serviette et je peux admirer de près ce corps superbe. Elle est blonde, mais une fausse blonde, car son pubis est bien noir et bien taillé. A peine un petit triangle qui s'arrête avant les lèvres. Ses seins sont petits, comme je les aime, et assez fermes pour son âge. Elle doit avoir environ 45 ans, soit peut-être 5-6 ans de plus que moi.

 

Ma main passe de ses seins à son sexe avec douceur, et mes doigts commencent à s'activer dans son intimité. Elle pousse de petits gémissements de plaisir et écarte bien les cuisses. De mon côté, je suis au bord de l'extase. Elle lâche mon sexe, et se relève. Je m'assois sur le banc face à elle, la queue violacée, prête à exploser. Nos corps sont trempés de sueur. Elle se penche un peu et commence à me sucer. C'est un délice, elle prend ma queue jusqu'au fond de sa gorge, me masse les couilles et avec son autre main, m'enfonce un doigt puis deux dans l'anus. Je n'en peux plus, je me vide dans sa bouche, et quand elle sent mon liquide chaud, elle se retire vite. Elle n'a pas l'air d'apprécier le gout du sperme. Elle s'essuie sur mes cuisses et me pousse pour prendre ma place. Elle écarte la cuisse et je n'ai pas besoin d'explications pour fourrer ma tête et surtout ma langue au fond de sa chatte. Ses lèvres sont couvertes d'un mélange de sueur et de jouissance et c'est délicieux. Je fais comme elle et lui enfonce deux doigts dans le cul. Elle jouit très vite en se cambrant.

 

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Elle descend de son perchoir, et me présente ses fesses. Heureusement le fait de lui sucer le minou m'a redonné de la vigueur, et je la pénètre tout doucement. Ma queue entre très facilement tant elle est mouillée. Nous faisons l'amour de longues minutes et elle jouit encore. Je sors de ce trou douillet et me présente vers son autre petit trou. Elle a l'air d'en avoir très envie car elle s'appuie contre ma queue, qui entre presque aussi facilement que dans sa chatte. Humm, quel plaisir de sentir ma queue serrée dans son petit cul. Nous baisons comme des bêtes, je lui caresse les seins et elle me caresse les couilles. J'explose en elle et nous ne bougeons plus pendant 1 ou 2 minutes, sans dire un mot. Je me retire, et nous nous frottons l'un contre l'autre. Nous sortons de cette atmosphère étouffante et brûlante pour aller prendre une douche.

 

Je lui ai proposé de nous revoir, elle a refusé m'indiquant que c'était l'occasion qui faisait le larron !

 

Tant pis ! Quel pied c'était en tous les cas !

 

Dumigron

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Vendredi 3 août 2018 5 03 /08 /Août /2018 07:29

Dumigron à Sevilla
par Dumigron

Gode stamp

Attention, âmes sensibles ! Ce récit contient pas mal de scato 

  Thèmes abordés :bisex masculine, bizarre, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, exhibition, feuille de rose, party, scato, transsexuelles, uro, voyeurisme.

Hier soir, j’étais invité à une soirée dans une salle louée à Sevilla par Fédérico Ibanez, un copain artiste peintre. C’est un jeune créateur de 22 ans, il est brun, bronzé, possède de fines moustaches à la Freddy Mercury, il a une jolie bite et des petites fesses musclées avec un trou du cul qui est un régal pour les suceurs de fions. Il peint des corps d’hommes nus sur des fonds psychédéliques.

Comme tous les artistes, il a un petit grain, il a récemment écrit au Vatican pour proposer au conservateur de la chapelle Sixtine d’en repeindre la voûte. Il en est à la quatrième confirmation et fulmine de ne pas avoir de réponse en faisant de grands gestes avec les bras :

– C’est oune complot ! C’est oune complot contre les vrais artistes !

L’ambiance était chaude tout comme le temps ! Les modèles ayant servi à son inspiration et ses réalisations étaient là, se promenant à moitié à poil parmi les invités. Il y en avait des bruns, des blonds, des noirs, des asiatiques… quelques femmes aussi ainsi que des transsexuelles. Toute cette population de joyeux obsédés gravitant autour de moi et le champagne aidant, mon sexe se mit rapidement en érection dans mon jean. (J’étais venu en décontracté, basquets, jean, tee-shirt moulant).

Tout se passait bien, la soirée avançait dans la nuit, des DJ’s prometteurs tentaient de survolter l’atmosphère qui se fit plus intimiste au fil du temps Les modèles dansèrent sur des podiums pendant que nous nous trémoussions à leurs pieds, sauf pour les plus hardis ou plus exhibitionnistes qui les rejoignirent sur les podiums.

Une exhibition étaient prévue, un magnifique black monta sur le podium, finit de se déshabiller et jouât avec sa grosse bite qui se mit à grossir démesurément, puis il se tourna et nous fit des mouvements en se trémoussant avec son cul, il s’écarta ses globes fessiers et s’introduisit un doigt dans son trou du fion sous les applaudissements frénétiques de l’assistance excitée. Il ne quitta pas la scène et fût rejoint par un asiatique nettement moins bien monté, mais mignon. Si sa bite n’avait rien d’une bête de concours, son cul sans poil et enduit d’huile était bien bandant. Il se pencha pour sucer la bite du black. Quand celle-ci eut atteint une rigidité optimale, il se tourna, s’écarta le fion et aida son complice à le pénétrer. Joli spectacle, mais j’aurais volontiers pris la place de cet asiatique.

Je me rends aux toilettes, il y a un petit attroupement autour d’une fausse blonde aux yeux bleus coiffée avec une queue de cheval et complètement à poil, qui accroupie, se fait pisser dessus par trois mecs. Elle a la bouche ouverte et avale tout ce qu’elle peut. Elle me fait signe de rejoindre le groupe. Pas de problème, je sors ma bite et je l’arrose. Assez vite les bites s’arrêtent de pisser, alors la nana choisit l’une des queues et commença à la sucer… et comme ce n’était pas la mienne je sorti des toilettes.

Je me tamponne dans une créature rousse aux seins nus dont j’ignore si c’est une transsexuelle ou une femme. Elle me demande si je veux gouter à sa bite. Répondant par l’affirmative, la rousse soulève sa longue jupe en crêpe et m’exhibe un magnifique gode-ceinture. J’ai beaucoup de perversions mais pas encore celle de sucer du plastique, par contre je veux bien l’objet dans mon cul. J’explique tout ça à la petite dame qui n’attend pas que j’ai fini de lui répondre, me fais me retourner, m’administre quelques tapes sur les fesses, puis s’introduit dans mon fondement. Ce doit être une spécialiste parce qu’elle ne se débrouille vraiment pas trop mal, même si ça ne vaut pas une bonne bite bien en chair. Je l’aurais bien enculé à mon tour, mais quand elle fut lassée de me pilonner elle jeta son dévolu vers la blonde qui sortait des toilettes. Pas bien grave…

Je suis retourné aux toilettes un peu après, forcément quand on boit, on pisse, je m’approche de l’urinoir et mon voisin me propose de me la tenir, ce que j’accepte volontiers, quelques secondes plus tard, il se baissait pour me sucer tout en avalant une partie de ma pisse. Une fille dans le fond dit quelque chose à la cantonade, je n’ai pas compris le début, mais pour la suite elle demande si des gens sont intéressés. Je rejoins donc cette énigmatique personne qui explique qu’elle va chier par terre, mais que si un volontaire veut bien lui servir de réceptacle, ce serait encore meilleur. J’ai failli y aller mais me suis fait bruler la politesse par une belle femme mature qui très vite s’est allongée par terre après s’être débarrassée de ce qui lui restait de vêtements. La fille s’est accroupie au-dessus des seins de la mature et à commencer à chier un long boudin qui se détacha et tomba sur ses nichons. La chieuse avança de dix centimètres faisant chuter le second étron qui lui dégringola sur le visage. La fille se releva et demanda un volontaire pour lui nettoyer le cul de sa langue, rapide comme l’éclair, je fu le premier sur le terrain et m’empressais de lécher tout cela, sa merde avait fort bon goût. Pendant ce temps-là la mature se tartinait le corps avec la matière de sa main gauche tout en se branlant de la main droite et en demandant si on pouvait lui pisser dessus afin de rendre tout cela plus fluide.

Il était quatre heures du matin quand je me suis écroulé dans un sofa (en cuir) dans un coin. Juste derrière celui-ci dans une zone non éclairée deux invités, une transsexuelle black et un blondinet un peu efféminé se branlaient mutuellement et tranquillement. Ce dernier qui me voyait mater depuis cinq bonnes minutes, m’invita à les rejoindre, je vins à leur côté, me laissant déshabiller par ces deux pervers à grosses bites. Mon sexe étant bandé au maximum, la trans black qui se prénommait Georgia me branla rapidement mais sensuellement puis avala mon sexe de tout son long, j’étais aux anges, l’autre, Felipe passa derrière moi, me frotta son sexe sur mes fesses puis s’agenouilla pour me sucer ma rondelle afin de me lubrifier pour me pénétrer d’un doigt puis deux, puis trois. Que c’était bon !

Mon cul se trémoussait de plaisir et mon sexe était prêt à exploser mais les deux se retirèrent à temps pour ne pas me faire éjaculer si vite. Felipe me présenta alors le doigt qui m’avait pénétré et qui était pollué de matière brune, je le léchais bien volontiers pour le rendre tout propre.

Pour patienter Georgia qui me préparait le cul me proposa de la sucer pour le remettre en « forme » et le lubrifier de ma salive pour que la reprise se passe bien. Felipe approcha aussi sa bite que je pris en bouche. C’était génial.

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Après m’avoir laissé jouer quelques instants avec leur bite ils repartirent de plus belle là où ils m’avaient laissé, ils me mirent à quatre pattes, Georgia, la trans black couchée devant moi pour que je la suce à fond pendant que Felipe allait me pénétrer. Nous nous sommes rapidement synchronisés pour qu’à chaque pénétration j’avale à fond la bite que l’on me présentait. Nous étions si synchrones que mon cul fut rempli de sperme au moment même où l’autre se déchargeait dans ma bouche, je me sentais plein de foutre mais j’avalais sans broncher

Puis ils s’intervertirent, Georgia me pénétra tandis que Felipe me présentait sa bite toujours encapotée et recouverte de taches de merde. Il se cru obligé de m’xpliquer que c’était ma merde qu’il avait sur le latex et que ça l’exciterait si j’étais capable de rendre propre tout ça, pendant que l’autre m’éclatait le cul avec sa bite démesurément plus grosse que son prédécesseur. Je fis donc comme demandé

Après avoir éjaculé en même temps en moi une nouvelle fois, ils se rhabillèrent et partirent. C’est alors que l’asiatique qui était sur le podium s’approcha de moi, il s’appelait Liou, et me demanda tout de go si je voulais bien l’enculer, mais auparavant, il souhaitait que je lui lèche le fion. Pas de problème, j’adore lécher les fions, je l’humectais bien de ma salive, me régalant de son odeur cacateuse, puis je le sodomisais, cadençant mes pénétrations au rythme de la disco. Ensuite je m’endormis sur le canapé (en cuir) après quelques coupes de champagne (excellent)

Le lendemain matin, ce fut la douceur de la salive de mon pote Fédérico sur mon gland découvert qui me réveilla, nous étions seuls dans son loft. Il s’arrêta de me sucer pour m’expliquer que j’aurais dû l’appeler hier soir lors de mon aventure avec ses deux étalons mais il me dit que désormais je lui appartenais, sauf si j’avais une objection. Je m’aperçu à ce moment-là qu’il m’avait attaché les pieds et poignets au chambranle du canapé comme une bête que l’on sacrifie pour pâture à un ours, et comme je n’objectais rien du tout, afin de lui laisse ses illusions le temps que l’on s’amuse un peu, il se remit à me branler tout en me suçant le bout du gland

Malgré mon réveil proche je me remis à bander fort, il me goba alors le sexe sur toute la longueur puis se retira et parti chercher je ne sais quoi, il revint avec des pinces de dessin pour tenir les feuilles sur son chevalet et me les fixa sur mes tétons, la douleur me fit crier et bander à la fois

Voyant que cela m’avait excité, il m’en plaça une très délicatement sur le frein de mon sexe, ce qui me fit hurler et me tordre de douleur, il la retira rapidement et reprit mon sexe dans sa bouche, sa salive était abondante et ses aller-retour sur mon sexe se faisaient rapidement ne voulant me faire exploser dans sa bouche il arrêta, approcha son sexe de ma bouche pour que je le suce, il me dit de bien le lubrifier car après il me ferait une petite visite rectale

Son sexe grandissait à vue d’œil, il recula, détacha mes liens des pieds, me fit basculer sur le dos jambes vers le ciel, approcha, écarta mes fesses, me cracha sur l’anus puis me pénétra de toute sa longueur, il resta enfoncé jusqu’aux testicules sans bouger pendant quelques secondes et commença ses aller-retour, je le sentais rentrer et glisser avec une facilité déconcertante au fond de mon anus, il vint rapidement dans mon cul se retira puis me fit sucer et nettoyer la capote (décidemment ce doit être une nouvelle mode) des traces de merde puis il s’approcha de mon sexe, le branla quelques instants afin de déclencher l’éjaculation que je contenais depuis le début

Il m’embrassa, me détacha et après une bonne douche commune où après nous être mutuellement pissés dessus comme des petits cochons, je pu jouer avec le jet de la douche sur son sexe, il m’interpella : Cet abruti voulait que je lui signe un papelard officialisant le fait, que désormais je lui appartenais. Je n’appartiens à personne, connard, lui répondis-je, avant de rentrer chez moi satisfait de cette soirée et impatient de repartir pour une autre soirée artistique. (poil à la bite qu’à la trique !)

© Dumigron  (prononcez doumigrone en roulant les R)

Une version de cette nouvelle était parue sur le site de revebebe en 2001. Ils ne l’ont pas conservé. Cette republication a été modifié pour le site de Vassilia en 2009 et en 2018

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:18

Viviane n’est pas commode
par Firmin Dumigron

 

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Bonjour, j’ai la trentaine et suis technicien en informatique.

C’était au mois de juin, mes activités nécessitaient une mission d’une quinzaine de jours en province. Plutôt que de séjourner à l’hôtel mon entreprise m’avait proposé d’élire provisoirement domicile chez la responsable locale, qui vivant seule car divorcée et disposant d’un grand pavillon. Je n’ai pas eu mon mot à dire. La responsable en question est une très belle femme d’une quarantaine d’années, très élégante, fausse blonde et peut être à peine un tout petit peu ronde. Elle se prénomme Viviane, mais je n’ai pas su son prénom tout de suite.

De suite elle a mis les choses au point.

- La boite m’a proposé cette solution d’hébergement, je suppose que ça leur fait économiser des frais généraux, il n’y a pas de petites économies. Je n’ai pas pu refuser, mais bon ici ce n’est pas une pension de famille, vous prendrez donc vos repas ou vous voudrez mais pas ici, je tiens à rester chez moi…
- Même pas le petit déjeuner ?
- Il y a un café brasserie un peu plus loin ! Pour les toilettes et la douche il y a une salle de bain indépendante à l’étage. Et ne vous croyez pas obligé de me faire la conversation, on m’a imposé cette situation, pas la peine d’en rajouter.

On ne saurait être plus aimable.

Il y avait un poste de télévision dans ma chambre et je m’étais acheté un petit lecteur de DVD.

Elle ne venait jamais dans ma chambre et n’avait aucune raison d’y venir, mais on n’est jamais trop prudent. Mais ce soir-là elle m’avait prévenu qu’elle rentrerait tard et que je ne devais ouvrir à personne… bref les instructions d’usage. Me sentant libre j’avais décidé d’en profiter pour me livrer à de petits jeux érotiques et solitaires. En effet, je n’ai aucun goût pour les petites masturbations à la sauvette et j’aime m’organiser des mises en scène qui réclament du temps et de la tranquillité.

Donc après avoir glissé dans le lecteur de DVD, un petit film porno où une belle maîtresse fouettait deux esclaves soumis à grand renfort de coups de cravaches je m’étais attaché nu sur mon lit, pas vraiment attaché car mes mains et mes pieds étaient simplement passés dans des anneaux de corde juste assez étroits pour ne pas pouvoir s’en libérer trop facilement. C’est un petit jeu auquel je me suis déjà livré plus d’une fois et qui me procure toujours autant d’excitation. J’étais donc étendu, bras et jambes écartés, nu, des pinces aux seins et aux testicules et un bon gode vibrant dans le trou du cul. Cette situation me mettait vraiment dans tous mes états : je tremblais d’excitation et je bandais si fort que mon sexe en était presque douloureux. Je ne pouvais plus tenir et j’étais sur le point de libérer une de mes mains pour me soulager, le moindre contact sur mon sexe gonflé pouvant libérer mon plaisir…

C’est alors que Viviane rentrée prématurément et trompé par le son du DVD fit irruption dans ma chambre que j’avais eu l’imprudence de laisser entrouverte. Je l’ai vu apparaître devant moi, médusée par le spectacle que je lui offrais.

- Vous faites quoi exactement, là ? Demande-t-elle en s’approchant.

En entendant frapper, pris de panique, j’avais tenté maladroitement de me libérer sans y parvenir et j’étais devant elle en train de me contorsionner lorsque soudain j’ai senti que je commençais à jouir avec une violence que je n’avais jamais connue jusqu’alors. Tout mon corps se tendit comme un arc tandis que de longues giclées de sperme jaillissaient sur mon ventre tandis que je m’abandonnais au plaisir dans un sanglot sous le regard de Viviane. Elle était là debout devant ce lit où je gisais mort de honte, me sentant encore plus nu sous le regard de cette femme vêtue d’un tailleur strict et élégant, totalement impuissant à échapper à son regard.

Je me suis alors aperçu que du sperme avait giclé sur son tailleur.

- Vous me devrez le nettoyage de mon tailleur, espèce de gros dégueulasse ! S’écria-t-elle en me giflant deux fois de suite.
- C’est pas la peine de vous mettre dans des états pareils…
- Vous allez faire votre valise et me foutre le camp, et tout de suite.
- Attendez, on peut discuter, si vous pouviez me libérer…
- Parce qu’en plus vous vous êtes entravé, il faut vraiment être con !
- Personne n’est parfait.

Et la voilà qui au lieu de me défaire mes liens elle les resserre davantage. C’est à ce moment-là, que l’expression de ses yeux m’a paru étrange, la colère laissant place à autre chose… mais quoi ?

Elle se recule, enlève sa veste de tailleur.

- Tu m’en a même foutu sur mon chemisier, connard !

Elle le retire, et fait de même avec la jupe, la voici en sous-vêtement ! Pas mal roulée la meuf ! Y’a du monde dans le soutien-gorge !

Elle se dirige vers mon pantalon et en extrait la ceinture, elle revient avec en faisant une curieuse mimique.

- Alors comme ça, on joue au maso ?
- Ce n’est pas interdit.

Je n’ai pas vu arriver le coup de ceinture sur mon ventre.

- Puisque t’es maso, on peut peut-être s’amuser ! On va faire comme si j’étais ta maîtresse, une maîtresse très sévère, un peu comme la pétasse sur son DVD.

En voilà une idée, mais comme je viens de jouir, ma motivation n’est pas évidente, mais comment lui dire ?

- Non, ça ne te dit rien, je ne te fais pas bander ? Et si je te montrai mes nichons ?

Elle va le faire, elle le fait ! Mais c’est qu’ils sont magnifiques ses nénés, du coup popaul commence à se redresser.

- Ah, je me disais aussi, c’est mieux une vraie femme, non ? Et puis c’est quoi ce truc ?

Elle me désigne le gode qui est ressorti de mon cul.

- En plus il est tout merdeux ! Nettoie-moi ça si tu veux qu’on s’amuse !

Elle me le porte à la bouche, je n’éprouve aucune difficulté à le lécher ayant déjà fait ce genre de choses.

- Mais c’est qu’il aime ça, ce gros dégueulasse ! Tiens je vais te foutre mes doigts tu vas voir, ce sera meilleur que ton gode !

Et la voilà qui me doigte l’anus, le dilatant de plus en plus jusqu’à pouvoir y introduire deux puis trois doigts. J’ignore jusqu’où elle aurait pu aller si soudain, n’y pouvant plus tenir, elle n’avait renoncé à me pénétrer pour arracher son collant et sa culotte avant de venir s’empaler sur mon sexe.

Après quelques mouvements furieux tout son corps se tendit comme un arc et elle commença à gémir tandis que je sentais son vagin se contracter spasmodiquement autour de mon pénis ce qui me provoqua rapidement une nouvelle éjaculation. Déçue de sentir mon érection faiblir elle vint alors sur mon visage me faisant boire à la liqueur mêlée de mon sperme qui s’écoulait abondamment de son sexe ce qui l’excitait au plus haut point car elle eut très vite un nouvel orgasme.

PissFinger12.jpg

Elle s'immobilisa alors un moment, semblant se concentrer, puis me pissa soudain dans la bouche. N'étant pas contre cette fantaisie, c'est avec grand plaisir que je m'efforçais de recueillir sa bière chaude... Mais ne pouvant tout avaler au rythme où le liquide jaillissait, le lit finit par s'imprégner. Elle manifesta alors sa réprobation en me balançant quelques gifles (pas trop fortes, rassurez-vous) et en me crachant dessus, plusieurs fois de suite

 

- Ouvre la bouche, connard !.

 

Elle semble réfléchir quelques instants.

 

- De toute façon, il faudra refaire le lit.

 

Et la voilà qui revient au niveau de mon visage.

 

- Puisque tu aimes ma merde je vais t'offrir la mienne, je vais te chier sur la gueule.

 

Elle ne me demande pas mon avis, mais je n'ai pas protesté non plus.

 

Un joli boudin chaud et odorant se tortille à la sortie de son cul avant de m'atterrir sur le menton et de glisser dans mon cou. Elle me le retire, le porte à sa bouche, le lèche un peu avec un air de défi avant de me proposer d'en faire autant.

- Maintenant nettoie -moi le cul !

Je l’ai fait, elle m’a détaché.

- Je te laisse nettoyer tout ça ! Je vais t’apporter des draps propres, quand tu auras fini rejoint moi en bas, on boira un coup.

Le temps de faire tout ça, de prendre une douche rapide, elle m’attendait au salon revêtue d’un joli kimono en fumant une cigarette dans un fauteuil.

- Champagne ?
- Volontiers !
- Votre pyjama est très moche ! me dit-elle

Elle redevient elle-même, je ne réponds pas.

- Trinquons ! il est bien évident qu’il ne s’est jamais rien passé ! J’ai mis mes affaires tachées dans un sac plastique, vous les ferez nettoyer à vos frais.
- J’y comptais bien !
- Vous ferez aussi nettoyer les draps. Au fait, vous partez quand ?
- Dans une semaine.
- Il n’est pas impossible qu’il me prenne l’envie de jouer avec vous, mais je vous le ferais savoir.
- Bien !
- Au fait votre DVD, vous pouvez me le prêter
- Bien sûr !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Jeudi 2 août 2001 4 02 /08 /Août /2001 18:45

 Maria Isabel par Dumigron

 

StampCravate

 

 

Dumigron et Maria Isabel

Le mec est à côté de moi dans le train, il pue, il ne doit changer de slip que le dimanche ! Mais il est habillé très classe ! Le genre bien propre au dehors et crado sur lui, j’ai une pensée bizarre pour son sexe que j’imagine crade et plein de fromage ! Il a un sac en plastique à ses côtés. Il pique un léger roupillon et ce connard se met à ronfler en faisant un raffut du diable. Le train s’arrête soudain, il roupille toujours. Et puis il se réveille brusquement, se lève comme un diable surgirait d’une boite à surprise et quitte le train. Il a oublié son sac. Ah ! Ah ! Je jette un coup d’œil. Un whisky, pas n’importe quoi, du pur malt, un truc cheros. Sans doute un cadeau d’entreprise ! Ce sera pour ma pomme. Je suis célibataire depuis que Maria Isabel est partie avec Pedro… Je n’ai plus personne dans ma vie. Je pensais qu’elle continuerait à m’accepter après l’accident qui m’a légèrement défiguré. Elle a essayé quelques mois, puis elle a craqué, je ne lui en veux pas… Ne pouvant plus m’exprimer avec les femmes, j’ai essayé les hommes, les relations dans les coins d’ombres (voir Dumigron à Sévilla), mais ça me laisse un drôle d’arrière-goût !

Il est 23 h 00 ! J’ai bu toute la bouteille, la tête me tourne et un fantôme agresse mes pensées, un souvenir aux formes parfaites, Maria-Isabel.

Maria-Isabel flashe dans mes pensées..

Il y a des gens qui aiment la vie rangée. Je suis l’une de ces personnes. J’ai un bon travail. J’avais une belle petite amie, très perverse et qui me satisfaisait pleinement. Cependant, il est arrivé une aventure imprévue qui m’a bouleversée et qui a aussi bouleversé les valeurs que j’avais jusqu’à ce moment.

Cette année là j’étais venu poursuivre mes études à Paris. Il avait été décidé que j’habiterai chez une amie d’enfance de ma mère, Maria-Isabel, qui vit seule car divorcée et dispose d’un grand appartement. C’est une très belle femme d’une quarantaine d’années, très élégante, blonde et peut être à peine un tout petit peu ronde.

C’était un après-midi quand il fait trop chaud pour faire quoi que ce soit d’autre que la sieste. Nous étions allongés sur le lit à moitié endormis et nus quand l’envie de baiser m’a pris. J’ai commencé à caresser les doux bras de Maria-Isabel, puis constatant qu’elle ne me repoussait pas, j’ai poussé plus loin mes investigations. N’étant pas particulièrement portée sur ça, il me fallait souvent du temps avant de pouvoir l’exciter et lui faire l’amour. Mais ce jour-là devait être le bon, car elle me laissait faire. Doucement d’abord, puis avec plus de fermeté je lui caressais les seins, le cul et la chatte. Allongée sur le côté, ses fesses bien rebondie s’offraient à moi et pour bien lui faire sentir mon désir, je plaquais ma queue dressée contre son cul.

J’étais en boîte avec l’un de mes amis et nous avions bu plus que nécessaire, le scotch est l’un de mes péchés mignon. Loin de vouloir draguer les filles, je dois même avouer que je ne les regardais pas plus qu’il le faut. C’est pourquoi je fus surpris d’entendre une voix féminine qui me chuchotait à mon oreille :

 » Est-ce que tu voudrais danser?  »

Une danse ce n’est pas la fin du monde et ce n’est même pas tromper ma blonde. Je me suis donc levé et c’est là que j’ai remarqué la beauté éclatante de cette déesse. les cheveux roux naturel (j’ai vérifié) bouclé. Des seins généreux et fermes et surtout un cul qui m’hypnotisait. Nous avons commencé à danser et je me suis senti transporté. Il n’y avait plus de bar, plus de clients, plus de blonde, seulement elle et moi et une musique douce. Il était 3 h 00 et les slow venaient de commencer.

Un soir j’avais décidé de profiter de ce qu’elle m’avait dit devoir passer la nuit en province pour me livrer à de petits jeux érotiques et solitaires. En effet, je n’ai aucun goût pour les petites masturbations à la sauvette et j’aime m’organiser des mises en scène qui réclament du temps et de la tranquillité.

J’adore le sexe et l’ambiance était tellement propice qu’il me vint à l’esprit de lui proposer quelque chose d’un peu différent qu’à l’accoutumée. Je lui demandais donc de si elle voulait que je lui raconte des choses pendant que je la prendrais. Un peu surprise, elle me demanda quoi, mais je lui dis qu’elle verrait. A ma grande surprise, elle accepta. Mes caresses se firent plus précises, et mes doigts commençaient à jouer avec sa fente jusqu’à son petit trou. Elle me dit ne de ne pas faire ça. J’arrêtais aussi sec mais frottais plus rapidement encore sa chatte qui mouillait abondamment. C’est alors que je lui racontais une petite histoire qui allait me révéler sa vraie personnalité. Je lui dis d’imaginer que nous étions dans un coin tranquille de la forêt et que nous étions allongés à nous faire des câlins.

Seuls, je décidais alors de mettre ma main sous sa jupe et de caresser ses fesses, pendant qu’elle baissait mon short pour attraper ma queue et me branler gentiment. Je sentais que ma petite histoire commençait à lui faire de l’effet, car sa chatte devint plus chaude et plus mouillée et ses jambes s’écartèrent sensiblement. De mon côté, je me frottais à son cul, ma bite bien gonflée. Je lui dis alors d’imaginer qu’elle se mettait à quatre pattes et commençais à me sucer la bite, le cul en l’air. Là, elle a commencé à râler un peu, ça l’excitait vraiment ce que je lui racontais. Mais ce n’était qu’un début.

Je dois dire que je n’en revenais pas de ma chance. À peine avions nous commencé à danser qu’elle me regarde dans les yeux et qu’elle me dit :

– Ce soir tu vas découvrir la luxure !

Je ne suis quand même pas néophyte dans ce domaine mais là je dois dire qu’elle avait raison.

Ce soir là je m’étais attaché nu sur mon lit, pas vraiment attaché car mes mains et mes pieds étaient simplement passés dans des anneaux de corde juste assez étroits pour ne pas pouvoir s’en libérer trop facilement. C’est un petit jeu auquel je me suis déjà livré plus d’une fois et qui me procure toujours autant d’excitation. J’étais donc étendu, bras et jambes écartés, nu, offert depuis pas mal de temps et cela me mettait vraiment dans tous mes états : Je tremblais d’excitation et je bandais si fort que mon sexe en était presque douloureux. Je ne pouvais plus tenir et j’étais sur le point de libérer une de mes mains pour me soulager, le moindre contact sur mon sexe gonflé allait libérer mon plaisir. C’est alors que Maria-Isabel rentrée prématurément a frappé à la porte de ma chambre que j’avais eu l’imprudence de laisser entr’ouverte et que je l’ai vue apparaître devant moi, médusée par le spectacle que je lui offrais.Maria-Isabel

Les mots que j’employais devenaient plus crus et ça lui plaisait. Habituées à la tendresse elle découvrait que ça, ça lui plaisait aussi. J’en profitais donc pour lui enfiler ma queue, c’était un vrai bonheur, jamais elle avait autant mouillé. Moi aussi, émoustillé, je m’en donnais à cœur joie et la baisais tout en lui parlant. Je lui dis alors d’imaginer que quelqu’un nous regardait pendant qu’elle me suçait et à mon grand étonnement elle me demanda ce qu’il faisait. Je lui dis qu’il se branlait et cela lui fit pousser aussitôt pousser des petits cris d’excitation. Je décidais alors d’aller plus loin et lui dis que le gars venait vers nous, et qu’elle, maintenant sur moi, pouvait voir le mec en train de branler sa queue. Je vis alors à son regard lubrique que je ne lui connaissais pas alors, qu’elle voulait que ça aille plus loin. Je lui dis qu’il était si près d’elle qu’elle n’avait qu’à ouvrir sa bouche pour le sucer, ce qu’elle allait faire. Pendant ce temps, moi je la baisais et m’enfonçais avec vigueur dans sa chatte.

Elle m’embrassa longuement et j’ai senti une décharge de désir monter en moi. Je désirais cette femme, je la voulais, j’allais me la faire. Durant ces longs baisers, nos mains ne restèrent pas inactives. Elles se promenaient sur le corps de l’autre comme si nous étions seuls dans le bar. Je lui caressais les fesses, le dos, la nuque, les seins tout était merveilleusement beau. Elle de son côté n’hésitait pas à faire de même. Je senti mes fesses se faire pétrir avec envie et lorsque qu’elle dirigea sa main vers mon pénis, la réalité m’est revenue et je me suis rendu compte que nous n’étions pas seuls. Je senti plusieurs paires d’yeux qui nous fixaient. Je lui ai alors demandé si nous pouvions aller dans un petit coin tranquille.

En effet en entendant frapper, pris de panique, j’avais tenté maladroitement de me libérer sans y parvenir et j’étais devant elle en train de me contorsionner lorsque soudain j’ai senti que je commençais à jouir avec une violence que je n’avais jamais connue jusqu’alors, tout mon corps se tendit comme un arc tandis que de longues giclées de sperme jaillissaient sur mon ventre tandis que je m’abandonnais au plaisir dans un sanglot sous le regard de Maria-Isabel. Elle était là debout devant ce lit où je gisais mort de honte, me sentant encore plus nu sous le regard de cette femme vêtue d’un tailleur strict et élégant, totalement impuissant à échapper à son regard. Elle s’est alors approchée, s’est assise près de moi sur le lit et m’a saisi par les cheveux pour m’obliger à la regarder, m’expliquant que je devrais maintenant lui obéir si je voulais que cet “incident” ne vienne pas aux oreilles de mes collègues tandis qu’elle essuyait le sperme répandu sur mon ventre avec les doigts de son autre main qu’elle me fit ensuite lécher un par un malgré mes supplications.

Cette petite garce aimait ça et prenait vraiment son pied à imaginer la scène. J’avais offert un gode à mon ex en pensant que cela pourrait lui plaire (moyen en fait) je me dis que ce serais une bonne idée de m’en servir. Je lui ai dit de se caresser seule un instant et suis aller le chercher. Je me suis ensuite remis à côté d’elle et j’ai continué à lui parler. Je lui dis que le gars était bien excité et qu’il passait derrière elle pendant que moi je continuais de la baiser. Je lui ai mis le gode entre les jambes (il était de bonne taille) et le faisait aller et venir. Elle n’a même pas bronché et s’est laissé faire. Je poursuivis mon histoire et lui demandais si elle sentait cette queue qui lui caressait le petit trou. Elle me fit signe sans dire mot qu’oui. Moi j’avais pris ma bite et la faisais glisser sur son trou. Je lui dis qu’il allait l’enculer et tout en le disant, je m’enfonçais dans son cul tout serré. Elle ne résista même pas et aux traits de son visage je pouvais voir que cela lui plaisait.
Elle me dirigea vers une porte qu’elle ouvrit. Nous étions dans les escaliers de la sortie de secours. Elle m’arracha la chemise et se mis à m’embrasser avec rage. Je n’avais jamais senti autant de désir sexuel de ma vie. Je dois même dire que j’ai pris peur lorsque la porte s’est ouverte de nouveau et que deux autres filles sont apparues, j’ai senti que je perdrais le contrôle de la situation. En effet c’est ce qui est arrivé.

Prenant manifestement un vif plaisir à mon humiliation elle enfonçait doucement ses doigts gluants de sperme entre mes lèvres le faisant aller et venir doucement tandis que je sentais la liqueur épaisse et salée couler au fond de ma gorge; après un premier mouvement de dégoût cette sensation commençait à me procurer un vif plaisir qu’elle mit à son comble en se livrant au même jeu avec mon anus, le dilatant de plus en plus jusqu’à pouvoir y introduire deux puis trois doigts. J’ignore jusqu’où elle aurait pu aller si soudain, n’y pouvant plus tenir, elle n’avait renoncé à me pénétrer pour arracher son collant et sa culotte avant de venir s’empaler sur mon sexe…

La première continuait à me déshabiller tandis que les deux autres m’embrassaient partout. En moins de deux j’étais nu comme un ver. Ma jolie rousse me pris en bouche et il n’en fallu pas davantage pour que je bande au maximum. Les filles semblaient très heureuses de me voir ainsi. Ils se déshabillèrent et ma jolie rousse se coucha sur le dos, jambes ouvertes. Elle commença à se masturber devant nous. Il ne m’en fallait pas plus pour que je me jette sur elle et je la laboure comme jamais je ne l’avais fait. La deuxième fille alla se placer assis sur le visage de ma déesse rousse pour se faire manger et la troisième debout accepta la langue de la deuxième. Nous quatre étions dans une extase sexuelle que je n’avais jamais ressentie. On gémissait avec force, on a joui chacun notre tour. Mes demoiselles se sont levées et m’ont laissé seul. Je me suis rhabillé, j’ai ouvert la porte et je me suis rendu compte qu’il était 4 heures du matin. Quand je suis rentré, Maria-Isabel m’attendait. Elle m’a giflé deux fois, puis elle est partie se coucher en sanglotant. Je me suis affalé tout habillé sur le canapé. Le lendemain matin, elle m’a simplement dit :

– Je ne t’en veux pas, ça peut arriver, mais j’espère que si cela m’arrive aussi tu sauras te conduire…

J’ai voulu me changer les idées en allant rendre visite à ma mère. Elle fait parfois la pute sur Las Ramblas, ne la voyant pas je suis renseigné, et on m’a dit qu’elle était occupé avec un miché dans la chambre 14. Je suis montée, la porte n’était pas fermée elle était à poil en train de faire sauter un Equatorien. Elle m’a dit que je tombais vraiment bien parce que le fantasme de son client était de sodomiser un homme. Je n’ai pas voulu contrarier maman, j’ai sucé un peu le type et lui est tendu mes fesses. J’aime qu’on m’encule de temps en temps. Le mec a joui et est parti, il a dit aurevoir à ma mère mais pas à moi. Malpoli, va ! Ma mère rigolait, elle en a vu d’autres et voyant ma bite demi-molle a proposé de me la sucer, ma mère m’a toujours très bien sucé ! Elle m’a fait jouir avec sa langue de putain, et m’a réclamé de pouvoir prendre son plaisir à son tour. J’ai donc léché sa chatte charnue encore pollué du sperme de son miché.

Après quelques mouvements furieux tout le corps de Maria-Isabel se tendit comme un arc et elle commença à gémir tandis que je sentais son vagin se contracter spasmodiquement autour de mon pénis ce qui provoqua rapidement une nouvelle éjaculation. Déçue de sentir mon érection faiblir, elle vint alors sur mon visage me faisant boire à la liqueur mêlée de mon sperme qui s’écoulait abondamment de son sexe, puis elle lâcha plusieurs gouttes de son urine, J’avalais, ce qui l’excitait au plus haut point car elle eut très vite un nouvel orgasme… Maintenant la position elle se mit en demeure de vouloir me chier dessus. J’acceptais cette offrande, (que ne ferais-je pas pour la garder…) et puis sa merde est loin de me déplaire, d’ailleurs j’étais dans un tel état d’excitation que j’en ai léché un peu

Je suis rentré de l’hôpital, je demande à Maria-Isabel si elle m’aimera encore malgré mon nez cassé. Elle me répond oui. J’ai su qu’elle n’était pas sincère, j’ai su qu’elle aurait voulu être sincère, et j’ai su que j’avais été le roi des cons de lui poser une pareille question.

Non, il n’y a plus rien dans la bouteille…

Fin !

Postface :

La structure de ce récit n’est pas chronologique ! Je l’ai un peu fait exprès. .
D’ailleurs dans la conversation courante on ne raconte pas chronologiquement. Repensez à la dernière anecdote que l’on vous a raconté : « -Tu sais la dernière, Dolorès s’est mise en ménage avec Pedro ! (on commence par la fin), je vais te raconter ! (en fait, on ne raconte pas on résume) et puis attends, je vais te dire la meilleure…  » (et dans un troisième temps on va épicer l’anecdote de récits périphériques, il y en aura en principe plusieurs et évidemment ils ne seront pas chronologiques)

Amen

Dumigron (prononcez doumigrone en roulant les R)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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