Marine et Thibault

Samedi 20 janvier 2024 6 20 /01 /Jan /2024 14:29

Les cabines du « Diable vert » par Marine et Thibault
candaulisme

Après un dîner aux chandelles dans un restaurant chic, ma femme Marine et moi nous devisions de choses et d’autres et au moment de l’addition je vis Marine regarder avec attention l’entrejambe du serveur qui a en croire la bosse du pantalon devait être de bonne taille. Une fois sorti du resto je dis en souriant à Marine

– Alors on se rince l’œil petite garce ?

Marine se mis à rougir et me répondit que cela ne faisait pas de mal de voir de belles choses. Vu la réaction de Marine je me dis que je pourrais lui faire plaisir tout en me rinçant l’œil. Je pris Marine par le cou et lui dit

– Ça te dirait de te taper une bonne queue avant de rentrer à la maison ?

Un peu surprise par cette proposition directe, elle me répondit :

– Ça me paraît une très bonne idée ! Et elle m’embrassa avec fougue.

Nous voilà en route vers le « Diable vert », une boite de notre ville à la réputation sulfureuse. La tenue de Marine ce soir était vraiment très sexy et cela ne devrait pas trop prendre de temps pour trouver un bel étalon qui la comblerait. Une fois dans la place, Marine me dit en se dirigeant vers la piste :

– Allez, je me lance !

Tout en me jetant un regard langoureux, elle se mit à onduler sur la piste prenant des poses assez suggestives. Elle se déhanchait frénétiquement telle une belle salope allumant tous les mecs sur son passage. Rapidement Marine se trouva entouré de deux types, un jeune et un autre d’âge mûr. Ces deux types semblaient très entreprenants et commençaient à peloter ma femme de plus en plus ouvertement. Là une main au cul, là une main aux seins… Marine de plus en plus excitée me lançait des regards discrets pour tester ma réaction. je lui fis un signe complice et me dirigeai vers les « cabines d’amour ». J’attendis que Marine entre dans l’une d’elles avec les deux types, puis j’entrais dans la cabine contiguë. Une petite trappe vitrée permet d’observer ce qui se passe dans la cabine mitoyenne. J’étais donc aux premières loges.

– Alors messieurs, à qui le premier ? Lança Marine
– Tu m’as l’air d’une belle salope toi, tu vas commencer par sucer mon pote ! Répondit le plus âgé.

Le plus jeune défit son pantalon faisant jaillir une belle bite comme Marine les adore.

– Toi mon beau tu as vraiment un bel instrument !

Elle s’en empara et se mit à jouer avec, puis le prit dans sa bouche. cette vision me fit bander et tout en restant discret je commençais à me masturber. Le plus âgé n’y tenant plus releva la jupe de Marine sur son dos .Marine arrêtant de sucer déclara :

– Vas-y toi ! Baise-moi comme une chienne en chaleur !

Et l’homme la prit par les reins et commença à la limer de plus en plus rapidement. ces coups de boutoir lui arrachait des cris de plaisir de plus en plus fort.

– Dans le cul maintenant ! Encule-moi !

Vous pensez bien que le type n’allait pas refuser une telle proposition et lui défonça la rondelle.

– T’as vraiment un cul de salope !
– Ben oui ! Répondit-elle entre deux gémissements peu discrets.

L’autre lui dit :

– Tiens suce ! Ça va te faire taire salope !

diablevertEt il renfila son dard profondément dans sa gorge. L’homme derrière, dans un râle lâcha sa purée et vint inonder de son foutre le trou du cul de Marine. Celle-ci au comble de son plaisir se prit un autre décharge de foutre sur le visage. Les deux lascars une fois leur petite affaire accomplit s’éclipsèrent en rigolant, ma Marine était un peu déboussolée mais satisfaite de cet épisode pervers.

Je sortis à mon tour de la cabine en oubliant de ranger ma bite et embrassais ma femme à pleine bouche lorsqu’un inconnu m’interpella :

– Ben dis donc, tu bandes bien, toi !
– Euh…
– T’as une belle bite, je peux la toucher ?
– Euh..
– Laisse toi faire ! Me dit alors ma femme
– Je vais bien te sucer, j’adore faire ça ! Me relança l’inconnu.

J’étais prêt à l’éconduire mais Marine prit les devants.

– Allez on va en cabine, je vais vous regarder.

Une fois en cabine l’homme me demande :

– Tu suces aussi ? Demande-t-il
– Non, mais il en meurt d’envie ! Répond Marine
– Alors vas-y, il faut toujours assumer ses fantasmes ! Me dit le bonhomme en exhibant sa bite.

Je me baisse, engloutis cette bonne queue et m’en régale.

– Tu suces bien, t’es une petite salope !

Ben oui ce n’est pas ma première queue, même si les occasions sont rares !

– Je t’enculerais volontiers, ça te dit ?

Au point où j’en suis-je ne saurais refuser.

Et le type après m’avoir léché le fion pour faciliter l’introduction m’encula comme un chef sous les yeux concupiscents de mon épouse qui se tripotait la chatte. Il me pilona pendant plusieurs minutes, puis se retira sans avoir joui, sans doute voulait-il profiter encore des plaisirs du lieu ? Il me suça à son tour, je ne tenu pas très longtemps, trop d’excitation accumulée.

– On va entrer maintenant ? Proposais-je à Marine.
– Ne sois pas si pressée, je me taperais bien une petite lesbienne, maintenant !

Quelle chance j’ai d’être marié à une si belle salope !

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 24 janvier 2022 1 24 /01 /Jan /2022 13:23

Un jeu de rôle par Marine et Thibault

Avec Marine on joue parfois à des petits jeux de rôles. Je vais vous raconter celui-là
J’ai demandé à Marine de s’habiller en pute, et moi je fais le vilain maquereau

– Tu me rapportes combien aujourd’hui ?
– Aujourd’hui, je n’ai pas fait grand-chose.
– Salope ! Tu vas être punie !

Thibault Catherine01

Je fais mettre Marine à quatre pattes, puis je lui place un collier de chien autour du cou et je la promène un peu en laisse dans l’appartement, comme elle ne va pas assez vite, je la tire par son épaisse tignasse brune. Elle m’excite dans ces moment-là avec son grand nez et son air de chien battu.

Thibault Catherine02

Je lui enlève son haut et sa jupe, et je lui administre une bonne fouettée sur son gros cul, faut dire qu’elle adore ça !



Thibault Catherine03

Puis sans ménagement je la tire à nouveau par les cheveux, et je l’installe sur la chaise, j’ai dû lui faire mal, je m’en veux un peu alors je la console en lui plaçant son visage contre mon ventre, et en lui faisant sentir la promesse de ce que j’ai, maintenant bien raide, dans ma culotte

.Thibault Catherine04
Thibault Catherine05

Je la ficelle sur la chaise et je lui demande de me sucer pendant que je lui pince le bout des seins, au bout d’un moment je la libère de ses liens mais cette fois ci je l’attache derrière le dossier.Thibault Catherine06

Thibault Catherine07

Finalement je m’assois et je lui demande de me sucer les mains attachées derrières le dos… mais finalement j’aime bien quand elle se sert de ses doigts alors je lui défais ses liens , me laisse sucer, « normalement » et lui offre un première récompense en lui suçant avec application sa belle chatte bien grasse. Puis je l’encule !Thibault Catherine12

Je souffle un peu, je m’amuse à l’attacher sur la table à l’aide d’une paire de menottes, après lui avoir excite l’anus avec un petit vibro masseur, et je lui demande de me nettoyer mon trou du cul merdeux avec sa petite langue. Toujours bien excité je lui demande encore de me sucer et j’en profite pour lui peloter ses gros nichons que j’adore, et je ne finis par jouir dans sa bouche…Thibault Catherine13

Thibault Catherine14

Marine n’a pas joui et se paluche comme une malade
Quel trip ! Après on est allée au restau comme deux amoureux et encore après on encore fait les fous mais de façon un peu plus classique….

(juin 2003)

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:11

La visite de Maman par Marine et Thibault

 

Stamp MD

 

Bonjour, c’est Marine et Thibault, mais aujourd’hui ce sera moi la narratrice

 

J’ai longtemps hésité à écrire cette histoire, parce qu’annonçons la couleur, c’est d’inceste qu’il s’agit et on en a écrit des bêtises là-dessus.

 

Alors je précise tout de suite, personne ne m’a forcé de quelque façon que ce soit à faire ce qui s’est passé ce jour-là…

 

Et quand cela fut terminé, je n’ai pas été courir chez le psychiatre pour lui dire que maintenant j’étais traumatisé à vie, mais j’ai eu une envie folle de recommencer, ce que j’ai fait d’ailleurs.

 

Comme ça je suis une salope ?

 

Si ça vous choque inutile de continuer la lecture.

 

Chantal, ma mère a 50 ans et des poussières, c’est une petite brune aux cheveux assez courts, elle très légèrement enveloppée, le visage est marqué mais pas abimé, elle a une grosse poitrine dont j’ai toujours été un peu jalouse. Elle est souriante, amusante et porte des lunettes à grosses montures.

 

Elle est habillée aujourd’hui d’un petite jupe noire et en haut d’un chemisier imprimé blanc avec de grosses fleurs rouges

 

Elle habite en province où elle s’occupe d’un négoce de fringues, On ne la voit que rarement lors de ses montées professionnelles à Paris.

 

Et ce jour là nous dînions trous les trois à la maison, elle avait apporté un gros gâteau à la crème et une bonne bouteille de Bourgogne, j’avais cuisiné un canard à l’orange.

 

Tout se passait bien, l’ambiance était joyeuse et festive.

 

Et puis tout est parti d’une réflexion

 

– Tu sais, ce qu’il m’a dit Thibault, Maman ?

– Non !

– Qu’il aimerait bien te sauter ! Quel cochon !

 

Je ne sais pas pourquoi, j’ai sorti ça, sans doute une facétie de mon inconscient !

 

– Remarque c’est plutôt flatteur ! Répond ma mère.

– N’empêche que c’est un cochon ! Répliquais-je.

– Et s’il le faisait en vrai, tu dirais quoi ? Reprend Maman

– Je ne sais pas trop, je ne suis pas jalouse, à la limite ça m’amuserait.

– T’entends ça, Thibault, on n’a plus qu’à se donner rendez-vous ! Plaisante maman.

– Chiche ! répond Thibault sur le même ton.

– Cela dit ça ne va pas être évident, je redescend à Bordeaux demain matin.

– Il ne reste plus que ce soir, alors ! Répliquais-je

– Ça vous tente ? Thibault ?

– Vous êtes sérieuse, là ?

– Ben quoi on peut délirer, ça ne fait de mal à personne. On va faire un petit jeu.! Dit-elle en s’approchant.

 

Ma mère commence à se dandiner devant mon mari, se caresse par-dessus ses vêtement les cuisses, puis la poitrine.

 

Puis la main de ma mère s’égare un moment sur la braguette.de mon mari.

 

– Chantal, quand même…

– Laisse toi faire, ! Intervins-je, elle en va pas te manger.

– Ça devient tout dur là-dedans ! Commenta ma mère en continuant à tripoter l’endroit de façon ostensible. Je continue ? Nous demande-t-elle.

 

Excitée comme une puce, j’ai spontanément répondu « oui », Thibault n’a rien rétorqué, mais il n’a pas dit non.

 

Maman continue de se trémousser, irrésistiblement attiré par sa poitrine, Thibault ose porter sa main sur ses cuisses puis remonte vers la poitrine qu’il malaxe par-dessus le tissu.

 

Elle a maintenant remonté sa jupe au-dessus de la culotte, Thibault lui embrasse le haut des cuisses puis s’enhardit à porter sa main sur la culotte.

 

Maman soulève son haut laissant apparaître un joli soutien-gorge noir et gris. Thibault comme fou pelote ma mère, ses mains et sa bouche vont partout. Maman se tourne, l’invitant à dégrafer le soutif

 

Ma mère a décidemment une superbe poitrine, j’ai une irrésistible envie de la toucher et de la sucer, mais je me retiens laissant pour l’instant Thibault en profiter, et pour en profiter, il en profite, le salaud, il lèche, il lui aspire les tétons, il n’en peut plus.

 

Maman se retourne de nouveau, Thibault lui baisse sa culote et lui embrasse les fesses

 

Elle le laisse faire quelques instants puis lui ouvre la braguette et en extrait sa bite raide comme un piquet., elle le masturbe quelques instants et se penche afin de l’engloutir en pleine bouche.

 

C’est fabuleux, c’est bien la première fois que je vois ma mère faire une pipe.

 

Je pensais qu’il s’agissait là d’une petite distraction d’après repas, une petite fellation, avec éventuellement une éjac et que l’on passerait à autre chose.

 

Mais l’excitation s’étant mise de la partie, ma chère maman avait d’autres intentions…

 

– Hum, c’est trop bon de sucer une bonne bite ! Déclame-t-elle toute fière d’elle. Je suis tout excitée maintenant, je me ferais bien baiser, ça te dirait Thibault ?

– On va peut-être trop loin, là ?

– Hypocrite, pourquoi tu bandes, alors ?

– Euh…

– Qu’est ce que tu en penses, Marine ? Demande ma mère.

– Si ça vous fait plaisir à tous les deux, allez-y, moi je vous regarde.

 

Maman va alors s’affaler sur le canapé, les jambes écartées.

 

Thibault hésite encore un peu.

 

– Ça ne va pas le faire, on n’a pas de préservatif ! Dit-il.

– Passe moi mon sac à main, je dois en avoir.

 

Dingue ! Ma mère se balade avec des préservatifs dans son sac à main ! C’est la soirée des grandes découvertes.

Chantal

Toujours est-il que cette fois Thibault n’a plus de raison de tergiverser, il se précipite sur la Maman et la lime comme un sapeur. Mais il est tellement excité qu’il ne tient pas la distance et éjacule avant qu’elle n’ai pu jouir.

 

Il est confus, on le serais à moins. Moment de flottement.

 

– Viens me voir ! Me dis Maman

 

Je m’approche, lui caresse ses doux bras, ma main s’aventure doucement vers ses seins.

 

– Vas-y m’encourage-t-elle.

 

Alors je lui tète ses gros tétons et m’en régale,

 

– Déshabille-toi, ce sera plus cool !

 

Effectivement !

 

On s’embrasse, on se caresse, on se lèche les seins, puis ce qui devait arriver arriva.

 

– Lèche moi la chatte, ma fille.

 

C’est la première fois que je voyais le sexe de ma mère de si près, j’approchais ma langue de ce trésor, c’était humide, ça sentait la femelle, c’était divin.

 

Excitée, je réclamais ma propre part de jouissance et je rectifiais ma positon afin de nous retrouver en 69.

 

Je me faisait lécher par mère pendant que je me régalais de son propre sexe.

 

Nous n’avons pas tardé à jouir toutes deux comme des malades avant de nous rouler une pelle tellement baveuse que nos salives dégoulinait sur nos mentons.

 

Superbe expérience mais pourquoi ma mère a-t-elle attendue si longtemps pour se lâcher ainsi ?

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:09

Cocktail de perversions par Marine et Thibault

 

zoo

 

Coucou les coquines et les coquins, Ici c’est Thibault.

Nous étions ce soir-là invités à un barbecue chez Roland et Gina, un couple libertin. Nous avions bu un excellent rosé et les conneries allaient bon train, en dessous de la ceinture évidemment. Un moment je ne vois plus Roland et je demande où il est passé. Gina me dit qu’il est derrière un arbre un peu plus loin. J’ai compris qu’il était parti pisser et me suis dit que je ferais bien pareil.

Je me dirige vers les arbres, pensant que Roland aurait terminé ! Fini de pisser oui, mais il faisait tout autre chose puisqu’il était en train de se branler mollement. J’avoue sans aucune honte avoir été fasciné par cette belle bite bien raide au gland violacé et luisant

– Elle te plait ? Me demande-t-il.
– Elle est belle, faut bien avouer !
– Tu veux la toucher ?
– Je ne suis pas pédé ! Me défendis-je mollement
– Ça tombe bien, moi non plus ! Vas-y touche !

Je touche, c’est doux c’est soyeux, c’est excitant, je bande !

– T’as déjà sucé une bite ?
– Euh…
– Ah, je vois, tu ne te rappelles plus, ça arrive les trous de mémoire ! Se moque-t-il.
– C’est le pinard…
– Ça te dirait de me la sucer !
– Euh…
– Bon tu ne dis pas non, on va faire ça devant les dames, ça va les exciter !
– Tu crois ?
– Mais oui, Gina, ça va lui plaire… quant à Marine si elle te dis quelque chose tu lui diras que c’est le rosé…

Bref nous voici devant les filles.

– Eh, les nanas, regardez, Thibault va me sucer la queue !
– Non ?
– Si !

Et l’instant d’après j’avais la bonne bite de Roland dans ma bouche, je me régalais d’autant qu’il venait de pisser et que sa bite avait une goût d’urine pas désagréable du tout. Je l’ai bien léché pendant cinq minutes, le gland, la verge, les couilles…

– Et si tu lui mettais ta bite dans le cul ? suggère Gina.
– Oh oui, oh, oui ! Approuve Marine.

Il faut toujours faire plaisir aux dames, je baisse donc mon calfouette, présente mon cul au Roland qui m’encule comme un chef devant ces dames qui excitées comme des puces se frottent la chatoune d’abord en solo puis en duo. Roland a fini par jouir dans mon fondement et m’a laissé le cul béant.

Moi j’aurais bien joui aussi, mais je n’osais pas solliciter Gina. Je suis un grand timide ! Ce fut elle qui prit l’initiative, elle se déshabilla entièrement et me demanda de me coucher sur l’herbe, elle vint alors me pisser dans la bouche pendant que je masturbais.

Marine se mit alors en crier !

– Ne pisse pas tout, gardes-en pour moi !

Ma femme s’allongea alors à ma place et eut droit aux dernières gouttes, ensuite les deux femmes complètement déchainées se gamahuchèrent en un ballet infernal.

On était fatigué et on nous a conduit à la chambre d’amis

Allongé sur le lit à côté de Marine ma femme, j’ai commencé à la caresser. Ma femme était très excitée, et je me souviens d’une forte odeur sexuelle qui émanait d’elle. Comme je l’avais longtemps caressée, j’ai éjaculé presque tout de suite. Très excitée, encore, elle a continué en se masturbant. Assis à côté d’elle, je la regardais en attendant le retour d’une éventuelle érection. A ce moment, le chien de nos amis est entré dans la pièce et est venu vers ma femme. Machinalement, celle-ci a tendu la main vers lui. Il a flairé les doigts avec lesquels elle s’était masturbée, et s’est mis à les lécher avidement. Puis en quête de la source de cette odeur, il a glissé sa grosse tête entre les cuisses de ma femme qui l’a repoussé.

Mais l’incident m’avait vivement troublé, et j’ai décidé de pousser la chose plus loin. J’ai dit à ma femme que ce pauvre toutou avait bien le droit de lécher l’invitée de sa maîtresse, et qu’il n’y avait pas là de quoi fouetter un chat. En outre, ajoutai-je, ce serait peut-être très agréable. Et, passant mon bras autour de ses épaules, j’ai recommencé à l’embrasser et à lui caresser les seins.

Le chien est revenu flairer entre ses cuisses ouvertes, puis s’est mis à lécher. Appréhensive au début, ma femme s’est progressivement laissé aller et a commencé à réagir.

3Miranda
Fasciné, je me suis levé pour mieux jouir du spectacle. Ma femme de son côté, a redressé la tête pour pouvoir regarder. Le chien la léchait à grands coups de langue. Ma femme s’est mise à gémir. Le chien s’est alors avancé, a posé ses pattes de devant sur les seins de ma femme et a commencé à se pousser de l’arrière-train, exactement comme un homme, en cherchant l’entrée. La scène paraissait totalement irréelle.

J’ai vu le pénis écarlate de la bête, qui sortait, congestionné, de son fourreau, et butait aveuglément sur le pubis de ma femme. Sans hésiter, je l’ai pris en main pour le guider dans le vagin tandis que ma femme avançait son bassin. Une fois en place, le chien s’est mis à assurer un va-et-vient énergique. Bientôt, déchaînée, ma femme s’est accrochée à l’animal, en écrasant la tête de celui-ci contre ses seins et en le suppliant de continuer. Elle était trempée de sueur. Plusieurs orgasmes se sont succédé, dans un concert où les halètements canins répondaient aux gémissements féminins. Enfin, le chien, ayant éjaculé, se remit à quatre pattes par terre et descendit dans la cuisine boire tout le contenu de son bol à eau.

Marine est restée longtemps immobile sur le lit. Elle avait une expression étrange. Je suis allé faire du café. De la cuisine, je l’ai entendue qui faisait couler un bain. Quand je suis entré dans la salle de bains, elle était immergée dans un bain de mousse. Elle m’a enfin regardé, timidement, avec un sourire de petite fille qui a fait une grosse bêtise. Je l’ai rassurée d’un sourire et d’une petite tape sur la tête. Le lendemain, nous avons enfin osé parler de cette extraordinaire expérience. Elle m’a raconté comment le pénis du chien lui avait donné des sensations absolument différentes de celui d’un homme : plus visqueux, plus pointu, plus long aussi, elle le sentait très profondément. Et le rythme aussi était différent, plus rapide. Et la sensation de cette fourrure contre elle. Tandis qu’elle me donnait ces détails, je voyais dans ses yeux un nuage rêveur que perçait toutefois une lueur malicieuse. Elle semblait penser : C’est incroyable ! Je me suis encore fait prendre par un chien ! je suis une salope.

Moi je m’en fous, je l’adore, ma salope !

 

Fin

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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Mercredi 14 juillet 2021 3 14 /07 /Juil /2021 18:02

Trio en famille par Marine_et_Thibault

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Avez-vous lu « la visite de Maman » ? Toujours est-il que nous avons vécu une autre aventure avec ma mère, laissez moi vous la narrer.

L’horloge du salon sonne 18 heures. Avec Thibault, nous étions en train de glander. Il a fini par se lever et mettre un C.D. de musique d’ambiance . Il me dégage de mon fauteuil avec douceur, me prend dans ses bras et nous commençons à danser. De la douce musique, quelques baisers et des tendres caresses, nous sentons le feu nous dévorer les entrailles. nous dansons plusieurs minutes en nous caressant mutuellement partout où nos mains ont accès. Nous aimons prendre notre temps.

Tout doucement, on s’est déshabillé mutuellement, tout en s’échangeant de douces caresses ce qui nous a excité de plus en plus.

Ma petite culotte vient de tomber, le boxer de Thibault prend le même chemin. Danser nus nous transporte d’extase. Je sens ma chatte toute humide et la queue de Thibault est à sa pleine capacité. Il met sa bonne bite entre mes deux lèvres vaginales et notre chaleur est à son paroxysme. Nous continuons à danser et à nous caresser

Tout à coup, j’aperçois ma mère qui nous regarde devant la porte-patio. C’est bien elle, ça se pointer comme ça à l’improviste, sans un coup de fil préalable, mais c’est vrai qu’elle est fâché avec son téléphone portable.

Au point où nous en sommes, nous ne pouvons reculer. Je lui fait un sourire et elle entre.

– Nous allons nous rhabiller ! Commençais-je.
– A moins qu’on se fasse un petit trio ? Propose-t-elle sur le ton de la plaisanterie.
– Chiche ? Rétorque Thibault
– Et toi Marine qu’est-ce que tu en penses ? Me demande ma mère.
– Ça peut être… comment dire…
– Pervers ? Excitant ? Tabou ? Interdit ?
– Tout ça , oui !

Elle nous prend dans ses bras et nous dansons tous les trois. Thibault et moi, nous lui enlevons ses vêtements et tous les trois nus, nous unissons la chaleur de nos corps. Maman et moi, nous nous partageons le sexe de Thibault.

On se regarde dans les yeux, on se caresse, et avant que je m’en rende compte, les lèvres de ma mère se retrouvent sur les miennes et nos langues se tortillent dans tous les sens, dans la chaleur de notre bouche.

Pendant ce temps, Thibault nous regarde et il nous caresse chacune notre tour avec ses doigts, sa bouche sur nos tétons durcis par tant de plaisir, sa langue fouille nos moules juteuses et il mélange nos jus. Il prend un plaisir fou et tout à coup nous ne pouvons plus tenir debout, et nous nous retrouvons par terre pour regarder les uns faire des caresses aux autres.

Notre langue fouille dans la bouche de l’autre et autant sur la bite terriblement bandée de Thibault

Ma mère s’est mise à quatre pattes sur le tapis et nous a demandé de lui lécher l’anus. Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour je lécherai le trou de balle de ma propre mère, Il avait un goût exquis.

Emportée par une frénésie érotique, je plongeais deux doigts dans son anus, la faisant brailler comme une ânesse. Quand je les retirais ce fut pour laisser la place à Thibault qui l’encula sans rémission

Il jouit dans ses entrailles et ressorti sa bite toute gluante de sperme et maculé de merde.

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Maman et moi avons nettoyé cette jolie bite de nos langues vicieuses afin qu’elle redevienne toute propre comme un sous neuf.

– C’est si bon de sucer une bite qui sort d’un trou du cul ! Me confie ma mère.
– Cochonne :!

Thibault va s’assoir, j’échange un long baiser baveux avec maman, on se touche la chatte mutuellement, on est mouillé comme des gouttières.

Ma mère se relève et me demande d’ouvrir grande la bouche.. J’ai compris ce qu’elle veut faire.

– Tu ne veux pas ? Me demande-t-elle
– Oh, si Maman, pisse-moi dans la bouche. J’adore ça.
– Alors avale, petite cochonne.

Hum,; c’était délicieux

Puis, c’est quasi spontanément que l’on s’est couché en soixante-neuf sur le tapis et que l’on s’est lapé la chatte jusqu’à l’orgasme.

Quelle était bonne la chatte de maman !

 

Par vassilia-x-stories - Publié dans : Marine et Thibault
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