Dumigron

Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 07:23

Drôle de jeu par Dumigron

Voy

Après avoir tourné les clés dans la serrure, j'ouvris la porte toute grande pour pénétrer dans mon appartement. Je n'avais qu'une seule idée en tête : prendre une bonne douche pour effacer les tourments d'une nouvelle journée de travail que je venais de terminer, et ensuite une bière devant la télé me ferait le plus grand bien. C'est en déposant les clés sur la table de l'entrée, que je crus entendre un bruit provenant de fond de l'appartement. À cette heure-ci ma nouvelle colocataire ne devait pas être rentrée, elle avait l'habitude de travailler tard le soir. Je tendis l'oreille de nouveau et perçus une fois de plus des gémissements sourds. Je déposai mon manteau dans la garde-robe de l'entrée et me rendis vers le fond de l'appartement d'où provenaient les sons. Silencieusement je me dirigeai vers une porte ouverte, d'où semblaient sortir ces murmures.

 

Puis je la vis. Elle était rentrée plus tôt manifestement. Elle était étendue de son long sur son lit, de côté et lui faisait dos. Selon toute apparence, elle ne m'avait pas entendu rentrer. Une main était glissée entre ses jambes et je pouvais facilement en conclure que ces gémissements étaient le fruit de son plaisir. Je l'observai un instant. Sous ses vêtements féminins je l'avais toujours trouvé attirante, et supposais qu'elle devait avoir de belles formes. Mes yeux s'illuminaient de plaisir à la regarder ainsi se caresser l'entre jambe. Elle était nue, ne pouvant que dévoiler ce que mon imagination avait si souvent rêvé.

 

Je murmurai d'une voix rauque : " besoin d'aide ? ". Ça m'avait échappé, sans doute parce qu'inconsciemment, j'espérais qu'après avoir constaté ma présence, elle m'inviterait à la rejoindre.

 

Elle arrêta brusquement ses caresses et se retourna subitement dans ma direction. Elle était vraisemblablement surprise de trouver quelqu'un dans l'entrebâillement de sa porte. Ne me faisant ainsi plus dos, elle offrait son corps nu entièrement à ma vue et j'eus envie de prolonger ce plaisir. Je demandai une deuxième fois : " besoin d'aide ? ".

 

La femme, surélevée sur son lit par son coude, me pria de prendre place sur la chaise face au lit.

 

- " Ne bougez pas, ne bougez surtout pas ! "

 

Je m'exécutai et retournai la chaise avant de m'asseoir face au lit, et par là même, à la femme. Elle s'approcha du bout du lit le plus proche de moi et s'assit à son tour, jambes pendantes sur le côté. Elle me fixa des yeux et arqua légèrement le bassin vers le haut, écartant les jambes, laissant entrevoir ses lèvres gonflées. Elle écarta ses jambes davantage et ses lèvres s'entrouvrirent d'elles-mêmes. Je regardai et un début d'érection se fit ressentir. La femme dirigea le majeur de sa main droite vers sa bouche et l'humecta abondamment. Fixant toujours mon regard, elle dirigea son doigt mouillé vers sa chatte, qui réclamait ses caresses. La femme entama un léger frottement contre son clitoris dressé et durci. Je n'en croyais tout simplement pas mes yeux : en plus de voir la femme nue, j'étais en train de l'observer se masturber. Je tentai un mouvement subtil pour me rapprocher du lit, mais la femme me l'interdit du regard. J'étais donc condamner à observer. Elle me regarda un instant directement dans les yeux, puis ramena son doigt imbibé de sécrétion vaginale vers sa bouche. Son regard se faisait de plus en plus provocant. Lentement, elle vint rouler sa langue autour de son doigt, pour l'introduire dans sa bouche imitant une fellation. Sa main gauche vint caresser l'intérieur de la jambe et l'écarta progressivement. Je pouvais voir les lèvres s'écarter légèrement l'une de l'autre et les apercevoir perler d'excitation. Une mince couche de sécrétion c'était accumulée et une odeur d'extase s'en dégageait.

 

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Ramenant sa main droite vers sa chatte, elle y fit glisser son index jusqu'à l'entrée de ses lèvres. D'un clin d'œil, le doigt s'engouffra à l'intérieur et elle pencha son torse vers l'avant pour faire pénétrer celui-ci le plus profondément possible. Un léger mouvement du bassin d'avant arrière permit à la femme de laisser pénétrer son doigt jusqu'aux jointures de sa main. À chacun de ses gestes sa paume frottait sur son clitoris. Ses respirations se faisaient de plus en plus profondes et saccadées, sa tête commençait à valser de tous les côtés. Soudain la femme s'arrêta, me fixa de nouveau dans les yeux. Je dirigeai donc mon regard vers la chatte de la femme et la vit introduire un deuxième doigt. Une fois de plus la femme gémit. Ce fut ensuite le tour d'un troisième doigt. Je pus voir la femme surélever son bassin et tout simplement enfourcher ses trois doigts.

 

Elle glissait sur ceux-ci qui l'entrouvraient et étiraient les lèvres de sa chatte. Elle se déchaîna subitement je pouvais la voir effectuer des va-et-vient, de haut en bas, férocement. Le bout de ses doigts allait caresser l'intérieur et lui procurait un plaisir visible à son expression. La femme ne se retenait plus pour gémir et chaque fois que sa paume heurtait son clitoris, elle expirait en gémissant de plus belle. Elle avait de plus en plus de difficultés à garder le rythme de ses mouvements. Sa chatte commençait à se contracter chaque fois que ses doigts heurtaient le fond de celle-ci. Ses soubresauts finirent par la clouer sur place. Elle figea l'instant où les muscles de son corps lui donnèrent le plaisir tant convoité.

 

J'étais toujours assis sur la chaise. Je l'observais et ressentais un besoin intense de la toucher. La regarder faire ainsi m'avait plutôt excité. Je n'osais même pas regarder vers mon pantalon pour constater mon état… C'est alors que je me décidai à approcher. Je me levai de ma chaise d'où j'avais eu cette vision, et avançai vers le lit.

 

A ce moment l'inconnu sorti de derrière les rideaux où il était dissimulé. Il était nu, il bandait magnifiquement.

 

- On vous a demandé de ne pas bouger ! Retournez à votre place, s'il vous plait !

 

J'étais donc l'acteur inconscient d'un jeu érotique, dont les arcanes me dépassaient, mais qui prenait une tournure qui me déplaisait… je me dirigeais donc vers la porte.

 

- Ne partez pas, le jeu n'est pas fini ! me dit la femme.

 

J'hésitai une seconde…

 

- Ne trouvez-vous pas que mon ami a une très jolie bite ?

 

Par reflexe je regarde le membre de cet homme. Il est beau, il est bien tendu, le gland est fier sans être trop épais, la peau est d'une jolie couleur.

 

- Pourquoi cette question ?

- Parce que je vous propose un marché !

- Dites ?

- Aimeriez-vous me baiser, me prendre comme une chienne… devant lui !

- Ma fois…

- Cela a un prix !

 

Ainsi ma nouvelle colocataire se prostituait. Bien que n'ayant rien contre le principe, il se trouve que je n'ai jamais eu l'opportunité d'avoir affaire à ces dames… mais mon état d'excitation m'empêche de raisonner convenablement et je m'informe de ce prix.

 

- Non, il n'est pas question d'argent, le prix est en nature : suce la bonne queue de mon ami et tu pourras me baiser.

 

La femme ne pouvait savoir que bisexuel à mes heures, cette fantaisie ne pouvait pour moi être synonyme de corvée. Par jeu, et parce que sans doute était-ce là ce qu'ils souhaitaient tous les deux, je fis semblant d'hésiter, mais finis par approcher mes lèvres de cette bonne queue, que je m'empressai de savourer des lèvres et de la langue. Je me régalai tellement et m'appliquai si consciencieusement que l'homme ne put s'empêcher de dire :

 

- Ce n'est pas sa première queue !

 

Je continuai

 

- Dites-moi, cher Monsieur, ce n'est pas votre première queue ? Insista-t-il

- Non ! Confirmai-je, délaissant à regret ce membre magnifique !

- Vous aimez ça ?

- J'avoue !

- Dans ce cas, puisque nous sommes entre initiés, mon amie serait sans doute ravie de me voir vous baiser. Serait-ce trop vous demander que vous me présentiez vos fesses afin que je vous encule ?

- Mais faites-donc, cher monsieur !

- Je vous prends, vous prenez madame et ensuite nous irons tous les trois au restaurant, ce programme vous sied-il ?

- A merveille !

 

Dumigron de Séville

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Mardi 3 août 2021 2 03 /08 /Août /2021 06:50

Une fille qui mène du train par Dumigron

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Je me demandais comment et quand je pourrais bien raconter cette histoire folle qui m'est arrivée, et bien voilà que vous, chers internautes, vous allez goûter un peu aux plaisirs et aux passions qui m'ont traversé lors de cette expérience.

 

Vous savez, quand votre ex petite amie vous appelle, c'est ou bien pour avoir des nouvelles, ou bien pour baiser car elle est en manque. Quel hasard, j'en avais besoin aussi. Pour mettre un peu de folie dans notre rencontre - nous nous sommes lassés il y a quelques années - il nous fallait trouver quelque chose d'exceptionnel. Pourquoi pas un voyage ? Ok ! Après quelques hésitations, nous avons décidé de prendre le train en direction de Barcelone afin d'aller manger dans un chic restaurant, voir une zarzuela et peut être se rafraichir les sens.

 

Elle portait une robe fleurie jusqu'aux genoux et des sandales aux pieds. Sa robe était franchement entrouverte au-devant, il faisait vraiment chaud. En effet, en cette belle journée de fin de printemps, les tenues légères étaient de mise. Lorsqu'elle marchait, son buste vaguait au rythme de ses pas… ce qui me subjuguait. Je l'ai observé pendant un bon moment pendant qu'elle achetait des magazines au kiosque de la gare. Sa chevelure blonde attachée, son sourire, sa joie de vivre… voici comment le romantique en moi voyait les choses. Son cul ferme, ses petits seins ballotant, ses cuisses fraîches et ses mains agiles… voici comment le baiseur en moi voulait ces choses.

 

Vu que nous étions un peu gênés, et surtout que ni l'un ni l'autre ne voulait faire le premier pas, nous nous sommes presque dévorés des yeux pendant toute la durée du voyage. Assise devant moi, en train de lire son magazine sur la mode, je devinais que, sous la tablette du train, ses jambes étaient complètement entrouvertes. Peut-être inconsciente de son désir de me recevoir ou peut-être une invitation à une chaude passion… en tous les cas, elle me faisait un effet d'enfer. Ça me faisait mal tant mon engin poussait le tissu de mon pantalon de coton. Il fallait que j'aille décharger mon fusil, sinon j'aurais tout envoyé dès les premières secondes lors de la baise future.

 

Je la laisse lire pendant que je me dirige vers la toilette la plus proche. Evidemment, le train bouge beaucoup et les couloirs sont étroits. La marche est assez compliquée si l'on ne veut pas bousculer personne. Une file d'attente pour traverser au prochain wagon… la porte est coincée ! Inutile de me retourner, déjà plusieurs personnes se sont placées derrière moi. Malheureux ? Non ! Une jolie rousse aux longues jambes galbées s'est placée derrière moi en file. Nous sommes un peu trop serrés mais juste assez pour sentir ses seins moelleux sur mon dos. Je frissonne et elle s'en aperçoit. Le train bascule un peu… elle se place de façon à presque m'envelopper tout l'arrière. Ses hanches se frottent tranquillement et ses mains se mettent sur mes hanches. Pendant qu'elle respire un peu plus fort et un peu plus près de mon oreille, elle met ses mains dans mes poches. Qui est cette personne qui me fait ça ? Pourquoi maintenant ? Un fantasme qu'un dieu paillard et libidineux veut me voir réaliser ? Sans que je sache pourquoi, elle enlève ses mains… et me dis : pour 50 $ je peux te faire plaisir comme et comment tu veux. Je lui réponds que j'aimerais beaucoup, mais que je ne suis pas seul et que j'aime bien cette personne et que… elle comprend !

 

" Je suis désolé pour toi… si tu savais ! ", qu'elle dit.

 

La file se met à avancer, la porte est enfin ouverte. Je reviens à ma table quelques instants plus tard sans avoir rien fait de ce que je voulais faire. Cette jolie putain m'a complètement troublé et j'ai toujours le désir au plafond.

 

Ma femme était là, une main sur sa poitrine, les yeux dans le magazine… surement un article intitulé : " Comment faire crouler votre homme sous le plaisir ? " Vous savez, ces magazines…

 

Nous mangeons notre dernier repas de la journée dans une ambiance plutôt chaude et légère. On se regarde dans les yeux avec la sensation très forte qu'il va se passer quelque chose d'assez passionné ce soir…

 

Nous avons bien mangé. Il est temps de se retirer dans notre chambre.

 

La chambre est assez bien aménagée. Petite mais confortable.

 

- " Retourne toi, je me change ! "

 

Ah bon…

 

À son " OK ", je me retourne. Elle avait une de ses chemises de nuits… oh là là ! Cette chemise, décolletée à souhait, me laissa complètement baba. Ses seins étaient en évidence comme jamais. On pouvait voir ses courbes, on pouvait voir la forme de son entre jambes, c'était si évident. C'était magnifique !

 

Dumigron4Elle me fit signe d'approcher. Tranquillement, elle défit le premier bouton de ma chemise. Ses mains douces et habiles… lorsqu'elle ma chemise laissa place à mon torse nu, elle y mit ses mains… me caressa et me pinça fortement le bout de mes tétons, ma caresse secrète, celle qui me fait toujours bander… et elle m'embrasse langoureusement. Nos lèvres entrèrent en un commun accord. La chaleur de sa langue autour la mienne, les doigts torturaient mes bouts, ses hanches collées sur les miennes… c'était une sensation de chaleur intense. Tout se passa si rapidement mais avec une intensité si profonde que…

 

Elle mit ses jambes autour des miennes en un petit saut. Je fis quelques pas afin de la mettre sur le lit. La bosse de mon pantalon caressait tranquillement sa fourche. Elle se rassit sur le lit, j'étais debout. Elle défit mon pantalon, mon boxer, j'enlevais mes chaussures et mes chaussettes. En un sourire béat, elle prit ma verge à deux mains. Ses mains chaudes et douces commencèrent à me caresser tranquillement de haut en bas. Elle m'apprivoisa… lorsque, yeux fermés, je sentis une chaleur qui enveloppa ma verge. Une succion… le plaisir monta. Les mains dans sa chevelure, elle s'y donna à cœur joie. Un doigt se faufila derrière mes fesses, par réflexe je m'ouvris pour lui permettre l'accès à mon intime trou. Elle me goutait avec tant de désir. Elle ne pouvait tout m'avaler, mais elle essaya tant elle me voulait entièrement. Ses lèvres mouillées… le plaisir monta tellement tranquillement. Je sentais la sensation monter si lentement, si longuement… ce plaisir était si intense… tout sortit d'un coup dans un cri de joie. Elle prit tout dans sa bouche. Elle ne laissait rien passer, elle gobait tout, il en avait ! La tête en arrière, le cri diminua pour n'être plus que lourd grondement au fonds de ma gorge.

 

- " C'est mon tour… et fais-moi jouir ! Je te veux… juste ici ! Lèche-moi jusqu'à plus soif ! "

 

À genoux, ses jambes sur mes épaules, je lui caressais les cuisses avec mes deux mains. Sa chatte m'était offerte tout entière. Je lui chatouillais doucement le contour de son vagin. Je la faisais souffrir, je la faisais languir de plaisir. Elle n'aimait pas ça mais elle en redemandait.

 

- " Caresse-moi, aime-moi, mange-moi ! "

 

Pourquoi pas : la cerise sur le sundae, le miel sucré en abondance, je la mangeais gloutonnement. J'aimais lui procurer ce plaisir. Elle flottait ! Elle ne laissa qu'une jambe sur mon épaule. Cela me permit de lui caresser d'une main son ventre. Elle se cambre, elle vibre, elle souffre le martyr. Elle aime tellement ça et moi qui la déguste de toute la qualité que je me connais. Son ventre frissonne, son corps m'est offert à la caresse. La langue sur son poing sans bouger, je la sens qui se mouille à une vitesse car elle gémit très fort… elle me donne l'envie comme jamais.

 

Je la glisse plus profondément dans le lit en me préparant à la pénétrer tranquillement. Ce brusque changement l'étourdit, mais je n'en peux plus. Tranquillement, le gland pénètre ce château de plaisir. Millimètre par millimètre il entre et moi je m'allonge en même temps sur son corps. Des goûtes de sueur perlent sur son corps. Ses cheveux mouillés font ressortir l'odeur charnelle si propre à une femme. Le va-et-vient se fait très doucement. Je sors presque complément et je la pénètre de nouveau aussi tendrement afin de vivre en détails ce que cela peut m'offrir. Je la prends de tout son corps. Pendant ce qui me semble des heures, tout en s'embrassant de petits baisers sur tout le visage, je me glisse entre elle de ma longue et chaude verge. On s'emballe un peu, on rougit de se voir se donner tout ce plaisir avec une harmonie si grandiose. La musique de nos gémissements pénètre tous nos sens. Elle pousse de petites cris de palisir… et je continue, j'en veux toujours plus. Je ne freine pas mes pulsions… je poursuis ce voyage entre ses jambes.

 

- " Allez, viens finir dans mon cul ! "

 

 

Je m'enfonce facilement dans ce trou charmant, je bouge et je bouge encore, elle est en nage, elle gémit, la tension est trop forte. Je jouis ! Je jouis si longuement, j'ai l'impression d'avoir une rivière qui sort. Je suis étourdi. Je me rends compte que je respire si fort !

 

Elle est radieuse, me sourit, elle regarde ma bite, maculée de sperme et de merde. Sa bouche pulpeuse à tout nettoyé.

 

Il fait un peu froid, en fait, on grelote. Le sourire au visage, on s'embrasse. Face à face, on s'endort..

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 2 août 2021 1 02 /08 /Août /2021 19:13

Une séance de sauna particulière par Dumigron

Stamp sodo

Là où je travaille, il y a, au sous-sol, une salle de sports, avec tous les appareils de musculation possibles, ainsi qu'un sauna pour 2 à 3 personnes maxi. Les murs, très hauts sont couverts de miroirs et de barres de danse.

 

La semaine dernière, je descends dans cette salle, comme je le fais quelquefois l'après-midi vers 15 heures. Ce n'est pas vraiment autorisé, même pas du tout, mais il est juste interdit de se faire prendre. J'arrive donc dans la salle, et je m'aperçois que la lumière est allumée. Bizarre à cette heure. Je ne fais pas de bruit, je me dirige vers les vestiaires hommes, et en passant devant les vestiaires femmes, j'entends une douche couler. Je pousse doucement la porte et je m'approche de la douche du fond. Je me penche un peu et je jette un coup d'œil sous les portes style western. Je vois d'abord deux pieds et mon regard remonte vers l'intimité de cette inconnue. Je peux admirer une toison pleine de mousse et une main qui s'affaire dessus. Dessus et dedans d'après ce que je vois aux doigts qui entrent et qui sortent. Je suis super excité, mais pas assez gonflé pour oser me faire voir. Je ressors donc du vestiaire femmes et vais me déshabiller dans mon vestiaire pour aller au sauna. Ma queue est tendue à son maximum tant je suis encore excité par cette vision de rêve.

 

J'entre donc dans le sauna et je m'allonge sur la banquette supérieure. Les bancs sont, comme dans beaucoup de sauna, faits avec des lattes de pin. Je m'allonge sur le ventre, à même le bois brûlant et je laisse ma queue encore raide se glisser entre deux lattes. Humm quelle agréable sensation. Je suis en train de repenser au corps superbe de cette femme sous sa douche quand la porte s'ouvre. La même femme se présente dans l'entrebâillement, nue, la serviette à la main. Elle vient en fait de prendre une douche fraîche entre deux séances de sauna, et se croit encore seule. Quand elle me voit, elle pousse un petit cri de surprise et se cache avec sa serviette rose. Je lui souris, surpris moi aussi, et la salue. Je suis toujours nu, et ma position avec ma queue coincée entre deux lattes m'empêche de me recouvrir avec ma serviette.

 

Tant pis, je reste ainsi sans oser bouger. Elle répond à mon salut et s'allonge sur la banquette inférieure, sur le dos. Nous échangeons quelques banalités, " le sauna n'est pas trop chaud aujourd'hui " etc. pourtant il est quand même à 85°.

 

Le silence retombe et nous commençons à suer. Tout à coup, je sens une chaleur différente du bois sur ma queue qui a ramolli depuis tout à l'heure. C'est une main, " sa main ", qui glisse doucement dessus. Je n'en crois pas mes sens. Cette femme, qui avait l'air gênée tout à l'heure est en train de me caresser la queue. En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, je rebande de plus belle et la main me branle carrément. Je laisse tomber mon bras vers le banc inférieur et je passe ma main sur le corps de ma branleuse. Je fais glisser sa serviette et je peux admirer de près ce corps superbe. Elle est blonde, mais une fausse blonde, car son pubis est bien noir et bien taillé. A peine un petit triangle qui s'arrête avant les lèvres. Ses seins sont petits, comme je les aime, et assez fermes pour son âge. Elle doit avoir environ 45 ans, soit peut-être 5-6 ans de plus que moi.

 

Ma main passe de ses seins à son sexe avec douceur, et mes doigts commencent à s'activer dans son intimité. Elle pousse de petits gémissements de plaisir et écarte bien les cuisses. De mon côté, je suis au bord de l'extase. Elle lâche mon sexe, et se relève. Je m'assois sur le banc face à elle, la queue violacée, prête à exploser. Nos corps sont trempés de sueur. Elle se penche un peu et commence à me sucer. C'est un délice, elle prend ma queue jusqu'au fond de sa gorge, me masse les couilles et avec son autre main, m'enfonce un doigt puis deux dans l'anus. Je n'en peux plus, je me vide dans sa bouche, et quand elle sent mon liquide chaud, elle se retire vite. Elle n'a pas l'air d'apprécier le gout du sperme. Elle s'essuie sur mes cuisses et me pousse pour prendre ma place. Elle écarte la cuisse et je n'ai pas besoin d'explications pour fourrer ma tête et surtout ma langue au fond de sa chatte. Ses lèvres sont couvertes d'un mélange de sueur et de jouissance et c'est délicieux. Je fais comme elle et lui enfonce deux doigts dans le cul. Elle jouit très vite en se cambrant.

 

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Elle descend de son perchoir, et me présente ses fesses. Heureusement le fait de lui sucer le minou m'a redonné de la vigueur, et je la pénètre tout doucement. Ma queue entre très facilement tant elle est mouillée. Nous faisons l'amour de longues minutes et elle jouit encore. Je sors de ce trou douillet et me présente vers son autre petit trou. Elle a l'air d'en avoir très envie car elle s'appuie contre ma queue, qui entre presque aussi facilement que dans sa chatte. Humm, quel plaisir de sentir ma queue serrée dans son petit cul. Nous baisons comme des bêtes, je lui caresse les seins et elle me caresse les couilles. J'explose en elle et nous ne bougeons plus pendant 1 ou 2 minutes, sans dire un mot. Je me retire, et nous nous frottons l'un contre l'autre. Nous sortons de cette atmosphère étouffante et brûlante pour aller prendre une douche.

 

Je lui ai proposé de nous revoir, elle a refusé m'indiquant que c'était l'occasion qui faisait le larron !

 

Tant pis ! Quel pied c'était en tous les cas !

 

Dumigron

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Vendredi 3 août 2018 5 03 /08 /Août /2018 07:29

Dumigron à Sevilla
par Dumigron

Gode stamp

Attention, âmes sensibles ! Ce récit contient pas mal de scato 

  Thèmes abordés :bisex masculine, bizarre, doigtage masculin, domination soft, engodage masculin, exhibition, feuille de rose, party, scato, transsexuelles, uro, voyeurisme.

Hier soir, j’étais invité à une soirée dans une salle louée à Sevilla par Fédérico Ibanez, un copain artiste peintre. C’est un jeune créateur de 22 ans, il est brun, bronzé, possède de fines moustaches à la Freddy Mercury, il a une jolie bite et des petites fesses musclées avec un trou du cul qui est un régal pour les suceurs de fions. Il peint des corps d’hommes nus sur des fonds psychédéliques.

Comme tous les artistes, il a un petit grain, il a récemment écrit au Vatican pour proposer au conservateur de la chapelle Sixtine d’en repeindre la voûte. Il en est à la quatrième confirmation et fulmine de ne pas avoir de réponse en faisant de grands gestes avec les bras :

– C’est oune complot ! C’est oune complot contre les vrais artistes !

L’ambiance était chaude tout comme le temps ! Les modèles ayant servi à son inspiration et ses réalisations étaient là, se promenant à moitié à poil parmi les invités. Il y en avait des bruns, des blonds, des noirs, des asiatiques… quelques femmes aussi ainsi que des transsexuelles. Toute cette population de joyeux obsédés gravitant autour de moi et le champagne aidant, mon sexe se mit rapidement en érection dans mon jean. (J’étais venu en décontracté, basquets, jean, tee-shirt moulant).

Tout se passait bien, la soirée avançait dans la nuit, des DJ’s prometteurs tentaient de survolter l’atmosphère qui se fit plus intimiste au fil du temps Les modèles dansèrent sur des podiums pendant que nous nous trémoussions à leurs pieds, sauf pour les plus hardis ou plus exhibitionnistes qui les rejoignirent sur les podiums.

Une exhibition étaient prévue, un magnifique black monta sur le podium, finit de se déshabiller et jouât avec sa grosse bite qui se mit à grossir démesurément, puis il se tourna et nous fit des mouvements en se trémoussant avec son cul, il s’écarta ses globes fessiers et s’introduisit un doigt dans son trou du fion sous les applaudissements frénétiques de l’assistance excitée. Il ne quitta pas la scène et fût rejoint par un asiatique nettement moins bien monté, mais mignon. Si sa bite n’avait rien d’une bête de concours, son cul sans poil et enduit d’huile était bien bandant. Il se pencha pour sucer la bite du black. Quand celle-ci eut atteint une rigidité optimale, il se tourna, s’écarta le fion et aida son complice à le pénétrer. Joli spectacle, mais j’aurais volontiers pris la place de cet asiatique.

Je me rends aux toilettes, il y a un petit attroupement autour d’une fausse blonde aux yeux bleus coiffée avec une queue de cheval et complètement à poil, qui accroupie, se fait pisser dessus par trois mecs. Elle a la bouche ouverte et avale tout ce qu’elle peut. Elle me fait signe de rejoindre le groupe. Pas de problème, je sors ma bite et je l’arrose. Assez vite les bites s’arrêtent de pisser, alors la nana choisit l’une des queues et commença à la sucer… et comme ce n’était pas la mienne je sorti des toilettes.

Je me tamponne dans une créature rousse aux seins nus dont j’ignore si c’est une transsexuelle ou une femme. Elle me demande si je veux gouter à sa bite. Répondant par l’affirmative, la rousse soulève sa longue jupe en crêpe et m’exhibe un magnifique gode-ceinture. J’ai beaucoup de perversions mais pas encore celle de sucer du plastique, par contre je veux bien l’objet dans mon cul. J’explique tout ça à la petite dame qui n’attend pas que j’ai fini de lui répondre, me fais me retourner, m’administre quelques tapes sur les fesses, puis s’introduit dans mon fondement. Ce doit être une spécialiste parce qu’elle ne se débrouille vraiment pas trop mal, même si ça ne vaut pas une bonne bite bien en chair. Je l’aurais bien enculé à mon tour, mais quand elle fut lassée de me pilonner elle jeta son dévolu vers la blonde qui sortait des toilettes. Pas bien grave…

Je suis retourné aux toilettes un peu après, forcément quand on boit, on pisse, je m’approche de l’urinoir et mon voisin me propose de me la tenir, ce que j’accepte volontiers, quelques secondes plus tard, il se baissait pour me sucer tout en avalant une partie de ma pisse. Une fille dans le fond dit quelque chose à la cantonade, je n’ai pas compris le début, mais pour la suite elle demande si des gens sont intéressés. Je rejoins donc cette énigmatique personne qui explique qu’elle va chier par terre, mais que si un volontaire veut bien lui servir de réceptacle, ce serait encore meilleur. J’ai failli y aller mais me suis fait bruler la politesse par une belle femme mature qui très vite s’est allongée par terre après s’être débarrassée de ce qui lui restait de vêtements. La fille s’est accroupie au-dessus des seins de la mature et à commencer à chier un long boudin qui se détacha et tomba sur ses nichons. La chieuse avança de dix centimètres faisant chuter le second étron qui lui dégringola sur le visage. La fille se releva et demanda un volontaire pour lui nettoyer le cul de sa langue, rapide comme l’éclair, je fu le premier sur le terrain et m’empressais de lécher tout cela, sa merde avait fort bon goût. Pendant ce temps-là la mature se tartinait le corps avec la matière de sa main gauche tout en se branlant de la main droite et en demandant si on pouvait lui pisser dessus afin de rendre tout cela plus fluide.

Il était quatre heures du matin quand je me suis écroulé dans un sofa (en cuir) dans un coin. Juste derrière celui-ci dans une zone non éclairée deux invités, une transsexuelle black et un blondinet un peu efféminé se branlaient mutuellement et tranquillement. Ce dernier qui me voyait mater depuis cinq bonnes minutes, m’invita à les rejoindre, je vins à leur côté, me laissant déshabiller par ces deux pervers à grosses bites. Mon sexe étant bandé au maximum, la trans black qui se prénommait Georgia me branla rapidement mais sensuellement puis avala mon sexe de tout son long, j’étais aux anges, l’autre, Felipe passa derrière moi, me frotta son sexe sur mes fesses puis s’agenouilla pour me sucer ma rondelle afin de me lubrifier pour me pénétrer d’un doigt puis deux, puis trois. Que c’était bon !

Mon cul se trémoussait de plaisir et mon sexe était prêt à exploser mais les deux se retirèrent à temps pour ne pas me faire éjaculer si vite. Felipe me présenta alors le doigt qui m’avait pénétré et qui était pollué de matière brune, je le léchais bien volontiers pour le rendre tout propre.

Pour patienter Georgia qui me préparait le cul me proposa de la sucer pour le remettre en « forme » et le lubrifier de ma salive pour que la reprise se passe bien. Felipe approcha aussi sa bite que je pris en bouche. C’était génial.

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Après m’avoir laissé jouer quelques instants avec leur bite ils repartirent de plus belle là où ils m’avaient laissé, ils me mirent à quatre pattes, Georgia, la trans black couchée devant moi pour que je la suce à fond pendant que Felipe allait me pénétrer. Nous nous sommes rapidement synchronisés pour qu’à chaque pénétration j’avale à fond la bite que l’on me présentait. Nous étions si synchrones que mon cul fut rempli de sperme au moment même où l’autre se déchargeait dans ma bouche, je me sentais plein de foutre mais j’avalais sans broncher

Puis ils s’intervertirent, Georgia me pénétra tandis que Felipe me présentait sa bite toujours encapotée et recouverte de taches de merde. Il se cru obligé de m’xpliquer que c’était ma merde qu’il avait sur le latex et que ça l’exciterait si j’étais capable de rendre propre tout ça, pendant que l’autre m’éclatait le cul avec sa bite démesurément plus grosse que son prédécesseur. Je fis donc comme demandé

Après avoir éjaculé en même temps en moi une nouvelle fois, ils se rhabillèrent et partirent. C’est alors que l’asiatique qui était sur le podium s’approcha de moi, il s’appelait Liou, et me demanda tout de go si je voulais bien l’enculer, mais auparavant, il souhaitait que je lui lèche le fion. Pas de problème, j’adore lécher les fions, je l’humectais bien de ma salive, me régalant de son odeur cacateuse, puis je le sodomisais, cadençant mes pénétrations au rythme de la disco. Ensuite je m’endormis sur le canapé (en cuir) après quelques coupes de champagne (excellent)

Le lendemain matin, ce fut la douceur de la salive de mon pote Fédérico sur mon gland découvert qui me réveilla, nous étions seuls dans son loft. Il s’arrêta de me sucer pour m’expliquer que j’aurais dû l’appeler hier soir lors de mon aventure avec ses deux étalons mais il me dit que désormais je lui appartenais, sauf si j’avais une objection. Je m’aperçu à ce moment-là qu’il m’avait attaché les pieds et poignets au chambranle du canapé comme une bête que l’on sacrifie pour pâture à un ours, et comme je n’objectais rien du tout, afin de lui laisse ses illusions le temps que l’on s’amuse un peu, il se remit à me branler tout en me suçant le bout du gland

Malgré mon réveil proche je me remis à bander fort, il me goba alors le sexe sur toute la longueur puis se retira et parti chercher je ne sais quoi, il revint avec des pinces de dessin pour tenir les feuilles sur son chevalet et me les fixa sur mes tétons, la douleur me fit crier et bander à la fois

Voyant que cela m’avait excité, il m’en plaça une très délicatement sur le frein de mon sexe, ce qui me fit hurler et me tordre de douleur, il la retira rapidement et reprit mon sexe dans sa bouche, sa salive était abondante et ses aller-retour sur mon sexe se faisaient rapidement ne voulant me faire exploser dans sa bouche il arrêta, approcha son sexe de ma bouche pour que je le suce, il me dit de bien le lubrifier car après il me ferait une petite visite rectale

Son sexe grandissait à vue d’œil, il recula, détacha mes liens des pieds, me fit basculer sur le dos jambes vers le ciel, approcha, écarta mes fesses, me cracha sur l’anus puis me pénétra de toute sa longueur, il resta enfoncé jusqu’aux testicules sans bouger pendant quelques secondes et commença ses aller-retour, je le sentais rentrer et glisser avec une facilité déconcertante au fond de mon anus, il vint rapidement dans mon cul se retira puis me fit sucer et nettoyer la capote (décidemment ce doit être une nouvelle mode) des traces de merde puis il s’approcha de mon sexe, le branla quelques instants afin de déclencher l’éjaculation que je contenais depuis le début

Il m’embrassa, me détacha et après une bonne douche commune où après nous être mutuellement pissés dessus comme des petits cochons, je pu jouer avec le jet de la douche sur son sexe, il m’interpella : Cet abruti voulait que je lui signe un papelard officialisant le fait, que désormais je lui appartenais. Je n’appartiens à personne, connard, lui répondis-je, avant de rentrer chez moi satisfait de cette soirée et impatient de repartir pour une autre soirée artistique. (poil à la bite qu’à la trique !)

© Dumigron  (prononcez doumigrone en roulant les R)

Une version de cette nouvelle était parue sur le site de revebebe en 2001. Ils ne l’ont pas conservé. Cette republication a été modifié pour le site de Vassilia en 2009 et en 2018

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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Lundi 3 juillet 2017 1 03 /07 /Juil /2017 23:18

Viviane n’est pas commode
par Firmin Dumigron

 

Gs2

Bonjour, j’ai la trentaine et suis technicien en informatique.

C’était au mois de juin, mes activités nécessitaient une mission d’une quinzaine de jours en province. Plutôt que de séjourner à l’hôtel mon entreprise m’avait proposé d’élire provisoirement domicile chez la responsable locale, qui vivant seule car divorcée et disposant d’un grand pavillon. Je n’ai pas eu mon mot à dire. La responsable en question est une très belle femme d’une quarantaine d’années, très élégante, fausse blonde et peut être à peine un tout petit peu ronde. Elle se prénomme Viviane, mais je n’ai pas su son prénom tout de suite.

De suite elle a mis les choses au point.

- La boite m’a proposé cette solution d’hébergement, je suppose que ça leur fait économiser des frais généraux, il n’y a pas de petites économies. Je n’ai pas pu refuser, mais bon ici ce n’est pas une pension de famille, vous prendrez donc vos repas ou vous voudrez mais pas ici, je tiens à rester chez moi…
- Même pas le petit déjeuner ?
- Il y a un café brasserie un peu plus loin ! Pour les toilettes et la douche il y a une salle de bain indépendante à l’étage. Et ne vous croyez pas obligé de me faire la conversation, on m’a imposé cette situation, pas la peine d’en rajouter.

On ne saurait être plus aimable.

Il y avait un poste de télévision dans ma chambre et je m’étais acheté un petit lecteur de DVD.

Elle ne venait jamais dans ma chambre et n’avait aucune raison d’y venir, mais on n’est jamais trop prudent. Mais ce soir-là elle m’avait prévenu qu’elle rentrerait tard et que je ne devais ouvrir à personne… bref les instructions d’usage. Me sentant libre j’avais décidé d’en profiter pour me livrer à de petits jeux érotiques et solitaires. En effet, je n’ai aucun goût pour les petites masturbations à la sauvette et j’aime m’organiser des mises en scène qui réclament du temps et de la tranquillité.

Donc après avoir glissé dans le lecteur de DVD, un petit film porno où une belle maîtresse fouettait deux esclaves soumis à grand renfort de coups de cravaches je m’étais attaché nu sur mon lit, pas vraiment attaché car mes mains et mes pieds étaient simplement passés dans des anneaux de corde juste assez étroits pour ne pas pouvoir s’en libérer trop facilement. C’est un petit jeu auquel je me suis déjà livré plus d’une fois et qui me procure toujours autant d’excitation. J’étais donc étendu, bras et jambes écartés, nu, des pinces aux seins et aux testicules et un bon gode vibrant dans le trou du cul. Cette situation me mettait vraiment dans tous mes états : je tremblais d’excitation et je bandais si fort que mon sexe en était presque douloureux. Je ne pouvais plus tenir et j’étais sur le point de libérer une de mes mains pour me soulager, le moindre contact sur mon sexe gonflé pouvant libérer mon plaisir…

C’est alors que Viviane rentrée prématurément et trompé par le son du DVD fit irruption dans ma chambre que j’avais eu l’imprudence de laisser entrouverte. Je l’ai vu apparaître devant moi, médusée par le spectacle que je lui offrais.

- Vous faites quoi exactement, là ? Demande-t-elle en s’approchant.

En entendant frapper, pris de panique, j’avais tenté maladroitement de me libérer sans y parvenir et j’étais devant elle en train de me contorsionner lorsque soudain j’ai senti que je commençais à jouir avec une violence que je n’avais jamais connue jusqu’alors. Tout mon corps se tendit comme un arc tandis que de longues giclées de sperme jaillissaient sur mon ventre tandis que je m’abandonnais au plaisir dans un sanglot sous le regard de Viviane. Elle était là debout devant ce lit où je gisais mort de honte, me sentant encore plus nu sous le regard de cette femme vêtue d’un tailleur strict et élégant, totalement impuissant à échapper à son regard.

Je me suis alors aperçu que du sperme avait giclé sur son tailleur.

- Vous me devrez le nettoyage de mon tailleur, espèce de gros dégueulasse ! S’écria-t-elle en me giflant deux fois de suite.
- C’est pas la peine de vous mettre dans des états pareils…
- Vous allez faire votre valise et me foutre le camp, et tout de suite.
- Attendez, on peut discuter, si vous pouviez me libérer…
- Parce qu’en plus vous vous êtes entravé, il faut vraiment être con !
- Personne n’est parfait.

Et la voilà qui au lieu de me défaire mes liens elle les resserre davantage. C’est à ce moment-là, que l’expression de ses yeux m’a paru étrange, la colère laissant place à autre chose… mais quoi ?

Elle se recule, enlève sa veste de tailleur.

- Tu m’en a même foutu sur mon chemisier, connard !

Elle le retire, et fait de même avec la jupe, la voici en sous-vêtement ! Pas mal roulée la meuf ! Y’a du monde dans le soutien-gorge !

Elle se dirige vers mon pantalon et en extrait la ceinture, elle revient avec en faisant une curieuse mimique.

- Alors comme ça, on joue au maso ?
- Ce n’est pas interdit.

Je n’ai pas vu arriver le coup de ceinture sur mon ventre.

- Puisque t’es maso, on peut peut-être s’amuser ! On va faire comme si j’étais ta maîtresse, une maîtresse très sévère, un peu comme la pétasse sur son DVD.

En voilà une idée, mais comme je viens de jouir, ma motivation n’est pas évidente, mais comment lui dire ?

- Non, ça ne te dit rien, je ne te fais pas bander ? Et si je te montrai mes nichons ?

Elle va le faire, elle le fait ! Mais c’est qu’ils sont magnifiques ses nénés, du coup popaul commence à se redresser.

- Ah, je me disais aussi, c’est mieux une vraie femme, non ? Et puis c’est quoi ce truc ?

Elle me désigne le gode qui est ressorti de mon cul.

- En plus il est tout merdeux ! Nettoie-moi ça si tu veux qu’on s’amuse !

Elle me le porte à la bouche, je n’éprouve aucune difficulté à le lécher ayant déjà fait ce genre de choses.

- Mais c’est qu’il aime ça, ce gros dégueulasse ! Tiens je vais te foutre mes doigts tu vas voir, ce sera meilleur que ton gode !

Et la voilà qui me doigte l’anus, le dilatant de plus en plus jusqu’à pouvoir y introduire deux puis trois doigts. J’ignore jusqu’où elle aurait pu aller si soudain, n’y pouvant plus tenir, elle n’avait renoncé à me pénétrer pour arracher son collant et sa culotte avant de venir s’empaler sur mon sexe.

Après quelques mouvements furieux tout son corps se tendit comme un arc et elle commença à gémir tandis que je sentais son vagin se contracter spasmodiquement autour de mon pénis ce qui me provoqua rapidement une nouvelle éjaculation. Déçue de sentir mon érection faiblir elle vint alors sur mon visage me faisant boire à la liqueur mêlée de mon sperme qui s’écoulait abondamment de son sexe ce qui l’excitait au plus haut point car elle eut très vite un nouvel orgasme.

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Elle s'immobilisa alors un moment, semblant se concentrer, puis me pissa soudain dans la bouche. N'étant pas contre cette fantaisie, c'est avec grand plaisir que je m'efforçais de recueillir sa bière chaude... Mais ne pouvant tout avaler au rythme où le liquide jaillissait, le lit finit par s'imprégner. Elle manifesta alors sa réprobation en me balançant quelques gifles (pas trop fortes, rassurez-vous) et en me crachant dessus, plusieurs fois de suite

 

- Ouvre la bouche, connard !.

 

Elle semble réfléchir quelques instants.

 

- De toute façon, il faudra refaire le lit.

 

Et la voilà qui revient au niveau de mon visage.

 

- Puisque tu aimes ma merde je vais t'offrir la mienne, je vais te chier sur la gueule.

 

Elle ne me demande pas mon avis, mais je n'ai pas protesté non plus.

 

Un joli boudin chaud et odorant se tortille à la sortie de son cul avant de m'atterrir sur le menton et de glisser dans mon cou. Elle me le retire, le porte à sa bouche, le lèche un peu avec un air de défi avant de me proposer d'en faire autant.

- Maintenant nettoie -moi le cul !

Je l’ai fait, elle m’a détaché.

- Je te laisse nettoyer tout ça ! Je vais t’apporter des draps propres, quand tu auras fini rejoint moi en bas, on boira un coup.

Le temps de faire tout ça, de prendre une douche rapide, elle m’attendait au salon revêtue d’un joli kimono en fumant une cigarette dans un fauteuil.

- Champagne ?
- Volontiers !
- Votre pyjama est très moche ! me dit-elle

Elle redevient elle-même, je ne réponds pas.

- Trinquons ! il est bien évident qu’il ne s’est jamais rien passé ! J’ai mis mes affaires tachées dans un sac plastique, vous les ferez nettoyer à vos frais.
- J’y comptais bien !
- Vous ferez aussi nettoyer les draps. Au fait, vous partez quand ?
- Dans une semaine.
- Il n’est pas impossible qu’il me prenne l’envie de jouer avec vous, mais je vous le ferais savoir.
- Bien !
- Au fait votre DVD, vous pouvez me le prêter
- Bien sûr !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Dumigron
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