Marine et Thibault

Samedi 20 juillet 2013 6 20 /07 /Juil /2013 23:46

Moi, j’aime le Music-hall !
Par Marine et Thibault

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Thémes abordés : travestis

Je n’ai donc pas le droit de citer le nom de ce célèbre music-hall un peu coquin, il paraît que son nom est une marque déposée et qu’il n’est pas dans le domaine public.

J’ai par contre celui de vous le décrire.

Alors vous sortez du métro, non ne cherchez pas les complications, il n’y a qu’une sortie, en queue de station (quoi que ça dépend d’où vous venez !) Vous marchez 200 mètres devant vous ! Et il est là, majestueux, sa façade a été ravalé. Grâce à des subventions publiques ce travail a bénéficié d’un gros budget et donc d’entreprises compétentes ! Les colonnades sont maintenant impeccablement blanchies et sont artistiquement illuminées la nuit. Le dôme a été refait et les ardoises crasseuses ont été remplacées à l’identique par des matériaux neufs.

Rentrons : La salle des billets est assez étroite, mais on a voulu la garder ainsi, le billet étant pris, on passe dans une espèce de corridor ou un préposé vérifie. Vous pouvez alors bénéficier du vestiaire, puis vous rentrez directement dans la grande salle ou l’immense et fier rideau rouge cache pour l’instant cette magnifique scène. La fosse d’orchestre est toujours là. Elle ne sert plus beaucoup. Il est tellement tentant dans un compte d’exploitation de remplacer les salaires de bons musiciens par un simple enregistrement sur cassette payé une misère à un stakhanoviste du synthétiseur

Mais moi je ne rentre pas par ce chemin, je pénètre carrément par l’entrée des artistes. Et pourtant je n’ai rien d’une artiste. Je me prénomme Marie-Lyse, j’ai 30 ans, vraie blonde (si ! Si ! Vous pouvez vérifier ! Une petite poitrine genre  » y a ce qu’il faut « , pas assez de fesses, on ne peut pas tout avoir. J’ai des yeux bleus et j’ai gardé de ma province un accent bourguignon dont je n’arrive pas à me débarrasser. Malgré ces quelques handicaps, le bilan n’est pas trop mauvais, et en règle générale je plais à ces Messieurs.

Parce que je ne vous ai pas tout dis, dans ma culotte, niche une jolie bite, bien blanche parcourue par une jolie veine bleue et terminée par un gland tout rose et tout lisse.

Je suis sûre que vous aimeriez bien la sucer, bande de petits cochons que vous êtes !

Mais confidence pour confidence, j’aime mieux sucer que me faire sucer ! C’est comme ça, ça ne se commande pas !

Mon métier n’est pas toujours facile, mais je n’en changerais pour rien au monde. Je suis habilleuse. Bien sûr mon rôle est avant tout d’habiller mais il arrive qu’entre deux tableaux mes fonctions dérivent vers quelque chose de moins sérieux. L’autre soir par exemple à l’entracte, il y avait Conrad J. Hamilton, vous savez le chanteur noir ! Non vous ne savez pas ! Plus personne ne se souvient de lui, mais ça ne fait rien, c’est un géant baraqué superbement monté. Il m’a fait appeler dans sa loge. Quand je suis arrivée, je l’ai trouvé entièrement nu, installé devant sa table de maquillage

J’ai vu tout de suite qu’il bandait, surtout qu’il n’a pas eu un geste pour cacher sa grosse bite qui se dressait entre ses cuisses. Il m’a jeté un coup d’œil fiévreux et m’a dit d’emblée :

- Je ne sais pas ce que j’ai, je suis excité comme un dingue, ça m’a pris tout à l’heure et depuis moi ne peux plus m’arrêter de bander !

Puis il a ajouté en matant la bosse qui pointait sous ma blouse

- Je sais bien que c’est pas ton boulot, mais j’aimerais bien que tu m’achèves, autrement je ne pourrais pas remonter sur scène !

Au lieu de me choquer la proposition m’a aussitôt fait monter l’adrénaline. Je ne pouvais détacher mes yeux du superbe engin qui pointait d’entre ses cuisses puissantes. Les mains moites, la gorge sèche et la bite en feu, je lui ai murmuré :

- Tu veux que je prenne ta grosse queue dans ma bouche ? C’est ça que tu veux ? Ou bien tu veux me la mettre directement jusqu’à la gorge ?
Marylise
Ses mâchoires ont frémi et il s’est mis à bander encore plus dur !

- Je vais te la mettre direct ! A-t-il gémi en me faisant pivoter sur lui.

Puis il a relevé ma blouse, s’est amusé un moment avec ma bite, puis s’est introduit dans mon petit cul. Le temps de quelques secousses hyper violentes et nous nous sommes explosés la tête de plaisir

- T’as aimé ça, hein, tantouse ?
- La tantouse, elle t’emmerde !

C’est vrai ça, j’ai horreur qu’on me manque de respect ! Mais…

…Moi j’aime le music-hall…

Publié sur revebebe le 2/12/2000, puis passé à la trappe

Par Marine et Thibault Devilers - Publié dans : Marine et Thibault
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Mardi 2 juillet 2013 2 02 /07 /Juil /2013 06:57

Un bon coup de crayon.
par Marine et Thibault

 

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Thémes abordés : masturbation

 

Hello, vous vous rappelez de moi, c'est Marine ! (Deux qui la tiennent...)

C'est notre troisième histoire ! Elles n'ont pas un succès fou ! Que voulez-vous, comme dirait l'autre, on ne peut pas plaire à tout le monde. Mais l'essentiel c'est qu'elles ont plu à certains ! Faut de tout pour faire un monde !

Pour ceux qui débarquent, on vous refait la description : Je ne suis pas Claudia Chou-fleur mais je n'ai rien d'un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teints en blonds, un joli petit sourire ! Ça ira ?

Vous en voulez encore ? J'ai un joli nez et surtout une bouche qu'on dirait dessinée pour faire des pipes !

Faut pas que je me plaigne ! Avec le salaire de mon époux, j'aurai pu rester chez moi à ne rien foutre, mais qu'est-ce que vous voulez, à la maison je m'emmerde, alors je travaille dans la boite de mon mari comme secrétaire de direction. Et comme nous prenons mon homme et moi nos vacances au mois de juillet, au mois d'août, et bien je suis au bureau, et au mois d'août ce connard de directeur adjoint n'est pas là. C'est son tour de partir en vacances. Donc je me satisfais très bien de cette situation, et en fait au mois d'août je baise au bureau au lieu de baiser à la maison. Parce que mon mari, lui qu'est-ce qu'il fait ? Lui qui ne s'occupe pratiquement pas de la gestion de la boite, et bien au mois d'août il trouve toujours un voyage d'affaire à se farcir ! En fait de farcir, il doit se faire une cure d'escorts-girsl de toutes nationalités et de toutes couleurs. Alors pourquoi, je me priverais ?

Donc, vous avez compris, quand les patrons ne sont pas là, les souris dansent et se tripotent ! C'est ce qui m'est arrivée l'autre jour sous le coup de quatre heures de l'après-midi. J'étais assise dans le fauteuil de l'adjoint en train de consulter un dossier quand celui-ci a téléphoné de Saint-Tropez (encore un qui doit se croire indispensable !) C'est alors qu'il m'est venu une envie irrésistible de me doigter la minette. Il faut dire que chez moi, ce genre de choses arrive n'importe où et n'importe quand.

Tout à coup ma chatte s'embrase, mes tétons durcissent et il faut alors que je me soulage, que mon minou explose de plaisir ce qui n'est pas toujours évident. Mais tandis que ce connard d'adjoint monologuait sur un dossier dont je me fichais royalement, je n'ai pas hésité, j'ai posé le combiné et j'ai branché l'ampli. Puis j'ai pris dans le pot à crayon un gros stylo à bout lisse, j'ai écarté les cuisses et la dentelle de ma petite culotte et je me le suis enfoncé en imaginant que l'homme de ménage, un gros black qui m'excitait me baisait comme une chienne.
marine
Quand cet imbécile d'adjoint m'a demandé pourquoi je criais comme ça, je lui ai raconté que je venais de me pincer avec une agrafeuse. Pendant que cet ahuri me plaignait et m'expliquait dans quel tiroir il rangeait ses pansements, je me suis amenée tout droit à un orgasme d'enfer, mais quand le gros black du ménage a frappé à la porte avec son seau et sa serpillière, j'ai coupé la communication et je me suis précipitée au-devant de cette grosse bite qui allait me défoncer sans plus tarder.

 

Je vous l'ai dit : le mois d'août au bureau, c'est show !!!

Publié sur revebebe le 21/12/2000 puis passé à la trappe

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Lundi 1 juillet 2013 1 01 /07 /Juil /2013 06:35

Magique Provence
Par Marine et Thibault

stamp blackette

Thémes abordées : bisex féminine, scato hard, soubrette, triolisme, uro

Provence ! Provence ! Je suis amoureux de ton ciel. Provence ! Provence ! Je suis amoureux de ta mer, de tes filles brunes et de ton mistral. De tes pins parasols et de tes cigales. De ta soupe de poisson, de ta bouillabaisse et de ton pastis. De l’odeur des herbes de Provence et de la lavande. De cet arrière-pays qu’on si bien dépeint Alphonse Daudet et Marcel Pagnol à tel point que je ne peux y croiser une chèvre sans me dire que ce doit être celle de Monsieur Seguin, à tel point que je ne peux y croiser un chat sans qu’il ne me rappelle Pomponnette, la chatte de la « femme du boulanger », celle qui se fait engueuler par Raimu au lieu et place de sa femme ! Ah Pomponnette ! La chatte la plus célèbre du 7ème art.

En vacances je ne fous rien ! J’emmène toujours le nécessaire pour faire un peu d’aquarelle, mais je sais que je me lasserais vite, finalement je ne dois pas être doué !

J’ai du fric et je n’ai aucun mérite à en avoir, j’ai simplement hérité de la boite de mon père ! Je ne m’en occupe pas trop ! Mais je peux vivre tranquille. Je ne suis ni beau ni moche, je suis moyen ! Je me prénomme Thibault, c’est con comme prénom, hein ! Je le sais bien ! Et ma femme vous savez comment elle se prénomme : Marine ! Franchement c’est-t-y pas ridicule ? Dans le genre nouveau beauf on ne fait pas mieux !

Et puisqu’on parle de beauf c’est notre fête à tous les repas ! Ça commence par :

« Un Thibault, deux Thibault, trois Thibault doudou ! »

et quelques verres plus tard c’est le tour de bobonne

« Marine, deux qui la tiennent, trois qui la pinent !

S’ils savaient ces pauvres cloches qu’elle ne dirait pas non ma Marine !

Tiens, je vous la décris, mais retenez bien, je ne vais pas remettre ça à chaque histoire (ben oui ! Je vais peut-être vous en raconter plein !)

Bon ce n’est pas Paméla Anderson, mais ce n’est pas non plus un laideron. Non elle est moyenne, assez fine, assez grande, des seins moyens un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des cheveux mi longs teint en blonds, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne

L’été les vacances, la Provence. Il faut que ce soit fun et super éclatant à tous les niveaux. Pour cela Marine et moi avons trouvé une solution. Chaque année on emmène avec nous dans notre maison du midi, une sorte de fille au pair qui moyennant un salaire coquet, non seulement assure les tâches ménagères, mais se soumet à nos caprices, principalement sexuels (il y a des officines spécialisées pour ce genre de choses ! faut chercher un peu, je ne peux pas tout vous dire !)

Cette année on s’y est pris assez tard et le connard qui s’occupe de cela me dit d’un air désolé qu’il ne lui restait plus qu’une antillaise ! Et alors ? Non seulement je ne suis pas raciste (on ne peut pas avoir que des défauts !) Mais j’adore ! Ça ne gêne pas non plus ma femme ! Alors allons-y et on embauche Margotte pour un mois !

En plus elle est superbe, Margotte, une jolie frimousse, des nichons pas possible, un cul d’enfer cambré comme un slalom modélisé !

Elle doit donc être à notre disposition à toutes heures du jour et de la nuit, prête à me tailler une pipe, à sucer ma femme ou à se faire enculer par-devant ou par derrière, bref elle doit exaucer le moindre de nos fantasmes.

Mais nous sommes de gens bien éduqués, nous la payons bien et la respections pourvu qu’elle joue le jeu que nous lui demandons.

La nuit dernière par exemple, je me suis réveillé à trois heures du matin avec une trique d’enfer et une seule obsession : baiser la Margotte à moitié endormie sur la table de la cuisine. La queue à la main je me suis donc précipité vers sa chambre et je l’ai réveillée et emmené à moitié dans les vapes en direction de la cuisine.

- Monsieur vous exagérez !
- Ça ne sera pas long !
- Alors ça va !

margotte
Je l’ai hissée sur la table et d’une main je lui ai ouvert la chatte. Toujours à moitié endormie elle a gémi et s’est mise à remuer des reins et à faire son cinéma :

- Oui allez y baisez-moi comme une chienne !

Elle nous vouvoie, cette petite à de l’éducation !

- En fait j’ai envie de t’enculer !
- Oui, enculez-moi Monsieur Thibault

Au moment où je me hissais sur la table pour la pénétrer, j’ai entendu la voix ensommeillée de ma femme :

- Espèce de salaud, tu aurais pu me réveiller pour que je profite du spectacle.

Puis elle a ajouté avec un petit rire :

- Vas-y encule la bien profond, mais ne jouis pas, c’est dans mon cul que tu vas décharger  »

J’ai enfourché d’un coup la belle blackette tandis que derrière moi ma femme se branlait…

Au bout de dix minutes, j’ai déculé. Ma bite était recouverte de merde.

- Eh bien Margotte ! En voilà des façons !
- Je vais nettoyer la bite de monsieur ! répondit-elle en prenant mon engin en bouche et en entreprenant un joli nettoyage de la langue et des lèvres.

Mais voilà que Margotte quitte la cuisine.

- Mais Margotte pourquoi es-tu si pressée ?
- Je vais pisser ! Monsieur !
- Non retiens-toi, tu nous pisseras dessus quand j’aurais baisé Madame

- Mais il faut aussi que je fasse caca.

- Essaie de te retenir.

 

Puis j'ai été m'occuper de ma femme qui m'attendait à quatre pattes sur le carrelage, ses fesses rondes et potelées offertes à ma bite prête à décharger. J'ai lubrifié son petit trou avec ma salive puis, je me suis frayé un passage. Alors Margotte est allée se poster sous la chatte de Marine et l'a sucée pendant que je prenais possession de son cul.

 

Quelques minutes plus tard la cuisine retentissait de nos cris aigus !

 

Alors Marine et moi nous nous sommes allongés sur le sol, avons ouvert la bouche afin de recueillir le joli pipi de Margotte. Son caca à suivi juste après.

 

Je vous disais la Provence c'est magique !

 

Fin

Publié sur revebebe le 20/11/2000 puis passé à la trappe

What do you want to do ?
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Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Dimanche 2 novembre 2008 7 02 /11 /Nov /2008 07:08

Le Pharmacien
par Marine et Thibault

 

Gode stamp
Thémes abordés : doigtage masculin, engodage masculin

Je vais vous raconter une petite aventure de jeunesse, du temps où j’étais stagiaire comme préparatrice en pharmacie

 

J’avais 20 ans, et le gérant, Gérard, le pharmacien me reluquait à la façon du loup de Tex Avery. Gérard doit avoir 50 ans peut-être plus, mais belle prestance, lunette, moustache et crane plutôt dégarni laissant apparaitre une couronne de cheveux blanc.

Etourdie de nature, j’avais commis plusieurs bêtises à ce point que le pharmacien me déclara ce soir là, alors qu’il procédait à la fermeture de la boutique :

- Je suis désolée Marine, mais je ne pense pas pouvoir vous garder…

A ces mots, je me mis à sangloter

- Laisser moi encore une chance, je vous en supplie.
- Une chance ? Ecoutez, si vous consentiez à être gentille avec moi, mais vraiment très gentille, à ce moment là je pourrais revoir ma décision.
- Ce n’est pas du harcèlement sexuel, ça ?
- Je ne vous harcèle pas, je vous fais une proposition. Vous l’acceptez ou vous la refusez.
- Je ne la refuse pas, mais promettez moi de ne pas me faire de mal.
- Du mal, moi ? Je suis la douceur incarnée
- Alors d’accord. On fait ça quand…
- Je ne sais pas, je vais voir…

Il s’approcha de moi, un kleenex à la main pour que je puisse sécher mes larmes, et se colla contre moi. Au moment où il m’effleura un sein, j’eus un imperceptible moment de recul mais je me ravisai aussitôt, comme pour montrer que je n’avais pas fait attention au geste. Le pharmacien, engaillardi par mon attitude peu farouche, recommença l’opération de façon plus insistante. Cette fois, mon sourire devint complice. Gérard défit un premier bouton de mon chemisier tout en m’expliquant qu’il fallait être agréable à la vue du client si je voulais bien faire mon travail. Le pharmacien sentit que c’était le moment où tout devait basculer. Il enfouit sa main dans mon corsage et me caressa longuement mes seins doux et fermes à la fois. Je restais immobile, comme pétrifiée par l’excitation que j’étais capable de susciter chez mon patron. Il ouvrit complètement chemisier et soutien-gorge et posa sa bouche avec vigueur sur ma poitrine. Ensuite, n’y tenant plus, il guida ma main jusqu’à sa braguette. Je fis semblant d’être réticente, puis me laissai faire, défit sa braguette, sorti un engin de belle taille, déjà bien bandé et entrepris de le masturber, me prenant au jeu

- Que vous avez une belle bite, Monsieur Gérard.

Lui continuait à dévorer ma poitrine et commença à s’intéresser à mon entrejambe. Il y fourra sa main sans douceur excessive (sans doute à cause de l’excitation) et chercha à écarter le fin tissu du slip en coton. Dès qu’il eut trouvé l’entrée, il insinua deux doigts dans ma chatte brûlante. Je gémis et fit semblant de me débattre comme si je voulais en rester là. Il recula, surpris.

- On arrête ?
- Non, on continue, mais n’allons pas trop vite.

Il se reprit, se contrôla et je finis par m’abandonner à la caresse digitale, sentant même venir un orgasme. Il accéléra le mouvement jusqu’à ce je jouisse. Sans me laisser reprendre ses esprits, il acheva d’enlever son pantalon. Puis, il me souleva par les fesses, m’assit sur le bureau et approcha son sexe du mien. Naturellement lubrifiée par l’orgasme que je venais d’avoir, il réussit à me pénétrer sans effort malgré la bonne taille de son engin. Je le sentis profondément en moi et ne put réfréner un cri de plaisir. Il s’agita encore et je jouis à nouveau. Il me reposa sur la chaise et s’adossa au bureau. Il m’annonça que c’était son tour de jouir et qu’il voulait le faire dans ma bouche.

- Hum, sucer une si belle bite, ce ne sera pas une corvée.

J’accueillis d’abord timidement cette queue qui occupait toute ma bouche. D’abord un peu surprise (mais non dégoûtée) par l’odeur du membre qui sentait la pisse, je m’habituais vite et commença un long va-et-vient buccal en flattant les bourses de ses doigts. Gérard bandait bien, mais ne semblait pas prêt à jouir de suite, un moment il me demanda :

- Met moi un doigt dans le cul !

J’obtempérai, combinant d’abord le doigtage et la fellation, jusqu’à ce que le pharmacien change de position en se mettant à quatre pattes, je pouvais ainsi mieux le doigter, et de l’autre main je lui branlais la bite

- Vous aimez ça, hein qu’on vous tripote le cul ? Lui lançais-je.
- J’adore répondit-il ! Mets deux doigts.
- Et si on mettait un gode ? Proposais-je
- J’n'en ai pas ici…
- Ne bougez pas Monsieur Gérard, j’ai une idée

sarah strapon
J’avisais alors un dentifrice conditionné dans une sorte de cylindre qui ferait parfaitement l’affaire. Me saisissant de l’objet, je le lui enfonçais dans le cul, lui provoquant des cris de plaisirs inouïs.

- T’aime çà te faire enculer ? Lui demandais-je devenant à la fois familière et vulgaire
- Oui, c’est trop bon ! Continue
- Et une vraie bite, tu n’aimerais pas !
- Je ne suis pas contre !
- Oh ! Le vieux pédé ! Tu veux que je demande à mon copain de venir t’enculer ?
- Pourquoi pas ?
- Mais il faut que tu me garde, alors
- Je te gaaaaaarde ! Répondit-il en jouissant comme un dingue

Qu’est ce qu’il ne faut pas faire pour garder son emploi, je vous jure !

Marine (sans Thibault)

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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Vendredi 5 juillet 2002 5 05 /07 /Juil /2002 20:07

Un e-mail intrigant par Marine_et_Thibault

 

bisou1719

Thémes abordé : lesbos

Avant propos
Cette histoire à une histoire, J’ai reçu le texte qui va suivre au bureau
attaché par mail quelque temps avant le réveillon de l’an 2000.
L’expéditeur, je devrais dire l’expéditrice se planquait sous un pseudo chez
caramail.com. le mail, (que je ne l’ai pas conservé) disait à peu près ceci
:

Ma chère Marine !
Je me suis laissé dire que tu n’étais pas insensible aux charmes de
certaines femmes. Je me suis laissé dire aussi que mon look, mon visage et
mon corps ne devraient pas te laisser indifférente. Lis cette histoire, je
la trouve très belle, mais surtout, une fois que tu l’auras lu, si tu veux
me trouver, tu me trouveras car il ne peut en être autrement. Je t’embrasse
tendrement ! Et brûle d’impatience que ce baiser virtuel devienne un jour
réel !

Ce ton péremptoire m’amusait, je l’aurais lu de toute façon, mais j’ai
horreur des pressions même si elles sont tachées de bonnes intentions, aussi
ne me pressais-je pas pour la lire ! Et ce n’est qu’après ma journée de
travail que je sorti le texte imprimé et que j’en pris connaissance.
Lire une nouvelle érotique dans le bus, est une expérience rare, mais on
parlera de ça plus tard, place à ce récit mystérieux :

 

Plaisirs Partagés
Elodie est une grande brune, eurasienne par sa grand-mère maternelle, elle
en a hérité les cheveux noirs et raides, les yeux délicatement bridés et la
peau très légèrement mate. Nous nous sommes rencontrées dans une soirée
banale, et nous avons sympathisées rapidement. Nos maris aussi d’ailleurs,
et je ne fut pas trop surprise lorsqu’elle me téléphona quelques jours plus
tard afin que nous passions l’après-midi ensemble. Au programme: shopping et
salon de thé me proposa Elodie. J’acceptais et en retour l’invitais à dîner
chez nous avec son époux.
Je la retrouvais comme prévue devant la fontaine Saint-Michel ! Elle était
vêtue d’un ensemble tailleur rose bonbon assez chic, moi qui m’étais pointé
en jean et petit débardeur blanc sous une petite veste en toile noire,
j’avais presque honte…

 

Mais elle s’en fiche de ma tenue. On est contente de se retrouver, On
s’embrasse, on se met à déambuler dans les rues commerçantes tout en parlant
de choses et d’autres. Chiffons, modes; vacances le tout parsemé de rire et
de saine décontraction.
Elle craque pour une robe mignonne comme tout, peut-être un brin coquine.
Son mari adore parait-il. Elle finit par l’acheter !
Moi, j’ai plutôt fait dans les sous-vêtements et comme ce n’est pas tous les
jours la fête, j’ai fait dans le chic et le bon ton.
Essayages, commentaires, réessayages fous rires….
Draguées à plusieurs reprises ; on s’est fait offrir le thé par un monsieur
charmant et totalement inconnu qui n’en voulait qu’à notre vertu. Avance,
fous rires, moqueries, mots crus du bonhomme et séparation. Il nous a suivit
un moment et devant son insistance grossière, nous nous sommes réfugiées
dans un petit bistrot qui a possède une sortie arrière (ce cornichon
attendait devant ) j’ai proposé le repli vers mon domicile assez proche;
ultime refuge à nos vertus.
Apres une crise de rire supplémentaire, effondrée dans le canapé, la
discussion a dérivé sur le sexe. Habitude, goût, mari tout y est passé.

Encore deux heures à tuer avant le retour de mon époux et du siens, pour le
souper ce soir chez nous. Le repas est pratiquement prêt et seul le traiteur
n’a pas encore livré. Prévu vers 20 heures.
Elodie, calmée me demande un endroit pour essayer sa robe. Ma chambre tout
naturellement. Je la conduis et veux la laisser seule. Elle me retient.
- Nous sommes entre femmes, pas de problème ! Me dit-elle. Tu me diras ce
que tu en pense !
Elodie quitte sa veste de tailleur, fait tomber sa jupe. Elle est devant
moi, en soutien-gorge et culotte, des porte-jarretelles rouges et ses bas.
Elle tourne autour du paquet sans le moindre complexe; déplie la robe, la
présente devant elle, se regarde dans le miroir en pied et enfin se décide à
la passer. Je l’observe, elle est belle, bien faite et son mini slip couvre
à peine ses fesses et laisse deviner sa toison. La robe achetée est très
courte, avec un décolleté dans le dos qui laisse voir la naissance du
sillon. Je lui fais remarquer que son soutien-gorge gâche tout avec une
telle robe.
Pas de problème, elle dégrafe le fauteur de trouble et l’enlève
négligemment. Ses petits seins se tiennent parfaitement bien seuls. Elodie
veut voir dans son dos l’effet de sa robe. Moi suis assise sur le lit et la
regarde, un peu jalouse d’un si beau corps.

Elodie ouvre l’armoire pour mettre les deux miroirs face à face en disant :
- Je peux ?
Trop tard, le mal est fait, la porte ouverte sur mon linge intime et mes
petites affaires personnelles dont un vibromasseur qui est à peine dissimulé
sous mes petites culottes. Elle ne le voit pas heureusement, mais moi, je ne
vois que ça ! Elodie est trop occuper à se regarder et bouger avec sa
nouvelle robe. Elle me demande mon avis sur le décolleté qui laisse
apparaître un petit bout de culotte.
- Il faut porter ça nue dessous ce n’est pas possible ! Je n’avais pas vu
dans le magasin ! Mais mon mari va adorer !

Elle se lisse les fesses, ce cambre pour mieux voir. Essaye de repousser le
petit bout de culotte en dessous et finalement m’appelle à l’aide pour le
faire. Je suis derrière, elle a tenté de rentrer cette culotte indisciplinée
et finit par lui dire de la quitter, car en plus on la devine sous le tissu
de la robe. Je passe mes mains sous la robe et attrapant la culotte par
l’élastique la lui quitte sans réfléchir à ce que je fais. Le contact de mes
mains sur sa chair me donne un coup de fouet et je termine mon geste en
bredouillant des excuses.

Elle me regarde avec un drôle d’air et ne bouge pas un long moment, la
culotte à ses pieds. Elodie regarde dans la glace et m’observe, à genoux à
ses pieds, elle a rougi comme une collégienne, elle aussi.
Enfin, elle bouge et finit de quitter l’objet de notre gêne. Pour cela, en
équilibre, elle pose la main sur l’étagère, juste là où il n’aurait pas
fallu ! Sur mon vibro !. Elle le prend en main et me questionne des yeux :
- Pose ça
- C’est à toi?
- Oui laisse-le, remet l’en place!
- Tu t’en sers ?….. seule ? ….
- -….oui des fois
- Comment?
- -…….
Montre-moi?
- Sûrement pas, t’es folle!
Elle remonte sa jupe en me regardant et se passe l’engin sur le pubis.
- Comme ça?
- ……. Non… je me prépare avant….!
- Montre-moi ?
- Pas question, c’est toi qui es à poil !
- Bon !
Elle se dirige vers le lit, s’allonge sur le dos et jupe relevée commence à
se le passer sur le ventre, puis sur les cuisses qu’elle ouvre
progressivement.
- Arrête, c’est indécent !

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Mais je mes suis approchée d’Elodie et la regarde faire comme hypnotisée !
Je suis assise à cote d’elle et la regarde. Elle a fermé les yeux, allongée
sur le dos, sa robe est largement remontée sur son ventre, et elle passe
l’engin entre ses cuisses et le présente devant son sexe qu’elle ouvre avec
sa main libre. Elle est seule ne me voit plus.
L’engin la pénètre doucement, guidé par une volonté qui me dépasse et je ne
peux pas m’empêcher de lui caresser la cuisse qui est venue sur la mienne.

 

Il est en elle et elle commence un lent va-et-vient en ondulant du bassin
pour accentuer le mouvement de pénétration. Je la caresse autour de sa vulve
et sur son ventre. Je l’envie et j’ai envie. Le souvenir de ses fesses me
revient et ses seins, il faut que je les caresse. Elle se laisse faire. Je
tiens un sein dans ma main et le pétris doucement. Elle gémit, se cambre, se
cabre, jouit seule ou sous mes caresses, je ne sais plus. Je reviens vers le
vibro tout entier en elle, le lui prend des mains et déclenche la vibration.
Elle se cramponne à moi et arquée par des spasmes, jouit intensément en me
griffant les cuisses. Elle a filé mes bas, mais elle jouit encore et encore.

Je retire l’objet, elle le remplace un moment par ses doigts puis se calme
et le repose enfin. Apres un moment de quiétude, elle bouge doucement; mais
sa main remonte sous ma jupe et sans hésiter franchit la barrière de ma
culotte. Elle me caresse, je me laisse faire, étonnée d’accepter si
facilement une caresse intime de la part d’une femme. Elodie fait monter mon
excitation et cherche à m’embrasser. J’accepte son baiser long et chaud et
me détends dans ses bras. Elle me met nue avec délicatesse et parcourt mon
corps de baisers savants et doux. Sa main s’active de nouveau en moi et
enfin elle me lèche tout le corps, descend sur ma vulve ouverte et
entreprend un cunnilingus long, savant qui m’emporte au septième ciel. En
redescendant, je trouve sa vulve contre ma bouche et la happe avec
gourmandise.

Elle aussi est nue, ses seins contre mon ventre me font un effet
extraordinaire et je m’offre à nouveau à elle, l’encourage à reprendre ses
caresses. Je lui caresse les fesses et enfonce ma langue en elle, aspire son
liquide, lèche son anus et jouit d’elle en même temps. Elodie a trouvé mon
point sensible et me caresse l’anus, y pousse un doigt, sa langue, et enfin
y introduit mon vibro avec lenteur, ce qui déclenche une succession
d’orgasmes jamais connus avant. Elle me caresse, je la caresse découvre ses
fesses avec plaisir et les lèche. Deux petits animaux qui se découvrent et
s’aiment, se sentent, se touchent, jouissent l’une de l’autre, jamais
rassasiés. Les orgasmes se suivent et ne se ressemblent pas, toujours une
qui demande, l’autre qui donne sans compter.

Enfin dégrisées nous nous relevons, nous embrasons encore et encore.
Rhabillées, maquillées pour nos maris qui ne sauront jamais ce qui nous
unies. Secret de femmes, comme ils disent quand ils parlent de nous et de
notre complicité parfaite. Depuis ce jour nous nous retrouvons souvent, et
restons nues des journées entières, disponibles l’une pour l’autre, sans
tabous, juste notre plaisir

Julie

Voilà le genre de récit qui ne me laisse pas intacte, la force évocatrice de
ses mots a été trop forte. Je sens une humidité très caractéristique au fond
de ma culotte. Si j’étais seule de me masturberais sans attendre un instant.
Mais que voulez vous faire dans un bus. J’essaie d’appuyer mon sac à main
entre mes cuisses en restant le plus discrète possible, mais ça ne fait pas
grand chose. Le bus s’arrête. Non ce n’est pas ma station, mais beaucoup de
gens descende, libérant ainsi des places assises que des voyageurs debout ne
tarent pas à occuper.

Une femme s’assoit devant, moi, une belle eurasienne assez chic dan son
tailleur ose bonbon ! Son visage me dit vaguement quelque chose, mais je
rencontre tellement de gens… Mais… Quoi ? Une eurasienne avec un tailleur
rose !


- C’est vous qui ?
- Pardon !
- C’est vous qui m’avez envoyé un mail ?
- Un mail ?
- Excusez-moi, ce doit être une coïncidence !
Ouais, je sais bien que ça arrive, mais elle est forte cella-là ! Bon, n’y
pensons plus et vivement que je sois rentrée, je vais me faire une de ses
séances, je ne vous dis pas.
Ca y est, c’est mon arrêt, je descends, l’inconnue m’emboîte le pas, elle
est carrément à côté de moi !
- Vous me semblez avoir besoin d’aide ? Me dit-elle !
- De l’aide !
- Oui, je vais vous aider, donner moi le bras !
Je ne réfléchis même pas, me voilà aux bras d’une inconnue, nous marchons
une vingtaine de mètres ! Elle pile, me regarde, son visage est alors très
près du mien
- Je ne me suis pas présenté !
- Elodie ? Sans doute ?
- Embrasse-moi !

Ça, elle n’avait même pas besoin de me le demander…

FIN

Postface : Je ne vais pas me lancer dans le genre d’affirmation, ce récit
est vrai et patati patata… De toute façon les gens croient ce qu’ils
veulent. N’empêche que ce qui est au moins vrai de vrai c’est que j’ai bien
reçu ce récit par e-mail, que je ne sais pas d’où il sort (j’ai vérifié sur
tous les sites d’histoires que j’ai déniché). J’ai à peine retouchée la
rédaction, j’ai beaucoup retouché l’orthographe, et si l’auteur se
reconnaît, je ne demande pas mieux d’associer son nom à ce récit qui lui
appartient encore plus qu’à moi.

Marine et Thibault (et X) 2002

Par Marine et Thibault Devillers - Publié dans : Marine et Thibault
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